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Résultats de recherche pour biennale architecture

(446 résultats)
Il y a 5 ans et 228 jours

L'architecte Christophe Hutin représentera la France à la Biennale d'architecture de Venise

La proposition "Les communautés à l’œuvre" de l'architecte Christophe Hutin a été sélectionnée pour représenter la France à la 17e Biennale d'architecture de Venise en 2020, ont annoncé mercredi les ministères de la Culture et des Affaires étrangères.
Il y a 5 ans et 228 jours

Christophe Hutin pour le pavillon français de la biennale de Venise

L’architecte Christophe Hutin vient d’être désigné pour la réalisation du pavillon français de la 17e édition de la Biennale internationale d’architecture de Venise. Il succède ainsi aux architectes d’Encore Heureux et leurs lieux Infinis. Pour l’année 2020, Christophe Hutin propose le pavillon « Les communautés à l’œuvre ». Une réponse à la thématique « How we will live together » dévoilé en juillet dernier par l’architecte libanais et commissaire de l’exposition,...
Il y a 5 ans et 229 jours

Forme Publique 2019 – 2020 : Biennale du mobilier urbain Paris La Défense

Fermez les yeux et pensez fort à La Défense (92). Vous y verrez ses tours, ses hordes de costumes-cravates et sa grande arche. Un paysage marqué qui change tous les deux ans à l'automne, non pas grâce aux feuilles mortes et aux couleurs des arbres (peu nombreux dans ce panorama) mais bien grâce à Forme Publique, Biennale du mobilier urbain, qui agrémente le célèbre parvis d'assises hautes en couleur ! À cheval entre Paris et la banlieue, La Défense est un territoire unique, en dehors des carcans et qui a su se créer sa propre identité, loin des immeubles haussmanniens fantasmés. Paysage « à l'américaine », peuplé de nombreuses grandes tours, le quartier d'affaires de la capitale est également caractérisé par son large parvis. « L'immense espace piéton dont nous disposons est un lieu idéal pour se rencontrer, partager, créer du lien. Il nécessite cependant les mobiliers urbains et l'équipement pour accueillir et susciter cette vie. » note Marie-Célie Guillaume, Directrice générale de Paris La Défense. Ainsi, pour la 4ème édition de Forme publique, ce ne sont pas moins de douze modules qui ponctuent cet immense espace libre. Uniques en leur genre, tous avaient pour seules contraintes de répondre de façon esthétique à la thématique « Le Générique » ainsi qu'à au moins deux usages sur les quatre suivant : la pause, l'attente, le déjeuner et le travail. S'il s'agit de prototypes habituellement destinés à disparaître une fois la Biennale achevée, l'un d'entre eux sera adopté et déployé sur l'ensemble du site. Lequel ? Et bien, c'est à nous, simples usagers, d'élire le mobilier urbain qui définira bientôt le panorama de La Défense. Rendez vous donc sur le parvis pour tester les différents éléments, puis sur le site de Paris La Défense afin d'élire votre coup de cœur. Un événement qui allie l'utile à l'agréable ! Pour en savoir plus, visite le site de Paris La Défense Photographies : Paris La Défense
Il y a 5 ans et 306 jours

Venise 2020 – Appel à projet pour le pavillon français

Le ministère de la Culture, le ministère de l’Europe et des Affaires estrangères et l’Institut français, opérateur du Pavillon français, lancent un appel à projet pour le Pavillon français de la 17ème Biennale internationale d’architecture de Venise en 2020. Jusqu’au […] L’article Venise 2020 – Appel à projet pour le pavillon français est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 317 jours

Venise 2020 : Appel à projet pour le Pavillon français

« Comment vivrons-nous ensemble » est le thème retenu pour la 17e édition de la Biennale internationale d’architecture de Venise. Il a été dévoilé par son président Paolo Baratta le 16 juillet dernier et l’appel à projet pour le Pavillon français a été lancé dans la foulée. Une synchronie qui ne laisse aux candidats que le mois d’août pour soumettre leurs propositions avant le 13 septembre et sept mois pour livrer le pavillon ! L’architecte libanais Hashim Sarkis assurera...
Il y a 5 ans et 320 jours

Succès pour la première édition de la Biennale d’Architecture et de Paysage

Les “Assises du Patrimoine en Ile-de-France” auront lieu le 13 septembre prochain. [©Bap] A Versailles, la première Biennale d’Architecture et de Paysage (Bap) a accueilli 200 000 visiteurs du 3 mai au 13 juillet dernier. Un succès pour cet évènement initié par Valérie Pécresse, présidente de la Région Ile-de-France, qui en a confié le commissariat général à François de Mazières, maire de Versailles et ancien président de la Cité de l’architecture et du patrimoine. Cette première édition s’est appuyée sur des lieux d’exception : le Potager du Roi et son Ecole nationale supérieure de paysage, la petite écurie du Château et son école nationale supérieure d’architecture, l’espace culturel de l’ancien hôpital Royal Richaud et le Château de Versailles. Dans ces différents espaces, la Bap a su attirer et sensibiliser le grand public aux défis de la ville de demain. Elle a su créer un nouvel espace de réflexion et de dialogue pour les professionnels et tous les acteurs, qui entendent remettre en lien l’homme, la nature et la ville. Ceci, pour répondre aux grands enjeux de demain. Tels que le changement climatique, la révolution numérique ou le creusement des inégalités. Deux expositions se poursuivent au-delà de la biennale : “Versailles ville nature, permanence et création”, jusqu’au 28 juillet, à l’espace culturel Richaud. Et “Architecture rêvée 1660-1815”, jusqu’au 4 août, au Château de Versailles. Lors de l’inauguration de la biennale, Valérie Pécresse avait annoncé la tenue prochaine des premières “Assises du Patrimoine en Ile-de-France”. Ces dernières auront lieu le 13 septembre prochain. L’article Succès pour la première édition de la Biennale d’Architecture et de Paysage est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 5 ans et 321 jours

Succès de la première Biennale d’Architecture et de Paysage de la Région Île-de-France

Après deux mois et demi de présence à Versailles, la première Biennale d’Architecture et de Paysage de la Région Île-de-France a accueilli 200 000 visiteurs du 3 mai au 13 juillet 2019. Un succès pour cet évènement initié par Valérie Pécresse, Présidente de la Région Île-de-France, qui en a confié le commissariat général à François de Mazières, maire de Versailles et ancien Président de la Cité de l’Architecture et du Patrimoine. Cette première édition a proposé une programmation à la fois riche et variée en s’appuyant sur des lieux d’exception : le Potager du Roi et son École nationale supérieure de paysage, la petite écurie du Château et son école nationale supérieure d’architecture, l’espace culturel de l’ancien hôpital Royal Richaud et le Château de Versailles. La BAP a su créer un nouvel espace de réflexion et de dialogue pour les professionnels et tous les acteurs qui entendent remettre en lien l’homme, la nature et la ville, pour répondre aux grands enjeux de demain tels que le changement climatique, la révolution numérique ou le creusement des inégalités. Deux expositions se poursuivent au-delà de la Biennale : Versailles ville nature, permanence et création, jusqu’au 28 juillet, à l’espace culturel Richaud, et Architecture rêvée 1660-1815, jusqu’au 4 août, au Château de Versailles.
Il y a 5 ans et 346 jours

Pourquoi venir à la Biennale d'architecture et de paysage ? F. Chartier et P. Dalix, architectes

Jusqu'au 13 juillet 2019 à Versailles, le pavillon « Horizon 2030 » exposera l’ambition et les projets du Grand Paris Express en matière d’architecture, de paysage, de design, de culture et d’urbanisme.
Il y a 5 ans et 348 jours

Le Grand Paris à la BAP : réussir l’échec ?

A l’occasion de la 1ère biennale d’architecture et du paysage (BAP) organisée à Versailles du 4 mai au 13 juillet 2019, la journée d’ouverture était destinée à faire un point sur les dix ans de la consultation du Grand Paris […] L’article Le Grand Paris à la BAP : réussir l’échec ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 355 jours

Pourquoi venir à la Biennale d'architecture et de paysage ? Jean-Christophe Nani, paysagiste

Jusqu'au 13 juillet 2019 à Versailles, le pavillon « Horizon 2030 » exposera l’ambition et les projets du Grand Paris Express en matière d’architecture, de paysage, de design, de culture et d’urbanisme. Pour la première fois, le public pourra découvrir les maquettes et perspectives présentant les 68 gares du nouveau métro.
Il y a 5 ans et 356 jours

Le Potager du Roi, une excursion dans la ville

La Biennale d’Architecture et de Paysage d’Ile-de-France (Bap !) fraîchement inaugurée donne à boire et à penser, au cœur du Potager du Roi, à Versailles, autour des questions de l’autosuffisance alimentaire. Le "P" de la Bap ! C’est l’exposition « Le goût du paysage » dont Alexandre Chemetoff (architecte et paysagiste) est le commissaire. Elle constitue une pause gourmande, dans l’ordinaire citadin et se distingue du reste de la programmation de la biennale qui cible des questions...
Il y a 5 ans et 359 jours

Jean-Philippe Nuel : Intercontinental Lyon – Hôtel Dieu

Longtemps considérée comme une ville de passage, Lyon (69) est désormais l'une des métropoles françaises incontournables. Capitale de la culture européenne en 2013, terre de la Fête des Lumières, de la Biennale d'Art contemporain, et accueillant désormais la Coupe du Monde de Football féminin, Lyon n'a plus rien à prouver. Il lui manquait peut être encore un lieu à la hauteur de ses ambitions, entre luxe et patrimoine. Et c'est là que Jean-Philippe Nuel intervient. Niché au cœur de l'un des plus impressionnants monuments de la capitale des Gaulle, l'Hôtel Intercontinental lyonnais transmet l'histoire de cet ancien hôpital à l'architecture d'exception. Fermé en 2010, l'hospice accueillait malades et femmes enceintes depuis près de huit siècle, ayant ainsi – d'après la légende – contribué à la naissance d'un Lyonnais sur trois depuis plusieurs décennies. Doté d'une façade monumentale de 360 mètres défilant le long du Rhône, l'Hôtel Dieu est un joyau architectural, paré notamment d'un grand dôme culminant à 32 mètres signé Soufflot, célèbre pour avoir été l'architecte en chef de Notre Dame de Paris durant 20 ans et pour avoir réalisé le Panthéon entre 1757 et 1790. La réhabilitation d'un tel bien patrimonial – comprenant la plus grande opération de rénovation privée d'un site classé – contenait donc bien sûr son lot de contraintes et ne devait en aucun cas dénaturer l'édifice constituant l'un des épicentres de la ville des lumières. Afin de valoriser l'enveloppe spectaculaire dans laquelle le lieu de résidence prend place, l'architecte d'intérieur Jean-Philippe Nuel préconise une ambiance « monacale et précieuse » selon ses propres mots. Un luxe humble et discret, ne volant surtout pas la vedette à la pierre et aux volumes de l'Hôtel Dieu, mais, au contraire, créant un pont entre la riche histoire de l'ancien hôpital et sa nouvelle vie, entre le XIXème siècle et la période contemporaine. Les 13 000 mètres de l'Intercontinental sont répartis sur 3 étages. Le rez-de-chaussée, scindé en deux par une rue centrale ouverte à tous, comprend, d'une part, un espace de réception et de l'autre, le restaurant Epona, une salle lumineuse s'ouvrant sur une terrasse paisible aux allures de cloître. Situé en retrait à ce niveau, un centre de conférence de 1 500 mètres carrés nommé l'Académie prend place dans l'ancien jardin pharmaceutique et comporte 12 salles de réunions modulables dont une plénière de 433 mètres carrés. Les deux et troisièmes niveaux sont dédiés aux 144 chambres et suites réparties en plusieurs catégories constituent un ensemble harmonieux de pénates aux textures et aux choix de couleurs similaires. Allant de 28 mètres carrés pour les Chambres Supérieures à 40 mètres carrés pour les Chambres Deluxe, la première catégorie offre des vues sur les cours et les jardins historiques du Grand Hôtel-Dieu tandis que les Chambres exécutives avec vue – de même superficie – s'ouvrent sur le quartier de la Fourvière ou le Rhône.Un panorama sur le fleuve dont bénéficient également les locataires des Suites Duplex (45-55 mètres carrés), chambres emblématiques de l'auberge. Dotées de larges fenêtres doubles hauteur s'élevant à 7 mètres, ces appartements comprennent un salon au rez-de-chaussée et un espace nuit ainsi qu'une salle de bain au sous-sol.Plus grande Suite lyonnaise, la Suite Présidentielle concentre tout le luxe de l'établissement dans ses 150 mètres carrés (pouvant s'étendre à 210 mètres carrés grâce à deux chambres communicantes). Obéissant à un traitement de couleurs différent que ses voisines, son décor alterne motifs floraux et camaïeu de rouge et s'ouvre sur un balcon traversant dominant le Grand Dôme. Espace d'exception, ce Grand Dôme constitue le cœur de l'hôtel. Jadis abritant une chapelle ouverte sur les salles où reposaient les malades, la coupole de 500 mètres carrés héberge désormais le bar de l'hôtel. Avec son architecture néo-classique et son sol en marbre damé, le lieu ne cherchait qu'à être sublimer, sans grand effort. Une tâche à laquelle s'est attelé Jean-Philippe Nuel en proposant un mobilier élégant et discret, alternant banquettes convexes en toiles unies de 7 mètres de long et soieries lyonnaises Verel de Belval. Afin que les clients ne sirotent pas leurs cocktails dans un brouhaha inaudible, le maître d'œuvre installe de grands paravents aux propriétés acoustiques apparaissant comme une seconde peau. Des œuvres de Manuel Paul Cavaillier terminent d'habiller ce lieu déjà exceptionnel. Temple de luxe et du bon goût, l'Intercontinental Lyon – Hôtel Dieu redonne ses lettres de noblesse à un monument délaissé depuis bientôt 10 ans. Pour en savoir plus, visitez le site de Jean-Philippe Nuel Photographies : Eric Cuvillier
Il y a 6 ans et 11 jours

Lorenzo Quinn : Building Bridges

A l'occasion de la biennale d'art de Venise qui a débuté le 11 mai dernier, le sculpteur italien Lorenzo Quinn présente l'œuvre « Building Bridges », une sculpture monumentale symbolisant le vivre ensemble, l'entre-aide et l'amour. Un message d'espoir qu'il est bon d'entendre par les temps qui courent. L'installation culminant à 12 mètres de haut pour 30 mètres de large est composée de six paires de mains placées de part et d'autres du bassin de l'Arsenal. Chacune d'entre elles symbolise une valeur humaine universelle – soit l'amitié par le toucher des paumes, la foi par la main d'un enfant dans celle d'un adulte, l'aide matérialisée par la force, l'amour rendue visible par une imbrication passionnée, l'espoir avec des doigts enlacés et la sagesse à travers la confrontation entre jeunesse et âge avancé – et transmet un message positif, partant du postulat que seule la cohésion pourra permettre de bâtir un monde meilleur. « Mon art a toujours eu un seul objectif, communiquer des valeurs universelles communes. Nous partageons tous les mêmes besoins et désirs fondamentaux. » Lorenzo Quinn, artiste Les créations du plasticien transalpin sont toujours réalisées sur le même modèle, reprenant la figure de la main laissée blanche pour mettre en lumière une thématique sociale. Lors de la dernière édition, il avait en effet fait jaillir deux bras du Grand Canal de Venise pour sensibiliser au réchauffement climatique.Les mains suggèrent un besoin de contact avec autrui, et le fait de proposer de telles installations à Venise, ville de patrimoine et capitale des ponts, rejoint ces notions de paix et d'harmonie entre les hommes. Un ouvrage aussi pacifique qu'esthétique. Pour en savoir plus, visitez le site de Lorenzo Quinn Photographies : Dave Benett
Il y a 6 ans et 16 jours

Révélations : Biennale Internationale des Métiers d’Art et de la Création

Depuis 2013, les plus grands acteurs des métiers d'art et de la création se réunissent tous les deux ans au Grand Palais – alternant avec l'événement Monumenta. Placée sous le signe des échanges culturels internationaux, la 4ème édition se déroulera du 23 au 26 mai prochain sous la nef historique, pour accueillir les quelques 40 000 visiteurs attendus. Un rendez-vous à ne pas manquer dont Muuuz à l'honneur d'être partenaire. Mettant en avant le savoir-faire et la création contemporaine, Révélations rassemble près de 450 exposants – artistes de la matière, manufactures, galeries, maisons d'excellence, fondations, institutions ou créateurs indépendants –, et propose une vision large de ce qui constitue les métiers d'art aujourd'hui dans le monde. Soumis à la sélection exigeante d'un comité d'orientation artistique, les dignes représentants de ces corps de métiers sont exposés dans une scénographie dépourvue de hiérarchie signée Adrien Gardère, favorisant la fluidité du parcours ainsi que les échanges entre exposants et visiteurs. Cosmopolite, l'événement se veut être le porte-drapeau de la création européenne et internationale avec pas moins de 33 nationalités représentées, soit le double de l'édition précédente. Et après avoir célébré le Chili en 2017, c'est aujourd'hui au tour du Luxembourg d'être sur le devant de la scène en exposant la diversité des savoir-faire locaux, situés entre tradition et innovation.La manifestation est également marquée par l'exposition Le Banquet, véritable tour du monde qui invite neuf pays à arborer fièrement les couleurs de leurs drapeaux sous la nef du Grand Palais. Si le cœur de Révélations réside dans l'exposition de ces talents venus des quatre coins du monde, les organisateurs mettent également en place des temps d'échange, de débats et de conférences complétés par un cycle cinématographique et des ateliers créatifs. Un programme alléchant qui se poursuit Hors les Murs, au sein - entre autre - de la Maison Drouot qui organisera une vente consacrée aux métiers d'art et du design, ou de la Maison Deyrolle qui accueille pour l'occasion l'exposition Matières Sauvages. Voyages et créations : un rendez-vous qui promet de belles surprises ! Pour en savoir plus, visitez le site de Révélations Photographies : Photoproevent
Il y a 6 ans et 18 jours

Exposition : « Versailles. Architectures rêvées » jusqu’au 4 août 2019

À l’occasion de la première biennale d’architecture et de paysage organisée de la région d’Île-de-France, découvrez l’exposition « Versailles. Architectures rêvées 1660-1815. » Du 4 mai au 4 août 2019, les visiteurs pourront découvrir dans la Galerie de pierre haute, un rassemblement de projets d’architecture inédits et élaborés entre le XVIIème et XIXème siècles pour le Château de Versailles et ses Jardins. L’exposition a pu bénéficier de prêts français et étrangers ce qui permettra aux visiteurs de découvrir une centaine de plans, dessins, projets généraux, élévations d’architecture, des reconstructions… L’exposition propose également la numérisation des plans du Château réalisée dans le cadre du projet Verspera, piloté par le Centre de recherche du château de Versailles, en collaboration avec la Bibliothèque Nationale de France, les Archives Nationales et le laboratoire ETIS, sous l’égide de la Fondation des Sciences du Patrimoine. En savoir plus : – La première biennale d’architecture et de paysage de la région Ile-de-France – Brochure de l’exposition « Versailles. Architectures rêvées 1660-1815 »
Il y a 6 ans et 29 jours

Que reste-t-il du Grand Paris des architectes ?

DEBAT. A l'occasion de sa journée inaugurale, la Biennale d'architecture et de paysage d'Ile-de-France a rappelé le casting des 10 architectes qui composaient l'Atelier international du Grand Paris, qui présentaient leurs propositions pour leur territoire dix ans plus tôt.
Il y a 6 ans et 46 jours

La Rolling Design House de Metek n’amasse pas mousse

Pour la Biennale internationale de Design de Saint-Etienne (Loire), le projet Rolling Design House réalisé par l’agence METEK (Sarah Bitter avec Christophe Demantké) est lauréat de l’appel à projets Banc d’Essai. Cycle-vitrine, comptoir/présentoir, une petite antenne de la Cité du […] L’article La Rolling Design House de Metek n’amasse pas mousse est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.
Il y a 6 ans et 52 jours

1ère Biennale d’architecture et de paysage à Versailles : le programme se précise

  Alors que la toute 1ère Biennale d’architecture et de paysage en Île-de-France se tiendra à Versailles du 4 mai au 13 juillet prochain, le programme se précise. La Société du Grand Paris a notamment annoncé l’exposition d’une centaine de maquettes présentant les 68 futures gares du Grand Paris Express. Ces dernières seront exposées dans le bâtiment en friche de l’ancienne Poste de Versailles.
Il y a 6 ans et 71 jours

ESADSE : Stefania

Depuis hier, et ce jusqu'au 24 avril prochain, le quotidien des Stéphanois est rythmé par la Biennale de Design de Saint Etienne (42). Proposant une multitude d'expositions imaginées sur le thème des terrains d'entente, l'évènement est une mine d'or associant designers confirmés et talents prometteurs. Parmi eux, les étudiants de l'ESADSE se sont démarqués en élaborant la ville de demain. Zoom sur une vision unique de la cité. Entre exposition et expérience sensible, Stefania est une ville utopique où la délimitation entre orient et occident n'existe plus. Régit par une temporalité vibrante, la métropole vit en accéléré, changeant de visage au rythme des heures : lorsqu'une journée s'écoule à Stefania, c'est un an qui s'est passé dans notre monde. Une biennale tous les deux jours, une coupe du monde tous les quatre jours et une quantité d'évènements et de manifestations qui ravissent les nombreux visiteurs de cette ville du futur. « Stefania est une agora de la création de demain. » Olivier Lellouche, scénographe de Stefania et enseignant à l'ESADSE. Composé de 12 bâtiments et d'une place publique réalisés par les étudiants de l'Ecole supérieure d'Art et Design de Saint Etienne, l'ensemble – inspiré des modèles urbains européens et chinois –, est habité par les élèves qui deviennent tour à tour serveurs, prêcheurs, patrons de boîte de nuit ou pompiste, faisant de ce lieu une exposition vivante où chacune des structures a sa propre histoire, définie par les œuvres qui l'habitent. Les travaux affichés sur les parois en bois – provenant des pépinières locales –, ont été conçues par des pensionnaires de 28 écoles européennes et asiatiques. Associant ainsi les villes de Pékin, Shanghai, Hangzhou, Shenzhen, Xian, Wuhan, Londres, Dijon, Brest, Strasbourg, Lyon, Nantes, Bordeaux ou encore Annecy, le concept réunit des métropoles aux cultures diverses dans un terrain d'entente neutre et ludique, agissant comme un réunion harmonieuse de moments et d'instants et non comme une nature morte purement contemplative. Stefania amuse, documente, enchante et donne matière à réfléchir sans distinction de visiteurs. Ainsi, amateurs ou professionnels du design apprécient le projet à leur manière, selon les différentes clés de lecture proposées. L'initiative s'inscrit dans une année charnière du monde de l'architecture et de la création en générale : le centenaire du Bahaus, modèle d'enseignement idéaliste et pluridisciplinaire qui revit ici avec fraîcheur, dans une thématique sociale plus que jamais encrée dans l'actualité. Stefania serait-elle la ville des possibles ? Pour en savoir plus, visitez le site de l'ESADSE et de la Biennale de Saint EtiennePhotographies : Olivier Lellouche, Biennale de Saint Etienne et ESADSE
Il y a 6 ans et 92 jours

Retour sur : Desert X

En ces jours pluvieux, quoi de mieux que de s'immerger dans la chaleur du désert de Coachella (USA) ? L'occasion pour la rédaction de Muuuz de revenir sur la deuxième édition de la manifestation Desert X qui agrémente le paysage aride de la région de Palm Springs d'ouvrages architecturaux et d'installations artistiques. Une toile vierge sous le soleil qui a su, une année de plus, inspirer les plus grands noms de la production contemporaine. Organisé par le critique d'art Neville Wakefield, la commissaire d'exposition Amanda Hunt et le conservateur Matthew Schum et présidé par Susan L Davis, l'événement avait déjà attiré près de 200 000 curieux en 2017, lors de sa première édition. A travers différents terrains d'expression " l'installation, la sculpture, les pavillons ou encore les panneaux d'affichage ", les artistes questionnent une problématique générale, politique ou environnementale. Cette année, les 15 intervenants sélectionnés ont été amenés à réfléchir sur notre rapport avec l'eau ; une thématique ancrée dans l'actualité mise en exergue dans un environnement désertique. " Notre mission initiale a été créée dans le but d'inspirer des artistes contemporains et de placer un objectif international dans la vallée, de mettre en lumière les problèmes auxquels nous sommes tous confrontés, tout en entamant des conversations avec tous nos visiteurs. " Susan L Davis, présidente Un questionnement qui pousse l'artiste colombien basé à Paris, Iván Argote, à mettre en lumière le désastre écologique qui concerne le lac de Salton Sea, le plus grand de Californie dont la surface diminue au fil du temps. Son installation, A Point of View, est un escalier en béton " mélange d'architecture brutaliste et d'influences précolombiennes ", dans lequel chacune des marches comporte une inscription, que le visiteur découvre une fois son ascension achevée.Sterling Ruby, quant à lui, travaille sur le mirage, une réalité " souvent confondue avec une hallucination " liée à une propagation anormale de la lumière dans un environnement où la température, la pression et l'humidité ne sont pas cohérentes. Ce phénomène mystique, qui apparaît souvent dans les déserts justement par rapport au manque d'eau, est ici traduit par Specter, un monolithe rouge épuré, faisant référence aux doubles soleils fréquents dans ce genre de situation.Le collectif Superflex traite la thématique sous un angle mêlant cinéma et architecture. Son "uvre Dive-in " contraction de diving, " plonger " en anglais et de drive-in, cinéma en plein air ", est un film explorant le réchauffement climatique projeté sur une structure en résine de corail rose. Les poissons flottant interagissent avec l'installation de Superflex et disparaissent lentement dans sa pierre poreuse. Biennale hors norme, Desert X fait rimer architecture, esthétique et conscience politique et écologique avec brio. Pour en savoir plus, visitez le site de Desert X Photographies : DR
Il y a 6 ans et 95 jours

Tous les jours : la 12e Biennale d'architecture de São Paulo

L'appel à projet pour la participation à la 12e édition de la Biennale d'architecture de São Paulo est ouvert jusqu'au 1er avril 2019. Tous les jours est une invitation à repenser l'architecture du quotidien dans sa dimension basique, rudimentaire. Avec son lot d'objets banals, de routines, elle est envisagée comme un point d'ancrage à cultiver dans la complexité du monde contemporain. Cet appel a pour objectif de réunir des propositions préliminaires pour l'exposition Arquitecturas...
Il y a 6 ans et 101 jours

Quand le château de Versailles faisait rêver les architectes

RENDEZ-VOUS. Dans le cadre de la Biennale d'architecture qui se tiendra à Versailles en 2019, le château réaménagé par Louis XIV accueille une exposition intitulée "Versailles. Architectures rêvées 1660-1815", du 3 mai au 3 août prochain. Est ainsi présentée la variété des projets architecturaux qui auraient pu façonner un autre visage de ce lieu de pouvoir symbolique.
Il y a 6 ans et 145 jours

Hashim Sarkis : grand curateur de la 17e Biennale d'Architecture de Venise

Après les architectes irlandaises Yvonne Farell et Shelley McNamara, fondatrices de l'agence Grafton Architects, le Libanais Hashim Sarkis assurera le commissariat général de la 17e Exposition internationale d'Architecture qui se déroulera en 2020 à Venise. Sélectionné le 18 décembre 2018 par le conseil d'administration et le président Paolo Baratta, Hashim Sarkis sera le directeur du secteur Architecture mais aussi le commissaire de la prochaine Biennale de Venise qui aura lieu...
Il y a 6 ans et 179 jours

Palmarès du Concours La tuile terre cuite Architendance 2018

Le Palmarès de la 4ème édition du concours a été dévoilé le 16 novembre dernier, à l'ENSA Paris-Belleville dans le cadre de la 4è biennale du réseau des maisons de l'architecture sous la Présidence d'Anne-Sophie Kehr, architecte, Présidente du rma.
Il y a 6 ans et 179 jours

Concours ArchiTendance de la FFTB " Les lauréats

Le Palmarès de la 4ème édition du Concours ArchiTendance organisé par la fédération française des tuiles et briques (FFTB) a été dévoilé le 16 novembre 2018, à l'ENSA Paris-Belleville dans le cadre de la 4ème biennale du réseau des maisons […] L'article Concours ArchiTendance de la FFTB " Les lauréats est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.
Il y a 6 ans et 191 jours

Des villes qui ont du c"ur

  Il faut refaire battre le cœur des villes, selon Frédéric Lenne, Commissaire de In-Situ, la biennale d'architecture et d'urbanisme de Caen.
Il y a 6 ans et 193 jours

Seuls les moineaux ne rêvent pas d'une artificialité intensifiée

Plutôt qu’un retour à une nature n'ayant jamais existée, faut-il s’en remettre en ville à une nature "artificiellement intensifiée"? Lors de la biennale In Situ de Caen, en octobre 2018, parmi les thématiques développées à cette occasion, les élus ont […] L'article Seuls les moineaux ne rêvent pas d'une artificialité intensifiée est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.
Il y a 6 ans et 198 jours

Nouveaux défis pour architecture nouvelle

  PARI, 4e Biennale du Réseau des maisons de l’architecture se tiendra en novembre prochain à Paris. Cette 4e édition entend explorer les grands défis du 21e siècle et témoigner d’une « nouvelle architecture » qui fait le PARI de la transversalité, de la collaboration, de la sensibilisation, de la résidence, ou encore de la co-construction.
Il y a 6 ans et 236 jours

Du 10 au 20 octobre : la Biennale d'Architecture et d'Urbanisme de Caen

" Faire battre le coeur des villes ", c'est le pari fou de la 5ème édition de la Biennale d'Architecture et d'Urbanisme… Cet article Du 10 au 20 octobre : la Biennale d'Architecture et d'Urbanisme de Caen est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 6 ans et 268 jours

COBE : Our Urban Living Room

Vous avez jusqu'au 30 novembre pour découvrir l'exposition " Our Urban Living Room ", à Helsinki (Finlande) et son ouvrage éponyme, qui retrace le développement de Copenhague (Pays-Bas) à travers 10 ans de pratique de l'agence COBE. Au-delà de la rétrospective, l'événement porte un regard critique sur la production architecturale danoise. Plusieurs fois récompensée par des grands prix nationaux et internationaux, dont le Lion D'Or 2006 à la Biennale d'Architecture de Venise, l'agence COBE, fondée par Dan Stubbergaard en 2005 à Copenhague, poursuit son essor. Avec plus de 130 employés, elle mène une réflexion à mi-chemin entre l'architecture et l'urbanisme, illustrée par des réalisations telles que la gare de Norreport (Pays-Bas) " actuellement la plus fréquentée de Copenhague ", le port du Nord de Copenhague, ou le siège social de Adidas en Allemagne. Un succès qui lui a notamment permis de collaborer avec l'agence internationale BIG (Bjarke Ingels Group), pour la conception de Waterfall, un centre aquatique ; une expérience retranscrite dans l'interview de Bjarke Ingels, publiée dans le catalogue. Sensible au devenir de la capitale danoise, COBE soutient une approche humaine dans ses projets, tout en prenant en compte l'aspect historique du site. Une attitude qui encourage l'usager à s'approprier avec enthousiasme son lieu de vie. Le but ? Créer une connexion fluide entre espace privé et public, ce qui n'était pas le cas plusieurs années auparavant dans la Capitale danoise. En effet, Copenhague est passée d'une ville portuaire, industrielle et populaire, à une destination touristique et culturelle. Une évolution due aux importants travaux de rénovation urbaine commencés dans les années 1980, dans le but de favoriser une plus grande diversité sociale. Une restructuration qui s'inscrit par ailleurs dans un programme de développement plus large, visant à relier la partie est du Danemark au sud de la Suède, avec le pont de Malmö, inauguré en 2000. Une exposition de 350 mètres carrés, qui permet de faire découvrir l'histoire locale au travers d'outils numériques, photographies mais aussi de maquettes illustrant les réflexions de l'agence COBE. Le tout est mis en scène dans une structure quadrillée en tasseaux de bois. Le cotenu est quant à lui compilé dans un ouvrage largement illustré, comprenant en plus des détails techniques, interviews et dessins. Un événement prônant l'échange pour penser la ville de demain. Quoi de mieux pour une agence d'architecture en plein boum ? Our Urban Living Room, COBE Architects, éditions Arvinius + Orfeus Publishing AB, 2016, 352 pages, 21 x 26 cm Pour en savoir plus, visitez le site de COBE Photographies : RASMUS HJORTSHÖJ/COBE Architects
Il y a 6 ans et 268 jours

COBE : Our Urban Living Room

Vous avez jusqu'au 30 novembre pour découvrir l'exposition " Our Urban Living Room ", à Helsinki (Finlande) et son ouvrage éponyme, qui retrace le développement de Copenhague (Pays-Bas) à travers 10 ans de pratique de l'agence COBE. Au-delà de la rétrospective, l'événement porte un regard critique sur la production architecturale danoise. Plusieurs fois récompensée par des grands prix nationaux et internationaux, dont le Lion D'Or 2006 à la Biennale d'Architecture de Venise, l'agence COBE, fondée par Dan Stubbergaard en 2005 à Copenhague, poursuit son essor. Avec plus de 130 employés, elle mène une réflexion à mi-chemin entre l'architecture et l'urbanisme, illustrée par des réalisations telles que la gare de Norreport (Pays-Bas) " actuellement la plus fréquentée de Copenhague ", le port du Nord de Copenhague, ou le siège social de Adidas en Allemagne. Un succès qui lui a notamment permis de collaborer avec l'agence internationale BIG (Bjarke Ingels Group), pour la conception de Waterfall, un centre aquatique ; une expérience retranscrite dans l'interview de Bjarke Ingels, publiée dans le catalogue. Sensible au devenir de la capitale danoise, COBE soutient une approche humaine dans ses projets, tout en prenant en compte l'aspect historique du site. Une attitude qui encourage l'usager à s'approprier avec enthousiasme son lieu de vie. Le but ? Créer une connexion fluide entre espace privé et public, ce qui n'était pas le cas plusieurs années auparavant dans la Capitale danoise. En effet, Copenhague est passée d'une ville portuaire, industrielle et populaire, à une destination touristique et culturelle. Une évolution due aux importants travaux de rénovation urbaine commencés dans les années 1980, dans le but de favoriser une plus grande diversité sociale. Une restructuration qui s'inscrit par ailleurs dans un programme de développement plus large, visant à relier la partie est du Danemark au sud de la Suède, avec le pont de Malmö, inauguré en 2000. Une exposition de 350 mètres carrés, qui permet de faire découvrir l'histoire locale au travers d'outils numériques, photographies mais aussi de maquettes illustrant les réflexions de l'agence COBE. Le tout est mis en scène dans une structure quadrillée en tasseaux de bois. Le cotenu est quant à lui compilé dans un ouvrage largement illustré, comprenant en plus des détails techniques, interviews et dessins. Un événement prônant l'échange pour penser la ville de demain. Quoi de mieux pour une agence d'architecture en plein boum ? Our Urban Living Room, COBE Architects, éditions Arvinius + Orfeus Publishing AB, 2016, 352 pages, 21 x 26 cm Pour en savoir plus, visitez le site de COBE Photographies : RASMUS HJORTSHÖJ/COBE Architects
Il y a 6 ans et 319 jours

Une Biennale d'architecture à Versailles en 2019

ÉVÉNEMENT. La première Biennale d'architecture et de paysage d'Île-de-France va se tenir à Versailles (Hauts-de-Seine). Sur le thème de "l'Homme, la nature et la ville", elle se tiendra du 3 mai au 13 juillet 2019.
Il y a 6 ans et 333 jours

Appel à projets : le PARI de la Biennale du RMA

Jusqu'au 5 septembre. La quatrième édition de la Biennale du Réseau des Maisons de l'architecture (RMA) se tiendra en novembre 2018 à Paris. Pour explorer les grands défis du XXIe siècle et témoigner d'une "nouvelle architecture", dans le cadre du […] L'article Appel à projets : le PARI de la Biennale du RMA est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 6 ans et 333 jours

Venise : guide du visiteur pressé à la Biennale 2018

Les biennales : il y en a trop, et partout. En 2013, l'université IULM de Milan en recensait 110 de par le monde, rien qu'en art, sculpture, photographie et vidéo. Qu'une petite partie seulement ne concerne l'architecture ne change rien, car l'on peut estimer sans forcer le trait que c'est la biennale d'art qui imprime lentement mais sûrement sa forme et ses travers à ce type de manifestation : étonnement obligatoire, surenchère expositive, appui sur la starisation, visiteurs...
Il y a 6 ans et 351 jours

Frida Escobedo : Pavillon Serpentine

Ce lundi 11 juin 2018 aux Kensington Gardens à Londres (Grande-Bretagne) a été inauguré le 18e pavillon d'été de la Galerie Serpentine. Aux commandes cette année : l'architecte mexicaine Frida Escobedo, qui a imaginé un espace rappelant les maisons de son enfance, appelées " celosía " " signifiant " jalousie ". Chaque année la Serpentine Gallery confie à un architecte la réalisation d'un pavillon à un architecte de renom pour sa programmation estivale. Alors que cette initiative a démarré en 2000 avec la célèbre architecte anglo-irakienne Zaha Hadid, voici que Frida Escobedo, architecte mexicaine de 38 ans, entre dans le cercle très fermé des maîtres d'"uvre choisis pour réaliser un bâti éphémère. Elle devient ainsi la plus jeune architecte à participer à l'événement. Ayant déjà créé des pavillons notamment pour la Triennale d'architecture de Lisbonne (2013) ou la Biennale d'architecture de Chicago (2017), elle expérimente le temps comme une interaction sociale, une notion philosophique exprimée par Bergson au début du XXe siècle, où la durée est considérée comme une conception intuitive. Le Pavillon Serpentine est donc le lieu d'une expérience autant personnelle que collective. L'ensemble se compose d'une piscine triangulaire autour de laquelle deux volumes rectangulaires disposés en angle se rejoignent pour former des entrées et un axe de circulation. Les murs sont faits de tuiles de ciment gris sombre posés en clairevoie, de fabrication britannique, créant des interstices offrant des vues sur le parc. Une cloison pivotante permet d'ouvrir et fermer l'accès à la structure. Au-dessus, le toit est conçu comme une canopée incurvée dont la face intérieure est faite de panneaux réfléchissants qui entrent en résonnance avec le bassin central ainsi que les effets de lumière variant tout au long de la journée, tel un " garde-temps qui en trace le passage ", comme le définit Frida Escodebo. L'occasion de célébrer l'avancée de la femme architecte lors d'un weekend bien mérité de l'autre côté de la Manche. Pavillon Serpentine ouvert au public du 15 juin au 7 octobre 2018, Kensington Garden, Londres (Grande-Bretagne) Pour en savoir plus, visitez le site de Frida Escobedo (http://www.fridaescobedo.net/new/) Photographies : Laurian Ghinitoiu
Il y a 6 ans et 354 jours

De la nature des délaissés urbains? Friches de la pensée ?

Avec pour thème l'Espace libre, la 16ème Biennale d'architecture de Venise a braqué ses projecteurs sur les friches et délaissés industriels, les terrains vagues, les dents creuses de l'îlotage et l'impensé urbain. Une manière aussi d'éclairer les marges humaines de […] L'article De la nature des délaissés urbains? Friches de la pensée ? est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 6 ans et 354 jours

Pour l'hôpital du bien-être, la coconstruction

En écho à la biennale de Venise 2018, Caroline Rigaldiès, architecte associée de l'agence Pargade, pointe une dimension de l'architecture hospitalière fondamentale: le bien-être. Dans un monde où le temps, l'espace et les moyens sont réduits de toute part : […] L'article Pour l'hôpital du bien-être, la coconstruction est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 6 ans et 354 jours

Luxembourg : un pavillon au ras du sol, signé LUCA

Pour sa première exposition à l'Arsenale lors de la Biennale de Venise 2018, à l'inverse des précédentes années, le commissaire, le Ministère de la Culture, a décidé de ne pas lancer un appel à projet mais de faire confiance pour […] L'article Luxembourg : un pavillon au ras du sol, signé LUCA est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 6 ans et 359 jours

Le concours Young Architects in Latin America dévoile ses lauréats

  A l’occasion de la 16e Biennale d’Architecture de Venise, Architecture-Studio a dévoilé les lauréats du concours Young Architects in Latin America. Sur 201 dossiers reçus provenant de 18 pays, trois projets ont été récompensés par un jury international et quinze mentions spéciales ont été attribuées.
Il y a 6 ans et 360 jours

Andrew D. Berman : Chapelle

Pour la première fois de son histoire la cité-état du Vatican fait son entrée dans la prestigieuse Biennale de Venise (Italie). Une présence célébrée par dix architectes venus du monde entier, réinterprétant chacun à leur manière le thème de la chapelle sur l'Île de San Giorgio Maggiore. Un exercice de style qui dépoussière quelque peu l'image du siège de l'Église catholique. Il aura donc fallu attendre plus d'un siècle avant que le Vatican ne fasse participe à la très réputée Biennale d'architecture de Venise, manifestation artistique de renommée mondiale, créée en 1895.Parmi les dix personnalités choisies par l'historien de l'architecture Francesco Dal Co, mandaté par la cité-état, pour imaginer l'église de demain : Eva Prats & Ricardo Flores (Espagne), Eduardo Souto de Moura (Portugal), Francesco Cellini (Italie), Norman Foster (Royaume-Uni), Smiljan Radic (Chili), Carla Juaçaba (Brésil), Javier Corvalán (Paraguay), Sean Godsell (Australie), Teronobu Fujimori (Japon), et Andrew D. Berman (États-Unis). Tous les pavillons sont démontables afin de pouvoir être installés par la suite dans des contrées dépourvues de lieux de culte. C'est sur l'église made in USA que notre attention se portera.Andrew D. Berman est un architecte américain installé à New York depuis 1995, dont le travail a été salué par une pluie de récompenses. C'est à lui qu'on doit par exemple le pavillon d'entrée du MoMa/PS1 de New York ou la Bibliothèque Stapleton, située dans le même état.À Venise, le maître d'"uvre propose un plan triangulaire fermé par d'épais murs sur deux de ses côtés et entièrement ouvert aux éléments et aux vues sur le troisième. L'espace ainsi créé, recouvert du sol au plafond de panneaux de contreplaqué peints en noir, contraste avec son bardage extérieur en polycarbonate blanc, aussi bien utilisé verticalement pour l'habillage des parois que pour sa toiture à un pan. Une simplicité de conception qui laisse place à l'essentiel : un banc, tout de blanc vêtu, qui trône fièrement au-dessus des deux marches occupant la largeur de l'entrée. Ces trois volumes constituent les seuls reliefs de la pièce imaginée par Andrew D. Berman. Une réinterprétation en négatif de l'église conçue dans les années 1920 à Stockholm par le Suédois Gunnar Asplund, elle aussi triangulaire mais blanche à l'intérieur et noire à l'extérieur, qui a servi de référence pour la commande du Vatican. Ici, le visiteur est donc invité à s'assoir pour observer ce qui l'entoure. Et plus si affinité... Biennale d'architecture de Venise, Venise (Italie), jusqu'au 25 novembre 2018 Pour en savoir plus, visitez le site de Andrew D. Berman Photographies : Alessandra Chemollo
Il y a 7 ans et 1 jours

Le pavillon nordique de la Biennale d'architecture de Venise présente "Another Generosity"

Le pavillon nordique de la Biennale d’architecture de Venise présente "Another Generosity"  une exposition remplie d’immenses bulles gonflables qui se dilatent et se contractent lentement… Cet article Le pavillon nordique de la Biennale d’architecture de Venise présente "Another Generosity" est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 2 jours

Cap sur la biennale d'architecture de Venise

Cette année, la Biennale d’architecture de Venise qui a été inaugurée le 26 mai 2018, a pour thème « Freespace » et dont les deux architectes Yvonne Farrell et Shelley McNamarade de l’agence irlandaise Grafton Architects sont les commissaires, se démarque par une architecture humaniste qui octroie l’attention à un contexte naturel et social. 
Il y a 7 ans et 3 jours

A Venise, liberté bien ordonnée (freespace) commence par soi-même

La 16e biennale d'architecture de Venise a ouvert ses portes au public le samedi 26 mai 2018, les commissaires présentant l'événement en avant-première aux professionnels les jours précédents. Chroniques d'architecture y était. Récit. Succédant à Alejandro Aravena ou Rem Koolhaas, […] L'article A Venise, liberté bien ordonnée (freespace) commence par soi-même est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 3 jours

Isoropia, le pavillon danois de Venise à l'épreuve des balles

Pour son pavillon intitulé Isoropia présenté à la Biennale de Venise 2018, le Danemark s'en est remis à une approche pluridisciplinaire et industrielle en s'appuyant sur un textile architectural dont des acteurs locaux sont les inventeurs. Pour l'architecture ? L’Académie […] L'article Isoropia, le pavillon danois de Venise à l'épreuve des balles est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.