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(491 résultats)
Il y a 3 ans et 206 jours

Notre-Dame de Paris : Mobilisation d’une filière autour de la restauration de la charpente

A la suite de l’incendie de Notre Dame de Paris, les compagnons du devoir ont l’intuition d’un projet de maquette de la charpente à l’échelle 1/20. Ce projet pédagogique mené en collaboration avec l’école de Chaillot a débouché sur une exposition passionnante. Cette manifestation présentée en juillet dernier au Grand Palais éphémère à Paris devrait entamer prochainement une tournée nationale. François Auger, Architecte du Patrimoine, Compagnon charpentier, Florence Babics, Architecte du Patrimoine, Enseignante à l’Ecole de Chaillot et Mathieu Andrieu, Architecte du Patrimoine, répondent à Orianne Masse Voir les vidéos du forum du patrimoine
Il y a 3 ans et 207 jours

Les matériaux du patrimoine entre avenir et tradition

La restauration du bâti ancien nécessite l’emploi de matériaux souvent traditionnels. Ces matériaux font appel à l’innovation pour leur élaboration dans le respect des techniques de mise en oeuvre. Ils sont aussi utilisés dans les constructions neuves, sont-ils les matériaux de demain ? Frédéric Létoffé, Vice Président du Groupement des Entreprises de Restaurations de monuments historiques (GMH), Jérome Carraz, Responsable de l’institut de la charpente et construction bois – Compagnons du devoir et Sylvain Ponchon, Membre du conseil d’administration de la Fédération française des tuiles et briques (FFTB). répondent à Orianne Masse Voir les vidéos du forum du patrimoine
Il y a 3 ans et 208 jours

Cheminées Poujoulat renforce son accompagnement auprès des distributeurs professionnels

C'est pourquoi Cheminées Poujoulat souhaite renforcer son maillage territorial par le recrutement de 5 Animateurs(trices) des Ventes Merchandiser (AVM) afin d'accompagner quotidiennement et travailler en proximité avec ses clients distributeurs. Les distributeurs et Cheminées Poujoulat, c'est une histoire qui dure depuis toujours et reste la base historique de l'activité du leader européen des conduits de fumées et sorties de toit métalliques.Des animateurs des ventes merchandiser pour former et animer les négocesPour Cheminées Poujoulat l'animateur des ventes merchandiser joue un rôle important en complément du commercial qui suit le client.Véritables ambassadeurs de la marque, les Animateurs des Ventes Merchandiser sont chargés de faire monter en compétences les distributeurs en assurant, en relais du commercial, le suivi des opérations, l'animation et la formation proposés par Cheminées Poujoulat. L'objectif est le développement du chiffre d'affaires des distributeurs quelle que soit leur activité.Structurés par région, les AVM viennent compléter l'action commerciale et assurent le relais commercial avec les enseignes.Un accompagnement humain complémentaire à la démarche d'e-merchandisingCheminées Poujoulat n'en délaisse pas pour autant l'e-merchandising. Depuis plusieurs années, l'entreprise déploie un éventail de services digitaux pour accompagner et faciliter le quotidien de ses clients distributeurs et installateurs :disponibilité des produits via l'Espace pro Cheminées Poujoulatdes bannières et bases de donnéesdes vidéos et tutoriels de montagedes outils numériques « CAT-TOOLS » :CAT-DRAW Pour le calcul du dimensionnement des conduitsCAT-CHECK Carnet de chauffage en ligneCAT-RANGE Catalogue en ligneCAT-DESIGN Configurateur de mise en situation de l'appareil, du conduit et de la sortie toit"Les points de vente et les sites Internet sont étroitement liés. Nous sensibilisons les enseignes à déployer des outils digitaux pour les installateurs qui vont souvent sur le web avant de se rendre au sein du point de vente. Nous les accompagnons dans leur démarche d'e-merchandising et de merchandising en leur fournissant du contenu produits, réglementaire, des photos, vidéos, et même des bannières si besoin", relève Stéphane Thomas, directeur de la stratégie et du développement de Cheminées Poujoulat.
Il y a 3 ans et 210 jours

Le forum du patrimoine

Cette année, le Forum du Patrimoine prend la forme d’un plateau TV au cœur du Salon, au stand B59 dans la Delorme. Il comprend un programme de douze émissions, des tables-rondes d’une vingtaine de minutes chacune, animées par des experts reconnus. Elles seront l’occasion de décrypter l’actualité et les grands enjeux du secteur du patrimoine. Il s&rsquo;agit de la seconde édition du Forum du Patrimoine, mis en place par le magazine Atrium patrimoine et restauration et Ateliers d’Art de France et avec le soutien de la Fondation France Bois Forêt pour notre Patrimoine. Jeudi .rich_web_div_block_1_34 ul#Rich_Web_BTimeline-menu { height: 50px; text-align: center; } .rich_web_div_block_1_34 ul#Rich_Web_BTimeline-menu li { position: relative; float: left; list-style: none; margin: 0px; padding: 0px; } .rich_web_div_block_1_34 ul#Rich_Web_BTimeline-menu li a { display: block; text-decoration: none; font-size: 16px; padding: 10px; padding-top: 20px; color: black; font-weight: bold; border-bottom: 5px solid transparent; } section.rich_web_timeline_1_34 {width:100%; position: relative; padding-bottom: 24px; overflow: hidden; } section.rich_web_timeline_1_34:before { position: absolute; content: ''; left: 49.95%; height: 100%; z-index: 4; width: 2px; } section.rich_web_timeline_1_34 div[class*='group'] { text-align: center; font-weight: bold; font-size: 1.2em; letter-spacing: 5px; margin: 25px 0px 25px 4px; } section.rich_web_timeline_1_34 > article { position: relative; margin-bottom: 20px; } section.rich_web_timeline_1_34 > article > div.rich_web_timeline_panel { display: inline-block; 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Les métiers d’art ont le vent en poupe entre reconversions professionnelles et jeunes talents, les besoins en formations sont conséquents. La refonte des diplômes interroge la filière.Olivier Mallemouche, Souffleur de verre, Administrateur et Président de la commission Formation d’Ateliers d’Art de FranceMarion Boisjeol, Responsable de formation à la Maison de la céramique des Pays de DieulefitElie Hirsch, sculpteur, créateur de bijoux et dinandierVoir la vidéo 28 Oct 12 h 00 Les matériaux du patrimoine entre avenir et tradition La restauration du bâti ancien nécessite l’emploi de matériaux souvent traditionnels. Ces matériaux font appel à l’innovation pour leur élaboration dans le respect des techniques de mise en oeuvre...Frédéric Létoffé, Vice-président du GMHJérome Carraz, Responsable de l’institut de la charpente et construction boisOlivier Dupont, Directeur adjoint du Centre technique des matériaux naturels de construction (CTMNC)Voir la vidéo 28 Oct 16 h 00 Plan de relance, commande publique: quelles perspectives pour le patrimoine ? Suite à la crise sanitaire et son impact sur le secteur des métiers d’art, le plan de relance gouvernemental sera-t-il suffisant et adapté pour répondre aux enjeux économiques des professionnels.Daniel Pelegrin, Ebéniste, Administrateur et Président de la commission Patrimoine d’Ateliers d’Art de France Christian Laporte,  Architecte du Patrimoine Président de l’association des Architectes du PatrimoineChristophe Degruelle, Vice-Président de l’Assemblée des communautés de France (ACF)  en charge de la culture et Président de Blois Agglopolys Voir la vidéo 28 Oct 17 h 00 Le bois français dans le patrimoine : une fondation engagée Suite à l’incendie de Notre Dame de Paris, la filière forêt bois s’est engagée pour la sauvegarde du patrimoine en créant une fondation: La fondation France bois forêt pour notre patrimoine. Un tour d’horizon de ses actions.Henri de Revel, délégué de la Fondation France Bois ForêtJérome d’Anglejan, propriétaire de l’abbaye de Longues lauréat de la fondation FBFBernard Lechevalier, rédacteur en chef du magazine AtriumVoir la vidéo let pages = 1; let count = 15; let showType = ""; // loadMore if(showType == "Load More"){ document.getElementById('loadMore1_34').onclick = createLoadMore; } var counter = 1; function createLoadMore(){ if(counter == pages){ jQuery("#loadMore1_34").hide(); } if(showType != "Load More"){ return; } var allTimeLines = document.querySelectorAll("article[data-tim='rw_tim']"); var array = []; for(var i=0; i 1) { str += 'Prev'; } // Show all the pagination elements if there are less than 6 pages total if (pages < 6) { for (let p = 1; p 2) { str += '1'; if (page > 3) { str += '..'; } } // Determine how many pages to show after the current page index if (page === 1) { pageCutHigh += 2; } else if (page === 2) { pageCutHigh += 1; } // Determine how many pages to show before the current page index if (page === pages) { pageCutLow -= 2; } else if (page === pages-1) { pageCutLow -= 1; } // Output the indexes for pages that fall inside the range of pageCutLow // and pageCutHigh for (let p = pageCutLow; p pages) { continue } active = page == p ? 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Elle est assurée par de nombreux et divers acteurs pour répondre à une forte demandeBenoît Melon, directeur de l’école de ChaillotPhilippe Tourtebatte, formateur aux Maisons paysannes de FranceYann de Carné, président du GMH 29 Oct 12 h 30 La ville historique et durable Revitaliser les coeurs de ville est un enjeu majeur pour préserver notre cadre de vie. Ces actions doivent intégrer écologie, patrimoine et économie locale pour répondre aux attentes des habitants.Laurent Mazurier, directeur de Petites Cités de CaractèreMartin Malvy, ancien ministre, président de sites et citésFabien Sénéchal, Architecte des bâtiments de France, président de l’ANABF 29 Oct 16 h 00 Les labels : valoriser le patrimoine et les métiers d’art dans les territoires Dans un contexte de généralisation du commerce en ligne, les labels permettent d’identifier la qualité et l’éthique des produits. Néanmoins, leur multiplication peut brouiller le compréhension du consommateur. Qu’en est-il vraiment?Sophie Guyot, Ennoblisseur textile et Administratrice d’Ateliers d’Art de France Françoise Gatel, Sénatrice d’Ille-et-Vilaine et Présidente de Petites Cités de Caractères de France Jean-Pierre Lebureau, Ornemaniste et membre de la commission Patrimoine d’Ateliers d’art de France  29 Oct 17 h 00 Notre-Dame de Paris : mobilisation d’une filière autour de la restauration de la charpente A la suite de l’incendie de Notre Dame de Paris, les compagnons du devoir ont l’intuition d’un projet de maquette de la charpente à l’échelle 1/20. Ce projet pédagogique mené en collaboration avec l’école de Chaillot a débouché sur une exposition passionnante. Cette manifestation présentée en juillet dernier au Grand Palais éphémère à Paris devrait entamer prochainement une tournée nationale.François Auger, architecte du Patrimoine et compagnon du devoirUn compagnon du devoir ayant participé au chantierVéronique villaneau, architecte du patrimoine 29 Oct 18 h 00 Le concours VMF AAF Depuis 2013, VMF et AAF récompensent chaque année  un professionnel de la restauration du patrimoine en aidant financièrement son projet d’investissement ou de développement.Aude Tahon, présidente de Ateliers d’art de FrancePhilippe Toussaint, président de VMF M. de Vitton,  lauréat 2021 let pages = 1; let count = 15; let showType = ""; // loadMore if(showType == "Load More"){ document.getElementById('loadMore2_67').onclick = createLoadMore; } var counter = 1; function createLoadMore(){ if(counter == pages){ jQuery("#loadMore2_67").hide(); } if(showType != "Load More"){ return; } var allTimeLines = document.querySelectorAll("article[data-tim='rw_tim']"); var array = []; for(var i=0; i 1) { str += 'Prev'; } // Show all the pagination elements if there are less than 6 pages total if (pages < 6) { for (let p = 1; p 2) { str += '1'; if (page > 3) { str += '..'; } } // Determine how many pages to show after the current page index if (page === 1) { pageCutHigh += 2; } else if (page === 2) { pageCutHigh += 1; } // Determine how many pages to show before the current page index if (page === pages) { pageCutLow -= 2; } else if (page === pages-1) { pageCutLow -= 1; } // Output the indexes for pages that fall inside the range of pageCutLow // and pageCutHigh for (let p = pageCutLow; p pages) { continue } active = page == p ? 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Néanmoins, les flux  se concentrent sur quelques lieux. Comment éviter la sur-fréquentation et mieux répartir cette manne économique ?Laurent Mazurier, directeur de Petites cités de caractère  Marika Arabi-Onnela, réseau des Grands sites de France 30 Oct 12 h 00 Le patrimoine vecteur de lien social Le patrimoine est un élément essentiel du cadre de vie matériel et immatériel. Sa préservation permet la création d’un environnement favorable et sa sauvegarde mobilise des acteurs bénévoles ou professionnels tissant ainsi des liens sociaux.Olivier Lenoir, délégué général union RempartValérie Charollais directrice fédération des CAUE 30 Oct 15 h 00 Les bénévoles soutien essentiel de la sauvegarde du patrimoine Devant l’ampleur de la tâche, il appartient à chacun de se mobiliser pour la sauvegarde du patrimoine. L’action des bénévoles est fondamentale pour répondre à l’enjeu.Guy Sallavuard vice-Président Maisons paysannes de France Olivier Lenoir, délégué général union RempartHervé Lancelot délégué régional IdF Fondation du Patrimoine 30 Oct 17 h 00 Le patrimoine à l’heure du numérique Relevés, applications, réalité augmentée… le patrimoine s’empare des nouvelles technologies pour investir de nouveaux horizons.Farès Khima, Architecte du Patrimoine Valérie Charollais directrice fédération des CAUEArt Graphique et patrimoine (intervenant à définir) 30 Oct 17 h 50 Cloture du Forum de patrimoine Aude Tahon, Présidente d’Ateliers d’art de FranceBernard Lechevalier, rédacteur en chef du magazine Atrium let pages = 1; let count = 15; let showType = ""; // loadMore if(showType == "Load More"){ document.getElementById('loadMore3_88').onclick = createLoadMore; } var counter = 1; function createLoadMore(){ if(counter == pages){ jQuery("#loadMore3_88").hide(); } if(showType != "Load More"){ return; } var allTimeLines = document.querySelectorAll("article[data-tim='rw_tim']"); var array = []; for(var i=0; i 1) { str += 'Prev'; } // Show all the pagination elements if there are less than 6 pages total if (pages < 6) { for (let p = 1; p 2) { str += '1'; if (page > 3) { str += '..'; } } // Determine how many pages to show after the current page index if (page === 1) { pageCutHigh += 2; } else if (page === 2) { pageCutHigh += 1; } // Determine how many pages to show before the current page index if (page === pages) { pageCutLow -= 2; } else if (page === pages-1) { pageCutLow -= 1; } // Output the indexes for pages that fall inside the range of pageCutLow // and pageCutHigh for (let p = pageCutLow; p pages) { continue } active = page == p ? 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Il y a 3 ans et 211 jours

Premier « Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP »

Elle permet de s’adapter aux nouveaux besoins et également de repenser les problématiques liées à la prévention et de toujours améliorer la performance des entreprises. Avoir une vision claire des tendances d’innovation est ainsi devenu une nécessité stratégique pour l’ensemble des acteurs du secteur du BTP.Dans cette optique, Impulse Partners, CCCA-BTP et l’OPPBTP, acteurs engagés au service du secteur du BTP, se sont associés pour réaliser et publier un « Observatoire des tendances d’innovation du BTP ». Celui-ci décrypte les grandes tendances d’innovation, leurs impacts sur les métiers, la sécurité, la prévention et la formation.Son objectif est de permettre à tous les acteurs de la filière, qu’ils soient industriels, constructeurs, entreprises, grandes ou petites, mais aussi centres de formation, fédérations et organisations professionnelles, de comprendre et d’appréhender au mieux les principaux champs d’innovation à l’oeuvre dans le secteur, pour en faire un vecteur de transformation positive et durable. Pour cela, il sera enrichi régulièrement et diffusé chaque année.Les objectifs majeurs de l'innovationGrâce à une étude approfondie des acteurs de l’innovation dans le BTP, l’Observatoire révèle que les grandes tendances d’innovation se concentrent autour de trois objectifs majeurs :Accroître la productivité des entreprisesTrois tendances majeures transforment les métiers du BTP : les solutions de construction hors site permettent de réaliser 80 % de la production en usine, ce qui fait évoluer massivement les métiers, les méthodes de production et les risques qui y sont associés. Les dispositifs de pilotage intelligent des équipements et ouvrages (capteurs IoT, plateformes BOS…) offrent l’opportunité de saisir de nouveaux marchés dans le smart building avec une très haute valeur ajoutée pour les métiers concernés. Enfin, les outils d’édition et de partage du jumeau numérique constituent l’un des leviers de la modernisation des métiers et renforcent la sécurité sur les chantiers.Réaliser des ouvrages de meilleure qualitéLa qualité des ouvrages repose sur leur conformité au cahier des charges, leur performance et l’impact environnemental des chantiers. Les solutions favorables à l’emploi du matériau bois, de plus en plus sollicité, bouleverse les chaînes de valeur traditionnelles et exigent des compétences nouvelles (logistique, levage, réglage…). Les plateformes et outils pour le réemploi constituent également un levier de transformation majeur, en particulier pour la filière déconstruction. Par ailleurs, les outils de suivi d’avancement et de contrôle de conformité accompagnent les professionnels dans une démarche de lean management et de contrôle qualité continu, vecteurs de productivité et de prévention des risques.Améliorer la sécurité sur les chantiersEnfin, l’amélioration de la sécurité sur les chantiers exige une anticipation des risques en amont ainsi qu’une gestion de ceux-ci au cours des travaux. Pour y parvenir, les EPI connectés et les dispositifs de détection des accidents (capteurs, robots caméra, intelligence artificiels) mobilisent un grand nombre d’acteurs de l’innovation, du fait de leur très fort impact sur la réduction du risque d’accident. En outre, les outils digitaux pour la formation des professionnels, tels que les outils e-learning ou utilisant la réalité virtuelle, permettent de former les collaborateurs aux bonnes pratiques et de les sensibiliser aux différents risques du chantier.Un Observatoire de l’innovation qui s’inscrit dans les missions du CCCA-BTP et de l’OPPBTPAfin de s’adapter aux évolutions majeures qui impactent le secteur (transition écologique, digitalisation…), l’innovation est au coeur des enjeux du BTP. Le CCCA-BTP et l’OPPBTP sont tous deux mobilisés pour accompagner son développement et aider l’ensemble des acteurs à s’en saisir pour en tirer tous les bénéfices. D’une part, le CCCA-BTP, premier acteur de l’apprentissage en France, a pour mission d’anticiper les métiers de demain et l’évolution des compétences pour adapter les parcours de formation et ainsi mieux répondre aux besoins des entreprises de la construction. D’autre part, en tant qu’organisme de branche, l’OPPBTP se positionne comme un moteur pour détecter, accompagner et promouvoir l’innovation au profit de l’ensemble des acteurs du secteur. L’analyse des tendances d’innovation sous l’angle de la santé-sécurité lui permet d’adapter les actions de prévention à mener au plus proche des problématiques émergentes. Dans ce cadre, l’Observatoire des tendances d’innovation du BTP représente un précieux outil de veille pour décrypter les tendances de la filière. Il permet à la fois de mettre en lumière le rôle de la formation dans l’évolution des compétences et d’apprécier les conséquences de l’innovation sur les métiers et les problématiques de sécurité. Sa promotion auprès de tous les acteurs est essentielle pour leur permettre d’évoluer collectivement vers une plus grande performance opérationnelle.Une méthodologie basée sur une étude des acteurs de l’innovation dans le BTPLe CCCA-BTP, l’OPPBTP et Impulse Partners ont décidé d’appuyer cet Observatoire sur les 222 start-up recensées au sein de l’écosystème d’Impulse Partners. En effet, celles-ci se développent depuis plusieurs années à un rythme accéléré et leurs champs d’action constituent un précieux révélateur des transformations en cours dans le BTP. L’ensemble des start-up a été regroupé en 41 champs d’innovation. Pour chacun de ces champs d’innovation, l’observatoire détaille les enjeux majeurs et les principaux outils et solutions développés par les innovateurs pour y répondre. La dynamique économique de chaque champ d’innovation a également été mesurée selon trois indicateurs clefs : le nombre de start-up, le chiffre d’affaires cumulé des acteurs et le volume de fonds levés par ceux-ci. Par ailleurs, l’observatoire donne une estimation du potentiel de transformation pour la filière, sur le plan des métiers, de l’impact en matière de prévention, ainsi qu’en termes de besoins nouveaux de formation pour les professionnels.Enfin, les partenaires ont également interrogé plusieurs professionnels représentant des grandes entreprises, entreprises de tailles intermédiaires, fédérations ou organisations représentatives de toute la profession :David Amadon, Directeur technique de la CAPEB Nationale ;Guillaume Bazouin, Responsable start-up et programme intrapreneuriat au sein de Leonard ;Mathieu Boussoussou, Responsable innovations durables au sein d’Eiffage Construction ;Valérie Cassous, Membre du directoire et directrice communication du groupe Cassous ;Jonathan Chemouil, Directeur innovation technique au sein de Demathieu Bard ;Dominique Chevillard, Directeur technique et de la recherche de la FNTP ;Christian Cremona, Directeur technique et R&D au sein de Bouygues Construction ;Isabelle Dubois-Brugger, R&D et Innovation Manager au sein de LafargeHolcim ;Marc Esposito, Directeur du Lab GSE ;Antoine Gibour, Directeur stratégie, marketing et innovation au sein de Léon Grosse ;Claire Guidi, Chargée de mission FFB ;Philippe Robart, Directeur technique de l’OPPBTP.Ces interviews ont largement guidé la structuration de l’observatoire et ont permis de collecter l’avis du marché sur les innovations recensées.Des tendances structurées autour de trois principaux objectifs : la productivité, la qualité et la sécuritéL’étude des 41 champs d’innovation et les échanges avec les entreprises ont permis aux trois partenaires de mettre en évidence trois objectifs majeurs à toutes démarches d’innovation dans le BTP, non exclusifs les uns des autres : atteindre un plus haut niveau de productivité, de qualité et de sécurité. Pour avancer dans chacune de ces directions, les acteurs peuvent mettre en oeuvre différents leviers d’action qui rassemblent plusieurs champs d’innovation complémentaires.Une plus grande productivité des entreprisesL’un des principaux défis pour le secteur du BTP est sa faible productivité. Il s’agit de l’un des seuls secteurs de l’économie dont la productivité n’a pas augmenté ces 20 dernières années, mais a au contraire baissé en Europe. Sur l’ensemble de la chaîne de valeur, industriels, concepteurs, constructeurs, exploitants de bâtiments et d’infrastructures cherchent à réduire leurs coûts pour consolider leurs marges. La productivité est donc le premier objectif majeur qui pousse à innover dans le secteur.L’observatoire fait ressortir six principaux leviers d’action : la maîtrise des coûts du foncier, des matières premières, de la main-d’oeuvre, des frais généraux des entreprises, des coûts d’usage des ouvrages, ainsi que la réduction du poids économique des équipements et de la logistique. Il révèle également que les trois champs d’innovation en faveur d’une plus grande productivité des entreprises les plus dynamiques sur le plan économique sont :✓ Les outils d’édition et de partage du jumeau numérique, qui permettent de partager l’information entre les différentes parties prenantes d’un projet de construction et d’assurer un suivi continu de l’information sur le cycle de vie d’un ouvrage. Ils s’imposent sur les grands projets de construction depuis plusieurs années et constituent l’un des principaux leviers de la transformation digitale et industrielle du secteur.✓ Les outils digitaux collaboratifs de suivi de chantier. Simples, mobiles et adaptés aux process et méthodes actuelles, ces outils digitaux permettent de digitaliser et d’optimiser le travail du chef ou du directeur de chantier pour assurer un suivi de l’avancement des tâches et partager les informations entre tous les acteurs.✓ Les dispositifs de pilotage intelligent des équipements et ouvrages, tels que les capteurs IoT ou les plateformes Building Operating Systems. Ces dispositifs permettent d’optimiser les consommations énergétiques, d’organiser une meilleure gestion des déchets, d’assurer un confort aux usagers et de réduire les coûts d’exploitation. Ils ont également un fort potentiel de transformation des métiers du BTP vers des métiers à très haute valeur ajoutée.✓ Par ailleurs, l’observatoire fait ressortir les solutions de construction hors site parmi les champs d’innovation à fort potentiel de transformation des métiers du secteur, puisqu’elles permettent de réaliser 80 % de la production, ce qui développe fortement la productivité.Des ouvrages de meilleure qualitéLe deuxième enjeu majeur pour le secteur est l’amélioration de son niveau global de qualité. Les exigences de la maîtrise d’ouvrage se renforçant dans de nombreux domaines, cette exigence de qualité ne s’évalue plus seulement sur la simple conformité à un cahier des charges fonctionnel, mais aussi sur un nombre croissant de critères de performance (dont l’impact environnemental). Cette qualité s’évalue bien sûr sur l’ouvrage lui-même sur toute sa durée de vie, mais aussi au travers de critères propres aux chantiers (impact sur l’environnement, nuisances…).✓ Les outils de suivi d’avancement et de contrôle de conformité apparaissent comme étant à la fois les solutions innovantes les plus dynamiques et parmi les plus transformatrices du secteur. Elles permettent de détecter les erreurs de mise en oeuvre éventuelles, pour les corriger rapidement, afin d’en réduire les coûts et d’assurer que le construit est conforme au conçu.Parmi les champs d’innovation pour une meilleure qualité des ouvrages les plus dynamiques économiquement, on trouve également :✓ Les solutions pour la qualité de l’air : pour améliorer la santé et le confort des occupants, des capteurs IoT, des plateformes d’analyse des données et de simulation de la qualité de l’air se développent. Cette dynamique a par ailleurs été renforcée par le contexte de la crise sanitaire qui a placé cette problématique au coeur des enjeux du bâtiment.✓ Les solutions pour l’usage de nouvelles énergies sur les chantiers tels que les solutions hydrogène, les biocarburants ou l’électrification des engins et matériels, qui permettent de réduire les consommations d’énergie non renouvelables et les émissions de gaz à effet de serre.Enfin, les champs d’innovation pour la qualité au plus haut potentiel de transformation du secteur sont :✓ Les solutions favorables à l’emploi du matériaux bois, de plus en plus sollicité du fait de ses atouts écologiques et environnementaux. La construction bois est souvent synonyme de construction industrialisée et bouleverse à ce titre les chaînes de valeur traditionnelles. Le chantier bois exige par ailleurs des compétences nouvelles (logistique, levage, réglage…) pour des acteurs qui historiquement ont une meilleure maîtrise de la construction en béton.✓ Les plateformes et outils pour le réemploi. Le réemploi constitue un challenge important pour les fabricants de matériaux et leurs distributeurs, mais aussi un levier de transformation majeur pour la filière déconstruction, afin de permettre un démontage propre et sélectif des matériaux pouvant être réemployés.Un accroissement de la sécurité sur les chantiersLa sécurité sur les chantiers est un enjeu de progrès continu pour toutes les entreprises du BTP. Le secteur comporte en effet encore de nombreux risques contre lesquels des politiques de prévention, renforcées par l’innovation, peuvent être efficaces. Plusieurs champs d’innovation favorables à la productivité et à la qualité ont aussi un impact positif sur la sécurité. De plus, certains champs d’innovation peuvent être totalement focalisés sur ces enjeux de sécurité. Les deux leviers d’action identifiés pour accroître la sécurité sur les chantiers sont l’anticipation des risques en amont, ainsi que leur gestion pendant les travaux.L’observatoire fait ressortir trois champs d’innovation, qui sont à la fois les plus dynamiques et les plus transformateurs pour le secteur en matière de sécurité :Les EPI connectés : les équipements de protection individuelle sont de plus en plus connectés, afin de renforcer la sécurité des compagnons au-delà des protections dites classiques. Ils permettent, par exemple, d’alerter en cas de situations de danger (fuites de gaz, éboulement, etc.), de réduire les accidents Homme/machine, ou d’effectuer un suivi en temps réel des compagnons.Les dispositifs de détection des accidents : grâce à des outils tels que des capteurs, des robots caméras ou l’intelligence artificielle, de nombreux dispositifs permettent de réduire les accidents sur site en analysant les situations à risque, ou d’intervenir rapidement s’ils ont lieu.Les outils digitaux pour la formation des professionnels : on estime aujourd’hui à 430 000 les besoins annuels en formation initiale et continue. Ces nouveaux outils ont pour objectif de massifier la formation et de la rendre la plus impactante possible au travers de nouvelles méthodes pédagogiques (outils e-learning, formations en réalité virtuelle et augmentée, outils d’ancrage qui cumulent présentiel et digital…). Ils permettent de former les collaborateurs aux bonnes pratiques et de les sensibiliser aux différents risques du chantier.« Innover aujourd’hui dans notre secteur c’est aussi repenser les enjeux de prévention et de sécurité pour en faire des atouts pour la performance des entreprises. C’est aussi intégrer très tôt les besoins de formation et d’évolution de compétences. C’est le sens de notre partenariat avec l’OPPBTP et le CCCA-BTP dans la réalisation de cet observatoire. » Antoine Thuillier, Associé Impulse Partners.« En tant qu’Organisme de prévention des risques du BTP, nous sommes convaincus que la performance des chantiers rime avec prévention et que l’innovation technique est le premier facteur d’amélioration des conditions de sécurité et de travail. Sachons-nous saisir collectivement de cet observatoire des tendances d’innovation dans le BTP pour faire grandir la performance opérationnelle de nos chantiers et de nos opérateurs. » Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP.« Le digital est un facilitateur, un accélérateur. Il est d’une aide précieuse dans le parcours de formation des jeunes et des professionnels qui se forment tout au long de leur vie professionnelle. Mais au-delà de la transformation intrinsèque des métiers, le digital peut être également un facilitateur de l’articulation et de la coordination dans la réalisation des projets : un catalyseur de productivité. Il favorise le décloisonnement entre les métiers, pour gagner en polyvalence et en transversalité et contribue également à une plus grande ouverture entre les sujets (smartcity, bien être, etc.) » Franck Le Nuellec, Directeur Marketing, Développement et Innovation Stratégique de CCCA-BTP.Le rapport complet de l’Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP est disponible ici.
Il y a 3 ans et 214 jours

isolation et préservation du patrimoine : les solutions actis

Comment entreprendre des travaux d’isolation de toiture sans modifier l’aspect extérieur du bâti ancien tout en garantissant une parfaite étanchéité? La conservation du patrimoine (immeubles haussmanniens, châteaux, manoirs, &#8230;) et sa rénovation énergétique sont des enjeux majeurs pour les maîtres d’œuvres. A l’occasion du Salon du Patrimoine, ACTIS, fabricant français d’isolants réflecteurs depuis 40 ans, présente ses solutions d’isolation, tant appréciées des Compagnons du Devoir couvreurs pour leurs performances thermiques et esthétiques. TRISO-TOITURE, UNE ISOLATION QUI PRÉSERVE L’ARCHITECTURE DU BÂTIMENT En rénovation, le choix de l’isolation est avant tout motivé par la performance énergétique du bâtiment et le confort thermique des occupants. Cependant, l’isolation occupe un volume non négligeable se soldant souvent par un compromis sur l’espace habitable ou l’architecture du bâtiment. Grâce à la souplesse de ses composants permettant d’utiliser judicieusement l’espace entre chevrons, Triso-Toiture, bénéficiant de la technologie alvéolaire brevetée d’Actis, se pose en crémaillère, sans rehausse importante de la toiture et sans modification de l’aspect du bâti. Solution haute performance 3 en 1, Triso-Toiture assure une isolation très efficace contre le froid en hiver grâce à une résistance thermique très élevée (R>6,20 m2.K/W), mais aussi contre la chaleur, en été, grâce aux films réflecteurs renvoyant jusqu’à 95% des rayonnements infrarouges. Elle garantit également l’isolation phonique ainsi que l’étanchéité à l’eau et à l’air selon les normes NF EN 1928 méthode A et NF EN 12114. Se présentant sous forme de pack, Triso-Toiture se compose de deux isolants complémentaires : • un isolant réflecteur avec pare-vapeur intégré : Triso Hybrid’ • un isolant réflecteur perspirant avec écran HPV intégré : Boost’R Hybrid’ Les deux composants sont mis en œuvre de manière à former une enveloppe isolante et étanche. Triso-Toiture d’Actis est insensible à l’humidité et sa légèreté lui assure une forte résistance au tassement, ce qui permet de maintenir ses caractéristiques mécaniques et ses performances thermiques dans le temps. Léger et peu encombrant, Triso-Toiture est rapide et facile à mettre en œuvre. (https://bit.ly/Actis_TrisoToiture) BOOST’R HYBRID’, ISOLANT DE SOUS-TOITURE HPV Préconisé en rénovation pour réaliser l’étanchéité de la toiture en complément d’une isolation existante, Boost’R Hybrid’ d’Actis est un isolant réflecteur alvéolaire souple perspirant de sous-toiture qui intègre un écran HPV de dernière génération. A la fois isolant et pare-pluie perméable à la vapeur d’eau (Sd
Il y a 3 ans et 224 jours

Patrimoine et Territoires au Salon International du Patrimoine Culturel 2021

La 26ème édition du Salon International du Patrimoine Culturel se tiendra du 28 au 31 octobre 2021, au Carrousel du Louvre à Paris. Près de 350 exposants, des professionnels de la restauration et de la conservation du patrimoine, associations de sauvegarde du patrimoine, fournisseurs du patrimoine bâti, collectivités locales, créateurs de nouvelles technologies et acteurs innovants, sont attendus. Le thème choisi : « Patrimoine et Territoires », résonne particulièrement dans la période actuelle, comme en témoignent le succès touristique rencontré par les territoires français habituellement peu fréquentés ou encore l’appétence accrue pour la consommation locale, durable et responsable dans laquelle s’inscrivent tout particulièrement les professionnels des métiers d’art et du patrimoine. Une riche programmation de conférences, démonstrations et remises de prix rythme les 4 jours de l’événement. Cette année, en plus du programme habituel, le Salon propose une série de nouveautés, comme l’exposition « Restaurons Notre-Dame ! » fruit d’un partenariat entre Ateliers d’Art de France d’une part, la Fédération des Compagnons du Tour de France et l’association Restaurons Notre-Dame, Le Forum du Patrimoine. Le Forum du Patrimoine, mis en place par le magazine Atrium patrimoine et restauration et Ateliers d’Art de France avec le soutien de la Fondation France Bois Forêt pour notre Patrimoine à l’occasion de l’Edition Digitale du Salon International du Patrimoine Culturel en 2020, a été reconduit pour l’édition 2021. Il prendra la forme d’un plateau télé TV au coeur du Salon. Il comprendra un programme exceptionnel de douze émissions – des tables-rondes d’une vingtaine de minutes chacune, animées par des experts reconnus. Elles seront l’occasion de décrypter l’actualité et les grands enjeux du secteur du patrimoine. Ce format mêlant le présentiel et le digital avec une retransmission en ligne en léger différé, viendra compléter l’offre de conférences physiques du salon.
Il y a 3 ans et 227 jours

Sophie Doré : Les pieds dans le béton

Sophie Doré sillonne le Grand-Est avec son nouveau Arocs 3240 8&#215;4 d’une puissance de 290 kW/396 ch [©Mercedes-Benz Trucks France] Sophie Doré travaille sur toute la région du Grand-Est, ainsi que sur une partie de la Bourgogne. Son rôle ? Ravitailler les chantiers avec l’aide de ses camions, tous carrossés en toupie à béton, dont le Arocs 3240 8&#215;4 d’une puissance de 290 kW/396 ch. Passionnée par son métier, elle y a été bercée dès son enfance. « Les camions ? Je suis née dedans ! J’ai commencé comme assistante de mon père qui avait une entreprise de terrassement. » Tel père, telle fille : quand il a pris sa retraite, elle n’a pas hésité à reprendre le flambeau. A la tête des Terrassements de Champagne, maintenant spécialisé dans le béton, Sophie Doré exerce sa fonction depuis 10 ans, pour le plus grand bonheur des compagnons sur les chantiers. « Sur les chantiers, les gens sont contents de me voir : je suis pour eux un rayon de soleil ! ».  A la conquête du Grand-Est Le quotidien de la jeune femme n’est pourtant pas de tout repos. En effet, son métier se divise en 2 parties. D’un côté, elle ravitaille les chantiers avec ses camions, avec 4 chauffeurs sous sa direction. Qu’elle sait remplacer lorsqu’ils ne sont pas disponibles. D’un autre, Sophie Doré gère les contrats de ses clients. Clients qui ont d’ailleurs augmenté avec la campagne de communication de Mercedes-Benz Trucks France. Lire aussi : Haute-Saône : Une année de développement durable pour LD Contrôles « Mettre en avant Sophie Doré lui a fait gagner en visibilité, explique Olivier Amélineau, responsable presse et relations publiques de Mercedes-Benz France. Nos publications sur les réseaux sociaux lui ont permis de récupérer une belle liste de contacts. » La marque a voulu mettre en lumière les femmes dans un milieu où les hommes sont plus nombreux. Elle propose des formations gratuites pour montrer les spécificités de ses véhicules. Ainsi, Sophie Doré sillonne les routes de France, à la conquête du Grand-Est.
Il y a 3 ans et 230 jours

Remise des prix nationaux 2020 du concours des Rubans du Patrimoine et lancement de l'édition 2022

Les communes de Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire), Mortagne-sur-Sèvre (Vendée), La Ferrière-sur-Risle (Eure), Joinville (Haute-Marne), Vieille-Chapelle (Pas-de-Calais) et la communauté d'agglomération du Val de Fensch (Moselle), ont reçu leur prix par les représentants des cinq partenaires organisateurs : l’Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité, la Fondation du patrimoine, la Fédération nationale des Caisses d'Épargne, le Groupement français des entreprises de restauration de Monuments Historiques et la Fédération Française du Bâtiment.L'édition 2022 a été également lancée lors de cet événement. Ce concours a pour but de récompenser des communes et intercommunalités ayant réalisé des opérations de restauration ou de mise en valeur de leur patrimoine bâti. Les opérations récompensées depuis 25 ans par « les rubans du Patrimoine » illustrent la créativité et la ténacité des différents acteurs impliqués. Elles mettent en valeur le dynamisme des communes et de leurs groupements et les savoir-faire des artisans et entrepreneurs du bâtiment ainsi que de leurs compagnons.
Il y a 3 ans et 230 jours

Robotisation : "L'objectif n'est pas de supprimer des postes mais de les transformer"

TECHNOLOGIE. Plusieurs experts de la construction et de la robotisation se sont réunis pour discuter du futur du secteur. Si technologiquement, la filière est prête, les sociétés doivent encore déployer des moyens financiers et former les compagnons.
Il y a 3 ans et 231 jours

Notre-Dame de Paris : de jeunes compagnons dévoilent des éléments de la future nef

PATRIMOINE. La section de la Creuse de la Société des membres de la Légion d'honneur a organisé le 24 septembre le projet "Sur la route des maçons" : une centaine de jeunes en apprentissage dans les métiers du bâtiment a ainsi participé à une marche reliant les Invalides à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Les compagnons ont à cette occasion offert deux de leurs réalisations au chantier de reconstruction.
Il y a 3 ans et 234 jours

Enseignement de la CAO : Les compagnons du Tour de France sur ZWCAD (interview)

La structure des Compagnons du Tour de France à Mouchard accueille des jeunes compagnons dès l’âge de 14 ans pour les former. Même si les formations sont intenses, les jeunes montrent beaucoup de motivation et gagnent en autonomie. Le taux de réussite est d’ailleurs proches de 100 % !Les jeunes Compagnons ont pu apprendre la Conception Assistée par Ordinateur avec le logiciel ZWCAD, alternative d’AutoCAD®. Même pour ceux qui n’avaient jamais travaillé en CAO-DAO, l’utilisation du logiciel ZWCAD s’est avérée simple et intuitive.Retrouvez l’interview de Mr Cavenne, plombier, formateur aux Compagnons du Tour de France.Vous en apprendrez plus sur le compagnonnage, le profil des jeune compagnons, leur expérience, l’établissement à Mouchard, les exercices réalisés sur ZWCAD par les élèves et sur les licences éducation (licences gratuites).En savoir plus.
Il y a 3 ans et 235 jours

EuroSkills 2021 : Palmarès du pôle BTP de l’Équipe de France des Métiers

31 jeunes, tous âgés de moins de 26 ans, composaient l’Équipe de France des Métiers, qui a remporté 18 médailles, parmi les 28 métiers portés par la France au niveau européen.Une belle moisson pour le pôle BTP : deux médaillés d’or, trois médaillés d’argent et deux médaillés d’excellenceLe pôle BTP tire remarquablement son épingle du jeu, avec sept médailles sur les dix-huit remportées par les tricolores, qui placent notre pays au troisième rang des nations européennes.Sur les dix jeunes en compétition dans le pôle BTP, cinq sont montés sur les marches du podium européen (une fille et quatre garçons), avec deux médailles d’or en couverture métallique et miroiterie et trois médailles d’argent en menuiserie, solier et taille de pierre. Deux jeunes, en maçonnerie et peinture et décoration, décrochent également une médaille d’excellence, attribuée à des compétiteurs qui manquent de peu la troisième marche du podium.Cette belle moisson de médailles pour le seul pôle BTP aux EuroSkills 2021 démontre une nouvelle fois l’excellence des compétences et l’ampleur des savoir-faire des jeunes, formés aux métiers du bâtiment et des travaux publics.Les entreprises et les organismes de formation aux métiers du BTP peuvent être fiers des jeunes qu’ils ont formés, préparés et accompagnés jusque à la compétition, jouant un rôle essentiel dans leur réussite finale.Le PalmarèsMÉDAILLE D’OR : Donovan LEFEUVRECOUVERTURE MÉTALLIQUEFormé à BTP CFA Sarthe (Le Mans)Salarié de l’entreprise Glot Fils Couverture (79)« Je suis très heureux. C’est une grande satisfaction. Je vis cette émotion à 100 %. Je souhaite à tout le monde de pouvoir partager ce sentiment et de s’engager dans cette démarche de compétition. C’est magique ! C’est l’aboutissement d’un parcours qui a duré quatre ans. Quand je suis monté sur le podium, j’ai pensé à la fois à mon expert métier, qui a su me pousser dans mes retranchements, à l’entreprise dans laquelle je travaille et qui m’a accompagné, en me laissant m’entraîner dans ses locaux, et à ma compagne sur laquelle je peux me reposer. »MÉDAILLE D’OR : Laura VEREECKENMIROITERIEFormée au Lycée Le Corbusier de Tourcoing« Quelle belle surprise ! Je ne regrette pas d’avoir mis ma vie professionnelle de côté pendant deux ans, pour me consacrer à la compétition EuroSkills. Ce qui me motive depuis le début, c’est l’envie d’aller au bout, de dépasser mes limites et de pouvoir me comparer aux autres candidats. Avec les EuroSkills, j’ai beaucoup appris. »MÉDAILLE D’ARGENT : Élie BERARDMENUISERIEEn contrat d’apprentissage dans l’entreprise Berthillot« Je suis heureux. J’éprouve beaucoup de fierté. Le dernier jour d’épreuve a été difficile. J’étais pris par le temps. Mais je n’ai pas cessé d’y croire, en me disant que mes concurrents avaient peut-être aussi commis quelques erreurs. Cette médaille représente trois années d’engagement et d’investissement. »MÉDAILLE d’ARGENT : Jessy DUMAS BOUGAINSOLIERFormé chez Gerflor, salariée de l’entreprise Aubonnet« Je suis fier de moi. J’ai raté de peu la médaille d’or, cela s’est joué à six points sur 800 ! Quand on m’a remis ma médaille, j’ai pensé à tous ceux qui m’ont aidé et soutenu et je me suis dit que j’avais eu raison de croire en mes compétences. Cette médaille représente tout ce que j’ai traversé, depuis la sélection régionale jusqu’à cette finale européenne. La pandémie ne m’a pas découragé. Je m’étais fixé comme objectif de décrocher une médaille. Ma passion pour mon métier m’a aidé à tenir le rythme. »MÉDAILLE d’ARGENT : Alexis TATINTAILLEUR DE PIERRESalarié de l’entreprise Atelier du Crocodile« Cela me fait très plaisir. Je suis très heureux. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre. La médaille d’or s’est jouée à quelques points. C’est une aventure qui a duré quatre ans. Je suis très reconnaissant à tous ceux qui m’ont accompagné tout au long de ce parcours et aux nombreuses personnes qui m’ont formé. J’ai vécu quelques moments de découragement à cause de la crise sanitaire, mais je me suis toujours rapidement remis dans le bain. Quand je m’engage dans quelque chose, je vais jusqu’au bout. »MÉDAILLE D’EXCELLENCE : Tanguy JEDELEMAÇONNERIEFormé chez les Compagnons du DevoirEn contrat de professionnalisation dans l’entreprise Gaby AtMÉDAILLE D’EXCELLENCE : Nancy MAURILLEPEINTURE ET DÉCORATIONFormée au CFA de la CCI de Cholet et à BTP CFA CaenSalariée de l’entreprise Évelyne DECO
Il y a 3 ans et 236 jours

Sept jeunes compagnons du BTP au palmarès européen de l'équipe de France des métiers

APPRENTISSAGE. Parmi les 31 jeunes de l'équipe de France des métiers qui concourait à la 7e édition d'EuroSkills, sept représentaient le secteur du bâtiment et des travaux publics. Deux médailles d'or, trois médailles d'argent et deux médailles "d'excellence" leur ont été décernées.
Il y a 3 ans et 238 jours

Pour former plus de jeunes, Vinci Energies collabore avec les Compagnons du Devoir

TRAVAIL. Alors que le nombre de jeunes exclus de l'emploi et de la formation a augmenté entre 2019 et 2020 selon le ministère du travail, Vinci Énergies et les Compagnons du Devoir viennent de signer un partenariat pour en former. L'entreprise cherche activement à embaucher pour combler les besoins dans certains métiers.
Il y a 3 ans et 239 jours

Politique QSE : Des décisions qui ont démontré leur efficacité

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. L’atelier de préfabrication avant/après une démarche QSE approfondie. [©Bemaco] Les risques liés aux activités de préfabrication sont classiques&nbsp;: le port de charges lourdes, les risques d’écrasement, la manutention manuelle, les TMS&#8230; La diminution continue de ces risques passe par l’automatisation d’un maximum d’opérations, mais toutes ne peuvent pas l’être, comme les pièces fabriquées sur mesure, les accessoires… qui nécessitent toujours des interventions manuelles.&nbsp; Les risques potentiels peuvent aussi être importants au niveau des livraisons, lorsque les conditions d’accès et de déchargement ne sont pas optimales. Néanmoins, les opérations de déchargement sur chantier sont réalisées par les grutiers. Ce qui diminue les risques au niveau des chauffeurs, dont l’intervention se limite à retirer les sangles et à d’éventuelles situations de co-activité. Les interventions sur chantier impliquent un travail permanent en hauteur à partir de nacelles. Ces chantiers nécessitent un personnel aguerri au montage d’éléments préfabriqués et qui savent évoluer en permanence avec les grutiers, dont le rôle est ici prépondérant. En 2021, le système de management “Santé et Sécurité au travail” de Bemaco a été référencé selon le référentiel&nbsp;ISO 45001.&nbsp;«&nbsp;Cette certification confirme l’engagement de la direction et de l’ensemble du personnel dans la prévention des risques et de l’amélioration des conditions de travail&nbsp;», précise Marie De Salvador, responsable QSE.&nbsp;En quatre ans, Bemaco aura investi près de 100&nbsp;000 € en formations (management, Caces, pont roulant, sauveteur-secouriste du travail ou SST&#8230;) par le biais du centre de formation du CFA Urano, à Warcq. La prévention&nbsp; Chaque opérateur dispose d’un package d’EPI adapté à son poste de travail. [©Bemaco] Bemaco a mis en place un processus d’accueil très strict. Tout nouvel embauché est d’abord orienté vers un test en sécurité informatisé, suivi d’une évaluation. Si celui-ci est concluant, le service Qualité Sécurité Environnement (QSE) poursuit avec un accueil sécurité complet. Le tout dure environ une demi-journée. S’en suit une description du futur poste de travail par un chef d’équipe. Les nouveaux entrants sur chantier suivent aussi une évaluation de leur formation Caces “nacelle”. Le personnel arrivant reçoit son package d’EPI, adapté aux spécificités de chaque poste de travail.&nbsp;« Nous allons souvent plus loin que ce que nous impose la réglementation,indique Marie De Salvador.&nbsp;Par exemple, nous avons développé et adopté l’usage de gilets de protection, pour les collaborateurs qui sont affectés aux postes les plus contraignants. Nous avons doté notre personnel de talkies-walkies, afin de faciliter la communication dans nos ateliers et sur nos chantiers. » Toutes ces actions ont porté leurs fruits, puisqu’en 4 ans, les taux de fréquence d’accident ont été divisés par 3. La très grande majorité des arrêts de travail concernaient des blessures légères, mais leur taux élevé nécessitait d’analyser les causes et d’en déduire les actions à mener. La mise en place d’un véritable service QSE, composé de 3 personnes, a permis d’aller plus loin, en termes de méthodologies, d’ergonomie, de réduction des TMS et de diminution globale des risques. De plus, ces études ont abouti à limiter l’usage des outillages à main, causes de petites blessures, dès lors que cela est possible, voire à faire évoluer les process pour éviter leur usage. On peut aussi citer “la chasse” aux échelles, abusivement utilisées pour des interventions courtes, pour les remplacer par des gazelles.&nbsp; L’entreprise aura ainsi investi dans l’amélioration des postes de travail, le renforcement des contrôles du port des EPI, des formations pour les encadrants, des moyens digitaux, par exemple l’utilisation des tablettes pour le suivi des chantiers au niveau QSE… La préfabrication Essais d’un exosquelette. Malgré les imperfections d’un prototype, les espoirs dans ce type de matériels restent importants. [©Bemaco] Les dirigeants de Bemaco s’emploient à réduire, voire à supprimer la plupart des risques liés aux activités de préfabrication, comme le port de charges lourdes, les risques d’écrasement, les manutentions manuelles… Sans surprise, la diminution continue de ces risques passe par l’automatisation et l’évolution des différents process. L’entreprise travaille en permanence à l’amélioration des postes de travail, par des collaborations permanentes avec la Carsat, l’OPPBTP, la médecine du travail…&nbsp; A titre d’exemple, une expérimentation a récemment été engagée avec Comau et Hilti, qui ont réalisé un exosquelette destiné à améliorer les conditions de travail des opérateurs affectés à la fabrication.&nbsp;Dans un premier temps, les résultats n’ont pas été à la hauteur des espérances, les opérateurs estimant le matériel trop encombrant. Ils sont maintenant en attente d’un prototype réalisé par Hilti, destiné aux interventions sur les coffrages, les éléments fabriqués à plat… Tout ce qui impose de se pencher de façon répétitive et de multiplier les manutentions manuelles. La gestion du bruit est aussi une problématique récurrente. Bemaco réalise à intervalles réguliers des commandes de bouchons moulés, afin que la protection auditive du personnel soit en permanence optimisée. Et les opérateurs qui supportent mal ce type de protections continuent à porter des casques anti-bruits. Même automatisées, les différentes manutentions peuvent générer des risques&nbsp;: écrasement par chute de charges, mauvais élingage, manipulations inadaptées des ponts roulants… Les Caces “pontier”, officialisés depuis 2020, ont permis d’optimiser la formation d’une quarantaine d’opérateurs. Enfin, la mise en place d’une démarche participative dans les ateliers, avec l’intégration de la méthode des 5S et la création de plusieurs groupes de travail dédiés à la sécurité, a facilité l’amélioration les conditions de travail. En plaçant le personnel au cœur de ces démarches, cela a permis de mettre en place une culture forte en matière de sécurité. Le transport et les chantiers Les séances d’échauffement ont prouvé leur intérêt, entre autres vis-à-vis de la réduction des pathologies d’origine musculaire. [©Bemaco] Une flotte de 150 camions assure les livraisons sur tous les chantiers. Hormis les risques routiers traditionnels qui imposent des sensibilisations régulières et interactives (téléphone, alcool, addictions diverses, respect des limitations de vitesse), les dangers se situent au niveau des chargements et déchargements. Et concernent souvent les mains et les pieds. Toutefois, dans les faits, ils sont très réduits pour les chauffeurs, car ce sont des pontiers qui effectuent les opérations les plus délicates. En ce qui concerne le site de production, les quais de chargement sont équipés de passerelles à niveau. Ce qui aide à réduire les manutentions manuelles, ainsi que les problématiques qui y sont liées. Il faut ajouter les contraintes de chantiers. Les chemins de circulation sont parfois mal revêtus et l’état de la plate-forme peut être dégradé en raison des conditions climatiques. Ce qui pose problème vis-à-vis de l’utilisation des nacelles. Les compagnons y sont par conséquent très sensibilisés. Bemaco pratique en permanence, sur ces sujets comme sur d’autres, la remontée d’informations. Ceci permet de faire profiter des expériences, bonnes ou mauvaises, aux autres équipes. Et de proposer les éventuelles améliorations nécessaires. La mise en œuvre sur chantier est assurée par les équipes de pose. Ces interventions, assez répétitives, impliquent un travail permanent en hauteur à partir de nacelles, du levage de charges, ainsi que la manipulation de pièces plus ou moins lourdes.&nbsp;«&nbsp;Nous ne recrutons que des grutiers expérimentés», insiste Marie De Salvador. En effet, les éléments à décharger, à manutentionner et à positionner pèsent de 5 à 30 t en moyenne. Ce qui implique une expérience importante de ce type de travaux. Gérard Guérit Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 3 ans et 239 jours

Seine-Maritime : Pour des bases-vie bien propres

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Les employé(e)s du BTP ont le même droit à l’hygiène que les autres travailleurs&#8230; [©Bases Clean] Née dans les Hauts-de-France début 2020, Bases Clean (groupe Enygea) se déploie aujourd’hui en Normandie et implante son siège régional à Lillebonne. La mission de Bases Clean ? Changer les habitudes de nettoyage des équipements sanitaires et des lieux de vie sur les chantiers.&nbsp; « Cette première année d’activité nous a permis de structurer notre prestation de services, au plus près des besoins des sociétés de chantiers, indique Jean-Pierre Afonso, directeur de Bases Clean. Les conducteurs de travaux, les coordinateurs SPS ou encore les responsables QHSE nous ont réservé des accueils chaleureux, car nous apportons une réponse sécurisante et maîtrisée à leur préoccupation d’hygiène pour leurs compagnons. La satisfaction étant au rendez-vous. Un de nos clients nous a même demandé de le suivre en Normandie. Nous avons vu là l’opportunité d’accélérer notre développement, par. Ceci, dans une région pleine d’opportunités dans notre secteur.&nbsp;» Lire aussi les autres actualités en région &nbsp;Dans le cadre de cette implantation, Bases Clean cherche activement à recruter des agents d’entretiens polyvalents pour intervenir sur les chantiers et procéder à la désinfection des lieux de vie des compagnons.&nbsp; «&nbsp;Les employé(e)s du BTP ont le même droit à l’hygiène que les autres travailleurs. Le droit à la propreté, c’est le droit à la désinfection. Ce sujet est très important en temps de crise sanitaire, mais il faudra préserver cette vision au-delà&nbsp;» conclut Jean-Pierre Afonso. Bases Clean vient renforcer l’expertise des chantiers développée par WC Loc, entreprise sœur du groupe Enygea, afin d’allier installation et nettoyage des roulottes sanitaires.
Il y a 3 ans et 239 jours

Pathologies des bétons fluides #1 : Comment contrer le risque de ségrégation ?

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Photo 1 : Cheminées de ressuage (“channelling”, en anglais) observées sur une paroi moulée de 6 m de hauteur. Par la suite, on a appris que les compagnons avaient vu, après la fin des opérations de bétonnage, des geysers de 50 à 60 cm de hauteur à la surface de l’ouvrage. [©DR] I &#8211; Le risque de ségrégation Tous ceux qui ont fait un peu de cuisine savent qu’un bon malaxage permet d’obtenir, en quelques minutes, un mélange homogène, même si les ingrédients sont très hétérogènes et granuleux au départ. On sait aujourd’hui qu’il y a des forces importantes qui agissent au sein du mélange&nbsp;: les tensions de surface. Ces forces poussent vers l’homogénéité, qui est la configuration la plus stable. Les pales du malaxeur à béton, comme la cuiller du cuisinier, cassent les frottements (ou la thixotropie) qui freinent la marche vers l’homogénéité. Dès qu’on arrête le malaxage d’un béton fluide, cependant, les forces de gravité (la poussée d’Archimède sur les grains) peuvent détruire cette homogénéité. Soit parce que les granulats ont une densité (autour de 2,7 en général) supérieure à celle du mortier qui les entoure (2,1 à 2,2). Soit l’inverse, comme les granulats légers qui remontent parfois en surface. Dans les cas les plus spectaculaires [Photo 1], cette instabilité se traduit par des geysers en surface et des cheminées de ressuage (“channelling”,en anglais). Sur des dalles ou des dallages de faible épaisseur, le ressuage peut se produire aussi par des chenaux [Photo 2]. Cependant, ce type de ségrégations peut être évité, en corrigeant la distribution granulométrique du matériau. L’idée est de faire en sorte que la sédimentation d’une classe granulaire puisse être bloquée par la classe de taille inférieure. Ce qui renvoie au calcul de la distance entre les grains d’une classe [Figure 3]. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 243 jours

840 millions d'euros de dons collectés pour Notre-Dame

Cette somme, réunie grâce à des donateurs français et étrangers, "permet d'envisager l'avenir avec confiance", s'est-il félicité devant les sénateurs de la commission des Affaires culturelles qui l'interrogeaient sur l'évolution du chantier et la "transparence" du financement.Sur précisément 842,8 millions d'euros, "la fondation Notre-Dame en a collectés près de 360, la fondation du patrimoine 232 millions dont 100 millions de Total, la fondation de France 31 millions, le Centre des monuments nationaux 7,8 millions, le ministère de la Culture près de 9 millions et l'établissement public, qui reçoit plusieurs dons directs notamment de la fondation Bettencourt, 203 millions", a détaillé M. Georgelin.Il n'a pas souhaité préciser comment cet argent serait réparti dans le financement des travaux de restauration auxquels vont désormais s'atteler plusieurs corps de métiers et compagnons, parmi les plus renommés de France. Cette précision "sera donnée lorsque les choses seront bien calées avec la maîtrise d'oeuvre (...) La plupart des appels d'offres pour la restauration sont lancés et les premiers lauréats retenus", a-t-il ajouté.Le calendrier des travaux devrait être tenu pour une réouverture en 2024, a réaffirmé le général. En revanche, ceux concernant les abords de Notre-Dame, son "écrin", sont "du ressort de la mairie de Paris" et "ne commenceront probablement qu'en 2025", ce qui suppose de repenser "l'accès provisoire à la cathédrale pour les touristes, notamment pendant les Jeux Olympiques", que Paris accueille dans trois ans.Concernant les dépenses pour la phase de mise en sécurité de l'édifice, qui s'est achevée cet été, elles ont été estimées à 165 millions d'euros, "seront tenues et probablement légèrement inférieures", a assuré le général.Intempéries, travaux non prévus, interruptions (limitées) dues à la crise du Covid et surtout nombreuses mesures et aménagements liés à la lutte contre les émanations de plomb ont provoqué quelques retards et surcoûts. Un bilan chiffré définitif sera annoncé d'ici à la fin de l'année.
Il y a 3 ans et 286 jours

A Champigny, des compagnons équipent les voies du Grand Paris Express

Après le génie civil, place aux équipements: sur un tronçon de 2,5 kilomètres de cette commune du Val-de-Marne, le groupement Alstom et Colas Rail est à la manoeuvre. Protégés de la tête au pied, les ouvriers posent les chemins de câbles et les supports sur lesquels reposeront les caténaires et la passerelle piétonne du futur métro.Situés au sommet et sur les côtés du tunnel fraîchement creusé, ces éléments prennent place le long des 2,5 kilomètres du tronçon "de débranchement".Ce court secteur est l'un des plus avancés, avec l'arrière gare de Noisy-Champs à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis), du chantier du Grand Paris Express et de ses 68 gares réparties sur 200 kilomètres autour de Paris.A terme, cette section de tunnel fermée au public permettra de relier la ligne 15 au site de maintenance de Champigny-sur-Marne."Tout sera prêt pour le 2 septembre", assure Selim Hmidy, responsable de la partie caténaire et équipement linéaire pour Alstom.Sans être un entraînement, c'est une sorte de "phase d'apprentissage" avec "des petites optimisations", poursuit-il, avant la réalisation des travaux ferroviaires sur le reste du tronçon, où circulera le métro avec ses voyageurs.Le groupement Colas Rail (spécialiste des infrastructures ferroviaires) et Alstom (constructeur ferroviaire) a été choisi en septembre 2018 par la Société du Grand Paris pour équiper les 17 kilomètres du secteur Est de la ligne 15 du Grand Paris Express, entre les stations Noisy-Champs et Vert de Maisons.Ce contrat de 155 millions d'euros mobilisera "jusqu'à 260 collaborateurs" sur une période de 69 mois.Au total, 46 kilomètres de caténaires et de voies ferrées, 34 kilomètres de chemins de câbles et 17 kilomètres de colonne sèche sont en cours de réalisation sur ce chantier.Mise en service "mi-2025"La zone de débranchement au niveau de la gare de Noisy-Champs, futur terminus de la ligne 15 Sud, est déjà entièrement équipée, ont affirmé à la presse les membres du groupement.Et sur le tronçon de débranchement de Champigny, le bétonnage et la pose des voies ferrées "est terminée" depuis deux semaines, a souligné Eric Hausherr, chef de la partie voie ferrée.Sur cette partie du chantier, 3.000 m3 de béton ont été coulés et quelque 6.000 traverses à coque rigide ont été posées, séparées de la voie par une couche élastique pour atténuer les vibrations.A quelques centaines de mètres du futur site de maintenance, une poignée d'ouvriers réalisent encore les dernières soudures, masques de protection sur la tête et aspirateur de fumée à la main.Pour "créer les voies" du futur métro, des morceaux de rail de 18 mètres de long ont été descendus dans le tunnel, avant d'être soudés pour former des sections de 250 à 400 mètres, elles-mêmes assemblées les unes aux autres.La semaine prochaine, les compagnons s'attelleront à la pose de la caténaire dont la structure, en aluminium, est encore entreposée à la surface du chantier entre les grues et les gravats.L'intérêt est "d'éprouver la méthodologie", affirme M. Hausherr, pour le moment satisfait du travail accompli.La fin de ce chantier de 17 kilomètres est attendue en 2024 et la mise en service de la ligne 15 Sud est prévue à la "mi-2025", avec un retard lié au Covid de "trois à huit mois", a rappelé Thomas Hantz de la Société du Grand Paris.
Il y a 3 ans et 288 jours

Le groupe de travaux publics Boisset crée une nouvelle industrie de revêtement éco-responsable

La solution de revêtement drainant Qualirain® développée par Qualis® Technologie permet de réaliser tout type de travaux de voirie légère perméables, pistes cyclables, voies vertes, cours de récréation Oasis, abords de piscines, îlots, trottoirs et entourages d'espaces verts... qui laissent passer l'eau pour son retour àla nappe phréatique. Subventionnable jusqu'à 70% par l'Agence de l'Eau Rhône Méditerranée Corse au titre de la désimperméabilisation des surfaces, la solution de revêtement drainant Qualirain® est particulièrement adaptée aux collectivités et se destine très prochainement à une diffusion en grande distribution, jardineries et magasins de bricolage pour une utilisation par les particuliers, grâce à sa facilité d' application.C'est à la 3e génération, composée de Nicolas Boisset et Thomas Boisset que Luc Boisset confie le déploiement de Qualis®Technologie, dont les solutions sont déjà appliquées dans plusieurs communes de Drôme et Ardèche, mais aussi à Lyon et laMétropole de Bordeaux.Les applications écologiques de Qualirain® : cours de récréation, cimetières, roof top...Constituée d'un mélange de granulats naturels et de liant organo-minéral, la solution Qualirain® filtre plus de 325 litres d'eau/min/m² et permet son retour à la terre.« Nous avons créé un matériau recyclable avec cycle de vie infini grâce à l'exploitation brevetée d' un liant aqueux organo-minéral, qui associé à des granulats sans colorant, permet de créer des paysages avec la satisfaction de respecter notre environnement » Luc Boisset, PDG du Groupe Boisset.Les applications Qualis® Technologie sont adaptées aux zones de circulation des personnes à mobilité réduite, cheminements piétons, abords de bâtiments, zones piétonnes et parkings à vélo, mais aussi cours d' école, collège, lycée et université, hôpitaux, bornes fontaines, aires de livraison et voies d' accès de garage pour véhicules légers...Cours de récréation« Avec le réchauffement climatique, l'aménagement de cours de récréation Oasis pensées comme des îlots de fraicheur comprenant d'avantage de végétation, une meilleure gestion de l'eau de pluie et des points d'eau, revêtements drainants et clairs, jardins pédagogiques... vont se généraliser pour améliorer le bien-être des enfants. Nous sommes prêts ! » souligne Nicolas Boisset, directeur commercial Qualis® Technologie.Tout établissement recevant du public pourrait à court terme devenir des îlots de fraicheur pour les personnes vulnérables durant les vagues de chaleur... L'utilisation de couleurs claires permet de lutter contre les îlots de chaleur en ville comme dans les cours de récréation et les zones de jeux sur les aires d'autoroutes. « Notre revêtement contribue aussi à améliorer le confort acoustique car il absorbe le bruit des pas ! Sans solvant et sans émanation de chaleur, son application à froid n' émet pas de vapeurs toxiques et respecte la santé de nos compagnons et des applicateurs » préciseThomas BOISSET, Directeur des Travaux du Groupe Boisset.CimetièresAvec la particularité de s'étaler à la main, Qualirain® est adaptée aux terrains sensibles où l' utilisation d' engins de compactage est exclue, comme dans les cimetières dont les sous-sols, creux et fragiles, ne tolère pas les vibrations. Les risques d'effondrement sont alors limités, en plus de la disparition des flaques d'eau et des opérations de désherbageRoof top hydro-actifsLégère, la solution Qualirain® permet aussi la création de circulation piétonne sur les toitures qui deviennent hydro-actives avec la capacité de stocker, irriguer et réguler les eaux pluviales. De plus, l'utilisation du liant aqueux organo-minéral permet la réutilisation des eaux pluviales.Améliorer l'habitat et le cadre de vie des habitantsAvantagesRéduction de la taille et du coût des chantiers, petits conditionnements, fin des arrosages pleine-terre, lutte contre les îlots de chaleur, zéro pénibilité...Grâce au retour de l' eau à la terre, les solutions Qualis technologies permettent de réduire la taille et le coût des chantiers en raison d'utilisation de conduites d' évacuation de faible diamètre, voire même parfois la suppression totale des tuyaux. Par son application à la main, les nuisances pour les riverains sont diminuées ;« Nos solutions améliorent l'habitat et le cadre de vie des habitants. Elles permettent de lutter contre les îlots de chaleur par l' utilisation d' une solution alternative au bitume et aussi d' absorber les bruits par l' aération du revêtement. Elles permettent aussi de dessiner de nouveaux centre-ville et répondent aux enjeux des nouvelles mobilités en autorisant beaucoup de libertés avec la disparition des caniveaux et des trottoirs, voire la création de nouvelle signalétique au sol par zones identifiables selon la couleur des granulats... » Luc Boisset, Pdg Groupe BoissetPrêtes à l'emploi et livrées en petits conditionnements avec la QualiBox, les solutions Qualis Technologie ne craignent ni le sel, ni le gel. Elles évitent l'apparition de mauvaises herbes, les opérations de désherbage et donc l' utilisation de désherbant ;Zéro phyto, zéro pénibilité, zéro émanation toxique, zéro chaleur, zéro vibration lors de l'application...et lavage des outils à l' eau, les solutions sont adaptées à une utilisation pour les jardins des particuliers ; Elles permettent également de diminuer les arrosages pleine terre et font faire des économies d' eau.Le groupe BOISSET : une entreprise familiale de travaux publics tournée vers l'environnement et l'innovationL'arrivée en septembre et octobre 2020 de la 3ème génération permet d'envisager de nombreux déploiements, grâce à la dynamique nouvelle portée par Nicolas Boisset, titulaire d'un BTS Négociation et Relations Client et d' un master Commerce, passés en alternance, et de Thomas Boisset, diplômé de l'école d'ingénieurs CESI de Montpellier avec une expérience de 5 ans de direction de travaux à Grenoble, sous l'impulsion de leur père Luc Boisset qui a repris en 1991 l'entreprise familiale créée en 1967 par René Boisset.L'occasion pour l'entreprise basée à Chanos-Curson (26) spécialiste des réseaux humides et de terrassement - avec une activité carrière & recyclage de matériaux du BTP acquise en 1999 puis revendue en 2014 -, de se développer dans le domaine de l' innovation. Avec pour particularité la maîtrise de la technique de la chaux vive pour le traitement de l'argile des matériaux inertes, le groupe Boisset a reçu le prix de l'innovation en 2007.Depuis, l'entreprise « à la fibre canalisateur » travaille sans relâche, d' abord seule avec son réseau d' ingénieurs et de « chercheurs Géo Trouvetou », puis avec le Cluster INDURA d'infrastructures et de développement durable, le CERIB (Centre d'études et de recherche de l' industrie du béton) et le CEREMA (Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement), au développement de nouveaux procédés plus respectueux de l'environnement et de la maitrise de la ressource naturelle, jusqu'à la découverte du liant organo-minéral. C'est en juin 2018 que naît Qualis® Technologie, après 5 ans de bons et loyaux services de Boisset Aménagement, la branche innovation du groupe créée par Luc Boisset.
Il y a 3 ans et 305 jours

EPI Center : Le confort d’un t-shirt en été

EPI Center s’est associé à deux entreprises pour créer un t-shirt thermorégulant. [©EPI Center] De nombreux chantiers se déroulent en période estivale. Ainsi les compagnons peuvent être exposés toute la journée à un soleil intense. Pendant que la plupart des gens se prélassent sur la plage et profitent d’un peu d’air. EPI Center a ainsi collaboré avec le fabricant T2S et Cocona Labs, afin de répondre à la problématique suivante : comment réguler la température corporelle et limiter les odeurs de transpiration ? Les trois marques se sont donc associées pour créer un vêtement de sécurité pour l’été. C’est ainsi que le t-shirt Kita 37.5 a vu le jour. Lire aussi : Des EPI dédiés aux femmes Il est réalisé à partir de textiles alliant haute visibilité, protection anti-UV et thermo-régulation. C’est grâce à la technologie 37.5 développée par Cocona Labs que la thermo-régulation est possible. Cette technologie optimise le taux d’humidité proche de la peau, en facilitant l’évaporation de la transpiration. Par ailleurs, elle capte les odeurs, qui seront ensuite éliminées au lavage. Cette gamme de t-shirts à haute sécurité assure une protection aux UV (UPF40+).Une maille ajourée sur les côtés augmente la ventilation et le confort.  Tout comme les autres vêtements de sécurité présent sur le marché, cette gamme de t-shirts a aussi comme avantage d’être ergonomique et de protéger des douleurs de dos. Le t-shirt Kita 37.5 répond aux besoins des travailleurs des filières voiries, BTP, paysagiste et agriculture.&nbsp; Charline David
Il y a 3 ans et 315 jours

Forte diminution des formations à la prévention dans les entreprises artisanales du BTP

Après une forte hausse en 2018, les résultats attestent en 2019 d'une baisse significative (-14%) de la formation continue dans l'artisanat du BTP (tous domaines confondus). Cette chute concerne tous les domaines de formation : -16% pour le domaine de la gestion, -19% pour le domaine de la prévention et -3% pour le domaine technique. A noter cependant que, comme l'édition précédente, la prévention reste le premier domaine de formation en 2019 et représente 52% des formations suivies par les actifs de l'artisanat du BTP. Les formations obligatoires à la sécurité restent les plus suivies : la conduite d'engins (25%), l'électricité (24%), le travail en hauteur (20%), le secourisme (15%) et l'amiante (10%).Les formations liées aux contraintes physiques et à l'utilisation de produits dangereux en augmentationAvec une part de 52% contre 55% en 2018, les formations à la prévention restent le 1er domaine de formation en 2019 malgré une baisse. Ainsi, 66.904 actifs ont été formés, soit une baisse de 19% par rapport à 2018 où l'on comptabilisait 82.700 stagiaires.Dans cette catégorie, les formations les plus dispensées sont celles qui sont obligatoires : la conduite d'engins (25%), l'électricité (24%), le travail en hauteur (20%), le secourisme (15%) et l'amiante (10%). A noter que les formations liées aux contraintes physiques et les formations liées à l'utilisation des produits dangereux sont quant à elles en augmentation (respectivement +7% et +19%). Ces augmentations positives soulignent l'importance de ces enjeux pour les entreprises artisanales du BTP en termes d'accidentologie et de maladies professionnelles. Au regard de la population interrogée, les métiers de travaux publics ainsi que les couvreurs, plombiers-chauffagistes, les électriciens et les charpentiers menuisiers agenceurs paraissent être davantage actifs en matière de suivi de formations à la prévention que les autres corps de métier.En superposant ces résultats avec les risques avérés sur les chantiers, l'Observatoire met cependant en évidence un écart entre la principale cause des accidents survenus et les thématiques de sécurité suivies par les professionnels. Ainsi, les contraintes physiques comme la manutention manuelle constituent la 1ère cause d'accidents pour les professionnels du BTP alors que la formation à ce risque reste très faible (1% des formations suivies). Un constat qui démontre la nécessité de poursuivre la sensibilisation des artisans et des salariés des entreprises artisanales à l'adoption des bons gestes et aux bonnes postures sur leur lieu de travail. Ces efforts ne pourront être faits sans que de nouveaux moyens de sensibilisation comme la réalité virtuelle ou la réalité augmentée ne soient proposés aux entreprises artisanales.Formations à la prévention : une dynamique inégale selon les profils et le territoireDans la continuité des éditions précédentes, les métiers des travaux publics, les électriciens, les couvreurs-plombiers-chauffagistes et les charpentiers menuisiers agenceurs figurent parmi les métiers les plus représentés dans les formations à la prévention au regard de leur effectif de référence. Les métiers de la pierre (-53%) et du paysage (-61%) sont les catégories les plus touchées.De plus, comme les années précédentes, 95% des stagiaires de ces formations à la prévention sont des salarié(e)s alors qu'ils ne représentent que 60% des actifs. Ce constat s'explique en partie par les obligations de formation qui concernent essentiellement les salariés, même si de plus en plus de formations à la prévention visent également les artisans travaillant seuls.L'Observatoire montre également que l'implication dans la formation dépend de certains critères, au-delà des métiers. Ainsi, comme les années précédentes, l'étude montre que 97% des stagiaires formés à la prévention sont des hommes. Malgré une féminisation progressive des métiers, les femmes, qui représentent 13% des salariés et 4% des chefs d'entreprises du bâtiment, restent sous-représentées dans les formations à la prévention (3%) malgré une légère augmentation de 2% depuis 2018. En effet, elles restent majoritairement affectées aux activités administratives et sont donc moins concernées par les formations sécurité axées sur les problématiques liées aux chantiers.Autre variable qui influe sur le suivi des formations : l'âge. En 2019, les stagiaires âgés de 20 à 40 ans restent les plus impliqués dans les formations à la prévention (64%). A l'inverse, la tranche d'âge « 51 ans et plus » présente un écart négatif important par rapport à sa valeur de référence (14% seulement de présence aux formations alors qu'ils représentent 26% des actifs du BTP). Le bagage de l'expérience peut être à l'origine de leur faible présence en formation à la prévention.Enfin, les résultats de l'Observatoire attestent d'un dynamisme inégal selon les régions : la région Grand-Est ainsi que les régions Hauts-de-France et Occitanie montrent une forte présence en formation. À l'inverse, l'Ile-de-France et la Provence-Alpes-Côte d'Azur montrent un dynamisme moins important au regard de leur effectifs de référence. A noter cependant que ces résultats doivent être mis en perspectives avec les caractéristiques propres à chacune d'elles (activité des entreprises, politiques incitatives…)Cap sur le digital pour adapter l'offre de formations aux besoins des entreprises artisanales du BTPLes acteurs de la formation professionnelle ont redoublé d'efforts pour identifier de nouvelles actions afin de développer des offres dans lesquelles le distanciel et le présentiel se combinent en fonction de leur pertinence pédagogique et des besoins du client :Proposer des formations adaptées au métier, à la taille de l'entreprise, facile d'accèsSensibiliser les chefs d'entreprise sur leurs obligations en matière de formations à la sécuritéDévelopper des formations avec la réalité virtuelle et la réalité augmentéePoursuivre le développement des formations numériques en distanciel pour tout ou partieJean-Christophe Repon, Président de la CAPEB, affirme : « Ces formations en distanciel sont un levier efficace pour permettre aux participants de se former à leur rythme et aux entreprises artisanales de gagner du temps tout en étant adaptées à la prévention des risques professionnels. Il est donc important de poursuivre le développement de ces formations en ligne et de prendre en compte le retour d'expérience des stagiaires afin d'adapter au mieux ces offres aux besoins des professionnels. Ce format permet d'allier la théorie et la pratique sur le terrain avec des mises en situation sur chantier, des simulations d'accidents, des chasses aux risques, des entrainements aux gestes techniques... A noter cependant que le développement et la mise en place de ces formations représente encore un coût élevé ! »De son côté, pour sensibiliser les chefs d'entreprise aux formations obligatoires qu'ils doivent suivre, l'IRIS-ST propose sur son site internet un onglet formation avec des outils d'accompagnement :L'outil d'auto-diagnostique en ligne : à travers un questionnaire en ligne, le chef d'entreprise renseigne différentes situations de travail qui portent sur les différents thèmes de formation obligatoire et obtient, en quelques clics, la liste des formations sécurité obligatoires pour ses salariés ou pour lui-même.Les fiches synthétiques pour chaque formation incluant des informations sur les modalités à connaître telles que la durée, les prérequis, les objectifs ou encore le cadre règlementaire de la formation.Les fiches par métier qui reprennent l'ensemble des formations obligatoires à la sécurité indispensables pour son métier. À noter toutefois que ces listes sont données à titre indicatif et doivent être adaptées à l'activité et aux conditions réelles de travail des entreprises.De son côté, pour sensibiliser les chefs d'entreprise et les équipes des entreprises artisanales, l'OPPBTP propose plusieurs e-learning gratuits :Sur le site preventionbtp.fr/formation, une collection de modules appelés Dclic Prévention. Ces modules de 15 minutes permettent d'acquérir les savoirs essentiels en prévention sur différents sujets : utilisation d'un échafaudage en sécurité, Port du harnais, Chargement des véhicules et arrimage des charges, Bruit, Hygiène, Accueil, PPSPS, …. Ils sont composés de vidéos et de quiz pour tester ses connaissances. Ils peuvent être suivis en ligne ou téléchargeables pour animer des réunions sur la sécurité.Sur la chaine youtube OPPBTP, une collection de modules Minutes Prévention. Ces modules de 2 minutes font prendre conscience des risques et de l'intérêt de s'en protéger : le casque, la fatique au volant, les échelles, …Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB et de l'IRIS-ST, commente : « Les résultats de cette nouvelle édition de l'Observatoire des formations à la prévention mettent en évidence une forte baisse de la formation en continue de nos artisans du bâtiment. Or, nous savons combien la prévention dans nos métiers est essentielle pour éviter les accidents sur les chantiers. Cette chute du suivi des formations nous a donc suffisamment alertés pour que nous élaborions de nouvelles solutions, davantage adaptées aux contraintes du moment et aux besoins de nos artisans. C'est pourquoi, nous souhaitons développer davantage d'offres dans lesquelles le distanciel et le présentiel se combinent grâce aux technologies digitales comme la réalité virtuelle et augmentée. Une incitation qui je l'espère portera ses fruits ! »Paul DUPHIL, Secrétaire général de l'OPPBTP : « La formation est un levier fondamental pour enrichir les compétences des compagnons mais aussi des chefs d'entreprise artisanales en termes d'organisation et d'évolution des compétences individuelles et collectives. Les technologies digitales connaissent un développement sans précédent et révolutionnent tous les secteurs d'activité. Plus de 90% des artisans du BTP sont connectés, grâce à un smart phone, un ordinateur ou une tablette. Dans ce contexte l'OPPBTP met à disposition des artisans de nouveaux formats de formation adapté à leurs enjeux et à leurs impératifs, tels que des vidéos courtes et opérationnelles utilisables en autonomie, des formations en E-learning, des webinaires… et bénéficier d'une assistance technique à distance grâce à "Prevention BTP en Direct". »Françoise DESPRET, Présidente de la CNATP « Pour assurer la continuité de leurs activités durant la crise sanitaire, les formateurs ont adapté les formations prévues en présentiel en cours à distance. Nous même, Organisations Professionnelles avons proposer des réunions en visioconférence. Nos entreprises ont ainsi pu se familiariser à ces nouveaux outils, ces nouvelles habitudes et trouver certains avantages notamment le gain de temps en déplacement. Si le présentiel demeure essentiel pour l'aspect pratique et pour les relations humaines, pour construire nos progressions, nous devons réfléchir à la construction de formations hybrides en combinant le présentiel et distanciel. »Télécharger la nouvelle note de synthèse de l'Observatoire (faits marquants de l'année 2019) via ce lien
Il y a 3 ans et 321 jours

Le gouvernement annonce une aide de 15 millions d'euros pour accompagner la transition écologique des PME, artisans et indépendants

L’accélération de la transition écologique, l’une des 3 priorités de France Relance, est un enjeu collectif majeur et une opportunité pour, notamment, les TPE et les PME. Afin de les accompagner dans leur transition, les TPE et PME pourront, grâce à France Relance, bénéficier d’un diagnostic individuel gratuit réalisé par un conseiller d’une Chambre des métiers et de l’artisanat (CMA) ou d’une Chambre de commerce et d’industrie (CCI) pour mesurer la maturité écologique de l’entreprise dont découlera un plan d’actions concret que l’entreprise pourra mettre en oeuvre.Les entreprises qui souhaitent bénéficier d’une aide plus approfondie à la mise en oeuvre de ces préconisations, pourront être accompagnées pour concrétiser les actions et valoriser leurs démarches, par exemple :Dans la recherche d’un financement (investissement, étude, formation),Dans l’optimisation de leur mode de production ou de fonctionnement (énergie, locaux, matières premières, déchets, eau, mobilité)Pour engager une démarche de reconnaissance environnementale individuelle ou collective (label Envol, Imprim’vert, Eco-défis, Répar’acteurs…).Grâce aux 15 millions d’euros alloués par France Relance, les réseaux des CCI et des CMA France réaliseront 35.000 diagnostics et 10.000 actions d’accompagnement dans le cadre de ce dispositif exceptionnel. Un comité de pilotage composé de la Direction générale des entreprises, du Commissariat général au développement durable, de l’ADEME ainsi que des deux réseaux consulaires sera mis en place. Ce dispositif vient en complément des mesures pour la transition écologique des TPE et PME déjà mises en oeuvre dans le cadre de France Relance.A cette occasion, Barbara Pompili a déclaré : « Les entreprises qui réussiront demain sont celles qui auront intégré suffisamment tôt les enjeux de la transition écologique dans leur stratégie. Avec France Relance, nous accompagnons massivement les chefs d’entreprises dans cette transformation, à tous les stades de leur réflexion : diagnostic, études, soutien aux investissements. »Alain Griset a déclaré : « La transition écologique, enjeu majeur pour notre économie, s’est aussi imposée comme une nécessité pour une croissance responsable des TPE et PME. Je me réjouis de lancer ce dispositif de France Relance, qui permettra de sensibiliser mais surtout d’accompagner les chefs d’entreprise dans leur transition, avec à la clé un plan d’action individualisé et adapté à leurs activités. »Pierre Goguet, président de CCI France a déclaré : « Dessinons collectivement les contours d’une économie plus durable et responsable ! Participons ensemble à la dynamique économique du pays avec ce dispositif France Relance. Pour cela, le réseau des CCI s’engage auprès de l’État pour renforcer sa mobilisation au profit des TPE PME. En tant que partenaire de proximité dans les territoires, les CCI sont aux côtés des chefs d’entreprise pour les sensibiliser, les soutenir et les accompagner dans leur transition écologique. Ensemble, relevons le défi et bâtissons une économie plus verte ».Joël Fourny, président de CMA France a déclaré : « Beaucoup d’entreprises artisanales sont, parfois sans le savoir, des acteurs concrets et efficaces du développement durable et du respect de l’environnement. Circuit de proximité pour les approvisionnements, réduction des emballages, lutte contre le gaspillage alimentaire, rénovation énergétique des bâtiments, réduction des consommations d’énergie par la domotique, activités de réparation permettant de réduire l’achat de produits importés…, toutefois nous devons aller plus loin dans notre rôle d’ambassadeurs de l’économie verte, durable et circulaire. Grâce à ce programme ambitieux et innovant, l’objectif du réseau des CMA est bien d’accompagner sur les territoires une nouvelle dynamique vertueuse à grande échelle et ainsi démontrer qu’il est possible de concilier enjeu écologique, intérêts économiques et développement des entreprises artisanales ».
Il y a 3 ans et 322 jours

Réalisation d'un éco quartier avec des logements à haute performance énergétique à Lunéville

Le 15 avril dernier, les premiers habitants de l’éco quartier Libération, à Lunéville (Meurthe-et-Moselle), emménageaient dans leur logement. Entre l’avenue de la Libération et l’allée des Lilas, sur un peu plus d’un hectare, une ancienne pépinière a laissé la place à un programme de construction neuve de 31 logements à haute qualité environnementale conduit par l’Office Public de l’Habitat (OPH) de Lunéville à Baccarat.Énergie positiveCe nouvel espace d’habitat social alliant urbanisme durable et performance énergétique combine habitat individuel et collectif tout en favorisant une forte mixité sociale. Il compte vingt maisons individuelles et un immeuble abritant onze appartements.« La performance énergétique est notre cheval de bataille, souligne Adrien Kremer, chargé d’opérations à l’OPH. Lorsque nous avons lancé le concours de conception-réalisation, notre cahier des charges imposait une consommation d’énergie inférieure de 20 % aux exigences de la réglementation en vigueur RT 2012. En option, nous envisagions une cibleRT2012 -50 %. Nous avons eu l’opportunité de répondre à l’appel à projetE+C- pour des bâtiments à énergie positive et faible empreinte carbone répondant à la future réglementation environnementale RE 2020. Le bâtiment collectif est labellisé avec un niveau E3C1. »Pour assurer la maîtrise des charges locatives, le bailleur social vise aussi la pérennité des performances. Celle-ci passe par l’utilisation de matériaux durables, recyclables et réutilisables. Adrien Kremer rejette tout gadget sophistiqué et favorise les solutions simples ayant fait leurs preuves, comme l’isolation thermique par l’extérieur (ITE) pour une enveloppe de bâtiment pérenne et performante.Haute isolationL’ITE est la solution retenue pour assurer une haute isolation à l’immeuble collectif par l’équipe lauréate du dialogue compétitif, conduite par Eiffage Construction Lorraine. Pour abriter les onze logements, les architectes de l’agence Bagard & Luron et le bureau d’études Huguet conçoivent un bâtiment R+2 constitué de deux ailes encadrant les circulations verticales.« Cette partie centrale n’étant pas chauffée, les deux ailes nord et sud sont traitées comme des bâtiments séparés dotés chacun de leur enveloppe », décrit Jérôme Guillaumond, l’architecte de l’agence en charge de l’opération. Les deux parallélépipèdes construits en blocs de béton, simples et compacts, sans décrochements autres que les dalles de balcons, sont enveloppés d’une ITE sous enduit. Les façades sont animées par un jeu de contrastes entre des corps de bâtiments blancs et des pignons gris foncé.Label E+CCette conception simple du bâtiment et de son enveloppe s’avère très efficace, comme le confirme l’étude thermique réalisée par le bureau d’études Huguet. En effet le coefficient Bbio (besoin bioclimatique conventionnel), qui mesure la performance thermique du bâtiment indépendamment des systèmes énergétiques mis en œuvre, est ici très favorable. Il est de 45,3 pour l’aile nord et 38,6 pour l’aile sud, soit respectivement 46,1 % et 54 % de moins que le Bbio maximum fixé par laRT 2012 (84) pour tous les bâtiments neufs.Autre exigence de la réglementation thermique RT 2012, la consommation d’énergie primaire conventionnelle est limitée à 76,1 kWh/m2.an pour l’aile nord et 77,9 kWh/m2.an pour l’aile sud. Or, elle n’atteint respectivement que23,7 kWh/m2.an (soit - 68,9 %) et 27,2 (soit - 65,1 %) pour les deux parties du bâtiment dotées de chaudières à gaz.Pour compléter ces excellents résultats, une quarantaine de mètres carrés de panneaux solaires posés sur le toit de l’immeuble fournissent suffisamment d’électricité pour offrir au bâtiment un bilan énergétique positif : il produit plus d’énergie qu’il en consomme. L’objectif du label E+C- est ainsi atteint avec un niveau E3C1.Des produits de qualité bien mis en œuvreL’application de l’ITE sur les façades de l’immeuble a été confiée à la société Enduiest. Depuis une trentaine d’années, cette entreprise familiale réalise des chantiers de ravalement et d’ITE en Lorraine et en Champagne. Recruté il y a deux ans et demi pour développer l’activité dans les bâtiments neufs, le chargé d’affaires Sébastien Piernot a suivi le chantier du quartier Libération de Lunéville depuis le chiffrage jusqu’à la réception. L’ITE prescrite sur cette opération est le StoTherm Vario 1. « Nous sommes très vigilants quant au choix des produits employés et la gamme Sto offre une solution complète permettant de répondre qualitativement à ce type d’opération. Mais un produit de qualité doit aussi être bien mis en œuvre.Pour cela le site internet de Sto est une aide appréciable, il permet de consulter les différents carnets de détails, les guides d’applications, etc…Toutefois, lorsqu’il y a une interrogation technique nous sollicitons l’avis du conseiller technique Sto, pour cette opération nous avons eu recours à lui deux fois, ce dernier a été très réactif et nous a apporté les solutions. »Système d’ITE hydrauliqueLes panneaux de polystyrène expansé Sto-Panneau PS 15 SE de 200 mm d’épaisseur sont d’abord collés sur les 650 m2 de façade en blocs de béton au moyen de Sto-Mortier Colle B. Puis est appliqué le sous-enduit minceStoLevell Uni armé d’un treillis Sto-Fibre de verre standard. Ce sous-enduit est obtenu en mélangeant une poudre à base de liant hydraulique avec de l’eau. « Le StoTherm Vario 1 est un système d’ITE que nous connaissons bien puisque l’entreprise Enduiest l’utilise sur 80 % de ses chantiers d’isolation thermique par l’extérieur. Habitués au gâchage de produits en poudre, nos compagnons enduiseurs apprécient le sous-enduit hydraulique livré en sacs », précise Sébastien Piernot.Afin de protéger des chocs les parties basses de l’immeuble, l’entreprise aposé sur toute la hauteur du rez-de-chaussée un treillis d’armature complémentaire renforcé en fibre de verre, le Sto-Fibre de Verre Blindaget. Cette armature est marouflée dans l’enduit StoLevell Uni avant une deuxième passe armée du treillis Sto-Fibre de verre standard.Couleurs contrastéesLa finition est enfin assurée par un enduit organique taloché prêt à l’emploi à base de résine acrylique Stolit K 1.5. Blanc sur les trois quarts de la façade, l’enduit est teinté d’un gris soutenu sur trois murs. Afin d’éviter l’absorption de chaleur qui pourrait réduire la durabilité du système en provoquant des fissures ou des déformations, cet enduit foncé est doté de la technologie X-black développée par Sto.Il ne reste plus aujourd’hui qu’à terminer l’aménagement du parc pour favoriser les rencontres entre les habitants et mettre en valeur les nouveaux bâtiments.
Il y a 3 ans et 329 jours

En quoi consiste la RSE ?

Nombre d’entreprises souhaitent déployer une stratégie RSE (Responsabilité sociale / sociétale des entreprises) pour répondre à différents enjeux sociaux et environnementaux… L’objectif étant de chercher à avoir un impact positif sur la société et de respecter l’environnement tout en étant économiquement viable. Il s’agit d’une démarche totalement volontaire de la part des entreprises. Qu’est-ce que la Responsabilité Sociétale des Entreprises ?   « La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) également appelée responsabilité sociale des entreprises est définie comme l’intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties prenantes. »  Qui est concerné ?  Toutes les entreprises, peu importe leur taille ou encore le secteur d’activité, peuvent déployer une stratégie RSE.  Cependant, les entreprises cotées sont soumises à certaines obligations, comme pour la déclaration de performance extra-financière (ou reporting ESG), pour publier les informations sur leurs impacts environnementaux et sociaux. A savoir, les fournisseurs de ces grandes entreprises sont donc également incités à déployer une stratégie RSE pour répondre aux obligations des grandes entreprises.  Depuis 2019, la loi PACTE oblige toutes les entreprises françaises à prendre en compte les différents enjeux environnementaux et sociaux dans leur gestion quotidienne. Il s’agit d’un minimum légal intégrant une dimension RSE pour les entreprises. Cette loi relative à la croissance et à la transformation des entreprises introduit la création du statut d’entreprise à mission. Elle permet à une entreprise de préciser sa raison d’être avec un ou plusieurs objectifs sociaux et environnementaux que la société souhaite poursuivre. Ainsi, la RSE va certainement devenir un sujet de plus en plus important pour toutes les entreprises et une exigence de la part de leurs clients et partenaires.  Pourquoi mettre en œuvre une politique RSE ?   Opportunité ou contrainte ? La mise en œuvre d’une politique RSE permettra à l’entreprise de collecter, mesurer et analyser l’impact de ses activités.  Bénéfices :   Des achats plus responsables. De nos jours, le consommateur final est de plus en plus attentif à la provenance de ses produits.  C’est pourquoi il est important pour les entreprises de saisir cette opportunité pour répondre aux nouveaux comportements.  Une meilleure image de l’entreprise : la mise en place d’une stratégie RSE bénéficiera à l’image de l’entreprise auprès des différentes parties prenantes. Comme cité précédemment, les consommateurs souhaitent une transparence totale sur leurs produits. Plus l’entreprise est responsable, respectueuse de l’environnement et transparente, plus elle sera attractive aux yeux des clients.  Une organisation efficiente : la qualité de vie des salariés est primordiale et fait partie intégrale dans la stratégie RSE. Investir sur des personnes avec un management ouvert permettra de pousser votre entreprise vers le haut.  Réponse aux obligations réglementaires : l’objectif de la direction RSE est également de répondre aux défis réglementaires comme la loi Grenelle (Bilan des émissions de Gaz à Effet de Serre BEGES, la loi ELAN avec le décret tertiaire, le décret BACS, l’obligation de reporting ESG extra-financier…)  Une maitrise des risques : en collectant les données de consommation de votre entreprise, vous pourrez identifier les dysfonctionnements dans l’entreprises et donc maîtriser les risques afin de réduire les dépenses inutiles.  Des économies énergétiques et financières : en maîtrisant les risques, en collectant les différentes données pour réduire les consommations, l’entreprise pourra donc réaliser des économies énergétiques. Comment déployer sa stratégie RSE dans l’entreprise ?  Avant de vous lancer dans une démarche RSE, il est important de vous poser sur les différentes étapes à mettre en place et définir votre plan d’action.   Réaliser un état des lieux : réalisez un état des lieux actuel de votre entreprise pour identifier les différents points d’amélioration possible. Discutez avec les différentes parties prenantes (fournisseurs, salariés, investisseurs, clients…) pour prendre en compte leurs besoins et attentes. Collectez toutes vos données de consommation afin d’identifier les gisements d’économies d’énergie et les points les plus consommateurs.  Mettre en place un plan d’actions : maintenant que vous connaissez les différentes attentes, besoins, axes d’amélioration, vous pouvez établir votre stratégie RSE et définir votre plan d’actions. Déployez un dispositif de pilotage et d’indicateurs de résultats, développez les compétences internes, intégrez la RSE dans votre organisation à tous les niveaux de responsabilité et construisez vos indicateur RSE au niveau économique, social et environnemental.  Analyse des résultats : après le déploiement de votre stratégie, analysez les résultats. Les attentes de vos parties prenantes sont-elles comblées ? Qu’en est-il de votre impact environnemental ? Avez-vous amélioré la performance énergétique de votre entreprise ?   Valoriser et communiquer sur votre stratégie RSE : mettez en place vos reportings RSE pour valoriser votre stratégie et communiquez auprès du grand public sur vos efforts afin d’améliorer votre image et montrer que vous souhaitez être le plus transparent possible. Comment Green Systèmes vous aide dans votre stratégie RSE ?  Chez Green Systèmes, nous avons développé un logiciel permettant la collecte des données de consommation (eau gaz, électricité…) le suivi et le pilotage. Ce logiciel entre totalement dans une démarche RSE.  Il vous aidera à :  Centraliser vos données de consommations au sein d’un seul logiciel pour un ou plusieurs bâtiments afin d’avoir une vue d’ensemble.  Analyser vos consommations afin d’identifier les gisements d’économies d’énergie de votre bâtiment.  Être alerté(e) en cas de dysfonctionnement dans le bâtiment afin de prendre le problème à temps et éviter les dépenses.  Construire vos indicateurs de performance énergétique pour votre stratégie RSE.  Nous accompagnons également les professionnels à répondre au différentes opportunités réglementaires (ISO 50001, décret tertiaire).  Concernant le décret tertiaire, nous vous aidons à centraliser l’ensemble de vos données pour définir votre année de référence, définir également quel objectif choisir entre l’objectif relatif ou absolu, envoyer de manière automatique vos données de consommation annuelles auprès de la plateforme l’ADEME et mettre en place un plan d’action d’amélioration de votre performance énergétique.  N’hésitez pas à nous contacter pour échanger directement avec nos équipes sur votre stratégie RSE. 
Il y a 3 ans et 329 jours

Décret tertiaire – Comment définir son année de référence ?

Le décret tertiaire oblige les locataires et/ou propriétaires de bâtiments tertiaires de plus de 1 000 m² à réduire leur consommation d’énergie finale.  Afin de diminuer leurs consommations, les obligés ont le choix entre deux objectifs.   Objectif relatif : il s’agit de diminuer les consommations d’énergie du bâtiment de –40 % d’ici 2030, -50 % d’ici 2040 et -60 % d’ici 2050.  Objectif absolu : l’objectif est d’atteindre un seuil de consommation exprimé en valeur absolue. Ce seuil est fixé selon le type d’activité exercé dans le bâtiment, sa zone géographique et son altitude. Pour trouver quel est son seuil de consommation selon l’activité, différents arrêtés sur les valeurs absolues sont en cours de publication.  Il est important d’évaluer ses possibilités en termes d’objectif, afin de définir lequel sera le plus atteignable en matière de réduction énergétique.   Afin d’atteindre cet objectif, l’entreprise doit définir, au préalable, son année de référence.   Il s’agit de l’année sur laquelle on se basera pour analyser l’évolution des efforts fournis par l’entreprise et vérifier l’atteinte de l’objectif.  Quelle méthode pour définir son année de référence ?  Ce qu’il faut savoir :   L’année de référence doit se situer entre 2010 et 2019.  Elle doit correspondre à une année pleine d’exploitation soit, 12 mois consécutifs.  L’année de référence peut d’ores et déjà être déclarée sur la plateforme OPERAT, jusqu’au 30 septembre 2022.  Si, dans les années passées, vous avez mis en place une stratégie de réduction des consommations, n’hésitez pas à choisir une année de référence antérieure à vos améliorations.  Cette année de référence sera ajustée en fonction des variations climatiques, de l’activité et d’autres éléments.  Par exemple, vous possédez un bâtiment commercial d’une superficie de 2 500 m². Après compilation de vos données de consommation, analyse des factures, il en ressort que l’année la plus consommatrice correspond à 587 500 kWh/an (soit 235kWh/m²/an). Vous devrez donc réduire vos consommations à :  352 500 kWh (–40 %) en 2030  293 750 kWh (–50 %) en 2040  235 000 kWh (–60 %) en 2050  L’ADEME vérifiera l’atteinte de ces objectifs en fonction de votre année de référence.   Comment Green Systèmes vous aide à définir votre année de référence ?  Pour définir l’année de référence :  Compilation de vos données de consommations. A savoir, si vous n’avez pas toutes vos factures sur les années passées ou sur 12 mois consécutifs, nous pouvons en récupérer pour vous.  Analyse des données par notre Ingénieur en efficacité énergétique pour définir l’année la plus consommatrice avec un calcul d’ajustement selon le climat, l’activité…  Définition de l’année de référence.  Dépôt de l’année de référence sur la plateforme de l’ADEME, OPERAT.  Proposition de travaux, actions d’amélioration pouvant participer à l’atteinte des objectifs.  Nous accompagnons tous les acteurs tertiaires pour répondre à ce décret que ce soit sur la définition de l’année de référence, sur la mise en place de notre Système de Management Energétique ou encore sur l’élaboration d’un plan d’action.  Pour échanger avec un Energy Manager sur votre stratégie pour répondre au décret tertiaire, contactez-nous → Prendre contact.
Il y a 3 ans et 339 jours

Strasbourg : la construction du centre de formation des Compagnons du Devoir et du Tour de France a débuté

La pose de la première pierre du nouveau centre de formation des Compagnons du Devoir et du Tour de France a été effectuée en mai dernier.
Il y a 3 ans et 340 jours

Le centre de formation Sto certifié Qualiopi pour la qualité de ses formations

Avec quelques mois d’avance, Sto vient de recevoir la certification Qualiopi (CertificatN° FP 2021/0026-0) pour la qualité de ses formations dans le domaine de la façade (ITE, ravalement, bardage) dispensées dans son centre de Bezons (95).Situé au sein de son siège social à Bezons, le centre de formation de Stoentend soutenir ses partenaires en mettant à leur disposition toutes les clés pratiques et théoriques pour faire monter leurs équipes en compétences.La certification Qualiopi, gage de qualité des formationsObtenir la certification Qualiopi était un enjeu de taille puisque cette qualification permet aux clients Sto de faire financer leurs formations par lesOPCO (OPérateur de Compétences, organisme agréé par l'État chargé d’accompagner la formation professionnelle). Beaucoup de fonds de formations auxquels adhèrent ses clients favorisent déjà cette certification, avant même 2022.Pour obtenir la certification, d’une durée de validité de 3 ans, le référentie ldu centre de formation et son équipe pédagogique ont été passés à la loupe, selon sept critères :Information au public des formations proposéesIdentification précise des objectifsAdaptation aux publics bénéficiaires des prestations et modalités d’accueilAdéquation des moyens pédagogiques, techniques et d’encadrement Qualification des formateurs Investissement du prestataire dans son environnement professionnelLe centre a enfin été audité sur place pendant une journée.Un centre de formation boosté par la rénovation énergétiqueDepuis 2019, le centre de formation de Sto ne désemplit pas ! A l’image de la forte activité, les demandes en formations sont très nombreuses, surtout pour le marché de la maison individuelle. Il faut dire que le secteur de l’isolation thermique par l’extérieur bénéficie d’un contexte réglementaire actuel très porteur (plan de relance, MaPrimeRénov’, etc.).Toutefois, les travaux de façade nécessitent un savoir-faire pour livrer des projets de qualité, dans les règles de l’art. Qui dit pose de qualité, dit nécessité de se former ! Un sujet d’autant plus d’actualité pour faire face aux malfaçons constatées en 2020 qui ont donné lieu à une diminution des aides de MaPrimeRénov’ pour les travaux d’isolation thermique par l’extérieur en juillet 2020. L'acquisition et le rappel des bonnes pratiques s’avèrent plus que jamais nécessaires.En outre, la qualification RGE, obligatoire pour la réalisation de travaux d’ITE afin de pouvoir bénéficier des aides de l’État, demande, depuis 2021, des attestations de formations, comme celles délivrées par Sto.« Nos sessions de formations pour mai et juin sont déjà complètes, celles de juillet se remplissent très vite et nous avons déjà des demandes pour les mois de septembre à novembre ! », constate Laurent Girardey, responsable des Techniciens d'application et du Centre de formation et d'animation.Face à cette activité soutenue, Sto a décidé de renforcer son équipe avec le recrutement d’un deuxième concepteur / formateur. Le centre sera ainsi en capacité d’ouvrir de nouvelles sessions.Les formations au programme de 2021 / 2022 Au vu du contexte sanitaire actuel, les formations ont été adaptées et se déroulent selon un protocole strict : gestion des flux, distanciation sociale, masques obligatoires, effectifs limités, etc.Les formations en présentiel : Chantier école ITE enduit mince sur isolant et bardage ventiléFormation phare de son programme, le « Chantier école ITE enduit mince sur isolant » est dispensée sur 2 jours. Elle porte sur l’apprentissage de la pose dans les règles de l’art d’un système d’enduit mince sur isolant, jusqu’à l’application de l’enduit de finition, en passant par le traitement des points singuliers (encadrement de fenêtre).Autre module en présentiel, exercices pratiques obligent : le « Chantier école ITE bardage ventilé ». A l’issue de cette formation, les stagiaires professionnels seront en mesure de mettre en œuvre un projet de bardage ventilé avec le système à enduire StoVentec R.Ce parcours de 14 heures réparties sur 2 jours allie théorie et pratique, pour bien identifier les différents éléments d’un système de bardage, maîtriser les étapes d’un chantier et acquérir les bons gestes pour mettre en œuvre le système.Les formations mixtes présentiel / digital : entretiens et rénovations d’ITE et pathologies de façade et solutions en ravalementAu programme de la formation « Entretiens et rénovations d’ITE » à partir de juin 2021 : la compréhension des principales causes de désordres d’un enduit mince sur isolant, la connaissance des règles professionnelles pour l’entretien et la rénovation des systèmes, l’assimilation des différents procédés ainsi que leur mise en œuvre. A l’issue d’une ½ journée en e-learning et d’une journée en présentiel, les professionnels (architectes, maîtres d’œuvre, maîtres d’ouvrage, et entrepreneurs) sauront appliquer les bonnes pratiques pour les projets de rénovation d’ITE dans le respect de la réglementation.Une nouvelle formation sur les pathologies de façade et l'aide au diagnostic sera également proposée à partir de novembre 2021. Dispensée sur ½ journée en e-learning et sur une journée en présentiel, elle s’adresse aux techniciens et ingénieurs des maîtres d’ouvrage et des bureaux d’études, responsables chargés du suivi des travaux de rénovation des façades, commerciaux, conducteurs de travaux et dirigeants. A l’issue de la formation, les apprenants seront en mesure d’identifier les pathologies d‘une façade et d’y apporter la solution adaptée. Une formation 100 % digitale : la réglementation incendieEn parallèle des formations en présentiel, Sto a inauguré en novembre2020 une formation digitale : la formation Réglementation incendie (ITE, bardage et ravalement). Au programme : le rappel des fondamentaux, la préconisation des solutions Sto conformes à la réglementation incendie sur maçonnerie et béton, et la mise en œuvre des solutions constructives d’ITE avec isolants PSE.« Avec un contenu plutôt théorique sans nécessité de recourir à des travaux pratiques, cette formation se prête bien au format digital. Celle-ci se déroule en deux temps : un e-learning pour l’assimilation des prérequis, suivi de deux classes virtuelles de 2h réparties sur deux semaines pour ancrer les compétences, délivrer des conseils techniques et répondre aux questions. Nous privilégions les quiz, les jeux et les animations afin de rendre vivante cette classe virtuelle et faire participer au maximum les stagiaires », décrit Laurent Girardey.Des outils pédagogiques et une équipe dédiéeLe Centre de formation de Sto se caractérise par des outils pédagogiques et efficaces, pensés pour faciliter l’acquisition des savoirs et savoir-faire :une expertise métiers des formateurs qui sont tous des professionnels de la façade (les formations Chantier école sont dispensées par des techniciens d’application terrain ; les formations Techniques par des ingénieurs du service technique),une méthode éprouvée : exercices pratiques, quiz interactifs, études de cas et application concrètes,280 m² de plateforme pratique sur le site de Bezons.En contribuant à développer les compétences des hommes, compagnons et encadrants chez ses partenaires, Sto entend participer à un cercle vertueux. Des collaborateurs reconnus pour leur savoir-faire font la satisfaction des clients et s'épanouissent plus longtemps au sein de leur entreprise.Toutes les dates de formation et l’intégralité des parcours sont à retrouver sur sto.fr / Rubrique formation.
Il y a 3 ans et 347 jours

Macron inaugure l'Hôtel de la Marine totalement restauré, nouvelle attraction touristique à Paris

A l'issue de la visite, le président Macron s'est entretenu avec le président de la Fifa (Fédération internationale du Football), Gianni Infantino, puisque l'Hôtel de la Marine accueille désormais une antenne de cette organisation basée à Zurich (Suisse).Ce monument, qui représente "des siècles d'Histoire", "va devenir un nouveau lieu de l'attractivité de la France", s'est félicité le chef de l'Etat après avoir visité ses salons dorés, dont certains rappellent le château de Versailles.Il a salué sa restauration menée par le Centre des monuments nationaux (CMN), qui "a réussi à réinventer le lieu" en en "retrouvant l'esprit" tout en "le modernisant", grâce au "savoir-faire français", notamment des "compagnons et artisans dont nous avons tant besoin".Construit au XVIIIe siècle par Ange-Jacques Gabriel, premier architecte de Louis XV, ce vaste bâtiment abrita jusqu'en 1789 le Garde-Meuble de la Couronne avant de devenir, pendant plus de 200 ans, le siège du ministère puis de l'Etat-major de la Marine.Philippe Bélaval, le président du CMN, a souligné que sa restauration, menée depuis 2017, n'avait "quasiment rien coûté aux contribuables" puisque moins de 10% de son coût de 130 millions d'euros a été supporté par l'Etat, le reste étant autofinancé ou soutenu par le mécénat.Le projet a été pensé pour être "ouvert sur la ville" avec restaurant, café, librairie et 6.000 m2 d'espaces de co-working. Le bâtiment accueille aussi le siège de la Fondation pour la mémoire de l'esclavage présidée par l'ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault, puisque c'est dans un de ses salons qu'a été signé le décret d'abolition de l'esclavage le 27 avril 1848 à l'initiative de Victor Schoelcher.Le lieu sera également enrichi à l'automne par la Collection Al Thani, l'une des plus prestigieuses collections d'art privées au monde.Le chef de l'Etat s'est ensuite rendu avec son épouse Brigitte au centre d'entraînement de Clairefontaine (Yvelines) pour déjeuner avec les joueurs de l'équipe de France avant l'Euro de football qui débute vendredi.
Il y a 3 ans et 355 jours

Les Compagnons Bâtisseurs : une aide aux familles à faibles revenus dans le Béarn

L’association des Compagnons Bâtisseurs propose une aide pour la réhabilitation de leur logement à des familles béarnaises aux revenus modestes.
Il y a 3 ans et 356 jours

10e édition du Forum International Bois Construction

La 10e édition du Forum International Bois Construction se tiendra du 15 au 17 juillet 2021 au Grand Palais Ephémère, sur Le Champs-de-Maris à Paris. Un événement exceptionnel, réunissant la filière forêt-bois-construction autour de la thématique : La construction biosourcée pour bâtir un avenir. Un programme riche et un dispositif inédit pour le Forum. Pendant ces trois jours, vous pourrez retrouvez les ateliers thématiques suivant : L’association du biosourcé et du géosourcé La construction bois et la bio-économie circulaire Le bois au Village des Athlètes La reconstruction de Notre-Dame de Paris Les surélévations Le CO2 Le charpentier La mixité bois acier-béton Le domaine hospitalier Les crèches Le LVL Le luxe Temps forts également avec l’annonce des lauréats du Prix National de la Construction Bois et des Press International Award Wood Architecture le jeudi 16 juillet à partir de 18 heures. À noter une ouverture au grand public avec deux débats citoyens le 17 juillet à 18h et à 19h : 1/ L’économie circulaire dans l’aménagement : mythe ou réelle demande des acheteurs publics et privés organisé par Les Canaux 2/ La jeunesse interpelle la filière forêt-bois organisé par FIBois Île-de-France en partenariat avec Les Nuits des Forêts et Le Monde Pour la première fois toutes les conférences, traduites en français et en anglais, seront filmées en temps réel et accessibles en livestream partout dans le monde. Retrouvez en détail le programme des conférences de l’édition 2021 ©Artbuild • La scénographie du Forum vers une démarche au bilan carbone le plus neutre possible Avec une mise en place d’une démarche éco-responsable et éco-conçue, c’est une première en France en : concevant et développant des stands en 100 % bois français en hêtre et peuplier; imaginant un auditorium éphémère qui sera la salle plénière, démontable et réutilisable. créant avec l’agence AAVP Architecture un mobilier avec des matériaux recyclés et de réemploi à partir de 1200 portes de l’ancien Hôpital Saint-Vincent-de-Paul (Paris 14°). Ce mobilier sera vendu aux enchères à la fin du Forum. installant une borne à l’entrée qui permettra de calculer en deux minutes l’empreinte carbone de chaque visiteurs, congressistes et exposants qui pourront compenser leurs émissions en CO2 en plantant un ou plusieurs arbres. • Les nouveautés 2021 Cette année encore, le Forum se renouvelle et proposera de nouvelles expositions : Grande exposition sur la reconstruction de la Charpente de Notre-Dame de Paris ADIVbois et Les Canaux : deux espaces de vie : L’un est l’espace presse autour des trois prototypes ADIVbois et d’une scénographie imaginée par Appelle Moi Papa, studio de graphisme et direction artistique basée à Nantes L’autre est celui des Canaux installé devant le grand écran de l’Auditorium Ephémère Un espace filière forêt-bois de 185m2 imaginé par le CNDB et le Studio DAAO, valorisant la diversité des essences, des savoir-faire et des possibilités qu’offre le matériau bois : Un espace ADIVbois avec Les Tours en hauteur Un espace Ameublement Français avec Les Huttes Un espace France Bois Forêt + FIBois France avec Les Cabanes Espace Filière forêt-bois ©CNDB Le Plateau TV Bati-Journal Pour cette édition, Bati-Journal, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec les organisateurs et le magazine Wood Surfer sera présent avec un dispositif exceptionnel : un plateau TV au cœur du Totem, réalisé par France Douglas, La Fabrique Collective et les Compagnons du Devoir. Les émissions réalisées et animées par Stéphane Miget, journaliste spécialisé construction-bâtiment, reprendront les conférences du Forum et toutes les vidéos seront à retrouver dès le 15 juillet sur la chaîne YouTube de Bati-Journal et sur les sites partenaires de l’animation. Plateau TV Bati-Journal - Forum Bois Construction 2018 Rendez-vous donc dès le 15 juillet au Forum Bois Construction à Paris > Inscriptions
Il y a 3 ans et 356 jours

Edma : Des lingettes nettoyantes pour les chantiers

Les lingettes nettoyantes Edma permettent d’accompagner les compagnons dans leurs travaux du quotidien. [©Edma] En complément des outils qu’il propose aux artisans, Edma intègre à son catalogue des lingettes nettoyantes efficaces pour nettoyer les outils des artisans, les surfaces lisses et non poreuses ou les mains. Ces lingettes nettoyantes mains et surfaces se révèlent particulièrement utiles sur un chantier, puisque leur usage ne nécessite aucun rinçage, ni séchage. Et ne laisse aucun résidu. Edma : Contre toutes les salissures En effet, leur fort pouvoir nettoyant se joue des salissures ordinaires, mais aussi des graisses dures (noires). Ainsi que des peintures, adhésifs, huiles, lubrifiants ou bien encore du cambouis. Ou bien des encres, cires, bitume, goudron ou des marques de gazon. D’autres produits fréquemment utilisés sur les chantiers, tels que silicone, polymères, colles, mousses polyuréthane ou résines époxy… ne résistent pas davantage à leur action détergente. Parfumées aux agrumes et sans danger pour l’épiderme, ces lingettes sont classées dans la catégorie “produits cosmétiques” et répondent à toutes les normes de sécurité et de santé publique en vigueur.
Il y a 3 ans et 360 jours

CCCA-BTP : L’innovation au cœur de la formation

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Franck Le Nuellec, directeur marketing, développement et innovation stratégique au CCCA-BTP. [©Franck Le Nuellec] Le CCCA-BTP1est un outil de branche visant à organiser la formation dans le monde du BTP.&nbsp;«&nbsp;Nous accompagnons 380 organismes, compagnons, chambres de métiers et écoles d’ingénieurs, explique Franck Le Nuellec, directeur marketing, développement et innovation stratégique au CCCA-BTP.&nbsp;Cela représente 84 000 apprentis par an, du CAP au diplôme d’ingénieur». Située à Paris, l’entité rassemble 75 collaborateurs avec différents métiers. Elle est financée par les acteurs du secteur de la construction, à travers les taxes sur le bâtiment et les travaux publics.&nbsp;«&nbsp;Nous sommes organisés autour de plusieurs pôles&nbsp;:&nbsp;&nbsp;métier, marketing et développement, appel à projets et innovations.&nbsp;» Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 361 jours

Fabrication additive : Une technologie en cours de démocratisation

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine L’’impression 3D béton s’inscrit dans la stratégie bas carbone en France. [©Vicat] Dans la trilogie “Retour vers le futur”, sortie dès 1985, le réalisateur Robert Zemeckis nous fait voyager dans le temps. A bord d’une DeLorean DMC-12 quelque peu modifiée, Marty McFly et le docteur Emmett Brown explorent le passé, mais aussi le futur. Dans le deuxième opus, les protagonistes se retrouvent en 2015. Ici, les voitures volent et les pizzas sont prêtes en 2 s&nbsp;! Tous les codes de la science-fiction dépeignant le futur sont réunis. Si la domotique et la notion de “maison connectée” y sont perçues, les bâtiments et leur architecture ne semblent pas trop avoir bougé. Pourtant, dans la vraie vie, si nos déplacements ne se font pas encore par lévitation, le monde de la construction a bien évolué. Parmi les innovations, la fabrication additive ou impression 3D béton fait de plus en plus parler d’elle. Notre n° 91 lui était consacré. En effet, la discipline ouvre une multitude de problématiques que les industriels, selon leurs expertises, tentent d’élucider. D’un point de vue matériau et matériel, la technologie demande un savoir-faire particulier&nbsp;: l’encre minérale, l’imprimante et les logiciels sont trois composantes d’un tout.&nbsp; Un trio gagnant La majorité des technologies actuelles utilisent le principe de la dépose d’un cordon de béton en couche par couche. Le matériau mis en œuvre doit donc tenir en place pour supporter son propre poids et être assez fluide pour que les couches adhèrent entre elles. La matière doit aussi répondre aux besoins classiques de durabilité, de performances… De plus en plus d’industriels proposent des gammes dédiées à la fabrication additive, à l’image de Cemex, Ciments Calcia ou encore Vicat. Du côté de l’imprimante, plusieurs “camps” s’affrontent. Il y a ceux qui s’ancrent dans la lignée de la construction hors site. Ainsi, l’outil est installé en usine où elle imprime des éléments à emporter. C’est le cas d’industriels comme Soliquid et XtreeE. D’autres ont misé sur des imprimantes nomades qui se déploient sur chantier. La start-up Valenciennes Construction 3D ou Cobod s’inscrivent dans cette mouvance. Quelle que soit la technique adoptée, la buse et le dispositif d’extrusion sont des points sensibles. Enfin, les différents logiciels de pilotage et de modélisation, qui peuvent être imaginés par le fabricant de l’imprimante ou par un éditeur indépendant, permettent de faire la traduction numérique de la volonté architecturale. Une transition environnementale et numérique Plusieurs enjeux entourent la fabrication additive. La dimension environnementale intervient naturellement. Au cœur de la future RE 2020, la transition écologique de la construction fait partie de la stratégie bas carbone de la France. Les acteurs de l’impression 3D béton mettent en avant les avantages de leur discipline dans ce domaine. A savoir, l’optimisation des matières premières, la construction hors site et l’utilisation du bon matériau au bon endroit. L’impression 3D est aussi une résultante de la transition numérique de la construction. Cemex l’englobe ainsi dans ce qu’il appelle la&nbsp;«&nbsp;fabrication digitale&nbsp;». Cette dernière peut répondre aux problématiques de pénibilité sur chantier avec moins de compagnons nécessaires&nbsp;in situ. Et en même temps, à la résolution de défis techniques dans la construction, que ce soit dans les formes architecturales ou dans la rapidité de conception. Reste à résoudre quelques freins&nbsp;: le coût, la réglementation ou encore la formulation vue sous le prisme de l’économie circulaire. Il reste encore de grandes avancées à accomplir avant d’atteindre une démocratisation de la fabrication additive. Korodur : «&nbsp;Une nouvelle liberté d’écriture&nbsp;» Créé en 1936, le groupe familial allemand Korodur fabrique et commercialise des solutions minérales pour sols industriels. A l’entrée de son siège, le nom Korodur s’inscrit en lettres géantes, imprimées en 3D&nbsp;! En effet, depuis plus de 10 ans, l’industriel s’est lancé dans l’aventure de la fabrication additive.&nbsp;«&nbsp;En 2012, un de nos partenaires néerlandais nous a présenté Berry Hendriks, raconte Nikola Heckmann, présidente de Korodur.&nbsp;A ce moment-là, il lançait sa start-up Cybe et avait pour ambition de révolutionner la construction avec l’impression 3D. A l’époque, c’était fou, mais nous avons décidé de travailler ensemble en nous occupant de la partie matériau.&nbsp;» Avec son expertise dans la conception de mortiers, Korodur a pris le temps de trouver la bonne formulation. Le tout en utilisant un ciment à impact carbone réduit.&nbsp;« Le mortier à imprimer doit être à prise rapide, ne pas se déformer sous son poids et chaque couche doit adhérer sur la précédente. De plus, le matériau doit s’adapter à l’imprimante et au logiciel. Les trois fonctionnent ensemble. Après plusieurs mois de recherche, nous avons réalisé avec Cybe notre premier objet&nbsp;: un banc.&nbsp;» Korodur s’est associé à Cybe pour développer la fabrication additive. [©Korodur] Depuis, Korodur et son partenaire se sont lancés dans des projets à l’international. A Dubaï, ils ont réalisé un bâtiment dédié aux drones qui surveillent les pipelines. Au Japon, ce sont des toilettes publiques… Il y a aussi l’Afrique du Sud, la Nouvelle-Zélande et la France, avec une maison en Normandie.&nbsp;«&nbsp;L’impression 3D est intéressante et doit avoir sa place dans l’évolution de la construction. Elle donne une nouvelle liberté d’écriture pour les architectes et les designers. Mais répond aussi à des défis techniques pour la préfabrication, par exemple.&nbsp;»&nbsp; Lycée Louis Loucheur : L’impression 3D dès le plus jeune âge Dans le cadre du programme “Espace d’innovation partagée”, le lycée professionnel Louis Loucheur, à Roubaix (59), a reçu une dotation de la Région Hauts-de-France. Une manne qui a permis à l’établissement de mettre en place une nouvelle matière à son cursus “gros œuvre”&nbsp;: l’impression 3D.&nbsp;«&nbsp;Nous avons acquis une Mini Printer de Construction 3D, explique Régis Schefller, enseignant au sein du lycée.&nbsp;Nous avons bénéficié d’une formation pour pouvoir être autonomes.&nbsp;»&nbsp;Aujourd’hui, le lycée travaille avec des mortiers de Parexlanko dédiés à l’impression.&nbsp;«&nbsp;Les élèves sont très curieux de ce que l’on peut faire avec. Nous espérons que cela représentera un atout pour promouvoir les formations dans le bâtiment et de montrer une autre facette de nos métiers.&nbsp;» A Roubaix, le lycée Louis Loucheur vient d’intégrer l’impression 3D béton dans son cursus de formation. [©Lycée Louis Loucheur] Saint-Gobain : Voici les clefs Fin avril 2020, Saint-Gobain a remis les clefs à d’heureux résidents d’une maison un peu particulière. A Eindhoven, aux Pays-Bas, ce bâtiment de 94 m2a été entièrement réalisé en impression 3D. Pour rappel, Saint-Gobain Weber Beamix conçoit des mortiers spéciaux pour cette application. Ici, 24 éléments en béton ont été préfabriqués, avant d’être acheminés&nbsp;in situ. Cette maison est la première du programme Milestone, qui en comptera 5 au total. Chaque nouvel habitat sera optimisé grâce aux enseignements tirés des précédentes mises en œuvre.&nbsp; Aux Pays-Bas, Saint-Gobain a livré sa première maison imprimée en 3D béton. [©Saint-Gobain] Sivagami Casimir Retrouvez l&rsquo;ensemble du dossier : Que seront les bétons de demain&nbsp;? Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 94
Il y a 3 ans et 361 jours

Eiffage a fait le choix de Sdec

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine La sonde Sono M1 de Sdec, déployée sur les sites d’Eiffage Route. [©Sdec] INDRE- ET- LOIRE. Il y a trois ans, Eiffage Route cherchait une solution pour la gestion de l’humidité des sables.&nbsp;«&nbsp;Jusque-là, nous passions par le classique test en laboratoire, explique Alassane Balde, ingénieur matériel pour le groupe.&nbsp;Il s’agissait de réaliser des prélèvements, de les chauffer et de comparer les poids des échantillons secs et humides. Cette solution souffrait du peu de flexibilité qu’elle offrait. Le processus était trop long pour être vraiment adapté à nos besoins.&nbsp;» Denis Bourdelier, responsable matériel pour la région Grand-Sud d’Eiffage Route, teste alors la sonde Sono M1, accompagnée du boîtier HD2 de Sdec. Et Alassane Balde, de préciser&nbsp;:&nbsp;«&nbsp;Avec cette solution, la mesure se fait directement sur les tas de matières. En 10 s, la valeur est connue. Nos équipes peuvent donc faire des mesures dès qu’il y a un changement de météo ou un doute sur les valeurs. La formulation des bétons est donc sans cesse adaptée. Cela professionnalise une action qui dépendait jusque-là de l’expérience des compagnons.&nbsp;» Lire aussi les autres actualités en région Convaincu, Denis Bourdelier lance un déploiement national de la solution.&nbsp;«&nbsp;Nous avons aujourd’hui une trentaine de sondes en fonctionnement. Mais cela devrait encore progresser, jusqu’à une cinquantaine. D’autant que nous nous sommes aperçus que les sites qui disposent de cette solution, associée à notre application de suivi énergétique, voient leur consommation se rationaliser. Cela nous procure ainsi un gain d’efficacité et une économie d’énergie&nbsp;», conclut Alassane Balde. Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 361 jours

ACTIS TRISO-SUPER 12 sur les toits d’un immeuble haussmannien : quand isolation rime avec préservation du patrimoine

Véritables chefs d’œuvres architecturaux, les toitures mansardées des immeubles haussmanniens, revêtues de zinc et d’ardoise, sont classées aux monuments historiques de Paris. La rénovation de la toiture de l’une d’entre-elles, située dans le 17ème arrondissement, a fait l’objet de tout le savoir-faire de l’entreprise de couverture Le Méhauté, Compagnons du Devoir. Pour l’isoler par l’extérieur en préservant l’esthétique de l’ensemble, elle a choisi TRISO-SUPER 12 d’ACTIS, un isolant deux en un qui assure l’isolation thermique et l’étanchéité. Une solution d’isolation multicouches pour une esthétique préservée Vétuste et mal isolée, la toiture de 1200 m2 d’un immeuble haussmannien du 17ème arrondissement de Paris nécessitait une réfection totale pour apporter le confort, été comme hiver, à ses résidents. La copropriété a fait appel à l’entreprise Le Méhauté, Compagnons du Devoir, pour assurer les travaux. Celle-ci a opté pour TRISO SUPER 12 d’ACTIS, une solution d’isolation multicouches réflecteur qu’elle utilise depuis 15 ans en extérieur pour préserver l’esthétique des toitures. « A performance égale, cet isolant nous permet de ne pas trop surélever le toit comparé à un isolant plus épais. Après la pose du zinc, nous obtenons une épaisseur de 6 cm de plus que la toiture initiale » explique Cyrille Le Bris, gérant de l’entreprise. Une solution d’isolation extérieure deux en un Solution deux en un, TRISO-SUPER 12 d’ACTIS assure à la fois l’isolation thermique grâce à sa performance (R = 5,25 m2.K/W) ainsi que l’étanchéité à l’air, à l’eau et à la vapeur d’eau grâce à la membrane réfléchissante qui intègre un écran HPV. Elle permet ainsi d’économiser la pose d’un pare- vapeur, d’un écran de sous-toiture ou d’un écran pare-pluie. D’une épaisseur de 35 mm, TRISO-SUPER 12 bénéficie de 2 lames d’air naturelles créées par l’épaisseur du chevron d’une part, les liteaux de support de couverture d’autre part. TRISO-SUPER 12 est agrafé au chevron avant d’être tendu. Ses bords décalés avec languette adhésive débordant de 8 cm permettent d’effectuer un recouvrement des lés parfaitement étanche, tout en simplifiant la pose. « La performance et la mise en œuvre parfaite de cet isolant multicouches réflecteur réside dans la lame d’air qui doit être normalement de 3 cm. Pour assurer cette circulation d’air et éviter tout phénomène de condensation, nous re-chevronnons par-dessus en laissant une lame d’air d’au moins 4 cm. Nous posons également des chatières en quinconce, en partie haute de la toiture en zinc, comme le faisaient les anciens pour faire circuler l’air. Nous utilisons ce produit en isolation par l’extérieur depuis 15 ans et nous n’avons jamais rencontré de problème. Il faut simplement qu’il soit bien mis en œuvre ! » ajoute Cyrille Le Bris. Grâce aux performances de TRISO-SUPER 12 d’ACTIS, tous les résidents de ce bel immeuble du 19ème siècle, vont enfin accéder au confort de l’isolation moderne sans sacrifier au charme esthétique des toitures mansardées. A propos d’actis ACTIS est le leader européen sur le marché des isolants alvéolaires réflecteurs. Créée en 1980, ACTIS est une PME familiale française de 300 personnes, basée à Limoux en région Occitanie, qui a intégré le groupe Laurent Thierry en 2003. ACTIS possède 4 sites de production en France, certifiés ISO 9001 depuis 2005, et est présente dans 8 pays en Europe. ACTIS propose des solutions performantes et certifiées qui répondent à l’ensemble des besoins d’isolation : . pour tous les bâtiments (résidentiels et tertiaires) . pour toutes les applications (toitures, combles et murs) . en neuf comme en rénovation Les solutions ACTIS disposent de certifications délivrées par des organismes d’évaluation accrédités (ACERMI, BM Trada, CSTB, LNE&#8230;) https://www.actis-isolation.com/
Il y a 4 ans et 2 jours

Le gouvernement met en place une médiation pour calmer les tensions sur les matières premières dans le BTP

Pilotée par le ministre délégué aux PME, Alain Griset, cette médiation vise à "identifier les éventuels comportements abusifs, de sécuriser les approvisionnements ainsi que l'activité des entreprises", a précisé Bercy dans un communiqué.Une première réunion se tiendra d'ici à fin mai, avec les acteurs de la filière, le médiateur des entreprises et le ministère.Cette annonce intervient au moment où le secteur du bâtiment souffre d'une forte hausse des prix des matières premières, comme le bois de construction, l'aluminium ou l'acier.En cause notamment, une reprise de l'activité, notamment en Chine et aux États-Unis, beaucoup plus rapide que ce qu'escomptaient les fournisseurs de ces matières, et qui conduit à des pénuries un peu partout dans le monde."Des difficultés d'approvisionnement en matériaux et matériels (...) se font déjà sentir depuis plusieurs semaines et (...) risquent de s'amplifier", indiquait fin avril la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb).Conséquence: les relations entre les acteurs de la filières sont tendues, avec des délais de livraisons qui s'allongent, en plus des hausses de prix.Pour le gouvernement, l'enjeu est aussi de ne pas freiner la reprise économique, alors que le bâtiment est un des moteurs de la sortie de crise et qu'une partie du plan de relance repose sur des projets dans le logement, en particulier pour de la rénovation thermique.La FFB salue les annonces du ministèreLa FFB salue les annonces du ministère de l'Économie, des Finances et de la Relance, qui répondent à ses alertes réitérées depuis fin 2020, suite au choc constaté sur les prix des matériaux du BTP.En recommandant le gel des pénalités de retard sur les marchés publics en cas de difficultés d'approvisionnement avérées, cette communication envoie un signal fort qui doit permettre d'éviter une fragilisation du secteur, car les artisans et entrepreneurs subissent cette situation sans pouvoir l'anticiper.En rappelant que les marchés publics de plus de trois mois doivent obligatoirement prévoir des mécanismes d'indexation des prix, le gouvernement confirme que les chantiers de BTP nécessitent une part importante de matières premières soumises aux évolutions des cours mondiaux.En installant une médiation nationale de filière, le gouvernement ouvre la possibilité d'un échange plus approfondi entre acteurs, de façon à restaurer une confiance qui s'effrite avec l'allongement de cette crise.Pour Olivier Salleron, le président de la FFB, « Ces annonces constituent une véritable première avancée sur un sujet lourd de préoccupation pour les tout prochains mois. Reste à s'assurer de leur prise en compte effective dans les marchés publics et de l'impact qu'elles pourront avoir également sur les marchés privés. Reste aussi à trouver des solutions pour les marchés en cours, lorsqu'ils souffrent d'un choc de prix totalement imprévisible mais sans problème lourd d'approvisionnement. Par ailleurs, la FFB réitère sa demande de prise en charge à 100 % de la mise au chômage partiel de compagnons faute de matériaux ».
Il y a 4 ans et 7 jours

Le bardage ventilé StoVentec habille une école en bois de brique et de pierre

Le 4 janvier 2021, au retour des vacances de Noël, les enfants du quartier Nord du Blanc-Mesnil, en Seine-Saint-Denis, faisaient leur rentrée dans une école toute neuve. Toute neuve mais l'école Chevalier de Saint-George semble être là depuis des lustres tant elle ressemble aux écoles de Jules Ferry construites à la fin du XIXe siècle. Façade de brique et de pierre, corniches, symétrie du long bâtiment de part et d'autre d'un clocher : cette architecture néoclassique répond à la volonté du maire Thierry Meignen de donner à sa ville une nouvelle identité.« Depuis son arrivée à la tête de la commune en 2014, il impose ce style architectural aux nouvelles constructions, explique son chef de cabinet Nicolas Rondepierre. C'est une démarche qui plaît aux habitants. »Une autre école en centre-ville, un centre municipal de santé et un campus trilingue de la maternelle au lycée, actuellement en projet, adopteront aussi ce style classique emprunté au XIXe siècle.La construction de ce nouvel établissement de 23 classes a été décidée pour regrouper l'école primaire voisine vétuste, condamnée à la démolition, et une école maternelle située de l'autre côté de l'avenue. « Nous voulions offrir aux habitants de ce quartier le plus pauvre de la ville une belle école qui constitue un signal », poursuit Nicolas Rondepierre. Le programme est généreux : l'établissement dédié à l'enseignement de la musique est doté de vastes volumes.Aspect classique et construction innovante Suite au concours de conception-réalisation lancé en 2017, quatre équipes finalistes sont sélectionnées. Parmi elles, le groupement constitué de l'agence A5A Architectes et de l'entreprise générale de construction bois et industrialisée OBM Construction sera le lauréat. Pierre Durand-Perdriel, architecte gérant de A5A Architectes, apprécie les donneurs d'ordre qui savent ce qu'ils veulent et il a bien compris les attentes de la ville. Si l'agence a une centaine d'écoles et de bâtiments publics à son actif, c'est la première fois qu'elle conçoit une école « Jules Ferry ».« J'ai été intéressé par cette recherche d'expression », confie l'architecte qui propose de réaliser le corps de bâtiment en brique et en pierre, matériaux traditionnels et pérennes, renforçant l'effet de signal et marquant l'identité de l'établissement.Les deux écoles, maternelle et élémentaire, de part et d'autre d'un volume central abritant la bibliothèque, sont traitées de façon classique, avec des jeux de modénatures et un travail sur les proportions des fenêtres. Mais l'aspect classique des façades n'interdit pas l'innovation dans la construction. L'entreprise partenaire de l'architecte étant spécialisée dans la construction bois, l'édifice sera entièrement réalisé en ossature bois. A l'exception des fondations et du sous-sol en béton, tout est en bois : les murs, les planchers, les escaliers.Un système de bardage complet avec finition en revêtements collésL'architecte et l'entreprise mènent de concert les études de conception de l'ouvrage. La solution qui s'impose pour réaliser la façade est le bardage ventilé StoVentec SCM.La plaque support de bardage est a base de panneaux en billes de verre recyclé expansé fixés sur une ossature verticale en tasseaux de bois elle-même fixée au droit des montants de la construction à ossature bois de façon à réserver une lame d'air de 20 mm minimum entre le mur et le revêtement extérieur.Une fois posés sur l'ossature, les panneaux reçoivent un sous-enduit mince à base de liant hydraulique, le StoLevell Uni, armé d'un treillis de fibre de verre. « La finition est assurée par un revêtement collé conformément au DTU 52.2 », précise l'Avis Technique du système.Dans le cas de l'école, ce sera de la pierre naturelle StoFossil Bavaria associée à des bandes de briquette de terre cuite StoBrick 360. Deux teintes de pierres sont retenues : un ton crème sable pour la partie centrale du bâtiment surmontée du clocher ainsi que l'ensemble du soubassement sur une hauteur de 60 cm, le ton Nussbraun (brun noix) plus soutenu pour les deux ailes de l'édifice abritant les deux écoles. La pierre comme la brique sont collées au mortier-colle fourni par Sto puis jointoyées.Seule la façade principale de l'édifice est revêtue de pierre et de brique. Les pignons et la façade arrière sont habillées du même bardage StoVentec, mais dans sa version enduit.« La vaste gamme de produits Sto, tous compatibles entre eux, nous a permis de réaliser cette façade sans faire appel à de multiples fournisseurs », souligne Pierre Durand-Perdriel. Ce qui a facilité les approvisionnements en cette période compliquée de pandémie du Covid-19.Tous convaincus par la construction bois revêtue de brique et de pierreL'entreprise retenue pour la mise en œuvre de ce bardage est la société Spebi, spécialiste du ravalement et de la peinture depuis une quarantaine d'années.OBM livre à l'équipe d'une quinzaine de compagnons des façades bois revêtues de l'isolation extérieure et d'un pare-pluie. Grégory Ferreira, conducteur de travaux bardage chez Spebi, n'en est pas à sa première expérience de pose du bardage StoVentec mais c'est la première fois qu'il le pose sur une ossature bois.Les règles de construction imposent des précautions supplémentaires en termes de sécurité incendie : « Des bavettes coupe-feu doivent être posées à chaque niveau et non tous les deux niveaux ». Avec l'aide des techniciens d'OBM, il surmonte cette difficulté réglementaire. Son équipe applique avec minutie le revêtement collé selon le calepinage de l'architecte, en n'oubliant pas de jointoyer la brique et la pierre en deux couleurs différentes.La touche finale est apportée par les corniches dessinées sur mesure. Réalisées en StoDéco Profil, des éléments de modénatures de charge légère à base de perlite expansée, elles sont collées avant d'être peintes.L'ensemble du chantier de bardage, avec revêtement collé et enduit, soit près de 2.000 m² au total, sera bouclé en à peine six mois, de mai à octobre 2020.« Les intervenants du chantier, parfois dubitatifs de voir associer une façade classique à une ossature bois, se sont finalement approprié le projet et ont souvent été force de proposition, manifestant de la curiosité et du plaisir de travailler ensemble sur un tel projet », conclut l'architecte Pierre Durand-Perdriel.
Il y a 4 ans et 12 jours

Carlita, la nouvelle assistante française des compagnons carreleurs

Avec son prénom de femme fatale, Carlita pourrait bien devenir l’alliée indispensable des carreleurs. Conçue par deux professionnels du BTP, cette machine assiste le professionnel dans la manipulation et la pose de carrelage grâce à un bras articulé. Une levée de fonds a été lancée pour son développement.
Il y a 4 ans et 16 jours

Élection au Bureau confédéral de la CAPEB

La composition du nouveau Bureau confédéralDavid Morales a été élu au poste de Vice-Président, en charge des affaires économiques, en remplacement de Sabine Basili qui ne se représentait pas. A ce titre, il préside la Commission nationale des affaires économiques de la CAPEB.Cette élection ayant libéré le poste de Secrétaire adjoint, c'est Thierry Ravon qui fait son entrée au Bureau à cette fonction.Candidat sortant dans la fonction, Gilles Chatras a été réélu Vice-Président en charge de la formation et du Réseau.Toutes les élections au sein du Bureau se font à bulletin secret pour des mandats de trois ans. Le Bureau confédéral 2021 se compose donc des huit membres suivants :Les membres du nouveau Bureau confédéral(En rouge : nouvellement élu - En bleu : réélu)Bio express des nouveaux élus du BureauThierry Ravon fait son entrée en Bureau au poste laissé vacant de Secrétaire adjoint. Membre de la commission nationale des affaires économiques de la CAPEB, il a tout récemment développé le tout premier Contrat de Construction de Maison Individuelle (CCMI) 100% digital et intelligent, qui permet aux petites entreprises du bâtiment d'accéder au marché réglementé de la construction individuelle. Installée à Balzac en Charente en 2001, son entreprise de carrelage emploie aujourd'hui 9 salariés dont 2 apprentis. Administrateur de sa CAPEB départementale, il est élu président de la CAPEB régionale de la Nouvelle Aquitaine. Il est vice-président l'U2P de la même région. Il est élu administrateur du CCCA-BTP.David Morales, ancien secrétaire adjoint, est élu Vice-président en charge des affaires économiques. Ancien gendarme (et ancienne ceinture noire de judo), il passe un CAP Plâtrier et s'installe en 1982 en Haute Garonne à Encausse les Thermes. Président de l'entreprise SASU MORALES, cette entreprise familiale emploie aujourd'hui 10 salariés dont fils et belle fille. Administrateur de la CAPEB de son département (31), il devient administrateur de la CAPEB nationale à la faveur de son élection à la présidence de l'UNA des métiers et techniques du plâtre et de l'isolation 2010-2019. Au CSTB, il est expert et président du Groupe Spécialisé n°9, donnant les avis techniques pour les cloisons, doublages, plafonds.Gilles Chatras, vice-président sortant, il est réélu à ce poste qu'il occupe depuis 2020. Élu administrateur confédéral en 2009, il est élu président du FAF-CEA de 2017 à 2020. Il a également été conseiller professionnel de l'UNA des métiers de la Peinture-Vitrerie-Revêtement de 2005 à 2020. En 1991, il reprend l'entreprise familiale située à Clermont-Ferrand. Aujourd'hui associé au sein d'une SARL de peinture, décoration et plâtrerie, il emploie 2 salariés et un apprenti. Adhérent de la CAPEB en 1991, il est élu Président de la CAPEB du Puy-de-Dôme en 2013. Trois nouveaux élus au sein du Conseil d'administration :Jean-Michel MARTIN :Charpentier Menuisier en activité principale, et œuvrant en Isolation Cloisons constructeur pour les activités annexes, il crée son entreprise en 1985 à Montilliers dans le Maine et Loire, qu'il co-gère avec son frère. Ils représentent la 6ème génération, la 7ème génération étant déjà dans l'entreprise, qui emploie aujourd'hui 38 salariés, apprentis compris. Jean-Michel Martin adhère à la CAPEB de son département en 1992 où les responsabilités syndicales ou professionnelles le portent à la présidence de 2012 à 2015. Il est également élu administrateur de l'U2P du Maine et Loire. A l'Assemblée générale de la CAPEB nationale du 22 avril 2021, il est élu président de l'UNA Charpente Menuiserie Agencement et, à ce titre, intègre le conseil d'administration.Bruno HATTON :Métallier et menuisier aluminium, Bruno Hatton a repris l'entreprise familiale en 2008 à Pruillé-le-chétif (Le Mans Métropole) dans la Sarthe. Bruno Hatton représente la 3ème génération. Son entreprise emploie aujourd'hui 18 salariés, dont 3 apprentis issus des Compagnons du devoir et de CFA du bâtiment. Il adhère à la CAPEB de son département l'année de son installation. Rapidement engagé et militant, les responsabilités syndicales le conduisent à la présidence de la Section métallerie départementale, puis à la co-présidence de la CAPEB de la Sarthe et à la fonction de trésorier de la CAPEB régionale des Pays de la Loire. Au sein de l'interprofession artisanale, il est élu trésorier de l'U2P départementale. A l'Assemblée générale de la CAPEB nationale du 22 avril 2021, il est élu président de l'UNA Serrurerie Métallerie et à ce titre intègre le conseil d'administration.Benoit GAUTHIER :Maçon en Ardèche à Saint Désirat, il succède à son père à la gérance de l'entreprise familiale en 2006 et travaille actuellement seul. Son entreprise, qui œuvre en pierres sèches, est labellisée EPV, Entreprise du Patrimoine Vivant. Son entreprise adhère à la CAPEB de son département en 1966, il enchaine les responsabilités syndicales qui le conduisent à la présidence de la CAPEB de l'Ardèche, puis à la présidence de la commission économique de la CAPEB régionale de Auvergne-Rhône-Alpes. Au sein de la CAPEB nationale, Benoit Gauthier est désigné conseiller professionnel auprès du président de UNA Métiers de la Pierre, Eric Le Dévehat. A l'Assemblée générale de la CAPEB nationale du 22 avril 2021, il est élu administrateur au sein du conseil d'administration.
Il y a 4 ans et 21 jours

Une isolation extérieure au triple bénéfice pour une résidence à Montrouge

Les 48 familles locataires de la résidence de la Vanne, à Montrouge (Hauts-de-Seine), apprécient la nouvelle image de leur immeuble ainsi que le confort apporté par les travaux réalisés en 2019. Cet immeuble de neuf étages situé au 46 ter rue de la Vanne a été construit au tournant de la décennie 1970. Après une consultation des habitants en 2017, CDC Habitat Social lance un projet global de rénovation énergétique du bâtiment : l'isolation complète des façades, l'isolation de la toiture terrasse, l'installation d'un système performant de ventilation mécanique contrôlée (VMC), le remplacement de la ventilation des parties communes en tirage naturel par un dispositif sous asservissement et le remplacement des fenêtres et portes-fenêtres, ainsi que la rénovation des parties communes et l'aménagement des espaces extérieurs.Objectif label BBC Effinergie rénovationAvant travaux, la consommation énergétique du bâtiment calculée par le bureau d'études thermiques ATPS est de 212 kWh/m².an. « Notre objectif est d'atteindre après travaux le niveau de performance du label BBC Effinergie rénovation, soit une consommation d'énergie primaire de 104 kWh/m².an », avance Raphaël Athané, responsable de programmes au sein de Grand Paris Habitat, GIE maîtrise d'ouvrage de CDC Habitat.Pour les façades, c'est l'isolation thermique par l'extérieur (ITE) qui s'impose comme la solution la plus efficace pour atteindre cet objectif ambitieux puisqu'elle constitue une véritable enveloppe du bâtiment. En outre, elle présente l'avantage de ne pas réduire la surface habitable et d'être mise en œuvre sans entrer dans les logements. « Ce bâtiment du début des années 1970 se prêtait bien à une telle réhabilitation thermique, observe Raphaël Athané. Sa forme parallélépipédique sans décrochements, compacte, était particulièrement adaptée à une isolation par l'extérieur ».Isolant incombustibleMais l'incendie de la tour Grenfell reste dans toutes les mémoires. Survenu en juin 2017 dans un immeuble de logements sociaux de 24 étages à Londres, il a fait près de 80 morts. Le feu serait parti d'un studio du quatrième étage et se serait propagé par une fenêtre ouverte vers les étages supérieurs par le bardage et un isolant inflammable posés lors d'une récente rénovation.Depuis ce drame, la réglementation est plus exigeante, demandant dans certains cas de vérifier la masse combustible mobilisable en cas d'incendie. Aussi les professionnels se montrent-ils prudents dans le choix des isolants.Pour la résidence de la Vanne, le maître d'œuvre Eric Roumilhac choisit la sécurité en prescrivant sur l'ensemble de la façade la mise en œuvre d'un système d'isolation extérieure avec isolant incombustible constitué de panneaux de laine de roche. « Avec une épaisseur de 160 mm de laine de roche, nous améliorons même grandement le niveau de sécurité de l'existant vis-à-vis du risque de propagation d'un incendie par la façade car les portes-fenêtres superposées sont ici très proches et ne sont pas séparées par des dalles de balcons », argumente Eric Roumilhac.Préparation du supportSuite à l'appel d'offres, c'est la société Isovéo qui est sélectionnée pour réaliser les travaux d'isolation de façade. Créée en 2014 par Adam Saadana, cette jeune entreprise en pleine croissance compte aujourd'hui une quinzaine de salariés et réalise des chantiers de ravalement et d'ITE dans toute l'Île de France.Six compagnons œuvreront en 2019 sur le chantier pendant huit mois, en se coordonnant avec l'entreprise chargée du remplacement des menuiseries, pour venir à bout des quelque 1 400 m² d'ITE. « Les façades d'origine en béton ne présentent aucune pathologie particulière, constate le dirigeant de l'entreprise, si ce n'est un encrassement naturel dû à la pollution et aux intempéries. »Une fois les trois nacelles installées sur la façade, les compagnons réalisent un sondage général et le piochage des quelques parties de béton non adhérentes (cloquage/ parties soufflées). Après un lavage de toute la surface avec ajout d'un décontaminant anticryptogamique, les fers apparents sont dérouillés et passivés par l'application d'un anti rouille puis les éclats de béton réparés. La pose de l'ITE peut alors commencer.Une façade lissée« Sur ce premier gros chantier que nous réalisions avec des produits Sto, un conseiller technique s'est rendu sur le site pour réaliser la préconisation technique, se souvient Adam Saadana. Il nous a guidés dans le choix des produits et nous a apporté des conseils de mise en œuvre ». Les panneaux de laine de roche de 160 mm d'épaisseur sont calés et chevillés sur le support. Les nez de dalles saillants du bâtiment d'origine, sources de ponts thermiques, sont enveloppés dans l'isolant. Les compagnons doivent ainsi jouer avec les différences d'épaisseurs pour lisser la façade dont l'aspect se trouve modernisé. Quant aux encadrements de fenêtres, ils sont isolés avec 40 mm de laine de roche.Une couche de base armée d'un treillis d'armature en fibre de verre est ensuite posée sur l'isolant. Il s'agit du même mortier-colle (StoLevell Uni) qui a servi à coller celui-ci sur la façade.Enfin, l'enduit de parement Stolit K taloché d'aspect mat vient assurer la finition du système d'ITE. Il a été choisi dans une teinte lumineuse : un blanc légèrement teinté de gris (RAL 9001).Les appuis de fenêtre sont habillés de tôle d'aluminium 20/10e prélaqué formant goutte d'eau, comme les couvertines des acrotères.L'objectif de performance thermique est atteint et même dépassé puisque la consommation énergétique est désormais de 101 kWhep/m².an. Et la résidence a gagné une image modernisée.Fiche technique Type de bâtiment : isolation par l'extérieur d'un immeuble de logementsLocalisation : 46 ter rue de la Vanne, 92120 MontrougeSurface de façade traitée : 1 400 m² Maître d'ouvrage : CDC Habitat Social – GIE Grand Paris HabitatArchitecte : David GoiMaître d'œuvre d'exécution : Eric Roumilhac, économiste de la constructionEntreprise applicatrice : IsoveoDate de livraison : 2020Solutions utilisées : ITE StoTherm Minéral avec isolant laine de roche et enduit de finition Stolit K 1,5
Il y a 4 ans et 23 jours

Alexandre Letoffet est nommé Responsable du Service Lorenove Grands Comptes

Entièrement dédié à la copropriété, le service Lorenove Grands Comptes a été créé il y a près de 15 ans. Le service s’est structuré au fil des années pour devenir une entité dédiée aux besoins spécifiques des copropriétés et des regroupements de copropriétaires. Aujourd’hui Lorenove Grands Comptes propose des solutions répondant aux principales problématiques de déperditions thermiques et nuisances sonores. Un ensemble complet de prestations est disponible, allant du diagnostic à la fabrication des menuiseries – dans les ateliers du Groupe Lorillard – puis à leur pose par des compagnons qualifiés RGE, jusqu’à la réalisation éventuelle d’essais acoustiques in situ pour justifier des performances annoncées. Ces 6 dernières années Lorenove Grands Comptes a évolué sous la responsabilité de Pierrette Schneider. Partie en retraite en septembre dernier, elle a transmis ses responsabilités à Alexandre Letoffet, nouveau Responsable Lorenove Grands Comptes. VINGTENAIRE AU SEIN DU GROUPE LORILLARD Recruté en juillet 2000, Alexandre Letoffet a débuté sa carrière au sein du Groupe, à l’atelier PVC de Chartres, durant 4 ans, dont 1 an en travail de nuit. Il rejoint ensuite le service métré pendant 6 ans, et en complément, il sillonne la France pour réaliser les prises de mesures pour les mises en fabrication en venant notamment en appui de la structure locale Lorillard Entreprise PACA, nouvellement fondée. S’ensuivent 5 années au sein de Lorillard Ile-de-France en tant que conducteur de travaux. Puis 5 autres années en tant que conducteur de travaux principal, chez Lorenove Grands Comptes. Sous la direction de Pierrette Schneider, il s’occupe de la formation et l’encadrement du personnel sur les chantiers, il prend également en charge la mise en œuvre des procédures de travail et la restructuration des méthodes, jusqu’à la passation des responsabilités du service, en septembre 2020. RESPONSABLE DE L’ENTITÉ LORENOVE GRANDS COMPTES Lorenove Grands Comptes se structure aujourd’hui autour de son pôle commerce et de son pôle travaux. Au sein de l’entité, 17 personnes, dont 5 conducteurs de travaux, 5 chefs de chantiers, 2 techniciens, 2 commerciaux et 3 assistantes réalisent un chiffre d’affaires de 11 millions d’euros et ont l’objectif de le porter à 13 millions en 2021. Depuis la création de Lorenove Grands Comptes, la typologie du marché a fortement évolué, comme le précise Alexandre Letoffet : « au départ, l’entité Grands Comptes réalisait des rénovations de copropriétaires à titre individuel et en petit volume car le service d’achat groupé et la mutualisation des frais n’étaient pas encore développés. Avec la création des achats groupés et l’arrivée de la rénovation énergétique, notre activité a connu une très forte expansion ». Bien structurée, commercialement compétitive et particulièrement aguerrie aux chantiers de copropriété, l’entité Grands Comptes a pour vocation d’offrir un véritable service qualitatif qui se fonde sur une culture globale de la sécurité, une qualité de pose et une excellente tenue de chantier. « Ma première mission c’est la sécurité de mes collaborateurs sur les chantiers. Je veille à ce que les équipes aient tout à disposition pour travailler sur les chantiers. Nous travaillons systématiquement avec des partenaires externes à qui nous devons impérativement transmettre cette culture » témoigne Alexandre Letoffet. Pour ce faire, il a créé un registre de sécurité de chantier, sur le non port des EPI, afin de sensibiliser le personnel et mis en place un suivi rigoureux sur chantier. « Autre mission fondamentale, c’est de veiller à la qualité des services relatifs au suivi des travaux et à la pose. C’est automatique, pour chaque chantier nous avons mis en place la délégation d’un chef de chantier et d’un conducteur de travaux pour fournir un véritable service qualitatif ». Les 5 chefs de chantiers et 5 conducteurs de travaux travaillent conjointement par binôme. Ils s’assurent du suivi et du contrôle de chaque réalisation, tant sur la pose, la qualité, la sécurité que la tenue du chantier. Selon la technicité et le volume du projet, ils peuvent gérer une dizaine de chantiers par an ; le service Grands Comptes rénove en moyenne 60 copropriétés par an. L’ESSOR DE LA RENOVATION ENERGETIQUE Aujourd’hui l’offre commerciale se découpe selon deux typologies majeures : les achats groupés de menuiseries pour les propriétaires et conseils syndicaux (prescription technique, offre, commandes, etc.) qui facilitent la mutualisation des coûts ; et les projets globaux de rénovation thermique pour les syndics, les architectes, les bureaux d’études. Plus modérément, le service intervient également dans le cadre de programmes de plans de sauvegarde de copropriétés en difficultés. « Depuis plusieurs années la rénovation énergétique a favorisé notre marché et notre notoriété. Nous avons également en interne dans le Groupe des synergies avec Lorillard Façades, qui nous ont permis de répondre à des appels d’offre et de valoriser la qualité de nos savoir-faire conjoints », témoigne Alexandre Letoffet, « Ces dernières années, avec le plan de rénovation énergétique, de nouveaux marchés se sont développés et notamment les écoles qui représentent actuellement 20% de l’activité de Lorenove Grands Comptes ». Si le dispositif des CEE a appuyé les programmes de rénovation énergétique des villes, dont le parc des écoles représente une majeure partie de ces rénovations, le programme MaPrimeRénov, nouvellement ouvert aux copropriétaires, manifeste le même intérêt. En effet, MaPrimeRénov est dorénavant accessible aux copropriétés pour les travaux d’efficacité énergétique réalisés dans les parties communes. « Le dispositif s’adresse à toutes les copropriétés achevées depuis 15 ans, au moins à la date de la notification de la décision d’octroi de subvention, qu’elles se situent en secteur diffus ou programmé et qu’elles présentent ou non des signes de fragilité ou de difficultés » précise Alexandre Letoffet. Pour bénéficier de cette aide, les travaux des copropriétés doivent être réalisés à 75% minimum sur des résidences principales et permettre un gain énergétique de 35%. Pour les propriétaires bailleurs (personnes physiques ou titulaires d’un droit réel immobilier conférant l’usage d’un logement pour financer les dépenses en faveur de la rénovation énergétique du logement qu’ils mettent en location), les plafonds de ressources sont appréciés en tenant compte de la composition de leur ménage et de la localisation du logement qu’ils occupent à titre de résidence principale. Par ailleurs, peuvent bénéficier d’une prime complémentaire à l’aide MaPrimeRénov’ Copropriétés, les copropriétés fragiles et les copropriétés en difficultés. « Le montant de l’aide est égal à 25 % du montant des travaux et l’accompagnement à maîtrise d’ouvrage est également pris en charge à hauteur de 30% de la prestation. Il est clair que le dispositif MaPrimeRénov, cumulé à notre service d’achats groupés et à la TVA 5,5% (pour la rénovation) facilitent le financement des projets. Par ailleurs, un bonus intitulé sortie de passoire F ou G ainsi qu’un bonus BBC avec une étiquette finale A ou B peuvent également être obtenus en complément » explique Alexandre Letoffet. Pour Lorenove Grands Comptes les projets se succèdent et le carnet de commande 2021 est empreint de cet essor ; si bien que l’entité recrute un nouveau binôme, conducteur de travaux et chef de chantier – ainsi qu’un commercial courant 2021 – afin de pouvoir répondre à la demande croissante des projets et offrir ce savoir-faire et ce suivi qualitatifs dont se fait fort le service. &nbsp;