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(679 résultats)
Il y a 2 ans et 330 jours

Porte rapide Dynaco S-5 Atex : la solution certifiée pour réduire les risques d'explosion

Dynaco propose des solutions de qualité pour les deux zones Atex 1/21 et 2/22 qui sont doublement certifiées, permettent de gagner du temps et de l'argent et offrent la tranquillité d'esprit. En bref, en installant des portes rapides S-5 Atex dans des zones sensibles aux explosions, vous augmentez la sécurité des hommes et des produits.Un environnement de travail sûrDe nombreuses industries sont confrontées aux zones Atex : des secteurs pharmaceutique, chimique et pétrochimique aux industries alimentaire et textile. Lorsque des gaz, des vapeurs ou des combustibles inflammables entrent en contact avec l'oxygène, toute source d'inflammation peut provoquer une explosion. Les étincelles, les flammes, les températures élevées ou l'énergie statique doivent donc être évitées à tout moment. En tant qu'employeur, vous devez être en mesure de permettre aux employés de travailler dans un environnement sûr et de réduire au minimum le risque d'explosion. Les portes rapides antidéflagrantes Dynaco S-5 Atex pour la catégorie 2 (zone 1/21) et la catégorie 3 (zone 2/22) sont un atout à cet égard.Certifié deux foisAffirmer qu'une porte est antidéflagrante est une chose. Dynaco, fait de cette preuve une réalité et les solutions Atex pour les zones 1/21 et 2/22 peuvent également présenter des certificats officiels pour l'ensemble de la porte en tant que produit fini et opérationnel. C'est unique dans le secteur et c'est une valeur ajoutée importante pour leurs clients, car de cette façon Dynaco apporte une tranquillité d'esprit, et évite beaucoup de travail administratif supplémentaire. Dans les environnements Atex, tous les composants de la porte doivent être antidéflagrants : de la structure métallique aux composants électriques, en passant par le tablier et les guides. Tous ces éléments sont toujours certifiés séparément par le fabricant respectif. Mais le travail de Dynaco ne s'arrête pas là, car en plus de ces certificats sous-jacents, les portes S-5 Atex sont également accompagnées d'un certificat de type, qui se rapporte au modèle, et d'un certificat de porte avec numéro de série, qui n'est délivré qu'après inspection de la porte entièrement finie et préassemblée. Apragaz, un organisme officiel européen de contrôle par organisme notifié, a visité l'atelier de Dynaco à cette fin. Ils vérifient, contrôlent et testent la conformité aux réglementations Atex et ne délivrent qu'ensuite leur rapport d'inspection C1 officiel. De solides atoutsOutre leur double certification, les portes rapides Dynaco S-5 Atex offrent d'autres avantages importants. Par exemple, ils réduisent le risque de contamination, assurent de meilleures conditions de travail et sont économes en énergie. En outre, ces portes permettent de réduire tous les coûts liés à l'Atex. Ils permettent une répartition aisée des différentes zones, minimisant ainsi la surface qui doit être conforme aux exigences Atex. Enfin, les portes ont un faible encombrement, prennent peu de place et peuvent être adaptées aux besoins spécifiques de l'entreprise, ce qui garantit un fonctionnement sans faille.
Il y a 2 ans et 336 jours

Elcia présentera sur Fensterbau une version de MyPricer 100% adaptée pour le marché allemand

Pour Johannes SALM, Business Developper Allemagne : « Chaque marché a ses propres besoins et ses particularités. Notre stratégie est d’adapter parfaitement MyPricer aux spécificités de chaque pays, aujourd’hui l’Allemagne, demain bien d’autres. Nous franchissons un cap avec MyPricer version Allemagne et nous nous réjouissons de la reprise des salons pour présenter ses nouvelles fonctionnalités. Rendez-vous à FENSTERBAU ! »La nouveauté à découvrir sur FENSTERBAU 2022 : La version allemande de MyPricer, la solution 100% web de chiffrage et commandeBien au-delà d’une simple traduction du français vers l’allemand, MyPricer a été repensé pour donner naissance à une nouvelle version totalement adaptée aux spécificités et besoins du marché Menuiserie, Store et Fermeture allemand. L’objectif : avoir un nouveau produit spécifiquement pensé et destiné pour une utilisation en Allemagne !Les nouvelles fonctionnalités de MyPricer version AllemagnePriorité aux champs pertinents et indispensablesA l’image des mentions RGE ou QUALIBAT ou encore des numéros de SIREN, indispensables sur le marché français mais qui n’existent pas en Allemagne, seuls les champs pertinents et utiles pour l’utilisation des professionnels allemands ont été conservés.L’ajout des mentions légales du paysA l’instar des champs personnalisables, les mentions légales devant figurer sur les documents fournis par une entreprise de Menuiserie, Store, Fermeture allemande ont été revues. Ainsi, les modèles de documents édités avec MyPricer version Allemagne (devis, commande) ont été repensés pour être automatiquement en conformité avec la législation allemande.Une nouvelle interfaceL’interface de MyPricer Allemagne a bénéficié des récentes évolutions de la version française pour une meilleure ergonomie et un plus grand confort d’utilisation.Le + : une équipe germanophone à dispositionOutre des nouveautés technologiques, le Groupe ELCIA s’appuie également sur une équipe International germanophone intervenant au niveau de la vente, du marketing, de l’intégration ou encore de l’accompagnement client. Pour cela, un bureau de liaison a été créé à Sarrebruck afin d’établir un point de contact avec les clients et partenaires.
Il y a 2 ans et 341 jours

Edilteco® Lauréat de la 15ème édition des Trophées du Négoce, avec la technologie de béton bas carbone : CarbonCure Technologies

Organisés par INFOPRO, les Trophées du Négoce récompensent les meilleures initiatives et innovations de la distribution du bâtiment. Voici 3 années consécutives qu’EDILTECO® participe aux Trophées du Négoce. Les éditions 2020 et 2021 ont respectivement décerné des Trophées au mortier léger « La Chape XXs® » et à l’entrevous « EDIL-Voutain + CI ». Cette 15ème édition a dévoilé le palmarès 2022 des meilleures innovations des distributeurs et industriels en bâtiment, ce mercredi 15 juin. EDILTECO® avec la technologie CarbonCure, pour un béton bas carbone, est lauréate des Trophées du Négoce 2022 dans la catégorie Environnement & Ressources Naturelles. Consacré à la conception et la construction bas carbone et aux usages et exploitations bas carbone, la technologie CarbonCure offre la possibilité aux fabricants de béton de concevoir un béton écologique et plus solide. LA TECHNOLOGIE CARBONCURE La technologie CarbonCure contribue fortement au développement durable. Cette technologie permet aux producteurs de béton (centrales à béton et préfabricateurs) de proposer le même béton de haute qualité mais avec une empreinte carbone réduite. Le principe du procédé est d’injecter du dioxyde de carbone (CO2) capturé dans le béton frais lorsqu’il est malaxé. Une fois injecté, le CO2 se transforme instantanément au contact du ciment en CaCO3 (carbonate de calcium) ; ces nanomatériaux sont incrustés en permanence et ne seront jamais rejetés dans l’atmosphère. Cette minéralisation du CO2 améliore également significativement la résistance à la compression du béton et permet de réduire en toute sécurité la teneur en ciment de chaque mélange. CarbonCure est détentrice d’un agrément technique délivré par le DIBT (Institut Allemand des Techniques du Bâtiment). La technologie CarbonCure est en totale conformité avec la norme NF EN 206. Ainsi, tout en respectant les dosages, avec l’ajout de CO2, il est possible de réduire de 4 à 6 % la quantité de ciment et en outre de conserver les mêmes performances techniques et mécaniques. En considérant que 6 % de ciment peuvent être économisés, cela équivaut à environ 15 kg/m3. Si l’on prend l’exemple d’une centrale à béton moyenne en France, consommant 40 000 m3 de béton par an, l’économie annuelle de ciment pour cette centrale est de 60 tonnes. EN PRATIQUE Chaque installation CarbonCure comprend 2 boitiers. Le premier (unité de contrôle) calcule précisément la quantité de CO2 à injecter selon la formulation de béton. Il est en relation avec le logiciel de la centrale (s’adapte à tous les logiciels des centrales) et en lien direct avec CarbonCure à qui il communique, en temps réel, toutes les données collectées pour le calcul de la consommation de CO2 injecté dans le béton. CarbonCure collecte les consommations exactes de CO2 de chaque centrale à béton. La méthodologie de CarbonCure a été vérifiée par l’organisme VERRA (Verra.org) pour l’obtention de certificats blancs mutualisés entre chaque acteur. L’autre boitier (le bloc vanne) est installé sur la cuve de CO2 et gère l’ajout de la dose. La cuve sous pression (20 bar) envoie le CO2 à l’état liquide dans le béton en cours de malaxage. C’est cette pression qui injecte et transforme le CO2 sous forme de neige dans le malaxeur, où le CO2 se transforme immédiatement en CaCO3 au contact du mélange. La centrale à béton est libre de choisir son fournisseur de CO2. EDILTECO® France s’occupe de l’installation des boitiers et leur programmation se fait automatiquement à distance. Une équipe de techniciens EDILTECO® a été spécialement formée pour assurer l’installation, la maintenance et le SAV des boitiers. La technologie CarbonCure offre une solution innovante et éprouvée pour la réduction de l’empreinte carbone dans la construction. CarbonCure donne la possibilité aux fabricants de béton de concevoir un béton écologique, avec la qualité habituelle, mais avec une empreinte carbone réduite. De leur côté, les architectes, ingénieurs et entrepreneurs obtiennent le même produit de construction fiable et de haute qualité, mais avec une empreinte carbone plus faible.
Il y a 2 ans et 343 jours

Conduits’Réno : une application pour faciliter le dimensionnement des conduits de fumée

Les conduits de fumées, une élément clé pour garantir la performance de son installation de chauffage à combustionLors de travaux de rénovation, la réutilisation de conduits de fumées nécessite un diagnostic précis. La plupart du temps, du fait des caractéristiques du nouveau générateur installé, l’installation voit ses températures de fumée baissées (réduction du tirage thermique). Il est alors indispensable que l’installation vérifie la compatibilité entre le nouveau générateur de chauffage envisagé et le conduit de fumée existant. Le dimensionnement et la vérification de la compatibilité d’un conduit existant doivent prendre en compte de nombreuses données : nature, hauteur, diamètre, isolation, caractéristiques du générateur, etc. Son dimensionnement s’appuie sur des calculs complexes décrits dans la norme NF EN 13384-1 et NF EN 13384-2. Conduits’Réno sécurise cette étape clé.Conduits’Réno, une application mobile pour valider facilement ses choix techniques sur les ouvrages de fumisterieConduits’Réno permet aux installateurs de facilement valider leurs choix techniques dans le cadre de la rénovation d’un générateur de chauffage à combustion. Cette application numérique est utilisable en maisons individuelles et sur des petites chaufferies avec des générateurs fonctionnant en gaz naturel, au fioul, ou au bois. Gratuite, elle est téléchargeable sur les stores (App Store, Google Play).Trois grandes fonctionnalités proposéesDimensionner un conduit de fumée en 12 étapes Conduits’Réno permet un dimensionnement simplifié du système d’évacuation des fumées en douze étapes avec un accompagnement tout au long de la saisie. Cette fonctionnalité couvre les principales technologies d’appareils de chauffage (gaz, bois) et de systèmes de conduits de fumée : conduit maçonné non isolé et isolé, conduit métallique simple paroi et isolé, tubage simple paroi ou isolé dans un ancien conduit, etc.Mener un audit technique pour le remplacement d’un générateurConduits’Réno permet aussi de réaliser un audit technique du local et d’un conduit existant. Ce diagnostic « terrain » permet d’accompagner l’installateur dans son analyse de l’installation existante et de l’aider à relever les éventuelles contraintes techniques qui pourraient s’avérer bloquantes à l’installation du futur appareil de combustion sur le conduit existant ou dans le local.Réaliser un audit réglementaire de l’ouvrage fumisterieConduits’Réno permet enfin de réaliser un audit réglementaire d’un conduit de fumée. Grâce à un relevé terrain personnalisé et guidé, le professionnel peut relever les non-conformités vis-à-vis des normes et de la réglementation en vigueur. Il peut également informer son client des travaux à réaliser pour y remédier.A la fin de l’étude, le professionnel peut visualiser et générer un rapport détaillé en format PDF. Il peut le transférer, s’il le souhaite, soit à des collaborateurs, soit à son client pour justifier sa proposition commerciale.
Il y a 2 ans et 351 jours

Menuiseries aluminium Sapa : des développements spécifiques pour la rénovation et une gamme riche pour les surélévations

Besoin de remplacer les menuiseries d’un appartement de style haussmannien ou d’un petit bâtiment tertiaire pour une mise en conformité thermique ? Envie de passer des fenêtres bois ou PVC à des modèles aluminium pour donner un esprit plus contemporain à une ancienne bâtisse ou à un pavillon des années 70 acquis récemment ? Pour […]
Il y a 2 ans et 351 jours

Les préalables à appréhender avant de lancer votre projet de rénovation

Pour avoir la sérénité de mener à bien vos travaux de rénovation maison, il est effectivement essentiel de prendre connaissance des étapes indispensables à préparer. En effet, que ce soit pour une rénovation globale ou partielle de votre habitat, vous devez appréhender les démarches préalables en consultant un blog sur la rénovation maison. Dans cette optique, vous devez noter qu’il y a le choix du meilleur professionnel pour assurer la prise en charge de votre chantier et garantir la conformité des opérations. Pareillement, les phases de planifications et de priorisation des tâches sont capitales, afin d’éviter les imprévus qui risquent de perturber le bon déroulement de votre plan. Privilégier la planification et la priorisation des travaux Dans la pratique, il est essentiel de distinguer deux types de travaux à planifier au préalable dans le cadre de votre rénovation, en sollicitant l’expertise d’un spécialiste confirmé. A savoir : Les rénovations techniques qui concernent entre autres les changements énergétiques à réaliser en priorité, afin de réduire votre consommation. Les rénovations esthétiques qui permettent d’apporter du rafraîchissement à votre aménagement intérieur ou des innovations dans votre style de déco. Pour ce faire, avec le soutien d’un expert qualifié, vous pouvez mettre en place la planification étape par étape de votre chantier, afin de maîtriser votre budget de rénovation. Vous aurez ainsi l’opportunité de voir de près les aides financières auxquelles vous pouvez prétendre en réalisant un projet de rénovation énergétique. A ce stade, il peut notamment vous conseiller sur l’adoption d’une solution qui vous donne la possibilité de combiner à la fois l’aspect esthétique et énergétique. Il peut s’agir à titre d’exemple des portes et fenêtres en PVC qui ont pour avantages de vous offrir la capacité de : Rehausser le design de votre intérieur, Optimiser votre confort, Réaliser des économies énergétiques. Réfléchir à une approche globale Lorsque vous projeter de mettre en œuvre un chantier de rénovation, cela signifie qu’il y a différents points que vous souhaitez changer dans votre aménagement actuel. Dans cette optique, il est utile de trouver de conseils pratiques pour vous permettre de connaître tous les aspects à prendre en considération au préalable. Dans le cadre de votre réflexion, penser à solliciter l’expertise d’un professionnel fiable en bâtiment pour vous accompagner dans votre démarche. Ainsi, vous aurez l’opportunité de bénéficier de ses lumières pour trouver des solutions pratiques à vos problématiques, telles que : L’installation de nouvelles fenêtres, Le constat manque de lumière, L’insuffisance d’aération, Le souci d’isolation… En effet, ses compétences vous aideront à avoir une approche globale de vos besoins, en vue de vous proposer les interventions spécifiques pour mener à bien votre projet de rénovation. En résumé, pour garantir le bon déroulement de vos travaux de renovation maison, vous ne devez pas négliger la planification et la priorisation des interventions. En effet, en regardant des astuces pratiques sur le blog sur la rénovation maison sur ce site : https://www.blog-renovation-maison.fr/ , vous constaterez qu’il s’agit d’une étape indispensable pour vous mettre à l’abri de mauvaises surprises. Pour ce faire, le mieux est de voir les détails des préparatifs avec l’aide d’un expert spécialisé dans ce domaine, afin d’assurer la réussite de votre plan.
Il y a 2 ans et 356 jours

Rénovation énergétique : l'Anah propose un dispositif pour sensibiliser les ménages aux risques de fraudes et réaliser les travaux en toute tranquillité

Un dispositif de prévention des ménages contre la fraudeL’Anah, a en effet pu constater certaines pratiques frauduleuses. Celles-ci concernent notamment l’usurpation d’identité des ménages, ou encore des défauts dans la réalisation des travaux.En conséquence, l’Anah a décidé d’apporter des conseils très pratiques aux usagers, à toutes les étapes du projet pour se prémunir de ces mauvaises expériences.L’Anah recommande également, avant de se lancer, de consulter le site France Rénov’ afin de se rapprocher d’un conseiller.Bien préparer son projet est essentielLes particuliers sont invités à contacter France Rénov’, qui est un service public neutre et gratuit, pour s’informer et être conseillés sur les travaux à réaliser en fonction de leurs besoins.Il est également recommandé de faire faire plusieurs devis pour pouvoir comparer et de ne pas se précipiter dans la décision et la signature des devis.Se protéger des démarchages abusifsLes administrations ne démarchent jamais les particuliers. Aucune entreprise ne peut se revendiquer de l’Anah ou d’un autre organisme public auprès des particuliers.Par ailleurs, le démarchage téléphonique est interdit depuis juillet 2020. Sur internet, des sites peu scrupuleux, et pouvant utiliser les logos des organismes publics, invitent les particuliers à laisser leurs coordonnées. Ces coordonnées, notamment fiscales, peuvent être utilisées pour usurper l’identité des particuliers. Il est vivement recommandé de ne jamais les donner.En cas de démarchage à domicile, les particuliers sont invités à ne pas céder à la pression commerciale et ne rien signer durant la visite. Un délai de rétractation de 15 jours doit être clairement indiqué sur les documents, et l’entreprise, par ailleurs, ne peut vous demander des informations personnelles lors de la visite, ni repartir avec ces informations.Piloter sa demande d’aide financière Pour toute demande d’aides, notamment de MaPrimeRénov’, les particuliers doivent créer leur compte eux-mêmes et ensuite désigner l’entreprise comme mandataire. En raison du risque d’usurpation d’identité, les entreprises ne sont pas habilitées à réaliser cette démarche, ni à utiliser les données fiscales ou personnelles de leurs clients. En cas de difficultés d’accès au numérique, un proche, les maisons France Services, le centre communal d’action sociale, les espaces France Rénov', peuvent accompagner les particuliers pour les aider dans leur démarche.Suivre la réalisation des travauxSi des difficultés sont constatées lors des travaux avec les entreprises, les particuliers peuvent prendre contact avec la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes via le site : signal.conso.gouv.fr, la maison du droit la plus proche de leur domicile ou un conseiller France Rénov'.Assurer la réception des travauxAvant de signer la réception des travaux, il faut vérifier la conformité entre le devis et les travaux réalisés. En cas de litiges, le médiateur de la consommation pourra orienter et guider les ménages dans leur démarche.Retrouvez en téléchargement : Le flyer « Rénovez votre logement en toute tranquillité »
Il y a 3 ans et 5 jours

La construction hors site en plein essor

Prémur préfabriqué en usine et prêt à l’emploi. [©AC Presse] La construction hors site permet de fabriquer et de pré-assembler des composants de bâtiments, en usine, pour une installation sur l’emplacement final. C’est ce que l’on appelle “préfabrication” dans le secteur du béton. Et ce, depuis les années 1920. La société BTP Consultants1 a observé l’évolution et l’impact du hors site dans le secteur de la construction. En effet, ce dernier représenterait 20 % des bâtiments construits dans le monde d’ici 2030, selon le cabinet McKinsey. L’essor de cette technique s’explique notamment par les avantages économiques ou écologiques qu’offrirait la construction hors site par rapport à la construction traditionnelle sur chantier. En effet, l’association UFC-Que Choisir démontre que cette dernière est soumise à des retards de livraisons d’en moyenne 5 mois sur près de 30 % des programmes immobiliers. D’après l’institut Xerfi, elle subit aussi la baisse de 19,3 % de la productivité des ouvriers sur les chantiers depuis 2001. De plus, elle jette l’équivalent de 1,5 Md€ de produits et matériaux non utilisés. De son côté, la construction hors site propose des avantages au niveau de la gestion des ressources. Elle facilite l’emploi de matériaux recyclés ou réutilisés, limitant ainsi le gaspillage de matières premières. L’impact de la construction hors site D’après une étude de l’université d’Aalto, en Finlande, cette technique permet aussi une productivité quatre fois supérieure à un chantier classique. En outre, les coûts des transports sont divisés par cinq, car les matériaux sont stockés en usine. Par ailleurs, le développement de « la construction hors site révolutionne le secteur et impacte tous les acteurs impliqués dans l’acte de construire », déclare Elia Abou Chaaya, directeur de l’activité hors site de BTP Consultants. Les bureaux de contrôle, qui contribuent à la prévention des aléas techniques dans la réalisation des ouvrages sont en particulier touchés. Lire aussi : La préfabrication à la mode du bas carbone « Le rythme classique d’un contrôleur technique n’est pas adapté à l’industrialisation, ajoute Elia Abou Chaaya. C’est tout un état d’esprit qui évolue. » Leur mission est de vérifier la faisabilité de la conception et la conformité des solutions industrielles. Tout en détectant les techniques non traditionnelles ou innovantes nécessitant des certifications spéciales de type Atex2. Les coordonnateurs SPS, qui évaluent les risques sur le chantier, sont aussi concernés par ce changement. Ils doivent adapter leur vision pour prendre en compte le risque d’accident en usine, la réduction de la phase chantier, le traitement des livraisons et du mode de montage des modules. 1 BTP Consultants est un bureau de contrôle technique de construction et de coordination SPS. Il est le premier à être certifié Iso 9001 et Iso 14001.2Procédure d’évaluation technique formulée par un groupe d’experts sur un produit ou un procédé innovant. 
Il y a 3 ans et 6 jours

Le CSTB accompagne les collectivités et leurs bureaux d'études pour leurs passations de marchés avec un cadre contractuel actualisé et exhaustif

Le CSTB a travaillé - aux côtés des acteurs de la commande publique, de la maîtrise d'ouvrage, de la maîtrise d'œuvre publique et privée et des professionnels - à l'élaboration d'un référentiel clair et exhaustif couvrant les domaines de l'eau et de l'assainissement. Le contenu des fascicules 70-1 et 71 du CCGT, applicables aux marchés publics, a été actualisé et fortement enrichi, avec une écriture poussée de l'état de l'art et une prise en compte des évolutions normatives/réglementaires et techniques : Intégration des évolutions techniques et technologiques et ouverture à l'innovation Intégration de l'économie circulaire Définition de points de contrôle des ouvrages pour une réalisation fonctionnelle et conforme Modèles de CCTP pour une appropriation plus rapide et une identification des points sensibles de vos marché En savoir plus : Consultez le fascicule 70-1 Consultez le fascicule 71 Les fondamentaux de la réglementation Le financement public en matière d'assainissement ou d'adduction d'eau potable impose au titulaire des marchés de s'assurer des performances déclarées des produits. Lorsqu'un produit est utilisé, il doit être conforme à une ou plusieurs normes et cette conformité doit être prouvée. Un produit certifié NF ou QB répond en tout point à ces exigences qui sont vérifiées, en continu, par un organisme tiers sur les lieux de production ou de mise en œuvre. Sans ce marquage, c'est à l'acheteur public de procéder à des contrôles à réception des produits sur chantiers. Les marques de référence dépendent des ouvrages et produits utilisés : Fascicule 70-1 : NF 442, NF 390, QB 09 Fascicule 71 : NF 055 Sans oublier les Avis Techniques pour les procédés non traditionnels Vous n'êtes pas sûrs que vos CCTP soient conformes aux exigences réglementaires ? Vos critères de sélection des produits sont-ils adaptés aux usages ? Avec Bati CCTP Rédigez ou contrôlez vos CCTP en toute simplicité
Il y a 3 ans et 10 jours

Le Groupe Apave lance son nouvel écosystème de solutions digitales dédiées à la maîtrise des risques

A travers ces solutions digitales, alliant expertises techniques et puissance du digital, Apave permet à ses clients de simplifier la gestion de leurs risques et de leurs actions de prévention Santé & Sécurité et de répondre ainsi aux nouveaux enjeux des entreprises.Des solutions digitales conçues avec et pour les clientsConçues et testées avec des clients, les solutions digitales Apave répondent aux enjeux de protection des personnes, des biens et de l’environnement. Elles se structurent autour de 4 gammes distinctes et complémentaires : ALERT, CHECK, PILOT et PREDICT.ALERT : des solutions dédiées à la remontée d'informations en temps réel permettant d’identifier et de partager des alertes dans une perspective de résolution ou de prévention active. Cette gamme vient notamment conforter les actions que mettent en œuvre les entreprises certifiées MASE, ISO 45001 et/ou ISO 14001.CHECK : des solutions permettant de réaliser des diagnostics de conformité et de mesurer la trajectoire d’amélioration qu’il est ou serait nécessaire de mettre en œuvre.PILOT : des solutions permettant de piloter tout ou partie d’un processus de maîtrise des risques et d’en améliorer la performance dans la durée. Automatisation de la maintenance corrective, pilotage de la performance, plateforme BIM unique et intuitive, gestion dynamique des risques professionnels…etc…sont autant de fonctionnalités couvertes et offertes par cette gamme de solutions.PREDICT : des solutions offrant une approche prédictive de l’analyse des risques analysant des probabilités de survenance.Chacune de ces 4 gammes de solutions se décline par domaine d’expertise avec une approche « besoins utilisateurs ». Ainsi, les solutions répondent directement et précisément aux besoins spécifiques des utilisateurs en fonction de leur champ d’action : Santé & Sécurité au Travail Environnement Exploitation …Focus : une ligne « Santé Sécurité » pour répondre aux nouveaux enjeux des entreprisesPromulguée le 2 août 2021, la loi dite de « Santé au Travail » vise à renforcer la prévention en entreprise et la culture sécurité dans les organisations et a vu ses premiers décrets d’application entrer en application le 1er avril 2022.La gamme de solutions digitales Apave dédiée à la « Santé & Sécurité au Travail » répond parfaitement aux nouveaux enjeux des entreprises. En effet, l’évaluation des risques qui constitue une étape cruciale d’une démarche de prévention est souvent réalisée et formalisée dans le « Document Unique » dans une approche statique et administrative, alors que le contenu peut et doit devenir le cœur de l’action.Ce que disent les clients …AlertAssocié à une politique volontariste, l’outil remplit parfaitement sa mission. Ce sont aujourd’hui environ 115 personnes qui l’utilisent au quotidien, essentiellement le personnel de maintenance intervenant chez nos clients et le personnel d’usine. Nous avons constaté une augmentation très significative des remontées d’informations sur nos sites clients » : Thierry Renaud, Responsable Santé Sécurité au Travail de la division Industrie du groupe industriel REEL.Check« Une application instinctive et simple. C'est très appréciable, de même que les propositions d'actions pré-remplies et les zones de commentaires libres pour compléter et affiner les actions ! La solution est aussi très visuelle, avec des graphiques par domaine” : Noémie Amalir, Chargée de Missions en Santé et Sécurité au Travail et Formations Règlementaires, Le Puy du FouPilot« La mise en place de Pilot Exploitation a fait diminuer indéniablement le délai moyen de levée de réserve. Le sujet du délai reste un moyen de pression pour confirmer ou infirmer si nos installations sont exemptes de risque, et du coup atteindre le risque « zéro accident » : M. Dufour, Responsable des services techniques et gestion du patrimoine immobilier du Crédit Agricole Industriel
Il y a 3 ans et 11 jours

Ordonnances Travail : la Cour de cassation valide le barème des indemnités de licenciement

Dans ces décisions, elle confirme la conformité de ces dispositions à l’article 10 de la convention n°158 de l’Organisation internationale du travail qui précise le cadre de la cessation de la relation de travail à l'initiative de l'employeur.Ces décisions interviennent après l’approbation par le conseil d’administration de l’OIT du rapport de son comité concluant lui aussi à la conformité de la législation nationale à la convention n° 158 relative au licenciement, le 25 mars dernier. Permettant un resserrement et une uniformisation des indemnisations pour des salariés se trouvant dans les mêmes situations, le barème des indemnités prudhommales introduit par les ordonnances Travail en 2017 donne une plus grande prévisibilité dans la relation de travail et a permis de développer des alternatives au contentieux, ce qui in fine contribue à une augmentation continue des embauches en CDI. Entre début 2017 et fin 2021, la part des CDI dans les embauches de plus d'1 mois est passée de 45% à près de 51%.
Il y a 3 ans et 11 jours

Comment fonctionne l’évacuation de la terre polluée sur les chantiers ?

Qu’en est-il de la terre polluée sur votre chantier ? Comment en assurer l’évacuation ? Quels sont les bons à savoir ? Déchets issus d’un chantier : kézako ? Quand vous vous lancez dans une nouvelle construction, vous produisez forcément des déchets. Ce peut être des résidus en plastique ou des graviers, des restes de briques et de matériaux en tout genre. Ce peut être également de la terre. Le terme de déchets de chantier fait encore un peu débat en France. En effet, le Code de l’environnement n’est pas encore très précis sur ce sujet. En outre, le Conseil d’État tend à exclure certaines ordures issues des chantiers, de la liste des déchets. Ce qui ne facilite pas la gestion de ces derniers. Alors : quels sont réellement les déchets de chantier ? Selon les experts, on peut qualifier de déchets de chantier : l’amiante, les substances inertes comme le béton, le ciment ou l’ardoise, etc. Tel est aussi le cas des déchets non toxiques qui proviennent effectivement du chantier. Ils peuvent être recyclables ou non. On compte également dans les déchets issus d’un chantier les produits dangereux. Ce peut être entre autres le bois traité, les produits synthétiques, le goudron, etc. Certains peuvent être préparés pour être réutilisés, d’autres non. Enfin, la terre peut être comptée parmi les déchets de chantier. C’est le cas de la terre non souillée et qui ne nécessite pas de préparation. Tel est aussi le cas de la terre polluée qui nécessite des traitements spécifiques avant le recyclage. Qui est responsable de ces déchets ? Qui est donc responsable de ces déchets de chantier ? En la matière, l’article L.547-2 du code de l’environnement, n’est pas très précis. L’évacuation de la terre polluée incombe aux producteurs et aux détenteurs. Par interprétation, on peut dire qu’il s’agit du promoteur ou du maître d’ouvrage ou encore du propriétaire de la maison. Peuvent également être considéré comme des producteurs de ces déchets, tous les artisans qui interviennent sur le chantier et qui produisent effectivement la terre polluée en question. Comme quoi chacun est responsable de l’impact environnemental qu’il peut faire. Malgré tout, il est possible de confier l’évacuation de la terre polluée à des professionnels. Il ne suffit pas de s’en débarrasser L’évacuation de la terre polluée sur les chantiers devra respecter plusieurs étapes. Tel sera aussi le cas de tous les déchets du chantier. Il ne suffit pas de s’en débarrasser. Selon toujours le Code de l’environnement, il faudra passer par la préparation de ces derniers, puis par le recyclage et la valorisation avant de passer à l’élimination. Comme susmentionnée, la terre polluée fait partie des déchets de chantier. Elle est polluée par des produits de toutes sortes. D’où son nom. Mais cela n’empêche pas sa réutilisation. En la traitant avec des hydrocarbures, généralement, cela permet de neutraliser les produits et de la réutiliser. C’est ce que l’on appelle justement hiérarchisation de l’évacuation des déchets de chantier. Il faut commencer par préparer et traiter la terre polluée avant le recyclage. Confier la prise en charge de la terre polluée à des professionnels Comme susmentionnée, vous pouvez confier la prise en charge de la terre polluée de votre chantier à des professionnels. En effet, il faut une certaine compétence pour bien conditionner et transporter la terre polluée. Il faut tout autant de savoir-faire pour la traiter en vue d’une réutilisation. Les entreprises d’évacuation de la terre polluée proposent un service sur mesure et peuvent s’adapter à n’importe quelle taille de chantier. Elles mettent à votre disposition ses différents centres de traitement et se chargent aussi de l’acheminement des déchets en question. Le tout sera sujet à un devis personnalisable. Fort de leurs années de métier dans ce domaine, les entreprises d’évacuation de terres polluées seront plus à même de respecter les règles de conformité. Selon les besoins de l’acheminement et du traitement des déchets en question, les équipements utilisés peuvent varier. De quoi assurer aussi la sécurité des chantiers et des transporteurs. Les meilleurs spécialistes dans ce domaine peuvent même proposer à leurs clients une traçabilité et une géolocalisation de la terre polluée afin de faire le suivi du déplacement des déchets de chantier. Les avantages de confier l’évacuation de la terre polluée à des professionnels Actuellement, de plus en plus d’entreprises de construction et même de simples particuliers font appel à des entreprises d’évacuation de la terre polluée. Ce type de prestataire peut intervenir dès le début des travaux. Il vous permet d’économiser du temps dans l’évacuation de la terre de remblayage et des excès de terre sur le chantier. Évidemment, les entreprises d’évacuation peuvent aussi intervenir à la fin de chantier. Ce qui peut aider dans la remise en état des lieux et vous permettre de continuer dans l’aménagement de l’espace extérieur de la maison. Le Code de l’environnement impose des normes bien précises pour l’évacuation et la prise en charge des déchets de chantier et notamment de la terre polluée. Avec l’aide d’un professionnel en la matière, vous aurez la garantie de respecter les règlementations, ce qui vous évitera de devoir payer des pénalités. Il met à votre disposition tous les équipements et appareils de gros travaux dont vous aurez besoin pour la prise en charge, l’acheminement et le traitement de la terre polluée en question. Vous n’avez rien d’autre à faire que de superviser. En outre, les entreprises d’évacuation de la terre polluée sont des alliées incontournables pour réduire l’impact environnemental de votre projet de construction. Ce qui vous vaudra une meilleure image sur le marché, notamment si vous êtes un promoteur immobilier. Le devis sur mesure proposé par les prestataires de ce type vous permet de négocier le meilleur prix en fonction de l’importance de vos déchets de chantier.
Il y a 3 ans et 12 jours

Construction modulaire hors-site : enjeux, évolutions et impacts sur les bureaux de contrôle

La construction hors-site et ses avantages pour le secteurElle est issue DFMA - Design for Manufacturing & Assembly -, “Concevoir pour la Préfabrication et l’Assemblage”. Cette méthode moderne de construction intègre dans un processus industriel tous les métiers du bâtiment et impose à l’ensemble de la filière de se réinventer et d’adapter ses méthodes.En pleine croissance, la construction hors-site représentera d’ici 2030, 20% des bâtiments construits dans le monde (source : McKinsey). Cet essor s’explique notamment par la raréfaction de la main d’œuvre qualifiée, la hausse du coût de la construction et des sinistres, l’allongement des retards sur les chantiers et la prise en compte croissante des impacts environnementaux du secteur de la construction.Les grandes différences entre les modes constructifsLa construction traditionnelleÉconomiqueLes retards de livraison sont en moyenne de 5 mois sur près de 30% des programmes immobiliers livrés (source : UFC Que Choisir, 2017).L’augmentation des coûts de construction est de +5,5% entre 2019 et 2021 en France (source : INSEE, 2022).La baisse cumulée de la productivité sur les chantiers est de 19,3% depuis 2001 (souce : Xerfi).ÉcologiqueLe béton représente 8% des émissions mondiales de CO2 (source : Guardian, 2019).L’équivalent d’1,5 milliard d’euros de produits et matériaux non utilisés sur les chantiers sont jetés, ou à minima stockés chaque année sans être répertoriés par les 400.000 entrepreneurs français du BTP.La sinistralité a augmenté de 75% en 10 ans (source : SMABTP).La construction hors-siteÉconomiqueLa productivité d’un ouvrier sur un chantier classique correspond à 20% de son temps, contre 80% pour une construction hors-site (source : Etude université de Aalto).La non-qualité dans le bâtiment coûte quasiment 10 milliards d’euros par an, soit environ 10% du chiffre d’affaires du secteur (source : Agence qualité construction).Les accidents de travail sont réduits car l’environnement de travail en usine présente moins de risques.ÉcologiqueLes coût des transports sont divisés par 5 car les matériaux peuvent être stockés en usine, à l’inverse des chantiers sur lesquels ils sont livrés au compte-goutte et où ils peuvent se dégrader. De plus, les ouvriers n’ont pas besoin de se déplacer sur chaque opération.Les ressources sont mieux gérées et triées ce qui permet une réduction du gaspillage.L’utilisation de matériaux renouvelables ou recyclables est facilitée : bois, acier, matériaux biosourcés, etc.Le recyclage des matériaux est mieux optimisé grâce à la démontabilité des éléments et modules ou leur réutilisation dans un autre lieu et parfois pour un tout autre usage.Construction hors-site et RE2020Construire hors-site permet de diminuer significativement l’empreinte carbone des ouvrages, ce qui fait de cette méthode constructive un atout majeur pour la mise en application de la RE2020.Entrée en vigueur le 1er janvier 2022, la RE2020 est la nouvelle réglementation environnementale qui vient remplacer la réglementation thermique 2012 (RT2012). Un de ses objectifs est de limiter les gaz à effet de serre générés par la construction du bâtiment et les consommations d’énergie.D'une démarche projet à une démarche produit : les impacts sur les bureaux de contrôleAlors que le développement de la construction hors-site en France en est à ses prémices, cette méthode constructive si particulière est une opportunité à saisir pour l’ensemble du secteur dont les bureaux de contrôle technique. Toutes ces évolutions engendrent un profond changement dans les méthodes de travail... et nécessitent l’engagement de tous les acteurs !L'évolution de la mission du contrôleur techniqueLe rôle d’un bureau de contrôle technique est de contribuer à la prévention des aléas techniques dans la réalisation des ouvrages.Dans le cadre d’un projet industrialisé, le contrôleur technique s’implique davantage en phase de conception. Son rôle est de vérifier la faisabilité de la conception, de la conformité des solutions industrielles mais aussi de détecter les techniques non- traditionnelles ou innovantes nécessitant des justifications spéciales de type ATEX.En phase exécution, la mission de contrôle technique sur le chantier est complétée par des vérifications hors-site en usine. En phase chantier, des points de contrôle spécifiques à ce mode constructif sont réalisés.Le contrôleur technique doit prendre en compte les spécificités de ce mode constructif, et comprendre sa philosophie pour remplir au mieux sa mission principale de prévention des risques et des aléas.Pour Elia Abou Chaaya, Directeur de l’Activité hors-site de BTP Consultants : « La construction hors-site révolutionne le secteur et impacte tous les acteurs impliqués dans l’acte de construire, des autorités publiques jusqu’à l’utilisateur final, en passant par les assureurs, les concepteurs et les bureaux de contrôle. Actuellement, le rythme classique d’un contrôleur technique, même s’il intervient à toutes les phases, n’est pas adapté à l’industrialisation. C’est tout un état d’esprit qui évolue, en passant d’une démarche projet à une démarche produit. Par cette démarche de standardisation, les constructeurs ou les maîtres d’ouvrage cherchent l’optimisation du temps, des coûts des matériaux et des services intellectuels. La mission de contrôle technique initialement prévue pour un “projet”, s’adapte donc pour amener plus de valeur ajoutée en phase conception et est complétée par des vérifications en usine. »Les changements pour le coordinateur SPSLe coordonnateur SPS intervient à toutes les phases d’une opération de construction et a pour rôle d’évaluer les risques sur le chantier et les interventions ultérieures sur l’ouvrage.Sur des projets de construction hors-site, le coordonnateur SPS adapte sa vision pour prendre en compte le risque d’accidents maîtrisé en usine, la réduction de la phase chantier et le traitement particulier des livraisons et du mode de montage des modules. De plus, les interventions ultérieures sur l’ouvrage sont mieux définies et mieux maîtrisées que dans un schéma traditionnel.La nécessité de l'évolution de l'arsenal réglementaireLes normes, les règles et les validations des techniques “non-traditionnelles” allongent les délais et peuvent complexifier l’aboutissement d’un projet. La France doit savoir innover par rapport au cadre réglementaire actuel. Les concepts de mise en sécurité des bâtiments doivent être remis à plat et les règles de l’art de tous les corps d’état doivent être repensées autour d’un processus d’industrialisation de la construction.Comment BTP Consultants fait bouger les lignes de la construction hors-site ?Pour Roland Le Roux, Président du Groupe BTP Consultants : « Conscient des atouts et du potentiel de la construction hors-site en France, BTP Consultants s’est très tôt positionné comme précurseur du contrôle technique pour ce type de construction. Nous avons créé une direction dédiée aux projets hors-site et formé un réseau national d’une vingtaine de collaborateurs capables de répondre aux spécificités de ces interventions. À travers notre soutien au Campus Hors-Site lancé par Pascal Chazal et l’organisation d’événements sur le sujet, nous nous engageons au quotidien pour sa démocratisation en France. »Le bureau de contrôle est un acteur-clé dans un projet de construction, et son rôle est particulièrement central dans les projets de construction hors-site qui font parfois appel à des techniques et des méthodes innovantes.Pour Pascal Chazal, Fondateur du Campus hors-site : « BTP Consultants réalise un module dédié au contrôle technique sur la plateforme du campus hors-site. Son implication aux côtés des différentes parties prenantes du chantier, sa compréhension de l’approche industrielle et sa capacité à s’y adapter sont autant de facteurs essentiels pour que la mission de contrôle technique soit au service d’un projet de construction hors-site réussi. Avec l’industrialisation du concept et la reproduction des projets issus de la même conception, le contrôleur technique maîtrise de plus en plus sa démarche de vérification et de contrôle. Il adopte une approche industrielle et optimise ainsi le temps à passer pendant la réalisation. »Les chiffres clés 2021 de BTP ConsultantsChiffre d’Affaires : 57M€Nombre de collaborateurs : +450Nombre de projets en cours : +12000Nombre d’agences en France : 28Note moyenne de satisfaction clients : 8,7/10Note moyenne de satisfaction collaborateurs : 8,9/10
Il y a 3 ans et 13 jours

A Nanterre, deux escaliers remarquables pour le Carillon de Jean Willerval

Dans le cadre de la mise en conformité du Carillon de Nanterre (Hauts-de-Seine), Watt Design & Build a prescrit l’installation de deux escaliers monumentaux. Gantois architecture a transformé une idée audacieuse en réalité. Le projet A Nanterre (Hauts-de-Seine), le Carillon est un vaste ensemble de bureaux construit en 1991 par l’architecte Jean Willerval sur l’esplanade […] L’article A Nanterre, deux escaliers remarquables pour le Carillon de Jean Willerval est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 14 jours

Edilteco® remanie sa gamme d’entrevous moulés et présente EDIL-Moulé

Les entrevous EDIL-Moulé assurent le coffrage de la dalle de compression coulée et l’isolation du plancher. En polystyrène expansé (M4) et en polystyrène ignifugé (M1), ce sont des entrevous très légers et thermiquement isolants, particulièrement indispensables sur un vide sanitaire ou sur un haut de sous-sol, pour une performance thermique élevée.La gamme EDIL-Moulé se décline en deux familles : les entrevous pour poutrelles précontraintes et les entrevous pour poutrelles treillis, nommée notamment EDIL-Moulé TR.3 références d’entrevous sont disponibles dans les 2 gammes, selon leur résistance thermique : Up 27, Up 23 et Up19. D’autres références sont tout de même disponibles hors gamme.La taille standard de l’entrevous est dimensionnée par un entraxe de 600 mm sur une longueur de 600 mm. Deux hauteurs coffrantes sont proposées en 120 mm et 150 mm pour les poutrelles treillis. Tous les entrevous sont dotés d’une languette venant isoler la sous face des poutrelles, annihilant ainsi efficacement les ponts thermiques.Leur moulage leur confère une géométrie parfaite, ils se mettent en oeuvre très simplement, sans la nécessité de les retravailler. Leur format n’est pas plein, ils sont alvéolés de canaux longitudinaux pour être les plus légers possible, en dehors de l’entrevous Up 19 qui est quasiment plein. La forme des alvéoles facilite le montage des poutrelles et a été spécifiquement pensée pour simplifier leur découpe dans le cas d’un montage avec poutrelles jumelées.Destinée aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, la gamme EDIL-Moulé constitue une véritable barrière aux déperditions thermiques, gage de performance énergétique pour le vide sanitaire de l’habitation. En effet, grâce à leurs excellentes qualités d’isolation, les entrevous de la gamme EDIL-Moulé participent à l’amélioration thermique des planchers et concourent à la réalisation de bâtiments en conformité avec les exigences des besoins bioclimatiques de la RE 2020. Les performances et la résistance mécanique de la gamme EDIL-Moulé sont certifiées par la certification NF du CSTB (N° 123-039) qui, non seulement, apporte une garantie de sécurité sur les chantiers lors de la pose et du coulage (résistance > à 150 daN) mais également, atteste de la compatibilité de forme entre les entrevous et les poutrelles ainsi que de la performance thermique du PSE (Lambda 0,035).
Il y a 3 ans et 14 jours

Cyrkl : Le “Vinted” tchèque des déchets débarque en France

Cyrkl propose une plate-forme de revente des déchets pour mieux les valoriser. [©Cyrkl] Dans son dernier rapport, le Giec rappelle la nécessaire lutte contre le gaspillage à tous les niveaux, notamment ceux des déchets. En effet, ces derniers représentent 4 % des émissions de CO2 en France. « Il faut en finir avec le gaspillage de tous les produits qu’on achète et entrer dans une économie circulaire », déclare Bertrand Piccard, fondateur de Solar Impulse C’est pour aider les entreprises à réduire leur impact environnemental que la start-up tchèque Cyrkl a été créée il y a 3 ans. Cette plate-forme, basée sur l’économie circulaire, mixe marketplace et expertise. Cela, afin de trouver des solutions de valorisation des déchets et faciliter les synergies entre les acteurs industriels. Mais aussi d’augmenter l’utilisation de matières recyclées dans les processus de production. Solide d’une communauté de plus de 12 000 clients (Siemens, Saint-Gobain…), Cyrkl débarque en France. Cyrkl aide à la valorisation des déchets La start-up aide les industriels à transformer tous leurs déchets en ressources. Elle peut se comparer à la plate-forme de revente “Vinted”, qui permet de publier des annonces gratuitement. Et dans ce cas de figure, il s’agit de vendre des déchets. Ces derniers sont achetés par d’autres entreprises, à la recherche de matières secondaires, afin de les réutiliser ou de les recycler. L’idée est de bénéficier des meilleurs tarifs de vente et d’achat, en circuit court, le plus local possible. Actuellement, 12 catégories sont disponibles, avec notamment le bois, les matériaux de construction, les métaux, le plastique ou encore le verre. Lire aussi : Tri’n’Collect : La simplicité au service du recyclage des déchets De plus, Cyrkl propose plusieurs filtres de recherche dans lesquels se retrouvent le type et la localisation du déchet, la distance, le volume et la solution de transport. L’inscription est gratuite et donne accès au forfait “Cyrkl Free”, afin de pouvoir répondre à 5 offres et publier des annonces en illimité. Une offre premium (24€/mois) est également disponible. Elle permet d’accéder à un support d’experts. Elle garantit aussi un accès au numéro du vendeur, aux identités des partenaires commerciaux ou des clients possédant le badge “client vérifié”. La direction française de Cyrkl Par ailleurs, Cyrkl aide les entreprises à vérifier leur conformité réglementaire et les prix du marché pour mieux monétiser leurs déchets. Cet accompagnement permettrait des économies d’argent, allant de 15 à 45 % par an et une baisse de 200 à 700 t de CO2 à l’année. En ce qui concerne la direction, Alexandre Fembach a été désigné directeur de Cyrkl France. Après 7 ans dans le secteur du retail, il souhaite aider les entreprises à construire de nouveaux modèles d’affaires, plus en phase avec les enjeux environnementaux actuels. « La raréfaction des matières premières couplée à l’impact environnemental de leur extraction nous oblige à révolutionner notre modèle économique, déclare Alexandre Fembach. La force de notre start-up réside en notre capacité à trouver la valeur et l’usage qui se cachent derrière chaque déchet industriel pour nous préserver au maximum de l’extraction de ressources nouvelles. »
Il y a 3 ans et 15 jours

WICONA met à jour INERTIE V4, son logiciel de dimensionnement et de vérification des ouvrages aluminium

Le logiciel INERTIE V4 permet la réalisation d’études de dimensionnement et vérification complète des éléments composant un ouvrage aluminium selon l’ensemble des normes Eurocodes et ce, quel que soit le niveau de complexité de la structure concernée. Avec INERTIE V4, WICONA propose à ses clients une nouvelle version de l’outil simple et profondément axé sur l’expérience utilisateur, pour une prise en main intuitive. Dimensionner et vérifier ses ouvrages aluminium INERTIE V4 convient aussi bien à la vérification de structures simples comme celle de constructions aluminium complexes. Le logiciel embarque différents types d’ouvrages prédéfinis qui permettent de dimensionner et vérifier les menuiseries aluminium en toute simplicité. Cela inclut notamment les ouvrants, ossatures composées, façades, verrières, toitures ainsi que des éléments divers comme les poutres. Le logiciel permet ensuite d’éditer et communiquer des notes de calculs à tous les professionnels concernés, des bureaux d’études aux architectes, en passant par les organismes de contrôle. Conformité Avec le logiciel INERTIE V4, le dimensionnement s’effectue en fonction des normes en vigueur applicables aux différents types de structures traitées : Charges climatiques calculées selon les règlements Eurocode 1 – NF EN 1991-1-4 : 2005 (actions sur les structures : action du vent) Combinaisons des charges conformes aux règles AL76 (règles de conception et de calcul des charpentes en alliages d’aluminium) Inerties nécessaires déterminées à partir des règles AL76 et normes XP P 28-004 (performances de l’ouvrage fini) Définition du calage du vitrage selon DTU39 (travaux de vitrerie-miroiterie)  Simplicité Comme tout projet engagé par WICONA, INERTIE V4 s’appuie sur une vision globale. Il est intuitif et permet une prise en main rapide grâce à : Prédétermination de 7 types d’ouvrages (façades et menuiseries) Aide à la conception Visualisation de la déformation des profilés en trois dimensions. Ouverture En plus de la base des profilés WICONA intégrés, INERTIE V4 autorise l’enrichissement de la base de données via les propres séries de profilés en aluminium ou en acier du client. Sécurité INERTIE V4 détermine l’inertie réglementaire minimum de chaque type d’éléments (montant, traverse, etc..) composant un ouvrage aluminium. La géométrie et les charges appliquées interviennent dans le dimensionnement. Pour cela, il suffit de choisir le profilé adapté par type d’élément, le logiciel se charge ensuite de le vérifier pour une expérience utilisateur facilitée.
Il y a 3 ans et 18 jours

Sebico présente une nouvelle boîte EPERS

Cette unité permet de traiter les déchets, de les transformer et de les valoriser pour les réintroduire dans sa production.Depuis et lorsque c’est possible, Sebico utilise cette matière recyclée dans la fabrication ou l’équipement de ses produits.C’est pourquoi Sebico a décidé de remplacer l’opercule de ses boîtes EPERS par un opercule en matière 100 % recyclée.Points fortspour réseaux secs ou réseaux humides3 tailles3 opercules plastique5 diamètres de raccordementconformité avec les opérateurs téléphoniques
Il y a 3 ans et 19 jours

Le Conseil d’Etat rejette le recours de la Filière Béton contre la RE 2020

Avec le rejet par le Conseil d’Etat de son recours contre la RE 2020, la Filière Béton ne peut qu’accélérer sa décarbonation pour répondre aux enjeux de la construction de demain. [©ACPresse] Il n’y aura pas de recours au Conseil constitutionnel contre les dispositions de la RE 2020. C’était pourtant l’espoir de plusieurs acteurs de la construction. En effet, la Filière Béton, la Fédération française des tuiles et briques (FFTB) et le syndicat national des industries de roches ornementales et de construction (SN Roc) estimaient être lésés. En cause, un excès de pouvoir de la RE 2020 et de la méthode de calcul de l’Analyse de cycle de vie dynamique qui y est rattaché… Par ce recours, ces acteurs de la construction souhaitaient souligner que la RE 2020 n’était pas conforme aux droits et libertés garantis par la Constitution. Mais aussi qu’elle méconnaissait la liberté d’entreprendre et le principe d’égalité garantie par la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. Tout comme le droit de chacun de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé, comme le précise la Charte de l’environnement. Une appréciation sur l’ensemble du cycle de vie des bâtiments Sur ce dernier point, le Conseil d’Etat rappelle que l’objet même de la RE 2020 est de limiter la quantité de gaz à effet de serre émise lors de la construction et de la rénovation de bâtiments. Et que les résultats minimaux, en termes de limitation de l’impact sur le changement climatique, sont fixés par décret. Ceci, sur l’ensemble du cycle de vie du bâtiment et en prenant en compte le stockage du carbone de l’atmosphère durant la vie du bâtiment. De fait, les exigences de la RE 2020 ne s’opposent pas à la Charte de l’environnement. Ces acteurs de la construction estimaient aussi que les dispositions de la RE 2020 favoriseraient le recours au bois pour la construction de bâtiment. Une obligation qui diminuerait de manière artificielle l’appréciation des émissions de gaz à effet de serre de ces bâtiments, du fait d’une libération massive de gaz à effet de serre lors de leur démolition. Sans compter les effets négatifs sur les forêts liées à une sur-consommation de bois. Là encore, le Conseil d’Etat rappelle que l’appréciation des émissions de gaz à effet de serre se fait sur l’ensemble du cycle de vie des bâtiments. En déterminant des résultats minimaux sur la totalité du cycle de vie, le législateur (l’auteur de la RE 2020) n’a donc pas une parfaite connaissance de son sujet… Déroger pour des raisons d’intérêt général Selon le Conseil d’Etat, les dispositifs de la RE 2020 ne privilégient aucun matériau. Mais qu’en est-il dans la pratique ? [©ACPresse] Par ailleurs, en vertu de l’article 2 de la Charte de l’environnement, “Toute personne a le devoir de prendre part à la préservation et à l’amélioration de l’environnement”. De fait, le législateur a une obligation de vigilance à l’égard des atteintes à l’environnement, ce qui est l’objet même de la RE 2020. Et, en l’état des connaissances scientifiques, il apparaît que l’activité humaine a un effet négatif, à long terme, sur les émissions de gaz à effet de serre. Dans la même idée, le principe d’égalité ne s’oppose pas à ce que le législateur déroge à l’égalité pour des raisons d’intérêt général. Ceci, à la condition que la différence de traitement soit en rapport avec l’objet de la loi. C’est-à-dire la volonté de réduire l’impact carbone de la construction. Là encore, le Conseil d’Etat rappelle que les dispositions de la RE 2020 s’appliquent indifféremment à tous les constructeurs et se bornent à introduire une exigence de résultats minimaux, sans identifier aucun matériau donné. Pas d’obligation de choix de matériaux Enfin, au niveau de la liberté d’entreprendre, il est loisible au législateur d’apporter des limitations liées à l’intérêt général. Toujours à la condition qu’il n’en résulte pas d’atteintes disproportionnées par rapport à l’objectif poursuivi. En imposant aux constructeurs l’atteinte de résultats minimaux, en termes d’impact sur le changement climatique, le législateur a entendu favoriser la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Ceci, dans un but de protection de l’environnement. Cette obligation n’impose toutefois pas aux acteurs de la construction un choix particulier de matériaux. Dans ce contexte, le Conseil d’Etat indique qu’il n’y a pas lieu de renvoyer au Conseil constitutionnel la question de la conformité aux droits et libertés de le RE 2020. Frédéric Gluzicki
Il y a 3 ans et 21 jours

Finalcad accélère la transformation digitale des chantiers ferroviaires : l'exemple du chantier ETF à Dreux

L’enjeu de la digitalisation du secteur de la construction ferroviaireEncore peu exploité dans le secteur des BTP/construction, et dans celui du ferroviaire, le digital constitue pourtant un enjeu important qui est en passe de bouleverser les habitudes et les méthodes de travail de tous les acteurs de la chaine (entreprise titulaire du marché, maîtrise d’œuvre et client). En effet, il permet de récolter des données, de les partager entre les équipes sur et hors site et de les mutualiser. Résultat : l’optimisation de la collaboration sur le chantier, du suivi des défauts, du contrôle et du bilan de conformité, de la communication chantier bureau, … ce qui contribue ainsi à garantir la tenue des délais et le suivi de la qualité de l’ouvrage.Finalcad, spécialiste de la digitalisation du BTP/construction met, depuis plus de 10 ans, son expertise au service du secteur via sa plateforme collaborative. Depuis 2016, il travaille également avec les principaux acteurs de la construction ferroviaire pour lesquels il a adapté et enrichi sa plateforme.Outre sa facilité d’utilisation, le principal atout de cette plateforme est de permettre aux équipes de collecter et partager les différentes informations mais aussi d’avoir des retours d’expérience de chantiers pour pouvoir constituer des bases de données facilement accessibles et analysables. L’objectif étant l’optimisation des chantiers sur le long terme.La digitalisation réussie du chantier ETF de rénovation de voies de service - DreuxETF avait pour mission le renouvellement de voies, près de la gare de Dreux, pour accueillir les nouveaux trains REGIO 2N à partir de 2021. Le principal challenge était au-delà d’assurer la qualité, de garantir le délai.Les travaux ont débuté le 7 septembre dernier pour s’achever le 4 novembre avec une phase d’un mois où les équipes ont travaillé en double rotation 2X8 (6-14h et 14-22h) sur 3,5 km de voies.Pendant toute la durée du chantier, l’ensemble des parties prenantes ont eu accès à la plateforme digitale Finalcad aussi bien coté ETF (chef d’agence, chef d’équipe, chef de chantier, contrôleur qualité, conducteur de travaux et chef de secteur) que côté maîtrise d’œuvre (surveillant de travaux et chef de projet) ainsi que le client, la SNCF Réseau.Via la plateforme collaborative Finalcad, elles ont pu notamment éditer et générer automatiquement des journaux de chantier - synthèses des événements, des travaux réalisés durant la journée, détaillées avec des photos, des commentaires, des informations précises - qui leur a permis d’économiser au moins une heure par jour mais également de conserver ces données de façon consolidée. Géré par le conducteur de travaux, ces rapports digitaux ont pu être partagés avec les différents interlocuteurs du projet sur site ou hors site ; ce qui est particulièrement utile pour les rotations d’équipes (équipes jour/nuit et semaine/week-end) et la traçabilité de l’information.« L'innovation et la transformation digitale sont des enjeux majeurs dans le secteur de la construction ferroviaire. Les bénéfices de cette collaboration avec Finalcad, acteur référent du marché, ont été une meilleure gestion de la coactivité, un meilleur suivi de la qualité du chantier, des gains de temps pour les équipes notamment lors des rotations, un suivi plus rapide et un reporting plus précis.Aujourd’hui, cette collaboration avec Finalcad nous permet de collecter et de partager des données pour améliorer nos chantiers mais il ne s’agit ici que d’une première étape de la digitalisation de nos chantiers.Nous souhaitons dans un second temps déployer ce type d’outil sur la majorité de nos chantiers en Ile-de-France pour atteindre l’excellence opérationnelle sur nos projets. Par ailleurs, nous souhaitons déployer la digitalisation à grande échelle et intégrer le BIM dans nos offres, ce sur quoi Finalcad pourrait également nous accompagner », se réjouit Jeremy Goguet, Chef d’Agence chez ETF.« Notre première collaboration avec ETF date de 2016 et nous sommes particulièrement fiers de pouvoir continuer d’accompagner cette entreprise dans la digitalisation de ses chantiers. Nous mettons à disposition de ses équipes sur site et dans les bureaux une plateforme digitale dotée d’une prise en main intuitive et facile, pour leur permettre de livrer le meilleur ouvrage dans les délais impartis.Travailler avec ETF, nous a permis de renforcer notre expertise des chantiers ferroviaires notamment des très grands linéaires et d’adapter nos outils à ce secteur qui prend de plus en plus conscience des enjeux stratégiques du digital », indique Franck Le Tendre, PDG de Finalcad.
Il y a 3 ans et 22 jours

Le 1er mai 2022, la règlementation thermique évolue : Les isolants réflecteurs ACTIS sont conformes au nouvel arrêté et restent éligibles aux dispositifs des CEE et à MaPrimeRénov

Établi par le Ministère de la Transition Ecologique, l’arrêté du 10 décembre 2021, qui entre en application le 1er mai 2022, modifie les fiches d’opérations standardisées d’économies d’énergie. Il exige des fabricants d’isolants réflecteurs ne disposant pas d’une certification ACERMI ou QB23 que les valeurs de résistance thermique définies selon la norme NF EN 16012+A1 de leurs produits soient confirmées par des séries de minimum 4 tests réalisés sur des échantillons correspondant à des lots de production distincts. Afin d’être en conformité avec ces nouvelles exigences réglementaires, la société ACTIS a d’ores et déjà fait tester l’ensemble de ses isolants réflecteurs selon les exigences de l’annexe 7 de l’arrêté du 10 décembre 2021. Résultat : Tous ses isolants sont conformes et continuent d’être éligibles aux dispositifs des CEE et à MaPrimeRénov. ACTIS a fait tester l’ensemble de ses isolants réflecteurs (Triso-Toiture, Triso Hybrid’ et Boost’R Hybrid’) selon la norme NF EN 16012+A1 par le laboratoire accrédité KTU. Ce dernier a effectué une série de 6 essais par produits réalisés sur 6 échantillons correspondant chacun à un lot de production distinct. Au terme de ceux-ci, le laboratoire KTU a procédé au mode de calcul figurant dans l’annexe 7 de l’arrêté pour définir la valeur de la résistance thermique des matériaux. Pour chacun des isolants réflecteurs testés, les résultats des calculs figurant dans l’annexe 7 de l’arrêté sont supérieurs aux valeurs de résistance affichées dans les rapports d’essai et fiches techniques du fabricant attestant ainsi de leur éligibilité aux dispositifs des CEE et à MaPrimeRénov. Le 1er mai 2022, les professionnels utilisant les produits ACTIS auront ainsi l’assurance d’utiliser des isolants réflecteurs conformes à cette nouvelle réglementation. http://www.actis-isolation.com/
Il y a 3 ans et 22 jours

Gamme Bioalkyd : un système complet à base de résine biosourcée by Zolpan

Un système complet à base de résine biosourcéeBioalkyd Prim prépare le support à l’application de la peinture. Elle régule l’absorption des fonds et amène une première couche opacifiante pour offrir une très belle finition et un résultat final uniforme. Cette impression de qualité professionnelle offre un bon pouvoir couvrant, une belle blancheur et permet une polyvalence des usages en neuf ou en rénovation, sur les murs, plafonds et boiseries.Disponibles en aspect mat ou velours, les peintures Bioalkyd offrent un bel aspect décoratif, tendance et durable pour vos murs et plafonds.Une démarche environnementaleLes peintures de finition Bioalkyd Mat et Velours ainsi que le primaire Bioalkyd Prim sont formulés à partir d’une résine alkyde biosourcée à 97%, d’origine végétale. Cette résine issue de ressources renouvelables présente une empreinte carbone réduite par rapport à une résine conventionnelle.La marque BIOALKYD fait référence au caractère biosourcée de la résine utilisée comme ingrédient et en aucun cas à l’agriculture biologique. Le taux de carbone biosourcée mesuré selon la norme EN NF 16640 dans les produits BIOALKYD est supérieur à 52%.Impression Bioalkyd Prim - Blanc - Prix public TTC à partir de : 15,50 €/LFinitions Bioalkyd - Disponible en finition mate et velours. Blanc et plus de 500 teintes pastel - Prix public TTC conseillé à partir de : 17,56 €/L en blanc aspect matDes normes de qualité exigeantesLe système Bioalkyd est labelisé Ecolabel. Ce label garantie une réduction des impacts environnementaux, ainsi qu’un seuil de performance des produits. Ce sont des organismes indépendants qui vérifient la conformité des produits au référentiel Ecolabel.L’ensemble des produits de la gamme Bioalkyd sont classés A+ et émettent très peu de Composés Organiques Volatiles avec une teneur en COV
Il y a 3 ans et 25 jours

RE2020 : le Conseil d'État rejette le recours pour inconstitutionnalité déposé par les filières du béton et de la terre cuite

Fin décembre 2021, plusieurs fédérations industrielles de la construction ont déposé une Question Prioritaire de Constitutionnalité auprès du Conseil d'État pour demander l'annulation « pour excès de pouvoir » des premiers décrets et arrêtés publiés en 2021 concernant les exigences et les méthodes de calcul de la RE2020. Ces organisations estimaient qu'une forme de favoritisme du recours au bois pour la construction de bâtiment était contraire à « la liberté d'entreprendre » et au « principe d'égalité ».« S'il est soutenu que les dispositions contestées établissent une différence de traitement entre la filière bois, qui présenterait de bons résultats en matière de stockage de carbone pendant la durée de vie des bâtiments, et les autres filières et matériaux, il résulte des termes des articles L. 171-1 et L. 171-2 du code de la construction et de l'habitation que les dispositions contestées s'appliquent indifféremment à tous les constructeurs et se bornent à introduire une exigence de résultats minimaux, sans identifier aucun matériau donné. Par suite, et en tout état de cause, il ne peut être sérieusement soutenu que ces dispositions porteraient atteinte au principe constitutionnel d'égalité devant la loi. »Avec la RE2020, « le législateur a entendu favoriser la réduction des émissions de gaz à effet de serre, dans un but de protection de l'environnement » en imposant une attente de résultats en termes de limitation de l'impact sur le changement climatique et calculée sur l'ensemble de la vie du bâtiment et en prenant compte du stockage de carbone durant le cycle de vie du bâtiment. Mais le Conseil d'État précise que « cette obligation n'impose toutefois pas aux acteurs de la construction un choix particulier de matériau, et ne fixe aucune prescription quantitative imposant directement une proportion de matériaux identifiés dans le bâti. L'atteinte ainsi portée à la liberté d'entreprendre des acteurs de la construction par le législateur n'est donc pas manifestement disproportionnée au regard de l'objectif d'intérêt général de protection de l'environnement ».Le Conseil d'État a donc déclaré dans sa décision du 29 mars « que la question de la conformité aux droits et libertés garantis par la Constitution des dispositions contestées ne présente pas un caractère sérieux. Il n'y a, dès lors, pas lieu de la renvoyer au Conseil Constitutionnel ».
Il y a 3 ans et 35 jours

Des produits et formations Würth éligibles à la subvention Top BTP

La subvention TOP BTP vise justement à venir en aide financièrement aux professionnels du bâtiment et travaux publics pour être en conformité avec la règlementation.Würth accompagne ses clients dans la sécurité au travailDepuis 2011, Würth France s’est engagé dans une démarche de santé et de sécurité au travail et a obtenu la certification ISO 45001 en 2018. Au travers de cet engagement, Würth France propose des produits de qualité et des formations préventives répondant aux critères d’éligibilité de la subvention TOP BTP.Qu’est-ce que la subvention TOP BTP ?Les Subventions Prévention aident au financement d’équipements, de conseils et de formations pour améliorer la prévention des risques professionnels dans les TPE et PME de moins de 50 salariés. Cette aide financière proposée par l’Assurance Maladie est versée par les caisses régionales (Carsat, Cramif ou CGSS). Elle a pour but de : Prévenir des risques de chutes de hauteur et de plain-pied sur les zones fréquemment circulées. Renforcer la prévention du risque chimique et des TMS par l’amélioration des conditions, d’hygiène et l’organisation sur les chantiers. Prévenir les risques de TMS liées aux vibrations.Prévenir les risques d’ensevelissement.Faire monter en compétences les professionnels. Qui est éligible ?Sont éligibles toutes les entreprises de 1 à 49 salariés dépendant du régime général des secteurs suivants : Les entreprises effectuant des opérations de bâtiment et de travaux publics dans les secteurs d’activité du CTN B*.Les constructeurs de Maisons Individuelles du n° de risque 70.3 AD Promotion, vente, location ou administration de biens immobiliers du CTN G. * Sont exclus :45.5ZB : Entretien, réparation, location et montage de matériel pour le bâtiment et les travaux publics.75.3CA : Allocations complémentaires aux indemnités journalières de sécurité sociale versées soit par des organismes de prévoyance soit par des employeurs : activités de bâtiment (gros œuvre) et travaux publics.75.3CB : Allocations complémentaires aux indemnités journalières de sécurité sociale versées soit par des organismes de prévoyance soit par des employeurs : autres activités.91.1AA : Caisses de congés payés du bâtiment et des travaux publics (en ce qui concerne les indemnités versées par ces organismes). Afin de bénéficier de cette subvention, les entreprises concernées doivent respecter plusieurs critères consultables sur le site de l’Assurance Maladie. Le budget des subventions Prévention TPE étant limité, une règle privilégiant les demandes de réservations selon l’ordre chronologique d’arrivée est appliquée. Comment l’aide est-elle calculée ?Les entreprises pourront bénéficier d’une subvention de : 50% du montant H.T. des sommes engagées pour acquérir le matériel hors échafaudages, 70% du montant H.T. des sommes engagées pour les formations, 25% du montant H.T. des sommes engagées pour les échafaudages MDS (y compris options 1 et 2). Le montant de la subvention ne peut être inférieur à 1 000 €. Il est possible de faire plusieurs demandes pour une même Subvention Prévention dans la limite du plafond de 25 000 € par entreprise. Les produits Würth éligibles 1. Les produits de prévention des risques de chutes de hauteur sur les zones fréquemment circuléesPlate-forme individuelle roulante légère PIRL Art. N° 0962 975 084 Harnais Confort Plus Art. N° 0899 032 959 2. Les produits de prévention des chutes de plain-pied sur les zones fréquemment circuléesChaussure de sécurité basse S3 Flex Running Art. N° 5357 038 360 à 5357 038 470 Bâche antidérapante Griptec Art. N° 0818 050 153 / Art. N° 0818 050 154 / Art. N° 0818 050 151 3. Les produits de prévention du risque chimique Masque partiel HM 175 Art. N° 0899 175 000 Botte Dunlop Devon S5 SRA VERT Art. N° M423 001 036 à 047 Dispositif de pulvérisation 500 ml Art. N° 0891 502 002/003 4. Les produits de prévention des TMS Paire de genouillères EN 14404 Art. N° 0899 030 10 Marteau perforateur BMH 32-XE Art. N° 0702 543 2 Gants Tigerflex Plus Art. N° 0899 411 016 à 021 Les formations préventives éligibles Les chutes de hauteur figurent parmi les premières causes d’accidents du travail. Le Würth Training Center propose des formations sur le travail en hauteur. Plus d’informations à cette adresse.
Il y a 3 ans et 47 jours

Scottish Power Energy Networks (SPN), renforce la sécurité de son réseau et de son siège avec Locken

En 2018, SPN s'est associée à LOCKEN pour réaliser le projet de contrôle d'accès le plus ambitieux qui soit dans le secteur de l'énergie. Depuis, elle a à son actif le déploiement de 14 000 serrures électroniques, y compris dans les locaux du nouveau siège de Scottish Power. Pour répondre aux besoins des configurations d'accès de SPN, LOCKEN a déployé la clé intelligente sans contact, fabriquée par ISEO, qui combine les avantages d'une serrure mécanique traditionnelle et ceux d'une solution électronique de pointe, où les informations sont échangées entre la clé et le cylindre par induction magnétique plutôt que par contact électrique. Ceci permet l'ouverture presque instantanée de la serrure et garantit la fiabilité du matériel, évitant tout risque de défaillance de contact causée par une oxydation ou une accumulation de poussières dans le cylindre.La clé intègre un module Bluetooth, qui se connecte au smartphone de l'utilisateur par l'intermédiaire de l'application MyLocken. Elle permet d'offrir un contrôle d'accès en temps réel au cas par cas, d'atteindre des niveaux de sécurité qui ne sont habituellement possibles que dans des systèmes de contrôle d'accès câblés et de rehausser sensiblement la conformité aux normes de sécurité en vigueur dans le secteur.Nick Dooley, Directeur Général chez LOCKEN UK Ltd : « Nous sommes ravis de participer au succès du déploiement de notre solution sur l’ensemble de l'infrastructure de Scottish Power Network et de constater qu'il contribue à améliorer toute l’organisation, aussi bien sur les aspects de sûreté des employés et sous-traitants qu'en termes de conformité aux réglementations et normes de sécurité. Notre solution innovante permet une gestion d'accès simple, flexible et efficace, qui a été intégrée dans les systèmes logiciels existants de SPN, en leur apportant une plus grande efficacité opérationnelle et des fonctionnalités étendues. »LOCKEN, une solution de contrôle d’accès unique basée sur une clé électronique à technologie induction sans contactLa solution de contrôle d’accès par clé électronique de Locken est basée sur la technologie sans contact à induction brevetée par le groupe ISEO. Ce procédé innovant apporte des avantages majeurs pour l’utilisateur : Une ouverture des portes quasi instantanée et donc une utilisation parfaitement fluide de la solution d’accès : l’échange d’informations entre la clé et le cylindre électronique se fait en moins de 80 millisecondes, soit le temps de reconnaissance habituel entre une clé et un cylindre mécanique courant.Une robustesse inégalée : la communication entre la clé électronique et le cylindre s’effectuant sans contact, elle n’est pas perturbée par les poussières, ni par l’oxydation provoquée par l’humidité ou le sel, ni par l’usure. Grâce à la technologie inductive, utilisée pour la première fois dans le domaine du contrôle d’accès, la solution clé électronique de LOCKEN associe, avec une fiabilité unique, les avantages d’une serrure traditionnelle mécanique et ceux d’une solution électronique d’avant-garde.
Il y a 3 ans et 49 jours

Vaucluse : la Maison Jean-Vilar à Avignon est désormais plus sécurisée et plus accessible

Les travaux de mise en conformité de la sécurité incendie et de l’accessibilité de la Maison Jean-Vilar sont terminés.
Il y a 3 ans et 50 jours

Xylorix Inspector, nouvelle application FCBA pour vérifier facilement et rapidement les essences de bois

Pour aider les acteurs de la construction sur un chantier, en négoces ou lors de litiges judiciaires par exemple, à s’assurer de la conformité des essences de bois par rapport aux informations dont ils disposent, l’Institut technologique FCBA a développé une application dédiée : Xylorix Inspector.Le principe est simple : il suffit de positionner un objectif macroscopique grossissant 24x sur son produit bois et l’application, installée sur son smartphone, indique si l’essence recherchée est la bonne.Retenue comme nouveauté 2021 sur le Salon de la Construction et des Travaux Publics Artibat, cette application saura très vite se rendre indispensable pour contrôler les approvisionnements, réaliser des expertises sur site, etc.Xylorix Inspector : une application innovante pour tous les acteurs du boisL’Institut technologique FCBA, en partenariat avec la société spécialisée dans l’intelligence artificielle Agritix et avec le soutien du CODIFAB, a développé Xylorix Inspector, une application, téléchargeable sur son smartphone, destinée à identifier rapidement et facilement les essences de bois. Utilisant l’intelligence artificielle, ce système d’identification des essences de bois innovant est aujourd’hui unique en France et a d’ailleurs été distingué sur le Salon de la Construction et des Travaux Publics Artibat 2021 parmi les nouveautés de l’année.Xylorix Inspector permettra ainsi à tous les acteurs du bois, mais aussi d’une façon plus générale, à l’ensemble des professionnels amenés à travailler autour du matériau (fabricants, importateurs, architectes, professionnels de la régulation des flux de marchandises bois, négoces, experts, etc.) de contrôler les approvisionnements, réaliser des expertises en direct sur le terrain ou simplement s’assurer que les livraisons de panneaux/produits bois sont les bonnes.9 essences de bois, les plus couramment utilisées en France en menuiserie et pour le gros œuvre, sont aujourd’hui identifiables via l’application : Bossé, Chêne, Sapelli, Sipo, Douglas, Epicéa, Mélèze, Pins et Sapin. D’ici 2025, 50 autres essences de bois seront intégrées dans l’application.Comment ça marche ?Xylorix Inspector est simple d’utilisation. Après avoir téléchargé l’application disponible depuis toutes les plateformes mobiles et s’être procuré l’objectif associé, il suffit de :Faire une coupe à l’aide d’une lame de rasoir sur l’échantillon bois ; Placer l’objectif macroscopique grossissant 24X sur le téléphone ;Indiquer l’essence du bois censée être celle du produit concerné ;Prendre une photo de l’essence de bois à l’endroit de la coupe ;En quelques secondes, l’application confirme ou infirme l’information indiquée.
Il y a 3 ans et 55 jours

L'immobilier à usage professionnel doit s'adapter à la transition énergétique

Les bonnes intentions sont parfois difficiles à mettre en œuvre, mais le secteur de l’immobilier commercial va devoir se pencher sur ce sujet, si l’Europe veut atteindre ses objectifs "zéro émission nette". Les promoteurs et propriétaires de bâtiments devront prochainement se conformer à des réglementations, nouvelles ou actualisées, visant à réduire les émissions de dioxyde de carbone. Celles-ci sont principalement issues du programme législatif "Fit for 55" de l’UE et pourraient permettre aux entreprises d’y trouver un intérêt financier.En effet, la possibilité de réduire rapidement et définitivement les coûts énergétiques en développant une stratégie axée sur des bâtiments commerciaux durables pour soutenir la production d’énergie renouvelable sur site ou le stockage de l’énergie représente un excellent exemple de résultat immédiat.Le concept de transition énergétique est en train de s’imposer et la législation et la réglementation, aussi bien au sein de l’UE qu’en dehors, sont sur le point d’accélérer le processus. Deux ensembles d’initiatives sont à l’avant-plan : le Pacte vert pour l’Europe, lancé en 2019, et le plan législatif Fit-for-55, publié en 2021.Respecter les délaisLe Pacte vert engage les États membres à la neutralité climatique d’ici à 2050. L’accord Fit-for-55 vient soutenir ce plan en encourageant la législation européenne sur le climat et l’énergie à se conformer à l’objectif de réduction de 55% des émissions carbone, par rapport aux niveaux de 1990, d’ici à 2030. Pour tenir les engagements du Pacte vert et de l’accord Fit-for-55, les promoteurs et propriétaires de bâtiments commerciaux vont devoir respecter des délais serrés, en particulier pour l’objectif de 2030, qui devra être rempli en seulement huit ans. Les bâtiments représentent environ 40% de la consommation d’énergie totale de l’UE, c’est pourquoi ils devront contribuer à une grande partie de la réduction imposée dans le cadre de l’accord Fit-for-55.Pour le secteur des bâtiments commerciaux, l’accord Fit-for-55 va permettre de réviser certaines règlementations telles que L’AFIR (qui était jusqu’à peu connu sous le nom d’AFID, la Directive sur les infrastructures pour carburants alternatifs) qui vont impacter les promoteurs et propriétaires de bâtiments. En effet, cette règlementation sera désormais applicable dans les États membres et affectera directement les bornes de recharge « accessibles au public », incluant probablement celles situées sur des terrains privés, bien que la définition de l’expression « accessible au public » n’ait pas encore été confirmée.Développer une stratégie Fit-for-55Les échéances réglementaires sont cruciales, tant pour la planification de nouvelles constructions que pour la préparation de rénovations. Celles-ci soulèvent donc plusieurs questions pour les professionnels du secteur. Concernant l’accord Fit-for-55 par exemple, il est important de savoir quand le chauffage à combustible fossile appartiendra au passé, dans quelle mesure les systèmes de ventilation et de climatisation seront affectés, et l’énergie nécessaire pour prendre en charge le nombre croissant d’appareils intelligents.La question n’est plus de savoir s’il faut ou non installer des bornes de recharge pour véhicules électriques, mais plutôt combien d’entre elles seront nécessaires, ainsi que la vitesse et la provenance de l’énergie fournie.Une approche stratégique est essentielle pour entreprendre la transition énergétique dès maintenant plutôt que d’attendre l’entrée en vigueur de nouvelles réglementations, d’autant plus qu’il existe des avantages immédiats. Un point de départ simple est de stocker de l’énergie peu chère pour l’utiliser lorsque les prix sont élevés : il s’agit d’un moyen sûr de faire des économies tout en répartissant la charge, réduisant ainsi l’encombrement de réseau.La technologie de stockage d’énergie a fait ses preuves et peut être installée dans la plupart des établissements commerciaux. On commence désormais à prendre conscience de son potentiel dans la transition énergétique, notamment pour aider à réduire l’encombrement réseau. Couplage sectorielSi le stockage de l’énergie est si utile pour aider les bâtiments à s’adapter à la transition énergétique, c’est grâce au "couplage sectoriel", qui permet d’utiliser l’énergie, en particulier l’énergie renouvelable, de manière plus efficace en associant la consommation à la production. Le lissage des pics et creux de la demande qui en résulte contribue également à équilibrer le réseau.Dans un bâtiment commercial, le couplage sectoriel implique souvent de combiner le stockage de l’énergie avec la production sur site et l’infrastructure de recharge pour véhicule électrique (qui peut stocker de l’énergie et la consommer, permettant au propriétaire du bâtiment de facturer les frais de recharge de véhicules). Ce type de stratégie fournit aux bâtiments un certain degré d’autosuffisance, ce qui permet de réduire la quantité d’énergie achetée sur le réseau, de stocker de l’énergie à faible coût pour l’utiliser lorsque les prix sont plus élevés, et bien entendu, de se conformer à de nombreuses réglementations susceptibles d’entrer en vigueur avec l’accord Fit-for-55.Les propriétaires de bâtiments doivent toujours vérifier la conformité aux réglementations locales, en gardant à l’esprit que les pays européens hors de l’UE, comme la Norvège, la Suisse et le Royaume-Uni, mettent en place leurs propres réglementations afin de lutter contre le changement climatique. La législation et les réglementations font partie d’initiatives politiques complexes et risquent donc d’être interprétées de différentes manières.Cependant, opter dès maintenant pour une approche axée sur la transition énergétique permettra aux constructeurs de chaque bâtiment construit de manière appropriée de faire un pas de plus vers la neutralité carbone.Tribune de Christophe Bourgueil - Business Developer des solutions de transition énergétique et de stockage d’énergie chez Eaton (LinkedIn)
Il y a 3 ans et 55 jours

Edilteco Group partenaire et distributeur exclusif de Carbon Cure pour la France, l’Italie, la Belgique, le Luxembourg et la Hollande

S’inscrivant dans sa stratégie de progrès, ce partenariat est fidèle à la politique de développement de la marque, fondée sur des objectifs d’innovation, apportant un gain de performances aux solutions, tout en contribuant de manière significative et durable à la réduction des émissions de CO2.Pour Franck Pied, Directeur Marketing et Technique chez Edilteco France : « Chez Edilteco, nous avons toujours été impliqués dans les économies d’énergie et la durabilité, c’est notre mission depuis la création de l’entreprise. L’introduction récente sur le marché du Politerm R et maintenant le lancement de CarbonCure donnent l’impulsion à l’émergence de notre future gamme Green, dédiée aux produits contenant jusqu’à 90 % de PSE recyclé - qui sera lancée lors du prochain salon BATIMAT. Aujourd’hui, avec CarbonCure, nous avons l’opportunité d’offrir encore plus aux centrales à béton avec lesquelles nous collaborons depuis des années, leur permettant de produire du béton avec la qualité habituelle, mais avec une empreinte carbone réduite. »La technologie CarbonCureLa technologie CarbonCure contribue fortement au développement durable. Cette technologie permet aux producteurs de béton (centrales à béton et préfabricateurs) de proposer le même béton de haute qualité mais avec une empreinte carbone réduite. CarbonCure injecte du dioxyde de carbone (CO2) capturé dans le béton frais lorsqu’il est malaxé. Une fois injecté, le CO2 se transforme instantanément au contact du ciment en CaCO3 (carbonate de calcium) ; ces nanomatériaux sont incrustés en permanence et ne seront jamais rejetés dans l’atmosphère. Cette minéralisation du CO2 améliore également significativement la résistance à la compression du béton et permet de réduire en toute sécurité la teneur en ciment de chaque mélange.CarbonCure est détentrice d’un agrément technique délivré par le DIBT (Institut Allemand des Techniques du Bâtiment). La technologie CarbonCure est en totale conformité avec la norme NF EN 206. Ainsi, tout en respectant les dosages, avec l’ajout de CO2, il est possible de réduire de 4 à 6 % la quantité de ciment et en outre de conserver les mêmes performances techniques et mécaniques. En considérant que 6 % de ciment peuvent être économisés, cela équivaut à environ 15 kg/m3. Si l’on prend l’exemple d’une centrale à béton moyenne en France, consommant 40 000 m3 de béton par an, l’économie annuelle de ciment pour cette centrale est de 60 tonnes. En pratiqueChaque installation CarbonCure comprend 2 boîtiers. Le premier (unité de contrôle) calcule précisément la quantité de CO2 à injecter selon la formulation de béton. Il est en relation avec le logiciel de la centrale (s’adapte à tous les logiciels des centrales) et en lien direct avec CarbonCure à qui il communique, en temps réel, toutes les données collectées pour le calcul de la consommation de CO2 injecté dans le béton. CarbonCure collecte les consommations exactes de CO2 de chaque centrale à béton. La méthodologie de CarbonCure a été vérifiée par l’organisme VERRA (Verra.org) pour l’obtention de certificats blancs mutualisés entre chaque acteur. L’autre boîtier (le bloc vanne) est installé sur la cuve de CO2 et gère l’ajout de la dose. La cuve sous pression (20 bars) envoie le CO2 à l’état liquide dans le béton en cours de malaxage. C’est cette pression qui injecte et transforme le CO2 sous forme de neige dans le malaxeur, où le CO2 se transforme immédiatement en CaCO3 au contact du mélange. La centrale à béton est libre de choisir son fournisseur de CO2. Edilteco France s’occupe de l’installation des boitiers et leur programmation se fait automatiquement à distance. Une équipe de techniciens Edilteco a été spécialement formée pour assurer l’installation, la maintenance et le SAV des boitiers.
Il y a 3 ans et 64 jours

Green Systèmes et Gaïa éCo Systems signent un partenariat pour proposer à l’ensemble du territoire des solutions d’optimisation énergétique

Fondée en 2022 par Arnaud Brejot, la société Gaïa éCo Systems choisit les produits Green Systèmes pour faciliter l’accès à la performance énergétique du secteur automobile et sur les bâtiments basés dans la région Auvergne Rhône-Alpes. En tant qu’élu local concerné par les sujets de transition écologique, après avoir passé plus de 20 ans dans le secteur automobile avec l’accompagnement et l’intégration de diverses solutions digitales et fort de son savoir-faire, Arnaud BRÉJOT a décidé de se lancer dans le monde de l’optimisation énergétique. Gaïa éCo Systems accompagne les entreprises dans toutes leurs démarches de transition énergétique que ce soit pour répondre à une réglementation (ISO 50 001, Dispositif Éco Énergie Tertiaire…) ou plus largement pour améliorer leur empreinte environnementale. Pour se faire, l’entreprise s’est équipée des solutions de management de l’énergie proposées par Green Systèmes. Green Systèmes, société éditrice de logiciels basée en Normandie, a su développer différents produits (logiciels, hardware) pour permettre aux professionnels de réduire efficacement et durablement leurs dépenses énergétiques. Les produits de Green Systèmes permettent notamment : De collecter l’ensemble des données de consommation provenant des capteurs, compteurs du bâtiment, D’analyser ces données au sein d’un tableau de bord intelligent permettant d’identifier les gisements d’économie d’énergie, De piloter les équipements du / des bâtiments à distance, D’effectuer les différentes déclarations relatives au Décret Tertiaire (déclaration du patrimoine, des consommations, de l’année de référence…) en quelques clics avec le configurateur. Gaïa éCo Systems proposera à ses clients de répondre à l’ensemble de leurs demandes d’optimisation énergétique. De l’accompagnement à la mise en conformité au Décret Tertiaire, en passant par la collecte et le pilotage des données de consommations jusqu’à la construction d’une stratégie d’optimisation et la maîtrise d’œuvre. Ce partenariat permet à Green Systèmes de répondre aux besoins d’optimisation énergétique des acteurs du secteur automobile et acteurs de la région Auvergne Rhône-Alpes. Benjamin Colboc, directeur de Green Systèmes déclare : “Je suis très fier de pouvoir partager cette expérience avec Monsieur BRÉJOT afin de proposer nos solutions au plus grand nombre. Nous avons une réelle volonté de travailler ensemble pour accompagner les professionnels du territoire sur leurs enjeux de transition et de performance énergétique. En intégrant nos produits à son offre, Arnaud BRÉJOT propose une solution complète d’optimisation énergétique et je remercie Gaïa éCo Systems pour sa confiance.” Avec cette collaboration, Gaïa éCo Systems peut être présente sur l’ensemble de la chaîne de valeur et proposer une offre complète en matière d’amélioration de la performance énergétique. “Je suis particulièrement heureux et fier de mettre en avant le savoir-faire technologique et humain français. Gaïa éCo Systems accompagne les entreprises et collectivités de la Région Auvergne Rhône-Alpes ainsi que les acteurs de la distribution automobile de l’ensemble de la Métropole et des DOM-TOM, afin de mettre en œuvre le Décret Tertiaire et surtout, de promouvoir la transition écologique au travers de notre solution SAAS de Pilotage Énergétique face aux défis environnementaux, économiques et sociétales que nous devons relever.” Monsieur Arnaud BRÉJOT, Président fondateur Gaïa éCo Systems.
Il y a 3 ans et 67 jours

Lafarge accélère sa transformation bas carbone

En tant que leader, l’entreprise s’engage et donne une nouvelle dynamique à la construction durable et à tout un secteur.Des investissements industriels massifsLa ligne de production la plus moderne de France à Martres-Tolosane (dép.31) et une plateforme d’innovation ouverte sur le traitement du CO2 en 2024Le nouveau four de la cimenterie de Martres-Tolosane est entré en production en février. Résultat d’un investissement de 120 millions d’euros du groupe Holcim, le plus important en France depuis 40 ans, le tout nouveau four permet d’augmenter la productivité de l’usine tout en réduisant son impact environnemental. La tonne de ciment affiche désormais un poids CO2 réduit de 20%.Par ailleurs, équipée des dernières technologies pour la valorisation des déchets en cimenterie (comme source d’énergie et comme matière première recyclée dans le clinker), l’usine divise par 3 son utilisation de combustibles fossiles. La part des combustibles de substitution, sourcés localement, passe ainsi de 30 à 80% et contribue au développement de l’économie circulaire dans le grand Sud-Ouest.Pour atteindre ces résultats, le plus gros chantier industriel en Occitanie, qui a duré près de 3 ans, a permis :Le remplacement des deux fours existants (construits en 1956 et 1966) par un four unique de 60 mètres de long et de 4 mètres de diamètre, permettant de diminuer la consommation d’énergie ;La construction d’une tour de préchauffage haute de 110 mètres, permettant de porter le mélange de calcaire et d’argile à 500°C avant son introduction dans le four, grâce à la récupération des gaz chauds du four ;La rénovation et la création de nouveaux ateliers de stockage et de traitement des déchets servant de combustible de substitution.Le site de Martres-Tolosane accueillera également en 2024 une plateforme R&D en open innovation pour tester des nouvelles technologies de capture de CO2 plus efficaces, plus économiques et plus respectueuses de l’environnement. Une quinzaine de partenaires européens sont regroupés autour de cette initiative qui est candidate à des financements communautaires et sera référencée dans le réseau européen de recherche sur la capture de CO2.Un nouvel investissement de 40 millions d’euros à la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour (dép. 53) et de 6 millions d’euros à La Malle (dép. 13) pour produire un nouveau composant décarbonéDès cette année, 40 millions d’euros seront investis dans la construction d’une nouvelle ligne de production à la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour (53) et dans l’adaptation du processus industriel de La Malle (13) pour produire des ciments bas et très bas carbone (ECOPlanet), à base d’argile calcinée.Lafarge a développé une technologie propriétaire, proximA Tech, permettant d’industrialiser la transformation de l’argile en addition fortement décarbonée. L’utilisation de l’argile présente un triple intérêt : elle nécessite une température plus basse pour sa cuisson (800°C au lieu de 1 400°C pour le clinker) et donc moins de combustible. Elle a aussi une faible décarbonation lors de ce chauffage contrairement au calcaire qui se décarbonate à 100%. Enfin, elle est largement disponible et locale.La future installation de la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour est conçue pour n’émettre quasiment aucun carbone grâce à l’utilisation exclusive de combustibles alternatifs et pour produire des ciments dont le taux d’émission de carbone sera réduit de 50%.Ces investissements participent à la réalisation de l’objectif 2023 : disposer d’une capacité de production d’1 million de tonnes de ces ciments bas carbone ECOPlanet.Une stratégie et des innovations pour construire bas carboneLafarge lance deux nouveaux ciments ternaires offrant de 30% à 50% de réduction carboneLa révision de la norme européenne ciment NF EN 197-5, publiée en octobre dernier, a rendu possible la formulation de nouveaux ciments avec une part de clinker réduite au profit d'une part d'additions plus importante, réduisant ainsi les émissions de CO2 à la tonne produite.Lafarge France va donc commercialiser cette année deux nouveaux ciments ternaires bas carbone, un CEM II/C produit à Sète (dép. 34) et le premier CEM VI disponible en France. Ce CEM VI ECOPlanet, fabriqué au Teil (dép. 07) sera disponible dès la sortie de la nouvelle norme béton attendue pour mai ou juin prochain. Ces nouveaux ciments offrent une réduction carbone de -30% à -50% et viennent enrichir les offres bas carbone ECOPlanet (ciment) et ECOPact (béton).Lafarge accompagne ses clients vers le remplacement progressif des ciments les plus émissifs, une démarche volontariste pour accélérer la transition écologique de la constructionDans le cadre d’une démarche volontariste pour accélérer la transition écologique de la construction, Lafarge France accompagne ses clients vers le remplacement progressif des ciments les plus émissifs. Pour le secteur de la préfabrication, il s’agit dans un premier temps d’augmenter l’utilisation du CEM II, puis des ciments ECOPlanet, en lieu et place du CEM I tout en garantissant le même niveau de performance et l’absence d’impact sur les process de fabrication.Lafarge a mobilisé les compétences de son laboratoire de L'isle D'Abeau afin de garantir la conformité des performances techniques requises (rhéologie, adjuvantation, résistances à jeune âge, à 28 jours, teinte...). L’accès aux produits a également été facilité pour les clients pour leur permettre de réaliser leurs propres essais, avec leur outil industriel, avec ou sans le soutien de notre support technique. Il s’agit de les conforter sur les performances réelles du ciment de remplacement et sa conformité à leurs cahiers des charges, le tout leur permettant ainsi un premier pas vers la réduction carbone de leurs volumes de produits courants.Une innovation de rupture Lafarge : le liant nouvelle génération bas carbone, bas clinker et sans laitierLafarge France a mis au point et testé avec succès un liant bas carbone nouvelle génération à taux de clinker réduit et qui permet de se passer du laitier.Un procédé sous brevet permet de réduire la quantité de clinker nécessaire dans le liant et de réduire l’empreinte carbone du béton jusqu'à 50% et cela sans recours au laitier, une réponse à sa raréfaction annoncée pour les prochaines années.Les bétons fabriqués avec ces liants peuvent couvrir les classes de résistance et d'exposition traditionnelles (C20 à C35/XC à XF…). Ils sont destinés à tous types d'ouvrages et toutes applications (planchers, fondations, voiles etc).Cette technologie n'impacte pas les délais de chantier et s'adapte aux températures. Elle permet une production locale et donc une mise sur le marché massive et rapide.Les normes correspondant à ce nouveau produit n’existent pas pour le moment, même si plusieurs tests chantier expérimentaux ont déjà été réalisés. Lafarge a donc engagé une procédure de certification ATEX sur le béton et une Évaluation Technique de Produits et Matériaux (ETPM).
Il y a 3 ans et 69 jours

EDILTECO® Group partenaire et distributeur exclusif de CarbonCure pour la France, l’Italie, la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas.

Edilteco® Group a conclu un partenariat de distributeur exclusif avec la société de technologie d’élimination du carbone « CarbonCure Technologies ». Ce partenariat va permettre à Edilteco® Group d’offrir à ses clients des solutions innovantes et éprouvées pour la réduction de leur empreinte carbone dans la construction. S’inscrivant dans sa stratégie de progrès, ce partenariat est fidèle à la politique de développement de la marque, fondée sur des objectifs d’innovation, apportant un gain de performances aux solutions, tout en contribuant de manière significative et durable à la réduction des émissions de CO2. « Chez Edilteco®, nous avons toujours été impliqués dans les économies d’énergie et la durabilité, c’est notre mission depuis la création de l’entreprise. L’introduction récente sur le marché du Politerm® R et maintenant le lancement de CarbonCure donnent l’impulsion à l’émergence de notre future gamme Green, dédiée aux produits contenant jusqu’à 90 % de PSE recyclé – qui sera lancée lors du prochain salon BATIMAT. Aujourd’hui, avec CarbonCure, nous avons l’opportunité d’offrir encore plus aux centrales à béton avec lesquelles nous collaborons depuis des années, leur permettant de produire du béton avec la qualité habituelle, mais avec une empreinte carbone réduite », explique Franck Pied, Directeur Marketing et Technique chez Edilteco® France.   LA TECHNOLOGIE CARBONCURE La technologie CarbonCure contribue fortement au développement durable. Cette technologie permet aux producteurs de béton (centrales à béton et préfabricateurs) de proposer le même béton de haute qualité mais avec une empreinte carbone réduite. CarbonCure injecte du dioxyde de carbone (CO2) capturé dans le béton frais lorsqu’il est malaxé. Une fois injecté, le CO2 se transforme instantanément au contact du ciment en CaCO3 (carbonate de calcium) ; ces nanomatériaux sont incrustés en permanence et ne seront jamais rejetés dans l’atmosphère. Cette minéralisation du CO2 améliore également significativement la résistance à la compression du béton et permet de réduire en toute sécurité la teneur en ciment de chaque mélange. CarbonCure est détentrice d’un agrément technique délivré par le DIBT (Institut Allemand des Techniques du Bâtiment). La technologie CarbonCure est en totale conformité avec la norme NF EN 206. Ainsi, tout en respectant les dosages, avec l’ajout de CO2, il est possible de réduire de 4 à 6 % la quantité de ciment et en outre de conserver les mêmes performances techniques et mécaniques. En considérant que 6 % de ciment peuvent être économisés, cela équivaut à environ 15 kg/m³. Si l’on prend l’exemple d’une centrale à béton moyenne en France, consommant 40 000 m³ de béton par an, l’économie annuelle de ciment pour cette centrale est de 60 tonnes. CarbonCure Technologies   EN PRATIQUE Chaque installation CarbonCure comprend 2 boitiers. Le premier (unité de contrôle) calcule précisément la quantité de CO2 à injecter selon la formulation de béton. Il est en relation avec le logiciel de la centrale (s’adapte à tous les logiciels des centrales) et en lien direct avec CarbonCure à qui il communique, en temps réel, toutes les données collectées pour le calcul de la consommation de CO2 injecté dans le béton. CarbonCure collecte les consommations exactes de CO2 de chaque centrale à béton. La méthodologie de CarbonCure a été vérifiée par l’organisme VERRA (Verra.org) pour l’obtention de certificats blancs mutualisés entre chaque acteur. L’autre boitier (le bloc vanne) est installé sur la cuve de CO2 et gère l’ajout de la dose. La cuve sous pression (20 bars) envoie le CO2 à l’état liquide dans le béton en cours de malaxage. C’est cette pression qui injecte et transforme le CO2 sous forme de neige dans le malaxeur, où le CO2 se transforme immédiatement en CaCO3 au contact du mélange. La centrale à béton est libre de choisir son fournisseur de CO2 . Edilteco® France s’occupe de l’installation des boitiers et leur programmation se fait automatiquement à distance. Une équipe de techniciens Edilteco® a été spécialement formée pour assurer l’installation, la maintenance et le SAV des boitiers.   À PROPOS DE CARBONCURE Fondée il y a 10 ans, CarbonCure s’est rapidement développée, avec maintenant plus de 500 systèmes dans le monde. L’entreprise CarbonCure commercialise depuis 5 ans sa technologie. Breakthrough Energy Ventures, Amazon, BDC Capital, Pangea, Microsoft, 2150, Carbon Direct, GreenSoil Investments, Taronga Group ou encore Mitsubishi Corporation sont autant d’investisseurs qui ont fait confiance à CarbonCure. Lauréate du second appel à projet (2020) du club Sekoya créé par Eiffage et Impulse partners – consacré à la conception et la construction bas carbone et aux usages et exploitation bas carbone – CarbonCure offre la possibilité aux fabricants de béton de concevoir un béton écologique et plus solide. Les architectes, ingénieurs et entrepreneurs obtiennent le même produit de construction fiable et de haute qualité, mais avec une empreinte carbone plus faible. En France, ce sont 1800 centrales, dont 1300 sous certification NF qui sont concernées par cette technologie bas carbone. CarbonCure Technologies Depuis sa création en 1981, EDILTECO® Group n’a cessé d’acquérir de multiples compétences qui la placent en interlocutrice indispensable du monde de la construction. Aujourd’hui encore, l’entreprise passe les frontières de l’hexagone pour fonder un partenariat exclusif lui permettant de proposer à ses clients des solutions toujours plus durables. Avec CarbonCure, Edilteco® Group répond à la demande croissante de solutions de construction durable. C’est au salon Bas Carbone, les 5 et 6 avril 2022, Porte de Versailles, que EDILTECO® France présentera officiellement la solution CarbonCure sur son stand H60 – Hall 5 et lors de 2 workshops. Nous vous présenterons le procédé lors de nos workshops : le 5 avril à 11h30 – salle 7 le 6 avril à 10h00 – salle 7
Il y a 3 ans et 69 jours

Une enquête de la DGCCRF relève une grande diversité de manquements au CCMI chez certains constructeurs de maisons individuelles

La DGCCRF a mené des enquêtes en 2019 afin de traquer les manquements et diverses infractions à la protection du consommateur dans le cadre du CCMI. Cette enquête a révélé, à la suite de précédents contrôles, la persistance chez certains professionnels de pratiques non conformes à la réglementation en vigueur.Pour rappel, il existe deux sortes de CCMI :le CCMI avec fourniture de plan (le plus répandu) : le consommateur fait appel à un opérateur unique pour la réalisation du plan et de la construction (articles L. 231-1 et suivants du code de la construction et de l’habitation (CCH),le CCMI sans fourniture de plan : le consommateur fait réaliser les plans par un prestataire avant de se tourner vers le constructeur (art. L. 232-1 et suivants du CCH).L'enquête a été menée dans 15 régions incluant deux régions d'outre-mer. 285 établissements ont été contrôlés en 461 passages. Sur les 23,800 entreprises en France qui exerçaient dans le secteur de la construction de bâtiments, 9,500 TPE-PME proposaient la construction de maisons individuelles.Afin de cibler leurs contrôles, les enquêteurs de la DGCCRF ont pris en compte les plaintes recueillies, les résultats des précédents contrôles et les mentions valorisantes figurant sur des supports de communication ou sur les réseaux sociaux tels que « [maison] clé en main, « Construction de A à Z »…, afin de vérifier le bien-fondé des contrôles. En cas d'abandon de chantier ou de malfaçons, il est prévu dans le CCMI, afin de protéger le consommateur, que de nombreuses formalités soient accomplies par le professionnel comme souscrire à une garantie de livraison ou conclure par écrit les contrats de sous-traitance le commencement de l’exécution des travaux. Les maître d'ouvrage est également concerné par des formalités telles que souscrire à une garantie dommage-ouvrage, obtenir un prêt ou acquérir la propriété du terrain à bâtir. Le professionnel peut l'éclairer dans ces démarches (loi du 19 décembre 1990 qui définit le cadre du CCMI et la plupart de ses dispositions figurent au Code de la construction et l'habitation).Ce sont notamment ces formalités et démarches liées au CCMI que les enquêteurs ont contrôlé.Les principaux points de vérifications étaient les suivants :l’existence d’un contrat écrit (obligatoire en l’occurrence) ;l’absence de clauses illicites (article L. 231-3 du CCH) ;la garantie de livraison du constructeur (article L. 231-6 du CCH) ;le respect de l’échéancier des appels de fonds (article R. 231-7 du CCH) ;l’information lisible et compréhensible sur le droit de rétractation.Une grande diversité de manquements au CCMI ont été constatésLes résultats de cette enquête sont assez similaires aux précédentes enquêtes : un peu plus établissement sur deux ne respecte pas la réglementation (55%). Si certaines des infractions peuvent n'avoir qu'un impact négligeable sur le projet de construction comme l'envoi d'un contrat en un seul exemplaire aux deux contractants au lieu d'un exemplaire chacun, d'autres peuvent s'avérer bien plus dommageables comme l'absence de contrat écrit ou encore le début du chantier sans garantie de livraison.Au cours de cette enquête, ce sont les manquements aux règles propres au CCMI qui ont été les plus nombreux, notamment des manquements particulièrement graves concernant :la conformité du contrat,la garantie de livraison obligatoire,l'information sur le droit de rétractation,l'interdiction pour le professionnel de percevoir une somme d'argent avant la signature du contrat ou avant la date d'exigibilité de la créance.L'attention portée aux contrats a notamment permis d'identifier des clauses abusives, par exemple les clauses ayant pour objet ou pour effet d'interdire au maître de l'ouvrage de visiter le chantier, préalablement à chaque échéance de paiement et à la réception des travaux ou encore de subordonner la remise des clefs au paiement intégral du prix et faire ainsi obstacle au droit du maître d'ouvrage de consigner les sommes restantes dues lorsque des réserves sont faites à la réception des travaux.Les manquements observés par la DGCCRF ne concernent cependant pas que les contrats eux-mêmes. Le respect de la réglementation imposé dès la phase précédant la signature du contrat a lui aussi été contrôlé. Plusieurs manquements au Code de la consommation relatifs à l'information précontractuelle du consommateur ont ainsi été mis en avant. Les enquêteurs ont également recherché la présence de pratiques commerciales trompeuses ou déloyales. Des pratiques comme par exemple un constructeur qui mentionnait les références d'un assureur ayant fait faillite ou encore un agent commercial d'une société de maisons en bois ayant encaissé un acompte de 35% du prix global convenu mais n'ayant jamais démarré les travaux ensuite.Beaucoup de mauvaises pratiques qui persistent malgré toutCes enquêtes montrent une légère baisse du taux d'anomalies par établissement par rapport à l'année précédente (55% contre 57%) et une certaine régularité sur les quatre dernières enquêtes (de 2016 à 2018), cependant elles démontrent tout de même la persistance d'un niveau toujours très élevé de manquements à la réglementation.158 des 285 entreprises contrôlées ont fait l'objet de suites par les services de la DGCCRF. Les enquêteurs ont pris des mesures pédagogiques, correctives ou répressives en fonction de la gravité des résultats. Cela a donné lieu à 87 avertissements, 56 injonctions, 31 procès-verbaux pénaux, 1 procès-verbal administratif et 1 procédure au civil. Une suite sur deux est pédagogique avec 49% d’avertissements (contre 61% en 2018). Un tiers des suites a été de nature corrective, soit 32% d’injonctions (contre 21% en 2018) et un peu moins d’un contrôle litigieux sur 5 a donné lieu à la rédaction d’une suite répressive soit 18% de procès-verbaux pénaux (contre 17% en 2018). Lors de cette enquête, une attention particulière était portée sur la vérification de la prise en compte des précédentes suites par des opérateurs ayant fait l'objet d'un contrôle antérieur. Dans la majeure partie des cas, il a été constaté une remise en conformité satisfaisante des pratiques de ces professionnels. De même, plusieurs procédures pénales engagées suite à de précédents contrôles ont fait l'objet de transactions, acceptées et réglées par les professionnels concernés.Les enquêteurs soulignent aussi que cette persistance d’anomalies s’explique notamment par le manque de maîtrise de la réglementation de la part de certains constructeurs ce qui justifie une poursuite des contrôles sur ces professionnels lors de prochaines enquêtes.
Il y a 3 ans et 75 jours

Traxxeo lève 3 millions d’euros et propulse sa plateforme de gestion des ressources

L’objectif de Traxxeo est d’aider les gestionnaires dans le suivi de leurs ressources en permettant une visibilité en temps réel de l’activité et en optimisant les plannings grâce aux meilleures technologies (apps mobiles, objets connectés et intelligence artificielle).Après une année 2021 placée sous le signe de l’accélération, Traxxeo a de l’ambition pour 2022. L’éditeur belge compte aujourd’hui parmi ses références des acteurs majeurs tels que Sendin, Fontanel, Cougnaud, Eiffage, Veolia et Equans mais également de nombreuses entreprises de taille moyenne (à partir de 50 salariés) et ambitionne de se développer fortement sur ce segment.La digitalisation, enjeu majeur de productivitéLa digitalisation fait le lien entre le chantier et les bureaux, et connecte les ressources humaines et matérielles afin d’en optimiser les performances, avec des gains de productivité de 5 à 10% sur le terrain et de 10 à 20% pour le siège central. Un des premiers freins à cette productivité dans le BTP est la fiabilité des données en provenance du terrain, encore trop souvent collectées à l'aide des supports dépassés (papier, Excel...) qui imposent des ressaisies chronophages et prônes aux erreurs.Structurer et enrichir la collecte des données permet en outre des analyses plus fines, tout en fournissant à tous une source unique d’information.Au final, c’est toute l’entreprise qui gagne en réactivité, grâce au raccourcissement des délais entre la collecte, le reporting et l’analyse des données :Les directions et équipes financières disposent d’une remontée des indicateurs clés de productivité, ainsi que des dépenses en temps réel.Les gestionnaires de projets gagnent du temps grâce à des outils ergonomiques et à une visibilité en temps réel sur les présences, les coûts engendrés et les exigences administratives du chantier.Les équipes de terrain gagnent en productivité et en réactivité, les outils digitaux leur permettant de communiquer rapidement les événements et anomalies rencontrées et de recevoir des réponses adaptées en temps voulu.Les sous-traitants et clients peuvent bénéficier de canaux de collaboration structurés afin d’accélérer le partage de données entre entreprises.Les départements ressources humaines gagnent en temps et en précision sur les données de présences, d’absences et de pointage et bénéficient d’une automatisation de nombreux traitements de données.Les responsables admin, QSE ou légaux bénéficient de la simplification de la gestion documentaire, du contrôle d’accès et le contrôle de présence pour obtenir une visibilité maximale et un monitoring en temps réel de la conformité des chantiers.Les gestionnaires matériels peuvent bénéficier d’une meilleure traçabilité de l’emplacement et de l’utilisation de ressources matérielles (équipement, engins, véhicules et outils), pour une gestion automatisée et une planification améliorée.Les responsables planning peuvent bénéficier d’une vue holistique sur les ressources nécessaires et disponibles permettant une allocation optimale.Une plateforme collaborativePour répondre à ce besoin de données fiables et partagées, Traxxeo a développé une suite de solutions digitales autour d’une plateforme unique, véritable outil de pilotage de l’ensemble des ressources de l’entreprise :Gestion des équipesGestion des temps et des activitésGestion des absencesPlanification des équipesGestion et partage des documents administratifs Gestion de chantierSuivi de productivité de chantierContrôle d’accèsGestion des présencesPlateforme en ligne de formation & certificationGestion de flotte et matérielGestion et suivi de matériel, avec assignation de responsabilitésGestion de flotte de véhiculesPlan d’affectationUn investissement croissant dans le collaboratifLes solutions connectées et collaboratives ont connu un engouement sans précédent ces 2 dernières années. Traxxeo a ainsi enregistré une croissance à 3 chiffres sur ses solutions collaboratives basées sur l’intelligence artificielle et les applications mobiles.Pour soutenir sa vision à long terme, son développement commercial et assurer son excellence technologique, Traxxeo annonce un renforcement de ses capacités financières de 3 millions d’euros grâce au soutien de ses partenaires historiques.
Il y a 3 ans et 81 jours

L’OPPBTP met à jour le Guide de préconisations de sécurité sanitaire

Cette version prend en compte le nouveau protocole sanitaire en entreprise, publié par le ministère du Travail le 26 février et applicable depuis le 28 février, en conformité avec les recommandations du Haut Conseil de Santé Publique et de l’État.Les principaux aménagements du guide concernent : Le port du masque : A compter du 28 février 2022, les obligations de port du masque ne sont plus applicables aux personnes accédant aux établissements, lieux, services et événements avec un pass vaccinal, y compris pour les professionnels soumis au pass vaccinal qui y exercent leur activité. Le port du masque peut toutefois y être rendu obligatoire par le préfet de département lorsque les circonstances locales le justifient. Le port du masque est maintenu dans les transports - y compris lorsque le pass vaccinal s'y applique - pour les déplacements longue distance par transports interrégionaux. Les cas contacts : Depuis le 28 février, un seul test devient nécessaire (autotest, PCR ou antigénique) deux jours après avoir été déclaré cas contact, pour les personnes vaccinées. Si l'autotest est positif, un test antigénique ou PCR est nécessaire pour confirmer le résultat.Le télétravail, recommandé depuis le 2 février dernier. Les employeurs fixent, dans le cadre du dialogue social de proximité, les modalités de recours au télétravail, en veillant au maintien des liens au sein du collectif de travail et à la prévention des risques liés à l’isolement des salariés en télétravail.Les réunions en audio ou en visioconférence restent à privilégier. Lorsqu’elles se tiennent en présentiel, les participants doivent respecter les gestes barrières, notamment le port du masque, les mesures d’aération/ventilation des locaux ainsi que les règles de distanciation.Les moments de convivialité réunissant notamment les salariés en présentiel dans le cadre professionnel peuvent être organisés dans le strict respect des gestes barrières, en particulier le port du masque, les mesures d’aération/ventilation et les règles de distanciation.Les masques FFP2 sont prioritairement réservés aux professionnels médicaux, y compris les personnels en charge du dépistage. Le HCSP précise toutefois dans son avis du 23 décembre 2021, que le port du masque FFP2 peut être indiqué pour les personnes à risque de formes graves du Covid-19 et en échec de vaccination pour raisons médicales, dès lors qu’elles sont en capacité de le supporter pendant plusieurs heures et pour un usage quotidien. Le guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction en période d’épidémie de coronavirus SARS-Cov-2 est disponible sur le site internet de préventionbtp.fr. Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu’à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 est à disposition sur le site.
Il y a 3 ans et 82 jours

Pourquoi et comment acheter du matériel de travaux publics d’occasion ?

Étant donné le prix élevé des appareils neufs, il est mieux d’opter pour du matériel d’occasion. De plus, si les équipements et les outils sont dans le domaine des travaux publics, ils sont réputés pour être performants et de qualité. Ainsi, le choix d’acheter du matériel de travaux publics d’occasion allie non seulement une efficacité prouvée mais aussi, il permet de réaliser des économies. Cependant, comment s’y prendre pour profiter de cette petite astuce ? Les raisons d’acheter du matériel de travaux publics d’occasion L’achat du matériel de travaux publics d’occasion génère beaucoup d’avantages à savoir : La performance de l’outil Le matériel et les outils d’occasion sont idéals pour des usages occasionnels surtout s’ils proviennent des travaux publics. En vous fournissant auprès de ces derniers vous serez sûr de la performance du matériel, du fait que l’envergure des travaux engagés dans ce domaine est toujours conséquente. L’existence de plusieurs modèles Les équipements de travaux publics se présentent sous différents modèles avec plusieurs types de marques. Tous les goûts et tous les besoins seront donc comblés en se tournant vers l’occasion. Que ce soit des équipements récents ou anciens, il n’y a rien à redire sur la prestation et sur la variété des choix qui vous seront proposés Vous aurez même l’embarras du choix en découvrant des appareils comme les grues, les pelles ou encore un tractopelle d’occasion. L’économie et la facilité de mise en œuvre En se tournant vers le matériel d’occasion, vous pouvez bénéficier d’une économie considérable par rapport au prix du neuf. Vous avez le choix entre une vente aux enchères ou un déstockage. Certaines entreprises publiques réalisent également des ventes d’équipements en lots. Seulement, il ne faut pas se focaliser sur leur prix abordable, vous devez prendre en compte la qualité de vos trouvailles. D’autre part, vous pouvez aussi profiter d’une sécurité en optant pour du matériel de travaux publics d’occasion. En effet, ce dernier est réparé avant d’être soumis à la clientèle. Il subit également des tests de reconditionnement dans le but d’attester de sa conformité. Les astuces pour acheter du matériel de travaux publics d’occasion Avant d’acheter du matériel de TP d’occasion, il faut d’abord se renseigner sur l’état du matériel en question, en recherchant les défauts et les détériorations qu’il a pu subir durant sa précédente fonction. Vous pouvez vous approcher du revendeur, dans le but de mener une enquête sur l’historique du matériel, en le questionnant sur la présence ou non de dysfonctionnement. Mais aussi sur les dates de vidanges et d’entretiens qu’il a déjà subis. Même si une fiche comportant toutes les informations concernant le matériel vous est remise au moment où vous vous intéressez au modèle, il est mieux de consulter l’avis d’un expert en mécanique. Il pourra déterminer les caractéristiques comme la qualité et le niveau du liquide de refroidissement, de l’huile de moteur et des autres types de liquides qui participent au bon fonctionnement du matériel. Vous devez également évaluer le nombre d’heures de fonctionnement de l’appareil afin de connaître sa valeur. En sachant ces caractéristiques, vous pourrez entamer les négociations du prix. Par la même occasion, vous devrez contrôler les documents de ventes ainsi que les papiers qui concernent la machine. Également, assurez-vous d’approcher des revendeurs qui possèdent déjà une image de marque afin d’éviter les contrefaçons. En concluant un contrat de vente avec des revendeurs possédant une bonne réputation, vous serez sûr d’avoir les garanties nécessaires sur le matériel. Sachez qu’il existe des plateformes de commercialisation de matériel de travaux publics d’occasion que vous pouvez consulter avant de faire votre choix.
Il y a 3 ans et 85 jours

La centrale de ventilation double flux Flair 225 de Brink obtient la NF

Délivrée par Eurovent Certita Certification, la certification NF permet de créer un socle commun de critères pour l'évaluation des produits, applicables à tous les fabricants et permet également aux fabricants d'atteindre des normes de qualité plus élevées et de se conformer aux exigences gouvernementales.Les prescripteurs et utilisateurs peuvent sélectionner des produits certifiés avec l'assurance de l'exactitude des données.En France la marque NF bénéficie d'une très grande notoriété, et est un gage de qualité et de confiance pour les utilisateurs. La NF est reconnue sur le marché car elle garantit tout à la fois la transparence et la conformité aux normes et aux performances annoncées, valorisant ainsi les produits certifiés.Appareil le plus performant de sa catégorie (
Il y a 3 ans et 85 jours

ABB ENRICHIT SES GAMMES DE MATÉRIELS ÉLECTRIQUES DANS LE LOGICIEL ELEC CALC™

Trace Software International, éditeur de logiciels pour le bâtiment et l’énergie, et ABB, leader des technologies numériques pour l’industrie, annoncent l’intégration de nouvelles références de matériels électriques dans le catalogue multi-fabricants du logiciel elec calc. Des milliers de références ABB disponibles dans le logiciel elec calc. Déjà présent dans le catalogue multi-fabricants d’elec calc, ABB propose désormais aux utilisateurs du logiciel l’accès à une base de données techniques enrichie de près de 5 000 nouvelles références de disjoncteurs dont celles de la gamme de disjoncteurs boitier moulé Tmax XT. Ce sont au total plus de 29 000 références ABB de disjoncteurs et autres composants qui sont disponibles dans le catalogue elec calc et qui permettent de proposer aux professionnels un large choix de références techniques. « Nous avons souhaité être référencés dans elec calc car ce logiciel représente un important relais d’informations pour faire découvrir nos produits directement aux bureaux d’études. De plus, Trace Software dispose d’un service dédié à l’enrichissement des bases de données de leur logiciel ce qui nous a fait gagner un temps précieux pour l’intégration de nos références. Nous savons que la cohérence des données techniques avec le logiciel est contrôlée et, pour nous, ce paramètre est essentiel en termes de sécurité. » Patrick Domange, ABB   « L’enrichissement des catalogues constructeurs est une démarche permanente qui assure à nos utilisateurs de disposer de nombreuses références à jour. Avec l’intégration des références d’un constructeur comme ABB, nous avons encore enrichi notre catalogue afin de proposer à nos utilisateurs un large choix de matériels. Ils bénéficient de données et de références à jour pouvant être directement exploitées dans les nomenclatures et les calculs » Martial Leroy, Trace Software Grâce à l’expertise reconnue d’ABB en distribution basse et moyenne tension et à l’expertise du calcul électrique de Trace Software avec elec calc, les professionnels peuvent réaliser leur conception avec une garantie de flexibilité et de conformité avec la norme électrique. A propos de Trace Software Depuis plus de 30 années Trace Software conçoit des logiciels pour la conception et l’exploitation d’installations électriques et solaires pour le bâtiment et l’industrie. Les solutions de Trace Software couvrent les besoins depuis le chargé d’affaires jusqu’à l’exploitation, en passant par le dimensionnement des réseaux. Trace Software est également présent sur le marché de la maquette numérique avec une plateforme complète de conception d’installations électriques en Open BIM. Trace Software est distribué en Europe, Afrique, Amérique du Sud et en Asie via des distributeurs et des filiales en Allemagne, Espagne, Maroc et Chine.
Il y a 3 ans et 89 jours

« Les cloisons, systèmes clés pour l'aménagement et la rénovation », au sommaire de Solutions & Performances N°6

Le nouveau numéro de Solutions & Performances, la lettre du CSTB dédiée à l'accompagnement de l'innovation, est consacré aux cloisons, dont le domaine d'emploi s'est élargi ces dernières années. La lettre Solutions & Performances donne une place centrale aux acteurs, clients et partenaires du CSTB – industriels, maîtres d'ouvrage, maîtres d'œuvre, entreprises et artisans témoignent – car ce sont eux qui donnent les clés en matière d'innovation en lien avec leurs besoins et les attentes du marché. Ainsi, dans la rubrique La parole aux professionnels, un représentant de la maîtrise d'ouvrage et un dirigeant d'entreprise nous parlent des bénéfices de la certification pour leur activité. En Une, la rubrique Tendances s'intéresse notamment aux performances multiples des cloisons qui permettent des usages de plus en plus variés. Elle évoque également la recyclabilité des plaques de plâtre issues des chantiers de rénovation et de déconstruction. Actualités revient sur la conformité des contre-cloisons et doublages pour limiter la propagation du feu dans les bâtiments d'habitation suite à l'introduction de la notion d'immeuble de moyenne hauteur dans le Code de la construction et de l'habitation, ainsi que sur la révision du NF DTU 25.41, relatif aux ouvrages en plaques de plâtre, plaques à faces cartonnées. La rubrique Pathologies se focalise sur les sinistralités qui peuvent être engendrées par un défaut de mise en œuvre des cloisons en plaques de plâtre. Grâce à Parole d'expert, vous saurez tout sur la nouvelle certification QB52, destinée aux systèmes de cloisons en plaques de plâtre, et la certification QB WallPEC, relative à la pose de carreaux de grand format sur plaques de plâtre. À découvrir également Marquages & Certificats qui, sous la forme d'une animation pédagogique, donne les clés de la certification dédiée aux systèmes de cloisons en plaques de plâtre et leurs performances. La rubrique Innovations présente les dernières tendances du marché, qui concernent notamment les cloisons constituées de plaques spéciales à hydrofugation renforcée à base de plâtre pour une utilisation en milieu collectif très humide. Bonne lecture ! Solutions & Performances - Numéro 6 : « Systèmes de cloisons » Le numéro 6 de Solutions & Performances est consacré aux cloisons, dont le domaine d'emploi s'est élargi ces dernières années. PDF 2.49 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 89 jours

Cloisons - Actualités

Photo : ShutterStockConformité des contre-cloisons et doublages pour limiter la propagation du feu dans les bâtiments d'habitation Deux arrêtés du 7 août 2019 complètent le décret n° 2019-461 du 16 mai 2019 introduisant la notion d'immeuble de moyenne hauteur (IMH) dans le Code de la construction et de l'habitation. Le premier modifie l'article 16 de l'arrêté du 31 janvier 1986 relatif à la protection contre l'incendie des bâtiments d'habitation ; le second précise les solutions constructives acceptables pour les rénovations de façade. Ce dernier définit ainsi les exigences en termes de limitation de propagation du feu par les systèmes de façade incluant des doublages ou des contre-cloisons, que la source de l'incendie soit interne ou non. Dans le cadre d'un Avis Technique ou d'un Document Technique d'Application, leur analyse vis-à-vis du risque incendie doit désormais se faire sous le prisme des dispositions de cet arrêté.  » L'arrêté est consultable sur le site de Légifrance QB52 Systèmes de cloisons en plaques de plâtre La nouvelle certification QB52 accompagne la révision de la norme NF DTU 25.41. Elle concerne les procédés de cloisons distributives utilisées pour la partition d'un local dans les bâtiments destinés aux logements, hôtels, bâtiments scolaires et hospitaliers ainsi que dans les immeubles de bureaux. Ces systèmes de cloisons sont constitués d'un parement en plaques de plâtre à faces cartonnées, d'une ossature métallique et de produits de jointoiement, dont les composants bénéficient des certifications suivantes : NF 081 ou équivalent (plaques de plâtre), NF 411 ou équivalent (profilés) et QB06 ou équivalent (systèmes de traitement des joints). La certification QB52 implique des modifications sur la mise en œuvre de ces systèmes de cloisons, dont les hauteurs peuvent excéder celles mentionnées dans le DTU 25.41 sans que soient altérées les performances réelles de module d'élasticité. Elle atteste la performance de résistance aux chocs pour leur domaine d'application. En cours d'approbation, le référentiel sera opérationnel et applicable début avril 2022. QB WallPEC (QB50) : carreaux céramiques pour revêtements muraux De nouvelles règles professionnelles sur la pose collée des revêtements céramiques de grand format, très grand format et format oblong, en murs intérieurs pour des travaux neufs, ont été publiées en février 2021. La nouvelle certification QB WallPEC permet d'attester la conformité des carreaux céramiques aux exigences de ce nouveau référentiel. En application du NF DTU 52.2 (pose collée des revêtements céramiques et assimilés – pierres naturelles), la surface des carreaux céramiques ne peut actuellement dépasser 2 200 cm² (bientôt 3 600 cm² avec la révision du NF DTU 52.2) sur les ouvrages traditionnels en plaques de parement en plâtre. Ces nouvelles règles professionnelles permettent le collage de carreaux céramiques de surfaces plus importantes, comprises entre 3 600 et 36 000 cm². Applicables aux ouvrages à base de plaques de plâtre sur ossature métallique, conformes au NF DTU 25.41, elles concernent les locaux classés EA (locaux secs ou faiblement humides), EB (locaux moyennement humides) et EB+ privatifs (locaux humides à usage privatif), selon le classement des locaux du cahier du CSTB n° 3567).  » Lien QB WallPEC Révision du NF DTU 25.41 relatif aux ouvrages en plaques de plâtre, plaques à faces cartonnées La norme NF DTU 25.41, qui constitue la référence en matière de travaux d'exécution d'ouvrages verticaux et horizontaux réalisés avec des plaques de plâtre, est en cours de révision. La nouvelle version concerne l'intégration des plaques de plâtre BA18 et BA25 de largeur 900 mm, passées dans le domaine traditionnel. Celle-ci intègre également l'utilisation des plaques de plâtre hydrofuges (H1) en EB+ collectifs (classement des locaux suivant le cahier du CSTB n° 3567) moyennant une mise en œuvre protégeant les plaques, incluant un SPEC (système de protection à l'eau sous carrelage) et un revêtement céramique dans les zones exposées à l'eau. La sortie du document est prévue en 2022. Solutions & Performances - Numéro 6 : « Systèmes de cloisons » Le numéro 6 de Solutions & Performances est consacré aux cloisons, dont le domaine d'emploi s'est élargi ces dernières années. PDF 2.49 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 89 jours

QB WallPEC permet de répondre aux exigences esthétiques et techniques, et est un gage de conformité des matériaux mis en œuvre

La parole aux professionnels Christophe Dufour, dirigeant Aquitaine Céramique, président du GS13, vice-président de l'UNECP-FFB Solutions & Performances - Numéro 6 : « Systèmes de cloisons » Le numéro 6 de Solutions & Performances est consacré aux cloisons, dont le domaine d'emploi s'est élargi ces dernières années. PDF 2.49 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 89 jours

Lève plaque à treuil EDMAPLAC CABLE

Après le succès rencontré par le lève plaque à crémaillère EDMAPLAC 450 auprès des artisans plaquistes, EDMA innove une fois de plus et propose aujourd’hui un nouveau lève plaque à treuil : EDMAPLAC CABLE. Conçu pour un usage professionnel sur des chantiers jusqu’à 3,50 m de hauteur, le nouvel EDMAPLAC CABLE est très performant et supporte des charges allant jusqu’à 60 kg. Il lève la plaque en toute sécurité, en position horizontale et inclinée (sous pente), à l’aide d’un double câble pour la levée et la descente. Il est muni d’une poignée de basculement, qui facilite le chargement de la plaque sur sa tête, et de poulies à roulements à billes qui réduisent l’effort à fournir pour hisser la plaque. Sa tête rotative libre à 360° le rend ensuite particulièrement pratique pour ajuster le placement de cette dernière. Enfin, il présente un format réduit, léger et peu encombrant et il est livré quasi intégralement monté (hormis la tête), permettant ainsi de l’assembler en seulement 5 minutes. Son célèbre homologue l’EDMAPLAC 450, qui a bénéficié récemment de multiples améliorations (volant en magnésium, maniement silencieux…), est pourvu de son côté, d’un système à crémaillère pouvant être assisté par une visseuse. Il offre ainsi une précision et un confort de levée sans pareils. Sa hauteur (4.50 m avec rallonge) et sa charge (80 kg) maximales, associées à sa capacité de lever la plaque dans toutes les positions (y compris verticale), le rendent particulièrement performant pour un usage professionnel intensif. Il dispose également d’un système de frein à 2 manettes et d’une plateforme en bois. Ces deux lève plaques EDMA sont munis de pieds latéraux repliables et de 3 roues (dont 2 avec freins) permettant un passage aisé des portes. Ils sont conformes à toutes les exigences en matière de sécurité et de santé de la directive Europe «MACHINES» – 2006/42/CE, et sont approuvés par rapports de conformité du bureau Véritas et certifications CE. EDMAPLAC CABLE, lève plaque à treuil – Référence : 268655 Prix de vente maximum conseillé : 540 € HT EDMAPLAC 450, lève plaque à crémaillère – Référence : 267355 Prix de vente maximum conseillé : 780 € HT Ces produits sont disponibles dans tous les points de vente spécialistes de l’outillage pour les plaquistes. À propos d’EDMA – Depuis plus de 80 ans, EDMA fabrique et commercialise des outils destinés aux professionnels du second œuvre du bâtiment et aux bricoleurs avertis. Des gammes complètes de produits innovants et très qualitatifs sont ainsi proposées aux Carreleurs, Plaquistes, Peintres, Maçons, Couvreurs, Façadiers, Soliers et Paysagistes pour leur apporter de vraies solutions de gain de temps et d’effort. EDMA exporte ses produits dans 66 pays et est présent sur les 5 continents.
Il y a 3 ans et 92 jours

Coop Strasbourg : la programmation au service de la sobriété

Côté magazine Côté magazine Coop Strasbourg : la programmation au service de la sobriété C’est en 2015 que l’architecte Alexandre Chemetoff a été missionné pour la réhabilitation du site de la friche industrielle de la Coop à Strasbourg. Neuf hectares dépoussiérés avec comme maître mot le réemploi poussé à l’extrême. Car si les usages ont bien changé, les bâtiments, eux, sont restés. Par Lucien Brenet L’histoire a débuté au début du siècle dernier, en 1902, date de naissance de la coopérative commerciale d’Alsace (Coop) à Strasbourg. L’objectif de ce grand ensemble, imaginé par des ouvriers, était de regrouper une multitude d’acteurs en un seul et même lieu afin d’acheter ensemble des produits alimentaires et de les distribuer au prix le plus juste. Forte de son succès, l’initiative n’a cessé de se développer. À son apogée, elle comptera plus de 100 000 sociétaires et 500 supermarchés coopératifs dans le Bas-Rhin. Une expansion qui s’est traduite physiquement, par la construction de nombreux bâtiments. Mais toutes les histoires ont une fin, et la Coop d’Alsace finira par être liquidée en 2015. Mais cette fin n’était pas un point final, car une question restait en suspens. Que faire de tous ces bâtiments, très anciens pour la plupart, et qui se dégradaient à grande vitesse ? « Nous avions sur le site des bâtiments de 1902, 1930, 1950, 1960 et des années 1970. Cette diversité devait être préservée », raconte Karim Tounounti, directeur opérationnel chez le maître d’ouvrage SPL Deux-Rives Strasbourg. Le projet Coop Culture était né.     Photo : Pierre Frigeni pour la SPL Deux-Rives Sur le site de l’ancienne Coop d’Alsace,  pas moins de 45 000 m2 de bâtiments ont été réhabilités. Photo : A-Chemetoff-et-associés S’appuyer sur l’existant Le programme de sauvetage a été présenté au congrès Bâtiment durable qui s’est tenu en octobre dernier. Et pour cause : sur le site de la Coop, il n’était pas question de détruire pour reconstruire. Cap était mis sur le réemploi. Pour préserver au maximum ce patrimoine immatériel strasbourgeois, il a été décidé de réemployer non pas les matériaux, mais bien les bâtiments. Pour ce faire, la SPL choisit pour maître d’œuvre l’architecte urbaniste paysagiste Alexandre Chemetoff en 2015. Dans la réhabilitation de cette friche industrielle, sobriété était le maître mot, et la sauvegarde des bâtiments a été lancée pour un coût de moins de 1 000 €/m2. Coût total de l’opération ? Un peu plus de 23 millions d’euros. « L’économie vient de la démarche programmatique et de l’intelligence situationnelle. C’est cette programmation qui nous a permis de rester sobres en travaux », assure Karim Tounounti. Sur le site, il restait à désenfumer et désamianter les bâtiments, avant de les mettre aux normes actuelles, de les isoler et de les adapter à leurs futurs usages. Cette photo présente le bâtiment de l’Union sociale avant réfection. Photo : A-Chemetoff-et-associes Réaffectation plutôt que destruction En effet, à la base, le programme était défini comme une opération publique de bâtiment culturel. « Mais nous avons convenu [avec la ville de Strasbourg] d’établir une programmation adaptable et de lancer les travaux tout en finalisant la programmation. » Une réaffectation avec pour ambition de faire de ce quartier un centre névralgique, et de conserver cet esprit de coopération et de proximité qui y a régné pendant plus d’un siècle. « Nous avons aussi défendu l’importance d’en faire un quartier de vie et que soient donc intégrés au programme entre 400 et 500 logements poussés par des promoteurs immobiliers. » Certains logements s’organisent et s’organiseront autour de places et de jardins partagés, principalement autour de l’ancien siège de l’administration de la Coop et de la maison des syndicats. Les premiers habitants, eux, arriveront l’année prochaine. Le quartier, situé entre un port industriel et des infrastructures ferroviaires, « fait figure de parc, où les équipements et les espaces publics sont mis à disposition de tous », développe Karim Tounounti. Pour ce qui est des équipements justement, les anciens bâtiments accueillent des ateliers d’artistes, une salle d’exposition dans la salle hypostyle et une brasserie dans la salle d’embouteillage de la cave à vin, une maison du projet, les réserves des musées de la ville de Strasbourg, des espaces de coworking… Circulez, il n’y a rien à voir Un lieu de vie décontracté (plutôt qu’apaisé), où les voitures sont acceptées, mais ne sont plus les bienvenues. L’ensemble de la voirie est réservé à la rencontre, aux piétons et aux cycles. Et si la circulation automobile n’est pas interdite à proprement parler, le quartier ne compte aucune place de stationnement en surface. Le stationnement se polarise aux abords du quartier, dans un parking public mutualisé. Le quartier est accessible par le réseau métropolitain de pistes cyclables, le tramway D StarCoop-Petit Rhin ou la gare régionale de Kehl-am-Rhein. L’espace public reste globalement très minéral, car, pour ce qui est de planter de nouveaux arbres, les contraintes sont nombreuses en raison de parcelles déjà largement occupées par le bâti. Pour autant, le quartier renferme un réseau de petites places publiques et de jardins partagés qui structurent la vie de quartier permettant l’installation de tables communes, de barbecues, voire d’aires de jeux. En mars 2023, un nouveau parc urbain de 5,6 hectares verra le jour à proximité du quartier. Agrémenté d’une grande noue de collecte des eaux pluviales et d’équipements sportifs, il fera office de bol d’air frais, dans un quartier déjà bien rafraîchi. Les anciens ateliers de la Coop ont été rénovés et accueillent désormais des artistes. Photo : Alex Flores Pour éviter d’importants coûts d’exploitation, ce bâtiment de 12 000 m2 destiné à recevoir du public a été divisé en sept espaces indépendants les uns des autres. Photo : Pierre Frigen Ce bâtiment autrefois destiné à la logistique a été entièrement rénové pour accueillir les réserves muséales de la ville de Strasbourg. Photo : Pierre Frigeni 1 / La Virgule, l’atelier des coopérateurs À l’époque, ce site accueillait l’ensemble des bâtiments liés à la maintenance, et tout ce qui servait au bon fonctionnement de la Coop (garage, menuiserie, etc.). « La programmation a saisi l’occasion de relocaliser certains artistes dans ces bâtiments à des tarifs très avantageux. » C’était tout trouvé. Cette multitude de petits ateliers s’est transformée en pépinière d’artistes. Le petit œuvre a consisté en une mise en conformité des lieux, en des travaux d’isolation et d’électricité. 2 / L’Union sociale Bâtiment central du quartier, cet ensemble logistique de 8 200 m2 répartis sur cinq niveaux accueille désormais la réserve muséale de Strasbourg. « À l’origine, les réserves de Strasbourg étaient réparties en différents sites, et étaient donc très éclatées. Ce qui entraînait des difficultés dans l’organisation des cycles et des rotations des expositions. » Le bâtiment de l’Union sociale, en plus de centraliser l’ensemble grâce à ses grandes surfaces, répond aussi à un besoin d’inertie thermique, essentielle pour la conservation des œuvres. À l’origine, la ville de Strasbourg souhaitait que ces réserves soient accessibles aux visiteurs, ce qui aurait impliqué une mise aux normes coûteuse. « Nous avons trouvé un compromis en transformant les portes de quais d’origine en baies vitrées sécurisées. En notre qualité d’aménageur, nous avons rendu visible l’intérieur du bâtiment depuis l’espace public sans que le bâtiment ne soit accessible au public pour autant », détaille Karim Tounounti. 3/ La cave à vin C’est un peu le cœur du quartier. Ce bâtiment de 12 000 m2, destiné à accueillir du public, risquait d’entraîner d’importants coûts d’exploitation. La parade ? Elle est toute simple. Alexandre Chemetoff a simplement divisé le bâtiment en sept espaces indépendants les uns des autres. L’ensemble renferme désormais une cave à vin donc, mais aussi une salle d’exposition, des bureaux, une halle alimentaire, d’anciennes cuves à vin, comme un ultime témoignage des usages d’antan…   Fiche technique • Maître d’ouvrage : SPL Deux-Rives Strasbourg • Maître d’œuvre : Alexandre Chemetoff & Associés • 1 000 habitants • 50 000 m2 d’activités socioculturelles et économiques • 45 000 m2 de bâtiments réhabilités Cet article est extrait de Planète Bâtiment n°67 > Consulter la version numérique 
Il y a 3 ans et 96 jours

Nouveau Lève plaque à treuil Edmaplac Cable

Conçu pour un usage professionnel sur des chantiers jusqu’à 3,50 m de hauteur, le nouvel EDMAPLAC CABLE est très performant et supporte des charges allant jusqu’à 60 kg. Il lève la plaque en toute sécurité, en position horizontale et inclinée (sous pente), à l’aide d’un double câble pour la levée et la descente. Il est muni d’une poignée de basculement, qui facilite le chargement de la plaque sur sa tête, et de poulies à roulements à billes qui réduisent l’effort à fournir pour hisser la plaque. Sa tête rotative libre à 360° le rend ensuite particulièrement pratique pour ajuster le placement de cette dernière. Enfin, il présente un format réduit, léger et peu encombrant et il est livré quasi intégralement monté (hormis la tête), permettant ainsi de l’assembler en seulement 5 minutes. Son célèbre homologue l’EDMAPLAC 450, qui a bénéficié récemment de multiples améliorations (volant en magnésium, maniement silencieux…), est pourvu de son côté, d’un système à crémaillère pouvant être assisté par une visseuse. Il offre ainsi une précision et un confort de levée sans pareils. Sa hauteur (4.50 m avec rallonge) et sa charge (80 kg) maximales, associées à sa capacité de lever la plaque dans toutes les positions (y compris verticale), le rendent particulièrement performant pour un usage professionnel intensif. Il dispose également d’un système de frein à 2 manettes et d’une plateforme en bois.Ces deux lève plaques EDMA sont munis de pieds latéraux repliables et de 3 roues (dont 2 avec freins) permettant un passage aisé des portes. Ils sont conformes à toutes les exigences en matière de sécurité et de santé de la directive Europe «MACHINES» - 2006/42/CE, et sont approuvés par rapports de conformité du bureau Véritas et certifications CE.EDMAPLAC CABLE, lève plaque à treuil - Référence : 268655Prix de vente maximum conseillé : 540 € HT EDMAPLAC 450, lève plaque à crémaillère - Référence : 267355Prix de vente maximum conseillé : 780 € HTCes produits sont disponibles dans tous les points de vente spécialistes de l’outillage pour les plaquistes.