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Il y a 7 ans et 211 jours

Événement : Biennale d'Architecture d'Orléans

Intitulée " Marcher dans le rêve d'un autre ", la première Biennale d'Architecture d'Orléans (45) animera la cité jusqu'au 26 avril 2018. Menée par Abdelkader Damani, directeur du Frac Centre-Val de-Loire et Luca Galofaro, architecte, l'événement fait découvrir à ses visiteurs la collection du Fond Régional d'Art Contemporain et redécouvrir le travail de l'architecte Patrick Bouchain. À une époque où fleurissent les Biennales et Triennales, que différencie la première Biennale d'Architecture d'Orléans de ses semblables ? Défini par son commissaire d'exposition comme étant " de collection ", l'événement navigue à travers les mémoires, qu'elles soient constituées " telles les collections du FRAC exposées dans toute la ville ", ou en devenir " grâce aux hommages rendus aux architectes invités. Conçue comme un parcours utopique, la manifestation permet à la population orléanaise comme aux férus de la discipline de redécouvrir la ville de Jeanne d'Arc avec un "il neuf.Ainsi, l'esplanade de la médiathèque " réalisée par Dominique Lyon en 1994 ", est associée à une installation du studio transalpin 2A+P/A matérialisant notamment un dessin du designer Ettore Sottsass, Architetturra Monumentale. Rendez-vous ensuite aux Turbulences, centre d'art associant d'anciens bâtiments militaires du XIXe siècle réhabilités et pavillon contemporain réalisé par Jakob + MacFarlane en 2006, où de multiples expositions se succèdent. Le visiteur y découvre des sujets variés, allant de la monographie consacrée à Patrick Bouchain à la présentation de projets expérimentaux, en passant par un investissement artistique de l'unique salle par le Pôle d'exploration des ressources urbaines (PEROU) qui rassemble des données administratives de la Jungle de Calais (62). Direction maintenant le centre-ville. En passant par la rue Jeanne d'Arc bordée de drapeaux imaginés par des artistes et des architectes de tous horizons, nous voilà rendus sur le parvis de la cathédrale, accueillant quant à lui Les Îlots, trois monolithes réalisés par Claude Parent pour le Domaine du Muy en 2010 puis acquises par le Fonds à sa mort l'année dernière. Une visite à la Collégiale Saint-Pierre, dans la cité historique, nous plonge par la suite dans un univers à la fois déroutant et attractif, qui confronte la structure classique en pierre de l'église à un flot d'"uvres contemporaines, allant des peintures abstraites de José Maria Yturralde aux installations sonores de Bernard Khoury, en passant par les projections vidéo réalisées par les Américains d'OBRA Architects. Le voyage se termine non loin, aux Vinaigreries Dessaux, friche industrielle investie par des graffeurs et des street-artists, qui se transforment, sous l'impulsion des étudiants de l'ENSA de Nantes (44), en un site hybride. Situé entre temple du numérique et de la technologie où sont projetés des films montés par les élèves ", et prairie verdoyante, avec son gazon fraîchement tondu, ce drôle d'espace conclue la promenade imaginée par Abdelkader Damani et Luca Galofaro.Une Biennale onirique donc, où la multitude de médiums et lieux d'exposition invitent les spectateurs à rêver d'une architecture extraordinaire ou à contempler les travaux d'architectes eux aussi extraordinaires. Première Biennale d'Architecture d'Orléans (45), jusqu'au 26 avril 2018, dans toute la ville. Pour en savoir plus, visitez le site de la Biennale d'Architecture d'Orléans. Photographies : 1) Guy Rottier, Maison pour Ben, Nice, 1974-1988 © François Lauginie, Collection Frac Centre-Val de Loire2) Frac Centre-Val de Loire © DR3-4) Pavillon 2A+P/A © Ludovic Letot5) Frac Centre-Val de Loire © DR6) Blaise Adilon7) 8) 9) 10) 11) 12) Frac Centre-Val de Loire © DR13) Chanéac, Ville alligator, 1968 - Collection Frac Centre-Val de Loire © DR14-15) Collégiale Saint-Pierre, Frac Centre-Val de Loire © DR15) Les Vinaigreries Dessaux, Frac Centre-Val de Loire © DR
Il y a 7 ans et 211 jours

Événement : Biennale d'Architecture d'Orléans

Intitulée " Marcher dans le rêve d'un autre ", la première Biennale d'Architecture d'Orléans (45) animera la cité jusqu'au 26 avril 2018. Menée par Abdelkader Damani, directeur du Frac Centre-Val de-Loire et Luca Galofaro, architecte, l'événement nous fait découvrir la collection du Fond Régional d'Art Contemporain à travers divers lieux et redécouvrir le travail de l'architecte Patrick Bouchain. À une époque où fleurissent les Biennales et Triennales, que différencie la première Biennale d'Architecture d'Orléans de ses semblables ? Défini par son commissaire d'exposition comme étant " de collection ", l'événement navigue à travers les mémoires, qu'elles soient constituées " telles les acquisitions du FRAC exposées dans toute la ville ", ou en devenir " grâce aux hommages rendus aux architectes invités. Conçue comme un parcours utopique, la manifestation permet à la population orléanaise comme aux férus de la discipline de redécouvrir la ville de Jeanne d'Arc avec un "il neuf.Ainsi, l'esplanade de la médiathèque " réalisée par Dominique Lyon en 1994 ", est associée à une installation du studio transalpin 2A+P/A matérialisant un dessin du designer Ettore Sottsass, Architetturra Monumentale et à d'autres de ses "uvres sont exposées. Rendez-vous ensuite aux Turbulences, centre d'art associant d'anciens bâtiments militaires du XIXe siècle réhabilités et pavillon contemporain réalisé par Jakob + MacFarlane en 2006, où de multiples expositions se succèdent. Le visiteur y découvre des sujets variés, allant de la monographie consacrée à Patrick Bouchain à la présentation de projets expérimentaux, en passant par un investissement artistique de l'unique salle par le Pôle d'exploration des ressources urbaines (PEROU) qui rassemble des données administratives de la Jungle de Calais (62). Direction maintenant le centre-ville. En passant par une rue Jeanne d'Arc bordée de drapeaux imaginés par des artistes et des architectes de tous horizons, nous voilà rendus sur le parvis de la cathédrale, accueillant quant à lui Les Îlots, trois monolithes réalisés par Claude Parent pour le Domaine du Muy en 2010 puis acquises par le Fond à sa mort l'année dernière. Une visite à la Collégiale Saint-Pierre, dans la cité historique, nous plonge par la suite dans un univers à la fois déroutant et attractif, qui confronte la structure classique en pierre de l'église à un flot d'"uvres contemporaines, allant des peintures abstraites de José Maria Yturralde aux installations sonores de Bernard Khoury, en passant par les projections vidéo réalisées par les Américains d'OBRA Architects. Le voyage se termine non loin, aux Vinaigreries Dessaux, friche industrielle investie par des graffeurs et des street-artists, qui se transforment, sous l'impulsion des étudiants de l'ENSA de Nantes (44), en un site hybride. Situé entre temple du numérique et de la technologie où sont projetés des films montés par les élèves ", et prairie verdoyante, avec son gazon fraîchement tondu, ce drôle d'espace conclue la promenade imaginée par Abdelkader Damani et Luca Galofaro.Une Biennale onirique donc, où la multitude de médiums et lieux d'exposition invitent les spectateurs à rêver d'une architecture extraordinaire ou à contempler les travaux d'architectes extraordinaires. Première Biennale d'Architecture d'Orléans, jusqu'au 26 avril 2018, dans toute la ville. Pour en savoir plus, visitez le site de la Biennale d'Architecture d'Orléans. Photographies : 1) Guy Rottier, Maison pour Ben, Nice, 1974-1988 © François Lauginie, Collection Frac Centre-Val de Loire2) Frac Centre-Val de Loire © DR3) 4) Pavillon 2A+P/A © Ludovic Letot5) Frac Centre-Val de Loire © DR6) Blaise Adilon7) 8) 9) 10) 11) 12) Frac Centre-Val de Loire © DR13) Chanéac, Ville alligator, 1968 - Collection Frac Centre-Val de Loire © DR14) 15) Collégiale Saint-Pierre, Frac Centre-Val de Loire © DR15) Les Vinaigreries Dessaux, Frac Centre-Val de Loire © DR
Il y a 7 ans et 216 jours

ARTE : Collection Architectures

Présents depuis 1996 sur nos petits écrans, la collection Architectures de la chaîne franco-allemande Arte est une série de documentaires initiée par le producteur Richard Copans, et l'auteur et réalisateur Stan Neumann. Ce format court et monothématique d'une vingtaine de minutes, axé sur une réalisation architecturale iconique, revient cette année avec de nouveaux épisodes à visionner les 22 et 29 octobre. Avec plus de 60 films répartis en onze coffrets DVD, Architectures traverse le temps avec des enquêtes toujours plus approfondies sur des bâtiments emblématiques, dévoilant ainsi le moindre de leurs petits secrets. Après avoir abordé lors de la dernière saison Roissy 1 ou encore la Maison d'hôtes Wan Shan à Hangzhou (Chine), le programme s'attaque désormais à quatre projets éclectiques répartis à travers le monde et les époques : la Prison de la Santé à Paris (14e), réalisée par Joseph Auguste Émile Vaudremer en 1867 ; la Green School de Bali (Indonésie) livrée en 2008 par John et Cynthia Hardy ; la Médiacité à Liège (Belgique) signée Ron Arad et la Bibliothèque d'Exter de Louis Kahn située dans le New Hampshire (États-Unis). Si les deux premiers sujets ont déjà été diffusés, il est encore temps de se rattraper le 22 octobre pour découvrir les dessous du complexe commercial belge caractérisé par sa toiture monumentale largement vitrée ; puis, la semaine suivante, l'ensemble monumental et géométrique des rayonnages américains, l'un des derniers chefs d'"uvre de Louis Kahn, célèbre architecte new-yorkais d'origine estonienne décédé il y a près de 50 ans. Qui a dit que femme du dimanche matin ne pouvait pas rimer avec culture et architecture ?   Architectures, les 22 et 29 octobre à 11h15 sur Arte. Pour en savoir plus, visitez le site d'Arte Photographies : Richard Copans1) Bibliothèque, Exter (États-Unis), Louis Kahn2) Green School, Bali (Indonésie), John et Cynthia Hardy3) Prison de la Santé, Paris (14e), Joseph Auguste Émile Vaudremer4) Médiacité, Liège (Belgique), Ron Arad
Il y a 7 ans et 223 jours

Les robots humanoïdes se font une place dans la maison

Si les robots de forme humaine étaient cantonnés il y a quelques années aux films de sciences fiction, la donne a désormais changé. Ils pourraient intégrer les maisons. Quels industriels parient sur ces droïdes ? Pourquoi ? Réponses.
Il y a 7 ans et 237 jours

Événement : AGORA 2017

Depuis jeudi, Bordeaux (33) vit au rythme d'AGORA, Biennale d'architecture, d'urbanisme et de design, axée cette année sur le thème du paysage. Des rives de la Garonne aux Bassins à flots, en passant par la Place de la Bourse, la belle endormie s'est éveillée durant quatre jours aux sons des conférences et aux lumières des installations. Bien qu'une partie de la programmation ait été disséminée dans tout Bordeaux, l'exposition principale imaginée par le paysagiste/architecte/ingénieur belge, Bas Smets, se tenait dans l'imposant bâtiment en béton situé dans le quartier central des Chartrons : le Hangar 14, dit H14. Après les thèmes " Métropoles millionnaires " en 2010, " Patrimoine " en 2012 et " Espace public " en 2014, la nouvelle édition de l'événement s'articule autour du sujet des " Paysages métropolitains ". Un fil d'Ariane qui guide le chaland dans une scénographie répartie sur les deux niveaux. Le rez-de-chaussée, prévu pour accueillir les différentes installations " allant du stand explicatif aux espaces multimédias ", reproduit entre autres la topographie de la ville , tout en y implantant des projets urbains, architecturaux ou créatifs. Le commissaire Bas Smets organise ces différents éléments de part et d'autres du tracé de la Garonne reproduit à même le sol du H14. Les diverses zones dédiées aux films, stands, maquettes et conférences sont ainsi séparées par ce cours d'eau factice et près de 300 arbres d'essences locales. À l'étage, on retrouve deux structures pentagonales composant " Paysages augmentés ", la deuxième partie de l'exposition de Bas Smets . L'une, intitulée " Homo urbanus ", met en scène les travaux des vidéastes Ila Bêka et Louise Lemoine abordant l'influence du climat sur les habitudes des habitants de différentes métropoles " Saint-Pétersbourg, Naples, Bogota, Rabat et Séoul ", tandis que la seconde, nommée " Résistance du territoire " s'intéresse aux interventions humaines sur la nature et au rôle de celle-ci sur le développement citadin de Singapour, Bruxelles, Hong Kong, Hyderabad et Bordeaux grâce à un ensemble de projections signées Christian Barani. Ajoutées à cela, de nombreuses manifestations ayant lieu au c"ur de Bordeaux " inauguration de la nouvelle promenade réalisée par le paysagiste Michel Corajoud, inaugurée ce weekend performances artistiques, ballets, projections de longs métrages, jeux de lumières, etc. ", et installations " dont L'Observatoire du ciel de Pablo Reinoso ", qui ont permis de familiariser les passants aux pratiques architecturales, urbaines et artistiques. Grand nombre de lieux situés au-delà du centre-ville ont également été exploités, à l'exemple de la base sous-marine, héritage bétonné de la Seconde Guerre mondiale, qui accueillait l e prix Bas Carbonne tandis que de nombreuses fêtes avaient lieu du côté de la Cité du Vin de l'agence XTU architects, livrée l'an passé. Le résultat offre une biennale vivante, aussi passionnante pour les professionnels que pour les novices ! Pour en savoir plus, visitez le site d'AGORA Photographies : DR Agora
Il y a 7 ans et 242 jours

La tour Montparnasse aurait pu ressembler à...

REHABILITATION. Maquettes, films d'animation 3D, plans et perspectives... Une exposition au Pavillon de l'Arsenal à Paris présente en détail jusqu'au 22 octobre, les sept projets finalistes proposés dans le cadre de la consultation internationale pour la métamorphose de la tour Montparnasse.
Il y a 7 ans et 243 jours

Rencontre avec : BIG

À l'occasion de la présentation à la presse de son biopic, la rédaction de Muuuz rencontrait le jeune prodige Bjarke Ingels sur ses terres, à Copenhague (Danemark), dans les impressionnants locaux de son agence, BIG, qui compte dorénavant plus de 450 collaborateurs répartis entre la capitale danoise, New York et Londres. Un parcours sans faute pour celui qui, à la base, ne souhaitait même pas être architecte mais dessinateur de BD. Muuuz : Vous arrivez tout juste de l'aéroport. Que cela vous fait-il de savoir qu'une des premières choses que les gens voient de Copenhague depuis les airs est votre bâtiment 8-tallet ?Bjarke Ingels : C'est une façon plutôt sympathique d'être accueilli ! En fonction de la direction par laquelle vous arrivez, vous pourrez aussi bientôt voir une piste de ski installée sur le toit du Amager Resource Center, future station de traitement des déchets de Copenhague [située à deux pas de l'Opéra, il sera le bâtiment le plus haut de la capitale, ndlr]. C'est assez drôle de se dire que d'un côté il y aura le palais de la Reine, et en face une piste de ski ! Comment l'idée d'un biopic vous est-elle venue ?L'histoire commence en 2009. Le réalisateur du film, Kaspar Astrup, tournait à l'époque My playground, dans lequel il suivait les freerunners de Parkour, qui utilisaient comme terrain de jeux The Mountain, l'immeuble d'habitation que nous avons conçu avec Julien de Smedt. C'était il y a 7 ans ! Au même moment, je me demandais comment intéresser les néophytes à l'architecture, car c'est rare d'arriver à capter leur attention sur le sujet, ou quand cela fonctionne c'est parce qu'ils trouvent un bâtiment moche ! Pour y arriver, je me suis donc dit qu'il fallait aborder le film comme une fiction, et non un documentaire. Cela a été le point de départ des 7 ans de tournage de BIG TIME ! Qu'est-ce cela fait d'être suivi aussi longtemps par un réalisateur ?Kaspar est devenu un ami. Du coup, être suivi par lui n'a rien à voir avec le fait de l'être par une équipe inconnue. Et il n'était pas tout le temps là. Par exemple, quand j'ai déménagé aux États-Unis, il n'y avait que moi et un de mes associés, qui est également un ami. Maintenant il y a 200 personnes ! BIG TIME ne montre pas tout ce qui s'est passé entre-temps, on a l'impression qu'on s'est contentés de prendre un avion et que tout cela s'est fait facilement... Avez-vous demandé à effectuer des coupes dans le film ?On a fait quelques ajustements pour se concentrer un peu plus sur le contexte. Quand j'ai vu le montage final, j'ai été surpris de voir que c'était aussi une histoire d'amour. À la fin du film, on se dit " Bjarke a trouvé l'amour " ! Selon vous, le film parle de vous en tant qu'homme ou qu'architecte ? Qui de BIG ou de Bjarke...Je dirais que c'est avant tout une histoire sur moi, en tant que personne. Ce serait pour moi un succès de savoir que les spectateurs ont ressenti de l'émotion, de la sympathie ou de l'empathie pour le personnage principal que j'incarne, tout en s'intéressant à l'architecture et à son impact sur la vie de tous les jours. Dans le film Storytelling, de Todd Solondz, un professeur d'écriture dit " peu importe ce qui s'est passé, dès que tu commences à écrire, tout devient une fiction ". Dans ce sens, ce qui arrive dans BIG TIME a beau parler de moi, il s'agit au final d'une fiction. Construire fait aussi appel à cet aspect narratif, car vous pouvez imaginer ce que vous voulez, mais le résultat peut être complètement différent. La maison de vos parents que l'on voit dans le film, de style moderne, a-t-elle influencé votre travail ?J'ai une théorie : je pense que les petits sont bien plus modernes que les grands. Dans les films de James Bond que je regardais, le méchant vivait toujours dans une maison avec terrasse, lignes géométriques et vitrage partout, je trouvais cela vraiment cool ! Puis à l'école, j'ai appris à aimer autre chose. Pourquoi ne dessinez-vous pas de maisons ?Je pense que c'est beaucoup de travail de concevoir des maisons privées. On a réalisé un ensemble de quatre maisons au nord du Danemark. Chacune d'elles est différente, comme un portrait des gens qui vont y vivre. Plus ils ont une façon de vivre hors normes, plus c'est excitant ! Avant de commencer, on s'est assuré que les propriétaires souhaitaient réaliser un projet extraordinaire. Car pour un projet comme celui-là vous dépensez tellement d'énergie ! Pour que ce soit pertinent, c'est comme un film : celui auquel il se destine doit être émotionnellement investi. Qu'est-ce que cela vous fait, à seulement 40 ans, d'avoir été choisi pour construire sur un site comme Ground Zero ?C'est un honneur incroyable. On a l'impression d'être l'acteur de son propre film...Je me rappelle très bien le jour où les tours ont été détruites. À l'époque je venais de monter ma première agence, PLOT, avec Julien de Smet. On était en train de peindre nos premiers locaux. Notre stagiaire nous a avertis. On est restés scotchés. On regardait cela, abasourdis, et là, la seconde tour a été touchée. On prend alors conscience que tout peut un jour disparaître. Tout cela semblait invraisemblable ; avoir été choisi, 15 ans plus tard, pour construire une des tours de ce site l'est encore plus. J'ai appris cela alors que je venais de monter une antenne new-yorkaise. C'est comme si la boucle était bouclée, comme quand on prend conscience à la fin d'une séance de cinéma de l'importance de première scène... Après une telle carrière, y a-t-il des projets pour lesquels vous seriez prêts à tuer ?Commettre un meurtre ?! Oh non, je n'irais jamais jusque-là ! BIG TIME, Kaspar Astrup, Danemark, 2017, 93 minutes ; un article à découvrir sur Muuuz Pour en savoir plus, visitez le site de BIG Photographies :1) © Steve Benisty2) Amager Resource Center © BIG - Bjarke Ingels Group-MIR3) The Mountain, PLOT = BIG + JDS4-6) BIG TIME, Kaspar Astrup, Danemark, 2017, 93 minutes7) © Jonas Bie8) © KT Auleta9) 8-Tallet © Dragor Luftfoto10-12) 8-Tallet © Jens Lindhe13-16) Amager Resource Center © BIG - Bjarke Ingels Group-MIR17) Serpentine Pavilion 2016
Il y a 7 ans et 243 jours

Rencontre avec : BIG

À l'occasion de la présentation à la presse de son biopic, la rédaction de Muuuz rencontrait le jeune prodige Bjarke Ingels sur ses terres, à Copenhague (Danemark), dans les impressionnants locaux de son agence, BIG, qui compte dorénavant plus de 450 collaborateurs répartis entre la capitale danoise, New York et Londres. Un parcours sans faute pour celui qui, à la base, ne souhaitait même pas être architecte mais dessinateur de BD. Muuuz : Vous arrivez tout juste de l'aéroport. Que cela vous fait-il de savoir qu'une des premières choses que les gens voient de Copenhague depuis les airs est votre bâtiment 8-Tallet ?Bjarke Ingels : C'est une façon plutôt sympathique d'être accueilli ! En fonction de la direction par laquelle vous arrivez, vous pourrez aussi bientôt voir une piste de ski installée sur le toit du Amager Resource Center, future station de traitement des déchets de Copenhague [située à deux pas de l'Opéra, il sera le bâtiment le plus haut de la capitale, ndlr]. C'est assez drôle de se dire que d'un côté il y aura le palais de la Reine, et en face une piste de ski ! Comment l'idée d'un biopic vous est-elle venue ?L'histoire commence en 2009. Le réalisateur du film, Kaspar Astrup, tournait à l'époque My playground, dans lequel il suivait les freerunners de Parkour, qui utilisaient comme terrain de jeux The Mountain, l'immeuble d'habitation que nous avons conçu avec Julien de Smedt. C'était il y a 7 ans ! Au même moment, je me demandais comment intéresser les néophytes à l'architecture, car c'est rare d'arriver à capter leur attention sur le sujet, ou quand cela fonctionne c'est parce qu'ils trouvent un bâtiment moche ! Pour cela, je me suis dit qu'il fallait aborder le film comme une fiction, et non un documentaire. Cela a été le point de départ des 7 ans de tournage de BIG TIME. Qu'est-ce cela fait d'être suivi aussi longtemps par un réalisateur ?Kaspar est devenu un ami. Du coup, être suivi par lui n'a rien à voir avec le fait de l'être par une équipe inconnue. Et il n'était pas tout le temps là. Par exemple, quand j'ai déménagé aux États-Unis, il n'y avait que moi et un de mes associés, qui est également un ami. Maintenant il y a 200 personnes ! BIG TIME ne montre pas tout ce qui s'est passé entre-temps, on a l'impression qu'on s'est contentés de prendre un avion et que tout cela s'est fait facilement... Avez-vous demandé à effectuer des coupes dans le film ?On a fait quelques ajustements pour se concentrer un peu plus sur le contexte. Quand j'ai vu le montage final, j'ai été surpris de voir que c'était aussi une histoire d'amour. À la fin du film, on se dit " Bjarke a trouvé l'amour " ! Selon vous, le film parle de vous en tant qu'homme ou qu'architecte ? Qui de BIG ou de Bjarke...Je dirais que c'est avant tout une histoire sur moi, en tant que personne. Ce serait pour moi un succès de savoir que les spectateurs ont ressenti de l'émotion, de la sympathie ou de l'empathie pour le personnage principal que j'incarne, tout en s'intéressant à l'architecture et à son impact sur la vie de tous les jours. Dans le film Storytelling, de Todd Solondz, un professeur d'écriture dit " peu importe ce qui s'est passé, dès que tu commences à écrire, tout devient une fiction ". Dans ce sens, ce qui arrive dans BIG TIME a beau parler de moi, il s'agit au final d'une fiction. Construire fait aussi appel à cet aspect narratif, car vous pouvez imaginer ce que vous voulez, mais le résultat peut être complètement différent. La maison de vos parents que l'on voit dans le film, de style moderne, a-t-elle influencé votre travail ?J'ai une théorie : je pense que les petits sont bien plus modernes que les grands. Dans les films de James Bond que je regardais, le méchant vivait toujours dans une maison avec terrasse, lignes géométriques et vitrage partout, je trouvais cela vraiment cool ! Puis à l'école, j'ai appris à aimer autre chose. À ce sujet, pourquoi ne dessinez-vous pas de maisons ?Je pense que c'est beaucoup de travail de concevoir des maisons privées. On a réalisé un ensemble de quatre habitations au nord du Danemark. Chacune d'elles est différente, comme un portrait des gens qui vont y résider. Plus ils ont une façon de vivre hors normes, plus c'est excitant ! Avant de commencer, on s'est assuré que les propriétaires souhaitaient réaliser quelque chose d'extraordinaire. Car pour un projet comme celui-là vous dépensez tellement d'énergie ! Pour que ce soit pertinent, c'est comme un film : celui auquel il se destine doit être émotionnellement investi. Qu'est-ce que cela vous fait, à seulement 40 ans, d'avoir été choisi pour construire sur un site comme Ground Zero ?C'est un honneur incroyable. On a l'impression d'être l'acteur de son propre film...Je me rappelle très bien le jour où les tours ont été détruites. À l'époque je venais de monter ma première agence, PLOT, avec Julien de Smedt. On était en train de peindre nos premiers locaux. Notre stagiaire nous a avertis. On est restés scotchés. On regardait cela, abasourdis, et là, la seconde tour a été touchée. On prend alors conscience que tout peut un jour disparaître. Tout cela semblait invraisemblable ; avoir été choisi, 15 ans plus tard, pour construire une des tours de ce site l'est encore plus. J'ai appris cela alors que je venais de monter une antenne new-yorkaise. C'est comme si la boucle était bouclée, comme quand on prend conscience à la fin d'une séance de cinéma de l'importance de première scène... Après une telle carrière, y a-t-il des projets pour lesquels vous seriez prêts à tuer ?Commettre un meurtre ?! Oh non, je n'irais jamais jusque-là ! BIG TIME, Kaspar Astrup, Danemark, 2017, 93 minutes ; un article à découvrir sur Muuuz Pour en savoir plus, visitez le site de BIG Photographies :1) © Steve Benisty2) Amager Resource Center © Julien Lanoo3) The Mountain, PLOT = BIG + JDS © Iwan Baan4-6) BIG TIME, Kaspar Astrup, Danemark, 2017, 93 minutes7) © Jonas Bie8) © KT Auleta9) 8-Tallet © Dragor Luftfoto10-12) 8-Tallet © Jens Lindhe13) Amager Resource Center © Julien Lanoo14-17) Amager Resource Center © BIG - Bjarke Ingels Group & MIR18-19) Superkilen © Iwan Baan20) Serpentine Pavilion 2016
Il y a 7 ans et 262 jours

Engie adopte la technologie solaire translucide d'Heliatek pour ses façades

Les bâtiments d'Engie Laborelec de Linkebeek (Belgique) se sont parés durant l'été de films photovoltaïques organiques sur les vitrages et sur les murs. Une technologie innovante fournie par Heliatek, société allemande dont le groupe français est actionnaire. Le but : tester l'intégration et le fonctionnement de capteurs solaires en conditions réelles.
Il y a 7 ans et 273 jours

Brad Pitt sous les projecteurs? de la cour d'appel de Paris

Un couple star, une artiste confirmée et un décor somptueux, tout était réuni pour une belle histoire digne des films hollywoodiens. Pourtant, la réalité est parfois plus cruelle, et la cour d'appel de Paris s'est chargée de le rappeler.  
Il y a 7 ans et 293 jours

150 ans d'architecture japonaise retracés au Pavillon de l'Arsenal

EXPOSITION. Maquettes, croquis et de nombreux films... Jusqu'au 24 septembre 2017, le Pavillon de l'Arsenal dans le 4ème arrondissement de Paris se met à l'heure nippone. L'exposition intitulée "Architectures japonaises à Paris" explique comment les architectes japonais ont écrit avec Paris "une histoire singulière et méconnue", riche de multiples rencontres et de projets.
Il y a 7 ans et 294 jours

A paraître : "Une diagonale. Conversation avec Patrick Bouchain"

Ce DVD des architectes Nicola Delon et Julien Choppin sortira le 17 octobre 2017. Il est édité par Météore Films?
Il y a 7 ans et 328 jours

Dans le cinéma de science-fiction, "chaque époque rêve la suivante"*

L'espace urbain est au c"ur des films de science-fiction, présents au cinéma depuis un peu moins d'un siècle. Ils montrent des villes imaginaires marquées par l'urbanisme et les trouvailles technologiques de leur époque. Pourtant, depuis Metropolis, en 1927, ces cités se ressemblent toutes. Villes verticales, anxiogènes, ultra-rapides, dangereuses, comme si l'espace l’urbain ne pouvait tenir […] L'article Dans le cinéma de science-fiction, "chaque époque rêve la suivante"* est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 336 jours

Une nouvelle chaine de vidéos d'architecture

Karine DANA, architecte et membre de la rédaction de d'a, lance subARCHITECTURE, une chaîne de films hebergée par la plateforme VIMEO. Parole y est donnée à différents protagonistes du processus de projet architectural -des concepteurs eux-mêmes aux habitants, en passant par les acteurs du chantier- dans des images capturant la poésie du réel. " Eprouver l'architecture et comprendre combien elle touche la vie " : c'est l'objectif énoncé par Karine DANA pour subARCHITECTURE....
Il y a 7 ans et 336 jours

BIG : Le film

Après les films Mr. Foster " portant sur l'architecte éponyme ", Esquisses sur Frank Gehry, ou encore Rem, à propos du Hollandais Rem Koolhas, Bjarke Ingels, alias BIG, sort son biopic : BIG TIME. Une "uvre qui, même si elle invoque le génie du jeune créateur danois, peine à trouver sa place, entre le documentaire et le film de série Z romantique. BIG TIME commence dans un taxi new-yorkais menant l'architecte vers une interview avec le fameux Jimmy Fallon, star des talk-shows américains. Impressionné, le spectateur se retrouve avec Bjarke sur le plateau télé, mais hésite : entre l'intervieweur et l'interviewé, qui est donc ici la véritable star ? Le décor du film est ainsi planté. Nous ne sommes pas ici dans un documentaire concluant des milliers d'heures de rushs du réalisateur danois Kaspar Astrup Schröder, qui a suivi le jeune prodige de 42 ans durant pas moins 7 années, mais bien dans une "uvre située entre autobiographie à l'eau de rose et ode au starchitecte. Le professionnel aguerri regrette alors de ne pas en savoir plus sur les incroyables projets réalisés par Bjarke aux quatre coins du monde, ici présentés par des vues à vol d'oiseau et des croquis du créateur qui expliquent avec simplicité des réalisations aussi pertinentes que culotées. Armé d'une feuille de papier et d'un énorme marqueur noir le créateur nous fait découvrir le fameux 8-tallet, ensemble d'habitations pyramidal en forme de 8 réalisé en 2010 à Copenhague ; le musée maritime du Danemark à Helsingør ; le VIA 57, un immeuble de logements new-Yorkais, inspiré de Central Parc et des gratte-ciel ; la future centrale de traitement des déchets de la capitale danoise dont il a transformé le toit en piste de ski, etc.Ces courtes présentations qui, par leur efficacité, n'ont rien à envier à celles de Stan Neumann et Richard Copens, s'en trouvent entrecoupées de (longues) scènes à la sauce pathos " notamment dans lesquelles BIG passe des tests médicaux et parle de ses angoisses de mort ", et de séquences à l'eau de rose où il embrasse sa Dulcinée. En effet, après une heure de film et un suspense insoutenable, nous voilà rassurés " attention spoiler ", Bjarke a fini par trouver l'amour !Au milieu de péripéties dont on interroge ainsi la pertinence, " car BIG c'est ici un peu Martine : Bjarke plie ses caleçons, Bjarke déambule en vélo à New-York, Bjarke demande de l'aide à son concierge pour réaliser son n"ud papillon, Bjarke téléphone, Bjarke passe un scanner (puis un autre), etc. ", se glissent des séquences toutes aussi savoureuses qu'exclusives. On apprend par exemple la genèse de BIG qui, jeune et fort fainéant à l'école, voulait être dessinateur de BD. C'est finalement son père qui l'a inscrit à l'école d'architecture, presque à son issu, en lui faisant signer les documents d'inscription " un jour où il était de bonne composition ", comme le livre sa maman, pas peu fière de son Bjarke. Finalement, à l'issu du visionnage de BIG TIME, on en retient un sentiment de frustration, peut-être d'en avoir trop vu sur l'homme (ou pas suffisamment en profondeur) et pas assez sur un architecte de talent qui compte aujourd'hui plus de 450 collaborateurs dans le monde entier. En filigrane se pose ici la question du sens même d'une telle entreprise autobiographique, à tendance hagiographique : les biopics ne devraient-ils pas finalement être une conclusion de vie plutôt qu'une "uvre cathartique d'un architecte qui a peur de mourir en pleine heure de gloire ? BIG TIME, Kaspar Astrup Schröder, Danemark, 2017, 93 minutes Photographies : DR Pour en savoir plus, visitez le site de BIG
Il y a 7 ans et 343 jours

Isolant alvéolaire Triplex d'Actis

La technologie Triplex est conçue pour les isolants souples. La structure alvéolaire piège l’air entre des films réflecteurs à basse emissivité pour atteindre des performances thermiques élevées. La forme spiralée ou torsadée de la fibre assure une fonction ressort permettant d’espacer les fibres et de capturer plus d’air dans chaque cellule. La fibre Triplex possède … Cet article Isolant alvéolaire Triplex d'Actis est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 8 ans et 2 jours

Stelios Mousarris : Wave City Coffee Table

L'artiste Chypriote Stelios Mousarris conçoit Wave City, une table basse inspirée de la scène désormais culte de la ville de Paris se repliant sur elle-même, issue du film Inception de Christopher Nolan. Un effet visuel spectaculaire que le designer a réussi à reproduire de manière fidèle en mobilier. Cette table basse réalisée en bois, acier et impression 3D possède un plateau de 100 centimètres par 50, disposé à 45 centimètres de hauteur. Wave City est disponible en édition limitée à vingt-cinq exemplaires et offre un décor urbain miniature d'une précision impressionnante. Les éléments architecturaux, composés d'édifices et de gratte-ciel d'échelle réduite, sont sculptés dans le bois et apportent un réalisme saisissant qui contraste avec un effet de torsion surréaliste. L'ensemble est composé de trois parties : une plate ; une courbe, dans le creux de " la vague " ; et une suspendue, survolant le premier tiers de ce paysage de mégalopole. Stelios Mousarris, désormais artiste indépendant après avoir travaillé pour l'agence d'architecture Fosters and Partners, a également décliné Wave City en une autre table, de réception cette fois, ainsi qu'une autre table basse noire entièrement en acier. Avec sa structure entre ombre et lumière, une atmosphère " néo-noir " " provenant des ambiances obscures et angoissantes des films noirs des années 1950 ", s'en dégage alors ; pour un résultat encore plus élégant. Ces oeuvres, à l'aspect renversant, plairont autant aux amateurs de design qu'aux cinéphiles qui veulent garder un souvenir matériel de leur film préféré. Photographies : Courtesy of Mousarris Pour en savoir plus, visitez le site de Stelios Mousarris
Il y a 8 ans et 17 jours

Copenhague Architecture Festival (CAFx) : Architecture as Identity

Pour la troisième année consécutive, le Danemark célèbre l'architecture avec le festival CAFx. Rencontre avec Josephine Michau, co-commissaire de cet événement rythmé par des conférences, projections de films, workshops, concerts, performances, visites, etc. Une immersion totale au c"ur de l'aménagement bâti et urbain. Muuuz : Comment est né l'idée de ce festival ?Joséphine Michau : C'est Mads Farsø et moi qui avons eu l'idée de cette manifestation architecturale, qui ne présentait à ses débuts que des films, car nous venons tous les deux du monde du documentaire cinématographique. Nous avons découvert l'universde l'architecture un peu par hasard, en distribuant des films traitant de cette thématique, notamment Le rêve de Copenhague de Max Kestner qui a remporté un grand succès ainsi qu'un reportage sur l'architecte et urbaniste Jan Gehl. Ces deux réalisations ont été la première brique du festival.Nous avons alors découvert l'intérêt général suscité par le sujet. Les gens se soucient réellement du développement de leur ville, de la physionomie de leur balcon et du développement de leur quartier, etc. Comment avez-vous alors financé le projet ?Nous avons tout d'abord appelé la municipalité, qui nous a expliqué comment et où trouver les fonds nécessaires. L'événement existe donc actuellement grâce aux dons de nos sponsors, de fondations, de financements publics et de la vente des billets : nous avons eu 13 000 visiteurs l'an passé ! Les films ont par ailleurs été montrés dans les transports en commun et plus de 211 000 personnes les ont visionnés sur la chaîne nationale DR K. Comment êtes-vous arrivés à obtenir un tel rayonnement ?Les premières éditions, 2014 et 2015, se sont cantonnées à Copenhague. Puis, à la demande de professionnels, nous l'avons étendu à la ville d'Aarhus, qui possède une longue tradition architecturale et urbaine, notamment avec la présence d'une importante école d'architecture. Nous avions toujours imaginé intégrer un jour ou l'autre ces villes, mais cela s'est passé plus vite que prévu. Comment choisissez-vous le thème de chaque édition ?Comme je ne suis pas architecte, j'ai une approche très naïve sur le sujet. Cela permet finalement d'ouvrir les thématiques ! Je peux par exemple me demander comment l'architecture affecte mon identité, comment mon corps est relié aux bâtiments. Toutes ces réflexions ont donné la thématique de cette année " Architecture as Identity ". En effet, celle-ci est ressentie à plein de niveaux différents : chez soi, dans un quartier, dans une ville. On a voulu traiter toutes ces échelles, du micro au macro. " Architecture as Identity " fait également écho à une part oublié de notre histoire : la colonisation. Car il s'agit cette année des 100 ans de la vente des îles Vierges (Antilles) au Royaume-Uni et aux États-Unis. Nous avons tendance à oublier que le commerce du sucre et la traite des esclaves payait une grande partie de l'aménagement des centres-villes danois ! Nous abordons donc en parallèle le sujet du post-colonialisme dans les banlieues et le statut du modernisme tardif des grands-ensembles qui y ont été construits, comme en France. L'exposition " Never Demolish ! " dirigé par Andreas Ruby, directeur du Musée d'architecture de Bâle, présente ainsi, à la galerie Space 10 de Copenhague et dans un appartement témoin de la banlieue d'Aarhus, une reproduction à l'échelle 1 de ce type de logements, rénové par les agences Lacaton & Vassal, Druot et Hutin à Bordeaux [les trois agences se sont penchées sur la rénovation de 530 logements sociaux, soit 68 000 mètres carrés. Chaque les habitants de chaque logis ont été interrogés afin de connaître et de répondre à leurs besoins. Les habitations ont été thermiquement améliorées et se sont vus adjoindre des jardins d'hiver ou balcon. Le tout, sans que personne n'aient à quitter son chez soi durant les travaux, ndrl].En résumé, le festival est un cadre, un catalyseur pour lancer des discussions ! " Architecture as Identity ", Copenhague Architecture Festival, jusqu'au 7 mai 2017, Copenhague, Aarhus et Aalborg (Danemark) Photographies : Kasper Nybo Photography Pour en savoir plus, visitez le site du Copenhague Architecture Festival et de la Future Architecture Platform
Il y a 8 ans et 17 jours

Copenhague Architecture Festival (CAFx) : Architecture as Identity

usqu'au 7 mai et pour la troisième année consécutive, le Danemark célèbre l'architecture avec le festival CAFx. Rencontre avec Josephine Michau, co-commissaire de cet événement rythmé par des conférences, projections de films, workshops, concerts, performances, visites, etc. Une immersion totale au c"ur de l'aménagement bâti et urbain. Muuuz : Comment est né l'idée de ce festival ?Joséphine Michau : C'est Mads Farsø et moi qui avons eu l'idée de cette manifestation architecturale, qui ne présentait à ses débuts que des films, car nous venons tous les deux du monde du documentaire cinématographique. Nous avons découvert l'universde l'architecture un peu par hasard, en distribuant des films traitant de cette thématique, notamment Le rêve de Copenhague de Max Kestner qui a remporté un grand succès ainsi qu'un reportage sur l'architecte et urbaniste Jan Gehl. Ces deux réalisations ont été la première brique du festival.Nous avons alors découvert l'intérêt général suscité par le sujet. Les gens se soucient réellement du développement de leur ville, de la physionomie de leur balcon et du développement de leur quartier, etc. Comment avez-vous alors financé le projet ?Nous avons tout d'abord appelé la municipalité, qui nous a expliqué comment et où trouver les fonds nécessaires. L'événement existe donc actuellement grâce aux dons de nos sponsors, de fondations, de financements publics et de la vente des billets : nous avons eu 13 000 visiteurs l'an passé ! Les films ont par ailleurs été montrés dans les transports en commun et plus de 211 000 personnes les ont visionnés sur la chaîne nationale DR K. Comment êtes-vous arrivés à obtenir un tel rayonnement ?Les premières éditions, 2014 et 2015, se sont cantonnées à Copenhague. Puis, à la demande de professionnels, nous l'avons étendu à la ville d'Aarhus, qui possède une longue tradition architecturale et urbaine, notamment avec la présence d'une importante école d'architecture. Nous avions toujours imaginé intégrer un jour ou l'autre ces villes, mais cela s'est passé plus vite que prévu. Comment choisissez-vous le thème de chaque édition ?Comme je ne suis pas architecte, j'ai une approche très naïve sur le sujet. Cela permet finalement d'ouvrir les thématiques ! Je peux par exemple me demander comment l'architecture affecte mon identité, comment mon corps est relié aux bâtiments. Toutes ces réflexions ont donné la thématique de cette année " Architecture as Identity ". En effet, celle-ci est ressentie à plein de niveaux différents : chez soi, dans un quartier, dans une ville. On a voulu traiter toutes ces échelles, du micro au macro." Architecture as Identity " fait également écho à une part oublié de notre histoire : la colonisation. Car il s'agit cette année des 100 ans de la vente des îles Vierges (Antilles) au Royaume-Uni et aux États-Unis. Nous avons tendance à oublier que le commerce du sucre et la traite des esclaves payait une grande partie de l'aménagement des centres-villes danois ! Nous abordons donc en parallèle le sujet du post-colonialisme dans les banlieues et le statut du modernisme tardif des grands-ensembles qui y ont été construits, comme en France. L'exposition " Never Demolish ! " dirigé par Andreas Ruby, directeur du Musée d'architecture de Bâle, présente ainsi, à la galerie Space 10 de Copenhague et dans un appartement témoin de la banlieue d'Aarhus, une reproduction à l'échelle 1 de ce type de logements, rénové par les agences Lacaton & Vassal, Druot et Hutin à Bordeaux [les trois agences se sont penchées sur la rénovation de 530 logements sociaux, soit 68 000 mètres carrés. Chaque les habitants de chaque logis ont été interrogés afin de connaître et de répondre à leurs besoins. Les habitations ont été thermiquement améliorées et se sont vus adjoindre des jardins d'hiver ou balcon. Le tout, sans que personne n'aient à quitter son chez soi durant les travaux, ndrl].En résumé, le festival est un cadre, un catalyseur pour lancer des discussions ! " Architecture as Identity ", Copenhague Architecture Festival, jusqu'au 7 mai 2017, Copenhague, Aarhus et Aalborg (Danemark) Photographies : Kasper Nybo Photography Pour en savoir plus, visitez le site du Copenhague Architecture Festival et de la Future Architecture Platform
Il y a 8 ans et 161 jours

Appel à contribution sur la thématique : isolation sous vide (IVIS 2017)

Le Congrès international dédié à l'isolation sous vide (International Vacuum Insulation Symposium " IVIS) encourage la collaboration des chercheurs et des industriels autour du développement des panneaux d'isolation sous vide (VIP) et des matériaux poreux avancés (APM) au service de la construction, de la réfrigération et des transports à l'échelle mondiale. Vous êtes invités à participer à sa 13ème édition, organisée par le CSTB du 20 au 21 septembre 2017 à Paris. Vous pouvez envoyer votre résumé jusqu'au 13 janvier 2017. Soumettez votre résumé à IVIS2017@cstb.fr sur l'un des 8 sujets suivants : Caractérisation Transfert de chaleur, d'air et d'humidité, des matériaux à l'échelle du bâtiment Vieillissement Enveloppe - Films Matériaux poreux avancés - Matériaux de base Évaluation du cycle de vie, énergie incorporée, recyclage Applications : Bâtiment, Réfrigération, Transport Évaluation des performances et normalisation Date limite d'envoi : 13 janvier 2017 Format : 200 mots maximum au format MSWord Toute l'information sur IVIS 2017 : Appel à contribution et conférence (flyer) Site web de la conférence : www.ivisparis2017.org
Il y a 8 ans et 164 jours

Cinéma d'Alésia : allumez la lumière !

  Gaumont-Pathé renouvelle peu à peu l’architecture et le confort de ses cinémas parisiens. Après Les Fauvettes (13e) et le Gaumont-Convention (15e), le Gaumont-Alésia (14e) a été entièrement reconstruit. L’agence Manuelle Gautrand Architecture y a conçu une façade bardée de LED qui diffuse des affiches de films et quelques animations. Ambiance Broadway…
Il y a 8 ans et 186 jours

Bouygues E&S alerte sur le handicap invisible

A l'occasion de la semaine pour l'emploi de personnes handicapées (du 14 au 20 novembre prochain), Bouygues Energies & Services se penche sur le handicap invisible avec une mini-série de 3 films visant à inciter les collaborateurs à faire appel à la Mission Handicap.
Il y a 8 ans et 187 jours

Animer la ville et son architecture statique

Antoine Ceunebroucke est architecte. Il est aussi désormais, et de plus en plus, auteur de petits films d'animation qui apportent un vent de fraîcheur à la production compassée des vidéos d'architecture. Son plaidoyer pour que la fantaisie et la poésie redeviennent une source d'inspiration pour les hommes de l'art est prometteur. Rencontre. L'architecture de la […]
Il y a 8 ans et 192 jours

Indispensable pour les fêtes entre amis : le pub gonflable

INSOLITE - Lieu de convivialité indispensable outre-Manche, célébré par les séries télévisées et les films britanniques, le pub se décline sous une forme nouvelle : le pub gonflable. Aisément transportable, il se loue pour les fêtes de jardin et s'installe rapidement afin de contenter petits et grands enfants.
Il y a 8 ans et 240 jours

Engie poursuit ses investissements dans le photovoltaïque

Le groupe énergétique français Engie a annoncé jeudi avoir pris, via son fonds Engie New Ventures, une participation de 6,6% dans Heliatek, une start-up allemande spécialisée dans la production de films photovoltaïques organiques.
Il y a 8 ans et 241 jours

Engie poursuit ses investissements dans le photovoltaïque

Le groupe français Engie a pris une participation de 6,6% dans Heliatek, une start-up allemande spécialisée dans la production de films photovoltaïques organiques.
Il y a 8 ans et 249 jours

Journées européennes du patrimoine : édition 2016

Depuis 1984, les journées du Patrimoine entendent rendre accessible à tous un bien commun, une histoire commune. La 33e édition des Journées européennes du patrimoine se tiendra les 17 et 18 septembre 2016 sur le thème "patrimoine et citoyenneté".    " Le patrimoine et la citoyenneté sont deux notions dont la jonction raconte notre histoire, notre passé, mais dessine aussi note présente et notre avenir " Audrey Azoulay, Ministre de la Culture et de la Communication Musées, fondations ou institutions, découvrez la richesse du patrimoine français au travers d'une sélection de lieux et d'"uvres architecturales sélectionnés parmi les 17 000 monuments ouverts au public pour la 33ème édition des Journées européennes du patrimoine. Villa La Roche Construite entre 1923 et 1925 par les architectes Le Corbusier et Pierre Jeanneret, la Villa Laroche illustre à elle seule le mouvement moderne et les cinq points de l'architecture nouvelle, publié en 1927 par les deux architectes. A Paris, Marseille ou Nantes, de la Cité Radieuse à la Villa Savoye, découvrez l'héritage architectural de ce " génie créateur humain " dont l'"uvre est récemment entrée au Patrimoine mondial de l'UNESCO. La Villa La Roche, 10 square du Docteur Blanche 75016 Paris 16e, samedi 17 et dimanche 18 septembre ; La Maison radieuse, Boulevard le Corbusier, 44400 Rezé, dimanche 18 septembre ; La Cité radieuse, 280 boulevard Michelet, 13008 Marseille ; Villa Savoye 82, rue de Villiers 78300 Poissy, samedi 17 et dimanche 18 septembre, 10h à 18h. Le palais de Justice Cité de l'Architecture et du Patrimoine La Cité de l'Architecture et du Patrimoine propose des visites guidées sur les thèmes du patrimoine et de la citoyenneté. Arpentez les allées de la Cité Chaillot, vestige de l'époque Art Déco, et découvrez son histoire mouvementée, de 1878 à nos jours. Découvrez la grande collection de maquettes et de plans du patrimoine architectural français et visitez une unité d'habitation de la Cité radieuse de Le Corbusier aux côtés d'un agent immobilier ! Cité Chaillot, 1 Place du Trocadéro et du 11 Novembre, 75116 Paris, samedi et dimanche de 11h à 19h. Visite Les mystères du palais de Chaillot, samedi et dimanche à 12h, 15h, 16h, visite de la galerie des peintures murales et des vitraux, samedi et dimanche à 14h, 15h30 et 17h, visite de la galerie des moulages du musée des monuments français, samedi à 14h30, 16h et 17h30. Les Docks - Cité de la Mode et du Design Ovni architectural en bord de Seine, la Cité de la Mode et du Design ouvre ses portes. Découvrez au travers de visites guidées l'histoire des Docks, premier bâtiment à structure en béton armé de la capitale, et les coulisses de ce bâtiment à l'enveloppe organique imaginée par les architectes Jakob et Macfarlane. Entre Design Week et Fashion Week, les Docks accueillent également diverses installations mêlant street art et "uvre végétale. Cité de la Mode et du Design, 34 quai d'Austerlitz, 75013 Paris, samedi et dimanche, visites guidées de 10h30 à 18h30. Fondation Seydoux-Pathé Derrière la façade sculptée par Auguste Rodin vers 1869 se love cinq étages d'une coque en verre protégée par 5000 volets. La Fondation Jérôme Seydoux-Pathé vous invite à découvrir ce bâtiment unique imaginé par l'architecte Renzo Piano. La visite s'accompagne de séances de films muets en ciné-concert et des visites guidées de la galerie des appareils cinématographiques. De nombreuses affiches et photographies retraçant l'histoire du 7ème art seront également visibles dans la galerie des collections. Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, 73 Avenue des Gobelins 75013 Paris, samedi et dimanche, séances de projection à 11h30, 14h et 16h, visites guidées à 11h, 13h30, 15h et 17h. Fondation Louis Vuitton La Fondation Louis Vuitton ouvre grand les portes du "vaisseau du Parc de Boulogne", imaginé par Franck Gehry. Une exposition décrit le processus de conception de l'édifice au travers de plans, maquettes et dessins de l'architecte. Admirez également l'ouvre in situ de Daniel Buren qui habille de 13 couleurs les voiles de verre de la Fondation, transformée en "Observatoire de la lumière". Fondation Louis Vuitton, 8 avenue du Mahatma Gandhi, 75116 Paris, samedi et dimanche, de 11h à 20h, navettes à 1¤ depuis l'Etoile. Château de Versailles Le Château de Versailles célèbre le 240e anniversaire de l'Indépendance Américaine et ouvre l'Aile du Nord, haut lieux de la démocratie parlementaire où furent négociés les traités de Paris et de Versailles pour mettre fin à la guerre d'Indépendance. Modèles réduits de navires d'époque, tableaux et documents sur le thème "les français et l'Indépendance américaine " : Versailles vit son quart d'heure américain. A la croisée des époques, découvrez également l'univers d'Olafur Eliasson qui parsème les murs et les jardins du château d'"uvres oniriques où se mêlent art et histoire. Château de Versailles, Place d'Armes, 78000 Versailles, samedi et dimanche, de 9h à 18h. Maison de la Radio Imaginée il y a plus de 50 ans par l'architecte Henry Bernard, la Maison de la Radio et son anneau de verre fait figure d'architecture emblématique des rives parisiennes. Revêtue d'une fresque géante par artistes d'Art Azoï, l'institution propose aux visiteurs de découvrir ses 110 000 m², du mythique studio 104 au 22ème étage de la tour centrale. Divers évènements sont organisés dont les Pauses Vinyles, le cinéma sonore et une série de concerts. Maison de la Radio, 116 Avenue du Président Kennedy, 75016 Paris, samedi et dimanche, de 09h30 à 21h. La Philharmonie de Paris Pénétrez la Philharmonie, hôte de l'Orchestre de Paris. Récemment inaugurée, ce complexe musical monumental, présenté par l'architecte Jean Nouvel comme un bâtiment d'avenir, illumine la périphérie de Paris de ses reflets chromés. Profitez également d'une sélection de concerts gratuits et de l'acoustique inédite du grand auditorium. Philharmonie de Paris, 221 Avenue Jean Jaurès, 75019 Paris, samedi 17 et dimanche 18 septembre 2016, de 11h00 à 17h30. RATP Les Journées du Patrimoine sont l'occasion de poser un "il nouveau sur un patrimoine emblématique de la capitale et quotidiennement emprunté par des milliers d'usagers : les transports communs de la RATP. Rencontrez les ingénieurs et les agents de ce patrimoine roulant, arpentez la ville à bord d'un bus des années 1930, visitez des centrales de commandes ou découvrez le Paris de demain et le chantier de la ligne 14. Pour de plus amples informations visitez la Maison de RATP ou accédez au programme sur le site de la RATP. Deux points d'informations seront ouverts en Ile de France, au Ministrère de la Culture et de la Communication, 182 rue Saint-Honoré, Paris et sur les berges de Seine, rive gauche, Paris.Pour de plus amples informations, consultez le site des journées du Patrimoine.
Il y a 8 ans et 252 jours

Les fenêtres certifiées NF poursuivent leur campagne sur BFM TV et le web

Le CSTB, l'Institut technologique FCBA (Forêt, Cellulose, Bois-construction, Ameublement) et l'UFME (Union des Fabricants de Menuiseries Extérieures), lancent la 2ème vague de la nouvelle campagne de communication dédiée aux fenêtres certifiées NF, à partir du 5 septembre 2016. Cette campagne s'inscrit dans la continuité des campagnes de communication " Fenêtres NF " précédentes et se décline par la diffusion : de 177 spots TV, d'une durée de 10 secondes, sur BFM TV ; d'insertions de bannières, notamment sur les sites grand public de décoration et liés à la rénovation de menuiseries ; d'une animation vidéo présentant les 7 bénéfices d'une fenêtre NF, disponible sur les sites fenetres-nf.fr, ufme.fr et sur les sites des fabricants certifiés NF. 177 spots diffusés en exclusivité sur BFM TV pendant 5 emaines consécutives A partir du 5 septembre, les téléspectateurs de BFM TV retrouveront pendant 5 semaines en soirée, du lundi au vendredi, les 3 spots " Fenêtres NF ". Destinés à sensibiliser les propriétaires de logements, prescripteurs et artisans, aux atouts des fenêtres certifiées NF, ces spots mettent en scène avec humour un couple habitant un logement confortable? en apparence seulement. En trois situations, ce couple est confronté aux désagréments entraînés par la déficience de l'isolation de leurs fenêtres, sur les plans thermique et phonique, et sur le plan de leur facture énergétique, représentant les 3 motivations principales du remplacement des fenêtres. Spot Isolation ThermiqueSpot Isolation PhoniqueSpot Économie d'Énergie Disponibles dans leur intégralité sur le site www.fenetres-nf.fr, les 3 films peuvent également être visionnés sur YouTube et partagés sur les réseaux sociaux. Les 7 bénéfices d'une fenêtre certifiée NF, développés à travers une vidéo pédagogique Une animation vidéo pédagogique d'une durée d'environ 2 minutes, est diffusée sur les sites des 3 partenaires et reprise en ligne par les sites des titulaires NF. Cette animation a pour objectif de démontrer au consommateur la valeur ajoutée des différents tests auxquels sont soumises les fenêtres, pour prétendre à l'obtention de la certification NF : l'isolation thermique la résistance au vent l'imperméabilité à l'air l'étanchéité à l'eau l'effort de man"uvre l'endurance l'affaiblissement acoustique. Introduite par un animateur incarnant le rôle d'un présentateur de journal TV, la vidéo permet de mettre en exergue les atouts des fenêtres certifiées NF dans un format dynamique et didactique. Une campagne media digitale, sur une sélection de sites dédiés à l'univers du bricolage et de la maison Des bannières seront diffusées sur une cible de sites dédiés au bricolage et à l'univers de la maison, du 10 octobre au 10 décembre 2016. Pour tout complément d'informations sur les fenêtres certifiées NF : www.fenetres-nf.fr
Il y a 8 ans et 278 jours

Histoire(s) du BTP (6/6) : Il y a 20 ans, métro c'est trop !

LeMoniteur.fr a pioché, dans le fonds documentaire du ministère du Logement, des films réalisés ces 70 dernières années racontant la construction (ou la reconstruction) du pays. Aujourd'hui, "Les Souterrains du quotidien ", un film de 1996 de Henri Ferlicot et Édouard Cuel. Réalisé dans le cadre d'une recherche sur l'environnement souterrain et les facteurs d'ambiance du métro parisien, le film est une chronique du métro parisien par ses utilisateurs et son personnel.
Il y a 8 ans et 282 jours

A (re)découvrir : My Architect. A la recherche de Louis Kahn

L'été est propice aux redécouvertes architecturales et/ou cinématographiques. My Architect, de Nathaniel Kahn, est certainement l'un des films les plus poignants consacré à un architecte et à ses réalisations?   
Il y a 8 ans et 283 jours

Histoire(s) du BTP (5/6) : Il y a 30 ans, les nouveaux HLM

LeMoniteur.fr a pioché, dans le fonds documentaire du ministère du Logement, des films réalisés ces 70 dernières années racontant la construction (ou la reconstruction) du pays. Aujourd'hui, " HLM que j'aime", un film de 1986 de Jean Cazenave. Commandé par le ministère de l'Equipement, ce documentaire retrace l'histoire de l'architecture des HLM de 1850 à 1986.
Il y a 8 ans et 286 jours

Histoire(s) du BTP (4/6) : Il y a 40 ans, l'industrialisation du bâtiment ou construire mieux, vite et moins cher

LeMoniteur.fr a pioché, dans le fonds documentaire du ministère du Logement, des films réalisés ces 70 dernières années racontant la construction (ou la reconstruction) du pays. Aujourd'hui, "Bâtir mieux plus vite et moins cher", un film de 1975 de Sydney Jézéquel, présentant plusieurs techniques illustrant l'utilisation des différentes innovations dans le BTP à l'époque : les coffrages outils, le coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton...
Il y a 8 ans et 290 jours

Histoire(s) du BTP (3/6) : Il y a 50 ans, la naissance des villes nouvelles

LeMoniteur.fr a pioché, dans le fonds documentaire du ministère du Logement, des films réalisés ces 70 dernières années racontant la construction (ou la reconstruction) du pays. Aujourd'hui, "La Cité des hommes", un film de 1966, réalisé par le célèbre documentariste Frédéric Rossif, racontant. Ce "document d'information générale"  produit par le ministère de l'Equipement de l'époque visait à sensibiliser le public à l'intérêt de quitter la ville traditionnelle, surpeuplée, à la faveur des nouvelles cités "conçues pour les hommes qui regardent vers l'avenir".
Il y a 8 ans et 293 jours

Histoire(s) du BTP (2/6) : Il y a 60 ans, la reconstruction de la France dix ans après la fin de la guerre

LeMoniteur.fr a pioché, dans le fonds documentaire du ministère du Logement, des films réalisés ces 70 dernières années racontant la construction (ou la reconstruction) du pays. Aujourd'hui, "Rue neuve", un film de 1956, réalisé par Jack Pinoteau racontant la reconstruction des villes et des villages, dix ans après la fin de la seconde guerre et la naissance des grands ensembles.
Il y a 8 ans et 297 jours

Histoire(s) du BTP (1/6) : Il y a 70 ans, la reconstruction des ponts après la guerre

LeMoniteur.fr a pioché, dans le fonds documentaire du ministère du Logement, des films réalisés ces 70 dernières années racontant la construction (ou la reconstruction) du pays. Aujourd'hui, un film de 1945 commandé par le ministère des Travaux publcis et des Transports de l'époque,  "Sur les routes de France les ponts renaissent", réalisé par Georges Delaunay et Alain Pol.
Il y a 8 ans et 318 jours

Une idée et un pitch en deux minutes vidéo

La chapelle des Récollets servait de décor mardi 28 juin 2016 au visionnage des vidéos reçues pour le premier festival de la vidéo d’architecture. Sous l’égide de la maison de l’architecture en Ile-de-France, plus de 65 films de 2min maximum avaient été sélectionnés. Mais, une question d'importance est bientôt apparue au jury : qu’est-ce que […]
Il y a 8 ans et 327 jours

Le compte pénibilité est " inapplicable " : la CGPME veut le prouver en vidéo

A quelques jours de l'entrée en vigueur complète du compte pénibilité, la CGPME lance une campagne de mini-films pour dénoncer le caractère "inapplicable" du dispositif dans les petites et moyennes entreprises.
Il y a 9 ans et 8 jours

Centre Pompidou : Pierre Paulin

Le centre Pompidou consacre une exposition rendant hommage à Pierre Paulin et à ces cinquante années de création qui inspirent toujours et ont profondément marqué le design du XXe siècle. Entre couleurs et matières innovantes ses créations multiples ont exploré une très grande variété de sujets. L'exposition du centre Pompidou offre, depuis le 11 mai et jusqu'au 22 aout 2016, un regard complet et chronologique sur l'ensemble de son "uvre. Pierre Paulin, Siège 577 dit Tongue, 1967 Pierre Paulin se définissait comme un autodidacte. Il avait une très grande capacité à comprendre le monde et à concevoir ses "uvres en trois dimensions avec toujours un regard très fin porté sur le rapport au corps. Ses "uvres colorées restent dans nos imaginaires, elles ont marqué la seconde moitié du XXe siècle par leur esprit sensuel et décalé. Presque en avance sur son temps, Pierre Paulin, n'a pas su convaincre tout de suite ce n'est que plus tard dans sa carrière qu'il eut une reconnaissance à la hauteur de son talent. Le centre Pompidou offre une rétrospective complète au travers d'une centaine de meubles, dessins, et archives. La scénographie dessine un parcours chronologique tout au long d'un rideau spécialement conçu pour l'occasion et inspiré directement d'aménagements de stands des années 1960 du designer. Les pièces sont présentées éditeur par éditeur et l'exposition met l'accent sur les différences qui marquent chacune des collaborations. Souhaitant inviter le visiteur à expérimenter l'"uvre de Pierre Paulin, des rééditions de fauteuil sont à emprunter le temps d'apprendre face à d'élégants films. Pierre Paulin, Banquette Dos-á-Dos, 1967 Pierre Paulin, Fauteuil F560 dit Mushroom, 1960 Pierre Paulin Fauteuil F300, 1967 Pierre Paulin au Centre Pompidou " Galerie 3, Place Georges-Pompidou, 75004 Paris, du 11 mai 2016 au 22 aout 2016, tlj sauf le mardi de 11h00 à 21h00, 14¤/11¤ Pour en savoir plus, visitez le site du Centre Pompidou
Il y a 9 ans et 32 jours

Les architectures vivantes filmées par Bêka et Lemoine entrent au MoMA

Le Museum of Modern Art de New-York vient d'acquérir la collection complète des vidéos " Living Architectures " réalisées par le duo franco-italien Ila Bêka et Louise Lemoine. Leurs seize films captent, avec poésie et humour, les relations entre des lieux et des hommes.
Il y a 9 ans et 40 jours

EM2N : Cinémathèque suisse

La cinémathèque suisse s'est dotée d'un nouveau bâtiment. Le projet situé aux abords d'un paysage villageois fait le choix de s'enfouir et de trouver plusieurs milliers de mètres carrés sur cinq niveaux en souterrain. Ce bunker à mémoire cinématographique laisse en surface s'exprimer une architecture à la géométrie franche. Elle est recouverte de plaques d'acier rouillées renforçant le caractère industriel de la partie émergée du projet. La cinémathèque de Suisse représente le sixième plus grand centre d'archivage cinématographique du monde. La CSP conserve 3,5 millions de pièces de collection dont des films, des images extraites de films, des médias imprimés ainsi que des appareils historiques. Au total, plus de 13.000 mètres carrés accueillent des auditoriums, une bibliothèque, des bureaux, des salles de conférence, des boutiques, un hall d'accueil, un cinéma et les archives en elles-mêmes. L'ensemble des espaces publiques sont groupées au sein du bâtiment Penthaz I, tandis que les archives sont conservées dans la partie souterraine du complexe, Penthaz II. Elles profitent ainsi d'une protection optimale au sein de ce que les architectes décrivent comme un "super-functional bunker " de cinq niveaux de sous-sol.  Ces deux pôles présentent des fonctions complémentaires : l'un donne à la cinémathèque un rôle signalétique à l'extérieur tandis que l'autre lui permet au contraire de multiplier ses surfaces sans entraver le paysage environnant. La partie extérieure de la cinémathèque se compose de plusieurs corps de différentes longueurs, parallèles les uns aux autres. Ce positionnement reste visible à l'intérieur, où trois axes de circulations principaux traversent perpendiculairement les bâtiments parallèles. Les diverses salles communiquent visuellement entre elles par de larges baies, offrant une perspective intéressante d'un bout à l'autre du complexe. L'ensemble s'habille d'une peau d'acier oxydé, dont la lente altération confère au complexe une identité propre et fait écho, selon les architectes, à la dimension industrielle du cinéma et au rôle de conservation inculqué aux cinémathèque. Photographies : Roger Frei Pour en savoir plus consultez le site de EM2N.
Il y a 9 ans et 71 jours

Rousseau en vidéo

Constructeur français de matériels pour l'entretien des dépendances routières, Rousseau vient de réaliser deux films de présentation de ses matériels, un dédié à la gamme agricole (gamme jaune) et un pour la gamme professionnelle/TP (gamme orange).
Il y a 9 ans et 76 jours

Les fenêtres certifiées NF en exclusivité sur BFM TV et sur le web, à découvrir à partir du 7 mars

Le CSTB, l'Institut technologique FCBA (Forêt, Cellulose, Bois-construction, Ameublement) et l'UFME (Union des Fabricants de Menuiseries Extérieures), donnent le top départ de la nouvelle campagne de communication dédiée aux fenêtres certifiées NF. Cette campagne 2016 s'inscrit dans la continuité des campagnes de communication " Fenêtres NF " précédentes et se décline selon un plan média web et TV : La diffusion sur BFM, en deux vagues (mars et septembre 2016), la diffusion d'une animation vidéo " les 7 bénéfices d'une fenêtre NF ", disponible sur le site fenetres-nf.fr et reprise sur les sites des fabricants certifiés NF, des bannières, notamment sur les sites spécialisés en décoration, bricolage, maison, aménagement, travaux. 130 spots diffusés en exclusivité sur BFM TV pendant 5 semaines consécutives A partir du 7 mars, les téléspectateurs de BFM TV retrouveront pendant 5 semaines les 3 spots " Fenêtres NF, il n'y a pas mieux en 2 lettres ", destinés à sensibiliser les propriétaires de logements, prescripteurs et artisans, aux atouts des fenêtres certifiées NF. Isolation thermique, isolation phonique, impact sur la facture énergétique du logement sont les 3 motivations principales qui poussent à changer ses fenêtres. C'est ce que ces 3 spots de 10 secondes mettent en scène au travers d'un couple qui habite un logement confortable en apparence, mais qui se retrouve confronté aux désagréments entraînés par des fenêtres peu isolantes. Spot Isolation Thermique Spot Isolation Phonique Spot Économie d'Énergie Disponibles sur fenetres-nf.fr et sur les sites de l'UFME, de FCBA et du CSTB, les 3 films peuvent également être visionnés sur YouTube et partagés sur les réseaux sociaux. Une vidéo pédagogique pour expliquer les 7 bénéfices d'une fenêtre certifiée NF Nouveauté 2016 : une animation vidéo pédagogique d'environ 2 minutes est diffusée sur le site fenetres-nf.fr, les sites des 3 partenaires et reprise en ligne par les sites des titulaires NF. Cette animation vidéo présente la valeur ajoutée des fenêtres certifiées pour le consommateur et les différents tests auxquels sont soumises les fenêtres, pour prétendre à l'obtention de la certification NF : l'étanchéité à l'eau, la résistance au vent, l'imperméabilité à l'air, l'isolation thermique, l'effort de man"uvre, l'endurance, et l'affaiblissement acoustique. Introduite par un animateur dans le rôle d'un présentateur de journal TV, cette vidéo permet de mettre en exergue les atouts des fenêtres certifiées NF dans un format dynamique et didactique. Une campagne media digitale sur une sélection de sites dédiés à l'univers du bricolage et de la maison Des bannières seront diffusées sur une cible de sites dédiés au bricolage et à l'univers de la maison, en 2 vagues de 7 semaines chacune. En complément, une campagne de branding sera déployée sur le site leader de l'aménagement et de décoration de la maison Côté Maison, dans la rubrique " Aménager et rénover ". Fenetres-NF.fr évolue Le site fenetres-nf évolue et s'adapte aux modes de connexion mobiles tels que les tablettes et smartphones. Pour tout complément d'informations sur les fenêtres certifiées NF : www.fenetres-nf.fr.
Il y a 9 ans et 107 jours

Pavillon de l'Arsenal : Réinventer Paris

Mercredi 3 février 2016, Anne Hidalgo, maire de Paris, dévoilait la liste des vingt-deux lauréats de "Réinventer Paris", appel à projets urbains innovants lancé fin 2014 : une première mondiale pour imaginer et construire la ville de demain. Pour l'occasion, le Pavillon de l'Arsenal expose l'ensemble des projets soumis au jury. Vingt-trois sites appartenant à la Ville et actuellement désaffectés ont été proposés, avec pour seule contrainte le respect des règles du plan local d'urbanisme. Ces terrains nus, friches polluées, hôtels particuliers classés, bureau à rénover, gare, bain-douches et autres transformateur électrique, ont donné lieu à plusieurs centaines de projets. Les équipes candidates rassemblent des professionnels venus d'horizons divers : architectes, paysagistes, urbanistes, acteurs de l'immobilier ou ingénieurs, côtoient agriculteurs, chefs cuisinier, anthropologues, artistes, philosophes, créateurs de mode, industriels ou riverains. De même, le jury intègre quelques personnalité étrangère au sérail de l'architecture, comme le mathématicien Cédric Villani, l'anthropologue Michèle Baussant ou le microbiologiste Dickson Despommier. La diversité souhaitée par le concours transparait sur les propositions : habitat participatif, co-construction, réemploi de matériaux, béton nettoyant, dépolluant, végétal ou photovoltaïque, biofaçades, briques de papier, dalles actives, fermes urbaines, espaces de co-fooding, co-working ou co-living, incubateurs, campings urbains... La préoccupation environnementale reste tout de même omniprésente, tout comme la volonté politique de la municipalité de poursuivre l'effort de constructions de logements accessibles à tous : les 22 projets retenus prévoient ainsi la création de 1341 nouveaux logements, dont plus de 50% logements sociaux. Le projet de Sou Fujimoto, porté par le groupe Ogic et la Compagnie de Phalsbourg, a été particulièrement plébiscité. L'architecte japonais imagine une immense structure chevauchant le périphérique, porte Maillot. Intitulé "Mille arbres", cet immeuble de logements reliera Paris à Neuilly par le biais d'un pont-parc, sur lequel mille arbres seront plantés. L'inauguration du bâtiment est prévue en 2022. Jusqu'au 8 mai 2016, le Pavillon de l'Arsenal présente l'ensemble des créations soumises au jury. Imaginée par l'agence Peaks architectes, la scénographie développe un système ouvert et évolutif sur les 900m² du pavillon, au travers de maquettes, perspectives, animations 3D, films, interviews et témoignages. Pour accompagner cette exposition, le Pavillon de l'Arsenal développe avec la start-up My Blue Wall, un mur interactif qui permet à plusieurs visiteurs de naviguer simultanément dans tous les projets. Un ouvrage réunissant l'ensemble des propositions sera également édité et disponible en librairie dès le 15 février. Enfin, un programme de conférences et de rencontres débutera très prochainement, réunissant les équipes lauréates et les acteurs de l'innovation, pour permettre à tous de mieux comprendre et découvrir le Paris de demain. Illustrations : Pavillon de l'Arsenal Réinventer Paris au Pavillon de l'Arsenal, 21 boulevard Morlan, 75004 Paris, jusqu'au 8 mai 2016, du mardi au samedi de 10h30 à 18h30 et le dimanche de 11h00 à 19h00, entrée libre.   Pour en savoir plus, visitez le site de Réinventer Paris et celui du Pavillon de l'Arsenal.    
Il y a 9 ans et 116 jours

Catalogue Legrand France Edition 2016 en version numérique

Le catalogue Legrand Edition 2016 est disponible. Proposé uniquement en version numérique, il est accessible sur la page "Documentations et films" rubrique professionnels de www.legrand.fr.