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Il y a 3 ans et 207 jours

Quand faut-il entreprendre des travaux de rénovation de charpente?

La charpente constitue l’ossature d’une maison. Autrement dit, elle est l’élément structurel qui tient les murs et le toit. En ce sens, il est donc indispensable de procéder régulièrement à son inspection afin de vérifier son bon état. En cas de détection de problèmes au niveau de la charpente, il faut rapidement envisager de la rénover. Mais alors, pourquoi et quand faut-il entreprendre des travaux de rénovation de charpente ? Les éléments de réponses à travers ce billet. En quoi consiste la rénovation d’une charpente ? La rénovation d’une charpente regroupe l’ensemble des travaux réalisés sur toute ou une partie de la charpente dans le but de résoudre un problème qui a été constaté. En effet, il existe de nombreuses raisons qui peuvent amener à cette intervention, à l’instar du vieillissement naturel du bois, les intempéries et les infiltrations d’eau qui en découlent, les dégâts induits par la présence d’insectes xylophages, etc. La dégradation de la charpente provoquée par ces divers éléments se révèle dangereuse pour la stabilité de l’ossature de la maison et du toit. Ainsi, faire appel à un charpentier pour effectuer la rénovation de la charpente est la solution permettant de limiter les risques. Il faut toutefois noter que la rénovation de charpente n’est pas forcément liée à une problématique. Effectivement, elle peut être indispensable pour modifier l’aspect du logement, le style architectural de celui-ci, notamment pour l’ajout d’un étage ou l’aménagement de combles. À quel moment faut-il donc rénover une charpente ? En principe, il est recommandé de procéder à une rénovation de charpente tous les 20 à 30 ans. D’une manière générale, l’opération d’entretien est relativement légère dans le cas où la structure est saine et régulièrement contrôlée. Par contre, une rénovation peut être réalisée avant ce délai si l’un ou plusieurs des problématiques énumérés ci-dessus sont constatés. Bien évidemment, ce type d’intervention n’est pas obligatoire. Cependant, il est fortement indiqué afin d’éviter que les problèmes ne s’aggravent et induisent des travaux conséquents pour y remédier. En raison de la complexité des travaux à entreprendre au cours de la rénovation de charpente, le propriétaire est tenu de faire appel à un artisan charpentier comme sur ce site : https://www.charpentier-87.fr/ pour réaliser les travaux. Ce dernier sera plus qualifié pour observer la charpente et en évaluer les dégâts, de manière à établir un diagnostic complet et précis. Il peut être ingénieux de contacter plusieurs professionnels pour pouvoir comparer diagnostic, devis et offres. Le coût à prévoir pour des travaux de rénovation de charpente La charpente, tout comme la toiture, est essentielle pour la stabilité et la bonne santé de la maison. Elle protège celle-ci et aide à limiter la déperdition de chaleur. La rénovation de la charpente est une intervention complexe qui a un certain coût. Le charpentier facture en moyenne une heure de travail 40 à 60 euros HT, d’où l’utilité de ne pas attendre une problématique s’étendre. Pour venir à bout d’un problème d’humidité, il faut prévoir un traitement hydrofuge, pour un coût moyen de 20 à 30 euros le mètre carré. Dans le cas d’un problème de moisissures ou de champignons, il est indispensable de procéder à un traitement fongicide. Pour cela, il faut compter 15 à 30 euros le mètre carré. Enfin, pour un problème de nuisibles, tels que des insectes xylophages, un traitement insecticide est utile. Pour cela, il faut prévoir 20 à 50 euros le mètre carré.
Il y a 3 ans et 215 jours

L’entreprise française Humidistop prend le virage du 100% digital et poursuit son développement malgré la crise

Leur secret ? Avoir su faire preuve d’agilité en s’adaptant aux enjeux actuels et en investissant pour accélérer leur transition digitale. Un pari qui au départ pouvait sembler audacieux mais qui s’est finalement avéré largement rentable.L’exemple du spécialiste français des produits contre l’humidité, Humidistop France, est particulièrement flagrant.Face à la crise sanitaire, la société toulousaine a immédiatement décidé de réagir en transformant toute son organisation sanitaire.« Nous avons délibérément choisi d’abandonner les visites au domicile des particuliers, qui étaient pourtant jusque-là notre principal vecteur de vente. A la place, nous avons opté pour un modèle 100% digital reposant sur un diagnostic par téléphone et des commandes en ligne. » William COIGNARD, le fondateurCette stratégie s’est avérée gagnante : aujourd’hui Humidistop est en pleine croissance malgré la crise et continue son expansion à l’international.Le digital, un véritable accélérateur de croissance à l’ère de la Covid-19Au moment où troisième vague épidémique contraignait le Gouvernement à reconfiner davantage de départements et à adopter de nouvelles contraintes sanitaires, Humidistop développait une stratégie qui pour intégrer les règles de distanciations sociales.Son approche en ligne est également en phase avec le “monde d’après”, dans la mesure où les Français utilisent désormais massivement Internet et les téléphones mobiles.Cette société française dynamique s’est donc dotée d’un nouveau site internet qui lui a permis d’étendre son offre à l’ensemble de la France et aux pays voisins.Humidistop propose ainsi :Un diagnostic à distance gratuit, pour identifier le problème et trouver la solution adaptée : Tâches & moisissures, Inondation & dégâts des eaux, Buée & condensation excessive, Salpêtre et mur humide, Façade, sous-sol ou cave humide.Des prix “direct usine” ultra-compétitifs afin de démocratiser l’accès aux produits contre les remontées capillaires et l’humidité dans les murs dans tous les types de bâtiments (églises, bureaux, appartements et maisons) pour résoudre définitivement les problèmes d’humidité.Une boutique en ligne intuitive et performante pour commander des appareils anti-humidité d’une redoutable efficacité.La fabrication française des inverseurs de polarité contre l’humidité dans les murs.Pour les pros : des solutions alternatives pour tous les travaux de rénovation via Help HumiditéDepuis février dernier, Humidistop a confié la distribution de ses produits aux professionnels à la société Help Humidité, qui dispose également d’une boutique en ligne.Cette démarche leur permet d’élargir leur offre en proposant des alternatives complémentaires aux travaux de rénovation. Les inverseurs de polarité STOP ONE (électromagnétique) et GEOSTOP (géomagnétique) conviennent en effet à tous les types d’habitation et à tous les budgets.« Nos produits sont appréciés par les particuliers pour leur faible coût, leur rapidité d’installation et leur efficacité. En ce sens elles représentent une forte valeur ajoutée pour tous les professionnels de l’habitat. » William COIGNARDZoom sur les produits phares HumidistopSTOP ONE : l’inverseur de polarité électromagnétiquePour lutter contre l’humidité dans les murs, cet appareil simple et efficace se branche à une prise de terre, à poser ou à fixer dans la zone humide, sans toucher à la maçonnerie.Le ratio d’émission de STOP-ONE s’étend de 30m2 à plusieurs centaines de mètres carrés selon la version installée et fonctionne à travers les murs et cloisons.L’assèchement des murs s’effectue ensuite par évaporation naturelle de l’humidité (entre 12 et 24 mois selon les spécificités du bâtiment et le suivi des recommandations).STOP-ONE est disponible en 2 coloris. Prix : à partir de 1 100 € (selon le modèle choisi).GEOSTOP : l’inverseur de polarité géomagnétiqueLa centrale géomagnétique GEOSTOP ne nécessite aucun travaux, ni batterie, ni branchement sur secteur. Ce boitier cylindrique fonctionne uniquement avec l’énergie des champs électromagnétiques.Complètement autonome, il permet d’assécher les murs grâce à l’évaporation naturelle de l’humidité (entre 12 et 24 mois selon les spécificités du bâtiment et du suivi des recommandations).GEOSTOP est disponible en 2 coloris. Prix : à partir de 1100 € selon le modèle choisi.Humidistop : plus de 10 ans d’expertise dans le traitement de l’humiditéWilliam Coignard crée sa société Humidistop France en février 2012.Constatant que plus d’un foyer sur deux connaît des problèmes d’humidité et que les solutions existantes semblent toujours inaccessibles ou trop coûteuses, il choisit d’investir ses compétences dans ce domaine encore mal développé. Il participe activement au traitement de l’humidité dans les bâtiments : infiltrations, remontées capillaires, moisissures, salpêtre, humidité de l’air, dégât des eaux...Au fil des années, des interventions et des progrès de la science, il élargit l’éventail de ses possibilités et connaît rapidement une forte croissance. Plus que sa motivation commerciale, c’est aussi ses convictions qui le pousse à se dépasser.Entreprise certifiée QUALIBAT, Humidistop intervient auprès des particuliers, des maîtres d’ouvrages, DGS, des assureurs, des syndics, mais aussi directement auprès des médias. William Coignard intervient régulièrement dans les médias pour toutes les questions relatives aux problèmes d’humidité.Aujourd’hui, Humidistop ambitionne de continuer à développer ses diagnostics à distance gratuits et la vente de ses produits via son nouveau site web.« Entrepreneur militant, je suis en lutte contre les phénomènes d’humidité et je souhaite rendre le traitement contre l’humidité accessible à tous. Je vais au-delà d’une simple démarche commerciale de vente de produits. » William COIGNARD
Il y a 3 ans et 239 jours

Produit de démoussage pour toiture : lequel choisir?

Le démoussage du toit fait partie des travaux d’entretien de la maison que nous devons réaliser chaque année. Il consiste à éliminer les champignons parasitaires et les résidus qui se sont accumulés sur sa surface avec le temps. Pour ce faire, on peut recourir à différentes techniques. À côté du nettoyage à haute pression de la toiture, on peut également envisager l’utilisation de produit de démoussage spécifique. Mais lequel choisir ? Nous répondons à cette question dans l’article. Pourquoi recourir au produit de démoussage pour toiture ? Les mousses et les lichens présents sur la toiture de notre maison n’affectent pas seulement son esthétique. Ces éléments sont à l’origine des rétentions d’eau sur sa surface et, de ce fait, des infiltrations. Pour éviter la dégradation prématurée de cette structure, il est donc essentiel de les éliminer. Pour cela, nombreux sont ceux qui choisissent d’utiliser un produit de démoussage que l’on connait généralement sous l’appellation « produit anti-mousse ». Son usage reste facultatif. Malgré cela, il importe de souligner les avantages qu’il offre. En effet, le nettoyage est facilité par le produit anti-mousse, car il rend plus aisé le décrochage des saletés sur les tuiles. De plus, il freine la prolifération et l’apparition des végétaux parasites. La propreté de la toiture sera donc préservée plus longtemps. Quel type de produit de démoussage pour toiture choisir ? Au moment de choisir votre produit anti-mousse, n’hésitez pas à requérir les conseils d’une entreprise de demoussage de toiture. En effet, votre choix sera conditionné par quelques paramètres. En l’occurrence, il s’agit de la composition du produit, de son mode d’emploi et des particularités du revêtement de votre toit. En effet, tous les anti-mousses disponibles sur le marché ne sont pas forcément adaptés au type de matériaux de couverture que vous avez. En outre, il est à noter que ces produits s’utilisent différemment. Dans tous les cas, l’opération est à la portée de tous. Elle requiert néanmoins l’usage de quelques outils, à savoir un nettoyeur à haute pression et un racloir. Dans tous les cas, privilégiez le produit de démoussage qui vous parait le plus facile à utiliser. Toutefois, rappelez-vous que certains produits peuvent nuire à votre santé et à votre toiture. Avant d’appréhender la moindre chose, munissez-vous des protections adéquates et suivez à la lettre les prescriptions de la notice du produit. Quels sont les paramètres à considérer dans le choix son produit de démoussage pour toiture ? Outre les particularités de votre toit, certains paramètres vous permettront de fixer votre choix. En l’occurrence, il s’agit de : Du coût de l’anti-mousse Le facteur prix est un facteur déterminant. Néanmoins, il ne témoigne pas de l’efficacité du produit. C’est pourquoi nous vous conseillons d’acheter un anti-mousse dans les limites de votre budget. De la composition du produit Certains anti-mousses sont composés d’agents chimiques très agressifs. Ces derniers peuvent même entrainer la décoloration et la dégradation de vos tuiles. Ainsi, vous devez vous assurer que le produit que vous vous apprêtez à utiliser n’altèrera pas votre toiture. Du mode d’utilisation du produit Il faut lire attentivement la notice du produit pour savoir comment l’appliquer sur votre toit. Dans tous les cas, sachez qu’il est plus judicieux de laisser sa manipulation aux soins d’un professionnel. Des avis des utilisateurs Avant l’achat d’un produit de démoussage spécifique, faites un tour sur la toile pour voir sa notation. En consultant l’avis des autres internautes, vous aurez une idée sur le prix de l’anti-mousse en question, sa méthode d’application sur le toit et son efficacité.
Il y a 3 ans et 242 jours

Les vestiges de la carrière grecque de Marseille, source de la discorde, bientôt réenfouis

Pointant du doigt l'état de "grande fragilité" des vestiges, la préfecture de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur avait indiqué mercredi dans un communiqué que l'option du réenfouissement était "la mieux à même" d'en garantir la préservation, confirmant une information du site d'investigation local Marsactu.Au même moment, associations et riverains manifestaient sur place leur opposition à un tel scénario, demandant que l'Etat respecte ses engagements de valorisation des 635 m2 classés et encore visibles."On ne veut pas enterrer, même s'il ne reste qu'une colonne, elle sera le symbole de ce qu'on a pu faire contre les destructions, on la protégera jusqu'au bout", insiste auprès de l'AFP Joëlle Gilles, présidente du comité de quartier, qui veut sauver "le peu qu'il reste" des vestiges situés à deux pas du Vieux-Port, dont la majeure partie est aujourd'hui définitivement ensevelie sous l'immeuble construit.Très friables, les pierres de la carrière en activité du Ve siècle avant JC --peu après l'arrivée des Phocéens à Marseille-- au Ier siècle après JC sont notamment menacées par les infiltrations d'eau."La conservation de ces vestiges est très difficile", confirme auprès de l'AFP Dominique Garcia, le président de l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap), qui avait réalisé les fouilles à l'origine de la découverte: ensevelir ces vestiges "pour qu'ils ne disparaissent pas ne me paraît pas totalement dénué de sens", d'autant que "le site a été parfaitement documenté et qu'il est donc préservé, ce qui est le principe de l'archéologie préventive".Quant à l'intérêt du site, "il n'est pas comparable à la grotte Cosquer" [grotte sous-marine dont une réplique est actuellement en cours d'installation à Marseille, sur le modèle des grottes de Lascaux ou Chauvet], relativise M. Garcia, pour qui la polémique est peut-être "plus politique que patrimoniale".Même son de cloche du côté de la Direction régionale des affaires culturelles (Drac), selon laquelle "la solution qui serait privilégiée est celle du réenfouissement des vestiges. Le but étant de garantir de manière pérenne la conservation" du site."Parole bafouée"A la mairie de Marseille, on assure qu'aucune information officielle n'a été communiquée sur le devenir du site depuis une réunion avec la Drac en novembre 2020. A l'époque, les trois hypothèses d'un réenfouissement total, d'une valorisation partielle via des fenêtres vitrées ou du maintien de la carrière telle qu'exhumée avec la création d'une halle de protection étaient encore sur la table.Le scénario de valorisation partielle "nous a été présenté comme quelque chose qui allait être très compliqué, coûteux", se souvient Sophie Camard, la maire des Ier et VIIe arrondissements de Marseille.Mais "pourquoi avoir sauvé cet espace pour qu'on nous dise après que (...) par défaut il serait réenfoui ? On devait nous présenter un projet pour permettre de continuer à voir ces vestiges", ce qui "était le compromis de l'époque", plaide-t-elle. Projet que les élus marseillais attendent toujours.Lors du classement d'une partie du site (d'une superficie totale de 6.500 m2) au titre des Monuments historiques par la ministre de la Culture de l'époque, Françoise Nyssen, en septembre 2018, celle-ci avait souligné que sa conservation devrait s'accompagner "d'aménagements spécifiques permettant sa visibilité".Une "visibilité" qui pourrait, en cas de réenfouissement, prendre la forme d'une réplique virtuelle du site, dont l'intégralité a fait l'objet d'un relevé 3D."Quelle que soit l'hypothèse décidée par l'Etat, il faudra qu'ils invitent la ville à se mettre autour de la table", revendique Jean-Marc Coppola, adjoint au maire de Marseille chargé de la culture. "On ne peut pas demander que la parole soit tenue pour la vente des sous-marins en Australie et que la parole et l'engagement pris par l'ancienne ministre de la Culture soient bafoués", ironise l'élu.
Il y a 3 ans et 245 jours

Restauration de l’ancienne cathédrale de Cavaillon

Une partie du chantier de restauration de l’ancienne cathédrale de Cavaillon est prise en charge dans le cadre du plan de relance pour l’année 2021. L’ensemble paroissial Notre Dame et Saint Véran, ancienne cathédrale, apparaît comme un ensemble complexe, fruit d’une construction en plusieurs étapes. De nombreuses catastrophes (incendie au Moyen-Âge, sac du baron des Adrets et des troupes protestantes en 1562, pillages lors de la Révolution, manque d’entretien suite à celle-ci) et les chantiers qui s’en suivirent vont contribuer à faire évoluer la cathédrale. Inscrite sur la première liste des Monument Historiques de 1840, la cathédrale est alors en piteux état. Des travaux de grande ampleur sont entrepris peu après afin de prévenir le risque d’écroulement de certaines parties de l’ensemble. Malgré cela, elle présente aujourd’hui de nombreux désordres : affaiblissement général des structures, importantes fissurations, ruptures d’étanchéité et infiltrations d’eau, dépôts de particules fines qui désagrègent les pierres. Les nombreuses modifications architecturales (ajout d’un beffroi, suppression des piles recevant les arcs doubleaux etc…), les travaux de voirie menés à proximité, les vibrations sismiques ou encore la pollution expliquent en partie l’apparition de ces désordres. Pour remédier à cela, un grand chantier d’une durée prévisionnelle de 9 ans a débuté en 2018. L’ensemble de la cathédrale va être restauré : le cœur, la façade, la nef, les intérieurs, les chapelles, le mobilier religieux ainsi que le cloître.   Source et photo : Drac PACA  
Il y a 3 ans et 247 jours

Du rififi avec le nouveau DPE

Lancé le 1er juillet 2021, le nouveau diagnostic de performance énergétique devait être l’outil par excellence de la rénovation énergétique. Sa vocation était d’une part, livrer un état des lieux fiable de la consommation énergétique et des émissions de gaz à effet de serre des biens immobiliers et d’autre part, porter des recommandations de travaux pour effectivement redresser la performance et améliorer le classement des logements. Les retours d’expérience laissent entrevoir une dégradation des classements énergétiques du parc de logements français. « Nous avions anticipé que 40 % des logements changeraient de classement avec le nouveau DPE. Mais les calculs théoriques prévoyaient qu’il n’y aurait pas plus de logements très énergivores. Ce n’est pas du tout ce que nous constatons sur le terrain. » s’alarme Jean-Marc TORROLLION, Président de la Fédération nationale de l’Immobilier. « Le nombre de logements F et G, impactés les premiers par les obligations issues de la loi Climat et résilience, est en train de doubler. ». L’UNPI, la FNAIM et l’association Plurience rappellent ensemble que leurs alertes n’aient pas été entendues lors de l’examen de la Loi Climat. Voter le calendrier sans connaitre la réalité du parc, c’était jouer avec le logement des Français. « La Loi a été votée : elle lance un compte à rebours inéluctable, qui impacte directement tous les Français locataires. Sans changement à très court terme, 1 ménage sur 4 verra son logement frappé d’une interdiction de location de son logement d’ici 2034 ! » observe Christophe DEMERSON, Président de l’Union nationale des propriétaires immobiliers. Du côté des diagnostiqueurs, la sonnette d’alarme avait, aussi, été tirée. Forts des nombreuses remontées de leurs adhérents depuis le 1er juillet, l’Union des Syndicats de l’Immobilier (UNIS), et la Fédération Interprofessionnelle du Diagnostic Immobilier (FIDI) ont dressé un constat identique d’insatisfaction. La FIDI a pu dénombrer et expliquer concrètement les éléments conduisant aux écarts très importants des résultats du nouveau DPE par rapport à la réalité terrain et à la version précédente. Ces éléments ont fait l’objet d’un échange récent avec la Direction de l’Habitat, de l’urbanisme et des Paysages, ministère de la Transition écologique et solidaire (DHUP). Deux causes sont probables. Le calcul du coût des consommations, par tranches, ne correspond pas à la réalité. En électricité, pour un nombre de kWh donné, l’erreur est de plus de 30 % par rapport au coût réel du kWh. Certains paramètres du moteur de calcul liés aux habitudes de vie des occupants ont été fortement modifiés par rapport à la version précédente. Ils ne correspondent peut-être pas à la réalité du terrain. Ces nouveaux paramètres dégradent substantiellement l’estimation des consommations mais aussi la note du DPE. En outre, des thermiciens ont relevé des problèmes concrets, qui dégradent significativement la note. En plus des changements sur la ventilation par ouverture de fenêtre, il semble qu’il y ait un problème sur le calcul des débits d’infiltration qui donne des déperditions quasi 10 fois plus importantes que la version précédente. Le calcul des consommations des auxiliaires de bouclage pour un appartement en immeuble collectif semble incohérent (les pompes consomment quasi autant que le total ECS). En faisant un comparatif entre la V2 et la V3 avec les mêmes déperditions (enveloppe identique), on obtient beaucoup plus de consommation. Pour l’estimation du confort d’été, si la fenêtre des toilettes ne comporte pas de volet, l’estimation est dégradée quels que soient les autres paramètres. Après avoir entendu l’ensemble des remarques, le ministère du Logement vint de demander aux diagnostiqueurs de suspendre la réalisation du DPE pour les biens construits avant 1975. Seuls les DPE règlementaires vont être produits pour ne pas stopper les ventes et mises en location urgentes de biens d’avant 1975. Cette consigne du ministère n’exonère pas le propriétaire / bailleur de son obligation de produire un DPE, qui doit être établi depuis le 1er juillet en V3. Mais il faudra vraisemblablement le rééditer après correction du logiciel. Les diagnostiqueurs peuvent continuer à aller collecter des données pour éviter un effet « bouchon » dans quelques semaines, mais ils doivent attendre une V3 corrigée pour effectuer les calculs et fournir le rapport. Il faut se préparer à rééditer les DPE V3 réalisés depuis le 1er juillet après correction des logiciels, dans l’esprit de service qui caractérise les diagnostiqueurs. Les modalités pratiques de cette réédition sont en cours de négociation avec le ministère.
Il y a 3 ans et 251 jours

Fischer France fête 60 ans d’innovations sur le marché de la fixation

Créée en 1961 et basée à Strasbourg, fischer France est la 3ème filiale du groupe fischer. Avec près de 100 salariés et un chiffre d’affaires de 49,3 millions d’euros, l’entreprise n’a cessé depuis plus de 6 décennies de bousculer le marché français de la fixation avec de nombreuses innovations. Aujourd’hui, les produits fischer sont plébiscités aussi bien par les professionnels que les bricoleurs. Le savoir-faire, l’étendue des gammes et des services proposés, les technologies de pointe utilisées et les techniques de fixations d’avant-garde développées pour le domaine du bâtiment et de l’industrie ont permis à fischer de se forger une solide réputation de spécialiste des techniques de fixation. L’entreprise participe ainsi régulièrement à la construction de grands ouvrages : la Grande Arche à Paris, la Tour 2BA et Mozart à Paris, les tunnels du Mont Blanc, de la Défense, de la Croix Rousse, du Puymorens, BPNL, le projet Grand Paris Express…Jean-Marc Berg, Président de fischer France depuis 2018, après plus de 12 ans passés au sein de la société aux postes de Directeur Technique Marketing, Directeur de la division Systèmes dédiés, Directeur Général Adjoint et Directeur Général, a à cœur de poursuivre la digitalisation des solutions techniques, de développer les offres produits et services connexes, tout en privilégiant l’investissement dans la R&D et les innovations.fischer France : une expertise reconnueCréateur de solutions, fischer France est devenu au fil des décennies un acteur moteur sur le marché de la construction. Bénéficiant de l’expertise et de la puissance d’un groupe international (avec 50 filiales et une distribution mondiale des produits), l’entreprise sert en France plus de 11000 clients.Avec plus de 14000 références, fischer permet de répondre aux particuliers comme aux professionnels des différents corps de métier. De la fixation (acier, nylon, chimique, supportage, isolation), la chimie du bâtiment (mousse, mastic, silicone, colle), la visserie, les forets, la protection incendie aux accessoires de terrasse, fischer couvre l’ensemble des besoins en termes de solutions de fixations pour différents domaines d’applications et dans tous les matériaux de construction. L’entreprise, qui développe et fabrique elle-même ses produits, a su, grâce à son savoir-faire et sa capacité d’innovation, imposer de nouvelles références en matière de solutions de fixations. La 1ère cheville à expansion en 1956, le 1er scellement chimique par injection mis sur le marché en 1975, le 1er ancrage à verrouillage de forme en 1978, la nouvelle génération de chevilles en nylon SX en 2000 ou encore la première cheville nylon bi-matière DUOPOWER en 2016 sont autant de solutions qui ont marqué le marché de la fixation.Parmi les nouveautés fischer de ces dernières années : Le Ciment Express. Unique sur le marché, astucieux et économique, le Ciment Express de fischer est une pâte de réparation présentée sous forme de cartouche. Prête à l’emploi, elle offre un véritable gain de temps aux utilisateurs et limite les gaspillages liés au surplus de fabrication de ciment. De haute qualité, le Ciment Express s’utilise en rénovation, sur de nombreux matériaux de construction tels que le béton, la brique, le parpaing, la tuile, la pierre…, et pour différentes applications en intérieur comme en extérieur : jointoiement de carrelage, de parpaings…, bouchage de fissures sur des maçonneries, du béton, des briques…, fixation de tuiles, réparation de bords détériorés sur de la pierre... Il garantit une excellente adhérence sur tous les matériaux de construction. Après séchage, il est parfaitement étanche à la pluie et résiste aux intempéries, et ce, quelques heures seulement après son application.La gamme de fixation DuoLine. Véritable innovation technologique, cette gamme regroupe toutes les meilleures caractéristiques techniques. Fabriquées à partir d’une combinaison de 2 matières, les chevilles DUOPOWER, DUOTEC et DUOBLADE aux couleurs rouges et grises assurent un ancrage optimal et parfaitement sûr. Les principes de fonctionnement fréquemment éprouvés, associés à la combinaison de 2 matières, permettent d’élargir le champ d’applications avec une capacité de charges nettement supérieure à celles des chevilles nylon traditionnelles et une plus grande sécurité.uoPower : Cette cheville nylon multi-matériaux s’adapte elle-même au matériau de construction dans lequel elle va s’ancrer. Elle s’expanse, se déploie ou forme un nœud en fonction du support, que ce soit un matériau plein, creux ou en plaque afin d’obtenir la meilleure adhérence et des valeurs de charges supérieures aux chevilles nylon classiques. Elle garantit une fixation parfaitement sûre, solide et durable. Elle s’introduit facilement dans le forage sans se tordre et assure ainsi une bonne perception du couple de serrage. Polyvalente, elle couvre un large champ d’application, convient pour les vis à bois, les vis à bois agglomérés et les vis à double filet, et fonctionne dans de nombreux matériaux (béton, maçonneries pleines ou creuses, panneaux de particules, plaques de plâtre…). DuoTec : Cette cheville à bascule pour matériaux creux convient pour les applications suivantes : fixation de lustres, suspensions, spots et plafonniers... dans des plaques de plâtres, des panneaux en fibre de plâtre, des panneaux de bois (OSB – aggloméré, stratifié MDF), des panneaux en acier et des panneaux plastiques. Intelligente, elle fonctionne également comme une cheville à expansion si le matériau rencontré s‘avérait être plein. Bi-matière, renforcée de fibres de verre de haute qualité, elle garantit une bonne capacité de répartition des charges, dans les plaques de plâtre sans endommager le matériau. Pour une sécurité optimale, une fois la cheville à bascule placée dans le forage, une douille blanche renforcée en fibre de verre s’insère également dans l’entrée du trou pour offrir une capacité de charges de cisaillement encore plus élevée. Compacte, elle est facile à mettre en œuvre même dans des cavités étroites et isolées (≥ 50 mm) et bénéficie d’un diamètre de perçage réduit (10 mm).DuoBlade : Compacte, cette cheville autoforeuse convient pour tous les travaux d’agencement intérieur, les applications légères : pose de tableaux, luminaires, détecteurs de fumée, stores… dans des plaques de plâtre simples, doubles couches et permet même la fixation sans perçage dans les plaques haute résistance. La partie rouge en polyéthylène (PE) offre une sécurité supplémentaire au corps de base en nylon gris de haute qualité fischer. Elle assure l’effet d’expansion, lors du vissage de la vis, pour supporter des valeurs de charge élevées. La pointe en métal autoforeuse, dotée de trois lames tranchantes, assure un perçage aisé, très précis et propre sans endommager le support. Légèrement inclinée, elle permet de guider facilement la cheville lors d’un montage dans un matériau de faible épaisseur. Les ergots anti-rotation empêchent la cheville de tourner dans le support lors de l’installation ou de l’éventuel démontage des éléments à fixer. Ils augmentent également la capacité de charges en fixations verticales et optimisent la répartition des charges.Le corps en nylon de la cheville dispose d’un pas de filetage autotaraudeur tranchant pour une bonne prise et un verrouillage optimal de la cheville. La collerette plate permet une mise en œuvre en attente ou traversante.La DUOBLADE offre un confort lors de la mise en œuvre avec un couple de serrage relativement faible qui augmente de manière importante à la fin du processus de vissage (blocage). L’utilisateur ressent alors que la cheville « tire » et la sensation de blocage, c’est le « feel good factor ».La gamme DUOLINE va continuer de se développer et s’enrichir d’une nouvelle référence à la fin de l’année.La gamme GreenLine. Cette gamme est le parfait exemple de la capacité d’innovation de fischer et de sa volonté d’apporter des solutions toujours performantes, tout en minimisant l’impact sur l’environnement. Elle est la première gamme de fixations au monde issue de matières premières renouvelables. Les produits GreenLine offrent les mêmes performances, la même sécurité et capacité de charges que les produits similaires traditionnels fischer. De qualité allemande, ils sont fabriqués avec 50 à 80 % de matières premières renouvelables. La gamme se compose de 7 familles de produits qui permettent de réaliser de multiples applications dans de nombreux matériaux de construction : la cheville universelle UX Green, la cheville à expansion SX Green, la cheville pour plaques de plâtre GK Green, la cheville à frapper N Green, la fixation dans matériaux isolants FID Green, la cheville pour béton cellulaire GB Green et la résine d’injection chimique tous matériaux FIS Green 300 T.Avec la qualité éprouvée du nylon fischer, les chevilles UX Green, SX Green, GK Green, N Green, FID Green et GB Green sont fabriquées avec plus de 50 % de matières premières d’origine végétale. L’huile de ricin est ici utilisée comme matériau de base pour le polyamide. Cette huile n’est pas utilisée pour l’alimentation de l’homme et des animaux, et n’entre donc pas en concurrence avec les surfaces agricoles. Les chevilles GreenLine ont été testées et contrôlées par le centre TÜV Rheinland DIN CERTCO et appartiennent à la catégorie « Biosourcés 50-85 % ». Leur emballage est plus respectueux de l’environnement puisqu’il est fabriqué avec 90 % de papier recyclé.Quant à la résine FIS Green 300 T, elle est la première résine de scellement à contenir plus de 50 % de matières premières d’origine végétale. Sa formulation sans styrène a été entièrement revisitée pour contenir des composants organiques, à la place de composants chimiques complexes, qui permettent de répondre aux différentes fonctions des résines réactives, des additifs, des plastifiants et des polymères thermoplastiques.Sûre, cette résine bi-composant est adaptée à la fixation de charges lourdes dans différents matériaux et présente les mêmes caractéristiques techniques et de performances que ses homologues traditionnels. Elle bénéficie d’une EPD (Déclaration environnementale de produit). Classée A+, elle peut être utilisée en intérieur et détient une évaluation technique européenne (ETE) pour les fixations dans la maçonnerie et le béton non fissuré.Et parce que limiter l’impact de ses produits sur l’environnement est important pour fischer, l’entreprise entend compléter cette gamme écoresponsable avec de nouvelles références qui seront commercialisées à la fin de l’année.Le foret creux aspirant FHD. Accessoire idéal pour une utilisation dans les espaces intérieurs sensibles, où la poussière doit impérativement être évitée, il offre des chantiers plus propres et sains, et limite les poussières dans l’air. Les trous forés sont conformes aux homologations dans le béton et béton armé, la pierre naturelle, la brique pleine et la brique silico-calcaire. Les 4 taillants en carbure assurent un forage rapide, même dans le fer à béton. La tête du foret dispose d’une pointe de centrage et de 2 trous d’aspiration/d’évacuation des poussières, qui garantissent l’extraction immédiate de la poussière lors du perçage, via la tige cylindrique creuse. La progression du foret dans le matériau est plus rapide et sans frottements. Le foret creux aspirant FHD est pris en compte par les évaluations ETE des systèmes composites chimiques et il est compatible avec toutes les marques de marteaux perforateurs à emmanchements SDS Plus et SDS Max. Enfin, il s’utilise avec un aspirateur classe M et est disponible en 11 diamètres.L’aspirateur universel eau et poussières FVC 35 M. Avec une cuve de 35 L à double paroi très robuste, cet aspirateur de chantier associé au foret creux aspirant FHD, contribue à offrir un environnement de travail propre et sain. Conforme à la classe de filtration M, avec une capacité de rétention de poussière de 99,9%, il collecte les poussières les plus nocives, directement à la sortie du trou de forage et via le manchon d'évacuation du foret aspirant. Doté d'un puissant moteur, il offre des performances d'aspiration élevées. Grâce à un système de nettoyage automatique du filtre, il garantit le maintien, sans interruption, d'une forte puissance d'aspiration pour un travail continu. Des chocs électromagnétiques nettoient alternativement les cartouches de filtre pour obtenir une filtration toujours optimale. Gamme de vis à béton Ultracut. Cette gamme complète reflète également la capacité d’innovation de fischer. Elle s’utilise dans le béton fissuré et non fissuré, la pierre naturelle dense, les maçonneries pleines et le béton cellulaire. Grâce à une reprise de charges lourdes, elle convient à de nombreuses applications pour tous les corps de métier : la construction métallique, la construction bois et les assemblages bois/béton, les installations temporaires de chantiers, sanitaire, chauffage, électricité… La vis à béton Ultracut dispose d’un filetage renforcé spécial avec une zone coupante sur sa partie avant. Cette géométrie spéciale du filetage facilite la pénétration de la vis en profondeur, réduit l’effort de vissage, assure de fortes capacités de charges de traction, tout en diminuant le nombre de points d’ancrage. Une zone ductile sous la tête permet une légère déformation pour un plaquage optimal. Ajustable, l’Ultracut peut être dévissée au maximum 2 fois et est idéale pour la pose d’éléments de chantiers temporaires puisqu’elle est réutilisable après vérification avec la jauge de contrôle (en option).Pratique, pour les perçages verticaux au sol ou au plafond, la pose s’effectue sans nettoyage du forage. Dans la gamme, la vis à béton Ultracut FBS II A4 en acier inoxydable offre un niveau élevé de résistance à la corrosion, avec une haute performance dans les zones humides et les applications en extérieur. Son embout rouge renforcé permet une installation encore plus rapide, sans effort, et plus sécurisée. Sa géométrie spéciale en dent de scie permet une coupe rapide dans le béton. Par ailleurs, cette vis à béton répond aux exigences de la classe de résistance au feu R120, bénéficie d’un ATE Option 1 pour béton fissuré, et d’une catégorie de performances sismiques C1 et C2.Les Clés à choc sans-fil FSS 18V. Compatibles avec le système de batteries CAS (Cordless Alliance System), elles sont utilisables avec les mêmes batteries et chargeurs que les outils d’une douzaine de fabricants d’outillage électroportatif. Puissant et bénéficiant d’une technologie de batterie haute performance, ce système CAS permet aux utilisateurs de passer d’un outil à l’autre. Robuste et très résistante, les clés à choc fischer sont dotées d’un boîtier spécial qui garantit une dissipation thermique et une longévité optimale des outils. La FSS 18V400 BL dispose d’un couple de 400 Nm et d’un moteur haute qualité sans charbon, à faible frottement, qui garantit un fonctionnement efficace, une faible usure, et une progression rapide du travail. Elle permet la pose de vis à béton de diamètres 6 à 10. Le couple est réglable en 12 positions. La FSS 18V 600, avec un couple élevé de 600 Nm, est idéale pour les installations avec des vis à béton de diamètres 10 à 14 et des applications exigeantes.Une gamme de vis à bois Power-Fast II. Plus techniques, ces vis ont une accroche et une pénétration plus faciles et plus rapides. Leur revêtement est plus respectueux de l’environnement (zingué blanc sans chrome VI (Cr3)) et leur géométrie spéciale font qu’elles sont compatibles avec les chevilles nylon. Elles disposent du marquage CE et bénéficient de l’Évaluation Technique Européenne (ETE). L’empreinte de la tête de vis est profonde et les fraisoirs à facettes inversés assurent une découpe parfaite des épissures de bois. Grâce à la nouvelle géométrie brevetée du filetage à angle asymétrique sans vrille de coupe, au moletage, aux doubles filets sur les premiers pas de vis et au revêtement anti-frottement haute performance, le vissage est nettement plus rapide et sans effort. Les doubles filets permettent une évacuation rapide de la poussière de perçage. Le filetage, jusqu’à la pointe, garantit un centrage très précis de la vis et une accroche immédiate dans le bois, sans aucun pré-perçage, ni risque de glisser. Elles sont disponibles en tête fraisée, tête ronde et tête fraisée bombée en filetage partiel et filetage total.Goujon d'ancrage FNB II HDG : Ce goujon fischer permet des montages traversants ou non, pour les fixations dans le béton non fissuré. Sa double profondeur d’ancrage (standard et réduite) et son long filetage le rendent extrêmement flexible, facile et rapide à mettre en œuvre. En outre, il offre une capacité de charges maximales, attestée par l’Evaluation Technique Européenne ETA-18/0101 (Option 7) pour le béton non fissuré, et dispose d’une résistance au feu R120.Evalué pour une utilisation en zones humides et les applications extérieures (ETE), le goujon FBN II HDG en acier galvanisé est recommandé pour fixer des constructions métalliques, des profilés, des platines, des garde-corps, des mains-courantes, des chemins de câbles, des escaliers, des constructions en bois… Son long filetage autorise des fixations déportées.Le couple formé par la bague et le cône d’expansion fournit une capacité de charges en traction maximales dans le béton non fissuré avec des entraxes et des distances aux bords très faibles. Les très faibles entraxes et distances aux bords autorisent la fixation de petites platines proches des bords pour plus d’applications.Le goujon FNB II HDG bénéficie d’une galvanisation à chaud d’une épaisseur minimum de 50 μm respectant les dispositions de la EN ISO 10684:2011. La durabilité du revêtement a été évaluée selon la EAD 330232-00-0601 et peut s’étendre jusqu’à 50 ans (en fonction des catégories de corrosivité C1, C2, C3, C4, C5, CX).Il peut être installé avec seulement quelques coups de marteau et quelques tours d’écrou suffisent pour appliquer le couple de serrage.Toutes ces innovations sont issues d’une volonté constante de comprendre les besoins des clients et d’apporter les meilleures solutions en termes de qualité, de fiabilité, de sécurité, de performances et de respect de l’environnement. La célébration des « 60 ans d’innovations » de fischer France est l’occasion pour son Président Jean-Marc Berg de présenter à l’ensemble de ses collaborateurs français, les axes de développement pour l’avenir.
Il y a 3 ans et 252 jours

Les professionnels de l'immobilier et du diagnostic demandent une amélioration rapide du nouveau DPE

A l'occasion d'une rencontre avec la DHUP le jeudi 16 septembre, la FIDI se félicite d'avoir été entendue sur les difficultés de mise en place du nouveau DPE et reste raisonnablement optimiste sur la prise en compte de ses propositions d'améliorations d'ici à quelques semaines.L'Union des Syndicats de l'Immobilier (UNIS), et la Fédération Interprofessionnelle du Diagnostic Immobilier (FIDI), entendent cumuler leurs compétences et leurs forces pour décrypter « LE NOUVEAU DPE », fiabilisé, opposable et visant à l'éradication des passoires énergétiques et à la limitation des émissions de Gaz à Effet de Serre (GES).La version actuellement en vigueur (DPE version v.3) a révélé ses limites :En effet, forts des nombreuses remontées de leurs adhérents depuis le 1er juillet dernier, la FIDI et l'UNIS ont dressé un constat identique d'insatisfaction. La FIDI a pu dénombrer et expliquer concrètement les éléments conduisant aux écarts très importants des résultats du DPE V3 par rapport à la réalité terrain et à la V2 du DPE. Ces éléments ont fait l'objet d'un échange récent avec la Direction de l'Habitat, de l'urbanisme et des Paysages, ministère de la Transition écologique et solidaire (DHUP).Une première analyse retient deux causes probables :Le calcul du coût des consommations, par tranches, ne correspond pas à la réalité. En électricité, pour un nombre de kWh donné, l'erreur est de plus de 30 % par rapport au coût réel du kWh !Certains paramètres du moteur de calcul liés aux habitudes de vie des occupants ont été fortement modifiés par rapport à la version précédente. Ils ne correspondent peut-être pas à la réalité du terrain. Ces nouveaux paramètres dégradent substantiellement l'estimation des consommations mais aussi la note du DPE.En outre, des thermiciens ont relevé des problèmes concrets, qui dégradent significativement la note (pour rappel, de A à G, G étant la plus défavorable) :En plus des changements sur la ventilation par ouverture de fenêtre, il semble qu'il y ait un problème sur le calcul des débits d'infiltration qui donne des déperditions quasi 10 fois plus importantes que la version précédente.Le calcul des consommations des auxiliaires de bouclage pour un appartement en immeuble collectif semble incohérent (les pompes consomment quasi autant que le total ECS !).En faisant un comparatif entre la V2 et la V3 avec les mêmes déperditions (enveloppe identique), on obtient beaucoup plus de consommation.Un autre point a été soulevé, qui ne joue pas sur la note :Estimation du confort d'été : si la fenêtre des toilettes ne comporte pas de volet, l'estimation est dégradée quels que soient les autres paramètres.Si les pouvoirs publics ne souhaitent pas revenir sur certains choix, il est impératif qu'ils expliquent clairement aux professionnels de l'immobilier les paramètres retenus et les raisons de leurs choix.D'autres difficultés ont aussi été soulevées pendant cet échange et continuent d'être discutées lors des groupes de travail hebdomadaires auxquels la FIDI participe depuis près de deux années, et de façon intensive depuis début mai 2021.Les constats des diagnostiqueurs rejoignent ceux des professionnels de l'Unis qui soulignent ainsi :L'incompréhension des clients qui voient leur bien déclassé sans avoir saisi en quoi leur bien immobilier nuit aux objectifs d'économie d'énergie et de réduction des GES ;Les difficultés d'accès aux locaux techniques de l'immeuble dans le temps imparti ;La difficulté de disposer des références techniques des isolants utilisés il y a plus de 10 ans ;La classement comme chaudière « fuel » des chaudières « gaz » dont les caractéristiques (type, puissance etc.) n'ont pas été indiquées, entrainant automatiquement un déclassement pénalisant.Des écarts entre les ratios de surfaces habitables des appartements et les tantièmes de copropriété ;L'allongement des délais de commercialisation (mise en location) en attente des DPE.Pour Danielle Dubrac, la présidente de l'Unis : « L'Unis avait conseillé aux copropriétés et aux bailleurs d' établir un nouveau DPE ; pour chacun, l'atterrissage est donc très rude. Dans ce contexte, la question de l'opposabilité pèse trop lourdement. Les pouvoirs publics sont allés trop vite. L'impact sur le parc est significatif. Comment envisager sereinement le calendrier de la loi Climat (interdiction de louer des DPE-G dès 2023) ? Nous espérons un remède rapide, étant résolument engagés dans la rénovation énergétique et dans l'accompagnement de nos clients ».Pour Lionel Janot, président de la FIDI et Stéphane Prouzeau, vice-président, les échanges avec la DHUP ont été très productifs et efficaces. A ce jour, ils ne doutent pas que des ajustements seront pris en compte rapidement pour améliorer la fiabilité des DPE V3 et les rendre réellement efficients.En attendant la rencontre avec la Ministre Chargée du Logement, Mme Emmanuelle WARGON, le 4 octobre prochain, où seront bien certainement évoqués les différentes problématiques concernant le DPE, mais aussi l'Audit énergétique, dans le cadre de la fluidité du marché de l'immobilier, les diagnostiqueurs poursuivent bien entendu la réalisation des DPE.Stéphane Prouzeau précise : « Pour l'instant, il faut laisser le temps aux responsables de la DHUP de bien prendre en compte les réalités du terrain énoncées par nos soins. Nous restons très attentifs et ouverts, mais nous ne manquerons pas de nous manifester avec plus d'insistance, si le DPE n'évolue pas rapidement. »Pour Danielle Dubrac, Présidente de l'UNIS : « L'UNIS a travaillé avec les diagnostiqueurs de la FIDI pour mieux maîtriser ce nouvel outil, afin que les professionnels remplissent parfaitement leur devoir de conseil auprès de leurs clients. Travailler en filière est un atout pour tous dans l'objectif de la rénovation. »Et Lionel Janot, Président de la FIDI, de conclure : « L'UNIS et la FIDI travaillent ensemble pour accompagner, informer et expliquer à l'ensemble des acteurs de l'immobilier le nouveau DPE et son impact sur le quotidien de demain. Les métiers de la FIDI et de l'UNIS sont indispensables dans le cycle de vie d'un bien immobilier, c'est pourquoi il est essentiel que nos professions poursuivent ces échanges et cette collaboration pour construire des relations etroites afin d'apporter un maximum de service et d'information. »
Il y a 3 ans et 263 jours

One WTC, gratte-ciel symbole de la résilience new-yorkaise

Dès les origines, la tour, surnommée Freedom Tower, se devait de témoigner de la résilience new-yorkaise, tournée vers l'avenir malgré le désastre, évoque Kenneth Lewis, un des architectes du projet réalisé par le cabinet SOM, bâtisseur de gratte-ciel dans le monde entier.Aussi tragiques que furent les images des tours en flammes, personne ne remit en question l'idée d'ériger un autre gratte-ciel à leur place.Pour les architectes, c'était l'occasion de concrétiser des concepts auxquels ils songeaient depuis des années: "C'était le début du millénaire, il fallait incarner une nouvelle génération de bâtiments, en termes de sécurité comme d'impact sur l'environnement", estime Ken Lewis. "Blinder le cœur"Les images de gens sautant dans le vide pour échapper au brasier sont parmi les plus cauchemardesques du 11-Septembre: après les attentats, de nouvelles idées furent lancées pour évacuer les gens autrement que par les escaliers, comme une espèce de toboggan géant ou encore un câble auquel on s'accrocherait avant de sauter dans le vide, raconte-t-il.Une parachutiste fit une démonstration de cette dernière solution. Ken Lewis en sourit encore: "ça faisait vraiment peur, c'était inimaginable que quelqu'un un peu en surpoids, ou un peu timoré, saute par la fenêtre".Au final, la seule solution était de "blinder le cœur du bâtiment, avec un béton renforcé, suffisamment large pour que les gens puissent sortir de là". Une série d'adaptations des normes de sécurité furent étrennées au "One WTC", avant de devenir standard: de l'élargissement des cages d'escaliers pour permettre une évacuation rapide de cette tour de 104 étages, à l'installation d'une signalisation lumineuse au sol comme dans les avions, en passant par le déploiement de caméras et outils de communication résistants au feu à chaque étage, permettant aux sauveteurs de suivre la situation à tout moment. Avec pour objectif d'"évacuer tout le bâtiment en une heure maximum".Les pompiers furent invités aux réunions de travail. "Ils avaient connu un tel traumatisme, ils devaient faire partie de la solution", estime l'architecte.Ce sont notamment eux qui ont demandé un système capable de pallier une défaillance des générateurs de secours, comme le 11 septembre 2001. Afin de maintenir l'électricité assez longtemps pour évacuer le bâtiment".L'incendie n'était pas la seule inquiétude: il y eut, à l'automne 2001, plusieurs lettres anonymes mêlées d'anthrax envoyées à certains médias, et cinq décès liés à ce poison mortel. "On a commencé à penser au système de filtrage et à la qualité de l'air, pas seulement en cas d'incendie mais aussi de telles attaques. Il fallait identifier toutes les menaces avec lesquelles un bâtiment doit travailler" sans transformer la tour "en une forteresse où plus personne ne voudrait venir travailler"."Bien-être"Près de 20 ans plus tard, la pandémie est passée par là. Télétravail oblige, One WTC et la plupart des prestigieuses tours de Manhattan sont restées vides des mois durant."On pensait que les gens reviendraient au bureau beaucoup plus vite", reconnait Ken Lewis. "Tout de suite, on a regardé la filtration de l'air, comment il circule (...) la plupart des bâtiments récents ont des filtres très efficaces, à particules, qui opèrent aussi sur les virus".Mais si les tours de bureaux n'ont pas encore retrouvé leur taux d'occupation pré-pandémie, la prééminence des gratte-ciel dans le ciel new-yorkais ne semble pas remise en cause.Une tour de quelque 600 appartements est en construction à Brooklyn, appelée à devenir d'ici 2022 le premier "super gratte-ciel" hors de Manhattan. Et une vingtaine d'autres tours sont en gestation à travers New York.A la priorité environnementale, déjà très présente, s'est ajoutée celle du bien-être, assure Ken Lewis."Nous sommes en 2021, on parle de santé et de bien-être, de créer des espaces extérieurs où les gens puissent travailler, de terrasses comme lieux de travail, de réunion... Nous sommes vraiment à un tournant".En attendant, le One WTC s'est fait une place parmi les images icôniques de New York. Alors que le Memorial symbolise "le vide" créé par les attentats, selon Lewis, la tour "représente le positif", "un lieu d'innovation et de réflexion, porteur de concepts modernes de sécurité."
Il y a 3 ans et 268 jours

Des capteurs connectés pour surveiller la qualité de l'air dans les établissements scolaires

La société Rubix S&I se positionne sur le volet de la prévention pour répondre à cet enjeu majeur de santé publique : mesurer en temps réel la qualité. de l'air pour réagir rapidement lorsque le niveau de confinement ou les paramètres environnementaux favorisent la dispersion du virus et notamment quand l'index viral (fourni par RUBIX) devient trop élevé.Pour cela, la technologie Rubix S&I analyse différents paramètres de l'atmosphère ambiante : gaz, en particulier le CO², mais aussi particules, température et humidité. Mais cette technologie permet en plus de surveiller les niveaux de lumière, de bruit et d'odeur dans les locaux. Objectif : donner aux Directeurs d'école un outil d'aide à la décision complet, qui leur permet de suivre et de tracer ces différents paramètres et de réagir en conséquence, par exemple par le renouvellement de l'air ou par des outils de filtration dans le cas d'un index viral élevé.Des exemples concrets : prévenir pour agir plus vitePour cette rentrée 2021, plusieurs établissements scolaires ont déjà été équipés de cette technologie. L'école Marcel-Caby à Vieux Condé (Valenciennes - Haut de France) et l'école Saint Jacques à Paris ont installé depuis janvier 2021 le boitier Pod 2 de Rubix S&I. Cette solution complète et connectée, depuis le capteur intelligent jusqu'à un tableau de bord centralisé, apporte en temps réel des informations clés sur la qualité de l'air intérieur." Avec ce boîtier, on est capable de savoir par exemple à quel moment il y a un pic de CO², alors qu'aujourd'hui on ouvre un petit peu au hasard en fonctionne des heures. Maintenant on sait quand on doit ouvrir et quand on doit fermer. Cela permet de garder un air constant "Positionné dans une salle de classe, ce boîtier surveille 24h/24h la qualité de l'air. Il alerte et restitue les informations clés en temps réel via tableau de bord " reporting ".Les données ainsi récupérées permettent une connaissance en continu de la qualité de l'environnement, et donc de la potentielle charge virale.Un enjeu économique et une démarche RSELa surveillance de la qualité de l'air intérieur dans les espaces accueillant de public et dans les entreprises devient un enjeu économique majeur et participe à une véritable démarche RSE. Rubix S&I propose une gamme de solutions connectées permettant d'avoir une vision complète de la salubrité globale d'un lieu. celle-ci permet de :Éviter les situations à risque avant même qu'elles ne se produisent (dispersions virales, bactéries, etc.),Réduire les risques de présences de toxiques impactant la santé,Suivi des processus de nettoyage ou désinfection,Déclencher des outils de remédiation (filtration de l'air, contrôle des systèmes d'air conditionné)Améliorer la productivité,Économiser l'énergie,Réduire les coûts d'exploitation." Les capteurs de CO² et plus largement les systèmes connectés de surveillance intérieure en temps réel permettent de cartographier leur environnement et ainsi agir plus vite. On peut par exemple circonscrire les espace ou une salle non désinfectée ou prévenir les services de nettoyage au plus vite. Autre point important, la traçabilité. Ce suivi est permet de documenter l'historique des évènements et l'efficacité des outils de remédiation ". Jean-Christophe Mifsud - Président et Fondateur de la Société Rubix S&I
Il y a 3 ans et 272 jours

Des sols perméables chez O2D Environnement pour contrer le phénomène des îlots de chaleur urbains

Depuis 2004, O2D ENVIRONNEMENT® accompagne les projets de parkings, de voies d’accès et d’aires de vie perméables. Le concept et la formulation des solutions O2D® comportent des avantages environnementaux intrinsèques : infiltration naturelle des eaux pluviales sans ruissellement, système de sol « ouvert » rétablissant les échanges air-eau-sol, apport de matière organique et d’un couvert végétal pour certains de ses produits.L’étude menée par O2D ENVIRONNEMENT®:Avec la volonté d’optimiser ses solutions, O2D ENVIRONNEMENT® a lancé en 2017 le projet de recherche et développement ACTIV-S¹ et a mis en œuvre une plateforme expérimentale de parking perméable. Celle-ci a permis d’évaluer plusieurs axes de recherche, contribuant ainsi à l’alimentation des connaissances scientifiques sur les sols urbains. Ce projet a été mené en collaboration avec deux laboratoires. Le Laboratoire de Génie Civil et géo-Environnement (LGCgE), Junia Hauts-de-France et le Laboratoire d’Analyse Microbiologique des Sols (LAMS).Le comportement thermique des systèmes de sols perméables O2D® a fait l’objet de différentes analyses, en comparaison avec un revêtement en enrobé classique ainsi qu’à un espace de pleine terre enherbé. Et ses analyses prouvent la performance climatique des solutions perméables au regard de la lutte contre la formation d’îlot de chaleur urbain. Ces nouveaux sols urbains représentent une opportunité d’adaptation de la ville au changement climatique et à l’érosion de la vie dans les sols, en réduisant l’impact de l’aménagement de nombreuses surfaces traditionnellement minéralisées.¹ Projet subventionné par l’ADEME dans le cadre de l’initiative IPME 2016 Eau & Milieux Aquatiques et labellisé par le pôlede compétitivité HYDREOS.Des résultats éloquents :L’étude du comportement thermique sur les différents sols urbains a rapidement amené à différencier les périodes diurne et nocturne. Les cycles journaliers de stockage-déstockage de l’énergie solaire par les systèmes de sol ont bien été identifiés et se sont révélés particulièrement différenciants. Parmi les systèmes de sols étudiés, l’étude permet de distinguer trois types de performances climatiques au regard de la lutte contre la formation d’îlots de chaleur urbains :Comportement thermique défavorable : le sol enrobéComportement thermique favorable : Système O2D GREEN® et Système O2D MULCH®Comportement thermique modéré : Système O2D PAVE®Cette étude confirme le rôle de réservoir de chaleur que joue la fondation (transfert de chaleur vers les couches sous-jacentes et cycle de stockage-déstockage décalés dans le temps par rapport à celui de la surface). Un matériau de fondation “fermé” stocke davantage la chaleur qu’un matériau concassé permettant une certaine porosité. L’étude du comportement thermique après un épisode pluvieux a mis en évidence l'importance de la capacité de rétention en eau des systèmes. Les systèmes organiques sont impactés durablement par la captation d’eau et jouent un rôle de régulateur thermique grâce au phénomène d’évaporation. La surface des sols joue un rôle de capteur d’énergie solaire et d’accumulation de chaleur en journée. L’étude a révélé que la perméabilisation des sols contribue au refroidissement de ceux-ci, en permettant la circulation de l’air entre les différentes couches du sol.Des solutions innovantes et durables :En réponse aux besoins mécaniques et pratiques, des matériaux imperméables comme l’enrobé, le béton et l’asphalte étaient traditionnellement mis en œuvre sur les parkings, voiries et parvis. Après deux décennies de retours d’expériences et d'optimisation, les solutions alternatives comme les revêtements de sols perméables et végétalisés ont prouvé leurs performances techniques et leur efficacité en termes d’usages et de bénéfices environnementaux.L’étude du comportement thermique des technosols perméables permet d’attester de leurs performances climatiques dans un contexte de lutte contre la formation d’îlots de chaleur urbains. La perméabilité et la présence de matière organique, voire de végétation, semblent être la combinaison idéale pour lutter contre l’échauffement de l’air ambiant en zone urbaine. Cela confirme certaines recommandations pour l’adaptation de la ville au changement climatique, allant dans le sens du retour de l’eau et du végétal dans les espaces publics.Les solutions de sols urbains innovants d’O2D ENVIRONNEMENT® remplissent des objectifs environnementaux multiples au sein des villes : gestion des eaux pluviales par infiltration, adaptation au changement climatique, retour de la biodiversité dans les sols, végétalisation de surface.
Il y a 3 ans et 274 jours

Pourquoi les travaux de rénovation de maison sont-ils avantageux?

Même lorsque notre habitation se trouve dans un mauvais état, nous rechignons souvent à entreprendre sa rénovation. Pourtant, leur réalisation nous serait bénéfique et nous éviterons même les gros travaux trop lourds et trop couteux. En la rénovant, nous ne procurons pas uniquement un second souffle à notre logement. Nous rehaussons également sa valeur. Dans cet article, nous allons justement voir les avantages qu’offrent les travaux de rénovation de maison. Rénover pour procurer une seconde jeunesse à sa demeure La présence de fissures sur les murs et le mauvais état de leur revêtement sont sans doute des signes témoignant du manque d’entretien de l’habitation. L’aspect esthétique de celle-ci est donc bafoué. Certes, le vieillissement de la structure est un phénomène tout à fait naturel. Pour qu’elle soit au goût du jour, quelques travaux de rénovation seraient les bienvenus. En effet, il est à noter que la rénovation de maison peut avoir une finalité purement esthétique. En appliquant une nouvelle peinture sur vos murs ou en posant un nouveau revêtement du sol, ces simples gestes redonneront à votre bien une seconde jeunesse. Pour obtenir le rendu que vous désirez, il est quand même conseillé de faire appel à une entreprise de rénovation de maison pour vos travaux. Amoindrir les dépenses énergétiques grâce à la rénovation de maison Restaurer une maison donne lieu à des dépenses de diverse nature. Dans tous les cas, l’investissement ne sera que rentable. En effet, le mauvais état des murs est à la source de déperditions importantes d’énergie à l’intérieur de la demeure. On peut toutefois les éradiquer en entreprenant des travaux de rénovation. Depuis la RT 2012, les travaux d’isolation thermique sont obligatoires lorsqu’on rénove une maison. Mais à côté de l’installation de nouveaux isolants, il faudra également réparer les appareils de chauffage défectueux et renouveler le dispositif de ventilation, si besoin est. Grâce à ces opérations, vos dépenses en électricité seront amoindries. Elles amélioreront également le confort à l’intérieur de la maison, faisant ainsi bénéficier aux habitants une atmosphère agréable. Bon à savoir : En réalisant ces travaux, vous pouvez prétendre à une aide financière provenant de l’État. Vous devez néanmoins remplir quelques critères d’éligibilité. Pour en bénéficier, vous devez par exemple confier vos travaux à une entreprise RGE (Reconnu Garant de l’Environnement). Rénover pour mieux valoriser son patrimoine immobilier Si vous comptez mettre en vente ou en location votre bien immobilier, vous pouvez optimiser sa valeur en réalisant des travaux de rénovation. Vous pouvez apporter quelques améliorations ou effectuer d’importants travaux. Dans les deux cas, vos dépenses ne seront pas vaines. En principe, la rénovation énergétique est nécessaire en cas de revente. En effet, les performances thermiques d’une habitation constituent l’un des principaux facteurs pour déterminer son prix. En outre, les acheteurs potentiels privilégieront les biens qui auront un niveau de confort optimal. De surcroit, ils opteront de préférence pour une maison qui ne nécessite pas de travaux. Grâce à sa rénovation, vous ne rendez pas uniquement votre habitation plus confortable. C’est aussi un moyen de vous démarquer de la concurrence et de tirer un maximum de profit. Préserver son patrimoine immobilier grâce aux travaux de rénovation En plus de procurer plus de valeur à la demeure, les travaux préservent son intégrité à condition bien sûr de l’entretenir périodiquement. Ils consolident et renforcent la structure existante. Ils évitent aussi l’apparition de sérieux désordres (ex. : infiltrations massives d’eau par les murs ou la toiture). Pour que la rénovation de votre logement se fasse dans les normes de la construction, nous vous conseillons de faire appel à une entreprise de rénovation pour leur mise en œuvre.
Il y a 3 ans et 281 jours

Quels sont les principes essentiels du ramonage?

Au plus fort des longues saisons hivernales, avoir un poêle de chauffage n’est pas un luxe, c’est un besoin vital. En effet, ce dispositif de chauffage vous permet de bénéficier d’un confort thermique ambiant dans votre habitat. Cependant, avant de pouvoir en profiter pleinement, il faut entretenir périodiquement ces appareils en effectuant des travaux de ramonage de cheminée. Il s’agit d’une opération qui consiste à enlever les suies et les dépôts dans votre conduit. Pour mener à bien ces interventions de nettoyage, penser à faire appel à un ramoneur. Dans cette optique, quels sont les essentiels que vous devez connaître afin d’assurer la réussite de votre projet ? Les basiques à retenir A l’origine, les suies laissent sur vos parois des dépôts formés par la condensation de gouttelettes de goudron qui donnent naissance à une matière appelée créosote. Selon le code de prévention des incendies, l’accumulation de plus de 3 mm de créosote dans votre conduit représente une menace potentielle d’accident. D’où la nécessité d’effectuer les travaux ramonage de cheminée chaque année. C’est la raison pour laquelle il est important de faire appel à un ramoneur expérimenté pour entretenir votre dispositif. Cette opération permet ainsi d’assurer son bon fonctionnement en continuant à évacuer les gaz nocifs et la fumée. Autrement, il est également essentiel de noter que le choix des combustibles utilisés pour votre chauffage joue un rôle non négligeable. En effet, les bois durs et de forte densité comme l’eucalyptus, l’érable et le chêne possèdent un rendement calorifique assez important. De ce fait, le volume de production de créosote dépendra en conséquence du type d’essence sélectionné. Les préalables à suivre Avant de lancer vos travaux ramonage de cheminée, vous devez vous assurer que les éléments du mécanisme d’évacuation seront inspectés méticuleusement. Dans cette optique, il est crucial de faire appel à un ramoneur professionnel disposant d’une licence en systèmes de chauffage à combustible solide. Au cours de son passage, cet artisan procèdera au repérage des anomalies et d’éventuels dysfonctionnements, avant de dresser un état de lieux. Pour ce faire, il contrôlera les éléments suivants : la partie supérieure en vérifiant le chapeau ou couronnement de votre foyer, les composants qui assurent l’étanchéité et la liaison avec la couverture, le calfeutrage des solins, l’intérieur du conduit, les supports et les raccords des différentes pièces de l’installation.   Ce spécialiste ne manquera pas également d’examiner les points suivants : l’état du conduit et du manchon assemblant l’appareil à la cheminée, les espaces libres par rapport aux matériaux combustibles, le circuit de l’entrée et de la sortie d’air, l’existence d’infiltration d’eau, de corrosivité, de fissuration, des perforations, de nids d’oiseaux et d’autres objets inattendus. Ainsi, la prévision d’une inspection de façon périodique vous donnera l’assurance de disposer d’un appareil de chauffage opérationnel et sécuritaire. En fonction de son diagnostic, si les travaux ramonage de cheminée s’imposent, vous pouvez également confier à ce spécialiste le nettoyage de votre système d’évacuation. Dans la pratique, ces interventions durent en moyenne une vingtaine de minutes. Toutefois, elles peuvent varier selon la taille de votre installation. Dans tous les cas, afin de bénéficier d’une prestation de qualité pour garantir votre sécurité, ayez le réflexe de faire appel à un ramoneur confirmé.  
Il y a 3 ans et 306 jours

Minée par les taudis et bidonvilles verticaux, Marseille lance un SOS

C'est dans un escalier de la cité des Flamants, dans le 14e arrondissement, que le feu --vraisemblablement d'origine criminelle-- s'est propagé, le 17 juillet. Trois Nigérians se sont défenestrés, un jeune enfant et sa mère ont été gravement brûlés.Vouée à la démolition dans le cadre d'un projet de rénovation urbaine, cet ensemble du bailleur 13 Habitat compilait tout ce que Marseille a de pauvreté et de trafics.Au milieu des 12 dernières familles locataires, quelque 200 migrants, la plupart Nigérians, avaient pris place dans des "squats parfois loués 200/300 euros par mois par des marchands de sommeil qui repèrent les logements vides et changent les serrures", explique Jean-Régis Rooijackers, responsable Mission bidonvilles Marseille pour Médecins du Monde.Prostitution, point de deal: "Il y avait des chariots partout et il fallait être identifié par les dealers pour pénétrer dans les bâtiments", poursuit une travailleuse humanitaire.Après le sinistre, quelque 120 personnes ont été relogées d'urgence."Ce phénomène des squats est très étendu à Marseille, et aux Flamants par exemple, c'était en grande partie le fait de familles délogées de la cité Corot il y a environ un an", explique Christophe Humbert, directeur de la communication du bailleur social 13 Habitat.700 euros pour un taudis"Nous vivons exactement la même situation au Petit Séminaire", un ensemble de 240 logements délabrés datant de 1959 en attente de démolition, relate Christian Gil, directeur général de Marseille Habitat Provence.En novembre, 200 personnes, pour la plupart originaires d'Afrique de l'Ouest, y avaient été évacuées après des incendies dans des bâtiment visés par des arrêtés de péril. Mais sept familles refusent toujours les offres de relogement du bailleur: "Pour une famille, nous en sommes à neuf propositions", souligne M. Gil.Les difficultés de relogement retardent la démolition des bâtiments, et les appartements vides sont squattés, souvent par le biais de marchands de sommeil.Branchements illégaux, infiltrations d'eau, escaliers brisés, murs porteurs percés: "Ce qui est inquiétant ici, c'est qu'on est dans un cercle vicieux, de l'habitat dégradé qu'on ne traite pas, donc des ultra-pauvres s'y installent et ça crée une situation d'urgence humanitaire similaire à certaines villes africaines comme Lagos", alerte Florent Houdmon, directeur de la Fondation Abbé Pierre pour Provence-Alpes-Côte d'Azur.Le phénomène a pris de l'ampleur avec un niveau "de détresse sociale et humaine" record sur fond de Covid-19 dans la grande ville la plus pauvre du pays, s'inquiète Jean-Pierre Cochet, adjoint du maire de Marseille à la sécurité civile.Et il touche aussi des copropriétés privées, comme aux Rosiers, où la vue sur la Méditerranée n'adoucit pas "la jungle" dans laquelle disent vivre ses occupants. "Jamais je n'aurais imaginé ça en France. On vit dans la peur" des trafiquants qui font la loi, témoigne sous couvert d'anonymat une mère de quatre enfants arrivée il y a deux ans. "Mon premier appartement, c'était catastrophique. Le tableau électrique n'était pas en règle, les prises ne marchaient pas. On a accepté parce qu'on ne nous demandait pas de garant ni de fiche de paie". Loyer: 700 euros par mois!"J'ai connu une famille que des marchands de sommeil ont mis dehors en pleine nuit d'un appartement parce qu'une autre famille était prête à payer plus", raconte une intervenante sociale."On est sur des atteintes au droit, le droit à la sécurité, à vivre dignement", estiment des acteurs sociaux."Urgence vitale"Aux Rosiers, un rapport technique a fait état "de désordres relatifs à l'électricité, l'éclairage, les réseaux gaz, plomberie et ascenseurs" sur trois bâtiments, indique la mairie qui a demandé en urgence des travaux à la copropriété endettée où quelques petits propriétaires pauvres ont peu de poids face à d'autres détenant des dizaines d'appartements.Ce climat suscite des tensions communautaires qui inquiètent les autorités. Aux Flamants, la police a dû intervenir, des Nigérians accusant les trafiquants de drogue d'être à l'origine de l'incendie qui a fait trois morts.Alors, près de trois ans après la mort de huit personnes dans l'effondrement de deux immeubles vétustes du centre-ville, rue d'Aubagne, le maire de Marseille Benoît Payan lance un "cri d'alarme".Le 23 juillet, il a écrit au Premier ministre Jean Castex, égrenant les chiffres: 41.000 demandes de logements sociaux en attente, 40.000 taudis, 15.000 personnes à un moment ou un autre sans abri, 1.500 personnes dans des squats ou des bidonvilles."L'urgence de l'enjeu nécessite une réponse rapide et coordonnée", plaide l'élu du Printemps marseillais (union de gauche), réclamant des "Etats généraux visant la résorption des squats, bidonvilles et habitats indignes dans les meilleurs délais".Alexandra Louis, députée ex-LREM, veut, elle, des réunions a minima mensuelles entre l'Etat, la ville, la métropole et les bailleurs parlant d'"urgence vitale". La Fondation Abbé-Pierre demande un "électrochoc", Jean-Pierre Cochet un "plan Marshall".Même si les procédures sont longues et complexes pour évacuer, reloger ou agir dans des copropriétés privées dégradées, "il faut accélérer", convient le préfet. Mais la clé dans la métropole marseillaise dirigée par la LR Martine Vassal, comme dans toute la région, reste "la construction de logements, notamment de logements sociaux", toujours très insuffisante, insiste Christophe Mirmand.En attendant, les peines commencent à tomber: quelques jours avant l'incendie des Flamants, deux marchands de sommeil qui louaient des appartements insalubres ont été condamnés à des amendes et à de la prison ferme.
Il y a 3 ans et 313 jours

Humidistop prend le virage du 100% digital et poursuit sa croissance malgré la crise

L’exemple du spécialiste français des produits contre l’humidité, Humidistop France, est particulièrement flagrant.Face à la crise sanitaire, la société toulousaine a immédiatement décidé de réagir en transformant toute son organisation sanitaire.William COIGNARD, le fondateur, souligne : Nous avons délibérément choisi d’abandonner les visites au domicile des particuliers, qui étaient pourtant jusque-là notre principal vecteur de vente. A la place, nous avons opté pour un modèle 100% digital reposant sur un diagnostic par téléphone et des commandes en ligne.Cette stratégie s’est avérée gagnante : aujourd’hui Humidistop est en pleine croissance malgré la crise et continue son expansion à l’international. Le digital, un véritable accélérateur de croissance à l’ère de la Covid-19Alors qu’une troisième vague épidémique contraint le Gouvernement à reconfiner davantage de départements et à adopter de nouvelles contraintes sanitaires, Humidistop a développé une stratégie qui permet d’intégrer les règles de distanciations sociales.Son approche en ligne est également en phase avec le “monde d’après”, dans la mesure où les Français utilisent désormais massivement Internet et les téléphones mobiles.Cette société française dynamique s’est donc dotée d’un nouveau site internet qui lui a permis d’étendre son offre à l’ensemble de la France et aux pays voisins.Humidistop propose ainsi :Un diagnostic à distance gratuit, pour identifier le problème et trouver la solution adaptée : Tâches & moisissures, Inondation & dégâts des eaux, Buée & condensation excessive, Salpêtre et mur humide, Façade, sous-sol ou cave humide.Des prix “direct usine” ultra-compétitifs afin de démocratiser l’accès aux produits contre les remontées capillaires et l’humidité dans les murs dans tous les types de bâtiments (églises, bureaux, appartements et maisons) pour résoudre définitivement les problèmes d’humidité.Une boutique en ligne intuitive et performante pour commander des appareils anti-humidité d’une redoutable efficacité.La fabrication française des inverseurs de polarité contre l’humidité dans les murs.Pour les pros : des solutions alternatives pour tous les travaux de rénovation via Help HumiditéDepuis février dernier, Humidistop a confié la distribution de ses produits aux professionnels à la société Help Humidité, qui dispose également d’une boutique en ligne.Cette démarche leur permet d’élargir leur offre en proposant des alternatives complémentaires aux travaux de rénovation. Les inverseurs de polarité STOP ONE (électromagnétique) et GEOSTOP (géomagnétique) conviennent en effet à tous les types d’habitation et à tous les budgets.William COIGNARD précise : Nos produits sont appréciés par les particuliers pour leur faible coût, leur rapidité d’installation et leur efficacité. En ce sens elles représentent une forte valeur ajoutée pour tous les professionnels de l’habitat.Zoom sur les produits phares HumidistopSTOP ONE : l’inverseur de polarité électromagnétiquePour lutter contre l’humidité dans les murs, cet appareil simple et efficace se branche à une prise de terre, à poser ou à fixer dans la zone humide, sans toucher à la maçonnerie.Le ratio d’émission de STOP-ONE s’étend de 30m2 à plusieurs centaines de mètres carrés selon la version installée et fonctionne à travers les murs et cloisons.L’assèchement des murs s’effectue ensuite par évaporation naturelle de l’humidité (entre 12 et 24 mois selon les spécificités du bâtiment et le suivi des recommandations).STOP-ONE est disponible en 2 coloris. Prix : à partir de 1 100 € (selon le modèle choisi).GEOSTOP : l’inverseur de polarité géomagnétiqueLa centrale géomagnétique GEOSTOP ne nécessite aucun travaux, ni batterie, ni branchement sur secteur. Ce boitier cylindrique fonctionne uniquement avec l’énergie des champs électromagnétiques.Complètement autonome, il permet d’assécher les murs grâce à l’évaporation naturelle de l’humidité (entre 12 et 24 mois selon les spécificités du bâtiment et du suivi des recommandations).GEOSTOP est disponible en 2 coloris. Prix : à partir de 1100 € selon le modèle choisi.Humidistop : plus de 10 ans d’expertise dans le traitement de l’humiditéWilliam Coignard crée sa société Humidistop France en février 2012.Constatant que plus d’un foyer sur deux connaît des problèmes d’humidité et que les solutions existantes semblent toujours inaccessibles ou trop coûteuses, il choisit d’investir ses compétences dans ce domaine encore mal développé. Il participe activement au traitement de l’humidité dans les bâtiments : infiltrations, remontées capillaires, moisissures, salpêtre, humidité de l’air, dégât des eaux…Au fil des années, des interventions et des progrès de la science, il élargit l’éventail de ses possibilités et connaît rapidement une forte croissance. Plus que sa motivation commerciale, c’est aussi ses convictions qui le pousse à se dépasser.William Coignard précise : Entrepreneur militant, je suis en lutte contre les phénomènes d’humidité et je souhaite rendre le traitement contre l’humidité accessible à tous. Je vais au-delà d’une simple démarche commerciale de vente de produits.Entreprise certifiée QUALIBAT, Humidistop intervient auprès des particuliers, des maîtres d’ouvrages, DGS, des assureurs, des syndics, mais aussi directement auprès des médias. William Coignard intervient régulièrement dans les médias pour toutes les questions relatives aux problèmes d’humidité.
Il y a 3 ans et 315 jours

ThermaCote®, une peinture avant gardiste pour l'isolation thermique des toitures, façades et sols

L’isolation thermique est aujourd’hui une préoccupation majeure et l’enjeu pour notre pays est devenu général pour toutes les régions et pas seulement les grandes villes. Isoler toitures, façades ou revêtements de sol, des fortes températures et limiter les déperditions de chaleur sont au cœur des réflexions pour les constructeurs, les particuliers et nos responsables politiques.Avec THERMACOTE®, Durieu apporte à l’isolation thermique une solution pointue très technique qui répond à de multiples contraintes actuelles.THERMACOTE® des atouts spécifiques :Très haute concentration en extraits secs garantissant une efficacité imparable et une protection sur le long terme de tous les supports protégés.Composé essentiellement de céramique (80 % de la peinture), le revêtement protégé bénéficie de fait des capacités isolantes de la céramique et de sa résistance aux fortes chaleurs.En résumé : les supports protégés voient leur température diminuer sensiblement ou bien leur déperdition de chaleur se réduire pendant l’hiver.Explications :THERMACOTE® un revêtement isolant qui va plus loin, 3 vecteurs d’action : Isolation thermique/ Anti-humidité /Etanchéité à l’air.L’isolation thermique : Grâce à sa formulation spécifique THERMACOTE® agit comme une couverture de survie sur les supports. Il les enveloppe d’une couche protectrice qui en période froide, limite le passage de la chaleur vers l’extérieur en « renvoyant » la chaleur à l’intérieur du bâtiment et en période chaude permet la réflexion d’une partie la chaleur en dehors du support permettant ainsi de réduire sensiblement la température ressentie en surface. Ainsi, un support protégé avec du THERMACOTE® peut passer de 60° à 38°.Anti-humidité :L’humidité est le premier ennemi de l’isolation car elle s’infiltre dans les parois et entraine la formation de condensation et de rouille. Une protection au THERMACOTE® permet de laisser respirer le support, en extrayant l’humidité tout en l’empêchant de rentrer.Étanchéité à l’air :L’infiltration ou la fuite d’air dans les supports est un gage de détérioration de l’isolation et l’application de THERMACOTE® évite ce phénomène. L’isolation est pérenne.La combinaison de l’isolation des supports vis-à-vis du chaud, du froid, de l’humidité et de l’air permet de :Éviter les chocs thermiques et donc la présence d’humidité ou de condensation.Empêcher la formation de rouille induite par l’air ou l’humidité avec les supports en métal et d’éviter ainsi au béton armé de rouiller et donc d’éclater.THERMACOTE® c'est aussi agir pour demain grâce à son action aujourd'hui en Europe et dans le mondeAux USA, THERMACOTE® est agréé par le Cool Roof Rating Council et en Europe par le European Cool Roof Rating Council, attestant de l’efficacité du produit pour la protection et l’isolation des toitures.À Los Angeles, THERMACOTE® fait partie avec l’Etat de Californie et d’autres industriels, d’un groupe d’expérimentation et de recherche visant à protéger toutes les surfaces bitumes ou béton au sol (routes, parking, ...) afin de limiter l’effet d’îlots de chaleur urbains qui empêchent les températures urbaines de diminuer.En France et au-delà de la métropole (Réunion, Martinique & Guadeloupe), THERMACOTE® est en test pour l’étude du revêtement de plusieurs bâtiments publics : toitures, chaussées afin de limiter les effets d’îlots de chaleur.
Il y a 3 ans et 316 jours

Lyon lance une expérimentation grandeur réelle d'un an pour lutter contre les îlots de chaleur urbains

Expérimentation de peinture anti-chaleurL'objectif de cette expérimentation d'une durée d'un an est de mesurer les effets de l'application de cette peinture sur la température de la voirie. Avec la hausse des températures, les îlots de chaleur urbains sont de plus en plus mal ressentis par les habitants de l'agglomération.Depuis un an, la collectivité et sa nouvelle majorité ont mis en œuvre plusieurs actions pour lutter contre un phénomène qui ne fait que s'amplifier depuis plusieurs années.a La végétalisation des espaces publics ainsi que la désimperméabilisation des sols pour favoriser l'infiltration des eaux pluviales, font partie de ces actions.Il n'est toutefois pas toujours possible de végétaliser à cause de présence de réseaux ou de parcs de stationnement souterrains. La Métropole de Lyon a donc décidé de lancer cette expérimentation grandeur réelle de mise en place, sur trottoir, d'une peinture anti-chaleur.Cette initiative revient à Sonia Turmel, agent du service voirie de la Métropole dans le 7e arrondissement de Lyon. Dans le cadre de son mémoire de fin d'études d'ingénieur travaux au Cnam portant sur les revêtements de voirie innovants, elle a proposé de tester les qualités d'une peinture « anti-chaleur » sur un revêtement de voirie existant, en termes d'isolation thermique, de glissance et de tenue aux sollicitations urbaines.Le produit qui va être expérimenté est appelé « Climat'road » par l'entreprise Agilis qui le commercialise. Il est présenté comme capable de réduire les températures de surface d'au moins 10°C en période de forte chaleur et de participer ainsi à la réduction des îlots de chaleur urbains (ICU).Cette peinture recouvrante permet de baisser les températures des sols, notamment le soir, au moment où les voiries et les bâtiments restituent toute la chaleur accumulée pendant la journée.À l'origine, ces peintures ont été mises au point dans l'aérospatiale pour revêtir des éléments constitutifs des fusées et éviter leur montée en température lors de la pénétration dans l'atmosphère. Ce type de produit est aujourd'hui utilisé dans le secteur du bâtiment pour isoler les toitures, les toits ou les terrasses.En France, cette peinture est actuellement en test à Paris (13e) sur une surface de 20m². L'agglomération lyonnaise offre une possibilité d'expérimentation cinq fois plus importante ainsi qu'une possibilité d'expérimentation supplémentaire avec un climat aux contrastes de températures et d'humidité plus marqués qu'en Île-de-France.Climat'ROAD est une peinture à l'eau sans solvant dont la particularité est d'intégrer des billes de céramique. Ces billes de céramique sont constituées de vide, créant ainsi une isolation de la surface traitée. C'est ce vide qui empêche le stockage des calories et permet donc de diminuer la chaleur.Climat'ROAD est appliqué par pulvérisation au pistolet en couches fines de 0,5 mm.L'application de produit pour « accrocher » au sol n'est pas nécessaire et la peinture peut donc être appliquée directement sur le trottoir ou l'espace choisi. Sa mise en oeuvre est possible sur les zones dans lesquelles la fréquentation est élevée, les trottoirs ou les parkings et ce, quel que soit le type de revêtement (béton, asphalte, enrobé…). Le coût de l'application de cette peinture est de moins de 20€/m².Le lieu de l’expérimentation (rue Bechevelin, Lyon 7e)Il a été choisi pour plusieurs raisons :Le trottoir qui sera recouvert est situé entre deux lieux en cours de requalification : aux abords du groupe scolaire Gibert Dru (rue Saint-Michel) et près de la Place Bullard qui sera prochainement végétalisée. Cette situation de proximité géographique permettra de mesurer l'efficacité du produit comparativement aux aménagements plus lourds et à la végétalisation.Ce trottoir est très passant et il est exposé au sud-est en centre urbain dense et centre historique. Il est situé à proximité d'une terrasse, d'une école et au pied d'une résidence étudiante. Il est donc très sollicité et subit de nombreuses salissures. La résistance de cette peinture et son nettoiement seront testés en conditions réelles pendant cette année d'expérimentation. Pour éviter l'éblouissement, il sera appliqué dans une couleur ocre, proche du béton désactivé.Parallèlement à cette expérimentation grandeur nature, une planche test sera installée en extérieur au sein du laboratoire voirie de la Métropole. D'une surface de 0,25 m², elle permettra l'installation de capteurs fixes en surface, dans l'épaisseur de la peinture et sous la peinture, c'est-à-dire entre l'asphalte et la peinture. Ces capteurs seront reliés à un central qui permettra de suivre l'évolution du produit 24h/24h.Au-delà des données recueillies sur la planche test, un suivi régulier de l'expérimentation sera mis en œuvre pour vérifier l'impact de ce revêtement sur la température de surface du trottoir et sur son rayonnement. Ce suivi durera un an – le temps de l'expérimentation – et permettra de mesurer les résultats sur les quatre saisons en particulier :l'évolution de la glissance de la surfaceles températures de surface lors des journées chaudes et caniculaires, et des journées froides lors des épisodes de gell'évolution de l'indice albédo (indice de réfléchissement des rayons du soleil) au cours du tempsle constat visuel de la résistance aux usages de l'espace urbain (nettoyage, chewing-gum, cigarettes, liquides sucrés, alcools…) et au nettoyage par balayeuses mécaniquesle ressenti des riverains à l'aide de sondages façon « micro-trottoir »Les actions de la Métropole pour réduire les îlots de chaleur urbainsLes îlots de chaleur contribuent à l'exposition des populations urbaines à des chaleurs plus élevées. Ils ont été montrés responsables d'une surmortalité en période de canicule. Les personnes les plus affectées par les ilots de chaleur sont les personnes vulnérables, notamment les personnes de plus de 75 ans, les personnes souffrant de pathologies chroniques ou aigües et les enfants de moins de 5 ans.Les épisodes caniculaires vont devenir plus fréquents et plus intenses du fait du réchauffement climatique. La Métropole entend conduire une politique ambitieuse à deux niveaux :1. La réduction à court terme du phénomène des ilots de chaleur avec :La végétalisation des espaces urbainsUne place plus importante donnée à l'eauL'utilisation de matériaux urbains qui emmagasinent moins la chaleur2. À long terme, la réduction de l'émission de gaz à effet de serre responsable du réchauffement climatique avec :La limitation de la place de la voiture dans l'espace urbain avec l'extension de de la Zone à faible émission (ZFE) aux véhicules particuliersL'isolation des bâtiments avec un accompagnement renforcé pour aider les particuliers dans leur rénovation énergétique (ECORENO'V)La mise en place d'une stratégie d'achat responsable prenant en considération les émissions de gaz à effet de serreLa végétalisation des menus dans les cantines de nos collègesLes actions en coursAu cours de cette mandature, la Métropole conduit des actions de végétalisation des centres urbains et de conservation des arbres d'alignement. L'idée est de développer les espaces végétalisés dans tous les collèges de la Métropole et dans les espaces urbains de façon plus générale.Cette végétalisation du territoire a commencé avec la création de forêts urbaines, la plantation d'arbres d'essences différentes adaptables au réchauffement climatique et des études lancées pour permettre la désimperméabilisation des sols.Déjà deux forêts urbaines ont été créées sur le territoire de la Métropole :à Saint-Priest sur deux hectares entre le parc technologique de la porte des Alpes et l'aéroport de Bron. 2 000 arbres, 600 arbustes et une prairie fleurie y ont été plantés.L'arboretum de Sathonay-Camp situé à l'extrémité de la ZAC Castellane comprend 107 arbres plantés dans un bassin d'infiltration enherbé.Dans le même temps, 46 arbres ont été plantés dans la darse de Confluence, 19 arbres d'alignement d'essences différentes quai Sarrail à Lyon (6e) et la collectivité a voté une enveloppe de 1,5 millions € pour la végétalisation de 2 collèges métropolitains.Le plan Canopée est renforcé avec des plantations qui ne se concentreront plus uniquement sur les arbres d'alignement mais intègreront les différentes strates végétales : arbres, arbustes de grande et moyenne taille et plantations herbacées à l'image de ce qui vient d'être fait quai Sarrail. Ceci permettra d'accroître l'apport de fraîcheur, de créer des refuges de biodiversité et d'améliorer la qualité paysagère des rues et des espaces publics.Afin de créer des îlots de fraicheur, la collectivité recoure aux techniques alternatives pour la gestion des eaux pluviales avec la création de noues et de bassin d'infiltration. Ces actions seront amplifiées durant le mandat avec l'ambition de désimperméabiliser 400 ha, quatre fois plus qu'au cours du mandat précédent pour favoriser l'infiltration des eaux pluviales et par conséquent le maintien de l'humidité dans les sols.Le projet « Life artisan » en est un exemple. Les travaux de création de 20 fosses d'infiltration autour d'arbres en milieu urbain dense débutent dès cet automne.De façon complémentaire, la Métropole porte une attention particulière au choix des matériaux et des revêtements dans l'espace urbain afin d'éviter le recours à des matériaux qui accumulent la chaleur au cours de la journée à l'exemple de l'expérimentation qui débute rue Bechevelin.
Il y a 3 ans et 317 jours

Comment vérifier l’étanchéité de la toiture de son logement?

Pour jouer effectivement son rôle de protection, il faut que la toiture soit bien étanche. En effet, son étanchéité constitue une garantie du confort des habitants, mais aussi de la durabilité de la bâtisse. C’est pourquoi il faut la vérifier et l’entretenir régulièrement. Mais quel est l’intérêt de ce type d’opération ? Comment se déroule le contrôle d’étanchéité du toit ? Nous y répondons. Quelle est l’importance du contrôle d’étanchéité du toit? Lorsque la toiture présente des défauts, les eaux peuvent facilement pénétrer dans la demeure en cas d’intempérie. Pourtant, les infiltrations peuvent occasionner de sérieux dégâts si elles ne sont pas traitées rapidement. Justement, elles peuvent altérer les isolants, la charpente. C’est ce qui cause d’ailleurs la formation des moisissures et l’altération de la peinture sur les murs intérieurs. Par conséquent, un contrôle systématique de cette structure doit être fait afin de détecter les éventuelles fuites. Pour cela, il est fortement conseillé de faire appel à un professionnel comme ce couvreur expérimenté dans les Alpes Maritimes sur ce site . Comment se déroule le contrôle d’étanchéité de la toiture ? On peut recourir à différentes méthodes pour vérifier si un toit est étanche. La première chose à faire, c’est de grimper sur celui-ci. Il faut toutefois respecter toutes les mesures de sécurité. Une fois en haut, on évalue l’état du revêtement. Vous évitez que ses défauts prennent de l’ampleur en les découvrant à temps. Si vous disposez d’une toiture de tuiles en terre cuite, demandez-vous d’abord si elle est bien installée. Même pour les problèmes les plus bénins, des travaux de réparation s’imposent. Pour cela, vous pouvez vous servir de mastic ou de bandes d’étanchéité. Les joints qui servent de raccords entre deux espaces du toit méritent également notre attention. C’est aussi le cas des Velux, des filtres de ventilation, des tuiles de rives, des cheminées et des gouttières. Ces dernières devront être nettoyées pour éviter leur débordement. Le contrôle d’étanchéité ne se limite pas à l’extérieure du toit. Il faut en effet inspecter l’état de l’intérieur de la maison pour détecter les fuites (charpente, isolants, planchers, etc.). Que faire en cas de fuite ? En cas de problèmes de fuites ou d’infiltration d’eau, les zones atteintes devront être traitées pour éviter leurs amplifications. Déterminez leurs sources afin d’apporter les solutions adéquates. Ici encore, il est conseillé de faire appel à un couvreur certifié pour réaliser les travaux d’étanchéité. Un professionnel est plus apte à identifier les problèmes qui affectent cette structure et à définir des solutions durables. Pour que vous ayez une idée du coût de vos travaux, n’hésitez pas à demander un devis auprès des entreprises spécialisées. Sachez que celui-ci dépendra de l’ampleur des dégâts et de la nature de l’intervention. À titre indicatif, il faut prévoir entre 2 € et 25 € par m² pour la pose d’un écran de toiture. La mise en œuvre d’un traitement hydrofuge oscille entre 5 € et 15 € par litre. Quant à l’installation d’un revêtement d’étanchéité, il faut préparer entre 14 € et 15 € par m². Dans tous les cas, il est crucial que vous choisissiez soigneusement votre prestataire. Avant de l’engager, pensez à vérifier les garanties qu’il vous offre. Assurez-vous également qu’il dispose des ressources nécessaires pour mener à terme la mission que vous lui confiez.
Il y a 3 ans et 330 jours

DMO – NOUVEAU – Récupérateur d’air chaud RUBIS : une meilleure répartition de la chaleur, des économies garanties

Source d’énergie renouvelable au prix stable, le bois constitue une solution économiquement avantageuse comparée au fioul, à l’électricité et au gaz, dont les coûts augmentent régulièrement. Les foyers fermés ou inserts permettent d’obtenir un rendement jusqu’à 5 fois supérieur à celui des cheminées d’antan à foyer ouvert. Grâce à la pose d’un récupérateur d’air chaud couplé à un réseau de distribution, ce rendement peut être optimisé. Forte de plus de 30 ans d’expertise dans les domaines du ramonage et de la distribution d’air chaud, la société DMO a conçu le nouveau système de récupération d’air chaud RUBIS 550 m3/h. Fabriqué en France, ce système améliore les performances énergétiques des foyers fermés et inserts en récupérant la chaleur produite, et permet ainsi de réaliser des économies d’énergie et financières. Équipé d’un caisson qui filtre l’air chaud avant d’être diffusé dans les pièces, il garantit une bonne qualité de l’air intérieur et une température homogène dans la maison. Peu coûteux, le groupe d’air chaud RUBIS de DMO est facile à installer et s’adapte à diverses configurations de logement individuel.   RUBIS – récupération, filtration, distribution de l’air chaud Principe de fonctionnement L’air chaud est capté dans la hotte de la cheminée à l’aide d’une gaine de puisage alu semi-rigide de classe M0 raccordée à un groupe de distribution motorisé. Après quelques minutes de fonctionnement de la cheminée, le groupe de distribution s’enclenche automatiquement,, l’air chaud est filtré dans un caisson G4 puis acheminé via un réseau de gaines isolées aux niveaux thermique et phonique jusqu’aux bouches de soufflage qui diffusent l’air chaud assaini dans les pièces de vie. Un système performant et une consommation raisonnée Installé dans les combles, le groupe air chaud RUBIS 550 m3/h DMO est très silencieux. Il démarre automatiquement quelques minutes après l’activation du foyer. La vitesse du moteur s’adapte en fonction de la température ambiante souhaitée. Un récepteur radiofréquence – raccordé au groupe RUBIS et à une alimentation électrique (230V-50Hz) – et un thermostat d’ambiance radiofréquence mobile programmable permettent de gérer la température dans la pièce où est installé le thermostat. Par ailleurs, un caisson filtrant G4 peut être raccordé au RAC RUBIS afin de filtrer l’air chaud avant d’être diffusé dans les pièces. Il garantit ainsi une bonne qualité de l’air intérieur. Le RAC RUBIS convient pour un réseau de gaines de 2 à 8 bouches d’insufflation et ses 6 vitesses lui permettent de s’adapter à l’installation requise. En fonction de la vitesse du moteur, la consommation électrique varie entre 30 et 117 W et le débit moyen de chaque bouche oscille entre 50 à 70 m3/h selon la configuration choisie.   LES AVANTAGES DU RAC RUBIS 550 m3/h Economies : L’optimisation de la diffusion de la chaleur permet de réduire la facture de chauffage. Air sain : L’air chaud filtré garantit une meilleure qualité de l’air intérieur. Température idéale : Le thermostat d’ambiance radiofréquence sans-fil offre la température désirée dans la pièce où il est installé.   Le kit air chaud 550 m3/h comprend : 1 caisson RAC 550 m3/h 1 caisson filtrant G4 1 thermostat radiofréquence Prix de vente indicatif : 549 euros HT Points de vente : Grandes Surfaces de Bricolage
Il y a 3 ans et 331 jours

Juridique : Les garanties d’un ouvrage livré

Cet article est à retrouver dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine. Un ouvrage construit et livré bénéficie de différentes garanties couvrant le bon achèvement, le fonctionnement, les vices cachées ou encore de droit commun… [©ACPresse] Il existe trois garanties spécifiques au droit de la construction et deux garanties de droit commun, qui s’appliquent aux ouvrages livrés. Il peut être délicat de les distinguer. Les voici en conséquence détaillées. Ces dernières ne couvrent pas nécessairement les mêmes désordres, et le régime de preuve en découlant varie. La garantie de parfait achèvement (1 an) La garantie de parfait achèvement est prévue par l’article 1792-6 du Code civil et concerne uniquement les désordres signalés par le maître d’ouvrage par des réserves mentionnées par écrit sur le procès-verbal de réception. Ou signalés par écrit postérieurement à la réception, dans le cas où ils seraient apparus à postériori. Pour mémoire, la réception peut être tacite, par prise de possession des lieux et paiement de l’intégralité du prix. Lire aussi : Juridique : L’obligation de sécurité-résultat de l’employeur Cette garantie court pendant un délai de 1 an à compter de la réception. Elle est soumise à une présomption de responsabilité de l’intervenant. C’est à lui que reviendra d’apporter la preuve, si des désordres apparaissent, qu’ils ne proviennent pas d’une mauvaise réalisation. La garantie de bon fonctionnement (2 ans) La garantie de bon fonctionnement est prévue par l’article 1792-3 du Code civil. Et concerne les éléments d’équipement qui peuvent être enlevés, démontés ou remplacés sans détériorer l’ouvrage ou lui enlever de la matière : par exemple, un ballon d’eau chaude, des volets, un interphone ou des cloisons mobiles. Elle court pendant un délai de 2 ans à compter de la réception des travaux. Elle aussi, est soumise à une présomption de responsabilité de l’intervenant. La garantie décennale (10 ans) La garantie décennale est prévue par les articles 1792 à 1792-2 du Code civil. Elle concerne :• Les dommages qui compromettent la solidité de l’ouvrage construit ou réalisé : par exemple, des effondrements partiels ou totaux, des fissures importantes.• Les dommages qui rendent l’ouvrage construit ou réalisé impropre à sa destination, en l’affectant dans l’un de ses éléments constitutifs ou l’un de ses éléments d’équipement. Par exemple, des : défauts d’étanchéité ou des fuites de canalisations encastrées. • Les dommages qui affectent la solidité des éléments d’équipement d’un bâtiment, lorsque ceux-ci font indissociablement corps avec les ouvrages de viabilité (eau, électricité, gaz, eaux usées), de fondation, d’ossature, de clos ou de couvert. Il s’agit donc des cas où la dépose, le démontage ou le remplacement d’un élément d’équipement ne peut s’effectuer sans détérioration ou enlèvement de matière de l’ouvrage : par exemple, une installation électrique non conforme ou une pompe à chaleur défaillante. Cette garantie court pendant 10 années à compter de la réception des travaux. Elle est aussi soumise à une présomption de responsabilité de l’intervenant. La garantie de droit commun (5 ans) La garantie de droit commun est prévue par les articles 1221 et 1231-1 du Code civil. Elle est de droit commun en ce qu’elle est applicable à toutes les situations contractuelles où les trois garanties précitées ne peuvent être appliquées. Elle n’est donc pas spécifique aux opérations de BTP. Lire aussi : Juridique : La gestion environnementale des chantiers Elle couvre les désordres non apparents à la réception (ou apparents, mais non-signalés dans un délai d’un an), qui ne portent atteinte ni à la solidité, ni à la destination de l’ouvrage. Elle ne concerne pas les éléments d’équipement pouvant être enlevés, démontés ou remplacés. Et ce, sans détériorer l’ouvrage, comme par exemple, des fissures ponctuelles et des infiltrations mineures. Il s’agit d’une responsabilité pour faute. Ce qui signifie que ce sera au commanditaire – maître de l’ouvrage, maître d’œuvre dans certains cas, entreprise ayant sous-traité – de démontrer en quoi les travaux ont été mal réalisés. Elle court pendant 5 années, à compter de la réception des travaux, comme toute action de droit commun portant sur un bien. La garantie au titre de l’obligation de conseil et d’information (5 ans) L’obligation de conseil et d’information est une création jurisprudentielle qui impose à de nombreux professionnels, y compris les maîtres d’œuvre ou les intervenants, de conseiller leur client quant à la prestation demandée. Ceci notamment sur sa faisabilité, sa solidité, ses potentiels effets sur l’existant, sur le choix des matériaux et sur les techniques de soin et d’entretien auxquelles il faudra avoir recours. Comme la garantie de droit commun, cette responsabilité relève des articles 1221 et 1231-1 du Code civil. Elle constitue néanmoins une source autonome de responsabilité, de sorte que l’échec d’une action en réparation des désordres de construction ne préjuge aucunement de celui de la demande formée du fait d’un manquement à l’obligation de conseil et d’information. C’est la personne sur qui pèse cette obligation qui doit démontrer qu’il y a bien satisfait. Et le fait que le commanditaire ou le maître de l’ouvrage soient des professionnels ne la dispense pas de son obligation. Cette garantie court pendant 5 années à compter de la réception des travaux. Pierre LacoinAvocat à la Cour Cabinet 1792 Avocats Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 3 ans et 335 jours

Vent debout contre les virus

Augmenter les débits d’air insufflé ou extrait, installer une filtration à haute efficacité, vérifier le taux de CO2 sont quelques-unes des mesures à prendre en compte. Et sans faire exploser la facture énergétique.
Il y a 3 ans et 342 jours

Ceramiche Keope : les marbres enchanteurs de la collection 9Cento

Ceramiche Keope, entreprise figurant parmi les principaux producteurs de revêtements de sol et muraux en grès cérame, présente la collection 9Cento, une ligne de marbres et de pierres inspirée de l’architecture moderniste européenne du début du XXème siècle, avec de nouvelles significations fascinantes dans un esprit contemporain. La série 9Cento revendique une palette originale de six choix chromatiques qui rappellent les luxueuses atmosphères des villas modernes des premières années du siècle dernier. L’éclectisme actuel joue avec des assortiments de matériaux, couleurs et réinterprétations du passé, et rend les marbres extrêmement actuels avec des contaminations transversales par rapport aux diverses origines et aux modes du temps. Recherche expressive et raffinement technique se rencontrent, encore une fois, dans les six dimensions de 9Cento. Elles font toutes de 120 cm de côté, à l’exception du petit format, le carré (60 x 60 cm). La grande dalle, synthèse de résistance technique et d’excellence esthétique, offre une dimension privilégiée pour profiter des trames imprévisibles des surfaces en marbre céramique. Sous une parfaite finition demi-polie, la rigueur du design accueille l’imprévisibilité des signes naturels dans les cinq variétés de marbres qui se mélangent ensuite en une autre déclinaison décorative, la palladienne. - Ombra Moca Sur fond foncé, une tempête de rayures couleur thé ou café au lait se fondent avec des touches nuancées de terre cuite. Chaque gramme de pigment déchaîne un dialogue intense avec l’espace.- Raggio Verde Brillant comme les prés d’Irlande, changeant comme les ciels nordiques : impossible de raconter les tons de vert infinis qui se présentent en surface, entre veines candides et filaments minéraux.- Alba Oro Un Calacatta italien romantique et empreint de mémoires anciennes. Les veines, fines ou plus pleines, se ramifient comme des infiltrations dorées avec des pigments poudre ou orange, dans un parcours scénographique toujours différent.- Aurora Beige Quand les minéraux s’associent entre eux dans les règles de l’art, le marbre bréchique se teinte de lumière. Du fond remonte un beige tendre aux nuances variées, typique d’une beauté classique d’esprit méditerranéen.- Riflesso Bianco Un modèle d’élégance exotique au fond lumineux et évanescent sur lequel éclatent des paillettes d’origine granitique. De petits ruisselets de couleur et de pigments foncés s’amoncèlent et s’écartent.- MetamorfosiTransformée par la combinaison parfaite entre couleur, forme et brillance, la palladienne présente un aspect majestueux de fantaisie et de rigueur. Des marbres en blocs libèrent des géométries inattendues, presque magnétiques ; des couleurs de caractère différent célèbrent l’utilisation créative de matériaux naturels dans des contextes futuristes. Avec Metamorfosi, les espaces neufs peuvent se mesurer avec un siècle d’architectures révolutionnaires et, dans le même temps, laisser voyager les projets contemporains vers des frontières décoratives encore inconnues.Ceramiche KeopeCeramiche Keope une entreprise italienne de céramique qui étudie, conçoit et produit des revêtements de sol ou muraux en grès cérame. Son histoire, débutée en 1995 à Casalgrande (Reggio Emilia), l’a amenée à être présente dans plus de 80 pays dans le monde. Aujourd’hui, avec une production annuelle de plus de 5 millions de mètres carrés, l’entreprise offre des solutions au design raffiné et aux performances techniques élevées aussi bien pour les espaces extérieurs qu’intérieurs, les espaces commerciaux, publics et résidentiels. Les produits Ceramiche Keope n’émettent aucune substance organique, n’entraînent pas d’allergies et se nettoient simplement. La la beauté de leurs produits sont le fruit d’investissements technologiques et de sa volonté de développer des produits très performants. La philosophie de Ceramiche Keope peut se résumer dans le soin apporté aux détails, la responsabilité sociale, le respect de l’environnement et des personnes. Autant de valeurs qui ont toujours caractérisé l’entreprise en vue de diffuser la singularité du « Made in Italy » dans le monde.Pour en savoir plus, visitez le site de Ceramiche Keope. Visuels : © Keope_9CENTO_PalladianaLa rédaction
Il y a 3 ans et 344 jours

Prison ferme requise à Marseille contre des "marchands de sommeil"

Quinze mois d'emprisonnement dont neuf avec sursis et une amende de 50.000 euros ont été réclamés contre Chadi Younes, 46 ans, un ostéopathe marseillais propriétaire d'une quarantaine de logements, jugé pour mise en danger, dégradation d'appartements dans le but d'en faire partir leurs occupants et pour ne pas s'être conformé à ses obligations de relogement.Le 29 octobre 2018, une semaine avant l'effondrement de deux immeubles rue d'Aubagne, en plein coeur de Marseille, qui avait provoqué la mort de huit personnes, le bâtiment dont est propriétaire M. Younes avait été évacué en urgence après la rupture d'une poutre maîtresse et la chute d'une partie de la toiture.Cinq locataires, qui se sont constitués parties civiles, ont tous décrit un état d'insalubrité de l'immeuble et des ruissellements d'eau provenant du toit."La cage d'escalier commençait à s'écrouler, le propriétaire promettait tout le temps de faire des travaux mais il prenait juste l'argent", avait témoigné un ancien occupant de l'immeuble.Chadi Younes assure qu'il avait fait réviser la toiture un an plus tôt mais il n'a pas produit la facture, ni même une attestation.La présidente du tribunal Céline Ballérini a opposé au prévenu un courrier qu'il avait envoyé quinze jours avant l'effondrement de la toiture pour donner congé immédiat à tous les locataires "à la suite de nombreux problèmes de structures et d'infiltrations d'eau"."On peut se demander si cela ne témoigne pas que vous étiez parfaitement conscient de la situation", a relevé la magistrate."Il n'est pas un propriétaire défaillant mais se comporte comme un marchand de sommeil", a insisté le procureur Guillaume Bricier.L'avocat du prévenu, Me Christophe Jervolino, a dénoncé la volonté du parquet de Marseille de "faire de M. Younes un exemple"."Il y a un enchaînement malheureux d'évènements qui conduit à la détresse de familles mais il n'y a pas toujours un responsable", a-t-il plaidé.Lors de cette audience, six mois de prison ferme et 10.000 euros d'amende ont été également requis contre une propriétaire jugée pour mise en danger.Vivant en région parisienne, Georgette Tohouo, 60 ans, avait acquis en 2007 deux appartements dans un immeuble dégradé du 3e arrondissement de Marseille, l'un des quartiers les plus pauvres d'Europe.Le 22 novembre 2018, le plancher d'un de ses appartements s'était effondré et les toilettes étaient passées à travers. Elle n'avait pas réalisé les travaux nécessaires et ne réglait que partiellement ses charges de copropriété."Dans ce dossier typique de l'indolence au service du profit, Mme Tohouo a été négligente de A à Z, se comportant typiquement en marchand de sommeil", a estimé le procureur.Cette propriétaire a déjà été condamnée par la cour d'appel de Paris à deux peines de huit mois d'emprisonnement avec sursis pour soumission de personnes vulnérables à des conditions de logement indigne.Son avocate a invité le tribunal à "ne pas en faire un symbole de la lutte contre l'habitat indigne".Depuis l'effondrement mortel des deux immeubles rue d'Aubagne, la justice a lancé plusieurs enquêtes contre ce fléau à Marseille. Quelque 100.000 personnes seraient logées dans des taudis dans cette ville de 860.000 habitants, selon la Fondation Abbé Pierre.
Il y a 3 ans et 352 jours

On peut repeindre avant de vendre

Peindre avant de proposer un bien à la vente est une pratique usuelle qui n'a pas de caractère suspect, juge la Cour de cassation.La justice était saisie d'un procès entre acquéreur et vendeur d'une maison, le premier reprochant au second de lui avoir vendu une maison humide sans l'en avertir et de l'avoir sciemment trompé en dissimulant les taches d'humidité sous une couche de peinture.Il s'agit d'un dol, disait l'acquéreur, c'est-à-dire d'une tromperie qui était destinée à le conduire à acheter sous l'effet d'une fausse conviction, en l'espèce la conviction que la toiture était irréprochable alors qu'elle présentait des infiltrations dans les murs.Mais pour la Cour en revanche, la couche de peinture apposée au moment de la mise en vente ne traduit pas une intention de dissimulation malhonnête, ni même suspecte, à moins que le contraire ne soit démontré. Elle relève seulement de l'intention de mettre en valeur le bien avant de le proposer et, sans autres indices, rien ne peut en être déduit.La Cour de cassation en fait un principe strict car elle l'a énoncé alors même que le vendeur pouvait en effet avoir des doutes sur la qualité des travaux de toiture qu'il avait lui-même réalisés.(Cass. Civ 3, 12.5.2021, M 19-25.547).
Il y a 3 ans et 352 jours

Parkings innovants (1/5) : les commerçants se convertissent à l’infiltration

Les eaux pluviales des parkings des grandes surfaces n’ont pas vocation à encombrer les réseaux d’assainissement public. Lidl et Decathlon l’ont compris, comme le montrent deux rénovations en cours à Abbeville et Vannes, avec deux approches différentes : le chantier picard s’appuie sur des produits industriels, tandis que le maître d'ouvrage breton mise sur l’arrosage des plantes et leur fonction de filtres.
Il y a 3 ans et 354 jours

Rénovation de toiture : quels avantages et à quel moment procéder aux travaux?

Certes, la rénovation de la toiture peut être un projet de grande envergure et peut représenter parfois un budget conséquent. Cependant, lorsqu’elle présente des dommages, il est indispensable de passer à l’acte afin de prévenir des dégâts importants sur l’ensemble de la maison. Pour éviter le pire, il est nécessaire d’entamer des travaux de rénovation. D’autant plus que cette opération présente bien de nombreux avantages. Découvrez notamment les intérêts à entreprendre la rénovation de la toiture et les bons moments pour l’effectuer. Les avantages de la rénovation de la toiture Lorsqu’il est évident que la toiture est en mauvais état, il est obligatoire de refaire la toiture. Souvent, cet aspect est indiqué par des dégâts et des problèmes récurrents.   La rénovation de la toiture est particulièrement intéressante pour protéger au mieux la maison. C’est une évidence, le toit assure la sécurité de la maison. Une charpente vieillie et une fuite ne doivent pas être sous-estimées. Les travaux de rénovation permettent d’éviter que ces problèmes deviennent plus graves. En plus des réparations, il est même possible d’entamer un agrandissement de l’espace de vie grâce à l’aménagement des combles. Dans tous les cas, faire appel à une entreprise de couverture comme https://www.entreprise-couverture-ardennes.fr/ s’avère être indispensable pour mener à bien le projet, peu importe son étendue. Faire des économies, c’est possible avec la rénovation de la toiture. Dans la plupart des cas, le toit est le principal responsable des déperditions énergétiques de la maison, dont 30 % de pertes de chaleur. Du coup, en cas de problèmes, il est nécessaire de se focaliser sur la rénovation de l’isolation afin de réduire la consommation d’énergie.  Cette solution permet de faire des économies sur les factures énergétiques. D’un point de vue esthétique, la rénovation de la toiture ajoute réellement un cachet particulier à l’ensemble de la maison. Il suffit notamment de bien choisir la couverture idéale. À quel moment procéder à la rénovation de la toiture ? En règle générale, une vérification de la toiture doit se faire une fois par an au minimum. Cette opération doit surtout être effectuée après les intempéries. À cette période, il faudra surtout réaliser un contrôle strict de nombreux éléments de la toiture. Le professionnel pourrait notamment détecter des signes inquiétants et des matériaux défectueux. Le spécialiste vérifiera par exemple s’il n’y aurait pas de fuites ou d’infiltrations d’eau. En même temps, il montera sur le toit pour s’assurer que les ardoises ou les tuiles sont bien en place et qu’elles ne sont pas endommagées. Des fois, il arrive que les tuiles soient ondulées et certains éléments comme les crochets des ardoises oxydés. Pour compléter le contrôle de l’état de la toiture, il surveille également la présence de mousse et de lichen afin de les éliminer. Pour votre information, l’âge de la toiture amène également à des travaux de rénovation. Dans ce cas, une toiture de plus de 40 ans doit être vérifiée tous les ans. Pour un toit d’une vingtaine d’années, un diagnostic doit être envisagé tous les deux ans. Par ailleurs, un toit de 10 ans environ doit être contrôlé tous les 10 ans.  
Il y a 3 ans et 359 jours

Tunnel de rétention et d’infiltration pour les eaux pluviales

FonctionLes tunnels de rétention et d’infiltration permettent de favoriser l’infiltration des eaux pluviales à la parcelle. L’infiltration permet la dépollution des eaux chimiques et/ou bactériologiques par filtration dans le sol et assure la recharge des nappes phréatiques. Elle régule également les rejets dans les milieux superficiels pendant les forts épisodes pluvieux.CompositionLes kits de rétention et d’infiltration des eaux pluviales sont composés de tunnels, de boîtes et d’accessoires. Une boîte de collecte, placée en amont de la zone d’infiltration, permet à la fois la distribution des eaux pluviales et leur prétraitement en assurant le piégeage de matières en suspension et des macro-déchets. Une boîte de bouclage permet de contrôler le dispositif. Les boîtes sont fournies de base avec une rehausse surmontée d’un couvercle ventilé assurant l’aération du système et sa décompression.3 ApplicationsInfiltration partielle couplée à un rejet calibré et à une sortie trop-plein vers un exutoireInfiltration totale ciblée mais avec une sortie trop-plein vers un exutoireInfiltration totale après stockage temporaire dans les tunnel Caractéristiques Fabriqué en polypropylèneRésistant aux agents chimiques des eaux d’écoulement • Recyclable9 diamètres de raccordement : 60 - 70 - 80 - 90 - 220 - 260 - 280 - 300 - 320 mmPoints forts Vendu en kit prêt à poser Grande capacité d’infiltration Faible coût d’utilisation Peu d’entretien Installation sans équipement lourd, ni outillage spécifique
Il y a 4 ans et 6 jours

Atteindre le bon état de l'eau, un projet au long cours

Les collectivités locales privilégient les travaux d'infiltration, portés par le plan de relance. Mais l'amélioration de la qualité de l'eau se révèle plus difficile qu'escompté par l'Union européenne.
Il y a 4 ans et 12 jours

Un rapport pointe les parties sensibles des balcons

La DHUP et (AQC) ont mené une enquête autour des points sensibles des balcons suite au drame d’Angers en 2016. Les infiltrations ressortent comme le premier défaut.
Il y a 4 ans et 13 jours

BTP : avez-vous besoin d’une assurance décennale ?

Vous êtes un professionnel du BTP et vous vous demandez s’il est vraiment nécessaire de souscrire une assurance décennale ? Nous vous invitons à en savoir plus sur l’assurance responsabilité civile décennale. De quoi s’agit-il ? Est-ce une obligation ou non ? Est-il indispensable de souscrire ce contrat ? L’intérêt de souscrire une assurance décennale L’assurance décennale est un contrat d’assurance professionnelle destiné essentiellement aux professionnels du bâtiment et travaux publics (BTP). Elle a pour vocation de couvrir le constructeur en cas de sinistres compromettant la solidité ou le bon usage du bien immobilier concerné. Ce contrat comprend la garantie décennale prévue par la loi, selon l’article 1972-4-1 du Code civil. Celle-ci est valide pour 10 ans à compter de la remise des clés. À travers cette garantie, les constructeurs acceptent d’honorer leur obligation de réparer les éventuels dommages sur le bien construit. Vous pouvez en effet choisir d’obtenir votre assurance décennale en ligne ou auprès d’une agence physique. La souscription en ligne est cependant l’option idéale pour gagner du temps et bénéficier de tarifs compétitifs. Assurance décennale : une obligation pour tout constructeur La souscription d’une assurance responsabilité civile décennale est une obligation pour tous les constructeurs selon la loi Spinetta du 4 janvier 1978. En tant que professionnel BTP, vous n’avez donc pas le choix que de contracter cette assurance professionnelle. Les professionnels du BTP concernés En principe, l’assurance décennale concerne divers professionnels du bâtiment, en l’occurrence : les artisans du BTP (maçons, couvreurs, charpentiers, plombiers, électriciens, etc.), les auto-entrepreneurs et les entrepreneurs de la construction, les métiers d’étude et de conseil (architectes, ingénieurs, etc.), les techniciens et les lotisseurs-aménageurs. Avant d’intervenir sur le bâtiment, ces professionnels doivent signer un contrat de louage d’ouvrage régissant leur relation avec le maître d’ouvrage. Notons que les sous-traitants sont exclus de l’obligation de souscrire une assurance responsabilité civile décennale. La présentation de l’attestation d’assurance décennale Avant de démarrer les travaux, vous êtes obligés de remettre au maître d’ouvrage votre attestation d’assurance responsabilité civile décennale. Ce document certifie que vous êtes réellement assurés. Il doit mentionner les coordonnées de votre assureur et la couverture géographique du contrat d’assurance. Il est également impératif de remettre ce justificatif au propriétaire du bien à construire. Si ce dernier prévoit de céder son bien avant l’expiration du délai de 10 ans, il doit transmettre l’attestation d’assurance décennale au nouveau propriétaire. Notons également que ce document doit accompagner chaque devis et chaque facture que vous délivrerez au cours des travaux. Pourquoi est-il indispensable de souscrire une assurance décennale ? Au-delà de son caractère obligatoire, l’assurance décennale est vraiment indispensable. Pourquoi ? Ce contrat vous protège des conséquences pécuniaires en cas de sinistres affectant la solidité de l’ouvrage ou son bon usage de destination. Les dommages couverts La garantie décennale couvre tous les dommages de construction et les vices importants. Ces derniers affectent la solidité de l’ouvrage ou rendent le bâtiment inhabitable. Ces dommages ou vices peuvent survenir sur le gros œuvre (charpente, murs, toiture, etc.). Ils peuvent également se rapporter aux équipements du bâtiment (pompe à chaleur, canalisations encastrées, chauffage central…). La garantie décennale peut également s’appliquer sur les vices ou défauts concernant l’électricité, l’isolation ou les menuiseries. Dans ce cas, le propriétaire ou maître d’ouvrage doit justifier que ces problèmes ont rendu le bien impropre à sa destination. Les dommages exclus L’assurance décennale exclut : les dommages de nature esthétique (une couleur de peinture inadaptée par exemple), les dommages dont la cause est inconnue, les vices émanant du propriétaire ou d’un tiers. Précisons que la garantie décennale ne prend pas en compte les menus ouvrages, en l’occurrence les fissurations aux plafonds ou aux murs sans infiltration. L’utilisation de la garantie décennale Si votre client constate des dommages affectant la solidité de son bien par exemple, il peut vous poursuivre en actionnant la garantie décennale. Pour ce faire, il doit vous adresser une lettre recommandée indiquant le dommage identifié. Ce courrier met également en demeure votre entreprise de prendre en charge les réparations. Vous disposez d’un délai de 5 jours pour avertir votre assureur. Une fois que la pertinence des réclamations de votre client est justifiée, votre assureur doit verser les frais de travaux de réparation. Conseils pour choisir et souscrire votre assurance décennale Retrouvez ci-dessous quelques conseils pour bien choisir le contrat d’assurance responsabilité civile décennale adapté à votre activité. Les critères de choix à prendre en compte Lors de votre choix d’une assurance décennale, renseignez-vous sur la réputation de l’assureur. Vérifiez son ancienneté, son expérience et son service client. Faites des recherches sur l’assureur sur les forums, les blogs et les réseaux sociaux. Prêtez une attention particulière sur les garanties offertes par le contrat d’assurance, afin de vous assurer que l’ensemble de vos activités soient couvertes. Informez-vous également sur les exclusions, le montant des cotisations, la zone de couverture et la date de prise d’effet du contrat. Faites appel à un courtier en assurance en ligne pour vous aider à trouver le meilleur contrat. La démarche pour souscrire une assurance décennale Vous devez fournir à l’assureur quelques renseignements pour obtenir un devis d’assurance décennale, en l’occurrence votre type d’entreprise, la dénomination de votre entreprise, l’effectif de votre entreprise, le chiffre d’affaires annuel et les activités à couvrir. Afin de justifier vos déclarations, vous devez transmettre à l’assureur quelques documents, tels qu’un extrait de Kbis, un document INSEE et vos moyens de paiement. Veillez à ce que la souscription de votre assurance responsabilité civile décennale soit effectuée avant l’ouverture officielle de votre chantier. Quel est le prix d’une assurance décennale ? Un assureur peut fixer le prix d’une assurance décennale selon de nombreux facteurs : votre métier (maçon, électricien, plombier…), votre entreprise (sa taille, son effectif, son chiffre d’affaires, son ancienneté, etc.), vos antécédents en termes de sinistres, votre expérience et votre formation, votre zone géographique d’intervention, les garanties offertes, la franchise en cas de sinistre. Le prix d’une assurance décennale peut également varier d’un assureur à un autre. C’est pourquoi il est astucieux de comparer quelques devis avant de souscrire un contrat. Souscrire une assurance décennale est non seulement obligatoire, mais également indispensable pour tous les constructeurs (artisans, entrepreneurs, architectes, etc.). Cette assurance professionnelle permet de vous protéger des conséquences pécuniaires des dégâts ou vices sur le bâtiment et ses équipements indissociables. Profitez des services d’un courtier en ligne pour vous aider à dénicher l’assurance décennale au meilleur rapport garanties/prix.
Il y a 4 ans et 15 jours

Covid-19 : des scientifiques réclament un "changement de paradigme" concernant la ventilation des bâtiments

"Au 21e siècle, nous devons établir des fondations pour nous assurer que l'air dans nos bâtiments est propre (...) comme nous l'attendons de l'eau qui sort de notre robinet", ont-ils écrit dans un texte publié par la prestigieuse revue Science.Selon eux, il existe "une grande disparité" entre les normes sanitaires mises en place par les gouvernements sur la nourriture et l'eau : tests de contrôle, lois sur les eaux usées..., et l'absence de règles sur les agents pathogènes transportés dans l'air.Raison avancée: leur origine est plus difficile à déterminer et leurs conséquences sur la santé, plus diffuses.Or, l'inhalation de fines particules en suspension contenant des virus est "potentiellement le mode de transmission dominant de nombreuses infections respiratoires", notent les experts."Durant des décennies, les architectes et ingénieurs se sont concentrés sur le confort thermique, le contrôle des odeurs (...), la dépense énergétique, et d'autres problèmes de performance, quand la prévention des infections a été négligée", écrivent les scientifiques.Seule règle pour le moment: un renouvellement suffisant de l'air pour éviter des taux de CO2 trop élevés générés par la respiration des occupants.L'OMS a par ailleurs des recommandations sur la qualité de l'air en intérieur concernant des produits chimiques, mais aucune "pour lutter contre les bactéries ou les virus dont l'origine est la respiration humaine", notent les experts.En pratique, "la filtration de l'air peut être faite en incorporant des filtres dans le système de chauffage, de ventilation, et de climatisation, ou par des purificateurs d'air portatifs", ajoutent-ils. Sa désinfection pourrait aussi être réalisée par des systèmes de lumière ultraviolette.Des "certificats de ventilation" pourraient être distribués pour encourager les bonnes pratiques, et des informations sur la qualité de l'air ambiant mises à la vue de tous pour éveiller les consciences.Les normes établies devraient être différentes selon les lieux et l'intensité des activités qui y sont pratiquées (salles de sport, cinéma...).Ces mesures auront un coût, reconnaissent les chercheurs. Mais il doit être comparé à celui entraîné par les épidémies, "qui peut être énorme"."Les estimations suggèrent que les investissements nécessaires (...) ne devraient pas faire augmenter les coûts de construction d'un bâtiment standard de plus de 1%", selon le texte.
Il y a 4 ans et 15 jours

TEC7 lance une nouvelle gamme de produits de haute technologie pour prévenir et réparer quasiment tous les problèmes liés aux infiltrations d’eau dans les bâtiments

Le spécialiste du collage et de l’étanchéité TEC7 lance une nouvelle gamme de produits de haute technologie pour prévenir et réparer quasiment tous les problèmes liés aux infiltrations d’eau dans les bâtiments : WP7 (Wateprotec7). Les dégâts provoqués par une mauvaise étanchéité sont nombreux et il existe aujourd’hui une multitude de produits, mais souvent compliqués à mettre en œuvre. C’est en partant de ce constat que TEC7 a mis au point sa nouvelle gamme professionnelle, capable de traiter une majorité des travaux d’étanchéité des murs et des toitures avec 7 produits de haute qualité. TEC7 propose des solutions simples à utiliser et d’une extrême résistance dans le temps. Grâce, notamment, à ses formulations uniques et à son précédé basé sur la technologie MS polymère Hybride, les produits TEC7 sont très efficaces, même sur les supports difficiles à traiter.   La nouvelle gamme WP7 se décline en 4 produits pour la toiture, résistants à l’eau, mais également aux UV et à la chaleur : ÉTANCHE TOITURE UNIVERSEL (WP7-101) ÉTANCHE DE SUITE (WP7-201) ROOFTAPE (WP7-202) ÉTANCHE TOITURE (WP7-301) WP7 c’est également 3 produits pour les murs et les caves, répondant aux besoins d’isolation,d’assainissement et de traitement des sels des eaux souterraines : HYDROFUGE FAÇADE (WP7-401) STOP HUMIDITÉ MONTANTE (WP7-402) ÉTANCHE MURS+CAVES (WP7-501)
Il y a 4 ans et 27 jours

Les travaux de toiture : quelles sont les différentes interventions utiles?

En principe, pour la réalisation des travaux de toiture, différentes interventions s’imposent en fonction des problèmes à traiter. Il peut s’agir effectivement d’une opération sur votre charpente, votre système d’isolation ou l’étanchéité de votre revêtement. Pour ce faire, il est primordial de solliciter un couvreur, afin d’assurer l’inspection régulière de votre structure et détecter ainsi la source de vos problèmes. Selon le cas, ils peuvent survenir des fissurations constatées sur la cinquième façade de votre maison. En effet, pour garantir une meilleure sécurisation de vos occupants, vous devez maintenir votre couverture en bon état, en planifiant systématiquement son entretien. Travaux de charpente A la base, la charpente est le squelette de votre bâtiment et correspond en réalité à la partie qui supporte le poids de votre couverture. De ce fait, son entretien demande la réalisation d’interventions en travaux de toiture, selon les règles techniques préconisées dans ce domaine. En effet, ces normes permettent de garantir : l’équilibre de votre maison, la consolidation de votre structure, l’assurance de votre sécurité. C’est la raison pour laquelle, il est important de faire appel à un charpentier professionnel pour l’entretien ou la rénovation de cette armature. Autrement, il dispose des compétences requises pour appliquer le bon traitement en vue de maintenir la longévité prolongée de votre propriété. Pour ce faire, il déploiera divers moyens, tels que : la pulvérisation de produit nettoyant, la solution impénétrable pour les plaques, les soins antifongiques, le remplacement des tuiles. Travaux d’isolation de la toiture Si vous souhaitez avoir une meilleure économie d’énergie, votre couvreur vous conseillera effectivement de renforcer l’isolation de votre couverture. Cette intervention vous donnera ainsi l’opportunité de bénéficier d’un confort thermique et phonique à l’intérieur de votre maison. En effet, d’après les estimations, les pertes de chaleur sont souvent causées par la dégradation de votre charpente ou l’absence d’isolation. Par conséquent, il est impératif de planifier des travaux de toiture dans ce sens, pour préserver ces aspects fonctionnels. Dans cette optique, pour bénéficier d’une propriété parfaitement isolée et résistante aux intempéries, il est essentiel d’assurer la bonne étanchéité de votre structure. Cette capacité protègera l’ensemble contre la pénétration de l’eau et l’infiltration de l’humidité. Le cas échéant, vos résidents risquent de rencontrer des troubles de santé au niveau de la respiration tels que les allergies. Risques durant les travaux de toiture En effet, il est important de tenir compte des risques d’accident comme la chute en hauteur qui peuvent se produire lors des travaux de toiture. En général, ils sont causés par : – un échafaudage mal fixé, fortement encombré ou placé sur un sol en pente et glissant. – le non-respect des normes lors du montage ou le démontage des estrades. – des échelles mal posées et sans entretien systématique, – des plans de travail installés de façon incorrecte et qui finissent par se démonter en pleine opération. Afin d’y remédier, il est plus judicieux de confier votre chantier entre les mains d’un excellent couvreur qui saura prévoir toutes les mesures de sécurité adaptées. De la même manière, il a la capacité requise pour prendre en charge le contrôle de votre projet et garantir son bon déroulement.
Il y a 4 ans et 36 jours

Oduc+ du Cérib passe en version 4.0

Logiciel de dimensionnement 4.0 du Cérib. [©Cérib] Le 16 avril dernier, le Cérib a lancé la version 4.0 d’Oduc+, son logiciel de dimensionnement des ouvrages de stockage des eaux pluviales en béton. Cet outil est accompagné des principales évolutions introduites par le memento technique “Conception et dimensionnement des systèmes de gestion des eaux pluviales et de collecte des eaux usées”. Un document édité par l’Association scientifique et technique pour l’eau et l’environnement (Astee).  Une version 4.0 d’Oduc+ Elaboré avec la Fédération de l’industrie du béton (Fib), le logiciel Oduc+ du Cérib accompagne tous les professionnels de l’assainissement. Dans la conception et le dimensionnement hydraulique mécanique des réseaux d’assainissement. Il permet aussi l’évaluation de leur impact environnemental et de leurs coûts de mise en œuvre. Cette nouvelle version 4.0 évalue du volume de stockage d’un bassin d’infiltration ou de rétention pour une restitution à débit contrôlé. Ceci, pour les différents niveaux de service et en utilisant les données de pluies réelles ou à défaut forfaitaires. En se servant des aides proposées par le logiciel. Cette application ergonomique et interactive pré-dimensionne des ouvrages de stockage des eaux pluviales. Et de choisir les revêtements perméables destinés à la collecte en amont des eaux pluviales. Pour en savoir plus
Il y a 4 ans et 39 jours

Infiltration tous terrains : le Valenciennois montre l’exemple

La place de la mairie de Bruay-sur-l’Escaut le démontre : « La désimperméabilisation peut aussi concerner les hypercentres urbains », affirme Jérôme Bourgoin, directeur général adjoint du syndicat intercommunal d’assainissement de Valenciennes (Nord). L’opération livrée en 2019 commence à faire des petits dans l’agglomération, grâce à une solution qui combine l’infiltration des eaux pluviales et la dépollution des hydrocarbures.
Il y a 4 ans et 46 jours

Chapelle royale et cabinet d'angle: deux joyaux restaurés à Versailles

"Vous contemplez la chapelle telle que voulue par (l'architecte Jules) Hardouin-Mansart, telle que Louis XIV a pu la contempler, à l'exception du grand lanternon, supprimé en 1765", se félicite auprès de l'AFP Frédéric Didier, architecte en chef des monuments historiques qui pilote le chantier depuis quatre ans.Un chantier de restauration de l'extérieur de la chapelle qui a nécessité plus de 16 millions d'euros d'investisements, financés notamment grâce à la Fondation suisse Philanthropia et plusieurs mécènes, dont Saint-Gobain et LVMH. "C'est éblouissant, cette toiture irradie la ville, l'ensemble Versailles est rééquilibré", s'enflamme Catherine Pégard, présidente de l'Etablissement public, relevant qu'il s'agit de "travaux de même ampleur que ceux de la Galerie des glaces en 2007".Frédéric Didier accompagne l'AFP sous la charpente datant de 1705: une "forêt" de chêne de couleur blonde, comme l'était celle de Notre-Dame détruite par l'incendie de 2019. "On a pu restaurer à l'identique en conservant les bois anciens", dit-il.La quasi totalité des sabliers, pièces horizontales de plusieurs tonnes soutenant la charpente, ont dû être remplacés. Les infiltrations avaient provoqué des affaissements de 20 cm."Des bébés de 200 kg"La présence d'amiante dans le mastic des vitraux a obligé à les déposer et à les décontaminer. Et pour la première fois depuis l'Ancien Régime, les dorures sur tous les plombs devenus ternes, ont été refaites et étincellent.Des bas-reliefs abîmés ont été restaurés en modelage. Les statues n'ont pas été remplacées mais seulement restaurées. "Ces grands anges, de beaux bébés de 200 kg, on a dû les démonter, les gruter, les restaurer en atelier, remplacer les armatures internes et les replacer", raconte l'architecte. Cette chapelle royale est "le seul édifice des XVIIe-XVIIIe siècles encore intact avec toute sa statuaire d'origine", souligne-t-il.Le chantier a mobilisé une centaine d'ouvriers de nombreux métiers d'art, permettant la formation d'apprentis. Des recoins n'étaient documentés que par des photos noir et blanc des années 50."Certains historiens considèrent que c'est ce qu'il y a de plus abouti dans le palais. Cette fin du règne de Louis XIV, c'est un moment de perfection", souligne Laurent Salomé, directeur du musée.A 40 mètres de haut, "elle émerge de la ligne horizontale des toitures et brouille la symétrie, représente un élan vertical. Elle a été voulue pour symboliser l'idée que la maison de Dieu domine la demeure des hommes", explique l'architecte.Tiroirs secretsChef-d'oeuvre de l'art rocaille, le cabinet d'angle du Roi, salle de travail de Louis XV, a retrouvé lui aussi son éclat, financé notamment par le mécénat de Rolex. Avec en son centre le génial bureau à cylindre, muni de tiroirs secrets et dont la réalisation a pris neuf ans."Ce cabinet est une de pièces emblématiques du château par cette dualité d'un lieu de pouvoir et d'un lieu très intime", où les rois gardaient leurs collections de médailles, note Catherine Pégard.La dorure ancienne des glaces et des boiseries a été complétée. Et la peinture à la colle en "blanc de Roi", couleur froide et contrastée, a été retrouvée à l'identique, explique Laurent Salomé."Au XXe siècle, on croyait qu'un blanc crème était plus juste historiquement, on le trouvait plus élégant", s'amuse-t-il, en comparant le cabinet d'angle avec les salles voisines beaucoup plus ternes."Ces réalisations, dans cette période Covid, manifestent l'engagement de Versailles pour tous les métiers d'art et l'emploi", souligne la présidente de l'Établissement public et les restaurations ne cessent jamais: l'un, celle du cabinet du Dauphin, est en cours, celle des appartements de Madame du Barry, favorite de Louis XV, vient de débuter. Son achèvement coïncidera avec une grande exposition inédite à Versailles consacrée à Louis XV, pour l'automne 2022, révèle à l'AFP Mme Pégard.
Il y a 4 ans et 50 jours

Travaux de toiture : quels sont les éléments indispensables à respecter?

A la base, il est important de noter que votre charpente joue un rôle stratégique dans la structure de votre maison. En effet, elle contribue à la protection des occupants tout en assurant votre confort intérieur. De plus, elle vous offre une grande qualité esthétique en rehaussant le design extérieur de votre immeuble. Autrement dit, il est crucial de réaliser de manière systématique vos travaux de toiture, si vous souhaitez garantir sa longévité. Toutefois, vous devez noter que ces opérations se passent en hauteur, ce qui nécessite un certain sang-froid et une grande capacité de résistance aux pressions. Par conséquent, il est recommandé de faire appel à une entreprise de couverture pour mener à bien votre chantier. Les normes à suivre Dans la pratique, les travaux de toiture sont des opérations très complexes qui demandent une grande maîtrise technique. En effet, une petite erreur de calcul peut engendrer de graves conséquences notamment pour les vieilles maisons. Leurs charpentes présentent une certaine fragilité qui risque d’entraîner facilement leur affaissement ou de favoriser les infiltrations dans le cas d’un toit-terrasse. Recourir au service d’une entreprise de couverture comme https://www.travaux-toiture-31.fr/ vous permet ainsi de bénéficier d’une prestation de qualité. Pour ce faire, ce professionnel respectera les étapes suivantes pour réaliser la rénovation de votre charpente : Evaluation de l’état de votre armature, Diagnostic de l’existant, Planification des interventions utiles en tenant compte de la forme du toit, l’ensemble des revêtements récupérable, le type d’isolation. Préparations du chantier (papiers administratifs…), Dépose de la toiture, Les formalités administratives indispensables Dans la plupart des cas, les propriétaires préfèrent garder les mêmes types de couvertures, en cas de remplacement lors des travaux de toiture. Dans cette optique, vous n’avez pas besoin remplir des formalités administratives. Autrement, faire appel à une entreprise de couverture qualifié vous offrira l’avantage de bénéficier de précieux conseils dans les trois scénarios qui suivent. Et ce, compte tenu du fait qu’ils visent particulièrement à transformer l’aspect esthétique ou la disposition de votre propriété. A savoir : la vision extérieure du revêtement ou de la charpente. En effet, quand vous décidez de changer de style de votre architecture ou d’implanter de nouveaux accessoires, il est nécessaire de faire une déclaration auprès votre localité. la surélévation ou l’ajout d’un étage nécessite une demande de permis de construire. le changement de la structure extérieure de toute votre bâtisse requiert l’obtention d’un visa de la part de votre mairie. Notamment si vous sous situez à proximité d’un monument et d’un parc régional. Il vous informera à l’occasion qu’il est impératif de prendre une autorisation pour l’utilisation d’un échafaudage durant l’intervention, particulièrement s’il vient empiéter sur la voie publique. L’importance de la performance de votre toiture De façon concrète, vous devez noter que votre revêtement assure en moyenne 30 % du maintien de la chaleur dans votre maison. De ce fait, si vos travaux de toiture sont mal faits, vous verrez votre facture d’énergie augmenter exponentiellement. Ainsi, faire appel à un professionnel en travaux de toiture vous permettra de profiter d’un bon système isolation par extérieur, si vous le souhaitez. Vous aurez aussi l’opportunité de bénéficier de plus d’espaces habitables tout en préservant votre confort thermique. Il peut également vous conseiller d’utiliser des panneaux photovoltaïques, pour vous laisser la possibilité de produire votre propre énergie renouvelable. Ce qui favorisera la diminution de votre consommation. De plus, vous aurez l’avantage d’avoir belle maison dotée d’une esthétique moderne et à la fois élégante.
Il y a 4 ans et 56 jours

En Italie, comment la mafia infiltre le BTP

ENTRETIEN. En Italie, subsistent des problèmes liés à l'infiltration, au sein de certains territoires, du secteur du BTP par la mafia. Comment s'y prend-elle pour parvenir à y mettre un pied ? Explications avec deux spécialistes du sujet, Clotilde Champeyrache, maître de conférences en économie à l'université Paris 8 et Charlotte Moge, maître de conférences en études italiennes à l'université Jean Moulin Lyon 3.
Il y a 4 ans et 60 jours

Mann+Hummel lance des purificateurs d'air antiviraux pour lutter contre la Covid-19

La pandémie de Covid-19 a bouleversé la vie quotidienne des habitants partout dans le monde. Par crainte du virus et pour limiter sa propagation, des restrictions ont dû être mises en place comprenant de gestes barrières, des couvre-feux et des fermetures de magasins et de restaurants. Nous portons des masques, nous nous lavons et nous désinfectons régulièrement les mains et nous aérons les pièces dans lesquelles nous vivons. Pourtant, le doute subsiste. Le Covid-19 et d’autres virus ne sont-ils pas présents dans l'air lorsque nous sommes au restaurant, dans la salle d'attente d'un cabinet médical ou dans une salle de classe ?Les spécialistes de la filtration de MANN+HUMMEL (Ludwigsburg, Allemagne) ont mis au point des méthodes et des appareils efficaces pour purifier l'air de manière fiable.« Nos purificateurs d'air antiviraux sont capables de filtrer en toute sécurité plus de 99,995 % des virus, bactéries et micro-organismes présents dans l'air ambiant grâce à leurs filtres HEPA H14 certifiés ISO 29463 et EN1822 », explique Jan-Eric Raschke, directeur des systèmes de solutions d'air chez MANN+HUMMEL. « Nos appareils sont compacts et silencieux, peu coûteux d’utilisation et faciles à entretenir. »« Nous sommes également en mesure de lutter contre les virus en améliorant les systèmes de ventilation et de climatisation déjà installés » déclare Frank Spehl, directeur R&D de la division « Filtration de l’air » de MANN+HUMMEL.En les équipant de filtres HEPA, les systèmes de chauffage, ventilation et climatisation (CVC) peuvent contribuer à une amélioration significative de la qualité de l'air sans intervention majeure ni augmentation des coûts énergétiques.Utilisation de la technologie des salles blanchesCes avancées sont rendues possibles grâce à la longue expérience de MANN+HUMMEL en la matière : depuis 80 ans, ses experts séparent l'utile du nuisible avec des dispositifs de filtration de pointe. Déployés d’abord dans le secteur automobile à partir de 1941, ces dispositifs ont successivement été étendus à d'autres domaines. A titre d’exemple, la Société assure avec succès, depuis six décennies, l'assainissement de l'air dans les environnements les plus sensibles comme les salles blanches et les salles d'opération.« Nous avons pu nous appuyer sur ces précieuses connaissances pour développer nos purificateurs d'air. Cela nous a permis de rapidement mettre ces appareils sur le marché : ils ont été testés avec succès dans le cadre de nombreuses études scientifiques et sont maintenant à la disposition de nos clients pour un usage simple et fiable », déclare M. Raschke.Cette réussite s’explique aussi par le choix d’internaliser la production de ces filtres : « Tous les filtres que nous installons sont produits et testés au sein de nos sites de production européens. Même si le terme ‘filtre HEPA’ n'est pas protégé, nos clients peuvent compter sur MANN+HUMMEL pour leur fournir des produits d'excellence : si nos filtres sont étiquetés HEPA, nous garantissons qu’ils sont de qualité HEPA », affirme M. Spehl. Que le virus mute ou que la pandémie du Covid-19 s'atténue, ces filtres seront toujours de grande utilité. En effet, même les virus de la grippe et le pollen n'ont aucune chance face à eux ! Grâce à ces filtres, même les personnes allergiques peuvent respirer tranquillement.Les produits en un coup d'œilEn fonction de la taille de la pièce, trois systèmes mobiles de purification de l'air sont disponibles pour fournir un air plus sain et sans virus, et ce dans pratiquement tous les types d’intérieur : l'OurAir SQ 500 (pour les pièces mesurant jusqu'à 40 mètres carrés), l'OurAir TK 850 (pour les pièces mesurant jusqu'à 70 mètres carrés) et l'OurAir SQ 2500 (pour les pièces mesurant jusqu'à 200 mètres carrés). Pour les pièces particulièrement grandes, plusieurs unités peuvent être placées de manière modulaire. Suivant le principe du « plug-and-play », les OurAir fournissent immédiatement un air plus sain.Chaque modèle de la gamme est équipé d'un filtre HEPA H14 qui capture plus de 99,995 % des virus, bactéries et autres micro-organismes présents dans l'air. Ces filtres sont testés individuellement afin de garantir le plus haut niveau de sécurité. Nos purificateurs d'air offrent une qualité d'air équivalente à celle que l'on trouve dans les salles blanches et les salles d'opération, contribuant ainsi à faire des espaces intérieurs des lieux sûrs et libérés de tout virus. Les systèmes de CVC existants peuvent également être équipés de filtres HEPA ou complétés par des unités mobiles OurAir.
Il y a 4 ans et 63 jours

Le Christ rédempteur à Rio fait peau neuve pour son 90e anniversaire

L'architecte Cristina Ventura, en charge du chantier, gravit les marches à l'intérieur de la statue et regarde à travers un trou situé dans l'un des bras ouverts du Christ, inauguré en 1931 et devenu un des emblèmes de la "ville merveilleuse"."La structure extérieure exposée aux éléments subit une usure en raison du soleil, de la pluie, de la foudre et des variations de température", explique à l'AFP Mme Ventura.Située à 710 mètres au-dessus du niveau de la mer, au sommet de la colline du Corcovado, la statue de béton de 38 mètres reçoit en temps normal près de deux millions de visiteurs par an. Elle fêtera ses 90 ans en octobre.La restauration prévoit une analyse approfondie de l'état du revêtement composé de milliers de petites pierres triangulaires taillées à la main, de son armature de fer et des infiltrations d'humidité dans la structure.Pour ce faire, l'équipe de restauration va utiliser la photographie de précision et une équipe d'alpinistes va se lancer à la recherche des zones défectueuses et des pièces à remplacer."Un paysage différent chaque jour"Marcos Sidnei, qui coordonne l'équipe d'alpinistes, se réjouit d'avoir la chance de voir "un paysage différent chaque jour" en fonction de la configuration des nuages, de la lumière ou de la présence de brouillard sur la ville.En 1921, l'Eglise catholique avait organisé un concours pour la construction d'un monument religieux à l'occasion du centenaire de l'indépendance du Brésil (1822). L'ingénieur brésilien Heitor da Silva Costa avait remporté le concours et a consacré dix ans au projet. La statue a été exécutée par le Français Paul Landowski.Le monument a été inauguré le 12 octobre 1931. En 1973, il est déclaré Monument historique et classé en 2007 parmi les Sept merveilles du monde moderne.La pandémie de coronavirus a contraint les autorités à en fermer l'accès entre mars et août 2020, la plus longue période jamais connue sans visiteurs.Le programme de restauration, qui va se poursuivre tout au long de l'année, vise également à établir un plan de maintenance préventive afin d'éviter des dommages majeurs à l'avenir.Cristina Ventura est consciente de l'ampleur du défi à relever: "Le Christ Rédempteur accueille la population brésilienne, c'est une grande responsabilité et un grand privilège", reconnaît-elle.
Il y a 4 ans et 68 jours

Venteo lance cPURE, un purificateur d’air haute performance, en partenariat avec Eurevia

En effet, les particules virales peuvent se disperser dans un espace intérieur insuffisamment ventilé et rester en suspension dans l’air pendant des heures et s’y accumuler. Pour réduire significativement la concentration de particules virales, absorber les polluants et assurer un air sain, Venteo, expert en qualité de l’air intérieur, complète son expertise en lançant cPURE, un purificateur d’air mobile unique qui permet une décontamination en temps réel et rapide.Le seul purificateur d’air mobile efficace contre le coronavirus, doté d’un système de monitoring de la décontamination en temps réelUn purificateur d’air haute performance et naturel sans agent chimique et sans rayonnementAfin de lutter efficacement contre le coronavirus, d’absorber les polluants et d’améliorer la qualité de l’air dans les espaces clos, Venteo propose cPURE un purificateur d’air haute performance. En effet, ce système a été conçu pour aseptiser l’air des salles blanches des hôpitaux et des industries de précision. Son niveau de performance exceptionnel lui permet d’agir efficacement dans tout type de locaux qu’il est nécessaire d’aseptiser tels que les bureaux, les écoles, les Ehpad, les restaurants, les lieux culturels, les magasins, les salles de sport...« Nous sommes ravis de compléter notre gamme d’expertise avec le lancement du purificateur d’air, cPURE. Ce système ultra performant permet d’apporter une protection supplémentaire contre la transmission des virus et d’assurer un assainissement optimal de l’air intérieur, particulièrement nécessaires en cette période de crise sanitaire », déclare Axel Ballion, DG de Venteo.cPURE est équipé d’un filtre absolu HEPA 13 haute efficacité, répondant aux exigences de l’Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS), qui offre une purification naturelle sans agent chimique et sans rayonnement. Ce système garantit également une préfiltration moléculaire favorisant la désodorisation et l’épuration des polluants gazeux présents dans la pièce traitée : micro-organismes, virus et bactéries ; particules fines atmosphériques ; allergènes et pollens ; odeurs de transpiration, de fumées... ; Composés Organiques Volatiles (COV).Seuls les dispositifs équipés de filtres HEPA de classe minimale H13 selon la norme EN 1822-1 permettent d’arrêter efficacement les aérosols susceptibles de véhiculer le coronavirus.Chaque unité cPURE est livrée avec son certificat de test individuel justifiant d’une efficacité de filtration supérieure à 99,95% des particules de 0,3 μm.Une décontamination rapide de la pièce en temps réelcPURE est le seul système mobile doté d’un monitoring de la décontamination de la pièce en temps réel qui s’opère rapidement : 100 m2 sont décontaminés en moins de 30 min.Via un écran tactile, intuitif et ergonomique, les courbes de suivi de la décontamination apparaissent en temps réel et mesurent, grâce à des capteurs, le nombre et le type de particules fines présentes dans l’air en fonction de leurs diamètres. Lors de cette opération, la couleur de la bordure de l’écran change et indique l’état de la décontamination et donc celui de la qualité de l’air intérieur. Plus l’air est purifié et plus la courbe décroît.Ce purificateur d’air propose, notamment, une programmation de l’ensemble des paramètres de fonctionnement pour adapter le purificateur au plus près des besoins ainsi que l’affichage de l’état de santé de l’appareil.Les principales caractéristiques du cPURE sont :Equipé d’une régulation rCONNECT, le purificateur cPURE est capable de communiquer sous de nombreux protocoles (HMI via extensions IP, Ethernet via BACnet/IP, OPC, ModBus TCP/IP, sauvegarde USB...) permettant ainsi une supervision optimisée, simple d’utilisation et sécurisée. Performant, sobre et silencieux, l’appareil offre une mobilité aisée car il dispose de 4 roues pivotantes avec frein et une stabilité lorsqu’il est en fonctionnement. Il est équipé d’une prise électrique classique à brancher sur secteur 230 V.« Garantir et respirer un air sain dans un espace clos est synonyme, notamment, de l’allongement de l’espérance de vie, de la réduction des coûts médicaux, d’une amélioration de la bonne humeur et de la productivité. La solution cPure proposée par Venteo, en partenariat avec Eurevia, agit en ce sens en assurant le bien-être et la santé de chaque occupant », conclut Axel Ballion.
Il y a 4 ans et 75 jours

Pose d’une toiture-terrasse ou toiture plate : les étapes à savoir

Le toit plat a le vent en poupe actuellement. Il est particulièrement très prisé de ceux qui procèdent à la construction d’habitations neuves ou à la rénovation. Cette préférence s’explique notamment par son adaptation à tous les styles d’architecture. Avec une structure porteuse solide, il est possible de le mettre en place. D’autant plus qu’avec l’évolution des techniques de construction et l’apparition de matériaux efficaces, les infiltrations et l’étanchéité sont plus efficaces. Voici d’ailleurs quelques points à savoir sur la pose d’une toiture-terrasse. Les raisons de poser une toiture plate De nombreuses raisons poussent les propriétaires à opter pour le toit plat. Déjà, il fait gagner de l’espace sachant que la surface du toit n’est plus perdue. Pour certains propriétaires d’ailleurs, le toit plat permet la mise en place d’un jardin de toit ou encore une terrasse ou même un toit photovoltaïque. Dans tous les cas, le toit plat doit intégrer l’isolation, le drainage et l’étanchéité. Ce qui explique les raisons de toujours faire appel à une entreprise de couverture expérimentée comme sur https://www.couverture-47.fr/. Dans tous les cas, le toit plat permet d’optimiser l’espace sous toiture avec un plafond plat. Il permet également d’offrir une structure esthétique épurée et design à l’habitation. Il est aussi écologique avec les éléments comme l’isolation thermique avec la toiture solaire ou encore la toiture végétalisée sans parler de l’aspect inférieur de la prise au vent. Son entretien est aussi moindre qu’un autre type de toiture. La toiture-terrasse est également un bon moyen de valoriser le bien pour la revente. Quelles solutions pour changer le toit par une toiture plate? Si vous avez donc un projet de changer votre toiture en toiture plate, vous devez tout d’abord vous assurer que le toit existant puisse supporter la charge ajoutée et l’usage piéton. Pour ce faire, il est possible d’utiliser le technique du SEL ou système d’étanchéité Liquide. Pour l’appliquer, il faut tout de même ôter la membrane d’origine pour un toit plat non accessible. Il faut ensuite nettoyer le support. Après cela, il est possible d’appliquer des couches de résines autoprotégées. Une fois les angles protégés, il est possible de recouvrir la toiture-terrasse. L’isolation thermique par l’extérieur est aussi faisable pour protéger les pièces en dessous. Avant de poser le toit plat, il est tout de même conseillé de vérifier le classement du matériau de revêtement présent dans l’Avis technique du revêtement d’étanchéité pour mieux choisir le matériau résistant et étanche. En plus du revêtement, il faut être vigilant quant à la charpente. De ce fait, il est nécessaire de faire vérifier la faisabilité du projet, car toutes les structures porteuses de toits ne sont pas toujours en mesure de supporter le poids d’une toiture plate. Il faudra avoir une tôle d’acier avec dalle de béton armé, une charpente en bois massif traité hydrofuge ou encore une dalle pleine en béton, composite ou armatures acier. Dans tous les cas, il est important de connaître la réglementation du toit plat en termes d’étanchéité comme le respect des normes NF P84.208 et NF P84.208-1. Dans tous les cas, pour avoir le cœur net, il est conseillé d’être guidé par un expert, notamment une entreprise qualifiée Qualibat. D’autant plus qu’il faudra respecter les règles établies par le PLU de la région.  
Il y a 4 ans et 76 jours

Madel, fabricant espagnol de composants de climatisation, publie de nouveaux produits BIM

Madel, expert en solutions CVC, continue de s’appuyer sur la plateforme BIM&CO afin d’élargir sa gamme d’objets BIM pour concevoir vos systèmes de diffusion, régulation, filtration d’air et protection incendie. Depuis plus de 50 ans, l’entreprise Madel est spécialisée dans la conception et la production d’éléments pour la diffusion, la régulation et le contrôle de l’air dans les systèmes de climatisation. Après 5 ans de lancement et la confirmation de l’intérêt des utilisateurs pour ses objets BIM, Madel publie sur la plateforme BIM&CO ses nouvelles gammes de produits, disponibles ici. L’objectif initial de 2014 en entrant sur la plateforme BIM&CO, était de répondre aux besoins des bureaux d’études et d’architecture sur les catalogues en format BIM, c’est la raison pour laquelle Madel a décidé de franchir le pas et de proposer ses produits sur la plateforme. Comme dans la phase initiale, dans ces nouvelles familles, l’information contenue dans les objets est restée une priorité, et non seulement la géométrie elle-même. Avec cette nouvelle publication d’objets, Madel intègre les dernières nouveautés à ses catalogues dans BIM&CO, un véritable avantage pour l’expert en CVC. Ainsi, ses nouveaux produits dotés des dernières technologies en matière de diffusion d’air sont à la disposition de ses prescripteurs. Pour cette nouvelle étape, Madel a ainsi collaboré directement avec l’équipe technique de BIM&CO pour mettre à jour les familles et organiser le contenu de la page du fabricant de la manière la plus efficace possible. Roger Guitart, directeur technico-commercial, témoigne : « Aujourd’hui, la chose la plus importante pour nous est l’agilité lors de la mise à jour des nouvelles familles, lorsque nous terminons la conception d’un nouveau produit, il est important que nous puissions rapidement mettre à jour les informations dans la plate-forme. C’est pourquoi nous avons mis en place un système de collaboration pour rendre cette tâche aussi efficace que possible« . Dans cette mise à jour des catalogues Madel, 12 nouveaux objets ont été ajoutés entre les catalogues Régulation, Filtration et Diffusion. Au total, plus de 1400 nouvelles références de produits ont été ajoutées, ce qui a permis à Madel d’élargir sa gamme de produits. Parmi les nouveaux produits publiés, on trouve des éléments de diffusion avec filtration, nécessaires ces derniers temps en raison de la situation sanitaire mondiale. Selon Miguel Muñoz, Project & Technical Manager chez BIM&CO, la longue collaboration entre les deux entreprises est ce qui a permis le bon déroulement du projet : “Roger et Jordi connaissent tous deux la plateforme en profondeur, ce qui facilite considérablement l’intégration et la mise à jour des produits existants.” Les catalogues de produits Madel, modélisés au format Revit, sont disponibles à cette adresse .
Il y a 4 ans et 82 jours

Comment entretenir une toiture-terrasse?

L’entretien de la toiture est une tâche que de nombreux propriétaires de maison omettent. En effet, il ne suffit pas de passer un coup d’aspirateur ou de balai pour la nettoyer. En raison de l’importance de son rôle, cet élément de la maison mérite une plus ample attention. En effet, le nettoyage du toit est une opération incontournable, et ce, qu’importe sa forme (pentu ou plat). Dans cet article, nous allons nous pencher sur l’entretien d’une toiture plate que l’on appelle également « toiture-terrasse ». Pourquoi entretenir sa toiture-terrasse ? Il faut rappeler que la toiture remplit une fonction protectrice. En effet, c’est la partie de la maison qui garantit son bon état et les autres éléments qui la composent (charpente, façade, fondation, etc.). En outre, la toiture peut être transformée en un espace de vie. C’est le cas de la toiture — terrasse. En général, on peut accéder à ce type de toit. Il est donc plus facile de l’entretenir. Encore faut-il utiliser le bon matériel pour obtenir un résultat impeccable. Au même titre que les autres sortes de toiture, la toiture-terrasse finit par être envahie par les mousses, les lichens et les algues à mesure que le temps passe. D’ailleurs, ces végétaux parasites ont tendance à se développer sur ce type de toit, et cela s’explique. À la différence de la toiture en pente, la forme plate de celle-ci favorise la stagnation des eaux de pluie du fait que leur évacuation s’opère difficilement. C’est une conséquence de la faible inclinaison de sa pente. Un toit humide est cependant un environnement favorable au développement et à la prolifération des champignons. Ces derniers n’affectent pas seulement le revêtement. Ils peuvent occasionner de sérieux problèmes d’infiltration d’eau. Il est donc primordial de les éradiquer pour que l’intégrité et la longévité de la toiture soient préservées. Pour cette tâche, vous pouvez vous adresser à une entreprise de couverture comme https://www.entreprise-couverture-60.fr/. Comment procède-t-on à l’entretien d’une toiture-terrasse ? Comme vous l’aurez compris, il faut nettoyer la toiture-terrasse à un intervalle régulier. Pour assurer sa propreté, il faudra : Nettoyer la toiture plate Les travaux de nettoyage se matérialisent par le retrait des impuretés présentes à sa surface. C’est le cas des débris de végétaux, des poussières et des champignons. Pour la mise en œuvre de cette opération, on peut se servir d’une brosse dure ou d’un nettoyeur à haute pression. Appliquer un traitement hydrofuge Après l’avoir nettoyé, il est vivement conseillé de pulvériser un produit hydrofuge sur la surface du toit. Cette opération est avantageuse sur différents plans. Elle empêche la formation et la propagation des pollutions vertes (mousses, lichens, algues). L’hydrofuge rend également le support plus étanche et moins sensible à l’encrassement. Toutefois, nous vous recommandons de solliciter les conseils d’un couvreur professionnel afin de savoir quel type d’hydrofuge convient le mieux aux caractéristiques de votre toit. Régénérer la membrane d’étanchéité Quand la membrane d’étanchéité n’a pas été entretenue depuis longtemps, des boursouflures finissent par apparaitre et l’altérer. Dans ce cas, il faut envisager sa rénovation complète ou partielle. Cette opération implique la mise en place d’un revêtement spécial sur les zones concernées. Il peut s’agir d’une feuille bitumée ou de l’asphalte. Ici encore, nous vous incitons à requérir les conseils d’un expert en travaux de toiture. Ce professionnel peut vous diriger dans votre choix du revêtement. Il peut même s’occuper de son installation. Nettoyer les gouttières Pour empêcher les stagnations d’eau, il est crucial de débarrasser les gouttières des saletés qui se longent dans leurs parois. L’idéal est de ramasser à la main les déchets qui sont vulnérables de les obstruer. Quant aux parties difficilement accessibles, un nettoyeur à haute pression sera utilisé pour leur nettoyage.