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(260 résultats)
Il y a 4 ans et 342 jours

ANCRAGE/VISSAGE FISCHER : Nouvelles Vis à béton ULTRACUT et Clés à chocs FSS 18V

Gamme de vis à béton hautes performances et clés à chocs sans fil pour une facilité de montage absolue Concevoir des solutions d’ancrage de grande qualité, sûres et faciles à utiliser est le leitmotiv de fischer. La gamme de vis à béton ULTRACUT reflète pleinement cette capacité d’innovation. Avec de hautes performances, la vis à béton ULTRACUT dispose d’une géométrie spéciale et renforcée du filetage qui permet une installation et un démontage facile et rapide, et assure des charges admissibles nettement plus élevées. Elle est la première vis à béton sur le marché européen à proposer les catégories de performances sismiques C1 et C2, garantissant les plus hauts standards de sécurité. Aujourd’hui, fischer enrichit sa gamme avec une nouvelle version : l’ULTRACUT A4 en acier inoxydable pour garantir une très haute protection contre la corrosion. Idéale pour des applications en extérieur ou dans des zones humides, cette nouvelle vis à béton assure une installation encore plus rapide, plus facile et plus sûre. Et pour simplifier davantage la pose, fischer lance 2 nouvelles clés à chocs sans fil, des outils d’une grande puissance dotés du système Cordless Alliance System (CAS), des batteries et chargeurs communs aux plus grandes marques d’outils électroportatifs dont fischer fait désormais partie. Une utilisation dans tous les matériaux et pour de multiples applications La vis à béton ULTRACUT fischer s’utilise dans le béton fissuré et non fissuré, la pierre naturelle dense, les maçonneries pleines et le béton cellulaire. Grâce à une reprise de charges lourdes, elle convient à de nombreuses applications pour tous les corps de métier : – Les constructions métalliques : ancrage de gardecorps, consoles et platines, rayonnages, balustrades… – La construction bois et les assemblages bois/béton : fixation de pannes sablières, de poutres, d’ancrage d’éléments de charpente… – Les installations temporaires de chantiers : étais tirantpoussant, coffrages, garde-corps, conduits d’alimentation dans les tunnels… – Les sanitaires, chauffages, électricité : supportage de réseaux, climatisation, chemin de câbles… Vis à béton ULTRACUT Un ancrage hautes performances La vis à béton ULTRACUT fischer dispose d’un filetage renforcé spécial avec une zone coupante sur sa partie avant. Cette géométrie spéciale du filetage facilite la pénétration de la vis en profondeur, réduit l’effort de vissage augmentant la durée de vie des batteries des outils électroportatifs utilisés. L’optimisation entre le diamètre de forage et le diamètre de filetage a été étudiée de telle manière que la vis usine son propre taraudage dans le béton. Cette technique conduit à la réalisation d’un verrouillage de forme qui permet un excellent transfert des efforts dans le béton et permet de réduire l’entraxe et les distances aux bords. Enfin, cette géométrie optimisée du filetage assure de fortes capacités de charges de traction, tout en diminuant le nombre de points d’ancrage. Une zone ductile sous la tête permet une légère déformation pour un plaquage optimal lorsque les forages ne sont pas parfaitement droits. Une rondelle crantée intégrée permet le serrage des pièces, même avec un grand trou de passage. Une pose facile, rapide et flexible Unique, le filetage en dent de scie garantit une accroche rapide dans le béton et permet ainsi un montage facile, même en cas de réutilisation (couvert par un agrément national allemand). Ajustable, la vis à béton ULTRACUT peut être dévissée au maximum 2 fois, jusqu’à 20 mm, pour permettre un calage ou un ajustement de la fixation. Grâce à la triple profondeur d’ancrage, pour les vis béton 10-12-14, et la double profondeur d’ancrage pour la vis béton II 8, chaque vis peut assembler jusqu’à 2 ou 3 épaisseurs différentes (selon modèle de vis à béton) de pièces à fixer, ce qui offre une grande flexibilité, un véritable gain de temps et d’argent pour l’artisan. De plus, pour les perçages verticaux au sol ou au plafond, la pose s’effectue sans nettoyage du forage. Au sol, il convient d’augmenter la profondeur de forage de 3 fois le diamètre de vis, ce qui permet à la poussière de s’écouler au fond du trou sans gêner le vissage. Une pose facile, rapide et flexible Pratique, la vis à béton ULTRACUT est idéale pour la pose d’éléments de chantiers temporaires puisqu’elle est réutilisable après vérification avec la jauge de contrôle (en option). Cette dernière permet de vérifier le diamètre extérieur du filetage pour garantir une tenue optimale de la vis en cas de réutilisation de celle-ci.   ULTRACUT A4 Nouvelle référence pour un montage optimal en extérieur La nouvelle vis à béton fischer ULTRACUT FBS II A4 en acier inoxydable offre un niveau élevé de résistance à la corrosion, ce qui assure une haute performance dans les zones humides et les applications en extérieur. Son embout rouge renforcé permet une installation encore plus rapide, sans effort, et plus sécurisée. Sa géométrie spéciale en dent de scie permet une coupe rapide dans le béton. Aucun trou préalable de perçage n’est nécessaire pour sa mise en oeuvre dans le sol et le plafond. L’ancrage sans expansion garantit des distances au bord minimales. Une solution sûre D’une grande sécurité, les vis à béton de la gamme ULTRACUT répondent aux exigences de la classe de résistance au feu R120, bénéficie d’un ATE Option 1 pour béton fissuré, et d’une catégorie de performances sismiques C1 et C2. Une large gamme Pour multiplier les champs d’applications, la vis à béton ULTRACUT existe en acier zingué en diamètres 8, 10, 12 et 14 avec différentes formes de tête : hexagonale, hexagonale avec empreinte Torx et fraisée. Elle est également disponible en version courte pour une installation pratique et rapide lorsque les charges sont réduites. En acier inoxydable, elle est disponible en diamètres 8 et 10 avec des têtes hexagonales avec empreinte Torx et fraisée. En option, différents accessoires sont proposés : la jauge de contrôle FUP, la douille hexagonale, l’adaptateur embout Torx pour boulonneuse, embout Maxx TX40, embout TX50, disque de remplissage FFD et rondelle. Points de vente : Négoces en matériaux, Négoces Professionnels Clés à chocs FSS 18V Système CAS : Une batterie et un chargeur communs à de nombreux outils d’autres fabricants Les nouvelles clés à chocs sans fil FSS 18V fischer permettent aux professionnels de fixer, en autre, les vis à béton sur les chantiers, en toute sécurité. Compatibles avec le système de batteries CAS (Cordless Alliance System), elles sont utilisables avec les mêmes batteries et chargeurs que les outils d’une douzaine de fabricants d’outillage électroportatif. Puissant, innovant et bénéficiant d’une technologie de batterie haute performance, ce système CAS offre aux utilisateurs plus de mobilité, de flexibilité et de productivité car ils peuvent passer d’un outil à l’autre en utilisant le même chargeur et la même batterie. Des outils puissants pour des fixations sûres Toutes les vis à béton fischer ULTRACUT FBS II de diamètre 6 à 14 peuvent être montées de manière rapide et sûre avec les clés à chocs sans fil FSS 18V correspondantes. De conception robuste et très résistante, elles sont dotées d’un boîtier spécial qui garantit une dissipation thermique et une longévité optimales des outils. Ces clés à chocs fischer sont disponibles en 2 versions : – la FSS 18V400 BL dispose d’un couple de 400 Nm et d’un moteur haute qualité sans charbon, à faible frottement, qui garantit un fonctionnement efficace, une faible usure, et une progression rapide du travail. Elle permet la pose de vis à béton de diamètres 6 à 10. Le couple peut également être réglé en 12 positions en fonction du diamètre de l’ULTRACUT FBS II. Quant à la FSS 18V 600, avec un couple élevé de 600 Nm, elle est idéale pour les installations avec des vis à béton de diamètres 10 à 14 et des applications exigeantes. En outre, les clés à chocs FSS 18V fischer sont équipées d’une lumière, pour faciliter la visibilité dans les endroits sombres ou difficiles d’accès. Elles sont fournies avec des accessoires (crochet de ceinture, adaptateur, jauge de contrôle…) et en L-Boxx – un coffret de rangement robuste et empilable avec d’autres L-Boxx. Points de vente : Négoces en matériaux, Négoces Professionnels
Il y a 4 ans et 358 jours

Goujon FBN II HDG : le premier goujon galvanisé à chaud évalué pour une utilisation en extérieur (ETE)

En outre, il offre une capacité de charges maximales, attestée par l'Évaluation Technique Européenne ETA-18/0101 (Option 7) pour le béton non fissuré, et dispose d'une résistance au feu R120.Évalué pour une utilisation en zones humides et les applications extérieures (ETE), le goujon FBN II HDG galvanisé fischer est recommandé pour fixer des constructions métalliques, des profilés, des platines, des garde-corps, des mains-courantes, des chemins de câbles, des escaliers, des constructions en bois…Une double profondeur d'ancrage pour plus de flexibilité Les professionnels peuvent utiliser le nouveau goujon FBN II HDG galvanisé fischer pour toutes les applications en extérieur et en environnement humide.Pour une flexibilité optimale sur les chantiers, deux profondeurs d'ancrage sont disponibles :La profondeur d'ancrage standard permet d'utiliser la capacité maximale de l'ancrage et donc de fixer les charges les plus élevées avec moins de points de fixation.La profondeur d'ancrage réduite permet de diminuer les temps de forage. Elle est idéale lorsqu'il est nécessaire d'utiliser une longueur utile supérieure ou lorsque la profondeur de forage est limitée (ex. en présence d'armatures). La profondeur d'ancrage peut être ajustée à la situation et à l'application.Goujon FBN II HDG galvaniséUn ancrage haute résistance à la traction...Le goujon fischer FNB II HDG en acier galvanisé fischer dispose d'un long filetage, idéal pour les fixations déportées. Il permet le meilleur ajustement possible des pièces déportées, même en cas de variations des profondeurs d'ancrage.Le couple formé par la bague et le cône d'expansion fournit une capacité de charges en traction maximales dans le béton non fissuré avec des entraxes et des distances aux bords très faibles. La contrainte d'expansion est ainsi mieux répartie dans le support. De plus, les très faibles entraxes et distances aux bords autorisent la fixation de petites platines proches des bords pour plus d'applications.L'épaulement de tête est lisse ce qui évite l'endommagement du filetage lors de la mise en œuvre. Par ailleurs, il dispose d'un marquage permettant d'identifier la version du goujon mais aussi de contrôler la profondeur d'ancrage.... et à la corrosionLe goujon FNB II HDG bénéficie d'une galvanisation à chaud d'une épaisseur minimum de 50 μm respectant les dispositions de la EN ISO 10684:2011.La durabilité du revêtement a été évaluée selon la EAD 330232-00-0601 et peut s'étendre jusqu'à 50 ans (en fonction des catégories de corrosivité C1, C2, C3, C4, C5, CX).Un confort d'installation optimalLe goujon fischer FNB II HDG galvanisé est un ancrage à expansion par serrage contrôlé. Le serrage de l'écrou entraîne le cône dans la bague d'expansion et expanse cette dernière contre les parois du trou foré.Il peut être installé avec seulement quelques coups de marteau, ce qui facilite son usage dans les situations ne permettant pas de donner des coups de marteau puissants, comme par ex. pour les constructions difficilement accessibles. Quelques tours d'écrou suffisent pour appliquer le couple de serrage.Une large gammePour multiplier les champs d'applications, fischer propose une large gamme de goujons FBN II HDG. En plus de la version standard avec sa double profondeur d'ancrage, une version courte FBN II HDG K (avec profondeur d'ancrage réduite uniquement) assure une mise en œuvre encore plus rapide. Cette version est une alternative économique et avantageuse pour les fixations non-structurelles, qui ne nécessitent pas de charges importantes.Le goujon FNB II HDG galvanisé est homologué pour le béton non fissuré C20/25 à C50/60 ainsi que le béton non fissuré C12/15, et dans la pierre naturelle à structure dense, pour les dimensions M8 à M20.
Il y a 4 ans et 363 jours

ACBI gagne son procès pour son produit breveté: Le Modulogard

Cette semaine, le tribunal de grande instance de la ville de Paris a rendu son verdict dans une affaire de violation de brevet. La cour a statué en faveur de la société ACBI. Deux ans de procédure auront été nécessaire pour faire condamner l’entreprise contrefactrice du brevet concernant le Modulogard® . Pour rappel ce procédé de garde-corps rabattable destiné à équiper les modules de chantier a vu son brevet déposé en 2012. La justice reconnait le caractère innovant dans l’association de moyens qui confèrent au brevet toute sa validité. En conclusion : Le verdict condamne le contrefacteur à mettre fin à toute infraction à la législation sur la propriété intellectuelle et à dédommager ACBI du préjudice subi. La jurisprudence est maintenant établie
Il y a 5 ans et 17 jours

Avec WICONA le groupe scolaire et centre de loisirs Simone Weil se refait une beauté

En première couronne parisienne, Champigny-sur-Marne (94) s’inscrit dans la dynamique du Grand Paris. À deux pas du centre-ville et d’une future gare du Grand Paris Express, le quartier des Courtilles renforce ses équipements. Parmi eux : le premier groupe scolaire/centre de loisirs ouvert depuis 1974 sur la ville, dédié à l’accueil des enfants de maternelle et de primaire. Conçu par le cabinet d’architecture Valero Gadan Architectes & Associés (Paris IIIe), le projet devait prendre en compte la montée des effectifs des prochaines. Outre les exigences d’un bâtiment HQE, le cahier des charges demandait d’optimiser la mutualisation des espaces, la robustesse de l’ouvrage, sa facilité de maintenance. Fonctionnalité et pérennité sont donc les maitres mots de ce bâtiment, qui se devait aussi d’illustrer l’école républicaine, comme le souhaitait la municipalité. « Nous avons répondu avec un bâtiment qui interprète les codes de l’école de la république comme devant être imposante mais aussi précieuse, et d’un coût tout à fait compétitif, en construction et en maintenance. La réversibilité du bâtiment est un autre point qui nous tient à cœur au sein de l’agence, surtout pour un bâtiment public : il n’était pas question de laisser aux successeurs une carcasse non manipulable ! » déclare l’architecte Bernard Valero. Groupe Scolaire et centre loisirs Simone Weil / © Olivier Rolfe Large palette de solutions en aluminium WICONA Pour répondre à ces impératifs, une multitude de matériaux résistants ont été employés, des sols aux plafonds, en passant par les murs et façades. Parmi eux : une large palette de solutions en aluminium WICONA a été retenue. En effet, trois versions du système de mur-rideau MECANO (ossature 52 mm) sont utilisées. La solution de façade lisse MECANO VEC se hisse sur plus de 450 m2 sous le ruban de brise-soleil verticaux dorés apposé sur les façades sud et ouest de l’école primaire. Particulièrement performant en termes d’étanchéité et d’isolation, MECANO serreur ponctuel éclaire les rez-de-chaussée en intégrant des portes WICSTYLE 65. La version MECANO serreur filant, qui autorise des prises de volume importantes (jusqu’à 42 mm), a permis de réaliser la verrière de 19 m2 disposée en éclairage zénithal d’un escalier intérieur. Groupe scolaire Simone Weil / © Olivier Rolfe Diversité toujours côté châssis, avec les solutions WICLINE 65 HI (haute isolation) fixes et à frappe et les coulissants WICSLIDE 65, tantôt seuls, souvent intégrant un garde-corps vitré, parfois associés dans des ensembles composés coulissant/fixe/ ouvrant pompier. Des solutions feu complètent le dispositif (portes et châssis WICSTYLE 77 FP). Groupe scolaire Simone Weil / © Olivier Rolfe   Maître d’ouvrage : Ville de Champigny-sur-Marne (94) Architecte : Valero Gadan Architectes & Associés (Paris IIIe, 75) Entreprise : STM, groupe Roger Delattre (Faches-Thumesnil, 59) Photographe : Olivier Rolfe
Il y a 5 ans et 33 jours

Un écrin brut pour le musée des Arts décoratifs

La réouverture de l’aile Rohan du MAD a été marquée par la scénographie minimaliste du Studio Adrien Gardère pour l’exposition “Harper’s Bazaar, premier magazine de mode”. [©Bien Urbain/Luc Boegly] Nicolas Cèbe, architecte-co-fondateur, Jérôme Stablon, architecte-co-fondateur, et Guillaume Cantardjian, architecte-co-fondateur de l’atelier d’architecture Bien Urbain. [©Bien Urbain] Au musée des Arts décoratifs (MAD) de Paris, les galeries dédiées à présenter les expositions temporaires sur la mode se déploient dans l’aile Rohan du Louvre. Le jardin des Tuileries et la rue de Rivoli (Ier arrondissement) la bordent. Les Galeries de la Mode ont été repensées, à la demande de l’institution. Et ce, grâce au mécénat de Stephen et Christine Schwarzian. Ceci, par les équipes du Studio Adrien Gardère (scénographe). Qui, pour l’occasion, s’est associé avec l’atelier d’architecture Bien Urbain. Retrouver le bâtiment originel Au cœur du Musée des Arts Décoratifs, les salles d’expositions dédiées principalement à la mode se déploient dans l’aile Rohan du Louvre, qui longe le jardin des Tuileries et la rue de Rivoli. [©Bien Urbain] « Il a fallu un an pour réhabiliter les plus de 1 200 m2 de l’aile Rohan du MAD. Il y avait déjà eu une rénovation de ces espaces dédiés à la mode dans les années 1990. Mais ils étaient devenus obsolètes », décrit Jérôme Stablon, architecte chez Bien Urbain. Avec un gros curage de l’existant pour commencer. « Il a fallu “recomprendre” le bâtiment originel. » C’est ainsi que les murs sont apparus avec de la pierre, du béton et des blocs béton apparents. « Les laisser bruts a été une évidence. Cela correspond bien à l’univers de la mode actuelle. Et c’était nécessaire pour redécouvrir l’aile Rohan. » L’exposition “Harper’s Bazaar, premier magazine de mode” inaugure les nouvelles galeries de la mode du MAD, entièrement rénovées. [©Bien Urbain/Luc Boegly] Teintes stabilisées Une lasure minérale a permis de stabiliser les teintes des murs, sols et plafonds. Pour créer cet écrin brut, « nous sommes intervenus au niveau de vitrines amovibles entre chaque refend, véritables “machines à exposer”». Ces dernières peuvent changer de physionomie selon les scénographies des expositions temporaires. La réouverture de ces espaces a d’ailleurs été marquée par la scénographie minimaliste du Studio Adrien Gardère. Celle-ci réalisée pour l’exposition “Harper’s Bazaar, premier magazine de mode” . Pour créer cet écrin brut, « nous sommes intervenus au niveau de vitrines amovibles entre chaque refend, véritables “machines à exposer”». Ces dernières peuvent changer de physionomie selon les scénographies des expositions temporaires. [©Bien Urbain/Luc Boegly]Dans un écrin de béton brut, l’exposition “Harper’s Bazaar, premier magazine de mode” retrace les moments forts de cette revue mythique, son évolution depuis 1867. [©Bien Urbain/Luc Boegly] La chape fluide, tout comme le béton de l’escalier, ont été livrés en toupies, stationnées dans le cour du Louvre, le temps des livraisons. [©ACPresse]Pour créer cet écrin brut, « nous sommes intervenus au niveau de vitrines amovibles entre chaque refend, véritables “machines à exposer”». Ces dernières peuvent changer de physionomie selon les scénographies des expositions temporaires. [©Bien Urbain]Un gros curage de l’existant a donc été effectué. « Il y a fallu “recomprendre” le bâtiment originel ». [©Bien Urbain/Luc Boegly]Outre le besoin de redonner au lieu tout son lustre, l’intervention de coulage de la chape fluide est surtout destinée à la remise en l’état des sols. [©ACPresse] Le coulage de la chape fluide a été divisée en deux interventions : tout d’abord, environ 900 m2 au premier niveau, puis l’ensemble du rez-de-chaussée. [©ACPresse]Mise en œuvre sur les sols, la Chape Liquide Excelio d’Anhydritec ne nécessite aucun ponçage. Mais un balayage doit être réalisé. [©ACPresse]En arrière plan, l’escalier en demi-cercle permet de relier le rez-de-chaussée au premier niveau. [©Bien Urbain/Luc Boegly] Un escalier de béton brut Faisant face à une fenêtre donnant sur le jardin des Tuileries, l’escalier en béton brut prend la forme d’un demi-cercle ascensionnel et enveloppant. « Ce nouvel escalier sculptural et discret relie les deux étages des espaces d’exposition. » [©Bien Urbain] Et l’autre intervention s’est effectuée avec la création d’un escalier en béton brut. Juste en face d’une fenêtre donnant sur le jardin des Tuileries. Et ce, en demi-cercle ascensionnel et enveloppant. « Ce nouvel escalier sculptural et discret. Il relie les deux étages des espaces d’exposition. » Quelque 80 m2 de plancher ont été déposés pour ce faire. L’entreprise Cobalt a coulé le béton, « un C4 classique », en une seule fois. Le tout grâce à trois toupies stationnées dans le jardin du Louvre. « Epique… » Les coffrages étaient assez sympas, selon les dires de Jérôme Stablon.  « Il y a eu des reprises et des réenduits pour tout bien ajuster. » L’entreprise REM a réalisé la serrurerie de l’escalier et le garde-corps vitré de cette section des Arts Décoratifs. Fiche repère Maîtrise d’ouvrage : Musée des Arts décoratifs (MAD)Maîtrise d’œuvre : Studio Adrien Gardère Bien Urbain – atelier d’architecture Betom Ingénierie ACLSurface : 1 280 m² SUMontant des travaux : 1,7 M€ HTStatut : Livré en février 2020 Muriel Carbonnet
Il y a 5 ans et 61 jours

ACBI fabricant d’échelles à crinoline depuis 30 ans

Voilà à 30 années que la société ACBI conçoit, fabrique et vend un ensemble de produits techniques destinés à l’accès et à la protection en toiture. Parmi tous ces systèmes proposés (garde-corps, escaliers, ligne de vie…) ACBI s’est spécialisée dans la fabrication d’échelles à crinoline. Il s’avère que ce choix stratégique effectué depuis la fin des années 80 c’est avéré payant. Aujourd’hui ACBI représente ce qui se fait de mieux dans l’offre des accès en toiture. L’échelle à crinoline et ces différentes utilisations. Réalisées en aluminium ou en acier, les échelles à crinoline d’ACBI ont su évoluer au fil des ans. Conçues à l’origine pour un accès en toiture afin de desservir les terrasses des bâtiments industriels, on les trouve également comme issue de secours. Elles sont alors idéales pour l’évacuation de personnes lorsqu’il n’y a pas la possibilité d’installer d’escaliers de secours. Dernièrement vous avez pu retrouver ces produits sur les modules de chantiers. Fixées à l’aide d’une platine sur bardage, elles permettent l’accès aux toitures des structures modulaires. Exclusivité oblige, l’échelle à crinoline équipe également le Rollgard. Cette plateforme roulante est utilisée pour l’entretien des bungalows de chantier et autres modules. Nos échelles répondent bien évidemment aux normes NF E 85-016 et NF EN 14 122-4. Un marché en forte croissance. Simple revendeur dans ses débuts, ACBI a très vite compris qu’il fallait éviter d’être dépendant sur un marché où, la réactivité fait souvent la différence. Urgences de chantier, problèmes de transports, boom des marchés immobilier…autant de raisons où une bonne entreprise et surtout un bon industriel doit vite avoir le monopole de la situation. Surtout qu’à l’époque, très peu de société propose ce type de produits. La société c’est donc transformée (ouverture de bureaux d’études, embauches massives). Les premiers plans de fabrication sortent. Des échelles au design épuré. Au début les échelles étaient solides. Les normes étaient alors la principale priorité. Le but: Concevoir un produit durable qui devait répondre à un maximum de solutions, tout en respectant les contraintes techniques. Aujourd’hui, les échelles fabriquées par ACBI tiennent compte des remarques formulées par les architectes. Finit les angles trop droits et vifs, place à des courbes plus arrondies pour une préhension plus douce. Grâce aux dernières technologies, les échelles sont plus fines, plus solides et à la fois beaucoup plus légères. Les échelles fourmillent de détails astucieux les rendant bien plus simple à installer et à utiliser. Le kit: La solution. À l’heure actuelle, rare sont les entreprises à ne pas proposer leur échelle en kit. La différence se créer donc sur la qualité du kit et de son montage. Est ce que votre échelle est facile à monter? Est ce que la notice est bien expliquée? Les pièces sont elles de bonne qualité? Comment sont emballés vos colis? C’est dans le détail que l’on reconnaît un bon fabriquant. Il ne s’agit pas de proposer un bon produit, il faut qu’il soit rapide et facile à monter. Le gain de temps sur un chantier c’est le cœur de notre souci. Chez ACBI, la visserie est pré-montée, les pattes de fixations sont coulissables même dans l’axe des barreaux. Les éléments d’échelle vont de 500 à 3000 mm et s’emboîtent simplement par éclisse visées. Les arceaux de la crinoline n’ont simplement qu’à glisser dans les filants pour les positionner à hauteur désirée. Un seul mot d’ordre: Simplicité. ACBI, la réactivité par expérience. Urgence, demandes de dernières minutes…chez ACBI 3000 m² sont disponibles pour le stockage des échelles. La réactivité, c’est leur atout. Grâce à un système de colisage par code, votre commande peut partir le matin même. Pour des grosses commandes comptez de 24 à 48h. ACBI vous accompagne pour vos projets de la conception à l’achat et jusqu’à la pose si besoin.
Il y a 5 ans et 89 jours

Comment bien choisir son garde-corps ?

Que ce soit sur votre terrasse, sur votre balcon ou sur vos escaliers, il est nécessaire d’installer des garde-corps comme mesure de sécurité. Il s’avère même que dans certaines circonstances, il est obligatoire d’en poser un. Concernant celui-ci, vous pourrez choisir entre plusieurs matériaux, comme l’inox, le fer forgé, l’aluminium ou le bois. Il est souvent difficile de faire son choix, lorsqu’on a une multitude d’options sous les yeux. Alors, ce petit guide vous aidera à choisir comme il se doit votre garde-corps. Tenir compte de l’esthétisme en choisissant le matériau idéal Pour créer un garde-corps, les fabricants utilisent différents types de matériaux. Il y a par exemple, celui en PVC, qui a beaucoup de points forts, comme son prix abordable. Tandis que celui en bois est très apprécié pour son authenticité, quant à celui en verre, offre du confort grâce à sa transparence. Concernant le fer, il offre un résultat unique au garde-corps. Cependant, pour profiter d’un avantage au niveau du coût, il est conseillé d’opter pour le bois, comme le pin, mais les essences exotiques, comme le wengé ou le merbau est plus cher. Les matériaux qui offrent davantage d’esthétisme et de résistance restent le verre et l’aluminium. Peu importe le matériau que vous allez choisir, le plus important est de s’assurer de concevoir un garde-corps qui soit bien fixé au sol. La sécurité en hauteur Pour choisir d’installer des garde-corps comme mesure de sécurité en hauteur, il est également nécessaire de tenir compte de son style. En effet, il faut que cet élément puisse être bien en harmonie avec le reste de la décoration. La plupart du temps, les garde-corps rencontrés sur le marché sont, soit en fer forgé, soit en bois, soit en inox gris. Concernant la rambarde, il est possible de choisir le bois ou le fer forgé. Cela pour avoir un rendu esthétique et élégant. En outre, il est également envisageable d’opter pour différentes teintes, comme le vernis. Par contre, vous pourrez choisir entre plusieurs formes, au niveau des poteaux. Si vous avez choisi un garde-corps en bois, sachez qu’il dispose souvent d’un poteau carré, tandis qu’il est rond si le garde-corps a été conçu avec de l’aluminium ou de l’inox. Par contre, si vous avez opté pour le fer rongé, vous aurez l’embarras du choix quant aux formes : vrillée, ronde, carrée… Pour un garde-corps à effet classique, vous pouvez choisir le barreaudage qui est obtenu grâce à l’utilisation du fer forgé. Avec ce type de matériau, vous pouvez être sûr que votre élément de protection sera solide, et magnifique. Par contre, si vous habitez à la montagne, pourquoi ne pas concevoir les barreaux avec du bois ? Cela vous permettra d’obtenir un garde-corps plus naturel. Pour terminer, il faut aussi que vous pensiez aux rambardes, qui peuvent être conçues avec une tôle ou des vitres. La première option vous permettra d’obtenir des motifs variés tout en vous assurant que les gens ne peuvent pas voir à travers le garde-corps. Tandis que la seconde option vous fera bénéficier d’un style contemporain et discret. Les vitres sont très appréciées, car elles peuvent laisser la lumière passer. Par ailleurs, si vous aimez installer un garde-corps marin chez vous, vous n’aurez qu’à opter pour les câbles. Faire appel à un professionnel, la meilleure option Un professionnel est la personne avec qui vous devez parler si vous envisagez d’installer un garde-corps chez vous. En effet, celui-ci dispose des outils nécessaires pour assurer votre sécurité ainsi que celle de votre entourage. Il est la personne idéale, si vous avez besoin d’aide pour bien choisir le garde-corps que vous allez installer chez vous, car il connaît ce sujet comme le bout de ses doigts. Donc, solliciter les services d’un professionnel pour poser votre garde-corps est une idée excellente. Le fait est que cet expert connaît à la lettre les normes ou les lois qui s’appliquent concernant l’installation d’un garde-corps. De plus, avec les expériences qu’il a acquises au fil des années, il saura très bien vous conseiller sur le choix des matériaux, le choix des accessoires nécessaires, etc. En outre, il connaît tout ce dont il y a à savoir, sur le Plan local d’Urbanisme, ce qui fait qu’il saura vous dire, quelles sont les couleurs que vous ne devez pas choisir, ainsi que les matériaux interdits dans votre commune. En outre, si vous avez besoin d’aider pour remplir des déclarations, que vous devez remettre à la mairie, l’artisan se fera une joie de vous aider. Si vous faites appel à un professionnel, vous pourrez profiter d’un taux de TVA de 10 %, si vous êtes propriétaire de votre maison depuis 2ans minimum. Par ailleurs, si le fait d’installer un garde-corps est utile pour faciliter la vie d’un senior ou d’une personne à mobilité réduite, il se pourrait que l’obtention d’une aide soit possible.
Il y a 5 ans et 89 jours

La consolidation du grand orgue de la cathédrale de Perpignan va commencer

Si sa présence est attestée depuis le XVe siècle, le grand orgue de la cathédrale de Perpignan a été maintes fois remanié. Il reste toutefois un instrument remarquable tant par son buffet gothique, l’un des plus anciens de France, que par sa partie instrumentale, qui est l’œuvre du plus célèbre facteur d’orgue du XIXe siècle, Aristide Cavaillé-Coll. Le buffet d’orgue est classé au titre des monuments historiques depuis 1899, les volets en 1964 et la partie instrumentale de l’orgue en 1988. L’état préoccupant de l’instrument justifie un relevage complet et une restauration en profondeur de la mécanique. Des modifications permettront aussi de le rapprocher de son état originel et d’apporter des améliorations sonores ou relatives au confort de jeu. Le garde-corps de la tribune sera également restauré. Sous la maîtrise d’ouvrage de l’Etat, propriétaire, et la maîtrise d’œuvre de Roland Galtier, technicien-conseil pour les orgues auprès du ministère de la culture, les travaux de restauration seront menés par le facteur d’orgue Laurent Plet, pour un montant de 300 000 euros. Ils débuteront fin mars 2020 et ils devraient s’achever fin 2021. Si la restauration de la tribune nécessitera la présence d’un échafaudage au printemps 2020, la plupart des travaux ne seront pas visibles car la majeure partie de l’orgue est masquée par sa façade. Photo : © Jean-François Peiré Drac
Il y a 5 ans et 150 jours

Achères Seine-Aval : Le festival des bétons

L’usine d’épuration d’Achères Seine-Aval (78) constitue un lieu expérimental formidable, en termes de béton et d’esthétisme architectural. [©ACPresse] L’usine d’épuration d’Achères Seine-Aval, dans les Yvelines, n’en finit pas de s’étendre, de se transformer. Aujourd’hui, ce sont les unités de traitement de la file biologique des eaux, qui parachèvent la refonte du site. Elles se divisent en deux zones : les ouvrages de traitement par biofiltration, réalisés dans un premier temps, puis l’ensemble du traitement membranaire. Cette partie s’organise comme un quartier urbain, avec ses rues, ses allées et ses bâtiments. L’identité visuelle y joue un rôle primordial. Le Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne (Siaap), maître d’ouvrage de l’opération, ayant le souci de donner une représentation positive de l’activité de traitement des eaux. Quelque 46 panneaux traversés d’ogives de verre ont été préfabriqués par l’industriel du béton Naullet. [©ACPresse] D’où un important travail architectural de la par de Dominique et Giovanni Lelli, et de Luc Weizmann, qui souligne : « Achères est un lieu plutôt expérimental, en termes de béton. Il est un fil rouge pour ce matériau, un véritable festival des bétons ». Et Giovanni Lelli, de renchérir : « Nous avons essayé de pousser le béton dans ses retranchements, mais pas uniquement au niveau de sa résistance. Nous avons beaucoup travaillé le plastique. Toutefois, nous n’en sommes qu’aux prémices dans ce domaine. Pour réussir une opération de ce type, il est indispensable d’avoir un maître d’ouvrage, un maître d’œuvre et une entreprise, engagés. Ici, nous avons eu les trois… » Miroir, mon beau miroir… De manière détaillée, trois esthétiques fonctionnelles principales ont été mises en œuvre sur la partie “membranaire”. Tout d’abord, des panneaux en Bfup traversés d’ogives de verre, installés sur le long des passages couverts des bâtiments de production d’air. Puis, des garde-corps intégrant des fragments de miroirs en tant que granulats de parement sur les bassins d’aération. Et enfin, les panneaux en Bfup sensibles à la chaleur, positionnés en partie supérieure des mêmes bâtiments de production d’air. « Des gabions en partie réalisés avec des pierres et des fragments de béton recyclé habillent aussi les ouvrages propres au traitement membranaire, reprend Giovanni Lelli. Comme quoi, il existe mille manières de réutiliser le béton. » Les ogives de verre traversant les panneaux présentent une excroissance en forme de demi-sphère, donnant l’impression de gouttes d’eau à la surface du béton. [©ACPresse] Garde-corps et panneaux ont tous été préfabriqués par l’industriel vendéen Naullet (qui a rejoint le groupe Soriba en tout début de cette année). « Nous avons tout d’abord lancé la production des garde-corps », souligne Didier Gazeau, directeur de Naullet. C’est le mortier à ultra hautes performances i.design Effix Architecture de Ciments Calcia, qui a été mis en œuvre pour cette opération. Un Effix modifié pour pallier les éventuelles incompatibilités avec la silice du verre des miroirs (d’une épaisseur de 2 mm). Naullet a travaillé avec une matrice blanche additionnée d’oxydes de fer pour obtenir la teinte sombre attendue par les architectes. Des ogives de verre « Pour nous, la plus grande difficulté est venue de la mise en place des fragments de miroirs. Nous devions veiller à ce qu’ils se positionnent dans le bon sens sur la table de bétonnage », précise Didier Gazeau. Quel a été le “truc” pour y arriver ? L’industriel ne le dira pas… Après démoulage de chaque panneau, la surface vue était lavée avec un jet d’eau moyenne pression pour éliminer l’huile de décoffrage et la laitance présente sur les miroirs. Au total, Naullet a réalisé 80 garde-corps de 2,50 m de long, 1 m de haut et 5 cm d’épaisseur. Ceux-ci ont ensuite été fixés sur leur support, à l’aide de douilles Halfen et de tiges traversantes. Sans doute, les plus impressionnants par leur esthétique, les panneaux traversés d’ogives de verre ont nécessité une grande précision de réalisation. L’envers du décor… Les ogives de verre laissent filtrer la lumière, éclairant de manière naturelle les passages couverts. [©ACPresse] « Là, nous avons utilisé le Bfup BSI d’Eiffage. Normal, le client était… Eiffage TP. C’est la deuxième fois que nous assurons une préfabrication avec ce matériau. » De teinte blanche, celui-ci était additionné de fibres polypropylène. D’une épaisseur totale de 7 cm, ces panneaux de 6 m de haut pour 2,50 m de large sont traversés par des ogives en verre de 12 cm pour un diamètre de 80 mm. On en dénombre 160 par panneaux, qui compte comprend 46 unités, soit un cumul de 7 360 ogives. Toutes ont été coulées à la main par le maître verrier Olivier Juteau, dans son atelier de Gommecourt (78). Ces éléments ont été sertis dans la matrice en Bfup. « Nous avons entouré chaque ogive d’un matériau résilient de 1 mm d’épaisseur pour contrecarrer les effets de la dilatation et du fluage du béton », précise Didier Gazeau. Deux ans de R&D Le dernier type de panneaux préfabriqués en Vendée ne paie pas de mine, de prime abord. Il est de teinte claire et lisse, présentant un fini architectonique. Quelque chose d’assez classique, en résumé. Mais ce n’est qu’une façade : ces panneaux ont demandé deux année de R&D… « Prenant place en partie supérieure des bâtiments de production d’air, ces panneaux sont sensibles à la chaleur, ou plutôt au froid », dévoile Didier Gazeau. L’idée de ces panneaux thermo-chromiques vient de Giovanni Lelli. Ainsi, en été, lorsque la température extérieure est supérieure à 25 °C, ils sont blancs. Mais quand la température baisse, ils prennent une teinte plus chaude : brune, orangée ou rosée. « La nuance reste légère, mais elle est présente. » L’intensité maximale est atteinte aux alentours de 10 °C et reste stable en deçà. Toutefois, la réaction reste lente et plusieurs jours sont nécessaires pour voir les couleurs changer. Le travail en R&D a principalement consisté à faire évoluer l’addition thermo-chromique pour la rendre compatible avec le pH basique du béton. Garde-corps incrustrés de fragments de miroir. [©ACPresse] « En principe, elle ne marche pas à pH supérieur à 8… » En parallèle, la matrice cimentaire – l’i.design Effix Architecture de Ciments Calcia, là encore – a été modifiée pour l’occasion. Lors de cette dernière phase de préfabrication, Naullet a réalisé une soixantaine de panneaux de 6 cm d’épaisseur pour 7 m de haut et 2,50 m de large pour les plus imposants. Ceci, dans des formes trapézoïdales et rectangulaires. « Au totalité, l’ensemble de cette commande a nécessité près de dix-huit mois de travail en atelier », indique en conclusion Didier Gazeau. Frédéric Gluzicki Repères– Maître d’ouvrage : Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne (Siaap)– Architectes : LWA – Luc Weizmann Architectes (mandataire) et Lelli Architectes– Groupement “génie civil” : Eiffage TP – GTM TP et Sobea Environnement– Préfabricant : Naullet (groupe Soriba)– Montant du marché : 777 M€– Délai : 2012 – 2017
Il y a 5 ans et 165 jours

Cadiou Industrie : Interview d'Emmanuelle Legault

Vivre et s'installer en Bretagne, c'est votre rêve ? Cependant, niveau carrière, vous hésitez ? Lancez-vous, passez à l'ouest, de supers jobs vous attendent dans la région ! Ce n'est pas Emmanuelle Legault, PDG de Cadiou Industrie - Fabricant de portails, clôtures et garde-corps - qui dira le contraire.
Il y a 5 ans et 168 jours

L’INTERNAT DE CHELLES PAR LORILLARD, UNE CONCEPTION TECHNIQUE REMARQUABLE POUR UN GESTE ARCHITECTURAL D’EXCEPTION

  À CHARTRES, 12/2019 Construire un internat n’est jamais chose banale, ce type de bâtiment s’inscrivant dans la catégorie des ERP à savoir des établissements recevant du public et soumis, pour la sécurité de chacun, à des contraintes réglementaires très strictes, s’imposant au moment de la construction et au cours de l’exploitation. Dans le cas spécifique de l’internat de Chelles, la complexité du chantier dépasse le cadre de cette seule réglementation et s’exprime autant dans la conception architecturale que dans la conception-fabrication et conduite du chantier. Retour sur un chantier qui a commencé en mai 2018 ! Un projet d’internat unique et magnifié par le geste architectural Démarrés en mai 2018, les travaux de construction de l’internat seront finalisés en mars 2020. Le chantier pourrait sembler long, à qui pense l’internat sous sa forme classique : un bâtiment accueillant à dimension fonctionnelle et courante. Mais c’est sans compter l’intervention de l’architecte Pascale GUEDOT (équerre d’argent 2010) qui, en la matière, a fait le choix d’un parti pris rare et singulier. Sa conception porte l’empreinte d’un design aux influences nord européennes, tenant plus du bâtiment de luxe que de l’internat fonctionnel, soit, un geste architectural d’ampleur. Construit en 1965, le lycée Gaston-Bachelard occupe un terrain de 90 000 m² accueillant également le lycée Louis-Lumière.   Vue d’ensemble des 3 bâtiments de l’internat formant un U   Il se compose de 3 espaces articulés autour du noyau des accès, et de 2 patios rectangulaires formant ainsi un U. Relié par des passerelles créant jonction entre les 2 bâtiments, l’internat a donc été conçu comme un ensemble de 3 bâtiments connectés. L’objectif initial était d’accroître le nombre de places pour accueillir au total 150 lits. A cela, s’ajoutait la contrainte supplémentaire, propre aux établissements de sommeil, intégrant la cohabitation d’enfants mineurs et d’enfants majeurs devant être séparés. L’internat a donc été pensé comme scindé en deux parties : 3 bâtiments dont un à deux niveaux (RDC + 1er étage) et 2 bâtiments (RDC + 2 étages). Répartis dans des chambres à 1 ou 3 lits (une chambre individuelle pour les majeurs et une chambre jusqu’à 3 lits pour les mineurs), chaque interne disposera d’un espace de couchage et d’un espace de travail. Six chambres sont prévues pour les surveillants ainsi qu’un logement de fonction. Les chambres seront équipées de châssis bois et de stores extérieurs afin d’assurer une continuité avec les façades du bâtiment d’enseignement.   Store extérieur occultant et châssis bois. Parties pleines des ouvrants en mélèze et parties vitrées intégrées au béton.   Lorsque façade en béton et fenêtres masquent la complexité Atteindre l’épure n’est pas simple. Quand on regarde le bâtiment finalisé, on ne perçoit pas la complexité technique, car tout a été soigneusement dissimulé. Les difficultés répondant aux normes ERP – traitement de réactions au feu – s’effacent derrière l’aspect homogène et harmonieux du bâtiment : face à cette façade épurée, l’interrogation du complexe n’émerge pas, face aux parties vitrées et panneaux, on se demande où sont les ouvrants ? Ainsi, en posant les yeux sur la façade de l’internat de Chelles, l’impression première est celle de lignes pures et d’une seule surface mêlant 3 matériaux, le béton, le bois et le verre, qui semblent se fondre. La façade en béton et les fenêtres constituent donc l’élément architectural principal du bâtiment. La partie pleine en mélèze et la partie vitrée, intégrées au béton, indiquent le code architectural qui joue sur une inversion.     Ici, pas de garde-corps, puisque c’est le vitrage qui se fait garde-corps plein et entier, un vitrage fixe tout en hauteur et qui touche le sol, pour donner une impression de vide. L’habillage des façades se compose de panneaux préfabriqués en béton architectonique de teinte gris clair et de bardage en bois de mélèze. Cette construction a nécessité une surface de menuiserie très conséquente à haute isolation thermique. De l’extérieur, la façade porte une couleur béton brut et un veinage de coffrages de dimensions différentes, le tout rythmé par des bandeaux horizontaux filant tout autour, à chaque niveau. Entre béton et coffrages se déploient de petits poteaux béton (370 en vertical).   La partie ouvrante n’est pas la partie vitrée : les ouvrants sont pleins.   De l’intérieur, un ébrasement en bois vient encadrer la menuiserie et tout recouvrir. Le tout, menuisé, présente donc le même aspect esthétique harmonieux : ventilations, stores, milliers de coffres étanches à dimension variée, tout est caché, au service d’une esthétique épurée.   Coffre, ventilation, store, etc. tout sera caché dans le doublage.   Cette épure esthétique relève pourtant d’un caractère complexe d’ouvrages composés, longuement conceptualisés en bureau d’études : un temps d’étude incompressible pour une finition parfaite et assurer une sécurité optimum des internes. Ainsi, de l’intérieur, ne perçoit-on que la partie vitrée ou la partie qui s’ouvre, mais rien d’autre : tout le reste est dissimulé par du placo et aucun store n’est visible. Pour réaliser cette prouesse technique, il a fallu penser les menuiseries pour que les parties pleines ouvrantes et fixes se confondent. Dans ce cas précis, la partie ouvrante n’est pas la partie vitrée : les parties ouvrantes sont pleines et les parties vitrées sont fixes. Panneau et découpe sont réalisés dans la même plaque, seul est perceptible le trait de la scie. La partie ouvrante (découpée dans le panneau) et le veinage s’alignent parfaitement pour que le tout paraisse plein et fixe. Tous les bois sont en mélèze naturel et l’ébrasement, de même teinte, vient récupérer le doublage.     Au-dessus de cet ébrasement, le coffre (portant propriétés aérauliques) et la ventilation, sont cachés dans le doublage. De même, le store descendant devant la partie fixe côté intérieur, est rendu invisible. Une technicité dépassant le sur-mesure Toute la difficulté posée au bureau d’étude de Lorillard était donc de cacher la complexité technique et de rendre invisible le savoir-faire : pas d’habillage ni champ plat, ajout de joints creux, placo rencontrant la menuiserie avec une infinie précision, construction spécifique de porte bois, couronnes ERP particulières, châssis coulissants sur mesure atteignant des dimensions de 10 mètres de long pour correspondre aux plans hors standard, conception de profils spécifiques et d’assemblage, création d’ouvrants pompiers plus larges avec des systèmes de poignée ouvrant dans les deux sens, et systèmes de libération instantanée des serrures en cas d’alarme incendie etc.…   Usinage des menuiseries   Chaque pièce, de dimension différente, a été minutieusement pensée et dessinée en bureau d’étude, travaillée au millimètre près : un défi pour le bureau d’études et l’atelier de produire des menuiseries hors standard signées Lorillard ! Tout ce travail préparatif colossal représente des mois d’étude et de phasage avec l’architecte, pour arriver à ce que tout s’assemble à la perfection, en respectant les plans originaux.   Production de menuiseries hors-standard.     Pour les équipes de Lorillard, il ne s’agissait pas seulement de réaliser de simples fenêtres mais plutôt de répondre aux exigences singulières de Pascale Guédot. Chaque fenêtre standard a donc été totalement rhabillée en usine, pour que tout soit à fleur et paraisse aligné comme le voulait l’architecte : un préfabriqué d’usine à simplement déposer sur le chantier et s’emboîtant au millimètre sur place. Ces réalisations multiples dépassent l’idée que l’on peut se faire du sur-mesure. Cloison en béton pour ouvrage de 160/180, cloisons différenciées pour que l’ébrasement s’ajuste au bâtiment, pré-construction des poteaux, calcul thermique de panneaux, laine de roche, tasseaux servant aux alignements, bavettes aluminium, créments particuliers, systèmes à levage, tout a été assemblé ou découpé en usine.   De même, tous les produits annexes propres à la fenêtre (quincaillerie, systèmes de verrouillage, bardage…) ont été répertoriés et assemblés en atelier afin que celle-ci puisse être livrée préassemblée. Conçus en usine, les panneaux de bois préfabriqués ont également permis un gain de temps considérable au moment de la pose. Car ces créations ont aussi nécessité une mise en œuvre particulière, complexe et délicate, ajustement et finition ne pouvant se faire que sur place.   Croquis du B.E. Lorillard pour la conception des échaffaudages et chariots.   De la prouesse technique en atelier à la prouesse technique de la pose Tous les éléments réalisés pour ce chantier s’avérant hors standard, le bureau d’étude a dû développer un système industriel spécifique pour l’approvisionnement et le montage dans la conduite des travaux soit : un concept industriel unique et propre à ce chantier, s’adaptant aux dimensions des ouvrages prémontés en atelier et ce, pour éviter la création d’un atelier sur place.   Pose des menuiseries à l’aide du chariot à vérins   Pour acheminer ces ensembles inhabituels par leur dimension et leur poids (exp : fenêtre de 2m30 par 2m30 pour 250 à 300 kilos), et permettre leur installation dans les meilleures conditions tout en assurant un nombre maximum de poses en une seule et même journée, le bureau d’étude a conçu et fabriqué des échafaudages et un chariot, spécifiquement adaptés au chantier. Les ensembles-fenêtres, non manœuvrables à la main, furent préalablement parés d’anneaux en acier, afin d’être livrés à l’aide d’une grue. Par ailleurs, ne pouvant pas passer par les entrées en béton, les fenêtres étaient transportées sur le chariot qui permettait de les incliner à 45 degrés, afin d’être passées en diagonale par les ouvertures. Puis elles étaient acheminées à l’intérieur du bâtiment, et descendues le long d’une rampe en bois, au bon niveau, en face de leur baie.     Les fenêtres étaient alors redressées, par le biais d’un vérin préalablement fixé sur le chariot, permettant une pose avec des réglages en hauteur différenciés. La fenêtre n’avait plus alors qu’à être vissée ! Avec ce chantier, Lorillard est allé au-delà du sur-mesure, en livrant une réponse industrielle technique parfaite à un geste architectural créatif et exigent. C’est le propre du génie des choses simples en apparence, qui sont vues comme simples car leur complexité est masquée. Les élèves de l’internat du lycée Gaston Bachelard pourront dormir sur leurs deux oreilles !   Patiot Internat Chelles   L’internat en quelques chiffres … Fiche technique En l’état actuel (soit à 80% de la réalisation du chantier – à fin octobre 2019). 137 plans ou carnets de plan mobilisant le bureau d’études pendant 3100 heures . 1700 heures de travail pour le conducteur des travaux. 450 heures pour le chef de chantier. 3 736 heures pour la société de pose.   Projet fini Internat Chelles – Architecte Pascale Guédot   Au final : 287 ensembles menuisés. 17 blocs portes extérieures. Un ensemble de hall mur rideau en bois mélèze. 172m² de plafond bois. 125 m² de bardage vertical en tasseaux de bois mélèze. Ensemble blocs intérieurs et toisons vitrées coupe-feu et pare flamme. 144 stores occultant électriques radio pour les chambres. 51 stores solaires pour les parties communes (salles communes, foyers, salles de travail etc.). 100m² d’habillage mural de hall en mélèze. 1300 mètres linéaires d’ébrasements intérieurs en périphérie des fenêtres. Financement : région Ile de France. Architecte : Pascale Guédot (équerre d’argent 2010) Montant des travaux : 1 million 609 euros HT A propos du Groupe Lorillard : Fondé en 1936 à Chartres et présidé par Thierry Luce, le Groupe LORILLARD figure parmi les leaders français de la menuiserie industrielle sur-mesure. Première entreprise indépendante du secteur, LORILLARD couvre l’ensemble du marché de la fenêtre et maîtrise la fabrication de ses produits grâce à un pôle industriel intégré. Elle est actuellement l’une des seules entreprises à décliner son offre dans quatre matériaux : bois, PVC, aluminium et mixte. Chiffres-clés : 940 collaborateurs – chiffre d’affaires 2018 : 160 millions d’euros – production annuelle : 1 100 menuiseries par jour – 200 logements équipés ou rénovés par jour. www.lorillard.fr
Il y a 5 ans et 171 jours

Béton, bois et verre pour l’internat de Chelles

La complexité du chantier de l’internat de Chelles (77) dépasse le cadre des contraintes réglementaires très strictes, elle s’exprime autant dans la conception architecturale que dans la conception-fabrication et conduite du chantier. L’architecte Pascale GUEDOT (équerre d’argent 2010) a fait le choix d’un parti pris rare et singulier, sa conception porte l’empreinte d’un design aux influences nord européennes, tenant plus du bâtiment de luxe que de l’internat fonctionnel, soit, un geste architectural d’ampleur. En posant les yeux sur la façade de l’internat de Chelles, l’impression première est celle de lignes pures et d’une seule surface mêlant 3 matériaux, le béton, le bois et le verre, qui semblent se fondre. La façade en béton et les fenêtres constituent donc l’élément architectural principal du bâtiment. La partie pleine en mélèze et la partie vitrée, intégrées au béton, indiquent le code architectural qui joue sur une inversion. Ici, pas de garde-corps, puisque c’est le vitrage qui se fait garde-corps plein et entier, un vitrage fixe tout en hauteur et qui touche le sol, pour donner une impression de vide. L’habillage des façades se compose de panneaux préfabriqués en béton architectonique de teinte gris clair et de bardage en bois de mélèze. Cette construction a nécessité une surface de menuiserie très conséquente à haute isolation thermique. De l’extérieur, la façade porte une couleur béton brut et un veinage de coffrages de dimensions différentes, le tout rythmé par des bandeaux horizontaux filant tout autour, à chaque niveau. Entre béton et coffrages se déploient de petits poteaux béton (370 en vertical). De l’intérieur, un ébrasement en bois vient encadrer la menuiserie et tout recouvrir. Le tout, menuisé, présente donc le même aspect esthétique harmonieux : ventilations, stores, milliers de coffres étanches à dimension variée, tout est caché, au service d’une esthétique épurée. Cette épure esthétique relève pourtant d’un caractère complexe d’ouvrages composés, longuement conceptualisés en bureau d’études : un temps d’étude incompressible pour une finition parfaite et assurer une sécurité optimum des internes. Ainsi, de l’intérieur, ne perçoit-on que la partie vitrée ou la partie qui s’ouvre, mais rien d’autre : tout le reste est dissimulé par du placo et aucun store n’est visible. Pour réaliser cette prouesse technique, il a fallu penser les menuiseries pour que les parties pleines ouvrantes et fixes se confondent. Dans ce cas précis, la partie ouvrante n’est pas la partie vitrée : les parties ouvrantes sont pleines et les parties vitrées sont fixes. Panneau et découpe sont réalisés dans la même plaque, seul est perceptible le trait de la scie. La partie ouvrante (découpée dans le panneau) et le veinage s’alignent parfaitement pour que le tout paraisse plein et fixe. Tous les bois sont en mélèze naturel et l’ébrasement, de même teinte, vient récupérer le doublage. Au-dessus de cet ébrasement, le coffre (portant propriétés aérauliques) et la ventilation, sont cachés dans le doublage. De même, le store descendant devant la partie fixe côté intérieur, est rendu invisible. Toute la difficulté posée au bureau d’étude de Lorillard était de cacher la complexité technique et de rendre invisible le savoir-faire : pas d’habillage ni champ plat, ajout de joints creux, placo rencontrant la menuiserie avec une infinie précision, construction spécifique de porte bois, couronnes ERP particulières, châssis coulissants sur mesure atteignant des dimensions de 10 mètres de long pour correspondre aux plans hors standard, conception de profils spécifiques et d’assemblage, création d’ouvrants pompiers plus larges avec des systèmes de poignée ouvrant dans les deux sens, et systèmes de libération instantanée des serrures en cas d’alarme incendie etc. … Chaque pièce, de dimension différente, a été minutieusement pensée et dessinée en bureau d’étude, travaillée au millimètre près. Tous les éléments réalisés pour ce chantier s’avérant hors standard, le bureau d’étude a dû développer un système industriel spécifique pour l’approvisionnement et le montage dans la conduite des travaux.
Il y a 5 ans et 171 jours

FORESTIA / FELIX CLERCX – Le Groupe FORESTIA accélère sa croissance à l’international avec l’acquisition de la société néerlandaise Felix Clercx B.V et de sa filiale allemande, réalisée avec le soutien de Bpifrance et NCI

Le Groupe FORESTIA fondé et dirigé par Nicolas Tant, réalise l’acquisition de 100% de la société Felix Clercx B.V à Helmond (Pays Bas) et de sa filiale située à Dortmund (Allemagne) spécialisée dans l’importation de bois tropicaux, thermo-traité et composite. Bpifrance et NCI, qui étaient rentrés au capital de Forestia en mai 2019, ont réaffirmé leur soutien au groupe en réinvestissant à cette occasion, afin d’accompagner le financement de cette opération de croissance externe structurante pour la société. FORESTIA conçoit, fabrique et commercialise des solutions d’aménagement extérieur en bois bruts et bois composite : bardage, terrasse et clôtures ainsi que des accessoires de pose à sa marque mais aussi des produits d’aménagement et de décoration du jardin destinés aux paysagistes, tels des bacs en acier corten ou fibre de verre, éclairage, garde-corps. Ces produits sont commercialisés auprès de négociants spécialisés par Fiberdeck® ou directement à la clientèle finale (professionnels et particuliers) par l’intermédiaire de sites web (So Garden, Decklinea et Direct-Abris). Fondée il y a 15 ans, Forestia a connu une croissance organique forte et régulière et s’est imposé comme l’une des références sur le marché français des produits d’aménagement extérieur. Avec cette nouvelle opération de croissance externe, Forestia poursuit son objectif de développement international et complète son offre en matière de bois haute qualité. Le groupe double ainsi de taille et prévoit de réaliser un chiffre d’affaires consolidé avoisinant les 50 millions d’euros en 2019. Nicolas Tant maintient par ailleurs ses objectifs de croissance en France et à l’export, en axant son développement sur des produits innovants et d’une qualité irréprochable, notamment sa nouvelle gamme de bardage WEO en bois composite co-extrudé garantie 20 ans sans décoloration. Nicolas Tant, Dirigeant de Forestia, déclare : « L’acquisition de Felix Clercx va nous permettre d’accélérer notre croissance en Europe en nous ouvrant de nouveaux marchés à forts potentiels. Felix Clercx, est une entreprise avec qui nous avions noué des liens commerciaux de plus en plus étroits ces dernières années. Cette importante acquisition a pu se dérouler en pleine confiance avec une stratégie partagée par son dirigeant Peter Derckx pour construire un avenir commun. Felix Clercx partage nos valeurs, notamment de développement durable avec une forte proportion de bois certifié FSC dans sa gamme. Cette société dispose d’une plateforme logistique de 40 000 m2 très performante et d’une clientèle diffuse bien répartie sur l’Allemagne et le Bénélux. » Peter Derckx, Dirigeant de Felix Clercx B.V., ajoute : « En 2012, après avoir pris la direction générale à la suite de Jean-Marie Clercx j’ai pu développer l’entreprise, notamment sur le marché allemand avec une qualité de service qui nous caractérise. N’ayant pas de succession au sein de la famille après 3 générations, nous avons décidé, d’un commun accord avec la famille Clercx de chercher un repreneur courant d’année 2018. Nos bons ratios financiers ont suscité beaucoup d’intérêts de la part de plusieurs sociétés néerlandaises mais Forestia® s’est avéré être pour nous le « candidat idéal » : la même vision stratégique, pas de chevauchement de clientèle et de plus une gamme de produits extrêmement innovante et complémentaire de notre assortiment actuel. Nos clients apprécieront tout particulièrement les dernières nouveautés en matière de bardage en bois composite co-extrudé. Je continuerai à donner des orientations à cette belle entreprise dans les années à venir en jouant les synergies avec le nouveau propriétaire Forestia®. Nous envisageons l’avenir avec encore plus de confiance et nous maintiendrons notre slogan : « Wood for generations ». Jean-Yves Duriez, Directeur d’investissement chez Bpifrance Investissement, conclut : « Nous avions participé en mai 2019 avec NCI à l’ouverture du capital de Forestia, afin de soutenir cette entreprise familiale dans son développement rapide, porté par une croissance organique robuste, générée par de nouveaux produits de qualité, durables et répondant aux attentes des consommateurs. Nous sommes heureux aujourd’hui de l’accompagner dans cette nouvelle étape de son développement, au travers de cette opération de croissance externe structurante, qui va lui permettre de doubler de taille et de s’implanter sur de nouveaux marchés, aux Pays-Bas et en Allemagne ».   Intervenants Investisseurs financiers :  –    Bpifrance Investissement : Jean-Yves Duriez, directeur d’investissement, Pierre de Miscault, Vincent Stievenard, directeur interrégional –    NCI : Anne-Cécile Guitton, Directrice Associée, Anaëlle Meilard Conseil juridique Forestia : –    Cabinet Théret : Anne-Sophie Leriche, Edouard Théret. –    Pellicaan Advocaten : Juriaan Maccow, Sanne de Graaff, Anita van Nielen Conseil juridique Felix Clercx : Eno Schets, Audit financier : Cabinet Mazars : Bas van Ouden, Eddy Bertelli, Sylvia van Beukering Audit Juridique, fiscal et social : Cabinet Mazars / Pellicaan : Juriaan Maccow, Sanne de Graaff Dette senior : Banque Populaire du Nord (Martin Descamps), HSBC, CIC Nord-Ouest, Bpifrance Financement A propos de FORESTIA Forestia® est une société spécialisée dans le développement de produits d’aménagement extérieur, qu’elle commercialise via une distribution multicanal BtoB et BtoC à travers ses filiales : Amenabois, So Garden et Fiberdeck. Spécialistes des produits en bois massifs à l’origine, la société a développé un savoir-faire dans les bois composites de haute qualité avec des applications plus durable en revêtements extérieurs, ainsi qu’une gamme d’accessoires innovants pour simplifier l’installation de ses produits sous ses propres marques. Bureau d’étude à l’origine, Forestia, attache une grande importance à la mise au point de produits de haute qualité, pour un usage durable et respectueux de l’environnement. A propos de FELIX CLERCX Felix Clercx, fondé en 1891 à Helmond (Pays Bas) est une entreprise familiale qui s’est développée à travers 3 générations dans l’importation et la distribution de bois exotique puis  de produits manufacturés pour le jardin et la construction. En provenance principalement d’Indonésie et d’Afrique, les bois sélectionnés sont à plus de 30% certifiés FSC. L’introduction de bois composite et de bois thermo-chauffés dans sa gamme est récente avec une volonté de diversification de ses approvisionnements. La plateforme de stockage s’étend sur 40 000 m2 avec une évolution du service de préparation au détail pour répondre aux nouvelles attentes de ses clients.  A propos de Bpifrance Les investissements en fonds propres de Bpifrance sont réalisés par Bpifrance Investissement. Bpifrance finance les entreprises françaises – à chaque étape de leur développement – en crédit, en garantie et en fonds propres. Bpifrance les accompagne dans leurs projets d’innovation et à l’international. Bpifrance assure aussi, désormais leur activité export à travers une large gamme de produits. Conseil, université, mise en réseau et programme d’accélération à destination des startups, des PME et des ETI font également partie de l’offre proposée aux entrepreneurs. Grâce à Bpifrance et ses 48 implantations régionales, les entrepreneurs bénéficient d’un interlocuteur proche, unique et efficace pour les accompagner à faire face à leurs défis. A propos de NCI Acteur majeur du capital investissement implanté à Rouen, Paris et Lille, NCI investit des compétences et des fonds propres dans des projets de création, de développement et de transmission minoritaire ou majoritaire d’entreprises régionales. Doté d’un accélérateur, et d’une équipe d’experts, NCI accompagne les entrepreneurs dans « leurs projets de création de valeur ». Avec 220M€ sous gestion – confiés par des investisseurs institutionnels publics et privés, NCI concilie finance et développement économique sur son territoire.
Il y a 5 ans et 172 jours

GEO Technic lance 2 innovations pour l’ITE et propose son propre e-shop pour la commercialisation

Spécialisé dans la pose d’Isolation Thermique Renforcée des bâtiments, GEO Technic intervient sur tous types de bâtiments avec une expertise reconnue depuis plus de 10 ans. C’est en testant les différents systèmes existants sur le marché que son dirigeant, Franck Porcel, a eu l’idée d’une solution de déport de charge et de déport de volet innovante, permettant une pose 4 fois plus rapide et répondant à presque tous les cas de figures avec un seul et même accessoire ! Résistantes, faciles à poser et parfaitement isolantes, les solutions ISODEPORT RT+ et ISODEPORT Volet améliorent considérablement la gestion et l’organisation des chantiers ITE. Outre le gain de temps, c’est un réel gain de productivité pour le poseur. ISODEPORT RT+ : le seul déport de charge universel à rupture de pont thermique Entièrement composé de matière composite pour assurer une parfaite isolation, ISODEPORT RT+ comprend un axe principal réglable de 120 à 220 mm dans lequel vient se fixer une tige filetée. Grâce à ce système ajustable, ISODEPORT RT+ s’adapte à 90 % des situations chantiers. Plus besoin de multiplier les accessoires en fonction de l’épaisseur des murs, il suffit de choisir la tige selon la charge à fixer (tige de 8 pour les charges moyennes et tige de 14 pour les charges lourdes) et le tour est joué ! Vous vissez ou dévissez exactement selon l’épaisseur du système. En rénovation, ISODEPORT RT+ se fixe précisément sur le goujon de l’ancienne fixation, grâce à un trou de centrage, pour replacer les éléments à leur place (stores, garde-corps, climatiseurs…). Côté résistance, la composition à partir de résine polyamide, chargée à 30 % de fibre de verre, assure une excellente solidité : résistance aux chocs de 6 KJ/m², résistance au poids de plus de 300 kg à 120 mm et à 185 kg à 220 mm, résistance à la traction de 100 Mpa. ISODEPORT Volet : une pose 4 fois plus rapide, quel que soit le sens de la fixation Sur le même principe que le déport de charge, le déport de volets de GEO Technic est à la fois facile à poser et adaptable selon les configurations. Ce système unique permet en effet de fixer indifféremment les volets battants de gauche ou de droite, et de s’adapter à l’isolant avec un ajustement de longueur de 130 à 190 mm. Grâce à une bague à rupture de pont thermique, ISODEPORT Volet se positionne sur le gond existant pour respecter exactement la fenêtre.   Un système d’équerre universelle, positionnable à gauche ou à droite, vient ensuite se fixer dans le mur. Il ne reste plus qu’à ajuster la longueur de déport (de 130 à 190 mm) et de choisir le diamètre du gond adapté (14 ou 16) pour fixer le volet. 15 minutes suffisent pour installer le déport, soit seulement une heure pour deux volets, quand les autres systèmes demandent généralement une demi-journée.   La bague à rupture de pont thermique en polyamide assure une parfaite isolation et évite tout risque de jonction dans le mur. Pour le poseur, c’est l’assurance d’avoir toujours le bon accessoire à portée de main et d’un stock plus facile à gérer.
Il y a 5 ans et 174 jours

Du garde-corps inox sur la tour Alto

Dans la jungle urbaine de l’île de France, certaines naissances sont moins discrètes que d’autres. Niché dans le quartier de la défense un reptile a pourtant terminé sa mue : Alto. Moins scintillante sous la brume hivernale, sa parure en écaille de verre n’en est pas pour autant moins imposante. Et pourtant, du haut de ses 150 mètres, cette tour brille par son ingéniosité. Avec ses 38 étages, la tour Alto a choisi d’opter pour une forme évasée sans arrêtes. Ce choix judicieux a permis entre autres de respecter une surface au sol de 600 m² tout en développant à son sommet des étages avoisinants les 2000 m². Au 36ème et 37ème étage, les deux derniers niveaux d’Alto, deux grandes terrasses ouvertes sur l’extérieur de respectivement 125 et 214 mètres carrés ont été créées. L’ultime étage offrira aux utilisateurs de la tour un salon VIP et un Skylounge. Ce sont sur ces derniers étages qu’ACBI a mis en œuvre tout son savoir faire en tant que fabricant métallier afin d’assurer la sécurité des usagers et du personnel évoluant sur ces terrasses. Des garde-corps cintrés barreaudés en Inox (répondant aux normes du public), ont été créés spécialement pour venir épouser les élégantes et complexes courbes du site. Le cintrage a été réalisé directement en usine pour une pose millimétrée sur les lieux (aucune recoupe). La difficulté de cette installation reposait sur la différence des garde-corps posés (platine déportée et platine verticale) sur le même plan. D’un côté il fallait éviter le tracé du chemin de nacelle (monté sur rail). De l’autre, pour respecter les normes environnementales BBC, la contrainte architecturale préconisait l’installation d’une platine déportée traversant l’isolation. Quid de l’installation de deux types de platines ? les hauteurs de poteaux seront indubitablement différentes. Ajouter à cela une courbure de la terrasse en forme de haricot, vous obtenez un chantier passionnant et un bon défi technique brillamment réalisé. Pour la mise en sécurité de la terrasse haute (inaccessible au public), c’est le garde-corps aluminium Olykit qui a été retenu. Ce dernier, monté sur platine V, respecte également le choix fait par l’architecte de n’avoir que des lignes courbes. Ainsi, ses lisses et ses sous lisses sont, comme pour l’ERP inox : Cintrées. La société ACBI est un fabricant métallier spécialisé dans la fabrication d’échelles à crinoline, de garde-corps techniques/ERP et d’escaliers droits et hélïcoidaux depuis 30 ans.  
Il y a 5 ans et 204 jours

Quel garde-corps choisir ?

Pour une maison parfaite et sûre, vous devez rester attentif à tous les détails et à tout ce qui vous entoure. Pour commencer, vous devez doter votre terrasse, votre balcon et votre escalier d’une barrière de protection de qualité. Laissez-vous tenter par un garde-corps original. En bois, en aluminium, en fer forgé ou en inox, vous disposez de multiples choix. Retrouvez ici les meilleures options pour vous. Le garde-corps en verre À la fois très design et solide, le garde-corps en verre peut s’installer un peu partout dans votre maison, peu importe la hauteur de chute. C’est d’ailleurs la meilleure option pour bénéficier d’une vue dégagée sur le reste de votre résidence ou sur l’extérieur. Vous pourrez donc choisir un garde-corps d’escalier en verre ou un garde-corps en verre pour terrasse. Pour la qualité du verre, optez pour un verre feuilleté ou feuilleté trempé. Très résistants, ces types de verre pour un garde-corps présentent une meilleure solidité et n’explosent pas au moindre choc, car un film PVB protège le verre. En d’autres termes, c’est un véritable gage de sécurité dans votre maison. Pour les différents espaces à risque comme la piscine, l’escalier, la terrasse ou autres, rendez-vous sur https://www.123materiaux.com pour choisir ce qui vous convient. Le garde-corps en inox En plus de son prix relativement bas, le garde-corps en inox se distingue par son style contemporain et son côté moderne. Si vous souhaitez apporter à votre domicile un design original et décoratif ainsi qu’une bonne sécurité, vous devrez opter pour ce modèle. Vous trouverez aussi de diverses qualités de cette balustrade, ce qui vous permet de l’utiliser n’importe où chez vous (à l’intérieur, à l’extérieur ou au bord de la piscine, etc.). L’autre atout de ce type de garde-corps demeure la facilité de son montage. Avec une perceuse et quelques autres accessoires de bricolages, vous pourrez installer vous-même votre barrière de protection. Le garde-corps avec un barreaudage horizontal Dans les maisons de vos voisins ou de vos amis, vous avez sans doute déjà rencontré un garde-corps avec un barreaudage horizontal. Utilisé un peu partout aujourd’hui, il s’installe facilement et reste disponible à un prix abordable. Ce type de balustrade donnera à votre demeure un côté accastillage et moderne, et ne manquera pas de s’adapter au style de votre décoration. Vous pourrez l’adopter par exemple pour vos terrasses ou votre escalier. Comme seul inconvénient, il ne mesure qu’un mètre de hauteur, ce qui limite le niveau de sécurité : les enfants pourront rapidement l’escalader. Vous devrez donc le compléter avec un matériau solide en tôle ou en polycarbonate. Pour votre domicile, vous pourrez aussi porter votre choix sur d’autres matériaux comme le bois, le fer forgé, l’aluminium, etc.
Il y a 5 ans et 244 jours

Fischer : FBN II HDG, un nouveau goujon

Dickies Workwear lance sa nouvelle gamme Flex, dont le pantalon de travail Universal Flex. [©Dickies Workwear] Fischer présente FBN II HDG, un goujon en acier galvanisé à chaud, pour les fixations dans le béton non fissuré. Sa double profondeur d’ancrage (standard et réduite) et son long filetage le rendent flexible, facile et rapide à mettre en œuvre. En effet, FNB II HDG peut être installé, avec seulement quelques coups de marteau. Quelques tours d’écrou suffisent pour appliquer le couple de serrage. De plus, il présente d’une résistance au feu R120. Evalué pour une utilisation en zones humides et les applications extérieures, ce goujon est recommandé pour fixer des constructions métalliques, des profilés, des platines, des garde-corps… Il permet le meilleur ajustement possible des pièces déportées, même en cas de variations des profondeurs d’ancrage. “Le couple formé par la bague et le cône d’expansion fournit une capacité de charges en traction maximales dans le béton non fissuré avec des entraxes et des distances aux bords très faibles. La contrainte d’expansion est ainsi mieux répartie dans le support. De plus, les très faibles entraxes et distances aux bords autorisent la fixation de petites platines proches des bords pour plus d’applications”, peut-on lire dans un communiqué de presse. 
Il y a 5 ans et 255 jours

ANCRAGE FISCHER – NOUVEAU GOUJON FBN II HDG

Le premier goujon galvanisé à chaud évalué pour une utilisation en extérieur (ETE) Le nouveau goujon en acier galvanisé à chaud FBN II HDG étoffe l’offre fischer dans le domaine des goujons d’ancrage, à montage traversant ou non, pour les fixations dans le béton non fissuré. Sa double profondeur d’ancrage (standard et réduite) et son long filetage le rendent extrêmement flexible, facile et rapide à mettre en oeuvre. En outre, il offre une capacité de charges maximales, attestée par l’Evaluation Technique Européenne ETA-18/0101 (Option 7) pour le béton non fissuré, et dispose d’une résistance au feu R120. Evalué pour une utilisation en zones humides et les applications extérieures (ETE), le goujon FBN II HDG galvanisé fischer est recommandé pour fixer des constructions métalliques, des profilés, des platines, des garde-corps, des mains-courantes, des chemins de câbles, des escaliers, des constructions en bois…   Une double profondeur d’ancrage pour plus de flexibilité Les professionnels peuvent utiliser le nouveau goujon FBN II HDG galvanisé fischer pour toutes les applications en extérieur et en environnement humide. Pour une flexibilité optimale sur les chantiers, deux profondeurs d’ancrage sont disponibles : • La profondeur d’ancrage standard permet d’utiliser la capacité maximale de l’ancrage et donc de fixer les charges les plus élevées avec moins de points de fixation. • La profondeur d’ancrage réduite permet de diminuer les temps de forage. Elle est idéale lorsqu’il est nécessaire d’utiliser une longueur utile supérieure ou lorsque la profondeur de forage est limitée (ex. en présence d’armatures). La profondeur d’ancrage peut être ajustée à la situation et à l’application.   Goujon FBN II HDG galvanisé Un ancrage haute résistance à la traction… 1) Le goujon fischer FNB II HDG en acier galvanisé fischer dispose d’un long filetage, idéal pour les fixations déportées. Il permet le meilleur a justement possible des pièces déportées, même en cas de variations des profondeurs d’ancrage. 2) Le couple formé par la bague et le cône d’expansion fournit une capacité de charges en traction maximales dans le béton non fissuré avec des entraxes et des distances aux bords très faibles. La contrainte d’expansion est ainsi mieux répartie dans le support. De plus, les très faibles entraxes et distances aux bords autorisent la fixation de petites platines proches des bords pour plus d’applications. 3) L’épaulement de tête est lisse ce qui évite l’endommagement du filetage lors de la mise en oeuvre. Par ailleurs, il dispose d’un marquage permettant d’identifier la version du goujon mais aussi de contrôler la profondeur d’ancrage. … et à la corrosion Le goujon FNB II HDG bénéficie d’une galvanisation à chaud d’une épaisseur minimum de 50 μm respectant les dispositions de la EN ISO 10684:2011. La durabilité du revêtement a été évaluée selon la EAD 330232-00-0601 et peut s’étendre jusqu’à 50 ans (en fonction des catégories de corrosivité C1, C2, C3, C4, C5, CX).   Un confort d’installation optimal Le goujon fischer FNB II HDG galvanisé est un ancrage à expansion par serrage contrôlé. Le serrage de l’écrou entraîne le cône dans la bague d’expansion et expanse cette dernière contre les parois du trou foré. Il peut être installé avec seulement quelques coups de marteau, ce qui facilite son usage dans les situations ne permettant pas de donner des coups de marteau puissants, comme par ex. pour les constructions difficilement accessibles. Quelques tours d’écrou suffisent pour appliquer le couple de serrage.   Une large gamme Pour multiplier les champs d’applications, fischer propose une large gamme de goujons FBN II HDG. En plus de la version standard avec sa double profondeur d’ancrage, une version courte FBN II HDG K (avec profondeur d’ancrage réduite uniquement) assure une mise en oeuvre encore plus rapide. Cette version est une alternative économique et avantageuse pour les fixations non-structurelles, qui ne nécessitent pas de charges importantes. Le goujon FNB II HDG galvanisé est homologué pour le béton non fissuré C20/25 à C50/60 ainsi que le béton non fissuré C12/15, et dans la pierre naturelle à structure dense, pour les dimensions M8 à M20.
Il y a 5 ans et 265 jours

Une bulle d’Oxygen à la Défense avec le bambou MOSO®

Installé dans le quartier d’affaires de La Défense, Oxygen est un nouveau complexe de 3500 m2 en forme de vaisseau spatial dessiné par l’architecte Stéphane Malka. Né de la volonté de redynamiser ce grand pôle financier, Oxygen accueille de nouveaux lieux de vie s’articulant autour d’un grand bar-afterwork, d’enseignes de restauration et de lieux d’animation, aménagés à la fois au-dessus et au-dessous de la dalle, sur plus 2000m2 dont 800m2 de terrasses végétalisées. Dans cette architecture qui rompt avec les tendances faites de minéralité et de béton, le bambou MOSO® Bamboo X-treme® a su trouver sa place, grâce à son rendu esthétique et ses propriétés techniques, telles que la durabilité et la résistance. « Utilisé en lames verticales double épaisseur, ce système de bambou permet de créer un brise soleil efficace tout en ouvrant la vue vers l’axe royal. Sa durabilité, sa facilité d’entretien, son aspect minimaliste et baroque sont des atouts majeurs pour le projet Oxygen » déclare Stéphane Malka. MOSO® Bamboo X-treme®, carrelets en bambou garantie 10 ans Au total, 5500ml de carrelets MOSO® Bamboo X-treme® habillent les façades et les garde-corps d’escalier du nouveau complexe. Les lames MOSO® Bamboo X-treme® revêtissent également la terrasse du Bioburger, implanté dans le complexe Oxygen. Doté d’une certification dans la classe de durabilité la plus élevée, MOSO® Bamboo X-treme® est installé dans les environnements les plus exigeants dans le monde entier. La gamme de solutions Bamboo X-treme® est fabriquée à partir de lamelles en bambou thermo-traitées à 200°C qui sont ensuite compressées à très haute densité. Ce double traitement les rend aptes à l’installation en extérieur, comme le bardage et les persiennes, et plus particulièrement comme platelage. MOSO Bamboo X-treme® présente d’excellentes propriétés pour des applications extérieures : Durabilité : classe d’usage 4 (EN335) – Classe 1 durabilité biologique (EN350) Résistance et dureté : haute densité 1150kg/m3 – résistance brinell >9.5kg/mm2 Stabilité : coefficient de dilatation très faible Ignifuge : résistance au feu classe Bfl-s1-d0 pour le bardage, Bfl-s1 pour la terrasse Écologique : CO2 neutre, crédits LEED, HQE, BREEAM Applications multiples : terrasse, bardage, mobilier urbain, pergola, jalousies et plus Maintenance faible Détails du projet Oxygen La Défense Lieu : Paris La Défense – Esplanade de La Défense – Puteaux / Courbevoie Architecte : Stéphane Malka Applications en bambou : Carrelets Bamboo X-treme 2000x90x40mm 5500ml: façade et mains courantes des escaliers Terrasse Bamboo X-treme 1850x137x20mm 100m2 (restaurant Bioburger) Installateurs : Façade et mains courantes : Treuil Charpente Terrasse (bioburger) : Prosbois Des informations sur le site de MOSO : https://www.moso.eu/node/1126/ Un matériau noble et durable Le bambou MOSO® est une espèce de bambou chinois, appelée également « phyllostachys pubescens », à forte croissance et très résistante. Le bambou n’est pas un bois mais une graminée ; sa culture ne provoque pas de déforestation. Tous les 4-5 ans, les cannes sont récoltées, laissant la place aux jeunes pousses de bambou qui se développent naturellement chaque année. Généralement 20-25% des cannes d’une forêt de bambous bien gérée peuvent être récoltées chaque année. Enfin, durant sa croissance, le bambou MOSO® capte plus de CO2 que l’émission produite durant l’ensemble de sa production et de son transport. Les analyses officielles du cycle de vie (ISO 14040/44) montrent que les produits MOSO® Bamboo X-treme® sont neutres ou négatifs en CO2 tout au long du cycle de vie.   À propos de Moso Avec une expérience de plus de 20 ans, MOSO® international est le pionnier des solutions innovatrices en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur et le seul producteur de bambou à intervenir mondialement. Basé aux Pays-Bas, MOSO® international possède des bureaux en Espagne, en Italie, en Afrique du Sud, en Chine, aux Etats-Unis et aux Emirats Arabes Unis et compte 75 collaborateurs au total. www.moso.eu/fr
Il y a 5 ans et 276 jours

Remédier au manque d’étanchéité de façades complexes en béton brut

Un ensemble de logements sociaux d’à peine cinq ans subit des infiltrations d’eau. Pour remédier au manque d’étanchéité des façades complexes en béton brut, Sto est le seul industriel à s’engager sur un système d’imperméabilité I4, associé à une étanchéité liquide sur les coursives. A la périphérie nord-ouest de Rennes (Ille-et-Vilaine), les Allées du Parc sont un vaste ensemble résidentiel livré en 2012 au bailleur social Neotoa. Les façades expriment la trame structurelle en béton brut, avec des parties lasurées de la couleur du grès brun-rouge local. Tout allait pour le mieux pour les résidents, jusqu’à ce qu’ils découvrent des infiltrations d’eau dans leurs logements. Les bâtiments prennent l’eau de toutes parts. L’eau pénètre notamment dans les interstices créés par les escaliers extérieurs, les coursives et les multiples points singuliers des façades. La moisissure envahit les plaques de plâtre du doublage. Les désordres sont tels que certains locataires souhaitent quitter les lieux et demandent d’être relogés dans d’autres résidences. Une quarantaine d’appartements doivent ainsi être rénovés. Début 2016, suite à un appel d’offres de maîtrise d’oeuvre, Neotoa choisit l’architecte rennais Olivier Fassot (Atelier Fassot Architecture) pour établir un diagnostic et conduire une opération de remise en état des façades et des logements impactés par les désordres. L’architecte répertorie une dizaine de pathologies différentes associées à des points singuliers tels que les modénatures, les joints de désolidarisation, les coursives, les escaliers, les garde-corps… et élabore un mode opératoire pour traiter chacune d’elles. Il fait appel à quatre fabricants de produits d’imperméabilité de façade pour l’aider dans sa préconisation du revêtement. Un seul accepte de s’engager : Sto. Les points singuliers sont identifiés : le béton brut est en partie recouvert d’une lasure et, surtout, les parties courantes ne peuvent pas être revêtues d’un produit d’imperméabilité I4 classique en raison des nombreuses modénatures qui empêchent de dérouler une toile de verre d’armature sur l’ensemble. Avec l’appui de la direction technique de Sto et après plusieurs visites sur le site, le représentant local Frédéric Dourdain propose une alternative au système d’imperméabilité I4 Irtop : il s’agit d’intégrer au revêtement un voile de verre qui s’interrompt à la rencontre des reliefs de la façade en assurant la continuité au niveau des joints avec un mastic polyuréthane et un doublement de l’épaisseur de la couche de fond. Les sols de coursives seront quant à eux revêtus d’un système d’étanchéité liquide (SEL). Le tout en soignant particulièrement les jonctions entre les deux types de revêtements. Surface de façade traitée : 8 000 m2 Maître d’ouvrage : Neotoa (ex Habitat 35) Maître d’oeuvre : Atelier Fassot Architecture Entreprise applicatrice : Goni S.A.S  
Il y a 5 ans et 293 jours

OXYNOV : la balustrade Inox à composer soi-même

Oxynov a l’ambition de proposer un concept novateur sur le marché du garde-corps inox. Le client compose lui-même sa balustrade en choisissant les différents éléments selon l’utilisation et le design recherchés. Ce nouveau concept se vante d’être l’un des plus attractifs du marché en termes de prix. Garde-corps avec Panneaux en verre acrylique Le concept OXYNOV La balustrade Inox OXYNOV est constituée d’éléments standards qui constituent les garde-corps. Vous y retrouvez les poteaux en Inox, les câbles et les éléments de fixation, les tubes, les panneaux de verres et les pinces de fixation ainsi que les mains courantes en bois ou Inox. Voici les différents éléments proposés : Les poteaux Deux types de poteaux sont proposés pour des utilisations différentes : INOX 304 : pour les utilisations du quotidien, adaptés à tout type de projet INOX 316 : pour les utilisations adaptées aux milieux marins et/ou milieux corrosifs La main courante Vous aurez le choix entre une main courante en INOX ou en bois selon l’utilisation  que vous souhaitez en faire et le design recherché. Concernant les mains courantes en bois, vous avez le choix entre 3 essences différentes : Bois Ipé, Bois Iroko, Bois Hêtre. Le remplissage Concernant le remplissage, c’est encore 3 solutions qui vous sont proposées : Les câbles : réservés pour les longueurs de garde-corps inférieures à 4 mètres. Vendu en kit, un tendeur est fourni avec pour vous rendre le montage accessible Les tubes : ils sont légers et résistants pour sécuriser aux mieux vos espaces. Leur fixation est simple grâce aux vis fournies avec les supports des poteaux Tube + Plaque transparente : cette solution apporte une protection optimale. La plaque est fabriquée en verre acrylique, matière hyper solide qui protègera au mieux vos pièces et espaces de vie. Ces plaques sont traitées anti-UV pour ne pas changer de couleur face au soleil. Des modèles prêts à être installés Afin de faciliter le choix des clients, OXYNOV propose des modèles prêts à être monter. Vous retrouverez des compositions d’environ 2 mètres sur le site Decklinéa.com pour des balustrades de 2 mètres où les différents composants sont mélangés afin de proposer des rambardes au style minimaliste et contemporain. Ces kits prêts à poser vous feront gagner du temps et le budget sera plus vite calculé en le rapportant au prix/ mètre linéaire. Ces modules sont idéals pour sécuriser une mezzanine, une terrasse sur pilotis ou encore les abords d’une piscine. Les ingénieurs ayant conçu ces garde-corps en Inox ont souhaité rendre l’installation très accessible pour les particuliers. Ainsi, cette gamme de rambardes en aluminium fera économiser les particuliers sur la main d’œuvre qui peut s’avérer très coûteuse. Du sur-mesure pour s’adapter à chaque projet Ce concept permet donc de composer de A à Z sa balustrade en Inox. Il a été réfléchit afin de le rendre le plus accessible possible au particuliers. Pour chaque type de composant, vous avez en ligne une vidéo explicative du montage qui vous aidera lors de son installation. Demandez gratuitement votre devis balustrade Inox sur le site Decklinéa.
Il y a 5 ans et 325 jours

Extension en briques auto isolantes

Quand il fallut repenser le bâtiment du Service d’Education Spéciale à Domicile (SESSAD) de Mitry Mory (77), l’architecte Stéphane Le Renard de l’Agence crea7, a choisi une structure en briques auto isolantes Climamur pour assurer l’efficacité acoustique et thermique requise pour l’usage des lieux et une enveloppe distinctive en plaquettes TERCA Agora superblanc avec panachage rétro. Cet ensemble privilégie le confort des enfants tout en offrant un cadre vivant et coloré à l’ensemble des usagers. Il a optimisé la parcelle tout en longueur et ajouté un bâtiment formant un L avec l’existant. Il a également créé une galerie de liaison entre les deux bâtiments ainsi qu’un ascenseur. L’ensemble des choix intérieur privilégient le confort des enfants et leur sécurité, avec des couleurs apaisantes, l’absence de saillants dangereux et notamment un garde-corps d’escalier plein de 1,30 m de hauteur. L’ajout de l’extension s’étant déroulé lorsque le lieu fonctionnait, le choix d’une brique telle que Climamur a permis de mener le chantier sans aucun désagrément pour les occupants. Aucune grue n’a été nécessaire. Architecte : Agence crea7 – Stéphane Le Renard Entreprise de pose : Khephren, Sucy-en-Brie (94) Photo : Géraldine Bruneel  
Il y a 5 ans et 334 jours

Taillandier Architectes Associés et Scalène Architectes : Parking Victor Hugo

À proximité de la place du Capitole de Toulouse (31), un nouvel édifice tout de blanc vêtu et aux courbes évoquant les Rotondes et autres arènes antiques semble venir d'un autre temps. Entre guerres puniques et science-fiction, ce « marché parking » signé Taillandier Architectes Associés et Scalène Architectes combine besoin important des habitants du quartier et geste architectural fort. Roulez jeunesse ! Placé sur l'ancien marché au bois – rebaptisé Place Victor Hugo en 1886 –, le « Marché Parking », conçu par le maître d'œuvre local Pierre Laffitte et l'agence Génard en 1959, était jusqu'alors le symbole du modernisme de la Ville Rose, ayant même été capturé par le photographe français Dieuzade dans une composition graphique en noir et blanc. Iconique certes, mais devenu obsolète, le Parking Victor Hugo fait l'objet d'une grande réhabilitation de la part de l'agence locale Taillandier Architectes Associés et de Scalène Architectes. L'ensemble de 10 000 mètres carrés en béton préfabriqué blanc est composé de trois parties : un système de rampe à double hélices, un parc de stationnement de 419 places et un marché au rez-de-chaussée. Une juxtaposition étonnante qui sous-entend une large fréquentation. C'est pourquoi, l'urbaniste Joan Busquets a retravaillé les avoisinants, proposant une homogénéité des sols à l'échelle de la ville et offrant une place de choix aux piétons. Un espace au flux important certes, mais surtout au dynamisme unique ! Le premier point d'intervention des architectes concerne les coursives verticales des piétons dénaturées par de nombreux ajouts au fil des ans, les rendant ainsi trop étroites et incommodes. Sous la houlette de Taillandier et de Scalène, les circulations sont désencombrées et mises aux normes PMR. Caractérisé par ses brises vues en zigzag verticaux, le projet de Laffite se transforme 60 ans plus tard tout en conservant son âme moderne et se dote de garde-corps reprenant le même motif, mais cette fois ci à l'horizontale. Un bâtiment qui traverse les âges (presque) sans prendre une ride ! Pour en savoir plus, visitez le site de Taillandier Architectes Associés Photographies : Roland Halbe
Il y a 5 ans et 335 jours

Produits & design – Kostum s’inspire de la nature

Cadiou Industrie et sa marque premium Kostum se situent à Locronan, en Bretagne. Fiers de leurs racines, la nature fait partie de leur ADN tant en termes de création que de production. En intégrant les matériaux durables existant, les menuisiers fabriquent à la main des solutions pour la structuration des espaces extérieurs (portails, clôtures, portillons, claustras et garde-corps) en conformité avec leur vision de vivre et d’être.   La nature inspire Kostum ou Kostum s’inspire de la nature La marque Kostum s’inspire beaucoup des tendances « déco » pour ses nouveaux modèles. Les designers recherchent à créer des produits design et les réfléchissent en « collection ». « L’univers végétal est très en vogue ; il fait partie des collections « déco » 2019. En matière de design, le végétal est un atout. Il nous offre des motifs très graphiques, qui fonctionnent déjà « à l’état naturel ». Ils sont donc très harmonieux » explique Jean-François Legault, Directeur commercial de Cadiou Industrie. Création – Patio du Festival de Cannes Dans cet esprit, Kostum a créé un nouveau motif inspiré du cannage : le modèle SINEMA (cinéma en breton). Créé spécialement pour les garde-corps et jardinières du patio CANAL + lors du Festival de Cannes 2019, ce nouveau modèle a été intégré à l’offre Kostum en juin. L’info en + ! Les produits Kostum sont fabriqués en aluminium. Matériau durable, indéfiniment recyclable, l’aluminium, plus léger que l’acier, permet une aisance de création et de fabrication sur-mesure dans le respect de l’environnement.   La nature autour de la maison Dans un monde où tout va vite, se « ressourcer » en famille ou entre amis, chez soi en toute sécurité, devient indispensable. Et pour profiter pleinement des extérieurs, leur design doit être en cohérence avec l’envie des habitants. « Chaque produit est étudié de façon à ce qu’il y ait une cohérence entre le projet des propriétaires, le design souhaité ainsi que les impératifs de sécurité et de confort. Nous sommes capables de leur proposer des créations exclusives avec le même design sur le portail, le portillon et la clôture » poursuit Jean-François Legault. • Dune ou le biomimétisme Portail & clôture – Dune L’histoire… Imaginant les clôtures en bambou sur les dunes de sable (appelées ganivelles), les designers ont créé le design dune. Idéal par exemple pour les villas situées en bord de mer, le design Dune permet de laisser entrer un maximum de lumière tout en sécurisant les espaces de vies extérieurs grâce à sa durabilité et sa solidité. Le modèle Dune se décline sur les portails, portillons et clôtures et existe dans 300 teintes. Le cadre aluminium et l’équerre de renfort sont assemblés par colle bi-composant. • Aziliz en communion avec la nature Garde-corps – Aziliz L’histoire… Une sécurisation des espaces en communion avec la nature… Avoir un patio ou un balcon en hauteur qui laisse les propriétaires profiter de la vue sans limite. Le nouveau garde-corps Aziliz, fait l’objet d’un intérêt grandissant pour toutes les propriétés bénéficiant d’une vue qu’il ne faudrait occulter pour rien au monde.   Le concept Fresk apporte une touche naturelle Fresk permet de personnaliser ses espaces extérieurs au travers d’un décor inséré dans le portail, portillon ou le garde-corps. Avec Fresk, il est possible de créer son modèle de portail. Lancé en 2017, Fresk décline de nombreux décors inspirés de la nature. Oiseaux et feuillages (décors Nijad, Brodiri et Milzin), plumes (décor Aelig) et tout dernièrement Orchidée (décor du même nom). « Ces décors apportent une touche de finesse et d’élégance aux portails, portillons et clôtures aluminium. Les tôles se déclinent dans plus de 300 coloris et s’insèrent dans les portails verticalement ou horizontalement, sur un vantail seulement ou sur les deux. Ils peuvent aussi se décliner sur les claustras ou clôtures séparatives pour aménager patio ou jardin » ajoute Jean-François Legault. Brise-vue – Orchidée Décor Nijad Décor Milzin           Portail base Onen – Décor Brodiri   Portail base Onen – Décor Brodiri Portail base Onen – Décor Aelig                           L’info en + ! Fin 2018, Cadiou Industrie s’est équipée d’une machine à découpe laser qui ouvre des possibilités infinies de créations. De nombreux designs personnalisés ont été créés ces derniers mois.
Il y a 5 ans et 341 jours

Le désordre récompensé

1er prix de la catégorie générale : Laurent Loretti a capturé l’effondrement d’une toiture-terrasse suite à une surcharge de neige. [©Laurent Loretti] Cette année, l’AQC mettait les désordres dans le bâtiment à l’honneur de la 14e édition de son concours photo. Les experts, ingénieurs, architectes, artisans ou encore étudiants ont, pour l’occasion, capturé pour la prospérité, les différentes pathologies observées dans des constructions. Près de 416 clichés ont été examinés par le jury composé de professionnels du secteur et d’un photographe. Effondrement d’une toiture-terrasse suite à une surcharge de neige, coulure de rouille en façade, fissures importantes des murs… Le jury a aussi bien étudié le côté esthétique que technique des photos. Il a finalement désigné 3 lauréats pour la catégorie générale, 3 pour la section “étudiant à titre individuel”, et 2 établissements d’enseignement au titre du prix pédagogique. Mises en ligne sur le site Internet de l’AQC, les photos gagnantes, ainsi qu’une sélection ont été exposées au 21e rendez-vous Qualité Construction, le 12 juin dernier. Les lauréats catégorie générale : 1er prix : Laurent Loretti – Expert Saretec : Effondrement d’une toiture-terrasse suite à une surcharge de neige. 2e prix : Olivier Raynaud – Expert Saretec : Mise en œuvre d’un châssis de toit en surimposition du châssis existant. Prix spécial : Vincent Dubos – Ingénieur construction durable : Mauvaise coordination lors du réaménagement des espaces intérieurs. Les lauréats catégorie “étudiant à titre individuel”: 1er prix : Andréa Malet (candidature en équipe – ENTPE – Université de Lyon) : Coulures de rouille en façade, sous-faces et bandeaux des balcons. Ancrages des garde-corps altérés. 2e prix : Théo Dusang (ENSA Nancy) : Fissures importantes des murs du bâtiment dues à un tassement différentiel du terrain. 2e prix de la catégorie “étudiant individuel” : Théo Dusang a pris en photo les fissures d’un bâtiment. [©Théo Dusang] Prix spécial : Antoine Fortineau (CFA design et innovation – Ecole de design Nantes Atlantique) : Entaille réalisée dans l’entrait de la charpente pour que le volet puisse s’ouvrir entièrement. Les lauréats catégorie étudiant : 1er prix : Campus des métiers et des qualifications éco-construction et efficacité énergétique Grand Est. 2e prix : ESB – Ecole supérieure du bois L’article Le désordre récompensé est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 5 ans et 349 jours

Rénovation énergétique de la copropriété Hélène Boucher à Sevran

« Les Trophées CoachCopro » est le premier concours en France qui récompense les réalisations de rénovation énergétique les plus exemplaires. Cinq projets d’éco-rénovation se sont vus décerner des prix sous sous l’impulsion de l’Agence Parisienne du Climat. Le Prix Spécial du jury a été décerné la copropriété Hélène Boucher à Sevran. Démarré en septembre 2017 et livré en janvier 2018, le chantier portait sur un nombre de 23 logements. 76 menuiseries ont été remplacées, réparties dans des chambres, cuisines, et loggias, ainsi qu’une porte d’entrée. Le chantier a mobilisé trois compagnons poseurs sur site, un chef de chantier et un conducteur de travaux. Les menuiseries initiales étaient de grands ouvrants intégrant un garde-corps métallique posé devant la fenêtre. Toute la problématique a consisté à enlever ce garde-corps métallique pour y déposer une fenêtre avec une partie fixe, faisant office de garde-corps et intégrant un vitrage de sécurité répondant aux normes pare-flammes de la sécurité incendie (allège pare-flamme d’une 1/2h), et une autre partie ouvrante. Pour les chambres et les cuisines, Lorenove Grands-Comptes a favorisé la gamme Evasion, fenêtres à frappe oscillo-battantes, composées, pour cette copropriété, d’un châssis allège en aluminium et d’une partie haute en PVC. Pour les loggias, le choix s’est porté sur la gamme Twinea à châssis coulissant HPC-Hybrid Premium Composite (soit un PVC renforcé en fibre de verre) équipée d’un volet roulant intégré à la menuiserie, avec tablier en aluminium. Ces menuiseries avec double vitrage de 28 mm (BE4/20mm, avec gaz argon/4) répondent aux exigences énergétiques avec une performance thermique Uw de 1,3 W/m2.K, et une résistance thermique additionnelle des volets de 0,22W/m2.K. Ajouté aux travaux réalisés par les autres corps de métiers pour l’isolation de la toiture terrasse, l’isolation thermique par l’extérieur, l’isolation du plancher bas et la mise en place d’une ventilation hygroréglable, le remplacement des menuiseries a fortement contribué à l’amélioration de l’image du bâti ainsi qu’à la réalisation d’importantes économies (gain énergétique de 64%) pour tous les copropriétaires, en revalorisant la façade et en permettant une mise aux normes sécuritaires du bâtiment.
Il y a 5 ans et 364 jours

Janez Nguyen Architectes: Extension d’une maison à Vitry

Bien souvent, vivre en région parisienne comporte son lot de sacrifices. Espaces étriqués, pièces biscornues et absence d'extérieur sont le quotidien de bien des parisiens. Des contraintes auxquelles n'ont pas voulu se plier des habitants de Vitry-sur-Seine (94) qui ont confié l'extension de leur maison et la création d'une terrasse à l'agence locale Janez Nguyen Architectes. De quoi respirer un peu ! Le projet consiste en l'agrandissement d'une demeure construite en pierre meulière dans les années 1930 ainsi qu'en la création d'un espace extérieur en cœur de parcelle. Implanté sur l'emprise du garage préexistant, l'extension de 40 mètres carrés se développe sur deux niveaux, conservant le parking en rez-de-jardin et proposant un nouvel espace de vie à l'étage. Afin de respecter le bâti principal, cet ajout est situé légèrement en retrait côté rue, valorisant ainsi le cachet naturel de la partie ancienne du foyer. Son revêtement vertical est rythmé par l'horizontalité du toit plat et de la fenêtre carrée à l'étage reprenant les proportions des ouvertures déjà présente et apparait comme une touche actuelle discrète.Son bardage en cuivre naturel rompt avec l'omniprésence de la pierre de la maison d'origine, conférant à l'ensemble un caractère plus contemporain sans pour autant détonner avec l'ensemble, notamment grâce à un choix de couleur chaleureux proche de l'architecture du quartier. Du côté du jardin, l'extension est dotée d'une large baie vitrée s'ouvrant sur une nouvelle terrasse à la structure métallique et au sol en bois. Le garde-corps, également métallique, reprend la couleur cuivrée de la construction et débouche sur un escalier menant au jardin amplement végétalisé. Le meilleur des deux mondes. Pour en savoir plus, visitez le site de Janez Nguyen Architectes Photographies : Benoît Florençon
Il y a 6 ans et 23 jours

JTB.architecture et MaO architectes : 71 logements sociaux à La Courneuve

Symptôme de la crise du logement des années 1960, la Cité des 4000 de La Courneuve (93) est rapidement devenue l'un des points sensibles de Seine Saint Denis, entre délaissement politique, violence et délabrement ; un constat qui aura attendu près de 50 avant d'être remis en question maladroitement avec la destruction de la barre Balzac en 2011. C'est dans ce contexte complexe qu'interviennent aujourd'hui les équipes de JTB.architecture et MaO architectes en proposant la construction de 71 logements sociaux. Théâtre du film « Deux ou trois choses que j'ai d'elle » de Jean-Luc Godard (1967), la vie au sein de la Cité des 4000 n'a rien d'une comédie. Mis sous le feu des projecteurs en 2005, lors de l'intervention de Nicolas Sarkozy promettant de « nettoyer la cité au Kärcher » suite au décès d'un petit garçon de 11 ans par balle perdue, les 4000 voient la rénovation lentement entamée en 1986 s'accélérer, laissant pourtant un goût amer à ses habitants qui continuent de ressentir un abandon de la part des politiques. La destruction graduelle des bâtiments s'engage en 2004, rapidement remplacée par de plus petites barres HLM, certes, mais toujours aussi hermétiques. Le bâtiment Balzac, épicentre des 4000 qui comptait 307 logements, fut détruit en 2011, suite à la difficulté éprouvée par la mairie à reloger ses locataires, qui ne fait qu'accroitre le sentiment de délaissement de ces derniers. C'est dans ce contexte pour le moins tendu que débute le projet de JTB.architecture et MaO architectes qui expliquent que « construire sur le domaine de la Cité de 4000 ne pouvait être entrepris sans une analyse détaillée des attentes communautaires, culturelles, économiques, urbaines et architecturales. Cela devrait éviter les échecs existants liés aux développements passés qui ne tiennent pas compte du paysage potentiel et de son appropriation par les résidents ». Une approche qui se traduit par la disposition spatiale du nouvel ensemble, où tout est pensé pour que les résidents puissent s'approprier leur nouvel espace de vie, et non l'inverse. Sur une surface habitable de 4 615 mètres carrés, différentes typologies de logements cohabitent. Les appartements campent sur les deux angles opposés de la parcelle tandis que les maisons occupent les deux autres, créant ainsi des jeux d'échelles, accentués par les traitements de façades alternant bois, pierre et béton blanc. Cette disposition permet de libérer de l'espace en cœur d'ilot, offrant ainsi la possibilité d'y insérer un jardin maraicher d'environ 150 mètres carrés délimité par les locaux techniques qui régulent également les circulations. L'accès au centre se fait par un pont central au traitement en brique moucharabieh, desservant tous les bâtiments.Le même traitement est offert aux garde-corps des balcons sur rue des immeubles allant jusqu'à R+5, filtrant la lumière élégamment et appuyant le tournant « horizontal » du quartier, une manière de trancher une bonne fois pour toute avec les anciennes tours. Reliant les logements collectifs entre eux, des maisons de ville – organisées en duplex –, sont bardées de mélèze et viennent réchauffer l'avenue Henri Barbusse. L'ouverture d'un nouveau chapitre semble se dessiner pour les habitants de La Courneuve. Pour en savoir plus, visitez le site de JTB.architecture et MaO architectes Photographies : Luc Boegly
Il y a 6 ans et 83 jours

Kimmel Eshkolot : L28

Dans leurs jeunes années, les restaurateurs bénéficient rarement de leur propre espace pour s'exprimer et sont bien souvent contraints de reproduire la cuisine d'un autre, à défaut de pouvoir laisser libre court à leur créativité. Un constat malheureux qui inspire des entrepreneurs israéliens qui imaginent alors le L28, premier établissement partagé mis à la disposition des chefs indépendants en plein cœur de Tel Aviv (Israël). Un concept généreusement étudié qui prend forme grâce à l'intervention des architectes Kimmel Eschkolot. Au menu du L28, nommé après la rue Lilienblum au sein de laquelle il prend place, une cuisine évolutive, dirigée alternativement pas les jeunes chefs émergents de la région. Localisé dans le nouveau siège social de Start-Up Nation construit par Kimmel Eshkolot, le L28 met à l'honneur les cuisiniers les plus créatifs qui ne peuvent pas encore développer leur propre restaurant. Une approche unique dans un pays au contexte architectural attrayant, qui vise, à long terme, à lancer la carrière de jeunes professionnels. Composé d'une cuisine ouverte, de plusieurs espaces de restauration, en bar, ou en salle, et d'une mezzanine privative, l'ensemble affiche ses tons chauds et naturels grâce à l'usage de lattes de bois, de selleries en cuir et de verdure, qui contrastent avec le sol en résine et les rampes en acier noir. Le bureau d'architecture israélien Kimmel Eshkolot exploite la double hauteur du restaurant en installant des lattes modulables au plafond, qui se prolongent légèrement à la verticale et se plient aux différentes aires du restaurant. Un assemblage qui se décline par la suite en arches, suspensions, ou en garde-corps qui délimitent les différentes parties. L'épaisseur et le positionnement des tiges forment des motifs ondulés qui tamisent la lumière et la visibilité entre les différentes parties du L28. Au-dessus des espaces de restauration, le rideau de bois s'élève et s'abaisse pour réguler le niveau d'intimité, laissant les lampes longilignes en suspension compléter le paysage. Près des grandes cloisons vitrées qui donnent sur la rue, les designers disposent des sièges en cuir brun et des tables basses destinées à accueillir les visiteurs. Dans une disposition plus formelle, des sièges doublés en tissus gris sont installés autour de tables rondes et séparent les gourmands du bar et des cuisines. Ces derniers font face à un mur végétalisé qui s'élève jusqu'en mezzanine, et des étagères depuis lesquelles les préparateurs peuvent se servir en épices.Pour parachever l'offre du L28, les architectes conçoivent une ferme urbaine sur le toit du bâtiment qui accueille des résidences de chefs d'une durée de 6 mois afin que ces derniers puissent travailler à partir de produits locaux et de saisons. De quoi concurrencer les étoilés du Guide Michelin ! Pour en savoir plus, visitez le site de Kimmel Eshkolot Architects Photographies : Amit Geron
Il y a 6 ans et 95 jours

Inessa Hansch Architecte : Campus de Belval

Le campus de la Faculté des Sciences à Esch-sur-Alzette (Luxembourg) est situé sur un ancien site industriel qui a laissé un vestige de premier abord peu attirant. En surélevant son intervention grâce à une structure aérée à l'identité remarquable, l'architecte Inessa Hansch offre aux usagers un point de rencontre où circulations et activités s'effectuent de manière spontanée et récréative. En relation avec l'échelle monumentale des bâtiments industriels autour de la Faculté des Sciences, l'ensemble prend place sur une friche peu adaptée aux activités extérieures. En installant au c"ur de l'ancien site industriel d'Esch-sur-Alzette une structure graphique composée d'échafaudages sur quatre niveaux " alternant matériaux industriels et minéraux ", le bureau Inessa Hansch Architectes renvoie à l'emplacement unique et complexe du campus. Grace à leur intervention de 466 mètres carrés, les architectes encouragent une plus grande variété et intensité des usages. Ils imaginent pour cela un squelette exploitable et modulable déclinés en trois exemplaires répartis à différents endroits du site, avec l'intention de composer une ossature évidée et ouverte, en acier inoxydable, qui permette au trafic des piétons de s'effectuer indépendamment des autres activités de la faculté. Le nouveau programme du campus inclut notamment un espace de projection, un jardin central et des espaces dédiés au sport ou à la promenade. La composition métallique encadre, concentre et redistribue le flot d'étudiants du campus, en déplaçant les espaces publics sur des plateformes en hauteur. Les sols en panneaux de béton, complétés par un remplissage en résine artificielle, composent les fondations légères et solides des mezzanines, accessibles par des escaliers aux garde-corps en acier laqué ou en filet inox. En travaillant sur les profondeurs et les échelles, l'architecte encourage les échanges et la mobilité, à travers des séquences visuelles variées, entre des vues rapprochées de la végétation aux premiers niveaux, et un panorama plus vaste sur le secteur, accessible en hauteur au dernier étage. Positionnée le long d'un axe traversant, la structure est accessible depuis plusieurs point d'entrés, situés aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur de la place. La construction est composée de plusieurs modules identiques et empilés les uns sur les autres, dont les formats correspondent avec la largeur des plateformes en béton des hauts fourneaux sur lesquels ils se posent. Les éléments évidés de 3,6 x 3,6 mètres en longueur et largeur, et 3 mètres en hauteur, sont ainsi superposés sur une hauteur totale de 12 mètres. Chaque module présente une typologie d'usage différente : belvédères, passerelles, arcades, escaliers et alcôves y sont en effet disposés afin de multiplier les expériences et correspondre à un maximum d'usages et de situations observables dans l'espace public. L'architecture affiche des dimensions généreuses et facilement identifiables, générant des espaces tridimensionnels qui correspondent aux besoins du campus, à savoir l'adaptabilité et l'habitabilité de celui-ci. Une intervention légère qui vient réveiller un site peu attractif, offrant ainsi de nouvelles possibilités de divertissement aux étudiants. Pour en savoir plus, visitez le site de Inessa Hansch Photographies : Maxime Delvaux
Il y a 6 ans et 123 jours

Nomade Architettura : Waterbeat Society

Premier centre d'hydrospinning à être implanté en Italie, le Waterbeat Society promet à ses usagers de les faire transpirer dans un cadre très " Miami Vice ". A grand renfort de néons fluo, damiers et couleurs pop, l'agence Nomade Architettura imagine un lieu au sein duquel le maillot de bain en lycra ne serait pas synonyme de faute de goût. A deux pas de la piazza del Duomo de Milan, le centre d'aquagym prend place dans un espace de 240 mètres carrés répartis sur deux niveaux et une mezzanine. Accessible depuis une rue piétonne, le rez-de-chaussée abrite l'espace de réception, une salle d'attente et deux cabines de massage dissimulées derrière de lourds rideaux en velours vert, quand une troisième est installée en haut d'un escalier en aluminium blanc au garde-corps perforé, sur la mezzanine. Un ascenseur en verre à l'allure futuriste mène ensuite au sous-sol où se trouve le c"ur du projet : un bassin pouvant accueillir jusqu'à 13 vélos ainsi que des vestiaires homme et femme. La conception s'inspire de la Californie des années 1980, terre mère du fitness et décline un camaïeu de bleu dans différentes textures et impressions ; parois monochromes, velours ou encore motifs tropicaux plongent ainsi le sportif italien dans une toute autre époque où l'extravagance était à l'honneur. Une ambiance exacerbée par la présence de damiers créés à partir carreaux blancs et de joints sombres déclinés dans plusieurs zone du centre " bureau de réception, douches collectives ou mobilier de rangement ", ainsi que l'identité visuelle de la marque et son slogan, " Be a hydrolover ", éclairant au néon rose les zones d'attente. Un ensemble coloré qui ravira les nostalgiques de Jane Fonda ! Pour en savoir plus, visitez le site de Nomade Architettura Photographies : Simone Furiosi
Il y a 6 ans et 128 jours

Wutopia Lab : White Comedy of Xi'an Zhongshu Bookstore

Après l'impressionnante Tianjin Binhai Library imaginée par MVRDV, c'est au tour de l'agence Wutopia Lab de proposer sa vision de la bibliothèque contemporaine. Prenant place à Xi'an (Chine), ancienne capitale des 13 dynasties, l'ouvrage décline à son tour les variations de blanc, les courbes et les éléments un brin futuristes sur un espace de 1 886 mètres carrés. Niché aux quatrième et cinquième étages du Xuhong Plaza, le cocon imaginé par le studio basé à Shanghai Wutopia Lab s'inspire des nuages et de leur volupté et propose un ensemble situé entre utopie poétique et décor de science-fiction. Répartis sur 1 886 mètres carrés, les différents espaces de lecture sont déclinés selon les ouvrages proposés et leurs publics. Un véritable paradis blanc de la lecture ! L'entrée dans la bibliothèque se fait dans la partie commerciale, au 4e étage, via un sas futuriste au milieu duquel trône un escalier sans pilier au garde-corps en acier déstructuré. Au niveau principal, les étalages incurvés réalisé à partir de 300 tonnes d'acier sont valorisés par la présence de plus de 30 000 bandes lumineuses se déployant au-dessus et sous les étagères, donnant l'impression aux férus de lectures que leurs livres favoris flottent dans les airs. La zone principale est constituée de 3000 mètres de rayons étalés sur dix niveaux proposant des écrits populaires et de coins lecture publics. Au centre de cet espace, des poutres structurelles surplombent un sol en verre et servent de présentoir accueillant la section " Livre du mois ". Les enfants trouvent eux-aussi leur compte dans cet univers fantasque. Dissimulée derrière un espace parallélépipédique orné de dessins argentés évoquant une forêt enchantée, la bibliothèque jeunesse bénéficie de ses propres entrées cachées menant à des grottes et tours ludiques, où des ouvrages divertissants et récréatifs les attendent.  Un monde féérique où il fait bon de s'évader. Pour en savoir plus, visitez le site de Wutopia Lab Photographies : CreatAR Images
Il y a 6 ans et 135 jours

ZGF Architects : Bureaux Expensify

La société californienne de technologie Expensify s'étend au nord des Etats Unis et remplace le soleil de San Francisco par la pluie de Portland, dans l'Oregon. Un changement de climat qui s'accompagne également d'un nouveau bureau installé au sein du bâtiment du centre-ville de la First National Bank. Un ouvrage iconique désormais doté d'éléments tertiaires contemporains, brillamment intégrés à la construction Art Déco d'origine. Le bâtiment qu'investissent les employés d'Expensify n'étant pas dénué d'allure, les équipes de ZGF Architects avait pour devaient trouver l'équilibre entre ajouts nécessaires à un programme tertiaire et emprunte architecturale minimum, l'entreprise de technologie n'étant pas propriétaire des murs. Ainsi, chacune des installations imaginées par les maîtres d'"uvre se devaient de s'accorder avec la durée du bail des occupants. L'ensemble, d'une surface de 1 608 mètres carrés, est doté d'un atrium central éclairé de manière zénithale par une verrière Art Déco. C'est dans cet espace lumineux que s'installent les postes de travail libres et autres espaces de réunion, desservis par une série d'escaliers en bois aux garde-corps en acier noir agrémenté de part et d'autre de salles de conférences entièrement vitrés, apparaissant comme flottant entre les colonnes largement décorées de la banque. Le rez-de-chaussée est consacré au bien-être des usagers et comprend une cuisine et un salon détente garni de fauteuils confortables. L'étage supérieur rassemble, quant à lui, plusieurs espaces de réunion comme tout droit sorti de l'époque de la prohibition américaine ! Canapés en cuir, détails en laiton et speakeasy confèrent à ce niveau une élégance digne de l'âge d'or hollywoodien. Quelques marches plus haut, c'est une toute autre ambiance qui attend les salariés. Les plateaux libres en bois clair " qui font plus écho aux constructions scandinaves qu'à l'architecture américaine ", inspirent le calme et permette d'officier en toute sérénité dans ce nouveau siège. Une réalisation où genres et époques se mélangent avec harmonie. Pour en savoir plus, visitez le site de ZGF Architects Photographies : Garrett Rowland
Il y a 6 ans et 147 jours

Tectoniques  : 55 logements sociaux Lyon Mermoz

L'est lyonnais (69) est en pleine transformation ! Parmi l'élaboration de 12 programmes immobiliers neufs, la ZAC Mermoz Nord, deux immeubles de 55 logements sortent du lot. Conçu par l'agence Tectoniques Architectes, l'ensemble revêtu de métal joue sur volumes. Des tours semblent s'élever tous les jours du nouveau quartier, créant une skyline horizontale marquée. Avec comme volonté de se démarquer de cette linéarité et du trio traditionnel socle/corps/attiques, les maîtres d'oeuvre optent pour un double attique avec un toit oblique, allégeant l'ensemble. Conçus selon la même organisation, les bâtiments " contenant respectivement 22 et 33 logements, des activités commerciales, locaux vélos et parc de stationnement sous-terrains " reposent sur un socle en béton, matériau que l'on retrouve dans les refends et murs porteurs. Les murs intermédiaires sont quant à eux réalisés en ossature bois tandis que les éléments de façade alternent métal et bois, brillance et texture mates. Rythmées par un ensemble de balcons aux garde-corps dorés, les façades sont revêtues de panneaux fibrés au calepinage vertical. Les terrasses, en forme de biseau " évitant ainsi les vis-à-vis ", bénéficient d'une surface variant entre 9 et 15 mètres carrés sur lesquelles les résidents peuvent profiter de l'extérieur dans un espace chaleureux en bois. Le projet est sélectionné pour les ADC Awards 2019 dans la catégorie Logements / Peri Urbain Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et de Tectoniques Architectes  Photographies : DR
Il y a 6 ans et 149 jours

Thibaud Babled : La Haluchère

Située à l'angle du boulevard Jules Verne et de la route de Paris de Nantes (44), La Haluchère abrite à la fois le Siège du PELNM, les bureaux de Pôle emploi ainsi qu'un programme de 37 logements. A la croisée du centre-ville et de la périphérie, le projet de Thibaud Babled relie également entres elles des entités éloignées avec brio. Trônant fièrement sur sa parcelle, l'ensemble de 5 105 mètres carrés semble au premier abord être un cube massif, un bâti brut laissant peu de place à la subtilité. Et pourtant, il n'est est rien ! Divisé en deux volumes parallélépipédiques translucides, le bâti accueille sur la façade nord les locaux de Pôle emploi aux rez-de-chaussée et ceux de Nantes Métropole sur les cinq niveaux restants, chacun des espaces bénéficiant d'une lumière naturelle diffuse grâce à l'omniprésence de percées. Juxtaposé à l'entité tertiaire, un volume surélevé à la toiture végétale délimite les parties vertes et espaces extérieurs.Au sud, des cabinets médicaux sont surplombés d'appartements. Le tout est minutieusement organisé autour d'une venelle intime sur laquelle donne la proue plus saillante des logements orientés plein sud et ponctués de larges balcons ensoleillés. Le pôle Erdre et Loire Nantes Métropole démontre de la subtilité de traitement qui se dissimule derrière la masse de la Haluchère. L'atrium, situé au c"ur de la construction, est un écrin de lumière, entièrement évidé. Constitué de couronnes de circulation ouvertes en béton agrémentées de garde-corps vitrés, l'ensemble est clair et rien n'obstrue les rayons du soleil. De la chaleur est ajoutée à cet espace aérien avec la présence de parquet et d'éléments de mobilier en bois. Un programme mixte qui mélange aussi les genres avec brio ! Le projet est sélectionné pour les ADC Awards 2019 dans la catégorie Mixte Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et de Thibaud Babled Photographies : DR
Il y a 6 ans et 164 jours

Jourda Architectes : Parking Silo

Avec ce projet de parking localisé dans la ZAC dite des rives du Bohrie, dans le Bas-Rhin, l'agence Jourda Architectes montre de quel bois elle se chauffe ! Et pour cause, contrairement à ses cousines traditionnelles en béton, la réalisation fait la part belle au mélèze et à l'épicéa dans le but d'affecter au minimum son environnement. Concevoir un parking comme un " ponton ", un " quai ", permettant aux automobilistes de " s'amarrer " avant de rejoindre leurs habitations... C'est de ce principe poétique qu'est partie l'équipe de Jourda Architectes pour réaliser le Parking Silo, situé dans la ZAC des rives du Bohrie, à l'ouest de la ville d'Ostwald (67). Un point de départ adapté au quartier, lequel " a pour thème "habiter la nature" ", détaillent les maîtres d'"uvre, qui se sont donc tournés vers un matériau rarement employé pour ce genre d'équipement : le bois. " Lorsque la consultation a été lancée sur ce site, nous avons immédiatement pensé à un projet "décarboné". L'idée d'opposer le langage du bois à ce type d'ouvrage technique, dédié au remisage de voitures, nous a semblé être un défi intéressant à relever. " Mais qui dit défi, dit aussi obstacles à surmonter. Parmi ceux rencontrés ici, la localisation du projet en zone sismique, impliquant son lot de contraintes structurelles. Autre difficulté, la nécessité de proposer une réalisation à l'épreuve du feu, pour répondre aux critères de sécurité incendies. Alors les architectes font des calculs, pèsent le pour et le contre ; bref ils examinent leur propre proposition sous toutes les coutures. Conclusion : le choix du bois, à la fois en structure et en façade est le bon, à condition d'être couplé avec un plancher mixte en béton et métal pour éviter de voir l'ensemble des véhicules partir en fumée... Ne reste alors plus qu'a donner forme à la réalisation.Dessinée selon un plan en ruban légèrement " brisé en un seul point ", celle-ci s'élève sur trois étages " largement ouverts pour favoriser la ventilation naturelle ", pour une capacité d'accueil de 405 véhicules. Les poteaux-poutres sont en lamellé-collé " mélèze ou en épicéa selon leur exposition aux intempéries ", tandis que le garde-corps est constitué de lames de pin autoclavé. Largement ajourées, celles-ci permettent d'éviter tout risque de chute sans étouffer les volumes. Enfin, " un joint de dilatation interrompt la construction tandis que des noyaux de circulation béton viennent rigidifier les sous-ensembles construits " ajoute l'équipe Jourda Architectes, soucieuse de rappeler que son projet ne risque pas de s'effondrer à la moindre secousse. Un résultat d'autant plus intéressant que malgré toutes ces précautions, l'ensemble reste entièrement démontable, limitant encore l'impact du parking sur le site... Le projet est sélectionné pour les ADC Awards 2019 dans la catégorie Architecture & Paysage / Equipement Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et de Jourda Architectes Paris. Photographies : 11h45 " Florent Michel
Il y a 6 ans et 198 jours

Jourda Architectes Paris : Parking Silo

Avec ce projet de parking localisé dans la ZAC dite des rives du Bohrie, dans le Bas-Rhin, l'agence Jourda Architectes montre de quel bois elle se chauffe ! Et pour cause, contrairement à ses cousines traditionnelles en béton, la réalisation fait la part belle au mélèze et à l'épicéa dans le but d'affecter au minimum son environnement. Concevoir un parking comme un " ponton ", un " quai ", permettant aux automobilistes de " s'amarrer " avant de rejoindre leurs habitations... C'est de ce principe poétique qu'est partie l'équipe de Jourda Architectes pour réaliser le Parking Silo, situé dans la ZAC des rives du Bohrie, à l'ouest de la ville d'Ostwald (67). Un point de départ adapté au quartier, lequel " a pour thème "habiter la nature" ", détaillent les maîtres d'"uvre, qui se sont donc tournés vers un matériau rarement employé pour ce genre d'équipement : le bois. " Lorsque la consultation a été lancée sur ce site, nous avons immédiatement pensé à un projet "décarboné". L'idée d'opposer le langage du bois à ce type d'ouvrage technique, dédié au remisage de voitures, nous a semblé être un défi intéressant à relever. " Mais qui dit défi, dit aussi obstacles à surmonter. Parmi ceux rencontrés ici, la localisation du projet en zone sismique, impliquant son lot de contraintes structurelles. Autre difficulté, la nécessité de proposer une réalisation à l'épreuve du feu, pour répondre aux critères de sécurité incendies. Alors les architectes font des calculs, pèsent le pour et le contre ; bref ils examinent leur propre proposition sous toutes les coutures. Conclusion : le choix du bois, à la fois en structure et en façade est le bon, à condition d'être couplé avec un plancher mixte en béton et métal pour éviter de voir l'ensemble des véhicules partir en fumée... Ne reste alors plus qu'a donner forme à la réalisation.Dessinée selon un plan en ruban légèrement " brisé en un seul point ", celle-ci s'élève sur trois étages " largement ouverts pour favoriser la ventilation naturelle ", pour une capacité d'accueil de 405 véhicules. Les poteaux-poutres sont en lamellé-collé " mélèze ou en épicéa selon leur exposition aux intempéries ", tandis que le garde-corps est constitué de lames de pin autoclavé. Largement ajourées, celles-ci permettent d'éviter tout risque de chute sans étouffer les volumes. Enfin, " un joint de dilatation interrompt la construction tandis que des noyaux de circulation béton viennent rigidifier les sous-ensembles construits " ajoute l'équipe Jourda Architectes, soucieuse de rappeler que son projet ne risque pas de s'effondrer à la moindre secousse. Un résultat d'autant plus intéressant que malgré toutes ces précautions, l'ensemble reste entièrement démontable, limitant encore l'impact du parking sur le site... Pour en savoir plus, visitez le site de Jourda Architectes Paris  Photographies : 11h45 " Florent Michel
Il y a 6 ans et 230 jours

Brenac & Gonzalez & Associés : Lycée La Plaine

Depuis la rentrée des classes 2017, les étudiants du lycée La Plaine de la ZAC de Montjoie à Saint-Denis (93) passent leurs journées dans un établissement qui donnerait à lui seul l'envie de bachoter. Il faut dire que cet équipement imaginé par l'agence Brenac & Gonzalez & Associés allie efficacité esthétique et performance énergétique. Retour sur un cas d'école. Tout porte à croire que le 4 septembre 2017, les jeunes du lycée La Plaine à Saint-Denis faisaient moins grise mine que leurs camarades du reste de l'Hexagone. Car malgré la rentrée, eux avaient la chance d'inaugurer un tout nouvel établissement, réalisé par l'agence Brenac & Gonzalez & Associés suite au concours lancé par le Conseil régional d'Île-de-France. Un projet que la région souhaitait à énergie zéro et destiné à accompagner le développement urbain du quartier de la ZAC de Montjoie, en pleine expansion. Répondant à la demande de concevoir un lycée ouvert sur son environnement, durable et abritant un internat, un restaurant scolaire ainsi que des logements de fonction pour le personnel enseignant en plus des salles de classe traditionnelles, l'agence parisienne a imaginé un édifice de 15 500 mètres carrés en structure mixte (bois et béton) dont le plan " reprend la spirale, qui symbolise le mouvement, le progrès par la connaissance, l'ascension sociale par la culture et l'étude ", racontent ses concepteurs. Si ceux qui ont la bosse des maths y verront plutôt un 8 " ou mieux, le signe de l'infini " force est de constater que le bâtiment propose une volumétrie propice aux échanges avec le quartier facilitant en parallèle les déplacements des futurs bacheliers entre les différentes salles. Organique par son plan, ce projet l'est également par ses façades et ses revêtements. Dehors, un parement ondulé en bois gris fait ainsi office de brise soleil, tandis qu'à l'intérieur, les maîtres d'"uvre ont dessiné un plafond traité partiellement en lames de bois courbées, lequel se retourne jusque sous un escalier pour devenir garde-corps, selon l'idée d'un " entrelacs de rubans en mouvement ". Une référence au naturel qui n'est pas qu'un artifice esthétique, puisque le lycée La Plaine n'est pas avare en good vibes du point de vue écologique : enveloppe thermique plus performante que les standards réglementaires, faible consommation électrique, installation de près de 1 000 mètres carrés de panneaux photovoltaïques et même récupération des eaux pluviales pour les sanitaires... De quoi décrocher un 20/20 ? Pour en savoir plus, visitez le site de Brenac & Gonzalez & Associés Photographies : Sergio Grazia et Stefan Tuchila
Il y a 6 ans et 230 jours

Brenac & Gonzalez & Associés : Lycée La Plaine

Depuis la rentrée des classes 2017, les étudiants du lycée La Plaine de la ZAC de Montjoie à Saint-Denis (93) passent leurs journées dans un établissement qui donnerait à lui seul l'envie de bachoter. Il faut dire que cet équipement imaginé par l'agence Brenac & Gonzalez & Associés allie efficacité esthétique et performance énergétique. Retour sur un cas d'école. Tout porte à croire que le 4 septembre 2017, les jeunes du lycée La Plaine à Saint-Denis faisaient moins grise mine que leurs camarades du reste de l'Hexagone. Car malgré la rentrée, eux avaient la chance d'inaugurer un tout nouvel établissement, réalisé par l'agence Brenac & Gonzalez & Associés suite au concours lancé par le Conseil régional d'Île-de-France. Un projet que la région souhaitait à énergie zéro et destiné à accompagner le développement urbain du quartier de la ZAC de Montjoie, en pleine expansion. Répondant à la demande de concevoir un lycée ouvert sur son environnement, durable et abritant un internat, un restaurant scolaire ainsi que des logements de fonction pour le personnel enseignant en plus des salles de classe traditionnelles, l'agence parisienne a imaginé un édifice de 15 500 mètres carrés en structure mixte (bois et béton) dont le plan " reprend la spirale, qui symbolise le mouvement, le progrès par la connaissance, l'ascension sociale par la culture et l'étude ", racontent ses concepteurs. Si ceux qui ont la bosse des maths y verront plutôt un 8 " ou mieux, le signe de l'infini " force est de constater que le bâtiment propose une volumétrie propice aux échanges avec le quartier facilitant en parallèle les déplacements des futurs bacheliers entre les différentes salles. Organique par son plan, ce projet l'est également par ses façades et ses revêtements. Dehors, un parement ondulé en bois gris fait ainsi office de brise soleil, tandis qu'à l'intérieur, les maîtres d'"uvre ont dessiné un plafond traité partiellement en lames de bois courbées, lequel se retourne jusque sous un escalier pour devenir garde-corps, selon l'idée d'un " entrelacs de rubans en mouvement ". Une référence au naturel qui n'est pas qu'un artifice esthétique, puisque le lycée La Plaine n'est pas avare en good vibes du point de vue écologique : enveloppe thermique plus performante que les standards réglementaires, faible consommation électrique, installation de près de 1 000 mètres carrés de panneaux photovoltaïques et même récupération des eaux pluviales pour les sanitaires... De quoi décrocher un 20/20 ? Pour en savoir plus, visitez le site de Brenac & Gonzalez & Associés Photographies : Sergio Grazia et Stefan Tuchila
Il y a 6 ans et 264 jours

Rail-Fix: un module d'application pour les garde-corps  

Afin de compléter sa suite logicielle Fixperience, Fischer a développé un module d'application : Rail-Fix.
Il y a 6 ans et 278 jours

Dvvd : Passerelle de Saint-Omer

Côté ouvrages d'art, l'agence dvvd, spécialisée dans l'architecture, l'ingénierie et l'économie de la construction depuis 2005, n'en est pas à son coup d'essai. Une approche et un savoir-faire pluridisciplinaires mis au service d'une passerelle métallique fuselée, enjambant le paisible Canal de Neufossé à Saint-Omer (62). Une quiétude que n'aurait su offenser dvvd, pronant l'intégration paysagère au détriment d'un design tapageur. Parmi les réalisations remarquées de l'agence dvvd : les passerelles du Quai aux fleurs à Évry (91) et du pôle multimodal de Bécon-les-Bruyères (92), mettant en scène une fine structure métallique torsadée, dans un environnement urbain dynamique. Dans le plat pays de Saint-Omer, rien de cela : une paisible commune de 15 000 habitants typique du Nord de la France traversée par le centenaire Canal de Neufossé. Lorsque les sept associés répondent au concours lancé en 2015 par la Communauté d'Agglomération, la CASO, pour relier le centre de la bourgade au quartier enclavé de la gare, ils ont décidé d'opter pour une " intégration par la sobriété ". L'adaptation au contexte comme leitmotiv, tel que le livre l'un des fondateurs de l'agence, Bertrand Potel : " les ouvrages d'art nous donnent l'occasion de penser différemment la ville : au-delà de la technicité, ils se situent entre urbanisme et design ". Une révérence au paysage local donc, auquel dvvd répond avec justesse par une réalisation tout en finesse. Une silhouette effilée de 50 mètres de portée dénuée de tout appui intermédiaire, dont le profil éthéré trouve par ailleurs sa justification dans des arguments techniques et d'usages. Elle assure en effet un respect du gabarit de navigation (3,70 mètres au-dessus du niveau des plus hautes eaux navigables) ainsi que le dénivelé maximum dicté par la réglementation PMR (moins de 4 %). Ces normes justifient en outre l'ajout d'une rampe d'accès à la fois destinée aux piétons et aux cyclistes sur le quai sud, côté ville, afin de compenser la différence d'altimétrie entre les deux rives. " La passerelle se veut ainsi comme un simple trait dans le paysage, s'épaississant doucement à mi-travée pour renforcer la structure et dessiner une mince courbe en plan et en élévation. " agence dvvd Côté technique : structure et design se trouvent intimement mêlés dans deux poutres latérales métalliques, de section triangulaire, portant un platelage inférieur en tôle recouverte d'enrobé en partie basse, tout en intégrant les garde-corps. Un ensemble préfabriqué de 78 tonnes (120 tonnes au total avec les discrètes culées en béton), mis en place par grutage en seulement 3h30. Un délicat trait d'union de 392 mètres carrés dont l'acier clair souligne l'horizon. Pour en savoir plus, visitez le site de dvvd Photographies / Illustrations : © Daniel Rousselot / © DVVD
Il y a 7 ans et 15 jours

Nouvelles gammes de garde-corps Tubesca-Comabi pour sécuriser les toits

Afin de répondre à la demande grandissante du marché, Tubesca-Comabi, leader français dans la fabrication et la commercialisation de solutions d'accès et de travail en hauteur, complète ses gammes de produits avec des nouveautés dans les toitures et les terrasses.
Il y a 7 ans et 79 jours

Wutopia Lab : His House and Her House

Décidemment, la Biennale de Shenzhen regorge de projets plus intéressants les uns que les autres ! Après le Dom-Ino Pavilion et le Zhulang Huagai, c'est sur l'installation His House and Her House du Wutopia Lab que se porte notre attention. Un dytique hétérosexué rose et bleu qui exacerbe des clichés au sein du foyer. Cette installation conceptuelle de 226 mètres carrés est le résultat de la rénovation de deux petits bâtiments dans le bidonville urbain de Shenzhen (Chine), répondant aux consignes données par les responsables de la Biennale : réinterpréter la cuisine comme lieu de convivialité. Un thème qui a amené les créateurs à se questionner sur les rôles " normés " des hommes et des femmes en ce lieu si spécial. Le projet permet également de s'interroger sur les moyens à déployer pour contribuer à l'amélioration nécessaire des zones précaires de la région de Shenzhen. En effet, le parti pris de l'événement était d'intégrer tous les pavillons et espaces d'exposition dans des quartiers délaissés et de sélectionner des interventions qui pourraient contribuer à leur amélioration, et par la même occasion de celle de la vie de leur population composée de travailleurs immigrés et des nouveaux arrivants peu aisés. Pour ce faire, Wutopia Lab imaginent deux demeures distinctes : une aux traits " masculins " et l'autre à l'allure " féminine ". Un choix qui se traduit par l'usage de revêtements monochromes bleu et rose. Pour His House, les architectes construisent un ensemble massif et géométrique composé de trois pièces et de toilettes publiques. L'une de ses salles est blanche, en référence au sel, l'un des premiers conservateurs alimentaires utilisés par l'être humain. Côté testostérone : l'on retrouve par exemple dans les parois composées de culots de bouteilles de bière ou dans les suspensions en tranches de bacon, un clin d'"il au soi-disant goût plus prononcé des hommes pour la viande rouge, qui s'inscrit dans une liste de clichés humoristiques. Pour ce qui est de la maison voisine, la " force " de la première demeure laisse ici place à une structure plus " raffinée " et ouverte sur l'extérieur. La présence de garde-corps aux motifs gracieux et alambiqués, combinée à la légèreté des persiennes dissimulant de larges baies vitrées appuient la volonté du collectif de créer un bâtiment inspiré de l'image stéréotypée de la femme : fragile et élégante. Comptant dix pièces partiellement meublées sans réelles fonctions, cette construction contraste fortement avec son pendant " viril ". Et à aucun moment les deux bâtisses ne se touchent, comme pour appuyer un peu plus les oppositions hommes/femmes. Un concept qui peut paraître simpliste mais dont les couleurs vives attirent les regards sur cette zone urbaine laissée à l'abandon. En effet, le désir des maîtres d'"uvre était, à travers ces représentations ironiques, de montrer que des forces complémentaires sont nécessaires au remaniement des dizaines de quartiers comme celui-ci à travers la Chine. Le bleu devient alors la couleur de la survie et de la force, quand le rose est assimilé à la douceur et à la patiente. Des vertus complémentaires dont le rajeunissement urbain ne peut se passer. Un ying et un yang revisité, au message plus profond qu'il n'y paraît. Pour en savoir plus, visitez le site de la Biennale de Shenzhen Photographies : Al Qing
Il y a 7 ans et 87 jours

Le nouveau Tribunal de Grande Instance de Paris deux fois primé

Le Tribunal de Grande Instance de Paris, qui ouvrira ses portes au printemps 2018, a été récompensé par le Grand prix national de l'Ingénierie et l'Équerre d'argent 2017. Il est également certifié HQE Bâtiment Tertiaire par Certivéa. La conception de ce bâtiment moderne exemplaire a mobilisé l'expertise du CSTB en aérodynamique et éclairage, et son intervention dans l'évaluation de procédés innovants. La stabilité au vent de l'édifice 160 mètres de haut, 38 étages construits sur 3 blocs au-dessus d'un socle : le Tribunal de Grande Instance (TGI) est le deuxième plus haut bâtiment à Paris. Son architecture atypique, très large dans un sens et étroite dans l'autre, a été dessinée par l'agence d'architecture Renzo Piano Building Workshop pour optimiser l'espace au sol. Cette forme effilée expose fortement la structure aux vents. Le rôle du CSTB a consisté à mesurer la résistance au vent de l'édifice, au travers d'essais en soufflerie sur une maquette du projet à l'échelle 1/250e. Son étude aérodynamique a contribué à orienter la conception de l'ouvrage autour de 3 noyaux de béton, qui forment sa colonne vertébrale (structure principale). Par ailleurs, sur les plus hauts étages de ses 3 blocs, l'édifice intègre des panneaux photovoltaïques destinés à couvrir une partie de ses besoins en énergie. Mesurer les efforts de ces panneaux photovoltaïques en façade, soumis au vent, est important pour garantir leur stabilité. Dans cet objectif, des tests en soufflerie atmosphérique ont été réalisés par le CSTB sur une maquette au 1/75e des panneaux. Le confort des usagers Autre enjeu de conception : le confort des 9 000 personnes qui vont chaque jour fréquenter le Tribunal de Grande Instance de Paris. Paré de verre en façade, le TGI ouvre ses portes, à l'intérieur, sur un atrium haut et lumineux : la salle des pas perdus. Les experts du CSTB ont été sollicités pour l'étude et l'optimisation de l'éclairage naturel de cet espace de plus de 5 000 m². Façade vitrée, verrière ou puits de lumière ? Avec quels vitrages ? Et quelle forme pour les puits de lumière ? C'est à ces questions que le CSTB s'est attelé, en s'appuyant sur un modèle 3D complet du TGI et son logiciel de photo-simulation Phanie. Le CSTB a comparé l'apport de chaque type d'ouverture pour différentes configurations d'aménagement et diverses conditions lumineuses extérieures (ciel couvert, ciel serein?). Ses simulations d'éclairage ont guidé les choix architecturaux de l'atrium. Celui-ci se pare ainsi aujourd'hui d'une façade vitrée et de nombreux puits de lumière, orientés sud pour un rendement optimisé. Par ailleurs, le CSTB a accompagné la conception des trois grandes terrasses végétalisées du TGI. Situées à plus de 30 mètres au-dessus du sol, dans un environnement de faible hauteur, celles-ci sont très exposées au vent. Afin de les rendre confortables aux usagers, le projet a intégré des garde-corps de protection. Le CSTB, sollicité pour évaluer et optimiser cette installation, a montré l'intérêt d'adapter localement la taille et la porosité de ces écrans. C'est le cas par exemple sur certaines zones proches des tours, exposées aux vents d'ouest dominants. Le CSTB a appuyé ses recommandations sur les résultats d'essais menés en soufflerie atmosphérique. Après avoir reproduit sur maquette au 1/250ème l'aménagement des terrasses végétalisées, il a testé et analysé différentes configurations pour améliorer leur confort au vent. Enfin, le bien-être des occupants du TGI a été renforcé par le choix d'une façade double peau. Concrètement, une lame d'air sépare la peau extérieure et la peau intérieure, toutes deux en verre. La seconde est dotée d'ouvrants, ce qui contribue à la bonne ventilation des lieux. Le CSTB est intervenu dans l'évaluation (ATEx de type b) du procédé de collage (mastic VEC) qui maintient la peau extérieure sur l'ossature du bâtiment. Dans ce cadre, il a réalisé des essais à échelle 1 pour le façadier Permasteelisa. Le procédé a été testé en chambre climatique pour vérifier qu'en toutes circonstances, il n'y avait pas d'embuage. En savoir plus : L'expertise du CSTB au service des Grands Ouvrages Évaluation (ATEx) par le CSTB des procédés innovants Film sur l'ingénierie du Tribunal de Grande Instance de Paris (Setec TPi) Grand Prix national de l'Ingénierie 2017 : lauréats Équerre d'Argent 2017 : palmarès des lauréats