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Résultats de recherche pour groupe saint gobain

(752 résultats)
Il y a 3 ans et 234 jours

Point. P prêt à acquérir Raboni Normandie

Point. P, enseigne de distribution de SGDB France (groupe Saint-Gobain), continue de se déployer en France avec une prochaine acquisition en vue auprès du groupe BME.
Il y a 3 ans et 240 jours

Saint-Gobain vend des activités de transformation du vitrage

Aurys, dont le siège est dans la Manche, est spécialisée dans le façonnage et la transformation du verre plat. Elle compte 145 employés pour un chiffre d'affaires d'environ 20 millions d'euros en 2020. La société a été vendue à un ancien manager de Saint-Gobain, précise le groupe dans un communiqué.Avec un chiffre d'affaires équivalent, le site de Deggendorf en Bavière emploie 160 personnes dans le domaine du verre trempé. Il est racheté par le groupe suisse Arbonia."Ces opérations s'inscrivent dans la poursuite de la stratégie d'optimisation du portefeuille de Saint-Gobain, visant à améliorer le profil de croissance et de rentabilité du groupe", explique Saint-Gobain, qui ne communique pas de montants.Fin juillet, Saint-Gobain avait annoncé à l'occasion de ses résultats semestriels avoir "complètement dépassé la crise Covid de 2020", avec un bénéfice net de près de 1,3 milliard d'euros pour les six premiers mois de l'année.
Il y a 3 ans et 260 jours

Saint-Gobain cède deux enseignes de distribution en Espagne

Saint-Gobain, qui a vendu l'enseigne française Lapeyre au printemps car elle était trop centrée sur les particuliers, a finalisé la vente de La Plataforma de la Construccion, pendant espagnol de La Plateforme du bâtiment, au négociant en matériaux de construction BigMat, selon un communiqué.Par ailleurs, l'enseigne spécialisée en carrelage et sanitaire, Discesur, est cédée au groupe d'investissement Jorge Fernandez, en partenariat avec Group Terrapilar.Avec 16 points de ventes et près de 700 employés, ces deux enseignes ont réalisé un chiffre d'affaires d'environ 140 millions d'euros en 2020.Mi-février, Saint-Gobain avait finalisé en Espagne la cession de Sanigrif, distributeur de produits de plomberie, sanitaire et chauffage ainsi que celle de Saniplast dans la distribution de matériaux pour travaux de génie civil."Ces opérations s'inscrivent dans la stratégie de poursuite de l'optimisation du portefeuille de Saint-Gobain, visant à améliorer le profil de croissance et de rentabilité du groupe", selon le communiqué du groupe.
Il y a 3 ans et 299 jours

Valobat : Pour faire progresser le recyclage des déchets du bâtiment

Les représentants des 26 entreprises signataires de l’éco-organisme Valobat, pour le recyclage des déchets du bâtiment. [©Valobat] Dossier : Penser circulaire Interview : Ecima Découverte : Le label E2C Rencontre : Ipsiis Reportage : Zac le Square La notion d’économie circulaire s’applique de plus en plus à l’ensemble des secteurs d’activité. Dans le bâtiment, toutes les typologies d’acteurs sont impactées et s’organisent dans ce sens. L’Ecima, association européenne des fabricants de ouate de cellulose, représente les producteurs implantés sur le marché français. Rencontre avec son président Jean-Michel Bœuf. Depuis janvier 2021, le Cerema pilote un nouveau label : E2C. Ce dernier valide et accompagne les porteurs de projets dans la mise en place d’initiatives d’économie circulaire. Comment mêler efficacité énergétique et économie circulaire ? Avec son procédé innovant, Ipsiis tente de répondre à cette question. Rencontre avec le fondateur, Yves le Corfec. A Dreux (28), la Saedel est en charge de l’opération de la Zac le Square. Ici, l’aménageur a souhaité s’engager pleinement dans une logique d’économie circulaire. Une loi de 2020 rendra obligatoire la mise en place d’une filière de recyclage pour les produits et matériaux de construction du bâtiment à partir du 1er janvier 2022. Mais, 26 entreprises du secteur ont, d’ores et déjà, annoncé la naissance d’un éco-organisme, baptisé Valobat. Ce dernier sera chargé de développer le recyclage des déchets du bâtiment pour lutter, entre autres contre les décharges sauvages. Cet éco-organisme offrira aux entreprises une solution multi-matériaux de reprise des déchets collectés séparément dans les points de collecte de proximité. Et développera les filières de recyclage. Toutes les parties prenantes sont concernées. A savoir, maîtres d’ouvrage, maîtres d’œuvre, entreprises de travaux, déconstructeurs. Mais aussi, collectivités territoriales, bricoleurs, gestionnaires de déchets et industriels. Retrouvez l’ensemble du dossier par –> ici Le dispositif visera à responsabiliser les producteurs et distributeurs sur le marché de produits ou matériaux de construction. Ceci, sur la gestion de déchets du secteur du bâtiment, en versant une éco-contribution.  Une démarche collective volontariste Valobat a pour ambition d’accélérer l’économie circulaire dans le secteur du bâtiment. En demandant l’agrément pour la prévention et la gestion des déchets du bâtiment. Son objectif final : sortir du schéma “extraire, fabriquer, consommer et jeter”. Et ainsi éviter les situations de dépôts sauvages, dont les coûts d’évacuation et de traitement pèsent lourd sur le budget des collectivités territoriales. Parmi les 26 partenaires ayant fondé Valobat, on trouve Aliaxis, Briand, Elydan, Etex, Etex France Exteriors, Fayat, Forbo, Gerflor. Ou encore, Hansgrohe, Isover, Knauf, Knauf Insulation, Legrand, Monier (groupe BMI), Nexans, Placoplatre, PrysmianGroup. Mais aussi, Rexel, Rockwool, Schneider Electric, Saint-Gobain Distribution Bâtiment France. Enfin, le SNFA, L’Enveloppe Métallique du Bâtiment, Soprema, Tarkett et l’UFME. Du plâtre aux isolants, en passant par les canalisations en PVC, le bois ou encore le métal, Valobat ambitionne de couvrir un périmètre multi-matériaux. Le maillage territorial des points de collecte  Mais se rendre dans un point de collecte de proximité, sur son territoire, reste encore complexe pour les artisans. A qui dois-je apporter mes déchets ? Où se trouve le point de collecte le plus proche de mon chantier ? Dois-je contribuer financièrement ?… Autant de points sur lesquels ils s’interrogent. L’enjeu réside dans le maillage territorial des points de collecte. Valobat va proposer un service de points de collecte aux détenteurs de déchets et aux déchèteries gérées par les collectivités qui le souhaitent. Il organisera ainsi, dès son agrément, une concertation à l’échelle de chaque territoire, avec les acteurs concernés, collectivités, artisans et professionnels de la gestion des déchets, pour déterminer les solutions les mieux adaptées localement. Cet éco-organisme reposera sur un modèle de gouvernance ouverte à la diversité des acteurs de la filière. Il disposera d’un Comité des parties prenantes et de neuf Comités de secteurs (par produits à base de laines minérales, à base de bois…), afin que l’éco-organisme prenne en charge la complexité de la filière. 
Il y a 3 ans et 319 jours

Saint-Gobain rachète plus de 5 millions de ses actions

A l'issue de l'annulation de 5,7 millions de titres, le capital du groupe se compose désormais de 532,6 millions d'actions au total, tandis que 530 millions de titres sont en circulation, précise Saint-Gobain dans un communiqué.Le titre de Saint-Gobain a clôturé vendredi à 56,76 euros. Sur cette base, l'opération s'élèverait à plus de 323 millions d'euros.Depuis le début de l'année, l'action Saint-Gobain a grimpé de 48%, pour une hausse de près de 19% pour le CAC 40.Porté par un marché de la rénovation dynamique en Europe, Saint-Gobain a indiqué début juin prévoir un résultat d'exploitation "historique" et une marge "record" au premier semestre.L'an dernier, sous l'effet de la pandémie, le groupe avait renoncé à distribuer un dividende.
Il y a 3 ans et 320 jours

Les acteurs européens du bâtiment appellent l'UE à faire de la décarbonation de l’environnement bâti une priorité

Ce groupe, qui représente plus de 4 500 organisations du secteur du bâtiment, a signé aujourd'hui une lettre demandant à la Commission de s'assurer que la révision de dossiers législatifs clés, tels que la directive sur la performance énergétique des bâtiments (EPBD), appuiera une approche du carbone considéré tout au long du cycle de vie du bâtiment. Cette lettre ouverte s'inscrit dans le cadre du projet #BuildingLife du World Green Building Council (WorldGBC), lancé en décembre et auquel participent dix GBCs nationaux. Le projet, financé par la Fondation européenne pour le climat, la Fondation IKEA et la Fondation Laudes, travaille avec les parties prenantes du secteur pour élaborer une feuille de route européenne sur la trajectoire carbone pour le bâtiment, afin de définir les moyens appropriés pour mettre en oeuvre l'approche du cycle de vie complet du bâtiment dans le cadre politique européen. Ce processus est également reproduit au niveau national dans 10 pays européens. Le carbone émis par les produits de construction, de leur production à leur fin de vie, représente environ 10 à 20 % de l'empreinte CO2 des bâtiments dans l'UE. Comme le souligne la lettre, les signataires considèrent qu'il est essentiel que la politique européenne s'attaque à ces émissions en même temps qu'aux émissions opérationnelles - produites lorsque les bâtiments sont utilisés - afin d'atteindre la neutralité climatique d'ici 2050, conformément aux objectifs du Green Deal de l'UE.Cristina Gamboa, PDG, World Green Building Council:"Cette lettre ouverte montre un consensus clair dans le secteur du bâtiment en Europe : la politique de l'UE doit aller plus loin pour offrir un environnement bâti entièrement décarboné et circulaire.À l'approche de la COP26, il est urgent que les décideurs politiques adoptent une approche du carbone dans l'ensemble du cycle de vie des bâtiments - une approche qui englobe non seulement les émissions opérationnelles mais également le carbone émis par les produits de construction.#BuildingLife montre la voie en développant une série de feuilles de route pour l'UE et 10 pays européens, grâce à une collaboration profonde entre les leaders du secteur, les décideurs politiques et les experts.Le WorldGBC invite les hauts dirigeants de l'ensemble du secteur à rejoindre notre campagne appelant à une approche par le cycle de vie du bâtiment, et à devenir aujourd'hui un ambassadeur de #BuildingLife."Tina Paillet, Présidente de RICS Europe :"Le secteur de la construction et du bâtiment a un impact considérable sur le changement climatique, sur la raréfaction de nos ressources, sur la production de déchets et sur les possibilités d'emploi local. La construction d'un bâtiment est très émissive en carbone nous nous rapprochons rapidement du dépassement de notre budget carbone de 1,5°C.Il est temps d'agir maintenant et l'économie circulaire est la seule voie possible pour un changement significatif dans le secteur de l'environnement bâti".Lars Völkel, Vice Président de Wood Products, Stora Enso"Nous avons un besoin urgent de politiques fortes qui encouragent l'utilisation de matériaux à faible teneur en carbone pour atteindre des bâtiments à consommation zéro. Une révision de l'actuelle directive EPBD portant sur les émissions liées au cycle de vie des bâtiments est un moyen efficace d'y parvenir. Le climat ne peut pas attendre."Roland Hunziker, Directeur, Sustainable Buildings & Cities, WBCSD"Une approche du carbone sur l'ensemble du cycle de vie est essentielle pour parvenir à des émissions nettes zéro dans l'environnement bâti. Dans l'ensemble, la performance carbone doit devenir une partie intégrante de l'évaluation tout au long de la chaîne de valeur et être incorporée dans la prise de décision dès le début du projet, dans les achats et dans les réglementations. Le projet #BuildingLife vise à proposer des mesures pratiques pour y parvenir."Céline Carré, Directrice des Affaires Publiques, Saint-Gobain"Si l'on veut sérieusement décarboner le secteur des bâtiments, il faut adopter une approche basée sur l'ensemble du cycle de vie afin de créer des conditions équitables pour toutes les solutions et s'inspirer des politiques adéquates sur la voie de la neutralité climatique."Koen Coppenholle, Directeur, CEMBUREAU :"Les politiques fondées sur une analyse du cycle de vie neutre sur le plan matériau sont essentielles pour décarboner nos bâtiments, et le cadre Level(s) est l'instrument approprié."Les actions proposées à la Commission européenne dans cette lettre ouverte sont les suivantes:Reconnaître le plein potentiel du secteur du bâtiment dans la réalisation d'une Europe climatiquement neutre.Veiller à ce que la révision des principaux dossiers législatifs, y compris la directive sur la performance énergétique des bâtiments (EPBD), soutienne une approche du carbone tout au long de la vie du bâtiment, en plus de l'accélération de la rénovation, et une plus grande transparence des performances atteintes.Reconnaître le potentiel de la méthode Level(s)- le cadre de l'UE pour les bâtiments durables – qui fournit une approche multi-critère harmonisée, en développant la circularité et l'adaptabilité des bâtiments.Mettre en oeuvre la stratégie de l'UE pour un environnement bâti durable afin de garantir la cohérence des politiques et de coordonner la transition vers un environnement bâti durable dans l'UE.Travailler avec le réseau engagé des parties prenantes de #BuildingLife pour développer et mettre en oeuvre ces politiques transformatrices.
Il y a 3 ans et 320 jours

Le groupe Saint-Gobain décolle avec la dynamique du marché de la rénovation

Saint-Gobain porté par la dynamique du marché de la rénovation en Europe, prévoit un résultat d'exploitation "historique" et une marge "record" au premier semestre.
Il y a 3 ans et 324 jours

Pénurie de bois, de ferraille, de plâtre... pas facile de construire en 2021

"J'avais bien peur de ne pas pouvoir livrer mon client qui va construire une extension de maison individuelle cet été, alors j'ai anticipé la commande" explique Mikael Lopes, PDG du négoce de matériaux AP situé à Poigny en Seine-et-Marne, à une heure à l'est de Paris.Pour ses clients, candidats à la maison individuelle, Benoit Cuvelé, entrepreneur de maçonnerie à Douy-la-Ramée, à quelques kilomètres de là, résume la situation: "Ce n'est pas une année pour construire, ça va vous coûter plus cher et ça va durer plus longtemps."Car à l'exception des parpaings, "tout manque": bois, laine de verre, plaques de plâtre, ferraille, et même carrelages ou conduites d'eau et fenêtres en plastique PVC.Dans le réseau Tout Faire, qui approvisionne les artisans de la construction en France et en Belgique, les délais de livraison "se comptaient en jours avant le Covid, aujourd'hui ils sont en mois" ajoute M. Lopes. Et les prix s'envolent, d'entre 30% et 100% selon les matériaux, selon lui.Les États-Unis "achètent beaucoup de bois en Europe, plus cher et en gros volume du fait de la reprise économique là bas, et nous on manque de bastaings, de madriers, de dalles de plancher", dit-il.Côté ferraille, c'est la Chine qui rafle "tout l'acier", "alors que les Européens sont soumis à des quotas".Dans son hangar de stockage, où 200 artisans du bâtiment de la région de Meaux viennent s'approvisionner, les tas de bois s'amenuisent dangereusement."Normalement, ce stock correspond à 15 jours de réserve". Or, il va falloir qu'il tienne jusqu'à fin septembre: "les fournisseurs ne prennent même plus les commandes." M. Lopes avoue ne pas très bien savoir comment vont faire les entreprises du bâtiment pendant les gros mois de construction que sont juin et juillet.Chômage partiel sur les chantiers ?"S'il y a trop de ruptures d'approvisionnement, il va y avoir du chômage partiel" sur les chantiers, craint-il.Seule la crise financière de 2008 avait eu autant d'impact, mais pas de la même manière: "En 2008, on avait les matériaux et pas les chantiers. Là, on a les chantiers et pas les matériaux", résume l'entrepreneur Benoit Cuvelé.En ce moment, ses clients, des particuliers qui souhaitent bâtir une maison individuelle, n'ont que "deux semaines pour accepter un devis ou le refuser". "Au delà, on ne peut pas s'engager sur les prix", explique l'artisan.Les raisons de cette crise historique? Outre la razzia des achats internationaux, la baisse de la production de matériaux pendant la pandémie en raison des contraintes sanitaires dans les usines de fabrication, et les ruptures de chaînes logistiques."Il y a des pénuries de containers pour importer en Europe, ils sont tous pris d'assaut en Asie", indique à l'AFP Eric Quenet, directeur général de l'association PlasticsEurope qui regroupe les fabricants de plastiques européens.Le tout coïncide avec une forte augmentation de la demande, portée par le lancement de grands plans de rénovation ou de chantiers d'isolation thermique dans le cadre de plans de relance économique en Europe.Récemment, même les produits de base fabriqués localement, sans importation, comme les briques ou le béton ont subi des hausses de prix allant de 2% à 20%, souligne la Fédération européenne des négociants en matériaux de construction (UFEMAT).Elle veut néanmoins croire à "un changement drastique de situation à la fin de l'année et l'an prochain, lorsque les consommateurs vont recommencer à dépenser dans des activités de loisirs aux dépens de leurs investissements d'intérieur", selon une réponse écrite envoyée à l'AFP par ses deux dirigeants, Marnix Van Hoe et John Newcomb.Les grands groupes de matériaux, comme Saint-Gobain, ont profité à plein de l'engouement pour la construction et de l'envolée des prix, en affichant des résultats "record" au premier semestre.M. Lopes aussi avoue avoir eu une "excellente année" 2020, comme l'ensemble de son réseau, classé "commerce prioritaire" pendant la pandémie.
Il y a 3 ans et 330 jours

Saint-Gobain : le successeur de Guillaume Texier est nommé

Le groupe communique sur la nouvelle composition de son comité de direction. Thierry Fournier succède à Guillaume Texier à la direction générale de Saint-Gobain Europe du Sud.
Il y a 3 ans et 330 jours

Les ventes de Saint-Gobain s'envolent avec la reprise de la construction

"Les ventes des mois d'avril et mai continuent à afficher de très bonnes tendances, soutenues par la dynamique du marché de la rénovation en Europe, tout particulièrement en France, la croissance des marchés de la construction en Amériques et en Asie-Pacifique, ainsi que par la poursuite de l'amélioration séquentielle des marchés industriels", explique Saint Gobain dans un communiqué.La situation sanitaire "reste toutefois incertaine, en particulier au Brésil - avec un impact limité sur nos activités - et en Inde, pénalisée sur les deux derniers mois" précise le groupe."Dans ces conditions, le résultat d'exploitation du premier semestre 2021 devrait clairement dépasser le niveau historique du second semestre 2020. La marge d'exploitation du premier semestre 2021 devrait ainsi atteindre un nouveau record", précise le communiqué.Néanmoins, le groupe n'a pas modifié l'objectif qu'il avait publié pour l'ensemble de l'année lors de l'annonce de ses résultats du premier trimestre le 29 avril.Il avait alors indiqué qu'il visait pour l'année "une forte progression du résultat d'exploitation à structure et taux de change comparables", avec une hausse de la marge d'exploitation de "plus de 100 points de base (1 point de pourcentage, ndlr) par rapport aux 7,7% de 2018"."Saint-Gobain va effectivement très bien, puisqu'on a fait des résultats record au 2e semestre et que le 1er semestre 2021 sera encore meilleur", s'est félicité le patron de Saint-Gobain Pierre-André de Chalendar, invité sur BFM Business."On a travaillé nos coûts, on a fait notre programme de transformation qui a été prêt un an plus tôt, on a insufflé un nouveau dynamisme avec une organisation très décentralisée par pays", a avancé M. de Chalendar pour expliquer les résultats des "douze derniers mois à fin juin, les meilleurs de notre histoire".A la Bourse de Paris jeudi, le titre Saint-Gobain a clôturé en tête du CAC 40, en hausse de 4,19% à 57,70 euros, dans un marché qui a terminé en léger recul de 0,21%.Depuis le début de l'année, le cours de l'action s'est envolé de plus de 50%, soit une hausse trois fois plus importante que celle du CAC 40 qui a progressé de 17,28% depuis janvier.En outre, l'assemblée générale du groupe a voté jeudi en faveur du changement de gouvernance avec l'arrivée à partir du 1er juillet de Benoit Bazin, actuel directeur général délégué, comme nouveau directeur général, alors que Pierre-André de Chalendar, actuel PDG, ne garde que la présidence du conseil d'administration.Au cours de la séance, M. Bazin a notamment réaffirmé l'ambition de Saint-Gobain de devenir "l'acteur central de la construction durable partout dans le monde".En réponse à la question d'un actionnaire, Pierre-André de Chalendar a souligné l'impact positif des plans de relance gouvernementaux sur l'amélioration des résultats du groupe.En France, "nous avons commencé à voir un petit impact de Ma Prim'renov dans la deuxième quinzaine de mars, en avril et en mai, et on va avoir un impact plus important au 2e semestre" a-t-il dit en précisant qu'il attendait aussi un impact positif des mesures de rénovation et d'isolation des bâtiments publics en 2022 et 2023.
Il y a 3 ans et 337 jours

Fabrication additive : Une technologie en cours de démocratisation

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine L’’impression 3D béton s’inscrit dans la stratégie bas carbone en France. [©Vicat] Dans la trilogie “Retour vers le futur”, sortie dès 1985, le réalisateur Robert Zemeckis nous fait voyager dans le temps. A bord d’une DeLorean DMC-12 quelque peu modifiée, Marty McFly et le docteur Emmett Brown explorent le passé, mais aussi le futur. Dans le deuxième opus, les protagonistes se retrouvent en 2015. Ici, les voitures volent et les pizzas sont prêtes en 2 s ! Tous les codes de la science-fiction dépeignant le futur sont réunis. Si la domotique et la notion de “maison connectée” y sont perçues, les bâtiments et leur architecture ne semblent pas trop avoir bougé. Pourtant, dans la vraie vie, si nos déplacements ne se font pas encore par lévitation, le monde de la construction a bien évolué. Parmi les innovations, la fabrication additive ou impression 3D béton fait de plus en plus parler d’elle. Notre n° 91 lui était consacré. En effet, la discipline ouvre une multitude de problématiques que les industriels, selon leurs expertises, tentent d’élucider. D’un point de vue matériau et matériel, la technologie demande un savoir-faire particulier : l’encre minérale, l’imprimante et les logiciels sont trois composantes d’un tout.  Un trio gagnant La majorité des technologies actuelles utilisent le principe de la dépose d’un cordon de béton en couche par couche. Le matériau mis en œuvre doit donc tenir en place pour supporter son propre poids et être assez fluide pour que les couches adhèrent entre elles. La matière doit aussi répondre aux besoins classiques de durabilité, de performances… De plus en plus d’industriels proposent des gammes dédiées à la fabrication additive, à l’image de Cemex, Ciments Calcia ou encore Vicat. Du côté de l’imprimante, plusieurs “camps” s’affrontent. Il y a ceux qui s’ancrent dans la lignée de la construction hors site. Ainsi, l’outil est installé en usine où elle imprime des éléments à emporter. C’est le cas d’industriels comme Soliquid et XtreeE. D’autres ont misé sur des imprimantes nomades qui se déploient sur chantier. La start-up Valenciennes Construction 3D ou Cobod s’inscrivent dans cette mouvance. Quelle que soit la technique adoptée, la buse et le dispositif d’extrusion sont des points sensibles. Enfin, les différents logiciels de pilotage et de modélisation, qui peuvent être imaginés par le fabricant de l’imprimante ou par un éditeur indépendant, permettent de faire la traduction numérique de la volonté architecturale. Une transition environnementale et numérique Plusieurs enjeux entourent la fabrication additive. La dimension environnementale intervient naturellement. Au cœur de la future RE 2020, la transition écologique de la construction fait partie de la stratégie bas carbone de la France. Les acteurs de l’impression 3D béton mettent en avant les avantages de leur discipline dans ce domaine. A savoir, l’optimisation des matières premières, la construction hors site et l’utilisation du bon matériau au bon endroit. L’impression 3D est aussi une résultante de la transition numérique de la construction. Cemex l’englobe ainsi dans ce qu’il appelle la « fabrication digitale ». Cette dernière peut répondre aux problématiques de pénibilité sur chantier avec moins de compagnons nécessaires in situ. Et en même temps, à la résolution de défis techniques dans la construction, que ce soit dans les formes architecturales ou dans la rapidité de conception. Reste à résoudre quelques freins : le coût, la réglementation ou encore la formulation vue sous le prisme de l’économie circulaire. Il reste encore de grandes avancées à accomplir avant d’atteindre une démocratisation de la fabrication additive. Korodur : « Une nouvelle liberté d’écriture » Créé en 1936, le groupe familial allemand Korodur fabrique et commercialise des solutions minérales pour sols industriels. A l’entrée de son siège, le nom Korodur s’inscrit en lettres géantes, imprimées en 3D ! En effet, depuis plus de 10 ans, l’industriel s’est lancé dans l’aventure de la fabrication additive. « En 2012, un de nos partenaires néerlandais nous a présenté Berry Hendriks, raconte Nikola Heckmann, présidente de Korodur. A ce moment-là, il lançait sa start-up Cybe et avait pour ambition de révolutionner la construction avec l’impression 3D. A l’époque, c’était fou, mais nous avons décidé de travailler ensemble en nous occupant de la partie matériau. » Avec son expertise dans la conception de mortiers, Korodur a pris le temps de trouver la bonne formulation. Le tout en utilisant un ciment à impact carbone réduit. « Le mortier à imprimer doit être à prise rapide, ne pas se déformer sous son poids et chaque couche doit adhérer sur la précédente. De plus, le matériau doit s’adapter à l’imprimante et au logiciel. Les trois fonctionnent ensemble. Après plusieurs mois de recherche, nous avons réalisé avec Cybe notre premier objet : un banc. » Korodur s’est associé à Cybe pour développer la fabrication additive. [©Korodur] Depuis, Korodur et son partenaire se sont lancés dans des projets à l’international. A Dubaï, ils ont réalisé un bâtiment dédié aux drones qui surveillent les pipelines. Au Japon, ce sont des toilettes publiques… Il y a aussi l’Afrique du Sud, la Nouvelle-Zélande et la France, avec une maison en Normandie. « L’impression 3D est intéressante et doit avoir sa place dans l’évolution de la construction. Elle donne une nouvelle liberté d’écriture pour les architectes et les designers. Mais répond aussi à des défis techniques pour la préfabrication, par exemple. »  Lycée Louis Loucheur : L’impression 3D dès le plus jeune âge Dans le cadre du programme “Espace d’innovation partagée”, le lycée professionnel Louis Loucheur, à Roubaix (59), a reçu une dotation de la Région Hauts-de-France. Une manne qui a permis à l’établissement de mettre en place une nouvelle matière à son cursus “gros œuvre” : l’impression 3D. « Nous avons acquis une Mini Printer de Construction 3D, explique Régis Schefller, enseignant au sein du lycée. Nous avons bénéficié d’une formation pour pouvoir être autonomes. » Aujourd’hui, le lycée travaille avec des mortiers de Parexlanko dédiés à l’impression. « Les élèves sont très curieux de ce que l’on peut faire avec. Nous espérons que cela représentera un atout pour promouvoir les formations dans le bâtiment et de montrer une autre facette de nos métiers. » A Roubaix, le lycée Louis Loucheur vient d’intégrer l’impression 3D béton dans son cursus de formation. [©Lycée Louis Loucheur] Saint-Gobain : Voici les clefs Fin avril 2020, Saint-Gobain a remis les clefs à d’heureux résidents d’une maison un peu particulière. A Eindhoven, aux Pays-Bas, ce bâtiment de 94 m2a été entièrement réalisé en impression 3D. Pour rappel, Saint-Gobain Weber Beamix conçoit des mortiers spéciaux pour cette application. Ici, 24 éléments en béton ont été préfabriqués, avant d’être acheminés in situ. Cette maison est la première du programme Milestone, qui en comptera 5 au total. Chaque nouvel habitat sera optimisé grâce aux enseignements tirés des précédentes mises en œuvre.  Aux Pays-Bas, Saint-Gobain a livré sa première maison imprimée en 3D béton. [©Saint-Gobain] Sivagami Casimir Retrouvez l’ensemble du dossier : Que seront les bétons de demain ? Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 94
Il y a 3 ans et 344 jours

Saint-Gobain s’offre Chryso

Saint-Gobain annonce le rachat de Chryso. [©ACPresse] Saint-Gobain poursuit sa stratégie de développement et annonce le rachat de Chryso. Spécialisé dans la fabrication et la commercialisation de solutions de chimie pour la construction, ce dernier compte près de 1 300 collaborateurs. Et a enregistré ces 12 derniers mois un chiffre d’affaires de 400 M€ et un Ebitda de 85 M€. Saint-Gobain financera cette transaction via la trésorerie générée par les cessions réalisées ces dernières années. Lire aussi : – Saint-Gobain nomme une nouvelle directrice du digital– Weber : “Vert et fier” de sa démarche RSE– Saint-Gobain : 100 M€ par an pour la neutralité carbone « L’acquisition de Chryso est une opportunité unique pour Saint-Gobain de développer davantage notre présence, d’ores et déjà, forte sur le marché en croissance de la chimie de la construction, déclare Pierre-André de Chalendar, Pdg de Saint-Gobain. Elle est parfaitement alignée avec notre stratégie ESG1 d’offrir à nos clients une proposition de valeur axée sur la durabilité et la performance. Nous sommes impressionnés par l’historique de croissance rentable de Chryso sur les dernières années et très heureux d’accueillir Thierry Bernard, Pdg de Chryso et son équipe au sein de notre groupe. » Renforcer sa position sur le marché de la chimie de la construction En effet, cette transaction permettra à Saint-Gobain de renforcer sa position et sa plate-forme de croissance sur le marché de la chimie de la construction. « La demande mondiale d’additifs est attendue en progression d’environ + 7 % par an sur la période 2021-2025, surperformant le marché de la construction, détaille le groupe dans un communiqué. Dans les pays émergents, la demande pour les solutions encore peu exploitées, continuera d’être portée par l’urbanisation, l’accroissement des dépenses d’infrastructure, les solutions prêtes à l’emploi. Mais aussi, les gains d’efficacité. Dans les économies développées, la demande sera principalement tirée par les exigences de durabilité. Ainsi que par les besoins de productivité et la performance à la fois technique et esthétique des solutions proposées. » Lire aussi : – Saint-Gobain adapte sa stratégie face à la pandémie– Chryso signe un partenariat avec Solidia pour déployer les bétons bas carbone– Chryso : De plus en plus actif dans la chape De plus, pour Saint-Gobain, c’est aussi une façon de consolider sa stratégie tournée vers la transition écologique et la performance. Par exemple, dans le domaine du béton bas carbone. « La mise en commun des capacités de R & D accélérera le développement technologique de Chryso. Avec comme objectif de se classer au premier rang des solutions innovantes pour la construction durable. » Avec ce rachat, près de 35 M€ de synergies de vente devraient être générées grâce à une plate-forme commerciale commune élargie. Cette dernière permettrait d’accélérer la croissance de Chryso dans des pays majeurs où la société opère. Et ce, grâce à la forte présence de Saint-Gobain (comme les Etats-Unis et l’Inde). De vendre les produits dans de nouveaux marchés où le groupe français dispose d’une forte présence comme le Brésil ou l’Asie du Sud-Est. Mais aussi, de développer des opportunités de ventes croisées entre Chryso et Saint-Gobain Weber en Europe Occidentale. Après validation des autorités compétentes et des instances représentatives du personnel, la transaction devrait se finaliser au second semestre 2021.
Il y a 3 ans et 348 jours

Saint-Gobain se renforce dans la production d'adhésifs

ACQUISITION. Le groupe Saint-Gobain est sur le point de s'emparer de Duraziv, groupe roumain spécialisé dans la production d'adhésifs et autres solutions à valeur ajoutée de chimie du bâtiment.
Il y a 3 ans et 348 jours

Saint-Gobain se renforce dans la chimie de la construction

L'acquisition de Duraziv, groupe roumain spécialisé dans la production d’adhésifs et autres solutions à valeur ajoutée de chimie du bâtiment permettra à Saint-Gobain d’élargir sa gamme de solutions d’aménagement intérieur et extérieur.
Il y a 3 ans et 354 jours

Bois : Saint-Gobain en négociations exclusives pour racheter Panofrance

ACQUISITION. Le groupe Saint-Gobain annonce être entré en négociations exclusives avec Chausson Matériaux dans le but d'acquérir Panofrance, une enseigne spécialisée dans la distribution de produits bois, panneaux, agencement, menuiseries.
Il y a 3 ans et 362 jours

Après le confinement 2020, Saint-Gobain bénéficie à plein de la reprise des chantiers dans le monde

De janvier à mars, le groupe a vu son chiffre d'affaires progresser de 10,9% à 10,38 milliards d'euros contre 9,36 milliards au premier trimestre 2020, lourdement impacté par l'arrêt des chantiers dans le monde entier lors du premier confinement lié à l'épidémie de Covid-19.En Europe du Sud, le rebond des ventes est de 19,7% par rapport au 1er trimestre 2020, et de 9,5% par rapport au premier trimestre 2019, alimenté notamment par le marché de la rénovation en France, où le dispositif gouvernemental MaPrimeRenov' de soutien aux ménages "commence à faire son effet", indique un communiqué."Clairement, la maison est l'endroit où les gens peuvent dépenser leur argent en ce moment, ce qui est très positif" pour le groupe, a commenté le PDG Pierre-André de Chalendar, lors d'une présentation téléphonique des résultats.La tendance devrait durer au moins jusqu'à la fin de l'année selon lui, en raison notamment des incitations contenues dans les divers plans de relance pour isoler les bâtiments, qu'ils soient privés ou publics.En France, le processus de cession de la chaîne de magasins de bricolage, menuiserie et construction individuelle Lapeyre au fonds allemand Mutares arrive à son "point final" et devrait être terminée "d'ici l'été", a indiqué M. de Chalendar. Une audience du tribunal de commerce de Paris sur le sujet est prévue le 10 mai pour examiner une procédure d'homologation de la vente.En Europe du Nord, les ventes du groupe ont progressé de 5,1%, Saint-Gobain bénéficiant notamment de l'acquisition de Brüggemann en Allemagne "qui offre des solutions innovantes de construction modulaire en bois clés en main", indique un communiqué.Sur le continent américain, la croissance du chiffre d'affaires s'est élevée à 22,3% sur le trimestre et à 23,9% par rapport au premier trimestre 2019, l'Amérique du nord étant tirée par "une demande particulièrement forte" et "par l'accélération des prix dans un contexte plus inflationniste".Les ventes au Brésil affichent une hausse "spectaculaire" de 34,8% sur le trimestre et de 33% par rapport au 1er trimestre 2019.En Asie Pacifique, la Chine, premier pays affecté par le coronavirus, et également premier pays à sortir de la crise sanitaire, "double ses ventes" alors que l'Inde affiche "une croissance à deux chiffres par rapport au niveau pré-Covid".Le groupe confirme ses perspectives pour l'ensemble de 2021 et vise "une forte progression du résultat d'exploitation à structure et taux de change comparables", avec une progression de la marge d'exploitation de "plus de 100 points de base par rapport aux 7,7% de 2018".
Il y a 4 ans et 7 jours

Saint-Gobain cède son activité canalisation en Chine

"Saint-Gobain annonce la signature d'un accord concernant PAM Chine, aux termes duquel le groupe cède 67% de son activité canalisation en Chine", indique un communiqué du groupe français.La transaction, dont le montant n'a pas été précisé, devrait être clôturée "au cours de l'été". Elle valorise l'entreprise à environ 100 millions d'euros.PAM Chine, qui comprend une usine de production à Ma'anshan, dans l'est du pays, et emploie près de 1.100 salariés, a généré l'an dernier un résultat d'exploitation de 9 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 170 millions d'euros.Saint-Gobain cessera de contrôler PAM Chine, à la suite de cette opération. Elle lui permettra toutefois "de maintenir son lien avec l'activité canalisation en Europe, dans le cadre d'un partenariat industriel de long terme", souligne le communiqué.La transaction s'inscrit dans la stratégie du groupe "d'optimisation" de portefeuille, visant à améliorer son "profil de croissance" et sa "rentabilité".
Il y a 4 ans et 11 jours

Jean-Philippe Ndobo-Epoy, nouveau Directeur technique chez Sto France

Jean-Philippe Ndobo-Epoy occupe désormais le poste de Directeur technique de Sto France, en remplacement de Dominique Girard, parti à la retraite.Il est en charge de l'équipe support technique composée de 8 personnes, des relations avec le CSTB (avis techniques) et les laboratoires externes, des développements techniques avec les architectes, les maîtres d’œuvre et les maîtres d'ouvrage.« Ce qui m'a plus chez Sto France, c'est la grande diversité des projets et des systèmes de façade proposés, que ce soit pour l'ITE, le ravalement et le bardage. Il n'y a pas de routine quotidienne, chaque jour, je découvre un nouveau projet, il faut savoir être réactif ! ».Fort d'une expérience de 20 ans en R&D et marketing dans la construction, Jean-Philippe se passionne dès le début de ses études pour les matériaux. Son diplôme d'ingénieur de l'ESPCI Paris en poche, il débute sa carrière chez Lafarge où il restera 6 ans. Il y réalise sa thèse sur l'hydratation du ciment avant d'occuper le poste d'ingénieur R&D.En 2008, il rejoint le groupe Saint Gobain où il y restera 13 ans. Successivement ingénieur R&D, chef produits internationaux, chef de groupe R&D et directeur international stratégie & innovation – Isolation, Jean-Philippe a l'occasion de participer au développement de nouvelles solutions d'isolation en France mais aussi aux Etats-Unis. Cette expatriation lui permet de découvrir un mode de travail différent avec une approche plus rationnelle de la valorisation des essais sur le terrain.Il envisage la fin de son aventure chez Saint Gobain comme une opportunité de retrouver un poste plus opérationnel.« J'ai passé beaucoup d'années en R&D et marketing stratégique, le terrain commençait à me manquer. Je souhaitais revenir sur des missions plus concrètes et retrouver le contact avec les clients. Le poste chez Sto France était parfait ! »Habitué des outils digitaux collaboratifs, Jean-Philippe a su prendre ses marques au sein de Sto France sereinement, malgré le contexte actuel inédit de crise sanitaire, et créer du lien avec ses équipes. Son seul regret : ne pas encore pouvoir partager de moments de convivialité avec ses collègues.Âgé de 44 ans, ce sportif passionné de randonnées en montagne s'implique volontiers dans le sujet des JO 2024, véritable laboratoire des constructions bois de grande hauteur, pour lesquelles Sto France dispose déjà d'une solide expérience.
Il y a 4 ans et 21 jours

Grand témoin : Benoit Bazin, directeur général délégué du Groupe Saint-Gobain

INTERVIEW. Benoit Bazin, actuel directeur général délégué du Groupe Saint-Gobain, prendra les rênes du groupe à la suite de Pierre-André de Chalendar, qui reste président non exécutif, le 1er juillet prochain. Découvrez ses réflexions, sa vision, son actualité, son message aux professionnels et son portrait en 5 traits.
Il y a 4 ans et 22 jours

Christian Bouigeon devient Directeur général d'Isover et Placo

Le groupe Saint-Gobain annonce la nomination de Christian Bouigeon au poste de Directeur général Isover et Placo, à compter du 1er mai.
Il y a 4 ans et 23 jours

Christian Bouigeon, de Pont-à-Mousson à Isover-Placo

Le Groupe Saint-Gobain nomme un successeur à Hervé de Maistre, appelé à d'autres fonctions au sein du groupe.
Il y a 4 ans et 24 jours

Plaque de plâtre : Saint-Gobain va densifier son outil de production en Roumanie

INVESTISSEMENT. Le groupe de matériaux de construction, Saint-Gobain, annonce vouloir réaliser une deuxième ligne de production de plaques de plâtre dans son usine de Turda, en Roumanie.
Il y a 4 ans et 29 jours

Avec le rachat de Brueggeman, Saint-Gobain redécouvre le bois

En prenant l’automne dernier une participation majoritaire chez un charpentier allemand, le groupe Saint-Gobain bouscule un peu ses habitudes, sans pour autant opérer un revirement net de stratégie.
Il y a 4 ans et 33 jours

Lapeyre : la crainte "d'un redressement judiciaire généralisé" pour les salariés

CESSION. La vente de l'enseigne Lapeyre (groupe Saint-Gobain) au fonds d'investissement allemand Mutares fait des remous. Les syndicats craignent pour de nombreuses suppressions d'emplois, et un rapport commandé par les représentants du personnel des usines et de Lapeyre Services évoque "un risque de redressement judiciaire généralisé très élevé voire quasi certain (...)".
Il y a 4 ans et 38 jours

De l'énergie éolienne pour Saint-Gobain aux Etats-Unis

ACHAT D'ENERGIE. Le groupe Saint-Gobain a scellé un accord d'achat d'énergie avec Invenergy, spécialiste des solutions d'énergie durable, et ce pour une période de 12 ans.
Il y a 4 ans et 45 jours

Qui est la nouvelle directrice du digital et des systèmes d'information de Saint-Gobain ?

CARNET-NOMINATION. Le groupe Saint-Gobain a nommé Ursula Soritsch-Renier directrice du digital et des systèmes d'information.
Il y a 4 ans et 45 jours

Saint-Gobain nomme une nouvelle directrice du digital

Ursula Soritsch-Renier est nommée directrice du digital et des systèmes d’information du groupe Saint-Gobain. [©DR] Depuis le 16 mars 2021, Ursula Soritsch-Renier est nommée directrice du digital et des systèmes d’information du groupe Saint-Gobain. Elle sera rattachée à Benoit Bazin, directeur général délégué. Et rejoindra le comité exécutif dès le 1er juillet prochain. Avec plus de 167 000 collaborateurs, présents dans 70 pays, le groupe Saint-Gobain est un acteur majeur sur le marché de la construction. La nomination d’Ursula Soritsch-Renier à un poste centré sur le digital s’inscrit dans la démarche de transition numérique engagée par le groupe. Sa solide expérience au sein d’entreprises internationales permettra à Saint-Gobain d’exploiter au mieux ses ressources. En particulier en matière d’utilisation de données. Le parcours d’Ursula Soritsch-Renier Après avoir suivi un cursus à l’université de Vienne, en Autriche, Ursula Soritsch-Renier a acquis une expérience internationale. Elle a commencé sa carrière en 1995 chez Philips, où elle est restée 14 ans. Ces fonctions l’ont conduite aux Pays-Bas, en Belgique, puis aux Etats-Unis, où elle finit par rejoindre Novartis en 2009. Après quelques années passées sur le continent Nord-américain, elle revient en Europe. Ursula Soritsch-Renier est embauchée au sein de l’entreprise suisse Sulzer, active dans le secteur de l’ingénierie industrielle. Cette dernière est présente sur plus de 170 sites répartis dans 40 pays. Entre 2018 et 2020, elle a été nommée directrice des systèmes d’information et du digital chez Nokia.
Il y a 4 ans et 57 jours

L'UFME accélère la mise en place du réseau de collecte et de démantèlement des fenêtres en fin de vie

Après avoir lancé en 2019 sa Charte d'engagement présentant les bonnes pratiques nécessaires à la collecte et à la maîtrise du traitement des déchets, elle intègre depuis octobre 2020 deux nouveaux chargés de mission environnement. Mathilde Crenn-Sutter (en charge des régions Ouest et Nord de la France) et Laurent Suet (en charge du Sud et de l'Est) renforcent ainsi le Groupe de Travail Environnement.Ils accompagnent les signataires de la Charte UFME dans l'atteinte de leurs engagements. Leurs premières missions visent à mettre en place des outils dédiés à la traçabilité et à la consolidation des volumes collectés et traités. Ces actions incluent des interventions sur le terrain auprès des acteurs de la Filière pour les aider à progresser quantitativement et qualitativement. La densification du réseau figure également parmi leurs priorités. En moins de quatre mois, plusieurs concrétisations ont déjà eu lieu : la liste des signataires volontaires est passée à 46, soit une augmentation de plus de 30%. Restant en veille sur les sujets environnementaux, leur mission est évolutive et s'adaptera aux futures révisions règlementaires et normatives.Créer et faire vivre une synergie entre les métiers et les régions : la clé de la réussiteDans un esprit collectif et collaboratif, Mathilde Crenn-Sutter et Laurent Suet se positionnent comme des facilitateurs dans l'identification et la mise en relation entre les différents maillons de la chaîne afin de préserver un circuit vertueux en boucle fermée.« L'enjeu principal repose sur la complémentarité des métiers concernés pour susciter une émulation. Nous sommes ouverts à tous les acteurs. Nous rencontrons des recycleurs, des entreprises spécialisées dans le vitrage, le PVC ou encore la quincaillerie, des points de collecte, des déchetteries, des communes et régions, afin de construire un maillage de l'ensemble du réseau sur tout le territoire. Une carte nationale est en cours d'élaboration et sera enrichie au quotidien pour identifier les points de collecte rapprochés. Ce réseau pérenne participera à l'augmentation des volumes de récupération. », s'accordent à l'unisson les deux chargés de mission.Regards croisés de signataires de la Charte UFMENelly Philipponnat, Directrice Bâtiment Durable Saint-Gobain Glass Bâtiment France« Le Groupe Saint-Gobain étant très impliqué dans les questions environnementales, et notamment celle de l'économie circulaire en matière de vitrage, notre adhésion à la Charte UFME était une évidence. C'est une démarche profonde, intelligente et pédagogique ancrée dans cet ADN dont nous partageons les valeurs. Au-delà de la signature, il est essentiel d'être présent dans la filière baie vitrée et de développer un recyclage complémentaire fenêtre et verre plat. Cela passe nécessairement par tout un travail de sensibilisation et de mobilisation des acteurs. La mise en relation est fondamentale pour faire connaître cette jeune filière dans chaque région auprès des lieux de collecte et de démantèlement. ».Yann de Bénazé, Président Profine France SAS« Profine a été l'un des premiers signataires de la Charte UFME. Le volet environnemental et recyclage fait historiquement partie de nos valeurs. En témoigne par exemple notre rôle précurseur de premier extrudeur gammiste à avoir inventé en 1994 le PVC stabilisé sans plomb. La valeur ajoutée de la filière animée par l'UFME réside dans l'impulsion qu'elle donne au recyclage des matières en fin de vie. L'enjeu est de taille, sa réussite repose sur la massification et la généralisation. La déconstruction des grands chantiers est lancée. Le défi sera donc d'élargir au maximum la collecte des matières en fin de vie jusqu'aux petits chantiers, sur l'ensemble du territoire. ».François Picart, Directeur Valorsol Environnement« Valorsol Environnement propose une traçabilité intégrale, du dépôt des déchets jusqu'à leur valorisation dans les filières certifiées. Nous avons développé plusieurs filières de valorisation des déchets qui peuvent bénéficier d'une seconde vie. Les menuiseries en font partie. Elles sont porteuses de matériaux à forte valeur, tels que le PVC, l'aluminium et le verre. Et c'est en cela aussi que leur recyclage s'avère compliqué. Il est indispensable de collecter les déchets entiers au plus près de la source afin de leur offrir la meilleure revalorisation grâce au travail de précision mené par les unités de démantèlement. La mise en relation entre les différents opérateurs constitue la grande force de la filière développée par l'UFME. ».Les dernières informations et la liste actualisée des signataires de la Charte sont disponibles à cette adresse. Dans la continuité du relooking de son site Internet, l'UFME mettra prochainement en ligne les fiches d'identité des signataires ainsi qu'une carte de France pour illustrer le maillage territorial. L'UFME travaille également sur une identité visuelle qui permettra aux signataires de rendre visible leur engagement.
Il y a 4 ans et 63 jours

Saint-Gobain Distribution Bâtiment France déploie un escape game digital au sein des écoles de commerce

Afin de se faire mieux connaître des plus jeunes, Saint-Gobain Distribution Bâtiment France a choisi de faire appel à un outil tout à la fois ludique, pédagogique, dynamique et moderne : l’escape game. Et pour être sûre de pouvoir toucher les étudiants quel que soit le contexte sanitaire, l’entreprise a opté pour un escape game digital.Un moyen original de se faire connaître et de créer du lienL’un des éléments clés du recrutement est de faire connaître son entreprise, ses engagements, son potentiel. Cela est d’autant plus vrai auprès des jeunes publics qui connaissent mal toutes les possibilités offertes par une entreprise telle que Saint-Gobain Distribution Bâtiment France.Afin de pourvoir les 700 postes en alternance et en stage disponibles chaque année, l’entreprise a choisi une manière innovante d’aller au-devant des étudiants en leur proposant de participer à un escape game. Crise sanitaire oblige, Saint-Gobain Distribution Bâtiment France organise ce jeu en virtuel. Vingt-quatre étudiants de la Burgundy Business School de Dijon ont eu la primeur de cet escape game le 1er décembre 2020. À la clé, un moment de partage qui les a enthousiasmés et qui a constitué pour les quatre équipes de six étudiants un véritable challenge ludique et pédagogique.Créer de l’animation dans les écolesLes écoles sont aussi en recherche d’activités pour animer des rencontres entre les étudiants et les entreprises.Le principe de l’escape game mis en place par Saint-Gobain Distribution Bâtiment France est donc une façon très originale de créer du lien et un réel dynamisme. Le scenario choisi embarque les étudiants dans unemission à la fois amusante et fédératrice, issu d’une série télévisée célèbre et dans lequel ils doivent déjouer les plans d’un braquage de banque.En travaillant ensemble et en cherchant des solutions, les étudiants développent un véritable esprit d’équipe et une vraie cohésion de groupe et cela même en jouant à distance les uns des autres.En observant leurs attitudes et leurs réactions, les équipes de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France peuvent déterminer les compétences comportementales de chacun et les mettre en parallèle des besoins des métiers proposés par l’entreprise.Saint-Gobain Distribution Bâtiment France prévoit de mettre en place cet escape game dans trois écoles dès le début d’année 2021 puis de le déployer dans 11 écoles partenaires.
Il y a 4 ans et 64 jours

Christophe Rogier est nommé directeur général d’Isonat

La société du groupe Saint-Gobain, spécialisée dans les isolants biosourcés, vient d'annoncer, au 1er janvier 2021, la nomination au poste de directeur général de l’ancien directeur de l’usine Isover de Chalon-sur-Saône.
Il y a 4 ans et 72 jours

Saint-Gobain cède des activités de distribution en Espagne et en Italie

En Espagne, Saint-Gobain a finalisé la vente de Sanigrif (produits de plomberie, sanitaire et chauffage) et Saniplast (matériaux pour le génie civil), a-t-il indiqué dans un communiqué.Ces deux activités représentent ensemble une trentaine de magasins, 220 employés et un chiffre d'affaires cumulé de 90 millions d'euros.Saint-Gobain a d'autre part indiqué avoir cédé courant 2020 son activité de distribution en Italie, qui représentait un chiffre d'affaires de 15 millions d'euros.Au tout début de l'année 2021, le groupe a déjà annoncé être en négociations exclusives pour céder son activité de distribution aux Pays-Bas, qui représentait un chiffre d'affaires de plus de 520 millions d'euros en 2019.Par ailleurs en France, Saint-Gobain a engagé la vente de sa chaîne de magasins Lapeyre (équipement de la maison), qui emploie environ 3.500 salariés, au fonds allemand Mutares.
Il y a 4 ans et 74 jours

Saint-Gobain continue de se séparer d'activités distribution en Europe

CESSION. Le groupe Saint-Gobain poursuit sa politique de cessions dans le cadre de l'optimisation de son portefeuille. Il vient de se séparer de ses activités de distribution dans deux pays européens.
Il y a 4 ans et 78 jours

Le groupe KP1 nomme un nouveau président

Portrait de Vincent Linchet, nouveau président du groupe KP1. [©Groupe KP1] Le 29 janvier dernier, Vincent Linchet a été nommé président du groupe KP1. Il succède ainsi à Bruno Roqueplo qui a quitté le groupe afin de donner une nouvelle orientation à sa carrière. Fabricant de systèmes constructifs en béton pour les planchers, structures et ossatures de bâtiments, KP1 possède 39 sites en France. Créée en 1959 à Avignon, l’industriel emploie plus de 1 700 personnes. A la suite de sa nomination, Vincent Linchet a annoncé être « ravi de rejoindre le groupe KP1 qui est sans aucun doute l’une des entreprises de taille intermédiaire  industrielles les plus remarquables de France. Elle est dotée d’une capacité d’innovation et de production impressionnantes, développées depuis plus de 60 ans par des équipes robustes et déterminées ». Le parcours de Vincent Linchet Diplômé de physique nucléaire, Vincent Linchet détient aussi un Master of Business Administration (MBA) obtenu à la Louvain School of Management, en Belgique. Après une expérience de plusieurs années au sein d’Ariston Thermo Group, comme directeur commercial et marketing, il rejoint le groupe Saint-Gobain. Cette fois-ci en tant que directeur général de division pour Pum Plastiques puis, Cédéo-Brossettes. En 2018, il intègre Abrisud, fabricant européen de piscines. Il agit en qualité de président et directeur général. En seulement deux ans, Vincent Linchet réussi le pari de relancer le groupe. Aujourd’hui, un nouveau pari s’offre à lui. En effet, à la tête du groupe KP1, nul doute que Vincent Linchet aura de nombreux défis à relever….
Il y a 4 ans et 87 jours

Saint-Gobain diminue ses émissions de CO2

En 2020, Saint-Gobain a diminué de plus de 20 % à 30 % ses émissions de CO2 pour la fabrication en France du verre plat pour le bâtiment. Ces résultats sont le fruit de multiples actions mises en place pour réduire les émissions de CO2 sur toute la durée de vie du verre : l’amélioration des outils de fabrication pour réduire leur consommation énergétique, la réintroduction dans les fours des chutes de coupe de production ou des vitrages collectés sur les chantiers de rénovation ou de déconstruction, ou encore une implantation régionale très forte en France pour limiter le nombre de kilomètres parcourus par les matériaux. Autant d’actions concrètes qui permettent aujourd’hui à Saint-Gobain de proposer du verre de 4 mm d’épaisseur à moins de 10 kg de CO2 éq. /m2, une valeur qui pourrait devenir la nouvelle référence pour les bâtiments. Par ailleurs, le groupe vient de publier 44 nouvelles FDES sur la base INIES qui viennent démontrer l’impact positif de ses actions sur l’empreinte carbone de ses produits. Photo : Saint-Gobain – Iris LEBRUN
Il y a 4 ans et 92 jours

Saint-Gobain annonce une forte réduction du bilan carbone de ses vitrages

En phase avec l'engagement du groupe d'atteindre la neutralité carbone en 2050, Saint-Gobain publie 44 FDES qui attestent d'une diminution de 20 à 30 % des GES par rapport à la précédente série de données.
Il y a 4 ans et 101 jours

Création d'un délit d'écocide : le PDG de Saint-Gobain réagit

La création d'un délit d'écocide n'est "pas (...) une très bonne idée", a estimé le PDG du groupe Saint-Gobain, M. de Chalendar, qui se méfie de "la judiciarisation de l'économie".
Il y a 4 ans et 101 jours

Le club industriel Sekoya dévoile les lauréats du second appel à solutions lancé sur sa plateforme

Depuis la création de la plateforme, neuf partenaires représentatifs de l'ensemble de la chaîne de valeur de la construction ont rejoint l'initiative pour former le club industriel Sekoya afin d'apporter leur expertise en matière de carbone et favoriser la mise en œuvre de solutions décarbonées. Sont ainsi rassemblés plusieurs grands groupes majors dans leur secteur : Covivio, Gerflor, GRDF, Legrand, Saint-Gobain et Vicat ainsi que l'Union Sociale pour l'Habitat qui représente les organismes de logement social, le CSTB, principal centre de recherche et d'expertise du secteur et le CEEBIOS, le Centre d'études et d'expertises en biomimétisme, dernier entrant du club.Le premier appel à solutions, qui a récompensé 5 lauréats en janvier 2020, a permis d'initier une vingtaine de collaborations avec les partenaires du club : de l'étude de faisabilité à l'association des solutions à des réponses à appels d'offres ou à des projets. Le deuxième appel à solutions portait sur 2 thématiques : conception et construction bas carbone, usages et exploitation bas carbone. Durant les trois mois de candidature, 56 solutions ont été déposées sur la plateforme, en provenance de plusieurs pays, dont des pays hors Union européenne. Ce jeudi 17 décembre, les 10 start-ups pré-sélectionnées ont présenté leur innovation devant le jury. Les solutions se situent toutes à la jonction de plusieurs piliers du développement durable et jouent habilement de plusieurs des atouts suivants : énergies renouvelables en neuf comme en rénovation, matériaux de construction stockant du carbone, économie circulaire et écomobilités urbaines douces. Le club Sekoya a nommé 6 entreprises lauréates :ESITC CaenLe Pavé Coquillage est une solution innovante, pérenne et locale pour répondre à des préoccupations économiques et environnementales. La formulation du pavé drainant intègre des coproduits coquilliers marins dans sa composition, limitant par ailleurs l'utilisation de ressources naturelles.CarbonCureLa technologie de CarbonCure permet de minéraliser chimiquement les déchets de CO2 pendant le processus de fabrication du béton afin que celui-ci soit plus écologique et plus solide.www.carboncure.comNielsen conceptLe Mobilypod, un abri vélo sécurisé, connecté, multi-services répond à une des principales craintes usagers : la peur du vol. Ces abris sont réalisés à base de conteneurs maritimes recyclés, transformés par un atelier de réinsertion par le travail, et autonomes en énergie.www.nielsenconcept.comBluedigoBluedigo est une marketplace B2B de mobilier de bureau d'occasion et éco-responsable. La raison d'être de Bluedigo est d'aider les entreprises à créer des espaces de travail à impact positif.www.bluedigo.frCelsius EnergyCelsius Energy connecte les bâtiments neufs ou existants à l'énergie de leur sous-sol. Ils fournissent une chaleur bas carbone et une climatisation ou un rafraichissement naturel durable.www.celsiusenergy.comSasminimumSon produit, le Pavé, est un matériau qui se présente sous forme de plaques. Recyclé et recyclable, il est fabriqué localement à partir de déchets plastiques récupérés sur le territoire Français.www.sasminimum.comLe coup de cœur du jury est :AxibioPoint d'apport volontaire connecté dédié à la collecte de biodéchets. Doté d'un contrôle d'accès innovant alimenté par un panneau solaire, il permet l'enregistrement du poids déposé par les usagers. Les données restituées sur le web permettent l'animation cette nouvelle collecte sélective.www.axibio.frLes autres start-ups présentes et pré-sélectionnées étaient :Caeli EnergieCaeli Energie est spécialisée dans la conception et la fabrication de climatiseurs résidentiels à forte efficacité énergétique et faible impact environnemental.www.caeli-energie.comLanceyUn radiateur électrique avec stockage intégré et une batterie centralisée capable d'alimenter l'ensemble des appareils électriques de la maison et d'emmagasiner l'énergie produite par les panneaux solaires ainsi que l'énergie à faible teneur en carbone (éolienne et solaire) tirée du réseau national en période de faible demande.www.lancey.frUpcycleCette solution proposée aux acteurs du quartier est une solution clé en main de compostage des biodéchets. L'entreprise propose des animations, pré-collectes en point d'apport volontaire, collectes en remorque électrique, compostages électromécanique ainsi que la valorisation du compost dans les espaces vert ou l'agriculture urbaine.www.upcycle.orgPar ce deuxième appel à solutions, Sekoya répond à sa vocation d'identifier des solutions bas carbone et d'accompagner leurs concepteurs dans une mise en œuvre à grande échelle en leur permettant d'intégrer de futurs appels d'offres. Non exclusives, ces innovations œuvrent au service d'un développement durable partagé et favoriseront les interactions entre tous les acteurs du secteur.
Il y a 4 ans et 105 jours

Frans Bonhomme intensifie sa présence dans les produits en béton

Frans Bonhomme compte 156 agences spécialisées dans les produits en béton à destination des travaux publics. [©Frans Bonhomme] Il y a un peu plus d’un an, Frans Bonhomme finalisait la reprise des 58 points de vente Distribution Matériaux pour les Travaux Publics (DMTP) de Point.P (groupe Saint-Gobain). Une acquisition d’un montant de 70 M€ qui permettait au groupe de distribution tourangeau de passer le cap des 400 agences de négoce sur le territoire national. Mais surtout qui lui a permis d’étoffer son offre “béton”. De quoi permettre à Frans Bonhomme de proposer l’offre la plus complète aux entreprises de travaux publics pour leurs chantiers “réseaux et infrastructures”. Aujourd’hui, le distributeur veut poursuit cette dynamique. Ceci, en renforçant encore son expertise pour devenir un leader national dans les produits béton à destination des travaux publics. Son réseau de 156 agences spécialisées dans ce domaine particulier devrait l’y aider…   L’autre pan de ce programme de déploiement concerne le renforcement de sa politique de prévention des risques. D’une part, pour assurer la sécurité des utilisateurs. Et, d’autre part, pour accompagner les équipes internes au travers de formations. En effet, la manutention de produits béton – par définition pondéreux – nécessite la mise à disposition d’outils logistiques spécifiques. En particulier des chariots élévateurs, accessoires que tous les points de vente concernés ne possédaient pas !  Former les collaborateurs à la prévention des risques Aussi, début octobre 2019, Frans Bonhomme a procédé à un inventaire précis, afin d’identifier les besoins de chaque agence. Et garantir ainsi aux collaborateurs de travailler en toute sécurité. « Depuis plusieurs années, Frans Bonhomme est pleinement engagé dans une démarche de prévention des risques, explique Alexandra David, directrice Sécurité et Environnement du groupe. Il est impératif que chaque site dispose du matériel et des accessoires adéquats. Et que chaque collaborateur soit formé à leur utilisation. » Dans cet ordre d’idée, Frans Bonhomme veille à ce que les collaborateurs bénéficient de formations. Ces dernières sont basées sur un guide de préconisations composé, entre autres, d’instructions de travail. D’un côté, une formation en e-learning dédiée à la prévention des risques a été dispensée dès la fin de l’année. De l’autre, une formation animée sur site en début d’année par des référents internes. Elle comprendra des mises en situation de manipulation de produits béton. Et présentera les risques associés aux accessoires de levage. Renforcer la connaissance sur les bétons Ces formations sont organisées en deux temps. En premier lieu, les collaborateurs référents qui, leur tour, formeront les autres collaborateurs. Ceux, en charge de la commercialisation des produits. « Ce dispositif de formation interne permet de conserver le savoir-faire de Frans Bonhomme et de développer les compétences des équipes », reprend Alexandra David. Et de conclure : « Aujourd’hui, l’expertise de nos collaborateurs constitue un point d’entrée du plan de relance du groupe en ce qui concerne l’évolution de notre offre. Elle est tant basée sur la connaissance des produits que sur la maîtrise des risques liés à leur manutention. Sachant que les produits en béton sont pondéreux et parfois volumineux ». Ainsi, la direction Sécurité Environnement a travaillé à un guide reprenant tous les risques identifiés. Un développement mené en association avec les partenaires, fournisseurs et avec la collaboration d’experts travaux publics. Et concernant aussi bien le stockage que la manutention et le transport des produits en béton. L’objectif final est de proposer des mesures de prévention adaptées. Et ainsi permettre d’évoluer dans un environnement de travail sécurisé, tout en renforçant le sens du service au client. 
Il y a 4 ans et 106 jours

Isover subventionné par l'Ademe dans le cadre de son engagement en faveur de la décarbonation

Des investissements nécessaires pour un constat sans appelDans son plan “France Relance”, le Gouvernement a prévu un soutien ambitieux et volontariste des entreprises, avec 1,2 milliard d'euros d'ici 2022 pour améliorer l'efficacité énergétique, faire évoluer les procédés de fabrication, notamment par le biais de l'électrification, et décarboner la production de chaleur.Objectif : soutenir la compétitivité économique et environnementale des industries et notamment favoriser la décarbonation.Le secteur du bâtiment représente 43% des consommations énergétiques annuelles françaises et génère 23% des émissions de gaz à effet de serre (GES) français.Pour l'ADEME comme pour ISOVER, décarboner l'industrie est indispensable à l'atteinte des objectifs climatiques que la France s'est fixé : près de 20% des émissions de gaz à effet de serre en France étant issus des activités industrielles. La décarbonation est également un levier de performance de l'industrie française à moyen-terme.ISOVER France et notamment son site industriel d'Orange, certifié ISO 50 001 (économie d'énergie) et ISO 14 001 (management environnemental) s'est engagé depuis plus de 20 ans dans une stratégie environnementale exigeante visant à réduire ses consommations d'énergie et ses émissions de gaz à effet de serre. Ces efforts répondent aux ambitions fortes du Groupe Saint-Gobain d'atteindre la neutralité carbone en 2050.Une subvention récompensant un projet ambitieux déjà bien entamé et concretConsécutivement au plan France Relance, ISOVER anticipe une augmentation des besoins du marché en produits isolants. La marque a engagé depuis plusieurs années une démarche volontaire d'introduction de calcins issus de matières secondaires dans ses produits, qu'il s'agisse de matières issues de verre bouteille, verre plat, pare-brise ou même de laine de verre via son service ISOVER Recycling. L'utilisation des calcins présente divers avantages dont une baisse de consommation d'énergie électrique et une réduction significative des émissions de CO? de sa production. C'est pourquoi le site d'Orange souhaite augmenter le taux de matières recyclées (calcin externe) dans sa composition verrière.La feuille de route environnementale pour l'usine d'Orange vise -33% d'émissions de CO² à l'horizon 2030.3 axes de développement sont prévus pour des travaux débutant en septembre prochain :La modification de la tour de composition verrière, qui permettra d'augmenter d'au moins 20% le taux de matières recyclées (calcin externe) passant de 40% à 60% a minima et engendrera des économies d'énergie et de CO² grâce à une baisse en température induite du four. Ce projet permettra d'augmenter le taux de matières recyclées dans son four de fusion verrière et de réduire les émissions de CO² de 2.800 tonnes/an, soit une baisse des émissions de CO² de 4.600 tonnes/an, calculé sur la base du cycle de vie complet du produit.L'agrandissement de la zone de stockage externe des calcins, avec la création de 4 stands d'environ 200 m² chacun, permettant une meilleure séparation des diverses sources et facilitant leur exploitation.Les équipements permettant de transporter les matières premières vers le four seront remplacés par des convoyeurs à bande plus adaptés.
Il y a 4 ans et 106 jours

Saint-Gobain annonce un 4e trimestre nettement meilleur que prévu

Le groupe de matériaux de construction Saint-Gobain annonce avoir "nettement" dépassé ses attentes » concernant son chiffre d'affaires au quatrième trimestre.
Il y a 4 ans et 112 jours

La Cité de l'architecture et Saint-Gobain main dans la main pour 4 ans

MÉCÉNAT. La Cité de l'architecture & du patrimoine et le groupe de matériaux de construction, Saint-Gobain, ont signé une convention de mécénat institutionnel.
Il y a 4 ans et 114 jours

Saint-Gobain achève l'année 2020 de manière encourageante

RESULTATS. Le groupe de matériaux de construction, Saint-Gobain, annonce que ses résultats enregistrés au 4ème trimestre 2020 dépassent ce qu'il avait envisagé. Détails.
Il y a 4 ans et 116 jours

BME en passe d'acquérir l'activité de distribution néerlandaise de Saint-Gobain

Le groupe Saint-Gobain annonce ce lundi 4 janvier être entré en négociations exclusives avec l'ex-CRH Distribution Europe pour céder son activité hollandaise de distribution.
Il y a 4 ans et 116 jours

"Nous voulons concrétiser notre projet de construction d'usine en Europe", SageGlass

INTERVIEW. SageGlass, spécialiste du vitrage dynamique (groupe Saint-Gobain), souhaite se déployer davantage sur le marché européen et affiche ses ambitions. Son nouveau directeur Europe et Moyen-Orient, Francis Cholley, nous en dit plus.