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Résultats de recherche pour groupe vinci

(1270 résultats)
Il y a 3 ans et 191 jours

Vinci chargé de construire des installations pour Lidl

CONTRAT. Un groupement d'entreprises de filiales des branches Construction et Energies de Vinci réalisera une plateforme logistique et des bureaux pour Lidl dans le Pas-de-Calais.
Il y a 3 ans et 199 jours

La Réunion : Cap sur l’océan Indien

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Centrale à béton Imer BTK 1500 E sur le chantier du multiplexe de Saint-Pierre. [©Imer] C’est bien loin de sa base iséroise de Vif qu’Imer livre ses centrales à béton. A quelque 10 000 km de distance ! « Nous avons un distributeur sur le secteur de l’océan Indien, explique William Merger, directeur de la division béton d’Imer France. Il s’agit de Grue Levage Investissement ou GLI, qui assure la commercialisation des produits Potain et de nos centrales à béton. » Presque coup sur coup, trois unités de la marque italienne ont trouvé preneur. Tout d’abord, une BTK 1500 E, acquise par SBTPC (groupe Vinci), pour permettre la construction d’un multiplexe sur la commune de Saint-Pierre. « Cette centrale est 100 % électrique et fournie dans une version à rayons raclants » Lire aussi les autres actualités en région La seconde unité est identique, utilisée par GTOI (filiale locale de Colas). Elle est installée sur le chantier de construction d’un hôpital, à Bras-Panon, dans l’Est de l’île. Enfin, la troisième centrale Imer récemment livrée est une BKT 1008. Un investissement de l’entreprise de construction locale DLC, qui l’emploie, pour l’heure, à la construction de logements, sur Saint-Denis.  « Nous avons aussi acheminé une très belle centrale chez Trans Invest, une filiale Colas installée sur l’île Maurice, reprend William Merger. Le client a souhaité une BTK 1008 équipée de trémies à granulats. L’outil assure la fourniture des bétons du terminus du tram-train à Port-Louis. » Enfin, Imer est très présent à Mayotte, travaillant aussi bien avec des groupes de BTP nationaux que des entreprises locales. Une vingtaine de centrales de chantier y sont aujourd’hui en activité… Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 205 jours

François Teste du Bailler devient Directeur Général délégué de GCC

Ingénieur Polytech’Lille, François TESTE DU BAILLER a rejoint le Groupe Bouygues Construction en 1987, où il a occupé les postes d’Ingénieur Travaux et Chef de Service en Ile de France, puis de Directeur d’Exploitation en Alsace. Il a ensuite rejoint l’entité GFC Construction (actuel Bouygues Bâtiment Sud-Est), successivement en tant que Directeur Projet, Directeur Régional Grand Lyon, Directeur Général Adjoint puis Directeur Général Délégué.En 2011, il devient Directeur Délégué Rhône-Alpes Sud pour VINCI CONSTRUCTION FRANCE. Il occupera ensuite les fonctions de Directeur Délégué Bâtiment Rhône-Alpes puis de Directeur Opérationnel Centre Est. Depuis le 11 juin 2018, il dirige l’activité historique de GCC : le Pôle Construction.
Il y a 3 ans et 213 jours

La justice autorise la mise en service du contournement ouest de Strasbourg

INFRASTRUCTURE. La cour administrative d'appel de Nancy a décidé d'autoriser la mise en service du contournement autoroutier concédé à une filiale du groupe Vinci.
Il y a 3 ans et 233 jours

Surcoût et retard pour la très attendue nouvelle route du littoral à la Réunion

Entamé en 2014, ce chantier titanesque reliant Saint-Denis (nord) à La Possession (ouest) devait être livré en 2020-2021. Il ne sera cependant pas terminé avant 2027 ou 2028, et le montant des travaux atteindra finalement 2,2 milliards d'euros au lieu du 1,6 milliard initialement prévu, a indiqué mercredi Huguette Bello, présidente du conseil régional, au cours d'une assemblée plénière spéciale de la Région.Les élus régionaux ont d'ailleurs estimé que la Région n'avait pas la capacité financière de finir seule la route. Ils ont décidé de "négocier auprès de l'Etat une contribution financière complémentaire".Par ailleurs, la collectivité régionale risque aussi d'avoir à verser près d'un milliard d'euros d'indemnités diverses au groupement de BTP (Bouygues et Vinci) attributaire du marché de construction de cette route "interminable", a souligné Huguette Bello.Ces montants sont "aussi irréalistes que scandaleux" a estimé la présidente de Région. La collectivité va poursuivre les tentatives de conciliation avec le groupement et "portera ces affaires en justice", si un accord n'est pas trouvé.Au cours de cette séance spéciale, la Région devait notamment déterminer si les 2,7 km manquants pour terminer l'ouvrage devaient être construits en digue ou en viaduc, comme le reste de l'ouvrage. Mais à l'unanimité, majorité et opposition comprises, les conseillers régionaux ont décidé d'attendre de nouvelles expertise pour prendre une décision.Baptisée nouvelle route du littoral (NRL), l'ouvrage long de 12,7 km construits sur la mer est destiné à remplacer l'actuelle route à quatre voies entre Saint-Denis (nord) et la côte ouest.Cet axe de circulation, vital pour l'économie de l'île, régulièrement saturé, est également souvent fermé en raison de chutes de rochers venant de la falaise instable qui le surplombe, ou quand les conditions de mer sont dangereuses.Ce chantier sans fin avait provoqué l'agacement du président de la République Emmanuel Macron, qui avait en octobre 2019 déploré: "nous n'avons collectivement pas su être au rendez-vous".
Il y a 3 ans et 240 jours

Grand Paris Express : carton plein pour Vinci sur la ligne 18

CONTRAT. Déjà en charge des deux premiers lots de génie civil, le groupe Vinci vient également d'obtenir le contrat pour réaliser le centre d'exploitation et de maintenance de la ligne 18 du futur réseau de métro francilien, à Palaiseau.
Il y a 3 ans et 241 jours

Vinci poursuit un redressement progressif au 3e trimestre

Mais le géant français du bâtiment et des infrastructures de transport prévoit des résultats pour l'année 2021 toujours "inférieurs à leur niveau de 2019", après une chute de 61,9% de son bénéfice net en 2020, à 1,24 milliard d'euros.Entre juillet et septembre, Vinci a dégagé un chiffre d'affaires de 13,2 milliards d'euros, soit une hausse de 0,8% par rapport à la même période en 2019 et de 7,8% comparée à celle de 2020.Le pôle Construction continue de tirer le groupe, avec Vinci Energies qui confirme sa dynamique: les deux branches révèlent des chiffres d'affaires à leurs niveaux d'avant-crise.En effet, Vinci Construction réalise un chiffre d'affaires à environ 7,1 milliards d'euros (+5,1%) sur le troisième trimestre, soit plus de la moitié des recettes totales du groupe. Son marché français, qui représente 49% de son activité, est notamment porté par les projets du Grand Paris Express.Quant à Vinci Energies, son chiffre d'affaires progresse de 7,3% rapport à 2020 et 8% par rapport à 2019.La branche aéroport reste la seule à pâtir très largement de la crise sanitaire avec des niveaux de chiffres d'affaires et de trafic passagers plus de deux fois inférieurs à ceux de 2019. Toutefois, le groupe "observe un redressement progressif de son trafic après un début d'année difficile" et "table sur un trafic passagers en 2021 très proche de celui de 2020".Signe de la "bonne situation financière" du groupe, Vinci va reprendre son programme de rachat d'actions, dans la limite de 200 millions d'euros, interrompu en mars 2020.
Il y a 3 ans et 242 jours

L'activité de Vinci dépasse son niveau d'avant crise au troisième trimestre 2021

RÉSULTATS. Bien que les concessions continuent à être à la peine, l'activité du groupe Vinci a retrouvé des couleurs puisque son niveau dépasse celui de 2019 grâce à un troisième trimestre particulièrement dynamique des branches Energies et Construction.
Il y a 3 ans et 247 jours

Vinci Energies complète son offre en matière de rénovation énergétique dans l'ouest

ACQUISITION. C'est par une nouvelle opération de croissance externe que la branche énergie du groupe Vinci souhaite renforcer son expertise dans l'ouest de la France.
Il y a 3 ans et 272 jours

Amende réduite à 3 millions d'euros en appel pour Bloomberg dans l'affaire du faux communiqué Vinci

Fin 2019, le gendarme français de la Bourse, l'Autorité des marchés financiers (AMF), avait infligé une sanction de 5 millions d'euros à l'agence américaine spécialisée dans l'information économique et financière pour avoir relayé la teneur d'un faux communiqué de presse concernant le groupe français de BTP Vinci.L'agence américaine avait déposé un recours en annulation contre la décision du gendarme de la Bourse en février 2020 et avait plaidé sa bonne foi en mai 2021 devant la Cour d'appel de Paris.Cette demande d'annulation de la décision de la Commission des sanctions de l'Autorité des marchés financiers (AMF) a été rejetée par la Cour d'Appel de Paris, qui a cependant réformé le montant de la sanction en tenant compte de "la réactivité de Bloomberg pour interrompre puis supprimer la diffusion des dépêches en cause et publier ensuite une série de rectificatifs et démentis"."Nous espérions que la Cour reconnaisse les questions en matière de liberté de la presse que soulève cette affaire. Nous regrettons que la Cour n'ait pas réformé la décision de la Commission des sanctions et évaluons l'opportunité d'un recours", a réagi Bloomberg dans un communiqué.Bloomberg avait été le premier média à publier en novembre 2016 l'information erronée sur la base d'un communiqué frauduleux qui avait annoncé la révision des comptes consolidés du groupe Vinci en raison de prétendues irrégularités ayant entraîné une perte nette et le prétendu licenciement de son directeur financier.Trois autres agences de presse dont l'allemande DPA, la britannique Reuters, l'américaine Dow Jones ainsi que le journal les Echos s'étaient fait piéger, mais Bloomberg est le seul media à en faire les frais.Ses journalistes du "Speed Desk", un service dédié au traitement de l'information financière en temps réel, s'étaient très vite rendu compte de la supercherie puisque moins de 10 minutes s'étaient écoulées entre la diffusion de la première dépêche et les premiers rectificatifs.Un laps de temps très bref mais suffisant pour faire plonger le cours de l'action Vinci de 18,28% avant de se redresser pour clôturer en baisse de 3,78%. Un préjudice évalué par l'AMF à 6,5 millions d'euros pour les investisseurs.Vinci avait publié un démenti officiel sur son site internet un peu moins d'une heure après la première dépêche et annoncé porter plainte contre X dès le lendemain.Impostures en sérieNi l'AMF, ni le Parquet national financier saisi par Vinci n'ont pu identifier les auteurs du faux communiqué qui l'avaient mis en ligne sur un site miroir du groupe (vinci.group) imitant le vrai (vinci.com), poussant le vice jusqu'à le signer du nom du véritable responsable des relations presse de Vinci, en renvoyant à un faux numéro de téléphone.L'AMF estime que l'agence, très suivie par les salles de marché et la presse financière, aurait dû savoir que les informations étaient "fausses et susceptibles de fixer le cours du titre Vinci à un niveau anormal et artificiel" en procédant à une vérification même sommaire."Les journalistes ne sont pas infaillibles", a rappelé à l'AFP Dominique Pradalié, secrétaire générale du Syndicat national des journalistes, saluant que la Cour d'Appel ait pris "soin de ne pas faire peser l'erreur sur les journalistes mais sur l'intégralité de la chaîne et sur le diffuseur" dans cette affaire qui concerne à la fois la liberté de la presse et la protection des investisseurs.Ce type d'impostures, qui empoisonne la presse financière et les entreprises cotées, ne cesse de prendre de l'ampleur: lundi, un communiqué frauduleux annonçant un partenariat entre le géant américain des supermarchés Walmart et le Litecoin a fait temporairement exploser le cours de cette cryptomonnaie d'environ 30%."Si en l'espèce, l'erreur de Bloomberg est évidemment regrettable, cet arrêt pourrait même être de nature à fragiliser davantage à l'avenir la position de ceux qui formulent des critiques avérées à l'encontre des émetteurs cotés", a commenté Dominique Stucki, associé au sein du cabinet Cornet Vincent Ségurel et spécialiste des affaires boursières.
Il y a 3 ans et 276 jours

Tubesca-Comabi et FMS Ringue déploient leur savoir-faire pour la rénovation du Palais Chaillot à Paris

Des problématiques d’étanchéité des sols sont apparues impliquant d’engager une restauration. TUBESCA-COMABI, leader français dans la fabrication et la commercialisation des solutions d'accès et de travail en hauteur, et FMS Ringue, spécialiste de la location, de la pose et dépose d'échafaudages, en partenariat avec Degaine (Groupe Vinci) vont mener de concert ce chantier emblématique.De renommée internationale, ce monument majeur des années 30 fait l’objet de vastes rénovations des terrasses et du parvis du Trocadéro. TUBESCA-COMABI et FMS RINGUE ont uni leur savoir-faire pour concevoir un échafaudage épousant les contours de la structure et répondant à toutes les contraintes liées aux travaux et aux interventions des différents corps de métier. Ainsi les deux entreprises assureront la fourniture, le montage et démontage des échafaudages et parapluies de protection et Degaine interviendra dans la restauration du parvis côté Passy (en maçonnerie et pierre de taille). Ce chantier d’une durée de 16 mois se déploiera sur4 zones et l’ensemble sera monté, puis démonté et basculé de zone en zone en 4 étapes.La zone 1 : une installation unique dans sa conception et son installationLe chantier a débuté en mai dans la zone 1 pour une durée de 4 mois. La zone d’entrée et d’approvisionnement de cette zone représente 18 m de hauteur au total et par conséquent trois niveaux d’escaliers ont été conçus et construits. Pour assurer la jonction entre ces deux parties, une passerelle a été mise en place afin de faciliter la circulation du matériel et des intervenants du point le plus bas au point le plus haut pour les différents corps d’État. De même, un ascenseur de chantier a été installé afin de fluidifier et accélérer la manutention et les déplacements des matériaux et des hommes. La structure se compose d’un échafaudage de classe 5 (le M368 multidirectionnel, hors élévateur) dimensionné et calculé pour rependre les efforts engendrés par l’ascenseur.En complément, une seconde passerelle de liaison de 16 m de haut et 20 m de long est mise en œuvre pour faciliter l’accès et la circulation entre la zone de stockage et la zone de travail. Par ailleurs, le restaurant Café del’Homme restera ouvert au public pendant toute la période de travaux, ainsi des solutions de stockage occultant ont été prévues afin de ne pas gêner la clientèle.Une application atypique de parapluie pour garantir confort et protectionUn parapluie de 700 m² d’échafaudage a été conçu par le bureau d’étude de TUBESCA-COMABI afin de garantir la mise en œuvre facile et rapide du montage au démontage. La première tranche de travaux a consisté à effectuer la dépose des dalles afin que l’échafaudage de protection repose en périphérie de la zone d’intervention et soit ensuite directement ancré au sol. L’exécution des travaux sur dalle impose une hauteur libre sous parapluie de 3 m. Les fermes sont réalisées avec des poutres en aluminium permettant un montage simple et rapide sans outil, sur lesquelles sont positionnées des glissières permettant d’accueillir les bâches de protection. Cette installation a mobilisé 6 personnes pendant 3 semaines pour la zone 1 et la passerelle.« Nous sommes très fiers d’intervenir sur ce chantier qui représente l’un des lieux les plus connus de la capitale.Ces derniers mois, toutes les équipes de TUBESCA-COMABI et de FMS RINGUE se sont mobilisées pour concevoir et mettre en œuvre des structures adaptées aux contraintes fortes de chantiers emblématiques comme celui duCentre Georges Pompidou en début d’année et de l’hôtel de ville de Pantin récemment. Ce nouveau lieu est une nouvelle fois, la reconnaissance d’un travail collectif de qualité réalisé avec les équipes et nos partenaires. » précise Jean-Baptiste Spinicci, directeur général chez FMS RINGUE & directeur technique et commercial chez Tubesca-Comabi.
Il y a 3 ans et 293 jours

Eiffage retrouve son rythme de 2019

Au premier semestre, le groupe, numéro 3 français du BTP derrière Bouygues et Vinci, a dégagé un bénéfice net de 260 millions d'euros, alors qu'il avait perdu 8 millions en 2020. Sa performance est inférieure de 30 millions d'euros par rapport à 2019, une année "particulièrement dynamique dans tous les métiers", rappelle Eiffage dans un communiqué.Sur les cinq dernières années, seul 2019 fait mieux au niveau du bénéfice net.Le chiffre d'affaires s'est établi quant à lui à 8,7 milliards d'euros, en hausse de 1,9% par rapport à 2019. Il a rebondi de 25,8% par rapport au premier semestre 2020, dont la chute avait été liée aux conséquences des mesures contre le Covid-19.Les deux grandes branches d'activité d'Eiffage, les chantiers de BTP et les concessions autoroutières, connaissent toutefois des dynamiques différentes.Porté par "un carnet de commandes historiques fin 2020", la branche "travaux" a dépassé son niveau de 2019. Elle a été portée par les infrastructures et la branche "Energie systèmes", alors que la construction est en baisse par rapport son niveau de 2019.A la fin juin, le carnet de commandes était en baisse de 3%, mais assurait toujours 13 mois d'activités à Eiffage. Le groupe reste "vigilant" sur le coût et l'approvisionnement des matériaux, où la situation est moins inquiétante qu'en début de l'année, ainsi que sur celui de la main d'oeuvre, a expliqué au cours d'une conférence pour les analystes Benoît de Ruffray, le PDG."Il faut faire attention à ne pas prendre trop d'activités" de chantiers et "ne pas réussir à mettre les équipes derrière: on est donc plus sélectif" dans les recherches de contrats, a-t-il continué.A l'inverse des travaux, "les concessions ont continué à être affectées par les limitations de déplacements", note le groupe dans le communiqué. Le trafic sur les autoroutes APRR est encore en baisse de 17,1% sur deux ans. Pour le reste de l'année, le groupe ne pense pas pouvoir atteindre le même résultat opérationnel qu'en 2019, malgré "une augmentation sensible", par rapport à 2020.Par ailleurs, Eiffage a annoncé sa décision de devenir l'actionnaire unique d'A'liénor en faisant usage de son droit de préemption sur les 35% du capital d'A'liénor détenu par Sanef. A'liénor est le concessionnaire de l'autoroute A65 qui relie la Gironde et les Pyrénées-Atlantiques.Le montant de la transaction, qui comprend aussi l'acquisition de 100% de l'exploitant, Sanef Aquitaine, s'élève à 222 millions d'euros, financés par la trésorerie disponible d'Eiffage. "Le co-actionnaire d'A'liénor était vendeur, et on a saisi l'occasion. Ensuite, il était important pour nous de prendre aussi le contrôle de la société d'exploitation" a expliqué M. de Ruffray.
Il y a 3 ans et 299 jours

Nouvelle session de candidatures pour l'incubateur de jeunes pousses de Vinci

INNOVATION. La plate-forme d'innovation et de prospective du groupe Vinci, Leonard, a lancé une nouvelle campagne de recrutements de start-up dans les secteurs de la construction, des transports, des énergies et de l'immobilier. Les entreprises intéressées ont jusqu'au 1er octobre prochain pour candidater.
Il y a 3 ans et 312 jours

Soutenu par le BTP, Vinci gagne un peu en optimisme pour 2021

Entre janvier et juin, le groupe a dégagé un chiffre d'affaires de 22,6 milliards d'euros. C'est un bond de 22,3% par rapport au premier semestre 2020, marqué par le déclenchement de la crise du Covid-19, et, surtout, une hausse (+4%) comparé à la même période de 2019, donc l'avant-crise.Vinci est toutefois loin d'être totalement remis. Avec un bénéfice net de 682 millions d'euros, il est certes loin de la perte d'un an plus tôt - près de 300 millions - mais signe un résultat deux fois plus petit qu'avant la crise.Le tableau est globalement le même que les trimestres précédents. D'un côté, Vinci s'est vite remis dans le BTP, sur fond de reprise des principales économies mondiales après une période de récession. De l'autre, il souffre toujours dans les transports, notamment les aéroports.Sur le premier plan, le groupe voit son carnet de commandes continuer à gonfler, malgré un petit ralentissement, ce qui lui promet des revenus solides pour la période à venir. Il reste surtout en forme hors de la France, où ses activités se sont multipliées depuis des années.En conséquence, Vinci a relevé ses prévisions pour ses activités de construction et d'énergie, les deux piliers de sa branche de BTP. Il pense désormais que les revenus y dépasseront ceux de 2019, alors qu'il ne comptait jusqu'alors que sur un niveau équivalent.Mais, le groupe l'a redit, l'ensemble de ses résultats ne retrouvera pas cette année son niveau d'avant le Covid-19.Ses aéroports, en effet, continuent à souffrir lourdement des restrictions sur les voyages. Les revenus y baissent même par rapport à la période noire de 2020.Avant la crise, Vinci avait multiplié les acquisitions dans le secteur, dont surtout celle à plusieurs milliards d'euros du londonien Gatwick. Il n'est d'ailleurs pas découragé par le Covid-19, puisqu'il a encore racheté au printemps l'aéroport brésilien de Manaus.Quant aux autoroutes du groupe, concentrées en France, le tableau est moins sombre mais reste mitigé. Les revenus y ont rebondi par rapport à l'an dernier mais restent en baisse par rapport à l'avant-crise.
Il y a 3 ans et 328 jours

Vinci remporte un contrat de 500 millions d'euros sur 30 ans pour une route en Allemagne

La route B247, qui reliera les villes de Mühlhausen et Bad Langensalza, au centre du pays, fera 22 kilomètres, auxquels s'ajoutent 6 kilomètres de voies d'accès.C'est la DEGES, l'organisme public en charge des infrastructures de transport en Allemagne, qui a attribué au groupe la construction de cette route fédérale, la première à être construite et exploitée dans le cadre d'un partenariat public-privé en Allemagne, précise Vinci dans son communiqué.La phase de construction, opérée par Eurovia Deutschland et Vinci Construction Terrassement, deux entités de Vinci Construction en Allemagne, devrait durer quatre ans et coûter près de 350 millions d'euros.Dans le cadre de ce partenariat public-privé, Vinci sera rémunéré par une redevance, indépendante du niveau de fréquentation de la route. L'objectif de cette nouvelle liaison est notamment de faciliter l'accès au réseau autoroutier de l'Etat régional de Thuringe, et de soulager la circulation de la route existante."Environ 15.000 véhicules par jour devraient emprunter cette nouvelle route, dont environ 15 % de poids lourds", indique Vinci.
Il y a 3 ans et 328 jours

Les tours Duo : une prouesse architecturale avec des contraintes structurelles exceptionnelles

Des gratte-ciel multiusages audacieux Inclinées à 5°, soit davantage que la célèbre tour pisane, les deux « sœurs » bâties sur une étroite parcelle située entre les boulevards extérieurs, le périphérique et en bordure des voies ferrées de la gare d’Austerlitz, abriteront prochainement des bureaux de Natixis / Groupe BPCE ainsi que d’autres activités. Duo 1 accueillera 69.000 m² de bureaux, un auditorium, un restaurant d’entreprise et des commerces, tandis que Duo 2 comptera 19.000 m² de bureaux, un restaurant d’entreprise, des commerces, mais également un hôtel de 139 chambres, un restaurant et un bar panoramiques. Les tours reposent sur une infrastructure de 9 niveaux de sous-sol (parking, archives et locaux techniques) d’une surface totale de 140.000 m². Duo 1, la tour la plus haute, dévie à partir du 29ème étage et différents retraits au niveau de Duo 2 contribuent à ce que les deux bâtiments, dans leur ensemble, forment un « V ».Des bétons spécifiques ultra-locauxEntre 2017 et 2020, depuis ses unités de production de Paris-Tolbiac et d’Ivry-sur-Seine situées à proximité du chantier, pour Duo 2, CEMEX aura fourni à Bateg, filiale de VINCI Construction France près de 40.000 m³ bétons prêts à l’emploi : 10.000 m³ de bétons de fondations pour les parois moulées, plus de 29.500 m³ de bétons génie civil et architectoniques pour les élévations, ainsi que des bétons hautes performances destinés au coulage d’une mégapoutre comprenant un système de refroidissement intégré et soutenant l’ensemble des tours, ces derniers ayant été conçus et livrés par l’unité de production de Paris Port-Victor. L’ensemble des bétons ont été conçus avec des formulations allégeant le bilan carbone du bâtiment, notamment pour les fondations. En 2021, 150 m³ de bétons horizontaux décoratifs noirs ont été livrés pour la réalisation des terrasses des deux tours tandis que les livraisons de chape anhydrite à séchage accéléré se poursuivent pour près de 2.000 m² de planchers chauffants en rez-de-chaussée et en étages. La plupart de ces bétons ont été pompés. Par ailleurs, durant ces trois années, grâce à son robuste dispositif logistique multimodal, CEMEX aura évacué la quasi-totalité des déblais, soit près de 42.000 tonnes.Technicité et communication Le cahier des charges pour les parois moulées des deux tours s’est avéré particulièrement exigeant : il a fallu par exemple garantir la fluidité du béton durant plus de six heures. L’exigence fut également très élevée en termes de qualité des parements. Le fort engagement des équipes techniques de CEMEX a néanmoins conduit au succès de l’opération. Par ailleurs, l’ampleur des travaux a eu pour conséquence un nombre d’interlocuteurs très important, et la qualité de la communication entre les différents départements CEMEX (commercial, technique, production) et les équipes travaux a elle aussi joué un rôle essentiel dans la fluidité des livraisons de bétons. Les coulages qui se sont régulièrement déroulés dans des amplitudes horaires très larges et parfois le week-end n’ont fait que renforcer l’implication des équipes CEMEX, ainsi que la fierté de participer à un projet aussi exigeant et renommé à travers le monde.
Il y a 3 ans et 345 jours

Vinci lance à son tour les travaux du Village des athlètes

JEUX OLYMPIQUES. Après le groupement Nexity-Eiffage, Vinci Immobilier vient d'annoncer le début des travaux de sa partie du Village des athlètes pour les JO 2024, à Saint-Denis (93), sur les 6,4 hectares d'une ancienne friche industrielle.
Il y a 3 ans et 346 jours

Eiffage et Vinci se partagent le gros du chantier du tunnel du Lyon-Turin

Les contrats attribués mercredi concernent l'essentiel de la partie française du tunnel, soit près de 80% de l'ouvrage. Celui-ci doit faire 57,5 km de long une fois achevé, entre Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie) en France et Suse (Piémont) en Italie.Il comportera deux tubes parallèles, un par sens de circulation des trains, reliés tous les 333 mètres par des rameaux de communication permettant des évacuations en cas de problème.Un groupement réunissant Eiffage Génie Civil (mandataire), Spie Batignolles, Ghella et Gogeis a remporté le plus gros lot sur la partie centrale du tunnel. Il devra creuser en 72 mois un tronçon de 22 km pour 1,47 milliard d'euros.Un autre consortium associant Dodin Campenon Bernard et WeBuild autour de Vinci Construction, creusera en 65 mois 23 km pour 1,43 milliard d'euros.Enfin, un troisième groupement plus modeste a été chargé de l'entrée du tunnel côté français, 3 km pour 228 millions d'euros. Il est allé à un groupement associant Implenia Suisse (mandataire), Implenia France, NGE, Itinera et Rizzani de Eccher.Un quatrième lot d'une valeur d'environ 1 milliard d'euros pour la section italienne du tunnel doit être attribué au début 2022, selon la société franco-italienne."La décision d'attribuer aujourd'hui trois contrats d'un montant de plus de 3 milliards d'euros est un pas décisif vers l'achèvement de la liaison ferroviaire Lyon-Turin", a commenté la commissaire européenne aux transports Adina Valean."Elle comblera le maillon manquant entre la France et l'Italie et contribuera à déplacer de gros volumes de trafic transfrontalier de la route vers le rail", a-t-elle souligné, citée dans un communiqué.Il y a en tout 162 km de galeries à creuser d'ici 2027/28. 30 km ont déjà été réalisés à ce jour, dont 10 km sur l'une des deux galeries principales, précise-t-on chez TELT (Tunnel euralpin Lyon-Turin), une société détenue à parité par l'Etat français et Ferrovie dello Stato Italiane (FS), l'entreprise publique des chemins de fer italiens.Il faudra ensuite installer les équipements ferroviaires, l'ouverture du tunnel étant annoncée pour 2030.
Il y a 3 ans et 360 jours

Trois centrales au secours de Tchernobyl

En 2010, Imer installe une 3e centrale OneDay, installée à 20 m de deux précédentes. [©Imer] A la suite de la catastrophe du réacteur numéro 4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl, en Ukraine, le 26 avril 1986, un sarcophage en béton avait été construit dans l’urgence. Puis, les travaux se sont poursuivis à 2 km de l’explosion, sur un terrain viabilisé de 147 000 m2 duquel ont été retirés 2 m de terre irradiée, remplacés par du sable. Là, près de 650 personnes sont intervenues pour le compte du groupement de génie civil formé par Vinci Construction Grands Projets et Bouygues Travaux Publics. Objectif : concevoir et construire une usine de préfabrication des conteneurs destinés à conditionner les éléments de combustibles radioactifs, qui alimentaient les différents réacteurs de la centrale… C’est dans ce cadre particulier et parce qu’il garantissait le respect de la norme ISO 9001 de la fabrication à l’installation que l’industriel Imer a été en charge, en 2000, de l’installation et de la mise en service de deux centrales à béton de type Rome CZ3, équipées de malaxeurs Oru MS 1500/1000, d’une capacité unitaire de 40 m3/h de béton. 58 conteneurs à combustible irradié. Devant durer cent ans, les blocs de stockage ont été réalisés avec un béton conçu pour résister à de nombreux cycles de gel-dégel. [abonnés]Ainsi, il fallait limiter les éventuelles formations de bulles d’air dans la matrice, via une formulation adaptée. Les deux centrales Imer ont produit près de 20 000 m3 de béton. De quoi réaliser les 58 conteneurs en béton. Ces éléments cubiques de 6,18 m de côté intégraient un radier de 75 cm d’épaisseur et des cloisons préfabriquées de 30 cm, formant les casiers destinés à recevoir le combustible irradié. Ce dernier est conditionné pour la forme de cylindres en acier inoxydable appelé “canisters”. Quatre sont insérés dans un conteneur avant la pose du couvercle, élément constitué par une prédalle doublée d’une couche de béton également coulée en place. Pour contrôler la non-radioactivité de l’atmosphère, le chantier était doté d’une station d’analyse spécifique, ainsi que d’une antenne météorologique. « La sécurité était très contraignante et devait correspondre pour le chantier aux normes russes », explique Mirk Fugier-Garrel, responsable SAV centrale à béton chez Imer. Un nouveau sarcophage. Imer a été en charge, en 2000, de l’installation et de la mise en service de deux centrales à béton de type Rome CZ3. [©Imer] En 2010, Imer a été rappelé à Tchernobyl pour remettre en service les deux centrales à béton activées dix ans plus tôt. Et surtout pour en installer une troisième, à 20 m des précédentes. Une unité OneDay cette fois-ci, équipée d’un malaxeur Oru MS 2250/15000, capable de produire jusqu’à 60 m3/h de béton. Son utilisation ? Fabriquer les bétons – quelque 60 000 m3 – devant servir à consolider le sarcophage de la centrale nucléaire. « Cette installation a été conçue pour produire des bétons de haute qualité », reprend Mirk Fugier-Garrel. Depuis deux ans maintenant, elle participe au nouveau chantier, qui voit s’élever un dôme au-dessus du sarcophage fissuré. Une sorte de couvercle étanche supplémentaire. Fondée sur deux longrines en béton, cette arche à ossature métallique a été assemblée à l’Ouest du réacteur accidenté avant d’être positionné au-dessus du sarcophage existant. Les fondations définitives du nouvel ouvrage représentent à elles seules 20 000 m3 de béton, également issus des trois centrales Imer. L’achèvement de l’ouvrage est prévu à la fin de 2017 pour un appel d’offres remporté par Novarka, joint venture à parité entre Vinci Construction Grands Projets et Bouygues Travaux Publics.[/abonnés]
Il y a 3 ans et 362 jours

Vinci livre la Samaritaine à l'issue d'une réhabilitation "complexe et technique"

PATRIMOINE. L'emblématique grand magasin parisien a été livré, entièrement restructuré, au groupe LVMH, après 16 ans de fermeture et six ans de travaux. Vinci Construction et sa filiale Petit vantent de nouveaux usages en plus des espaces commerciaux, avec la création de bureaux, de logements sociaux, d'un hôtel et d'une crèche.
Il y a 4 ans et 5 jours

Le groupe Vinci s'engage à utiliser 90% de béton bas carbone en 2030

Le géant français du BTP Vinci s'engage à mettre en oeuvre 90% de béton bas carbone dans ses constructions en 2030, et prévoit de réduire de 40% ses émissions de CO2 d'ici à 2030.
Il y a 4 ans et 8 jours

Eiffage et Vinci liés à la Défense

Goyer, filiale du groupe Eiffage, a signé un protocole d’accord avec Bateg, filiale de Vinci Construction France, pour la réalisation des façades des tours The Link qui accueilleront le futur siège social de Total à Paris La Défense.
Il y a 4 ans et 15 jours

Ambition environnementale : le "quoi qu'il en coûte" de Xavier Huillard

STRATÉGIE. Environnement et performance économique vont ensemble : le groupe Vinci, par la voix de son président directeur général Xavier Huillard, s'en dit convaincu. Et souhaite même se tourner dans cette direction "quoi qu'il en coûte", reprenant la désormais célèbre expression d'Emmanuel Macron.
Il y a 4 ans et 40 jours

Bloomberg plaide sa bonne foi dans l'affaire du faux communiqué sur Vinci

En décembre 2019, Bloomberg s'était vue infliger une amende de cinq millions d'euros par l'AMF pour avoir manipulé les marchés en diffusant de fausses informations qui avaient fait chuter le cours de l'action du groupe de BTP, Vinci.Le cours avait plongé de 18,28% avant de se redresser pour clôturer en baisse de 3,78%. Un préjudice évalué par l'AMF à 6,5 millions d'euros pour les investisseurs.Devant la cour, les avocats de Bloomberg ont plaidé la "bonne foi" des deux journalistes de l'agence qui "n'ont pas tiré profit" de la diffusion des fausses informations. Ils ont jugé la sanction "exorbitante" et "sans précédent en France et en Europe" tandis que la défense de l'AMF souligne que le montant représente "5% du maximum encouru"."Au nom de quoi un journaliste qui se trompe de bonne foi devrait-il encourir une sanction presque 1.000 fois plus importante qu'un traître à la nation"?, clame Me Jean-Charles Jaïs, l'un des avocats de Bloomberg, évoquant la sanction prévue pour le cas où une fausse nouvelle diffusée de mauvaise foi ébranle le moral des armées.De son côté, la défense de l'AMF reproche aux journalistes d'avoir diffusé l'information "sans vérification ni lecture du communiqué dans son intégralité", et soutient que "la bonne foi implique d'agir dans le respect des règles de la profession".Les journalistes avaient diffusé en novembre 2016 plusieurs dépêches sur la base d'un communiqué frauduleux qui avait annoncé la révision des comptes consolidés du groupe en raison de prétendues irrégularités ayant entraîné une perte nette et le prétendu licenciement de son directeur financier.Ce communiqué était faux dans son contenu et dans sa provenance, mis en ligne sur un site miroir, imitant le vrai site (vinci.group et non vinci.com). Le document était signé du nom du véritable responsable des relations presse de Vinci, en renvoyant à un faux numéro de téléphone.Liberté de la presse"Comment reprocher à Bloomberg de ne pas s'être aperçue que le numéro en bas du communiqué n'était pas le bon?", interroge un autre avocat de Bloomberg, Me Arnaud de la Cotardière. "Je ne connais même pas le numéro de téléphone de mes enfants!"Pour lui, "le titre Vinci n'a pas chuté à cause d'une mauvaise foi mais à cause de cybercriminels hors norme" que même "la police n'a pas pu retrouver".Une enquête avait été ouverte par le Parquet national financier mais celle-ci a été "classée sans suite pour motif: auteur inconnu", avait rappelé plus tôt la rapporteure.Selon la défense de Bloomberg, le postulat d'un "faux grossier" retenu par la partie adverse ne tient pas: la source était "en apparence crédible" et le faux communiqué, "la reproduction à l'identique d'un vrai"."Les faussaires ont usurpé de véritables identités pour acheter des lignes téléphoniques payées en bitcoin", révèle Me de la Cotardière.Aussi, "Bloomberg n'a pas été la seule à être trompée mais a été la seule à découvrir la supercherie", fait-il valoir, indiquant que trois autres agences de presse dont l'allemande DPA, la britannique Reuters, l'américaine Dow Jones ainsi que le journal les Echos s'étaient également fait piéger. Mais l'AMF n'en fait "pas mention", déplore-t-il."Domaine erroné, fautes d'orthographes, formulations douteuses" auraient pourtant dû mettre la puce à l'oreille aux journalistes de Bloomberg, estime de son côté le Parquet, partageant l'avis de l'AMF qui insiste sur "l'intérêt public de protéger le marché et les investisseurs"."Des coquilles, il y en a aussi dans les rapports de l'AMF", ironise Me de la Cotardière.Les deux journalistes avaient été alertés par un collègue ex-spécialiste de Vinci que la société avait fait l'objet d'un faux communiqué en 2014. Dès qu'ils ont compris avoir été dupés, ils ont supprimé les annonces et diffusé rectificatifs et démentis avant même que Vinci ne publie son démenti officiel."Ce qui est en jeu, c'est le respect de la liberté de la presse", a martelé Me Jaïs. "L'AMF ne connaît pas la réalité de ce métier" mais veut, selon lui, "déterminer les règles applicables" à la profession.La décision sera rendue le 16 septembre.
Il y a 4 ans et 50 jours

Vinci et Meridiam bouclent le PPP de l'autoroute D4 en République Tchèque

Le groupement constitué de Vinci Highways (mandataire) et Meridiam (50/50) a conclu le montage financier du contrat de PPP de l'autoroute D4 reliant Pøíbram (Bohême Centrale) à Písek (Bohême du Sud). Le projet est financé à hauteur de 474 M€ par endettement en euros et en couronnes tchèques.
Il y a 4 ans et 52 jours

Livraison du pôle résidentiel de l’ensemble immobilier Treed It à Champs-sur-Marne

ADIM Paris Île-de-France, filiale de développement immobilier de VINCI Construction France, a livré le dernier bâtiment d’habitation de l’opération Treed It à Champs-sur-Marne (77), début mars. Au sein de la Cité Descartes, qui regroupe 25 % de la R&D française dédiée à la ville durable, cet îlot mixte de 23.000 m2 offre 624 logements étudiants, des commerces, un parking ainsi qu’une future maison de santé. Point culminant et saillant de l’opération, sa tour en ossature bois qui s’élève à 37 mètres, l’une des plus hautes de France. Les travaux, qui avaient débuté en mars 2019 ont été menés par Sicra Île-de-France et Arbonis, toutes deux filiales de VINCI Construction France également.Treed It, une réalisation qui mixe les usages au cœur de la Cité DescartesL’aménageur du territoire, EpaMarne, pionnier de la construction décarbonée, est engagé en faveur d’une ville résiliante et durable et mobilise sa capacité d’innovation pour de nouvelles pratiques urbaines. Développé par ADIM Paris Île-de-France, le programme Treed It s’inscrit dans cette dynamique portée par EpaMarne et contribue à renforcer l’attractivité du territoire en proposant des logements et des commerces dans un cadre de vie agréable. Il bénéficiera d’une connexion renforcée à Paris intramuros dès 2025 avec la ligne 15 du Grand Paris Express. Conçu par Saison Menu Architectes Urbanistes et Art’Ur architectes, l’ensemble immobilier mixte de 23.000 m2 est composé de trois bâtiments de logements, d’un parking silo, de commerces en pied d’immeubles et d’un bâtiment à réversibilité d’usages :Une résidence étudiante sociale de 284 logements réalisée pour le compte de 3F Résidences et gérée par ARPEJ.Une résidence foyer de 120 jeunes travailleurs, construite pour le compte d’Arcade dont la gestion a été confiée aux Apprentis d’Auteuil.La plus haute tour bois d’Île-de-France, tour en ossature bois de onze étages avec un noyau béton, érigée pour le compte de l’investisseur Kley et qui offre 220 logements étudiants avec des espaces communs de détente, de cuisine et de coworking.Un parking silo en bois-béton de trois étages, mutualisé pour le stationnement de tout l’ensemble immobilier.Un bâtiment à réversibilité d’usages, qui sera livré en 2022 et abritera une maison de santé d’environ 3.000 m2 ainsi que 1.250 m2 de bureaux.Une construction durable avec l’emploi du mix-matériau bois/béton La tour à ossature bois de onze étages et le parking silo à structure bois également ont été érigés par Arbonis, filiale de VINCI Construction France spécialisée dans la conception construction bois. Les équipes ont mis en œuvre une structure bois-béton, des planchers bois-béton grâce à leur procédé constructif innovant Arbodal® ainsi que des murs à ossature bois préfabriqués en atelier. La combinaison du bois et du béton, utilisé chacun dans leur domaine optimal de performance, a permis d’obtenir la meilleure empreinte environnementale sur la durée de vie des bâtis.Un projet innovant à haute performance énergétiqueLes résidences de logements de Treed It ont obtenu un très haut niveau de performance environnementale avec la certification NF Habitat HQE niveau « Très performant » et affichent un niveau RT2012 amélioré de 20 %. La tour bois est par ailleurs labellisée Bâtiment biosourcé niveau 2. La résidence étudiante sociale et le foyer de jeunes travailleurs sont ainsi équipés d’un système de récupération de chaleur sur les eaux grises (eaux usées domestiques), nommé Power Pipe. Grâce à ce système, 20 % de l’eau chaude sanitaire et du chauffage sont produits par de l’énergie renouvelable avec la chaleur contenue dans les eaux grises transférée vers l’eau froide d’alimentation. Un procédé vertueux qui permet de réduire la consommation d’énergie pour la production d’eau chaude.Un immeuble de bureaux évolutif, transformé en maison de santéL’immeuble de bureaux qui a été conçu selon un procédé innovant de réversibilité, propre à groupe VINCI Construction France, fait l’objet d’une transformation. L’emplacement des noyaux béton, l’épaisseur du bâtiment, la trame structurelle et la réalisation de gaines verticales ont permis de transformer sans modification lourde les bureaux en une maison de santé pluriprofessionnelle. Elle regroupera une pharmacie, un laboratoire, des box de consultations, un cabinet dentaire, un service de kinésithérapie, un centre de cardiologie et un centre ophtalmologique. Le mode constructif évolutif garantit ainsi une grande pérennité à l’ouvrage qui pourra à tout moment changer de destination et s’adapter aux usages de demain.
Il y a 4 ans et 54 jours

Vinci annonce un chiffre d'affaires en hausse au premier trimestre tiré par la construction

Le chiffre d'affaires consolidé du premier trimestre s'élève à 10,2 milliards d'euros dont plus de la moitié réalisée par Vinci construction (5,2 milliards d'euros, +10%).Le pôle Construction "a confirmé" au premier trimestre "l'inflexion positive constatée au deuxième semestre", après un début d'année 2020 marqué par le quasi-arrêt complet des chantiers pendant près de deux mois à partir de la mi-mars, selon le groupe.En France, qui représente 54% du total, la progression est marquée dans les activités de travaux publics et de génie civil -portées par les projets du Grand Paris Express- ainsi que dans les travaux routiers, ferroviaires et de terrassement (+11%), précise le groupe.A l'international, le groupe "bénéficie de la montée en puissance de la division des grands projets", indique Vinci, citant la ligne à grande vitesse HS2 au Royaume-Uni.Le chiffre d'affaires de la branche "concessions" est en revanche en fort recul de 22,2% à 1,325 milliard d'euros.Le trafic sur les réseaux routiers gérés par le groupe a rebondi de 40% en mars après un recul de près de 17% lors des deux premiers mois de l'année, selon le communiqué.Son activité de gestionnaire aéroportuaire a chuté de 70% au premier trimestre, à l'image de l'ensemble du secteur aérien mondial pénalisé par les restrictions aux voyages liées au Covid-19.Sa section de promotion immobilière (320 millions d'euros) a progressé de 34,5%, après l'intégration le 1er janvier de la société de promotion immobilière Urbat Promotion.La branche Vinci Energies (3,4 milliards d'euros) est en hausse de 7%.Le groupe a annoncé le 1er avril qu'il allait acquérir les activités dans l'énergie du groupe de construction espagnol ACS pour environ 4,9 milliards d'euros, afin de devenir un grand du secteur des énergies renouvelables.Vinci enregistre par ailleurs un niveau "record" de son carnet de commandes à 45,8 milliards d'euros au 31 mars.Compte tenu des incertitudes liées à la pandémie, le groupe ne se prononce pas sur les résultats prévisionnels pour 2021. Il maintient ses perspectives de chiffre d'affaires "en hausse, très proche de celui de 2019" pour ses pôles Construction et Energies.
Il y a 4 ans et 67 jours

MCB décroche l’île de La Réunion

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine MCB doit construire 30 moules permettant la préfabrication de xblocPlus en béton non armé [©MCB] Loire. L’usine Moules Concept Béton (MCB) est implantée sur la commune du Chambon Feugerolles, au cœur des territoires. Cet industriel est spécialisé dans la réalisation “d’ouvrages chaudronnés destinés à la mise en forme du béton”, comme le précise son site Internet. En d’autres termes, des moules et coffrages métalliques sur mesure. C’est dans le cadre de son expertise unique que MCB vient de décrocher une commande pour la construction de moules pour blocs brise-lame. « Ces blocs sont conçus par le Néerlandais Delta Marine Consultants. Il s’agit de leur nouvelle offre baptisée xblocPlus, car ils présentent une forme inédite », explique Rémy Mallet, dirigeant de MCB.   Réalisés en métal, les moules sont au nombre de 30 et bénéficient de quelques améliorations par rapport au concept d’origine. L’ensemble est destiné au chantier de l’aéroport Roland-Garros de Saint-Denis de La Réunion. Assurés par le groupe Vinci, les travaux visent au “prolongement de la protection littorale existante le long de la concession aéroportuaire ». Et doivent voir la pose de quelque 11 500 xblocPlus non armés, d’un poids unitaire de 4,4 t environ (volume de 2 m3). C’est la Société bourdonnaise industrielle de préfabrication et de béton (SBIPB) qui assurera la production des xblocPlus sur la plate-forme aéroportuaire. Pour ce faire, cette filiale Vinci vient de réceptionner une première livraison de moules pour effectuer des essais. Pas de centrale sur site pour cette préfabrication foraine : les bétons doivent être fournis par un BPE voisin de l’aéroport. Le chantier est prévu pour une durée de trois ans.  Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 74 jours

Vinci et Eiffage veulent se partager la société exploitant un tunnel à Marseille

Vinci Concessions, qui contrôle 33,3% du capital de la Société, et Eiffage, qui en a 32,9%, entendent proposer 23 euros par action SMTPC, soit une prime de 30% par rapport au cours de clôture mercredi, ont détaillé les deux groupes dans un communiqué.L'opération valorise la Société à environ 134 millions d'euros, soit 45 millions pour les parts qu'ils ne contrôlent pas déjà.Vinci Concessions et Eiffage entendent détenir une participation égale à l'issue de l'offre publique d'achat, selon le communiqué.Celle-ci est toutefois subordonnée à la conclusion d'un accord formel entre les deux groupes et à l'obtention des autorisations des autorités de concurrence compétentes, et interviendra après consultation des instances représentatives du personnel de la SMTPC, ont-ils précisé.La SMTPC exploite jusqu'en 2025 un tunnel à péage long de 2,5 km, dans le centre de Marseille.
Il y a 4 ans et 78 jours

Vinci met des milliards sur la table pour devenir un géant des énergies renouvelables

Vinci a "signé un accord avec ACS pour l'acquisition de ses activités énergie", a-t-il indiqué jeudi dans un communiqué.Il s'agit pour le groupe français d'un "développement stratégique majeur" visant à créer un "acteur mondial de l'ingénierie, des travaux et services dans le domaine de l'énergie". L'objectif est également de "développer des projets d'énergie renouvelable".A la Bourse de Paris, vers 11H00 (heure de Paris), le titre de Vinci montait de 2,92% à 89,93 euros, dans un marché en légère hausse.L'opération, qui devrait être finalisée vers la fin de l'année, va permettre au géant du BTP de mettre la main sur la division Services industriels d'ACS.Cette entité d'environ 45.000 collaborateurs génère un chiffre d'affaires de plus de 6 milliards d'euros, principalement en Espagne et en Amérique latine. Elle est dédiée à l'ingénierie et aux travaux essentiellement dans le domaine de l'énergie.L'acquisition concerne également les participations détenues par ACS dans huit concessions dans le domaine des réseaux de transmission électrique ainsi qu'une plateforme de développement de projets de concessions dans les énergies renouvelables.Le prix de l'acquisition est estimé à environ 4,9 milliards d'euros. Payable "entièrement en numéraire", elle sera financée par la trésorerie disponible et les lignes de crédit, précise Vinci.En outre, le groupe pourra effectuer des paiements additionnels, sur une période de 8,5 ans au plus tard après la finalisation de l'opération, lorsque la société développera des capacités d'énergie renouvelable supplémentaires. Le montant maximum cumulé de ces paiements pourra atteindre 600 millions d'euros."Acteur majeur" des renouvelablesLa plateforme de développement de projets de concessions doit "permettre à Vinci de devenir un acteur majeur du secteur des énergies renouvelables".Le groupe a déjà identifié de "nouvelles opportunités" de projets pour cette activité, principalement dans le photovoltaïque, l'éolien et l'éolien en mer. Ces projets représentent le développement d'une capacité d'environ 23 gigawatts."Les synergies issues de notre complémentarité géographique, de nos expertises techniques et de nos modèles d'affaires intégrés, seront un atout de taille pour gagner de nouveaux projets et saisir des opportunités" dans le secteur des énergies renouvelables, a commenté Xavier Huillard, président-directeur général de Vinci, cité dans le communiqué.Par ailleurs, Vinci et ACS comptent également créer une coentreprise qui pourra acquérir "des actifs matures d'énergie renouvelable". Cette société serait détenue à 51% et consolidée en intégration globale par Vinci.Le groupe Vinci, connu notamment pour ses concessions d'autoroutes et d'aéroports, était déjà présent dans le domaine des infrastructures liées à l'énergie et aux énergies renouvelables via sa division Vinci Energies, qui a généré un chiffre d'affaires de 13,7 milliards d'euros l'an dernier.Cette entité, présente dans 56 pays, est un acteur majeur de l'ingénierie et des travaux électriques. Elle est active dans les infrastructures d'énergie (environ 4 milliards d'euros de chiffres d'affaires), mais aussi de communication et de transport. Elle travaille également sur des projets de bâtiments ou d'usine.Vinci Energies propose notamment à ses clients des "solutions techniques" afin de réduire leur empreinte carbone.En Europe, cette division occupe une "position forte" dans de nombreux pays dont l'Allemagne, la Suisse, la Belgique et l'Espagne, selon le site internet du groupe.Sur ces marchés, il fait face à la concurrence d'Engie, de Spie, d'Eiffage ou encore de Bouygues.Le groupe Vinci a réalisé un chiffre d'affaires de 44 milliards d'euros en 2020, en recul de 10%, en raison de perturbations liées à la crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 100 jours

Concurrence: une filiale de Vinci condamnée à payer 435 000 euros

L'Autorité de la concurrence a sanctionné la société Santerne Nord Tertiaire, filiale du groupe Vinci, pour avoir échangé des informations avec une autre entreprise lors d'un appel d'offres.
Il y a 4 ans et 106 jours

L'Autorité de la concurrence inflige une sanction de 435.000 euros à une filiale de Vinci pour entente illicite

L'Autorité de la concurrence a infligé "solidairement une sanction de 435.000 euros à la société Santerne Nord Tertiaire et à plusieurs sociétés du groupe Vinci pour avoir mis en oeuvre une pratique concertée ayant pour objet de fausser la concurrence", a-t-elle indiqué dans un communiqué."Vinci ne commente pas les décisions administratives. Nous prenons acte de celle-ci et nous réservons le droit de faire appel", a indiqué Vinci interrogé par l'AFP.L'Autorité reproche à Santerne d'avoir "participé à des échanges d'informations avec une autre entreprise candidate, Neu, en vue de la passation du marché de maintenance et de transformation des installations de gestion technique des bâtiments de Lille métropole communauté urbaine".Les échanges entre les deux entreprises "portaient sur des éléments significatifs du marché", selon le communiqué, citant "le prix des équipements et matériels les plus importants et le contenu de l'offre technique".L'Autorité estime que le dépôt de deux offres séparées, "en apparence indépendantes, a conduit à tromper le maître d'ouvrage sur l'intensité de la concurrence qui s'est exercée entre les candidates", pour ces appels d'offres lancés en 2013 et 2014.La décision a été rendue à la suite d'"un refus de transaction de la part de la société Santerne" ayant entraîné la saisine de l'Autorité de la concurrence, précise le communiqué.
Il y a 4 ans et 107 jours

Une filiale du groupe Vinci sanctionnée par l'autorité de la concurrence pour entente

CONCURRENCE. La société Santerne nord tertiaire, filiale du groupe Vinci, vient d'être sanctionnée pour entente par l'autorité de la concurrence, pour "avoir échangé des informations avec une autre entreprise lors d'un appel d'offres organisé par la communauté urbaine de Lille".
Il y a 4 ans et 121 jours

Vinci – Leonard : La marche en avant

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. Promotion 2021 programme IA. [©Leonard] Depuis près de quatre ans, l’incubateur Leonard du groupe Vinci explore et contribue à l’émergence de nouveaux marchés et innovations. Que ce soit dans le domaine de la construction, de la mobilité ou encore de l’énergie et de l’immobilier. Il propose quatre programmes ouverts aux start-up, aux entreprises et aux entités et collaborateurs de Vinci. Il fonctionne de manière autonome, tout en stimulant les synergies apportées par ces acteurs avec les activités du groupe. « Le programme Seed est inspiré de Y Combinator1, explique Guillaume Bazouin, responsable de l’accélération chez Leonard. Le programme est ouvert aux start-up et entreprises en phase de prototypage. » Seed comprend un accompagnement d’experts Vinci, une certification de l’université de Stanford, un apport en capital à hauteur de 30 000 € et une mise en relation avec des investisseurs. Mais aussi, un hébergement dans les locaux parisiens de Leonard. Soit 1 500 m2 de coworking et 3 000 m2 de bureaux. « Pour Seed, nous avons plusieurs missions qui s’enchevêtrent. Nous souhaitons être la marche manquante dans l’accompagnement de ces start-up. Et même si c’est un risque d’investir dans ce type d’entreprises, nous nous y retrouvons en étendant nos savoir-faire. En 2020, 150 start-up ont postulé au programme. » De son côté, le rôle du programme Catalyst est de repérer des entreprises innovantes en hyper-croissance, mais qui ne sont pas encore déployées à grande échelle. « L’idée est de les accompagner vers le haut et de maximiser les chances de collaboration avec les entités de Vinci. » Des programmes spécifiques Le parcours Intrapreneurs s’intéresse au développement de projets à l’initiative des collaborateurs du groupe. Il permet de faire émerger de nouvelles activités. Enfin, le programme IA se concentre, comme son nom l’indique, sur l’intelligence artificielle. Et a pour ambition d’accélérer l’utilisation de cette technologie dans les métiers de la construction, des opérations des bâtiments et des infrastructures. « Nous contribuons à une multitude d’initiatives pour partager notre voix et faciliter le recrutement à nos programmes. » Par exemple, Leonard co-organise avec Cemex Ventures la plus grosse compétition de start-up au monde. L’incubateur travaille aussi avec les incubateurs des écoles, un réseau de partenaires ou organise des échanges… Cette année, Leonard accueille donc une nouvelle promotion d’acteurs pour chacun de ses programmes. Promo 2021 Pour cette promotion 2021, Leonard a sélectionné 44 nouvelles entreprises. « Les trois grandes thématiques choisies pour cette année, sont l’environnement, la sécurité et la mobilité », détaille Guillaume Bazouin, responsable de l’accélération chez Leonard. Parmi les entreprises sélectionnées, la start-up SustainEcho intègre Seed. Elle propose une solution d’automatisation du bilan carbone. Le Canadien Carbon Upcycling Technologies rejoint, quant à lui, Catalyst. L’industriel développe une technologie d’utilisation du carbone, qui permet de créer des additifs innovants pour le béton à partir des émissions de gaz CO2… En résumé, les entreprises participantes aux différents programmes rassemblent des projets autour de : – L’automatisation des opérations de construction et d’exploitation (robotique, cobotique), – Du monitoring à distance des chantiers et des infrastructures (drones, satellites), – La maintenance prédictive, mais aussi d’aide à la conception et au pilotage de projets (design paramétrique, échéancier…), – Des plates-formes collaboratives de gestion de projets et de sourcing de matériaux, – L’optimisation de l’efficacité énergétique et de réduction de l’impact environnemental des projets. 1Entreprise californienne qui apporte un capital de base, du conseil et de la mise en relation aux start-up durant ses premières phases. Les lauréats du programme Seed : PaintUp robotise les tâches pénibles et dangereuses liées au traitement de façade. Les premières applications commercialisées sont le nettoyage et la peinture jusqu'à 30 m de hauteur. Les solutions d’Orok se concentrent sur l’automatisation des opérations sur le tarmac des aéroports. Et ce, grâce à un système complet, composé d’une flotte de véhicules autonomes et d’un serveur de supervision. SustainEcho accompagne les organisations et les projets qui veulent engager ou renforcer leur démarche environnementale, en proposant une solution d’automatisation du bilan carbone. Tellux développe des solutions d'analyse et de détection rapide de la pollution dans les sols et sédiments par imagerie hyper-spectrale. Roomies réalise une plate-forme SaaS de collaboration et de gestion de projets à destination des architectes. Caeli Energie conçoit et fabrique de climatiseurs à forte efficacité énergétique et à très faible empreinte carbone pour les bâtiments résidentiels et le petit tertiaire. Rockease est une plate-forme en ligne, permettant de trouver la meilleure offre, de commander et de gérer la livraison de granulats sur chantier. Lokimo analyse et centralise des millions de données grâce à l'Intelligence artificielle, afin d'aider les professionnels de l'immobilier à identifier rapidement des zones à haut potentiel. Neoratceh développe des équipements de protection individuelle connectés pour les techniciens intervenant sur les réseaux électriques. Les lauréats du programme Catalyst : AI clearing (Pologne) travaille sur une plate-forme de suivi d’avancement de travaux d’infrastructures, basée sur des données géospatiales et alimentée par l’intelligence artificielle. Voyage Control (Royaume-Uni) est une solution logicielle destinée à améliorer la logistique de la construction et la gestion de la chaîne d'approvisionnement. Elle permet de rationaliser les processus, de renforcer la sécurité et de protéger l'environnement. vHive (Israël) est un logiciel qui permet aux entreprises de déployer des essaims de drones autonomes pour numériser leurs actifs et leurs opérations sur le terrain. Notamment pour l’inspection des tours télécoms, des grues, des façades et plus largement de tout type de constructions ou d’ouvrages d’art. Eave (Royaume-Uni) a développé un système complet de protection auditive pour les travailleurs de la construction, composé de protecteurs auditifs intelligents. Ils favorisent la conscience de leur environnement immédiat. Le système est renforcé d’une plate-forme en ligne pour surveiller les niveaux de bruit du chantier et l'exposition individuelle des travailleurs. Carbon Upcycling Technologies (Canada) développe une technologie d'utilisation du carbone, qui permet de créer des additifs innovants pour le béton à partir des émissions de gaz CO2. Viibe (France) est une technologie d'assistance audio/vidéo sans téléchargement, dédiée aux centres de support technique assurant un diagnostic expert à distance. Infogrid (Royaume-Uni) combine les plus petits capteurs IoT du monde et la puissance de l’intelligence artificielle. Le tout dans le but d’optimiser et d’automatiser la gestion des bâtiments. Offrant ainsi un gain de temps, d’argent, de protection de l'environnement, tout en améliorant la sécurité. nPlan (Royaume-Uni) aide les entrepreneurs à identifier, prévenir et anticiper les retards dans les grands projets de construction, en s’appuyant sur l’analyse de plus de 500 000 plannings de construction. La solution permet ainsi d’identifier les risques de retard sur les projets pendant l'appel d'offres et l'exécution, en formulant des recommandations pour les livrer dans les délais. Utilis (Israël) offre des solutions d'évaluation et de surveillance des infrastructures, basées sur l'analyse satellite “L-band Sar.”. Plus spécifiquement dans les secteurs de l’approvisionnement en eau et des infrastructures de transport. Omniflow (Portugal) est un lampadaire IoT intelligent alimenté par l'énergie éolienne et solaire, qui propose des solutions durables pour les villes intelligentes. Ils alimentent des services à forte valeur ajoutée, tels que des cellules 5G, des caméras de sécurité ou des capteurs IoT. Les lauréats du parcours intrapreneurs : Carapace (France) développe des solutions de monitoring des digues. Aval Portal (Allemagne) conçoit une plate-forme Saas qui numérise le processus d'élimination des déchets, en facilitant l'échange de données entre les entreprises industrielles et les sociétés de gestion des déchets. Digital Ummspannwerk (Allemagne) travaille sur des solutions de numérisation des sous-stations pour améliorer la sécurité. Patou Data (France) développe un outil de prévention du risque environnemental, en collectant et en analysant les données en temps réel sur les sites de construction. H2 Free (France) imagine des solutions de construction d'infrastructures pour la production et le stockage d'hydrogène. CO2 Footprint App (Allemagne) est une application de calcul d'empreinte CO2 pour les employés. Greenwatt (France) propose une offre de travaux d'amélioration de la performance énergétique pour l'industrie. Visco (Allemagne) collecte de données sur les rues et l'environnement pour la gestion de la ville, en utilisant des caméras installées dans les véhicules de gestion des déchets. Renov'ON (France) se positionne sur les rénovations thermiques de bâtiments résidentiels. PureNest (France) développe des solutions de captation et de traitement des déchets plastiques dans les fleuves. Recy'Peru (Pérou) est une marketplace pour la gestion des déchets au Pérou et en Amérique latine. On Again (France) est une plate-forme consolidant les différentes sources de matériaux issus du réemploi à destination des grands acteurs de la construction. Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 131 jours

Lourde chute du bénéfice net annuel de Vinci avec une "visibilité réduite" pour les branches transports

Dans la construction, Vinci vise pour 2021, "hors événements exceptionnels, un chiffre d'affaires en hausse, très proche de celui de 2019", indique le groupe dans un communiqué. Mais dans "les concessions, la visibilité demeure très réduite" actuellement, "l'activité étant dépendante de l'évolution du contexte sanitaire et des mesures restrictives pouvant en découler", selon lui.Lors du premier confinement instauré, "la quasi-totalité des activités du groupe ont été mises à l'arrêt", a commenté Xavier Huillard, PDG de Vinci cité dans le communiqué.Si les métiers de la construction et "dans une moindre mesure" les autoroutes "ont ensuite retrouvé des niveaux d'activité proches de la normale, Vinci Airports est resté très pénalisé par la chute du trafic aérien à l'échelle mondiale", a-t-il précisé.Le secteur du transport aérien a été l'un des plus touché par la crise du coronavirus et le trafic s'est effondré de 60% dans le monde.Sur l'année, le chiffre d'affaires de la branche concessions est en baisse de 31,7%.Vinci Airports a enregistré 1 milliard d'euros de chiffre d'affaire, en baisse de plus de 60%, et Vinci Autoroutes affiche 4,6 mds EUR (-17,5%) en raison de la baisse du trafic due aux restrictions de circulation lors des deux confinements.Dans la construction, après un fort début d'année, l'activité a été très faible durant le premier confinement tant dans le bâtiment que dans les travaux publics, soit pendant près de deux mois et a repris progressivement à partir de la fin avril pour retrouver un niveau proche de la normale en juin, selon le groupe.Le chiffre d'affaire de cette branche s'établit à 13,6 milliards d'euros (-8,6%) et la "bonne reprise des chantiers, s'est confirmée au 4e trimestre (+1,5%), selon Vinci.Compte tenu des incertitudes liées à l'évolution de la crise sanitaire, Vinci ne donne pas de perspectives pour 2021 estimant qu'"en tout état de cause", les résultats "ne pourront pas retrouver, dès 2021, leur niveau de 2019".
Il y a 4 ans et 137 jours

Économie circulaire : comment Eurovia compte accélérer

MATÉRIAUX. Le groupe Eurovia déploie une marque dédiée à l'économie circulaire sur la moitié de ses centres de recyclage, comprenant tous ceux qui trient, valorisent et vendent des granulats recyclés. La filiale de Vinci nourrit de fortes ambitions, espérant doubler d'ici à 2030 sa production de matériaux recyclés.
Il y a 4 ans et 137 jours

Economie circulaire : Eurovia monte en puissance

En vue de doubler sa production de matériaux recyclés, la filiale du groupe Vinci déploie Granulat +. Une marque qui regroupe l’ensemble de ses sites français engagés dans la collecte, le traçage et le recyclage des déchets minéraux issus de la construction.
Il y a 4 ans et 155 jours

L'élargissement de l'A57 à Toulon confié à NGE

CONTRAT. Le groupe NGE réalisera les travaux de mise en 2x3 voies pour le compte de Vinci Autoroutes. Il mobilisera 6 de ses filiales.
Il y a 4 ans et 156 jours

Vinci Construction change de tête

CARNET/NOMINATION. C'est un visage bien connu dans le groupe et dans le monde des infrastructures qui remplace, depuis le 12 janvier, Jérôme Stubler, qui a quitté Vinci.
Il y a 4 ans et 159 jours

Leonard lance simultanément les nouvelles promotions de ses 4 programmes

START-UP. La plateforme de prospective du groupe Vinci a présenté en même temps les 44 jeunes pousses qui participeront aux éditions 2021 de ses 4 programmes d'accompagnement. Tous sont lancés en ce début d'année, cette "synchronisation" est en partie due à l'épidémie de covid-19, mais pas seulement
Il y a 4 ans et 180 jours

Nouveau contrat australien pour le groupe Vinci

INTERNATIONAL. Avec sa filiale australienne Seymour Whyte, la major Vinci enchaîne la signature de marché de construction en Australie. Le dernier en date concerne la réalisation d'un pont, en Nouvelle-Galles du Sud.
Il y a 4 ans et 184 jours

Le bâtiment au défi de réduire ses émissions de CO² plus rapidement tout en préservant ses emplois

"Les émissions de CO² du secteur du bâtiment ont atteint un niveau jamais vu", a prévenu mercredi l'ONU dans un rapport annuel sur le sujet, après un constat semblable un an plus tôt.Cette étude concerne à la fois l'énergie utilisée lors de la construction de bâtiments et celle consommée par ceux qui existent déjà. Au total, les Nations unies estiment que le secteur a émis en 2019 dix milliards de tonnes de CO².Ce dernier est le principal gaz à effet de serre, dont la présence dans l'atmosphère contribue au réchauffement climatique.Plusieurs pays, dont les membres de l'Union européenne, se sont engagés à atteindre d'ici à 2050 la "neutralité carbone", c'est-à-dire ne pas émettre plus de CO² qu'ils n'en consomment, au terme d'un accord international signé voici cinq ans, celui de Paris.Mais, à son rythme actuel de consommation d'énergie, le monde du bâtiment en sera loin. L'ONU estime qu'il devrait bien plus accélérer ses efforts, même si ces derniers sont déjà notables."En 2019, pour la première fois depuis trois ans, les investissements ont augmenté en matière de bâtiments à faible consommation d'énergie", remarque l'ONU, bien qu'ils ne représentent toujours qu'une part marginale.Dans ce contexte, ces derniers mois, plusieurs géants du secteur se sont engagés à moins polluer lors de la décennie qui s'ouvre.En début d'année, c'était Vinci qui promettait de réduire ses émissions de CO² de 40% d'ici à 2030, promettant d'y consacrer plusieurs centaines de millions d'euros d'investissement.Ce mercredi, son grand concurrent, Bouygues, annonçait des objectifs proches. A la même échéance, il promet de réduire de 30% les émissions directes de sa filiale de travaux routiers et ferroviaires, Colas, et de 40% celles de ses autres activités de construction.Vitrine dorée"Les choses ne se mettent pas suffisamment vite en place donc nous considérons qu'il est de la responsabilité des acteurs économiques de proposer un certain nombre de mesures pour restreindre notre empreinte CO²", a expliqué Olivier Roussat, numéro deux du groupe, lors d'une conférence.Les ambitions du groupe passent par exemple par l'utilisation accrue de béton à la fabrication moins polluante. Généralement, il faut utiliser du ciment produit en faisant chauffer des matériaux à des températures extrêmement hautes, donc en recourant à beaucoup de combustible.Mais Bouygues et Vinci ne constituent qu'une vitrine du secteur. Derrière ces deux groupes, qui font partie du CAC 40 et réalisent des dizaines de milliards d'euros de chiffre d'affaires, l'univers du bâtiment est éclaté en une myriade d'acteurs plus ou moins gros.Ils manifestent souvent moins d'enthousiasme à se fixer des objectifs environnementaux, qui reviennent à s'imposer des contraintes coûteuses dans un univers où les marges sont rarement florissantes.En France, le bâtiment grogne notamment face à l'introduction l'an prochain de nouvelles normes sur les bâtiments neufs.Détaillée fin novembre, cette réglementation, dite RE 2020, vise à faire baisser d'au moins 30% les émissions de CO² de tout le secteur en dix ans."Les objectifs et les délais annoncés (...) semblent irréalistes, tant sur le plan économique que sur la capacité de la filière à s'adapter à ces changements radicaux", a réagi la Fédération française du bâtiment (FFB), principale organisation du secteur.Le gouvernement lui-même reconnaît que ces nouvelles normes vont rendre plus chère la construction de bâtiments, un choix que le secteur juge particulièrement inadéquat en pleine crise économique née de la pandémie."Ce sont des dizaines de milliers d'emplois mis en danger inutilement, dans l'industrie et le BTP", a estimé Olivier Salleron, président de la FFB, qui estime aussi qu'un ménage pauvre aura de plus en plus de mal à se payer la construction d'un logement.
Il y a 4 ans et 184 jours

Vinci gagne un contrat à presque 200 millions d'euros sur le métro du Grand Paris

Vinci "remporte le contrat de réalisation du viaduc de la ligne 18 du Grand Paris Express", dit le groupe dans un communiqué.Le contrat représente un montant total de 193 millions d'euros que Vinci partagera avec d'autres entreprises au sein d'un groupement mené par le géant des chantiers.Le chantier durera deux ans et demi et visera à construire un viaduc de presque sept kilomètres vers la gare de Massy-Palaiseau (Essonne), à une quinzaine de kilomètres au sud de Paris.
Il y a 4 ans et 185 jours

Coup double pour Vinci sur la ligne 18 du Grand Paris Express

CONTRAT. La Société du Grand Paris a attribué le 2e lot de génie civil pour la ligne 18 du futur réseau de transports francilien. Comme pour le 1er, il a été confié au groupe Vinci, mais avec un groupement différent.