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Résultats de recherche pour gymnase

(306 résultats)
Il y a 4 ans et 90 jours

Le chauffage au granulé de bois a-t-il sa place dans le collectif ?

Grâce à sa densité énergétique, son homogénéité, son coût, son excellent bilan carbone et sa combustion propre et sa flexibilité d'utilisation, ce type de chauffage répond à des besoins spécifiques qui le rendent incontournable dans le mix énergétique français.Avec plus de 1.100 chaufferies au granulé de bois en France, les retours d'expérience sont nombreux et très satisfaisants : écoles, lycées, bureaux, mairies, gymnases, lotissements …Pour identifier au mieux le marché et évaluer les zones de pertinence économique de ces installations, Propellet a mené l'enquête. Cette étude rendue en novembre 2020 « Articulation des usages entre granulé et plaquette » a été financée par l'ADEME, l'interprofession France Bois Forêt (FBF) et coréalisée avec le Comité Interprofessionnel du Bois Energie (CIBE) et le Syndicat National des Producteurs de Granulé de Bois (SNPGB).Le marché du granulé domestique représente aujourd'hui 95%. Un potentiel très significatif pour le marché du collectif et industrielAujourd'hui, le marché du domestique (poêles et chaudières) représente 95%. Et, en 2019, la consommation cumulée de granulé pour le secteur collectif et industriel s'élevait à 70 000 t/an, soit moins de 5% de la consommation de granulé de bois en France !Hors CPCU (Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain), le granulé représente seulement 2% de l'énergie dans les chaufferies collectives et industrielles au bois (alors que le nombre de chaufferies « bois » représente près de 20% de l'ensemble). La très large majorité d'entre elles est fournie par le bois déchiqueté (plaquettes forestières, connexes des industries du bois, broyats de bois en fin de vie…).Le paysage français dans le chauffage collectif et industriel au granulé est marqué par la prédominance des chaudières de petites et moyennes puissances. En effet, Dans le secteur collectif / industriel, le CIBE recense, pour 2018, un parc de 1 156 chaufferies au granulé de bois de plus de 50 kW pour une puissance cumulée de 178 MW. Plus de 90% des chaudières au granulé ont une puissance inférieure à 300 kW.Pertinence du granulé et capacité de la filièreLes récentes annonces du gouvernement concernant l'interdiction d'utiliser du gaz dans les logements collectifs neufs à partir de 2022 (RE2020) vont permettre d'accélérer le développement de ce marché. La filière bois énergie est prête pour aborder ce virage.Le bois énergie est un cercle vertueux, puisque l'utilisation du bois dans la construction permet à la fois de stocker du CO² dans le bâtiment et de générer des coproduits de bois qui sont utilisés pour fabriquer du granulé.En 2019, la France a produit 1.6 million de tonnes de granulés bois. Grâce à de nouveaux projets d'usine, la capacité devrait atteindre les 2 millions de tonnes d'ici 2 à 3 ans. Au-delà du passage obligatoire à la sobriété énergétique qui diminuera les besoins, les perspectives sont rassurantes puisque la ressource issue de la forêt est abondante. L'accroissement naturel de la forêt est de 10% par an en volume et il n'est prélevé pour tous les usages (bois d'œuvre, bois d'industrie, bois d'énergie) que la moitié de cette progression.Logique de décision des prescripteurs en faveur d'une solution boisÉtudier la valeur ajoutée du granulé par rapport à la plaquette facilite la logique de décision.Le choix se fait en fonction d'études de faisabilités et de préconisations de maîtres d'œuvre et d'experts. La volonté d'un maître d'ouvrage de valoriser une ressource locale de bois afin de dynamiser le territoire peut souvent orienter la décision en faveur de la plaquette ; en particulier dans le cas de communes disposant de forêts.Comparaison plaquette / granulé = les facteurs de décisionQuand le choix de l'énergie bois est acté, l'arbitrage se fait entre plaquette et granulé. Les premières questions que vont se poser le maitre d'ouvrage concernent :Des éléments techniquesLes contraintes techniques ou foncières liées à la superficie du site de la chaufferie = la densité énergétique du granulé fait que 3 à 4 fois moins d'espace est nécessaire pour le stockage que pour la plaquette.L'accessibilité du site aux camions de livraison = conditions de déchargement. Le granulé nécessite donc aussi 3 à 4 fois moins de livraisons que la plaquette.Les moyens pour assurer l'exploitation de l'installation = les plaquettes nécessitent plus de compétences et de surveillance (personnel en interne ou contrat d'exploitation).À noter : Le fractionnement de la puissance en plusieurs chaudières est courant pour les installations au granulé. Du fait d'une puissance minimale autorisée plus faible que pour une chaudière unique, cette configuration permet de couvrir une plus grande part des besoins thermiques par le bois (y compris les besoins d'eau chaude sanitaire l'été), éventuellement jusqu'à 100% c'est-à-dire sans recourir à une énergie fossile en appoint.Des éléments financiersL'analyse en coûts différenciés investissement / fonctionnement pour les maîtres d'ouvrage (situation assez rare).L'analyse économique en coût global = décisif pour le choix du maître d'ouvrage. C'est ici que se pose la question de l'intermittence d'usage de la chaleur. La souplesse d'une installation au granulé est un avantage dans le cas de cette intermittence mais, surtout, à puissance égale installée, l'intermittence entraînera une moindre consommation d'énergie qui rendra économique l'utilisation du granulé.Dans le milieu industriel, les projets s'évaluent généralement en temps de retour brut sur investissement plutôt qu'en coût global de l'énergie. Une installation au granulé présentera un meilleur temps de retour brut sur investissement qu'un projet plaquettes, (si faibles variations des prix des 2 combustibles), et pour des besoins énergétiques faibles.Analyse de l'intérêt économique des solutionsL'analyse de l'intérêt économique d'un projet s'effectue généralement par la comparaison des factures énergétiques en coût global pour chacune des solutions.Ce graphique montre que lorsqu'on décompose le coût global :La part d'énergie est inférieur pour le granulé face aux énergies fossilesLa part de l'appareil au granulé (maintenance inclus) est moins importante face à la plaquetteLes grandes tendances d'un point de vue financier après analyseFace au fioul domestique (95 €TTC/MWhPCI), les chaufferies dédiées au bois sont systématiquement compétitives.Face au gaz naturel (55€TTC/MWhPCI), à contrario, les chaufferies dédiées au bois ne sont compétitives que dans de rares cas : établissements scolaires, sanitaires et sociaux ou résidentiels collectifs par exemple. Suivre l'impact de la RE 2020.Lorsque les deux solutions bois sont comparées entre elles, la solution « granulé » devient plus pertinente lorsque l'intermittence augmente ou pour satisfaire de faibles besoins thermiques.Plus le prix de l'énergie fossile utilisée en appoint est élevé, plus importante est la zone de pertinence de la solution granulé : avec le granulé, seuls 10% des besoins sont couverts par l'énergie d'appoint contre 15% pour la solution plaquette. Ce qui représente une réduction de 33% du recours à cette énergie d'appoint.Une réflexion globale à mener sur les réseaux de chaleur bois dans les territoires rurauxLes récentes décision gouvernementales (fioul et gaz) nécessitent d'engager une réflexion d'ensemble et des actions pour développer le bois-énergie dans les territoires ruraux. Des centaines de milliers de familles, de bâtiments publics et commerciaux seront concernés et devront trouver une alternative.Mais les solutions individuelles ne sont pas souhaitables. Il faudra éviter le passage au propane (dérivé du pétrole fossile) ou au chauffage électrique sous toutes ces formes (par effet joule ou de manière plus vertueuse par pompe à chaleur) qui aggraverait le pic d'appel de puissance électrique en hiver.Une réflexion collective est primordiale. Les petits réseaux de chaleur renouvelables dans les territoires ruraux ont toute leur place.
Il y a 4 ans et 96 jours

Casse-tête immobilier autour du Village olympique à Tokyo

Les installations, conçues pour accueillir plus de 10.000 sportifs et officiels au Village olympique, doivent être converties après les Jeux en milliers d'appartements avec vue imprenable sur la capitale japonaise, dont certains étaient évalués à 170 millions de yens (1,34 million d'euros).Environ 900 d'entre eux avaient déjà été vendus avant le report des Jeux de juillet 2020 à juillet 2021 en raison de la pandémie de Covid-19, obligeant les nouveaux propriétaires à retarder leur emménagement d'au moins un an.Au total, 24 acheteurs ont sollicité l'arbitrage du Tribunal de première instance de Tokyo en demandant une indemnisation à 10 promoteurs immobiliers, parmi lesquels Mitsui Fudosan, sans fixer de montant."Nous avons demandé à engager des discussions, mais ils ont répondu que ce n'était pas nécessaire", a déclaré leur avocat Hironobu Todoroki à l'AFP."En raison du report, les enfants de certains acheteurs seront obligés de changer d'école lorsqu'ils pourront enfin emménager dans leur nouvel appartement", a ajouté M. Todoroki."Beaucoup ont également vendu leur ancien appartement pour contracter un prêt afin de financer le nouveau", a dit l'avocat, précisant que les acheteurs pourraient engager des poursuites judiciaires formelles si les entreprises refusent de discuter.Aucun promoteur n'a fait de commentaires dans l'immédiat.Le projet compte plus de 20 tours le long de la baie de Tokyo. Le terrain de 18 hectares doit également inclure des écoles, un terrain de jeux, une piscine et un gymnase.Le gouvernement japonais, les organisateurs de Tokyo-2020 et le Comité international olympique assurent que les Jeux pourront se dérouler en toute sécurité cet été, malgré des doutes sur le sort de l'événement alors que la pandémie continue de faire des ravages à travers le monde.
Il y a 4 ans et 102 jours

Réhabilitation du gymnase de la cavée à Eragny-sur-Oise : une première livraison effectuée

Les travaux de réhabilitation du gymnase de la cavée à Eragny-sur-Oise continuent. Une partie du bâtiment a été achevée.
Il y a 4 ans et 104 jours

Eaubonne : reprise du chantier de reconstruction du gymnase Georges-Hébert

Les travaux du gymnase Georges-Hébert à Eaubonne ont repris après 20 mois d’arrêt.
Il y a 4 ans et 150 jours

Le BTP demande aux pouvoirs publics de permettre à leurs 1,4 million de salariés de déjeuner au chaud

Depuis plusieurs mois, la Fédération Française du Bâtiment, la Fédération Nationale des Travaux Publics et leurs réseaux de fédérations locales ne cessent d'alerter les pouvoirs publics sur l'absolue nécessité de permettre aux salariés de déjeuner dans un lieu clos et chauffé : leur permettre l'accès aux restaurants routiers, comme les salariés du transport, permettre l'ouverture de salles municipales, de gymnases, d'ouvrir l'accès des cantines des CFA dans le respect des règles sanitaires...des solutions pragmatiques existent.Pour Olivier Salleron, président de la FFB, « Pour ce deuxième confinement, le bâtiment a été considéré comme une activité économique essentielle. Alors assurer à nos compagnons des conditions satisfaisantes et leur permettre, quand ils le souhaitent, de déjeuner au chaud dans le respect des règles sanitaires contribue à leur confort mais également à une activité exercée en sécurité. »Pour Bruno Cavagné, président de la FNTP, « Depuis le début de la crise sanitaire, les entreprises de Travaux Publics et leurs salariés se sont adaptées, ont répondu aux besoins des territoires et des citoyens en matière d'infrastructures et continueront à le faire. Aujourd'hui, nous demandons simplement du pragmatisme pour assurer des conditions de restauration adaptées à la période. »
Il y a 4 ans et 171 jours

Le centre sportif Poissonniers, élément d'une "nouvelle écologie urbaine" pour Paris 18e

RÉALISATION. Face au besoin d'équipements polyvalents et en accord avec la volonté d'une nouvelle architecture urbaine, l'agence Archi5 a signé le centre sportif des Poissonniers, dans le 18e arrondissement de Paris. Le gymnase, qui abrite également une ferme urbaine, est le premier élément de renouveau d'un projet de modernisation de son quartier.
Il y a 4 ans et 182 jours

Korian ouvre dans l'Ain la clinique du Souffle Le Pontet spécialisée en réhabilitation respiratoire

Située au cœur de la commune de Plateau d'Hauteville (Ain), à une heure de Lyon, cette nouvelle clinique est née du regroupement de la clinique Le Modern et de la clinique Clair Soleil, dans un site unique de 5.200 m² alliant performance, confort et bien-être. Elle comporte 85 lits d'hospitalisation complète et un hôpital de jour. « La clinique Le Pontet contribue à faire de Korian un acteur majeur en SSR spécialisés dans les affections de l'appareil respiratoire. Le Groupe compte ainsi six cliniques dédiées à ce type de pathologies1. Trois autres services spécialisés en SSR pneumologiques ouvriront également d'ici 20222 » met en perspective Nicolas Mérigot, Directeur général de Korian France.« Je suis très fière de cette clinique magnifique qui constitue un lieu de soin de référence en réhabilitation respiratoire. Notre approche thérapeutique est globale et transverse. Elle consiste à remettre les patients en mouvement, pour gagner en autonomie et améliorer leur qualité de vie » souligne Brigitte Emin, directrice de la clinique du Souffle Le Pontet.Un savoir-faire reconnu dans la réhabilitation respiratoireLa clinique du Souffle Le Pontet prendra en charge des personnes atteintes de maladies respiratoires chroniques et de troubles respiratoires du sommeil, mais également des patients sous assistance respiratoire, ainsi qu'en pré et post interventions chirurgicales thoraciques. L'équipe de la clinique est composée de 75 personnes, dont 45 composent l'équipe médicale et paramédicale. Cette équipe pluridisciplinaire et hautement qualifiée comprend quatre médecins pneumologues, des infirmiers et des aides-soignants, des kinésithérapeutes, des enseignants en activité physique adaptée (APA), un tabacologue, des psychologues, une diététicienne, et une assistante sociale.Des équipements alliant performance, confort et bien-êtreLa clinique comporte des équipements de pointe pour une prise en charge efficiente qui combine :Un plateau technique innovant et spacieux (gymnase, balnéothérapie, salle de réentraînement à l'effort physique...),un laboratoire d'évaluation fonctionnelle permettant l'étude des fonctions cardio-respiratoires au repos et à l'effort,un cadre de vie adapté et agréable dont des chambres confortables, un jardin et plusieurs terrasses et une salle de restaurant climatisée et lumineuse.Un bâtiment contemporain et responsableLa clinique a été conçue selon les meilleurs critères de performance environnementale dont énergétique. Sa toiture végétalisée joue un rôle sur l'isolation thermique en absorbant les rayonnements solaires. La chauffe du bâtiment utilise un réseau de chauffage urbain alimenté par une chaufferie collective au bois.En complément, l'installation de panneaux solaires optimise la consommation d'eau chaude sanitaire. La conception et la réalisation du projet ont été effectuées par SEMCODA avec Bel Air architecture et le bureau d'études ICT, en étroite collaboration avec la clinique.« Le savoir-faire historique de la commune et de la station sanitaire de Plateau d'Hauteville en matière de soins et de réhabilitation respiratoire est conforté par ce formidable projet. L'ouverture de la clinique du Souffle le Pontet par le groupe Korian engage une nouvelle page de l'histoire hospitalière de Plateau d'Hauteville, complètement tournée vers l'avenir, par la haute qualité environnementale du projet, le confort de ses équipements et l'orientation des protocoles de soins tournés vers la réhabilitation du patient, notamment par l'activité physique » indique Philippe Emin, Maire de Plateau d'Hauteville.Korian dispose de six établissements (3 maisons de retraite et 3 cliniques de soins de suite et de Réadaptation) dans l'Ain (01). Il compte en France un réseau de services à domicile, plus de 370 maisons de retraite médicalisées, résidences services seniors et colocations Seniors et 82 cliniques spécialisées et 8 établissements d'hospitalisation à domicile (HAD).
Il y a 4 ans et 186 jours

Les artisans du bâtiment demandent la clarification rapide de certaines mesures qui freinent l'activité

Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « J’ai adressé un courrier à Monsieur Bruno LE MAIRE Ministre de l’Économie et des Finances, Monsieur Alain GRISET Ministre délégué chargé des PME, Madame Emmanuelle WARGON Ministre déléguée chargée du Logement et Madame Elisabeth BORNE Ministre du Travail, afin de leur demander de clarifier rapidement certaines mesures et de lever les freins qui entravent la poursuite de l’activité dans l’artisanat du bâtiment. En effet, si nos entreprises sont pleinement mobilisées pour maintenir leur activité dans le strict respect des mesures sanitaires, c’est au travers de notre réseau départemental que ces difficultés ont été soulevées. Nous rappelons, enfin, la nécessité de disposer de positions officielles qui permettent d’appliquer les dispositions gouvernementales de la même manière sur tout le territoire national. Sans positions officielles, il y a risque d’iniquité territoriale ou d’interprétations. Ce risque est souvent la source de grandes insatisfactions et de mécontentements, dans un contexte déjà fragilisé par de fortes incertitudes ».Les demandes de la CAPEB aux pouvoirs publicsConcernant les déplacements :Permettre aux clients, particuliers et professionnels, de pouvoir se déplacer afin de suivre et de réceptionner leurs chantiersConfirmer que des déplacements inter-régionaux à titre professionnel sont autorisés, quel que soit le périmètre, sous réserve de disposer d’un justificatif de déplacement professionnel de son employeur pour les salariés ou de l'attestation de déplacement dérogatoire pour les non-salariésPermettre aux Travailleurs Non-Salariés (TNS) de ne pas devoir renouveler chaque jour leur autorisation de déplacementConcernant la poursuite de l’activité :Veiller à ce que les autorisations temporaires d'installations d'engins (grues, engins de levage, échafaudages, etc.) ne soient pas interrompuesRéactiver les cellules mises en place par les préfets afin de faciliter la continuité de l'activité dans les territoiresAutoriser explicitement un professionnel du bâtiment à pouvoir accueillir du public dans le respect des règles sanitaires, afin d’assurer la vente de matériaux et d’équipements liés aux métiers du bâtiment pour lesquels il réalise des installations ou des aménagements, comme notamment les poêles à bois et autres équipements de chauffage, les fenêtres, les portails ainsi que les combustibles de chauffage, les peintures, etc.Autoriser explicitement les professionnels du bâtiment à assurer leurs rendez-vous commerciaux auprès de leurs clientsConfirmer l’application du principe de poursuite d’activité du BTP pour les ramoneurs, même lorsque ces derniers ne relèvent pas du secteur du bâtimentAutoriser les restaurateurs ou les mairies volontaires ou encore les CFA à ouvrir leur établissement, salle polyvalente, gymnase, cantine…, pour permettre aux salariés du BTP de pouvoir, dans le respect des règles sanitaires, prendre leur repas dans des lieux adaptésautoriser explicitement les stagiaires du BTP à pouvoir faire leur stage en entreprise (par exemple, dans le cadre d’une convention de stage liant un lycée professionnel, un jeune et une entreprise)Concernant le soutien financier aux entreprises :Permettre aux entreprises du bâtiment subissant une perte d’activité parce qu’empêchées de réaliser leurs prestations (refus du client - particulier ou professionnel - de permettre à l’entreprise de réaliser sa prestation pendant le confinement, fermeture temporaire de l’entreprise suite à un cas COVID déclaré) d’être éligibles à l’activité partielle suivant les mêmes modalités que les entreprises relevant des secteurs protégés ou subissant une fermeture administrativeConfirmer que le fonds de solidarité est bien ouvert à l’ensemble des entreprises, y compris celles relevant du secteur du bâtimentConfirmer que les exonérations et reports de cotisations sociales pour les travailleurs indépendants et les employeurs ne sont pas limités aux seules entreprises fermées administrativement ou aux PME appartenant à certains secteurs d’activitéEnfin, la CAPEB demande de prévoir un délai supplémentaire pour le dépôt des dossiers de qualification des entreprises du bâtiment.
Il y a 4 ans et 186 jours

La CAPEB demande des clarifications au Gouvernement

Le 4 novembre 2020, Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB a adressé à plusieurs ministres une liste de demandes afin de lever certains freins et de clarifier des mesures pour permettre la continuité de l’activité des entreprises artisanales du bâtiment dans des conditions optimales : Concernant les déplacements : · permettre aux clients, particuliers et professionnels, de pouvoir se déplacer afin de suivre et de réceptionner leurs chantiers ; · confirmer que des déplacements inter-régionaux à titre professionnel sont autorisés, quel que soit le périmètre, sous réserve de disposer d’un justificatif de déplacement professionnel de son employeur pour les salariés ou de l’attestation de déplacement dérogatoire pour les non-salariés ; · permettre aux Travailleurs Non-Salariés (TNS) de ne pas devoir renouveler chaque jour leur autorisation de déplacement ; Concernant la poursuite de l’activité : · veiller à ce que les autorisations temporaires d’installations d’engins (grues, engins de levage, échafaudages, etc.) ne soient pas interrompues ; · réactiver les cellules mises en place par les préfets afin de faciliter la continuité de l’activité dans les territoires ; · autoriser explicitement un professionnel du bâtiment à pouvoir accueillir du public dans le respect des règles sanitaires, afin d’assurer la vente de matériaux et d’équipements liés aux métiers du bâtiment pour lesquels il réalise des installations ou des aménagements, comme notamment les poêles à bois et autres équipements de chauffage, les fenêtres, les portails ainsi que les combustibles de chauffage, les peintures, etc. · autoriser explicitement les professionnels du bâtiment à assurer leurs rendez-vous commerciaux auprès de leurs clients ; · confirmer l’application du principe de poursuite d’activité du BTP pour les ramoneurs, même lorsque ces derniers ne relèvent pas du secteur du bâtiment ; · autoriser les restaurateurs ou les mairies volontaires ou encore les CFA à ouvrir leur établissement, salle polyvalente, gymnase, cantine…, pour permettre aux salariés du BTP de pouvoir, dans le respect des règles sanitaires, prendre leur repas dans des lieux adaptés ; · autoriser explicitement les stagiaires du BTP à pouvoir faire leur stage en entreprise (par exemple, dans le cadre d’une convention de stage liant un lycée professionnel, un jeune et une entreprise). Concernant le soutien financier aux entreprises : · permettre aux entreprises du bâtiment subissant une perte d’activité parce qu’empêchées de réaliser leurs prestations (refus du client – particulier ou professionnel – de permettre à l’entreprise de réaliser sa prestation pendant le confinement, fermeture temporaire de l’entreprise suite à un cas COVID déclaré) d’être éligibles à l’activité partielle suivant les mêmes modalités que les entreprises relevant des secteurs protégés ou subissant une fermeture administrative ; · confirmer que le fonds de solidarité est bien ouvert à l’ensemble des entreprises, y compris celles relevant du secteur du bâtiment ; · confirmer que les exonérations et reports de cotisations sociales pour les travailleurs indépendants et les employeurs ne sont pas limités aux seules entreprises fermées administrativement ou aux PME appartenant à certains secteurs d’activité ; Enfin, la CAPEB demande de prévoir un délai supplémentaire pour le dépôt des dossiers de qualification des entreprises du bâtiment.
Il y a 4 ans et 189 jours

Un gymnase-paysage à Paris, par Archi5

L'architecte portugais Eduardo Souto de Moura fonde son agence en 1980. Il collabore à ses débuts avec Alvaro Siza et, comme lui, recevra le prix Pritzker (2011). L'architecture d'Eduardo Souto de Moura, simple et ancrée dans la réalité, appartient à la deuxième génération de l'école de Porto. Dans sa […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 207 jours

Espace Pompidou, à Courbevoie, par Enia architectes

Conçu par Enia architectes (Mathieu Chazelle, Brice Piechaczyk, Simon Pallubicki), le gymnase Pompidou à Courbevoie (Hauts-de-Seine) est un complexe intégrant un équipement sportif et culturel ainsi qu’une zone tertiaire dédié au service des espaces verts de la ville. Son implantation dans un quartier urbain en pleine mutation profite d’une situation remarquable à l’angle de deux […] L’article Espace Pompidou, à Courbevoie, par Enia architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 209 jours

ConstruirAcier récompense 10 projets d'architecture en acier aux échelles variées et expressions fortes

« Ce palmarès témoigne et exprime à quel point l'acier est bien cet outil indispensable à la fabrication d'immeubles dont la destination ne se résume pas au monde industriel mais s'élargit aux ouvrages dont l'usage est domestique, le contenu technique ou la dimension publique accomplie. »-Francis Soler, Président des 6e Trophées Eiffel Déléguée générale et directrice de la communication de ConstruirAcier, Charlotte Flores a salué l'audace architecturale des réalisations primées et rappelé que la filière acier-construction s'inscrit bien dans cette dynamique créative. « Le matériau acier propose aujourd'hui des solutions innovantes pour construire bien, fiable, rapide, responsable, durable, résilient, économique et performant, a-t-elle souligné. La crise sanitaire et économique que traverse le monde et la France pousse aujourd'hui à reconsidérer les schémas d'action et de pensée dans la construction. Patrimoniale, industrielle et architecturale, pleinement ancrée dans les territoires avec ses 175 000 emplois, dotée d'une forte capacité de production, la filière acier-construction est prête pour apporter le meilleur dans la construction française et participer aux grands chantiers des métropoles ». Les 10 lauréats des 6e Trophées Eiffel dans 10 catégories sont…Catégorie APPRENDRE - regroupe tous les lieux d'enseignement publics ou privés, centres de formation, crèches Lycée Léonard de Vinci, St Germain en LayeMaître d'ouvrage : Région Ile-de-France, Maîtrise d'ouvrage déléguée : IDF Construction DurableArchitecte : TANK Architectes & COSABET : Bollinger + GrohmannConstructeur métallique : Baudin-ChâteauneufConstructeur : Colas Catégorie ARCHITECTURE ET INGENIERIE (nouvelle catégorie 2020)Hippodrome PARIS LONGCHAMPMaître d'ouvrage : France GALOPArchitecte : Dominique Perrault ArchitecteBET : TRACTEBELBE METAL : JAILLET-ROUBYCatégorie DIVERTIR -regroupe stades, gymnases, salles de sport, équipements culturels...Halle multifonctionnelle - Le forûm, Soults-sous-ForêtsMaître d'ouvrage : Commune de Soultz-Sous-Forêts, HohwillerArchitecte : RHB ArchitectesBET : ALEC STRUCTUREConstructeur métallique : WILHELM SACatégorie FRANCHIR - regroupe viaducs, ponts, passerelles et tout ouvrage de franchissement Passerelle de l'Aiguille Rouge, Bourg-Saint-MauriceMaître d'ouvrage : ADSArchitecte : SG ArchitecteBET : KEOPSConstructeur métallique : Bellet IndustrieCatégorie HABITER - regroupe logements collectifs ou individuelsVilla Rohan, BordeauxMaître d'ouvrage : Natcha COSTAArchitecte : Atelier CambiumBET : C3Constructeur métallique : C2BCatégorie TRAVAILLER - regroupe immeubles de bureaux, bâtiments de production, de logistiques, de commerce... BT6 – Réhabilitation d'un entrepôt et surélévation du bureaux, BèglesMaître d'ouvrage. SCI Terres NeuvesArchitecte : Nadau Architecture / Faye Architectes et AssociésBET : IBCConstructeur métallique : SOBLACOCatégorie INNOVATION - présente une innovation architecturale et environnementale majeureSuper Pausée, PloemelMaître d'ouvrage : La Belle FolieArchitecte : vous architectureBET : Yohann LesléConstructeur métallique : BfactoryCatégorie PRIX SPECIAL RESTRUCTURATION (nouvelle catégorie 2020 souhaitée par Francis Soler). Carré Michelet, la DéfenseMaître d'ouvrage : Gecina (Eurosic)Architecte : Cro&Co ArchitectureBET : CE IngénierieConstructeur métallique : Gagne Catégorie VOYAGER - regroupe gares, aéroports, pôles de transport, parkings, téléphériques...Nouveau Terminal T1, Aéroport de Lyon-Saint ExupéryMaître d'ouvrage : Aéroports de LyonArchitecte : Rogers Stirk Harbour – Partners / ChabanneBET : Technip TPS Catégorie INTERNATIONAL - présente un projet architectural internationalDen Blå Planet, l'aquarium national du Danemark, CopenhagueArchitecte : 3XNMaître d'ouvrage : The Building Foundation, Den Blå PlanetComposition du jury des Trophées Eiffel 2020Président du Jury :Francis Soler, architecteJacques Sebbag, architecte, archi5Olivier Leclercq, architecte, vice-président de la maison d'architecture, Île-de-FranceMitsu Edwards, ingénieure directrice adjointe, Eckersley O'CallaghanAmélie Luquain, architecte et journaliste spécialisée, Le MoniteurNadège Mével, rédactrice en chef EXEGilles Davoine, rédacteur en chef de AMCChristophe Leray, rédacteur en chef de Chroniques d'architectureDavid Abittan, rédacteur en chef de tema.archiChristine Le Nouy, secrétaire générale SCMFPour Stéphane Herbin, architecte, Directeur du département Innovation au CTICM (centre technique et industriel de la construction métallique), présent lors de la remise des Trophées Eiffel « Il faut construire, encore plus aujourd’hui, en s’interrogeant sur « le bon matériau au bon endroit ». « A travers ces trophées, nous en avons une belle illustration. Au-delà de ses propriétés de protection anti-feu, de légèreté et de solidité, l’acier permet de répondre aux préoccupations environnementales et aux enjeux de l’économie circulaire. Les solutions constructives de l’acier sont propices à l’économie de ressources et au réemploi. Elles permettent de s’associer à tout autre matériau pour aborder la construction neuve et la rénovation. Grâce à la poutre cellulaire, il est possible de gagner un étage en plus tous les sept niveaux. Les produits de construction en acier sont aussi recyclés jusqu’à 98 % pour les poutres.Engagée dans le Comité Stratégique de Filière « Industries pour la construction », la filière place l’innovation au cœur de ses priorités : transition numérique et industrie du futur, fabrication additive, BIM, traçabilité et modularité grâce à la préfabrication, déconstruction programmée, prévention de la production de déchets… Dans l’analyse du cycle de vie qui prend en compte 26 indicateurs, l’acier a des résultats très significatifs concernant 25 critères en matière d’impact de zone photochimique, de déchets, d’eau…Le critère carbone, quant à lui, est un sujet de recherche avancée pour limiter son impact. L’acier est un matériau démontable, évolutif, qui favorise la réhabilitation, la surélévation et la mixité des matériaux. Ces atouts sont à prendre en compte aujourd’hui. »
Il y a 4 ans et 213 jours

Les opérateurs immobiliers du village des médias pour les JO-Paris 2024 désignés

En septembre, les élus de Seine-Saint-Denis s'étaient fortement mobilisés autour de ce projet destiné à profiter aux habitants de ce département déshérité, craignant en effet qu'il ne soit raboté du fait de mesures d'économies rendues nécessaires pour l'organisation des JO.Finalement, au terme de discussions entre l'Etat et les collectivités locales, il a été décidé que ce village, situé sur les communes de Dugny, La Courneuve et Le Bourget, et comprendra à terme 1.300 logements ainsi que des équipements publics (gymnase, crèche et école) et des commerces, soit construit en deux étapes.Il y aura d'abord 700 logements puis 600 après les JO à horizon 2025, avec au total 20% de logements sociaux , représentant 90.000 mètres carrés, sur lesquels se grefferont 1.000 mètres carrés de commerces et services.Pour cette première phase, l'Etat donne un coup de pouce financier, via le plan de relance, pour la construction d'un gymnase, avaient indiqué la semaine dernière à l'AFP des élus du département.Une passerelle piétons-vélos doit aussi être construite autour de l'autoroute A1 et cette première phase comprend également "l'aménagement du terrain des Essences à La Courneuve et l'aménagement du Parc des Sports du Bourget", a précisé la Solideo dans un communiqué.Cette première partie sera prête à accueillir la presse du monde entier à l'été 2024 pour les 15 jours d'épreuves olympiques. Des travaux de dépollution ont déjà commencé.Le lot A, B et C ("Aire des vents") a donc été attribué au groupement Sogeprom, Demathieu & Bard Immobilier, au détriment du groupement Bouygues Immobilier, Kaufman&Broad et CDC Habitat. Le lot D (Plateau) a été attribué à Ametis, Ideom et Gaïa Promotion.La Solideo a bien précisé et clarifié le fait que ces opérateurs avaient été désignés pour les deux étapes."Cité-jardin"Le choix de ce comité de sélection, réuni mercredi et présidé par Michel Cadot, le délégué interministériel aux Jeux Olympiques, sera validé au conseil d'administration de la Solideo du 13 octobre.La Solideo, qui a un budget d'environ 3 milliards d'euros, dont 1,4 milliard d'euros d'argent public, est chargée des constructions et aménagements pérennes faits dans le cadre des JO.Le dépôt des permis de construire se fera "au 1er trimestre 2021" et les chantiers pourront démarrer au 3e trimestre 2021, pour une mise à disposition au 1er trimestre 2024.A terme, la Solideo maintient son ambition de faire de cette opération d'aménagement du territoire, une "cité-jardin" du XXIe siècle, en lien avec le parc Georges Valbon, sur 70 hectares.Le prochain conseil d'administration de la Solideo se penchera aussi sur quelques petites évolutions comme la construction d'un mur d'escalade pérenne en Seine-Saint-Denis, qui n'était pas prévu au départ.L'autre grande opération d'aménagement du territoire liés aux JO, le village des athlètes, qui se trouve à cheval sur trois communes (Saint-Ouen, Saint-Denis, Ile-Saint-Denis) est prise en charge depuis un an par la Caisse des dépôts et sa filiale Icade, d'un côté, et les groupes immobiliers Nexity et Eiffage, de l'autre.
Il y a 4 ans et 221 jours

Paris-2024 : sur les sites olympiques de Dugny et du Bourget, l'espoir se mue en "grand flou"

Au Bourget, aucun signe n'indique encore que la commune fait partie d'une "Terre de Jeux 2024". C'est "encore loin", déclare Asfour Mabrouk, qui y possède deux boulangeries. Mais il y voit "une aubaine", "les jeunes vont avoir du travail", se réjouit l'entrepreneur."C'est une bonne pub pour le département qui est un peu sinistré", estime Abdenour Bellache, un Bourgetin de 31 ans.Pour Zouina Ould'Ali, gérante depuis vingt ans d'un salon de coiffure, les JO-2024 "vont montrer une image positive de la Seine-Saint-Denis. C'est un beau département, on y vit bien", assure cette élégante femme de 52 ans, pour qui des JO sans la Seine-Saint-Denis seraient "une déception".Paris-2024 est "un vecteur d'espoir pour les habitants parce qu'on finance des équipements que moi je ne peux pas financer", explique le maire DVD du Bourget, Jean-Baptiste Borsali, à qui on a promis un nouveau gymnase, des courts de tennis, une piscine, une école et une passerelle qui doit relier sa commune à Dugny.IncertitudesLe vieux complexe sportif municipal doit être aussi remodelé pour accueillir une épreuve.Pour le référent JO de la ville, Kamel Ouarti, le temps presse. "On aimerait bien que les choses soient figées. Les Bourgetins et les associations sportives de la ville sont inquiets", affirme le vice-champion du monde vétéran de judo.La présidente du Bourget Tennis Club Martine Pasquier a le sentiment d'être "abandonnée". "On a pleuré de joie quand on a eu les JO et là on pleure de tristesse". "Un coup vous avez le volley-ball puis l'escalade. On vous promet un terrain de tennis et puis plus rien", fulmine la présidente, qui gère 400 adhérents dont 200 enfants.Des panneaux annonçant des destructions bordent ses installations composées de 11 courts."On doit m'en raboter sept pendant les travaux et je n'ai plus la certitude de les récupérer", indique Mme Pasquier. "Je ne bouge pas de mon terrain quitte à m'enchaîner tant que je n'ai pas de réponse ferme de la Solideo", l'établissement public chargé des grands chantiers, affirme-t-elle.Le boulodrome jouxtant le club de tennis va disparaître, assure Benoît Picout, président de l'association de pétanque. "Pour l'instant, c'est le grand flou, on ne sait pas où on va nous mettre", constate-t-il, "on parle d'un terrain provisoire dans un parc du centre-ville en attendant peut-être un nouveau terrain dans quatre ans".'Ligne rouge'"On ne pourra plus organiser des tournois, c'est un manque à gagner pour le club", regrette ce natif de Seine-Saint-Denis. "On nous a promis un nouveau boulodrome, j'espère que la promesse sera tenue. Les JO c'est bien si on nous laisse des équipements".A Dugny, des lettres géantes aux couleurs olympiques marquent l'entrée de cette petite ville pauvre située à moins de 13 km au nord de Paris.Elle doit accueillir le village des médias voué à être transformé en un millier de logements, commerces et écoles. "C'est le flou", confie le maire Quentin Gesell (DVD) qui essaie de négocier "600-700 logements" pour l'après-JO, sans garantie pour le reste des équipements.Le "cluster" des médias doit héberger près de 2.800 journalistes sur 70 hectares aux abords du "poumon vert" du département, le parc Georges-Valbon.Pour l'heure, cette grande pelouse qui accueille traditionnellement la Fête de l'Huma, est en friche."Le village des médias constitue la principale ligne rouge à ne pas franchir pour la Seine-Saint-Denis", avertit Stéphane Troussel, président PS du département. Il a intimé à "l'Etat de prendre ses responsabilités pour financer le projet" à la place du comité d'organisation.Avec le village des athlètes situé aussi dans le département, c'est l'autre grande opération d'aménagement. Il "est au cœur de l'héritage matériel" pour les habitants, déclare M. Troussel.
Il y a 4 ans et 237 jours

Ni urbain, ni rural, un gymnase signé Joly & Loiret

Au sommaire du numéro d'AMC qui vient de paraître (n°288-289 septembre 2020) et disponible en format numérique: un entretien avec le paysagiste belge Bas Smets, une rencontre avec le sociologue Richard Sennett, un dossier sur les logements pavillonnaires, des détails "façades pliées" et une matériauthèque "tactiles […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 239 jours

A Villepreux, un centre sportif signé Joly-Loiret

En 2018, l’agence Joly-Loiret (Serge Joly et Paul-Emmanuel Loiret) a livré à Villepreux (Yvelines) un gymnase-centre sportif de 2 900 m² SU (+ 3 400 m² EXT). Entre ville et campagne, dans ce cadre intermédiaire, le projet à 4,6 M€ HT n’est ni urbain ni rural, il est les deux. Communiqué. Champs contrechamps Le projet se […] L’article A Villepreux, un centre sportif signé Joly-Loiret est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 306 jours

Myral poursuit son développement et renforce son équipe prescription

Stéphane Cuzzaini : "Notre enjeu, proposer des choix pertinents tout en guidant vers nos solutions"Stéphane Cuzzaini, professionnel chevronné chargé du quart Sud-Est de la France croit fermement en la solution Myral. Fort d'une quinzaine d'années d'expérience dans le bâtiment, a su développer une véritable expertise technique dans le domaine de l'ITE. Quel parcours vous a mené jusqu’à Myral ?Stéphane Cuzzaini : Au départ j’ai fait mes armes au sein de l’entreprise Onduline, qui conçoit des panneaux de couverture et de bardage, essentiellement à destination du marché tertiaire (bâtiments industriels, agricoles). Cette première expérience, qui a duré 6 ans, m’a permis de développer mon expertise dans le marché de l’ITE, en visitant de nombreux bureaux d’études notamment.Les 8 années suivantes, j’ai travaillé pour Everlite Concept, société qui propose des bardages haut de gamme à l’aspect architectural marqué, dans un segment proche de celui de Myral. Durant cette période, j’ai participé à la rénovation énergétique de nombreux projets où l’apparence extérieure des bâtiments avait une grande importance : complexes sportifs, gymnases, écoles… Cela m’a permis d’effectuer un travail de prescription et de préconisation technique auprès des architectes souhaitant faire concorder leur vision avec des produits techniques. J’ai beaucoup apprécié ce travail de conseil et cette relation privilégiée que j’ai développée avec eux.Quelles compétences majeures comptez-vous apporter à Myral ?Stéphane Cuzzaini : D’abord, donc, ma capacité à accompagner la maîtrise d’œuvre sur les recommandations techniques. Mais aussi la relation avec les entreprises dans la mise en œuvre des produits. C’est une partie du travail que j’ai toujours réalisé. Chez Everlite, nous avions un bureau d’études, comme Myral, avec une personne qui pouvait se déplacer au cas-par-cas, pour autant, j’assistais moi-même beaucoup les poseurs. Je les accompagnais parfois en réunions de chantier quand il y avait des problématiques techniques, pour faire des démarrages de chantier, effectuer des diagnostics et apporter des conseils techniques… Pour moi, ce qui est important, c’est que la préconisation que j’apporte aux maîtres d’œuvre soit la plus pointue possible afin qu’elle puisse déboucher sur une réalisation pérenne et conforme à ce que j’ai proposé. L’assurance d’un rendu final de qualité, c’est participer à la renommée du produit et s’ouvrir à de nouvelles affaires.Qu’attendent les maîtres d’œuvre d’un prescripteur ?Stéphane Cuzzaini : Ils attendent des réponses à leurs différentes exigences et inspirations sans que l’on vienne remettre en cause leur vision. Après plusieurs années aux côtés des architectes, j’ai appris à faire preuve d’écoute et à m’adapter le plus fidèlement possible à leurs attentes, à « l’image architecturale » très particulière qu’ils ont de leur projet. Il faut être capable de la comprendre et de trouver des solutions adaptées à leurs désirs, et si ce n’est pas possible, trouver des alternatives efficaces qui ne trahissent pas leur signature. Leur proposer des choix qui fonctionnent tout en les guidant vers les solutions que l’on défend, c’est tout l’enjeu de notre métier !Comment avez-vous connu le groupe Myral ?Stéphane Cuzzaini : Je l’avais remarqué sur des salons professionnels. Ce qui m’avait plu c’était vraiment l’aspect visuel du produit et l’image architecturale qu’il proposait, avec de grands panneaux, une diversité d’aspects qui faisaient qu’on se demandait finalement ce que c’était ! Quand on voit l’effet aluminium brossé des panneaux « Alunatur » ou la surface parfaitement réfléchissante du « Poli Miroir », ça interpelle !Ensuite, j’ai croisé Myral sur des affaires. Pour l’anecdote, à l’époque où je travaillais pour une société concurrente, je m’étais occupé de la recommandation technique pour l’habillage des balcons des tours « Les Moulins » à Nice. Et il se trouve que Myral travaillait sur ce même projet. Nous étions en concurrence sur la partie habillage des façades en bardages ITE et c’est Myral qui a été retenu car j’étais presque deux fois plus cher ! En m’y intéressant, j’ai découvert une belle entreprise qui proposait des produits innovants.Justement, quel est le regard des clients et de la concurrence sur Myral et sa solution ?Stéphane Cuzzaini : Il y a un retour positif, aussi bien de la part des clients, que des installateurs, des maîtres d’ouvrage et des architectes… Les installateurs privilégient des produits simples et rapides à mettre en œuvre ; les maîtres d’œuvre et d’ouvrage, quant à eux, vont vouloir des produits performants, pas trop épais, esthétiques, mais aussi économiques d’un point de vue budgétaire… Dans tous ces cas de figure, la solution Myral répond parfaitement à leurs besoins spécifiques.Le groupe est aussi reconnu comme un acteur avec une expertise technique de qualité. Sa façon d’accompagner les entreprises en amont et en aval des chantiers, sa capacité d’écoute, son rôle de conseil et la forte réactivité de ses équipes en cas de problème sont bien perçues. Toutefois, la notoriété du produit est encore jeune et il y a un important travail de communication à faire…Selon votre regard, quelle est l’évolution du marché de l’ITE en France ?Stéphane Cuzzaini : Je dirais que l’on est au début du développement. Sur le marché du résidentiel qui couvre les copropriétés et les bailleurs sociaux, il y a des besoins très importants. On sent d’ailleurs maintenant une réelle volonté de lutter contre les « passoires énergétiques ». Le gouvernement a depuis peu enclenché une dynamique pour développer massivement l’isolation thermique des façades par le biais d’aides financières. Il faut dire que l’ITE est la solution idéale pour obtenir des bâtiments les moins énergivores possibles et donc réduire les dépenses énergétiques des habitants, tout en apportant un confort thermique en hiver comme en été ! En plus, on préserve la surface habitable, les chantiers sont rapides et peuvent se faire en site occupé.Et qu’en est-il des bâtiments publics et tertiaires ?Stéphane Cuzzaini : Il y a encore beaucoup à faire aussi. Aujourd’hui, sur ce marché, la plupart des bâtiments neufs sont isolés par l’extérieur… Au-delà des considérations budgétaires et des capacités thermiques, pour faire la différence, il faut être en mesure d’apporter une réponse architecturale assez forte… C’est là que les revêtements Myral entrent en jeu : pose verticale, horizontale, oblique, aspect plan, joint creux ou joint debout, un riche catalogue de finitions et de coloris… La solution Myral se décline à travers toute une gamme de rendus capable de répondre aux différentes attentes en matière d’esthétique. Je suis persuadé que sur ce plan-là en particulier, notre produit a de grandes qualités et est promis à un bel avenir.Quelle est le potentiel de votre région pour Myral ?Stéphane Cuzzaini : J’ai la chance de couvrir le quart Sud-Est de la France, notamment la région Auvergne-Rhône-Alpes qui est une belle région, très dynamique. On y trouve de gros projets et de gros acteurs du social, en particulier à Lyon… Mais je ne veux pas baser toute ma stratégie sur le social, car c’est ce que font tous nos concurrents. Je pense qu’il y a vraiment des opportunités intéressantes à saisir au niveau des marchés publics pour les écoles, les gymnases, les hôpitaux, les EHPAD… Il faut se diversifier et mener les deux de front : conserver notre position et notre part de marché sur le logement social, mais aussi aller sur le marché du tertiaire et des bâtiments publics, où l’image architecturale compte… Car je suis sincèrement convaincu qu’en terme d’esthétique, la solution Myral est capable d’apporter une vraie valeur ajoutée aux bâtiments.En outre, je vais avoir un important travail de prescription à mettre en place dans le Sud, car le recours à l’ITE y est encore peu développé pour les bâtiments résidentiels alors qu’elle permet de réduire massivement les besoins en climatisation d’un logement…Cela fait plus de deux mois que vous avez rejoint Myral. Comment avez-vous vécu votre arrivée ?Stéphane Cuzzaini : Même si elle a été perturbée par la situation sanitaire que nous subissons, je l’ai vécu de façon très positive ! Il y a vraiment un bel esprit d’équipe. J’ai pu l’observer lors d’une réunion en mars à Paris où tous les prescripteurs et les membres de l’équipe technique étaient rassemblés. Il y avait belle osmose et un esprit très participatif : les échanges entre nous ont été très féconds, que ce soit sur les supports de communication, les références chantiers… Ce qui nous a permis de déboucher collectivement sur des solutions et des améliorations. J’avais très peu d’appréhension en entrant chez Myral, mais j’ai tout de même été agréablement surpris par le professionnalisme et l’humanité de mes nouveaux collègues.Vous semblez confiant et enthousiaste de vous lancer dans cette aventure…Stéphane Cuzzaini : Je suis confiant oui, car je crois fort en notre solution d’ITE. Dans mon métier de chargé d’affaires, la réussite est vraiment liée au fait d’avoir un bon produit auquel on croit, une solution technique qui puisse répondre à toutes les réglementations aussi bien au niveau du feu, de la sismique, au niveau du type de support, que ce soit le bois, le béton… Mais aussi une solution qui entre dans des contraintes budgétaires, tout en ne lésinant pas sur la qualité des matériaux et des rendus. Le produit Myral coche toutes ces cases… Et les marchés à conquérir sont nombreux ! Alors même si la période actuelle a mis à l’arrêt le secteur, que la reprise sera progressive, et que cela nous impose de travailler différemment, je reste enthousiaste !Geoffrey Pointin : "Avec Myral j’ai tous les arguments pour répondre aux souhaits des architectes !"Geoffrey Pointin, fort de ses nombreuses années d'expérience dans le métier de la prescription d'ITE, passionné d'architecture et de design compte bien asseoir la présence de Myral dans une zone géographique jusque-là peu investie par le groupe : le quart Sud-Ouest de la France. Quel a été votre parcours professionnel avant de rejoindre Myral ?Geoffrey Pointin : Je suis dans le métier de la prescription depuis près de 15 ans. Si mon parcours professionnel est essentiellement tourné vers l’univers des façades et de l’isolation thermique, ce n’était pas le cas au tout départ. En effet, lorsque j’ai débuté dans l’entreprise Carea, mon rôle était de gérer des centrales d’achats pour vendre des éléments sanitaires aux grandes surfaces et grossiste de bricolage. Je suis entré dans la prescription d’ITE en accompagnant une collègue de l’époque dont c’était le métier ! Lorsque nous nous rendions chez les maîtres d’ouvrage, elle parlait des façades et moi de la partie sanitaire… Au fur et à mesure, passer du temps à ses côtés m’a permis de découvrir le métier de la prescription, pour lequel je me suis peu à peu passionné ! J’ai alors demandé à changer de métier et à intégrer l’équipe prescription d’ITE, où j’ai fait mes armes durant plusieurs années au contact de nombreux maîtres d’œuvre et d’ouvrage, membres de bureaux d’étude et architectes. Pendant cette période, notamment entre 2005 et 2012, j’ai eu la chance d’être sur un secteur parisien très porteur. En effet, c’était la « grande époque » des programmes en R.U. (renouvellement urbain), dont ceux de Paris intra-muros qui étaient importants en termes de volume, mais aussi très intéressants d’un point de vue architectural, parce qu’il y avait des moyens financiers… C’est une période durant laquelle j’ai pu travailler sur de très beaux projets architecturaux !Justement, vous semblez avoir une sensibilité particulière pour l’architecture… D’où vous vient-elle et comment l’avez-vous développée ?Geoffrey Pointin : J’ai toujours adoré le design et l’architecture, et même l’art en général. Au-delà du cadre professionnel, ce sont de vraies passions dans ma vie. J’ai des amis qui travaillent dans le design avec qui je passe souvent du temps, je me rends à de nombreuses expositions et j’ai la chance de voyager régulièrement, de découvrir des architectures incroyables et des projets fous sur certaines parties du globe. Au fil du temps, j’ai développé un œil acéré pour l’architecture qui m’est très utile dans mon métier de prescripteur. Il me permet d’avoir une « vision » et de saisir avec davantage de précision ce que souhaitent les architectes avec qui je collabore. Cette capacité à me projeter, je dirais que c’est ce qui fait ma particularité.Comment parlez-vous à ces architectes et comment faites-vous en sorte de respecter leur signature architecturale ?Geoffrey Pointin : Les clés ce sont : le terrain, la connaissance des dossiers locaux, la préparation des rendez-vous, la rigueur technique et une certaine capacité à se projeter, à traduire les désirs de l’architecte en solutions techniquement viables et adaptées à son projet, tout en respectant un maximum sa signature architecturale sur le plan esthétique… C’est comme ça que je vois le métier de la prescription et la relation que j’entretiens avec mes clients. En outre, ma stratégie c’est d’être présent à chaque moment, de proposer un accompagnement sur-mesure, d’être dans le conseil, la préconisation… Sans pour autant « piquer son crayon » à l’architecte ! Je fais tout mon possible pour aider ces derniers à faire de leurs projets couchés sur le papier une réalité conforme à leurs attentes, mais quand les contraintes sont trop nombreuses, mon travail m’impose aussi de savoir leur dire non et leur proposer les meilleures alternatives.Comment avez-vous connu le groupe Myral et sa solution d’ITE ?Geoffrey Pointin : Il y a quelques années, je me suis installé sur Brive-la-Gaillarde afin de travailler sur la région Sud-Ouest, avant de revenir faire des allers-retours hebdomadaires sur Paris. Et dès 2016, dans la Capitale, c’est simple : Myral était sur toutes les lèvres ! Je me suis rendu compte que les architectes parlaient énormément de la solution M32, vantant notamment sa vitesse de mise en œuvre, le fait qu’elle entre beaucoup plus facilement dans les budgets des maîtres d’ouvrage car plus économique, l’efficacité de son pouvoir isolant mêlé à la minceur record de ses panneaux… Et autant dire que j’étais bien embêté ! La solution Myral alignait tous les bons arguments, tandis que moi, chez Carea, je me retrouvais à devoir vendre une solution aux caractéristiques similaires, certes, mais bien plus chère : 30 euros du m² de plus en moyenne par rapport à ce produit. Donc quand on est sur Paris et qu’on a des dossiers qui ont entre 5 000 et 6 000 m² de façades à revêtir, si on multiplie par 30, le calcul est vite fait !Qu’est-ce qui vous a conduit d’intégrer Myral ?Geoffrey Pointin : Après plusieurs années, en tant que chef des ventes à gérer de grands comptes, j’avais le sentiment d’avoir fait le tour. L’échange avec Sylvain Bonnot (PDG du groupe Myral) a fait pencher la balance. J’étais déjà convaincu du produit et nous avons évoqué un poste où je pouvais avoir l’assurance de bénéficier d’un budget et du soutien de la hiérarchie pour développer la prescription dans ma zone géographique et une grande liberté d’action. En plus, j’étais très rassuré du fait que le patron affiche une vision et un cap, qu’il sache clairement où il veut mener l’entreprise. Le pôle R&D de Myral fournit aussi un travail remarquable, notamment autour du risque incendie et des démarches environnementales, qui sont impératives à prendre en compte aujourd’hui. Globalement le groupe nourrit de très belles ambitions et va, selon moi, dans le bon sens.Du coup, quand vous êtes entré dans la société il y a un peu plus d’un mois, avez-vous été conforté dans ce choix ?Geoffrey Pointin : Oui pas de surprise : c’est 100 % conforme à l’image humaine et professionnelle que je m’en faisais. Ce que je trouve génial avec Myral, c’est que c’est un groupe français avec un site de production basé en France, à Is-sur-Tille en Côte-d’Or. Nos lignes de production sont assez high-techs, avec une réflexion de fabrication qui est assez pertinente… Nous n’avons vraiment pas à rougir de notre solution et de nos infrastructures : je sais d’ores-et-déjà que je pourrais faire visiter une belle usine à des maîtres d’ouvrage français et leur présenter un produit innovant. Sans plébisciter Myral outre-mesure, il n’y a pas beaucoup de sociétés capables de proposer cela. En outre, bien que ce soit une « petite » entreprise, le groupe est bien structuré. Ses équipes, notamment celle chargée de la prescription, sont solidement mises en place et font preuve d’un grand professionnalisme : j’ai eu l’occasion de m’en rendre compte en allant tourner avec Pierre Guerrero (chargé de prescription dans le Grand-Est et l’Île-de-France). Au-delà de la très bonne entente qui est née entre nous lors de ce déplacement, sa connaissance impressionnante du métier m’a aussi marqué. Bref, même si je n’avais pas d’appréhension particulière avant mon entrée chez Myral, tout ça est très rassurant.Quel est le potentiel de développement dans votre secteur géographique : le Sud-Ouest de la France ?Geoffrey Pointin : Il y a encore tout à faire ! Dans le Sud-Ouest comme partout en France, le parc de réhabilitation de logements est énorme, le marché est donc très porteur pour le prescripteur d’ITE que je suis. Chez Myral nous avons un très bon positionnement pour ce qui est de la rénovation : nous proposons des bardages parmi les moins chers du marché et les plus rapides à mettre en œuvre. Au niveau du prix fourniture et pose, nos revêtements de façades se rapprochent de l’enduit mince sur isolant, notamment du fait de l’absence d’ossature, mais évidemment avec une pérennité, un rendu esthétique et une image architecturale sans commune mesure !Et en ce qui concerne la construction dans le neuf ?Geoffrey Pointin : Le potentiel-marché est tout aussi important. Bordeaux et Toulouse, les deux principaux centres urbains de mon secteur géographique, sont des villes réputées en France pour être attractives et attirer beaucoup de nouveaux habitants, par conséquent, un grand nombre de bâtiments neufs vont y être bâtis… Et je sais que grâce à la solution Myral, j’aurai tous les arguments pour me positionner sur ces nouveaux projets.Enfin, il y a des secteurs sur lesquels le groupe est encore très peu positionné, comme celui des bâtiments tertiaires. Je compte bien développer notre présence sur cette typologie de chantier, au même titre que les bâtiments publics et les logements individuels/collectifs, car là-aussi, le champ de développement est très important.À vous entendre, vous semblez assez confiant et déterminé !Geoffrey Pointin : Le métier de la prescription est exigeant certes, mais aussi très passionnant car nous avons la chance de rencontrer des gens différents tous les jours, de participer à de beaux projets auprès d’architectes talentueux. Comme je l’ai déjà dit plus tôt, le marché de l’ITE a de beaux jours devant lui partout en France, notamment dans le Sud-Ouest. Étant le premier chargé de prescription Myral assigné à cette zone géographique, le « territoire » est donc tout entier à conquérir ! Les perspectives sont vraiment enthousiasmantes et je suis d’autant plus motivé que j’ai entre les mains un produit en lequel je crois. J’ai la certitude de posséder toute une panoplie de vrais arguments pour répondre aux besoins et aux exigences des architectes, sur les plans technique, esthétique, économique, avec en plus une production Made in France : un argument qui compte à l’heure où la reprise économique post-Covid19 viendra du soutien aux entreprises nationales. D’ailleurs, j’invite les acteurs de la maîtrise d’ouvrage et de la maîtrise d’œuvre du Sud-Ouest à visiter notre usine !
Il y a 4 ans et 313 jours

Signature de la convention de programme ACTEE 2 et nouvel appel à projets SEQUOIA

Le programme ACTEE 2 est doté d'un budget de 100 millions d'euros (grâce au dispositif des certificats d'économie d'énergie) pour soutenir les collectivités afin d'accélérer la transition énergétique et dynamiser ainsi la commande publique. Ce programme s'inscrit pleinement dans les objectifs du plan de relance : les travaux générés vont créer de l'activité dans les territoires et impulser des actions. En moyenne, un euro versé par ACTEE génère plus de dix euros d'investissement.Le programme ACTEE 2 vise à faciliter le développement des projets d'efficacité énergétique et de substitution d'énergies fossiles. Il privilégie les systèmes énergétiques efficaces, les énergies renouvelables et de récupération pour les bâtiments publics en France métropolitaine (Corse comprise) et dans les Départements et régions d'outre-mer (DROM). Il associera de manière large à sa gouvernance les associations de collectivités ainsi que les principaux acteurs en faveur de la rénovation énergétique des bâtiments publics.Le programme ACTEE 2 se fonde sur :La mise en place d'une démarche générale de mise à disposition d'outils au service des collectivités, comprenant des guides, cours en ligne, un parcours de formation avec labélisation des économes de flux ACTEE (experts de terrain mutualisés pour la rénovation énergétique), des documents contractuels cadres (cahiers des charges types), des outils innovants. La mise en place d'une cellule de soutien pour répondre aux questions des collectivités va permettre de les accompagner de manière soutenue dans leur projet de rénovation énergétique ;La mutualisation des projets d'efficacité énergétique, proposée par les collectivités (communes, syndicats mixtes, établissements publics de coopération intercommunale) et autres acteurs de terrain, agrégeant les activités dans ce domaine et dans leur périmètre, permettant un effet de levier mutualisé dans les territoires ;C'est dans ce cadre que des appels à manifestation d'intérêt (AMI) sont lancés : ceux-ci ont pour objectif d'apporter des fonds du programme aux acteurs proposant cette mutualisation.Favoriser la coopération entre les collectivitésÀ l'heure où la question de l'obligation de rénovation énergétique des bâtiments publics comme privés fait l'objet de débat, la FNCCR lance un nouvel appel à projets intitulé SEQUOIA « Soutien aux Élus (locaux) : Qualitatif, Organisé, Intelligent et Ambitieux » à destination des collectivités désireuses de s'engager pour l'efficacité énergétique de leur patrimoine (bâtiments municipaux, mairies, écoles, salles des fêtes, gymnases…). À l'issue des élections municipales, de nouvelles équipes élues pourront donc initier des projets de rénovation ambitieux grâce au dispositif.L'objectif premier de l'AMI SEQUOIA est d'apporter un financement dédié aux coûts organisationnels liés aux actions d'efficacité énergétique des bâtiments des collectivités, pour les acteurs publics désireux de consommer moins et mieux (mutualisation des projets de territoire permettant de massifier les actions de réduction des consommations énergétiques des collectivités).Le second objectif de l'AMI est de créer des coopérations entre établissements publics agrégateurs d'actions d'efficacité énergétique, en impulsant des dynamiques locales d'efficacité énergétique et bas carbone.Il sera suivi en septembre prochain d'un AMI à destination du secteur de la santé : l'AMI CHARME : « Centres Hospitaliers en Action, Retraites en Mouvement : pleins d'Enjeux ! »Les entités pouvant candidater à ces nouveaux AMI sont :Les collectivités territoriales : communes, départements, régions ;Les établissements publics locaux (EPCI, métropoles et pôles métropolitains, communautés (CC/CA/CU), syndicats intercommunaux) ;Les syndicats d'énergie ;Des partenaires publics locaux des collectivités, comme les ALEC et les AREC.Les grandes étapes de l'AMI SEQUOIALancement le 30 juin 2020Clôture de la première sélection le 10 novembre 2020Jury le 2 décembre 2020Remise des prix début décembre 2020 lors du colloque ACTEEClôture de la deuxième sélection le 29 janvier 2021Jury le 24 février 2021Remise des prix début mars 2021Pour rappel : les lauréats d'ACTEE 1 - 2019 AMI pilote : http://www.fnccr.asso.fr/article/laureats-de-lappel-a-pilotes-actee/AMI CEDRE : http://www.fnccr.asso.fr/article/remise-des-prix-actee/
Il y a 4 ans et 335 jours

Au billard à trois bandes, Bouygues le plus malin de la bande des trois ?

Alors que Bouygues, dans les choux lors du concours pour le village olympique en décembre 2019, semblait avoir raté le coche des jeux olympiques, voilà qu’après la piscine c’est le gymnase olympique qui lui échoit. Ces deux victoires coup sur coup éclairent d’un œil nouveau la déconfiture supposée du match aller. Coup de pot ou […] L’article Au billard à trois bandes, Bouygues le plus malin de la bande des trois ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 340 jours

Le monde d'après : l'architecte japonais Shigeru Ban appelle à repenser les habitats d'urgence

En cas de séisme, tsunami, violente tempête ou inondation dans un contexte pandémique, "les centres d'évacuation représenteraient des lieux à haut risque" d'infections en raison des attroupements de gens, avertit l'architecte de 62 ans interrogé par l'AFP."Gérer la situation avec quelques jours de retard serait rédhibitoire", ajoute-t-il, recommandant par conséquent d'anticiper des infrastructures adaptées.Lui et ses équipes ont conçu des espaces individuels, cloisonnés par des tentures suspendues à de longs tubes en papier: un système spartiate mais souple, récemment testé dans un gymnase de la ville de Yokohama (sud-ouest de Tokyo) pour héberger des personnes démunies lors de la crise du Covid-19.Les autorités japonaises par exemple ont été tellement accaparées par la crise sanitaire qu'elles n'ont pas anticipé le scénario d'une catastrophe naturelle en période de pandémie, selon l'architecte: "C'est seulement récemment que les gens ont commencé à se demander ce qu'il faudrait faire en cas de séisme"."Je sais que ce n'est pas facile mais je pense que nous devons y réfléchir", insiste-t-il.Lauréat du prix Pritzker en 2014, la plus prestigieuse récompense en architecture, Shigeru Ban propose des solutions innovantes d'habitat d'urgence depuis plus d'un quart de siècle et aux quatre coins de la planète, du Japon à la Turquie en passant par Haïti et le Rwanda.Ému par le printempsIl est notamment connu pour sa "cathédrale de carton" de Christchurch, structure semi-temporaire construite après le séisme dévastateur de 2011 en Nouvelle-Zélande.Mais il a aussi conçu des bâtiments permanents, comme en France le musée d'art contemporain Centre Pompidou-Metz ou la salle de spectacle La Seine Musicale à Boulogne-Billancourt, avec son associé Jean de Gastines.En mars, Shigeru Ban devait justement s'envoler pour Paris, où son bureau européen est installé, mais a renoncé en dernière minute à son déplacement devant le confinement imminent de la France.Depuis, il n'a pas cessé de travailler, sept jours sur sept: son bureau à Tokyo n'est qu'à cinq minutes à pied de son domicile."Je ne fais rien d'autre que travailler. Je n'ai pas de loisirs et je ne fais rien de spécial à cause de la situation dans laquelle nous sommes".Ce temps suspendu est toutefois aussi l'occasion pour lui de poser son regard sur la nature environnante et le rythme des saisons au Japon, pour la première fois depuis une éternité."C'est probablement la première fois depuis 16 ans que je reste au Japon pendant plus d'un mois d'affilée. J'ai été très ému par la beauté de l'arrivée du printemps", confie-t-il.Mirages de la technologieMais le travail sur le terrain lui manque. "Il est dangereux d'essayer de tout résoudre avec la technologie. Il est faux de croire que l'on n'a pas besoin de se rencontrer en personne parce qu'on a la vidéoconférence", prévient-il."Faire des modèles 3D sur ordinateur n'a rien à voir avec le fait de créer une véritable maquette ou de fabriquer un objet avec les matériaux en main", ajoute-t-il. "Il faut pouvoir être capable de créer en ressentant les matières et leur poids".Il déplore aussi le manque d'ouverture sur le monde des étudiants japonais, une attitude risquant de se renforcer encore avec la pandémie selon lui."Ce serait vraiment grave si les étudiants japonais se repliaient sur eux-mêmes et n'allaient plus à l'étranger sous prétexte qu'ils sont bien au Japon. C'est ce qui me préoccupe le plus"."Il faut plus que jamais se tourner vers l'extérieur, se mélanger et échanger avec des personnes différentes", insiste celui qui a étudié l'architecture aux Etats-Unis.Le Japon a été relativement épargné par la pandémie, avec environ 17.000 cas de contamination recensés et 900 morts depuis le début de la crise sanitaire.L'état d'urgence avait été déclaré par le gouvernement en avril, et a été levé par étapes à partir de la seconde quinzaine de mai.
Il y a 4 ans et 342 jours

La construction de l'Arena 2 pour les JO Paris-2024 est confiée à Bouygues

Le coût de construction de cet équipement, qui accueillera les épreuves de badminton lors des jeux olympiques (26 juillet-11 août 2024), puis de para taekwondo et de para badminton pendant les jeux paralympiques (28 août-8 septembre), s'élève à ce stade à 98 millions d'euros HT en valeur 2020, financé à 50% par l'État, la ville de Paris et la région Ile de France à travers la Solideo, la société publique qui supervise les chantiers des JO, et à 50% par la ville de Paris sur son budget propre.La ville de Paris précise qu'elle ajoutera 20 millions d'euros HT pour "la conception-réalisation" de deux gymnases intégrés à l'arena, pour le sport amateur, ainsi que 7,2 millions d'euros HT pour financer un programme d'activités de proximité, de loisirs et de commerces.Au-delà des JO, l'arena, d'une capacité de 8.000 places assises, située entre les portes de la Chapelle et d'Aubervilliers, sera le lieu de résidence du Paris Basketball, le club de la capitale qui évolue en ProB et a l'ambition de devenir une équipe de premier plan sous la houlette de son président américain, David Kahn, ancien patron d'une franchise NBA (Minnesota Timberwolves).La salle pourra aussi accueillir des concerts, des spectacles ou des congrès.Selon la mairie de Paris, la commission d'appel d'offre "a attribué le 25 mai le marché global de conception, réalisation et exploitation technique (...) au groupement mené par Bouygues Bâtiment Île-de-France et les agences d'architecture SCAU et NP2F".Terrasse verteBouygues, en concurrence pour l'arena avec un duo Vinci-Eiffage, a déjà remporté fin avril le marché de construction et d'exploitation du centre aquatique olympique à Saint-Denis, dont la facture totale s'élève à 174,7 millions d'euros. Le groupe continue donc de prendre sa revanche, après avoir perdu la bataille du marché de construction du village olympique, toujours à Saint-Denis.Pour l'arena, la mairie met en avant les "qualités architecturale, paysagère, fonctionnelle et environnementale" du projet, qui se distingue notamment par un socle vitré et une terrasse végétalisée."L'exploitation commerciale se fera via une délégation de service public actuellement en cours d'instruction", précise la mairie. Les travaux doivent démarrer en juin 2021.La pandémie de Covid-19 créé des inquiétudes sur le coût des chantiers et l'organisation des JO de Paris-2024. La ministre des Sports, Roxana Maracineanu, avait averti début mai qu'il y aurait "sans doute" des "dépassements" de coûts.Le budget des JO de Paris-2024 se décompose en deux parties: d'une part, le volet des équipements pérennes (centre aquatique olympique, village des athlètes) s'élève pour l'heure à 3 milliards d'euros, dont environ 1,6 milliards d'euros d'investissements publics (Etat et collectivités) en valeur 2016 et hors taxes; d'autre part, le volet de l'organisation, géré par le Comité d'organisation des JO (Cojo), s'élève à ce stade à 3,8 milliards d'euros, financés par des recettes privées (sponsors, billetterie, contribution du CIO). Pour le Cojo, une révision budgétaire est attendue fin 2020-début 2021.
Il y a 4 ans et 346 jours

Le PIB français a chuté de 5,3% au premier trimestre, un record

L'Insee, qui avait fin avril estimé à -5,8% la baisse du produit intérieur brut au premier trimestre, a revu vendredi l'ampleur du recul de l'économie française, finalement un peu moins dramatique que calculé au départ.A -5,3%, la chute du PIB égale néanmoins celle enregistrée lors du deuxième trimestre de l'année 1968, marqué par les grèves massives de la seconde quinzaine de mai. Et elle confirme l'entrée de la France en récession, après le recul de -0,1% de l'activité au dernier trimestre 2019.Dans le détail, au premier trimestre, selon les nouvelles estimations de l'Insee, toutes les composantes de l'économie ont finalement un peu moins dégringolé qu'évalué lors de sa première estimation.Les dépenses de consommation des ménages ont bien connu une "baisse inédite" de -5,6%, quand l'Institut les avait d'abord évalué en recul de -6,1%. Même chose pour l'investissement des entreprises (-10,5%) ou pour l'évaluation des exportations (-6,1%) et des importations (-5,7%). Le solde du commerce extérieur a finalement un impact nul sur le PIB au premier trimestre.Mais la situation devrait s'aggraver considérablement au deuxième trimestre, avec un mois et demi de confinement et un début de déconfinement progressif depuis le 11 mai.L'Insee a déjà prévenu mercredi qu'elle tablait sur un plongeon de l'économie française d'environ -20% au deuxième trimestre. Et la récession dépassera largement cette année les -8% envisagé par le gouvernement pour l'instant.Ce dernier devrait d'ailleurs dévoiler sa nouvelle prévision lors d'un troisième budget rectificatif, qui sera présenté le 10 juin en conseil des ministres."J'ai toujours indiqué que les 8% de chute de croissance étaient un chiffre provisoire (...) Il faut nous attendre à des chiffres de récession très dégradés pour 2020 en France", a prévenu mercredi le ministre de l'Économie Bruno Le Maire.Premier signe avant-coureur: la consommation des ménages a fondu d'un tiers au mois d'avril par rapport à celle de février, juste avant la crise sanitaire, et de plus de 20% par rapport au mois de mars, a indiqué vendredi l'Insee.Et le moral des ménages s'est encore dégradé en mai après sa chute record d'avril.Reprise "progressive"Seule petite éclaircie: le climat des affaires a enrayé sa chute en mai, encouragé par le début du déconfinement qui a permis à la plupart des entreprises de reprendre leur activité et aux commerces d'accueillir de nouveau des clients en magasin.Jeudi, le Premier ministre Édouard Philippe a aussi annoncé une accélération du déconfinement, avec notamment la réouverture à partir du 2 juin des cafés et restaurants dans les départements "verts", la levée de l'interdiction de se déplacer à plus de 100 km de son domicile, ou encore la réouverture des piscines, salles de sports, gymnases, salles de spectacles et cinémas à partir du 22 juin.Mais l'Insee a déjà prévenu que si l'économie française "s'efforce (...) de reprendre son souffle", elle "refait surface dans un monde qui n'est plus exactement le même qu'avant la crise sanitaire".La reprise sera "au mieux progressive au second semestre", a-t-elle estimé mercredi.
Il y a 4 ans et 347 jours

SimonsVoss choisi par la Mairie de Gennevilliers pour contrôler l'accès des bâtiments de la commune

Gennevilliers, une ville ancrée dans l'économie sociale et solidaireSituée au nord-ouest de Paris, la ville de Gennevilliers se caractérise par une forte dynamique économique et industrielle. Son port fluvio-maritime, premier en France et deuxième en Europe, contribue au rayonnement du territoire. Avec un passé industriel omniprésent, aujourd'hui 70% de la ville repose sur des activités industrielles. Avec la densité de diverses entreprises de secteurs variés, qui offrent plus 45 000 emplois, Gennevilliers dispose de véritables atouts économiques.Sur le plan de l'économie sociale et solidaire, la ville encourage activement, à travers son panel d'actions, le développement d'emplois auprès de nombreuses entreprises d'insertion, associations, mutuelles et fondations.Rendre son territoire encore plus attractif auprès des acteurs économiques, citoyens et futurs habitants fait partie de ses priorités. Celle-ci passe par la mise en place des mesures de sécurité plus efficace pour les établissements recevant du public (ERP) : bâtiments administratifs et associatifs, scolaires et résidentiels.La sécurité des établissements scolaires avant toutPour protéger ses concitoyens, ainsi que son personnel et ses biens, la ville a décidé de renforcer la sécurité de ses bâtiments en y installant une solution de contrôle d'accès. La Mairie avait ainsi choisi d'équiper en premier lieu les établissements scolaires, en commençant par le site Anatole France composé de deux écoles élémentaires et d'une école maternelle avec un centre de loisirs, d'un gymnase et d'une crèche. Il y a environ 6 ans, les produits SimonsVoss ont pu être testés pour la première fois. Convaincue par la qualité et la fiabilité des fermetures, la Mairie, sous la direction de Monsieur Philippe Robert, a décidé d'intégrer les produits SimonsVoss dans le cahier des charges pour de futures installations.A ce jour, le site Anatole France est presque entièrement équipé de SmartRelais2 pour les accès extérieurs et de SmartHandle numériques, soit environ 40 portes et issues. Parallèlement, la même solution était posée dans le conservatoire et l'espace Grésillons, un important complexe communal à vocation éducative et culturelle. Après les établissements scolaires et culturels, la Mairie, où travaillent 1500 fonctionnaires, a décidé de s'équiper à son tour. Le service informatique, social et le service pour les missions locales sont les premiers bénéficiaires.Au total, la Mairie a équipé plus de 600 portes et une vingtaine de bâtiments, les parcs et jardins compris, soit au total près de 1500 identifiants attribués. Le lecteur mural SmartRelais installé dans les bâtiments fonctionne avec les SmartCards qui font partie des supports de fermeture passifs. Quant aux parcs et jardins qui requièrent des fermetures avec plus d'autonomie, l'ouverture de portail se fait grâce au transpondeur fonctionnant avec piles et qui dispose d'une autonomie d'environ 400 000 manœuvres.« Le système de contrôle d'accès numérique SimonsVoss offre sécurité, confort et rentabilité. La distribution et la gestion complexe des clés, avec notamment le coût de reproduction en cas de perte, font désormais partie du passé. La gestion centralisée par logiciel a des atouts importants pour une institution comme la mairie. En cas de perte ou de vol d'un badge, il suffit de désactiver le droit d'accès à distance, ceci en quelques clics », précise Philippe Robert, Responsable Services bâtiments, Mairie de Gennevilliers. « Nous avons également été séduits par la qualité des produits et par la simplicité de leur installation : sans câblage ni perçage », ajoute M. Robert.Partenaire de confiancePour mener à bien le projet avec la Mairie de Gennevilliers, SimonsVoss a pu compter sur l'expertise de son partenaire de longue date, M4S. Entreprise spécialisée dans le milieu de la serrurerie, M4S possède une expertise sur les produits SimonsVoss et est capable de gérer des projets de bout en bout : poser les systèmes et les antennes, programmer le logiciel, assurer les mises à jour... Son objectif est d'atteindre rapidement la certification « Network » du KeylessWorld Partner Program de SimonsVoss Technologies (lancée en janvier 2020) afin d'avoir une complète autonomie sur les solutions installées.« M4S est fier de partager cette aventure avec SimonsVoss en mettant en service ses systèmes de contrôle d'accès. Nous allons prochainement accompagner la Mairie dans l'installation de la gamme SmartHandle AX sur ses futures constructions : agrandissements de certaines écoles, une nouvelle crèche, construction du groupe scolaire Joliot Curie et d'une maison de culture », déclare Ilan Malet, Directeur général de M4S.
Il y a 5 ans et 34 jours

A Mennecy, le gymnase intercommunal est Aconcept

L’agence Atelier Aconcept, basée à Evry (91) signe la conception d’un gymnase intercommunal sur la ZAC de Montvrain II à Mennecy (Essonne). D’une surface de 2000 m², pour un budget estimatif de 4,3 M€, l’ouvrage sera suspendu en R+1, créant […] L’article A Mennecy, le gymnase intercommunal est Aconcept est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 37 jours

Atelier Aconcept lauréat du projet de gymnase intercommunal à Mennecy (91)

Atelier Aconcept signe la conception d'un gymnase intercommunal sur la ZAC de Montvrain II à Mennecy (91).
Il y a 5 ans et 45 jours

Un gymnase intégré dans les espaces paysagers urbains

Atelier Aconcept signe la conception d’un gymnase intercommunal à Mennecy (91). L’objectif du projet est de valoriser le cadre de vie et l’environnement, le tout en intégrant parfaitement le gymnase dans le contexte paysager des espaces urbanisés qui l’entourent. Atelier Aconcept a identifié les différents besoins de transparence, innovation et convivialité. Le parti pris architectural repose sur la volonté de proposer un projet fonctionnel et générateur de vie, aussi bien en extérieur qu’en intérieur. L’une des spécificité du gymnase consiste dans le choix d’avoir conçu la salle omnisport en R+1, invitant ainsi à la rencontre et permettant la mutliplication des usages en plein air mais couverts par la partie supérieure. Les formes simples de l’ensemble offrent les meilleures réponses aux besoins fonctionnels d’un espace dédié au sport, tout en offrant une large surface végétalisée. Maître d’ouvrage : Ville de MennecyArchitecte : Atelier AconceptVisuel : Artefactory
Il y a 5 ans et 58 jours

Extension du centre sportif Alain Mimoun, par aEa. Médaille d’or ?

L’agence d’architecture Engasser & associés (aEa – Gaétan Engasser) a livré en février 2020 à Montmagny (Val-d’Oise), pour la ville de Deuil-la-Barre maître d’ouvrage, l’extension du complexe sportif Alain Mimoun. Une salle de gymnastique/escalade, une salle de danse et leurs […] L’article Extension du centre sportif Alain Mimoun, par aEa. Médaille d’or ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 166 jours

Les tribulations d’un architecte, Dominique Lyon, à Asnières

C’est un complexe sportif de 4 000 m² à Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine) pourtant au départ pas complexé du tout. D’ailleurs son nom est Aréna Teddy Riner, c’est dire. A le découvrir lors d’une grise matinée d’automne, l’ouvrage signé Dominique Lyon, en […] L’article Les tribulations d’un architecte, Dominique Lyon, à Asnières est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 174 jours

Ropa & Associés Architectes livre le nouveau gymnase du collège Marguerite Duras à Colombes

Le sinistre qui a ravagé le gymnase du nouveau collège Marguerite Duras en 2010 a laissé place à un horizon dégagé. La démolition nécessaire de toutes les fondations de l’ancien gymnase rendue obligatoire en raison des procédures, devait conduire à excaver la quasi-totalité du terrain. Cela à permis aux architectes de définir un projet basé sur une « logique d’excavation » avec une architecture partiellement enterrée.
Il y a 5 ans et 174 jours

Logique d’excavation pour un gymnase selon Bernard Ropa

En décembre 2018, l’agence Ropa & Associés Architectes a livré à Colombes (Hauts-de-Seine) le gymnase du collège Marguerite Duras, un programme de reconstruction du gymnase et de quatre classes relais (2 100m², 5,5 M€ HT). Un bâtiment enfoui qui propose […] L’article Logique d’excavation pour un gymnase selon Bernard Ropa est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 180 jours

Un séisme au Teil de magnitude 5,4 sur l'échelle de Richter fait d'importants dégâts

L'accueil dans des gymnases sera reconduit mardi soir au Teil (Ardèche) après le séisme qui a durement touché lundi cette commune, a annoncé la préfète Françoise Souliman, qui a promis un relogement de tous les sinistrés "demain soir".
Il y a 5 ans et 199 jours

DTA pour toiture chaude en zinc

Le système de Toiture Structurale de VMZINC est la seule solution de toiture chaude en zinc du marché pour des bâtiments de faible à moyenne hygrométrie. Sous Atex depuis trois ans, ce système s’est vu valider un nouveau DTA par le CSTB et le GS 5.1 de la CCFAT pour sa solution avec isolant d’épaisseur maximale totale de 260 mm. Une certification obtenue après la mise en œuvre de plus de 50 000 m2 de projets et qui confirme sa fiabilité. Le système garantit une pose optimale et directe du zinc sur isolant, réduisant ainsi l’épaisseur totale du complexe en comparaison à une toiture traditionnelle à épaisseur d’isolant égale. Il se compose d’une couverture ZINC PLUS à joint debout et d’un isolant en laine minérale rigide, de 50 mm à 260 mm d’épaisseur. L’ensemble est rapporté sur support en bac acier ou bois avec pare-vapeur. Le ZINC PLUS est protégé en sous face par une laque composite de 60 microns. Gymnase, St-Bel (France) – Architecte : Atelier de la Passerelle – Crédit photo VMZINC  
Il y a 5 ans et 214 jours

Myral participe à la réhabilitation thermique et esthétique du centre sportif Gilbert Noël (94)

La nouvelle structure du gymnase Gilbert Noël a été pensée par le cabinet Chabanne & Partenaires, mariant 2 matériaux : l'acier et la pierre. Ce projet a permis d’adapter le parement Myral M32, d'une longueur de 12 mètres, en une seule pièce, permettant ainsi une pose rapide et efficace.
Il y a 5 ans et 223 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE MINI LUMAZ, UN LUMINAIRE LINÉAIRE LED RÉFLECTEUR POUR UN ÉCLAIRAGE OPTIMAL !

EAS Solutions, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, lance MINI LUMAZ, un nouveau linéaire LED avec réflecteur qui allie un haut rendement lumineux à une faible consommation énergétique pour un éclairage LED optimal. Conçu et fabriqué en France, le linéaire LED MINI LUMAZ possède une efficacité lumineuse de 120 lm/W, une durée de vie de 54 000 heures et un driver séparé pour une maintenance facilitée. Equipé de leds très haut rendement, le luminaire LED MINI LUMAZ possède un flux lumineux de 4200 lm et une puissance allant jusqu’à 35 W. Il est disponible en deux longueurs, 120 cm et 150 cm, avec ou sans réflecteur. A noter qu’avec son dépoli « miroir », le réflecteur accroît le rendement lumineux et apporte un grand confort visuel sans aucun éblouissement. Particulièrement robuste (réflecteur et corps en aluminium), le linéaire LED MINI LUMAZ fonctionne de -20° à +50°C. Son alimentation TRIDONIC déportée avec option DALI, est auto-protégée (avec coupure et réamorçage automatique en cas de surintensité et surtension jusqu’à 264 V) et résiste aux microcoupures. Avec un indice de rendu de couleur (IRC) de 80 (IRC 90 en option) et une température de couleur de 4000K (3200K et 5000K en option), il convient aussi bien à l’éclairage industriel de zones logistiques et d’usines qu’à celui d’espaces de circulation et d’infrastructures telles que les gares, aéroports, passerelles, gymnases, parkings… Le luminaire LED MINI LUMAZ d’EAS Solutions permet d’économiser plus de 80% d’énergie et est garanti 5 ans. A propos d’EAS Solutions EAS Solutions, spécialiste des éclairages LED professionnels, innove avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligent. EAS Solutions sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 5 ans et 241 jours

Réhabilitation thermique et esthétique du centre sportif Gilbert Noël à Saint-Maur-des-Fossés

La nouvelle structure du gymnase Gilbert Noël a été pensée par le cabinet Chabanne & Partenaires, mariant 2 matériaux : l’acier et la pierre. Ce projet a permis d’adapter le parement Myral M32, d’une longueur de 12 mètres, en une seule pièce, permettant ainsi une pose rapide et efficace. Le rendu donne une planéité parfaite au bâtiment grâce a son isolation, aux fixations invisibles et aux choix de finitions très variés dans les différentes gammes que développe la société Myral. Une première base en pierre basalte noire constitue le rez-de-chaussée du gymnase. Un second bâtiment (la salle omnisports), de forme rectangulaire, s’est paré d’une enveloppe en acier blanc irisé, reflétant le ciel et les arbres.
Il y a 5 ans et 283 jours

Pilotage énergétique des établissements publics

Les collectivités ont un devoir d’exemplarité en ce qui concerne la transition énergétique. C’est pourquoi, le management de l’énergie des bâtiments appartenant aux collectivités, devient un enjeu majeur. Avec quels moyens est-il possible de faire du monitoring multisite sur des établissements aux consommations si différentes ? Green Systèmes propose la Green Solution, logiciel de pilotage énergétique. Quels enjeux énergétiques pour les collectivités ? La collecte des données énergétiques. Les collectivités sont en charge de nombreux établissements : piscines, gymnases, écoles, crèches, salles communes… Tous ces bâtiments ne consomment pas de la même façon et surtout n’ont pas les mêmes besoins en matière de pilotage énergétique. En effet, une mairie aura simplement besoin de mesurer le taux de CO2, la température et contrôler l’éclairage tandis que les crèches par exemple, sont soumises à des obligations réglementaires. La surveillance de la qualité de l’air pour les occupants, l’hygrométrie, le taux de CO2 et température. De plus, ces établissements ne font pas forcément appel aux mêmes fournisseurs d’énergie ce qui rend la collecte de données énergétiques complexe pour les collectivités. Il en devient donc difficile de déceler les différents gisements d’économie énergétique et financier sans l’aide d’un outil dédié. Répondre au plan climat-énergie territorial Le plan climat-énergie territorial (PCET) correspond à une démarche de développement durable, obligatoire, axée sur la qualité de l’air, de l’énergie et du climat. La loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte a donc renforcé le rôle des collectivités territoriales dans la lutte contre le changement climatique. Cependant, impossible de mettre en place un plan climat-énergie efficace sans réellement connaître la consommation énergétique des différents bâtiments. Quelle solution de collecte énergétique pour les collectivités ? Green Systèmes propose une solution qui répond aux différents enjeux des collectivités, la Green Solution. Logiciel de management énergétique, il restitue les données multi-fluides de plusieurs bâtiments en temps réel et à distance. La Green Solution propose un tableau de bord personnalisable et évolutif selon les établissements qui permet de piloter la consommation d’énergie, d’être alerté en cas de fuite ou de dysfonctionnement et surtout de réaliser des économies énergétiques et financières. Pour plus d’informations sur la Green Solution, contactez-nous.
Il y a 6 ans et 5 jours

Saguez & Partners : Lab 114

Installé au sein de l'espace de pro-coworking Wellio Paris Montmartre, dans le 18ème arrondissement de la capitale, le Lab114, conçu par les équipes de Saguez & Partners, accueille les collaborateurs d'Orange dans un espace inspiré du monde du sport où le bureau traditionnel n'a pas sa place. Fini les box et autres open-space bruyants, place aujourd'hui à l'environnement de travail 2.0 ! Etendu sur 1 500 mètres carrés, le dernier projet de Saguez & Partners accueille les employés d'Orange dans un cadre unique inspiré du monde du sport et de ses valeurs : esprit d'équipe, dépassement de soi, efficacité et aspect ludique se mêlent dorénavant au milieu tertiaire. L'ensemble, flexible et modulable, répond aux anciens et nouveaux besoins des travailleurs. Situé au premier étage d'un ancien bâtiment manufacturier du 18ème arrondissement parisien, le Lab 114 est organisé autour d'un playground modulable d'environ 550 mètres carrés dont les marquages au sol, les couleurs tranchées et la signalétique renvoient à l'esthétique d'un gymnase. Un large espace qui se divise lui-même en plusieurs zones : le « Green », qui constitue la majeure partie de l'ensemble, est un lieu hybride modulable doté de panneaux blancs sur roulettes – qui font office de cloisons et de tableaux blancs – pouvant être utilisé comme salle de réunion, de travail, de réflexion etc. Ajouté à cela, la « Tribune », dissimulée derrière des portes coulissantes, est un amphithéâtre pouvant accueillir jusqu'à 90 personnes quand d'autres espaces répondent à des fonctions et besoins plus spécifiques : le « Labo », un espace de créativité ou encore la « Core Team », un bureau d'étude lié à la programmation du lieu. Une offre originale et ancrée dans les problématiques actuelles qui est agrémentée d'espaces de coworking ouverts à tous, de box plus traditionnels et d'une « Buvette », lieu de détente et de restauration au mobilier confortable et aux couleurs chaleureuses, accueillant aussi bien les employés en pause que ceux en quête d'un espace de réunion informel. Une nouvelle ère s'annonce. Pour en savoir plus, visitez le site de Saguez & Partners Photographies : DR
Il y a 6 ans et 17 jours

archi5 et Tecnova Architecture : Complexe sportif La Fontaine

Qu'est ce donc que cet édifice aux éclats cuivrés installé dans le quartier de La Fontaine à Antony (92) ? Fruit de la collaboration des agences archi5 et Tecnova Architecture, le complexe sportif facetté détonne dans un paysage situé entre patrimoine végétal et logements verticaux. Une silhouette organique, un revêtement théâtral : plus qu'un nouveau gymnase, l'édifice de 5 200 mètres carrés agit comme un marqueur, un élément de signalétique, dans le quartier de La Fontaine à Antony qui fait actuellement l'objet d'une nouvelle impulsion urbaine. Attirant le regard des passants et autres curieux, le monolithe fracturé est plus proche de la pépite d'or grande taille que de la salle de sport classique. Cet Objet Architectural Non Identifié s'inscrit dans le parc de la zone ainsi que dans un quartier résidentiel constitué de barres de logements des années 1970. Un contexte duquel l'ensemble se démarque tout en s'amusant des particularités de son environnement. Revêtu d'une peau constituée d'un alliage de cuivre, d'aluminium et d'étain, le gymnase rompt avec les tours de son site, de part son horizontalité et ses multiples facettes.A l'intérieur, les concepteurs privilégient des matériaux naturels : parois recouvertes de lames de bois, plafonds tendus et éclairage naturel permettent aux sportifs de la région de pratiquer une activité physique dans un cadre idéal. En effet, une faille traversante s'ouvre sur la vallée et offre des vues d'exception aux usagers tout en séparant les deux pôles du complexe. Un attrait des maîtres d'oeuvre pour la transparence qui se traduit également par de nombreuses percées. Une semie-mezzanine complète l'ensemble, morcelant les volumes généreux et rappelant la géométrie marquée de l'enveloppe. Il va y avoir du sport à Antony ! Pour en savoir plus, visitez le site d'archi5 et Tecnova Architecture Photographies : Sergio Grazia
Il y a 6 ans et 59 jours

Enquête publique Village olympique des Jeux de Paris 2024 : avis favorable

La Société de Livraison des Ouvrages Olympiques – SOLIDEO, Etablissement Public crée en 2017 est en charge d’organiser la livraison de l’ensemble des ouvrages et aménagements nécessaires à l’organisation des Jeux de Paris 2024, ainsi que leur adaptation ou leur reconversion pour leur usage en héritage. Elle assure notamment la maîtrise d’ouvrage des ZAC du Village Olympique et Paralympique. La commission chargée de l’enquête publique relative à cette opération a rendu un avis favorable en soulignant que « les objectifs poursuivis par ce projet manifestent d’un intérêt général certain ». Elle relève que la transformation environnementale du secteur va être bénéfique aux habitants notamment par la création de nombreux espaces libres et l’aménagement des bords de Seine, la structure scolaire ou sportive va être améliorée et des équipements commerciaux et sociaux aujourd’hui pratiquement inexistants vont trouver leur place en pied d’immeubles. La commission a émis une réserve concernant l’Ecole d’Ingénieurs SUPMECA, et demande que SOLIDEO initie la mise en place d’un groupe de travail collaboratif avec les différents services de l’Etat concernés et la Direction de l’école, pour rechercher les meilleures solutions d’aménagement qui assureront la continuité du fonctionnement de l’Ecole. L’ensemble de l’opération du Village Olympique et Paralympique représente une surface de plancher de l’ordre de 278 000 m2 environ : – 125 000 m2 pour 1900 logements familiaux environ, – 19 000 m2 pour 750 logements spécifiques environ, – 6 000 m2 pour 150 chambres d’hôtel environ, – 117 000 m2 de bureaux et services environ, – 2 000 m2 de commerces environ, – 9 000 m2 de nouveaux équipements publics environ dont un groupe scolaire élémentaire et maternel et un gymnase. Le programme prévoit, en outre, la création d’un espace vert de 3 ha environ au cœur du quartier, l’aménagement d’espaces publics plantés et de cœur d’îlots végétalisés ainsi que le réaménagement des berges de la Seine sous forme de promenade. En prévoyant la réalisation de 1900 logements familiaux environ et de 900 logements spécifiques environ, la ZAC du Village Olympique et Paralympique propose le renforcement d’un habitat dense. Calendrier prévisionnel : 2018-2019 : Acquisition des terrains et création de la ZAC 2020 : Préparation des terrains 2021-2023 : Travaux de construction de la ZAC et du franchissement 2024 : Jeux Olympiques et Paralympiques (de fin juillet à début septembre) 2025 : Reconversion du village des athlètes et quartier de ville mixte Une cinquantaine de bâtiments seront démolis par le projet. Une fois les jeux paralympiques terminés, la phase de réversibilité se tiendra entre la fin septembre 2024 et le dernier trimestre 2025. Une année environ sera nécessaire pour transformer les logements des athlètes en logements familiaux, spécifiques et bureaux. Ces travaux consisteront à modifier la structure interne des immeubles. Ils n’impacteront pas le gros œuvre puisque celui-ci aura déjà été réalisé pour la livraison du Village. Illustration : périmètre de la ZAC village olympique et paralympique en rouge sur le plan
Il y a 6 ans et 82 jours

Svendborg : Maison des Arts de Kildegården

L'ancienne base militaire de Kildegården à Roskilde (Danemark) change de visage ! Les entrainements militaires laissent désormais place à des "uvres d'art, installations et performances en tout genre. Un tournant pour la ville qui marque la tension existant entre les transformations urbaines et la conservation patrimoniale. En raison de son passé de caserne, le site de 39 000 mètres carrés apparaît comme un lieu fermé, peu propice au divertissement. Délaissés par les soldats dans les années 1970, les bâtiments ont été jusqu'alors pauvrement exploités à diverses fins, sans réelle volonté d'unification. Un constat malheureux qui a inspiré à la municipalité la réalisation d'un pôle artistique aux multiples facettes comprenant la transformation des édifices existants ainsi que la création d'espaces extérieurs. A terme, le projet devra accueillir, en plus de la maison des arts, un gymnase et des logements. La première étape du programme consiste en la modification du terrain abrupt en une place agréable, au carrefour des activités sportives et culturelles de Roskilde. Jardins communautaires, terrain de basket ou encore rampes de skate accueillent donc désormais les habitants de la petite commune danoise en quête de distractions en plein air. La maison des arts prend place au centre de ces aménagements, en plein c"ur de la place de Kildegården. Installée sur un plan carré, la construction plain-pied revêtue de panneaux d'aluminium spéculaires rouges est surplombée d'une toiture inclinée sur sept mètres. A l'intérieur, la totalité de l'espace " plafond et murs ", est recouverte de panneaux acoustiques et les parois de l'unique pièce alternent entre baies vitrées et mobilier de rangement. Au-delà d'un lieu de création, la maison des arts se veut être un point de rassemblement et de cohésion entre artistes et spectateurs. Un ensemble qui redynamise sans difficulté la vie de Kildegården Pour en savoir plus, visitez le site de Svendborg Photographies : Rasmus Hjortshøj, COAST Studio
Il y a 6 ans et 103 jours

Le gymnase Jean Bouin à Paris 16ème, réquisitionné sans concertation pour héberger des migrants

Après le gymnase de la Fouilleuse à Saint-Cloud (92) le 22 janvier dernier, c'est au tour du gymnase Jean-Bouin, dans le 16e arrondissement de Paris, d'être réquisitionné dans le cadre d'un plan d'hébergement d'urgence de migrants, une décision soudaine et sans concertation suscitant de nombreuses protestations.
Il y a 6 ans et 126 jours

Lankry Architectes : Pharmacie et services de soins

L'intervention architecturale dans un patrimoine existant est toujours délicate : faut-il jouer le contraste ou la continuité ? Quelle est la limite entre transformation et dénaturation ? Entre extension harmonieuse et adjonction disgracieuse ? À Bourges (18), l'agence Lankry fait surtout plus avec moins pour retrouver la lisibilité et la fonctionnalité perdue d'un pan du campus hospitalier. Lorsque le Groupe Hospitalier George Sand souhaite introduire des programmes hétérogènes dans deux de ces édifices historiques - alors à l'abandon-, Lankry Architectes répond d'abord par la démolition parcimonieuse. En supprimant les nombreuses extensions parasites construites par le passé, les deux édifices classiques, hérités du modèle pavillonnaire de développement de l'hôpital à la fin du XIXème siècle, sont révélés. Deux volumes qui " une fois vidés et curés - offrent façades élégantes, géométries simples, volumes généreux et faible profondeur de bâti. Vient alors la question de la répartition programmatique. La pharmacie centrale avec ses salles blanches, les ateliers thérapeutiques, le gymnase, les services tertiaires, les salles de formation et le service d'assistance sociale sont finalement articulés selon une logique public / privé, répondant aussi à des réglementations techniques et de sécurité différentes. Le pavillon Sud devient celui de l'accueil des patients, lorsque le pavillon Nord abrite l'ensemble pharmaceutique. Avec l'étude du process complexe lié aux médicaments et à leur diffusion dans les différents pôles de l'hôpital émerge la nécessité d'envisager une extension au pavillon Nord. Un nouveau volume vient donc s'enrouler autour du bâtiment historique, dans une esthétique élémentaire mais fondamentalement contemporaine. Un premier parallélépipède de plain-pied longe la façade Nord et accueillent laboratoires, bureaux et éléments techniques. Un second volume, posé sur le premier en porte-à-faux, abrite la machinerie de traitement de l'air et délimite l'air de livraison et d'expédition à l'Est. Un voilage métallique ondulé et perforé constitue la peau de ces nouveaux bâtiments. Un matériau uniforme dont les ciselures permettent un apport lumineux naturel régulé tout en empêchant les regards extérieurs de pénétrer. Comme pour mieux marier le passé et le présent, les bâtiments historiques sont équipées de menuiseries en aluminium et de stores extérieurs réutilisant ce motif. Alors, comme Lankry architectes l'invoque : "La façade apparaît brillante, légère et élégante, simple comme l'ensemble des façades existantes. A terme, les deux édifices retrouveront leur intégrité et leur rigueur originelle. Les dispositifs additionnels de la pharmacie seront perçus comme des équipements complémentaires, techniques et contemporains". V"u exaucé ! Le projet est sélectionné pour les ADC Awards 2019 dans la catégorie Santé Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards  et de Lankry Architectes.  Photographies : DR
Il y a 6 ans et 128 jours

Stéphane Fernandez - Atelier Fernandez & Serres : Ecole communale Jacqueline de Romilly

Avec le paysage méditerranéen en ligne de mire, les équipes de Fernandez & Serres proposent un établissement scolaire élégant et épuré, en écho aux collines de Cannes et à la lumière du Sud. Un hommage à la notion de temps méridionale, si particulière. On se souvient des petites écoles communales en pierre du village de nos grands-parents, proches de l'église ou de la mairie, simples bâtiments en pierre enveloppant la cour de récréation. L'école cannoise (06) Jacqueline de Romilly s'inscrit à l'opposé de cette architecture vernaculaire, empruntant son raffinement aux musées et autres espaces culturels. Comprenant 9 classes de maternelle et 14 de primaire, l'ensemble scolaire de 5 000 mètres carrés accueille les jeunes enfants dans des conditions exceptionnelles, rares pour un programme de cette typologie. L'opération comprend également la création d'un parking de 2 500 mètres carrés, de 80 mètres carrés de logement et d'un large gymnase de 800 mètres carrés. Installée sur une pente orientée vers l'intérieur des terres, embrassant les contreforts des Alpes, l'établissement réinterprète les éléments phares du paysage de la région et prend place dans cette topographie complexe grâce à un jeu de déblais / remblais. La minéralité du sol sur lequel elle se pose se prolonge dans la matérialité du bâtiment. Monolithe de béton et façades de pierres en travertin constituent l'âme et l'identité de l'édifice sur lequel les rayons du soleil offrent des variantes de tonalités au fur et à mesure qu'avance le jour. Une lumière qui ne faiblit pas une fois les murs épais franchis puisque, grâce à la présence de sheds, le lieu bénéficie d'un éclairage zénithal diffus, créant une atmosphère paisible, propice à l'apprentissage. De quoi se concentrer dans les meilleures conditions ! Le projet est sélectionné pour les ADC Awards 2019 dans la catégorie Enseignement / Maternelle, primaire, secondaire Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et de Fernandez & Serres Photographies : DR
Il y a 6 ans et 142 jours

Dominique Coulon & Associés : Centre sportif des Droits de l'Homme

Il va y avoir du sport ! Livré en décembre dernier par les architectes de l'agence Dominique Coulon & Associés, le centre sportif des Droits de l'Homme offre aux jeunes athlètes de l'école européenne de Strasbourg (67) un terrain de jeu à nul autre pareil : un écrin de verre et de béton qui donne à lui seul l'envie de mouiller son t-shirt... Créée en 2008, l'école européenne de Strasbourg a pour vocation de préparer ses élèves " pour la plupart enfants du personnel des institutions européennes communautaires " au baccalauréat européen. Ce n'est qu'en 2015 qu'elle inaugure ses locaux définitifs, imaginés par le studio DRLW, après avoir été abritée pendant sept ans par des structures provisoires. Pourtant, malgré l'intérêt architectural de la réalisation " et son budget conséquent ! ", son programme accusait une lacune certaine : l'absence d'équipement sportif digne de ce nom. Un manque rapidement corrigé avec le lancement fin 2012 d'un concours par la ville de Strasbourg, remporté par l'agence Dominique Coulon & Associés. Livré en décembre dernier, et situé à quelques minutes à pied de l'école sur un terrain relativement boisé, l'édifice accueille un gymnase, une salle polyvalente, ainsi que les pièces techniques inhérentes à ces typologies, c'est-à-dire vestiaires, espaces de rangement et logement de fonction, dans un écrin de béton et de verre aux lignes saillantes. Le bâtiment " prolonge la logique de fragments déjà mise en "uvre " dans l'existant, justifient ses concepteurs. Ainsi, la salle multisport et sa voisine polyvalente sont abritées par deux volumes distincts, parallélépipèdes en double-hauteur encerclés par les vestiaires et reliés par des couloirs de plain-pied constitués de deux lames de béton prolongés par des façades rideaux. " Le hall est transparent : il laisse voir le bois à l'arrière de la parcelle depuis le parvis ", précisent les maîtres d'"uvre. Orienté nord et sud, le gymnase est lui aussi partiellement vitré, mais surtout équipé de larges parois en polycarbonate translucide, permettant " d'apporter et de diffuser une lumière douce et homogène " dans l'intégralité du volume ; un bon moyen de ne pas éblouir les sportifs en herbe, leur évitant de se prendre une balle en pleine tête ! Pour des raisons acoustiques, les murs sont habillés de panneaux de médium perforés et teintés gris, qui s'harmonisent bien avec les nuances du béton, du linoléum et du plafond protégé par un caillebotis métallique noir. La salle polyvalente, enfin, propose un tout autre univers, grâce à son parquet en chêne verni posé en damier qui se retourne sur les murs jusqu'à hauteur d'homme. Au-dessus, une peinture vert sombre " valorise la chaleur du chêne ", faisant de cet espace un endroit propice à la danse qu'elle soit professionnelle ou d'ordre récréatif. Offrant un rendu tantôt " laiteux et rigueur ", tantôt " transparent et réfléchissant " en fonction des moments de la journée, ce centre sportif des Droits de l'Homme change du tout au tout la perspective d'un match de basket-ball... Prêt à marquer quelques paniers ? Le projet est sélectionné pour les ADC Awards 2019 dans la catégorie Sport. Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et de Dominique Coulon & Associés. Photographies : Eugeni Pons et David Romero-Uzeda