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Il y a 2 ans et 302 jours

Bardage fibrociment : le nouvel allié des architectes pour la construction

Le revêtement extérieur de votre maison fait-il grise mine ? Si oui, pourquoi ne pas lui donner un coup de neuf avec le bardage fibrociment ? Esthétique, il vous permet en effet de donner du caractère à vos murs en les habillant avec style. Durable, il représente la nouvelle trouvaille des architectes pour donner de l’allure et de la résistance aux nouvelles constructions. Pour mieux appréhender ces avantages, suivez-nous pour un tour d’horizon complet de ces caractéristiques et formes d’utilisations. Le bardage fibrociment, qu’est-ce que c’est ? Le bardage est un revêtement utilisé en construction pour fixer la façade extérieure des résidences. Généralement utilisé sous forme de seconde couche, il permet de fixer l’ossature des constructions. Les professionnels de Copanel, Expert du bardage fibrociment, rappellent d’ailleurs que le bardage en fibre et ciment confère aux constructions un double avantage. En plus de l’imitation exceptionnelle du bois, il leur permet aussi de profiter de la solidité et la résistance des constructions en ciment. Ce qui explique le regain d’intérêt qu’il connaît ces dernières années dans le domaine de la construction. Quels sont les différents types de bardage fibrociment ? Le bardage fibrociment offre une marge de manœuvre impressionnante. Qu’il soit utilisé en revêtement extérieur ou en bardage simple, il offre un large éventail de poses. Voilà pourquoi on le retrouve généralement sous forme de clins pour : Une facilité de pose hors pair ; Un rendu esthétique fascinant ; Une régulation thermique exceptionnelle ; Une protection renforcée contre les agressions extérieures ; Etc. Retenons toutefois que ce type de bardage peut également se retrouver sous forme de panneaux ou de planches. De plus en plus d’architectes les utilisent pour apporter du style et de l’originalité à leurs constructions. Quels avantages présente-t-il ? Dans la longue liste des avantages du bardage fibrociment, leur touche esthétique vient en première position. En effet, il est aisé de retrouver sur le marché une palette impressionnante de coloris capable de sublimer le revêtement des maisons. Et, ce n’est pas tout. La grande diversité des modèles présentés et leur finition permettent de donner par ailleurs du cachet et de la prestance aux résidences. Que vous soyez donc un passionné du style rustique ou un adepte de l’art contemporain, ce bardage a tout pour vous plaire tant au plan esthétique que technique. De bonnes performances techniques Comme mentionné plus haut, les performances des bardages fibrociments ne se limitent pas seulement à leur apport esthétique. En plus de cet aspect, ils présentent aussi de bonnes performances en matière d’isolation. Pour preuve, leur enchevêtrement sur la façade extérieure des maisons contribue à les protéger des agressions extérieures. Ce qui contribue à renforcer la résistance de ces bâtiments : Au gel ; À l’eau ; Au vent ; Aux moisissures ; Etc. De quoi fournir aux constructions de bonnes performances thermiques et phoniques, n’est-ce pas ! Une résistance exceptionnelle La résistance au temps et aux intempéries, voilà l’autre raison pour laquelle le bardage fibrociment est prisé par les architectes. Solide, il offre en effet aux constructions une robustesse hors pair. Tenace, il dispose d’une durabilité exceptionnelle même dans des conditions climatiques drastiques. De quoi devenir le nouvel allié des architectes pour la construction, n’est-ce pas !
Il y a 2 ans et 305 jours

Que devriez-vous savoir à propos de la pose de maison en bois ?

Dans le secteur de la construction de maison, l’on remarque de plus en plus que de nombreuses personnes font l’option de la pose de maison en bois. Quelles que soient les raisons des uns et des autres pour ce choix, il est important d’avoir des informations nécessaires sur ce style de construction. Que doit-on savoir sur la pose de maison en bois ? Le coût de la maison en bois Pour connaître le prix d’une maison en bois, il faut d’abord déterminer le type de maison en bois que vous désirez poser et l’envergure de votre projet de pose. Sachez qu’il y a plusieurs types de maisons en bois à savoir : les maisons à ossature bois (MOB) ; les maisons à poteau et poutres en bois ; les maisons en bois massif empilé ; les maisons en rondins de bois ; les maisons à panneaux massifs. Ainsi, le prix d’une maison en bois est fixé par mètre carré et varie en moyenne entre 600 euros à 2200 euros par mètre carré selon le modèle. Toutefois, il peut varier selon la technique de construction utilisée et les professionnels engagés pour les travaux. Les étapes de la pose de la maison en bois Avant d’installer les fondations de votre maison en bois qui constituent le gros œuvre, il faut au préalable que votre constructeur fasse fabriquer tous les pans des fondations dans un atelier approprié à travers les plans de l’ossature qu’il aura envoyé. Une fois que les fondations sont installées, les murs et la charpente sont montés avant l’installation du bardage au niveau des murs extérieurs et du toit. Après cette étape, on procède à l’isolation par l’intérieur ou par l’extérieur de la maison en bois selon vos besoins pour ensuite entamer le second œuvre. Le second œuvre concerne la menuiserie, les réseaux électriques, la plomberie, le revêtement des murs et des sols, la ventilation et le chauffage. Ce n’est qu’après tous ces travaux que vous pourriez décorer votre maison en bois et y emménager. Les atouts et inconvénients de la maison en bois Comme avantages, sachez que la maison en bois est faite de matériau sain et naturel avec un temps de construction réduit de moitié par rapport à une construction classique. Le bois est un matériau d’isolation thermique et phonique par excellence six fois supérieur à la brique. Il est durable dans le temps et très écologique avec une faible consommation d’énergie au cours de sa production. Il absorbe l’humidité et permet de faire des économies d’énergie. L’un des inconvénients de la maison en bois est le traitement à base de produits chimiques fait directement dans le bois afin de le protéger des parasites et insectes malgré la réduction de leur toxicité à travers des techniques bien précises. L’autre inconvénient est la flambée des prix de certaines maisons en bois positionnées sur le marché comme produit de luxe. La pose d’une maison en bois est un choix qui nécessite la connaissance du type de maison souhaitée, de l’essence de bois à choisir, du coût de la maison choisie et des avantages et inconvénients d’une telle construction.
Il y a 2 ans et 308 jours

Bluetek équipe les Caves Richemer

Une cave mondialement connueHistoriquement basées à Marseillan (34) entre la Méditerranée, le Canal du Midi et la Lagune de Thau, les Caves Richemer sont une coopérative agricole depuis les années 1930. La coopérative réunit 200 vignerons dont les cépages représentent une surface totale de 1 000 hectares. Réputée sur le territoire et au-delà de nos frontières, la cave coopérative est connue pour la qualité de ses vins blancs (65 % de sa production) rosés et rouges régulièrement primés.L’œil avisé d’un architecte spécialiséFort de cette réussite commune qui ne cesse de croître depuis plus de 90 ans, la coopérative a décidé d’optimiser son flux de production par la construction d’un nouveau bâtiment au sein de la même commune. La coopérative s’est appuyée sur les compétences de David Sabourdy, fondateur du cabinet SBY Architecture situé à Jacou (34), spécialisé dans les projets d’immobiliers d’entreprise, de santé et d’éducation, mais également dans l’activité vinicole depuis plus de 15 ans. Le regard avisé de l’architecte, l’a conduit à imaginer une construction respectant l’ordre de la production des vins Richemer par la forme circulaire de l’édifice.Un bardage partiel en parements compositeTout en rondeur, la forme extérieure du bâtiment a été pensée à l’image de vins de la cave coopérative. Le bâtiment a bénéficié d’une ITE sur ses 4 000 m2 de façades. Ces dernières ont été revêtues de bardage dont la moitié de la surface totale (soit 2 000 m2) avec les Parements Composite Aluminium de BLUETEK fixés sur ossature métallique.Les parements de bardage BLUETEK se composent de deux plaques en aluminium unis (ou avec effets de matières) solidarisées par une âme en résine thermoplastique (disponibles en différentes dimensions avec une épaisseur unique de 4 mm). Le chantier a nécessité des parements d’une largeur unique de 1 500 mm et de trois longueurs de 4 000, 4 100 et 4 300 mm. Parti pris de l’architecte, le choix du gris (référence coloris BLUETEK : DECOR9006) qui enveloppe plus de 90% du bâtiment et du rouge (référence coloris BLUETEK : DECOR3004).Des lanterneaux avec une isolation renforcée en toitureLe toit terrasse de la nouvelle construction est également équipé de 29 lanterneaux de désenfumage Bluesteel Therm Pneu et Bluesteel Therm DV Pneu de BLUETEK. Répartis sur les 7 000 m2 du toit, les lanterneaux apportent la luminosité naturelle intérieure nécessaire à l’exploitation du site tout en complétant efficacement son isolation, indispensable au maintien de la température de la cave tout au long de l’année. Les lanterneaux offrent un URC moyen de 1,5 W/m2K selon les modèles. Actionnés par un système de vérins, ils disposent également d’une commande manuelle déportée et de capteurs qui déclenchent automatiquement leur ouverture dès que la température intérieure atteint 93°C en cas d’incendie.Une cave à bonne température+ L’isolation de la nouvelle cave Richemer combinée aux groupes froids qui équipent chacune des cuves permet de maintenir la température idéale dans l’édifice, toute l’année, sans faire appel à un système de climatisation rapportée.Une sécurité incendie complétée par des écrans de cantonnementQuant à l’équipement intérieur relatif à la sécurité incendie, la nouvelle cave a été dotée de deux écrans de cantonnement Smoke Fix de Bluetek, L30 et L40, (dimensions en ml : 30 X 2 et 20 X 2) en toile souple et résistante (densité : 0,4450 KG/m2), à base de fibre de verre, affichant une réaction au feu classée A2 s1 d0. C’est au total 80 m2 de surface qui ont été installés pour contenir les fumées.
Il y a 2 ans et 309 jours

La nouvelle laine Isover est de retour et s'étend aux solutions d'isolation des cloisons

LA nouvelle laine : 10 brevets et des qualités inéditesCette laine est fabriquée en France à partir de verre recyclé (a minima 40 %), de matières premières minérales et d’un liant 100 % biosourcé. Eco-conçue, elle est recyclable à 100 % et à l’infini, et contribue ainsi à la qualité de l’air intérieur aussi bien pour les poseurs que pour les occupants. Elle est étiquetée A+, le meilleur classement sanitaire pour un produit de construction destiné à un usage intérieur.Sa fibre, plus longue, plus souple, plus fine et plus résistante du point de vue mécanique, est également plus agréable au toucher et confortable lors de la pose. Elle est également reconnaissable à sa couleur crème.Son bilan écologique est incomparable et permet d’améliorer deux grands indicateurs environnementaux : la pollution de l’air, l’acidification des sols et de l’eau.LA nouvelle laine en PAR PHONIC possède des performances phoniques garanties.Les isolants de la gamme PAR PHONIC : 3 solutions pour les cloisons en distribution (au sein du logement) ou séparation (entre deux logements) de locaux.Loin d’être une fatalité, le bruit nécessite d’être apprivoisé. Une conception du bâtiment et de son acoustique bien pensée permet de maîtriser la qualité sonore, le confort et le bien-être de ceux qui y vivent ou y travaillent.Pour les cloisons simple ossature, le gain d’affaiblissement pouvant être obtenu grâce à la présence des laines de verre de la gamme PAR PHONIC est de 6 à 8 dB. Les cloisons “72/48” et “72/36” conviennent pour toutes applications en particulier les logements en neuf et rénovation.PAR PHONIC PROPAR PHONIC PRO permet une productivité et un confort de pose améliorés sur les chantiers intensifs de cloisons grâce à sa semi-rigidité. Il est conditionné en rouleau.Pour les cloisons à double ossature, grâce au découplage entre les parements et grâce à la double épaisseur décalée de laine de verre PAR PHONIC PRO, le gain d’affaiblissement obtenu peut aller jusqu’à 15 dB.PAR PHONIC : un véritable amortisseur acoustiqueLe PAR PHONIC joue un rôle d’amortisseur en absorbant et en réduisant l’amplitude des ondes dans les cloisons en distribution ou en séparation de locaux.Il permet de lutter contre les nuisances sonores de façon préventive.Une seule solution pour réduire les transmissions directe et indirecte du bruit à travers les parois : l’isolation acoustique. Son efficacité est assurée si les propriétés acoustiques des produits et systèmes reposent sur le principe de “masse-ressort-masse”. Il consiste à utiliser des parois doubles, comme des plaques de plâtre, séparées par un espace rempli avec un isolant souple tel que la laine de verre qui absorbe et dissipe l’énergie.Le PAR PHONIC est adapté pour la construction ou la rénovation des logements individuels et collectifs, mais aussi des bureaux, hôpitaux, écoles, Établissements Recevant du Public (ERP), locaux industriels et commerciaux.La gamme PAR PHONIC se décline dans un choix d’épaisseurs et de largeurs adaptées à tous les types de cloisons:PAR PHONIC : la référence pour tous les projets d’isolation acoustique des cloisons AvantagesLes cloisons dotées de LA nouvelle laine de verre ISOVER en PAR PHONIC peuvent répondre à toutes les exigences en termes d’incombustibilité et d’humidité.Elles sont adaptées aux zones sismiques et permettent également de viser des hauteurs importantes d’aménagement.Les isolants PAR PHONIC peuvent être associés à tous types de plaques et répondre ainsi à de nombreuses applications : celles-ci peuvent être pré-peintes ; hydrofuges, elles conviennent aux pièces humides ; extra-dures, elles sont idéales pour les pièces très sollicitées.RéglementationLA nouvelle laine en PAR PHONIC permet d’atteindre la conformité à toutes les exigences réglementaires quel que soit le type de bâtiment et d’offrir le confort aux usagers, au-delà des réglementations en vigueur.Elle dispose de toutes les certifications et déclarations - ACERMI, marquage CE, déclaration de performances (DoP) et rapports d’essais acoustiques. Les solutions cloisons en PAR PHONIC disposent d’objets BIM disponibles sur le site isover.fr dans l’espace personnalisé My Isover.Des performances économiques appréciables pour les professionnelsLes performances des solutions cloisons ISOVER avec LA nouvelle laine de verre en PAR PHONIC s’apprécient à différents niveaux :Par rapport à des cloisons traditionnelles en maçonnerie, les cloisons sur ossature métallique offrent, sans égal, le meilleur rapport gain d’affaiblissement sonore du marché/prix,La mise en oeuvre est rapide permettant une meilleure productivité sur les chantiers,Les produits PAR PHONIC sont disponibles sans délai, ne pénalisant pas la réalisation des travaux,La forte compression des produits dans leur emballage facilite le stockage, le transport et la logistique. Le principe de mise en œuvre des cloisons acoustiques légères Mise en place de l’ossatureAprès repérage d’alignement, fixation des rails hauts et bas.Coupe des montants verticaux à la hauteur solplafond minorée de 5 mm.Engagement des montants dans les rails (entraxe de 60 ou 40 cm ou 90 cm) en les clipsant par rotation d’un quart de tour. Fixation du parement de la 1ère faceDécoupe des plaques de plâtre à la hauteur solplafond minorée de 1 cm.Positionnement en butée du plafond.Vissage des plaques sur les montants verticaux tous les 30 cm, à 1 cm des bords. Pose de l’isolant gamme PAR PHONICDécoupe de l’isolant à la hauteur sol-plafond majorée de 1 cm.Calage de l’isolant entre les montants.Fixation du parement seconde faceVissage des plaques sur les montants verticaux et en quinconce par rapport à la première face de la cloison. Jointage et finition des plaques de plâtre, fixation tous les 30 cm, à 1 cm des bords.
Il y a 2 ans et 313 jours

Christophe Possémé, élu président du CCCA-BTP

Christophe Possémé est président de l’entreprise Le Bâtiment Associé à Muizon (51), qui compte 155 collaborateurs : maçonnerie, taille de pierre, charpente, ossature bois, restauration du patrimoine, travaux de déplombage et désamiantage, travaux publics.Après un CQP (certificat de qualification professionnelle) de briqueteur et un baccalauréat professionnel Construction bâtiment gros œuvre, Christophe Possémé a obtenu un diplôme de chef d’équipe gros œuvre puis un DUT (diplôme universitaire de technologie) de Conducteur de travaux. Il a également suivi le cycle de direction d’entreprise de l’Aproba et il est titulaire du certificat supérieur Développement durable et Qualité environnementale de l’IFRB. Après plusieurs années passées dans différentes entreprises du bâtiment, Christophe Possémé a rejoint en 2000 l’entreprise Le Bâtiment Associé en qualité de conducteur de travaux. Directeur de travaux de 2005 à 2009, puis directeur général adjoint de 2009 à 2010, il est depuis 2011 le président de l’entreprise.Son engagement professionnelChristophe Possémé a été président du NF DTU 20.1 Ouvrages en maçonnerie de petits éléments - Parois et murs de 2010 à 2013 et président de Constructys Champagne-Ardenne de 2011 à 2013.Il a également été vice-président de 2013 à 2019 de l’UMGO-FFB**, dont il est aujourd’hui le président. Depuis 2020, Christophe Possémé est membre du comité exécutif de la FFB (Fédération française du bâtiment) et président de la commission marché de la FFB. Un engagement de longue date dans la formation professionnelle aux métiers du BTPChristophe Possémé est de longue date investi dans la formation professionnelle aux métiers de son entreprise, notamment des jeunes par la voie de l’apprentissage. À ce titre, Le Bâtiment Associé, qui forme chaque année une vingtaine d’alternants et dont la formation et la montée en compétence permanente des salariés constitue une valeur forte de l’entreprise, a reçu en 2021 le Trophée de l’alternance.Le conseil d’administration du CCCA-BTP du 5 juillet 2022 a également élu :Éric Routier (FNCB-CFDT), vice-président,Ludovick Lefebvre (FNSCBA-CGT), trésorierLaure Vial (CAPEB), secrétairePour Christophe Possémé, président du CCCA-BTP : « Dans un environnement où les mutations sont désormais permanentes et s’accélèrent, les entreprises de nos secteurs du BTP doivent relever de nombreux et forts enjeux, qu’il s’agisse de performance environnementale, de transitions écologique, technologique et numérique, mais aussi de compétences professionnelles. Il est ainsi plus que jamais essentiel de former des jeunes à nos métiers, mais aussi d’assurer la montée en compétences des salariés de notre secteur. C’est le cœur de la mission du CCCA-BTP que j’ai désormais l’honneur de présider.Avec l’ensemble de notre conseil d’administration à gouvernance paritaire, pleinement mobilisé et déterminé pour relever ces défis d’avenir, je m’attacherai à porter, promouvoir et déployer une politique volontariste et innovante de formation professionnelle, en particulier par la voie de l’apprentissage. C’est le rôle du CCCA-BTP et ce que les partenaires sociaux du BTP attendent de nous, en déclinaison de leurs orientations. C’est d’ailleurs tout le sens de l’offre de services que le CCCA-BTP propose à l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP. En cette année anniversaire pour le CCCA-BTP, qui fête ses 80 ans, notre action doit permettre d’être toujours aux avant-postes des défis d’avenir que nous devons relever. Cela passe par l’anticipation et l’innovation, qui sont des marqueurs singuliers des initiatives que nous prenons et des projets que nous menons. Ma volonté est d’agir de façon transversale avec l’ensemble des acteurs de notre environnement, pour impulser et conduire des projets ambitieux et à fort impact, pour garantir la performance de notre activité et une haute qualité pédagogique dans la formation professionnelle à nos métiers du BTP. »* Le CCCA-BTP, outil des branches du bâtiment et des travaux publics à gouvernance paritaire, est dirigé à la fois par les fédérations professionnelles d’employeurs (CAPEB, FFB, Fédération des SCOP du BTP et FNTP) et les organisations syndicales de salariés (BATI-MAT-TP CFTC, CFE-CGC BTP, FNSCBA-CGT, FGFO Construction et FNCB-CFDT).** UMGO-FFB : Union de la maçonnerie et du gros œuvre - Fédération française du bâtiment.
Il y a 2 ans et 317 jours

Hauts-de-Seine : Des éléments préfabriqués en style Art Déco signés Cibetec

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Cibetec a réalisé 121 éléments préfabriqués pour ce bâtiment au style Art Déco. [©Cibetec] Dans un style néo Art Déco, un nouveau bâtiment situé au 39, rue Voltaire à Levallois-Perret, est récemment sorti de terre. Il bénéficie d’un béton architectonique, dont l’esthétisme et la teinte s’apparentent à la pierre. De plus, le matériau dispose d’une résistance élevée à l’encrassement dû à la pollution. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France La construction s’élève sur 5 étages sous attique et se développe sur une surface de 1 405 m2 de logements et 207 m2 de commerces en rez-de-chaussée. A l’extérieur, le bâtiment est entouré de balcons et de terrasses finement ouvragés. Ainsi, les éléments décoratifs à l’image des balcons, des balustres, des corniches, mais aussi des bandeaux et des frontons, sont en béton préfabriqué blanc (signé Ciments Calcia). La préfabrication des 121 pièces a été réalisée dans les ateliers de Cibetec. Une vingtaine de moules ont été nécessaires pour les nez de balcons ou encore les modénatures… Au niveau de la mise en œuvre, chaque pièce préfabriquée a été numérotée et fixée à l’ossature. Et ce, par clavetage béton ou par fixation mécanique de type “porte-manteau avec cornières”. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 318 jours

HEXAKIT, le nouveau concept de CLT, en format standard 100% français

PIVETEAUBOIS POURSUIT SON OBJECTIF DE DECARBONER LA CONSTRUCTION Dans l’optique d’accompagner les acteurs de la construction, PIVETEAUBOIS a décidé de créer un nouveau concept de CLT en format standard 100% français : HEXAKIT ! Une solution dont les bois sont tous issus de forêts locales gérées durablement et fabriquée dans son usine vendéenne pour optimiser l’impact carbone des chantiers. Depuis 2018, PIVETEAUBOIS continue ses investissements pour répondre aux nouvelles tendances du marché de la construction (ouvrages multi-étage) et son besoin croissant de nouveaux produits de structure bois comme le CLT (Cross Laminated Timbers). OUVREZ-VOUS À UN NOUVEAU STANDARD DE LA CONSTRUCTION Afin de répondre au besoin de réactivité des constructeurs et apporter des solutions pour construire bas carbone, PIVETEAUBOIS a développé une gamme de panneaux standard HEXAKIT de largeur 1,20 m, composés d’un mixte d’essences de provenance française : Pin et 1 face visible en Épicéa. Les longueurs des panneaux sont optimisées selon les portées sur 2 ou 3 appuis pour des applications en plancher, mur, toiture et support d’étanchéité. Un nouveau produit qui démocratise le CLT pour des constructions décarbonées.  Les +– Formats standards optimisés aux charges pour les habitations et les bureaux– Temps de pose au m² divisé par 3– Matériau protégé lors des phases chantiers avec sa protection PARKA (hydrofuge)– Epaisseur du plancher réduite– Sous-face visible épicéa pour conserver un plafond bois– Solution locale et bas-carbone accessible pour tous les types de chantiers– Livraison mixable avec d’autres produits PIVETEAUBOIS (ossature, BLC, BMA, bardage, terrasse, …) Le CLT Hexapli de PIVETEAUBOIS possède sa propre FDES validée et disponible sur inies.com avec une valeur de carbone stocké particulièrement avantageuse. Crédit photo : @Sylvain Malmouche – Architecte : Vincent Hemery – IE Architecture DÉCOUVREZ HEXAKIT EN VIDÉO www.piveteaubois.com/fr/nos-produits/nos-produits-clt-hexakit
Il y a 2 ans et 318 jours

Tramway d’Angers : Les invisibles bétons d’aménagement

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Franchissement de la voie ferrée sur le nouveau pont sur la Maine. [©ACPresse] Les mauvaises langues pourraient dire que les plus beaux bétons sont ceux que l’on ne voit pas ! D’un autre côté, au démarrage de son histoire, ce matériau restait souvent invisible. A la vérité, peu de gens savent, par exemple, que l’ensemble de la structure porteuse du théâtre des Champs-Elysées, à Paris, est en béton… Tant les ors et les marbres qui l’habillent cachent sa véritable nature. Pour la construction de la seconde ligne de tramway d’Angers, l’approche est assez comparable. Point d’or, ni de marbre, mais une ossature en béton tout à fait imperceptible, enfouie pour l’essentiel sous des tapis de verdure. Seuls, les rails métalliques laissent deviner la présence de cette infrastructure souterraine. Ce qui montre bien que l’aménagement d’espaces publics prend bien des formes. La nouvelle ligne B a pour terminus la station Belle-Beille, du côté Ouest d’Angers. Mais une fois la Maine franchie, via un pont métallique érigé pour l’occasion, elle emprunte l’actuel tracé de la ligne A. Celle-ci avait été dévoyée en 2019 sur ce nouvel itinéraire traversant le centre-ville. Ensuite, la ligne B poursuit son parcours, sur un tronçon neuf, en direction du Nord-Est, vers la station Monplaisir, qui constituera son autre terminus. Deux lignes pour le prix d’une ! Cette jolie organisation cache une surprise ! En effet, en dévoyant la ligne A en centre-ville, Angers Loire Métropole, maître d’ouvrage de l’opération, a libéré un petit morceau de tracé, qu’il a pu affecter à une 3e ligne : la C… Cette dernière aura donc un parcours commun avec la ligne B sur le début de son trajet et avec la ligne A (en service depuis onze ans) sur la fin de son itinéraire. Et profite d’une section qui lui est propre en centre-ville. D’une certaine manière, Angers s’est offert deux nouvelles lignes de tramway pour le prix d’une ! Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 318 jours

Le confort d’été et la RE 2020 selon le Filmm

Le Filmm décrypte des solutions constructives pour assurer le confort d’été. [©Filmm] Le Syndicat national des fabricants d’isolants en laines minérales manufacturées (Filmm) a édité une nouvelle brochure sur le thème du confort d’été. La RE 2020 a intégré une évolution importante avec l’introduction d’un nouvel indicateur dans les bâtiments : les degrés-heures d’inconfort (DH), exprimés en °C.h. Désormais, les hausses des températures et les vagues de chaleur provoquées par le réchauffement climatique ont été prises en compte avec une nouvelle méthode de calcul. Et afin que cette notion soit plus concrète, le Filmm illustre le principe de cet indicateur avec un graphique. Les solutions contre l’inconfort Pour faire simple, pour prendre en compte la durée de l’intensité de l’inconfort, il faut identifier les heures durant lesquelles la température maximale de bien-être est dépassée. Pour effectuer ensuite la somme, heure par heure, des écarts de degrés entre la température mesurée dans le bâtiment et celle maximale dite de “confort”. Une fois le résultat obtenu, il est essentiel de savoir quelles solutions à mettre en œuvre. Pour déterminer cela, le Filmm a mandaté le bureau d’études “Bastide et Bondoux”, afin de réaliser une étude de sensibilité sur le confort d’été en lien avec la RE 2020. Lire aussi : Filmm : La RE 2020 plus aboutie que la RT 2012 ? Cette étude porte sur deux maisons, l’une de plain-pied et l’autre avec des combles aménagés. Chacune possède une structure maçonnée, puis une structure en ossature bois. Le bureau d’études a pris en compte les méthodes de calcul des DH. Ainsi, la brochure fait la synthèse, donne des réponses sur le rôle des isolants et rappelle les leviers les plus efficaces pour un confort d’été optimal. La brochure synthétise des informations essentielles à connaître pour s’orienter vers les bons choix techniques lors de la construction. L’étude est en accès libre sur le site du syndicat ici   
Il y a 2 ans et 318 jours

Le FILMM se penche sur les degrés-heures d’inconfort dans une brochure

La RE 2020 a intégré une évolution importante sur le thème du confort d’été. La nouvelle brochure du FILMM (syndicat national des Fabricants d’Isolants en Laines Minérales Manufacturées) explique que la RE 2020 introduit un nouvel indicateur : les degrés-heures d’inconfort (DH) exprimés en °C.h. Les évolutions des températures et les vagues de chaleur induites par le réchauffement climatique ont été prises en compte dans le cadre d’une nouvelle méthode de calcul. Afin que cette notion soit plus concrète, le FILMM illustre clairement le principe de calcul de cet indicateur DH à l’appui d’un graphique. Pour prendre en compte la durée et de l’intensité de l’inconfort, il faut identifier les heures durant lesquelles la température maximale de confort est dépassée et faire la somme heure par heure des écarts de température (entre la température mesurée dans le bâtiment et la température maximale dite de confort). Une fois cette notion acquise, il est essentiel de savoir quelles solutions mettre en œuvre pour un confort d’été efficient. Le FILMM a donc mandaté le bureau d’études « Bastide et Bondoux » afin de réaliser des calculs de sensibilité sur le confort d’été dans le cadre de la RE 2020. L’étude porte sur deux maisons, l’une de plain-pied et l’autre avec combles aménagés, avec pour chacune une structure maçonnée puis une structure en ossature bois dans trois zones climatiques (Nord, Centre et Sud). Le bureau d’étude a pris en compte les 3 méthodes de calcul des DH qui entrent dans le cadre de la RE 2020 (méthode forfaitaire, à points et détaillée). La brochure fait la synthèse des conclusions des différentes méthodes de calcul et donne des réponses sur le rôle des isolants et rappelle les leviers les plus efficaces pour un confort d’été efficient. https://www.filmm.org/filmm-syndicat-national-laine-minerale/brochures  
Il y a 2 ans et 318 jours

Le FILMM se penche sur les degrés-heures d’inconfort dans une brochure

La RE 2020 a intégré une évolution importante sur le thème du confort d’été. La nouvelle brochure du FILMM (syndicat national des Fabricants d’Isolants en Laines Minérales Manufacturées) explique que la RE 2020 introduit un nouvel indicateur : les degrés-heures d’inconfort (DH) exprimés en °C.h. Les évolutions des températures et les vagues de chaleur induites par le réchauffement climatique ont été prises en compte dans le cadre d’une nouvelle méthode de calcul. Afin que cette notion soit plus concrète, le FILMM illustre clairement le principe de calcul de cet indicateur DH à l’appui d’un graphique. Pour prendre en compte la durée et de l’intensité de l’inconfort, il faut identifier les heures durant lesquelles la température maximale de confort est dépassée et faire la somme heure par heure des écarts de température (entre la température mesurée dans le bâtiment et la température maximale dite de confort). Une fois cette notion acquise, il est essentiel de savoir quelles solutions mettre en œuvre pour un confort d’été efficient. Le FILMM a donc mandaté le bureau d’études « Bastide et Bondoux » afin de réaliser des calculs de sensibilité sur le confort d’été dans le cadre de la RE 2020. L’étude porte sur deux maisons, l’une de plain-pied et l’autre avec combles aménagés, avec pour chacune une structure maçonnée puis une structure en ossature bois dans trois zones climatiques (Nord, Centre et Sud). Le bureau d’étude a pris en compte les 3 méthodes de calcul des DH qui entrent dans le cadre de la RE 2020 (méthode forfaitaire, à points et détaillée). La brochure fait la synthèse des conclusions des différentes méthodes de calcul et donne des réponses sur le rôle des isolants et rappelle les leviers les plus efficaces pour un confort d’été efficient. https://www.filmm.org/filmm-syndicat-national-laine-minerale/brochures   Cet article Le FILMM se penche sur les degrés-heures d’inconfort dans une brochure est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 319 jours

Saint-Gobain veut industrialiser la construction en terre

"C'est une première mondiale qui démarre en France", a annoncé Patrice Richard, directeur de la distribution du groupe: un programme de masse visant à réutiliser à partir de 2023 la terre d'excavation de chantiers, aussi bien pour bâtir des maisons individuelles que des immeubles à étage.A l'origine, le groupe cherchait depuis 2019 à répondre à la demande d'un des plus grands aménageurs publics d'Europe, Euroméditerranée, qui pilote la rénovation des quartiers déshérités du nord de Marseille."Ils nous ont dit: +Le gouvernement et les normes françaises nous imposent du bois et des matériaux biosourcés pour faire baisser les émissions de CO2 de la construction, mais nous n'avons pas de bois: que peut-on faire avec de la terre? Parce que nous avons de la terre+", se souvient M. Richard.En alliant ses forces de recherche, ses usines et son réseau de distribution de matériaux Point P, Saint-Gobain a imaginé la possibilité de remplir des murs à ossature de bois avec un "béton de terre" projeté ou coulé, ou de construire avec des parpaings composés de terre, d'un liant à base de déchets de sidérurgie, de concassage de béton recyclé et de végétaux comme le chanvre.Des idées au MarocOutre le fait qu'elles sont économiques, les maisons en torchis ou en pisé, que l'on trouve du Maroc à l'Amérique latine en passant par le Sahara ou le Yémen, ont trois qualités: elles offrent un meilleur confort en été et en hiver, une meilleure hygrométrie, et une meilleure isolation phonique.Autant de facteurs issus des cultures traditionnelles très recherchés pour adapter la construction moderne au réchauffement climatique, tout en faisant baisser les émissions carbone du secteur de la construction, alourdies par celles de la fabrication du ciment. A lui tout seul, le ciment émet trois fois plus de carbone que le transport aérien.Le béton de terre, s'il ne permet pas encore de bâtir des murs porteurs, pourrait aussi permettre de réduire les consommations de sable, de plus en plus rare, soulignent ses promoteurs."Nous sommes allés prendre des idées au Maroc", précise M. Richard. "Ce que nous ne pouvions pas répliquer, ce sont des murs aussi épais que là-bas, et surtout nous devions trouver une solution demandant moins de main-d'oeuvre."Avec la technique de projection de béton de terre dans une structure porteuse en bois, on débouche sur un bâtiment "négatif en carbone", assure-t-il.Cette technique devrait aussi permettre de consommer moins d'énergie pour chauffer ou rafraîchir le bâtiment puisque la terre a la capacité de stocker la chaleur en été (au moins 15 heures), de freiner le froid en hiver, d'aspirer l'humidité quand il y en a trop, ou en rejeter si l'air est trop sec.Maisons "test""A condition de ne pas l'utiliser en façade", avertit néanmoins Manu Foucher, façadier qui craint les lézardes et craquellements dus à la sécheresse, malgré le chanvre incorporé dans la recette pour limiter le retrait de la terre lorsqu'il fait sec.A l'utilisation, avec un camion-pompe qui remplit de béton de terre l'ossature-bois, M. Foucher trouve "qu'on gagne du temps sur le chantier". Saint-Gobain s'est engagé à lancer des programmes de formation pour les artisans.Pour l'instant, une poignée de maisons "test" sont prévues en France et le groupe a signé deux projets d'immeubles dont la construction devrait démarrer en 2023.Côté coûts, le projet "était surnommé Dacia au début", du nom de la voiture à bas coût de Renault qui s'est avérée un succès commercial, explique M. Richard. "Un mur fourni et posé ne devait pas coûter plus qu'un mur de base" en béton, sinon il ne pourrait jamais prendre son envol, souligne-t-il."Les fabricants de béton ne sont pas des concurrents, ce sont des partenaires, car nous les aidons à décarboner les immeubles, et on ne pourra pas se passer de la portabilité des bâtiments (les fondations en béton armé), mais grâce à la terre on pourra être conforme aux nouvelles normes de construction françaises RE2020", espère Michel Daniel, directeur aménagement et ville durable chez Saint-Gobain.
Il y a 2 ans et 319 jours

Christophe Possémé, nouveau président du CCCA-BTP

Christophe Possémé, 45 ans, a été élu président du CCCA-BTP (Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics), lors du conseil d’administration du 5 juillet 2022, pour un mandat de trois ans. Il succède à Éric Routier, qui présidait l’association à gouvernance paritaire depuis 2019. Christophe Possémé est président de l’entreprise Le Bâtiment Associé à Muizon (51), qui compte 155 collaborateurs : maçonnerie, taille de pierre, charpente, ossature bois, restauration du patrimoine, travaux de déplombage et désamiantage, travaux publics. Après un CQP (certificat de qualification professionnelle) de briqueteur et un baccalauréat professionnel Construction bâtiment gros œuvre, Christophe Possémé a obtenu un diplôme de chef d’équipe gros œuvre puis un DUT (diplôme universitaire de technologie) de Conducteur de travaux. Il a également suivi le cycle de direction d’entreprise de l’Aproba et il est titulaire du certificat supérieur Développement durable et Qualité environnementale de l’IFRB. Après plusieurs années passées dans différentes entreprises du bâtiment, Christophe Possémé a rejoint en 2000 l’entreprise Le Bâtiment Associé en qualité de conducteur de travaux. Directeur de travaux de 2005 à 2009, puis directeur général adjoint de 2009 à 2010, il est depuis 2011 le président de l’entreprise. Christophe Possémé est de longue date investi dans la formation professionnelle aux métiers de son entreprise, notamment des jeunes par la voie de l’apprentissage. À ce titre, Le Bâtiment Associé, qui forme chaque année une vingtaine d’alternants et dont la formation et la montée en compétence permanente des salariés constitue une valeur forte de l’entreprise, a reçu en 2021 le Trophée de l’alternance. Le conseil d’administration du CCCA-BTP du 5 juillet 2022 a également élu : Éric Routier (FNCB-CFDT), vice-président, Ludovick Lefebvre (FNSCBA-CGT), trésorier Laure Vial (CAPEB), secrétaire
Il y a 2 ans et 320 jours

Le FILMM édite une nouvelle brochure sur le confort d’été dans la RE 2020

Le FILMM détaille les solutions pour un confort d’été efficient. La Réglementation Environnementale – RE 2020 – a intégré une évolution importante sur le thème du confort d’été. Ainsi, comme l’explique la brochure du FILMM, la RE 2020 introduit un nouvel indicateur : les degrés-heures d’inconfort (DH) exprimés en °C.h. Les évolutions des températures et les vagues de chaleur induites par le réchauffement climatique ont été prises en compte dans le cadre d’une nouvelle méthode de calcul. Afin que cette notion soit plus concrète, le FILMM illustre clairement le principe de calcul de cet indicateur DH à l’appui d’un graphique. Pour prendre en compte la durée et de l’intensité de l’inconfort, il faut identifier les heures durant lesquelles la température maximale de confort est dépassée et faire la somme heure par heure des écarts de température (entre la température mesurée dans le bâtiment et la température maximale dite de confort). Une fois cette notion acquise, il est essentiel de savoir quelles solutions mettre en œuvre pour un confort d’été efficient. Le FILMM a donc mandaté le bureau d’études « Bastide et Bondoux » afin de réaliser des calculs de sensibilité sur le confort d’été dans le cadre de la RE 2020. L’étude porte sur deux maisons, l’une de plain-pied et l’autre avec combles aménagés, avec pour chacune une structure maçonnée puis une structure en ossature bois dans trois zones climatiques (Nord, Centre et Sud). Le bureau d’étude a pris en compte les 3 méthodes de calcul des DH qui entrent dans le cadre de la RE 2020 (méthode forfaitaire, à points et détaillée). La brochure fait la synthèse des conclusions des différentes méthodes de calcul et donne des réponses sur le rôle des isolants et rappelle les leviers les plus efficaces pour un confort d’été efficient. À la disposition des professionnels et des particuliers, en accès libre de téléchargement sur son site Internet, cette nouvelle brochure du FILMM permet de mieux comprendre le confort d’été dans le cadre de la RE 2020, synthétise des informations essentielles à connaître, pour s’orienter vers les bons choix techniques à faire, en matière de confort d’été. L’étude distingue les paramètres importants du confort d’été et souligne qu’une combinaison de solutions est la clé de voûte du confort d’été.
Il y a 2 ans et 328 jours

L'OPPBTP lance une étude pour améliorer les conditions de travail des charpentiers

Cette étude métier porte sur les conditions de travail d’une activité spécifique représentative du métier de charpentier en construction bois : la construction de maison individuelle avec murs à ossature bois.
Il y a 2 ans et 329 jours

Le constructeur des Maisons Phénix au bord de l'abîme

"Phénix, pour que chacun ait sa maison." Ce slogan publicitaire, matraqué tout au long des années 70, a fait de cette entreprise un symbole de l'accession de masse à la maison individuelle.Aujourd'hui, son modèle économique, fragilisé, s'est vu asséner le coup de grâce par les soubresauts du marché du fait de la crise sanitaire et de la guerre en Ukraine.Aucun repreneur viable ne s'est manifesté pour reprendre l'ensemble de son activité, mettant en danger les plus de 1.100 salariés du groupe."Faute de repreneur à date, la liquidation judiciaire prononcée à la fin du mois est désormais à craindre", écrivent, dans une lettre ouverte à l'Elysée et au ministère de l'Economie, dirigeants et représentants des salariés du groupe.Faute d'avoir accès aux financements bancaires, après de premières difficultés à la fin des années 2000, la direction a frappé à la porte du ministère de l'Economie pour lui réclamer une rallonge de quelque 70 millions d'euros. Elle s'est vu opposer une fin de non-recevoir."L'Etat ne peut pas financer seul les pertes passées et futures, sans aucun actionnaire. Il peut soutenir un repreneur mais ne peut pas se substituer à un actionnaire", tranche-t-on à Bercy. "L'absence de repreneur est bien le signal des difficultés structurelles de l'entreprise".AffaiblissementCar le modèle économique de Geoxia, basé sur ses fameuses maisons Phénix à bas coût, semble à bout de souffle.Elle fabrique en effet dans ses propres usines leur ossature, des charpentes métalliques qu'elle apporte toutes faites sur les chantiers.Une structure de fonctionnement plus lourde que la plupart des constructeurs, qui aujourd'hui font appel à des sous-traitants locaux, et bâtissent dans des matériaux plus classiques, parpaings ou briques.Et ses usines, indissociables de sa production, deviennent un fardeau économique en période de vaches maigres, de quoi décourager des repreneurs potentiels.Autre écueil : la hausse des prix de l'immobilier et l'assèchement des aides à l'achat ont découragé les ménages modestes, coeur de cible des maisons Phénix."Avec les contraintes de construction qui se sont ajoutées année après année, l'envolée des prix des matériaux et l'augmentation des prix des terrains, le client moyen qui achète une maison aujourd'hui, il est sensiblement différent de celui qui achetait il y a cinq ou six ans", résume Damien Hereng, président de la Fédération française des constructeurs de maisons individuelles.Et Geoxia n'a pas su monter en gamme à temps.Amertume"Aujourd'hui les gens avec un bas revenu ou un salaire normal n'auront plus accès au rêve français qui est d'avoir une maison individuelle", lâche Fernando Cabete Neves, délégué syndical CFTC chez Geoxia. "L'état d'esprit, c'est un état d'esprit d'amertume, de gâchis. On est en train de mettre sur le carreau 1.195 salariés, on va sacrifier tous ces gens-là", regrette-t-il."C'est triste parce que c'est une marque avec une notoriété énorme, j'espère pour eux que l'histoire n'est pas tout à fait terminée", confie Damien Hereng.Du côté de la profession, on s'inquiète pour les quelque 1.600 clients toujours en attente d'être livrés, et pour qui les délais risquent de s'allonger.Mais pas de risques sur le reste des constructeurs, a voulu rassurer le président du pôle Habitat de la Fédération française du bâtiment, Grégory Monod. "Geoxia ne représente pas le marché", a-t-il déclaré jeudi à la presse.La maison individuelle, décriée pour son impact environnemental et la dépendance à la voiture qu'elle induit, continue d'être plébiscitée par les Français, surtout depuis le confinement du printemps 2020, avec des prix en constante progression.
Il y a 2 ans et 330 jours

La robe en zinc Quartz-Zinc de VMZINC enveloppe les bureaux de la maison Rémy Martin à Merpins (16)

Ce bâtiment de 5.000 m2 connecte les chais de vieillissement d’un côté et le site d’embouteillage de l’autre. Il accueille, depuis juin 2021, les 130 collaborateurs, qui travaillaient jusqu’alors dans le centre-ville de Cognac.INCA Architectes et AIA Life Designers ont imaginé un grand parc paysager dans lequel le nouvel édifice, rappelant les chais historiques, est venu s’insérer. Ce bâtiment-promenade se distingue par deux parties longilignes reliées entre elles par des passerelles. Elles abritent toutes les fonctions et dessinent un véritable lieu de vie : accueil, bureaux, salles de réunions, restaurant, salle de sport, locaux du personnel. Des parvis, patios et jardins créent une transition douce entre le dedans et le dehors. Le paysage, la lumière, la nature et l’histoire ont été de précieuses sources d’inspiration pour donner du sens à ce programme dans le respect des valeurs de la Maison Rémy Martin.La matérialité de la pierre de Charente est réinterprétée en façade de manière contemporaine et se marie harmonieusement au zinc VMZINC qui habille la toiture. Cette couverture élégante et légère dans l’expression retranscrit avec soin du détail la conception architecturale. Le bureau d’études de l’entreprise Alain COUTANT Couverture et celui de VMZINC ont collaboré étroitement afin de s’assurer que les systèmes VMZINC puissent techniquement répondre aux attentes esthétiques. Au total, 7.000 m2 de solutions zinc ont été mises en œuvre, soit environ 60 tonnes : Joint Debout en couverture ; Profil à Emboîtement pour les sous-face et agrafage sur-mesure sur les rives et pignons.Un seul aspect de surface, le QUARTZ-ZINC, a été retenu. Ce zinc, qui se patinera avec le temps, joue avec la lumière, une composante essentielle du projet. Au fil de la journée et selon la météo, il se nuance et crée des reflets. Les matériaux sélectionnés ; le zinc, la pierre et l’aluminium ; se distinguent par leur noblesse, leur intemporalité et leur durabilité.Détails minimalistesLes lignes épurées de la toiture en zinc ont requis une grande technicité à l’image des rives au niveau des casquettes avec débords de toit en rez-de-chaussée et au premier étage. Travaillées le plus finement possible, ces pointes effilées passent de 34 cm à quasiment 0 cm d’épaisseur sur une longueur d’1,90 m.Pour Mathias COUTANT, Gérant de l’entreprise Alain COUTANT Couverture: « Une ossature secondaire en bois a été conçue pour venir vêtir le squelette d’acier. Des flasques métalliques, doublées de bois, font la jonction avec cette ossature secondaire afin de dessiner gracieusement cette pointe si fine qui borde le bâtiment. »Toutes les couvertures (hors casquettes) sont traitées en complexe de toiture chaude Toiture VMZINC : bac acier/pare-vapeur/isolant 240 mm en double couche/écran pare-pluie/ QUARTZ-ZINC PLUS.Des chéneaux ont été intégrés en milieu de versant afin de récupérer les eaux pluviales de la partie supérieure. Encaissés, ils disparaissent du regard et permettent d’assurer la continuité esthétique de la ligne des toitures.Logistique menée d'une main de maîtreLe bureau d’études de l’entreprise Alain COUTANT Couverture a réalisé les plans à partir d’une maquette 3D afin d’intégrer les éléments zinc à la charpente métallique et aux menuiseries aluminium. Il a calculé et défini ses besoins en zinc avant d’effectuer les commandes de bobines auprès de VMZINC. Pour respecter le rythme des meneaux en pierre et garantir un alignement visuel des différentes joints, VMZINC a produit ces bobines dans des dimensions sur-mesure. Elles ont été refendues (largeurs 530 mm et 467 mm) selon le pas de pose défini par les différentes solutions. L’objectif étant de faire coïncider les joints creux de la sous-face avec le joint debout des bacs de la couverture.Lors de la phase chantier, un groupement d’entreprises a été constitué (Alain COUTANT Couverture, BOUCHET Couverture et SMAC) assurant la livraison de l’ouvrage en un an après le démarrage des travaux.
Il y a 2 ans et 332 jours

Lancement d’une nouvelle étude métier afin d’améliorer les conditions de travail des charpentiers

A partir d’informations quantitatives et qualitatives issues d’observations de l’activité et d’entretiens, les partenaires souhaitent mettre en œuvre des pistes d’amélioration des conditions de travail pour l’ensemble des professionnels concernés.Accompagner en prévention le développement de la construction boisAvec le développement de la construction bois ces dernières années, de plus en plus d’entreprises de toutes tailles ont recours à la construction hors site pour leurs chantiers. Bien que cette méthode de construction en atelier ou en usine présente de nombreux avantages, elle induit la pose d’éléments lourds et/ou volumineux sur chantier, qui peut être facteurs de risques : adéquation des moyens de levage/manutention, prise au vent des panneaux de murs, basculement de ces derniers et risques d’écrasement des compagnons. Ces chantiers présentent aussi des situations de travail en hauteur, notamment pour l’élingage et le désélingage des murs, ou encore la mise en œuvre des étages. En outre, ces dernières années, la préfabrication des planchers a également émergé. Cette pose d’éléments horizontaux est nouvelle et il est donc nécessaire d’améliorer la connaissance du métier, pour mieux comprendre les risques auxquels sont confrontés les compagnons et y apporter les solutions adéquates.Une étude métier qui repose sur une méthodologie d’intervention spécifiquePartant de ce constat, la Fédération des SCOP du BTP, l’Union des Métiers du Bois (UMB-FFB), l’Union des Industriels et Constructeurs Bois (UICB), la CAPEB et l’OPPBTP ont initié une démarche d’étude métier afin de sensibiliser les professionnels et de pouvoir améliorer les conditions de travail des charpentiers. Celle-ci repose sur une méthodologie d’intervention dénommée « Méthode d’Analyse et d’Evaluation des Conditions de Travail » (MAECT). Elle comprend une première phase tournée vers l’observation et l’analyse d’une situation de référence préalablement déterminée par les organisations professionnelles, qui conduit à la proposition de recommandations d’actions. Une Commission d’amélioration des conditions de travail est ensuite mise en place afin de développer tout ou partie de ces actions. Afin de dresser un état des lieux précis et complet, les observations de l’activité seront simultanément associées à une métrologie spécifique aux activités du charpentier pour chaque salarié observé :Mesures d’exposition aux poussières totales (dont poussières de bois) ;Mesures d’exposition au bruit : dosimétries et sonomètre pour mesurer le bruit ambiant si nécessaire ;Mesures de la fréquence cardiaque ;Mesures d’exposition aux vibrations lors des phases de mise en oeuvre (visseuse, cloueuse et outils mécaniques à main si nécessaire) ;Relevés de température et d’hygrométrie (ambiance climatique).Une situation de travail représentative du métier de charpentier en construction boisL’étude métier se concentre sur une situation de travail fréquente et représentative de l’ensemble des facteurs de risques auxquels ces professionnels sont exposés : la mise en oeuvre de planchers et de murs à ossature bois sur un chantier de logement individuel neuf.Afin de couvrir l’ensemble des pratiques, l’étude métier permettra d’observer quatre chantiers issus d’entreprises volontaires et adhérentes de chacune des Organisations professionnelles participant au projet. Parmi ces 4 chantiers avec pose de murs à ossature bois, seront également observés :Deux chantiers mettant en œuvre un plancher préfabriqué en atelier,Deux chantiers mettant en œuvre un plancher dont les poutres et solives sont posées sur site.Pendant trois jours consécutifs, la phase d’observation permettra d’observer au plus près les conditions de travail des opérateurs, selon 21 facteurs, des plus évidents (manutention manuelle, gestes, postures…) au plus sous-estimés (communication, autonomie).L’Instance d’Amélioration des Conditions de Travail proposera ensuite des solutions pratiques et facilement applicables, quelle que soit la taille de l’entreprise concernée.Les observations sur le premier chantier sont menées en juin 2022.
Il y a 2 ans et 334 jours

Parution du guide pratique CSTB "Ouvrages en plaques de plâtre"

Le Guide Pratique « Ouvrages en plaques de plâtre avec ou sans isolation » expose les précautions à prendre lors de la conception et de la réalisation d’ouvrages en plaques de plâtre en détaillant les dispositions des normes NF DTU 25.41 et 25.42 et des Documents Techniques d’Application concernés (GS9 et 20). Il commente les conditions de mise en œuvre des principaux ouvrages en plaques de plâtre vissées sur ossatures métalliques, plafonds (horizontaux ou inclinés), cloisons (de distribution ou séparatives), doublages de murs extérieurs, gaines techniques mais aussi des ouvrages collés (doublages, habillages) et des cloisons en panneaux alvéolaires. La position des isolants et des pare-vapeur est précisée sous forme de croquis de détails de mise en œuvre.Pour chaque système, différents points sont abordés : implantation et traçage, mise en œuvre, points singuliers, outillage, traitement des joints, sans oublier la réception des ouvrages, les fixations et accrochages ainsi que l’application des finitions. Cette 4e édition intègre les données complémentaires issues de la révision de la norme NF DTU 25.41 (février 2022). Cette synthèse très illustrée et très pratique sera utile à tous les professionnels qui doivent prescrire, mettre en œuvre ou vérifier des ouvrages réalisés selon les techniques précitées : entreprises, plaquistes, artisans, maîtres d’ouvrage, architectes, BET, bureaux de contrôle, etc.Pour en savoir plus, consulter l’extrait du guide et le commander, cliquer ici.
Il y a 2 ans et 336 jours

Pour rénover la France, biosourcé ne veut pas forcément dire décarboné !

C’est près d’un quart des émissions de tout le pays. L’enjeu est donc colossal : déployer rapidement et à grande échelle des solutions à faible impact voire à impact positif pour notre planète. Pour se faire, les pouvoirs publics ont érigé en dogme LA solution miracle, l’utilisation de matériaux biosourcés.Pour autant, le diagnostic est-il bon ? Je ne le crois pas. Avant tout, il faut se poser les bonnes questions. Si on se réfère aux leviers de décarbonation du bâtiment proposé par le think tank The Shift Project, les recommandations sont d’abord de faire preuve de sobriété dans les constructions neuves, massifier la rénovation énergétique globale et performante ou encore mobiliser le bâtiment comme puits de carbone. L’isolation a un rôle majeur à jouer dans la rénovation et pour la massifier, l’Isolation Thermique par L’Extérieur (ITE) est la mieux placée pour répondre aux besoins. Ses avantages ne sont plus à démontrer : travaux propres et rapides qui ne perturbent pas l’intérieur des logements, compatible avec la pré-industrialisation, rupture des ponts thermiques des planchers, embellissement des façades…En effet, ce type d’isolation est au cœur de nombreux enjeux. Le cahier des charges est complet : isoler thermiquement, phoniquement et embellir les façades. Mais également protéger le bâtiment des risques incendies, bien se comporter en cas de séismes et éviter les infiltrations d’eau ou les problèmes de condensation qui amoindriraient les performances des isolants en place. Comme il reste tant à faire dans un temps si court, les chantiers doivent être rapides et propres, le tout en répondant à un budget acceptable ! Quand on comprend cela, on se rend compte que la solution à apporter n’est pas simple, elle est complexe. Et l’ITE est la mieux placée pour y répondre.Ensuite, on se rend compte rapidement que la solution du tout biosourcé ne fonctionne pas pour l’ITE. Pourquoi me direz-vous ? Il existe une multitude d’isolants biosourcés ! Du chanvre à la paille, en passant par la laine de mouton ou encore la plume de canard, ce n’est pas le choix qui manque. Cependant, ces solutions sont aujourd’hui adaptées pour l’Isolation Thermique par l’Intérieur (ITI), pour un marché local, au plus proche de la ressource et effectivement, dans ce cadre, cela fonctionne ! Mais l’enjeu dont on parle est d’isoler des millions de logements à un rythme jamais atteint. Le tout avec une obligation de résultats (pérennité des matériaux) permettant de réaliser des économies d’énergies et ainsi préparer une réelle décarbonation. Et c’est là que les choses se compliquent pour le biosourcé. A l’heure où l’on parle, il n’existe qu’un seul type d’isolant biosourcé répondant à une partie du cahier des charges exigeant qui permettra réellement de décarboner : la fibre de bois. C’est le seul qui présente à la fois certificat ACERMI, Fiche de Déclaration Environnementales et Sanitaires (FDES) et validité en ce qui concerne la sécurité incendie.On résume. Il faut rénover les bâtiments plutôt que d’en construire de nouveaux. Il faut utiliser l’ITE (adaptée à la massification) plutôt que l’ITI (à utiliser quand l’ITE n’est pas possible). Il faut avoir les garanties que la solution d’ITE choisie dure sur le temps long et compense son impact Carbone initial en quelques années maximum grâce aux économies qu’elle génère.Avant de proposer telle ou telle solution sur un système répondant à ces exigences, il faut commencer par le soumettre à l’exercice de la massification. Or, les bardages bois et/ou la fibre de bois ne peuvent pas répondre à eux seuls à l’enjeu. On comprend aisément qu’un parement en lames de bois produit dans les forêts du Morvan n’est pas en mesure d’équiper toutes les façades en bois de France ! Même constat pour les isolants en fibre de bois. En effet, importé et transporté sur longues distances, le bois voit alors son impact carbone monter en flèche. Autrement dit, réaliser des projets de niche est bon pour l’image de ceux qui les commandent et les exécutent, mais ils sont à des années-lumière du défi de la neutralité carbone. Le biosourcé seul n’est pas une solution pour décarboner à grande échelle : Faire appel à des systèmes hybrides est une nécessité !Pour ne pas tomber dans le piège du « tout-biosourcé », il est indispensable de regarder d’abord et avant tout l’impact de ces matériaux sur la planète. En la matière, le seul et unique juge de paix tient en quatre lettres : FDES. Tout le reste n’est que subjectivité, émotion et religion. Les Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaires (FDES) sont certifiées de manière indépendante et font l’inventaire des émissions de CO2 de tous les composants d’un produit, de la fabrication de ses matières premières à sa fin de vie, en passant par sa production, son transport et sa mise en œuvre. Comparer les FDES des solutions d’ITE, vous risquez d’avoir des surprises ! Certains systèmes présentés comme « biosourcés et écologiques » ont une empreinte carbone plus forte que les systèmes Myral, composés d’isolant en polyuréthane, à forte teneur en matériaux recyclés, résistants, faciles à poser, sans ossature et d’une durabilité reconnue de plus de 50 ans. Il est donc temps de fonder son analyse sur des données objectives pour faire le bon diagnostic !Par le jeu de subventions aveugles, les pouvoirs publics oublient l’essentiel : c’est la baisse de l’impact carbone qui compte, et non souscrire à une solution attrayante au premier abord mais bien plus complexe en réalité. L’utilisation des matériaux biosourcés peut être l’une des solutions à faire baisser nos émissions, mais sûrement pas la seule. De plus, la course effrénée au 100% biosourcé est accentuée par les aides financières, plus personne ne prend le temps de regarder ce qui compte vraiment. Et cette vision de court-terme ne nous emmène pas sur le chemin du succès contre le réchauffement climatique. C’est un serpent qui se mord la queue.Maîtres d’ouvrage, architectes, poseurs ou industriels, nous avons tous un rôle à jouer pour sensibiliser un large public à la nécessité de mixer les solutions, arriver à des compromis intelligents et innover. Myral s’engage sur la voie de la transparence. Bientôt, chacun pourra comparer nos systèmes de solutions et leur impact sur l’environnement. Pour être éclairé avant de décider. Et pour réduire réellement, durablement, massivement et ensemble les émissions carbone du bâtiment.Halte aux idées reçues ! Posons-nous les bonnes questions, ouvrons les yeux, soyons honnêtes et objectifs : pour rénover la France, biosourcé ne veut pas forcément dire décarboné !Tribune de Julien Bagnard, responsable développement Myral (LinkedIn).
Il y a 2 ans et 342 jours

vente aux encheres de noms de domaine pour le btp

isolant com fenetre com bardage fr une quarantaine de noms de domaine premium pour les entreprises du btp devraient etre mis aux encheres entre le 24 juin et le 1er juillet prochains cette vente annoncee par boischaut digital specialiste en actifs immateriels sera organisee sur la plateforme interencheres online mise aux encheres de ndd une premiere la loi du 28 fevrier 2022 a assoupli les conditions de mise aux encheres de certains biens jusqu ici le code du commerce n autorisait que la mise en vente volontaire de biens corporels excluant de fait les objets immateriels comme les oeuvres numeriques les noms de marque et les logiciels les noms de domaine font partie de ces meubles incorporels desormais ouverts a la vente volontaire aux encheres publiques dans la foulee l entreprise boischaut a annonce la mise en vente de 48 ndd sur interencheres online selon les informations relayees par batirama qu est ce qui fait la valeur d un ndd vodka com s est vendu a 3 millions de dollars en 2006 une goutte d eau pour le groupe du milliardaire roustam tariko specialise dans la vente de spiritueux dans les faits les ndd les plus attractifs se vendent regulierement au prix fort business com cars com privatejet com insurance com tous ont ete cedes moyennant plusieurs millions de dollars si ces exemples sont interessants c est qu ils possedent tous les ingredients du bon ndd court moins de 15 caracteres clair l offre est comprise immediatement impactant le nom est facile a retenir la bonne nouvelle pour les tpe pme du batiment c est qu un bon ndd peut se negocier autour de quelques centaines d euros comptez toutefois jusqu a plusieurs dizaines de milliers d euros pour les plus en vue folle enchere en perspective les 48 ndd promis pour la grande vente de l ete 2022 ciblent differentes activites strategiques du btp des noms simples et efficaces avec des extensions en fr ou com de quoi faire rapidement monter les encheres voici quelques exemples de ndd avec les prix ttc communiques par boischaut digital fenetre com 36 000 72 000 fenetres pvc fr 300 600 bardage fr 1000 2000 facades fr 600 1200 chauffage central fr 600 1200 granules bois com 600 1200 isolationthermique com 6000 12 000 isolationdescombles com 1800 3600 maison passive fr 600 1200 vmcdoubleflux fr 1000 2000 ossaturebois com 2400 4800 diagnosticenergetique fr 800 1600 autant d opportunites de se positionner face a la concurrence avec un nom de domaine cible simple a memoriser et facile a taper
Il y a 2 ans et 347 jours

Le salon Eurobois dévoile son programme

A la hauteur de cette offre et au plus près des tendances du marché et des besoins de la filière, Eurobois proposera un programme de contenus riches et variés.Il abordera les enjeux actuels de la filière tels que l'emploi, la formation, la montée en compétences, le numérique et l'innovation. Et mettra en valeur plus particulièrement les secteurs de la 1ère transformation, de la 2nde transformation et de l'agencement aussi bien sur les stands des entreprises que dans le cadre des nombreuses animations et conférences.Ce programme, alliant animations, démonstrations pratiques et sujets prospectifs, proposera des contenus spécifiques et adaptés aux besoins des visiteurs professionnels : agenceurs, architectes d’intérieur, charpentiers, ébénistes, menuisiers, collectivités, négoce, ou encore des scieurs. Ils auront la possibilité de s'informer sur les dernières actualités de la filière, de découvrir les innovations présentées par les entreprises exposantes, de participer à des démonstrations et mises en pratique sur de nombreuses animations et stands, et enfin d’accéder facilement aux offres d'emplois proposées et formations existantes.L’innovation au cœur du salonVéritable vitrine de toutes les nouveautés, produits, services et technologies, EUROBOIS place l’innovation au cœur du salon avec de nombreux dispositifs permettant aux visiteurs professionnels de découvrir les nouveautés de la filière.Les EUROBOIS AWARDSPlateforme de lancement de produits et services, le concours EUROBOIS AWARDS récompense le caractère innovant d’un produit ou d’un service, mais aussi son design, sa performance, la démarche RSE de l’entreprise, la qualité environnementale du produit/service, sa certification, son usage pour les professionnels, et enfin sa maîtrise des coûts. Les 28 innovations des 22 entreprises en lices seront jugées par un jury de professionnels de la filière, ainsi que par un jury d’étudiants issus d’écoles spécialisées de la filière bois.Nouveauté, les professionnels auront l’occasion de découvrir les innovations des entreprises à travers un pitch de 5 minutes sur le Plateau TV, le mardi 14 juin matin, à partir de 10h. La remise des prix aura lieu le 15 juin à 16h30, également sur le Plateau TV.Découvrez la liste des innovations présentées aux Eurobois AwardsEspace Wood Innovations – stand : 6M44Organisé par le Pôle de Compétitivité Xylofutur, La Wood Tech et Canopée Challenge, l’espace Wood Innovations proposera tout au long du salon de découvrir, d'échanger, de construire autour des thématiques d'innovation.Plusieurs ateliers seront proposés durant les 4 jours :Présentation des lauréats du Canopée ChallengeLes possibilités de l'innovation technique en lien avec les enjeux de la filièreL’intérêt d’intégrer du design dans le processus d’innovationPrésentation du Plan d'Investissement d'Avenir (PIA) 4 - Région Auvergne-Rhône-AlpesLes start-up de La Wood TechAtelier "Digital" : Innovation et Digital - Une convergence inéluctablePrésentation de projets labellisésRencontre adhérents Xylofutur - Les ponts entre recherche académique et industrielAtelier "Levée de fonds" : Financement de l'innovation - Suivez le guideLes acteurs de la filière Forêt-BoisPDI Programme de Développement à l'International 2023 - Région Auvergne-Rhône-AlpesAtelier "Pitch" : Comment bien présenter son innovationDes réponses concrètes aux problématiques liées à l’emploi et la formationDans un contexte de forte croissance due aux nouvelles réglementations et au soutien des pouvoirs publics, la filière bois peine à recruter. Manque d’attractivité des métiers, nouveaux enjeux liés à l’arrivée du numérique et du 4.0… Les raisons sont multiples. Et même si la situation tend à s’améliorer, les efforts doivent être maintenus, c’est pourquoi EUROBOIS s’engage pour la filière et propose des réponses concrètes.Le Campus EUROBOIS, espace spécialement dédié à l’emploi et la formation sur le salon, permettra de faciliter les rencontres entre les centres de formation, les étudiants et les professionnels en recherche de formation d’une part et les recruteurs et les demandeurs d’emploi d’autre part.Il sera organisé autour de deux espaces, l’un dédié à la formation, l’autre à l’emploi.L’espace formation, rassemblera une quinzaine de centres de formation, dédiés à la filière bois, proposant des formations continues ou initiales. Ils seront présents durant tout le salon pour renseigner, conseiller et accompagner les étudiants et/ou les professionnels en recherche de formation, mais également présenter les cursus existants, les nouvelles formations diplômantes, ainsi que les modalités pour y accéder. Les organismes présents sur le salon sont : L’ENSTIB, ESB, Fibois, CEGEP, Formabois, Le lycée Claude Mercier, CFPF, Master Sciences du Bois, GRETA CFA, le lycée forestier Sauges, Reinach formations, le Centre des Services Scolaire du Pays-des-Bleuets, le lycée Roanne Chervé Noirétable, Les Compagnons du Devoir, L’institut des métiers de Clermont-Ferrand, et enfin l’Ecole Technique du Bois.Au sein de l’espace dédié à l’emploi, les visiteurs auront accès à de nombreuses offres à pourvoir dans le secteur, sur le Mur de l’Emploi. Pôle emploi, partenaire de l’évènement, animera les 14 et 15 juin deux « journées de l’emploi » durant lesquelles l’organisme fournira des renseignements pratiques aux visiteurs.Par ailleurs, les thématiques de l’emploi, de la formation et de la montée en compétences seront également abordées sur le Plateau Bati-Journal TV au travers d’émissions dédiées :Mercredi 15 juin09H30-10H15 Emploi & recrutement : les nouveaux outils15H00-15H45 La formation SmartisanPleins phares sur l’agencementCOHOME BELLEVILLE CLUB, l’histoire d’un coliving laboratoire de l’agencementOrganisé par les équipementiers de l'Ameublement Français, l’espace COHOME BELLEVILLE CLUB propose aux visiteurs de découvrir de vraies inspirations pour l’agencement, des mises en situation de produits et de solutions disponibles pour leurs projets. Réalisé en collaboration avec l’agence Label Experience, COHOME BELLEVILLE CLUB met à profit les innovations du groupement pour créer un environnement accueillant, artistique et multi-fonctionnel.Sur l’espace COHOME BELLEVILLE CLUB, une équipe de 11 marques représentera une large palette d’expertises, de services, ainsi que de produits complémentaires. Ces entreprises mettent à disposition des agenceurs et architectes d’intérieur un espace d’échange et de partage sur le stand des Equipementiers de l’Ameublement français.Véritable laboratoire de l’agencement, le stand des Equipementiers de l’Ameublement Français propose un projet de coliving appelé « COHOME BELLEVILLE CLUB ». L’espace collectif comprend un accueil, un atelier et une terrasse, un coin cuisine/restauration, une buanderie, une salle de jeux/cinéma, une pièce hybride, un espace coworking, une estrade…L’agencement présenté intègre les différentes innovations des équipementiers : Marche pied Space step et Aventos en cuisine de Blum Tablettes coulissantes en buanderie de Blum Prises plan de travail, lampe chauffe plat, prises suspendues de MSA FRANCE Rideaux d’armoire Rehau Parquet, cloisons amovibles et poignées de LMC Façades de cuisine en panneaux Pfleiderer Plan de travail en Corian Mobilier structurel en contreplaqué de Manufactures Février usiné sur des machines à bois Biesse Lit armoire Sedac Meral Coussins d’assise et rideau acoustiques de Sotexpro Meuble TV sur vérins élévateurs de Linak Conception 3D, réalisée avec la suite 2020 Design Sur cet espace sont également prévus une série d’ateliers et des moments d’échanges conviviaux.Thématiques traitées en ateliersPrésentation du projet COHOME BELLEVILLE CLUBQuelles sont les tendances revêtements, textures, couleurs, systèmes ?Comment gagner en productivité dans ma production d’agencement ?Quel agencement face au développement durable ?Quel parcours numérique idéal dans l’agencement ?Quelles solutions pour l’hybridation et la modularité dans les espaces de vie ?Parole aux agenceurs de la Région Rhône-Alpes : s’engager dans une entreprise d’agencement : les entreprises recrutent !Optimisation des petits espaces et ultra sur-mesure Émissions dédiées à l’agencement sur le Plateau TVUsages du sapin en construction et aménagementCO-HOME avec L’Ameublement FrançaisLa parole à la Chambre Française de l’agencement - RSEPro A avec la Chambre Française de l’agencementMoments d’échangesApéritif convivial entre équipementiers, agenceurs, distributeurs et architectes d’intérieur dans la cuisine grandeur nature du COHOME BELLEVILLE CLUBDéjeuner convivial : les équipementiers invitent le Club Chic sur l’espace COHOME BELLEVILLE CLUB : agenceurs, distributeurs, architectes d’intérieur, industriels du meuble et designers.La construction bois mise en valeur à travers 2 animationsLes ateliers construction bois : conférences et retours d’expérience au programmeA l’occasion de ses 40 ans, l’Agence Qualité Construction proposera sur son stand un cycle de conférences dédié à la construction bois sur des retours d’expériences et points de vigilances.Les conférences porteront sur les sujets suivants : La Qualité de l’Air dans la constructionCatalogue Bois Construction : Assurez la performance et la qualité des constructions boisSimulateur bois et biosourcé, pilotez l’impact environnemental de votre constructionDéfauthèque, points de vigilance et REX sur les constructions boisRéversibilité des constructions, anticipez les évolutionsÉconomisez les ressources, réemployez ! Re.SourceLa préfabrication cela s’apprend !Panneaux acoustiques, les solutions boisL’atelier M.O.B : toutes les étapes en temps réel de la fabrication de panneaux, de la conception du projet 3D au départ sur chantier !Les visiteurs pourront s’immerger au sein d’un atelier de construction bois grandeur nature, au cœur du salon, mêlant techniques traditionnelles et numériques.Coordonnée par l’entreprise Mach Diffusion, pilotée par Charm’Ossature et en collaboration avec les entreprises exposantes du salon, l’animation permettra de découvrir en temps réel toutes les étapes de la reconstitution d’un atelier de fabrication, de la conception du projet 3D au départ sur chantier : conception, débit, assemblage, manutention, levage, transport et montage, ainsi que toutes les machines, équipements et outils nécessaires à la construction d’une maison !L'Atelier des Compagnons : valoriser les savoir-faire traditionnels et numériques au travers de la thématique de l’assemblageDes jeunes menuisiers en formation sur le Tour de France participeront à un atelier sur le salon organisé par les Compagnons du Devoir.Au travers de la thématique de l’assemblage, ils pourront interroger les évolutions qui transforment la pratique de leur métier.À l’aide de leurs scies, de leurs ciseaux et d’un bras robot, de jeunes professionnels pourront tailler dans le vif du sujet et tenter d’ébaucher des débuts de réponses en s’entraînant à réaliser des assemblages le temps du salon, en mêlant techniques et savoir-faire traditionnels et numériques.De multiples conférences, tables rondes et interviews sur le Plateau TVAnimé par Bati-Journal TV avec le soutien de France Bois Forêt, le Plateau TV accueillera durant 4 jours plus de 20 émissions autour des grandes thématiques d’actualités : l’agencement et le design, l’innovation, le 4.0, la robotique et l’automatisation, la formation et l’emploi, la construction bois, l’outillage et enfin la 1ère et 2ème transformation.Mardi 14 Juin10H00-12H00 Pitch Innovations Eurobois Awards12H30-13H30 Inauguration Eurobois 202214H00-14H45 La parole au Secimpac15H30-16H15 La parole à la Capeb16H45-17H30 Usages du sapin en construction et aménagementMercredi 15 Juin09H30-10H15 Emploi & recrutement : les nouveaux outils10H30-11H30 CO-HOME avec L’Ameublement Français12H00-12H45 La parole à la Chambre Française de l’agencement - RSE13H45-14H30 Pro A avec la Chambre Française de l’agencement15H00-16H00 Les scieries de service - Maurice Chalayer16H30-18H00 Remise des Trophées Eurobois AwardsJeudi 16 Juin09H30-10H15 Solutions bois en acoustique10H45-11H30 La parole à Plantons pour l’Avenir12H00-12H45 Valorisation innovante du chataigner15H00-15H45 La formation Smartisan16H15-17H00 La main et le numérique avec les Compagnons du DevoirVendredi 17 Juin09H30-10H15 Prévention sécurité au travail10H45-11H30 Parole au SNAFOT12H00-12H45 Les nouveaux outils de l’innovation avec Xylofutur13H45-14H30 Présentation de la plateforme du metier.org - Compagnons du DevoirPlantons pour l'avenir et Eurobois : ensemble pour les forêts françaisesCette année Plantons pour l’avenir et Eurobois ont choisi de s’associer pour créer un mouvement solidaire en faveur des forêts françaises.Créé en 2014 par les coopératives forestières, le Fonds de dotation Plantons pour l'avenir accompagne plus de 350 reboisements sur tout le territoire ainsi que des projets de sensibilisation et d’innovation en lien avec la filière forêt-bois.Plantons pour l’avenir sera présent sur un stand dédié ainsi que chez ses mécènes exposants, et présentera ses actions lors de petits déjeuner les mercredi 15 et jeudi 16 juin de 9h à 10h30 sur le club VIP ainsi que sur le Plateau TV Batijournal.Grâce aux mécènes ce sont 2,3 millions d'arbres plantés et 2 100 hectares reboisés, dans le cadre de la gestion durable et de l'adaptation de nos forêts au changement climatique.
Il y a 2 ans et 348 jours

Cedral, l’allié des maisons à ossature bois

La maison ossature bois : un concept efficace et eco-responsable Aujourd’hui, l’engouement pour la construction bois reflète l’émergence de préoccupations environnementales, de qualité et de confort auxquelles les matériaux Cedral se sont toujours efforcés de répondre. Rapide à construire, confortable et économique, la maison ossature bois (ou MOB) connait un succès grandissant dans l’hexagone. Alternative […]
Il y a 2 ans et 349 jours

Webinaire Myral : se préparer aux réglementations environnementales dans la réhabilitation

Le thème de ce webinair était : « Acteurs du bâtiment, comment préparer l’arrivée des réglementations environnementales dans la réhabilitation ? » Julien Bagnard (Myral), Pierre Laruaz (Isore Bâtiment) et Damien Cuny (Kompozite) ont échangé et ont répondu à des questions pertinentes pendant 70 minutes avec la centaine de spectateurs présents pour l'occasion. Ces participants ont d'ailleurs fait un retour très positifs de l'évènement proposé par le groupe Myral.Avec les objectifs de neutralité carbone prévus pour 2050, l'entrée en vigueur de la RE2020 dans le neuf et la lutte contre la passoires thermiques, le contexte actuel était propice au thème de « la préparation à l’arrivée des réglementations environnementales dans le secteur de la réhabilitation ». L'audience, constituée d'acteurs du bâtiment tels que des reponsables de groupes de la construction, de bailleurs sociaux, de collectivités et de la promotion immobilière, des architectes, des membres de bureaux d’études, des techniciens du bâtiment, des représentants d’industriels et d’organisations du secteur, ainsi que des journalistes spécialisés, a donc répondu présent.Les 3 experts présents pour débattre représentaient différents maillons de la filière de la réhabilitation de bâtiment mais ils sont également des ressources pour les maîtres d'ouvrages et les maîtres d'oeuvre en matière du travail de l'enveloppe du bâtiment en prenant en compte la réduction de l'impact carbone.Julien Bagnard, responsable du développement du groupe industriel Myral spécialiste de l’ITE, Pierre Laruaz, président d’Isore Bâtiment entreprise experte des travaux en filière sèche des façades ventilés ou des vêtures, et Damien Cuny, président de Kompozite la plateforme d'aide à la conception de bâtiment bas-carbone, ont commencé les débats en partageant le cheminement de leur prise de conscience sur les questions environnementales. Ils se sont tous les trois exprimé sur « leur sensibilité face à la part considérable de l’empreinte carbone du monde du bâtiment » et la nécessité de s’interroger face à l'urgence pour tous les acteurs à réagir, d’autant que le cadre réglementaire évolue.Les premiers labels qui annoncent la future réglementation dans le secteur de la réhabilitationPour Damien Cuny, président de Kompozite : « La prise en compte du carbone dans la construction c’est nouveau car la RE2020, qui vient d’entrer en vigueur dans le neuf, introduit cette notion, et c’est pour l’instant unique en Europe. Sur un bâtiment construit en 2022, 60 à 90% de l’impact carbone va venir des matériaux, contre 10 à 40% de l’énergie, si on regarde sur une période de 50 ans. Pour réussir le challenge de la neutralité carbone de la France en 2050 qui est l’objectif engagé par les pouvoirs publics, il va y avoir des seuils dégressifs dès 2025 et 2028. On voit d’ailleurs déjà en rénovation des labels qui commencent à analyser l’impact du carbone de ce type de projet. Ce sont les premières étapes à une législation comme cela s’est passé pour la RE2020. Donc si on n’est pas sur une temporalité immédiate, il est quasi-certain qu’il y aura dans les années à venir un cadre sur les matériaux et l’énergie économisée. »Malgré le changement probable de direction des réglementations du secteur de la réhabilitation pour aller dans le sens de la RE2020, ces questions ne semblent pas encore être au cœur des préoccupations.Pour Pierre Laruaz, président d’Isore Bâtiment : « On n’entend pas trop parler de carbone sur les chantiers. Autant sur l’énergie, il y a une vraie réflexion qui est engagée par les maitres d’ouvrage et les maitres d’œuvre, mais sur le choix des matériaux et des modes constructifs, la prise de conscience doit encore progresser, même si on parle aujourd’hui beaucoup plus de recyclage et de réemploi. »Pour Julien Bagnard : « On sent une attente de plus en plus forte mais elle a souvent du mal à se formaliser et elle est accompagnée de pas mal d’idées reçues. Car le sujet de la baisse de l’impact carbone et du choix des solutions et systèmes est beaucoup plus complexe qu’il n’y parait. Il faut réfléchir de façon pragmatique et sans idéologie. » Apprendre à lire la donnée carbone, choisir les bons matériaux aux bons endroits, hiérarchiser ses actions Une question de spectateurs, qui est revenue plusieurs fois lors de ce webinaire, concernant la rénovation des façades, était : les matériaux biosourcés sont-ils la seule solution pour baisser l’impact carbone de la réhabilitation ? Voici la réponse des 3 experts :« Quand on veut choisir un matériau intéressant, il faut penser système et prendre en compte les données du parement, mais aussi le poids carbone de l’ossature, qui change beaucoup de chose, a expliqué Pierre Laruaz d’Isore Bâtiment. Tous les matériaux ne conviennent pas à tous les projets. Un isolant biosourcé sera naturellement mieux adapté à une maison individuelle qu’à un bâtiment collectif en R+8 en zone sismique pour lequel la réglementation est bien plus stricte. D’autant que le sujet du risque incendie en façade vient réduire le nombre de solutions en biosourcé. » Alors quels sont les conseils à donner aux acteurs du bâtiment pour engager leur (ré)évolution environnementale ?Pour Damien Cuny : « Il faut surtout apprendre à lire la donnée carbone et les méthodes de calcul pour notamment avoir une vision réaliste de la durée de vie du produit rapporté à son poids carbone. C’est cela qui doit guider les choix. »Pour Pierre Laruaz : « C’est choisir les bons matériaux aux bons endroits en prenant en compte l’impact global : système + pose. »Pour Julien Bagnard : « La clé est dans la hiérarchie des actions : comprendre l’impact de ses produits et de leur mise en œuvre, travailler un plan réaliste avec des échéances claires et mettre en place des actions qui ont pour but au final de massifier la rénovation énergétique. »Retrouvez le webinaire dans son intégralité sur YouTube.
Il y a 2 ans et 349 jours

Les prédalles bas carbone Rsoft de Rector font leur jeu au Village des Athlètes

Situé sur les communes de Saint-Denis, Saint-Ouen-sur-Seine et l’Île-Saint-Denis, le Village des Athlètes accueillera les sportifs en juillet et août 2024. Il laissera ensuite place à un quartier en symbiose avec l’exemplarité environnementale ambitionnée par Paris 2024 et la SOLIDEO / Société de Livraison des Ouvrages Olympiques grâce, notamment, à l’utilisation de matériaux participant à la réduction de l’impact carbone des bâtiments. Favorisant la construction durable, les prédalles bas carbone Rsoft de Rector, spécialiste de la fabrication d’éléments en béton précontraint et béton armé, qui affichent une réduction de CO2 de 40% par rapport aux planchers de structure en prédalles classiques, ont été retenues par Eiffage Construction pour la réalisation des 19 bâtiments du secteur E du village des Athlètes. Village des Athlètes : un projet qui incarne les enjeux environnementaux du XXIème siècle Au-delà de l’esthétique moderne des bâtiments, ce sont les engagements en accord avec les ambitions de sobriété carbone et financière qui ont permis au groupement composé des sociétés Nexity, Eiffage Immobilier, CDC Habitat, EDF et Groupama d’être choisi pour réaliser le secteur E du Village des Athlètes. Situé à Saint-Ouen-sur-Seine, ce dernier comprend 19 bâtiments, répartis en 5 lots, mis à la disposition du comité olympique avant d’être convertis en logements (sociaux et accession) et en bureaux. « Pour répondre aux cahiers des charges et atteindre les exigences environnementales attendues*, le mode constructif de ces bâtiments repose sur la mixité des matériaux bois / béton bas carbone. En utilisant le bon matériau disposant d’une faible empreinte carbone au bon endroit, nous tirons le meilleur parti de chaque élément de structure et construisons durablement », explique Baptiste Retho, conducteur de travaux chez Eiffage Construction Habitat. Prédalles bas carbone Rsoft , la solution en préfabrication béton qui a fait la différence Les prédalles bas carbone Rsoft Rector intègrent des formulations béton à faible intensité carbone (1), des armatures issues d’aciers recyclés et profitent d’un processus de fabrication et d’étuvage optimisé afin de garantir la qualité et la performance de ses produits. Dans un bâtiment collectif, le plancher en prédalles Rsoft, associées à une dalle de compression béton à base de ciment CEM-III, affichent une réduction de CO2 de 40% par rapport à un plancher structurel en prédalle classique. Grâce à une empreinte carbone réduite certifiée par des FDES individuelles, les prédalles en béton armé bas carbone Rsoft de Rector se sont naturellement imposées comme l’élément de structure préfabriqué le plus pertinent pour la réalisation des planchers des 19 bâtiments du secteur E du Village des Athlètes. De plus, produites sur le site de Rector à Verberie (Oise), cette proximité avec le chantier participe également à la réduction de l’empreinte environnementale liée au transport. Enfin, les prédalles bas carbone Rsoft offrent tous les avantages de la préfabrication : mise en œuvre rapide, délais d’exécution maîtrisés, qualité de parement optimale, performances structurelles de l’ouvrage inchangé et identiques à des produits en béton classique. Zoom sur deux bâtiments du lot E4A Le lot 4A du secteur E du Village des Athlètes se compose de deux bâtiments (en R+6 et R+5) en cours de construction, qui comptent 59 logements. Le rez-de chaussée est réalisé entièrement en béton. La superstructure est fabriquée à partir de murs à ossature bois liaisonnés grâce à des poutres et des poteaux également en bois. Les planchers sont, quant à eux, constitués de prédalles bas carbone Rsoft de Rector sur lesquelles est coulée une dalle de compression. « A terme, nous aurons environ 35.000 m2 de prédalles Rsoft sur l’ensemble des îlots du secteur E. Nous réceptionnons une à deux livraisons par semaine. Sur chaque camion, il y a une vingtaine de prédalles correspondant à environ 130 m2 de plancher. A leur arrivée, elles sont immédiatement déchargées et posées facilement à l’aide d’une grue pour éviter tout encombrement et stockage sur le chantier » explique Baptiste Retho, conducteur de travaux chez Eiffage Construction. En faisant le choix des prédalles bas carbone Rsoft Rector pour un projet aussi prestigieux que le Village des Athlètes, Eiffage Construction offre au fabricant son premier chantier bas carbone d’envergure qui fera, sans nul doute, date dans l’histoire de la décarbonation des bâtiments. *NF Habitat HQE Très Perfomant à Excellent / E+C- : E3C2 pour les logements * HQE bâtiment durable niveau Excellent / BREAM niveau Excellent / E+C- : E2C2 pour les bureaux http://www.rector.fr/
Il y a 2 ans et 350 jours

Rénover avec le bois – carrefour International du Bois 2022

L’agence Urbanmakers utilise de plus en plus les murs à ossature bois et les façades à ossature bois dans les projets de construction et de rénovation… Avec Bruno Trovalet, Architecte Associé de l’agence Urbanmakers Cet article Rénover avec le bois – carrefour International du Bois 2022 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 356 jours

Avec +234% de ventes sur un an, l’engouement des Français pour le studio de jardin se confirme de manière spectaculaire

L’arrivée des beaux jours est propice au choix du studio de jardin dont la simplicité d’installation (en une journée à peine) et les multiples usages représentent des atouts indéniables. Quels avantages ? Pouvoir travailler au calme ! C’est principalement pour cette raison que les studios de jardin connaissent un franc succès depuis le développement du télétravail. En offrant plus d’espace et une coupure entre la maison et le travail, les studios de jardin permettent également d’autres usages : véritable studio pour un adolescent en quête d’indépendance, salle de musique, de relaxation, chambre d’amis, hébergement pour la famille, alternative à la maison de retraite pour un parent isolé.Chez AST Groupe, 3ème constructeur national de maisons individuelles et 1er réseau de franchises de maisons à ossature bois, la demande de studios de jardin NATIBOX n’a cessé de croître.En effet, avec une augmentation de 234% de ventes entre 2020 et 2021, NATIBOX illustre ce nouvel engouement des Français pour le studio de jardin. Entre 2020 et 2021, son développement se concrétise également par :Une évolution des visites sur www.natibox.fr : + 68%Une évolution des contacts / des demandes : + 99%Qu’est-ce que NATIBOX ?C’est une solution de chantier simple et rapide pour agrandir sa maison. NATIBOX est un produit immobilier haut de gamme de bois et de métal. Le timing entre la commande, la préparation et l’installation de ce concentré de maison écologique est d’un mois et demi.
Il y a 2 ans et 358 jours

CCB Greentech : La technologie TimberRoc

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine De gauche à droite, le staff de direction de CCB Greentech : Cédrik Longin, directeur exécutif et associé, François Cochet, président fondateur, et Laurent Noca, cofondateur et directeur technique. [©CCB Greentech] Comment est né l’idée de CCB Greentech ? Cédrik Longin : A l’origine de cette aventure, il y a un homme. François Cochet. Il a fait tout sa carrière dans le bois : bûcheron, exploitation forestière, commerce. Puis lancement et direction d’une des plus importantes scieries de France. Très vite, il avait constaté que le bois de trituration, c’est-à-dire toute la partie ne pouvant servir de bois d’œuvre, n’était pas exploitée à sa juste valeur. Alors même que cette partie représente près de 50 % du volume total traité. L’essentiel partait vers l’industrie de la pâte à papier ou du bois de chauffage. François Cochet voulait aller plus loin, trouver une voie permettant d’exploiter le côté “puits de carbone” du bois. Cette réflexion l’a conduit à fonder, dès 2006, CCB Greentech, pour développer une technologie inédite de granulats de bois à destination du béton, mais dans une utilisation structurelle. Quinze années de recherche & développement et 60 bâtiments prototypes plus tard, la solution est là, fonctionnelle. Elle permet la préfabrication de murs structurelles en béton de bois, porteurs jusqu’à R + 3. Et auto-portants autour d’une ossature poteaux-poutres jusqu’à R + 10. Personne n’a jamais proposé cela auparavant. C’est cela la technologie TimberRoc ? Exclusivement destiné à l’industrie du béton, le TimberRoc de CCB Greentech offre une résistance à la compression de 4 MPa. [©CCB Greentech] Absolument. TimberRoc est notre béton de bois, dont 60 % de la masse est constituée de granulats additivés. Nous attendons aujourd’hui quatre Atex de cas A. Le TimberRoc offre une résistance à la compression de 4 MPa. Il est exclusivement destiné à l’industrie du béton, la construction hors site. L’emploi en BPE n’est pour l’instant pas à l’ordre du jour. La formulation de base s’est faite autour d’un ciment de type CEM II, mais les préfabricants peuvent choisir un autre ciment, s’ils le souhaitent. En quoi consiste le processus de “bois additivé” ? Il s’agit tout simplement d’un traitement spécial permettant de rendre compatible nos granulats avec d’eau et le ciment, de manière à former un béton stable et durable. Il n’y a rien de chimique dans ce processus. Ainsi traité et emprisonné dans sa matrice cimentaire, le bois additivé reste sain, conserve son CO2, qui n’est pas relâché, est insensible à l’humidité. Les éléments préfabriqués peuvent être stockées en extérieur. Le TimberRoc est aussi stable au feu. Des essais menés au Cérib et au CSTB ont démontré une excellente résistance au feu avec un REI de plus de 4 h, dans le cas d’une prédalle. Qu’en est-il du bilan carbone ? Des performances énergétiques ? Acoustiques ? Et autres ? Le béton de bois TimberRoc de CCB Greentech permet la préfabrication de murs structurelles en béton de bois, porteurs jusqu’à R + 3. [©CCB Greentech] Notre béton de bois TimberRoc absorbe davantage de CO2 qu’il n’en émet pour sa fabrication et celles de ses matières premières. A vrai dire, en fonction du principe constructif choisi, son bilan carbone, toujours négatif, oscille entre – 40 et – 70 kg de CO2/m2. Côté résistance technique, un mur de 30 cm, préfabriqué en TimberRoc, affiche un R de 2 m2.K/W. Il fonctionne comme un système d’isolation thermique répartie, ce qui limite les points froids. Quant à son déphasage thermique, autrement dit sa capacité à retarder le moment où la chaleur extérieure en été entre dans la maison, il est de 18 h 00, toujours pour une paroi de 30 cm d’épaisseur. Le matériau est aussi perspirant. Son acoustique est remarquable : cela fait des années qu’on utilise le béton de bois pour réaliser des murs anti-bruits. Enfin, d’un point de vue technique, il est sciable, malgré son importante dureté et présente une masse volumique de 800 kg/m3, ce qui est faible pour un matériau structurel. En quoi le TimberRoc se distingue-t-il de solutions à base de granulats de bois déjà existantes sur le marché ? C’est une solution totalement structurelle et non un simple matériau de remplissage. Des brevets ont été déposés pour son utilisation en construction de bâtiments. Une utilisation de nos granulats additivés pour la préfabrication de blocs béton ne fait pas partie de notre scope actuel. Nous ne pouvons pas être présents sur tous les fronts. Mais la question mérite d’être posée… Par qui et où est fabriqué le granulat de bois ? Avec quelle matière première ? Nous possédons notre propre usine, installée sur la commune de Beaurepaire, en Isère. Nous ne travaillons qu’avec les exploitants forestiers de la région Rhône-Alpes, bénéficiant d’une certification PEFC1. De même, nous ne choisissons que quelques essences particulières pour fabriquer nos granulats. Quelle est votre stratégie de développement à venir ? CCB Greentech possède sa propre usine, installée sur la commune de Beaurepaire, en Isère. [©CCB Greentech] Déjà, François Cochet a très vite été rejoint au sein de CCB Greentech par Laurent Noca, en qualité de cofondateur. Cet ingénieur des Arts & Métiers est à l’origine des principes constructifs que nous proposons aujourd’hui. Pour ma part, j’ai rejoint cette équipe en 2021 pour m’occuper du développement commercial de l’entreprise. Quelques investisseurs privés complètent l’actionnariat de l’entreprise. Le développement actuel est opéré à travers des cessions de licence à des industriels du béton. Spurgin Léonhart en a acquis une pour une première usine affectée à la production d’éléments en béton de bois. A terme, quatre autres sont envisagées. R-Technologies, une filiale de Préfa du Léman, monte aussi aujourd’hui sa première unité de production dédiée. Et dont la mise en service effective doit intervenir début 2023. Il y aura d’autres industriels du béton partenaires, afin de former un véritable réseau. Mais nous souhaitons privilégier la qualité à la quantité. Enfin, nous avons aussi des velléités à l’international. En effet, notre technologie s’avérant être une des moins impactantes qui soit pour l’environnement, nous sommes très sollicités, y compris par de potentiels partenaires étrangers. Propos recueillis par Frédéric Gluzicki 1Certification forestière privée qui promeut la gestion durable des forêts. Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 359 jours

Somme : Capremib crée une forêt de poteaux pour un entrepôt

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine Daylicer France fait construire son nouveau site de stockage à partir d’éléments préfabriqués de Capremib. [©Capremib] A Faverolles, une installation industrielle en remplace une autre. Souhaitant rapprocher son site de stockage de produits finis de son unité de fabrication, Daylicer France reconvertit la friche industrielle de l’ancienne usine Nutrimaine/Banania. Pour mener ce projet à bien, le maître d’ouvrage a confié à AConstruct la mission de réaliser un bâtiment de stockage de grande capacité (pour 41 000 palettes). Ce dernier est constitué de deux cellules attenantes de 4 230 m2, auxquelles s’ajoutent une cellule de transition transtockeur/expédition, appelée Buffer, haute de 26,40 m et se développant sur 1 650 m2. Mais aussi un bâtiment quais/expédition/bureau, haut de 11,80 m, pour de 955 m2 et un local technique, culminant à 11,80 m, d’une superficie de 420 m2. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Hauts-de-France D’une hauteur unitaire de 34,15 m, les poteaux sont constitués de deux éléments superposés : une partie basse de 12,50 m, rehaussée d’un segment de 23 m. L’ensemble est liaisonné à l’aide du système Bolda de Peikko, aussi utilisé pour fixer les poteaux sur les massifs de fondation. La hauteur plus faible de la cellule Buffer a permis à Capremib de réaliser des poteaux de 27,50 m (33 t) d’un seul tenant. Pour les parties verticales, c’est un béton armé C50/C60 qui a été mis en œuvre. Au total, la structure verticale du transtockeur compte 95 poteaux de 56 t chacun, en béton armé bas carbone. Cette ossature est complétée par des éléments de remplissage coupe-feu (2 h ou 4 h) en béton préfabriqués par TechniPrefa. En partie haute, une charpente béton (C6075 précontraint), toujours signée Capremib, supporte la couverture des bâtiments. Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 4 jours

Un mur à ossature bois anti-feu

A Trilport en Seine-et-Marne, une chaufferie a été construite avec en paroi des panneaux préfabriqués de béton de chanvre de 22 cm, CF 2h. Une innovation qui a remporté le 3ème prix du Challenge Canopée 2022.
Il y a 3 ans et 4 jours

Innovations – Nouveaux Avis Techniques

Photo : PREFADéveloppement de nouveaux matériaux pour les couvertures métalliques à joint debout Avec la raréfaction de certains minerais et les fluctuations sur les prix des matériaux, des alternatives aux métaux traditionnels ont émergé ces dernières années pour la réalisation de couvertures en feuilles métalliques à joint debout serti, posées sur platelage bois continu (voliges). Ainsi, pour remplacer les matériaux historiques comme le zinc, le cuivre, l'acier inoxydable et le plomb, qui disposent de règles de l'art approuvées et éprouvées, des solutions utilisent de l'acier galvanisé “souple” prélaqué ou de l'aluminium prélaqué. Leur mise en œuvre, si elle est très proche des règles appliquées aux matériaux traditionnels, nécessite quelques précautions liées aux spécificités de ces produits et à leur comportement mécanique et physique. Dans les deux cas, la prise en main par le couvreur et la souplesse du matériau ne sont pas exactement les mêmes, et la résistance au vent du procédé doit être réévaluée. Les soudures sont également plus complexes et techniques sur l'acier prélaqué (décapage, peinture de retouche...) ou l'aluminium (soudure TIG-MIG) que sur le zinc. Ainsi, le traitement des points singuliers nécessite une vigilance accrue et des particularités propres à chaque procédé, avec notamment l'utilisation d'accessoires spécifiques préfabriqués en usine. Enfin, l'acier prélaqué n'est pas résistant par nature à la corrosion sans son revêtement. Un vrai travail sur la souplesse des revêtements prélaqués a ainsi été réalisé pour parvenir à des revêtements capables de résister aux contraintes de pliage très sévères lors du sertissage du joint debout. Toutes les exigences spécifiques à ces produits sont détaillées dans leur Document Technique d'Application. Des surfaces de plus en plus étendues pour le photovoltaïque En matière de photovoltaïque, l'innovation concerne principalement l'augmentation de la taille des modules, qui génère de nouveaux défis pour dimensionner les systèmes de montage. Cette innovation pose donc deux problèmes techniques majeurs. Les reprises de charge sont plus importantes, notamment lorsque les modules sont couverts de neige. Il y a donc un enjeu de dimensionnement des tôles d'acier qui constituent l'élément porteur sous le complexe d'étanchéité servant de support aux modules. Par ailleurs, des modules de grande dimension sont beaucoup plus sensibles aux effets du vent et donc au risque d'arrachement. Ce type d'installation concerne principalement les bâtiments commerciaux et logistiques supérieurs à 1 000 m² qui ont généralement des structures porteuses dimensionnées au plus juste, ne permettant pas de compenser les sollicitations potentielles par des ancrages dans des systèmes massifs. Des systèmes surimposés au-dessus d'une couverture en tuiles ou en ardoises se développent également. Ils nécessitent que les modules photovoltaïques soient fixés sur une ossature, elle-même fixée sur un système qui traverse la couverture pour s'appuyer sur la charpente. L'enjeu est alors que ce système de fixation complexe ne dégrade pas l'étanchéité de la toiture et soit en capacité de résister aux charges de neige et de vent. En savoir plus : DTA Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 4 jours

Saint-Gobain Ecophon lance deux solutions pour faire face à la problématique du bruit et des basses fréquences en milieu scolaire

Pourtant, la mise en œuvre de solutions de plafonds modulaires et de panneaux muraux adéquates permet de répondre aux différentes problématiques liées au bruit, pour rendre les établissements scolaires plus agréables et propices à l’apprentissage. Aujourd’hui, Saint-Gobain Ecophon lance deux nouvelles solutions permettant d’améliorer efficacement l’acoustique au sein des établissements scolaires :Akusto Wall C Extra Bass, un panneau mural dont les performances acoustiques répondent aux besoins de basses fréquences ;Super G Plus A, une solution de plafond modulaire acoustique particulièrement adaptée aux salles de sport grâce à sa résistance aux chocs.Le bruit en classe, une réalité qui impacte le quotidien des élèves comme des professeursSaint-Gobain Ecophon s’est penché sur les conséquences des nuisances sonores en milieu scolaire, en réalisant, en partenariat avec la Semaine du Son de l’UNESCO, deux sondages OpinionWay auprès des élèves1, puis des enseignants2. Les résultats sont sans appel. En effet, la première étude fait apparaître que la plupart des élèves (86%) considèrent qu’il y a trop de bruit dans leur établissement, notamment dans les espaces suivants :La cantine (89%)Le couloir (83%)Le hall d’entrée (83%)Le gymnase (79%)Les salles de cours (34%)Les salles d’études (33%)Ces nuisances ont inévitablement des conséquences sur le bien-être et la concentration des élèves. Ainsi, 3 élèves sur 4 déclarent éprouver des difficultés à se concentrer à cause du bruit. Pour 74% des élèves interrogés, le bruit empêche également d’entendre correctement la voix de leur professeur.Le constat est le même du côté des enseignants, pour qui le bruit a également un impact important sur la qualité de leur travail, voire leur santé. Ils sont en effet 66% à trouver leur classe trop bruyante, et 69% à déclarer que le bruit est difficilement supportable dans les couloirs. Sur le long terme, l’impact du bruit sur leur santé physique et mentale est considérable.« Les résultats des sondages démontrent que le bruit dans les établissements scolaires représente un véritable enjeu de santé publique. Ce n’est pourtant pas une fatalité : des solutions de traitement acoustique adaptées existent afin de réduire le niveau sonore tout en améliorant la clarté de la parole. Celles-ci favorisent à la fois l’apprentissage des élèves et le confort des enseignants. » Sylvain Coudret, Concept Developer Education & Bureau Ecophon.Akusto Wall C Extra Bass, un panneau mural adapté aux basses fréquencesSystèmes de ventilation, conversations, bruit du mobilier dans les classes, passage dans les couloirs sont autant de bruits du quotidien qui viennent perturber élèves et enseignants en milieu scolaire. Ces bruits sont majoritairement composés de basses fréquences, gênantes pour l’oreille. En effet, celles-ci se propagent facilement, y compris à travers les murs, et dégradent la capacité à entendre des fréquences plus élevées. La perception de la parole se fait alors plus difficilement.La nouvelle solution murale Akusto Wall C Extra Bass de Saint-Gobain Ecophon est un système unique sur le marché. Composé de la solution Ecophon Akusto Wall C et d’un absorbant Extra Bass supplémentaire, le panneau combine une absorption acoustique de classe A à une action ciblant particulièrement les sons à basses fréquences. Cela permet de les traiter pour mieux entendre des fréquences plus élevées, comme les consonnes.De plus, sa conception ingénieuse intègre une coulisse à joint creux ConnectTM dont le design crée un effet d’ombre, ce qui donne au panneau une apparence de 40 mm seulement.Le panneau est disponible dans une large gamme de couleurs et surfaces intemporelles, et en dimensions 2 700 x 600 x 40 mm. Il peut être posé à la verticale comme à l’horizontale, pour une installation modulable, au gré des besoins des espaces.Super G Plus A, une solution de plafond acoustique résistant aux chocsSaint-Gobain Ecophon étend également sa gamme de plafonds acoustiques Super G, consacrée aux environnements nécessitant des solutions d’absorption acoustique particulièrement robustes et capables de résister aux chocs.La solution Super G Plus A a été développée pour les espaces dans lesquels une résistance maximale aux impacts est requise, tels que les gymnases et salles de sport. Ce système dispose d’une ossature robuste composée de profilés semi-encastrés, fixés directement sur le plancher support ou sur une ossature suspendue.Cela permet de maintenir les panneaux en place et de mieux résister à des chocs mécaniques élevés. De classe 1A, Super G Plus A peut ainsi résister à des impacts jusqu’à 60 km/h.Par ailleurs, conscient des enjeux environnementaux actuels et engagé en faveur de bâtiments durables, Saint-Gobain Ecophon s’appuie sur des matériaux plus durables et une politique de transparence vis-à-vis de ses produits. Aussi, comme l’ensemble de ses panneaux absorbants acoustiques, ces nouvelles solutions contiennent au minimum 42% de matières recyclées. L’entreprise a également réalisé l’Analyse du Cycle de Vie de ces produits et les rend publics dans des Fiches de Données Environnementales et Sanitaires (FDES), disponibles en téléchargement sur la base INIES.1 Sondage réalisé du 4 au 6 janvier 2021 auprès d’un échantillon de 506 élèves représentatif de la population des collégiens et lycéens de France.2 Sondage réalisé en ligne du 1er au 6 décembre 2021 auprès d’un échantillon de 318 enseignants représentatif de la population des enseignants de primaire, collège et lycée.
Il y a 3 ans et 7 jours

Les sept lauréats de Canopée Challenge

Forinvest Business Angels, l’école d’ingénieurs ESB, Fibois France et le Pôle de compétititvité Xylofutur ont dévoilé les sept lauréats de la seconde édition du Canopée Challenge, concours dédié à l’innovation dans la filière forêt-bois. Organisé sous le Haut Patronage du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, il a permis de recenser 160 projets innovants. Sept lauréats ont finalement été mis en lumière, à travers trois catégories : Création, Développement et International. En complément de la dotation, les organisateurs prévoient un accompagnement en compétences qui permettra de faciliter leur éclosion. Les lauréats de la catégorie « Création » Ouverte à tout porteur de projet individuel (étudiants, chercheurs …) et aux entreprises de moins de trois ans dont le CA est inférieur à 100 000 €. Premier prix doté de 8 000 € : Woodtech (basée à Grenoble – 38) – procédé de modification de la structure moléculaire du bois compatible avec les essences françaises qui deviennent alors plus résistantes à l’humidité que les meilleurs bois tropicaux, pour un bilan environnemental et économique bien meilleur (multiplication de la durée de vie par 20). Parmi les marchés visés par Woodtech : les bois « de revêtements », menuiseries extérieures, bardages et terrasses, et plus précisément la frange « haute » de ces marchés, actuellement occupée par les bois tropicaux, les bois composites et d’autres matériaux à fort contenu carbone. Second prix doté de 5 000 € : Farm3 (basée à Verrières-de-Joux – 25) – projet de chambre de culture permettant un fort rendement, un contrôle précis des conditions de croissance, une économie en eau et la pulvérisation de nutriments biologiques. En complément, le projet a reçu un prix coup de coeur de l’Institut Technique FCBA Les lauréats de la catégorie « Développement » Ouverte aux entreprises de plus de trois ans ou dont le CA excède 100 000 €. Premier prix doté de 15 000 € : Horizons Bois (basée à Rennes – 35) – HOBOA®, un système constructif bas-carbone et une solution de plancher mixte bois-béton adapté à l’habitat collectif de grande hauteur. En 2022, ce système constructif sera intégré à la construction d’un bâtiment R+11. En complément, le projet a reçu un prix coup de coeur de l’Institut Technique FCBA Second prix doté de 10 000 € : Bio Stratège (basée en Guyane) – programme d’innovation Ecophyto-Guyane qui vise à développer des solutions naturelles et écologiques pour remplacer les engrais, pesticides et insecticides de synthèse. Les molécules actives sont obtenues à partir de la valorisation de déchets de l’industrie du bois guyanaise dans un modèle d’économie circulaire qui s’intègre en amont de la biomasse énergie. En complément, le projet a reçu un prix coup de coeur de l’Institut Technique FCBA Troisième prix doté de 5 000 € : Wall’up Préfa (basée à Aulnoy – 77) – usine de production de panneaux préfabriqués ultra performants sur base ossature bois et isolés de béton de chanvre, au service des projets de construction biosourcés. Les lauréats de la catégorie « Internationale » : Ouverte aux porteurs de projets implantés hors des frontières de l’Hexagone. Benjamin Droguet, chercheur à l’université de Cambridge, a été récompensé d’un prix de 5 000 € pour son projet de pigments et paillettes à base de cellulose de bois.
Il y a 3 ans et 10 jours

Le projet “Empreinte” impressionne la 3D

A Beaucouzé (49), dans le quartier des Echats, l’impression 3D a permis la construction d’une maison atypique. [©Empreinte] A Beaucouzé (49), dans le quartier des Echats, l’impression 3D a permis la construction d’une maison atypique. Livré le 28 avril dernier, le logement offre un espace de 130 m2 répartis en 2 étages. Il est un témoin de l’évolution du secteur vers les nouvelles technologies. Et c’est le projet “Empreinte”, piloté par l’Entreprise Générale du Bâtiment (EGB), qui en est à l’origine. Il regroupe une vingtaine d’acteurs du milieu (TPE, PME…) réunis pour bâtir une maison plus écologique et respectueuse de l’humain. Une façon de laisser une “empreinte” positive dans l’histoire de la construction. Ainsi, ce projet constitue le premier test du projet permettant de s’interroger sur les trajectoires possibles de l’impression 3D. L’impression 3D pour décarboner En ce qui concerne la réalisation, Batiprint3D a imprimé les murs de toutes les pièces en mousse de polymère. Le matériau a d’ailleurs été conçu à partir de 13 000 bouteilles de plastique recyclées. Et permet de réduire de 25 % la consommation énergétique de la maison. Anjou Béton a ensuite fourni un béton bas carbone, issu de granulats recyclés (fournis par Néolithe) à partir de 20 t de déchets de chantier, coulé dans cette ossature. Au niveau de la toiture, les artisans de ACB Constructions ont livré un toit entièrement préfabriqué en atelier. Lire aussi : Impression 3D béton : “Home sweet home” Ce dernier, s’articulant autour d’un bac acier, permet de recueillir l’eau de pluie qui servira pour alimenter une partie de la maison et l’arrosage du jardin. Il est aussi isolé avec de la fibre de bois, connue pour ses propriétés thermiques et acoustiques. Enfin, l’entreprise Terra Innova a apporté ses compétences pour permettre de réutiliser les terres extraites du chantier sur des terrains agricoles voisins. Par ailleurs, les acteurs du projet “Empreinte” avaient prévu un espace de visite directement sur le chantier, aménagé en hauteur pour ne pas gêner le travail. Les plus curieux pouvaient découvrir la technologie de l’impression 3D en action. Mais cette visite visait avant tout à montrer qu’une nouvelle façon de construire plus respectueusement et plus durablement est possible.
Il y a 3 ans et 11 jours

Nouvelle cheville bi-matière Duoxpand

Fischer, qui ne cesse d’enrichir cette gamme, lance une nouvelle cheville bi-matière pour tous les matériaux de construction, la DuoXpand. Universelle, cette cheville rallongée est conçue pour la fixation d’éléments d’ossatures, de menuiseries... et assure une transmission douce des forces dans les matériaux. En outre, elle bénéficie du nouvel agrément ETA-21/034 (Evaluation Technique Européenne) qui garantit une tenue sûre dans tous les matériaux.Fischer DUOLINE : La gamme bi-matièreHaute qualité, les chevilles de la gamme DUOLINE sont fabriquées à partir d’une combinaison de matériaux souples et rigides. Les principes de fonctionnement fréquemment éprouvés, associés à la combinaison de 2 matières, élargissent le champ d’applications avec une capacité de charges nettement supérieure à celles des chevilles nylon traditionnelles et une plus grande sécurité. Une cheville tout terrain La nouvelle cheville rallongée bi-matière DuoXpand fischer est conçue pour la fixation d’ossatures de façade en bois ou en métal, de carports, de menuiseries (portes, fenêtres...), de construction bois, de meubles de cuisine, d’installation électrique... Universelle, elle s’adapte à tous les matériaux : béton, béton cellulaire, brique pleine, brique creuse, parpaing... Une expansion douce qui n’endommage pas les matériauxLa cheville DuoXpand se compose d’un corps bi-matière et d’une vis (tête fraisée ou hexagonale). Le corps principal gris en nylon (1) de haute qualité garantit la résistance de la fixation, tandis que l’expansion des lamelles rouge apporte une sécurité supplémentaire.Sa géométrie brevetée (2) assure une expansion douce dans le matériau de construction évitant ainsi d’endommager les parois des matériaux creux et permettant un ancrage près du bord.Pour une installation sûre, des ergots anti-rotation empêchent la cheville de tourner dans le trou lors de l’installation.La cheville est facile à mettre en œuvre. Une fois le trou foré, elle s’insère à l’aide d’un marteau. Le vissage de la vis dans la cheville va provoquer l’expansion des lamelles de blocage. Dans les matériaux de construction pleins, la conception de la cheville garantit une répartition égale de la charge dans le support.Dans les briques perforées, les lamelles s’expansent au niveau des parois et créent un verrouillage de forme dans les cavités. 2 versions pour répondre à toutes les applicationsLa DuoXpand avec la vis à tête fraisée est particulièrement adaptée à la fixation d’éléments en bois. Pour les structures métalliques, la DuoXpand avec vis hexagonale et rondelle intégré convient mieux car cela évite la corrosion de contact entre l’élément fixé et la vis.La zone d’expansion, avec 2 profondeurs d’ancrage, permet une utilisation flexible dans tous les matériaux de construction selon l’ETE : 50 mm dans le béton, les briques pleines et creuses,70 mm dans tous les autres matériaux de construction du béton au béton cellulaire.Deux profondeurs d’ancrage supplémentaires de 140 et 160 mm assurent un ancrage sûr dans le parpaing.Points de vente : Négoces, Négoces en matériaux et GSB
Il y a 3 ans et 12 jours

Dispano lance une gamme de poutres contrecollées 100% bois français

L’enseigne répond ainsi à une demande croissante de ses clients charpentiers qui souhaitent favoriser une consommation locale. Elle anticipe par ailleurs d’éventuelles pénuries en garantissant la disponibilité d’un produit conçu entièrement en France. Un engagement éthique et responsableDispano a toujours privilégié l’usage de bois issus de forêts gérées de manière durable et a fait certifier l’ensemble de sa chaine de contrôle par l’organisme certificateur Bureau Veritas. Pour les bois non certifiés, qui figure pour une part minime à son catalogue, l’enseigne s’impose également une exigence forte. Les bois sont refusés par ses spécialistes dès lors qu’il est impossible d’obtenir la preuve de leur légalité. Cette démarche s’inscrit dans le cadre du plan d’action FLEGT (Forest Low Enforcement Governace and Trade[1]). Dispano est donc titulaire de la double certification FSC® et PEFC™.Avec cette gamme 100% bois français, Dispano franchit un pas de plus dans ses engagements. Une gamme 100 % bois français pour une parfaite traçabilitéLa gamme de poutres contrecollées proposée par Dispano provient de forêts jurassiennes, certifiées PEFC (Programme de reconnaissance des certifications forestières). Les poutres sont assemblées dans une usine française. Il s’agit de sapin-épicéa, intervenant dans la composition d’un grand nombre de produits. La gamme 100 % bois français distribuée aujourd’hui par Dispano est utilisée pour le bois de charpente ainsi que pour des maisons à ossatures bois, dans un cadre intérieur uniquement puisque le bois n’est pas traité.L’enseigne dispose de 6 références de poutres de tailles différentes, disponibles dans les 40 agences Dispano sous un délai d’une dizaine de jours.Avec cette gamme, Dispano bénéficie d’une vision totale sur la traçabilité du produit et sur toute la chaîne de production, de la forêt au produit fini. L’enseigne peut ainsi garantir à ses clients une disponibilité des produits et s’engager sur des délais fiables, évitant ainsi tout risque d’interruption de chantiers. Elle répond aussi à une véritable tendance de fond qui tend à privilégier de plus en plus de produits locaux dont la production est parfaitement maîtrisée.[1] Application des règlementations forestières, gouvernance et commerce. Le FLEGT vise à :Dans les pays producteurs de bois : contrôler l’exploitation des forêts pour combattre l’illégalité par la mise en place d’Accords de Partenariat Volontaires (APV) entre les pays producteurs et les pays de l’UE.Dans les pays de l’UE : supprimer le commerce de bois illégal grâce au RBUE (Règlement sur le Bois de l’Union Européenne) qui fixe les obligations pour les opérateurs qui mettent du bois et des produits dérivés sur le marché européen. Il s’applique depuis le 3 mars 2013.
Il y a 3 ans et 14 jours

WICONA met à jour INERTIE V4, son logiciel de dimensionnement et de vérification des ouvrages aluminium

Le logiciel INERTIE V4 permet la réalisation d’études de dimensionnement et vérification complète des éléments composant un ouvrage aluminium selon l’ensemble des normes Eurocodes et ce, quel que soit le niveau de complexité de la structure concernée. Avec INERTIE V4, WICONA propose à ses clients une nouvelle version de l’outil simple et profondément axé sur l’expérience utilisateur, pour une prise en main intuitive. Dimensionner et vérifier ses ouvrages aluminium INERTIE V4 convient aussi bien à la vérification de structures simples comme celle de constructions aluminium complexes. Le logiciel embarque différents types d’ouvrages prédéfinis qui permettent de dimensionner et vérifier les menuiseries aluminium en toute simplicité. Cela inclut notamment les ouvrants, ossatures composées, façades, verrières, toitures ainsi que des éléments divers comme les poutres. Le logiciel permet ensuite d’éditer et communiquer des notes de calculs à tous les professionnels concernés, des bureaux d’études aux architectes, en passant par les organismes de contrôle. Conformité Avec le logiciel INERTIE V4, le dimensionnement s’effectue en fonction des normes en vigueur applicables aux différents types de structures traitées : Charges climatiques calculées selon les règlements Eurocode 1 – NF EN 1991-1-4 : 2005 (actions sur les structures : action du vent) Combinaisons des charges conformes aux règles AL76 (règles de conception et de calcul des charpentes en alliages d’aluminium) Inerties nécessaires déterminées à partir des règles AL76 et normes XP P 28-004 (performances de l’ouvrage fini) Définition du calage du vitrage selon DTU39 (travaux de vitrerie-miroiterie)  Simplicité Comme tout projet engagé par WICONA, INERTIE V4 s’appuie sur une vision globale. Il est intuitif et permet une prise en main rapide grâce à : Prédétermination de 7 types d’ouvrages (façades et menuiseries) Aide à la conception Visualisation de la déformation des profilés en trois dimensions. Ouverture En plus de la base des profilés WICONA intégrés, INERTIE V4 autorise l’enrichissement de la base de données via les propres séries de profilés en aluminium ou en acier du client. Sécurité INERTIE V4 détermine l’inertie réglementaire minimum de chaque type d’éléments (montant, traverse, etc..) composant un ouvrage aluminium. La géométrie et les charges appliquées interviennent dans le dimensionnement. Pour cela, il suffit de choisir le profilé adapté par type d’élément, le logiciel se charge ensuite de le vérifier pour une expérience utilisateur facilitée.
Il y a 3 ans et 17 jours

BLUETEK équipe le nouveau bâtiment des Caves Richemer

BLUETEK, leader français du désenfumage naturel, de l’éclairement zénithal et de solutions de bardage, équipe le nouveau bâtiment des Caves Richemer basées à Marseillan dans l’Hérault. Celles-ci sont dotées de parement de bardage en composite, de lanterneaux de désenfumage et d’écran de cantonnement. La coopérative s’est appuyée sur les compétences de David Sabourdy, fondateur du cabinet SBY Architecture situé à Jacou, spécialisé dans les projets d’immobiliers d’entreprise, de santé et d’éducation, mais également dans l’activité vinicole depuis plus de 15 ans. Tout en rondeur, la forme extérieure du bâtiment a été pensée à l’image de vins de la cave coopérative. Le bâtiment a bénéficié d’une ITE sur ses 4 000 m2 de façades. Ces dernières ont été revêtues de bardage dont la moitié de la surface totale (soit 2 000 m2) avec les Parements Composite Aluminium de BLUETEK fixés sur ossature métallique. Les parements de bardage se composent de deux plaques en aluminium unis (ou avec effets de matières) solidarisées par une âme en résine thermoplastique. Le chantier a nécessité des parements d’une largeur unique de 1 500 mm et de trois longueurs de 4 000, 4 100 et 4 300 mm. Parti pris de l’architecte, le choix du gris qui enveloppe plus de 90% du bâtiment et du rouge. Le toit terrasse est équipé de 29 lanterneaux de désenfumage Bluesteel Therm Pneu et Bluesteel Therm DV Pneu de BLUETEK. Répartis sur les 7 000 m2 du toit, les lanterneaux apportent la luminosité naturelle intérieure nécessaire à l’exploitation du site tout en complétant efficacement son isolation, indispensable au maintien de la température de la cave tout au long de l’année. Actionnés par un système de vérins, ils disposent également d’une commande manuelle déportée et de capteurs qui déclenchent automatiquement leur ouverture dès que la température intérieure atteint 93°C en cas d’incendie. Maitre d’ouvrage : CAVES RICHEMER Maitre d’œuvre : INGÉVIN LANGUEDOC Architecte : DAVID SABOURDY
Il y a 3 ans et 18 jours

La solution KI FIT 035 utilisée dans une réalisation biosourcée exemplaire

LA SOLUTION KI FIT 035 DE KNAUF INSULATION PRÉSENTE DANS LA CONSTRUCTION INNOVANTE D’UNE ÉCOLE À OSSATURE BOIS ET ISOLÉE EN BOTTES DE PAILLE Un projet exceptionnel a été réalisé en Aquitaine avec la construction d’une école en bois et paille, qui a nécessité une mise en œuvre et un savoir-faire innovants, dans laquelle l’expertise […]
Il y a 3 ans et 21 jours

SGDB France structure son ambition sur la construction bois

La branche Distribution de Saint-Gobain se mobilise pour accompagner les acteurs du diffus dans le développement de l’ossature bois, avec des agences expertes et une augmentation du niveau de stock et de service.
Il y a 3 ans et 21 jours

Réhabilitation d’un bâtiment de logement IMH : La Tour Pajot – Angoulême (16)

Réhabilitation d’un IMH et sécurité incendie :le Bardage Avec Ossature (BAO) CAREA. Depuis le drame de la tour Grenfell en Angleterre, les mesures pour lutter contre le feu ont évolué : désormais, la réglementation incendie pour les IMH et IGH d’habitation est aussi stricte que pour les ERP (Établissements Recevant du Public) : les façades ventilées doivent […]
Il y a 3 ans et 26 jours

Sur la future ligne 18 du Grand Paris Express, le tunnelier Caroline entre en gare

Employés du groupement Vinci-Spie, responsables de la Société du Grand Paris (SGP) ou élus, les 120 invités, installés à 30 m de la paroi à démolir, ont vu le bout du tunnel au bout d'une heure.Progressivement, la roue de coupe de Caroline, un monstre de 9 m de diamètre pour 110 tonnes fabriqué en Allemagne, a montré ses dents et mollettes derrière la paroi de béton prévue pour être facilement détruite, et méthodiquement laminée.Placés sous la protection de Sainte-Barbe, dont la statue est présente sur le chantier, les compagnons, qui ont le statut de mineurs, baptisent toujours les tunneliers d'un prénom féminin.Les débris ont commencé à tomber dans un bruit sourd. Progressivement déshabillée, l'ossature en fibre de verre a perdu pièce par pièce avant un final prévisible, l'écroulement de la paroi en deux temps.Depuis l'aurore, Caroline avait parcouru les deux derniers mètres pour entrer dans la "boîte-gare" de 23 m de profondeur et 65 m de long, future gare d'Antonypole qui doit accueillir à terme 12.000 voyageurs par jour.Des ouvriers ont hissé le drapeau de leurs entreprises entre les pales du tunnelier, mis au repos forcé pendant 36 heures, le temps de nettoyer la scène. "C'est un aboutissement, surtout que ça part de rien", savoure Christophe Orain, un ingénieur qui salue "une aventure humaine avec des machines révolutionnaires".15 m par jourL'arrivée de Caroline est un "gros événement: c'est le premier percement d'un tunnel dans une gare sur la ligne" 18, souligne Vianney Elzière, directeur de projet de la ligne. Mais il faudra patienter jusqu'à 2027 pour voir les trains circuler sur ce tronçon du Grand Paris express, constitué de quatre nouvelles lignes de métro (15, 16, 17 et 18) desservant la proche et la grande couronne.Lancé en décembre 2021, Caroline a creusé environ 800 m depuis sa base de départ de Massy (Essonne), à un rythme de 15 m par jour, pauses comprises. Le creusement d'une terre argileuse, et donc peu capricieuse, s'étant déroulé sans encombre, la première étape a été bouclée avec deux semaines d'avance. Mais devant les 5,2 km restant à parcourir jusqu'à Orly, M. Elzière veut "rester humble et modeste face à la nature".Au départ du tunnel, les chiffres donnent le tournis: 150 camions par jour pour évacuer les 9 fosses de déblai de 1.000 m2 chacune, deux silos d'accès de 36 mètres de profondeur pour 27 m de diamètre...Dans le tunnel, environ 2.500 voussoirs, ces morceaux de voûte pesant 7 tonnes chacun, ont été posés à un rythme d'une demi-heure par anneau de deux mètres. A l'intérieur de la jupe du tunnelier, situé à l'arrière de la roue et du bouclier qui garantit l'étanchéité, ils sont amenés par l'érecteur et fixés par deux ouvriers.Horizon 2030Dans le même mouvement, la terre forée, fluidifiée par une mousse, est évacuée via la vis d'extraction sur un tapis qui s'étire avec le tunnelier, long de 100 m dans sa version allongée. Quand Caroline atteindra Orly, le tapis convoyeur fera donc 6 km de long...Dans sa cabine, Giuseppe Sanchez fait avancer Caroline à l'aide de vérins hydrauliques de 6 m de long qui se propulsent sur les anneaux déjà posés. "Si je mets plus de pression vers la gauche, la direction bouge", explique le pilote qui s'oriente avec une cible millimétrée dont il doit dévier le moins possible.Les sept voussoirs d'un même anneau posés à l'intérieur de la jupe, la machine redémarre. Le vide créé par l'avancée du train est comblé par du mortier injecté entre le béton et la terre afin de consolider l'ouvrage. Entamée en 2020, la ligne 18 doit relier à l'horizon 2030 l'aéroport d'Orly à Versailles, à travers dix gares de la grande couronne pour un budget de 4,4 milliards d'euros, selon M. Elzière.A Massy, les travaux suscitent "plus une gêne qu'un enthousiasme" chez les habitants, reconnaît le maire (UDI) Nicolas Samsoen. "Mais ils savent que ça va changer leur vie."
Il y a 3 ans et 39 jours

Trois ans après l'incendie, Notre-Dame de Paris retrouve progressivement sa beauté

"Le dépoussiérage et le nettoyage intérieurs des voûtes, des murs et du sol" qui devrait s'achever sous peu, tout comme la préparation des voûtes à leur reconstruction, "ont redonné à la cathédrale sa blancheur originelle", se félicite l'établissement public chargé du chantier de restauration, à quelques jours du 3e anniversaire de l'incendie qui aura lieu vendredi.Avant l'incendie, la cathédrale accueillait près de 12 millions de visiteurs, 2.400 offices et 150 concerts par an.Le 15 avril 2019, un gigantesque incendie a ravagé ce chef d’œuvre de l'art gothique, provoquant l'effondrement de sa charpente, de sa fameuse flèche, de son horloge et d'une partie de sa voûte, ravagées par les flammes, sous le regard médusé de millions de personnes à travers le monde.Le trou béant laissé dans l'édifice a fait place à une forêt d'échafaudages qui recouvrent aussi ses flancs.Le chantier titanesque a commencé dès avril 2019 par la "sécurisation" de l'édifice (cintrage des 28 arcs-boutants, démontage de l'échafaudage qui entourait la flèche, déblaiement des gravats, dépollution des 450 tonnes de plomb partiellement vaporisé dans l'atmosphère...). Une "étape majeure" sous haute sécurité qui s'est achevée à l'été 2021, pour un coût global de 151 millions d'euros.La catastrophe avait suscité un élan de générosité sans précédent, avec près de 844 millions d'euros de dons recueillis auprès de 340.000 donateurs de 150 pays à ce jour, selon l'établissement public chargé du chantier de restauration.Parallèlement aux travaux en cours dans la cathédrale, des travaux de restauration se poursuivent dans des ateliers de métiers d'art partout en France.Surprises archéologiquesLe grand orgue, datant de 1733 et le plus grand de France, a été épargné par le feu mais recouvert de poussière de plomb. Il a été démonté à l'instar des vitraux, et est en cours de nettoyage comme 22 tableaux grand format des XVII et XVIIIe siècles, tandis que plusieurs statues, déjà restaurées, sont exposées à la cité de l'architecture et du patrimoine à Paris.Il faudra encore attendre un peu pour le lancement des travaux de reconstruction de la charpente médiévale de la nef et du chœur et de la flèche de Viollet-le-Duc, à l'ossature en bois de chêne massif, qui devrait poindre dans le ciel de Paris à partir du printemps 2023, selon l'établissement public.Un millier de chênes issus de forêts publiques et privées ont déjà été sciés en prévision.Une autre étape clé du chantier doit démarrer mercredi : l'extraction des pierres qui permettront de reconstruire les voûtes détruites ou endommagées.Deux chantiers tests ont été menés entre septembre 2020 et avril 2021 dans les chapelles intérieures de la cathédrale, 24 en tout, pour définir les techniques qui permettront de leur redonner leurs couleurs d'origine.Début mars, des fouilles préventives ont réservé une surprise de taille au cœur du chantier: la découverte d'un sarcophage de plomb et les vestiges de l'ancien jubé de la cathédrale datant du XIVe siècle, une tribune en pierre qui séparait le chœur liturgique de la nef et des fidèles.Le diocèse entend profiter de la restauration de Notre-Dame pour offrir une nouvelle jeunesse à son aménagement intérieur en intégrant de l'art contemporain aux maîtres anciens tels les frères Le Nain ou Charles Le Brun, de la lumière à hauteur de visage, des bancs mobiles pour remplacer les chaises séculaires et des phrases bibliques projetées sur les murs.La crypte, située sous la cathédrale, doit aussi servir d'espace de stockage avec un accès facilité par l'installation d'un élévateur.Lorsqu'ils retrouveront la célèbre cathédrale en 2024, touristes et fidèles entreront désormais par la grande porte centrale et non plus par les portes latérales. Ils bénéficieront d'un parcours épuré autour d'un axe central allant de la nef au chœur.
Il y a 3 ans et 46 jours

Poutres contrecollées 100 % bois français chez Dispano

Avec une nouvelle gamme de poutres contrecollées 100 % bois français, Dispano franchit un pas de plus dans ses engagements en matière de développement durable. Elle provient de forêts jurassiennes, certifiées PEFC. Les poutres sont assemblées dans une usine française. Il s’agit de sapin-épicéa, intervenant dans la composition d’un grand nombre de produits. La gamme 100 % bois français distribuée aujourd’hui par Dispano est utilisée pour le bois de charpente ainsi que pour des maisons à ossatures bois, dans un cadre intérieur uniquement puisque le bois n’est pas traité. L’enseigne dispose de 6 références de poutres, disponibles dans les 40 agences Dispano sous un délai d’une dizaine de jours. L’enseigne bénéficie d’une vision totale sur la traçabilité du produit et sur toute la chaîne de production, de la forêt au produit fini. Elle peut ainsi garantir à ses clients une disponibilité des produits et s’engager sur des délais fiables, évitant ainsi tout risque d’interruption de chantiers. Elle répond aussi à une véritable tendance de fond qui tend à privilégier de plus en plus de produits locaux dont la production est parfaitement maîtrisée.