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Résultats de recherche pour passerelle

(719 résultats)
Il y a 3 ans et 68 jours

Trace Software et BIM&CO – Les données fabricants au cœur de la conception électrique

Trace Software International et BIM&CO annoncent un partenariat pour le développement d’une passerelle entre la base de données des produits de la construction bimandco.com ainsi que la plateforme de gestion de contenus BIM Onfly, et le logiciel de calcul d’installations électriques elec calc.  Tout projet de conception d’installations électriques requiert l’intégration de matériel électrique. Pour répondre à cet enjeu, le logiciel elec calc met à disposition des professionnels un large choix de fabricants au travers d’un catalogue de références matériels. Grâce à la passerelle Onfly – elec calc,  il sera possible d’aller chercher des références de matériel électrique sur bimandco.com & Onfly et de les intégrer directement dans son projet elec calc. Cette approche complémentaire au catalogue standard permet à tous les concepteurs d’installations électriques d’aller encore plus loin dans la gestion du matériel fabricant. “La communication entre BIM&CO et elec calc va apporter une nouvelle dimension à l’utilisation des données fabricants. Nos utilisateurs auront à leur disposition une bibliothèque de matériel électrique, facilement accessible, qui leur permettra d’enrichir les bases de données déjà disponibles dans leur catalogue elec calc » , indique Martial Leroy, Product Manager Trace Software. Découvrez tous les détails de ce partenariat dans notre communiqué de presse.
Il y a 3 ans et 75 jours

Paris La Défense attribue à ILEX la mission de maîtrise d’œuvre urbaine au sein de la ZAC Seine Arche à Nanterre

Le projet d’aménagement de la ZAC Seine Arche a été initié avec la volonté de réparer les coupures urbaines générées par les infrastructures de transports (voies ferrées, autoroutes), permettant d’ouvrir les quartiers, de créer de nouvelles liaisons, d’accentuer le caractère paysager et de prolonger l’axe historique en direction de la Seine. Aujourd’hui, avec la désignation du maître d’œuvre qui interviendra sur le secteur, le projet entre dans sa phase de réalisation. L’agence lyonnaise de paysagistes et d’urbanistes ILEX, qui pilote la conception et la mise en œuvre du projet, accompagnée par l’agence Sathy, va concrétiser la vision d’un urbanisme visant à développer la place de la nature et le confort urbain.Trois secteurs sont concernés par ces travaux d’aménagementAvenue de la République, une nouvelle façade urbaine sera composée. Une place compatible avec l’arrivée future du tramway T1, fonctionnera comme une porte d’entrée du campus de l’Université Paris Nanterre. Les futurs aménagements prévoient une mixité des usages, avec des logements, dont une résidence universitaire gérée par le Crous, des locaux d’activités et des commerces. Tout cela sera compatible avec la possibilité pour l’Université de Paris Nanterre de réaliser de nouveaux bâtiments. Les espaces publics seront repensés de manière à améliorer la liaison vers le Petit Nanterre, développer la végétalisation et les circulations douces. Dans le quartier Anatole France, Paris La Défense va réaménager les espaces publics et reconfigurer le cœur d’îlot.Du côté des Terrasses, les aménagements répondent à trois objectifs : renforcer la biodiversité au moyen d’une coulée verte, améliorer l’accessibilité grâce à une liaison piétonne et cyclable qui traversera le quartier vers la Seine (voie verte, passerelle, rampe piétonne), et, enfin, devenir un lieu d’accueil pour les activités associatives, qu’il s’agisse de cirque, d’agriculture urbaine ou d’événements culturels.Enfin, aux abords de l’échangeur, des connexions vont être créées pour une meilleure intégration urbaine aux quartiers environnants et à l’axe Seine. Le parc du Chemin de l’Ile sera étendu et la réalisation de nouveaux logements sera étudiée.
Il y a 3 ans et 83 jours

Rénovation énergétique : Hellio alerte sur le reste à charge des familles en situation de précarité

Entre 600.000 et 900.000 : c'est le nombre de logements insalubres estimés en France. Selon ce rapport, en 2020, les rénovations subventionnées par l'Anah via le programme Habiter Mieux sérénité à destination des ménages modestes et très modestes, avec au moins 35 % de gain énergétique, n'ont augmenté que de 7 %, passant de 41.000 rénovations en 2019 à 52.000 en 2020, et stagnent en 2021. Après la mobilisation de toutes les aides possibles, les propriétaires très modestes en maisons individuelles subissent un reste à charge en moyenne de 39 % au lieu de 10 % du montant des travaux. Pour les ménages modestes, c'est 56 %.De plus, ces Français, qui vivent avec moins de 800 euros par mois, ont perdu 0,5 % de pouvoir d'achat, soit 39 euros par an. Cela se manifeste notamment par la difficulté à payer ses factures d'électricité. Engagé dans la lutte contre la précarité énergétique et membre historique du collectif STOP Exclusion Énergétique, Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, milite et agit pour éradiquer la précarité énergétique d'ici 2030. En ce sens, le groupe apporte son soutien à la démarche exemplaire menée par Réseau Éco Habitat. Lancé en 2019, le programme “1DigneToit!” rassemble Réseau Éco Habitat, structure fondée sur une logique associative et coopérative dans le Nord de la France, le Secours Catholique et Hellio. Son but ? Aider les ménages en situation de précarité énergétique à retrouver un logement décent grâce aux travaux de rénovation énergétique et d'adaptabilité en les accompagnant tout au long du processus. Depuis sa création, ce programme conventionné est venu en aide à une cinquantaine de familles. Grâce à une dotation de 45.000 € allouée par Hellio, 13 d'entre elles ont pu bénéficier d'une aide au financement de leur reste à charge. L'objectif de Réseau Éco Habitat pour 2022 est de réaliser 40 chantiers, avec une progression visée de 10 chantiers supplémentaires par an.Les ménages précaires moins enclins à réaliser des travaux de rénovation énergétique Pour sortir de la précarité énergétique les 3,5 millions de ménages qui connaissent des difficultés à payer leurs factures d'énergie, tous les acteurs de la rénovation énergétique des bâtiments doivent se mobiliser. Même si le soutien financier de l'État s'est incontestablement fait plus massif ces cinq dernières années, notamment avec la montée en puissance du rôle de l'Anah et de la distribution de l'aide MaPrimeRénov', celui-ci n'a cependant pas permis aux ménages les plus modestes de bénéficier de travaux de rénovation énergétique globale. Le “reste à charge“ qui s'élève en moyenne à 10 % du coût des travaux selon l'État, et à 39 % selon la fondation Abbé Pierre dans son rapport sur le mal logement de 2022, rend en effet inaccessible la possibilité de sortir de la précarité énergétique pour des familles qui vivent parfois avec moins de 10 € par jour. L'aide Habiter Mieux Sérénité dédiée à la rénovation globale pour ces ménages est, elle, peu lisible et moins facile d'accès. Transformée en MaPrimeRénov' Sérénité au 1er janvier 2022, ses modalités de distribution sont certainement encore à éclaircir au regard de son évolution en juillet prochain Sans compter que depuis 2021, les ménages précaires doivent faire face à plusieurs baisses successives des aides à la rénovation énergétique. Mais pour Hellio, la lutte contre la précarité énergétique n'est pas simplement qu'une question de financement. La difficulté première consiste à identifier et localiser les personnes en situation d'exclusion énergétique, parfois “invisibles” des services sociaux, car cette forme de précarité ne se voit pas de l'extérieur. De plus, 2/3 des logements insalubres appartiennent à des propriétaires occupants. Une fois identifiées, la prise de contact avec ces personnes a plus de chances d'aboutir avec des tiers de confiance. Pourtant, des solutions financières et opérationnelles existent. En combinant la relance de la construction de logements performants énergétiquement avec des aides sociales immédiates revalorisées pour alléger les factures d'énergie, et des solutions systémiques comme la rénovation globale et performante des logements, il est possible d'éradiquer la précarité énergétique d'ici 2030. Preuve, en est l'action menée par Réseau Éco Habitat.Une dotation de Hellio de 45.000 euros pour aider au financement du reste à charge de 13 familles Toutes deux membres du collectif STOP Exclusion Énergétique, Réseau Éco Habitat et Hellio ont décidé d'unir leurs forces. Via Hellio Care dédié au soutien d'actions RSE, l'acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, a souhaité ajouter une pierre à l'édifice en donnant un coup de pouce à plusieurs familles accompagnées par Réseau Éco Habitat pour le financement de leur reste à charge. Un sujet qui tient beaucoup à coeur à l'entreprise, consciente que la massification de la rénovation énergétique ne pourra se faire qu'avec des solutions de financement innovantes et pérennes. Hellio a ainsi mis à disposition de Réseau Éco Habitat une enveloppe de 45.000 €.Pour Claire Gagnaire, secrétaire générale de Hellio : « Chez Hellio, la responsabilité environnementale est au coeur de notre ADN : nous sommes engagés dans les économies d'énergie en France depuis 2008. Notre mission est d'intensifier nos actions de terrain avec les entreprises de travaux, les artisans pour créer de l'emploi, des filières de formations adaptées aux nouveaux métiers, et d'accompagner le plus grand nombre de sociétés privées et publiques, des collectivités et bien entendu les particuliers. Nous voulons mettre notre expérience à disposition du collectif STOP Exclusion Énergétique et de ses engagements. C'est pourquoi nous sommes profondément engagés dans l'action menée conjointement avec Réseau Éco Habitat dans le financement du reste à charge des ménages en situation de précarité pour leurs travaux de rénovation énergétique. »La démarche exemplaire de Réseau Éco HabitatLes bénévoles du Secours Catholique sont la clé d'entrée de l'accompagnement de Réseau Éco Habitat car ils sont souvent sollicités par des personnes qui rencontrent des difficultés pour payer leurs factures d'énergie. Celles-ci habitent la plupart du temps dans des passoires thermiques. Face à l'envolée des prix de l'énergie, certaines se chauffent à peine et vivent dans des logements où le thermomètre affiche seulement 14°.Les bénévoles ont ainsi pris conscience que le chèque énergie n'était pas suffisant et que les travaux de rénovation énergétique seraient bien plus efficaces. Pour Franck Billeau, fondateur et directeur de Réseau Éco Habitat : « Les bénévoles sont la passerelle avec les familles. Ils jouent un rôle de repérage et sont présents du début à la fin, lors du passage des artisans jusqu'à la livraison du chantier. Ils rassurent les familles qui ont peur d'être arnaquées. Sans eux, on n'existe pas ! » La première étape consiste à étudier en détail le profil des ménages – leur composition, leurs revenus – afin d'aller chercher le maximum de subventions possibles pour limiter le reste à charge. C'est ensuite au tour du logement d'être passé à la loupe. Un audit est alors réalisé par un bureau d'études pour évaluer les travaux de rénovation énergétique à réaliser, mais aussi d'accessibilité. Place aux travaux qui consistent généralement à isoler, changer le système de chauffage et les menuiseries, pour passer par exemple d'une étiquette G à D. Les travaux durent en général entre 6 et 8 semaines, avec, si possible, une organisation en milieu occupé car le relogement des personnes n'est pas toujours possible. Réseau Éco Habitat s'entoure au maximum d'entreprises générales afin de limiter le nombre d'interlocuteurs pour les familles et ainsi simplifier la démarche. L'association compte sur l'appui de plusieurs entreprises fidèles : « Nos valeurs se fondent sur notre capacité à créer des liens de coopération et d'entraide entre tous les acteurs membres du réseau. Il y a une volonté commune de réduire les marges pour trouver le juste prix dans tout l'écosystème », précise Franck Billeau. Réseau Éco Habitat se charge de toutes les démarches pour demander l'ensemble des aides qu'il est possible de mobiliser : Anah, aides régionales, départementales, etc. L'association a même constitué une caisse pour pouvoir avancer les aides. « Avec l'ensemble des aides, on arrive à atteindre 90 % de prise en charge. On demande toujours une petite participation aux familles pour les impliquer dans le projet », précise Franck Billeau. TémoignagesArtiste peintre, Erlina élève seule ses 3 enfants. Après sa séparation, n'ayant pas accès à un logement HLM du fait de son statut de propriétaire, elle achète une petite maison, avec pour seul moyen de chauffage une cheminée. Mais au moment du ramonage, c'est la douche froide : la cheminée n'ayant jamais été entretenue, elle ne peut être utilisée en l'état. Pendant 2 ans, la famille vit dans le froid, elle ne se chauffe qu'à l'aide d'un convecteur électrique prêté par des amis, et voit ses factures d'électricité s'envoler pour atteindre 600 € pour 2 mois en période hivernale. L'assistante sociale qui l'accompagne la met alors en relation avec Réseau Eco Habitat en 2019. Les démarches ont été longues pour démarrer les travaux, le temps de constituer le dossier, réaliser les devis, les refaire en abandonnant certains travaux car le reste à charge était trop important. Les travaux sont réalisée entre mars et juin 2021 : isolation haute, isolation des murs périphériques intérieurs, pose de radiateurs électriques et d'un poêle à bois, renforcement du plancher de la cuisine, suppression de la tuyauterie en plomb (arrivée d'eau), remplacement des fenêtres de toit, pose de menuiseries en PVC, électricité et VMC. Le montant total des travaux s'élève à 41 636 €, pour un reste à charge de plus de 7 687 € financé par la dotation Hellio et un prêt de la CAF.« Avant, il faisait 14° dans notre maison car on ne chauffait pas beaucoup. En hiver, mes enfants dormaient dans les combles avec des manteaux tellement il faisait froid, et en été, il y faisait une chaleur étouffante. Maintenant, la maison est très bien isolée, on utilise principalement le poêle à bois pour se chauffer, on allume les radiateurs seulement lorsqu'il fait très froid. Mes enfants vivent désormais dans des conditions correctes et je travaille aussi dans un meilleur environnement. Je peux également de nouveau recevoir chez moi », raconte Erlina. « C'est un très beau projet pour Erlina ! Les travaux lui ont permis de valoriser son patrimoine et de lui redonner une dignité. Elle a été très impliquée dans la démarche, très conciliante, et elle entretient bien cette maison. Ça fait plaisir de voir que les travaux sont appréciés et qu'ils permettent un redémarrage dans la vie »”, se réjouit Catherine, bénévole au Secours Catholique.Alexandre est agriculteur dans les céréales. Avant de bénéficier de l'accompagnement de Réseau Éco Habitat, il occupait un logement sans isolation et payait 1 600 € d'électricité par an, une fortune ! Membre du CCAS (centre communal d'action sociale) de Compiègne, mandaté par le Secours Catholique et président de Réseau Éco Habitat, Pierre Chevillotte a accompagné Alexandre dans les démarches. Les demandes de subventions ont été un véritable parcours du combattant, entre l'identification des aides de l'Anah, de la région, du département et de la communauté de communes !Après un an pour boucler le dossier, les travaux d'un montant de 52 000 € peuvent enfin être réalisés en février 2021 : isolation des murs intérieurs et des combles, changement de menuiseries et du système de chauffage, adaptation de la salle d'eau.« Aujourd'hui, mon logement est confortable, je chauffe à 19° sans problème grâce à une meilleure isolation et une nouvelle chaudière gaz », constate Alexandre.« Avant ma retraite, je n'avais aucune notion de ce qu'était la précarité énergétique. Je me suis rendu compte que les personnes en situation de précarité énergétique étaient “indivisibles”. Quand on passait devant la maison d'Alexandre, on ne pouvait pas deviner les conditions dans lesquelles il vivait. Ces personnes ne se plaignent jamais, leur repérage est lié à un concours de circonstances. Mon devoir est que les communes arrivent à identifier ces personnes en situation de précarité », confie Pierre Chevillotte.
Il y a 3 ans et 90 jours

Le pont des Arts de Paris sera rénové en 2022

Le pont des Arts, célèbre passerelle piétonne enjambant la Seine en plein coeur de Paris mais dont le platelage vieillissant suscitait des critiques à l'encontre de la mairie, va être rénové en 2022.
Il y a 3 ans et 94 jours

Bouygues Construction reçoit la certification « Top Employer France » et « Top Employer Europe » 2022

Cette certification « Top Employer » vient récompenser les initiatives que Bouygues Construction déploie depuis de nombreuses années au sein de son organisation pour fournir le meilleur environnement de travail possible à ses collaborateurs à travers des pratiques RH innovantes. Le groupe est le seul acteur de la construction présent dans cette enquête.Le programme Top Employers Institute a ainsi évalué la politique RH de Bouygues Construction grâce à l’enquête « HR Best Practices Survey », qui couvre 6 grands domaines RH, répartie en 20 thématiques tels que la stratégie de gestion des talents, l’environnement de travail, le Talent Acquisition, la formation et le développement des compétences, le bien-être au travail, ou encore la diversité et l’inclusion.Pour Amélie Quidor, directrice des Ressources humaines de Bouygues Construction : « Nous sommes heureux d’être une nouvelle fois Top Employer Europe. Cette reconnaissance vient souligner notre volonté constante de toujours mieux accompagner nos collaborateurs et collaboratrices et de cultiver l’esprit d’équipe, même dans un contexte 2021 perturbé par la crise sanitaire. Au-delà de la certification, ce qui nous tient à cœur, ce sont les retours positifs de nos salarié(e)s, leurs propositions pour aller encore plus loin, dans un esprit d’échange, d’ouverture et de co-construction. Notre marque employeur doit se vivre et s’incarner au quotidien. Je suis très fière des équipes pour leur engagement au quotidien ! »En 2021, deux nouveautés ont été mises en avant par Bouygues Construction :Son nouvel entretien annuel d’échange qui favorise une préparation de qualité et des échanges plus riches.Son programme Chance to Meet qui permet de créer des rencontres entre le top management et les talents identifiés au sein de l’entreprise. Les plus jeunes peuvent ainsi découvrir des parcours inspirants et bénéficier de conseils, et les top managers peuvent ainsi recueillir des idées auprès des leaders de demain.Pour 2022, deux thématiques prioritaires seront complétées et enrichies suite au retour de l’enquête Top Employer :L’attractivité et la richesse de nos parcours professionnels, au travers d’une nouvelle offre de formation et d’une meilleure valorisation des mobilités professionnelles comme des passerelles inter-métiers.Le second sujet renforce notre ambition Diversité, avec la volonté de promouvoir encore plus fortement la diversité des parcours et des cultures au sein du Groupe, notamment au travers de nos programmes de mixité et de l’internationalisation de notre management comme de nos talents.
Il y a 3 ans et 97 jours

Le célèbre pont des Arts à Paris sera rénové en 2022

"Le travaux se tiendront bien cette année", a indiqué David Belliard, adjoint (EELV) à la voirie de la maire PS Anne Hidalgo, en réponse à une requête du maire LR du VIe arrondissement Jean-Pierre Lecoq au Conseil de Paris.Inaugurée en 1984 à l'emplacement d'un précédent pont du XIXe siècle, la passerelle située entre le Louvre et l'Institut de France, siège de l'Académie française, est mondialement célèbre pour sa perspective sur le fleuve, l'île de la Cité et le coeur de la capitale.En 2014, une partie du grillage du pont s'effondrait sous le poids de près d'un million de "cadenas d'amour", définitivement retirés l'année suivante en raison de la "dégradation durable du patrimoine" et du "risque" d'effondrement qu'ils engendraient, selon la Ville.Cette dernière avait remplacé les grillages par des panneaux à verre afin d'empêcher les amoureux de réinstaller ces cadenas, qui avaient fini par peser un total de 45 tonnes.Mais entre les rafistolages, les trous ou les planches branlantes, le platelage en bois de la passerelle "est en très mauvais état depuis des années", a souligné M. Lecoq.Au point de devenir un des symboles de saccageParis, le mouvement né début 2021 sur Twitter pour dénoncer le délabrement de la capitale, en particulier la mauvaise gestion du mobilier urbain et de la voirie par l'actuelle équipe municipale.Selon M. Belliard, le projet a été retardé par "la tension mondiale sur le marché du bois" mais "le marché est en cours pour désigner l'entreprisee prestataire" et "la préparation des travaux a été réalisée".Le platelage actuel sera "entièrement démonté et les planches actuelles en bon état seront transformées en lames, pour des bancs par exemple", a précisé l'élu écologiste.Interrogée par l'AFP, la mairie n'a pas pu préciser le calendrier ni le montant des travaux.
Il y a 3 ans et 97 jours

Le pont des Arts à Paris va être rénové en 2022

CHANTIER. La passerelle piétonne inaugurée en 1984 va être rénovée cette année, a annoncé la mairie. Celle-ci n'a pas encore dévoilé le calendrier et le montant des travaux.
Il y a 3 ans et 102 jours

A Toulouse, deux nouvelles passerelles pour desservir une île en pleine mutation

OUVRAGES D'ART. Dans le cadre d'un grand projet d'aménagement visant la transformation de l'île du Ramier, Toulouse Métropole prévoit la réalisation de 4 nouvelles passerelles, destinées aux mobilités actives. Elle vient d'attribuer les marchés pour les deux premières.
Il y a 3 ans et 107 jours

Saint-Gobain Nova : Répondre aux besoins du groupe

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Claude-Sébastien Lerbourg, directeur des partenariats externes en Europe de Saint-Gobain. [©Saint-Gobain] Créé il y a une quinzaine d’années, Saint-Gobain Nova a réellement accéléré son activité en 2019. L’entité compte 13 collaborateurs, menés par Minas Apelian et dédiés à la structuration de partenariats avec les start-up. En effet, Saint-Gobain Nova sert de passerelle entre des jeunes pousses innovantes et les différentes filiales du groupe. Près de 150 partenariats ont déjà été noués. Présente en Asie, en Europe et aux Etats-Unis, l’entreprise propose une couverture géographique décentralisée à l’image du groupe. « Nous évaluons les différents besoins selon les spécificités des régions, explique Claude-Sébastien Lerbourg, directeur des partenariats externes en Europe. Nous cadrons aussi nos axes de recherches en fonction des tendances du marché et répondons à une demande ou bien nous proposons des innovations. » Saint-Gobain Nova s’intéresse aux start-up déjà structurées qui testent leur solution ou qui débutent la phase d’industrialisation. De grandes tendances et des besoins spécifiques Logo Saint-Gobain Nova. [©Saint-Gobain] « La fenêtre de tir n’est pas très large. Si nous pouvons investir entre 50 000 € et 2 ou 3 M€, l’aspect financier n’est pas une fin en soi. Nous sommes surtout un “outil” stratégique et agile pour générer plus de partenariats avec des start-up. » De plus, à travers cette entreprise, Saint-Gobain cherche à valoriser l’entrepreneuriat au sein même de ses collaborateurs avec le programme InPulse. Ce dernier aide les employés à développer un business qui s’ancre dans les intérêts du groupe. Saint-Gobain Nova passe aussi par des fonds d’investissement spécialisés dans le domaine. En termes de tendances, Saint-Gobain Nova suit de nombreuses grandes thématiques. Parmi lesquelles, l’économie circulaire, la performance des bâtiments, la durabilité, le confort. Mais aussi, la productivité dans la construction, la robotique sur chantier ou encore la préfabrication et la digitalisation des métiers. Plus qu’un investissement financier « Il y a des spécificités par pays. En Europe par exemple, la France dispose d’un maillage très fort avec son activité distribution. Nous allons plus avoir de remontées de problématiques dans ce sens-là. En Allemagne, les tendances métiers ne sont pas les mêmes et dans les Pays nordiques ou au Royaume-Uni, nous remarquons un plus grand développement de start-up autour de la fabrication hors site. » Parmi les derniers investissements (plus de 10 start-up ont été repérées en 2021), Saint-Gobain Nova s’est intéressée au Britannique AMT. « Cette start-up a développé une solution pour rectifier et automatiser les finitions des objets imprimés en 3D. » L’entreprise compte aussi des acteurs comme EcoDrop, développeur français d’une application de collecte de déchets de construction, ou encore Unity Home, spécialisée dans la construction hors site flexible avec conception numérique. Sivagami Casimir Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 115 jours

L’aile est de l'aéroport international de Genève fait peau neuve

L’Aile Est remplace le pavillon gros-porteur, construit à titre provisoire en 1975, aujourd’hui aussi dépassé sur les plans technique et environnemental.Intégralement financé par Genève Aéroport, ce projet comporte un bâtiment à haute performance énergétique de verre et d’acier sur deux niveaux principaux et 520 mètres de longueur.Une approche collaborativeConçue par le groupement RBI-T composé du bureau londonien d’architecture Rogers Stirk Harbour + Partners (RSHP), de l’atelier d’architecture Jacques Bugna à Genève et des bureaux d’ingénierie Ingérop à Paris et T-Ingénierie à Genève, l’Aile Est illustre la collaboration étroite et intense entre architectes et ingénieurs afin de livrer une vision intégrée et claire, rendant imperceptible la frontière entre le travail des uns et des autres. Dans la droite lignée du Centre Pompidou à Paris, l’Aile Est donne à lire l’ensemble des éléments qui la composent et l‘articulation entre eux. Tout ici est architecture. Le nouveau bâtiment permet d’accueillir près de 2.800 passagers par heure au départ et 3.000 à l’arrivée. Il abrite principalement la nouvelle salle d’embarquement, desservant six postes avions existants grâce à de nouvelles passerelles télescopiques, ainsi que les circulations des arrivées, des transferts et les contrôles aux frontières.Un projet au long cours Le projet de RBI-T a été sélectionné à l’issue d’un appel à candidatures international et a été le lauréat d’un mandat d’études en parallèle lancé en 2010. Le bâtiment Aile Est a été réalisé entre 2012 et 2021 et a fait l’objet de quatre chantiers spécifiques, à savoir : Les travaux « Préparatoires » de novembre 2012 à juillet 2013 comprenant notamment la sécurisation du périmètre de chantier Aile Est, le déplacement d’un séparateur à hydrocarbure « tarmac », l’installation d’une sonde géothermique test d’une profondeur de 300 mètres et l’adaptation des réseaux eaux usées et eaux de surface.Les travaux « Route Douanière » d’août 2013 à mai 2015 comprenant notamment la construction d’une tranchée couverte au droit de la future Aile Est avec une circulation routière reliant le secteur France de l’aéroport à Ferney-Voltaire (F), une galerie technique avec des réseaux nouveaux et des locaux techniques, un volume en attente destiné à une affectation ultérieure et la réalisation d’une plate-forme pouvant soutenir un bâtiment futur.Les travaux « BAT 1 », d’avril 2016 à décembre 2017 comprenant notamment la déconstruction de bâtiments et d’équipements, la déviation et/ou le maintien de réseaux existants ainsi que la construction du solde de l’infrastructure de l’Aile Est.Les travaux « BAT 2 », d’avril 2017 à juillet 2021 comprenant notamment la construction du bâtiment.hors-sol (processeur et salle d’embarquement des Portes N° 14 à 19) pouvant accueillir des avions codes C à F, l’aménagement des sous-sols (déjà partiellement réalisés lors des chantiers précédents) ainsi que des liaisons avec des bâtiments et infrastructures environnants.Liberté et légèreté, pérennité et couleur Répondant aux contraintes du site, l’Aile Est est un parallélogramme extrudé, aux façades principales entièrement vitrées et inclinées à 26°, semblant flotter au-dessus de la route de service située au niveau tarmac. L’inclinaison des façades préserve les distances et l’accès à la lumière naturelle des bâtiments avoisinants situés au Sud, dégage le volume dédié au couloir des arrivées au niveau supérieur et, côté piste, crée une protection contre le rayonnement solaire direct. L’Aile Est libère au maximum le volume intérieur de tout élément porteur afin d’assurer une très grande transparence et offrir aux passagers une vue imprenable sur l’activité « tarmac », les avions ainsi que le massif du Jura. Sa structure porteuse est constituée d’un exosquelette métallique de 7.000 tonnes d’acier, comprenant des planchers réticulaires mixtes d’une portée de 20 x 20 mètres et de 135 pièces de fonderie. Le volume intérieur est baigné de lumière naturelle grâce aux 20.000m2 de façades précitées. Les matériaux choisis accentuent le sentiment de fluidité et de légèreté. L’ossature primaire est peinte en gris clair, alors que les éléments structurels secondaires sont de couleur anthracite. Les sols sont habillés de pierre naturelle, les gardes corps et les parois verticales sont en verre. La couleur accompagne le déplacement et l’orientation des passagers le long de l’Aile Est et marque chaque module de 80m de longueur du bâtiment. La palette des matériaux a été choisie pour sa durabilité, son faible entretien et pour servir d’écrin aux flux des passagers. La rénovation énergétique comme pierre angulaire du projet Le projet du groupement RBI-T est conçu pour devenir un bâtiment exemplaire au niveau énergétique. Ainsi, grâce à la mise en œuvre de technologies de pointe, le bâtiment peut s’appuyer sur une stratégie environnementale durable. L’isolation thermique de l’Aile Est est garantie par le déploiement de façades à triple vitrage de haute performance, assorties de protections solaires spécifiques en période estivale permettant de limiter l’utilisation de l’éclairage artificiel et la production de froid et de chaud. L’électricité est produite par une installation solaire composée de 7 000m2 de panneaux photovoltaïques en toiture. La réduction très importante de l’empreinte énergétique est assurée en sus par une isolation thermique performante de l’enveloppe du bâtiment, la récupération et l’utilisation de l’eau pluviale et l’utilisation de pompes à chaleur à haut rendement. Ces dernières produisent et stockent dans un premier temps l’énergie thermique de 110 sondes géothermiques d’une profondeur de 300 mètres et pourront se raccorder au futur réseau hydro-thermique genevois GeniLac qui complétera la panoplie des sources d’énergie renouvelables.
Il y a 3 ans et 125 jours

Alpes Contrôles ouvre un pôle national dédié à l'inspection des ouvrages d'art

C’est donc tout naturellement que la société s’est orientée dans le domaine de la maintenance des ouvrages d’art en créant un pôle national dédié.Les ouvrages d’art (ponts, passerelles, tunnels, ouvrages hydraulique, mur de soutènement...) sont des maillons essentiels de nos réseaux de circulations. Ils sont régulièrement soumis à des environnements agressifs, au vieillissement de leurs composants et matériaux, ainsi qu’à des évolutions ou à des conditions exceptionnelles d’exploitation, comme le démontre l’actualité de ces dernières années (effondrement du pont de Gênes, de l’aqueduc de Comps, etc...).Même si la loi française n’impose pas la réalisation des inspections de ponts, il est de la responsabilité d’un gestionnaire d’assurer la sécurité des usagers pour tout ouvrage dont la dimension principale est supérieure à 2 mètres. En parallèle, il est reconnu que l’engagement d’opérations de maintenance périodique et préventive coûte deux fois moins cher que la réparation. Le critère de durabilité de la structure s’impose comme une nécessité et permet ainsi de mieux maîtriser les coûts.Alpes Contrôles a donc choisi de s’appuyer sur la haute qualification en contrôle de structures de son personnel pour ouvrir un pôle national dédié aux inspections des ouvrages d’art. Celui-ci propose des services d’inspections des structures et d’assistance pour la définition de la politique de maintenance et d’entretien des ouvrages d’art. C’est à Perpignan, dans une toute nouvelle agence (la 51ème de son réseau) que le pôle d’activité à rayonnement national sera piloté par Michel Destaing, spécialisé depuis plus de 13 ans dans l’inspection et le diagnostic des ouvrages d’art.Pour Michel Destaing : « L’inspection des ouvrages d’art est une activité à part entière qui permet à Alpes Contrôles d’élargir son champ d’activités tout en restant cohérent avec ses métiers historiques. Car même si l’on reste sur le domaine d’avis technique et sécurité, c’est un métier fondamentalement différent de celui de contrôleur technique. »
Il y a 3 ans et 130 jours

Alpes Contrôles : Les yeux rivés sur les ouvrages d’art

Pont du parcours Vélo-rails autour de MEDREAC (35). [© Alpes Contrôles] Alpes Contrôles s’oriente dans la maintenance des ouvrages d’art, en créant un pôle national dédié. D’après l’organisme de contrôle, les ponts, les passerelles ou encore les tunnels sont des maillons essentiels des réseaux de circulation. Ces derniers sont d’ailleurs soumis à des contraintes environnementales sévères. Provoquant ainsi le vieillissement accéléré des matériaux, des constituants et de leur structure. Alpes Contrôles propose désormais des services d’inspection des structures et d’assistance pour la définition de la politique de maintenance et d’entretien des ouvrages d’art. Michel Destaing à la manœuvre Ainsi, l’organisme a choisi Perpignan (66) pour ouvrir sa 51e agence et installer ce nouveau pôle. Michel Destaing, spécialiste dans l’inspection d’ouvrages d’art, se chargera de piloter cette activité nationale. « L’inspection des ouvrages d’art est une activité qui permet à Alpes Contrôles d’élargir son champ d’activité, explique Michel Destaing. Lire aussi : Inauguration du Pavillon by Cemex à Paris On reste sur le domaine d’Avis technique et de sécurité, mais c’est un métier différent de contrôleur technique. » Même si la loi française n’impose pas les inspections d’ouvrages, il est de la responsabilité d’un gestionnaire d’assurer la sécurité des usagers pour tout ouvrage, dont la dimension principale est supérieure à 2 m. De plus, les opérations de maintenance périodique et préventive s’avèrent deux fois moins coûteuses. Ainsi, vérifier régulièrement l’état des ouvrages d’art permettrait de générer les économies.
Il y a 3 ans et 131 jours

Gare Montparnasse : une passerelle vers la lumière…

Après deux ans de conception et quatre ans de travaux, la Gare Montparnasse est transformée. Grâce à sa verrière en méthacrylate trônant au-dessus du hall Vasarely, le bâtiment emblématique devient un véritable puits de lumière… 
Il y a 3 ans et 148 jours

Passerelle sur la Scarpe, à Arras, signée Jean-François Blassel

La Passerelle sur la Scarpe, livrée à Arras (Pas-de-Calais) pour la Communauté Urbaine par l’architecte Jean-François Blassel, est le projet lauréat des Trophées Eiffel 2021 dans la Catégorie « Franchir ». Une structure optimisée avec le moins de matière possible. La création d’une voie pour piétons et cyclistes reliant différentes communes de l’agglomération d’Arras fournit […] L’article Passerelle sur la Scarpe, à Arras, signée Jean-François Blassel est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 160 jours

Un rempart de brique pour 185 logements sur les quais du Canal de l'Ourcq, par Chartier-Dalix

À Pantin, sur le quai de l'Aisne, l'immeuble en gradins de Chartier-Dalix se dresse face à la passerelle, tandis que les lignes chahutées de ses façades se reflètent sur l'eau du canal. Derrière l'ensemble de briques brunes érigé sur les bords du canal de l'Ourcq à Pantin par Chartier-Dalix, le cœur […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 160 jours

Snohetta sculpte un meuble de coworking à Tokyo

À Pantin, sur le quai de l'Aisne, l'immeuble en gradins de Chartier-Dalix se dresse face à la passerelle, tandis que les lignes chahutées de ses façades se reflètent sur l'eau du canal. Derrière l'ensemble de briques brunes érigé sur les bords du canal de l'Ourcq à Pantin par Chartier-Dalix, le cœur […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 160 jours

Ciguë, l'âge du "Faire" - Portrait

À Pantin, sur le quai de l'Aisne, l'immeuble en gradins de Chartier-Dalix se dresse face à la passerelle, tandis que les lignes chahutées de ses façades se reflètent sur l'eau du canal. Derrière l'ensemble de briques brunes érigé sur les bords du canal de l'Ourcq à Pantin par Chartier-Dalix, le cœur […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 171 jours

Conjoncture et activité de la construction métallique française en 2021

La progression de l’activité est largement soutenue par la croissance des commandes issues du secteur privé pour la réalisation de bâtiments industriels, agroalimentaires, commerciaux, logistiques et de distributions. Les constructeurs métalliques réalisent 61,1 % du marché de la construction de bâtiments industriels. Précisons que, depuis quelques années, du fait de l’évolution du e-commerce, la construction métallique répond en effet à une forte demande de constructions d’entrepôts logistiques. Si la solution métallique n’est pas toujours retenue pour la réalisation des très grands entrepôts, notons qu’elle s’avère très compétitive pour les entrepôts de 2.000 à 5.000 m2.Côté commande publique (plus rare), celle-ci soutient aussi la tendance sectorielle, grâce notamment aux lignes 16 et 17 du Grand Paris, aux installations des Jeux Olympiques Paris 2024, ainsi qu’aux nombreuses gares réalisées en constructions métalliques. Cependant, pour Roger Briand, « Force est de constater qu’aujourd’hui, si le volume d’activité est présent, les marges sont impactées par les augmentations de prix de l’acier ». En effet, avec cette augmentation, les marchés conclus ont été impactés par une perte de marge. Pour les marchés publics, les interventions du SCMF auprès du ministère de l’industrie ont ainsi permis la publication d’une circulaire de recommandations de bienveillance des acheteurs publics à l’égard des réclamations des entreprises. Certaines entreprises ont obtenu des actualisations de prix et des suppressions de pénalités de retard. « Pour les marchés privés, nous avons fait valoir auprès de nos clients l’existence de l’article 1195 du code civil relatif à la clause de l’imprévision. Dans quelques cas, cela a permis d’ouvrir la discussion avec les maîtres d’ouvrage et d’obtenir de petites compensations » explique Roger Briand avant de conclure « En ce qui concerne l’évolution des prix, nous sommes tous dans l’expectative et dans l’attente d’une baisse. »Rappelons que les entreprises de construction métallique sont, pour l’essentiel, des PME, des ETI à structures familiales et qu’elles investissent de manière régulière et conséquente dans leurs outils de production afin de maintenir leur compétitivité. Et Roger Briand de mentionner : « Les constructeurs métalliques envisagent l’avenir avec sérénité pour les six premiers mois de 2022 et ce grâce à des carnets de commandes bien remplis et des consultations nombreuses en cette fin d’année. Il reste à espérer que les prix des matières premières se stabilisent, pour permettre la reconstitution des marges des entreprises. »Conjoncture et activité des constructeurs métalliquesLa productionAprès une année 2020 fortement impactée par la pandémie, la production annuelle 2021 devrait atteindre les 780.000 tonnes, soit une croissance d’un peu plus de 8 % (marché intérieur) par rapport à 2020. « Une croissance qui va permettre d'atteindre les niveaux d'avant crise » (+ 2 % vs 2019), selon Roger Briand.Rappelons que, lorsque ce taux atteint 80 %, les industriels investissent dans leur outil de travail et construisent de nouveaux bâtiments afin d’augmenter leur capacité de production. L’activité de la profession se veut ainsi étroitement liée à ce taux d’utilisation des capacités de productions françaises. Pour Roger Briand : « Ce taux, qui avoisine 80 %, confirme la bonne situation des carnets de commandes ».Prises de position et préoccupations du SCMFRE2020 :Cette nouvelle réglementation environnementale indispensable et nécessaire pour diminuer l’émission des gaz à effet de serre dans l’acte de construire est soutenue par la profession.À ce titre, Roger Briand déclare : « Nous sommes en accord avec la nécessité d’améliorer nos bilans carbone mais nous nous heurtons à un parti pris non justifié en faveur du matériau bois. L’analyse de cycle de vie dynamique, l’ACV Dynamique retenue par le ministère de la transition écologique pour déterminer le bilan carbone du bois apporte à ce matériau un avantage inéquitable et inexplicable scientifiquement. En fin de vie par combustion ou enfouissement, le matériau bois ne conservera pas le CO2 qu’il a emmagasiné contrairement aux hypothèses de l’ACV dynamique. Le SCMF accompagné par le CTICM est intervenu à de nombreuses reprises pour dénoncer près des instances gouvernementales (DHUP, Ministère de la transition écologique) cette situation inexplicable scientifiquement. Lors de la publication de l’arrêté RE 2020 le 4 août dernier, nous avons constaté que l’ACV statique et l’ACV dynamique étaient présentés avec la même importance dans les textes.Nous en avions déduit bien logiquement que les deux méthodes de calcul reconnues dans l’arrêté étaient utilisables pour déterminer le bilan carbone de chaque matériau. L’ACV Dynamique pour avantager les matériaux biosourcés. L’ACV Statique éventuellement pour les autres matériaux. En fait, il semblerait que ce ne sera pas le cas. Seuls les règlements français vont imposer l’ACV dynamique pour tous les matériaux alors que les autres pays européens vont utiliser l’ACV Statique. L’ACV dynamique atténuera les émissions de fin de vie du bois… (par la magie, des émissions de CO2 vont disparaître), plus exactement ces émissions vont être reléguées aux générations futures (dans 50 ans). La prise en compte de ces réductions d’émission du bois va avoir pour conséquence la réduction de production de matériau recyclé.Un autre point nous interpelle : l’introduction du module D, le Module de la déconstruction enfin retenu, module qui valorise l’effet du recyclage en termes d’évitement de matière produite, mais il est raboté de 43 % par l’usage exclusif de l’ACV dynamique. Il s’agit d’une double peine pour notre filière. Ce parti pris réduit d’autant les vertus de recyclage en termes d’émission, alors que notre filière est très investie dans cette démarche et souhaite les amplifier. Le gouvernement a-t-il compris qu’en rendant exclusif l’ACV dynamique, il freine les solutions de recyclage auxquelles la filière est très attachée car elle dispose du matériau le plus circulaire de tous. Par ailleurs, nous avons bien noté dans la RE 2020 que lors de sa seconde vie un produit issu du réemploi est considéré sans impact carbone. L’éco-conception de nos structures acier vont nous permettre de développer le recyclage et surtout le réemploi de l’acier dans une seconde vie pour la réalisation de bâtiments mixtes acier, bois, béton à bilan bas carbone, en utilisant le bon matériau au bon endroit. Les ingénieurs de nos bureaux d’études et du CTICM sont déjà à l’œuvre pour définir les constructions de demain. »« REP Bâtiment » :Si l’objectif de la REP est de favoriser le recyclage et d’éviter les dépôts sauvages de déchets de démolition du bâtiment, la profession des constructeurs métalliques s’étonne là-encore par la voix de son président. Roger Briand précise en effet : « Nous pouvons d’ores et déjà affirmer fort et clair que si les constructions étaient toutes métalliques, cette REP n’aurait jamais vu le jour car nous recyclons déjà notre matériau l’acier à plus de 90 % ». Et d’interroger : « Pourquoi sommes-nous assujettis à cette éco-contribution qui va nous conduire à financer en partie les structures et dispositifs pour traiter les autres matériaux » ?Rappelons que l’un des atouts de l’acier réside dans le fait que la filière de recyclage est déjà organisée. Dès 1856, les sidérurgistes ont mis sur le marché des aciers fabriqués à partir du recyclage des aciers utilisés, grâce à la mise au point du procédé du convertisseur Martin-Siemens. Ce recyclage à l’infini de l’acier permet de diminuer le recours au minerai de fer et de protéger les réserves en ressources naturelles. Et Roger Briand de préciser : « Ce recyclage est une donnée culturelle de la filière acier particulièrement bien rodée après plus d’un siècle d’existence. La récupération des chutes d’acier provenant de nos usinages et des aciers des décharges se fait par l’intermédiaire des ferrailleurs. D’ailleurs, il existe depuis plus d’un siècle un marché et un cours de la ferraille (actuellement de 300 € /T) très suivi par les constructeurs. Nous ne pouvons pas croire que notre profession, exemplaire en matière de recyclage, en supportera les coûts ! »En effet, les métaux sont les matériaux les plus recyclés au monde. Selon Arcelor Mital, plus de 650 MT d’acier sont recyclés chaque année. Pour la Word Steel également, l’acier constitue le matériau d’excellence, puisqu’une étude gratifie déjà l’acier du taux de 85 % de recyclabilité lors d’une déconstruction/destruction de bâtiment industriel (contre 20 % pour le béton et 13 % pour le bois). Précision faite que les qualités magnétiques de l’acier facilitent sa récupération surtout les aciers du béton, beaucoup plus difficiles à récupérer. Toutefois, malgré la situation, la profession a fait le choix d’être actrice dans un éco-organisme en cours de création (Valobat, animé par Saint-Gobain) pour témoigner des atouts de matériau acier. Et Roger Briand d’indiquer : « Nos seuls objectifs d’amélioration concernent la traçabilité des aciers récupérés sur les chantiers suite à une démolition. Notre profession a décidé de se déclarer « metteur sur le marché » car nous sommes des producteurs en fabricant dans nos ateliers les pièces de la structure que nous assemblons sur les chantiers comme l’assemblage pièce par pièce d’un mécano géant. Ce choix est aussi une manière de participer à la gouvernance de l’éco-organisme et de mieux défendre notre singularité. » Et de conclure : « Un point de vigilance pour nous concerne la fabrication étrangère qui devra être soumise, comme la fabrication française, à l’éco contribution pour nous éviter une concurrence déloyale. Nous veillerons aussi sur le fait que les montants de cette éco-contribution soient visibles sur les facturations pour en permettre une vérification ou éviter des surfacturations en cascade ».Le recrutement :Autre sujet d’importance pour le SCMF et les professionnels de la construction métallique, le recrutement. La profession se heurte en effet depuis des années à des difficultés sur l’ensemble des postes de la filière. Pour Roger Briand : « Pas assez connu et reconnu, notre métier souffre d’une image dégradée qui n’attire pas suffisamment l’intérêt des chercheurs d’emplois et des jeunes étudiants. Notre image doit devenir celle de la réalité pour attirer plus encore les jeunes vers nos métiers. »Si le SCMF va reprendre et intensifier ses actions auprès des collèges et lycées, il est conscient qu’il doit faire preuve de pédagogie pour former ses futurs ingénieurs, techniciens supérieurs, opérateurs sur machines à commande numérique, conducteurs de travaux…En effet, trop souvent encore, les métiers de la construction métallique sont associés à ceux de la sidérurgie, ce qui est bien loin de la réalité. Aujourd’hui, les ateliers des constructeurs disposent de lignes de fabrication automatisées résolument très performantes, ainsi que des sites industriels orientés vers la numérisation et la robotisation, comparables à celles des unités de montage d’automobiles ou des ateliers de mécanique. Et le SCMF tient à le faire savoir notamment au travers de l’APK (association pour le développement des formations de la construction métallique) qui tient un rôle majeur pour la formation et le recrutement des professionnels de la construction métallique.Construction métallique et gares : mise en lumière de 3 référencesLa gare de Rennes :Pierre Raymond, Directeur général GAGNE-Groupe BRIANDPour accueillir un flux de voyageurs toujours plus nombreux (30 millions prévus d’ici 2040), SNCF Gares & Connexions a lancé entre 2015 et 2019 une vaste opération de restructuration de la Gare de Rennes. Ce projet prend notamment en compte l’accueil de la ligne à grande vitesse Bretagne-Pays de la Loire avec l’adaptation des ouvrages liés à l’augmentation des flux des voyageurs grande ligne et en correspondance mais aussi la mise en place d’une intermodalité globale entre les différents modes de transports : le train, les lignes de métro, les flux automobiles et piétons, les modes doux et les transports de bus urbains et interurbains.Il aura fallu presque dix ans, dont la moitié d’études, pour achever la métamorphose de la gare de Rennes. Ainsi, les architectes se sont inspirés de l’emblématique forêt de Brocéliande pour récréer une nappe de brume au-dessus d’un bois jonché d’arbres. Cette transformation s’inscrit dans un projet urbain de paysage construit reliant le nord et le sud de la gare, enjambant les voies ferrées.Une toiture en ETFE fournit un apport de lumière naturelle important sur l’ensemble des niveaux avec, à la clé, une ambiance lumineuse assurant une transition entre les espaces souterrains et la gare haute.La société Gagne a réalisé la charpente métallique, la couverture, les façades, ainsi que les structures de passerelles. Cela représente la mise en œuvre d’une ossature métallique de près de 1 000 tonnes, l’installation de 2 000 m2 de façades vitrées et de 300 m2 de toiture ETFE.Maître d’ouvrage : SNCF Gares & ConnexionsMaîtrise d’œuvre et conception : SNCF G&C et ArepArchitectes : J-M. Duthilleul, E. Tricaud, F. Bonnefille, R. RicoteBureau d’études structures : MaP3Constructeur métallique : GagneAménagement des gares de Pont de Rungis et Maison BlancheJulien FRACCAROLI (FAYAT METAL Grands Projets)Réfléchies dans une logique d’optimisation de l’espace, ces deux gares combinent une architecture métallique, de grandes portées et même des voûtes pour celle de Pont de Rungis. Leur réalisation requiert toute l’expertise technique de FAYAT METAL GRANDS PROJETS à travers les 6 500 heures prévues sur les études d’exécution mais également pour répondre aux exigences BIM du projet. L’ambition architecturale sur la gare de Pont de Rungis se décline par la mise en œuvre d’arches en PRS de 35 mètres de portée sur lesquelles viennent se reposer les poutres treillis de 25 mètres supportant la toiture. Les 500 tonnes de charpente métallique seront pourvues de traitement anticorrosion galvanisé et de peinture intumescente afin de répondre aux critères de tenue au feu de l’ouvrage.Le faux-plafond architecturé et vouté de cette gare représente une surface de 2 000 m2 où toute l’expertise en verre et métal de l’entreprise ACML – Division Fayat Metal – s’est démontrée. Les 3 000 m2 d’habillage intérieurs en inox, les façades en murs rideaux et les 3 000 m2 de couverture en Riverclack viennent compléter les prestations confiées à FMGP comme entreprise générale du métal. Le défi est de taille : le montage du clos-couvert est prévu au printemps 2022 avec en ligne de mire l’ouverture de ce tronçon pour les jeux olympiques de Paris de 2024.Maître d’Ouvrage : Société du Grand Paris (SGP)Maître d’Ouvrage Délégué : RATPMaîtrise d’œuvre : ELIOS groupement Setec et SystraArchitecte Gare de Maison Blanche : Groupe 6Architecte Gare de Pont de Rungis : Valode & PistreEntreprise générale : Razel BecCharpente métallique, façades, plafond voûté, couverture : Fayat Metal Grands Projets, ACML.Gare de Corbeil-EssonnesGuillaume ALBAN (Société Legrand)Entreprise familiale fondée en 1956 par René LEGRAND et son épouse, LEGRAND se développe rapidement dans le domaine du génie civil ferroviaire, de la signalisation et de la serrurerie. Elle participe ainsi à de nombreux travaux d’aménagements pour la SNCF (construction et levage de pylônes, éclairage, pose de câbles, électrification, …) et choisit de diversifier sa clientèle (PTT, devenu France Télécom, dès 1970, EDF depuis 1992, opérateurs de télécommunications à la fin des années 1990) comme ses activités (Département Construction Métallique en 1981, Bureau d’Etudes de piquetage en 1990, pose de fibres optiques dès 1992, ingénierie de réseaux de télécommunication depuis 2000). La société LEGRAND est d’ailleurs associée directement au développement des grandes infrastructures ferroviaires qui ont marqué la fin du XXe siècle et le début du XXIe : rénovation et modernisation du réseau ferroviaire (électrification, signalisation, …), construction des lignes nouvelles TGV (en France depuis la LGV Paris Lyon jusqu’aux LGV Est et Tours-Bordeaux, mais aussi en Angleterre), construction et aménagement des gares (couvertures métalliques, passerelles piétonnes, vidéosurveillance, éclairage, …). Elle est ainsi devenue pour RFF et la SNCF le leader incontesté de la pose d’artères câbles ferroviaires, un acteur majeur en signalisation ferroviaire et construction métallique. L’innovation dans de nombreux domaines a toujours été une préoccupation majeure de l’entreprise LEGRAND : informatisation en 1973, création de machines de pose mécanisée de câbles en 1978, conception et dépôt de brevets de chambres de tirage préfabriquées en 1985, robotisation de la production en métallerie en 1991, création d’une structure spatiale pour des nappes métalliques de grande portée en 2001… En 1996, la société LEGRAND a franchi une nouvelle étape de son développement lorsque les principaux cadres se sont réunis pour en assurer la pérennité, préférant ainsi conserver leur indépendance au lieu de voir leur outil de travail se fondre au sein de l’anonymat d’un groupe.L’ouvrage réalisé à la Gare de Corbeil-Essonnes est une passerelle métallique droite en plan et de profil en long horizontal, d’une longueur totale de 49,79 mètres composée en 4 travées (9,18 m, 13,27 m, 12,83 m, 14,51 m). Chacun des 5 appuis (P0, P1, P2, P3 et P4) est constitué d’un escalier et de poteaux, et comprend une tour d’ascenseur. L’accès à la passerelle s’opère depuis les quais et la gare routière Emile Zola par les 5 escaliers et 5 ascenseurs. Le tablier de la passerelle (largeur utile de 3 mètres) est une structure continue à section constante, avec caisson métallique à intrados courbe de hauteur maximale 0,80 m et de largeur 3,60 m. Il repose sur deux appareils d’appui sur chaque appui, disposés au droit des âmes intérieures du caisson, avec un point fixe sur l’appui P2 réalisé à l’aide de deux appareils d’appui fixes permettant le blocage longitudinal de l’ouvrage.Notons que le tablier repose sur deux appareils d’appui libres sur les autres appuis de la structure, permettant un déplacement dans le sens longitudinal et que les structures métalliques des tours d’ascenseurs sont indépendantes de la structure porteuse de la passerelle. Précisons aussi que les tours d’ascenseurs et les poteaux de la structure porteuse du tablier prennent appui sur une fondation commune qui prend la forme d’une semelle fondée sur neuf micropieux et que les pieds d’escaliers reposent également sur une semelle fondée sur quatre micropieux. Sur le tablier et les paliers d’ascenseurs, la hauteur des protections caténaires et anti-vandalisme est de 2,50 m.Mentionnons que ces protections sont composées d’une partie supérieure en maille tissée inox, et d’une partie inférieure en tôle inox martelé sur tablier et en maille tissée inox sur paliers d’ascenseurs. La pente transversale unique à 1.5 % du platelage supérieur assure, quant à elle, l’écoulement des eaux vers la rive côté ascenseurs, dans un caniveau fil d’eau. Les eaux, récoltées par des avaloirs, sont ensuite évacuées par gravitation dans des conduites logées le long des poteaux structurels et raccordées au réseau d’assainissement des quais.Les marches d’escalier et les paliers (d’escaliers et d’ascenseurs) sont exécutés en béton, avec des bandes antidérapantes sur les nez de marches et les bandes podotactiles incrustées en haut de chaque volée de marches. Si les marches présentent un recouvrement de 5 cm, notons que les premières et dernières de chaque volée sont pourvues d’une contremarche. Le montant hors taxe des travaux s’élève à environ 5,6 M€ (génie civil + passerelle métallique). Concernant la passerelle métallique seule, elle a nécessité un peu plus de 1 500 heures d’étude (dimensionnement et dessin), 1 200 heures d’encadrement travaux et, enfin, 12 000 heures de fabrication atelier. Gestion de flux de circulation oblige, la pose s’est opérée lors de deux week-end « coup de poing », sous consignation caténaire avec un délai d’exécution de 22 mois à compter de la date T0 fixée par l’ordre de service.Maître d’ouvrage (MOA) :SNCF Réseau - Direction Régionale Île-de-France - Plateau commun SDAMaître d’ouvrage Mandaté (MOAD) : SYSTRA - Pôle des Mandats deMaîtrise d’ouvrage Maître d’œuvre général (MOEG) : Groupement EGIS Rail / Strates OAMandataire du groupement : Razel Bec /Lang TPCo-traitant/Constructeur métallique : Legrand S.A.
Il y a 3 ans et 173 jours

Le nouveau CM Connect d’Alfa Laval digitalise les process hygiéniques

  Le nouveau système de surveillance connecté CM Connect d’Alfa Laval permet d’accéder à distance aux données des équipements rotatifs. Avec sa connection au Cloud et son fonctionnement par abonnement, il marque une nouvelle étape vers la numérisation des données pour stimuler l’innovation et la croissance des clients dans les applications hygiéniques. Les données sur le temps de fonctionnement, l’analyse des tendances et le délai avant le prochain entretien aident les opérateurs d’usine à prendre des décisions éclairées sur la maintenance, depuis n’importe quel appareil connecté. Cela permet de protéger la continuité des process et les actifs critiques, d’améliorer la sécurité sur le lieu de travail et d’obtenir un avantage concurrentiel, tout en économisant du temps et de l’argent. Maximiser l’efficacité de l’usine, minimiser les temps d’arrêt non planifiés Alors que l’industrie 4.0 évolue, CM Connect constitue une nouvelle étape naturelle dans le parcours de numérisation du client en élargissant la gamme de solutions de surveillance d’Alfa Laval. Grâce à une visibilité sur tous les actifs connectés, les opérateurs de l’usine peuvent détecter les problèmes impactant les performances, prévenir les temps d’arrêt non planifiés et améliorer la gestion des actifs. Agissant comme une passerelle via Bluetooth, CM Connect peut relier jusqu’à 10 moniteurs de vibrations sans fil CM Alfa Laval. Il transmet ensuite les données sur un réseau 4G vers le Cloud pour examen et analyse sur un tableau de bord intuitif et convivial. Notifications avancées en temps réel Une analyse avancée des vibrations de l’équipement permet de détecter tout écart par rapport aux seuils prédéfinis. En cas d’écart, un SMS ou un e-mail prévient les utilisateurs, qui peuvent prendre des mesures en temps réel en fonction de l’analyse des données. « Concentrez-vous sur l’important. CM Connect permet aux opérateurs d’usine de planifier et de prioriser la maintenance en se basant sur des données concrètes », déclare John Walker, responsable du portefeuille des pompes chez Alfa Laval. « Plutôt que de remplacer les pièces d’usure avant la fin de leur durée de vie effective, les opérateurs peuvent consacrer du temps et de l’argent au moment et à l’endroit où la maintenance est nécessaire. » En plus de relier les systèmes de surveillance de vibrations CM, CM Connect peut également servir de capteur. Il mesure les vibrations, la température interne et le temps de fonctionnement total lorsqu’il est monté sur les pompes Alfa Laval LKH, SRU, SX et DuraCirc, ou sur d’autres machines rotatives, telles que les agitateurs ou les mélangeurs. Vers une numérisation renforcée Dans le cadre de son engagement à se positionner comme pionnière de la transformation numérique dans les applications hygiéniques, Alfa Laval explore et développe des solutions industrielles 4.0 pour renforcer l’avantage concurrentiel des clients. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.alfalaval.fr/cmconnect.   Pour plus d’informations, merci de contacter : Virginie Nordmann Marketing & Communication Manager, Alfa Laval virginie.nordmann@alfalaval.com Tel : +33469167646   Nous sommes Alfa Laval Alfa Laval est actif dans les domaines de l’énergie, de la marine, ainsi que l’alimentation et l’eau, offrant son savoir-faire, ses produits et ses services à un large éventail d’industries dans une centaine de pays. L’entreprise s’engage à optimiser les processus, à créer une croissance responsable et à favoriser le progrès – en allant toujours plus loin pour aider ses clients à atteindre leurs objectifs professionnels et de développement durable. Les technologies innovantes d’Alfa Laval sont dédiées à la purification, au raffinage et à la réutilisation des matériaux, favorisant ainsi une utilisation plus responsable des ressources naturelles. Elles contribuent à augmenter l’efficacité énergétique et la récupération de la chaleur, à améliorer le traitement de l’eau et à réduire les émissions. Alfa Laval accélère ainsi non seulement le succès pour ses clients, mais aussi pour les personnes et la planète. Pour rendre le monde meilleur, chaque jour. C’est tout cela, Advancing better. Alfa Laval compte 16 700 salariés. Ses ventes en 2020 se sont élevées à environ 4 milliards d’euros. La société Alfa Laval est cotée en bourse au Nasdaq OMX. www.alfalaval.fr 
Il y a 3 ans et 183 jours

Au Japon, une ancienne maison close restaurée pour sa beauté

Et pourtant, ce complexe richement décoré datant de l'ère Taisho (1912-1926) est l'âme historique du quartier: il était à l'origine une luxueuse maison close."La majeure partie de l'architecture japonaise d'il y a un siècle ou plus a brûlé durant les bombardements de la Seconde Guerre mondiale ou dans des incendies", souligne Shinya Hashizume, professeur d'histoire de l'architecture à l'université du département d'Osaka."Les anciens bâtiments de maisons closes ont très rarement survécu", ajoute M. Hashizume lors d'une visite sur place avec l'AFP. Aussi ce lieu "est important car il est resté pratiquement intact".Depuis des décennies, le bâtiment à deux niveaux de près de 400 m2 héberge un restaurant appelé Taiyoshi Hyakuban. Il comprend des dizaines de salles de style japonais comme occidental autour d'une cour intérieure accueillant un jardin japonais traditionnel, avec une passerelle rouge en demi-lune, une mare et des rochers.Deux imposantes pierres se dressent dans la cour, une référence au yin et au yang, aux pôles féminin et masculin.Les plafonds et les portes coulissantes de nombreuses chambres sont décorées de fresques peintes pleines de raffinement: fleurs, oiseaux, rivière avec le Mont Fuji, déesses dansant ou jouant de la musique...Financement participatifLa nuit, les façades du bâtiment ont encore fière allure, avec son élégante balustrade à l'étage, doucement éclairée par des lanternes rouges suspendues.Mais la lumière du jour révèle crûment les affres du temps, le bois qui se fissure, les peintures qui s'écaillent.Le site est classé de longue date comme un "bien culturel matériel", mais cette reconnaissance officielle de son importance historique n'a pas été accompagnée de fonds publics pour le sauvegarder.Le propriétaire du restaurant prévoyait depuis longtemps des travaux de rénovation, mais ses finances ont été durement affectées par la pandémie, comme tout le secteur de l'hôtellerie-restauration au Japon.Aussi un collectif d'agents immobiliers et d'urbanistes locaux a lancé une campagne de financement participatif en ligne pour lever 15 millions de yens (plus de 113.000 euros)."On craignait que la rénovation devienne impossible si on attendait et laissait encore le bâtiment se détériorer pendant dix années supplémentaires", explique à l'AFP Keisuke Yotsui, l'un des membres du collectif.Contre l'oubliLe quartier de Tobita-Shinchi, où est situé le restaurant Taiyoshi Hyakuban, est un quartier de prostitution historique d'Osaka, qui comptait des centaines de maisons closes il y a un siècle.Quand la prostitution a été interdite au Japon à la fin des années 1950, beaucoup de ces maisons ont poursuivi leur activité en contournant la loi, par exemple en faisant payer aux clients la chambre au lieu de la passe.Et la pratique perdure: "Hé monsieur, pourquoi ne t'arrêterais-tu pas?" lance une vieille maquerelle dans la nuit, à côté d'une jeune femme prenant la pose à deux pas du restaurant.L'appel aux dons pour un établissement autrefois malfamé a indigné certains internautes, notamment des femmes, raconte M. Yotsui."Ce quartier vit avec une histoire sinistre" mais il ne s'agit pas de l'édulcorer ni de l'oublier, estime le professeur Hashizume.La campagne de financement participatif a finalement dépassé son objectif initial en récoltant cet été près de 19 millions de yens (144.000 euros), et les travaux de rénovation viennent de commencer.Le quartier de Tobita-Shinchi pourrait bientôt s'embourgeoiser: un immense hôtel de luxe doit notamment ouvrir ses portes au printemps prochain à proximité.Si le bâtiment historique du Taiyoshi Hyakuban disparaissait, "nous n'aurions plus aucun moyen de nous rappeler et d'apprendre à quoi cet endroit ressemblait autrefois", souligne M. Yotsui.Le site internet de la campagne pour sa sauvegarde propose une remarquable visite virtuelle du site en 3D (https://micro-heritage.jp/hyakuban).
Il y a 3 ans et 195 jours

Concours d’innovation de la forêt et du bois

A l’occasion de la seconde édition du Canopée Challenge, la filière forêt bois se mobilise pour faire émerger des solutions d’avenir. La filière se mobilise pour faire éclore des projets innovants. Le challenge récompensera 7 projets dans 3 catégories : Création, Développement et International avec une dotation globale de 60 000 €. De plus une dotation complémentaire de 10 000 € est également prévue à travers des prix « coups de coeur » qui pourront être décernés par des co-organisateurs comme l’ESB, Fibois France ou encore Xylofutur. Certains critères vont permettre de se démarquer comme l’innovation technologique ou l’impact social. Les présélection commenceront le 13 janvier 2022 afin de pouvoir participer à la grande finale qui aura lieu à Paris le 11 mai 2022. La filière forêt bois qui est forte de 440 000 emplois se trouve au carrefour des enjeux économique et environnementaux, le Canopée Challenge, est donc la pour favorisé les démarches de recherche et développement en consolidant les passerelles vers de nouveaux secteurs d’activité. L’objectif est de mettre en lumière et d’accompagner toutes les innovations proposées. Etudiants, chercheurs, startups et entreprises de tous secteurs, implantés en France mais aussi à l’étranger, peuvent proposer leurs idées en ligne, jusqu’au 12 décembre.
Il y a 3 ans et 215 jours

Siporex dévoile un nouveau site internet, source d'inspiration

Pour valoriser les multiples avantages des solutions SIPOREX et les possibilités infi nies d’aménagement quelles offrent, Xella France lance le nouveau site www.siporex.fr.Véritable source d’inspiration pour les professionnels comme les particuliers, ce site présente, à travers différents exemples de réalisations, le béton cellulaire SIPOREX comme une solution rapide et pratique à mettre en oeuvre, et parfaitement adaptée à tous les projets.Entrez dans l’univers SIPOREX, trouvez l’inspiration et créez vos projetsLe nouveau site SIPOREX a été entièrement pensé pour assurer la meilleure expérience utilisateur. Responsive, il offre une navigation fl uide et agréable sur ordinateur comme sur Smartphone ou tablette. Riche en visuels inspirants, il délivre des informations claires et didactiques. La structure est simple, les pages sont épurées et le contenu aéré.Des rubriques accessibles rapidementUne homepage défi lante permet de visualiser, d’un seul coup d’oeil et de manière intuitive, les principales rubriques du site internet. L’internaute, qu’il soit bricoleur ou professionnel, peut choisir parmi 6 grandes rubriques :SIPOREX : retrace l’historique de la marque, son offre et son positionnement au sein de Xella France.La gamme : présente les avantages du béton cellulaire, les caractéristiques techniques illustrées de visuels pour chaque produit (carreaux et colle) et les certifi cations. Le guide pratique SIPOREX intégrant les conseils de mise en oeuvre y est également disponible en téléchargement.Votre projet : propose des réalisations en carreaux de SIPOREX, avec la liste des outils, des accessoires et la quantité de matériaux nécessaires pour reproduire le projet. L’internaute peut ainsi se projeter dans des réalisations concrètes.Trouver nos produits : permet à l’internaute de trouver rapidement, avec un simple code postal, les points de vente partenaires les plus proches de chez lui.Téléchargement : rassemble l’ensemble des documents téléchargeables : brochures techniques, guides de pose et certifi cations.FAQ & Contact : liste les principales questions que les internautes peuvent se poser sur le béton cellulaire, son utilisation... et propose un formulaire de contact pour une mise en relation facile avec la marque.Social Wall : une passerelle créative entre le site et le compte instagram SIPOREXEn bas de la homepage, l’internaute accède au Social Wall #AvecDesSi ils l’ont fait, des projets d’aménagement d’instagrammeurs(euses) repartagés sur la nouvelle page instagram SIPOREX.Véritable lien entre le réseau social et le site web de la marque, ce Social Wall permet de fédérer une communauté autour de SIPOREX et d’être proche des utilisateurs, en valorisant les projets fi nis, divers et variés. Il montre également que les solutions SIPOREX sont tout-terrain et accessibles à tous et contribue à faire du site une vraie source d’inspiration pour les internautes !Résolument orienté projets utilisateurs, le site www.siporex.fr veut éveiller les envies d’aménagement à travers des visuels de réalisations concrètes, créatives... et la base line de la marque « Avec des SI on peut tout faire » prend tout son sens.Découvrez le nouveau site https://www.siporex.fr/
Il y a 3 ans et 221 jours

Une passerelle entièrement construite à partir de béton réemployé

Des chercheurs de l’EPFL de Lausanne ont réalisé un prototype à partir de 25 blocs issus d’un bâtiment en déconstruction. Le pont présente un bilan carbone drastiquement réduit par rapport à un ouvrage neuf, sans pour autant porter atteinte à sa sécurité .
Il y a 3 ans et 222 jours

Comment "horizontaliser" une tour, selon l'architecte du futur plus haut gratte-ciel de France

Baptisé "The Link" ("le Lien"), il accueillera le nouveau siège du géant français du pétrole TotalEnergies et culminera à 242 mètres.Un projet à un milliard d'euros imaginé par l'architecte Philippe Chiambaretta, du cabinet PCA-Stream, habitué de l'immobilier professionnel, et connu entre autres pour son projet de réaménagement des Champs-Elysées."J'ai hésité à me lancer, car j'étais persuadé que le modèle de la tour de bureaux à La Défense était tout ce qu'il ne fallait pas faire", expliquait à l'AFP l'architecte, sourire aux lèvres, sur le chantier jeudi.Ce modèle de la tour reste difficile à dépasser. "Cela permet de concentrer sur la même unité beaucoup de personnes", concède Roland Cubin, directeur opérationnel chez Groupama Immobilier, financeur du projet.Pas de table rase, donc, mais une "tour nouvelle génération", argue M. Cubin.Car pour son premier projet de ce type, l'architecte n'ambitionne rien de moins qu'un aggiornamento. "Le défi architectural a été de mettre de l'horizontalité dans cette forme de tour, par essence verticale", poursuit M. Chiambaretta.Pour étirer la tour en largeur, "The Link" est en fait deux tours, de 228 et 165 mètres de hauteur, qui seront reliées entre elles par pas moins de 30 larges passerelles, en grande partie végétalisées.Les liens entre les deux bâtiments permettront de créer des "plateaux" de 3.000 mètres carrés. Voire de 6.000 mètres carrés, car les étages de chaque tour seront reliés par paire par des escaliers ouverts: le but est de permettre aux salariés de rejoindre le plus possible de collègues sans jamais prendre l'ascenseur."Une surface inédite pour une tour de La Défense", se félicite Roland Cubin. Au total, The Link accueillera jusqu'à 12.000 occupants sur 130.000 mètres carrés.Le travail post-Covid"The Link est le fruit de dix ans de réflexion autour des évolutions du monde du travail", explique M. Chiambaretta, dont la revue qu'il dirige publiait en 2012 un numéro intitulé "After Office" (après le bureau).Le secteur tertiaire est marqué par de profonds changements, explique-t-il. "Nous ne sommes plus dans l'administration de l'industrie, mais dans un capitalisme de la connaissance. L'intelligence collective est le moteur de la réussite", affirme l'architecte.Une émulation favorisée selon lui par les rencontres et les échanges impromptus entre salariés: "Il faut que les espaces intérieurs fabriquent ces liens."Les passerelles et jardins de "The Link" seront autant d'espaces pensés pour favoriser ces rencontres. "L'agora" au pied de l'immeuble et le "club panoramique" au milieu des tours sont pensés comme des "places de villages".Des aménagements que l'architecte a déjà expérimentés ailleurs, notamment au #Cloud sur les Grands Boulevards qui abrite les bureaux de Facebook, Instagram et BlaBlaCar, ou dans les nouveaux bureaux de la banque d'affaire Lazard.Si le projet a été conçu avant le Covid, il n'épouse pas moins les contours du monde du travail post-pandémie, selon Philippe Chiambaretta: "La crise du Covid a accéléré des tendances de fond comme le besoin d'extérieur et d'horizontalité."10.000 mètres carrés d'espaces extérieurs sont ainsi prévus.Après des mois de télétravail, "venir au bureau doit être désirable" explique-t-il, "pour attirer les talents"."On cherche à donner du sens au siège", complète Roland Cubin.Dans cette optique, le bien-être des salariés devient crucial. Pour l'assurer, l'architecte a par exemple aménagé des espaces végétalisés (2.800 m2 au total) accessibles à moins de 30 secondes de n'importe quel poste de travail.Les bureaux sont alors pensés comme des outils de productivité pour les salariés, et non plus seulement comme un simple toit."Ce sujet est à présent pris en charge par les ressources humaines. Ce n'est plus seulement un mal nécessaire, appréhendé au prisme financier du coût par poste", dit M. Chiambaretta.
Il y a 3 ans et 234 jours

Feu vert de la métropole de Lyon au projet d'Arena révisé de l'OL

Le conseil métropolitain a voté à une large majorité la mise en compatibilité du Plan local d'urbanisme et d'habitat (PLUH) nécessaire à l'édification d'une salle "multifonctionnelle" sur une friche industrielle proche du Parc OL, où le club de football évolue à Décines-Charpieu (est de l'agglomération).D'un coût estimé de 140 millions d'euros, l'"Arena" doit accueillir 80 à 120 manifestations par an: concerts, spectacles jeune public et séminaires d'entreprises, ainsi que des rencontres sportives, dont les matchs d'Euroligue de l'Asvel, club de basket que préside Tony Parker et dont l'OL est actionnaire.Lors d'un précédent vote sur le projet en décembre dernier, le président EELV de la métropole, Bruno Bernard, avait essuyé une fronde au sein de sa majorité et la délibération d'alors n'avait été adoptée que grâce à l'opposition.La métropole avait alors indiqué qu'elle exigerait de l'OL des garanties pour réduire les impacts environnementaux de la construction et de l'exploitation du bâtiment, un engagement à ne pas organiser de concerts de moins de 6.000 places pour ne pas concurrencer les petites salles de spectacles de l'agglomération, et à baisser les nuisances liées à l'accès en voiture aux équipements.Dans un communiqué, l'Olympique lyonnais s'est "réjoui" de l'issue favorable du vote de lundi, précisant avoir consenti plusieurs modifications à son projet."L'emprise au sol du bâtiment a notamment été réduite de 11%, tandis que les espaces de pleine terre représenteront 30% de la parcelle, soit une augmentation de plus de 50% par rapport au projet initial. De même, le toit de l'Arena devrait être composé d'une surface végétalisée, ainsi que de panneaux photovoltaïques", indique le club de Jean-Michel Aulas.L'OL annonce également la "mise en place d'une politique d'insertion des personnes éloignées de l'emploi" et sa participation à deux projets métropolitains: la construction d'une passerelle au-dessus de la rocade Est et la réalisation d'un corridor écologique au sud-est de la future enceinte.Selon l'OL, cette "Arena" pourra accueillir jusqu'à 16.000 personnes, pour une livraison envisagée fin 2023.
Il y a 3 ans et 237 jours

Politique QSE : Des décisions qui ont démontré leur efficacité

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. L’atelier de préfabrication avant/après une démarche QSE approfondie. [©Bemaco] Les risques liés aux activités de préfabrication sont classiques : le port de charges lourdes, les risques d’écrasement, la manutention manuelle, les TMS… La diminution continue de ces risques passe par l’automatisation d’un maximum d’opérations, mais toutes ne peuvent pas l’être, comme les pièces fabriquées sur mesure, les accessoires… qui nécessitent toujours des interventions manuelles.  Les risques potentiels peuvent aussi être importants au niveau des livraisons, lorsque les conditions d’accès et de déchargement ne sont pas optimales. Néanmoins, les opérations de déchargement sur chantier sont réalisées par les grutiers. Ce qui diminue les risques au niveau des chauffeurs, dont l’intervention se limite à retirer les sangles et à d’éventuelles situations de co-activité. Les interventions sur chantier impliquent un travail permanent en hauteur à partir de nacelles. Ces chantiers nécessitent un personnel aguerri au montage d’éléments préfabriqués et qui savent évoluer en permanence avec les grutiers, dont le rôle est ici prépondérant. En 2021, le système de management “Santé et Sécurité au travail” de Bemaco a été référencé selon le référentiel ISO 45001. « Cette certification confirme l’engagement de la direction et de l’ensemble du personnel dans la prévention des risques et de l’amélioration des conditions de travail », précise Marie De Salvador, responsable QSE. En quatre ans, Bemaco aura investi près de 100 000 € en formations (management, Caces, pont roulant, sauveteur-secouriste du travail ou SST…) par le biais du centre de formation du CFA Urano, à Warcq. La prévention  Chaque opérateur dispose d’un package d’EPI adapté à son poste de travail. [©Bemaco] Bemaco a mis en place un processus d’accueil très strict. Tout nouvel embauché est d’abord orienté vers un test en sécurité informatisé, suivi d’une évaluation. Si celui-ci est concluant, le service Qualité Sécurité Environnement (QSE) poursuit avec un accueil sécurité complet. Le tout dure environ une demi-journée. S’en suit une description du futur poste de travail par un chef d’équipe. Les nouveaux entrants sur chantier suivent aussi une évaluation de leur formation Caces “nacelle”. Le personnel arrivant reçoit son package d’EPI, adapté aux spécificités de chaque poste de travail. « Nous allons souvent plus loin que ce que nous impose la réglementation,indique Marie De Salvador. Par exemple, nous avons développé et adopté l’usage de gilets de protection, pour les collaborateurs qui sont affectés aux postes les plus contraignants. Nous avons doté notre personnel de talkies-walkies, afin de faciliter la communication dans nos ateliers et sur nos chantiers. » Toutes ces actions ont porté leurs fruits, puisqu’en 4 ans, les taux de fréquence d’accident ont été divisés par 3. La très grande majorité des arrêts de travail concernaient des blessures légères, mais leur taux élevé nécessitait d’analyser les causes et d’en déduire les actions à mener. La mise en place d’un véritable service QSE, composé de 3 personnes, a permis d’aller plus loin, en termes de méthodologies, d’ergonomie, de réduction des TMS et de diminution globale des risques. De plus, ces études ont abouti à limiter l’usage des outillages à main, causes de petites blessures, dès lors que cela est possible, voire à faire évoluer les process pour éviter leur usage. On peut aussi citer “la chasse” aux échelles, abusivement utilisées pour des interventions courtes, pour les remplacer par des gazelles.  L’entreprise aura ainsi investi dans l’amélioration des postes de travail, le renforcement des contrôles du port des EPI, des formations pour les encadrants, des moyens digitaux, par exemple l’utilisation des tablettes pour le suivi des chantiers au niveau QSE… La préfabrication Essais d’un exosquelette. Malgré les imperfections d’un prototype, les espoirs dans ce type de matériels restent importants. [©Bemaco] Les dirigeants de Bemaco s’emploient à réduire, voire à supprimer la plupart des risques liés aux activités de préfabrication, comme le port de charges lourdes, les risques d’écrasement, les manutentions manuelles… Sans surprise, la diminution continue de ces risques passe par l’automatisation et l’évolution des différents process. L’entreprise travaille en permanence à l’amélioration des postes de travail, par des collaborations permanentes avec la Carsat, l’OPPBTP, la médecine du travail…  A titre d’exemple, une expérimentation a récemment été engagée avec Comau et Hilti, qui ont réalisé un exosquelette destiné à améliorer les conditions de travail des opérateurs affectés à la fabrication. Dans un premier temps, les résultats n’ont pas été à la hauteur des espérances, les opérateurs estimant le matériel trop encombrant. Ils sont maintenant en attente d’un prototype réalisé par Hilti, destiné aux interventions sur les coffrages, les éléments fabriqués à plat… Tout ce qui impose de se pencher de façon répétitive et de multiplier les manutentions manuelles. La gestion du bruit est aussi une problématique récurrente. Bemaco réalise à intervalles réguliers des commandes de bouchons moulés, afin que la protection auditive du personnel soit en permanence optimisée. Et les opérateurs qui supportent mal ce type de protections continuent à porter des casques anti-bruits. Même automatisées, les différentes manutentions peuvent générer des risques : écrasement par chute de charges, mauvais élingage, manipulations inadaptées des ponts roulants… Les Caces “pontier”, officialisés depuis 2020, ont permis d’optimiser la formation d’une quarantaine d’opérateurs. Enfin, la mise en place d’une démarche participative dans les ateliers, avec l’intégration de la méthode des 5S et la création de plusieurs groupes de travail dédiés à la sécurité, a facilité l’amélioration les conditions de travail. En plaçant le personnel au cœur de ces démarches, cela a permis de mettre en place une culture forte en matière de sécurité. Le transport et les chantiers Les séances d’échauffement ont prouvé leur intérêt, entre autres vis-à-vis de la réduction des pathologies d’origine musculaire. [©Bemaco] Une flotte de 150 camions assure les livraisons sur tous les chantiers. Hormis les risques routiers traditionnels qui imposent des sensibilisations régulières et interactives (téléphone, alcool, addictions diverses, respect des limitations de vitesse), les dangers se situent au niveau des chargements et déchargements. Et concernent souvent les mains et les pieds. Toutefois, dans les faits, ils sont très réduits pour les chauffeurs, car ce sont des pontiers qui effectuent les opérations les plus délicates. En ce qui concerne le site de production, les quais de chargement sont équipés de passerelles à niveau. Ce qui aide à réduire les manutentions manuelles, ainsi que les problématiques qui y sont liées. Il faut ajouter les contraintes de chantiers. Les chemins de circulation sont parfois mal revêtus et l’état de la plate-forme peut être dégradé en raison des conditions climatiques. Ce qui pose problème vis-à-vis de l’utilisation des nacelles. Les compagnons y sont par conséquent très sensibilisés. Bemaco pratique en permanence, sur ces sujets comme sur d’autres, la remontée d’informations. Ceci permet de faire profiter des expériences, bonnes ou mauvaises, aux autres équipes. Et de proposer les éventuelles améliorations nécessaires. La mise en œuvre sur chantier est assurée par les équipes de pose. Ces interventions, assez répétitives, impliquent un travail permanent en hauteur à partir de nacelles, du levage de charges, ainsi que la manipulation de pièces plus ou moins lourdes. « Nous ne recrutons que des grutiers expérimentés», insiste Marie De Salvador. En effet, les éléments à décharger, à manutentionner et à positionner pèsent de 5 à 30 t en moyenne. Ce qui implique une expérience importante de ce type de travaux. Gérard Guérit Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 3 ans et 238 jours

Pyrénées-Atlantiques : la passerelle du fort du Portalet et le centre d’accueil de Canfranc inaugurés

Le Département des Pyrénées-Atlantiques a inauguré la passerelle du fort du Portalet et le centre d’accueil de Canfranc.
Il y a 3 ans et 241 jours

Bischwiller : agrandissement du parking et création d’une passerelle piétonne à la gare

La Communauté d’Agglomération d’Haguenau poursuit les travaux visant le développement de ses pôles d’échanges multimodaux.
Il y a 3 ans et 249 jours

Tubesca-Comabi et FMS Ringue déploient leur savoir-faire pour la rénovation du Palais Chaillot à Paris

Des problématiques d’étanchéité des sols sont apparues impliquant d’engager une restauration. TUBESCA-COMABI, leader français dans la fabrication et la commercialisation des solutions d'accès et de travail en hauteur, et FMS Ringue, spécialiste de la location, de la pose et dépose d'échafaudages, en partenariat avec Degaine (Groupe Vinci) vont mener de concert ce chantier emblématique.De renommée internationale, ce monument majeur des années 30 fait l’objet de vastes rénovations des terrasses et du parvis du Trocadéro. TUBESCA-COMABI et FMS RINGUE ont uni leur savoir-faire pour concevoir un échafaudage épousant les contours de la structure et répondant à toutes les contraintes liées aux travaux et aux interventions des différents corps de métier. Ainsi les deux entreprises assureront la fourniture, le montage et démontage des échafaudages et parapluies de protection et Degaine interviendra dans la restauration du parvis côté Passy (en maçonnerie et pierre de taille). Ce chantier d’une durée de 16 mois se déploiera sur4 zones et l’ensemble sera monté, puis démonté et basculé de zone en zone en 4 étapes.La zone 1 : une installation unique dans sa conception et son installationLe chantier a débuté en mai dans la zone 1 pour une durée de 4 mois. La zone d’entrée et d’approvisionnement de cette zone représente 18 m de hauteur au total et par conséquent trois niveaux d’escaliers ont été conçus et construits. Pour assurer la jonction entre ces deux parties, une passerelle a été mise en place afin de faciliter la circulation du matériel et des intervenants du point le plus bas au point le plus haut pour les différents corps d’État. De même, un ascenseur de chantier a été installé afin de fluidifier et accélérer la manutention et les déplacements des matériaux et des hommes. La structure se compose d’un échafaudage de classe 5 (le M368 multidirectionnel, hors élévateur) dimensionné et calculé pour rependre les efforts engendrés par l’ascenseur.En complément, une seconde passerelle de liaison de 16 m de haut et 20 m de long est mise en œuvre pour faciliter l’accès et la circulation entre la zone de stockage et la zone de travail. Par ailleurs, le restaurant Café del’Homme restera ouvert au public pendant toute la période de travaux, ainsi des solutions de stockage occultant ont été prévues afin de ne pas gêner la clientèle.Une application atypique de parapluie pour garantir confort et protectionUn parapluie de 700 m² d’échafaudage a été conçu par le bureau d’étude de TUBESCA-COMABI afin de garantir la mise en œuvre facile et rapide du montage au démontage. La première tranche de travaux a consisté à effectuer la dépose des dalles afin que l’échafaudage de protection repose en périphérie de la zone d’intervention et soit ensuite directement ancré au sol. L’exécution des travaux sur dalle impose une hauteur libre sous parapluie de 3 m. Les fermes sont réalisées avec des poutres en aluminium permettant un montage simple et rapide sans outil, sur lesquelles sont positionnées des glissières permettant d’accueillir les bâches de protection. Cette installation a mobilisé 6 personnes pendant 3 semaines pour la zone 1 et la passerelle.« Nous sommes très fiers d’intervenir sur ce chantier qui représente l’un des lieux les plus connus de la capitale.Ces derniers mois, toutes les équipes de TUBESCA-COMABI et de FMS RINGUE se sont mobilisées pour concevoir et mettre en œuvre des structures adaptées aux contraintes fortes de chantiers emblématiques comme celui duCentre Georges Pompidou en début d’année et de l’hôtel de ville de Pantin récemment. Ce nouveau lieu est une nouvelle fois, la reconnaissance d’un travail collectif de qualité réalisé avec les équipes et nos partenaires. » précise Jean-Baptiste Spinicci, directeur général chez FMS RINGUE & directeur technique et commercial chez Tubesca-Comabi.
Il y a 3 ans et 254 jours

Eure-et-Loir : une passerelle "minimaliste mais moderne" pour la gare de Chartres

INFRASTRUCTURE. La gare de Chartres s'est dotée d'une passerelle connectant la station au reste de la ville. Les concepteurs de l'ouvrage se sont inspirés du travail sur le verre et la couleur jadis réalisé pour la célèbre cathédrale de la préfecture d'Eure-et-Loir.
Il y a 3 ans et 256 jours

Roquebillière : une nouvelle passerelle surplombant la rivière Vésubie relie les routes 69 et 2565

La traversée de la Vésubie, au sud de Roquebillière, pour passer de la route 69 à la 2565, est possible depuis mi-août 2021. Une nouvelle passerelle a notamment été construite.
Il y a 3 ans et 258 jours

Grande cérémonie d'ouverture de l'impressionnant musée Neolith® en Chine

La structure est située dans le district urbain de Binjiang, une zone abritant les sièges de certains géants asiatiques du commerce électronique, de l'automobile et de la technologie, tels qu'Alibaba, Geely, Dahua Technology et H3C.Expériences spatialesLe musée a été conçu par Chen Lin et Cui Shu, deux maîtres du design de renommée internationale qui ont imaginé un espace unique et singulier, permettant de mieux comprendre les raisons pour lesquelles l'architecture asiatique moderne est considérée comme l'une des plus innovantes et des plus ambitieuses au monde.Le musée Neolith® a été créé pour offrir à ses visiteurs une expérience spatiale immersive. Un parcours où les formes, les lumières, les couleurs, les textures et les matériaux sont modulés et créent une succession d'expériences réelles en 3D qui interpellent tous les sens pour offrir une aventure innovante et futuriste. Le noir et le blanc forment le principal duo d'un itinéraire caractérisé par la combinaison de matériaux et de formes, ainsi que par le recours à de multiples ressources esthétiques.Inspiré du concept oriental du « lâcher prise », le visiteur est invité à ouvrir son esprit et se laisser porter à travers une succession d'espaces où Neolith® est présenté à travers des plaques de marbre suspendues et éclairées par des LED, qui marquent le parcours et divisent les espaces, entraînant le visiteur dans un voyage qui se termine par « l'arrivée », point culminant de cet apprentissage empirique de Neolith®.Le musée fait office de laboratoire vivant qui favorise une expérience architecturale et spatiale du visiteur, au-delà de la simple contemplation artistique. Il véhicule des qualités et des valeurs qui définissent de nouvelles tendances fondées sur l'innovation, les nouveaux matériaux et un design d'avant-garde basé sur des lignes, des plans, des matériaux et des surfaces épurés et déliés.Avec une approche durable et très différentielle, on y trouve une piscine allongée autour d'une passerelle en Neolith®, associée à un toit en acier inoxydable. L'ensemble produit sur le visiteur un reflet puissant et attrayant de l'eau, créant un effet miroir original.Par ailleurs, différents agencements y seront proposés de temps à autre dans le but de créer des expériences spatiales et architecturales basées sur le design, l'innovation et les matériaux d'avant-garde.Événement de l'annéeL'inauguration du musée et la mise en scène spectaculaire de la cérémonie ont rassemblé des centaines d'invités, avec la présence remarquée des architectes et designers les plus célèbres et les plus réputés de Chine, d'importants hommes d'affaires et de personnalités du monde politique, artistique et social.« L'ouverture de cet espace unique et de premier plan en matière de design et d'architecture est le projet le plus ambitieux de Neolith à ce jour en Chine », a déclaré José Luis Ramón, CEO de Groupe Neolith®. « Avec notre partenaire Techsize, a-t-il ajouté, nous avons réussi en à peine 10 ans à placer Neolith comme la marque de référence, avec une présence directe dans plus de 30 showrooms dans les 21 villes les plus importantes du pays ».Pour Leon Liang, CEO de Techsize, le partenaire de Neolith® en Chine : « Cet espace sera un haut lieu d'interaction et d'échange professionnel et commercial et une source d'inspiration pour de futurs projets qui apporteront beauté, innovation et prestige à l'architecture et au design ».
Il y a 3 ans et 280 jours

Construction d’un nouveau bâtiment pour l’Hôpital Nord-Ouest-Villefranche

Avec son nouveau bâtiment de consultations de chirurgie et d’anesthésie, l’HNO souhaite sécuriser et simplifier le circuit des nombreuses personnes consultant en anesthésie et en chirurgie.Aujourd’hui installées dans le bâtiment Duquesne (1982), les consultations externes sont dispersées dans des locaux devenus exigus avec le développement de l’activité ces dernières années.Une situation inconfortable pour les patients comme pour les professionnels qui devient problématique en période de pandémie. Les mesures de distanciation physiques sont difficiles à mettre en place dans des espaces trop étroits, les locaux ne permettent pas de circuits de marche en avant et l’imbrication des espaces de consultation et des espaces d’hospitalisation limite fortement les possibilités de différenciation des flux.La construction d’un nouveau bâtiment : Une réponse au besoin de sécurité et de fluiditéLongeant l’extrémité ouest du bâtiment principal de l’hôpital, le Duquesne, cette nouvelle construction permet une meilleure gestion des flux visiteurs et répond aux préoccupations sanitaires actuelles. L’accès direct permettra aux patients de se rendre en consultations sans traverser le cœur de l’hôpital. Avec une entrée et des sorties distinctes la marche en avant sera favorisée. Les contacts entre patients entrants et sortants seront évités, limitant ainsi les risques de contamination virale.L’architecture modulaire de ce bâtiment : Rapide, propre et made in FrancePorté en moins d’un an par le groupement rassemblant Bouygues Bâtiments Sud Est, mandataire, Ossabois, CRR Ecritures Architecturales et TEM Partners, ce projet de construction mixte est composé de fondations, cages d’escaliers, ascenseurs et unité de radiologie en béton, ainsi que d’environ 200 modules en bois. Cet ensemble forme un bâtiment de 4 étages offrant plus de 5.000 m² de surface.Il s’agit de travaux exemplaires, tant sur la rapidité de prise de décision par les parties prenantes que sur le mode constructif choisi : la construction mixte bois-béton. Fortes de leur expérience en la matière dans le cadre de la réalisation de bâtiments d’hébergements pour le Ministère des Armées et d’un collège pour la Métropole deLyon, les équipes Ingénierie et Travaux de Bouygues Bâtiment Sud-Est réalisent ce bâtiment de santé dans un délai record de 9 mois de travaux. Cette performance est rendue possible grâce au choix de la construction hors site et à un pilotage optimal des entreprises partenaires assurant les prestations complémentaires (façades, toitures, finitions des modules « ouverts », VRD/parking).Chaque module bois a été fabriqué dans les usines OSSABOIS dont l’un des sites est situé à Balbigny dans la Loire. Ils ont été équipés en système de plomberie, d’électricité et de chauffage pour ensuite être assemblés et montés sur des fondations béton.OSSABOIS est aujourd’hui le leader français de la construction hors-site de bâtiment en bois, concevant les éléments sur mesure pour chaque construction dans ses 3usines en France puis les achemine et les assemble sur le chantier. Avec une maitrise des coûts et une diminution jusqu’à 60 % des délais de construction, l’architecture modulaire permet également une réduction considérable des nuisances sur le chantier et l’environnement avec, notamment, des chantiers secs, sans nuisance de poussières et d’eaux sales mais également un circuit court des matériaux et de la production.Les travaux : Prochaines étapes et livraisonAvec un démarrage des travaux en décembre 2020 et une livraison prévue pour septembre 2021, le bâtiment de consultations devrait recevoir ses premiers patients courant novembre 2021. La pose de la passerelle aérienne, reliant ce nouveau bâtiment au bâtiment Duquesne, a été finalisée dans la nuit du 22 au 23 juin dernier. Installée en 4 tronçons, celle-ci mesure 39 m de longueur et facilitera le passage des professionnels de santé d’un bâtiment à l’autre.
Il y a 3 ans et 285 jours

A Champigny, des compagnons équipent les voies du Grand Paris Express

Après le génie civil, place aux équipements: sur un tronçon de 2,5 kilomètres de cette commune du Val-de-Marne, le groupement Alstom et Colas Rail est à la manoeuvre. Protégés de la tête au pied, les ouvriers posent les chemins de câbles et les supports sur lesquels reposeront les caténaires et la passerelle piétonne du futur métro.Situés au sommet et sur les côtés du tunnel fraîchement creusé, ces éléments prennent place le long des 2,5 kilomètres du tronçon "de débranchement".Ce court secteur est l'un des plus avancés, avec l'arrière gare de Noisy-Champs à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis), du chantier du Grand Paris Express et de ses 68 gares réparties sur 200 kilomètres autour de Paris.A terme, cette section de tunnel fermée au public permettra de relier la ligne 15 au site de maintenance de Champigny-sur-Marne."Tout sera prêt pour le 2 septembre", assure Selim Hmidy, responsable de la partie caténaire et équipement linéaire pour Alstom.Sans être un entraînement, c'est une sorte de "phase d'apprentissage" avec "des petites optimisations", poursuit-il, avant la réalisation des travaux ferroviaires sur le reste du tronçon, où circulera le métro avec ses voyageurs.Le groupement Colas Rail (spécialiste des infrastructures ferroviaires) et Alstom (constructeur ferroviaire) a été choisi en septembre 2018 par la Société du Grand Paris pour équiper les 17 kilomètres du secteur Est de la ligne 15 du Grand Paris Express, entre les stations Noisy-Champs et Vert de Maisons.Ce contrat de 155 millions d'euros mobilisera "jusqu'à 260 collaborateurs" sur une période de 69 mois.Au total, 46 kilomètres de caténaires et de voies ferrées, 34 kilomètres de chemins de câbles et 17 kilomètres de colonne sèche sont en cours de réalisation sur ce chantier.Mise en service "mi-2025"La zone de débranchement au niveau de la gare de Noisy-Champs, futur terminus de la ligne 15 Sud, est déjà entièrement équipée, ont affirmé à la presse les membres du groupement.Et sur le tronçon de débranchement de Champigny, le bétonnage et la pose des voies ferrées "est terminée" depuis deux semaines, a souligné Eric Hausherr, chef de la partie voie ferrée.Sur cette partie du chantier, 3.000 m3 de béton ont été coulés et quelque 6.000 traverses à coque rigide ont été posées, séparées de la voie par une couche élastique pour atténuer les vibrations.A quelques centaines de mètres du futur site de maintenance, une poignée d'ouvriers réalisent encore les dernières soudures, masques de protection sur la tête et aspirateur de fumée à la main.Pour "créer les voies" du futur métro, des morceaux de rail de 18 mètres de long ont été descendus dans le tunnel, avant d'être soudés pour former des sections de 250 à 400 mètres, elles-mêmes assemblées les unes aux autres.La semaine prochaine, les compagnons s'attelleront à la pose de la caténaire dont la structure, en aluminium, est encore entreposée à la surface du chantier entre les grues et les gravats.L'intérêt est "d'éprouver la méthodologie", affirme M. Hausherr, pour le moment satisfait du travail accompli.La fin de ce chantier de 17 kilomètres est attendue en 2024 et la mise en service de la ligne 15 Sud est prévue à la "mi-2025", avec un retard lié au Covid de "trois à huit mois", a rappelé Thomas Hantz de la Société du Grand Paris.
Il y a 3 ans et 292 jours

Comment réussir les travaux d’installation électrique?

L’électricité fait partie des aménagements essentiels dans un projet de construction, notamment pour assurer votre confort au quotidien. Par conséquent, les travaux d’installation électrique restent une étape incontournable dans la réalisation de tout type de bâtiment, que ce soit professionnel ou particulier. En effet, ce dispositif risque de provoquer des dangers lorsque son déploiement ne respecte pas les normes. Le cas échéant, vous serez dans l’obligation de refaire des remises en conformité qui peuvent s’avérer assez onéreuses. C’est la raison pour laquelle, il est recommandé de faire appel à un électricien professionnel pour écarter tous les risques. Travaux d’installation électrique : les précautions essentielles Il est important de noter que la loi est devenue de plus en plus pointue sur les travaux d’installation électrique. En effet, il a été constaté que des malfaçons dans ce domaine ont causé de fréquents accidents domestiques. C’est la raison pour laquelle il est primordial de faire appel à un électricien, car les préventions à prendre pour la sécurisation des lieux changent en fonction de sa configuration. Grâce à ses compétences, ce professionnel saura considérer les différents éléments indispensables, afin de paramétrer votre réseau de distribution selon vos besoins. De la même manière, il ne manquera pas de prévoir le futur développement de votre installation. Pour ce faire, il mettra en place un système simple à manipuler pour réussir à l’adapter facilement à l’évolution de votre construction. Autrement dit, ces interventions sont personnalisées en fonction des spécificités de chaque bâtiment. Travaux d’installation électrique : les normes à respecter Les travaux d’installation électrique doivent suivre des normes, à l’instar des projets de construction ou de rénovation. De ce fait, recourir au service d’un bricoleur amateur peut avoir de lourdes conséquences sur la qualité de votre dispositif. Ainsi, il est plus que recommandé de faire appel à un électricien qui maitrise parfaitement les règles en vigueur. Il s’agit entre autres de la norme NCF-15-100 qui a subi récemment des modifications en particulier par rapport au tableau électrique. En effet, ses composants et son mode fonctionnement ont complètement évolué. Pareillement, avec les changements climatiques et les dégradations de l’environnement, l’État est en train de mettre en place des mesures plus écologiques. Dans cette optique, pour encourager les particuliers à s’investir dans cette lutte contre le gaspillage de l’énergie, des aides financières ont été déployées. Cependant, pour être éligible, vous devez remplir certaines conditions et suivre les formalités indispensables. A savoir, l’engagement d’un professionnel qui vous offrira également l’opportunité de bénéficier de ses précieux conseils sur le choix des matériels selon les critères exigés. Pour ce faire, il connait effectivement toutes les marques disponibles sur le marché et qui proposent des produits d’excellente qualité, tout en restant économiques et écologiques. Pour résumer, avec l’évolution de la technologie, les nouveaux dispositifs en travaux d’installation électrique sont beaucoup plus efficaces, afin d’éviter les risques d’accident. Autrement, l’État incite les particuliers à remplacer leurs anciens circuits qui représentent un gouffre en matière de consommation. Ainsi, vous aurez l’avantage de réaliser une économie non négligeable, tout en contribuant la réduction de votre gaspillage en énergie. Dans cette optique, la meilleure solution est de faire appel à un électricien confirmé.
Il y a 3 ans et 299 jours

Création d’une nouvelle passerelle entre les quartiers du Franc-Moisin et du Stade de France

La future passerelle piétonne, enjambant le canal Saint-Denis, reliera les quartiers du Franc-Moisin et du Stade de France d’ici 2024.
Il y a 3 ans et 304 jours

Hager lance une nouvelle version de son serveur domotique domovea

Entièrement repensée, la deuxième génération de domovea, apporte trois évolutions majeures : une déclinaison en deux niveaux de fonctionnalités, basic ou expert, un nouvel outil de paramétrage intégré et une nouvelle interface totalement personnalisable par l’utilisateur. Basée sur le standard KNX, la solution de connectivité de Hager répond à tous les projets, de la maison individuelle au bâtiment tertiaire, en passant par les petits commerce.Une nouvelle version, trois évolutions majeuresLa déclinaison en deux niveaux de fonctionnalités, basic ou expert, permet d’adapter encore mieux la solution au besoin du client ;Le nouvel outil de paramétrage intégré au produit est dédié à l’installateur. Il simplifie de manière significative le paramétrage et ouvre l’accès à plus de fonctions ;La nouvelle interface est totalement personnalisable par l’utilisateur pour s’adapter à ses exigences et à ses besoins.domovea, vers plus de connectivitédomovea est le centre névralgique pour piloter toutes les fonctions intelligentes du bâtiment et les composants connectés en KNX : éclairages, ouvrants, alarme, caméras, chauffage, compteur énergétique… domovea est compatible avec les principaux objets connectés (IoT) du marché : Sonos, Philipps Hue, Netatmo, Tado, Google ou Amazon. Installés en natif, ils peuvent être configurés facilement et sont tous pilotables sur smartphone et tablette depuis l’application domovea.Une interface entièrement personnalisableEn choisissant domovea, l’utilisateur opte pour une solution de connectivité sur mesure qui lui permet de piloter son installation selon ses besoins et son mode de vie. La nouvelle version va encore plus loin, avec la possibilité de personnaliser entièrement le design de son interface pour l’adapter à ses envies et à ses usages. En version basic, il peut créer lui-même des scénarios simples, les domograms, directement dans l’application. En version expert, c’est l’installateur qui programme pour son client des séquences complexes et des fonctions logiques, grâce notamment à la passerelle IoT intégrée nativement.Plus de fonctionnalités et un mode de configuration simplifiéLe nouveau serveur domovea s’installe dans le tableau électrique et fonctionne toujours en local, sans cloud. Pour répondre à tous les projets, domovea s'interface via des produits hager avec le protocole Dali, mais aussi, grâce à la puissance du KNX,avec Zigbee, Enocean ou encore le Modbus.Deux modes de configuration sont possibles : le mode « KNX easy », utilisant l’outil intégré, Hager Pilot ou le mode KNX standard nécessitant l’utilisation du logiciel ETS.Le mode de configuration simplifié « easy » permet de paramétrer facilement l’installation. Les fonctions sont pré-paramétrées. L’installateur doit simplement configurer les composants de l’installation sur l’interface simplifiée Hager Pilot.Caractéristiques techniquesBasic :5 caméras ONVIFDomogramsProgrammation en localInterface KNX/IP localExpert :50 caméras ONVIFJusqu'à 10 régulateurs virtuelsAutomatisme complexes, jusqu'à 100 Programmation en local et à distanceAvec la nouvelle version de sa solution domovea, Hager offre une solution sur-mesure, entièrement personnalisable à ses utilisateurs. Pour les installateurs, deux niveaux de fonctionnalités facilitent la configuration de la solution pour répondre à tous les projets résidentiels et tertiaires.
Il y a 3 ans et 312 jours

En Macédoine, le combat pour sauver le plus vieux lac d'Europe

Pour tenter de préserver le classement du site au patrimoine mondial de l'Humanité, la municipalité de cette ville de Macédoine du Nord vient de couper l'électricité de établissement, où l'on accède par une passerelle de bois brinquebalante."Tout le monde y perd, les employés, l'économie locale, et bien sûr les touristes car ils n'ont nulle part où aller sur la plage", dit à l'AFP le restaurateur de 59 ans devant les dizaines d'estivants qui se dorent au soleil.La région du lac Ohrid, qui s'étend à perte de vue à la frontière entre la Macédoine du Nord et l'Albanie, est distinguée depuis quatre décennies pour sa biodiversité et son patrimoine architectural et culturel uniques. Mais l'Unesco menace de placer le lac sur sa liste des sites en péril avec une décision attendue en juillet.Ces derniers mois, la municipalité d'Ohrid a démantelé une dizaine de bars et restaurants jugés non conformes sur les rives du lac formé il y a plus d'1,3 million d'années.Les écologistes prennent acte mais y voient une goutte d'eau dans un océan d'urbanisation sauvage à l'oeuvre dans toute la région depuis la disparition de la Yougoslavie dans les années 1990.La petite ville d'Ohrid, considérée comme l'un des plus anciens établissements d'Europe, où l'on trouve des centaines d'icônes byzantines et des vestiges néolitiques, a largement débordé de ses anciennes frontières. Les rives du lac sont aujourd'hui constellées d'hôtels de cinq étages, de jetées et autres commerces.Les problèmes ne manquent pas entre les ruissellements agricoles, les rivières détournées dans le lac charriant de la pollution, le traitement défaillant des eaux usées, l'abattage des roseaux servant de filtres naturels au plan d'eau, les projets de marinas ou d'infrastructures de transport."Cancer du lac"S'ajoute aussi la difficulté pour deux pays pauvres des Balkans à coordonner la protection d'un site dont la partie albanaise est classée par l'Unesco depuis trois ans seulement."Après 30 années de négligence, il est probablement normal que l'Unesco perde patience", reconnaît le maire Konstantin Georgieski, 43 ans, qui dirige la ville depuis la mort de son prédécesseur en 2018."Tout est parti en sucette", constate Nikola Paskali, 33 ans, plongeur et archéologue. S'il explore depuis des années le fond du lac à la recherche de vestiges de l'âge de bronze, il organise aussi des sorties pour ramasser les bouteilles en plastique, téléviseurs, vieilles baignoires, voire lunettes de WC qui s'y trouvent."Les détritus sont le cancer du lac", explique-t-il à l'AFP, accusant les autorités de ne pas faire grand chose pour préserver la biodiversité d'un site où vivent 200 espèces endémiques, dont les populations déclinantes de truite d'Ohrid.Les autorités locales comme gouvernementales affirment avoir pris le problème à bras le corps avec l'adoption d'un plan de gestion pour la décennie à venir mais réclament du temps pour appliquer les recommandations de l'Unesco.Pour l'heure, le maire Georgieski dit avoir "complètement débarrassé" les plages des paillotes dans un contexte compliqué qui a permis à des milliers de propriétaires de construire grâce aux failles d'un millefeuille de lois contradictoires. Selon l'Unesco, un tiers des eaux usées d'Ohrid finissent directement dans le lac."C'est difficile de détruire la propriété des gens dans une petite ville" de 50.000 habitants, explique-t-il. "Je suis leur ennemi personnel maintenant".Les autorités locales plaident pour un tourisme plus durable, familial et culturel plutôt que pour des rassemblements de fêtards.Un "équilibre""Ici, ce n'est pas Ibiza", dit le maire. Les défenseurs de l'environnement jugent que l'ONU fait bien de tirer la sonnette d'alarme et espèrent ainsi que des financements seront mobilisés."C'est la seule façon de faire cesser tous ces ravages", s'exclame Katerina Vasileska, de l'ONG Ohrid SOS. Même "si on commence maintenant, il faudra des années et des années pour réparer les dégâts".Dimitar Pendoski assure qu'il avait tous les permis nécessaires pour son restaurant qui a accueilli dix ans durant des clients au bord de l'eau.Il faut un "équilibre", plaide-t-il. "Le but est commun, avoir plus de clients, protéger le lac et la nature, mais il faut un développement économique local".Le débat qui oppose partout sur la planète les tenants du développement aux défenseurs de l'environnement est un faux débat, rétorquent les écologistes."Nous devons maintenir la propreté du lac car autrement, nous allons tout perdre, perdre le tourisme", dit Nikola Paskali.Pour Katerina Vasileska, les choses sont encore plus claires. "On emploie 30 personnes mais on pollue l'eau de 50.000 personnes".
Il y a 3 ans et 331 jours

Anoxa, le spécialiste des solutions d'accès sécurisés, devient le premier fabricant français certifié

Les échelles fixes doivent notamment être conçues, équipées et installées de manière à prévenir les chutes de hauteur. En pratique, cela suppose l'utilisation d'échelles fixes à crinoline.Le Code du Travail met aussi l'accent sur l'importance d'utiliser du matériel de qualité et un assemblage solide, permettant une utilisation adaptée de l'équipement d'un point de vue ergonomique (source).L'objectif est de permettre un accès en toute sécurité au personnel professionnel (maintenance d'exécution, exploitation) aux bâtiments industriels, installations industrielles, locaux et terrasses techniques, etc.Mais pour les industriels et les entreprises du BTP, il n'est pas toujours évident de faire le bon choix : comment s'assurer que l'équipement installé est réellement fiable à tous les niveaux (matériel utilisé, soudure, revêtement, protection contre la corrosion...) ? En théorie, les constructeurs de structures en acier doivent répondre à la norme EN 1090 mais en réalité peu d'entreprises sont conformes à cette obligation.Dans ce contexte et pour répondre aux légitimes exigences de qualité de ses clients, la PME normande ANOXA , spécialisée en fabrication d’accès en hauteur et matériels de chantier métalliques, devient le premier fabricant français à obtenir la certification NF EN 1090-2 pour ses échelles à crinoline en acier.Une garantie qui répond aux enjeux de sécurité du personnelEn France, les constructeurs de structures en acier doivent répondre à la norme EN 1090 mais peu d'entreprises sont conformes à cette obligation. Il s'agit d'une norme qui a pour but d’harmoniser les différentes règles en matière de fabrication et de commercialisation des constructions en acier et en aluminium entre les différents pays de l’UE.Dans le cadre de cette certification, ANOXA a également validé la norme EN ISO 3834 et obtenu 52 qualifications en soudure en intégrant la qualité dans son processus de soudage par fusion.Ces démarches ont nécessité des adaptations importantes dans l'entreprise pour chaque étape, de la conception à la livraison de ses échelles.Philippe FAUSSER, le Directeur, souligne : En dehors du respect de la réglementation, valider cette certification nous permet de rassurer nos clients, de structurer l'entreprise et nous ouvre l'accès à d'autres marchés tout en constituant un réel avantage concurrentiel. Nous entamons d'ailleurs aujourd'hui le même travail sur l'aluminium et l'inox.Un projet qui a impliqué l'ensemble des services de l'entrepriseLa démarche de certification a nécessité 1 an de travail et la mobilisation de toutes les équipes d'ANOXA.Pour coordonner ce projet ambitieux, il y a eu un comité de pilotage constitué de :Philippe, Directeur d'activité ;Sophie, Responsable qualité ;Yann, Responsable industriel ;Florian, Responsable supply chain ;Antoine, Ingénieur matériaux ;Philippe, Responsable atelier.De jeunes ingénieurs stagiaires ont également été associés à ce travail.L'échelle à crinoline : accéder sans risques à tous les lieux en hauteurLes échelles à crinoline peuvent être utilisées pour accéder aux toitures et aux terrasses par l'extérieur ou par une trappe intérieure, constituer un accès de secours (ex : accès pompiers), descendre dans les conduits et les cheminées, accéder aux machines/silos/cuves/ citernes, ou encore se rendre sur des passerelles, paliers et niveaux intermédiaires.ANOXA propose des modèles conformes au minimum aux normes NF E 85-016 et NF EN ISO 14122-4 qui offrent de réels avantages :4 matières au choixÉchelles à crinoline aluminium, acier galvanisé, inox 304L et inox 316L tenues en stock. La couleur de l'échelle à crinoline peut être personnalisée.Montage facile La notice de pose détaillée permet une mise en oeuvre rapide des éléments livrés en kit. Pré-montage en option.Made in NormandieLes échelles à crinoline aluminium, acier et inox d'ANOXA sont entièrement fabriquées dans ses ateliers.Devis et plan coté en quelques clicsANOXA dispose d'un configurateur qui permet à ses clients de créer leur échelle en crinoline sur mesure en quelques clics (dimensions, sorties, changement de volée et paliers...). Les clients reçoivent alors immédiatement leur devis détaillé, plan coté et plan 3D sur mesure. Le service commercial est également à leur écoute pour leur fournir un devis sous 24h.
Il y a 3 ans et 332 jours

Une installation électrique communicante Hager pour le Crédit Agricole Brie-Picardie

Au-delà de la réponse technique, Hager a mis les compétences de ses équipes au service des différents acteurs, EIE, tableautier, bureau d'études, pour que ce projet remarquable soit un succès.L'objectif est réussi, avec ce programme mixte de 14 000 m2, intégrant un bâtiment de bureaux de 9 000 m2, qui visait à réunir l'ensemble du personnel du Crédit agricole Brie-Picardie sur un même site, à proximité immédiate des transports. Certifié HQE excellent, l'ensemble, inauguré fin 2020, est situé à Chessy (77), dans le nouveau quartier de la ZAC des Studios et Congrès, à proximité du parc Disneyland Paris.Pour ce bâtiment très lumineux conçu comme un jardin urbain, le maître d'ouvrage avait des exigences fortes quant à l'installation électrique : « Qu'elle soit fiable, sécurisée, de haute technologie, qu'elle nous permette de réaliser des économies d'énergie et d'optimiser les performances de nos équipements », détaille Vincent Baron, responsable de département IML CA Brie Picardie.Une installation communicanteL'installation proprement dite comprend un TGBT (tableau général basse tension) et 53 armoires réparties sur l'ensemble du site. Ces équipements bénéficient des dernières avancées technologiques, telles que les boîtiers moulés H3+ energy communicants, disjoncteurs débrochables de tête (ACB) de 2000 ampères, compteurs Modbus et serveurs de surveillance de l'énergie agardio.manager. Ces serveurs détectent les passerelles et compteurs présents sur la boucle et en remontent automatiquement les informations. Ces systèmes performants mesurent, comptent, centralisent les informations de consommation d'énergie, tout en surveillant l'état physique de l'installation : le moindre défaut ou problème remonte aussitôt, ce qui permet d'analyser les données du site.L'enjeu majeur du chantier fut sans doute l'implantation du TGBT connecté dans un local exigu. Là encore, l'expertise de Hager fut au rendez-vous pour déterminer, avec le tableautier et l'entreprise, les solutions techniques permettant un gain de place et l'installation d'un TGBT adapté.CitationsVincent Baron, responsable de département IML CA Brie Picardie« Hager fait partie des majors dans son domaine. C'est un leader au niveau tertiaire, et c'est donc un gage de qualité et l'assurance d'un matériel à la pointe. »Damien Dollé, responsable d'affaires EEP« En phase travaux, nous avons eu l'aide d'Hager pour les plans, les schémas, les notes de calcul, et celle du tableautier pour les implantations. Bien sûr, c'est nous qui avons pris en charge la réalisation sur site et l'accompagnement. Il y a donc vraiment un fil conducteur, c'est un travail d'équipe qu'on ne retrouve pas sur tous les dossiers. ».Christophe Delique, gérant Etablissement Delique« Un véritable partenariat entre Hager, EEP et nous-mêmes. Tout s'est vraiment bien passé et nous étions tous contents. C'est important de le souligner. Ce n'est pas tous les jours qu'il y a une telle entente sur chantier. »Fiche techniqueMaître d'ouvrage : Crédit agricole Brie PicardieMaître d'œuvre : PCA-Stream Philippe Chiambaretta ArchitectePromoteur constructeur : Legendre ImmobilierInstallateur : EEP VinciTableautier : ETS Delique
Il y a 3 ans et 342 jours

Nouvelle gamme de Climatisation Air Flux 6300 à récupération de chaleur de Bosch Thermotechnologie

Dédiée aux hôtels, bureaux, maisons de santé, cliniques, Immeubles de Grande Hauteur, salles de fitness, boutiques, etc., elle se distingue par de nombreux atouts :des puissances étendues avec 6 modèles monoblocs de22 kW à 50 kW et des cascades de 3 unités pouvantatteindre 150 kW,des plages de fonctionnement jusqu’à - 25°C en modechaud, et + 52°C en mode froid,l’ouverture vers l’Eau Chaude Sanitaire haute températurejusqu’à 80°C, avec le nouveau module hydraulique AF-HB,le plus compact et léger du marché,des performances élevées en modes réversible,récupération de chaleur et ECS (SEER jusqu’à 7,26 et SCOPjusqu’à 4,59),la possibilité de raccorder jusqu’à 36 unités intérieuresà une seule unité extérieure,une uniformité de gamme au niveau design, installation,réglages, paramétrages et maintenance, gage de confortoptimal pour l’installateur,une gamme certifiée EUROVENT.Dernières nées de la gamme Bosch VRF Air Flux, les unités extérieures Air Flux 6300 permettent de proposer une offre toujours plus complète. Elles viennent enrichir les unités extérieures réversibles Mini VRF MDCI et VRF Air Flux 5300 (entre 7 kW et 270 kW). Air Flux 6300 est compatible avec l’ensemble des unités intérieures et accessoires Air Flux. Cassettes 1, 2 ou 4 voies, gainables compacts haute ou moyenne pression statique, consoles, muraux..., toute une panoplie d’unités intérieures est proposée pour s’adapter à tous les environnements collectifs et tertiaires. Les régulations individuelles et centralisées tactiles permettent de piloter le système intégralement et facilement. Le raccordement à divers systèmes de Gestion Technique est également possible via des passerelles de communication.Une solution confortable et économe en énergieCette gamme offre, en un seul système, un fonctionnement simultané de refroidissement et de chauffage. La récupération d’énergie et de chaleur est obtenue en transférant la chaleur extraite dans certaines pièces vers les zones ayant besoin de chauffage. Elle se révèle pratique et indispensable pour le confort des occupants, particulièrement en demi-saison, lorsque les façades Nord d’un bâtiment peuvent avoir besoin de chauffage, tandis que les pièces orientées Sud sont rafraîchies.Le [+] : nouveaux boîtiers de répartition SBOX AF-SBLes boîtiers de répartition SBOX AF-SB facilitent lefonctionnement du système à récupération d’énergie. Le boîtier contrôle chaque groupe d’unités intérieures (jusqu’à 12 par SBOX), afin d’obtenir simultanément un mode chauffage et climatisation dans un système régulé par un boîtier SBOX. Les unités intérieures raccordées à un même boîtier SBOX peuvent fonctionner indépendamment, en mode refroidissement ou chauffage. Gage de sécurité, un boîtier surveille en permanence la quantité de fluide par pièce, et assure la sécurité requise par la norme EN378, notamment en ce qui concerne la détection de fuite de fluides.Le niveau sonore des unités peut être abaissé de 4 dB(A) à 8 dB(A), en ajustant la vitesse des ventilateurs et la fréquence des compresseurs. Six programmes « Silence » sont paramétrables, une source de confort supplémentaire qui favorise la concentration et le bien-être au travail.Quand Bosch Thermotechnologie accroît le champ des possiblesCompatible avec les nouvelles unités extérieures Air Flux 6300, le nouveau module hydraulique AF-HB assure la production d’Eau Chaude. Il offre une plage de température de production d’eau chaude allant de 25°C à 80°C (puissance nominale de 14 kW). Grâce au positionnement du module en amont des boîtiers de répartition (SBOX), le nombre d’unités intérieures après les SBOX peut être augmenté selon les besoins, et le foisonnement atteint jusqu’à 200 % de la puissance totale de l’unité extérieure. Sa compacité (80 cm de hauteur) et sa légèreté (58 kg) facilitent l’installation et permettent un agencement discret. Autre avantage, il peut aussi s’utiliser pour le chauffage : plancher chauffant, radiateurs et ventilo-convecteurs. Au quotidien, ses fonctions sont nombreuses : désinfection thermique, vacances, programmation hebdomadaire, mode Silence... Plusieurs modules hydrauliques peuvent être installés en cascade pour multiplier la puissance ECS disponible !Un condensé de technologieLa gamme à récupération de chaleur Air Flux 6300 se dote d’un nouveau compresseur à injection de vapeur qui optimise les performances de chauffage. Il garantit un fonctionnement stable jusqu’à - 25°C ainsi qu’un sous-refroidissement optimisé. Il offre une plage de fréquence jusqu’à 140 Hz, et une montée en température plus rapide et efficace à charge partielle (à partir de 15 Hz). En cas d’unités en cascade, cette technologie offre un équilibrage efficace entre les compresseurs. Le moteur sans balais réduit les frottements et améliore l’efficacité aux charges faibles et partielles, ainsi que la durée de vie globale de l’équipement.GarantiesCette gamme est garantie 5 pièces pour toutes les pièces détachées et 5 ans compresseurs. Si la mise en service est réalisée et validée par le Service Après-Vente Constructeur du Fournisseur, la main d’œuvre est incluse pour les deux premières années.
Il y a 3 ans et 347 jours

Vulaines-sur-Seine : une passerelle cyclable et piétonne en cours de construction sur le pont de Valvins

Des travaux sont actuellement réalisés sur le pont de Valvins, à Vulaines-sur-Seine, pour la construction d’une passerelle dédiée à la mobilité douce.
Il y a 3 ans et 353 jours

A New York, "Little Island", le nouveau parc en lévitation sur l'Hudson

"Little Island", accessible gratuitement par deux passerelles piétonnes, a été construite le long de l'endroit où se trouvait jadis le quai 54 de la compagnie maritime White Star, où débarquèrent, en avril 1912, 705 survivants du naufrage du Titanic.Coût de cette île artificielle, environ 260 millions de dollars, financés pour l'essentiel par la fondation de l'entrepreneur Barry Diller et de son épouse, la créatrice Diane von Furstenberg. Le milliardaire a indiqué au New York Times qu'il prendrait en charge les coûts d'entretien du parc durant les 20 premières années.Au total, sa contribution pourrait ainsi atteindre 380 millions de dollars, a-t-il estimé, du jamais-vu à New York pour un don privé à destination d'un jardin public."Little Island" a failli ne jamais être achevée, paralysée par une série de recours judiciaires sans fin, avant que le gouverneur de l'Etat de New York, Andrew Cuomo, ne parvienne à trouver un accord entre les parties, en 2017.Construites à des hauteurs différentes, de 5 à 18 mètres, pour créer du relief, les tulipes, de 68 tonnes chacune, ont été remplies de terre, comme des pots de fleurs géants. Des fleurs de plus de 350 espèces différentes, arbustes et arbres ont été installés sur le site, qui sera ouvert de 06H00 à 01H00 tous les jours.Le projet, situé entre la 13ème et 14ème rue, comprend également un amphithéâtre de près de 700 places. Il fait partie du Hudson River Park, projet d'aménagement des quais de l'Hudson entre la 59ème rue et Battery Park City, à l'extrême sud de Manhattan."Je suis incroyablement heureuse d'être ici et d'avoir survécu à la pandémie", a réagi l'une des premières visiteuses du lieu, Barbara Kenner, qui a perdu son emploi de responsable du personnel durant la crise sanitaire, qui a fait plus de 30.000 morts à New York. "Nous célébrons ici ce qu'est New York."Au ras de l'eau, on aperçoit encore les restes des vieux piliers de bois du quai 54, conservés pour préserver l'habitat sous-marin.La paysagiste Signe Nielsen, qui a conçu la surface de Little Island, voulait que les visiteurs "quittent la ville, la circulation, pénètrent dans un espace et soient surpris", a-t-elle expliqué à l'AFP. "J'espère qu'ils repartiront plus calmes et plus heureux qu'ils ne sont entrés.""C'est un endroit vraiment sympa pour couper un peu avec la ville, en particulier à +downtown+", la pointe sud de Manhattan, "où nous n'avons pas beaucoup d'espaces verts", s'est réjouie Lauren Moon Fraser, allongée sur la pelouse avec son bébé.
Il y a 3 ans et 360 jours

Baromètre emploi Synergie : les métiers qui recrutent dans le BTP

« Après une annus horribilis en 2020, marquée par l'arrêt quasi-total des chantiers au printemps et une chute de 15 % du chiffre d'affaires de la construction, le secteur retrouve du dynamisme et des perspectives. La Fédération Française du Bâtiment prévoit ainsi un rebond d'activité atteignant 11 % en 2021(2). Et le premier trimestre est encourageant. L'artisanat du bâtiment enregistre, de janvier à mars 2021, une activité en hausse de 9,5 % contre une baisse de 12 % au premier trimestre 2020 portée aussi bien par la construction neuve (+ 10 %) que par l'entretien-rénovation (+ 9 %) », souligne Virginie Gonzalez, responsable de marchés BTP, Tertiaire et Médical chez Synergie.Ce regain de forme suffit à aiguiser les tensions de recrutement sur un marché déjà pénalisé, avant la crise sanitaire, par une pénurie structurelle de main d'œuvre qualifiée, avec pour effet plusieurs dizaines de milliers de postes non pourvus chaque année. Dans sa dernière enquête, Pôle Emploi a recensé, dans la construction, près de 220.000 projets de recrutement pour 2021, dont 63% rencontrent ou anticipent des difficultés à trouver un candidat.« Dans ce contexte, l'intérim joue un rôle essentiel pour sourcer, attirer, former, accompagner les profils que les entreprises ne parviennent pas à recruter en nombre suffisant. Nous disposons, pour les fidéliser, d'outils comme le CDI intérimaire, qui associe les garanties d'un CDI et la flexibilité de l'intérim», explique Virginie Gonzalez.Parmi les métiers les plus recherchés en intérim destinataires du plus grand nombre d'offres entre janvier et avril 2021 - figurent ainsi les incontournables de la profession, qui souffrent depuis longtemps d'un manque de vocations et d'une insuffisance des filières de formation. Les électriciens, les maçons et les charpentiers se hissent aux trois premières places des profils les plus convoités, suivis par les ouvriers du BTP, les conducteurs d'engins de chantier et les couvreurs. Le Top 10 est complété par les peintres en bâtiment, les plombiers, les plaquistes et les menuisiers poseurs.« La demande est tirée vers le haut par le redémarrage de la construction neuve, par l'accélération des travaux de rénovation énergétique - avec le soutien d'aides publiques et du plan France Relance enfin par la réalisation de méga-chantiers comme la construction du Grand Paris, la préparation des Jeux Olympique 2024 ou encore la mise en œuvre de la liaison européenne Lyon-Turin », rappelle Virginie Gonzalez.En Ile-de-France, par exemple, plus de 68.000 postes seront à pourvoir, d'ici 2024, dans les secteurs du Bâtiment et des Travaux Publics. De son côté Pôle Emploi recense, pour 2021, près de 44.000 projets de recrutement en Ile-de-France, plus de 26.000 en Auvergne Rhône-Alpes, 24.000 en Bretagne et en Pays de la Loire, 19.000 en Nouvelle-Aquitaine et le même volume en Provence-Alpes-Côte d'Azur.« Au-delà des maçons, électriciens, charpentiers et autres familles professionnelles très connues, l'offre d'emplois en intérim, CDD et CDI est également très soutenue pour des métiers qui ne viendraient peut-être pas spontanément à l'esprit d'un jeune en réflexion sur son avenir. Coffreur bancheur, étancheur, grutier, serrurier-métallier, tunnelier, solier moquettiste, chauffagiste...Autant de professions où les perspectives de recrutement et de rémunération sont très favorables », détaille Virginie Gonzalez.Les offres de CDI affluent pour les cadres et ingénieurs du BTPPour répondre aux besoins récurrents du secteur, Synergie multiplie les programmes de formation sur-mesure, développe massivement les contrats d'apprentissage et de professionnalisation, élargit les passerelles de reconversion depuis certains secteurs industriels durement frappés par la crise (aéronautique, automobile...). Le groupe, enfin, accélère la féminisation des métiers, en s'appuyant sur des partenariats avec des associations de référence (Force Femmes, Elles Bougent, Femmes d'ici et d'ailleurs...) et des outils pionniers comme le forum Mix&Métiers.« Nous avons également lancé des programmes très innovants en insertion, comme le Parcours Dynamique Emploi qui transforme les clauses sociales des marchés publics en un véritable tremplin professionnel pour les personnes en situation de précarité, ou encore le dispositif 1.000 jeunes en CDII, au soutien des 16-25 ans fragilisés par la crise. Par ailleurs nous sommes très fiers de contribuer au succès de HOPE, une offre complète de formation et d'accès aux métiers du BTP, dédiée aux réfugiés, qui fédère un grand nombre de partenaires publics et privés », indique Virginie Gonzalez.Sur un marché en phase de reprise, les offres d'emplois en CDI sont elles aussi orientées à la hausse. La multiplication des grands projets d'infrastructures et d'amélioration de l'habitat a notamment stimulé la demande en profils d'encadrement. Dans le Top 10 des offres en CDI, sur les 4 premiers mois de 2021, apparaissent ainsi 5 métiers à vocation managériale : coordinateur de travaux (en 1re position), conducteur de travaux (3e), chef de chantier bâtiment (6e), chef de projet génie climatique (8e) et chef d'équipe bâtiment (10e). Le palmarès des profils les plus recherchés, en CDI, est complété par les métiers opérationnels structurellement pénuriques - électricien, maçon, couvreur, menuisier.