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(425 résultats)
Il y a 3 ans et 245 jours

Nouveau Politerm® R

EDILTECO® France présente le nouveau Politerm® R sur Artibat, procédé d’agrégat isolant pour élaborer une multiplicité de formules de chapes, de mortiers et bétons légers thermo-acoustiques. Cette nouvelle version est conçue avec du polystyrène recyclé et s’inscrit dans une démarche d’économie circulaire et responsable. Le fabricant récupère les chutes obtenues lors de la découpe des panneaux sur ses lignes de fabrication. Elles sont broyées pour collecter les billes de PSE qui sont ensuite introduites dans la chaîne de fabrication avec les autres billes de PSE neuves. Politerm® R permet d’isoler et de traiter thermiquement et acoustiquement différents types de supports existants, aussi bien dans les immeubles collectifs que les maisons individuelles : supports en maçonnerie, bois, bacs aciers, revêtements de sol et anciens revêtements, chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolations thermiques et acoustiques aux bruits de chocs, remplissages divers, etc.
Il y a 3 ans et 250 jours

Edilteco® France sera présent au salon Artibat, dans le Pôle Gros Œuvre

Cette nouvelle version Politerm® R est conçue avec du polystyrène recyclé et s'inscrit dans une démarche d'économie circulaire et responsable.EDILTECO® récupère les chutes obtenues lors de la découpe des panneaux sur ses lignes de fabrication afin de réintégrer le PSE dans les processus de production.Les chutes sont broyées pour collecter les billes de PSE qui sont ensuite introduites dans la chaîne de fabrication avec les autres billes de PSE neuves.Politerm® R permet d'isoler et de traiter thermiquement et acoustiquement différents types de supports existants, aussi bien dans les immeubles collectifs que les maisons individuelles : supports en maçonnerie, bois, bacs aciers, revêtements de sol et anciens revêtements, chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolations thermiques et acoustiques aux bruits de chocs, remplissages divers, etc.Autre solution de sol exposée sur le stand : LA CHAPE XXs®, chape légère et fibrée qui se destine à l'amélioration de l'affaiblissement acoustique de tous les revêtements de sol.LA CHAPE XXs® est conçue à base de billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l'adjuvant EIA (Diamètre 2 - 3 mm).La densité du mélange - 1200 kg/m3 - est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle. Grâce à sa légèreté, LA CHAPE XXs® ne surcharge pas les structures.Une légèreté qui ne se fait pas au détriment d'une grande qualité de robustesse : fibrée, elle possède de hautes propriétés mécaniques.Sa simplicité de mise en oeuvre va permettre de l'utiliser pour de nombreux usages : chapes adhérentes ou désolidarisées, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolation acoustique aux bruits de chocs, dressage de surface et mise à niveau des planchers ; en toiture à pente nulle ou pente jusqu'à 15 %, avec recouvrement par membrane étanche (DTU 43.1).Autre avantage, LA CHAPE XXs® peut être utilisée à partir d'une faible épaisseur : 1 cm en pose adhérente sur béton, 2 cm en pose désolidarisée sur bois, 5 cm sur SCAM ≤ 0,5 cm y compris au-delà de tout élément noyé dans LA CHAPE XXs® (gaines, canalisations, etc.). Pour l'applicateur c'est donc un gain de temps supplémentaire dans le coulage de la chape, l'assurance d'une finition parfaitement lisse et homogène des sols et la possibilité d'usages multiples.Pour la façade, les gammes « best-seller » ECAP® et EDIL-Therm® PSE dans une version sans fixatif seront exposées.Pour finir la nouvelle gamme planchers présentera : Delti-Poutrelles, une gamme complète de poutrelles précontraintes. Conçues en T inversé avec un crantage bi-alterné sur le dessus et des armatures dépassantes de chaque extrémité de la poutrelle, une attention particulière est portée sur la finition des poutrelles.Cette parfaite maîtrise des finitions leur assure une épaisseur de talon sans accumulation de béton et des abouts de poutrelle parfaitement droits, notamment par l'utilisation de séparateurs en PSE lors du moulage.Conçue dans les règles de l'art, la gamme Delti-Poutrelles respecte l'ensemble des exigences du référentiel DTU 23.5. Certifiée conforme au référentiel de certification NF 395 Poutrelles en béton pour systèmes de planchers à poutrelles et entrevous, cette gamme assure d'excellentes performances à la flexion et garantit la réalisation de planchers robustes, stables et durables dans le temps.Il existe 3 gammes de poutrelles et chacune rassemble plusieurs types de poutrelles. Chaque gamme commence par « DP » suivi de la hauteur de la poutrelle (de 110 à 130) et du type de précontrainte. La gamme RE est dotée d'un renfort en acier passif permettant de gagner en portée sans étai.Elles permettent d'atteindre de grandes portées 5,10 m de long sans étais et 8,30 m avec étais, qui offrent une grande liberté de conception des bâtiments en réduisant sensiblement la nécessité de murs de refend. Du fait de l'attention portée à la qualité de fabrication, la gamme Delti-Poutrelles est en mesure de supporter des charges importantes.DELTIVOUTAIN + CI – pour Correcteur Intégré – est un entrevous avec un rupteur intégré. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN + CI intègre son correcteur de pont thermique sécable (UP < 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main.Brevetée, cette solution bénéficie aujourd'hui d'un Avis Technique du CSTB délivré par le Groupe Spécialisé n° 20 « Produits et procédés spéciaux d'isolation » et le Groupe Spécialisé n° 3.1 «Planchers et accessoires de plancher» qui ont examiné respectivement ce procédé.Destiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d'assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l'isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en oeuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation.Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d'une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l'économie d'éléments structurels devenus inutiles.Artibat est depuis 31 ans le salon de référence pour les professionnels du bâtiment. Partenaire des artisans et des majors du BTP, EDILTECO® suit une politique d'innovation basée sur des objectifs apportant gain de performances aux produits, tout en augmentant la simplicité et la rapidité d'application.Ces trois journées de rencontres et d'échanges seront donc l'opportunité pour EDILTECO® de révéler le potentiel et les compétences de ses solutions et innovations.
Il y a 3 ans et 252 jours

SALON ARTIBAT, EDILTECO® FRANCE PRÉSENTE SON NOUVEAU POLITERM® R

EDILTECO® France sera exposant du salon Artibat, au sein du Pôle Gros Œuvre, Hall 10A – Stand D52. Le fabricant y présentera notamment le nouveau Politerm® R, procédé d’agrégat isolant idéal pour élaborer une multiplicité de formules de chapes, de mortiers et bétons légers thermo-acoustiques. Cette nouvelle version Politerm® R est conçue avec du polystyrène recyclé et s’inscrit dans une démarche d’économie circulaire et responsable. EDILTECO® récupère les chutes obtenues lors de la découpe des panneaux sur ses lignes de fabrication afin de réintégrer le PSE dans les processus de production. Les chutes sont broyées pour collecter les billes de PSE qui sont ensuite introduites dans la chaîne de fabrication avec les autres billes de PSE neuves. Politerm® R permet d’isoler et de traiter thermiquement et acoustiquement différents types de supports existants, aussi bien dans les immeubles collectifs que les maisons individuelles : supports en maçonnerie, bois, bacs aciers, revêtements de sol et anciens revêtements, chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolations thermiques et acoustiques aux bruits de chocs, remplissages divers, etc. Autre solution de sol exposée sur le stand : LA CHAPE XXs®, chape légère et fibrée qui se destine à l’amélioration de l’affaiblissement acoustique de tous les revêtements de sol. LA CHAPE XXs® est conçue à base de billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l’adjuvant EIA (Diamètre 2 – 3 mm). La densité du mélange – 1200 kg/m3 – est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle. Grâce à sa légèreté, LA CHAPE XXs® ne surcharge pas les structures. Une légèreté qui ne se fait pas au détriment d’une grande qualité de robustesse : fibrée, elle possède de hautes propriétés mécaniques. Sa simplicité de mise en oeuvre va permettre de l’utiliser pour de nombreux usages : chapes adhérentes ou désolidarisées, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolation acoustique aux bruits de chocs, dressage de surface et mise à niveau des planchers ; en toiture à pente nulle ou pente jusqu’à 15 %, avec recouvrement par membrane étanche (DTU 43.1). Autre avantage, LA CHAPE XXs® peut être utilisée à partir d’une faible épaisseur : 1 cm en pose adhérente sur béton, 2 cm en pose désolidarisée sur bois, 5 cm sur SCAM ≤ 0,5 cm y compris au-delà de tout élément noyé dans LA CHAPE XXs® (gaines, canalisations, etc.). Pour l’applicateur c’est donc un gain de temps supplémentaire dans le coulage de la chape, l’assurance d’une finition parfaitement lisse et homogène des sols et la possibilité d’usages multiples. Pour finir la nouvelle gamme planchers présentera : Delti-Poutrelles, une gamme complète de poutrelles précontraintes. Conçues en T inversé avec un crantage bi-alterné sur le dessus et des armatures dépassantes de chaque extrémité de la poutrelle, une attention particulière est portée sur la finition des poutrelles. Cette parfaite maîtrise des finitions leur assure une épaisseur de talon sans accumulation de béton et des abouts de poutrelle parfaitement droits, notamment par l’utilisation de séparateurs en PSE lors du moulage. Conçue dans les règles de l’art, la gamme Delti-Poutrelles respecte l’ensemble des exigences du référentiel DTU 23.5. Certifiée conforme au référentiel de certification NF 395 Poutrelles en béton pour systèmes de planchers à poutrelles et entrevous, cette gamme assure d’excellentes performances à la flexion et garantit la réalisation de planchers robustes, stables et durables dans le temps. Il existe 3 gammes de poutrelles et chacune rassemble plusieurs types de poutrelles. Chaque gamme commence par « DP » suivi de la hauteur de la poutrelle (de 110 à 130) et du type de précontrainte. La gamme RE est dotée d’un renfort en acier passif permettant de gagner en portée sans étai. Elles permettent d’atteindre de grandes portées 5,10 m de long sans étais et 8,30 m avec étais, qui offrent une grande liberté de conception des bâtiments en réduisant sensiblement la nécessité de murs de refend. Du fait de l’attention portée à la qualité de fabrication, la gamme Delti-Poutrelles est en mesure de supporter des charges importantes. DELTIVOUTAIN + CI – pour Correcteur Intégré – est un entrevous avec un rupteur intégré. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN + CI intègre son correcteur de pont thermique sécable (UP < 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main. Brevetée, cette solution bénéficie aujourd’hui d’un Avis Technique du CSTB délivré par le Groupe Spécialisé n° 20 « Produits et procédés spéciaux d’isolation » et le Groupe Spécialisé n° 3.1 «Planchers et accessoires de plancher» qui ont examiné respectivement ce procédé. Destiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d’assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l’isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en œuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation. Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d’une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l’économie d’éléments structurels devenus inutiles.
Il y a 3 ans et 259 jours

Avec son nouveau bloc-baie Chrono One, Soprofen repousse les limites de la performance

Produit de référence en logement neuf individuel et collectif, le bloc-baie représente 44 % des volets roulants installés en France. Marqué par l’évolution constante des normes, parmi lesquelles la future RE 2020, ce marché de la construction voit les exigences de performances des bâtiments renforcées. Concepteur gammiste depuis 1984 et titulaire du 1er avis technique sur le bloc-baie, Soprofen conçoit en permanence des solutions inédites qui répondent aux directives réglementaires. Aujourd’hui, l’expert du volet roulant innove une nouvelle fois et présente Chrono One, un coffre intégré qui concentre tous les avantages attendus par les menuisiers. Plus de performances pour encore plus de confort Plaçant le client au cœur de sa stratégie d’innovation, Soprofen a consulté une vingtaine de menuisiers industriels référents dans toute la France pour recueillir leurs attentes quant à la conception d’un nouveau bloc-baie. Résultat de 3 ans de Recherche & Développement, le Chrono One additionne ainsi tous les avantages en termes de performance, fiabilité, simplicité et rapport qualité-prix. De quoi répondre aux exigences des chantiers de construction neuve et de rénovation ! Dans une volonté de proposer une solution aux performances exceptionnelles, Soprofen a équipé le Chrono One d’une sous-face en nid d’abeilles obtenue grâce à une technologie exclusive brevetée. Complétée par l’ajout d’isolants en polystyrène situés dans les joues et le coffre ainsi que par un joint sur la première lame, le Chrono One offre ainsi une excellente isolation thermique (jusqu’à Uc < 0,7 W/m2K selon calcul interne) et phonique (jusqu’à 57 dB Dne Atr). Un important travail a également été réalisé au niveau de : • la perméabilité à l’air afin d’atteindre une certification classe 4* par l’intégration de joints co-extrudés au niveau de la trappe et d’un joint mousse sur la périphérie de la joue, • l’étanchéité entre le coffre et la menuiserie par l’ajout d’un joint d’étanchéité au niveau du profilé alvéolé et d’un profil de finition doté d’un joint côté intérieur et d’un double face sur l’adaptateur. Bénéficiant de l’innovation Goodnight qui offre une occultation optimale, le nouveau bloc-baie de Soprofen est en plus réalisable dans de grandes dimensions. En effet, la mise en place de crochets pare-tempête permet d’aller jusqu’à 3 mètres ou 3,50 mètres en un seul tablier, selon les lames (ALU de 37 ou 50 mm), quelle que soit la taille du coffre (200 ou 230 mm). Plus facile à installer pour un véritable gain de temps Le nouveau bloc-baie Chrono One réunit tous les ingrédients pour offrir jusqu’à 40% de gain de temps à l’assemblage du volet en atelier, grâce à : • une étanchéité facilitée par la présence de joints réduisant l’utilisation du silicone, • un adaptateur en aluminium rigide pré-percé vissé dans le dormant qui facilite la fixation, • deux modes de montage possibles (sur dormant monobloc ou avec tapées rapportées) pour s’adapter à toutes les configurations (ITI neuf, rénovation, ITE, ossature bois, brique isolante), • une large gamme de coulisses ALU et PVC, avec plaquette d’étanchéité en partie basse, faciles et rapides à positionner grâce à un support d’indexation au niveau de la tulipe, • des brides de fixation latérales surmoulées dans la joue qui réduisent les opérations au niveau du coffre et du dormant et permettent d’avoir une surface parfaitement plane, Autant d’éléments qui permettent une rapidité de montage du coffre sur la fenêtre en moins de 8 minutes top chrono ! Ainsi qu’une grande simplicité de mise en œuvre sur le chantier grâce à : • des embouts de trappe fixes, pensés pour les poses en tunnel sous dalle, qui laissent accessible la trappe de visite après enduisage, • une possibilité de croquage du coffre pour s’adapter à toutes les poses. Une grande robustesse pour une fiabilité à toute épreuve En complément, au niveau de la liaison mécanique entre le coffre et la menuiserie, le Chrono One dispose d’un adaptateur en aluminium, de renforts d’inertie complémentaires à la traverse haute et, en option, de brides de reprise au linteau pour faciliter la fixation du coffre sur les grandes largeurs. Autant d’éléments qui, en plus d’une excellente inertie, assurent à l’ensemble une plus grande rigidité, stabilité et durabilité. Un bloc-baie éco-conçu et esthétique « Made in France » Fabriqué en France en PVC recyclé (à hauteur de 60 %), le Chrono One joue la carte de la discrétion d’un point de vue esthétique. Avec sa trappe de visite au design rectiligne et sa large palette de finitions plaxées, dont près de 50 sous Avis Technique, il s’intègre harmonieusement dans tous les intérieurs. Pour répondre aux demandes les plus courantes, le nouveau bloc-baie de Soprofen est également disponible, en option, avec un thermolaquage       « bord de mer » du coffre, des coulisses, de la lame finale et de la face extérieure en aluminium du tablier. Spécialement développé pour les régions les plus exposées, il assure ainsi une haute résistance anti-corrosion à l’ensemble qui bénéficie alors de 5 ans de garantie pour les habitations situées de 0 à 10 km du bord de mer et jusqu’à 7 ans au-delà de 10 km**. Avec Chrono One, Soprofen propose aux professionnels le meilleur du bloc-baie en alliant hautes performances, facilité de montage, adaptabilité et esthétique. Le fabricant prend ainsi une longueur d’avance qui devrait lui permettre d’être fidèle à son ambition : rester le leader français de la fermeture. *essai interne, certification en cours **selon les conditions précisées dans le carnet d’assistance et de garanties Soprofen
Il y a 3 ans et 261 jours

Economie : Quand la reprise se heurte à la crise des matières premières

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine La hausse des prix des matières premières est le résultat d’une conjoncture d’évènements.[©ACPresse] Après un grand coup d’arrêt en mars 2020, l’activité de la construction a vite su reprendre du poil de la bête. En parallèle, depuis presque un an, le secteur subit de fortes pressions de hausses des prix, voire des pénuries de matières premières, mettant ainsi en péril la reprise.&nbsp;«&nbsp;C’est arrivé progressivement, fin 2020 &#8211; début 2021, détaille Franck Bernigaud, président de la Fédération des distributeurs de matériaux de construction (FDMC).&nbsp;Au début, le phénomène s’est manifesté au niveau de l’acier de construction. C’est un marché assez spéculatif, donc nous n’étions pas très inquiets.&nbsp;» Lire aussi : Pénuries sur les matières premières : La Filière Béton résiste Mais voilà, au fur et à mesure, le mal a atteint plusieurs types de matériaux. Les prix du bois de construction se mettent à flamber et la matière devient une denrée rare. Dans diverses proportions, le plâtre, le polystyrène et autres résines suivent la même trajectoire.&nbsp;«&nbsp;Toutes les entreprises sont touchées, que ce soit des PME ou des grands groupes,&nbsp;expliquait Pascal Hoareau, président du Sipev1 au début de cette crise économique.&nbsp;Pour la première fois, nous sommes obligés de refuser des commandes.&nbsp;»&nbsp; Dans ce contexte, la FFB estime que 30 % des chantiers pourraient stopper si le phénomène s’installe trop dans le temps. A ce jour, la fédération a déjà constaté que 15 % des entrepreneurs déclarent avoir dû arrêter ou retarder leurs chantiers faute d’approvisionnement contre 3 à 4 % en temps normal. Selon la Capeb, 76 % des entreprises artisanales du BTP déclarent une hausse des prix des matériaux et 57 % se plaignent d&rsquo;une rupture d&rsquo;approvisionnement.&nbsp;«&nbsp;Une conjoncture d’évènement a mené à cette flambée des prix, reprend Franck Bernigaud.&nbsp;Durant le premier confinement, il y a eu un ralentissement de la production. Or, en novembre/décembre 2020, des mois qui enregistrent traditionnellement une baisse d’activité, le secteur a repris très fort. Cela est venu perturber l’ordonnancement habituel. Une chose qui n’a pas été anticipée.&nbsp;» Toutes les filières sont touchées A cela s’ajoute, l’activité exponentielle de la Chine, mais aussi des Etats-Unis.&nbsp;«&nbsp;La Chine a repris très fortement, et compte entre six mois et un an d’avance », témoigne Amaury Omnès, président de l’Afipeb2. Et Frédéric Boisse, secrétaire général du SNMI3de compléter&nbsp;:&nbsp;« Ce pays est en pleine expansion et investit dans ses structures et infrastructures. Il absorbe naturellement les matières premières. La France ne détient pas des tonnes de matières de base et transformées ou des métaux rares… »&nbsp;A cela s’ajoutent, une hausse des prix de logistique et de fret maritime, des incidents météorologiques aux Etats-Unis et un incendie dans une grosse industrie allemande… Lire aussi : Pénuries sur les matières premières : La Filière Béton résiste Si par son aspect plus local, le béton semble résister à la tempête, le secteur est malgré tout impacté.&nbsp;«&nbsp;C’est la loi de l’offre et de la demande, observe Franck Bernigaud.&nbsp;Par capillarité, toutes les filières sont touchées.&nbsp;» Dans le dernier numéro de Béton[s] le Magazine, plusieurs acteurs du coffrage avaient fait état de leurs inquiétudes face à ce phénomène. De son côté, le Seimat4estime un allongement des délais de livraison de 10, voire de 20 semaines supplémentaires pour de nombreuses catégories de matériels.&nbsp;«&nbsp;C’est une crise totalement inédite. Si nous nous attendons à une situation plus calme en fin d’année, nous avons une vision incertaine sur 2022…&nbsp;»Interrogé sur la question, Bruno le Maire, ministre de l’Economie, explique que&nbsp;«&nbsp;la seule réponse sur le long terme à la pénurie de matières premières, c’est notre indépendance sur certaines matières&nbsp;!&nbsp;» Sivagami Casimir 1Syndicat national des industries de peinture, enduit et vernis.2Association française de l’isolation en polystyrène expansé dans le bâtiment.3Syndicat national des mortiers industriels.4Syndicat des entreprises Internationales de matériels de travaux publics, mines et carrières, bâtiment et levage, manutention. Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 261 jours

Edilteco : De plus en plus légère

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. La chape légère XXs d’Edilteco permet de traiter les rénovations où le poids de la structure est un enjeu. [©Edilteco] Edilteco s’appuie depuis quelques mois, sur La chape légère XXs. Cette dernière est prête à l’emploi et compatible avec tous les revêtements de sol. Fibrée, elle permet d’améliorer l’affaiblissement acoustique des sols, tout en ne les surchargeant pas. En effet, comparée à une chape traditionnelle, elle est 50 % plus légère. Elle doit sa légèreté à la présence de billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l’adjuvant EIA (diamètre 2 – 3 mm). De plus, elle admet une épaisseur d’application minimale de 1 cm (en pose adhérente sur béton). Sa simplicité d’utilisation et son faible poids, lui permettent d’être utilisée pour des chapes adhérentes ou désolidarisées. Mais aussi pour des rattrapages de niveaux, des formes de pentes et pour la mise à niveau des planchers.&nbsp; Côté isolation phonique, ses performances en matière d’affaiblissement acoustique (17 dB en épaisseur 5 cm) permettent une absorption efficace des bruits de chocs (talons, chute d’objets, déplacement de mobiliers…). Sur Artibat : Hall 10A – Stand D52 Retrouvez l&rsquo;ensemble du dossier sur les innovations d&rsquo;Artibat
Il y a 3 ans et 268 jours

A Lyon, un chantier casse-tête dans le dédale des réserves de la bibliothèque

Ce chantier de 13,6 millions d'euros, entamé en 2018, doit s'achever à la mi-2023. Au programme, désamiantage, remise à neuf de l'isolation thermique, de la sécurité incendie, de l'éclairage et du système de traitement de l'air - pour contrôler température (entre 18 et 20 degrés) et hygrométrie (45 à 55% d'humidité).L'objectif est triple: protéger le personnel, faire des économies d'énergie et améliorer les conditions de conservation. L'endroit recèle de véritables trésors, parmi lesquels figurent quelque 500 manuscrits médiévaux remontant jusqu'au Ve siècle, un important fonds, ou une collection de plusieurs dizaines de milliers de disques vinyles.Les travaux ont commencé sous l'ancienne mandature, mais pour les derniers étages, la municipalité EELV, élue en 2020, a souhaité recourir à un isolant "plus compatible avec les limites planétaires", a expliqué le maire, Grégory Doucet, mardi lors d'une visite des lieux. Fini le polystyrène, place à de la laine de chanvre produite dans la Nièvre.Le bâtiment datant de 1972, il a fallu également remplacer, à chaque niveau de 700 mètres carrés, 320 néons fluorescents par 172 tubes à LED, d'autant plus économes en électricité qu'ils fonctionnent désormais avec des détecteurs de présence.Parce qu'il n'était pas question de fermer la bibliothèque pendant cinq ans, le chantier a été phasé de façon à maintenir l'accès aux documents. Certains ont quitté temporairement l'endroit, mais la plupart ont été déplacés d'un étage à l'autre, pour faire de la place le temps des travaux, et repérés à l'aide d'outils de traçage numérique.Les collections sont ainsi restées disponibles pour le public et les chercheurs : un colloque sur le premier imprimeur de Rabelais, le Lyonnais Claude Nourry, s'est tenu récemment.Dix millions d'euros supplémentaires doivent être engagés pour rénover le bâtiment d'accueil, fréquenté par un million de personnes chaque année. Un habitant sur cinq est abonné au réseau des 16 bibliothèques de la ville.Faisant de la lecture une priorité, la municipalité voudrait les dispenser de pass sanitaire : "nous défendons le libre accès à ce service-là", fait valoir l'adjointe à la Culture, Nathalie Perrin-Gilbert. La demande a été faite au préfet.
Il y a 3 ans et 274 jours

Posytec, quand l'art du polystyrène fait maison... basse consommation

À Gerzat (Puy-de-Dôme), Posytec fabrique, depuis une dizaine d'années, des modules en polystyrène expansé pour la construction de maisons ultra-basse consommation, à structure poteaux-poutres en béton.
Il y a 3 ans et 281 jours

Murs béton à isolation intégrée très bas carbone

Knauf lance NEXTherm® Mur-B2i, une solution très bas carbone dévolue aux murs béton à isolation intégrée (prémurs ou béton coulé en place) pour tous types de bâtiments. Cette nouvelle génération de polystyrène expansé fait appel à la valorisation des ressources de la biomasse et plus précisément de déchets organiques ou forestiers. Ce nouveau PSE, produit à partir de bio-naphta et biogaz (avec une certification de l’intégralité de la chaîne selon référentiel RedCert), améliore encore le cercle vertueux des PSE Knauf. Il permet ainsi d’atteindre un équilibre idéal entre performances environnementales fortes, avec notamment le très bas carbone, et haute technicité de l’isolation.
Il y a 3 ans et 287 jours

EDILTECO : LA CHAPE XXs®

LA CHAPE XXs® prête à l’emploi est compatible avec tous les revêtements de sols et offre un gain de poids d‘environ 50 % par rapport à une chape traditionnelle. La densité du mélange – 1200 kg/m3 – est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle. Chape XXs de chez EDILTECO UNE CHAPE LÉGÈRE ET POLYVALENTE Solution innovante, LA CHAPE XXs® est prête à l’emploi et compatible avec tous les revêtements de sols. Cette chape légère et fibrée est destinée à améliorer l’affaiblissement acoustique de tous les revêtements de sol. LA CHAPE XXs® doit sa légèreté aux billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l’adjuvant EIA (Diamètre 2 &#8211; 3 mm). La densité du mélange &#8211; 1200 kg/m3 &#8211; est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle et admet une épaisseur d’application minimale de 1 cm (en pose adhérente sur béton). Grâce à sa légèreté, LA CHAPE XXs® ne surcharge pas les structures. Une légèreté qui ne se fait pas au détriment d’une grande qualité de robustesse : fibrée, elle possède de hautes propriétés mécaniques. Sa simplicité de mise en œuvre va permettre de l’utiliser pour de nombreux usages : chapes adhérentes ou désolidarisées, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolation acoustique aux bruits de chocs, dressage de surface et mise à niveau des planchers ; en toiture à pente nulle ou pente jusqu’à &nbsp;15 %, avec recouvrement par membrane étanche (DTU 43.1). UNE ISOLATION ACOUSTIQUE OPTIMALE Destinée aux applications intérieures et extérieures, LA CHAPE XXs® permet d’isoler et de traiter acoustiquement les différents types de supports existants dans les immeubles collectifs et les maisons individuelles. Ses performances en matière d’affaiblissement acoustique (21 dB en épaisseur 5 cm + Sous-Couche Acoustique Mince) permettent une absorption efficace des bruits de chocs (talons, chute d’objets, déplacement de mobiliers etc.). LA CHAPE XXs® est la solution idéale pour tous les travaux neufs ou de rénovation. UNE MISE EN ŒUVRE PLUS SIMPLE En plus de ses performances isolantes LA CHAPE XXs® présente une grande facilité de mise en œuvre, permettant de réduire les délais de pose. Cette simplification est liée au fait que LA CHAPE XXs® est parfaitement pompable sur de longues distances et à grande hauteur. Sa consistance mousseuse permet une application efficace lors de la mise à niveau et une parfaite planéité. Son mode d’application est similaire aux règles du DTU 26.2. Une fois mise en œuvre, LA CHAPE XXs® est prête à recevoir directement un carrelage collé ou un autre revêtement. 24 heures suffisent pour la pose sans ragréage d’un revêtement céramique, 36 heures pour un sol souple et textile sur ragréage et 48 heures pour un parquet flottant. Autre avantage, LA CHAPE XXs® peut être utilisée à partir d’une faible épaisseur : 1 cm en pose adhérente sur support béton, 2 cm en pose désolidarisée sur support bois, 5 cm sur SCAM ≤ 0,5 cm y compris au-delà de tout élément noyé dans LA CHAPE XXs® (gaines, canalisations, etc.). Pour l’applicateur c’est donc un gain de temps supplémentaire dans le coulage de la chape, l’assurance d’une finition parfaitement lisse et homogène des sols et la possibilité d’usages multiples. Polyvalente, LA CHAPE XXs® est utilisée pour tout type de chantiers, en maison individuelle ou en immeuble collectif, pour des travaux neufs ou en rénovation, et sur tout type de revêtements de sol : plancher béton ou bois, dalle béton, carrelage collé, carrelage scellé, parquet flottant, parquet collé, revêtement stratifié, moquette ou encore sol souple… À Retenir : &#8211; 2 x plus légère qu’une chape traditionnelle.&#8211; Rattrapage de niveau à partir de 1 cm sur support béton et 2 cm sur support bois.&#8211; Finition parfaitement lisse.&#8211; Affaiblissement acoustique aux bruits de chocs&nbsp;: 21 dB avec une SCAM &#8211; Collage direct du carrelage après 24 heures, sans ragréage.&#8211; Produit fibré, pas besoin de treillis anti-fissuration&#8211; Compatible avec tous les revêtements de sols&#8211; Application simple et confortable&#8211; Sac prêt à l’emploi.&#8211; Fabriqué en France (49). Pour plus d’informations, n’hésitez pas à consulter la documentation XXs® ou à visionner la vidéo de mise en œuvre.
Il y a 3 ans et 294 jours

Le Groupe Lorillard sera exposant du 81ème Congrès de l’Union Social pour l’Habitat, les 28, 29 et 30 septembre prochains au Parc des Expositions de Bordeaux

Le Congrès de l’Union Sociale pour l’Habitat est un rendez-vous annuel auquel le Groupe Lorillard a toujours répondu présent. Le Groupe qui se positionne en partenaire historique des acteurs du marché des logements sociaux, détient une véritable légitimité en termes de compétences et d’expertise. Rappelons que Le Groupe Lorillard qui rénove ou équipe chaque jour, en France, près de 320 logements, coordonne diverses entités connues et reconnues comme des intervenants majeurs de la rénovation énergétique. Ces entités ont, à plusieurs reprises, contribué à la rénovation de logements sociaux, de copropriétés, participant à des concours de réalisations de rénovations énergétiques exemplaires, pour lesquelles ils ont été primés et récompensés. INGÉNIERIE DE CHANTIER ET CONCEPTION SUR MESURE : DEUX EXPERTISES MOTRICES Evénement incontournable pour tous les acteurs de l’habitat social, ce Congrès est un véritable lieu d’échange et de réflexion pour tous les promoteurs, bailleurs sociaux, collectivités, entreprises de travaux publics, du bâtiment, etc, qui œuvrent pour la transition énergétique, la rénovation urbaine ou encore la qualité de service. Le Groupe Lorillard disposera d’un stand de 36 m² qui lui permettra d’échanger avec les visiteurs sur ses solutions techniques ainsi que sur sa capacité et son expertise en matière d’ingénierie de chantier. En effet l’ingénierie de chantier rassemble diverses notions techniques et économiques mais s’il y a une notion particulièrement importante, c’est bien la prise en compte des problématiques d’intervention en milieu habité. Reconnu pour la qualité de sa conduite de travaux, le Groupe Lorillard est en mesure de se positionner sur les opérations les plus complexes. Une extrême attention est portée aux contraintes de sécurité. Le souci de qualité et de respect des délais est permanent. Autre notion impérative, dont le Groupe en a fait une expertise, c’est la capacité à réaliser des menuiseries sur-mesure. Pour chaque chantier, Lorillard prend en compte la globalité du bâtiment, la recherche, voire la création de profils de menuiserie ou de structures spécifiques répondant aux attentes du maître d’ouvrage et du maître d’œuvre. Cette spécificité du sur-mesure est possible grâce à la capacité de production industrielle du Groupe. C’est là un atout considérable pour le Groupe Lorillard : savoir concevoir des menuiseries exclusives et sur-mesure, et les usiner en quantité industrielle. En outre, le Groupe est capable de se positionner sur des chantiers d’envergure et d’assurer conception, fabrication et production dans des délais courts. volet roulant Réno City doté d’un coffre extérieur et d’une trappe de visite intérieure. 5 ENTITÉES ET UNE OFFRE MUTLI-MATÉRIAUX Les entités Lorillard Entreprise, Lorillard Façades, Protectéa et Lorenove Grands Comptes représenteront le Groupe Lorillard et seront entourées de plusieurs solutions particulièrement adaptées aux logements sociaux. Le volet roulant Réno City et la menuiserie PVC Design 5 Réno City est un concept breveté de volet roulant doté d’un coffre extérieur et d’une trappe de visite intérieure. Le tiroir amovible facilite les interventions de maintenance. Il est idéal pour les bâtiments collectifs ou encore le tertiaire. Le volet Réno City agit comme un bouclier thermique supplémentaire grâce à son coffre avec double paroi alvéolée équipée d’un isolant en polystyrène expansé graphité (PSE), le joint d’étanchéité placé au niveau de la trappe de visite ainsi que le joint néoprène glissé sur la lame finale. Simple à mettre en œuvre, il est adaptable sur tous les matériaux existants grâce à une paire d’embouts télescopiques et une console réglable. Il est disponible en plusieurs types de manœuvres (filaire, radio, solaire et manuelle) pour répondre aux différents usages de l’utilisateur final. La menuiserie PVC Design 5 sur laquelle est installé le volet roulant Réno City représente l’alliance parfaite tant en termes d’esthétique que de performances thermiques. La Design 5 est un produit incontournable dans le domaine de la rénovation de résidence tant individuelle que collective : elle est dotée de 5 chambres d’isolation et de 2 joints d’isolation. Par conséquent elle affiche un coefficient Uw de 1.3 W/m².K en double vitrage. Fabriquée dans un matériau naturellement isolant, personnalisable et recyclable, la Design 5 sait convaincre par la finesse de son battement central (116 mm) et ses parcloses disponibles en angles galbés ou carrés. &nbsp; Le coulissant HPC Twinéa 2. Caractérisé par la finesse de ses profils et procurant un parfait équilibre entre performances thermiques, esthétisme et confort intérieur, Twinéa 2 sera présenté dans sa version seuil extra-plat. Spécialement adapté aux personnes à mobilité réduite, ce seuil assure une circulation fluide entre l’intérieur et l’extérieur, sans avoir d’obstacle à franchir. Il s’avère plus confortable pour les personnes âgées, mais aussi pour tout à chacun au quotidien. Ses rails en aluminium offrent une manœuvre optimale. Les profils renforcés en fibre de verre assurent à la fois robustesse et légèreté des ouvrants. Coulissant Twinéa 2 et son seuil extra-plat, spécialement adapté aux personnes à mobilité réduite &nbsp; La menuiserie bois Léna 58 qui garantit ses finitions 10 ans ! Avec ses lignes contemporaines propices aux architectures modernes et ses ouvertures à la française (à frappe) ou coulissantes, la menuiserie bois Lena 58, disponible en plusieurs essences, a déjà tout pour plaire. Les finitions « Lena Color » garanties 10 ans viennent parfaire l’équation gagnante : esthétisme, confort et sérénité. Cette année 2021 marque la 81ème édition du Congrès USH et c’est aussi les 85 ans du Groupe Lorillard. Un âge qui en dit long sur le savoir-faire qui s’est transmis entre les hommes et femmes qui se sont succédés, et qui en ont fait un acteur majeur de la rénovation globale des bâtiments. Tout au long de ces années, ministères, investisseurs institutionnels, collectivités territoriales, promoteurs, constructeurs, offices d’HLM, banques et assureurs, entreprises publiques et privées, ont fait confiance au Groupe et ont contribué à bâtir sa légitimité. Partager la publication « Le Groupe Lorillard sera exposant du 81ème Congrès de l’Union Social pour l’Habitat, les 28, 29 et 30 septembre prochains au Parc des Expositions de Bordeaux »
Il y a 3 ans et 322 jours

Essentiels StoDeco : des éléments décoratifs et modénatures pour créer du rythme et du relief en façade

Preuve en est avec sa gamme d’éléments décoratifs et de modénatures riche et variée qui permet de recréer à l’identique les reliefs d’une maison ou au contraire de la relooker après une isolation thermique par l’extérieur. Autour de la fenêtre, avec des encadrements et des appuis, et en partie courante, avec des bandeaux filants, des corniches, des chaînages, des bossages et des colombages, les essentiels StoDeco donnent du cachet aux façades et contribuent à valoriser esthétiquement le patrimoine immobilier.Les éléments décoratifs viennent s’appliquer sur la façade afin d’animer les surfaces de façon ponctuelle, linéaire, sous la forme de modénatures ou de panneaux en parties courantes.« Agrémenter ses façades d’éléments décoratifs lors d’une isolation thermique par l’extérieur permet de combiner performances thermiques et valorisation esthétique. Une maison qui a une belle façade, à l’esthétique soignée, se vendra plus facilement et à un meilleur prix qu’une maison simplement isolée sans aucune finition particulière », relève Sabine Strohmann, chef produit finition chez Sto.Simple, pragmatique et optimisée, l’offre des essentiels de la gamme StoDeco propose des profils applicables dans la majorité des configurations, facilitant ainsi leur mise en oeuvre. Pour autant, en fonction du souhait esthétique, de la typologie d’ouvrage ou des particularités de la façade, Sto est également compétent pour apporter des solutions personnalisées, avec des profils spéciaux sur mesure.Le + Sto : un matériau minéral légerLes éléments décoratifs de façade StoDeco sont composés de Verolith (perlite expansée), un matériau naturel, innovant et résistant au feu. Par conséquent il s’applique sur toute famille de bâtiment dans le cadre d’une isolation thermique par l’extérieur, sans rajouter de masse combustible.Autour de la fenêtre : les appuis et encadrementsLe traitement des fenêtres d’un ouvrage est à mener avec attention, en particulier l’appui. Agrémenter la fenêtre d’un encadrement contribue à soutenir l’équilibre de la façade et participe à la qualité de finition du bâtiment.Les appuis et encadrements proposés par Sto ont pour vocation de souligner l’esthétique de la fenêtre et ainsi apporter à la façade du rythme, du relief et une finition plus soignée.Leur bon classement au feu permet de poser les éléments en périphérie de baies et traiter l’habillage de la fenêtre dans son ensemble, sur toutes les familles d’ouvrage.En rénovation comme en neuf, et quelle que soit la configuration de la fenêtre, la gamme d’appuis et d’encadrements StoDeco offre une solution esthétique décorative personnalisée et adaptée aux spécificités du bâtiment :l’appui de fenêtre complet pour une solution tout en unle nez d’appui pour créer du lien et de la cohérencela tablette de fenêtre, l’élément incontournablel’encadrement, simple et modulableLe matériau minéral est un réel atout pour le confort de l’habitat : aucune nuisance sonore et une efficacité éprouvée contre les intempéries.En partie courante : les bandeaux filants, corniches, chaînages, bossages et colombagesTouche contemporaine ou habillage traditionnel, les éléments décoratifs en partie courante s’adaptent aux multiples esthétiques de la façade.En plus d’un classement au feu conforme à la règlementation, ces profils apporteront un rythme et une harmonie aux façades valorisant ainsi l’ensemble du patrimoine. Selon la « morphologie » du bâtiment, la personnalisation avec des variations verticales, des couronnements ou des fractionnements horizontaux, des formes et des calepinages permet de sublimer les façades.Les bandeaux filantsDe formes simples, dans la même ligne esthétique que la gamme d’appuis, les bandeaux filants StoDeco peuvent être positionnés au droit de l’appui ou en partie courante. Parfaitement adaptés pour souligner une ligne de fenêtre ou marquer une transition entre deux matériaux sur la façade, les bandeaux filants sont disponibles en plusieurs tailles afin de correspondre aux différents besoins.Et pour aller encore plus loin, les panneaux découpés de différentes épaisseurs StoDeco offrent de nombreuses possibilités de formes géométriques très simples.Les cornichesPour garnir la jonction entre le mur de la façade et la toiture, Sto propose une gamme variée pour répondre à toutes les envies selon le style de la façade : géométrique, courbe concave, convexe ou combinée.Les panneaux assemblés : chaînage, bossage, colombage et signature graphiqueLa gamme de chaînage, bossage et colombage Sto apportera une touche de caractère et de personnalisation supplémentaire à la façade. Outre l’architecture classique, il est possible de jouer avec des combinaisons contemporaines, aléatoires ou de formes variables. Les panneaux assemblés s’adaptent à la configuration et aux particularités de la façade.Des profils polyvalents faciles à mettre en œuvreLa gamme StoDeco peut être mise en œuvre sur :maçonnerie sur les supports traditionnels béton,les systèmes d’isolation thermique par l’extérieur sous enduit avec isolant polystyrène et laine de roche StoTherm Classic, StoTherm Vario, StoTherm Brick et StoTherm Mineralles systèmes de bardage ventilé StoVentecPensés pour faciliter la mise en œuvre sur les chantiers, les profilsStoDeco peuvent trouver différentes applications. Par exemple, les profils d’encadrement peuvent aussi être utilisés en partie courante pour notamment réaliser un bossage ou un chaînage.Les profils sont facilement ajustables directement sur le chantier à l’aide d’une scie avec lame spéciale.Les essentiels StoDeco sont disponibles rapidement dans les agencesSto.
Il y a 3 ans et 334 jours

Nouveau Comité Directeur pour l'AFIPEB sous la présidence renouvelée d’Amaury Omnès

Les membres de l’AFIPEB ont réélu Amaury Omnès - Directeur Général de Hirsch Isolation - en tant que Président de l’association. Ils ont élu Joaquim Correia - Directeur Marketing Stratégique de Knauf - en qualité de Vice-Président.Accompagné de Jean-Michel Guihaumé, Délégué Général de l’AFIPEB, Amaury Omnès a pour ambition de porter les enjeux de l’industrie du polystyrène expansé (PSE) et d’agir pour contribuer au développement de bâtiments performants sur le plan thermique et environnemental.Les enjeux de la filière s’articulent autour de six piliers :RE 2020Démontrer les vertus du PSE en tant que matériau isolant et les efforts de la filière pour la décarbonation des bâtiments dans un contexte de valorisation du biosourcé par les pouvoirs publics via la réglementation.RénovationPromouvoir les bénéfices de la rénovation énergétique des bâtiments et des énergies renouvelables. A cet égard, l’AFIPEB a rejoint le réseau « ENGAGÉ POUR FAIRE », initié par l’ADEME et le plan Bâtiment Durable.InnovationEtendre l'usage du PSE issu de la biomasse - matériau fabriqué à partir de bio-naphta et de bio-gaz - provenant de la valorisation de ressources renouvelables. Il contribue à réduire l’impact environnemental, notamment en terme d’émissions de CO2, et inscrit durablement ces isolants dans les modes constructifs actuels et à venir.RecyclageDévelopper le recyclage des chutes de produits neufs et collaborer activement au projet européen « Life+ PolyStyreneLoop » ciblé sur les déchets de polystyrène expansé issus des chantiers de démolition.Responsabilité élargie du producteur pour les produits et matériaux de construction du bâtiment (REP PMCB)Contribuer activement à la construction de cette filière REP dans une perspective d'améliorer la valorisation des déchets de PSE.EnvironnementRéinstaller le PSE comme matériau incontournable par sa pertinence (ratio poids carbone/performance thermique) et son efficience (performance technico-économique).De façon proactive avant l'obligation réglementaire, promouvoir les bonnes pratiques permettant d’éviter toute dispersion de granulés dans la nature. A ce titre, l’AFIPEB adhère à l’Opération Clean Sweep® (OCS), programme international de lutte contre la dispersion de particules dans l’environnement.Engagée et active, cette nouvelle équipe travaillera au développement et à la préservation d’une industrie française bien implantée sur l’ensemble du territoire. Elle s’attachera également à mettre en valeur les isolants PSE, performants et durables, qui participent de manière conséquente à la réduction de l’impact environnemental des bâtiments.
Il y a 3 ans et 341 jours

Comment bien préfabriquer un prémur ?

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine Les MCI sont produits au sein d’usines qui sont de plus en plus automatisées. [©Progress Group] 1 – Quels sont les avantages d’un MCI&nbsp;? Les MCI, ou murs à coffrage intégré, sont plus connus en France sous le patronyme de prémurs. Ce sont des murs préfabriqués, livrés sur site par des camions équipés de racks à tiroirs. Là, une fois positionnés dans le bâtiment en construction, il ne reste qu’à bétonner leur noyau. C’est-à-dire l’interstice présent dans les faces interne et externe de l’élément.&nbsp; Les prémurs sont un potentiel d’économie pour les entreprises, car ils réduisent la pénibilité et surtout les durées des chantiers. Ces panneaux&nbsp;sont prédestinés pour&nbsp;la réalisation d’ouvrages en&nbsp;sous-sol, avec cotes bloquées, de trémies d’escaliers ou d’ascenseurs.&nbsp;L’autre avantage du produit est la réduction des délais sur les chantiers.&nbsp;A vrai dire, comme son nom le laisse entendre, un prémur peut remplacer sans difficultés un voile de béton à couler en place&#8230; Les prémurs se déclinent en plusieurs types en fonction des options choisies&nbsp;: isolés ou non, matricés ou teintés, polis&#8230; D’un point de vue béton,&nbsp;les solutions bas carbone commencent à être de plus en plus populaires.&nbsp; 2 – Quelles sont les différentes étapes de production&nbsp;? Les installations de production peuvent être modifiées et upgradées en fonction des besoins des préfabricants. [©Progress Group] L’important lorsque l’on parle de MCI est de bien comprendre que l’industrialisation de la production permet la constance de la qualité du produit. Ainsi que l’optimisation du nombre de tables traitées à l’heure. Le travail se fait sur carrousel avec des tours d’étuvages, permettant de fonctionner, selon les usines, jusqu’en 3/8. Ces unités ont des degrés d’automatisation divers et restent évolutives. La première étape de la production consiste à décoffrer la table de la précédente préfabrication. Ceci, avant de la nettoyer et de la huiler de nouveau. Dans la foulée, la table sera coffrée. Les douilles d’étaiement et les aimants pour boîtiers électriques seront posés avec précision. L’idéal est de confier ces opérations à des robots. Ce qui évite la pénibilité et assure une grande précision de pose, ainsi qu’un rythme élevé. Il existe même un concept de coffrages précis au centimètre. A l’étape suivante, les opérateurs peuvent intervenir pour assurer l’installation des réservations polystyrène, des réservations en bois et des éventuelles gaines. Si le design le nécessite.&nbsp; Arrivent ensuite les armatures. Là, plusieurs solutions existent. Avec le logiciel Ebos, qui pilote le carrousel, les informations sont prises depuis le dessin 3D et transmises à chaque machine. Ainsi, que les barres soient débitées de manière automatique par une redresseuse MSR, posées à la main ou via un robot. Voire encore sous forme de treillis spécial pour les grosses unités, leur débit est complètement automatisé. Les cages d’armatures complémentaires sont produites sur place, sur un circuit parallèle spécifique avec une légère anticipation.&nbsp; Les raidisseurs triangulaires peuvent désormais être produits en juste à temps dans les unités les plus modernes, directement à partir de bobines. Offrant ainsi des économies au producteur. Dernier élément, les cales d’enrobage des armatures sont, elles aussi, placées par robot, afin d’en optimiser le nombre. Que cela soit sur les barres individuelles ou sur les treillis spéciaux.&nbsp; 3 – Comment se déroule le bétonnage&nbsp;?&nbsp; Le coulage du béton se fait automatiquement, grâce à une distribution via une distributrice béton automatique équipée de vis hélicoïdales et de clapets. [©Progress Group] Avant le bétonnage, il y a un contrôle qualité. Les postes peuvent&nbsp;même être&nbsp;équipés de caméras qui prennent en photos les éléments&nbsp;avant bétonnage. Il est même possible de faire des contrôles qualité&nbsp;informatisés. Ce qui est très demandé par les clients&nbsp;finaux.&nbsp; Le bétonnage se fait ensuite&nbsp;idéalementde façon automatique, à l’aide d’une&nbsp;distributrice béton, quivient directement&nbsp;s’approvisionner en béton au niveau de la centrale. A l’intérieur&nbsp;de cette benne béton automatique,&nbsp;des&nbsp;vis hélicoïdalespermettentde maîtriser&nbsp;les volumes de béton déversés. Ainsi que sa répartition&nbsp;sur la table de préfabrication. Un coup de vibration, en fonction de la formulation du béton, achève cette première phase de production. A l’issue de la phase de bétonnage, chaque table rejoint la zone d’étuvage où elleyséjourne durant&nbsp;environ8 h.&nbsp; 4 &#8211; Comment est finalisée la préfabrication d’un prémur&nbsp;? Le logiciel de gestion permet le flux des données à toutes les machines, l’optimisation des productions et l’aide aux collaborateurs dans leurs tâches. [©Progress Group] Pour faire simple, un prémur est constitué de deux plaques de béton (tout à fait comparable à des prédalles), reliées ensemble par des éléments d’armature. Mais séparées d’un vide&nbsp;interstitiel&nbsp;rempli sur le chantier. Ainsi, lorsque la première face est sèche, prête à être retournée, on lance en production la seconde face du même mur, en suivant le même processus que celui décrit plus haut. Toutefois, lorsque l’élément quitte l’aire de bétonnage, il ne rejoint pas directement l’étuve, mais une zone dite “d’assemblage”.&nbsp;En parallèle, la première&nbsp;plaque sèchesort de l’étuve pour rejoindre cette même zone. C’est l’étape la plus spectaculaire du process de préfabrication&nbsp;qui débute alors,&nbsp;avec le retournement complet de la table qui porte la plaque de béton durci. Cette dernière est ensuite déposée sur la seconde table&nbsp;fraîchement bétonnée, ses armatures en attente venant se noyer dans le béton frais de la plaque tout juste coulée.&nbsp; A l’issue, la première plaque est décoffrée de sa table support, qui peut être réintroduite dans le circuit de production. De son côté, la seconde table, supportant désormais un prémur&nbsp;reconstitué,&nbsp;ira finir de sécher en étuve 8 h environ.&nbsp; Une fois le béton durci, cette table est dirigée vers la zone de démoulage où elle&nbsp;sera&nbsp;relevée pour permettre la prise en charge du prémur à l’aide d’un pont roulant. Durant cette phase finale, l’élément est positionné dans un rack dédié au stockage sur parc, puis au transport.&nbsp; Article réalisé avec l’appui technique de Benoît Guiberteau, responsable commercial de Progress Group A propos de Progress Group Progress Group est un spécialiste de l’étude et de l’installation d’équipements et de logiciels pour les usines de préfabrication. Plusieurs marques font partie du groupe, parmi lesquelles figurent&nbsp;Progress Machinen & Automation, Ebawe, Progress Software Development,Echo Precast Engineering, ou Tecnocom.&nbsp; Progress Group est un groupe d&rsquo;entreprises actif à l’international avec des sites à Eilenburg et Francfort, en Allemagne, à Houthalen, en Belgique, à Brixen et à Udine, en Italie. Mais aussi à Winnipep, au Canada, à Qingdao, en Chine, à Chicago, aux Etats-Unis, à New Delhi, en Inde, et à Kuala Lumpur, en Malaisie. Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 344 jours

Réalisation d'un éco quartier avec des logements à haute performance énergétique à Lunéville

Le 15 avril dernier, les premiers habitants de l’éco quartier Libération, à Lunéville (Meurthe-et-Moselle), emménageaient dans leur logement. Entre l’avenue de la Libération et l’allée des Lilas, sur un peu plus d’un hectare, une ancienne pépinière a laissé la place à un programme de construction neuve de 31 logements à haute qualité environnementale conduit par l’Office Public de l’Habitat (OPH) de Lunéville à Baccarat.Énergie positiveCe nouvel espace d’habitat social alliant urbanisme durable et performance énergétique combine habitat individuel et collectif tout en favorisant une forte mixité sociale. Il compte vingt maisons individuelles et un immeuble abritant onze appartements.« La performance énergétique est notre cheval de bataille, souligne Adrien Kremer, chargé d’opérations à l’OPH. Lorsque nous avons lancé le concours de conception-réalisation, notre cahier des charges imposait une consommation d’énergie inférieure de 20 % aux exigences de la réglementation en vigueur RT 2012. En option, nous envisagions une cibleRT2012 -50 %. Nous avons eu l’opportunité de répondre à l’appel à projetE+C- pour des bâtiments à énergie positive et faible empreinte carbone répondant à la future réglementation environnementale RE 2020. Le bâtiment collectif est labellisé avec un niveau E3C1. »Pour assurer la maîtrise des charges locatives, le bailleur social vise aussi la pérennité des performances. Celle-ci passe par l’utilisation de matériaux durables, recyclables et réutilisables. Adrien Kremer rejette tout gadget sophistiqué et favorise les solutions simples ayant fait leurs preuves, comme l’isolation thermique par l’extérieur (ITE) pour une enveloppe de bâtiment pérenne et performante.Haute isolationL’ITE est la solution retenue pour assurer une haute isolation à l’immeuble collectif par l’équipe lauréate du dialogue compétitif, conduite par Eiffage Construction Lorraine. Pour abriter les onze logements, les architectes de l’agence Bagard & Luron et le bureau d’études Huguet conçoivent un bâtiment R+2 constitué de deux ailes encadrant les circulations verticales.« Cette partie centrale n’étant pas chauffée, les deux ailes nord et sud sont traitées comme des bâtiments séparés dotés chacun de leur enveloppe », décrit Jérôme Guillaumond, l’architecte de l’agence en charge de l’opération. Les deux parallélépipèdes construits en blocs de béton, simples et compacts, sans décrochements autres que les dalles de balcons, sont enveloppés d’une ITE sous enduit. Les façades sont animées par un jeu de contrastes entre des corps de bâtiments blancs et des pignons gris foncé.Label E+CCette conception simple du bâtiment et de son enveloppe s’avère très efficace, comme le confirme l’étude thermique réalisée par le bureau d’études Huguet. En effet le coefficient Bbio (besoin bioclimatique conventionnel), qui mesure la performance thermique du bâtiment indépendamment des systèmes énergétiques mis en œuvre, est ici très favorable. Il est de 45,3 pour l’aile nord et 38,6 pour l’aile sud, soit respectivement 46,1 % et 54 % de moins que le Bbio maximum fixé par laRT 2012 (84) pour tous les bâtiments neufs.Autre exigence de la réglementation thermique RT 2012, la consommation d’énergie primaire conventionnelle est limitée à 76,1 kWh/m2.an pour l’aile nord et 77,9 kWh/m2.an pour l’aile sud. Or, elle n’atteint respectivement que23,7 kWh/m2.an (soit - 68,9 %) et 27,2 (soit - 65,1 %) pour les deux parties du bâtiment dotées de chaudières à gaz.Pour compléter ces excellents résultats, une quarantaine de mètres carrés de panneaux solaires posés sur le toit de l’immeuble fournissent suffisamment d’électricité pour offrir au bâtiment un bilan énergétique positif : il produit plus d’énergie qu’il en consomme. L’objectif du label E+C- est ainsi atteint avec un niveau E3C1.Des produits de qualité bien mis en œuvreL’application de l’ITE sur les façades de l’immeuble a été confiée à la société Enduiest. Depuis une trentaine d’années, cette entreprise familiale réalise des chantiers de ravalement et d’ITE en Lorraine et en Champagne. Recruté il y a deux ans et demi pour développer l’activité dans les bâtiments neufs, le chargé d’affaires Sébastien Piernot a suivi le chantier du quartier Libération de Lunéville depuis le chiffrage jusqu’à la réception. L’ITE prescrite sur cette opération est le StoTherm Vario 1. « Nous sommes très vigilants quant au choix des produits employés et la gamme Sto offre une solution complète permettant de répondre qualitativement à ce type d’opération. Mais un produit de qualité doit aussi être bien mis en œuvre.Pour cela le site internet de Sto est une aide appréciable, il permet de consulter les différents carnets de détails, les guides d’applications, etc…Toutefois, lorsqu’il y a une interrogation technique nous sollicitons l’avis du conseiller technique Sto, pour cette opération nous avons eu recours à lui deux fois, ce dernier a été très réactif et nous a apporté les solutions. »Système d’ITE hydrauliqueLes panneaux de polystyrène expansé Sto-Panneau PS 15 SE de 200 mm d’épaisseur sont d’abord collés sur les 650 m2 de façade en blocs de béton au moyen de Sto-Mortier Colle B. Puis est appliqué le sous-enduit minceStoLevell Uni armé d’un treillis Sto-Fibre de verre standard. Ce sous-enduit est obtenu en mélangeant une poudre à base de liant hydraulique avec de l’eau. « Le StoTherm Vario 1 est un système d’ITE que nous connaissons bien puisque l’entreprise Enduiest l’utilise sur 80 % de ses chantiers d’isolation thermique par l’extérieur. Habitués au gâchage de produits en poudre, nos compagnons enduiseurs apprécient le sous-enduit hydraulique livré en sacs », précise Sébastien Piernot.Afin de protéger des chocs les parties basses de l’immeuble, l’entreprise aposé sur toute la hauteur du rez-de-chaussée un treillis d’armature complémentaire renforcé en fibre de verre, le Sto-Fibre de Verre Blindaget. Cette armature est marouflée dans l’enduit StoLevell Uni avant une deuxième passe armée du treillis Sto-Fibre de verre standard.Couleurs contrastéesLa finition est enfin assurée par un enduit organique taloché prêt à l’emploi à base de résine acrylique Stolit K 1.5. Blanc sur les trois quarts de la façade, l’enduit est teinté d’un gris soutenu sur trois murs. Afin d’éviter l’absorption de chaleur qui pourrait réduire la durabilité du système en provoquant des fissures ou des déformations, cet enduit foncé est doté de la technologie X-black développée par Sto.Il ne reste plus aujourd’hui qu’à terminer l’aménagement du parc pour favoriser les rencontres entre les habitants et mettre en valeur les nouveaux bâtiments.
Il y a 3 ans et 345 jours

Toitures terrasses : de nouvelles règles professionnelles pour le procédé d’isolation inversé

Edit&eacute;es par la Chambre syndicale fran&ccedil;aise de l&rsquo;Etanch&eacute;it&eacute;, ces r&egrave;gles professionnelles ont &eacute;t&eacute; r&eacute;dig&eacute;es avec le CSTB et l&rsquo;association des producteurs de polystyr&egrave;ne extrud&eacute; - XPS - Exiba France.
Il y a 3 ans et 349 jours

Une nouvelle gamme d’isolants pour soubassements

ISOVER s’associe à Placo et Jackon Insulation pour lancer Peritherm. Ce système est dédié à l’ITE et à la protection mécanique des parties apparentes des murs de soubassements. Il est recommandé pour l’isolation de la partie semi-enterrée extérieure des maisons individuelles, logements collectifs et bâtiments tertiaires. Il est idéal en construction neuve pour atteindre le label BBC. En rénovation, il permet un gain substantiel en limitant les ponts thermiques entre la dalle porteuse et le mur extérieur. Il permet également de limiter les déperditions thermiques des murs extérieurs de soubassement et une protection pérenne de l’étanchéité. C’est un panneau associant un isolant en polystyrène extrudé Jackodur® Plus 300 SF (certifié ACERMI) et un parement en plaque de ciment Placo® haute dureté.
Il y a 3 ans et 356 jours

L’ITE facile avec PAREXLANKO

PAREXLANKO propose une offre ITE à destination des négoces et aux professionnels qui souhaitent se développer rapidement sur le marché de la maison individuelle ; elle comprend des services et des produits, plus simples à mettre en œuvre et plus faciles à expliquer aux particuliers. Une offre courte polyvalente et dont les produits ont déjà fait leur preuve : “Facilitez-vous l’ITE”. “Tout d’abord, cette offre courte évite le stockage d’une multitude de références, inconvénient majeur lorsqu’on parle d’ITE” explique Corinne Sanchez, Cheffe de marché ITE chez PAREXLANKO. “Ensuite, nous avons privilégié deux systèmes, PARISO PSE-M et PARISO PSE-U. Ce sont des solutions plus simples à mettre en œuvre”. L’offre “Facilitez-vous l’ITE” dispose également d’une gamme courte d’accessoires dans laquelle on retrouve PARECOTWIST, cheville universelle PAREXLANKO autorisant la fixation de toutes les épaisseurs de polystyrène, mais aussi le profilé de départ en PVC réglable à l’épaisseur de l’isolant. 
Il y a 3 ans et 357 jours

Produit - ISO-CHEMIE

Le spécialiste de l'étanchéité a développé un tout nouveau produit qui vient renforcer la gamme ISO-TOP. ISO-TOP APPUI XPS, profilé isolant en polystyrène XPS, à très haute résistance à la compression, est spécialement conçu pour l'isolation thermique des appuis de fenêtres.
Il y a 3 ans et 364 jours

ITE d’une maison individuelle en PSE Knauf NEXTherm

La société Bonglet (65 ans d’expérience dans l’isolation) a réalisé une ITE lors de la rénovation d’un pavillon situé à Louhans (71500). Les travaux ont porté sur l’isolation de toute l’enveloppe : combles, planchers et murs avec le choix de l’ITE pour les murs. Résultats visés : la consommation énergétique annuelle du bien, établie à 2 500 euros avant sa rénovation sera diminuée de moitié, à 1 121 euros. Une économie  qui se double également d’une réelle valorisation esthétique et financière du bien immobilier. Knauf NEXTherm est un isolant PSE issu de la biomasse. Fabriqué à partir de bio-naphta et de bio-gaz issus de la valorisation de ressources renouvelables, cette nouvelle génération de polystyrène expansé réduit encore l’impact environnemental des PSE Knauf, notamment en termes d’émission de carbone, et inscrit durablement cet isolant dans les modes constructifs actuels, notamment la rénovation et leurs évolutions prochaines, avec la RE2020.
Il y a 3 ans et 364 jours

Imerys intensifie ses efforts de recherche pour se préparer à "l'après-mines"

"On peut imaginer qu'un jour Imerys ne fasse plus du tout d'extraction minière", relève Judith Pommay, une des responsables du centre. "Au vu de la raréfaction des matières premières, c'est quelque chose à laquelle nous devons faire face".Depuis ses origines à la fin du 19e siècle, alors qu'il s'appelait encore Peñarroya, le groupe français a toujours été investi dans l'extraction minière.D'abord dans les minerais non ferreux, puis progressivement dans les "minéraux de performances": argile, kaolin, talc, quartz ou autres corindons que les industriels incorporent, finement broyés, dans leurs produits pour en améliorer la brillance, l'opacité, la blancheur, la dureté ou la durée de vie...Son tournant industriel s'est accéléré en 2017 avec l'acquisition de Kerneos. Cette ancienne filiale de Lafarge produit des ciments à base d'aluminates de calcium obtenus par cuisson à très haute température de chaux et d'alumine.L'opération a fait de la construction le premier marché d'Imerys, avec 32% de ses ventes.De Kerneos, Imerys a aussi hérité son centre de recherche de Vaulx-Milieu (Isère), en grande banlieue lyonnaise, petit bijou technologique un peu perdu au milieu de la plus vaste zone logistique de France."Un labo de classe mondiale", avec ses 93 chercheurs et techniciens, s'enorgueillit son patron Chris Parr. L'un des sept dont dispose Imerys dans le monde.Il est notamment doté d'un microscope électronique à balayage disposant d'une platine chauffant jusqu'à 1.600°, qui permet de visualiser en temps réel la transformation de matières soumises à de très fortes températures. Il n'y en a que trois en France, les deux autres se trouvant dans des centres de recherche académique.La nouvelle extension du centre, lancée dans les prochains jours pour un coût compris entre 3 et 5 millions d'euros, étudiera comment produire certains des minéraux actuellement extraits du sous-sol par Imerys à partir de déchets ou de coproduits."De la même manière qu'un diamant peut être trouvé dans une mine ou synthétisé en usine", souligne M. Parr.Un premier démonstrateur devrait être opérationnel en fin d'année.Béton vertLe centre de recherche continuera par ailleurs à mettre au point de nouvelles solutions permettant de rendre plus "verts" les métiers de la construction - un enjeu majeur de la transition écologique.Une quinzaine de nouveaux produits, développés en partenariat avec les grands clients du groupe, devraient en sortir cette année, jouant sur les qualités uniques des aluminates de calcium.Comme leur capacité à se figer rapidement. Imerys étudie ainsi comment les mélanger au béton pour construire des bâtiments avec des imprimantes 3D. Difficile en effet d'envisager des murs qui "coulent" avant de durcir !Ou leur résistance au feu, qui permet de les utiliser comme isolants. Les produits alternatifs, dérivés du pétrole, dégagent des fumées toxiques en brûlant, comme l'avait montré le catastrophique incendie de la tour Grenfell à Londres en 2017 (71 morts).En mélangeant un "coulis" d'aluminates avec des tensioactifs, Imerys est parvenu à obtenir une mousse légère qui permet de "farcir" des parpaings creux sur le site même d'un chantier. Cet isolant minéral, composé à 95% d'air, présente les mêmes caractéristiques que le polystyrène pour un poids à peine supérieur.La réduction de l'empreinte carbone du béton est une priorité pour l'industrie du bâtiment qui génère 8% du CO2 rejeté dans le monde.En y ajoutant un mélange d'argiles calcinées et de calcaire, son impact carbone peut être réduit de 35%. Problème, ce béton "écolo" met une semaine à durcir, note Hervé Fryda, responsable de la recherche et développement en matière de construction.L'apport de 1% à 2% d'aluminates permet "d'ajuster le temps de prise de quelques secondes à quelques heures", explique le responsable, démonstration à l'appui.
Il y a 3 ans et 364 jours

Les sculptures en béton de Joséphine Chevry sauvées par Alphi

En novembre dernier, Béton[s] le Magazine lançait un appel à mécénat pour sauver les œuvres en péril de Joséphine Chevy à La Grande Motte. Et le coffreur Alphi a répondu présent pour la moitié de son budget. Ce mécénat portera sur la rénovation des “Peignes”, sculptures en forme de “I” en béton. « Nous avons souhaité davantage participer à des évènements artistiques et culturels. Tout à commencer avec la photographe Lisa Ricciotti en janvier 2020. Avec la crise sanitaire, les choses ont été ralenties. Mais grâce à Béton[s] le Magazine, nous avons découvert le travail de Joséphine à La Grande Motte. Et nous avons adoré. Je connais d&rsquo;autant plus cette ville balnéaire que j&rsquo;ai effectué mes études d&rsquo;ingénieur à Montpellier. J&rsquo;ai toujours trouvé remarquable la réalisation architecturale de Jean Balladur, qui a pensé un mode de vie et un vivre ensemble de toutes pièces. Les sculptures de Joséphine sont liées à ce contexte. Elles font partie du visage de La Grande Motte et nous ne pouvions pas les laisser dépérir. Nous avons de plus avec elle un amour commun du béton », s&rsquo;enthousiasme Alexandre Souvignet, le Pdg d&rsquo;Alphi. Retour sur l&rsquo;œuvre de Joséphine Chevry Il est des rencontres quasi-magiques, avec le béton comme élément fédérateur. Par un intermédiaire, je décroche mon téléphone. Pas moyen de se déplacer dans l’atelier-maison pour cause de Covid-19. J’appelle donc sur FaceTime la sculptrice Joséphine Chevry pour une interview. Et tout de suite, ça matche. Le courant passe avec cette dame élégante de 84 ans, à la voix rauque de fumeuse patentée. Là, elle me narre sa rencontre avec le béton. Avec Jean Balladur. Avec tant d’architectes. La Grande Motte (34) et son Jardin Minéral, qui dépérit sous les vents marins salés et corrosifs. Et qu’elle voudrait sauver… Mais commençons par le début de son aventure artistique. Les débuts Quand Joséphine Chevry, dite “Joséphine”, s’est-elle découverte une âme d’artiste&nbsp;?&nbsp;«&nbsp;A 3 ans, je scarifiais les potirons du jardin de ma nounou. Ou j’arrosais avec une boîte de conserve trouée les cours poussiéreuses. Mes premières performances, si je puis dire…&nbsp;»,&nbsp;explique Joséphine. A 16 ans, elle quitte la France pour Edinbourg, au Royaume-Uni, et s’y inscrit aux Beaux Arts. Puis, elle en revient, désirant devenir sculptrice. «&nbsp;Je voulais rentrer aux Beaux Arts de Paris. Maman qui était avant-gardiste, m’a dit “oui”&#8230;&nbsp;»&nbsp;Elle trouve déjà un soutien de l’Académie Charpentier, puis dans l’Atelier Marcel Gimond. Tous deux stimulent son travail aux Beaux Arts. C’est la rencontre avec l’architecte Jean Balladur qui l’encourage et lui donne confiance pour se présenter au Grand Prix de Rome, qu’elle décroche en 1966. Val d&rsquo;Yerres (91), murs Cariatides et soutènement d&rsquo;un parking, oeuvre réalisée avec l&rsquo;architecte Jean Maneval. [©Fonds privé de l&rsquo;artiste]Bernay (27), création de moules en polystyrène pour la réalisation d&rsquo;une fontaine, oeuvre réalisée avec l&rsquo;architecte Jean Balladur. [©Fonds privé de l&rsquo;artiste]Evry (91), clôture des jardins privés du lotissement « les Epinettes », oeuvre rélisée avec l&rsquo;architecte Jean Balladur. [©Fonds privé de l&rsquo;artiste] Ses premières réalisations seront le fruit de sa fascination pour le béton.&nbsp;«&nbsp;Boue liquide qui, solidifiée, devient inaltérable&nbsp;», indique Joséphine, avec laquelle elle crée des ouvrages de grandes dimensions.&nbsp;«&nbsp;Joséphine Chevry va vers une matière modeste et primitive, mais moderne : le béton. C’est une boue liquide qui fait prise. Elle se prête avec complaisance à toutes les sollicitations du coffrage qui la contient. Elle utilise alors la souplesse et la force de cette matière contemporaine. La force, dont nous venons de parler, s’augmente par la grandeur que cette sculpture affectionne et qu’autorise la modicité de coût de ce produit. Peu de sculpteurs savent aussi bien qu’elle inscrire leur imaginaire dans la dimension qu’exige l’architecture et son environnement&nbsp;», expliquait alors l’architecte Jean Balladur. Le béton comme emblème Portrait de l&rsquo;audacieuse Joséphine Chevry. [©Olivier Ramon] «&nbsp;Ma relation à l’objet est le poids, sa massivité. Je n’expose pas mes sculptures en galerie. J’aime voir les gens déambuler dans mon travail,&nbsp;martèle Joséphine. J’aime la proximité du corps. J’aime que chacun puisse toucher mes œuvres. J’aime descendre la sculpture de son socle pour la mettre dans la rue, les jardins, la confondre avec les architectures. Le béton m’a ainsi tendu les bras et répondait parfaitement à mes aspirations. » Les choses s’enchaînent. Au niveau de l’entrée des Beaux Arts de Dunkerque (59), elle réalise un drapé en béton de 6 m de haut. Puis, à la station de ski Puy-Saint-Vincent (05), elle sculpte toutes les coursives… Caen (14), les Mâts, éléments en béton préfabriqué, oeuvre réalisée avec l&rsquo;architecte H. Ploquin. [©Fonds privé de l&rsquo;artiste] Joséphine fait partie de ce mouvement de jeunes artistes de l’époque, qui vont se confronter à l’échelle du chantier architectural et urbain. Et apprendre à maîtriser ces outils et matériaux. Inventive, elle crée des moules légers en polystyrène en plusieurs morceaux, qui lui permettent de concevoir des formes par assemblage. La surface du matériau est aussi travaillée. Des empreintes sont gravées au fer de forge. Pour varier les textures et découper les blocs béton, elle utilise un fil chaud. Par contact, ce dernier fond le polystyrène et creuse le support, qui servira pour mouler le béton. Cette technique lui permet de concevoir des formes, dont le registre varie de l’arabesque à l’accident. Les coulées de béton épousent les parois des banches, qui libèrent une variété de concrétions monumentales en relief stratifiées, feuilletées, parfois drapées.&nbsp; “Bétonner” La Grande Motte La Grande-Motte, 1968, une famille à la plage devant le Jardin Minéral en fond. [©Archives de la Mairie de la Grande Motte] Et nous arrivons à La Grande Motte, qui est son premier grand chantier, en 1968. Et ses œuvres monumentales. C’est Jean Balladur, encore et toujours lui, qui lui confie la réalisation de sculptures sur les dunes du Point Zéro. Il lui propose comme première page d’écriture, la plage de La Grande Motte, avec pour contrainte de fixer le sable. Car il n’y avait que marais et monceaux de sable assez “moches”. « Toute cette côte-là était sauvage dans les deux sens, le bon et le mauvais »,&nbsp;se souvient Joséphine. A l’époque, elle arrive avec un seau de sable et des morceaux de carton.&nbsp;«&nbsp;A l&rsquo;image de l&rsquo;arbre ou de la concrétion du coquillage, la sculpture de Joséphine Chevry laisse affleurer à la surface de la matière le discours énigmatique du monde des choses&nbsp;», insistait Jean Balladur. Et ces deux-là, vont déambuler dans les dunes, parler art, parler de tout.&nbsp;«&nbsp;Une véritable symbiose.&nbsp;» Création du « Jardin Minéral » en 1968. Archive de la Mairie de La Grande Motte. [©Pierre Pillet paysagiste]Éléments du « Jardin Minéral » dans les dunes du Point Zéro créé par Joséphine Chevry en 1968 à La Grande Motte. [©Fabrice Duvert]Éléments du « Jardin Minéral » dans les dunes du Point Zéro créé par Joséphine Chevry en 1968 à La Grande Motte. [©Fonds privé de l&rsquo;artiste]Éléments du « Jardin Minéral » dans les dunes du Point Zéro créé par Joséphine Chevry en 1968 à La Grande Motte. [©Fonds privé de l&rsquo;artiste] Joséphine dessine alors sur le sable les premières formes d’écriture&nbsp;: des “I”, des “O” et des jambages. Elle propose ainsi un alphabet de formes simples en béton préfabriqué. Et un énorme chantier commence, de&nbsp;«&nbsp;folie le chantier&nbsp;!&nbsp;» Moulés en béton brut, ces modules élémentaires sont préfabriqués en série, avant d’être fixés dans le sol que l’artiste a modelé en pentes douces. Le vent, la dune… Sur la dune, le béton… Joséphine a dessiné un jardin en béton, où l’on peut pique-niquer. Des formes derrière lesquelles se cacher des vents de sable, entre lesquelles courir et s’amuser à écouter les sons du souffle marin… Le Jardin Minéral devient emblématique du Point Zéro. Il figure même dans le label du Patrimoine du XXe siècle. Un jardin de sculptures en béton à sauver Création du « Jardin Minéral » en 1968. Archive de la Mairie de La Grande Motte. [©Pierre Pillet paysagiste] Après plusieurs tempêtes (notamment en 1989) et agressions climatiques, le béton des œuvres monumentales du Jardin Minéral de la Grande Motte a subi de graves lésions. De même que l’invasion de lichens et de mousse. Il est donc urgent de retrouver la “peau d’origine” des sculptures dégradées. En effet, le béton est soumis à l’épreuve du temps et du climat. Les facteurs environnementaux contribuent au développement de pathologies diverses : encrassement des surfaces, éclatement, eau douce (pluviale, acide sulfurique et nitrique) et eau de mer (sulfurique), provoquant dissolutions et décompositions du matériau. Il en est de même du cycle “gel-dégel”, qui entraîne des phénomènes d’écaillages, puis d’éclatement. Bref, il faut sauver ces œuvres en péril. A cette fin, Joséphine a créé l’association “Sous le vent_le béton”, afin d’envisager un chantier de restauration. Les travaux prévus portent sur le désensablage, la restauration des bétons après échantillonnage. Mais aussi sur la reconstitution des Peignes (formes en “I”) et le nettoyage et protection des bétons par hydro-gommage d’origine végétale, peiling et gommage. Enfin, l’étanchéité. La mairie de la Grande Motte soutient le projet et le coffreur Alphi a répondu présent pour le mécénat des Peignes, ce qui représente 50 % du budget de rénovation. C&rsquo;est pourquoi nous appelons tous nos lecteurs cimentiers, bétonnières, industriels, entreprises générales&#8230; à soutenir cette initiative. A bon entendeur&#8230; Joséphine Chevry dans son atelier en 2018 en préparation de son exposition pour les 50 ans de La Grande Motte. [©Fonds privé de l&rsquo;artiste] Association “Sous le vent_le béton”5 rue Marcel Pagnol – 34920 Le CresTél : +33 6 81 13 40 13 contactventbeton@gmail.comSite Internet Muriel Carbonnet&nbsp;
Il y a 4 ans et 1 jours

AFIPEB : nouveau Comité Directeur


L’Association Française pour l’Isolation en Polystyrène Expansé dans le Bâtiment (AFIPEB), réunissant les principaux transformateurs de polystyrène expansé (Corstyrène, Etex, Hirsch Isolation, Innolation, Isobox, IsolFrance, Isossol, Knauf) et soutenue par&hellip;Cet article AFIPEB : nouveau Comité Directeur
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Il y a 4 ans et 7 jours

Edilteco France : L’entrevous Deltivoutain+CI sous Avis technique

Le Deltivoutain+CI &#8211; pour correcteur Intégré &#8211; est un entrevous permettant de limiter les ponts thermiques. [©Edilteco France] Le Deltivoutain+CI &#8211; pour correcteur intégré &#8211; est un entrevous permettant de limiter les ponts thermiques. Efficace, mais surtout très fonctionnel, il intègre dès sa fabrication un correcteur de ponts thermiques sécable (Up < 0,27 W/m².K) en sous face. Conçu en polystyrène (PSE), ce rupteur se casse facilement à la main. Une fois mis en œuvre, il réduit le pont thermique de la liaison entre le plancher et le mur. Ceci, dans le cas d’une isolation par l’intérieur (ITI). Sous Avis technique du CSTB Brevetée, cette solution bénéficie aujourd’hui d’un Avis technique du CSTB. Celui-ci est délivré par le Groupe spécialisé n° 20 “Produits et procédés spéciaux d’isolation” et le Groupe spécialisé n° 3.1 “Planchers et accessoires de plancher”. Cet Avis technique certifie la bonne conception de l’entrevous, sa conformité aux exigences de chaque chantier. Et garantit la durabilité, ainsi que l’efficacité du correcteur de pont thermique. De leur côté, les professionnels du BTP ont plébiscité cette innovation par le biais de la 9eédition du concours Sageret, qui vise à élire les meilleurs produits du BTP. Ils ont décerné à Edilteco France le label “Elu innovation par les professionnels du BTP”, dans la catégorie “Structure, Façade, Maçonnerie”.&nbsp;
Il y a 4 ans et 20 jours

Tec7, spécialiste du collage et de l’étanchéité pour la construction, se développe en France

Reconnue à l’international pour la qualité de ses produits de collage et d’étanchéité dans la construction, TEC7 propose désormais ses produits de haute qualité en France. Lancée il y a une trentaine d’années par l’entreprise familiale belge Novatech International, la marque TEC7 a développé des produits uniques permettant de remplacer par un seul polymère toute une série de mastics et de colles. TEC7 est un acteur majeur sur le plan international grâce à son procédé basé sur la technologie MS polymère Hybride permettant une adhérence renforcée et une résistance à la traction élevée. TEC7 propose aujourd’hui une gamme complète pour tous les travaux de collage, d’étanchéité, de lubrification, de nettoyage et de dégraissage. La mission de TEC7 est de simplifier le quotidien des professionnels du BTP sur le terrain. Dans de nombreux pays d'Europe, les produits TEC7 se sont rapidement imposés comme des incontournables grâce à leur qualité et à leur capacité à répondre à de multiples applications avec un seul produit.Novatech International, maison mère de TEC7, s’appuie sur sa propre R&D pour développer en permanence de nouveaux produits et créer des solutions innovantes et pratiques. Toutes les formules sont propres à TEC7 et adaptées aux exigences des professionnels sur les chantiers. Les produits TEC7 sont également conçus pour minimiser leurs impacts sur l’environnement, avec toujours autant de performance. Tous les produits TEC7 sont certifiés A+ et les composés à partir de MS polymère Hybride ne contiennent aucun solvant et aucun isocyanate, aucune substance nocive pour l’homme comme pour l’environnement. Les polymères MS Hybrides répondent aux exigences de qualité et de sécurité les plus élevées du secteur.Une gamme de produits faciles d’utilisation pour accompagner de façon performante les artisans sur leurs chantiersGrâce à la qualité et au large domaine d’application des produits, TEC7 propose une gamme restreinte avec l’essentiel des solutions : les 3 produits phares TEC7, X-SEAL et X-TACK répondent à 90 % des applications de collage, d’étanchéité et de montages puissants.Une résistance exceptionnelle...Les polymères MS Hybrides assurent une résistance unique pour assembler le bois, le polyester, le polystyrène, la brique, le béton, et même le béton cellulaire. Sans trace, les colles TEC7 conviennent également pour les pierres naturelles, les miroirs.... Pour les montages qui nécessitent une excellente adhérence initiale, TEC7 possède dans sa gamme la colle de montage la plus puissante du marché : X-TACK ! Déjà puissante avant durcissement (600kg/m2), elle assure une résistance à la traction incomparable de 26 kg/cm2. Sa résistance chimique est également excellente contre l’eau, même salée, les solvants aliphatiques, les huiles, les acides anorganiques dilués et les alkalis.... même sous l'eauParfaitement étanches, les polymères MS Hybrides TEC7 peuvent être appliqués mêmesous l’eau. Les solutions TEC7 peuvent ainsi être utilisées en toiture, dans les universmarins, les salles de bains... Leurs qualités et leurs performances ne seront pas affectéeset l’utilisateur pourra travailler sans contrainte logistique particulière.Des services sur-mesureParce que la qualité demande un accompagnement sur-mesure, les équipes de professionnels TEC7 sont sur le terrain et interviennent en 48h en cas de besoin d’assistance. Des tutos sont également proposés sur le site Internet www.tec7.fr et surYoutube. Sur le terrain, des matinées techniques sont organisées chez les distributeurs partout en France pour découvrir les produits avec des conseils personnalisés ! Pour participer aux prochains RDV TEC7 : www.tec7.fr/contactez-nous.
Il y a 4 ans et 40 jours

L'entrevous Deltivoutain + CI d'Edilteco® France reçoit un avis technique du CSTB

Cet Avis Technique, document de référence pour les professionnels de la construction, certifie la bonne conception de l’entrevous, sa conformité aux exigences de chaque chantier, et garantit la durabilité ainsi que l’efficacité du correcteur de pont thermique.Un système ingénieuxHabituellement, les rupteurs sont des éléments indépendants, des pièces supplémentaires aux entrevous que les professionnels ajoutent à leur stock. Pour simplifier cela, DELTIVOUTAIN + CI a été conçu avec un rupteur intégré en sous face et sécable, de manière à faciliter la gestion des stocks et la préparation des chantiers. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN+ CI intègre dès sa fabrication un correcteur de pont thermique sécable (UP 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main.Parfaitement découpé à la forme de chaque entrevous, le rupteur vient ensuite se fixer sur la partie supérieure du hourdis.Conçu en polystyrène (PSE), une fois mis en œuvre, le rupteur va réduire le pont thermique de la liaison entre le plancher et le mur dans le cas d’une isolation par l’intérieur.Le rupteur sécable sur chaque entrevous corrige le pont thermique créé notamment par la continuité des éléments en béton de la dalle vers le chaînage du mur. Il sépare la partie courante du plancher avec celle du chaînage périphérique et l’interruption locale de la dalle de répartition sur tout ou partie de son épaisseur.Si l’utilisation du rupteur n’est pas nécessaire, la partie sécable reste en place et ne gêne pas la mise en œuvre de l’entrevous. Ce concept innovant de produit « 2 en 1 » permet aux artisans de ne pas avoir à gérer de stock de rupteurs sur leur chantier et génère beaucoup moins de déchets.Une mise en oeuvre rapide et pratiqueLa mise en œuvre de DELTIVOUTAIN + CI est similaire à celle des entrevous en polystyrène classiques, mais plus économique car elle ne nécessite pas de poutrelles périphériques et ne requiert pas de faux entraxe.En effet, l’entrevous de départ est un entrevous complet, non découpé, qui se pose en rive de plancher. Le rupteur sécable va venir se positionner au-dessus de l’entrevous de manière à épouser le chanfrein et assurer une parfaite correction du pont thermique dans le sens longitudinal, en rive du plancher. Il n’est donc pas nécessaire de poser une poutrelle en périphérie du plancher comme lors de l’utilisation de rupteurs longitudinaux « traditionnels ».Dans le sens transversal, de façon identique, le rupteur sécable sera recoupé pour être adapté à la largeur de l’entrevous, afin de juste le recouvrir. Il sera positionné sur la face supérieure afin d’assurer une correction du pont thermique en about de plancher.Afin de garantir le maintien des performances mécaniques, les entrevous ont une épaisseur de corps suffisante. En finalité, une seule découpe sera nécessaire pour la pose de l’entrevous d’arrivée, qui comme celui de départ, sera posé en rive de plancher, sans ajout de poutrelle.L’utilisation d’ancres plastiques sera nécessaire pour assurer le blocage des correcteurs de ponts thermiques lors du coulage du béton de la dalle.La livraison des poutrelles est systématiquement accompagnée d’un plan de préconisation de pose qui fournit les informations nécessaires à la mise en place des rupteurs.Caractéristiques techniquesLargeur du rupteur en partie haute : 50 mmUp 0.27 à 0,15Epaisseur des planchers compatibles : 17 – 20 - 25mm (hauteurs coffrantes intégrant 5 mm de béton)Entraxe des poutrelles des planchers compatibles :600 - 630/640 -700 mmLongueur des pièces CI : 1250 mm à recouper sur chantierPSE Certifié ACERMIDestiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d'assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l'isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en oeuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation.Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d'une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l'économie d'éléments structurels devenus inutiles
Il y a 4 ans et 56 jours

Schöck dévoile le dernier né de sa gamme de rupteurs de ponts thermiques, Rutherma type DFi

Une réponse concrète à la réglementation thermique qui évolue en réglementation environnementale, avec un atout décarbonationLe DFi fait peau neuve en matière thermique, fort d’un nouveau corps isolant, du Néopor® (alliage de styrène et de graphite de granit) en lieu et place du polystyrène expansé. Cette évolution s’accompagne d’une meilleure conductivité thermique puisqu’il passe d’un lambda de 0.035 w/m.K à 0.031 w/m.K. L’innovation Schöck porte aussi sur un nouveau positionnement des aciers inox du Rutherma DFi, conférant un triple intérêt. D’abord structurel, car la conséquence directe est d’augmenter ses efforts tranchants de 22 % ainsi que la reprise des moments jusqu’à 83 %. Puis thermique, puisque le nombre d’aciers inox a été réduit sur sa longueur d’1 mètre, sachant que moins d’aciers se traduit par moins de conductivité thermique, donc plus de performance thermique. Enfin, le DFi se prévaut d’un faible poids en carbone (kilo de CO2/Ml), grâce à la faible densité de ses armatures en inox.En cours de validation, une FDES pour le DFi devrait bientôt figurer dans la base INIES et confirmera, à l’instar des modèles type DF, qu’il s’impose comme le rupteur de ponts thermiques le plus économe du marché en matière de carbone. Schöck prend soin de toujours faciliter le travail des professionnels du bâtiment et de répondre ainsi à leurs attentes. Soulignons que Rutherma DFi assure une mise en œuvre, simple, rapide et sécure, grâce au système tenon-mortaise (emboîtement entre chaque rupteur) et aux pattes de fixation en forme de Z.
Il y a 4 ans et 57 jours

L’entrevous « Deltivoutain + CI » d’EDILTECO® France reçoit un avis technique du CSTB et la reconnaissance des professionnels du btp avec le label Sageret

« DELTIVOUTAIN + CI » – pour Correcteur Intégré – est un entrevous avec un rupteur intégré permettant de limiter les ponts thermiques. Brevetée, cette solution bénéficie aujourd’hui d’un Avis Technique du CSTB délivré par le Groupe Spécialisé n° 20 « Produits et procédés spéciaux d’isolation » et le Groupe Spécialisé n° 3.1« Planchers et accessoires de plancher » qui ont examiné respectivement ce procédé. Cet Avis Technique, document de référence pour les professionnels de la construction, certifie la bonne conception de l’entrevous, sa conformité aux exigences de chaque chantier, et garantit la durabilité ainsi que l’efficacité du correcteur de pont thermique. De leur côté les professionnels du BTP ont plébiscité cette innovation par le biais de la 9ème édition du concours Sageret, qui vise à élire les meilleurs produits du BTP. Les professionnels ont décerné à EDILTECO® France le label « Élu innovation par les professionnels du BTP », dans la catégorie « Structure, Façade, Maçonnerie », pour le DELTIVOUTAIN + CI. Ce concours qui distingue et récompense les produits et les matériels les plus innovants dans les secteurs du bâtiment et des travaux publics, est, pour EDILTECO®, un véritable gage de reconnaissance de la qualité et des performances de ses produits par ses pairs. C’est également une distinction qui salue la force novatrice de l’entreprise en matière technique et technologique. UN SYSTEME INGENIEUX Habituellement, les rupteurs sont des éléments indépendants, des pièces supplémentaires aux entrevous que les professionnels ajoutent à leur stock. Pour simplifier cela, DELTIVOUTAIN + CI a été conçu avec un rupteur intégré en sous face et sécable, de manière à faciliter la gestion des stocks et la préparation des chantiers. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN + CI intègre dès sa fabrication un correcteur de pont thermique sécable (UP < 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main. Parfaitement découpé à la forme de chaque entrevous, le rupteur vient ensuite se fixer sur la partie supérieure du hourdis. Conçu en polystyrène (PSE), une fois mis en œuvre, le rupteur va réduire le pont thermique de la liaison entre le plancher et le mur dans le cas d’une isolation par l’intérieur. Le rupteur sécable sur chaque entrevous corrige le pont thermique créé notamment par la continuité des éléments en béton de la dalle vers le chaînage du mur. Il sépare la partie courante du plancher avec celle du chaînage périphérique et l’interruption locale de la dalle de répartition sur tout ou partie de son épaisseur. Si l’utilisation du rupteur n’est pas nécessaire, la partie sécable reste en place et ne gêne pas la mise en œuvre de l’entrevous. Ce concept innovant de produit « 2 en 1 » permet aux artisans de ne pas avoir à gérer de stock de rupteurs sur leur chantier et génère beaucoup moins de déchets. &nbsp; UNE MISE EN OEUVRE RAPIDE ET PRATIQUE La mise en œuvre de DELTIVOUTAIN + CI est similaire à celle des entrevous en polystyrène classiques, mais plus économique car elle ne nécessite pas de poutrelles périphériques et ne requiert pas de faux entraxe. En effet, l’entrevous de départ est un entrevous complet, non découpé, qui se pose en rive de plancher. Le rupteur sécable va venir se positionner au-dessus de l’entrevous de manière à épouser le chanfrein et assurer une parfaite correction du pont thermique dans le sens longitudinal, en rive du plancher. Il n’est donc pas nécessaire de poser une poutrelle en périphérie du plancher comme lors de l’utilisation de rupteurs longitudinaux « traditionnels ». Dans le sens transversal, de façon identique, le rupteur sécable sera recoupé pour être adapté à la largeur de l’entrevous, afin de juste le recouvrir. Il sera positionné sur la face supérieure afin d’assurer une correction du pont thermique en about de plancher. Afin de garantir le maintien des performances mécaniques, les entrevous ont une épaisseur de corps suffisante. En finalité, une seule découpe sera nécessaire pour la pose de l’entrevous d’arrivée, qui comme celui de départ, sera posé en rive de plancher, sans ajout de poutrelle. L’utilisation d’ancres plastiques sera nécessaire pour assurer le blocage des correcteurs de ponts thermiques lors du coulage du béton de la dalle. La livraison des poutrelles est systématiquement accompagnée d’un plan de préconisation de pose qui fournit les informations nécessaires à la mise en place des rupteurs. &nbsp; CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES – Largeur du rupteur en partie haute : 50 mm – Up 0.27 à 0,15 – Epaisseur des planchers compatibles : 17 – 20 – 25 mm (hauteurs coffrantes intégrant 5 mm de béton) – Entraxe des poutrelles des planchers compatibles : 600 – 630/640 -700 mm – Longueur des pièces CI : 1250 mm à recouper sur chantier – PSE Certifié ACERMI Destiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d’assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l’isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en œuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation. Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d’une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l’économie d’éléments structurels devenus inutiles.
Il y a 4 ans et 61 jours

Le rupteur de pont thermique DFi fait peau neuve

Le rupteur de pont thermique DFi de Schöck fait peau neuve en matière thermique, fort d’un nouveau corps isolant, du Néopor® (alliage de styrène et de graphite de granit) en lieu et place du polystyrène expansé. Cette évolution s’accompagne d’une meilleure conductivité thermique puisqu’il passe d’un lambda de 0.035 w/m.K à 0.031 w/m.K. L’innovation porte aussi sur un nouveau positionnement des aciers inox du Rutherma DFi, conférant un triple intérêt. D’abord structurel, car la conséquence directe est d’augmenter ses efforts tranchants de 22 % ainsi que la reprise des moments jusqu’à 83 %. Puis thermique, puisque le nombre d’aciers inox a été réduit sur sa longueur d’1 mètre, sachant que moins d’aciers se traduit par moins de conductivité thermique, donc plus de performance thermique. Enfin, le DFi se prévaut d’un faible poids en carbone (kilo de CO2/Ml), grâce à la faible densité de ses armatures en inox. En cours de validation, une FDES devrait bientôt figurer dans la base INIES.
Il y a 4 ans et 63 jours

TEC7 propose son catalogue de produits pour les professionnels

Reconnue à l’international pour la qualité de ses produits de collage et d’étanchéité dans la construction, TEC7 propose désormais ses produits de haute qualité en France. Lancée il y a une trentaine d’années par l’entreprise familiale belge Novatech International, la marque TEC7 a développé des produits uniques permettant de remplacer par un seul polymère toute une série de mastics et de colles. TEC7 est un acteur majeur sur le plan international grâce à son procédé basé sur la technologie MS polymère Hybride permettant une adhérence renforcée et une résistance à la traction élevée. TEC7 propose aujourd’hui une gamme complète pour tous les travaux de collage, d’étanchéité, de lubrification, de nettoyage et de dégraissage. La mission de TEC7 est de simplifier le quotidien des professionnels du BTP sur le terrain. Les produits TEC7 sont conçus pour minimiser leurs impacts sur l’environnement, avec toujours autant de performance. Tous les produits TEC7 sont certifiés A+ et les composés à partir de MS polymère Hybride ne contiennent aucun solvant et aucun isocyanate, aucune substance nocive pour l’homme comme pour l’environnement. Les polymères MS Hybrides répondent aux exigences de qualité et de sécurité les plus élevées du secteur. Grâce à la qualité et au large domaine d’application des produits, TEC7 propose une gamme restreinte avec l’essentiel des solutions : les 3  produits phares TEC7, X-SEAL et X-TACK répondent à 90 % des applications de collage, d’étanchéité et de montages puissants. Les polymères MS Hybrides assurent une résistance unique pour assembler le bois, le polyester, le polystyrène, la brique, le béton, et même le béton cellulaire. Sans trace, les colles TEC7 conviennent également pour les pierres naturelles, les miroirs…. Pour les montages qui nécessitent une excellente adhérence initiale, TEC7 possède dans sa gamme la colle de montage la plus puissante du marché : X-TACK ! Déjà puissante avant durcissement (600kg/m²), elle assure une résistance à la traction incomparable de 26 kg/cm². Sa résistance chimique est également excellente contre l’eau, même salée, les solvants aliphatiques, les huiles, les acides anorganiques dilués et les alkalis.
Il y a 4 ans et 63 jours

Hausse des matières premières : une crise à facteurs multiples

La hausse des coûts de matières premières impacte directement la production des matériaux de construction. [©ACPresse] Depuis plusieurs mois, le secteur des matériaux de construction est touché par une hausse des coûts de matières premières, voire de pénurie… Les différents syndicats et regroupements de professionnels alertent sur ces phénomènes qui impactent toute la chaîne de valeur. En cause ? Un amoncellement de facteurs. Pour Frédéric Boisse, secrétaire général du SNMI1 et du Mur Manteau : « Il y a eu plusieurs points de chauffe. Au Texas, l’hiver a été très rude et les productions de pétrole en ont subi les conséquences. Le pétrole est devenu plus rare et cela a généré une augmentation des prix du baril et donc des matières chimiques. » De son côté, le Syndicat national des industries de peinture, enduit et vernis (Sipev) fait le même constat. « Nous traînons plusieurs “boulets” et des difficultés d’approvisionnement, détaille Pascal Hoareau, président du Sipev. C’est une accumulation d’évènements qui a engendré l’augmentation des prix et la raréfaction des produits. Par exemple, une importante industrie a brûlé en Allemagne. Le Brexit impacte le transit du titane. Et certaines résines passent par le Texas qui a vécu une vague de froid. De nombreux matériaux sont concernés. Nous n’avons jamais connu ça auparavant. Toutes les entreprises sont touchées, que ce soit des PME ou des grands groupes. Pour la première fois, nous sommes obligés de refuser des commandes. Nous n’arrivons plus à fournir. Alors que nous sentons une reprise avec une augmentation de la demande dans le bâtiment. Mais nous ne fabriquons pas suffisamment en Europe. Car il n’y a pas que la France qui est concernée. » Une multitude de facteurs ont impacté le marché des matières premières Et Amaury Omnès, président de Afipeb2, de poursuivre : « Nous sommes dans un environnement mouvant. Cette hausse des prix est un record historique absolu et le styrène est très concerné ». Selon l’Association, le prix des billes de styrène aurait ainsi augmenté de 100 % depuis le premier déconfinement, c’est-à-dire, il y a moins d’un an. « De plus, les coûts des flux intercontinentaux ont explosé. C’est un phénomène unique. » La question de l’indépendance et de la réindustrialisation en France est essentielle. [©ACPresse] En effet, la crise sanitaire a engendré une déstructuration des marchés. D’autant plus que l’Asie a repris de plus belle depuis plusieurs mois. La Chine a mis un coup d’accélérateur dans son développement. « Le pays est en pleine expansion et investit dans ses structures et infrastructures, observe Frédéric Boisse (SNMI). Il absorbe naturellement les matières premières. La France ne détient pas des tonnes de matières de base et transformés ou des métaux rares… » Et Amaury Omnès (Afipeb) de compléter, « La Chine a repris très fortement et compte entre six mois et un an d’avance… » Tous les matériaux impactés Avec cette crise majeure pour les acteurs du BTP, la question de l’indépendance et de la réindustrialisation française est essentielle. « Il y a une réflexion à avoir sur la production européenne, reprend Amaury Omnès. Nous avons besoin de l’industrie en France. Nous avons pu le remarquer pendant cette pandémie. » Pascal Hoareau (Sipev) appuie cette réflexion. « Il faut se réveiller au niveau de l’Europe et reprendre notre indépendance. Il y a encore des freins à la relocalisation. Nous désintéressons les investisseurs avec trop de contraintes et un peu trop de rigueur. En France, le Plan de relance ne met pas suffisamment les moyens pour attirer les industries dans nos régions. Au Sipev, nous sommes engagés dans la chimie du végétal et le biosourcé. Ce sont des sources stratégiques d’autonomie. » Aujourd’hui, il est difficile de savoir quand la course folle des prix va s’arrêter. Selon le Synad : « La situation est complexe et mondiale, ce qui rend difficile de savoir jusqu’où iront les pénuries de matières premières et leurs conséquences. Ne disposant pas de visibilité à court terme, nos adhérents restent mobilisés. » Et Frédéric Boisse, de conclure : « Il faut travailler avec bon sens et solidarité, et éviter de tomber dans la spirale de la surconsommation, comme on a pu l’observé avec l’achat massif de papier toilettes lors du premier confinement… » 1Syndicat national des mortiers industriels.2Association française de l&rsquo;isolation en polystyrène expansé dans le bâtiment.
Il y a 4 ans et 76 jours

Après la flambée des prix, la menace de la pénurie

Acier, bois, polystyrène, PVC, polyuréthane… les matières premières utilisées dans la construction subissent le rude contre-coup de la crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 83 jours

Construction neuve : 2021, péril en la demeure

Olivier Salleron, président de la FFB. [©ACPresse] Depuis le début de la crise sanitaire, les différents syndicats professionnels du bâtiment alertent sur la santé de la construction neuve. Le 23 mars dernier, la Fédération française du bâtiment (FFB) a réitéré ses inquiétudes et demandé des actions concrètes de la part des pouvoirs publics. En effet, le nombre de mises en chantier est descendu à 351&nbsp;000 logements en 2020. Soit 10&nbsp;000 de moins que la moyenne et un chiffre équivalent à l’entrée en crise du début des années 1990. «&nbsp;Et les évolutions à fin janvier ne rassurent pas, avec des permis encore en recul de 9 % en glissement annuel sur trois mois, après – 15 % en 2020, détaille Olivier Salleron, président de la FFB. Sans relance puissante et rapide, la barre des 300 000 logements commencés sera très probablement enfoncée au tournant 2021-2022.&nbsp;» Le non résidentiel neuf semble être encore plus atteint et cela ne devrait pas aller en s’arrangeant… Ainsi, les surfaces commencées chutent de 16 % en 2020. Tandis que, les surfaces autorisées enregistrent une baisse de – 19 % en 2020 et – 16 % en glissement annuel sur trois mois à la fin de janvier 2021. «&nbsp;L’année 2021 risque donc de se révéler la pire jamais observée depuis 1986, en termes de surfaces commencées. D’autant que tous les segments du non résidentiel participent de ce mouvement, y compris en commande publique.&nbsp;» De son côté, le secteur de l’amélioration-entretien reprend doucement. La pire crise de la construction neuve depuis 1986 Pour la FFB, les effets de MaPrimeRénov’ et des mesures prévues par France Relance commencent à avoir un impact. «&nbsp;Le bilan 2020 ne le révèle pas tout à fait pour l’ensemble, puisqu’au sens de la facturation, l’activité du quatrième trimestre s’inscrit encore en baisse de 2 % sur un an, hors effet de prix.&nbsp;» Toutefois, cette tendance ne permettra pas de compenser la précipitation de la construction neuve. Même constat en ce qui concerne l’emploi dans le bâtiment. «&nbsp;La dynamique de la rénovation énergétique permettra d’atténuer le choc, mais pas de l’empêcher.&nbsp;» Sachant que certains métiers du gros œuvre ne trouveront pas de passerelles avec la rénovation. L’année 2020 a enregistré une perte de 2&nbsp;900 postes, soit – 0,2 %, principalement dans l’intérim. Un chiffre à nuancer selon la FFB. «&nbsp;Avec 44&nbsp;000 logements commencés en moins en 2021 et un ratio de 1,6 emploi mobilisé dans l’ensemble de la filière par logement construit, 70&nbsp;000 emplois se trouveront très fragilisés à l’horizon 2022. Et ce, au regard des délais de production. En tenant compte de la chute du non résidentiel neuf, aux environs de 100&nbsp;000 emplois seront menacés.&nbsp;» La hausse des prix des matériaux, une conséquence de la pandémie Autre conséquence de la crise sanitaire&nbsp;: la hausse des prix des matériaux. Un phénomène remarqué depuis la fin 2020. L’augmentation a tout d’abord été observée sur les produits en acier et en cuivre, puis sur le bois de construction et les autres métaux non ferreux. «&nbsp;Le mouvement a gagné plus récemment les plastiques, le polyuréthane et le polystyrène. Il n’est pas rare de recevoir des annonces à + 30 %, voire plus encore, sur les produits du bâtiment. Les craintes se portent maintenant vers des équipements plus techniques, dotés de puces électroniques ou autres composantes en silicium.&nbsp;» Cet effet est renforcé par une difficulté d’approvisionnement et par conséquent de réalisation de chantier. «&nbsp;Or, force est de constater que la plupart des marchés restent signés à prix ferme, non actualisables, ni révisables. Et prévoient des pénalités de retard. Ces chantiers risquent donc de se révéler systématiquement à perte.&nbsp;» Face à ces différents constats, la FFB a formulé plusieurs propositions, afin de lever les blocages et accompagner les donneurs d’ordres. Ainsi, la fédération en appelle aux collectivités locales, afin d’accélérer la délivrance des permis de construire. De plus, elle demande, une fois de plus, la mise en place d’un “permis déclaratif” pour toutes les opérations réalisées sous permis d’aménager ou en zone d’aménagement concerté. Un appel au gouvernement et aux collectivités locales «&nbsp;Nous alertons aussi sur le risque que la loi Climat et Résilience ne débouche sur une politique foncière axée sur le seul objectif de lutte contre l’artificialisation des sols, aux contours mal maîtrisés. Sans prise en compte des besoins socio-économiques sur les territoires visés.&nbsp;» Par ailleurs, la FFB considère que le nouveau protocole engageant Action Logement, l’Etat et l’USH1 en faveur du logement social va dans bon sens. Mais, il faut aller plus loin… Elle propose de créer un crédit d’impôt sur les cinq premières annuités d’emprunt des primo-accédants. «&nbsp;Quant à l’investissement locatif, la FFB rappelle son souhait de voir majorer transitoirement la réduction d’impôt “Pinel”.&nbsp;» Concernant la RE 2020, la fédération continue de militer pour l’annonce rapide d’un accompagnement financier couvrant les surcoûts associés. «&nbsp;Enfin, pour permettre au secteur de tenir, il faut s’assurer que les surcoûts liés aux matériaux soient partagés des industriels jusqu’au client final. La FFB demande donc que soient réactivées, pour quelques mois, les ordonnances du printemps 2020. Ces dernières avaient transitoirement gelé les pénalités de retard.&nbsp;» La fédération demande aussi que le gouvernement «&nbsp;communique fortement en faveur de l’indexation des marchés&nbsp;». 1Union sociale pour l’habitat
Il y a 4 ans et 83 jours

Sto fait la différence avec une nouvelle bande coupe-feu 30% plus légère

Pour rappel, il est obligatoire de placer des bandes de recoupement minérales en laine de roche entre chaque étage et en départ d’ETICS lorsque du polystyrène expansé est posé sur des bâtiments de 3ème famille (jusqu’à 28 m) et ERP du 1er groupe à partir de R+2.Confort de pose et gain de productivitéSto est sensible au bien-être de ses clients, et leur confort et leur sécurité font partie de ses priorités. Pour cela, le spécialiste de la façade - isolation thermique par l’extérieur (ITE), produits techniques et d’embellissement des façades, bardage ventilé - a mis au point Sto-Speedlamelle Typ II Plus.Plus légère de 30 % qu’une bande coupe-feu traditionnelle, elle rend la manipulation sur le chantier plus facile et réduit ainsi la pénibilité.Et pour un gain de temps et une meilleure adhérence de la couche de base, elle est pré-imprégnée d’un primaire sur ses deux faces.Cette nouvelle bande coupe-feu s’applique exclusivement en systèmes ITE à base de sous-enduit en poudre (StoTherm Vario) et de polystyrène Sto avec technologie Innopearls (PSE gris Sto-Panneau Top31 et PSE blanc PS15),pour des épaisseurs de 100 à 200 mm.La méthode de pose de cette bande coupe-feu se fait conformément au CPT 3714 : collage en plein au moyen d’un mortier colle hydraulique de Sto,fixation mécanique au support avec un minimum de deux chevilles par bande et un entraxe de 500 mm maximum.Ces dernières sont mise en œuvre à cœur ou à fleur de la bande de laine de roche ;une armature complémentaire débordant de 150 mm de part et d’autre de la bande coupe-feu sur le PSE est également à appliquer.Une exclusivité Sto validée par un essai LEPIR« Exclusive à Sto, Sto-Speedlamelle Type II a été validée par un essai LEPIR dans le cadre de notre système StoTherm Vario et StoTherm Brick PSE », précise Julien Velar, chef produits ITE de Sto.Elle affiche un classement feu A1 et est conforme à la norme EN 13501-1.Sa conductivité thermique λD est de 0.039 W / (m*K)Cette nouvelle bande coupe-feu vise plus spécifiquement les bâtiments d’habitation collectifs de 3ème famille et les bâtiments recevant du public(ERP) du 1er groupe soumis à l’IT 249.Toutes les configurations sont décrites au sein du nouveau guide de préconisation ETICS-PSE : https://www.sto.fr/fr/services/newsdetailview_82752.html
Il y a 4 ans et 84 jours

La FFB alerte sur la flambée des prix des matériaux et la baisse des constructions de logements

Activité : urgence construction neuveAinsi, après ré-étalonnage des modèles des services de l'État, le nombre des mises en chantier tombe à 351.000 logements en 2020, soit 10.000 de moins que la moyenne de long terme et un niveau équivalent à celui de l'entrée en crise du début des années 1990. Rapporté au nombre de ménages, c'est même au plus dur de cette crise qu'il faut se comparer ! Et les évolutions à fin janvier ne rassurent pas, avec des permis encore en recul de 9% en glissement annuel sur trois mois, après -15% en 2020. Sans relance puissante et rapide, la barre des 300.000 logements commencés sera très probablement enfoncée au tournant 2021-2022.Le choc s'avère encore plus violent pour le non résidentiel neuf. Les surfaces commencées abandonnent 16% en 2020. Et la chute n'a guère de raison de ralentir, puisque les surfaces autorisées s'affichent à -19% en 2020 et encore à -16% en glissement annuel sur trois mois à fin janvier 2021. L'année 2021 risque donc de se révéler la pire jamais observée depuis 1986 en termes de surfaces commencées. D'autant que tous les segments du non résidentiel participent de ce mouvement, y compris commande publique.A contrario, l'amélioration-entretien redresse la tête. Le bilan 2020 ne le révèle pas tout à fait pour l'ensemble, puisqu'au sens de la facturation, l'activité du quatrième trimestre s'inscrit encore en baisse de 2% sur un an, hors effet prix. Toutefois, on l'observe dans l'évolution de la rénovation énergétique, qui ressort stable sur la même période. De fait, le déblocage de MaPrimeRénov' au quatrième trimestre 2020 et le volet bâtiment de « France relance », quasi-exclusivement consacré à la rénovation énergétique, commencent à faire sentir leurs effets.Évidement bienvenus, ils ne suffiront pas à compenser la violente chute du neuf.Emploi : la menace se préciseL'emploi résiste dans le bâtiment, avec 2.900 postes perdus au total en 2020, soit 0,2%, uniquement dans l'intérim. Toutefois, avec 44.000 logements commencés en moins sur 2021 et un ratio de 1,6 emploi mobilisé dans l'ensemble de la filière par logement construit, 70.000 emplois se trouveront très fragilisés à l'horizon 2022, compte tenu des délais de production. En tenant compte de la chute du non résidentiel neuf, aux environs de 100.000 emplois seront menacés.La dynamique de la rénovation énergétique permettra d'atténuer le choc, pas de l'empêcher. D'autant que certains des métiers du gros-œuvre peineront à trouver des passerelles vers ceux de la rénovation et que la mise en œuvre de la RE2020 au 1er janvier 2022 risque de constituer pour eux une seconde lame de fond.Entreprises : attention à la dérive des coûtsBien que plus tardifs qu'anticipés, le choc de la pandémie se manifeste clairement dans les coûts depuis la fin 2020. Une fois les stocks épuisés, la désorganisation des filières productives et des transports internationaux conduisent à de fortes hausses des prix des matériaux. D'abord observé sur les produits acier et cuivre, puis sur le bois de construction et les autres métaux non ferreux, le mouvement gagne plus récemment les plastiques, le polyuréthane et le polystyrène. Il n'est plus rare de recevoir des annonces à +30%, voire plus encore, sur les produits bâtiment. Les craintes se portent maintenant vers des équipements plus techniques, dotés de puces électroniques ou autres composantes en silicium.Pour certains produits bois, PVC ou polyuréthane, cela se double de difficultés d'approvisionnement, donc de réalisation de chantier.Or, force est de constater que la plupart des marchés restent signés à prix ferme, non actualisables ni révisables, et prévoient des pénalités de retard. Ces chantiers risquent donc de se révéler systématiquement en perte.Le bâtiment tient, mais il faut l'aider à poursuivreMalgré la violente chute de 15% de l'activité en 2020, le bâtiment tient. Grâce aux puissantes mesures de soutien public rapidement décidées et à un déconfinement réussi, l'emploi a été préservé et les entreprises ont survécu au choc. Ce qui a permis, au plan macro-économique, de palier le décrochage d'autres secteurs.Pour permettre au bâtiment poursuivre dans cette voie. Pour le permettre, il faudrait tout d'abord lever les blocages et accompagner les donneurs d'ordres. À ce titre, la FFB en appelle aux collectivités locales, afin que la délivrance des permis s'accélère franchement. Dans cette même logique, elle réitère sa proposition de mettre en place un « permis déclaratif » pour toute opération réalisée sous permis d'aménager ou en zone d'aménagement concerté.Elle alerte aussi sur le risque que la loi Climat et résilience débouche sur une politique foncière axée sur le seul objectif de lutte contre l'« artificialisation des sols », aux contours mal maitrisés, sans prise en compte des besoins socioéconomiques sur les territoires visés.Une relance puissante et rapide du neuf passe aussi par le soutien de la demande, que la crise fragilise. Le nouveau protocole d'engagement Action logement-État-USH en faveur du logement social s'avère de bon augure. Mais il conviendrait d'aller plus loin pour permettre une véritable reprise de la primo-accession, fragilisée aujourd'hui par un avenir trop incertain, mais également par les recommandations –bientôt d'ordre règlementaires– du Haut Conseil de stabilité financière (HCSF). À cette fin, la FFB propose la mise en place d'un crédit d'impôt sur les cinq premières annuités d'emprunt des primo-accédants. Quant à l'investissement locatif, la FFB rappelle son souhait de voir majorer transitoirement la réduction d'impôt « Pinel ».Par ailleurs, afin de ne pas entraver la réalisation des opérations, la FFB continue de militer pour l'annonce rapide d'un accompagnement financier permettant de couvrir les surcoûts associés à la RE2020.Enfin, pour permettre au secteur de tenir, il faut s'assurer que les surcoûts liés aux matériaux soient partagés des industriels jusqu'au client final. La FFB demande donc que soit réactivée pour quelques mois les ordonnances qui, au printemps 2020, avaient transitoirement gelé les pénalités de retard et que le gouvernement communique fortement en faveur de l'indexation des marchés.Semaine de la prévention100% digital, la Semaine de la prévention repose sur un programme de quarante webinaires santé - prévention à la carte. Celui-ci sera accessible durant une semaine complète, du 29 mars au 2 avril prochain. Les objectifs sont de sensibiliser et d'informer les chefs d'entreprise, leurs salariés, les apprentis et les intérimaires sur les risques professionnels du BTP et les moyens de s'en prémunir. Cinq thématiques seront abordées: travaux en hauteur ;risque routier ;poussières et risque chimique ;accueil santé/sécurité sur chantier et au poste de travail ;*manutentions manuelles et troubles musculosquelettiques (TMS).Colloque InnovationLa FFB organise le 13 avril prochain de 16h à 17h30, un événement virtuel consacré à l'innovation, diffusé en direct depuis la Station F sur la chaîne YouTube de la FFB.Cet événement s'articulera autour de tables rondes consacrées à l'innovation vue sous les prismes de la transition écologique, la transformation numérique et le développement de nouveaux modes constructifs. Il comprendra des témoignages concrets sur des sujets tels que le béton vert et les nouveaux matériaux biosourcés, l'intelligence artificielle et les objets connectés, l'industrialisation et de nouveaux procédés constructifs.L'occasion de rompre avec les idées préconçues et de prouver que le bâtiment innove, que ce soit en termes de services apportés aux usagers, de transformation numérique, de transition écologique, d'organisation ou d'évolution des matériaux et procédés constructifs.
Il y a 4 ans et 97 jours

Matières premières : flambée des prix et risques de pénurie

Des prix en hausse parfois violente, des risques de pénurie, les matières premières entrant dans la construction subissent un rude contre-coup de la crise sanitaire : acier, bois, polystyrène, PVC, polyuréthane... Le Moniteur fait le tour de la question, avec Négoce, Le Moniteur des Artisans et Stores et Fermetures.
Il y a 4 ans et 97 jours

Amaury Omnès: «Le polystyrène expansé subit une inflation inédite»

Le président de l’Association française de l’isolation en polystyrène expansé pour le bâtiment (Afipeb) détaille les mécanismes qui conduisent à une hausse brutale des coûts – et donc des prix – du PSE. Et envisage un phénomène de pénurie. En cause le monomère styrène, principale matière première entrant dans la composition du PSE.
Il y a 4 ans et 98 jours

Knauf NEXTherm, nouvelle génération d’isolants PSE très bas carbone

Le fabricant Knauf lance un nouvel isolant en polystyrène expansé issu de la biomasse, qui allie performances techniques et environnementales.
Il y a 4 ans et 98 jours

Isolant en polystyrène expansé : un marché en forte tension

Au cœur de la construction durable, la filière du PSE est une industrie engagée depuis de nombreuses années aussi bien en faveur de l’économie circulaire (Engagement volontaire pour le recyclage des déchets d’isolants PSE signé en 2019) qu’en faveur du plan de rénovation énergétique des bâtiments (charte « Engagé pour FAIRE » signée en 2019). Deuxième isolant le plus utilisé en France, grâce à ses qualités économiques et techniques reconnues, le PSE représente une filière créatrice de valeurs, concrétisée par plus de 30 000 emplois directs et indirects sur le territoire national. Depuis plusieurs mois, dans le contexte de la pandémie de la Covid-19, la filière mondiale du PSE est comprimée par trois facteurs principaux. Des tensions, liées à la crise sanitaire, en termes de disponibilité du monomère styrène, matière première indispensable à la fabrication du PSE, et aggravées par des cas de force majeure déclarés chez différents producteurs.D’importants mouvements d’exportation de matière première vers l’Asie dont la demande est en forte hausse et l’explosion des coûts de frets. Ces tensions conjoncturelles ont généré depuis plusieurs mois une hausse du coût du monomère de styrène. Son prix moyen a plus que doublé depuis octobre 2020, avec une hausse record de près de +48% entre février et mars 2021, atteignant actuellement un niveau historiquement haut. Chacun des membres de l’Association Française de l&rsquo;Isolation en Polystyrène Expansé dans le Bâtiment (AFIPEB) ne peut que constater cet impact économique et tient à assurer les professionnels du bâtiment que des actions sont mises en place pour assurer la disponibilité des solutions isolantes en PSE afin de participer pleinement à la dynamique de marché créée par le Plan France Relance. &nbsp; Communiqué : AFIPEB &nbsp;
Il y a 4 ans et 98 jours

Isolant en polystyrène expansé : un marché en forte tension

Au cœur de la construction durable, la filière du PSE est une industrie engagée depuis de nombreuses années aussi bien en faveur de l’économie circulaire (Engagement volontaire pour le recyclage&hellip;Cet article Isolant en polystyrène expansé : un marché en forte tension est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 98 jours

Isolants PSE très bas carbone

Knauf innove avec une toute nouvelle génération de polystyrène expansé, issue de la biomasse, très bas carbone car provenant de matières premières renouvelables : Knauf NEXTherm. Cette démarche inscrit durablement ce PSE nouvelle génération tant dans les modes constructifs actuels, que dans leurs évolutions prochaines, notamment la RE2020. Knauf garantit que sa chaîne d’approvisionnement n’a pas d’impact sur la déforestation, la biodiversité, la nutrition humaine ou animale. En découle naturellement un impact environnement très bas pour le PSE Knauf NEXTherm®, d’ailleurs quantifié par des fiches FDES vérifiées. Cet isolant se caractérise également par un cycle de vie particulièrement vertueux comparativement à d’autres isolants courants (valeurs faibles d’émissions polluantes à l’air et à l’eau, peu d’énergie primaire exploitée, renouvelable et non renouvelable). Les produits de la gamme s’avèrent recyclables et s’inscrivent dans la démarche vertueuse d’économie circulaire Knauf Circular®. Ce service de récupération et valorisation des chutes propres de PSE garantit leur transformation en de nouveaux produits en polystyrène du bâtiment ou de la vie courante. 
Il y a 4 ans et 98 jours

Isolants PSE très bas carbone

Knauf innove avec une toute nouvelle génération de polystyrène expansé, issue de la biomasse, très bas carbone car provenant de matières premières renouvelables : Knauf NEXTherm. Cette démarche inscrit durablement&hellip;Cet article Isolants PSE très bas carbone est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 106 jours

Le Groupe Knauf engage ses clients dans l’Économie Circulaire du PSE avec Knauf Circular®

Knauf Circular® : la réponse aux enjeux réglementaires, économiques et environnementaux du recyclage L’avenir du plastique, la gestion des déchets et l’économie circulaire constituent les sujets phares des nouvelles réglementations qui se développent en France et en Europe. Les bases de ces nouvelles réglementations avaient été initiées par la Feuille de Route Économie Circulaire (FREC). Dans ce contexte, l’AFIPEB (Association Française de l’Isolation en Polystyrène dans le Bâtiment) prenait déjà un engagement volontaire visant annuellement une valorisation de 2500 tonnes de PSE d’ici 2025. Membre d’Elipso (association des entreprises de l’emballage plastique fortement impliquée dans une dynamique d’économie circulaire), Knauf Industries s’est aussi engagée à réincorporer 4000 tonnes par an de polystyrène expansé recyclé dans ses calages industriels et emballages de manutention, et ce d’ici 2023. Promulguée le 10 février 2020, la Loi Anti-Gaspillage pour une Économie Circulaire, dite AGEC, entre en application au travers de la publication des différents décrets.Pour la filière emballage, l’AGEC, et en particulier son futur décret 3R, imposera le recyclage, la réutilisation ou le réemploi des emballages et la réduction de l’emploi de plastiques vierges. Son objectif est de tendre vers 100 % de plastiques recyclés en 2025. Pour la filière bâtiment, elle imposera à partir du 1er juillet 2021, à toute entreprise, d’intégrer dans ses devis les informations relatives à la gestion des déchets de travaux de construction : les modalités, leurs coûts, les installations dans lesquelles ils seront déposés en fonction de leur typologie. Dès le 1er janvier 2022, une Responsabilité Élargie du Producteur ainsi qu’une éco-contribution (création d’un éco-organisme chargé de la gestion des déchets pour accélérer leur valorisation) seront mises en place. L’éco-contribution sera financée par un système d’écotaxes, modulées en fonction de la performance environnementale du produit. Et, enfin, la loi de Transition Énergétique pour la Croissance Verte (LTECV) ambitionne que la part du recyclage des déchets non dangereux devra atteindre les 65 % d’ici 2025. Knauf Circular®, en développant un service de collecte et de recyclage des déchets de PSE pour qu’ils soient réintroduits dans de nouveaux produits, répond totalement à ces exigences.Knauf Circular® : un service innovant pour la lutte contre le gaspillage, l’enfouissement ou la mise en décharge De par cette véritable opportunité économique et environnementale, le Groupe Knauf témoigne concrètement de son engagement en faveur de l’environnement et de sa volonté d’accompagner ses clients dans cette démarche. Knauf Circular® se destine à tous les utilisateurs de PSE : négoces en matériaux, entreprises du bâtiment, grandes surfaces de bricolage et alimentaires, professionnels de la mer, industriels et aussi déchetteries, permettant de collecter les PSE post consommation des ménages.Knauf Circular® opère la collecte sur sites des déchets propres de PSE : chutes de chantier d’isolation (hors déconstruction), caisses marée, emballages industriels et commerciaux, calages de protection…, commercialisés par Knauf ou non, pour les introduire dans une filière de collecte et de recyclage responsable, fiable, et garante de leur revalorisation en de nouveaux produits en polystyrène pour le bâtiment, l’emballage ou la vie courante. Pour s’assurer d’une valorisation optimale, vertueuse et suivie des déchets de PSE, il suffit pour l’entreprise qui souhaite bénéficier de Knauf Circular® de signer la convention prévue à cet effet. Cette prestation de service payante Knauf Circular® se traduit par la mise à disposition de sacs de 1 m³ de contenance (ou le cas échéant, d’un moyen de reprise plus conséquent) et de leur reprise sous 10 jours sur sites (chantiers, entreprises, points de regroupement...) pour un minima de sacs de PSE établi en fonction de la quantité de déchets de PSE générée par l’activité et le profil de l’entreprise (industriels, négoces, mareyeurs, déchetteries…). Knauf Circular® se veut d’une grande praticité d’utilisation au quotidien, avec des sacs faciles à porter, fermés et transparents qui seront enlevés sur site sur simple appel au numéro vert dédié. Lors de cette collecte, un bordereau de suivi des déchets sera délivré, pour preuve de traçabilité, justifiant du recyclage des déchets.Knauf Circular® : un service unique ouvert à tous les secteurs d’activité au niveau national qui apporte la garantie du recyclage du PSE Pour la phase pilote du quart Sud-Est de la France, Knauf Circular® s’est déjà traduit par la signature d’une cinquantaine de conventions en quelques mois et la mise à disposition de 10000 sacs dans les 4 usines pilotes du projet. Knauf Circular® s’impose à date comme la seule proposition de service de collecte et de recyclage du PSE en France avec un tel maillage du territoire et une telle proximité avec ses clients. Des investissements industriels d’un montant supérieur à 2 millions d’euros ont ainsi été engagés pour doter chacun des 18 sites en équipements de traitement du PSE collecté, offrant une capacité de recyclage annuelle de plusieurs milliers de tonnes de PSE. Knauf Circular® se traduit également par la création d’un poste au siège de l’entreprise en Alsace, pour assurer l’administration commune aux différentes entités Knauf de cette activité. Knauf Circular® apporte la preuve que le PSE est recyclable et recyclé. Il pérennise l’usage du PSE dans ses différentes applications en lui apportant une solution concrète de recyclage, totalement en adéquation avec les nouvelles réglementations. Cette action forte s’inscrit sur le long terme dans le cadre de la démarche de responsabilité sociétale du Groupe Knauf.« Nous développons les filières de collecte et de recyclage du PSE pour réduire l’utilisation de la matière vierge. Nos usines sont équipées de dispositifs de collecte et de recyclage des déchets d’emballages alimentaires et industriels et de chutes de chantiers du bâtiment. Grâce à la proximité géographique avec les clients, de plus en plus de déchets post-consommation et de chutes de production trouvent une seconde vie et entrent dans la composition de nouveaux produits Knauf, cales, panneaux d’isolation… Ceux qui s’avèrent impropres à une réintroduction dans nos productions seront retraités par des recycleurs partenaires en France ou en Europe pour devenir des biens de consommation courante ou des produits d’isolation pour le bâtiment. » Kurt Münder, PDG Knauf Industries« Le Groupe Knauf relève et relèvera plusieurs défis pour que la filière PSE entre concrètement dans l’économie circulaire. Aujourd’hui, avec Knauf Circular®, les utilisateurs sont assurés de la totale revalorisation de leurs déchets de PSE. D’autres programmes de recherche et développement viendront enrichir cette première initiative dans les années à venir. Des recherches sont en cours en matière d’écoconception pour favoriser le recyclage des matériaux en fin de vie. Knauf travaille également à augmenter la part de PSE recyclé dans ses produits neufs, qui doivent répondre aux exigences techniques et réglementaires de leur domaine d’application – bâtiment et emballage. De belles perspectives s’offrent à nous pour inscrire notre Groupe dans l’économie circulaire ! » Christine Muscat, DG Knauf FranceKnauf Circular® : un service simple et complet qui accompagne le client et valorise son action Toute l’actualité Knauf Circular® est à suivre sur le site dédié, www.knaufcircular.fr qui informe sur les modalités de reprises en fonction de la typologie de convention signée (négoces et entreprises de pose, professionnels de la mer, industriels et grandes surfaces, déchetteries) et sur les différents types de PSE collectés. Knauf y propose notamment une vidéo de présentation avec des témoignages clients issus des différentes activités (bâtiment, emballages, industrie). Le Groupe Knauf accompagne également les professionnels signataires de conventions Knauf Circular® pour qu’ils puissent porter haut les couleurs de leur engagement au travers de supports de communication dédiés ; des outils utiles et pragmatiques, qui reprennent les arguments justifiant de cette démarche concrète en faveur de l’économie circulaire du PSE.
Il y a 4 ans et 119 jours

Knauf Circular se déploie sur toute la France

Knauf et Knauf Industries (dont les marques Isobox Isolation et Isobox Agromer) lançaient il y a un an, sur le quart Sud-Est de la France, le service Knauf Circular : une initiative de collecte et de recyclage des déchets de PSE (polystyrène expansé), issus des chantiers de construction et de l’emballage. Fort d’une phase pilote concluante, Knauf Circular se déploie sur la France entière à partir de mars 2021. Knauf Circular opère la collecte sur sites des déchets propres de PSE : chutes de chantier d’isolation (hors déconstruction), caisses marée, emballages industriels et commerciaux, calages de protection…, commercialisés par Knauf ou non, pour les introduire dans une filière de collecte et de recyclage responsable, fiable, et garante de leur revalorisation en de nouveaux produits en polystyrène pour le bâtiment, l’emballage ou la vie courante. Pour s’assurer d’une valorisation optimale, vertueuse et suivie des déchets de PSE, il suffit pour l’entreprise qui souhaite bénéficier de Knauf Circular de signer la convention prévue à cet effet. Cette prestation de service payante Knauf Circular se traduit par la mise à disposition de sacs de 1 m³ de contenance (ou le cas échéant, d’un moyen de reprise plus conséquent) et de leur reprise sous 10 jours sur sites (chantiers, entreprises, points de regroupement&#8230;) pour un minima de sacs de PSE établi en fonction de la quantité de déchets de PSE générée par l’activité et le profil de l’entreprise (industriels, négoces, mareyeurs, déchetteries…). Knauf Circular se veut d’une grande praticité d’utilisation au quotidien, avec des sacs faciles à porter, fermés et transparents qui seront enlevés sur site sur simple appel au numéro vert dédié. Lors de cette collecte, un bordereau de suivi des déchets sera délivré, pour preuve de traçabilité, justifiant du recyclage des déchets.