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Il y a 3 ans et 178 jours

Polystycoffre de TBS PRO : le nouveau coffre tunnel intégré RE2020 qui allie facilité et rapidité de montage

Sur le marché de la construction neuve, les coffres tunnel représentent 61% des volets installés en maisons individuelles. 71% d’entre eux sont achetés par les artisans et CMistes via les négoces et la moitié est pré-équipée d’un volet roulant. En tant qu’acteur référent de la fermeture et partenaire historique des négoces matériaux depuis près de 50 ans, TBS PRO a mené une étude auprès d’un panel de professionnels afin de connaître leurs critères d’achat pour ce type de produit. Outre l’habitude, la simplicité de mise en œuvre arrive en 1ère position. Partant de ce constat, TBS PRO lance Polystycoffre, une nouvelle gamme de coffres tunnel intégrés, alliant facilité et rapidité de pose, accessible dans tous les points de vente. Une offre « all-inclusive » Adaptée aux différents systèmes constructifs (brique, béton) en résidentiel neuf et répondant aux exigences de la RE2020, la nouvelle gamme de coffres tunnel de TBS PRO se compose de deux modèles de 800 mm à 4500 mm de large : • Polystycoffre avec un Uc de 0,6 W/m2.K • Polystycoffre T doté d’un renfort d’isolation thermique au niveau du jambage qui lui permet d’atteindre un Uc de 0,4 W/m2.K Fabriqués en polystyrène haute densité, ils bénéficient d’une bonne isolation thermique et phonique. Pour un maximum de simplicité au chiffrage et à la commande, Polystycoffre dispose de trois éléments inclus en standard, selon les dimensions, qui garantissent une rigidité optimale du coffre et une haute résistance au vent : • des renforts intégrés en aluminium, • des pattes de liaison au chaînage pour la fixation au linteau, • une patte de liaison en fonte d’aluminium pour la reprise sur la menuiserie avec solution d’adaptation aux différentes largeurs de dormant. Autant de caractéristiques qui autorisent son installation sur tous les types de baies, y compris XXL (jusqu’à 4500 mm de large et 2800 mm de haut) ! En complément, TBS PRO propose même une solution technique de coffre d’angle. Légers, rapides et faciles à poser De par leur conception, les nouveaux coffres tunnel de TBS PRO additionnent tous les avantages pour simplifier leur mise en œuvre, en un rien de temps, sur les chantiers grâce à : • leur faible poids même en grande dimension, • une sous-face avec cache rail intégré, ne nécessitant aucune recoupe en profondeur, • un rail télescopique ajustable pour assurer une parfaite étanchéité avec la menuiserie, • un volet motorisé intégré (disponible jusqu’à 3600 mm de largeur, et livré séparément au- delà), • une télécommande appairée en usine. Les maçons gagnent ainsi en productivité sans renoncer aux qualités techniques d’un produit léger et robuste. Toujours plus d’esthétique et de confort Afin d’apporter aux CMistes une offre différenciante adaptée à tous leurs projets, la gamme Polystycoffre se décline : • en 11 combinaisons de coloris en encadrement et tablier ; en blanc et gris anthracite pour la sous-face avec cache rail intégré, le tout en standard (coloris RAL en option), • avec 4 parements extérieurs au choix (béton, brique, enduit, fibragglo). Pour des maisons situées dans des zones exposées aux environnements extérieurs salins et humides, TBS PRO propose une option « haute résistance garantie bord de mer ». Ainsi traité, le tablier est disponible en deux teintes (blanc, gris anthracite), deux tailles de lames (37, 50 mm) et réalisable jusqu’à 3,5 m de largeur. Les coulisses et la lame finale sont disponibles dans tous les coloris RAL. L’ensemble bénéficie alors d’une garantie de 5 ans contre la corrosion de 0 à 10 km du bord de mer et jusqu’à 7 ans au-delà de 10 km*. En termes de confort, là encore, TBS PRO ne laisse rien au hasard. Les coffres tunnel Polystycoffre garantissent : • une occultation supérieure grâce à l’intégration dans la coulisse d’un joint co-extrudé associé à un joint brosse obscurcissant de part et d’autre, et à un profilé d’insertion breveté noir, • une grande liberté de choix de manœuvres et une compatibilité avec les solutions domotiques du marché grâce à la motorisation filaire et radio PRO-SOFT. D’une grande fiabilité (garantie 10 ans), elle dispose d’un mode slow pour un fonctionnement silencieux (en radio uniquement), • une sécurité et une longévité renforcées par des verrous automatiques de série en aluminium extrudé, revêtus de feutrine pour éviter les rayures sur les lames. Issus de la technologie brevetée TBSPRO AXIS 50, ils sont spécialement étudiés pour résister à des relevages de 25 kg et agissent comme de véritables retardateurs d’effraction. Pour apporter un meilleur confort d’été et une gestion optimale de la luminosité, une option brise-soleil est également disponible. Solution complète, esthétique, pratique et simple, avec la nouvelle gamme de coffres tunnel Polystycoffre, les négoces ont l’assurance de trouver chez TBS PRO tout ce dont ils ont besoin pour satisfaire leurs clients au plus vite. * selon les conditions précisées dans le carnet d’assistance et de garanties TBS PRO http://www.tbspro.fr/
Il y a 3 ans et 179 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE BLX, UNE GAMME DE LUMINAIRES LINÉAIRES LED INTELLIGENTS PUISSANTS, ÉTANCHES ET TRÉS ÉCONOMES EN ÉNERGIE

EAS SOLUTIONS, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, présente BLX une gamme de luminaires linéaires LED intelligents conçus et fabriqués par DIGITAL LUMENS pour l’éclairage intérieur des bâtiments industriels et tertiaires.  La gamme des luminaires linéaires BLX possède un haut rendement avec un flux lumineux de 8 245 lm à 8 484 lm et une efficacité lumineuse allant jusqu’à 143 lm/W. Disponibles en deux températures de couleur (4000K, 5000K), les linéaires LED intelligents BLX sont étanches (IP66) et résistants (IK10). Ils fonctionnent sur variateur  (0% à 100%) à des températures de -20° à +40°. Leur durée de vie L80 est de 80 000 heures. Ils sont garantis 5 ans. Les luminaires linéaires LED intelligents sont commandés en radio par le capteur extérieur SCN de DIGITAL LUMENS qui connecte plusieurs luminaires à la fois et permet, par une meilleure gestion de chacun d’eux, une diminution de la consommation d’énergie pouvant aller jusqu’à 80 % par rapport aux linéaires fluorescents ou led non connectés. Les données opérationnelles collectées via le SCN sont directement transmises à la supervision SiteWorx de DIGITAL LUMENS en charge de la surveillance des paramètres utiles et des données environnementales comme la température en divers points du bâtiment, l’humidité, les taux d’occupation, les données de sécurité… Le système de supervision SiteWorx analyse les données en temps réel et met en place les actions correspondantes afin d’optimiser en permanence la consommation d’énergie et d’améliorer l’efficacité et la sécurité du site.   A propos d’EAS Solutions EAS Solutions, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS Solutions sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 3 ans et 179 jours

La construction Hors-Site poursuit son développement en France mais reste en retard par rapport aux principaux pays européens

Ce baromètre[1], qui a pour ambition de devenir annuel, fait le point sur l’état d’avancement des connaissances et de l’utilisation de cette tendance constructive prometteuse. En interrogeant à la fois des utilisateurs du Hors-Site et des non-utilisateurs, ce baromètre entend mesurer l’évolution des pratiques autour de cette méthode qui a déjà conquis un certain nombre d’acteurs mais qui reste encore à déployer plus largement.Sujet aujourd’hui incontournable dans le domaine de la construction, le Hors-Site poursuit son développement en France mais reste encore loin des performances enregistrées dans les principaux pays européens. L’ACIM (Association des Construction Industrialisées et Modulaires) estime ainsi que le marché français représente en 2019 un chiffre d’affaires de 854 M€ et un effectif de 3 688 salariés pour un volume de 439 000 m² d’unités implantées. Le baromètre Hors-Site de BATIMAT, Campus Hors-Site et TBC Innovations fait le point sur le degré d’avancée des professionnels sur ce sujet.Hervé Rebollo, délégué général de l’ACIM et Pascal Chazal, CEO Campus Hors-Site étaient présents le 5 novembre dernier sur le plateau des Rendez-vous du Mondial du Bâtiment pour commenter ces résultats et présenter toutes les opportunités qu’offre le Hors-Site.Près de la moitié des professionnels interrogés ont mis en place le hors-site dans leurs projets47% des professionnels qui ont répondu à l’étude ont déjà eu recours au Hors-Site pour leur chantier. Ils privilégient, à 71%, les éléments de gros-œuvre et des projets de taille modeste (moins de 1 000 m2 pour 35% des projets).Les professionnels expérimentent le Hors-Site plutôt dans le neuf et pour les projets de logements, notamment pour du petit collectif et pour des maisons individuelles avant d’envisager de le généraliser pour leurs chantiers.« Ces chiffres sont très positifs, même si nous devons reconnaître que la France a un véritable retard à rattraper sur ce sujet comparativement aux pays anglo-saxons. » précise Hervé Rebollo.Certaines difficultés à résoudre mais des bénéfices multiples58 % des utilisateurs du Hors-Site déclarent avoir rencontré des difficultés pour mettre en place une bonne collaboration dans leur projet. 42% ont même rencontré des problèmes dans leur projet Hors-Site le plus réussi.« La difficulté provient essentiellement du fait que les projets n’incluent pas le Hors-Site dès leur conception. Cela crée des difficultés organisationnelles et de communication entre les différents intervenants. » selon Pascal Chazal.La plupart des bénéfices attendus par les professionnels utilisateurs du Hors-Site ont été dépassés par les résultats obtenus. Il est à noter toutefois que les attentes sur la baisse des coûts ne sont pas au rendez-vous pour une part des professionnels.« L’effet volume ne joue pas encore à plein sur la réduction des coûts. C’est la généralisation de son utilisation qui rendra l’usage du Hors-Site financièrement avantageux.» indique Pascal Chazal.Pour finir, 76% des utilisateurs du Hors-Site sont convaincus que la construction Hors-Site va augmenter dans les prochaines années, essentiellement dans le résidentiel et le scolaire.Le hors-site : un procédé d’avenir même pour les non-utilisateurs82% des non-utilisateurs de cette méthode pensent y avoir recours dans le futur et 71% que la part de la construction Hors-Site va augmenter dans les 12 prochains mois. Toutefois, le manque de connaissance sur les procédés (65%) et sur l’écosystème des acteurs présents sur le marché (51%) restent des freins pour un passage à l’acte.Hervé Rebollo conclut : « Il reste un important travail à faire sur la formation et la sensibilisation des différents acteurs, notamment des architectes, aux avantages du Hors-Site. Il est aussi primordial de bien faire comprendre que passer à une approche industrielle n’empêchera pas de réaliser de très beaux projets de qualité. »« Ce premier baromètre nous démontre bien que le Hors-Site est largement connu des professionnels, qu’ils soient utilisateurs ou non, et qu’ils éprouvent finalement beaucoup d’intérêt pour cette méthode constructive » indique de son côté Guillaume Loizeaud, Directeur de Batimat. Il ajoute : « S’il existe des attentes qui n’ont pas encore été comblées, il ne fait aucun doute que les avantages identifiés feront largement pencher la balance en faveur du Hors-Site. Rendez-vous est pris sur Batimat en 2022 pour découvrir les résultats de la seconde étude ainsi que les acteurs du Hors-Site. »Le hors-site sur Batimat 2022 : un dispositif d’envergureLa construction Hors-Site sera une nouvelle fois mise en lumière lors de la prochaine édition de BATIMAT, qui se déroulera du 3 au 6 octobre 2022. Un espace, trois fois plus important qu’en 2019, lui sera totalement dédié au sein du Pavillon 1 du Parc Paris Expo de la Porte de Versailles.Un nouveau "Grand Colloque" et des ateliers spécifiques seront également proposés pendant les jours du salon aux acteurs de la construction.Par ailleurs, un nouveau baromètre sera édité et les résultats dévoilés durant BATIMAT.Retrouvez l’intégralité du Baromètre Hors-Site iciRevoir l’émission « Quelles perspectives pour le secteur Hors-Site ? » ici[1] 200 répondants en juin 2021 – 42 % maîtrise d’œuvre, 41 % maîtrise d’ouvrage, 17 % fabricants.
Il y a 3 ans et 185 jours

Franciaflex présente ses solution de pilotage des ouvertures de la maison

Un gain de confort sans grands travaux Développés en partenariat avec Delta Dore, leader français de l'électronique embarquée dans les systèmes d'alarme et de régulation de chauffage, le service Well'com® propose des scénarios multiples qui permettent aux produits de communiquer entre eux grâce à divers capteurs. Avec la nouvelle technologie sans fil X3D (protocole radio conçu par Delta Dore), l'offre de solutions de pilotage des équipements de la baie du programme Well'com® permet de moderniser facilement un logement sans grands travaux. Il suffit de relier les équipements filaires existants (éclairage, volets, stores, portes de garage…) à de simples micro-récepteurs pour les rendre pilotables à partir de l'ensemble des points de commande Wellcom®.L'utilisateur a alors toute la liberté de personnaliser son installation : nommer chaque produit ou groupe de produits et scénariser les actions aux heures désirées. Le système est évolutif, et peut s'adapter à de nouveaux besoins (un store qui vient d'être installé, une porte de garage que l'on souhaite désormais automatiser…). Les installations obéissent au doigt et à l'œil pour un confort optimiséUne solution qui participe activement à la sécurité du foyerCôté sécurité des personnes, en cas d'incendie, le détecteur de fumée autonome siffle et ouvre les volets pour préserver les issues et laisser entrer les secours. Concernant la sécurité des biens, les volets s'allient au système d'alarme en se fermant lorsque l'alarme est activée, s'ouvrant en cas d'intrusion pour exposer le cambrioleur à la vue des passants. Avec la technologie Well'com®, il est possible de :Visualiser sur sa télécommande si les ordres de fermetures envoyés sont bien exécutés,Superviser à distance les différents accès de la maison.Simuler une présence en programmant des ouvertures / fermetures des volets, idéal lorsque l'on part en week-end ou en vacances quelques temps.Avec Well'com®, Franciaflex contribue à réduire la facture énergétique de la maisonEn fonction des scenarios en mémoire, les capteurs d'ensoleillement et de température agissent sur l'installation pour déployer les stores avant la surchauffe ou baisser les volets en hiver pour éviter les déperditions de chaleur en interaction avec les consignes de chauffage. Ainsi, l'utilisateur fait des économies d'énergie en toute simplicité.Qwidi, le service connecté dédié aux installateursDans le déploiement de ces nouvelles technologies, Franciaflex a aussi pensé aux installateurs, en lançant « Qwidi » ! Ce service permet de réaliser toutes les opérations de réglage et de maintenance des volets et protections solaires motorisés Well'Com depuis un smartphone ou une tablette. La mise en service de Qwidi s'effectue sans branchement grâce à une application mobile et un boîtier de connexion. L'installateur peut télécharger gratuitement l'application Qwidi sur l'App Store ou Google Play. Une fois le boîtier sous tension, Qwidi se connecte automatiquement à l'application via Bluetooth de manière sécurisée.
Il y a 3 ans et 226 jours

Hoppe présent au salon Artibat

Espace Smart Home / Smart BuildingLes ePoignées de fenêtreCes poignées communiquent avec la box et émettent un signal radio dès qu’elles changent de position. La position de la fenêtre est ainsi transmise au système Smart Home grâce au capteur directement intégré dans la poignée et au mouvement de rotation de celle-ci (technologie EnOcean).Elles fournissent donc au système Smart Home/Smart Building des informations permettant d’améliorer les processus programmés, comme la gestion du chauffage, de la climatisation et de l’alarme.Les ePoignées de fenêtre HOPPE fonctionnent sans pile et sans câble. Leur mise en service est facile et instantanée : la poignée est connectée, détectée puis intégrée au système comme les autres composants.L’ePoignée de porte HandsFreeEn démonstration sur notre stand 11A11, cette ePoignée de porte HandsFree permet de déverrouiller la serrure de la porte d’entrée sans utiliser de clé et sans avoir à poser ce que l’on a dans les mains !Les personnes autorisées à entrer sont automatiquement reconnues à quelques mètres de la porte grâce à un signal crypté émis par le transpondeur (au format porte-clés) qu’elles ont sur elles. A l’approche de la porte (côté extérieur), un point lumineux est projeté au sol. Un léger mouvement du pied au-dessus de ce point lumineux (bleu, rouge ou vert) déverrouille la serrure motorisée de la porte d’entrée qui peut ensuite être ouverte, sans la toucher et en toute simplicité.Espace sécuritéLa poignée de fenêtre à verrouillage automatique SecuForte®Il s’agit de LA nouvelle poignée de fenêtre avec retardement à l’effraction HOPPE avec un concept de protection unique et innovant :Verrouillage automatique de la poignée de fenêtre en position fermée (0°) et oscillo-battante (180°)Protection contre les effractions par percement de la vitre au niveau du joint d’étanchéité, du profil ou encore déplacement de la ferrureS’adapte à tout type de fenêtreÉgalement disponible en version verrouillable à cléLes poignées de fenêtre SecuForte® sont très facile à utiliser : il suffit d’appuyer (1) sur la poignée, la tourner (2) et ouvrir normalement la fenêtre.Espace hygièneLes poignées de porte et de fenêtre antimicrobiennes SecuSan®Pour ouvrir une porte, nous attrapons instinctivement la poignée à pleine main. Mais ce geste, si anodin soit-il, est devenu source d’inquiétude !Les poignées SecuSan® permettent une protection active et réduisent jusqu’à 99% la croissance des germes. Elles aident à mettre en place des normes d'hygiène élevées et conservent leur efficacité sans entretien particulier. Avec une gamme qui s’est élargit en 2021, HOPPE propose désormais ce revêtement antimicrobien et antibactérien sur 6 designs de poignées de porte et de fenêtre mais également sur des poignées battantes et des sets pour porte coulissantes.Espace design et techniqueUn même design de poignées pour équiper toutes les menuiseries intérieures et extérieures d’un bâtimentFort de son savoir-faire et de ses innovations, HOPPE est le seul fabricant à proposer avec un même design de poignées (ligne Hamburg et Toulon), toute une gamme complète et adaptée à l’ensemble des menuiseries d’un bâtiment (porte d’entrée, porte intérieure, fenêtre, baie vitrée, menuiserie alu,…).
Il y a 3 ans et 231 jours

La nouvelle stratégie des salons Batimat, Idéobain et Interclima sur la voie du succès !

Augmentés grâce à différents dispositifs digitaux, ils accompagnent d'ores et déjà les acteurs concernés jusqu'à l'ouverture des portes des salons qui se tiendront du 3 au 6 octobre 2022, à Paris Expo Porte de Versailles.Organisés par RX France, l'Afisb1 et Uniclima2, le Mondial du Bâtiment et ses trois salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA proposent aujourd'hui un modèle totalement revisité afin d'aider pleinement les professionnels à anticiper les changements auxquels font face les secteurs du bâtiment, de la ville et des territoires. Pour cela, ils s'appuient aujourd'hui sur deux piliers essentiels :Des évènements physiques et des temps forts réinventés pendant les 4 jours du salon ;Un dispositif 365 jours inédit permettant aux professionnels de s'informer et d'échanger au quotidien, grâce à différents outils digitaux.Lancé en avril dernier, le nouveau format des salons physiques augmentés grâce au digital enregistre un intérêt certain et un fort taux de participation de la part des acteurs du bâtiment (liste des exposants en annexe 1) qu'ils soient fournisseurs de solutions et d'innovations pour la construction et la rénovation de tous types de bâtiment.2/3 de la surface d'exposition déjà vendus ou réservésLe retour attendu dans le parc des expositions rénové de la Porte de Versailles à Paris créé une dynamique positive et suscite un fort enthousiasme des entreprises.Au vu des inscriptions déjà enregistrées, BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA s'annoncent comme le rendez-vous incontournable de professionnels du bâtiment, de l'architecture et de la ville en 2022.A un an de son ouverture, le Mondial du Bâtiment réunit déjà 543 exposants répartis dans les 6 pavillons du Parc Expo de la Porte de Versailles. Les réservations couvrent déjà près des 2/3 de la surface d'exposition dont le total est égal à 136 000 m². À noter également, le retour de nombreuses entreprises des différents secteurs, qui avaient délaissé les salons lors de leur tenue à Villepinte (présentées dans la liste des exposants en annexe 1).Le salon BATIMAT, organisé au sein des pavillons 1, 4, 5 et 6, enregistre l'inscription de 402 exposants dont 25% de nouveaux venus. 63% de la surface d'exposition sont ainsi déjà vendus ou réservés.Le salon IDÉOBAIN, organisé dans le pavillon 2, enregistre l'inscription de 51 exposants dont 29% de nouveaux venus. 70% de la surface d'exposition sont ainsi déjà vendus ou réservés.Le salon INTERCLIMA, organisé dans le pavillon 3, enregistre l'inscription de 90 exposants dont 33% de nouveaux venus. 70% de la surface d'exposition sont ainsi déjà vendus ou réservés.Outre le retour à Paris, les entreprises ont également réagi positivement à la durée plus courte des salons et au nouveau format d'exposition avec une nouvelle logique d'exposition. Elles ont ainsi très bien accueilli de pouvoir choisir leur emplacement dès l'inscription et la perspective d'un retour sur investissement (ROI) en hausse.Des salons engagés auprès des acteurs du bâtimentTrès prometteuse, l'édition de 2022 du Mondial du Bâtiment proposera également la mise en avant de nouveaux secteurs porteurs de grandes perspectives et la valorisation de tendances émergentes, poussées par les évolutions réglementaires, les transformations d'usages ou par des prises de conscience sociétales.Grâce à la création de nouveaux espaces d'exposition et l'organisation de temps forts dédiés, les 3 salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA donneront les moyens d'éclairer les enjeux majeurs de la construction et de la rénovation des bâtiments : Environnement ; Climat, Productivité ; Usagers et Habitants ; Métiers (détail dans la présentation de la conférence).Une transformation digitale inéditeEn amont des salons physiques, l'engouement des acteurs du bâtiment autour du Mondial du Bâtiment s'exprime également grâce au digital et ses nombreux moyens d'expression.Notamment, au travers de Batiradio, 1ère webradio du secteur créée il y a deux ans, dont les chiffres d'audience montrent qu'elle s'impose comme source principale de podcast auprès des acteurs du bâtiment. Sur une période d'un mois, ce lien d'échanges et de décryptages entre professionnels enregistre en moyenne 50 000 téléchargement et 56 000 écoutes de podcast.Plus récemment, diffusée chaque mois sur Batiradio, la matinale live de podcasts vidéo Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment permet d'animer la communauté du secteur et d'accueillir de nombreux acteurs reconnus pour leur expertise. Depuis avril 2021, Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment ont ainsi accueilli différents grands témoins comme la ministre du Logement Emmanuelle Wargon, le ministre délégué chargé du Commerce extérieur et de l'Attractivité Franck Riester, le président du Plan bâtiment durable Philippe Pelletier, Frédéric Boissier, Délégué Générale de l'ADEME, ainsi que plus de 100 spécialistes autour de différents sujets d'actualité comme la RE2020, la REP, le plan France Relance, la rénovation énergétique dans les territoires, la construction 4.0, les métiers du bâtiment, les tendances et le design etc.Diffusés en direct chaque premier vendredi de chaque mois, Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment enregistrent en moyenne par émission 1000 auditeurs dont 1/3 en direct et 2/3 en replay. démontrant l'intérêt des professionnels de maintenir du lien tout au long de l'année.Pour aller encore plus loin dans la complémentarité entre le digital et les rencontres physiques qui auront lieu en octobre 2022, le Mondial du Bâtiment propose dès aujourd'hui batiadvisor.fr, un site inédit de salons "augmentés". Cet espace d'information, de décryptage des tendances et de valorisation de l'innovation s'appuie sur l'expertise développée ces dernières années en matière de référencement par les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA, pour proposer un blog unique.Celui-ci regroupera les univers métiers des 3 salons du Mondial du Bâtiment. Les professionnels pourront entrer en contact avec les marques, donner leur avis ou leurs appréciations et disposeront d'outils adaptés à leurs besoins :Des fiches produits conçues avec les codes du e-commerce ;Un moteur de recherche produits/solutions et fournisseurs.Des show-rooms virtuels ;Des vidéos démos ;Des contenus (études exclusives, livres blancs, baromètres inédits…) sur les métiers présents sur les salons physiques.Enfin, durant les 4 jours de l'édition 2022 du Mondial du Bâtiment, les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA proposeront une expérience digitale permettant d'assister à distance à une grande partie des contenus des salons physiques."En octobre 2022 à la Porte de Versailles, la tenue du Mondial du Bâtiment sera l'aboutissement d'une révolution lancée il y a quelques mois pour répondre aux transformations de la société. Les premiers résultats de participation enregistrés à ce jour montrent que, dans cette période post Covid, le nouveau Mondial du Bâtiment est le modèle en passe de s'imposer qui combine plus de sobriété, plus de ROI et une utilisation pragmatique et continue de la puissance du digital. Ce constat renforce notre conviction et nous engage à poursuivre nos efforts pour aider les professionnels du bâtiment à appréhender et à saisir toutes les opportunités qui s'offrent à eux." déclare Guillaume Loizeaud, Directeur du Mondial du Bâtiment.
Il y a 3 ans et 233 jours

Nouvelle étude sur "Les Français et le risque climat" réalisée par OpinionWay pour le groupe Stelliant

Ces événements figurent ainsi sur le podium de l'évaluation des risques à horizon 2024 avec les cyber-attaques et les crises financières.[1] Pour toutes ces raisons, le groupe Stelliant, acteur majeur de la gestion des risques et des sinistres, a souhaité réaliser, en partenariat avec OpinionWay, une étude2 sur « Les Français et le risque climat ». Les résultats de cette étude ont été révélés à l'occasion d'une conférence de presse à Paris, à la lumière des éléments de contexte et d'analyse de Didier Richert, Directeur Risques des Particuliers chez Stelliant."L’augmentation du nombre d’événements climatiques, en fréquence et en intensité, dans un contexte d’évolution de la réglementation du régime d’indemnisation des CATNAT obligent tous les acteurs de l’écosystème assurantiel à s’adapter et à anticiper pour encore mieux accompagner les entreprises et les particuliers touchés par ces événements" indique Didier Richert, directeur des risques pour les particuliers et un des spécialistes de la gestion des risques climatiques chez Stelliant. Les événements climatiques extrêmes au cœur des préoccupations des Français Près de 9 Français sur 10 expriment leurs inquiétudes au sujet des aléas climatiques extrêmes. Les inondations sont leur principale préoccupation (49%), suivies de la sécheresse (39%), des feux de forêt (38%) et des tempêtes (33%). Le gel n’est une source d’inquiétude que pour 3% des personnes interrogées. "Cette perception est justifiée et confirmée par la réalité des dossiers CATNAT que nous prenons en charge chez Stelliant. Le nombre de communes reconnues en état de CATNAT sécheresse a triplé ces trois dernières années et cette tendance va perdurer, voire s’accentuer au regard du dérèglement climatique. Les inondations risquent également d’augmenter, comme en témoignent certains phénomènes récents et indédits : en France, Allemagne et Belgique cet été".Les experts du monde de l'assurance observent en effet une augmentation de la fréquence et de l'intensité des événements climatiques en France. L'augmentation de la population et de sa densité sur certaines zones touchées entraine également une augmentation du nombre de personnes impactées et de fait, une hausse du montant des enjeux financiers.Si le contexte sanitaire actuel explique la préoccupation de près de 42% des personnes interrogées pour des pandémies animales ou végétales, il convient de rappeler que près de 75% d’agents pathogènes des maladies infectieuses humaines sont d’origine animale. Entre 1940 et 2020, 160 nouvelles maladies virales ont été découvertes, souvent issues des contacts entre l'homme et l'animal : paludisme, virus de la dengue et du chikungunya, Ébola, H1N1, Covid-19 et d’autres à venir…[2]Un Français sur 5 se dit préoccupé par le risque sismique. Les séismes sont aujourd'hui assez peu médiatisés en France métropolitaine car, si les réseaux sismologiques enregistrent une activité sismique quotidienne, la plupart du temps, ces événements sont trop faibles pour pouvoir être ressentis par la population. Le dernier événement de ce type ayant entraîné des dommages très importants est le séisme du Teil en novembre 2019. D'une magnitude de 5,2 sur l'échelle de Richter, cette secousse a causé à Teil, lieu de son épicentre, et alentours, l'effondrement de plus d'une centaine d'immeubles et des dégâts matériels considérables."Bien que s’agissant d’une zone à faible densité de population, nous avons chez Stelliant traité plus de 2500 dossiers ! La Caisse Centrale de Réassurance (CCR) évalue dans les scénarios extrêmes que le coût d’un tremblement de terre à Nice pourrait engendrer des coûts de l’ordre de 10 à 13 milliards d’euros, sans évoquer les pertes humaines qui seraient dramatiques" confirme Didier Richert.Dans la base de données SisFrance [3], le séisme de Lambesc en 1909 reste le séisme le plus meurtrier survenu en France métropolitaine. D'une magnitude de 6,2 sur l'échelle de Richter, son bilan s'élevait à 46 morts, 250 blessés et près de 1500 logements détruits ou endommagés. "Si un tel événement se reproduisait aujourd'hui au même endroit, la forte urbanisation de la zone concernée conduirait sans nul doute vers un bilan beaucoup plus lourd, de l'ordre de plusieurs milliers de morts et de plusieurs milliards d'euros de dommages" ajoute Didier Richert.Plus de la moitié des personnes interrogées (59%) expriment leur sentiment de vivre dans une zone à risques. Parmi ces risques, les événements climatiques (sécheresse, tempête, inondations, gel et feux de forêts) arrivent en tête et 24% des Français affirment vivre dans une zone menacée de sécheresse. La sécheresse est particulièrement perçue comme une menace par les habitants du sud-est et du bassin méditerranéen, où la manifestation la plus visible du phénomène est l'augmentation de la fréquence et de la violence des feux de forêt. La cartographie du risque sécheresse en France publiée chaque année avant l'été donne une réalité toute autre, avec près de 80% du territoire classé en risque "très probable" ou "probable" de sécheresse.[4] "On observe aujourd’hui une extension des zones géographiques concernées par la sécheresse à de nombreux départements n'étant plus uniquement situés dans la partie Sud du territoire. En 2020, les communes qui ont fait l’objet d’une reconnaissance d’état de CATNAT sécheresse sont d'ailleurs situés majoritairement en région parisienne et dans le centre est. Le nombre de communes reconnues est plus important chaque année, et la moyenne de moins de 1000 communes reconnues par an est comprise entre 3 et 4000 sur ces trois dernières années" précise Didier Richert. La sensibilité au sujet de la sécheresse est également liée à la forte médiatisation du sujet, notamment lorsqu'une zone est reconnue en état de catastrophe naturelle par le biais d'un arrêté, comme c'est le cas actuellement dans un grand nombre de communes du nord de la France. C'est toute l'importance du rôle de l'expert, véritable enquêteur, qui va rechercher les causes possibles des dommages apparents, depuis l'âge du bâtiment, la méthode et les matériaux de construction ou de fondation, jusqu'aux typologies de sols et de sous-sols, constructions et activités voisines...Tous les bâtis travaillent et comportent des microfissures, les matériaux vieillissent, la capacité de portance des sols évolue au gré des périodes de gel et de dégel. Souvent la sécheresse est un révélateur et non la cause des fissurations. Les catastrophes naturelles : enjeux d'actualité et d'avenir pour les Français77% des personnes interrogées estiment que ce risque de catastrophe naturelle est en hausse ces dernières années. L'augmentation du nombre de catastrophes naturelles ainsi que l'ampleur de ces dernières est, en effet, une réalité. Si les phénomènes de sécheresses sont une des manifestations les plus visibles du réchauffement climatique, ainsi que le risque d'incendie qui se fait plus présent dans les zones touchées, les tempêtes[5] et les inondations sont également des conséquences de ce dérèglement global, en lien direct avec le réchauffement des océans et le bouleversement des courants maritimes qui régulent le climat. Les inondations récentes en Allemagne et en Belgique, ont en moins de 48 heures causé la mort de plus de 200 personnes et la destruction de plusieurs milliers d'habitations et d'infrastructures. L'Allemagne a annoncé consacrer 30 milliards d'Euros à la réparation des dommages causés. Il n'y avait pas eu d'orages aussi violents depuis 150 ans."Nous nous attendons chez Stelliant à une forte augmentation de cette typologie de sinistres. C'est pour cela que nous renforçons nos compétences grâce à des formations ciblées et que nous améliorons en permanence la performance de notre cellule EGA (Evénements de Grande Ampleur). Un système d'astreintes est en place au sein du Groupe. Plus de 40 experts peuvent être ainsi mobilisés dans un laps de temps très court, et ce, sans perturber le fonctionnement de l’entreprise" explique Didier Richert.En France, les inondations récentes dans les vallées de la Vésubie et de la Roya en octobre 2020 sont également une dramatique manifestation du réchauffement climatique. Des précipitations inédites y ont causé la crue centennale de plusieurs cours d'eau et des inondations dévastatrices et des dégâts considérables. Les experts de Stelliant mobilisés rapidement afin de trouver des solutions pour les victimes de cet événement historique ont dû faire preuve d'une grande agilité dans des conditions d'accès difficiles des zones touchées. « Plusieurs de nos experts ont dû parcourir des heures de marche pour rejoindre le lieu devenu inacessible en voiture et dormir dans un camp de base improvisé pour effectuer les reconnaissances de terrain car tous les bâtiments étaient détruits » complète Didier Richert.Parmi les Français estimant vivre dans une zone à risque de catastrophe naturelle, 89% ont le sentiment que cette menace pourrait s’accroître à l’avenir. Plus précisément, 14% anticipent que les risques de catastrophes naturelles pourraient augmenter d’ici un an dans leur zone d’habitation, 42% qu’ils pourraient augmenter d’ici 2 à 5 ans et 33% qu’ils risquent de s’accroître à plus long terme. 29% des Français déclarant vivre dans une zone actuellement préservée des risques de catastrophe naturelle pensent que cela pourrait changer à plus ou moins long terme. Un quart des personnes interrogées ont d'ailleurs déjà envisagé de déménager pour éviter d'être confronté aux risques de catastrophes naturelles. Parmi ces personnes, 40% ont déjà subi un sinistre de ce type. Prévention et réparation : insatisfaction ou méconnaissance ? L'inquiétude liée aux catastrophes naturelles n’est pas infondée puisque près d’un Français sur deux (46%) déclare avoir déjà subi au moins un sinistre lié à de tels évènements. La majorité d'entre eux évoque des sinistres liés aux événements climatiques : les tempêtes pour 26%, la sécheresse pour 20%, le gel pour 18% et les inondations pour 16% d'entre eux. A la suite d’une catastrophe naturelle : 74% des Français estiment que les pouvoirs publics ne sont pas à la hauteur pour proposer rapidement des solutions d’urgence aux victimes et 81% sont insatisfaits des actions prises pour réparer et indemniser efficacement les dégâts causés. Après avoir tablé début mai sur une inflation de 173% des primes liées au dispositif CATNAT à horizon 2050, la Caisse Centrale de Réassurance (CCR) a annoncé lors son bilan annuel que les catastrophes naturelles en France en 2020 ont coûté entre 1,35 et 1,65 milliards d'euros aux assureurs, appelant à cette occasion à un renforcement des moyens de prévention. En cas de sinistre, les Français attendraient principalement de leur assureur une prise en charge des travaux (70%), un relogement temporaire (58%) et une indemnisation des frais de nettoyage, déblayage ou désinfection des lieux sinistrés (49%). Dans une moindre mesure, ils comptent aussi sur une prise en charge de leur loyer ou du remboursement de leur prêt (32%), sur le prêt d’un véhicule (12%) et sur l’indemnisation d’autres frais liés au sinistre : déplacement du mobilier (12%), honoraires d’architecte ou de contrôle technique (11%), denrées alimentaires perdues (11%). "Les assureurs prennent en charge les travaux pour réparer les dégâts occasionnés. Cependant, la réglementation actuelle ne leur permet pas de prendre en charge certains frais comme la perte d'usage d'un bien et de relogement. Une modification du régime des catastrophes naturelles est en cours et permettrait de corriger certains manques. Il est important de retenir qu’au-delà de l’indemnisation, les Français attendent des services (nettoyage, déblayage etc.). Chez Stelliant, nous avons développé des services complémentaires à l’expertise (décontamination, assèchement, réparation en nature…) pour répondre encore mieux aux attentes des assureurs et de leurs clients," commente Didier Richert.Même si les Français sont conscients des risques que peuvent représenter les évènements climatiques extrêmes, leurs logements sont rarement équipés en conséquence. Ainsi, seulement 40% des Français estiment que leur logement est équipé pour résister au gel. La prévention est pourtant un élément non négligeable dans la gestion du risque de catastrophe naturelle, et selon les risques, si elle a une facette "collective" corrélée à l'action des pouvoirs publics (plans de prévention communaux des inondations par exemple), dans certains cas des mesures de bon sens, comme par exemple la vidange des radiateurs d'un logement inoccupé pendant l'hiver pour se prémunir de risques liés au gel. Le risque incendie, afférent au risque sécheresse est également en augmentation et l'évolution de la nature des feux, alimentés par une végétation et une terre plus sèche, est à l'origine d' incendies qui rendent parfois caduques les mesures de prévention en vigueur. Si le premier réflexe des Français serait de se tourner vers leur assurance en cas de sinistre, seules 24% des personnes interrogées estiment être suffisamment assurées contre les risques climatiques. 24% considèrent que leur couverture actuelle est insuffisante et 52% avouent ne pas savoir si leur assurance couvre ces risques. "L'insatisfaction peut avoir plusieurs explications. Certains assurés peuvent par exemple ne pas avoir été éligibles à la garantie sécheresse, ou bien leur relogement peut ne pas avoir été pris en charge du fait de la règlementation en vigueur actuellement. S’il est compréhensible qu’un assuré présuppose la prise en charge des fissures apparues sur un bien situé sur une commune reconnue par un arrêté CNS, l’examen de nos données montre que 60 à 70% des déclarations concernant ce phénomène ne sont pas imputables à la sécheresse mais au vieillissement du bâti" indique Didier Richert.Pour se protéger des risques liés à des catastrophes naturelles, 26% des Français seraient prêts à payer leur assurance habitation plus cher et accepteraient en moyenne une augmentation de 11% pour couvrir ces risques, tandis que 72% rejettent cette option. " Il est aujourd'hui difficile d’imaginer que le coût de la part CATNAT des primes des polices d’assurance n’augmentera pas alors que la fréquence, l’intensité des événements climatiques sont, elles, en pleine expansion. L’éventuelle modification du régime qui semble aller vers une couverture plus large des garanties, donc un coût plus important pour les compagnies d’assurance, ne manquera pas d’alimenter l’inflation des primes. La prime CATNAT découle également du régime d’indemnisation et son montant annuel est situé entre une vingtaine d’euros pour un particulier et une centaine d'euros pour une entreprise. En 2019, pour la cinquième année consécutive, le résultat du compte technique de la branche catastrophes naturelles de l’assurance est négatif. Cela n'est pas exorbitant à la lumière des sommes potentiellement engagées lorsqu’un sinistre se produit", précise Didier Richert.Dans son dernier rapport paru le 9 août dernier, le GIEC prévoit dans tous ses scénarii le dépassement du seuil de 1,5 °C dans les dix ou vingt prochaines années. Ce réchauffement entraînera indubitablement une augmentation de la fréquence des aléas climatiques, des zones épargnées pourraient également désormais être touchées par des phénomènes extrêmes. L’impact sera lourd pour la collectivité, mais aussi pour les assureurs : d’ici à 2050, le coût des sinistres liés aux aléas climatiques pourrait être multiplié par un facteur de deux à cinq, a estimé l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution. Les évènements climatiques extrêmes comme les inondations et la sécheresse comptent parmi les catastrophes naturelles les plus redoutées par les Français. Plus d’une personne interrogée sur deux s’estime potentiellement menacée par ces évènements sur son lieu d’habitation. Les Français sont nombreux à partager le sentiment que le risque d’être confronté à une catastrophe naturelle augmente ces dernières années en France. Ils ont également à l’esprit que les zones aujourd’hui plutôt préservées pourraient être touchées à l’avenir. L'étude révèle également que les Français manquent d’information sur les aides existantes en cas de sinistre sur leur logement et sont nombreux à ignorer comment faire face à ces risques.« C’est une certitude, il existe un besoin d’information, en amont et en dehors de la survenance de ces événements qui permette à l’assuré de savoir ce qu’il est possible de faire par nature de risque. C’est la raison laquelle, lors d’une catastrophe naturelle, l’engagement des experts, tant technique que pédagogique, est total. Plus peut-être que sur d’autres sinistres, l’expert a un rôle profondément humain pour accompagner l’assuré, le rassurer et mettre en place des solutions adaptées pour un retour rapide à une situation normalisée et à plus de sérénité » conclut Didier Richert.[1] Source : Cartographie des risques émergents pour la profession de l'assurance et de la réassurance - FFA 2 Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 1006 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération et de région de résidence. Les interviews ont été réalisées par questionnaire autoadministré en ligne sur système CAWI (Computer Assisted Web Interview). Les interviews ont été réalisées du 18 au 19 août 2021.[2] Source : Arnaud Fontanet, responsable de l'unité d'épidémiologie des maladies émergentes à l'Institut Pasteur[3] Base de données informatique harmonisée tenue à jour par un consortium intégrant le BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières), EDF (Électricité de France) et l’IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire).[4] https://www.ecologie.gouv.fr/face-au-risque-secheresse-nouveaux-outils-preparer-lete[5] Les dommages causés par les tempêtes ne relèvent pas de la garantie Catastrophe Naturelle mais de la garantie tempête : Aux termes de la loi initiée en juillet 1982, sont considérés comme effets des catastrophes naturelles « les dommages matériels directs non assurables ayant eu pour cause déterminante l'intensité anormale d'un agent naturel lorsque les mesures habituelles à prendre pour prévenir ces dommages n'ont pu empêcher leur survenance ou n'ont pu être prises » (Article L. 125-1 alinéa 3 du Code des assurances).Notons que les dommages causés par le vent ont été définitivement écartés du champ d’application du régime des catastrophes naturelles par la loi du 25 juin 1990. En effet, cette loi a permis la généralisation de la garantie tempête en rendant obligatoire la couverture des dommages résultants des effets du vent dû aux tempêtes, ouragans et cyclones pour toute personne détentrice d’un contrat d’assurance garantissant les dommages d’incendie.
Il y a 3 ans et 235 jours

Cifa : Cinq bras comme jamais avant

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. La pompe automotrice K36L-5 est la dernière-née des machines de la gamme Cifa. [©Cifa] C’est une machine ultra compacte, malgré une flèche de 36 m, que Cifa vient de mettre sur le marché. En effet, répondant au nom de K36L-5, cette nouvelle pompe est installée sur un porteur de type 6 x 4 pour un PTAC inférieur à 26 t. « La K36L-5 a été conçue pour être la pompe à béton idéale pour chaque chantier, en particulier ceux ne disposant que de peu de place. Et pour chaque opérateur, même le moins expérimenté, résume Marco Polastri, directeur des ventes, du SAV et du marketing de Cifa. C’est la réponse aux besoins opérationnels des chantiers, où la facilité d’utilisation d’un véhicule et le gain de temps qui en découle sont devenus des aspects essentiels. Cette machine s’inscrit dans la stratégie Cifa qui vise à rationaliser son offre, en fonction de ces nouveaux besoins. » Comme son nom l’indique, la K36L-5 est une pompe dotée d’une flèche à 5 bras, à pliage en “Z”. De quoi permettre un déploiement sous une hauteur minimale de 7,03 m. Surtout le dernier bras permet une rotation continue sur 360°. Côté groupe de pompage, l’utilisateur a le choix entre le HP1608EC ou le HP1606H. Tous deux offrent le même débit théorique de 160 m3/h, mais une pression maximale sur le béton de 50 bar pour le premier et de 53 bar pour le second. L’autre différence est un circuit hydraulique fermé pour le premier et ouvert pour le second.  La compacité est l’autre caractéristique de la dernière-née des pompes Cifa. Avec une longueur hors tout de 10,20 m, la K36L-5 profite d’un empattement court de tout juste 4,20 m. De cette façon, la machine est toujours maniable, même dans les centres-villes ou les zones montagneuses. Bien des automatismes en option La nouvelle pompe est lancée avec le slogan “Cinq bras comme jamais avant”. Une manière pour Cifa de souligner “l’intelligence” de cette flèche et sa facilité d’utilisation, alliées à un poids réduit. En effet, dans son ensemble, cette machine profite du système de gestion maison Smartronic. Cette dernière se décline en version Silver, Gold et Advanced. La Silver offre un écran de contrôle LCD couleur, des dispositifs d’auto-diagnostics, en plus du système de pilotage du groupe de pompage et des radiocommandes.  Avec la Gold, c’est l’Advanced Stability Control (ASC) qui fait son entrée. Ce système maximise la zone de travail, en fonction de l’ouverture effective des stabilisateurs. A l’approche d’une situation limite, il fonctionne en ralentissant d’abord le mouvement de la flèche, puis en l’arrêtant, avant d’atteindre la zone critique de stabilité. Quant à la fonction Max Boom Extension (MBE), elle détermine la distance maximale qui peut être atteinte avec la flèche, avec une ouverture partielle de la stabilisation, avant même son déploiement. En parallèle, le système Smartronic Gold assure la gestion automatique des tr/mn.  Enfin, la version Advanced amène quelques subtilités complémentaires. La première est l’ASC en 2.0. Mais aussi l’apparition du module Antibouncing (ABC), qui permet de limiter l’oscillation des derniers bras de la flèche. Mais surtout, c’est la fonction Boom Automatic Opening and Closing qui fait son apparition. Pour les non-anglophones, il s’agit d’une commande d’ouverture et de fermeture automatique de la flèche. De quoi faciliter les interventions de bien des opérateurs. 
Il y a 3 ans et 239 jours

Une bibliothèque consacrée à l'écrivain Haruki Murakami va ouvrir à Tokyo

Officiellement baptisé Maison internationale de la littérature de l'Université Waseda où l'écrivain, aujourd'hui âgé de 72 ans, a fait ses études dans la capitale nippone, le lieu dévoilé mercredi et déjà surnommé "bibliothèque Haruki Murakami" doit ouvrir au public le 1er octobre.Agencée en partie comme un café littéraire, cette bibliothèque, qui sera également vouée à l'étude de la littérature japonaise mais aussi internationale, contient notamment une réplique du bureau de l'écrivain et un studio de radio.Elle est située sur le campus de Waseda dans un bâtiment abritant autrefois des amphithéâtres et dont la reconversion a été confiée à l'architecte japonais de renommée mondiale Kengo Kuma, à l'origine du bâtiment du Musée d'art Suntory à Tokyo, du Fonds régional d'art contemporain (FRAC) de Marseille ou plus récemment du Stade olympique des Jeux de Tokyo-2020.Vêtu de manière décontractée d'une veste bleue marine sur un t-shirt jaune et d'un pantalon beige, l'écrivain, qui ne se montre d'habitude quasiment jamais en public - et a refusé d'être filmé - a évoqué ce lieu chargé de souvenirs pour lui.Racontant comment il séchait les cours à l'époque des manifestations étudiantes qui ont secoué le Japon à la fin des années 1960, il a fait le voeu que cette bibliothèque puisse aussi servir de lieu d'échange entre le monde académique, les étudiants et le grand public."Les enseignants enseignent, et les étudiants reçoivent cet enseignement", a-t-il déclaré. "C'est important. Mais j'espère malgré tout que les étudiants se sentiront libres d'exposer leurs propres idées et de les développer sous forme de projets concrets.""Honnêtement, j'aurais aimé que (ce bâtiment, NDLR) soit construit après ma mort. Maintenant qu'il est fini alors que je suis toujours en vie, je suis un peu nerveux. Et si je commets un crime? Cela causerait du tort" à l'université, a-t-il ajouté en plaisantant.
Il y a 3 ans et 240 jours

France Fermetures dévoile au salon Equipbaie ses innovations pour répondre aux enjeux du secteur

Rendez-vous de référence des spécialistes de la menuiserie, de la fermeture et de la protection solaire, le salon EquipBaie est l’occasion pour les industriels de dévoiler leurs produits répondant aux enjeux du secteur de la construction : transition numérique de la filière, performances thermiques des bâtiments neufs et anciens, conformité à la réglementation RE 2020, respect de l’environnement. Avec AllôVisio, son nouveau service de visio-assistance sur chantier, lauréat des Trophées de l’Innovation, l’ensemble de ses outils digitaux dont la nouvelle boutique en ligne de pièces détachées, et ses dernières innovations en volets et portes de garage combinant performances et simplicité de pose, France Fermetures s’affirme plus que jamais comme l’expert des professionnels. LE DIGITAL : AU SERVICE D’UNE EXPÉRIENCE CLIENT RÉUSSIE – ALLÔVISIO, UN SERVICE UNIQUE DE VISIO-ASSISTANCE SUR CHANTIER Alliant rapidité, efficacité et déplacements limités, AllôVisio permet d’aider les installateurs à distance grâce à un outil collaboratif créant les conditions d’une assistance en présentiel.Lors de la pose d’une porte de garage, d’un volet roulant…, l’installateur est parfois confronté à différents imprévus. L’Assistant France Fermetures visualise sur son écran d’ordinateur ce que filme la caméra du téléphone de l’artisan et établit ainsi un diagnostic précis du problème rencontré. Il peut également partager sur l’écran du smartphone de son client des informations (notices de pose, photos, schémas de câblage, …) pour l’aider à trouver rapidement une solution. – LE SHOW-ROOM VIRTUEL 3DEMO Tous les points de vente ne sont pas équipés de showrooms ou ne permettent pas d’exposer l’ensemble de l’offre d’un fabricant. Pour pallier ce manque, France Fermetures propose désormais 3DEMO, un showroom virtuel présentant les produits en réalité virtuelle sur PC, Smartphone ou casque VR pour une immersion totale. Ce nouveau service facilite la vente en offrant aux particuliers la possibilité de mieux se projeter et d’être rassuré quant au produit qu’ils commandent. Le parcours d’achat des consommateurs se digitalisant de plus en plus, 3DEMO de France Fermetures va également permettre aux installateurs de mieux capter les internautes grâce à cet outil en ligne pour les faire venir ensuite en magasin. La nouvelle porte de garage sectionnelle MAESTRO VIP, présentée à EquipBaie, est le premier produit à figurer dans le nouveau show-room virtuel 3DEMO. D’autres gammes viendront progressivement enrichir ce nouvel outil. Lien vers 3DEMO : https://3demo-maestro-vip.france-fermetures.fr/ – LA BOUTIQUE EN LIGNE DE PIÈCES DÉTACHÉES Pour accompagner ses clients, France Fermetures lance une boutique de vente en ligne de pièces détachées pour la pose, la motorisation et la réparation des volets roulants. Accessible depuis l’Espace Pro du site internet de France Fermetures, et grâce à une navigation intuitive, elle permet à l’installateur de commander rapidement, facilement et à tout moment, les accessoires dont il a besoin pour finaliser son chantier. VOLETS : DES INNOVATIONS POUR TOUS LES BESOINS France Fermetures fait évoluer son offre de volets afin de proposer une solution adaptée à chaque besoin des occupants d’une maison, que ce soit en rénovation ou en neuf. – VOLETS ROULANTS NOVALIS V3 & NOVASOL’R INTÉGRAL SÉCURITÉ : LES LIMITEURS D’EFFRACTION France Fermetures décline désormais ses volets roulants Novalis V3 et ses volets roulants solaires Novasol’R en version sécurité, une solution idéale pour les pièces en rez-de-chaussée. Gage de sûreté, Novalis V3 et Novasol’R Integral Sécurité sont équipés : • de bloqueurs automatiques doublés qui empêchent le soulèvement du volet lorsqu’il est en position fermée. Le tablier reste ainsi solidement fixé sur l’arbre ; • d’une lame finale de sécurité avec seuil anti- crochetage fixé sur l’appui de la fenêtre pour éviter l’insertion d’un outil sous le tablier du volet roulant. Quand le volet se ferme, il s’emboîte dans ce seuil et limite ainsi toute tentative d’intrusion ; • de vis indémontables sur caisson pour limiter son ouverture ; • d’un tablier ADP 41 HD avec des lames en aluminium double paroi isolée haute densité. Les lames sont dotées d’une mousse isolante haute densité (350 kg/m3), 4 fois supérieure à celle des lames ADP classiques pour assurer une meilleure résistance aux projections, à la grêle, … – VOLET ROULANT SOLAIRE NOVASOL’R INTÉGRAL MOUSTIQUAIRE : LE CONFORT DEUX-EN-UN Avec Novasol’R Integral Moustiquaire, France Fermetures offre une réponse adaptée à tous ceux qui souhaitent bénéficier à la fois des avantages d’un volet roulant solaire (rapidité de pose, sans travaux de raccordement électrique) et d’une moustiquaire (le confort thermique en été sans les désagréments). Intégrée dans le coffre du volet roulant solaire, la moustiquaire à ouverture verticale permet d’aérer une chambre les nuits d’été tout en se protégeant des nuisances des insectes. Enroulable manuellement, la toile moustiquaire bénéficie de composants haut de gamme qui garantissent un fonctionnement durable et efficace : • souplesse d’utilisation grâce à un système de compensation intégré dans l’arbre, • verrouillage automatique, • toile imputrescible en fibre de verre enduite de pvc, • coloris noir permettant de préserver une bonne visibilité vers l’extérieur. Aux caissons à pan coupé ou quart de rond, le volet roulant solaire à commande radio Novasol’Integral Moustiquaire France Fermetures allie quant à lui performance, simplicité et fiabilité. Il est équipé d’un moteur solaire radio Somfy, alimenté par une batterie offrant 45 jours d’autonomie et un panneau photovoltaïque discret pour la recharge. Disponible dans de nombreux coloris, il est garanti 7 ans. – PRÉ-CADRE VOLETS BATTANTS : ESTHÉTIQUE ET ISOLATION AMÉLIORÉES Préconisé pour une rénovation sans travaux de maçonnerie, le nouveau pré-cadre proposé par France Fermetures permet l’installation de nouveaux volets battants en dissimulant l’emplacement des anciens gonds grâce à un recouvrement qui préserve l’esthétique de la façade. Pour s’adapter à toutes les baies, il est disponible : • en pré-cadre 3 côtés, • en pré-cadre 4 côtés pour une meilleure occultation de la lumière, • et avec deux versions de profils (ailes de 30 mm et 60 mm). Le pré-cadre renforce l’occultation des volets battants ainsi que l’isolation thermique grâce à des joints d’étanchéité intégrés en périphérie. Personnalisable pour une intégration parfaite, le nouveau pré-cadre volets battants en aluminium est proposé dans tous les coloris du nuancier France Fermetures. Le volet étant livré déjà monté dans le pré-cadre, la pose est facilitée. – WELL’DRIVE, MOTEUR RADIO NOUVELLE GÉNÉRATION POUR VOLETS ROULANTS & STORES France Fermetures étoffe son offre domotique Well’Com avec son nouveau moteur radio Well’drive bénéficiant de la technologie brushless aux nombreux atouts : • fiabilité et longévité : pas d’usure des pièces mécaniques et de risque de surchauffe, • fonctionnement silencieux et plus souple du volet en fin de course, • respectueux de l’environnement : la haute efficacité du moteur brushless réduit la consommation énergétique par 3 comparé à un volet équipé d’un moteur classique. Doté d’une antenne intégrée avec une portée radio de 300 mètres, le moteur Well’drive est également équipé d’un câble d’alimentation débrochable facilitant la réparabilité du volet roulant. Réglages intuitifs, détection automatique du sens d’enroulement sont autant de caractéristiques techniques simplifiant la pose par les installateurs. Grâce au nouveau moteur radio Well’Drive, le volet roulant s’arrête et se relève légèrement en cas de détection d’obstacles. Il repère également lorsque le volet est gelé. Côté confort, et pour un pilotage simple et intuitif, les volets roulants et stores équipés du moteur radio Well’Drive sont compatibles avec les solutions maison connectée Well’Com de France Fermetures et Tydom, ainsi qu’avec les commandes vocales Alexa et OK Google. Certifié NF, il est garanti 8 ans et bénéficie du service connecté Qwidi de France Fermetures qui permet à l’installateur de réaliser toutes les opérations de réglage et de dépannage des volets et stores motorisés Well’com® depuis un smartphone ou une tablette. PORTES DE GARAGE – MAESTRO VIP, LA NOUVELLE VIRTUOSE DES PORTES DE GARAGES SECTIONNELLES LATÉRALES Particulièrement adaptée pour la rénovation des garages en sous-sol, la nouvelle porte sectionnelle latérale MAESTRO VIP de France Fermetures, conjuguant praticité, sécurité et fiabilité, répond à un besoin de modernité, de confort et de performance. MAESTRO VIP, le haut de gamme de la porte de garage latérale avec portillon Réalisée sur mesure jusqu’à 5 m de large et 3 m de haut, la nouvelle porte de garage sectionnelle latérale MAESTRO VIP est composée : • d’un pré-cadre et de rails laqués blanc, • de panneaux en acier double paroi isolés de 40 mm d’épaisseur. Des joints, disposés sur les 4 côtés, favorisent le calfeutrement périphérique de la porte. Praticité et ergonomie Pratique, la porte de garage motorisée MAESTRO VIP offre trois types d’ouverture en fonction des besoins : • une ouverture totale pour faciliter le passage d’un véhicule ; • un portillon pivotant manuel pour accéder à pied au garage. Un ferme-porte intégré garantit le maintien à 90° du portillon ouvert pour faciliter l’accès au garage ; • une largeur de passage optimisée pour un accès facilité au garage en vélo. Côté extérieur, la porte de garage MAESTRO VIP est équipée d’une poignée encastrée étudiée pour une préhension manuelle aisée. La finition inox de cette dernière participe à l’esthétique soignée de l’ensemble. Côté intérieur, l’ouverture manuelle de la porte se fait à l’aide d’une poignée et la fermeture s’effectue par un bouton de verrouillage pour simplifier encore plus le quotidien des utilisateurs. Sécurité maximale Pour assurer la sécurité du garage, MAESTRO VIP intègre une serrure multipoints.Pour garantir un fonctionnement sûr lorsque le portillon est ouvert, un système de sécurité électro- magnétique empêche l’utilisation de la porte. Des finitions irréprochables et une personnalisation à la carte Bénéficiant du savoir-faire « made in France » du fabricant, la nouvelle porte de garage sectionnelle latérale MAESTRO VIP est dotée de finitions soignées jusque dans les moindres détails : charnières blanches, cache-vis, double galets montés sur roulement à billes et protégés par des cache-galets. Pour créer la porte de garage à son image, France Fermetures dispose d’un large choix de coloris (250 coloris RAL au choix, deux tons bois et contretypage couleur), de designs (7 modèles de panneaux), de modèles de hublots et de décors Alunox. Avec la porte de garage sectionnelle latérale MAESTRO VIP, particuliers et professionnels font le choix de la modernité et de la qualité. http://www.france-fermetures.fr/
Il y a 3 ans et 241 jours

Aux salons ContaminExpo et SantExpo, Portalp présente son offre de portes automatiques étanches et à débit de fuite contrôlé dédiées aux salles propres

Enjeu majeur de santé publique, les conditions d’hygiène et de sécurité sanitaire dans les établissements de soins et les salles blanches sont soumises à des protocoles stricts qui jouent un rôle primordial dans la prévention des risques infectieux. Pour répondre aux exigences pour lesquelles un environnement atmosphérique contrôlé est nécessaire ou pour maintenir un environnement stérile, Portalp, fabricant français de portes automatiques, présente, aux salons ContaminExpo et SantExpo, ses portes coulissantes à débit de fuite contrôlé DIVA L CLEAN et ses portes étanches HDS CLEAN. DIVA L CLEAN, porte automatique coulissante à débit de fuite contrôlé Installée en applique, la porte coulissante en aluminium DIVA L CLEAN est conçue pour répondre aux exigences des secteurs technologiques les plus avancés pour lesquels un environnement atmosphérique contrôlé est nécessaire. Cette gamme de portes automatiques, à 1 un ou deux vantaux, est ainsi dédiée aux lieux où la perméabilité à l’air doit être maîtrisée : hôpitaux, industrie pharmaceutique, salles blanches, laboratoires… A débit de fuite contrôlé à la pression d’air, elle contribue à maintenir une qualité d’air saine élevée dans les pièces. L’étanchéité du vantail est assurée par des joints caoutchoucs spécifiques formant une véritable barrière au passage de l’air. Les châssis sont équipés, à l’arrière, d’un large joint caoutchouc pelable qui permet de régler le débit d’air. Un joint d’étanchéité monté sur le jambage assure l’étanchéité du vantail en position fermée. Pour une parfaite perméabilité, le vantail est réceptionné par un guide au sol qui accompagne le mouvement de fermeture sans à-coups et le met en contact avec le joint de jambage. L’ouverture des portes sans contact permet de respecter les règles d’hygiène strictes tout en offrant un confort d’utilisation élevé. L’ergonomie de la porte coulissante DIVA L CLEAN a été pensée pour répondre aux contraintes de décontamination : le capot du caisson, aux formes lisses et arrondies, évite les dépôts de poussière et facilite le nettoyage. Ce produit peut se décliner avec des portes entièrement ou partiellement vitrées qui permettent la supervision de la pièce et se révéler être un atout pour les salles de surveillance ou de réveil par exemple. Enfin, le réglage des vitesses d’ouverture (de 10 à 80 cm/s à 20 à 160 cm/s) et de fermeture (10 à 50 cm/s à 20 à 100 cm/s) des vantaux limite les échanges de contamination entre deux zones. Conforme aux normes en vigueur, la porte coulissante DIVA L CLEAN est disponible dans un large choix de coloris pour répondre à tous les projets. De nombreux dispositifs de commandes, de détection et de sécurité sont également proposés par Portalp pour faciliter le passage des lits ou des personnes à mobilité réduite. Porte étanche HDS CLEAN Véritable barrière de défense sanitaire avec son design qui facilite la décontamination, la porte étanche HDS CLEAN est plus particulièrement destinée aux blocs opératoires, chambres stériles, salles blanches, …. Posée en applique, elle assure une étanchéité renforcée à l’air, aux poussières, aux agressions chimiques et bactériologiques. Elle est conçue pour répondre aux exigences d’hygiène et de sécurité, tout en apportant un grand confort d’utilisation au quotidien. Les performances de la porte automatique HDS CLEAN en terme d’étanchéité, certifiées selon la norme NF EN 1026 et le CSTB, font de cette porte un élément fiable et sécurisant. L’étanchéité du vantail (jusqu’à 25 Pa) est assurée par un joint caoutchouc spécifique formant une barrière totalement hermétique contre les agressions extérieures. L’ouverture de la porte, commandée par différents systèmes appropriés à chaque utilisation (télécommande, bouton poussoir à pied ou coude, interrupteur sans contact, radar de détection…), est entièrement automatique. L’opérateur assure le levage et le déplacement du vantail dans un mouvement fluide et sécurisé. Le chemin de roulement, situé dans l’opérateur, laisse le seuil de porte libre (pas de rail au sol) afin de faciliter le passage de lits médicalisés ou de fauteuils roulants. Un afficheur digital permet de visualiser l’état de la porte, de paramétrer son mode de fonctionnement ou de régler les vitesses du vantail et la temporisation d’ouverture selon les besoins. La sécurité du passage est assurée par un détecteur pour éviter tout risque de collision du vantail avec l’utilisateur lors de la fermeture. Les vantaux sont constitués d’une âme rigide revêtue de panneaux stratifiés à haute densité disponibles dans une grande gamme de couleurs. D’autres matériaux ou revêtements sont proposés par Portalp pour répondre à toutes applications spécifiques (isolation phonique, transparence, milieu humide…) comme la version anti-X constituée d’un vantail, bâti et contre-bâti anti-rayons X qui pourra être proposée pour les salles de radiographie. Un oculus affleurant peut également, être intégré au vantail permettant une supervision de la pièce. Les gammes de portes automatiques étanches et à débit de fuite contrôlé de Portalp bénéficient de son expertise et de sa connaissance des contraintes propres au domaine de la santé. Portalp, en plus de fabriquer ses portes en France, en assure également la maintenance. Guichet motorisé à usage intensif, une présentation en avant-première et en grandeur réelle à ContaminExpo Portalp dévoilera, en avant-première, son nouveau guichet motorisé à usage intensif dans la cellule ELECTRE, une des deux salles propres installées en grandeur nature sur le salon. Muni d’un châssis vitré coulissant verticalement, le guichet motorisé à usage intensif permet le passage de matériels d’un local à un autre (bloc opératoire, salle de préparation de produits cytostatiques,…) de façon la plus propre possible. Indispensable pour équiper les salles blanches les plus sophistiquées, il limite au maximum les dépôts de poussière et optimise le travail du personnel soignant. Produit Origine France Garantie, le guichet motorisé à usage intensif de Portalp, disponible dès 2022, respecte les normes en vigueur. Pour découvrir l’ensemble des gammes dédiées à ces environnements exigeants, rendez-vous sur le stand Portalp : • à ContaminExpo – du 12 au 14 octobre 2021 – Paris Expo Porte de Versailles – Hall 2 Stand E 06 • à SantExpo – du 8 au 10 novembre 2021 – Paris Expo Porte de Versailles – Hall 1 Stand 11
Il y a 3 ans et 252 jours

15.000 offres de jobs étudiants publiées sur le site gouvernemental "1 jeune, 1 solution"

"On veut aider les étudiants qui le veulent, à trouver un petit job" avec la mise en ligne "dès ce (jeudi) matin de 15.000" offres de "jobs étudiants", c'est-à-dire "un job qui ne pénalise pas l'étudiant qui doit poursuivre aussi ses études et réussir ses examens", a déclaré Mme Borne sur Sud Radio."On a sélectionné des offres qui sont à moins de 15 heures par semaine" de travail, a précisé la ministre.Publiées sur le site internet 1jeune1solution.gouv.fr, ces offres de jobs pour étudiants concernent "des domaines variés (garde d'enfants, aide-ménagère, animation, hôtellerie-restauration, vente...)", a indiqué le ministère du Travail dans un communiqué.Mme Borne a souligné que le plan "1 jeune, 1 solution", lancé en juillet 2020 face à la crise sanitaire, "a permis à près de trois millions de jeunes de trouver un emploi, une formation, un apprentissage, un parcours d'insertion".Selon le communiqué du ministère, la plateforme 1jeune1solution.gouv.fr a été "consultée par plusieurs millions de jeunes depuis son lancement en novembre 2020". Elle est "aujourd'hui riche de plus de 400.000 offres d'emploi dédiées aux jeunes".
Il y a 3 ans et 252 jours

Les travaux souterrains en plein boom en France

"L'activité tunnel se porte bien. Elle est portée par un certain nombre de chantiers à Paris", se réjouit Michel Deffayet, le président de l'Association française des tunnels et de l'espace sous-terrain (AFTES), qui tient son congrès triennal cette semaine dans la capitale.Le chiffre d'affaires du secteur tournait en temps normal autour de 500 millions d'euros par an en moyenne en France. "On tourne depuis déjà deux ans autour de 1,8 milliard. Autrement dit, il y a eu une multiplication par plus de trois de l'activité", calcule M. Deffayet.Paris et sa région concentrent notamment les travaux du futur métro automatique d'Île-de-France. Ce "Grand Paris Express" reliera sur plus de 200 km des dizaines de communes de banlieue, les centres de recherche du plateau de Saclay ou encore les deux aéroports parisiens de Roissy au nord et d'Orly au sud."Il y a au moins 150 chantiers en cours dans la région (parisienne). On avait l'an dernier 20 ou 22 tunneliers", détaille Philippe Millard, qui préside le congrès. "En France, on n'a jamais connu ça".L'activité va toutefois diminuer avec l'achèvement de certains tronçons, avant de repartir à la hausse, prévoient les professionnels. "Ça baisse un peu dans les deux années qui viennent et ensuite ça va remonter puisqu'il y a d'autres projets à venir", anticipe Michel Deffayet.Outre l'achèvement des chantiers franciliens, se profilent en effet les projets de troisième ligne de métro à Toulouse ou de traversée ferroviaire de Marseille.Surtout, le secteur attend beaucoup du tunnel ferroviaire du Lyon-Turin, le plus long du monde avec 57,5 km de long, qui doit relier d'ici 2030 la France à l'Italie en passant sous les Alpes. Trois contrats d'un montant de plus de 3 milliards d'euros ont été attribués en juillet, marquant une étape décisive.À plus long terme, les professionnels attendent aussi le lancement du projet Cigéo à Bure (Meuse), où des déchets fortement radioactifs doivent être stockés à 500 mètres sous terre à partir de 2035.Si la France connaît une phase exceptionnelle, l'essor des travaux souterrains concerne aussi le reste du monde. Selon l'Association internationale des tunnels et de l'espace souterrain (AITES), le chiffre d'affaires mondial du secteur est passé de 86 milliards d'euros en 2016 à 125 milliards en 2019."On peut remarquer que le chiffre d'affaires total de l'Europe a doublé entre 2016 (année relativement creuse) et 2019 (année sûrement exceptionnelle)", souligne-t-on à l'AITES."Plus les métropoles se développent, plus l'utilité des tunnels - notamment pour des questions de transports - est bien réelle", résume Michel Deffayet.
Il y a 3 ans et 252 jours

Soudeuses ou ingénieures, l'industrie peine encore à se féminiser

Au total, les femmes ne représentent que 30% des salariés de l'industrie et à peine plus de 15% de ses cadres dirigeants, déplorent en coeur les responsables industriels et politiques du pays à l'occasion du salon Global Industrie à Lyon."Dans les entreprises, les femmes sont souvent dans les ressources humaines ou les fonctions support comme la communication, plus on va vers les lignes de production, plus le chiffre est bas" reconnait Alexandre Saubot, président de France Industrie, l'organisme qui représente le secteur, et patron du groupe Haulotte (Matériels élévateurs).Pourtant, Ammana Kehalia, 20 ans, a trouvé sa voie: "radiologue des objets". Elle va commencer une formation pour contrôler la qualité de soudures sur des pièces de métal grâce à des machines "à rayons X". "Un métier de responsabilité, où il faut lire beaucoup d'études, ça me plait".Après une scolarité cabossée, troisième redoublée, CAP coiffure inachevé, la jeune Lyonnaise, passée par l'Ecole de la deuxième chance E2C, doit intégrer cet automne le campus Industreet à Stains (Seine-Saint-Denis)."Réparer quelque chose de cassé"Ouvert l'an passé par la Fondation Total Energies, il accueille sa deuxième promotion de jeunes âgés de 18 à 25 ans en décrochage scolaire, dans un département où le chômage des jeunes dépasse les 20%, pour des formations industrielles.Cette semaine, Ammana a rencontré la ministre déléguée chargée de l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, venue à Lyon encourager les filles scientifiques à s'orienter vers l'industrie. Ammana lui a demandé de "surtout mieux informer" les élèves très jeunes sur ces débouchés."Depuis toute petite, j'étais intéressée par le manuel, la mécanique, il y avait un garage près de chez moi à Vénissieux (banlieue de Lyon), j'y allais toute seule, j'étais passionnée par l'idée de réparer quelque chose de cassé", raconte-t-elle. Mais au moment de l'orientation, Ammana a été incitée à choisir un "métier de fille": Coiffeuse. Ce fut un échec sur toute la ligne.Inas Kaci, 21 ans, en master informatique à la Sorbonne à Paris, se dit, elle, "frappée" par "le très faible nombre de filles" dans sa promotion de matheux: 4 sur 32. Même phénomène dans beaucoup de promotions d'ingénieurs.Les stéréotypes de genre ont la vie dure, même si beaucoup a été mis en oeuvre dans l'Education nationale pour s'en affranchir dès la petite enfance. Par ailleurs, les études montrent que si elle sont meilleures élèves, les filles ont statistiquement moins confiance en elles."Ce n'est pas la fac qui fait ça, on dirait que ça se fait naturellement, mais je ne comprends pas pourquoi", dit Inas. La jeune fille milite à l'association Elles Bougent dont des représentantes ont également rencontré Mme Pannier-Runacher à Lyon."Alors que nous voulons relancer l'économie et faire de la France un pays plus écologique, compétitif et solidaire, il est impossible de faire l'impasse sur 50% de nos talents" soutient la ministre qui se dit déterminée à "faire bouger les mentalités dans le monde professionnel". Aussi bien au nom de l'égalité des chances que de la compétitivité des entreprises."La diversité donne plus de performance à toute organisation, et la plus facile à mettre en place est d'abord la féminisation", estime Mme Pannier-Runacher. "Si on prend toujours les mêmes, on finit par reproduire des erreurs".Frédéric Sanchez, président du groupe d'ingénierie Fives et responsable du Medef, présent lors de la rencontre, admet qu'il y a "des problèmes internes" dans les entreprises au moment des recrutements: "C'est sûr" dit-il."Je suis très insatisfait": Même en donnant des bonus aux chargés de recrutement pour des embauches féminines, "on n'y arrive pas". Pour lui, "c'est comme si des ingénieurs hommes de 40-50 ans étaient enclins à favoriser des hommes". Comme s'ils avaient du mal à faire confiance à des jeunes filles de 25 ans ou moins.
Il y a 3 ans et 254 jours

La 4e édition du Challenge Start-up Construction Tech est lancée

Les candidatures pour le Challenge start-up de Batimat sont lancées. [©Batimat] Batimat annonce le début du 4e Challenge Start-up Construction Tech. Créé en 2018, le concours se focalise sur les filières de la construction, du bâtiment et de l’immobilier. Le coup d’envoi est donc donné pour toutes les start-up participantes. Les jeunes entreprises devront présenter leur projet avant la date finale fixée au 30 novembre 2021. Le grand lauréat sera annoncé vers la fin du mois de décembre. Chaque participant sera jugé selon le choix de sa catégorie. Les start-up en quête de challenge La 4e édition du Challenge promet de la nouveauté et de l’engagement. En effet, les start-up auront le choix entre plusieurs catégories axées sur la construction 4.0. Les thématiques proposées sont la numérisation et la data qui regroupent, entre autres, le BIM, l’IA et la réalité augmentée. L’industrialisation (hors-site, robotique, impression 3D) fait aussi partie des thèmes disponibles. Les chantiers du bâtiment et les nouveaux matériaux complètent la liste. Chaque start-up devra présenter une solution ou un produit en lien avec l’une de ces catégories. La pertinence et l’originalité seront indispensables pour espérer remporter le titre de grand lauréat. Tous les participants bénéficieront d’une visibilité à travers une campagne de communication organisée par Batimat et la radio Batimat.
Il y a 3 ans et 255 jours

La quatrième édition du Challenge Start-Ups Construction Tech® de Batimat est lancée

Pour cette 4ème édition le Challenge Start-ups Construction Tech® mettra notamment l’accent sur les solutions de la Construction 4.0 : BIM mais aussi Hors-Site, automatisation, fabrication additive…Le coup d’envoi de la quatrième édition du Challenge Construction Tech® est dès à présent donné ! Les start-ups ont jusqu’au 30 novembre 2021 pour proposer leurs candidatures qui seront étudiées par un jury d’experts courant décembre 2021. Les résultats seront annoncés officiellement fin décembre.Les lauréats, ainsi que le Grand Lauréat, seront élus en fonction de plusieurs critères dont la pertinence et la maturité de la solution ou du produit présentés, dans des domaines aussi variés que :La numérisation et la data : BIM, réalité augmentée, maintenance prédictive, Big Data, IA, etc.L’industrialisation : automation, robotique, logistique, impression 3D, hors-site, etc.Les chantiers du bâtiment : les drones, les outils de gestion etc.Les nouveaux matériaux et leur traçabilité.Challenge Construction Tech® : révélateur et vitrine des innovations pour les start-ups de la ConstructionDepuis sa création, le Challenge Start-ups Construction Tech® a enregistré près de 300 candidatures. 21 lauréats et 3 Grands Lauréats (Snapkin, Urban Canopee et Qarnot Buildings) ont été élus lors des trois précédentes éditions et ont pu bénéficier des outils mis à leur disposition pour valoriser leurs innovations.Les candidats au Challenge Start-ups Construction Tech® seront valorisés à travers des campagnes sur les réseaux sociaux, des e-mailings, et une communication spécifique menés par BATIMAT. Les candidats bénéficieront également d’un passage dans l’émission « La start-up de la semaine » sur BATIRADIO.Tous les lauréats seront invités à venir « pitcher » lors d’un rendez-vous dédié Construction Tech® afin de présenter leurs solutions devant les industriels de la filière et les journalistes. Pour s’y préparer, ils recevront l’aide d’un des membres du jury, invités à parrainer la start-up de leur choix.Le Grand Lauréat du 4ème Challenge rejoindra Qarnot Buildings, Grand Lauréat du 3ème Challenge, sur l’espace start-ups du secteur Construction Tech® de BATIMAT du 3 au 6 octobre 2022 à Paris Porte de Versailles. Il profitera ainsi d’une forte visibilité, ainsi que de la possibilité de rencontrer les décideurs du secteur.Les start-ups inscrites au 4ème Challenge Construction Tech® seront également intégrées à l’Annuaire digital des Start-Ups . Cet outil exclusif a été développé par BATIMAT pour faciliter la mise en relation entre les start-ups et les autres acteurs du Bâtiment et de l’Immobilier et compte à date près de 300 start-ups.Rappel des temps forts du Challenge30 novembre 2021 : clôture des inscriptions.Mi-décembre 2021 : réunion du Jury.Fin décembre 2021 : annonce officielle des lauréats et du Grand Lauréat.Janvier 2022 : Pitch des lauréats lors d’un rendez-vous spécial Construction Tech®3- 6 octobre 2022 : Présence du Grand Lauréat sur Construction Tech® à BATIMAT.Toutes les modalités et les dossiers d’inscription sont à retrouver ici
Il y a 3 ans et 259 jours

Le salon "Global Industrie" met l'accent sur la réindustrialisation pour l'anniversaire du plan de relance

Alors que la France est plus touchée que ses voisins par un phénomène de désindustrialisation massif lié à la mondialisation et à la montée en gamme des pays développés, industriels et gouvernement souhaitent faire de ce rendez-vous une vitrine des actions menées depuis un an pour relocaliser des activités en France et développer l'innovation, dans l'espoir de reconstruire un jour des usines.Car l'industrie manufacturière ne représente plus que 11% du produit intérieur brut (PIB) français contre 16% en moyenne dans l'Union européenne, s'inquiétait en novembre 2020 France Stratégie, organisme de conseil placé auprès du Premier ministre.Parmi les causes identifiées depuis dix ans, un coût du travail mais surtout une fiscalité trop élevés qui ont conduit les entreprises à délocaliser massivement plutôt que d'investir en France pour produire et exporter.Le quasi-arrêt de l'économie durant la pandémie a jeté une lumière cruelle sur la réalité industrielle du pays.La France s'est alors rendue compte qu'elle ne fabriquait elle-même ni ses masques, ni son paracétamol, et qu'elle a été l'un des seuls grands pays dits industrialisés à ne pas inventer de vaccin contre le coronavirus: une "humiliation", selon Louis Gallois, ancien patron de grands fleurons comme Airbus, Safran, SNCF ou PSA, aujourd'hui co-président du groupe de réflexion "la fabrique de l'industrie".Pour les médicaments, entre 2005 et 2015, la part de marché des productions françaises au plan mondial a été "divisée par deux", a reconnu vendredi la ministre déléguée chargée de l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, sur Sud Radio."Pays sans usine"Emmanuel Macron, qui assure avoir "vécu de manière très précise la morsure de la désindustrialisation" dans ses villes de jeunesse, Amiens ou Bagnères-de-Bigorre, a reconnu une "erreur fondamentale" des gouvernements successifs: "nous avons pensé pouvoir faire un pays sans usines", a-t-il concédé au magazine Zadig en mai.Pour chasser cette idée, et marquer le premier anniversaire du plan de relance de 100 milliards d'euros sur trois ans, lancé avec l'aide de l'Union européenne, le gouvernement va venir en force à "Global Industrie".Outre Bruno Le Maire et Agnès Pannier-Runacher, le Premier ministre Jean Castex interviendra lundi devant le Conseil national de l'industrie, où siègent représentants de l'État et des filières industrielles, du côté du patronat comme des salariés, ainsi que des personnalités qualifiées.Dans l'après-midi, M. Castex poursuivra son périple industriel à Roussillon dans l'Isère où il doit rendre visite à un projet de réimplantation de production de paracétamol et un autre de décarbonation. Sur le seul dossier médicaments, le plan de relance finance plus d'une centaine de relocalisations de chaînes de production (médicaments, vaccins, dispositifs médicaux).Mais, alors que les experts climat de l'ONU (Giec) viennent de rappeler que la température mondiale devrait augmenter de 1,5°C ou 1,6°C par rapport à l'ère pré-industrielle autour de 2030, soit dix ans plus tôt que dans leur précédente estimation d'il y a trois ans, le défi de la réindustrialisation est immense, car il doit nécessairement s'articuler avec celui de la transition écologique.Plan de relance comme salon font d'ailleurs la part belle à la décarbonation ainsi qu'aux start-up innovantes (chimie verte, énergie, électronique, agroalimentaire, santé, biotech..).Global Industrie, créé en 2018 à Villepinte (nord de Paris), est le produit de la fusion de quatre salons sectoriels (Industrie, Midest, Tolexpo et Smart Industries).Il s'intéresse aussi bien à la mécanique qu'aux nanotechnologies, en passant par les machines-outils, la conception assistée par ordinateur, l'industrie 4.0, la tôlerie-fonderie, la gestion de l'eau ou les savoir-faire de la sous-traitance automobile ou aéronautique.Le salon se tient en alternance chaque année à Paris et à Lyon.En 2019, sa dernière édition avant la pandémie, il avait accueilli 45.000 visiteurs de 85 pays et 2.500 exposants venus d'une quarantaine de pays.
Il y a 3 ans et 261 jours

Le Gouvernement lance une campagne sur l’accès au très haut débit pour tous et partout en France

Lancé dès 2013, le Plan France Très Haut Débit a été mené par l’État et les collectivités territoriales pour faire de la transformation numérique une des priorités de l’aménagement du territoire. Avec un soutien financier de l’État à hauteur de 3,57 milliards d’euros, le plan représente un investissement massif de long terme à destination des infrastructures numériques en France. La généralisation de la fibre optique jusqu’à l’abonné et d’une couverture mobile de qualité pour l’ensemble des Français constituent en effet le socle indispensable pour résorber les fractures numériques. Aujourd’hui, les résultats sont au rendez-vous : au 31 mars 2021, plus de 60% des locaux français, soit 25,6 millions de foyers et entreprises étaient éligibles aux offres de fibre optique et l’ambition est claire : d’ici fin 2025, l’ensemble du territoire sera raccordable à la fibre optique. Selon les récents classements européens, la France monte sur la première marche du podium par rapport à ses voisins (étude de l’IDATE Digiworld 2020). La dynamique de déploiement est telle que sur l’année 2020, malgré la crise sanitaire, ce sont près de 6 millions de nouveaux locaux qui ont été rendus raccordables à la fibre optique, soit, par comparaison, un rythme de déploiement quatre fois plus élevé qu’en 2015.En parallèle du déploiement de la fibre optique, le New Deal mobile, signé en janvier 2018 par l’État et les opérateurs de la téléphonie mobile, permet désormais de compter près de 3 000 nouveaux sites mobiles à déployer par les opérateurs et plus de 1 000 nouveaux pylônes déjà en service dans des zones en souffrance. C’est plus de 99% de la population française qui est aujourd’hui couverte en 4G (source : Arcep, T1 2021).Afin de valoriser l’action menée par l’État et les collectivités depuis plusieurs années, une grande campagne de communication est lancée par le Ministère de la Cohésion des Territoires et des Relations avec les collectivités territoriales et le Secrétariat d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques.Elle illustre l’étendue et les bénéfices du développement des infrastructures numériques partout et pour chacun d’entre nous avec un dispositif en deux temps : de l’affichage, de la radio et une opération spéciale en partenariat avec l’application de navigation Waze dès juillet et à la rentrée un film diffusé à la télévision et des insertions dans la presse régionale.Par un dispositif ambitieux et une idée « le très haut débit pour tous et partout arrive plus vite que l’on ne l’imagine », la campagne #TresHautDebit met à l’honneur la transformation que le numérique amène dans le quotidien des Français, tout en soulignant qu’il est un vecteur essentiel de lien social pour tous et sur tout le territoire. Plus qu’une fin en soi, le numérique renforce nos connexions et réinvente notre quotidien.
Il y a 3 ans et 269 jours

Le Groupe Lorillard sera exposant du 81ème Congrès de l’Union Social pour l’Habitat, les 28, 29 et 30 septembre prochains au Parc des Expositions de Bordeaux

Le Congrès de l’Union Sociale pour l’Habitat est un rendez-vous annuel auquel le Groupe Lorillard a toujours répondu présent. Le Groupe qui se positionne en partenaire historique des acteurs du marché des logements sociaux, détient une véritable légitimité en termes de compétences et d’expertise. Rappelons que Le Groupe Lorillard qui rénove ou équipe chaque jour, en France, près de 320 logements, coordonne diverses entités connues et reconnues comme des intervenants majeurs de la rénovation énergétique. Ces entités ont, à plusieurs reprises, contribué à la rénovation de logements sociaux, de copropriétés, participant à des concours de réalisations de rénovations énergétiques exemplaires, pour lesquelles ils ont été primés et récompensés. INGÉNIERIE DE CHANTIER ET CONCEPTION SUR MESURE : DEUX EXPERTISES MOTRICES Evénement incontournable pour tous les acteurs de l’habitat social, ce Congrès est un véritable lieu d’échange et de réflexion pour tous les promoteurs, bailleurs sociaux, collectivités, entreprises de travaux publics, du bâtiment, etc, qui œuvrent pour la transition énergétique, la rénovation urbaine ou encore la qualité de service. Le Groupe Lorillard disposera d’un stand de 36 m² qui lui permettra d’échanger avec les visiteurs sur ses solutions techniques ainsi que sur sa capacité et son expertise en matière d’ingénierie de chantier. En effet l’ingénierie de chantier rassemble diverses notions techniques et économiques mais s’il y a une notion particulièrement importante, c’est bien la prise en compte des problématiques d’intervention en milieu habité. Reconnu pour la qualité de sa conduite de travaux, le Groupe Lorillard est en mesure de se positionner sur les opérations les plus complexes. Une extrême attention est portée aux contraintes de sécurité. Le souci de qualité et de respect des délais est permanent. Autre notion impérative, dont le Groupe en a fait une expertise, c’est la capacité à réaliser des menuiseries sur-mesure. Pour chaque chantier, Lorillard prend en compte la globalité du bâtiment, la recherche, voire la création de profils de menuiserie ou de structures spécifiques répondant aux attentes du maître d’ouvrage et du maître d’œuvre. Cette spécificité du sur-mesure est possible grâce à la capacité de production industrielle du Groupe. C’est là un atout considérable pour le Groupe Lorillard : savoir concevoir des menuiseries exclusives et sur-mesure, et les usiner en quantité industrielle. En outre, le Groupe est capable de se positionner sur des chantiers d’envergure et d’assurer conception, fabrication et production dans des délais courts. volet roulant Réno City doté d’un coffre extérieur et d’une trappe de visite intérieure. 5 ENTITÉES ET UNE OFFRE MUTLI-MATÉRIAUX Les entités Lorillard Entreprise, Lorillard Façades, Protectéa et Lorenove Grands Comptes représenteront le Groupe Lorillard et seront entourées de plusieurs solutions particulièrement adaptées aux logements sociaux. Le volet roulant Réno City et la menuiserie PVC Design 5 Réno City est un concept breveté de volet roulant doté d’un coffre extérieur et d’une trappe de visite intérieure. Le tiroir amovible facilite les interventions de maintenance. Il est idéal pour les bâtiments collectifs ou encore le tertiaire. Le volet Réno City agit comme un bouclier thermique supplémentaire grâce à son coffre avec double paroi alvéolée équipée d’un isolant en polystyrène expansé graphité (PSE), le joint d’étanchéité placé au niveau de la trappe de visite ainsi que le joint néoprène glissé sur la lame finale. Simple à mettre en œuvre, il est adaptable sur tous les matériaux existants grâce à une paire d’embouts télescopiques et une console réglable. Il est disponible en plusieurs types de manœuvres (filaire, radio, solaire et manuelle) pour répondre aux différents usages de l’utilisateur final. La menuiserie PVC Design 5 sur laquelle est installé le volet roulant Réno City représente l’alliance parfaite tant en termes d’esthétique que de performances thermiques. La Design 5 est un produit incontournable dans le domaine de la rénovation de résidence tant individuelle que collective : elle est dotée de 5 chambres d’isolation et de 2 joints d’isolation. Par conséquent elle affiche un coefficient Uw de 1.3 W/m².K en double vitrage. Fabriquée dans un matériau naturellement isolant, personnalisable et recyclable, la Design 5 sait convaincre par la finesse de son battement central (116 mm) et ses parcloses disponibles en angles galbés ou carrés.   Le coulissant HPC Twinéa 2. Caractérisé par la finesse de ses profils et procurant un parfait équilibre entre performances thermiques, esthétisme et confort intérieur, Twinéa 2 sera présenté dans sa version seuil extra-plat. Spécialement adapté aux personnes à mobilité réduite, ce seuil assure une circulation fluide entre l’intérieur et l’extérieur, sans avoir d’obstacle à franchir. Il s’avère plus confortable pour les personnes âgées, mais aussi pour tout à chacun au quotidien. Ses rails en aluminium offrent une manœuvre optimale. Les profils renforcés en fibre de verre assurent à la fois robustesse et légèreté des ouvrants. Coulissant Twinéa 2 et son seuil extra-plat, spécialement adapté aux personnes à mobilité réduite   La menuiserie bois Léna 58 qui garantit ses finitions 10 ans ! Avec ses lignes contemporaines propices aux architectures modernes et ses ouvertures à la française (à frappe) ou coulissantes, la menuiserie bois Lena 58, disponible en plusieurs essences, a déjà tout pour plaire. Les finitions « Lena Color » garanties 10 ans viennent parfaire l’équation gagnante : esthétisme, confort et sérénité. Cette année 2021 marque la 81ème édition du Congrès USH et c’est aussi les 85 ans du Groupe Lorillard. Un âge qui en dit long sur le savoir-faire qui s’est transmis entre les hommes et femmes qui se sont succédés, et qui en ont fait un acteur majeur de la rénovation globale des bâtiments. Tout au long de ces années, ministères, investisseurs institutionnels, collectivités territoriales, promoteurs, constructeurs, offices d’HLM, banques et assureurs, entreprises publiques et privées, ont fait confiance au Groupe et ont contribué à bâtir sa légitimité. Partager la publication « Le Groupe Lorillard sera exposant du 81ème Congrès de l’Union Social pour l’Habitat, les 28, 29 et 30 septembre prochains au Parc des Expositions de Bordeaux »
Il y a 3 ans et 273 jours

3 nouvelles start-up intègrent l’accélérateur « Santé – Prévention dans le BTP »

4 entreprises ont présenté leurs projets le 5 juillet dernier, devant un jury composé de professionnels du BTP et de la prévention et en présence des partenaires fondateurs, le CCCA-BTP, l’OPPBTP, PRO BTP et la Fondation EXCELLENCE SMA. Leurs projets ont été évalués sur la base de cinq critères :Le caractère innovant de leur technologie ou service ;L’accessibilité du marché visé ;L’équipe (les compétences et expertises mobilisées, la capacité à porter le projet) ;La fiabilité du business model ;L’adéquation de la start-up avec les thématiques santé et prévention de l’accélérateur.Cette douzième édition a permis à trois start-up ayant présenté leurs innovations de convaincre les membres du jury. Celles-ci ont donc été retenues pour intégrer l’accélérateur « Santé – Prévention dans le BTP » :> APPI Technology développe des systèmes autonomes de communication mains-libres conçus pour les équipes travaillant en milieux hostiles, bruyants ou confinés. Ces équipements, compatibles avec tout EPI, permettent de maintenir un dialogue entre les intervenants, de détecter des situations de danger et de relayer des alertes de sécurité aux opérateurs.« Dans le cadre de nos travaux de recherche pour le stockage en grande profondeur de déchets radioactifs, nos équipes sont amenées à travailler dans des galeries à 500 m de profondeur. La solution Appi nous permet de rendre aux opérateurs l’usage de leur voix et de leurs mains, notamment lorsqu’ils se trouvent en situation de stress dans des endroits à fort enjeu de sécurité. Nous avons également fortement gagné en distance puisque la solution nous permet d’établir une communication jusqu’à plus de 200 m de distance malgré la profondeur et l’encombrement, contre seulement 7 m auparavant. » témoigne François Laumann, de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra).> Come in VR est un créateur de contenus de formation immersive en réalité virtuelle (VR) ou PC. La start-up propose notamment des solutions pédagogiques pour les organismes de formation ou les entreprises dans les secteurs de la logistique, du BTP et de la santé. Ces expériences immersives permettent de favoriser la formation des équipes et de valoriser leurs compétences.« Nous utilisons le module de formation virtuelle de Come in VR dédié à l’élingage, une opération de levage très classique dans les travaux publics mais accidentogène lorsqu’elle est mal réalisée. Grâce à ce module, nous avons permis à l’ensemble de nos apprenants en formation initiale ou continue d’acquérir les bons gestes pour être plus aguerris sur toute la partie pratique concernant cette opération, et ce de manière ludique et compréhensible par tous. » témoigne Jean-François Chabaud, Directeur de l’Ecole de la Construction des Infrastructures et Réseaux.> Recap développe une application qui permet de développer, documenter et superviser la transmission des consignes et des bonnes pratiques dans le domaine de la santé – sécurité au travail, bien souvent données à l’oral. Cela permet d’améliorer la sécurité des opérateurs sur le terrain, du responsabiliser les managers et de favoriser la justification du respect de l’obligation de sécurité tout en anticipant les risques de responsabilité.« Les premiers retours que nous avons reçus des entreprises du BTP ayant testé la solution font état d’un véritable intérêt commercial. En effet, l’application permet de prouver en direct, régulièrement et très facilement au donneur d’ordre d’un chantier que les engagements pris en termes de sécurisation du chantier et des salariés, dans le cadre du contrat, sont bien tenus au jour le jour. » confirme Arnaud Rimbert, avocat en droit du travail.Ces start-up bénéficieront de l’expertise et des retours d’expériences des quatre partenaires fondateurs, CCCA-BTP, l’OPPBTP, PRO BTP et la Fondation EXCELLENCE SMA, pour faire monter en puissance la performance des entreprises en matière de santé et prévention. Les partenaires s’engagent également à faciliter les échanges et la visibilité des start-up auprès de leurs entreprises adhérentes, notamment au travers de leurs sites web, leurs réseaux sociaux et leurs médias respectifs, ainsi qu’à l’occasion des événements auxquels ils sont susceptibles de participer.
Il y a 3 ans et 278 jours

Construction d’un nouveau bâtiment pour l’Hôpital Nord-Ouest-Villefranche

Avec son nouveau bâtiment de consultations de chirurgie et d’anesthésie, l’HNO souhaite sécuriser et simplifier le circuit des nombreuses personnes consultant en anesthésie et en chirurgie.Aujourd’hui installées dans le bâtiment Duquesne (1982), les consultations externes sont dispersées dans des locaux devenus exigus avec le développement de l’activité ces dernières années.Une situation inconfortable pour les patients comme pour les professionnels qui devient problématique en période de pandémie. Les mesures de distanciation physiques sont difficiles à mettre en place dans des espaces trop étroits, les locaux ne permettent pas de circuits de marche en avant et l’imbrication des espaces de consultation et des espaces d’hospitalisation limite fortement les possibilités de différenciation des flux.La construction d’un nouveau bâtiment : Une réponse au besoin de sécurité et de fluiditéLongeant l’extrémité ouest du bâtiment principal de l’hôpital, le Duquesne, cette nouvelle construction permet une meilleure gestion des flux visiteurs et répond aux préoccupations sanitaires actuelles. L’accès direct permettra aux patients de se rendre en consultations sans traverser le cœur de l’hôpital. Avec une entrée et des sorties distinctes la marche en avant sera favorisée. Les contacts entre patients entrants et sortants seront évités, limitant ainsi les risques de contamination virale.L’architecture modulaire de ce bâtiment : Rapide, propre et made in FrancePorté en moins d’un an par le groupement rassemblant Bouygues Bâtiments Sud Est, mandataire, Ossabois, CRR Ecritures Architecturales et TEM Partners, ce projet de construction mixte est composé de fondations, cages d’escaliers, ascenseurs et unité de radiologie en béton, ainsi que d’environ 200 modules en bois. Cet ensemble forme un bâtiment de 4 étages offrant plus de 5.000 m² de surface.Il s’agit de travaux exemplaires, tant sur la rapidité de prise de décision par les parties prenantes que sur le mode constructif choisi : la construction mixte bois-béton. Fortes de leur expérience en la matière dans le cadre de la réalisation de bâtiments d’hébergements pour le Ministère des Armées et d’un collège pour la Métropole deLyon, les équipes Ingénierie et Travaux de Bouygues Bâtiment Sud-Est réalisent ce bâtiment de santé dans un délai record de 9 mois de travaux. Cette performance est rendue possible grâce au choix de la construction hors site et à un pilotage optimal des entreprises partenaires assurant les prestations complémentaires (façades, toitures, finitions des modules « ouverts », VRD/parking).Chaque module bois a été fabriqué dans les usines OSSABOIS dont l’un des sites est situé à Balbigny dans la Loire. Ils ont été équipés en système de plomberie, d’électricité et de chauffage pour ensuite être assemblés et montés sur des fondations béton.OSSABOIS est aujourd’hui le leader français de la construction hors-site de bâtiment en bois, concevant les éléments sur mesure pour chaque construction dans ses 3usines en France puis les achemine et les assemble sur le chantier. Avec une maitrise des coûts et une diminution jusqu’à 60 % des délais de construction, l’architecture modulaire permet également une réduction considérable des nuisances sur le chantier et l’environnement avec, notamment, des chantiers secs, sans nuisance de poussières et d’eaux sales mais également un circuit court des matériaux et de la production.Les travaux : Prochaines étapes et livraisonAvec un démarrage des travaux en décembre 2020 et une livraison prévue pour septembre 2021, le bâtiment de consultations devrait recevoir ses premiers patients courant novembre 2021. La pose de la passerelle aérienne, reliant ce nouveau bâtiment au bâtiment Duquesne, a été finalisée dans la nuit du 22 au 23 juin dernier. Installée en 4 tronçons, celle-ci mesure 39 m de longueur et facilitera le passage des professionnels de santé d’un bâtiment à l’autre.
Il y a 3 ans et 288 jours

ECOPact, les bétons bas carbone de LafargeHolcim pour le nouveau Centre de Cancérologie de la Sarthe

Au-delà de la dimension technologique, le Centre de Cancérologie de la Sarthe se veut également exemplaire d’un point de vue environnemental. Ainsi, dans le but de construire un bâtiment durable et responsable en baissant son empreinte carbone, LafargeHolcim France a préconisé l’utilisation de son béton bas carbone ECOPact pour la réalisation des chambres de radiothérapie et des salles dédiées au scanner. Une solution qui s’inscrit dans la démarche Lafarge 360 pour des constructions durables. C’est l’entreprise Le Batimans, partenaire local de LafargeHolcim France depuis plus de 15 ans, qui s’est chargée de leur mise en œuvre.Lancée sur le marché en juillet 2019, la gamme des bétons ECOPact est destinée à accompagner les maîtres d’œuvre, maitres d’ouvrages et constructeurs de toutes tailles dans la conception de bâtiments bas carbone. Elle permet une réduction des émissions de CO2 de -30% à plus de -70%, voire même une neutralité carbone grâce à la compensation. Les ciments innovants mis en œuvre pour réaliser les bétons ECOPact sont le résultat de l’expertise industrielle et des process développés par LafargeHolcim France pour maximiser l’intégration de calcaire, de matériaux hydrauliques ou pouzzolaniques.Les solutions ECOPact permettent d’accompagner toutes les exigences de la future RE 2020.Grâce à une équipe de R&D à la pointe de l’industrie et à un réseau mondial d'innovation fortement axé sur le développement de produits durables, LafargeHolcim dispose aujourd’hui du portefeuille de solutions et de produits bas carbone le plus large du secteur. En effet, 40 % des brevets concernent des solutions bas carbones et plus de 50 % des efforts de R&D sont consacrés à des projets bas carbone. Cette stratégie de R&D permet de rendre concret l’engagement de LafargeHolcim en matière d’innovation pour rendre la construction plus responsable tout en préservant les performances du béton.Focus sur le chantier du nouveau Centre de Cancérologie de la SarthePour le chantier du nouveau Centre de Cancérologie de la Sarthe, les équipes de LafargeHolcim France avaient pour obligation de proposer des solutions permettant d’atteindre le taux le plus bas de CO2 afin de répondre aux nouvelles réglementations environnementales. Elles ont ainsi naturellement préconisé les gammes ECOPact pour la construction des chambres de radiologie et des salles de scanner. Les salles de scanner ont fait l’objet d’une mise en œuvre particulière due à l’utilisation de rayons X. C’est ainsi que le béton prêt à l’emploi autoplaçant Agilia© a également été utilisé pour assurer une mise en œuvre simplifiée, rapide et sécurisée (sans vibration). « LafargeHolcim est le premier acteur à proposer des bétons bas carbone sur un chantier d’une telle envergure dans la région sarthoise. C’est toujours une grande satisfaction d’accompagner nos clients dans leur projet et d’avoir leur confiance quand nous leur proposons nos innovations », précise Sébastien Bellanger, Chef de Centre chez LafargeHolcim Bétons.
Il y a 3 ans et 295 jours

Deux motorisations, nouvelle génération, pour volets roulants

elero, marque du groupe Nice spécialisée dans les solutions complètes pour l‘automatisation des volets roulants, des stores extérieurs et intérieurs et des brise-soleil orientables, lance deux nouvelles motorisations, permettant de contrôler l’ouverture et la fermeture des volets roulants : RolSolar et RolMotion. RolSolar fonctionne uniquement grâce à l’énergie solaire, sans branchement au réseau électrique. Sa batterie permet un fonctionnement totalement autonome durant 30 jours, à raison de 2 cycles d’ouverture et fermeture en cas d’absence totale d’ensoleillement. Le moteur est équipé de la technologie de communication radio bidirectionnelle, permettant à l’utilisateur d’avoir l’assurance que son ordre a bien été reçu par le moteur. L’utilisateur a la possibilité de pré programmer 2 positions préférentielles d’ouverture et de fermeture. RolMotion est la solution d’automatisation des volets la plus silencieuse et évoluée présente sur le marché. Disponible en 3 puissances différentes – 6, 10 et 20 Nm, RolMotion est décliné en version filaire, avec une commande placée sur le mur, ou en version radio, grâce à sa télécommande portative.  Cette nouvelle motorisation, révolutionnaire, est dotée d’un frein moteur électromagnétique (brevet elero) ainsi que de la technologie Soft Start – Soft Stop, le rendant parfaitement silencieux (35dB). Il est possible de lui programmer 2 vitesses d’ouverture ainsi que 2 positions d’arrêt préférentielles, et ce, en mode manuel ou automatique. La tête moteur de forme étoilée, permet de s’adapter à l’immense majorité des supports existants. 
Il y a 3 ans et 311 jours

Fit®, la nouvelle gamme de chaudières murales gaz à condensation de Saunier Duval

Fit® : la nouvelle gamme de chaudières à condensation Saunier DuvalPensées à la fois pour l’installateur et le particulier, les chaudières Fit® allient performance, design et technologies innovantes. Saunier Duval fait ainsi évoluer 4 de ses chaudières existantes : Thema AS Condens, ThemaPlus Condens, IsoTwin Condens et IsoMax Condens, et complète son offre avec 4 nouveaux modèles : ThemaPlus H-Condens, ThemaFast M-Condens, ThemaPlus M-Condens et IsoTwin M-Condens.L’objectif est d’offrir aux professionnels et particuliers la solution la plus adaptée, quels que soient la configuration et les besoins : chauffage seul, mini-accumulation, accumulation dynamique, conduit individuel (C13, C33, B23p / C93) ou encore conduit collectif 3CEp (nouveauté)… Zoom sur les nouvelles technologies de la gamme.FlameFit®, la combustion optimiséeFlameFit® assure en permanence l’ajustement de la combustion de la chaudière afin de garantir aux utilisateurs une consommation minimale et une compatibilité gaz simplifiée :installation rapide : choix du gaz directement depuis l’interface de la chaudièreflamme optimisée et économies d’énergie : analyse en continu de la combustioncompatibilité avec le gaz naturel, le gaz de Groningue et le gaz propaneconfort maintenu : intégration d’un mode secours en cas de panne pour assurer aux utilisateurs du chauffage et de l’eau chaude en attendant l’intervention d’un professionnelchaudières prêtes pour le futur : compatibilité avec les gaz vertsDisponible sur les chaudières Thema AS Condens, ThemaPlus Condens, IsoTwin Condens et IsoMax Condens.IsoDyn3, le confort en eau chaude pour les plus exigeantsIsoDyn3 est l’évolution de la technologie IsoDyn2, à savoir 2 ballons de 21 litres en inox avec un rechargement en seulement 5 minutes. Si cette technologie bénéficie des avantages de l’existante, elle dispose de nouveautés qui assurent encore plus d’économies d’énergie et une longévité accrue de la chaudière à ses utilisateurs :• adaptation au rythme de vie grâce à l’apprentissage ECS (eau chaude sanitaire) : la chaudière démarre aux meilleurs moments de la journée• détection des petits puisages : à l’aide du capteur de débit ECS placé à la sortie des ballons, la chaudière ne démarre pas lors de faibles demandes en eau chaude• jusqu’à 7 fois moins de démarrages qu’une chaudière standard à ballon !Disponible sur les chaudières IsoMax Condens, IsoTwin Condens et IsoTwin M-Condens.H-Condens, la condensation sur le chauffage ET sur l’eau chaude sanitaireLe corps de chauffe en inox H-Condens offre une condensation à la fois sur le chauffage ET sur l’eau chaude sanitaire grâce à une spire supplémentaire :nouveau corps de chauffe innovant développé pour Saunier Duvalpréchauffage de l’arrivée d’eau froide entre 3 et 5 °C permettant une réduction de la consommation de gaz8 % d’économies d’énergie sur le sanitaireréduction des émissions de CO2Disponible sur la chaudière ThemaPlus H-Condens.Des fonctionnalités et des équipements pensés par et pour le professionnelLa gamme Fit®, c’est aussi un ensemble de fonctionnalités et d’équipements communs à toutes les chaudières :régulation et connectivité en un clic : technologie Clic Express avec boîtier radio et/ou de connectivité intégrables directement sous la chaudièrebouton ON / OFF intégré : protection de la carte électronique lors des interventions pour une maintenance facile et sécuriséeremplacements facilités grâce aux nouveaux kits de remplacementsinterfaces tactiles et intuitives : choix du gaz lors de l’installation, affichage des consommations, assistant intégré (IsoMax Condens)cache-tubulures magnétique et nouveau panneau acoustique anti-vibratileMiSet & MiPro Sense, les régulations connectables compatibles avec Fit®MiSet et MiPro Sense, ce sont deux régulations disponibles en versions radio et filaire. Compatibles avec toutes nos chaudières de la gamme Fit®, la première est idéale pour assurer le confort en appartement pour 1 zone de chauffage et la deuxième pour le confort de la maison avec la gestion de 1 à 3 zones.MiSet & MiPro Sense s’accordent parfaitement avec les nouvelles chaudières Fit® : interface design et tactile et assistant utilisateur de série pour la programmation des plages horaires. Ces régulations sont également connectables avec le nouveau MiLink V3 pour permettre un pilotage du chauffage à distance par les utilisateurs avec l’application MiGo Link. Pour les professionnels, un site internet et une application MiGo Xpert sont disponibles pour suivre le parc de chaudières à distance.M-Condens, les chaudières dédiées au 3CEpLa nouvelle gamme M-Condens (ThemaFast M-Condens, ThemaPlus M-Condens et IsoTwin M-Condens), dédiée aux conduits 3CEp, a été développée dans l’optique de faciliter et sécuriser la mise en œuvre et l’entretien sur ces conduits collectifs.Les avantages :données de combustion optimisées pour un dimensionnement au plus justegamme prête pour la nouvelle méthode de dimensionnement (EN 13384-2 : A1)gain de temps à l’installation avec l’assistant de démarrageadaptation automatique de la puissance de la chaudière en fonction de la configuration entrée par le professionnel, directement sur l’interfaceinstallation et entretien facilités : clapet anti-retour intégré de série au bras de mélangemaintenance simplifiée : coude avec trappe de visite permettant le blocage des retours de fuméesQuelle est la différence entre une chaudière à condensation et une chaudière non-condensation ?Dans une chaudière gaz non- condensation, le circuit d’eau de chauffage est réchauffé grâce à la combustion de gaz (naturel, propane ou de Groningue). C’est en passant dans le brûleur que ce dernier produit de la chaleur qui est ensuite transmise à l’eau ou à un fluide caloporteur. Depuis 2018, les émissions de NOx d’une chaudière non-condensation doivent être ≤ 56 mg / kWh.Dans une chaudière gaz à condensation, le circuit de chauffage est alimenté par la combustion du gaz (naturel, propane ou de Groningue) mais aussi par les fumées produites par cette dernière. Elles sont refroidies afin d’en récupérer la chaleur. Ce procédé permet ainsi d’économiser jusqu’à 30 % d’énergie par rapport à une chaudière de 25 ans.Une fabrication françaiseCes nouvelles chaudières à condensation sont fabriquées en France au cœur de l’usine Saunier Duval à Nantes. Avec plusieurs lignes de production dédiées aux chaudières à condensation, la marque confirme sa volonté de promouvoir le savoir-faire français sur le territoire et à l’international.Site historique, l’usine de Nantes est labellisée « Vitrine Industrie du Futur » grâce notamment à l’automatisation de sa ligne d’assemblage de chaudières murales gaz à condensation et à sa digitalisation et utilisation en temps réel des données.
Il y a 3 ans et 312 jours

Le dispositif de mobilité durable mis en place sur le Tour de France tient ses promesses

Objectif : 100% des véhicules légers en motorisation alternative d’ici à 2024Afin de recharger la flotte de l’organisation de véhicules électriques ou hybrides rechargeables ainsi que celles de la caravane et des partenaires, une station de recharge mobile est mise en place par Enedis avec la start up bretonne Drop’n Plug sur l’ensemble du Tour de France. Celle-ci est alimentée quotidiennement grâce au réseau de distribution électrique opéré par Enedis et recharge les véhicules à la permanence de l’organisation et sur le parking de la Caravane, au plus près des besoins des utilisateurs. Pour répondre à la demande très forte des suiveurs du Tour de France, Enedis, ŠKODA et A.S.O. se sont adaptés pour ajouter un superchargeur afin de recharger les véhicules jusqu’à 80% en 40 minutes. Enedis met également à disposition de la caravane les 1 500 bornes de charge situées sur ses sites à proximité des différentes étapes du Tour de France. Le partenaire du Tour de France Logis Hôtels a renforcé l’équipement des hôtels situés sur le parcours en bornes électriques pour recharger les véhicules.De plus en plus de partenaires roulent en électrique ou en GPL et sont rejoints par des médias comme France Télévisions et Radio France qui roulent en partie en hybride cette année.Le test sur des nouveaux groupes électrogènes alimentés au carburant B100 et qui alimentent les Bus VIP de l’arrivée, se révèle concluant :-50% d’émission de CO2Carburant biodégradable, durable et composé d’huiles recycléesUn groupe électrogène fonctionnant également à l’hydrogène valide un test sur la zone de sprint intermédiaire.Un camion du transporteur officiel XPO Logistics fonctionne également au biocarburant Oleo100, carburant 100% colza français produit par Saipol, une filiale du groupe Avril :Minimum -60% CO2Jusqu’à -80% de particules100% biodégradableLa réduction de l’empreinte énergétique s’exprime également d’autres façons D’autres structures autonomes en énergie ont également été mises en place de façon tout aussi concluante : à titre d’exemple, Senseo®, partenaire officiel et engagé, peut servir jusqu’à 1 700 cafés par jour grâce à une structure 100% autonome en énergie fabriquée par la start-up Picnic. Senseo® utilise en outre des dosettes compostables industriellement et participe à un programme de compensation de ses émissions carbone ayant pour objectif une empreinte neutre.Les équipes prennent aussi des initiatives avec un bus équipe présentant des panneaux photovoltaïques lui permettant d’être autonome toute la journée et d’autres sponsorisant des programmes de compensation carbone comme le Tour de France notamment.Avec la participation de tous ses acteurs, le Tour de France poursuit avec succès la diminution de son empreinte environnementale.
Il y a 3 ans et 315 jours

Plus de 7 Français sur 10 opposés à une hausse de l'âge de départ à la retraite, selon Elabe

Au total, 62% des Français - soit un point de moins que dans l'étude datée d'avril 2019 - "sont favorables à une hausse des impôts ou des taxes pour les foyers les plus aisés pour financer le système de retraite", contre 38% qui y sont opposés, indique l'étude Elabe publiée pour Les Echos, Radio Classique et l'Institut Montaigne.Ils sont 71% à se dire opposés à une hausse de l'âge légal de la retraite (inchangé), contre 29% favorables, et 91% (-2) opposés à une baisse du montant des retraites.En outre, plus d'une personne sur deux (52%) juge que "le système de retraite tel qu'il fonctionne aujourd'hui en France fonctionne bien", contre 47% qui estiment le contraire.Et plus on est âgé, et plus on a foi en ce système, souligne le sondage: ainsi, "les retraités sont davantage convaincus du bon fonctionnement du système de retraite actuel" (62 % estiment qu'il fonctionne bien, soit 3 points de plus qu'en 2019) par rapport aux actifs (49%).Toutefois, le jugement des actifs a progressé par rapport à l'enquête précédente (+14 points).Enfin, interrogées sur les régimes spéciaux de retraite, 65% des personnes sondées sont favorables à "la suppression des 42 régimes existants dont les régimes spéciaux".Reçus à l'Elysée mardi, syndicats et patronats sont unanimement opposés à la mise en oeuvre d'une réforme avant la présidentielle de 2022. Même chose pour le Medef, partisan d'un relèvement de l'âge de départ à 64 ans mais qui craint que la relance ne soit entravée par d'éventuels mouvements sociaux. Et la majorité est elle-même divisée sur le contenu de la réforme et sur son calendrier.Le chef de l'Etat, qui doit prendre la parole dans quelques jours, a remis sur la table le sujet de la réforme des retraites lors d'un déplacement dans le Lot début juin.L'étude Elabe a été réalisée auprès d'un échantillon représentatif de 1.002 personnes, selon la méthode des quotas, interrogées par Internet les 6 et 7 juillet.
Il y a 3 ans et 315 jours

Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment : le point sur la décarbonation des chantiers

À l'occasion de la quatrième édition qui a eu lieu le 2 juillet, le Mondial du Bâtiment a réalisé un sondage exclusif1 portant sur le moteur thermique dans le bâtiment.Des chiffres qui ont aussi alimenté les échanges lors du "Grand Dossier du Mondial du Bâtiment" dont le thème était « Décarbonation des chantiers » avec un focus sur les engins de chantier et les modes de transport.En effet, l'empreinte carbone d'un chantier ne se limite pas uniquement à la construction proprement dite. Les véhicules utilitaires des collaborateurs qui se rendent chaque jour sur le chantier, les camions de livraison et les équipements utilisés sur place entrent aussi pour une grande part dans les émissions de carbone. A cela s'ajoute des restrictions de circulation, notamment dans les grandes villes, pour les véhicules considérés comme trop émissifs. Ces évolutions amènent donc les différents acteurs du secteur à rechercher des énergies alternatives (biocarburants, électricité) pour réduire les émissions carbone et rendre les chantiers plus vertueux.Pour débattre autour de cette question et apporter un éclairage d'experts, étaient réunis autour de la table :Hugues-Marie AULANIER, Manager Strategy practice Leader, Carbone 4.Julien CHALET, Directeur de l'action collective, EVOLIS.Catherine GUERNIOU, Chef de file RSE, FFB Ile-de-France.Hervé REBOLLO, Délégué Général du DLR.Sortir du moteur thermique dans le bâtimentLes chiffres clés du sondage exclusif des Rendez-Vous du Mondial du BâtimentLe sondage réalisé à l'occasion de la table ronde par le Mondial du Bâtiment concernant le déploiement d'énergies alternatives pour les engins de chantier ou pour les modes de transport montre qu'il reste du chemin à faire pour qu'elles soient généralisées. Ainsi, 80,2 % des personnes ayant répondu au sondage déclarent posséder un véhicule professionnel fonctionnant au diesel.Sur chantier, ils sont 32 % à avoir déjà utilisé un matériel à énergie alternative (23,3 % électrique et 8,7 % bi-énergie/hybride). Mais 68,6 % à n'avoir jamais utilisé ce type de matériel.Des chiffres qui ont trouvé leurs explications grâce aux quatre intervenants du "Grand Dossier du Mondial du Bâtiment".Ce qu'il s'est dit lors du grand débat…Le débat de 45 minutes a permis aux quatre intervenants de faire le point sur l'utilisation d'énergies alternatives, notamment sur les chantiers, pour avancer sur la décarbonation du bâtiment. Quelles sont les solutions, les avancées majeures mais aussi les freins à la généralisation de ces solutions, voici quelques-uns des points qui ont été abordés.Des difficultés de mise en œuvre« La vente et la location de matériel en France représente 12 milliards d'euros de chiffre d'affaires, 50 000 salariés et 2 200 entreprises. Parmi elles, 60 % sont des TPE employant de 10 à 15 salariés. Pour ces entreprises, investir dans un nouveau matériel est trop coûteux, surtout actuellement en pleine sortie de crise.» indique Hervé Rebollo, Délégué Général du DLR.Julien Chalet, Directeur de l'action collective, EVOLIS ajoute : « L'offre de matériel électrique arrive lentement. Les constructeurs sont aussi confrontés à des problématiques de normes, de réglementations et de certifications. Un autre paramètre est à prendre en compte : pour utiliser du matériel électrique, il faut que le chantier soit électrifié. ».Un point que Hugues-Marie Aulanier, Manager Strategy practice Leader chez Carbone 4, complète : « Aujourd'hui tout fonctionne au diesel. Passer à une autre énergie suppose de résoudre les questions de l'autonomie du matériel, de sa recharge et donc de la fourniture d'énergie sur chantier. ». Mais il précise : « Passer à l'électricité ou à l'hydrogène décarboné permettrait de diviser par un facteur entre 3 et 10 l'empreinte carbone de l'utilisation des matériels. »Des changements à mener sur le long terme« Il y a plus d'une centaine de milliers de matériel à remplacer si nous souhaitons passer à l'utilisation de nouvelles énergies. Cela ne peut se faire que sur un laps de temps long. Par ailleurs, nous manquons de visibilité sur la tenue de ce type de matériel à l'usage, sur chantier. » selon Hervé Rebollo.Tous les intervenants sont unanimes sur le besoin de personnel qualifié : « Pour la maintenance, il est nécessaire de disposer de collaborateurs qualifiés et formés. Nous avons besoin de 1.500 techniciens par an et n'arrivons à en recruter que 800. Il y a un véritable travail à faire sur la sensibilisation des plus jeunes à ces métiers. », précise Hervé Rebollo.De son côté, Catherine Guerniou, Chef de file RSE au sein de la FFB Ile de France, indique : « Il manque de concertation et d'harmonisation pour mener à bien ces changements. En tant qu'entreprise, nous manquons d'accompagnement et d'informations précises. »Vers un mix de solutions ?« Il n'y a pas une solution meilleure qu'une autre mais plutôt un besoin d'utiliser les meilleures énergies selon les usages. », indique Hugues-Marie Aulanier qui ajoute : « L'électricité à déjà fait ses preuves sur les véhicules particuliers. En ce qui concerne les biocarburants, nous savons que l'offre disponible est inférieure à la demande potentielle et que tous ne se valent pas. »Selon Julien Chalet : « Il n'y a pas une solution bonne pour tout. Il faut aussi tenir compte des particularités des machines et des chantiers pour répondre au mieux aux besoins. »« Sur un chantier, il y a nécessité de pouvoir compter sur des engins qui fonctionnent à 100 % de manière constante. C'est un paramètre important à prendre en compte lorsqu'on doit choisir l'énergie qui alimente une machine. », selon Hervé Rebollo.Les Rendez-vous du Mondial sont à voir ou à revoir iciLes prochains « Rendez-vous du Mondial du Bâtiment » auront lieu le vendredi 3 septembre.Le Grand Dossier abordera le thème : La France se donne-telle les moyens de développer les énergies renouvelables dans le bâtiment ?
Il y a 3 ans et 317 jours

Axel Dahl : Béton argentique

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine Axel Dahl a su capturer l’âme du lieu. C’est cette démolition qu’a voulue immortaliser l’architecte Axel Schoenert, grand collectionneur de photographies d’architecture. Et c’est le photographe qui a capté ces instants. [©Axel Dahl] L’agence Axel Schœnert architectes est en charge de l’ancien siège de la radio RTL, rue Bayard, dans le VIIIearrondissement de Paris. Le projet porte sur la restructuration lourde des immeubles post-haussmanniens, côté rue Bayard et de celui dit “comédie”, côté impasse d’Antin. Ainsi que sur la démolition et la reconstruction du bâtiment des années 1970. L’édifice est remplacé par une construction neuve en structure mixte bas carbone béton-bois, se développant sur sept étages et culminant à 25 m de hauteur. C’est cette démolition qu’a voulue immortaliser l’architecte Axel Schœnert, grand collectionneur de photographies d’architecture. Une démarche artistique Axel Dahl a su capturer l’âme du lieu. C’est cette démolition qu’a voulue immortaliser l’architecte Axel Schoenert, grand collectionneur de photographies d’architecture. Et c’est le photographe qui a capté ces instants. [©Axel Dahl] Ceci, en soutenant le projet du photographe Axel Dahl. Ce dernier a réalisé une série d’images purement artistiques, sur ce chantier, avec un ancien appareil. Faisant ainsi ressortir les textures, les teintes et dégradés de couleurs, des matériaux épars çà et là… dans une finesse incomparable.« Cela fait dix ans que je collectionne des photos d’architecture. Ces dernières sont exposées dans l’agence, au 20 avenue de l’Opéra, dans le Ierarrondissement. J’aime la vision artistique d’un chantier que peuvent avoir les différents photographes. Les détails, les mises en scène…,explique Axel Schœnert. J’apprécie beaucoup le travail d’Axel Dahl, sa recherche de la lumière, ses cadrages, l’utilisation de vieux appareils… Ses photos sont comme des tableaux, d’autant plus qu’elles sont en noir et blanc ou en sépia. Ses mises en scène sont très fortes. » Pendant dix ans photographe pour des magazines à papier glacé, Axel Dahl a été ensuite musicien, journaliste, puis réalisateur. Depuis 2011, retour à la photographie, toujours à la chambre, toujours argentique, avec cette fois pour seul focus une autre passion ancienne : l’architecture.  Que des grands formats L’architecte Axel Schoenert devant une photographie d’Axel Dahl, exposée à l’agence, dans le Ier arrondissement de Paris. [©Axel Dahl]Axel Dahl en pleine action, à Niort. [©Axel Dahl]L’appareil est une Sinar suisse, modèle Norma, format 20 x 25cm, produite entre 1948 et 1972. Ici, celle d’Axel Dahl devant se trouver quelque part autour de 1965. [©Axel Dahl] « C’est un projet particulier pour moi, et un retour non seulement au noir et blanc, mais aussi au très grand format que j’ai beaucoup utilisé dans les années 1990. Avec les Polaroids 809 et la vrombissante machine à développer qui allait avec. ”Très-grand” signifie que les négatifs mesurent 20 cm sur 25 cm ! indique le photographe. Les prises de vue sont faites avec un 300 mm, objectif normal pour cette taille de négatif. Plus besoin de “réduire” à la prise pour agrandir après, le procédé est visuellement transparent. C’est ce que j’ai toujours ressenti dans les images faites dans ce format à travers le siècle. A savoir, une force d’exposition qui ne revient pas à une interprétation typiquement, parfois même caricaturalement, photographique, mais à la rectitude d’enregistrement. Evidemment, on ne fait pas quarante images, mais une seule. Elle compte. »  C’est la première fois qu’Axel Dahl utilisait ce procédé, il n’a fait cela pour aucun autre chantier… pour l’instant.« C’est une série strictement plastique. J’ai farfouillé partout pour les prises de vue. Il n’’est pas possible d’utiliser le numérique pour ce genre de travail. Il faut prendre son temps. Je me suis posé plein de questions. »Dans les ruines de la Maison Bayard, le béton, le bois et le fer se mélangeaient. Axel Dahl a fouiné et en détails. Tout ce qu’il a “mis en boîte” a aujourd’hui disparu. Son reportage photographique est un véritable travail de mémoire du bâtiment. « Il faut garder une trace, de ce qui était, de ce qui est et de ce qui sera », conclut Axel Dahl. Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 317 jours

Bruno Léger, réélu Président du SNFA

Les convives ont pu suivre tout d'abord la partie statutaire de l'Assemblée Générale comprenant notamment l'annonce de la réélection du Président du SNFA, Bruno Léger, et la présentation du nouveau Bureau du SNFA. Le deuxième temps fort s'est ensuite articulé autour de trois tables rondes dédiées à l'économie circulaire, la RE 2020 et la communication, et animées par des intervenants de renom.Bruno Léger, réélu Président du SNFAC’est lors d’un Conseil d’Administration Extraordinaire, qui a précédé l’Assemblée Générale du 25 juin, que les administrateurs du SNFA ont réélu, à la majorité absolue, Bruno Léger (Ouest Alu) en tant que Président du SNFA.C’est à ce titre que Bruno Léger s’est exprimé dans son rapport moral disponible ici.Le nouveau bureau du SNFACette année 2021 a été marquée par de nombreuses élections au sein du Bureau du SNFA et c’est une nouvelle équipe qui vient accompagner Bruno Léger :LEGER Bruno (Ouest Alu) Président du SNFACHARRETIER Sylvain (Tiaso) Président de la section CloisonsGENIN Jean-Luc (Horizal) Président de la section Garde-CorpsLAMBALLE Dominique (FenêtréA) Président de la section Fenêtres et PortesREINERT Aymeric (Profils Systèmes) Président de la section Concepteurs GammistesSCHEMEL Benoît (FBS Vérandas) Président de la section Vérandas et PergolasTHOMASSON Dominique (Coveris) Président de la section Fenêtres et FaçadesVINCENT Olivier (Groupe Valfidus) TrésorierTrois tables rondes pour parler d’actualitéLa filière est au cœur de grandes évolutions réglementaires et environnementales. Pour accompagner les acteurs du marché et les adhérents du SNFA, l’organisation professionnelle a décidé d’apporter un regard expert sur 3 sujets qui font l’actualité de sa filière : l’Économie Circulaire, la Règlementation Énergétique et Environnementale 2020 et les nouveautés de sa communication.Chaque table ronde était composée de personnalités de renom dans la profession, qui ont éclairé les participants sur ces thèmatiques complexes, dont l’actualité évolue très vite.Sur le volet économie circulaire, la loi AGEC (Anti-Gaspillage pour une Economie Circulaire) est celle qui engage la plus grande évolution, notamment avec l’arrivée, au 1er janvier 2022, de la Responsabilité Elargie du Producteur (REP) appliquée aux produits et matériaux de construction du bâtiment. En effet, ce sont 46 millions de tonnes de déchets qui sont estimés pour cette REP, soit trois fois plus que la somme des déchets estimée pour l’ensemble des REP existantes. Cette réglementation impose la création d’un éco-organisme pour répondre aux objectifs de collecte, tri et recyclage de déchets. Pour valoriser la filière aluminium du bâtiment, le SNFA participe, en tant qu’actionnaire, à la création de l’un de ces éco-organismes, nommé VALOBAT. Pour atteindre cette ambition, ce dernier peut s’appuyer entres autres sur des entreprises de l’économie sociale et solidaire, qui gèrent aujourd’hui le démantèlement des menuiseries. Depuis plusieurs mois, le SNFA travaille de concert avec l’ensemble des acteurs qui participent à l’économie circulaire, dans l’objectif de réduire l’impact environnemental des déchets dans le secteur du bâtiment.Table ronde : Règlementation Énergétique et Environnementale 2020Intervenants :Bruno Hertrich – FFBBenoît Mangin – K.LineSandra Bertin – SNFANicolas Loppin - SNFALa nouvelle réglementation à la fois Energétique et Environnementale est suivie de très près par le SNFA. C’est en considérant chaque bâtiment selon sa typologie et son utilisation qu’une contribution parois vitrées adaptée (fenêtres, façades-rideaux, vérandas) permettra d’optimiser ses performances en termes d’isolation, de facteur solaire et de transmission lumineuse. Les apports solaires ont un rôle majeur à tenir dans la construction que ce soit pour baisser la consommation de chauffage ou pour accéder à la lumière naturelle par exemple.C’est dans un contexte où des discussions sont en cours avec le gouvernement, sur notamment l’habillage des bâtiments tertiaires par des façades-rideaux, que cette table ronde s’est tenue. Depuis 50 ans, cette technique offre des possibilités infinies, comme l’optimisation des surfaces de plancher, une grande diversité architecturale de l’image du bâtiment et une pose rapide. Des améliorations sont bien évidemment possibles pour atteindre les seuils énergétiques et environnementaux tout en continuant à être conforme à d’autres règlementations : acoustique, sécurité, incendie, sismique,…. Cette technique ne doit pas être écartée de la Règlementation Énergétique et Environnementale 2020 (RE2020) mais bel et bien intégrée !Enfin, le SNFA est également à la manœuvre sur le volet environnemental. Il est particulièrement actif dans la création de FDES (Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire) collectives dont le poids CO2 des profilés aluminium est fortement réduit grâce à des billettes aluminium de provenance maîtrisée, produites par une énergie renouvelable ou avec du contenu recyclé.Aussi, un projet collaboratif de création d’un configurateur est en cours et permettra de réaliser à partir de FDES collectives du SNFA appelées « mères », des FDES « Filles » dites « projet » dans le but d’optimiser les données aux spécificités réelles (composants et dimensions) installées.Table ronde : CommunicationIntervenants :Grégoire Chamousset – AluvalNicole Pérez – HBSSandra Bertin – SNFADiane Boulmier – SNFAEn un peu moins de deux ans, le SNFA a réalisé un virage fort en termes de communication. L’organisation professionnelle tient aujourd’hui une posture institutionnelle et porte des messages clés comme l’environnement, le recyclage, la filière métiers et la valorisation des propriétés du matériau aluminium. Messages qui concernent l’ensemble des métiers représentés par le SNFA. Cette évolution est également marquée par, à la fois une communication de masse traditionnelle, et une communication hyper-ciblée digitale. Les résultats de cette nouvelle stratégie de communication sont visibles. Au total, ce sont 20,6 millions d’individus qui ont été atteint par les messages fédérateurs du SNFA en 2020, grâce à de la publicité TV, Radio, digitale et presse spécialisée.En conclusion de cette table ronde, le SNFA a présenté en exclusivité la création de son portail digital nommé bâtir-en-alu.fr qui sera mis en ligne à l’automne 2021. Espace d’accueil et de redirection qui permettra de guider les professionnels, les particuliers et les futures recrues vers la juste information. Affaire à suivre !
Il y a 3 ans et 318 jours

DMO – NOUVEAU – Récupérateur d’air chaud RUBIS : une meilleure répartition de la chaleur, des économies garanties

Source d’énergie renouvelable au prix stable, le bois constitue une solution économiquement avantageuse comparée au fioul, à l’électricité et au gaz, dont les coûts augmentent régulièrement. Les foyers fermés ou inserts permettent d’obtenir un rendement jusqu’à 5 fois supérieur à celui des cheminées d’antan à foyer ouvert. Grâce à la pose d’un récupérateur d’air chaud couplé à un réseau de distribution, ce rendement peut être optimisé. Forte de plus de 30 ans d’expertise dans les domaines du ramonage et de la distribution d’air chaud, la société DMO a conçu le nouveau système de récupération d’air chaud RUBIS 550 m3/h. Fabriqué en France, ce système améliore les performances énergétiques des foyers fermés et inserts en récupérant la chaleur produite, et permet ainsi de réaliser des économies d’énergie et financières. Équipé d’un caisson qui filtre l’air chaud avant d’être diffusé dans les pièces, il garantit une bonne qualité de l’air intérieur et une température homogène dans la maison. Peu coûteux, le groupe d’air chaud RUBIS de DMO est facile à installer et s’adapte à diverses configurations de logement individuel.   RUBIS – récupération, filtration, distribution de l’air chaud Principe de fonctionnement L’air chaud est capté dans la hotte de la cheminée à l’aide d’une gaine de puisage alu semi-rigide de classe M0 raccordée à un groupe de distribution motorisé. Après quelques minutes de fonctionnement de la cheminée, le groupe de distribution s’enclenche automatiquement,, l’air chaud est filtré dans un caisson G4 puis acheminé via un réseau de gaines isolées aux niveaux thermique et phonique jusqu’aux bouches de soufflage qui diffusent l’air chaud assaini dans les pièces de vie. Un système performant et une consommation raisonnée Installé dans les combles, le groupe air chaud RUBIS 550 m3/h DMO est très silencieux. Il démarre automatiquement quelques minutes après l’activation du foyer. La vitesse du moteur s’adapte en fonction de la température ambiante souhaitée. Un récepteur radiofréquence – raccordé au groupe RUBIS et à une alimentation électrique (230V-50Hz) – et un thermostat d’ambiance radiofréquence mobile programmable permettent de gérer la température dans la pièce où est installé le thermostat. Par ailleurs, un caisson filtrant G4 peut être raccordé au RAC RUBIS afin de filtrer l’air chaud avant d’être diffusé dans les pièces. Il garantit ainsi une bonne qualité de l’air intérieur. Le RAC RUBIS convient pour un réseau de gaines de 2 à 8 bouches d’insufflation et ses 6 vitesses lui permettent de s’adapter à l’installation requise. En fonction de la vitesse du moteur, la consommation électrique varie entre 30 et 117 W et le débit moyen de chaque bouche oscille entre 50 à 70 m3/h selon la configuration choisie.   LES AVANTAGES DU RAC RUBIS 550 m3/h Economies : L’optimisation de la diffusion de la chaleur permet de réduire la facture de chauffage. Air sain : L’air chaud filtré garantit une meilleure qualité de l’air intérieur. Température idéale : Le thermostat d’ambiance radiofréquence sans-fil offre la température désirée dans la pièce où il est installé.   Le kit air chaud 550 m3/h comprend : 1 caisson RAC 550 m3/h 1 caisson filtrant G4 1 thermostat radiofréquence Prix de vente indicatif : 549 euros HT Points de vente : Grandes Surfaces de Bricolage
Il y a 3 ans et 318 jours

Pourquoi installer un détecteur d’inondation ?

C’est là le cauchemar de la plupart d’entre nous : que lors d’une absence, dans les maisons, les locaux professionnels ou même les commerces, on n’est pas à l’abri d’un problème d’inondation. Rien n’est plus stressant que de se retrouver, engourdi, les pieds dans l’eau en constatant les dégâts partout… Pour vous rassurer, il suffit d’équiper les bâtiments de vos clients d’un détecteur d’inondations. Voyons les raisons de l’installation d’un tel dispositif ! Comment fonctionne un détecteur d’inondation ? Le détecteur d’inondation est un équipement de sécurité qui a pour rôle de repérer la présence inhabituelle d’eau, pour un niveau qui dépasse les 2 mètres. Il est adapté en complément d’un système d’alarme qui a pour rôle de protéger un bâtiment, un commerce ou une habitation. Une fois que le capteur détecte la montée d’eau, il émet un signal d’alerte vers l’alarme, sous forme d’impulsion électrique. Cette transmission des informations a lieu soit par ondes radio, soit grâce à une liaison filaire. La sirène se déclenche, après, pour signaler tous les habitants du bâtiment. En cas de constatation des moindres signes de l’existence d’un problème d’inondation, il vaut toujours mieux faire appel à un plombier agréé ou demander un devis gratuit sur ce site : https://plombier-lyonnais.com/ . Ce dernier dispose de tout le matériel nécessaire pour veiller au bon déroulement de l’opération et saura comment gérer la situation en toute sécurité. Les nouvelles constructions professionnelles sont pour la plupart équipées avec ce type d’installation. Les principaux types de détecteurs d’inondation Sur le marché, il existe deux principaux modèles de détecteurs d’inondation : le détecteur d’inondation autonome et le détecteur d’inondation sans fil. En ce qui concerne le détecteur d’inondation sans fil, il est facile à installer et à utiliser. Il peut également déclencher, d’une manière automatique, une sonnerie d’alarme, transférer une alerte par SMS sur le Smartphone de l’utilisateur ou via un mail, ou même couper l’arrivée d’eau. Cependant, ce dispositif doit être raccordé à une centrale d’alarme. En fait, il se compose de trois éléments cruciaux : Une sonde externe ou un capteur de fluide: installé directement sur le sol, il se compose de deux électrodes qui sont, à leurs tours, placées un peu en hauteur dans le but d’être en contact direct avec l’eau quand le niveau monte. Un émetteur radio : il s’agit d’un transmetteur placé au mur juste au-dessus du sol. Un câble : cet élément a pour rôle de raccorder les deux éléments précédents. Quant aux détecteurs d’inondation autonome, ils sont dotés d’un simple boîtier à poser sur le soubassement. Contrairement au détecteur sans fil, les électrodes sont situées d’une manière directe à l’intérieur du boîtier. Quand l’eau y intègre, le système en question se déclenche pour émettre une alarme sonore. Les raisons de s’équiper d’un détecteur d’inondation Il existe de nombreux privilèges pour mettre en place un détecteur d’inondation. Tout d’abord, il est utile pour les bâtiments qui se situent dans les endroits géographiques où il y a des crues intenses. En fait, cela permet d’alerter les occupants que l’eau commence à monter dans les pièces. Ce fait a pour objectif de minimiser les dommages matériels, tels que la détérioration des meubles et du sol, voire même des murs, l’élévation  de la consommation énergétique… Cependant, outre tous les dommages matériels sur les bâtiments, un détecteur d’inondation permet d’éviter des complications plus graves comme les courts-circuits. Il se révèle, donc, particulièrement fiable quand ses occupants se mettent à dormir et que le danger survient à l’improviste. Où peut-on placer un détecteur d’inondation ? Prévoir l’emplacement du détecteur d’inondation est crucial. Il est obligatoire de le poser au niveau des endroits à risques, cela veut dire : Près de la chaudière Au niveau des canalisations d’évacuation d’eau Près des appareils électroménagers : lave-vaisselle, lave-linge, évier, baignoire, lavabo, … Dans les pièces équipées de réservoirs à eau : radiateurs à eau, toilettes… Près des fenêtres si le bâtiment est placé dans un emplacement inondable La mise en place de ce genre de dispositif nécessite une pose minutieuse pour éviter toute mauvaise surprise, comme le déclenchement de fausses alertes. En effet, il ne faut jamais mettre le détecteur en route. Pour plus de sécurité, placez d’autres détecteurs connectés ! Le détecteur d’inondation n’est pas le seul dispositif à garantir la sécurité des occupants du bâtiment, il en existe plein d’autres ! Il y a, par exemple, des détecteurs de chaleur et/ou de fumée, qui ont pour rôle de détecter la fumée via une caméra équipée d’un capteur photoélectrique. Si aucune fumée n’est émise, le détecteur supplémentaire installé enregistre une élévation de température dans la pièce et peut, par conséquent, alerter les habitants du danger. Quant au détecteur de monoxyde de carbone, il permet d’éviter une intoxication probablement mortelle. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à joindre un spécialiste dans le domaine ! Il pourra vous conseiller afin de s’équiper du meilleur détecteur d’inondation, et ce au meilleur prix, afin de répondre au mieux à votre besoin de sécurité.
Il y a 3 ans et 324 jours

En première mondiale, Lucibel installe le LiFi dans une gare

Soucieux d'offrir à ses clients du Salon Grand Voyageur une excellente qualité d'accès à internet avec un très haut niveau de sécurité, le groupe SNCF a retenu la solution LiFi de Lucibel pour effectuer cette expérimentation.Délivrant un débit de 100 Mbps et utilisant une lumière infrarouge bidirectionnelle, la solution installée dans ce nouvel espace convivial de la Gare de Lyon est accessible par le biais d'une Lifibox Lucibel qui permet à quatre utilisateurs d'accéder simultanément à internet depuis leur ordinateur. Grâce à ce très haut débit et à une faible latence, la technologie d'avant-garde LiFi offre des conditions optimales d'accès à internet. L'échange de données est parfaitement sécurisé car l'accès à internet n'est possible que sous le cône de lumière, à l'inverse du WIFI dont les ondes radio traversent les murs et peuvent donc être interceptées à distance.Au-delà de cet aspect sécurité, la technologie LiFi présente un autre avantage décisif : par son absence d'ondes radio, elle ne présente aucun danger pour la santé, ni aucune gêne, et est donc parfaitement tolérée par les personnes électrosensibles.Fidèle à sa tradition d'innovation et toujours soucieux du bien-être de sa clientèle, l'opérateur ferroviaire se devait de permettre à ses clients d'expérimenter la technologie LiFi dont le caractère très prometteur laisse entrevoir, à terme, de nombreux cas d'usage, tant pour ses clients que pour son personnel ou pour certaines applications techniques. Frédéric Granotier, Président fondateur du groupe Lucibel voit dans cette réalisation innovante à la Gare de Lyon, la promesse d'un bel avenir en raison des avantages décisifs qu'offre cette technologie LiFi, qui gagne rapidement en notoriété et en maturité, et sur laquelle le groupe Lucibel est pionnier.
Il y a 3 ans et 325 jours

Partir sereinement en vacances : Quelques conseils pratiques pour bien protéger son habitat

Les points clés de vigilance dans le choix d’un système d’alarmeUn système d’alarme est composé de plusieurs éléments auxquels peuvent s’ajouter des services de maintenance et de télésurveillance : une centrale commandant l’activation et la désactivation des détecteurs et constituant le coeur du système, des détecteurs de mouvements, des détecteurs d’ouverture, un ou plusieurs sirènes (intérieur/extérieur), des caméras et un transmetteur (radio ou filaire).Certaines caractéristiques d’une alarme performante sont clés pour dissuader toute tentative d’intrusion et bien protéger une habitation. L’alarme doit être résistante à toute tentative de dégradation de son système - brouillage des ondes, arrachement, désactivation ou destruction. Plus elle sera dotée de fonctionnalités répulsives – brouillard, fumée, sirène, flash lumineux, détection en approche…-, plus elle fera fuir les cambrioleurs.Par ailleurs, grâce à la domotique, les systèmes d’alarme sont pilotables à distance avec un smartphone et capables d’agir intelligemment en cas de potentielles intrusions ; ils peuvent simuler une présence avec l’allumage des lumières de l’habitat, en cas d’absence inhabituelle de l’utilisateur, ou encore déclencher une fermeture des volets roulants motorisés.Un réflexe simple : faire confiance à la certificationPour être sûr de choisir un système d’alarme performant, il suffit de vérifier si le produit est certifié. Tout produit certifié fait en effet l’objet de vérifications (essais en laboratoire, audit des sites de fabrication, contrôles périodiques…) et atteste la performance du produit.La certification « NF2AP » garantit une résistance aux tentatives d’arrachements, de destruction, de désactivation ou encore de brouillage et possède trois niveaux de protection (1 à 3 boucliers) et est délivrée par le CNPP (Centre national de prévention et de protection).Complémentaire, la certification des alarmes « CSPN » (Certification de Sécurité de Premier Niveau) et la certification « @ » attestent que le produit garantit un niveau élevé de robustesse face aux cyberattaques. Délivrées respectivement par l’ANSSI (l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information) et par le CNPP, elles reposent sur une analyse de conformité et des tests d’intrusion numérique.Faire installer son alarme par un professionnel vs DIY (Do It Yourself) ?Le consommateur peut faire appel à un installateur professionnel (électricien ou spécialiste), avec lequel il entretient une relation de confiance et de proximité, et qui travaille en partenariat avec des entreprises industrielles. Il peut aussi préférer souscrire un abonnement auprès d’une société de prestation de service. Il arrive aussi qu’il décide d’installer son système d’alarme de son propre chef. Chacune de ces possibilités présente des atouts.Gain de tempsUn installateur professionnel ou un technicien rattaché à une société de prestation de service fera preuve d’efficacité et saura réagir en cas de problème avec la configuration du logement ou avec le produit. Le dispositif d’alarme sera installé aux endroits stratégiques en un temps limité, tout en ayant la certitude d’un matériel de qualité.Si le consommateur fait le choix d’installer seul son système d’alarme, il devra être bricoleur pour ne pas perdre trop de temps. Certaines étapes peuvent être délicates, comme l’analyse de risques par exemple ; par conséquent, il se doit d’être vigilant dans le choix du produit, d’installer le dispositif de manière à capter un maximum de réseau, et de vérifier si le dispositif fonctionne après son installation.MaintenanceLes sociétés de prestation de service ainsi que certains installateurs professionnels proposent un abonnement pour vérifier la performance du système d’alarme, et assurer sa maintenance. Si le client installe lui-même son alarme, il économise le prix de l’installation et de l’abonnement, mais devra se charger de l’entretien de son équipement.
Il y a 3 ans et 330 jours

Trois centrales au secours de Tchernobyl

En 2010, Imer installe une 3e centrale OneDay, installée à 20 m de deux précédentes. [©Imer] A la suite de la catastrophe du réacteur numéro 4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl, en Ukraine, le 26 avril 1986, un sarcophage en béton avait été construit dans l’urgence. Puis, les travaux se sont poursuivis à 2 km de l’explosion, sur un terrain viabilisé de 147 000 m2 duquel ont été retirés 2 m de terre irradiée, remplacés par du sable. Là, près de 650 personnes sont intervenues pour le compte du groupement de génie civil formé par Vinci Construction Grands Projets et Bouygues Travaux Publics. Objectif : concevoir et construire une usine de préfabrication des conteneurs destinés à conditionner les éléments de combustibles radioactifs, qui alimentaient les différents réacteurs de la centrale… C’est dans ce cadre particulier et parce qu’il garantissait le respect de la norme ISO 9001 de la fabrication à l’installation que l’industriel Imer a été en charge, en 2000, de l’installation et de la mise en service de deux centrales à béton de type Rome CZ3, équipées de malaxeurs Oru MS 1500/1000, d’une capacité unitaire de 40 m3/h de béton. 58 conteneurs à combustible irradié. Devant durer cent ans, les blocs de stockage ont été réalisés avec un béton conçu pour résister à de nombreux cycles de gel-dégel. [abonnés]Ainsi, il fallait limiter les éventuelles formations de bulles d’air dans la matrice, via une formulation adaptée. Les deux centrales Imer ont produit près de 20 000 m3 de béton. De quoi réaliser les 58 conteneurs en béton. Ces éléments cubiques de 6,18 m de côté intégraient un radier de 75 cm d’épaisseur et des cloisons préfabriquées de 30 cm, formant les casiers destinés à recevoir le combustible irradié. Ce dernier est conditionné pour la forme de cylindres en acier inoxydable appelé “canisters”. Quatre sont insérés dans un conteneur avant la pose du couvercle, élément constitué par une prédalle doublée d’une couche de béton également coulée en place. Pour contrôler la non-radioactivité de l’atmosphère, le chantier était doté d’une station d’analyse spécifique, ainsi que d’une antenne météorologique. « La sécurité était très contraignante et devait correspondre pour le chantier aux normes russes », explique Mirk Fugier-Garrel, responsable SAV centrale à béton chez Imer. Un nouveau sarcophage. Imer a été en charge, en 2000, de l’installation et de la mise en service de deux centrales à béton de type Rome CZ3. [©Imer] En 2010, Imer a été rappelé à Tchernobyl pour remettre en service les deux centrales à béton activées dix ans plus tôt. Et surtout pour en installer une troisième, à 20 m des précédentes. Une unité OneDay cette fois-ci, équipée d’un malaxeur Oru MS 2250/15000, capable de produire jusqu’à 60 m3/h de béton. Son utilisation ? Fabriquer les bétons – quelque 60 000 m3 – devant servir à consolider le sarcophage de la centrale nucléaire. « Cette installation a été conçue pour produire des bétons de haute qualité », reprend Mirk Fugier-Garrel. Depuis deux ans maintenant, elle participe au nouveau chantier, qui voit s’élever un dôme au-dessus du sarcophage fissuré. Une sorte de couvercle étanche supplémentaire. Fondée sur deux longrines en béton, cette arche à ossature métallique a été assemblée à l’Ouest du réacteur accidenté avant d’être positionné au-dessus du sarcophage existant. Les fondations définitives du nouvel ouvrage représentent à elles seules 20 000 m3 de béton, également issus des trois centrales Imer. L’achèvement de l’ouvrage est prévu à la fin de 2017 pour un appel d’offres remporté par Novarka, joint venture à parité entre Vinci Construction Grands Projets et Bouygues Travaux Publics.[/abonnés]
Il y a 3 ans et 340 jours

Inquiétudes autour d'une possible fuite à la centrale nucléaire de Taishan, en Chine

ENVIRONNEMENT. Le réacteur EPR n°1 de la centrale atomique de Taishan, en Chine, présenterait une "menace radiologique imminente" selon la chaîne d'information américaine CNN. EDF, membre de la co-entreprise exploitant le site, confirme une "augmentation de la concentration de certains gaz rares dans le circuit primaire" et a convoqué un conseil d'administration d'urgence.
Il y a 3 ans et 346 jours

L’Industrie Magnifique : qu’est-ce qu’habiter veut dire ?

Le Groupe Vivialys, 1er constructeur alsacien de logements, est le mécène principal de la 2ème édition de L’Industrie Magnifique. Le groupe a partagé durant un an sa réflexion avec le collectif L’Ososphère autour de la question « Qu’est-ce qu’habiter veut dire, ici et maintenant, ici et demain ? ». Le fruit de leur travail est une œuvre monumentale intitulée « Cosmos District », déployée dans et autour de la Cathédrale de Strasbourg. Véritable Œuvre à habiter et à investir, Le Cosmos District est un dispositif art-chitectural à base d’installations éphémères telles que containers, architectures modulables et expérimentales, qui donnent à percevoir notre rapport au Cosmos. Le Groupe Vivialys et L’Ososphère ont ainsi créé une véritable complicité permettant de présenter des objets pour certains particulièrement spectaculaires : 12 œuvres installées à l’ombre de la Cathédrale de Strasbourg où l’art numérique interroge nos liens avec le Cosmos, la façon dont nous le percevons et dont il agit sur nous et notre habitat, 6 œuvres en réalité virtuelle, 1 œuvre monumentale dans la Cathédrale : une reproduction de la lune (7m de diamètre) grâce aux photographies HD de la surface lunaire fournies par la NASA, 1 cabinet de curiosités proposés par le Jardin des Sciences de l’Université de Strasbourg, 1 Cosmos radio, des cafés conservatoires, un artfoodlab pour explorer la nourriture et la cuisine dans le cosmos. Photo : P. Menet   
Il y a 3 ans et 347 jours

Certivéa dévoile une radiographie inédite de la rénovation durable des bâtiments tertiaires en France

La rénovation énergétique des bâtiments existants est l'un des leviers prioritaires pour accélérer la transition écologique de notre pays et viser sa neutralité carbone à l'horizon 2050.673 bâtiments tertiaires rénovés, certifiés ou labellisés en développement durable depuis 2006En France depuis 2006, 673 bâtiments non résidentiels rénovés des secteurs public et privé, ont été certifiés ou labellisés par Certivéa pour leurs performances attestées en matière de développement durable. Localisés sur la quasi-totalité du territoire métropolitain, ces bâtiments sont concentrés sur la région Ile de France (80,5%).Ils concernent majoritairement des bureaux (86%) et des établissements d'enseignement (7%) et représentent au total une surface cumulée de 6,4 millions de m².Parmi les acteurs les plus engagés en faveur de la « rénovation durable » en France, on retiendra notamment les foncières GECINA, ALTAREA COGEDIM, BNP PARIBAS, mais aussi des acteurs publics comme l'Université de Bordeaux, la SNCF ou encore le Conseil Général des Alpes de Haute Provence.On note enfin que les acteurs qui engagent leur projet de rénovation en certification ou labellisation ont tendance à opter plutôt pour une démarche « multicritère » qui leur permet d'appréhender de front les questions d'énergie, de santé & confort des occupants, de management de projet responsable, etc.Patrick Nossent, président de Certivéa : « Le plan France Relance consacre la rénovation énergétique des bâtiments comme le chantier majeur pour un monde plus durable. Avec 4 milliards d'euros alloués à la rénovation des bâtiments publics, les décideurs territoriaux et les collectivités locales seront naturellement très attendus pour montrer l'exemple en initiant des projets de rénovation durable partout dans notre pays. La réglementation, avec le décret tertiaire, demande par ailleurs désormais à tous les acteurs du bâtiment non résidentiel, quelle que soit leur envergure, d'abaisser les consommations énergétiques de leur parc de 40% dès 2030. Si cette radiographie 2021 démontre l'engagement remarquable des foncières en particulier dans l'immobilier de bureau, elle est clairement destinée à évoluer dans les toutes prochaines années. A suivre ! »Secteur public : plus de la moitié des bâtiments certifiés en rénovation sont des établissements d'enseignementDans le détail, on compte à l'heure actuelle 75 bâtiments publics rénovés certifiés ou labellisés. Autant d'opérations « exemplaires » initiées par les acteurs publics, notamment les collectivités, pour lutter contre l'urgence climatique et offrir une qualité de vie meilleure à leurs concitoyens avec des bâtiments plus sobres en énergie, plus respectueux de l'environnement, de la santé et du confort des usagers. Plus de la moitié (53%) des bâtiments publics rénovés sont des établissements d'enseignement, et un peu plus du quart (28%) concerne des bureaux. Localisés dans 9 régions métropolitaines, ils sont concentrés entre l'Ile de France (38,7%) et la Nouvelle Aquitaine (32% ).Sur le podium des acteurs les plus investis en faveur de la rénovation durable, on retrouve l'Université de Bordeaux, la SNCF et le Conseil général des Alpes de Haute Provence.A l'instar des tendances observées sur le plan national, les acteurs publics optent majoritairement (62%) pour des démarches de certifications et labellisations globales.Le bureau, moteur de la rénovation durable dans le secteur privéAvec 596 opérations certifiées ou labellisées en rénovation depuis 2006, le secteur privé porte la très grande majorité (88,5%) des projets de rénovation durable.Le secteur de l'immobilier de bureau, qui représente à lui seul 93% des opérations est le moteur de la rénovation durable dans le privé. Le secteur de l'hôtellerie cumule 2% des opérations certifiées, le restant (5%) concerne les commerces, l'enseignement et la santé.En cohérence avec les tendances générales, ces projets sont répartis sur l'ensemble du territoire métropolitain avec une concentration en Ile de France (85% ).Sur le podium des acteurs les plus engagés en faveur de la rénovation durable dans le privé, on retrouve GECINA, ALTAREA COGEDIM et BNP PARIBAS.Pour retrouver plus de détails et notamment sur les secteurs du bureau et de l'enseignement, la radiographie Certivéa de la rénovation durable est disponible en téléchargement en cliquant ici.
Il y a 3 ans et 350 jours

Daitem lance Daitem Lynx, sa nouvelle gamme d’alarme 100% connectée

Daitem lance Lynx, une nouvelle gamme d’alarme 100 % connectée. Avec cette nouvelle offre, la marque experte de l’alarme radio depuis bientôt 45 ans, propose des systèmes d’alarmes développés et fabriqués en France, adaptés aux habitations de petites et moyennes surfaces. Pour une plus grande sérénité des occupants, la gamme inclut aussi bien des dispositifs de détection intérieurs qu’extérieurs. Grâce à une gamme compacte, les systèmes d’alarmes Daitem Lynx constituent une alternative compétitive tout en embarquant les atouts propres à la haute fiabilité d’un système Daitem : Technologie TwinBand®, protocole de communication hautement sécurisé, centrale indépendante du secteur avec une autonomie de 4 ans, synthèse vocale… Sans fil, son installation ne nécessite pas de gros travaux. Affranchis de ces contraintes d’installation, les composants du système d’alarme sont positionnés pour répondre parfaitement aux besoins de sécurisation du bien. Il est également possible de faire évoluer son système d’alarme au fil du temps : ajout d’une pièce, évolution du mode de vie… Sécuriser son habitat à distance Pour piloter et recevoir des notifications à distance, l’utilisateur dispose d’une application dédiée sur smartphone et tablette, Daitem Lynx. L’utilisateur peut activer ou désactiver son système à distance. Il peut aussi visualiser les images des détecteurs à capture d’images à tout moment. L’application permet aussi de déclencher des alarmes volontairement, sonores ou silencieuses. Quelques composants clés Centrale : Cœur du système d’alarme, la centrale est dotée d’un haut-parleur qui confirme la prise en compte des commandes. Pour une réaction adaptée à chaque situation, le déclenchement du système est progressif. Indépendante du secteur, elle peut être installée en hauteur pour être difficilement accessible. Elle dispose d’une autonomie de 4 ans. Détecteur extérieur de mouvement : Alors que 95 % des cambrioleurs s’enfuient lorsqu’ils entendent une sirène, il est aujourd’hui essentiel de compléter son système d’alarme de produits de détection et de dissuasion extérieure. Pour déclencher l’alerte, les 2 rangées de faisceaux (inférieurs et supérieurs) du détecteur extérieur doivent être coupés simultanément. Ce qui permet une distinction entre humains et animaux et évite les faux déclenchements. Sa protection volumétrique extérieure est de 12 m sur 90°. Détecteur d’ouverture miniature : Le détecteur permet de sécuriser les issues telles qu’une porte d’entrée, fenêtre mais également une baie vitrée, y compris à galandage. Son design ultraplat et ses dimensions réduites le rendent presque invisible[1]. Le détecteur intègre deux technologies complémentaires, accéléromètre et magnétomètre, pour une détection ultra-fiable et une alerte dès l’ouverture de l’issue. [1] L’aimant qui se fixe sur le dormant a la taille d’une pièce de dix centimes. Des produits certifiés, reconnus pour leur fiabilité Un système d’alarme Daitem, c’est le choix d’un matériel certifié, conçu, fabriqué et assemblé en France, en Isère, et installé par un professionnel. Les produits de la gamme Daitem Lynx ont obtenu le label Origine France Garantie délivré par le bureau Veritas Certification. Les systèmes d’alarmes Daitem sont conformes aux dispositions des directives européennes et certifiés NF&A2P 2 boucliers, certification délivrée conjointement par l’AFNOR et le CNPP, garantissant un niveau de fiabilité maximale. Enfin, les produits Daitem sont garantis 4 ans, respectant les normes industrielles les plus rigoureuses, avec un contrôle de chacun de ses composants à 100%. Télésurveillance avec Daitem Services L’ensemble du dispositif de sécurité peut-être complété par un service de télésurveillance, 14h/14 et 7j/j – avec des formules dédiées. S’appuyant elle aussi sur les technologies radio TwinBand®, la nouvelle gamme Daitem Lynx s’inscrit dans la continuité des gammes premium e-Nova et e-Sens, et constitue une alternative compétitive pour protéger efficacement des biens de plus petites surfaces. Retrouvez toutes les informations sur la nouvelle gamme d’alarmes Daitem Lynx sur daitem.fr.  
Il y a 3 ans et 351 jours

Les Fabricants de Menuiseries dressent le bilan de l’année écoulée et préparent l'avenir

L’occasion de faire un bilan de l’année exceptionnelle écoulée et de mettre en perspective ses projets. La valorisation de la fenêtre de qualité fabriquée en France, le recyclage et le développement durable restant des enjeux au sein de l’UFME, des actions seront déployées autour de ces axes forts.Une année dense qui a vu aboutir de nouveaux projetsAprès l’arrêt brutal des productions début 2020 dû à la covid-19, puis une reprise en « stop and go » pendant quelques mois, les carnets de commandes se sont à nouveau remplis dès juin 2020. La situation s’est par la suite compliquée avec les problèmes d’approvisionnement en matières premières, engendrant notamment des hausses tarifaires. Durant cette année très dense, l’UFME a accompagné ses adhérents au quotidien. En témoignent par exemple l’achat groupé de masques, le décryptage des protocoles sanitaires et leur adaptation aux métiers tout en poursuivant les objectifs fixés avant la pandémie :le lancement de la troisième phase de sa campagne de communication dédiée à la fenêtre PVC,la participation active dans l’élaboration des futures réglementations environnementales,l’amplification de la visibilité de la Charte UFME pour le recyclage des menuiseries,la mise en place d’un prochain CQP menuisier industriel,la gestion du label qualité QualiPVC Fenêtres,la valorisation de l’efficacité de la fenêtre dans la performance thermique du bâtiment.« La mobilisation massive de la filière, le dynamisme du bâtiment placé comme un secteur de poids et l’habitat devenu une valeur refuge où les performances des menuiseries ont un rôle essentiel à jouer, nous rendent optimistes pour l’avenir. L’UFME est reconnue comme un organisme professionnel inscrit dans une dynamique constante, tournée vers l’avenir. Nous poursuivons nos missions autour de deux piliers qui nous sont chers. Tout d’abord l’environnement. Nous lançons une marque dédiée à notre Charte pour le recyclage des menuiseries : FERVAM, Filière Engagée pour le Recyclage et la VAlorisation des Menuiseries. La mise en exergue de l’efficacité réelle des fenêtres dans la performance thermique des bâtiments reste au coeur de notre démarche. La fenêtre française possède tous les atouts essentiels pour atteindre les objectifs environnementaux. Autre mission, la revalorisation de la fenêtre française de qualité. Nous mettons en marche la troisième phase de notre campagne de communication destinée aux particuliers et ouvrons un groupe de travail dédié à la défense de la fenêtre PVC vers un public institutionnel. Nous allons collaborer activement aux campagnes sur les fenêtres bois financées par le CODIFAB. ». Bruno CADUDAL, Président de l’UFMEDe nouvelles ambitions pour les trois CommissionsCommission TechniqueLa préparation des échéances règlementaires de 2022 (RE2020 et loi AGEC) a été l’une des priorités ces derniers mois, au même titre que l’accompagnement des entreprises dans la dématérialisation des échanges de données. L’UFME finalise les études en cours, notamment avec la Filière Parois Vitrées, Volet carbone, pour parfaire sa compréhension des impacts futurs de la RE2020. Elle participera également à la mise en place du futur éco-organisme de la REP Bâtiment.« Plus que jamais, notre profession a besoin de développer le sourcing de matières premières issues du recyclage pour répondre aux enjeux environnementaux et travailler son indépendance vis-à-vis des matières premières vierges. ». Hugues DE FORGES, Président de la Commission TechniqueCommission Social et FormationParmi les missions menées, la mise en place d’un nouveau CQP Menuisier industriel Fabrication de fenêtres et de portes, essentiel à l’heure où le métier a fortement évolué. Après une phase d’expérimentation menée avec des salariés d'entreprises adhérentes volontaires pour monter en compétence, la première promotion s’est vue attribuer le CQP fin 2020. Ce dernier devrait être inscrit au RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles) d’ici fin 2021.« Nous avons pour projet de structurer le réseau d'organismes de formation agréés en capacité de former à ce CQP. Un kit pour les candidats trop éloignés des centres par exemple, va également être élaboré. Nous souhaitons susciter des vocations et faire grandir le nombre de nos collaborateurs passionnés, pour contribuer à la pérennité de nos entreprises et de la fabrication française. ». Jean-Marc COMBES, Président de la Commission Social et FormationCommission CommunicationUne campagne de communication nationale a renforcé l’image de la fenêtre PVC vers le ménage français au travers d’une campagne pluri médias : presse, radio et surtout digital. Au total, le site choisirmafenetre.fr comptabilise 400 000 visites depuis le début de la campagne. En parallèle, le site ufme.fr dédié aux professionnels et prescripteurs, a été redynamisé.« Un Guide de la Fenêtre PVC va bientôt voir le jour pour accompagner les particuliers dans leur choix. C’est l’aboutissement d’un travail collectif dont nous sommes fiers. Nous allons également poursuivre la valorisation de la certification NF Fenêtre, et du label QualiPVC Fenêtre dont la gestion vient de nous être confiée. ». Patrick SAGE, Président de la Commission Communication
Il y a 3 ans et 353 jours

Hager lance une nouvelle gamme d’horloges digitales programmables

Hager lance une nouvelle gamme d’horloges programmables pour automatiser le fonctionnement des équipements électriques dans l’habitat individuel, collectif ou le petit tertiaire. Quatre références viennent remplacer les références précédentes. Simples à mettre en œuvre, elles se raccordent en filaire sur des boutons poussoirs ou en radio avec les boutons radio Hager. Ensuite, ces horloges sont pilotables à la fois en local avec son smartphone et l’application Hager Mood, ou à distance via le contrôleur coviva. Installée dans le tableau électrique, l’horloge digitale permet un pilotage automatisé (accès, éclairage extérieur, piscine) et une meilleure gestion des énergies (éclairage, chauffage, chauffe-eau). L’horloge digitale programmable de Hager réunit en un seul produit plusieurs fonctions de commutation : horaire, crépusculaire, astronomique, minuterie, télérupteur. En mode horaire, elle permet à l’installateur de créer des horaires de temporisation. La programmation des périodes de commutation est définie selon les paramètres d’entrée : heure, luminosité, date… Le scénario peut être répété chaque jour, chaque semaine ou d’un mois sur l’autre. En mode crépusculaire, c’est un capteur crépusculaire optionnel qui détecte les changements de conditions de luminosité sur place et ajuste automatiquement la commutation. Avec la fonction astronomique, le programmateur adapte automatiquement ses cycles de commutation au lever et au coucher du soleil. Une fonction minuterie et un préavis d’extinction sont également possibles. Pilotage avec l’application Hager Mood Nouveauté majeure de la gamme, les horloges peuvent être programmées par l’installateur, sur son smartphone, depuis l’application Hager Mood. Ceci lui permet de programmer les horaires de commutation, de créer des scénarios, avant même de se rendre sur le chantier. Sur place, il aura la possibilité de les modifier ou de les partager à ses clients. Les programmations peuvent aussi être partagées au sein d’une même équipe, permettant l’installation de l’horloge pré-programmée par un collègue par exemple. Compatibilité avec coviva Grâce à sa communication radio quicklink intégrée, l’horloge peut être associée avec le contrôleur domotique coviva. Il peut également être piloté en parallèle par des boutons de dérogation ou des commandes radio quicklink. Cette connectivité radio quicklink permet d’intégrer les scénarios programmés au niveau de l’horloge dans le système coviva pour un pilotage en local et à distance. Nécessitant moins de travaux, comme des saignées dans les murs, la commande radio quicklink est idéale pour les installations électriques déjà existantes. Quatre références Les programmateurs EGN100, EGN200 et EGN400 combinent toutes les fonctions d’un programmateur moderne. Pour les fonctions de commutations hebdomadaires moins complexes, EGN103 offre une solution simple et économique à un seul canal, disponible sous forme de kit ou comme appareil individuel. EGN103 Programmateur hebdomadaire numérique 1 canal Programmes journaliers et hebdomadaires Programmation par smartphone avec clé de programmation Bluetooth EGN003         EGN100 Programmateur multifonctions numérique avec Bluetooth 1 canal Programmes journaliers, hebdomadaires et annuels Fonction astronomique et crépusculaire avec sonde Commande locale (avec Hager Mood) et à distance (avec coviva) depuis smartphone Compatible avec les interrupteurs et sonde de luminosité radio         EGN200 Programmateur multifonctions numérique avec Bluetooth 2 canaux Programmes journaliers, hebdomadaires et annuels Fonction astronomique et crépusculaire avec sonde Commande locale (avec Hager Mood) et à distance (avec coviva) depuis smartphone Compatible avec les interrupteurs et sonde de luminosité radio         EGN400 Programmateur multifonctions numérique avec Bluetooth 4 canaux Programmes journaliers, hebdomadaires et annuels Fonction astronomique et crépusculaire avec sonde Commande locale (avec Hager Mood) et à distance (avec coviva) depuis smartphone Compatible avec les interrupteurs et sonde de luminosité radio
Il y a 4 ans et 2 jours

Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment font le point sur les enjeux de la REP

"Le Grand Dossier du Mondial du Bâtiment" qui s'est tenu le 7 mai dans le cadre des seconds Rendez-vous du Mondial était consacré au thème de la responsabilité élargie du producteur (REP) sous l'intitulé "REP : quels enjeux pour le secteur du bâtiment ? " et réunissait pour débattre :Stéphanie JACOB, Présidente du GT économie circulaire de l'AIMCC,Hervé DE MAISTRE, Président du Comité Stratégique de Filière IPC,Sylviane OBERLÉ, Chargée de Mission Prévention des Pollutions, Association des Maires de France.L'occasion durant 45 minutes de faire un point précis sur les avancées de la filière à Responsabilité Élargie du Producteur pour les produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment qui devra s'appliquer à partir du 1er janvier 2022.REP : des concertations toujours en coursAfin d'accélérer la transition vers une nécessaire économie circulaire, le gouvernement a publié en 2018 une Feuille de route économie circulaire qui actait le principe de création de nouvelles filières à Responsabilité Élargie des Producteurs (REP). La mesure 33 de cette Feuille de route concernait l'étude de la mise en place d'une filière REP appliquée aux déchets du bâtiment. Cela a été intégré dans la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire du 10 février 2020. La filière REP pour les produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment (PMCB) doit être mise en place à compter du 1er janvier 2022.2Mise en consultation le 21 avril dernier par les pouvoirs publics, une note d'orientation présente les principes qu'ils proposent d'appliquer pour la mise en place de cette filière REP. Des réunions de concertation sont toujours en cours avant publication d'un décret périmètre et les différentes parties prenantes de ce dossier doivent rendre leurs conclusions le 18 mai. Ce sera ensuite à l'État de trancher.L'étude de Préfiguration de la filière REP des produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment éditée par l'Ademe en mars 2021 fixe plusieurs lignes directrices :Développer le maillage des points de reprise afin d'offrir des solutions de proximité aux détenteurs sur tout le territoire,Déterminer les modalités de la reprise sans frais des déchets faisant l'objet d'une collecte séparée,Renforcer la traçabilité des déchets,Développer le recyclage/valorisation des déchets de PMCB, en particulier ceux présentant de faibles performances de recyclage/valorisation,Amplifier le réemploi/réutilisation des PMCB,Développer l'éco-conception.Lors de la matinée du 7 mai, les 3 intervenants ont souligné leur mobilisation autour de la définition et de la mise en place de la REP. Stéphanie Jacob indique ainsi : « Nous souhaitons tous faire de cette REP une réussite. », tandis qu'Hervé de Maistre souligne « Il reste du travail à faire pour affiner ce qui qui a été proposé. Mais beaucoup de choses existent déjà sur le terrain qu'il convient d'amplifier. ». Pour Sylviane Oberlé : « Les collectivités sont en attente d'un dispositif pragmatique et qui fonctionne. Peu importe sa nature. »Une nécessaire réflexion autour du maillage et du tri à la sourceLa loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (dite AGEC) à l'origine de la création de la REP a notamment pour enjeu la lutte contre les dépôts sauvages. C'est l'une des raisons pour lesquelles le maillage territorial est essentiel. L'Ademe préconise ainsi des points de collecte tous les 15 kilomètres en moyenne et 10 kilomètres autour des grandes agglomérations. Sylviane Oberlé précise : « Les déchèteries publiques collectent 13 millions de tonnes de déchets d'acteurs très divers : particuliers, artisans et grandes entreprises. Il est impossible d'en accueillir plus. C'est pourquoi le maillage est essentiel mais aussi l'adaptation de ce maillage aux déchets reçus. Nous préconisons que les particuliers continuent d'être accueillis par les déchèteries des collectivités. Que les grandes entreprises gèrent eux-mêmes leurs déchets et que les artisans bénéficient d'un système hybride en adéquation avec leurs besoins. ».Ce sont ces besoins qu'Hervé de Maistre souligne aussi :« Les artisans ont besoin d'une grande amplitude d'horaires que les déchèteries actuelles ne peuvent pas gérer. Les dépôts sauvages viennent notamment de ces difficultés à trouver des lieux ouverts à des horaires qui conviennent à l'activité des artisans. Il faut penser le maillage en termes géographiques mais aussi en termes de services rendus. »Stéphanie Jacob apporte quelques précisions : « La REP que nous sommes en train de mettre en place est la plus importante en termes de quantité. 45 millions de tonnes de déchets, dont 33 millions de tonnes de déchets inertes, doivent être recueillis. Ce sont des dimensions totalement inédites et une mise en place qui doit être faite dans un temps très contraint. »Et pour que cette REP fonctionne, chacun des interlocuteurs insiste sur l'importance du tri à la source. Pour Hervé de Maistre : « Le tri à la source est fondamental. Pour recycler, il faut d'abord trier correctement. ». Pour autant, pas question que les bennes de récupérations se multiplient à l'entrée des chantiers. Pour les professionnels du secteur, la reprise gratuite doit s'organiser au point de reprise.La création d'un éco-organisme dédiéLes metteurs sur le marché s'organisent et ont pris la décision de créer un éco-organisme spécifique. Aujourd'hui, 25 acteurs (industriels et distributeurs) sont mobilisés autour de ce projet piloté par Hervé de Maistre : « Les metteurs sur le marché déjà engagés dans ce projet ont apporté des contributions positives et proactives. Toutes les conditions sont réunies pour s'engager dans un projet ambitieux qui prévoit aussi de préserver ce qui fonctionne déjà pour faire progresser l'ensemble de la filière. »Sylviane Oberlé indique de son côté : « Les collectivités travaillent déjà avec 10 ou 15 éco-organismes. Ce qui est intéressant ici, c'est que la REP émane de metteurs sur le marché tout comme l'éco-organisme en cours de création. Pour les collectivités, il est important que les éco-organismes travaillent ensemble. »Pour voir ou revoir Les rendez-vous du Mondial du Bâtiment du 7 mai, cliquez ici
Il y a 4 ans et 10 jours

Le spécialiste allemand Homematic IP arrive sur le marché français de la domotique

La marque s’appuie sur les 14 années d’expertise de son groupe, eQ-3 AG (ex membre du groupe ELV crée en 1978), leader dans le domaine de la maison intelligente et de l’efficacité énergétique en Allemagne.La domotique à portée de mainLes solutions domotiques Homematic IP ont été créées pour proposer au marché grand public des produits particulièrement simples à connecter, faciles à utiliser et avec un niveau de sécurité élevé. Elles sont aussi bien adaptées à un projet de construction que de rénovation, et que l’utilisateur soit en accession à la propriété ou en location.L’offre de la marque allemande repose sur l’installation de la centrale Homematic IP Access Point, une box compacte connectée au réseau en filaire et sur l’utilisation de l’application Homematic IP (disponible sous Android et iOS).Elle se différencie par l’utilisation de QR codes individuels, fournis avec chaque produit, permettant de les connecter simplement au système domotique Homematic IP via l’application. L’absence de connexion wifi pour brancher la centrale Access Point (via un câble RJ45) et l’utilisation de QR codes pour connecter les différents produits permet de maintenir le niveau de sécurité à son maximum.Autre point fort, la création d’un compte n’est pas requise pour utiliser l’application, ainsi l’utilisateur ne renseigne aucune donnée personnelle le concernant afin de préserver sa vie privée. Cette phase, ainsi que le fonctionnement, est entièrement anonyme.Homematic IP est d’ailleurs le seul système Smart Home à avoir été distingué par la fédération allemande de l’électrotechnique, VDE, pour la sécurité de son protocole, de son système informatique et de ses données.Un éventail complet de produits connectésLes solutions domotiques Homematic IP utilisent le protocole unique de la marque basé sur le protocole de toute dernière génération IPv6, parfaitement adapté à l'Internet des objets (IoT). Grâce à ce protocole, tous les appareils Homematic IP possèdent leur propre adresse IPv6 pour communiquer au sein du système, permettant ainsi d’enregistrer les informations et les statuts directement sur les appareils – sans passer par le cloud. Cette intercommunication directe augmente également la sécurité et minimise les temps de latence, l’exécution des commandes est ainsi plus rapide. La solution peut être étendue de manière flexible à tout moment : tous les produits communiquent par radio et peuvent ainsi être installés très facilement dans la maison. La fréquence de 868 MHz du protocole sans fil Homematic IP présente l’avantage d’être robuste et fiable : il n'y a pas d'interférences causées par WLAN, Bluetooth ou d'autres normes radio fonctionnant avec la bande de fréquence de 2,4 GHz.Grâce au catalogue complet de produits Homematic IP enrichit en permanence, il est possible d’automatiser tous les univers de la maison pour s’adapter aux modes de vie de chacun. La marque dispose de solutions domotiques (kits de démarrage et équipements individuels) pour sécuriser et surveiller la maison à l’intérieur et à l’extérieur, pour gérer et piloter le chauffage, mais aussi pour commander l’éclairage et les ouvrants.Le service de cloud Homematic IP permet quant à lui d’accéder gratuitement (pas de frais de suivi ou de contrat) aux appareils à distance et de visualiser leur statut en continu. Si les phases de configuration et de commande nécessitent une connexion Internet, les fonctions de base restent quant à elles disponibles à tout moment, même hors ligne !Le système Homematic IP offre en outre des fonctions d’automatisation basées sur le cloud pour créer facilement desambiances et scénarios personnalisés – par exemple pour profiter d’une soirée agréable devant la télévision, l’éclairage du plafond s’éteint, le rétroéclairage s’allume et les volets roulants du salon se ferment.Il est même possible de déclencher des scénarios en fonction de la météo, du coucher ou du lever de soleil, de l’heure ou même en fonction des informations transmises par les capteurs. Le système fonctionne également avec Amazon Alexa et l’assistant Google Home, pour commander son système domotique à la voix avec les produits Homematic IP mais aussi des appareils d’autres fabricants. Les interfaces système ouvertes sont utilisées pour la connexion à d’autres plateformes IoT (Conrad Connect, Mediola...).Les produits Homematic IP sont déjà disponibles chez rueducommerce.com, planetedomotique.com, manomano.fr, ELV.fr, amazon.fr...
Il y a 4 ans et 16 jours

ARI 901 – Nouvel utilitaire électrique pour toutes les utilisations

Désormais disponible en Europe, ARI Motors présente son nouvel utilitaire électrique « ARI 901 » avec 900 kg de charge utile, et jusqu’à 260 km d’autonomie déclinés en 4 modèles. Pour la première fois sur le marché français le fabricant de véhicules électriques de Leipzig ARI Motors, commercialise un grand utilitaire électrique avec un choix de différentes structures. Les variantes plateau, benne basculante et camion sont disponibles en trois tailles différentes. La zone de chargement maximale est de 5 m², le volume de chargement maximal est supérieur à 7,5 m³, le camion peut également être équipé d’une unité frigorifique. Il existe également une variante disponible en tant que fourgon. « Cela signifie qu’il existe enfin un utilitaire flexible pour tous les besoins en France, que ça soit pour les entreprises ou à des fins municipales », déclare Thomas Kuwatsch cofondateur et Directeur Financier d’ARI.   UN UTILITAIRE EFFICACE ET A MOINDRE COUT. L’ARI 901 peut être chargé avec 900 kilogrammes. Il joue donc dans la catégorie des grands utilitaires. Le prix d’achat de la version de base est d’un peu moins de 30.000 € (bonus écologique non déduit). Chaque kilo de charge utile ne coûte que 33 €. « La plupart des fourgons avec une charge utile similaire sont proposés pour environ 50.000 € et disposent d’une autonomie équivalente au ARI 901 », déclare Thomas Kuwatsch. S’ajoute ici la déduction du bonus écologique sur le prix d’achat, 6.000€ pour les professionnels et jusqu’à 7.000€ pour les particuliers. Le véhicule est propulsé par un moteur électrique de 60 kW. La vitesse de pointe de l’utilitaire est de 100 km/h. La batterie lithium-ion de 40 kWh permet au 901 de parcourir jusqu’à 260 kilomètres, comme cela a été démontré lors d’un essai sur plus de 10.000 kilomètres. Le temps de recharge de 6 à 8 heures via une prise de type 2 peut être réduit de moitié grâce à une fonction de charge rapide CCS. Un accessoire particulièrement pratique : un panneau solaire, offre une autonomie supplémentaire de 70 kilomètres sous un ensoleillement optimal. L’équipement standard de l’ARI 901 comprend des vitres électriques, une radio et un verrouillage centralisé. Sur demande l’utilitaire peut être équipé de la climatisation et d’une caméra de recul. En outre, des accessoires de transport pratiques tels que des portes supplémentaires pour le corps de coffre ainsi que des œillets d’arrimage, une grille de vantail ou une structure de bâche pour la zone de chargement sont disponibles. Le délai de livraison est de 4 à 14 semaines selon le modèle et les options choisies. Pour ARI Motors, qui adapte les véhicules chinois au marché européen, le lancement sur le marché français d’un utilitaire électrique représente la prochaine grande étape dans l’histoire de l’entreprise qui a presque 5 ans. Jusqu’à présent, l’entreprise de Leipzig commercialisait majoritairement des véhicules utilitaires électriques plus petits. « De nombreux clients nous ont demandé à maintes reprises un fourgon électrique encore plus puissant », explique Thomas Kuwatsch. « Désormais, nous en avons un qui représente une réelle concurrence, même pour les modèles de très grands fabricants ». ARI Motors GmbH propose des véhicules électriques intelligents et abordables sur le marché allemand depuis 2017, et des véhicules électriques ont récemment été également disponibles en Autriche via la vente directe. L’entreprise propose des essais routiers, organisés sur place, pour tester de manière plus approfondie le véhicule. En plus des partenaires de service, chaque garage automobile “conventionnel” peut prendre en charge l’inspection et la réparation des véhicules ARI Motors, puisque des schémas de circuits et des instructions de réparation sont disponibles.
Il y a 4 ans et 21 jours

Husqvarna Constructions Products France enrichit sa gamme de ponceuses de sol et propose une offre globale pour toutes les surfaces

Disposant déjà de nombreuses ponceuses de sol, Husqvarna Construction Products France enrichit aujourd’hui son offre avec de nouveaux modèles. PG et intègre les produits phares HTC, marque reconnue des professionnels, dans une seule et même gamme en capitalisant sur la marque Husqvarna Construction Products.Grâce à cet ensemble de machines qui allie hautes performances, fiabilité et ergonomie intuitive, Husqvarna Construction Products apporte ainsi une solution de ponçage adaptée à chaque surface et répond aux défis quotidiens des professionnels.Nouvelle gamme de ponceuses de sol PGHautes performancesAfin de répondre à tous les besoins, la nouvelle gamme de ponceuses de sol PG est composée de 7 machines réparties en 3 tailles de ponçage différentes (PG 540 / PG 690 / PG 690 RC / PG 830 / PG 830 S / PG 830 RC).Plus puissante que jamais, elle offre des performances exceptionnelles, quelles que soient les conditions, pour un travail rapide et d’une très grande précision.Pour cela, elle s’appuie sur le système breveté Husqvarna Dual Drive TechnologyTM qui permet d’obtenir un meilleur rendement que le système classique. La technologie Dual Drive de Husqvarna repose sur deux moteurs séparés, l’un pour la tête de ponçage et l’autre pour les disques, qui fonctionnent indépendamment l’un de l’autre. Cette fonction unique autorise une combinaison quasi-illimitée de paramètres et un excellent contrôle du processus. Dual Drive TechnologyTM fait tourner la tête et les disques de ponçage en sens contraire ou dans le même sens de rotation. Cette dernière garantit des performances supérieures au niveau des arêtes (seulement 13 mm non poncés en raz de mur) alors que la rotation en sens inverse permet d’obtenir un effet de ponçage plus marqué au centre.La nouvelle gamme de ponceuses de sol PG radio-contrôlées est équipée :d’une fonction d’oscillation pour des sols plus plats et l’élimination des lignes et des crêtes,d’une propulsion stable et précise pour un ponçage au plus près des murs,d’un nouveau moteur haut de gamme de 15 kW/ 20 ch générant une augmentation de la puissance jusqu’à36%,de poids intégrés réglables (en option) pour une pression de ponçage supplémentaire,d’une télécommande radio légère et facile à utiliser, disponibles sur certains modèles (PG 690 RC et PG830 RC), offrant jusqu’à 40% de productivité supplémentaire par rapport à une ponceuse manuelle.FiabilitéLa nouvelle gamme de ponceuses de sol PG est conçue pour protéger ses composants essentiels de la boue, de la poussière et de la chaleur pour une plus grande fiabilité et durabilité. Le coffret électrique, doté d’une technologie de refroidissement externe, est étanche à la poussière tout comme la nouvelle conception de transmission Dual Drive TechnologyTM. Avec un intervalle d’entretien de 1000 heures, la tête de ponçage est étanche à l’eau et à la poussière.Une gamme complète pour tous les travaux de ponçageEn rationalisant ses gammes et en réunissant ses ponceuses sous une même marque, Husqvarna Construction Products France simplifie la lecture de celle-ci pour les professionnels. Pour afficher l’héritage de ses solutions techniques brevetées uniques dans le domaine de la préparation de surface, la marque HTC, à forte notoriété, demeure dans le nom du produit. De même, la technologie innovante Duratiq est mentionnée par une étiquette sur les modèles concernés.Adaptée à la préparation des sols, du ponçage des bords à celui des surfaces plus importantes, l’offre globale d’Husqvarna Construction Products France se compose :des grandes ponceuses, pour des ponçages industriels et commerciaux avec les modèles HTC (HTC T5 ; HTC T6/X6/RT6/RX6/XP6 ; HTC T8/X8/RX8 et HTC 950 RX) et les modèles PG (PG 540, PG 690/690P/690 RC et PG830S/830/830 RC) ;les petites ponceuses PG, pour des surfaces béton de petite et moyenne taille ( PG 280/400/450/510) ;la ponceuse HTC 270 EG, conçue pour les bordures.Des outils diamantés en complémentEn complément de ses ponceuses de sol, Husqvarna Construction Products dispose d’une offre complète d’outils diamantés de qualité professionnelle adaptée à toutes les étapes de ponçage et de polissage, à toutes les finitions et surfaces, du béton le plus dur au béton le plus tendre et poreux ainsi que pour la pierre naturelle et les terrazzo.Des services associésPartenaire de confiance, Husqvarna Construction Products France met à la disposition des professionnels des services dédiés :Husqvarna Fleet ServicesTM, nouveau système de connectivité embarquée qui collecte et affiche des analyses de données détaillées sur l’état de la machine : temps d’utilisation, suivi entretien, ... autant d’indicateurs permettant de gérer facilement et à distance la maintenance de l’appareil.Upcare, contrat d’entretien à prix fixe.TotalCare, combine les solutions Husqvarna FleetService et Upcare avec une solution de financement Husqvarna Financial Services pour être certain de travailler en toute tranquillité.