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Il y a 4 ans et 201 jours

Batimat, Idéobain et Interclima se réinventent en 2022 !

Pour répondre aux demandes des professionnels du Bâtiment, de la Construction et de l’Architecture, Reed Expositions, l’Afisb1 et Uniclima2 réinventent les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA dont la prochaine édition se tiendra pendant 4 jours, du 3 au 6 octobre 2022, à Paris Expo Porte de Versailles.  Ce retour à Paris et ce nouveau calendrier biennal, en année paire, s’accompagnent d’une profonde transformation de l’évènement, avec un concept d’exposition totalement repensé et une offre digitale enrichie.  _______________________ 1 Afisb, Association Française des Industries de la Salle de Bains, propriétaire du salon IDÉOBAIN. 2Uniclima, Syndicat des industries Thermiques, Aérauliques et Frigorifiques, propriétaire du salon INTERCLIMA.  LE VOEU DES PROFESSIONNELS EXAUCÉ  Grâce à un travail en collaboration avec Viparis, propriétaire de Paris Expo Porte de Versailles, les organisateurs du Mondial du Bâtiment ont pu saisir l’opportunité de revenir sur le site historique des salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA. Ce retour permet de répondre aux souhaits des professionnels du Bâtiment, de la Construction et de l’Architecture d’un évènement plus convivial et à proximité du centre de Paris et de son offre de tourisme d’affaires.  Parmi les conditions pour ce retour à Paris Expo Porte de Versailles, figurait une modification de la date de l’évènement. L’édition 2021 est ainsi reportée à l’automne 2022, ce qui devrait également minimiser les risques de décalages successifs en cas de prolongation de la pandémie actuelle, et faciliter la présence des exposants et visiteurs internationaux. Les trois salons se tiendront dorénavant tous les deux ans au mois d’octobre en année paire, en alternance avec ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, les années impaires.  UN ÉVÈNEMENT PLUS EFFICACE ET PLUS SOBRE  En 2022, les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA occuperont les espaces du Hall 1 au Hall 6, représentant une surface d’exposition de plus de 136 000 m². Cette surface étant inférieure à celle disponible au Parc de Paris Nord Villepinte, ce retour s’accompagnera par conséquent d’un chantier d’aménagement de l’offre et de la logistique de l’évènement.  Ainsi, les exposants se verront proposer une nouvelle offre d’exposition, organisée autour de modules standards et de tailles de stand limitées. De plus, un projet logistique d’envergure aura pour objectif de réduire les temps de montage/démontage et de fluidifier les flux autour de la Porte de Versailles.  Cette refonte de l’offre et de la logistique évènementielle apportera de multiples avantages aux exposants : choix de l’emplacement dès l’inscription, augmentation significative du retour sur investissement (ROI) par une réduction des coûts d’exposition et du passage à 4 jours pour tous les salons.  L’autre enjeu est celui de l’évènement lui-même qui va devenir plus sobre et s’inscrire dans une démarche RSE, dans le cadre de la feuille de route que s’est donné Reed Expositions France. Le Mondial du Bâtiment sera le premier grand salon du secteur à mettre en oeuvre une politique et des actions d’envergure pour la réduction de ses impacts : réduction et revalorisation des déchets, politique d’achats responsables, écoconception, restauration responsable….  UNE OFFRE DIGITALE DE RUPTURE « 365 jours/365 jours »  Pour développer la visibilité des exposants entre deux éditions du Mondial du Bâtiment et leur permettre de préparer une rencontre conviviale et qualitative pendant les 4 jours de salon physique, les organisateurs de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA ont également conçu une offre nouvelle d’outils digitaux. Elle a pour ambition d’augmenter le nombre de contacts et la notoriété des marques des exposants sur une période élargie : la mise en relation et la visibilité, coeur de métier des salons, sont maintenant étendues entre deux éditions grâce au digital.  Disponible dès la signature de participation au salon physique, cette offre en rupture avec les pratiques du métier s’articule autour d’un mix de solutions digitales : des contenus multiformes disponibles sur les blogs – livres blancs, articles, nouveautés produits… – des tables rondes en live et en replay, des émissions et podcasts sur Batiradio, des moments interactifs avec des webinars et des conversations en ligne.  Bien plus qu’un simple come-back à la Porte de Versailles, c’est la fédération du plus grand nombre d’acteurs du bâtiment que nous promettent la réinvention de l’évènement et son dispositif digital. Rendez-vous début 2021 pour la feuille de route détaillée !  Pour Guillaume Loizeaud, Directeur de BATIMAT : « Quel plaisir et quelle belle perspective de pouvoir écrire avec la filière cette nouvelle histoire ! Le retour de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA à Paris en 2022 s’annonce comme un grand moment de convivialité pour tous les professionnels. Complètement repensé sur le format d’exposition, en phase avec les grands enjeux, augmenté dans le temps grâce au digital, le Mondial du Bâtiment réunira le meilleur du salon et du virtuel. »  Pour Yves Danielou, Président de l’Afisb : « L’Afisb, ses adhérents et tous les acteurs de la salle de bains ne peuvent que s’enthousiasmer à l’idée du futur Mondial du Bâtiment. Les conditions sont réunies pour en faire un vrai succès. Nous ressentons tous le besoin de moments de convivialité dans notre travail et nos relations professionnelles et Paris expo Porte de Versailles, en grande partie rénovée, les offre dorénavant aux visiteurs comme aux exposants. Ré enchanter ce grand rendez-vous du bâtiment suppose un véritable travail de renouvellement que le nouveau calendrier va permettre de mener. A la demande de nombreux exposants, nous allons ainsi améliorer l’offre commerciale, pour atteindre un meilleur coût/contact. »  Pour François Frisquet, Président d’Uniclima : « Notre Profession se réjouit de cette nouvelle dimension que prendra la prochaine édition d’INTERCLIMA en 2022 avec un retour au coeur de Paris, en collaboration avec nos partenaires du Mondial : BATIMAT et IDÉOBAIN. Nous donnons donc rendez-vous à tous les acteurs du confort et de l’efficacité énergétique pour découvrir le dynamisme croissant de notre filière. »    Plus d’informations sur : www.batimat.com www.ideobain.com www.interclima.com   
Il y a 4 ans et 209 jours

Résineo® Arbre en liège recyclé, un nouveau revêtement perméable pour les tours d'arbre

Une solution limitant l'imperméabilisation des sols & bénéfique pour les arbresLe revêtement Résineo® Arbre en Liège est un revêtement drainant qui se pose au pieds des arbres comme alternative aux grilles galvanisées ou aux autres revêtements (bétons, enrobés etc.). Grâce à sa perméabilité, il favorise l'infiltration des eaux directement au pieds de l'arbre et favorise sa croissance.Une démarche durableAvec Résineo® Arbre en liège, LRVision s'inscrit dans une démarche durable en intégrant la revalorisation des déchets à son processus de fabrication. C'est un revêtement composé de matériau recyclé issus des déchets de l'industrie du liège (isolation, bouchons, etc.) ainsi que de granulats de marbre millimétriques récupérés lors de la fabrication de galets décoratifs.Un revêtement facile d'entretien pour des tours d'arbre propresDe part sa perméabilité, le revêtement Résineo Arbre est facile d'entretien, un entretien au jet d'eau suffit pour évacuer les feuilles, déjections animales et autres déchets habituellement observés au pieds des arbres.Informations pratiquesNom du produit : Résineo Arbre en liègeMarque : Résineo®Fabricant : LRVisionApplication : revêtement coulé en place pour les tours d'arbreSurfaces : aux pieds des arbres et arbustesDisponibilité : immédiate
Il y a 4 ans et 209 jours

Nouveau report de la réforme de l'assurance chômage, les syndicats réclament l'abandon

Le Premier ministre a réuni pendant près de trois heures les partenaires sociaux à Matignon pour sa deuxième "conférence du dialogue social" depuis juillet, juste après son arrivée, pour faire "un point d'étape" sur les chantiers en cours, notamment face à la crise sanitaire et sociale (plan jeune, reconversions professionnelles...).A l'issue, un report de trois mois de l'application de la réforme controversée de l'assurance chômage, soit jusqu'au 1er avril 2021, a été annoncé, M. Castex indiquant toutefois qu'il "n'entend pas renoncer" à cette "réforme majeure".L'exécutif avait déjà accepté en juillet de suspendre jusqu'au 1er janvier cette réforme, qui prévoit notamment un durcissement de 4 à 6 mois de travail pour ouvrir des droits et une réforme du mode de calcul des allocations défavorables à ceux qui alternent chômage et contrats courts.Les responsables des cinq centrales syndicales ont réclamé à l'unisson l'abandon de la réforme, jugeant le simple report "absolument scandaleux" (Philippe Martinez, CGT) ou "complètement inadapté" (Cyril Chabanier, CFTC), et demandant "une réponse plus claire" (Yves Veyrier, FO)."Cette réforme petit à petit, on est en train de faire la démonstration qu'elle n'est pas du tout adaptée à la période", a affirmé Laurent Berger (CFDT), François Hommeril (CFE-CGC) la dénonçant comme "punitive".Côté patronal, le président de la Confédération des PME, François Asselin a estimé que le report posait la question du calcul du bonus-malus pour pénaliser les entreprises qui abusent des contrats courts.La réunion, à laquelle participaient les ministres de l'Économie Bruno Le Maire et du Travail Élisabeth Borne, ainsi que le secrétaire d'État Laurent Pietraszewski, n'a pas débouché sur l'abandon d'un autre dossier ultra sensible aux yeux des syndicats: la réforme des retraites qui doit normalement revenir dans le débat fin 2020-début 2021."Le bon curseur"Tous les participants ont insisté sur la gravité de la situation avec un couvre-feu, instauré dans 54 départements et qui risque de dégrader un peu plus la situation de l'emploi.Geoffroy Roux de Bézieux (Medef) a mis en garde contre un possible "écroulement" de l'économie en cas de reconfinement généralisé, comme au mois de mars, plaidant pour trouver "le bon curseur entre économie et santé".Le sujet du télétravail a été "largement abordé" dans la discussion, alors que les partenaires sociaux doivent démarrer une négociation en vue d'un accord le 3 novembre. Le gouvernement l'encourage et souhaite éviter un reconfinement général. La ministre du Travail Élisabeth Borne a assuré lundi que le protocole en entreprise "est efficace" et "très bien appliqué".Une mission va aussi plancher sur le cas des salariés de la "deuxième ligne" face au Covid-19. Elle aura la charge d'identifier ceux concernés. La CGT a jugé "scandaleux" l'intérêt tardif pour ceux "dont on parle depuis le mois de mars", la CFDT ajoutant qu'"il ne faut pas que ça aille trop lentement".Les syndicats insistent depuis le confinement pour parler de ces salariés, afin d'étudier une "revalorisation des salaires, conditions de travail, emploi et carrières".Le sujet du partage de la valeur en entreprise a, lui, été jugé non urgent par plusieurs participants côté patronal et syndical.Face à la crise, des mesures "extrêmement fortes" ont été prises pour "atténuer l'impact" économique et social, et "obtiennent des résultats", a insisté M. Castex. Il a mentionné le plan pour l'emploi des jeunes dont les chiffres d'août et septembre sont "encourageants, notamment dans le domaine de l'apprentissage".Le chef du gouvernement a aussi souligné le recours à l'activité partielle de longue durée, la formation professionnelle et la reconversion des salariés "qu'il nous faut par tout moyen privilégier sur les licenciements"."Ces résultats concrets sont rendus possibles par le dialogue social" alors que "les accords dans les entreprises, dans les branches professionnelles n'ont jamais été aussi nombreux". "C'est le meilleur antidote à la crise", a-t-il martelé.
Il y a 4 ans et 236 jours

Isère : lancement des travaux de revalorisation des Caves de la Chartreuse à Voiron

Travaux de requalification des Caves de la Chartreuse à Voiron en marche.
Il y a 4 ans et 236 jours

Versailles : Réenchanter la ville grâce à Quai 36

Fresque des frères Sckaro et Ratur. [©ACPresse] Qui dit ”Versailles”, pense “Château”, “Résidence des rois de France : Louis XIV, Louis XV et Louis XVI”… Mais c’était sans compter sur les actions de son maire François de Mazières, qui est un très grand défenseur de l’art urbain. « Je voudrais que cette ville d’histoire reste au XXIe siècle une ville de création. […] La rencontre avec l’équipe de Quai 36 fut pour moi déterminante. […] Je leur ai proposé de travailler sur le thème de la nature en ville qui est, avec l’esthétique, un axe majeur de notre politique urbaine. » En effet, depuis plus de 10 ans, la Ville embellit par petites touches son espace urbain. Petites touches… petites touches… Mais touches certaines d’appropriation de l’espace urbain par l’art. Comme en témoigne l’exposition, sise à l’ancienne poste centrale. Où une quinzaine d’artistes représentatifs de l’art urbain actuel, issus de la Maison de production Quai 36, ont investi les lieux. Et ce, jusqu’au 18 octobre prochain. Fresque mi-végétale mi-humaine des frères Sckaro et Ratur. [©Ville de Versailles]Fresques de Saddo et LX One. [©Ville de Versailles]Fresque de Levalet : un cri contre l’oppression du système. [©Ville de Versailles]Equipe de Quai 36. [ACPresse]Les équipes de Quai 36 s’activent avant le vernissage de l’expo. [©ACPresse]Fresques de Julien Colombier et Levante. [©Ville de Versailles]Fresques de Ratur et Saddo. [©Ville de Versailles]A gauche, François de Mazières, maire de Versailles, qui œuvre pour la création urbaine avec Quai 36 et son président-fondateur Jonas Ramuz. [©ACPresse] Mais pas que… Depuis 2019, un programme de réhabilitation, mené par un groupement orchestré par Eiffage Construction, via le bailleur social Versailles Habitat, vise à améliorer le quotidien des habitants du quartier Bernard de Jussieu. Cette réhabilitation développe ainsi une dimension culturelle, toujours avec Quai 36. Le projet se nomme #1096, en référence aux 1 096 logements réhabilités. Une exposition, des espaces immersifs « Pour cette occasion, Quai 36 a imaginé un lieu d’expériences artistiques urbaines à mi-chemin entre galerie et exposition. Ponctuées d’interventions artistiques immersives sur place. Ce déploiement pluriel se veut le miroir du paysage de l’art urbain aujourd’hui », explique Jonas Ramuz, président et fondateur de Quai 36. [©ACPresse] Sur la thématique “La nature reprend ses droits”, l’exposition sur 800 m2 prend donc place sur un lieu atypique : le site en friche de l’ancienne poste centrale de Versailles (rénovation à venir). A 200 m du château ! Offrant une grande liberté d’action et de possibilités d’aménagement. Quai 36 a capitalisé sur l’aspect insolite du lieu devenu inoccupé pour l’investir d’interventions artistiques in situ. En jouant des textures et des matériaux existants. « Pour cette occasion, Quai 36 a imaginé un lieu d’expériences artistiques urbaines à mi-chemin entre galerie et exposition. Ponctuées d’interventions artistiques immersives sur place. Ce déploiement pluriel se veut le miroir du paysage de l’art urbain aujourd’hui », explique Jonas Ramuz, président et fondateur de Quai 36. A savoir, un courant artistique qui prend naissance dans l’espace public. Des techniques artistiques qui évoluent au fil des années. Et enfin, une reconnaissance internationale pour un genre désormais représenté en galeries et dans certains musées. A la découverte des artistes et des œuvres Vous découvrirez une fresque murale dans les tons roses et rouges signée des frères Sckaro et Ratur. Un visage bouleversant mi-humain, mi-végétal. Un perroquet rougeoyant embrase une toile. Un lapin par ici au milieu des tulipes ou encore un être emprisonné, enchaîné et emboîté dans les murs bas de la poste (Levalet). Un tableau végétal par là en béton de Lx One. Deux sculptures à moitié humaines et végétales en bois de Levalet… Des expériences inédites dans un lieu brut…  1 an, 10 murs Fresque murale de l’artiste Waone. [©Cédric Pierre]Fresque murale de Telmo & Miel. [©Cédric Pierre]Fresque murale de l’artiste Seth. [©Cédric Pierre]Fresque murale de l’artiste Eron. [©ACPresse] « La beauté de la ville est pour moi une préoccupation constante. Elle fait partie de la responsabilité des élus… », estime François de Mazières. C’est ainsi que le quartier Bernard de Jussieu, célèbre botaniste français du XVIIesiècle, a subi une réhabilitation “artistique”. En plus d’être thermique par l’extérieur. Le thème de la nature et de l’animalité était donc parfait pour ce haut lieu social de Versailles, datant des années 1950-1960. « Ces dix fresques peintes sont complémentaires avec les travaux de rénovation thermique des 1 096 logements sociaux », insiste Eric Le Coz, directeur général de Versailles Habitat. Et Tarik Fadili, conducteur de travaux Eiffage Construction, de rajouter : « En plus d’apporter davantage de confort énergétique aux locataires, la collaboration mise en œuvre avec Quai 36 permet une revalorisation esthétique de leur quotidien. En important l’art au cœur du quartier, voire juste sous leurs fenêtres… » 10 créateurs internationaux Ainsi, chaque artiste – ils sont dix créateurs internationaux -, a été invité à interpréter le thème de la relation entre l’humain et la nature. Ils ont investi chacun une façade de 150 m2.« Cette action s’inscrit pleinement dans la politique de la Ville de promouvoir une culture populaire de qualité », reprend François de Mazières. Découvrez “Le monument” d’Eron, artiste romain, qui représente une fresque où se mêle la nature sauvage, libre. Mais aussi apprivoisée avec un vol de colombes. Ou encore, “The curious botanist” de l’Ukrainien Waone, qui fait référence à Bernard de Jussieu. Enfin, “Respire” de Seth : reposée sur une étoffe beige, une enfant découvre une flore printanière abondante. Un vrai musée à ciel ouvert. « Avec le projet #1096, Quai 36 éveille la curiosité des habitants sur leur propre lieu de vie. Et interpelle leur sensibilité artistique. La médiation opérée par notre Maison de production permet d’ouvrir le dialogue avec les riverains. Ceux-ci ont l’opportunité d’échanger directement avec les artistes. Ceci, afin de mieux comprendre leur interprétation de l’identité du quartier », conclut Jonas Ramuz. Muriel Carbonnet Retrouvez le parcours de l’art urbain à Versailles sur l’appli Versailles : www.versailles.fr/outils/appliversailles/Informations et programmation ici.Ancienne poste centrale – 3 avenue de Paris – 78000 Versailles 
Il y a 4 ans et 237 jours

Les mesures gouvernementales pour la rénovation énergétique des logements sont-elles efficaces ?

Un Français sur cinq se trouvant actuellement en situation de précarité énergétique, c'est à dire que plus de 10% du budget de son foyer est consacré à l'énergie, Emmanuelle Wargon, la ministre du logement a notamment détaillé une enveloppe de 20.000 euros par foyer pour une rénovation globale du logement (isolation des murs, des combles et planchers et installation d'une pompe à chaleur).Objectif : rénover 500.000 logements par an jusqu'en 2050 en commençant par supprimer les passoires thermiques occupées par des personnes aux revenus modestes à horizon 2025.En parallèle de ces annonces, une étude du ministère de la transition écologique fait état de 4,8 millions de « passoires thermiques » sur les 29 millions de résidences principales que compte l'Hexagone. Des chiffres préoccupants puisque 17 % des logements sont considérés comme très énergivores et seuls 6,6 % des logements sont classés A et B, c'est-à-dire le niveau bâtiment basse consommation (BBC) à atteindre pour tous les biens d'ici à 2050, tel qu'exigé par la loi de transition énergétique pour la croissance verte de 2015.Côté bâtiments publics, malgré les 4 milliards d'euros prévus, beaucoup de chemin reste aussi à parcourir. Une étude réalisée en 2018 par TEKSIAL-CODA Stratégies rapportait que la moyenne des objectifs de rénovation thermique pour les collectivités ne représentait que 0,3% de leur parc de logements.L'avis de professionnels concernés par ces mesuresRockwool fabricant de solutions d'isolation en laine de roche« De manière globale, ce plan de relance est une bonne chose qui va donner un élan positif à la rénovation énergétique des bâtiments à laquelle Rockwool participe activement. Nous observons qu’il reste un flou sur la période de validité de certaines aides proposées par l’Etat, mais ce plan présente toutefois des avancées importantes, notamment la revalorisation de MaPrimeRénov’ cumulable avec les certificats d’économies d’énergie et un focus sur les opérations très efficaces du point de vue rénovation énergétique.Attention toutefois au reste à charge pour les foyers modestes, si nous saluons l’effort sur le cumul des aides et l’enveloppe de 20.000 euros par foyer pour une rénovation globale du logement, cette somme pourrait s’avérer insuffisante au regard des travaux à réaliser.Avec 500.000 logements à rénover par an jusqu’en 2050 et les passoires thermiques à éradiquer à horizon 2025, le gouvernement s’est fixé un objectif compliqué mais atteignable et c’est là que la lisibilité des aides et des offres aura toute son importance. Aujourd’hui, les systèmes d’aides sont encore trop nombreux et trop complexes.Quelques conseils dans cette optique, pour les logements des particuliers, nous recommandons de privilégier d’abord la toiture ; la déperdition de chaleur se faisant essentiellement par les combles, aménagés ou perdus. Il est possible de réaliser ces travaux spécifiques de façon très rapide. Et côté grands bâtiments, l’isolation par l’extérieur reste la plus efficace pour supprimer les ponts thermiques. Mais pour des travaux durables et efficaces, il ne faudra pas raisonner uniquement « thermique » mais étudier l’impact acoustique, le confort d’été et surtout la sécurité incendie ! Il faut alors choisir des matériaux aux performances prouvées et certifiées par des organisme tiers. »-Matthieu Biens, directeur marketing et développement produits pour la France et l’Europe du Sud RockwoolTeksial solutions clefs en main pour la maîtrise de la consommation énergétique« Nous nous réjouissons de l’effort massif consenti en faveur de la rénovation thermique par l’Etat dans le cadre du Plan de relance. Le plan et les modalités d’exécution pour le mettre en œuvre seront déterminants. Il faudra veiller notamment à ce que le traitement administratif des dossiers des particuliers éligibles à MaPrimRénov’ puisse suivre le rythme des demandes. L’ensemble des acteurs devront également prendre les mesures nécessaires pour garantir une qualité et un suivi des travaux irréprochables, comme nous nous y engageons chez Teksial.Pour parvenir à cet effort collectif, il faut plus que jamais sensibiliser et accompagner les Français et notamment les foyers les plus modestes, dans la réalisation de leurs travaux de rénovation énergétique, c’est l’engagement de Teksial. A travers un accompagnement sur mesure comprenant la budgétisation du chantier, la constitution du dossier, le choix des artisans agréés via un réseau de professionnels de confiance, ainsi que la vérification de la conformité des travaux et ce à moindre coût, nous permettons aux Français une meilleure maîtrise de leur facture d’énergie et une meilleure lisibilité des aides.Nous considérons également que la réussite du plan de relance dépendra de la capacité de l’ensemble des acteurs à garantir la fiabilité des travaux réalisés et. Sans quoi l’accélération de la rénovation thermique des logements ne pourra progresser, alors qu’elle est une activité essentielle pour diminuer la consommation d’énergie et développer l’activité économique.En ce sens, nous saluons la décision des organismes de qualification d’augmenter dès à présent les audits de contrôles pour les travaux d’isolation ou de changement des chaudières réalisés par les professionnels du bâtiment qualifiés RGE. Le contrôle est primordial pour veiller à la fiabilité des travaux et nous croyons fermement que ces contrôles constituent un outil efficace.Chez Teksial, nous développons un partenariat renforcé avec nos artisans afin de les informer sur les dispositifs d’aide et de les former aux meilleures pratiques et nous nous engageons à des contrôles qualité systématiques des chantiers à travers des enquêtes de satisfaction auprès des clients. »-Jean-Baptiste Devalland, Directeur Général de TeksialSFCB : Syndicat Français des Chaudiéristes Biomasse« Comme toute la profession, je me félicite que les 9e et 10e déciles soient réintégrés dans le dispositif Ma Prime Renov'. Cependant, des interrogations demeurent sur les modalités d'attribution de ces aides. Une des possibilités, et celle que nous redoutons le plus, soit que ces ménages aient à réaliser un bouquet de travaux pour pouvoir en bénéficier. Cette condition rendrait les montages de dossier ingérables pour les consommateurs, qui pourraient se décourager face aux multiples parties prenantes qu'un tel dispositif implique.En parallèle, je continue d'alerter sur la gestion des dossiers par l'ANAH. Nous comprenons leur difficulté à traiter de multiples demandes en même temps. Nous savons que l'afflux constant de dossiers les oblige à recourir à des sous-traitants, parfois pas assez qualifiés, pour mener à bien les demandes de subventions. Face à cette situation, nous nous sentons démunis et frustrés, nous aimerions les aider si nous le pouvions. Malheureusement, la communication avec l'ANAH reste impossible aujourd'hui, malgré de multiples tentatives. Le discours du Gouvernement lui-même est en contradiction avec la situation que nous vivons. Emmanuelle Wargon ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, nous indique qu'il n'y a pas de problèmes de traitement alors qu'au quotidien, nos clients installateurs font face à de nombreux dossiers bloqués ; qu'en est-il des 61.000 dossiers validés. De plus, la Ministre se félicite de voir 100.000 dossiers traités d'ici la fin de l'année mais l'objectif initial annoncé n'était-il pas deux fois plus élevé... ?Par ailleurs, notre filière reste ralentie par la délivrance de la certification Qualit'ENR qui doit être renouvelée par les professionnels chaque année. Nous constatons de plus en plus de retard parmi ces demandes. L'impact sur l'activité de nos installateurs est majeur, l'éligibilité des travaux aux dispositifs d'aide étant conditionnée à la qualification des professionnels.Nous sommes dans une situation à deux vitesses où notre filière est en pleine expansion et se porte bien mais où nous devons faire face à de multiples freins. »-Eric Trendel, Président du SFCB
Il y a 4 ans et 240 jours

Découvrez le numéro 145 du magazine 5 façades !

Rénovation : penser qualité d’usage et architecturale  Dévoilé le 3 septembre dernier par le Premier ministre Jean Castex, le plan de relance, nommé « France Relance », mobilise un tiers de l’enveloppe globale (trente milliards d’euros) pour l’environnement. « Un pas de géant » pour la transition écologique selon Barbara Pompili, ministre de ladite transition. Dans cet ensemble, bâtiment et logement seront affectés de 7,5 milliards d’euros, répartis en plusieurs dispositifs dont une bonne part dédiée à la rénovation énergétique. Outre une aide accrue aux particuliers – MaPrimeRénov’ sera abondée de 2 milliards d’euros supplémentaires sur les années 2021-2022 –, aux copropriétés et aux bailleurs sociaux, quatre milliards sont alloués à la rénovation des bâtiments publics (écoles, lycées, tribunaux, universités, Ehpad et hôpitaux…).On ne peut que s’en féliciter. Mais attention ! Au-delà des objectifs de performance énergétique poursuivis, cette massification doit aussi être l’occasion de réfléchir à la qualité d’usage, architecturale et urbaine, des bâtiments à rénover. Dans ce cadre, l’enveloppe est essentielle car c’est elle qui apporte le manteau mais aussi l’esthétique et l’intégration à la ville. Comment les projets de rénovation énergétique peuvent-ils être un vecteur d’amélioration et de revalorisation du patrimoine architectural ? Comment développer une approche globale de la réhabilitation intégrant le bioclimatisme, mais également de nouveaux usages ? Nous y reviendrons largement dans les prochains numéros de 5façades.  Découvrez le numéro 145 >  Stéphane Miget Rédacteur en chef 
Il y a 4 ans et 258 jours

Au-delà de l'urgence, un plan de relance pour préparer la France de 2030

"La France a tenu mais elle est incontestablement affaiblie", a souligné le Premier ministre lors de la présentation à Paris de ce plan d'une "ambition et d'une ampleur historique".Baptisé "France relance", le plan, qui devrait avoir un "effet d'entraînement sur le reste de l'économie", "produira des effets concrets et perceptibles pour le plus grand nombre", a promis Jean Castex. Avec une "priorité absolue": l'emploi, alors que 800.000 suppressions sont attendues en 2020, et un objectif "ambitieux mais à notre portée": retrouver en 2022 le "niveau de richesse d'avant la crise".M. Castex avait fixé jeudi matin sur RTL l'objectif de créer 160.000 emplois en 2021.Devant la presse, le Premier ministre en a appelé "au sens des responsabilités de tous les acteurs pour que les entreprises embauchent, à commencer par les jeunes, pour que les partenaires sociaux dialoguent et trouvent des accords, pour que les collectivités investissent aux côtés de l'État (...) et pour que les ménages investissent et consomment au lieu d'épargner".Au total, 100 milliards d'euros sur deux ans seront injectés dans l'économie, qui devrait se contracter de 11% cette année à cause de l'épidémie de Covid-19 et du confinement décidé au printemps.L'exécutif promet une exécution rapide, à moins de deux ans de l'élection présidentielle, avec un comité de pilotage, présidé par le Premier ministre.Après les 460 milliards d'euros de soutien d'urgence mobilisés depuis le début de la crise, le plan de relance est un plan d'investissement sur le moyen terme, autour de trois priorités: la transition écologique, la compétitivité des entreprises et la cohésion sociale, défend Matignon.Trente milliards d'euros seront ainsi consacrés au verdissement de l'économie, "un pas de géant", a vanté la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili. Mais les ONG dénoncent l'absence de conditions fermes aux aides versées aux entreprises.Le transport bénéficiera notamment de 11 milliards d'euros, dont 4,7 milliards pour la SNCF afin de financer le fret ferroviaire, les petites lignes et le train de nuit. Mais le ministre délégué aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari, a prévenu qu'elle devra envisager de céder des filiales pour retrouver sa trajectoire financière.Près de 7 milliards seront aussi alloués à la rénovation énergétique des bâtiments, serpent de mer des politiques écologiques, dont 4 milliards pour le parc public (écoles, universités, etc.) et 2 milliards dédiés aux ménages.Dans l'après-midi, M. Castex s'est rendu dans les Vosges pour montrer des effets concrets du plan lors d'une visite de l'usine Pavatex. "On va encourager ce que nous voyons ici, à savoir des matériaux biosourcés, issus du bois ou du recyclage", a-t-il affirmé.Pour réindustrialiser les territoires, le plan mise sur l'amélioration de la compétitivité des entreprises, avec 35 milliards d'euros mobilisés, dont 20 milliards pour baisser les impôts de production payés par les entreprises, malgré les protestations des maires qui en sont les principaux bénéficiaires.Le reste de l'enveloppe soutiendra les fonds propres des entreprises que la crise a mis à mal, ou encore subventionnera la relocalisation d'activités et l'innovation dans des secteurs d'avenir, comme l'intelligence artificielle ou le calcul quantique.Mais dans l'opposition, les patrons de LR Christian Jacob et du PS Olivier Faure regrettent que ce plan arrive "tard", près de quatre mois après la fin du confinement.Le Medef, en revanche, a "salué les choix du plan de relance". Pour la CGT, Philippe Martinez a regretté l'absence de contreparties pour les entreprises bénéficiaires. Résorber la detteFace à cette débauche de moyens pour les entreprises, le gouvernement veut montrer qu'il n'a pas oublié les plus modestes et tous ceux menacés de perdre ou ne pas trouver d'emploi.Si toute mesure de relance de la consommation est écartée car les revenus des ménages ont été préservés par le chômage partiel, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a indiqué que ce dernier serait prolongé après la fin de l'année si cela était nécessaire, même si "pour l'instant ce n'est pas prévu".Et dans le plan de relance, 35 milliards d'euros sont dédiés à la cohésion sociale et territoriale, incluant 15 milliards pour l'emploi, dont 6,7 milliards déjà annoncés cet été pour les jeunes ou encore 6,6 milliards pour le dispositif d'activité partielle de longue durée.S'y ajoutent les 6 milliards d'investissement dans l'hôpital, ou encore la revalorisation de l'allocation de rentrée scolaire et les aides aux collectivités.Sur l'ensemble du plan, 80 milliards pèseront directement sur le budget de l'Etat et viendront alourdir à court terme la dette publique, attendue déjà à près de 121% du PIB cette année.L'impact du plan sur cette dette sera "presque entièrement résorbé à partir de 2025" s'il atteint son objectif de réactivation de l'activité, a fait valoir M. Castex, en confirmant qu'il n'y aurait pas de hausse d'impôts.La moitié des 80 milliards sera toutefois financée par les subventions issues du plan de relance européen et, à l'exception de la baisse des impôts de production, les dépenses engagées ne seront pas pérennes, tempère-t-on au gouvernement, même si on assume cette stratégie dépensière.
Il y a 4 ans et 266 jours

Bouygues Bâtiment Grand Ouest réalise une réhabilitation exemplaire zéro déchet à Angers

De la prévention au recyclage, la gestion des déchets, l'un des piliers de l'économie circulaire, est un levier important pour réduire l'impact environnemental de la filière tout en créant de la valeur sur les plans économique, social et environnemental.Bouygues Bâtiment France Europe a initié en ce sens, dès 2019, l'expérimentation “Zéro Déchet Ultime”, faisant écho à la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte qui fixe un objectif de 70% de valorisation matière pour le secteur à l'horizon 2020. Bouygues Bâtiment Grand Ouest vient illustrer concrètement cette démarche à travers un chantier exemplaire à Angers, dans le quartier de la Roseraie : la réhabilitation de la résidence HLM Dumont d'Urville, un chantier réalisé en site occupé pour Angers Loire habitat.Un chantier de réhabilitation en site occupéDémarré en septembre 2019, le chantier Dumont d'Urville consiste en la réhabilitation de 320 logements sociaux répartis en 5 tours, dans le quartier de la Roseraie à Angers (49). Ce chantier réalisé en site occupé sera livré à l'automne 2021. Initié par Angers Loire habitat, le programme de réhabilitation mené par les équipes de Bouygues Bâtiment Grand Ouest porte sur l'enveloppe du bâtiment, les parties communes et les logements : travaux d'isolation extérieure, pose de 15 000 m2 de bardage, extension des balcons, remplacement des cuisines et des salles de bain, réfection des sols et des murs et création d'un jardin d'hiver. Bouygues Bâtiment Grand Ouest mène également sur le site une mission de conseil et d'accompagnement des locataires. Les enjeux sont multiples : accroître le confort des habitants, maîtriser la facture énergétique, réduire les émissions carbone, œuvrer à l'attractivité du quartier… Pour Bouygues Bâtiment Grand Ouest, ce chantier est également l'expérimentation grandeur nature d'une initiative “Zéro Déchet Ultime”, démarche destinée à être répliquée sur l'ensemble du territoire. Un déchet ultime est un déchet qui ne peut être valorisé dans des conditions techniques ou économiques viables et qui sera donc enfoui.La démarche “zéro déchet ultime” en actionÀ l'heure du changement climatique, l'économie circulaire est un levier essentiel pour accélérer la transition vers une construction plus durable, plus sobre et plus efficiente dans l'utilisation des ressources. Au même titre que la performance des matériaux et les modes constructifs innovants, la gestion des déchets est au cœur de cette démarche. L'équipe travaux de Bouygues Bâtiment Grand Ouest a mis en place une démarche globale de tri sélectif et de valorisation des déchets simple et efficace sur le chantier Dumont d'Urville.Cette initiative repose sur 4 temps forts :Recenser les déchets de dépose (baignoire, évier, portes et fenêtres) et de pose (sol, bardage, laine de verre) en détaillant le poids correspondant à chaque matériauIdentifier le meilleur circuit de valorisation à l'échelle locale : pour cela, une cartographie des filières de revalorisation des départements 49 et 44 a été réalisée. Celle-ci constitue un précieux outil d'aide au choix en fonction des multiples critères à évaluer : type de déchets, coût de la démarche, cahier des charges spécifique…Contractualiser : en définissant les modalités pratiques de la revalorisation des déchetsFormer les parties prenantes : prévenir à travers des actions de sensibilisation à la réduction des déchets sur le chantier, et informer à l'aide d'une signalétique claire et précise pour identifier les zones de triCette démarche globale a aussi permis de mettre en place une basevie zéro déchet, impliquant l'ensemble de l'équipe travaux au quotidien à travers des règles simples et efficaces : organisation du tri sélectif, exclusion du plastique et plus globalement du matériel à usage unique, utilisation d'éponges et de torchons lavables, de produits biologiques, affichage dédié...La démarche de tri des déchets sur Dumont d'Urville témoigne de notre engagement collectif, pour réduire l'empreinte carbone de nos chantiers, à la fois pour les équipes de Bouygues Bâtiment Grand Ouest mais également pour les équipes de nos parties prenantes. Ces dernières se sont-elles aussi appropriées la démarche en triant les déchets dans chaque logement.- Anne Bouyé, Chargée de relations résidents qui a coréalisé la cartographie.
Il y a 4 ans et 277 jours

L'Hôtel des Postes à Strasbourg, édifice néogothique, entreprend sa mue

En collaboration avec l'entreprise générale Bouygues Bâtiment Nord-Est, le promoteur immobilier y développe près de 20.000 m2. Dès cet été, près d'une cinquantaine d'entreprises du territoire et plus de 200 compagnons se succèderont jusqu'en 2023, pour faire renaître cette bâtisse de la fin du XIXe siècle.Le tout dans une dynamique noble et responsable : l'opération favorise la déconstruction sélective et le réemploi de matériaux, matériels et mobiliers. Dès le démarrage des travaux, l'Hôtel des Postes s'inscrit parmi les chantiers de Strasbourg les plus avancés en matière de réduction des déchets issus du BTP.Un chantier conduit au pied de la lettre !Le projet de réhabilitation se veut respectueux et en parfaite adéquation avec son environnement. De part son envergure et son exemplarité, le chantier est orchestré en étroite collaboration, avec la police municipale, les autorités locales, la Ville et l'Eurométropole de Strasbourg.Réalisé en hyper-centre de Strasbourg, cette opération hors norme réunira en pleine activité près de 50 entreprises locales et plus de 200 compagnons qualifiés, qui y oeuvrent pour redonner vie à ce lieu historique.Les principaux échelons prévisionnels du programme sont :Curage et déconstruction sélective : Jusqu'à décembre 2020Gros œuvre : De l'automne 2020 à l'été 2021Aménagement du parking souterrain : Novembre 2020 à juin 20211ères Livraisons : Second semestre 2022Fin de travaux de l'ensemble Immobilier : Premier semestre 2023Une réalisation engagée et responsableIl est à présent avéré que le secteur de la construction compte parmi les gisements les plus générateurs de déchets et d'impacts environnementaux. De part sa nature atypique, cette réhabilitation, initiée par Bouygues Immobilier, vise à faire renaître ce lieu unique, siégeant depuis plus de 120 ans au coeur de la Neustadt, à Strasbourg. Le tout en optant pour un modèle circulaire, bien moins énergivore et plus respectueux de l'environnement. Par cette approche émergente, ce bâtiment de près de 20 000 m2 tourne une page de son histoire et s'engage vers un avenir tout aussi émérite.Avec l'expertise d'ELAN, AMO - Assistant de Maîtrise d'Ouvrage de référence en matière d'économie circulaire dans l'immobilier, la revalorisation de l'Hôtel des Postes s'engage ainsi dans une approche de ressources qui vise à la réduction des déchets. Il s'agit d'opter pour la déconstruction sélective en favorisant le réemploi de matériaux, de matériels et de mobiliers. ELAN permettra à Bouygues Immobilier d'identifier les gisements et les filières (In situ et ex situ) à fort potentiel, permettant la réutilisation de certains éléments déposés.Le chantier de l'Hôtel des Postes devrait ainsi limiter significativement la production de déchets, notamment lors de la déconstruction et le curage. Bon nombre de matériaux, matériels et mobiliers vont ainsi être valorisés et recyclés. Il s'agit à titre d'exemple de dalles de faux-plancher, de radiateurs en fonte, de menuiseries intérieures (avec le réemploi de certaines portes historiques)...La démarche initiée permet de prendre part à l'économie locale et de participer au développement de nouvelles filières, le tout en préservant les ressources. L'accompagnement de l'AMO ELAN garantit l'amélioration du bilan environnemental de l'Hôtel des Postes, projet étendard de Strasbourg.En outre, pour la construction du bâtiment neuf, au centre de la cour intérieure, près de 3.000 m3 de béton bas carbone seront employés. Enfin, une collaboration avec VNF - Voies Navigables de France est à l'étude pour favoriser le transport fluvial de certains équipements du second oeuvre.Un programme immobilier historique !Autrefois haut lieu de télécommunication et de correspondances, l'Hôtel des Postes incarne de tout temps la modernité et le caractère cosmopolite de la ville qui l'héberge, Strasbourg. Début 2023, l'Hôtel des Postes de Strasbourg accueillera donc des logements résidentiels, des bureaux neufs et réhabilités, une résidence services pour seniors, une brasserie-restaurant ainsi qu'un bureau de poste. Incontestablement, cette reconversion immobilière s'engage dans une démarche de valorisation patrimoniale inédite et exemplaire.Sous les préconisations et les orientations de l'Architecte des Bâtiments de France, les principales interventions sur le bâti existant seront mineures et limitées. Le projet prévoit notamment la restauration et le nettoyage des façades extérieures dans le respect total des façades et toitures d'origine (1896). La cour intérieure sera particulièrement mise en valeur.Localisés le long de l'Avenue de la Liberté, les logements en accession seront desservis soit par la cage d'escalier monumentale, datant du XIXe siècle, soit par les deux cages d'escaliers angulaires, tout aussi remarquables.À chaque étage, les distributions, aux voûtes et hauteurs exceptionnelles, sont maintenues et sublimées. En outre, les combles sont rehaussés et exploités par l'intégration de nouvelles lucarnes donnant sur la cour intérieure. Des mezzanines sont prévues pour certains logements du rez-de-chaussée, du 2ème ou 3ème étage…Nul doute que l'opération se veut historique, au coeur de Strasbourg !Principaux intervenantsMaître d'ouvrage : Bouygues ImmobilierArchitecte : WEBER & KEILING ArchitectesEntreprise générale : Bouygues Bâtiment Nord-Est
Il y a 4 ans et 335 jours

Ferropem : « Aujourd’hui, nous cherchons des relais de croissance en Europe »

Sylvain Sédille, responsable commercial de Ferrompem. [©Ferropem] Béton[s] Le Magazine : Malgré sa place de leader sur le marché de la fumée de silice, Ferropem n’est que peu connue dans le monde de la construction, pouvez-vous nous la présenter ? Sylvain Sédille : L’activité de Ferropem, anciennement Pechiney Electro-Métallurgie, est la production de silicium par le procédé de carbo-réduction du quartz à très haute température dans des fours électriques. Dans les années 1980, nous avons équipé nos fours de hottes filtrantes, permettant de capter les gaz générés par les réactions. Ces gaz sont captés et génèrent du SiO, qui devient la fumée de silice (SiO2). Cette dernière se présente sous forme de particules sphériques, de structure amorphe et de pureté entre à 90-95 % en SiO2. La taille d’une particule est environ 150 fois inférieure à celle d’un grain de ciment, d’où sa propriété de filler dans le béton, comblant les vides interstitiels. Elle réagit également lors de l’hydratation du ciment, entraînant un effet pouzzolanique.  Aujourd’hui, comment Ferropem est-elle organisée ?  Le siège se situe à Chambéry et nos usines se trouvent à proximité, dans l’Ain, l’Isère, la Savoie, et le Gard. En 2005, l’entreprise a été rachetée par le groupe espagnol Ferroatlantica. Alors leader dans la production de silicium, ce dernier a fusionné en 2015 avec son concurrent direct sur le marché américain, Globe Specialty Metals pour former Ferroglobe. Celui-ci a désormais une capacité de production de fumée de silice de 250 000 t/an, avec des sites en France, Espagne, Afrique du Sud, Etats-Unis et Canada.  Comment votre fumée de silice est-elle aujourd’hui distribuée en France ? Grâce à l’aide de Condensil1, Ferropem a initié la mise en place de la normalisation de l’utilisation des fumées de silice. Condensil nous a aussi aidés à mettre en place l’industrialisation de la récupération des fumées et leur commercialisation. Ce lien fort existe toujours et nous permet de travailler ensemble. Condensil distribue en France et sous sa marque notre production aux centrales BPE et aux usines de préfabrication. En dehors de ce champ d’action, nous déterminons au cas par cas quelle est la meilleure solution pour nos clients.  La France est-elle un marché prioritaire pour Ferroglobe ? Bien sûr, mais la France n’absorbe pas toute notre production. Aujourd’hui, nous cherchons des relais de croissance en Europe à travers des partenaires en vue de promouvoir la formulation avec de la fumée de silice. Nous voyons un grand potentiel en Europe et nous avons aujourd’hui l’expertise et les ressources humaines pour soutenir de grands projets de construction et d’infrastructure à venir. Cette logique s’inscrit aussi dans une volonté de participer davantage à la revalorisation de co-produits, permettant d’abaisser l’empreinte carbone des bétons en Europe. Comment cette réorientation se traduit-elle sur le terrain ? Nous mettons tout en œuvre pour augmenter notre visibilité, grâce à une communication active auprès de l’ensemble des acteurs de l’industrie de la construction et des matériaux. Nous souhaitons raviver le savoir-faire des formulations sur la base de fumée de silice, visant à améliorer les performances des bétons et à augmenter leur durabilité. Le premier exemple, qui me vient, est le cas des bétons projetés où la fumée de silice permet une diminution des rebonds de 10 à 15 %, offrant un gain substantiel. Divers segments bénéficient aussi d’avantages performantiels, comme les applications souterraines, que ce soit en prévention des attaques acides internes ou des chlorures externes, les bétons réfractaires, les mortiers, parmi beaucoup d’autres.  Propos recueillis par Yann Butillon 1Condensil est une filiale du groupe Vicat.
Il y a 4 ans et 352 jours

Covid-19 : syndicats et patronat reçus à l'Élysée pour "sauver l'emploi"

"L'enjeu", a souligné la ministre du Travail Muriel Pénicaud à l'issue de la réunion, c'est de "sauver l'emploi", de "bâtir une nouvelle donne" pour préserver les compétences des salariés.Parmi les annonces faites à l'issue de cette rencontre de près de trois heures avec les partenaires sociaux: les entreprises qui recruteront un apprenti du 1er juillet au 28 février bénéficieront d'une aide élargie à l'embauche de 8.000 euros pour les majeurs et 5.000 euros pour les mineurs.Alors que cette aide est aujourd'hui réservée aux entreprises de moins de 250 salariés et pour des diplômes au niveau inférieur ou égal au bac, le dispositif sera élargi jusqu'au niveau de la licence et à toutes les entreprises, ce qui représentera "un coût supplémentaire supérieur à un milliard d'euros", selon l'entourage de la ministre.Autre point sur lequel l'exécutif était très attendu: la réforme contestée de l'assurance-chômage. Des discussions sur ce sujet vont s'ouvrir "dans les semaines qui viennent" avec les organisations syndicales et patronales en vue de parvenir à des décisions "d'ici l'été", a annoncé la ministre du Travail dans la cour de l'Elysée.Alors que toutes les organisations syndicales réclament l'annulation de cette réforme, "les choses sont très, très ouvertes sur l'assurance-chômage", a précisé le ministère.D'autres chantiers se poursuivront dans les prochaines semaines, sur le chômage partiel qui va être aménagé, sur l'emploi des jeunes, dont "près de 800.000 vont sortir du système scolaire ou universitaire cet été", a rappelé Mme Pénicaud, ou encore sur la formation.A la sortie de la réunion, les syndicats ont accueilli avec prudence les annonces concernant l'apprentissage, et ont insisté sur la question des salaires. Philippe Martinez (CGT) a exhorté le président de la République à "convertir en actes ses propos sur les salaires, la prise en compte des deuxièmes lignes". Laurent Berger (CFDT) a appelé à "ne pas oublier la reconnaissance des travailleurs exposés pendant la période de confinement", tandis qu'Yves Veyrier (FO) a dit être "resté complètement sur (sa) faim" car "il n'y a pas eu d'annonce du tout" sur le sujet.Plus de huit millions de personnes sont au chômage partiel et plus de six millions de demandeurs d'emploi ont été comptabilisés par Pôle emploi en avril, du jamais vu en France. Et la situation devrait s'aggraver: mardi, Mme Pénicaud a anticipé que la France "repasserait les 10%" pour le taux de chômage, contre 8,1% avant l'épidémie.Le gouvernement anticipe une chute du PIB de 11% cette année et un creusement du déficit public à 11,4% du PIB contre 3% en 2019. Pour répondre à cette crise historique, "nous avons mis 450 milliards d'euros sur la table de mesures de trésorerie et budgétaire, 20% de notre richesse nationale", a souligné le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, à l'issue de la réunion à l'Elysée.Déconfinement accéléréDepuis mardi, le déconfinement a connu un coup d'accélérateur, avec la levée de l'interdiction de se déplacer à plus de 100 km de son domicile, ou encore l'ouverture partielle des cafés, restaurants et petites salles de spectacle. Le ministre de l'Education, Jean-Michel Blanquer, a par ailleurs dit jeudi espérer que le protocole sanitaire puisse être assoupli "bientôt" dans les écoles.Sur le front de l'épidémie, 44 nouveaux décès ont été recensés dans les hôpitaux en France, portant le bilan total à 29.065 morts depuis le début de l'épidémie, selon le bilan quotidien communiqué jeudi soir par le ministère de la Santé, (qui ne comprend pas les morts dans les établissements sociaux et médico-sociaux au cours des dernières 24 heures). Et la baisse se poursuit en réanimation.Durement éprouvés, les soignants ne désarment pas et plusieurs syndicats (CGT, FO, SUD, Unsa) et collectifs (Inter-Urgences, Inter-Hôpitaux) ont appelé jeudi à une journée d'action nationale le 16 juin pour réclamer notamment des moyens supplémentaires et une revalorisation générale des salaires. Ils se sont de nouveau rassemblés par centaines jeudi devant des hôpitaux.Le président Macron avait souhaité que le 14 juillet soit l'occasion de rendre hommage aux soignants. L'Elysée a confirmé jeudi que ce serait le cas, au cours d'une cérémonie militaire place de la Concorde, qui remplacera, pour des raisons sanitaires, le traditionnel défilé sur les Champs-Elysées.
Il y a 4 ans et 352 jours

L'UFME élit son Président Bruno Cadudal et constitue son nouveau Bureau

Après des années d'aides fiscales dédiées à la fenêtre, la profession est entrée depuis deux ans dans une nouvelle ère. Souhaitant que l'UFME prenne une nouvelle dimension dans les débats de demain, Bruno Cadudal se fixe pour missions de :développer le réseau d'adhérents afin de renforcer sa représentativité et notamment sur les sujets liés à l'environnement,consolider sa position auprès des instances du secteur (Pôle Fenêtre, CSTB, DHUP, FCBA, AIMCC, EPPA…),permettre à chacun de participer aux travaux et échanges, quelle que soit la taille de l'entreprise, et de poursuivre son ouverture vers les extrudeurs gammistes et professions associées.« L'optimisation thermique des bâtiments reste le fer de lance de la fenêtre. Mais d'autres sujets émergent et nous occuperont dans les prochaines années. Tel est le cas de la question environnementale et du recyclage des menuiseries, sans oublier le confort que le ménage français est en droit d'attendre pour son logement.L'UFME aura de nombreux enjeux dont la revalorisation de la fenêtre PVC par exemple. Depuis 2019, la section concepteurs gammistes, rassemblant l'ensemble des acteurs de la profession, s'est mobilisée pour favoriser la revalorisation du matériau PVC. Le volet social et formation assuré depuis 2007 par l'UFME prend depuis ces derniers mois une nouvelle orientation. Même si cette mission reste plus méconnue, la gestion de la Convention Collective Menuiserie Charpente est une autre facette de nos compétences, très importante et nous offre toute légitimité pour porter haut et fort la fenêtre bois française de qualité auprès de l'ensemble des instances nationales (FCBA, Ministère …). », déclare Bruno Cadudal.Bruno Cadudal est Président d'Atlantem, activité menuiserie du Groupe HERIGE depuis dix-huit ans. Issu d'une formation d'ingénieur agro-alimentaire (ENSAIA - 1987), complétée d'un master de management (ICG - 1995), il a débuté sa carrière dans l'industrie agro-alimentaire à l'étranger pendant quatorze ans (Nouvelle-Zélande et Etats-Unis) puis en France (Lactalis et United Biscuits). Il s'est investi depuis plus de dix ans dans les actions de l'UFME et est notamment à l'initiative du baromètre d'activité, indicateur d'activité permettant chaque mois aux adhérents de se positionner par rapport au marché français. Il participe au développement et renouveau du salon Equip'baie et est impliqué dans les relations avec les partenaires de l'UFME tels que le SNFA. Ses nombreuses années en tant qu'administrateur et membre du Bureau lui ont permises d'acquérir une profonde connaissance du fonctionnement de l'UFME.La constitution d'un nouveau bureauBruno Cadudal a nommé les Présidents des Commissions :Hugues de Forges à la Commission technique (nouveau nommé),Jean-Marc Combes à la Commission sociale et formation,Patrick Sage à la Commission communication.Le Conseil d'Administration a également validé la composition du Bureau de l'UFME :Patrick Bouvet, Vice-PrésidentVincent Pasquet, TrésorierFrançois Guérin, Secrétaire Général (nouveau nommé)Jos Lenferink, Représentant de la Section extrudeurs gammistesFrançois de Labarthe, Représentant de la Section professions associées.
Il y a 4 ans et 361 jours

EOL Retail requalifie une friche commerciale au Mans

Après le départ il y a 2 ans de la jardinerie TRUFFAUT implantée à proximité du centre commercial Carrefour Centre Sud, la présence d'une friche au cœur de ce secteur économique du sud du Mans était redoutée.L'enseigne nationale, assistée de l'équipe montage et développement d'EOL RETAIL a donc étudié différentes hypothèses de requalification de cet ensemble immobilier situé à un emplacement stratégique sur un foncier de 7 000 m². Des pistes ont été travaillées avec des enseignes spécialisées et différents opérateurs immobiliers.Un bâtiment durableLe choix s'est porté sur la candidature du groupe L.A FOIR'FOUILLE. Présente depuis 2004 dans la ZAC de Vauguyon, avec un magasin de 1 500 m², l'enseigne nationale spécialiste de l'équipement de la maison à petits prix, souhaitait agrandir sa surface de vente. Actuellement locataire, l'enseigne deviendra propriétaire d'un futur bâtiment répondant à tous les critères environnementaux. Une fois rasée, l'ancienne jardinerie fera place à un local commercial entièrement neuf d'une surface de 2 800 m². Le futur site répondra à tous les critères environnementaux avec notamment l'installation de panneaux solaires.Emmanuel CLOËREC, Directeur associé d'EOL souligne : « Chez EOL, nous sommes convaincus que l'obsolescence n'est pas une fatalité mais un gisement de valeurs ».Le groupe AXTOM, société spécialisée dans le développement, la conception et la promotion d'opérations immobilières a été sélectionnée afin de mener à bien cette opération. La livraison du nouveau magasin est envisagée pour le dernier trimestre 2020.Cette réalisation vient compléter la revalorisation actuellement en cours du centre commercial mitoyen “Centre Sud” par Constructa Asset Management filiale du Groupe Constructa spécialisée dans la valorisation & la gestion d'actifs immobiliers. L'acquisition en 2018 des 13 500 m² du centre commercial « Centre Sud » dédié au commerce de proximité a pour objectif de repositionner l'espace commercial dans sa zone de chalandise.
Il y a 5 ans et 19 jours

Les Offices Publics de l’Habitat préparent la relance

Pour la Fédération nationale des Offices Publics de l’Habitat , la crise sanitaire actuelle est inédite et met davantage en avant les inégalités sociales. Elle rend visible et palpable, dans l’espace public et dans l’opinion, les difficultés quotidiennes que rencontrent plusieurs millions de concitoyens, la fragilité des services publics mais aussi la mobilisation massive de ceux qui les animent, ainsi que les faiblesses d’un modèle socio-économique. La crise sanitaire a le mérite de mettre en lumière les progrès qu’il reste à accomplir (personnes sans logement, logements insalubres ou surpeuplés…) pour que le droit au logement digne soit effectif pour tous. Deux axes principaux sont à explorer : aboutir à une relance socialement juste, et faire que cette relance irrigue tous les territoires en favorisant la transition écologique et la qualité des logements. Cette dynamique positive devra être accompagnée par l’État, garant de la solidarité nationale en lien avec les collectivités, garantes de la mise en œuvre concrète des politiques de l’habitat. Une relance socialement justePour répondre à cet axe, la FOPH propose différentes actions : la revalorisation de l’APL au-delà de l’inflation ;l’abondement par le budget de l’État des FSL départementaux ou métropolitains les plus sollicités ;la suspension des expulsions pour dette de loyers jusqu’au printemps 2021 ;l’accompagnement individualisé de chaque locataire en difficulté économique et sociale ;la reconnaissance du logement social comme un bien de première nécessité en lui appliquant la TVA à 5,5% sur tous les investissements, soit un gain de 4.000 à 7.000 euros par logement construit. Ce sont ces fonds propres supplémentaires qui dans un premier temps couvriront les surcoûts liés à la crise sanitaire et qui favoriseront une reprise rapide des chantiers, pour ensuite permettre d’accroître les investissements. Le coût estimé pour les finances publiques s’élève à 250 millions par an pour les PLUS, 150 millions pour les PLS. Une relance qui passe par la reprise des chantiersDepuis quelques jours, les chantiers ont repris progressivement. Pour réussir la relance, il est nécessaire de préserver les agents économiques privés et publics. Construire et réhabiliter permettra de contribuer à préserver les PME du bâtiment, présentent sur de nombreux territoires : 94% des communes comptent au moins une de ces entreprises ou artisans. Il sera également nécessaire de le faire plus massivement pour répondre aux besoins quantitatifs de logements et en proposant des logements aux normes environnementales élevées. De nombreux offices devront aussi rénover des logements pour en accroître les qualités de confort et de performances énergétiques. Pour la FOPH, la suppression de la baisse des APL payée par les loyers des locataires serait une mesure simple pour permettre aux HLM de récupérer immédiatement 6% d’autofinancement, soit pour les offices environ 600 millions d’euros, et pour conforter l’État dans son rôle de garant de la solidarité nationale.Cependant, d’autres mesures sont proposées qui évitent le recours à l’endettement, un endettement qui a beaucoup crû avec les mesures « dites » d’accompagnement de la RLS. Parmi les nouvelles mesures, sont attendues: un soutien financier renforcé sous forme de subvention aux projets portés dans le cadre de l’ANRU pour accroître le nombre de reconstructions, de réhabilitations lourdes et les restructurations du patrimoine,une augmentation du nombre de logements réhabilités pour accélérer leur amélioration thermique et leur qualité d’usage. Pour les offices, une première étude issue des mémentos prévisionnels (outils de recensement des PSP des offices) montre que les offices pourraient accroître de 50% le nombre de logements réhabilités chaque année (50 000 en moyenne par an pour un montant moyen au logement de 23 000 euros entre 2014 et 2018) et donc atteindre 75 000 logements par an à partir de 2021/2022, si entre 150 millions et 200 millions de subventions supplémentaires peuvent être injectées chaque année,plus spécifiquement pour les offices, autoriser les collectivités locales à souscrire des titres participatifs de leur office pour accroître leurs investissements au bénéfice des habitants de ces mêmes collectivités. Une relance qui passe par des investissementsChaque année, les Offices Publics de l’Habitat lancent en moyenne 50 000 ordres de service pour des interventions de plus de 5 000 euros par logement. Le coût moyen de ces interventions est de 22,6K€ par logement, soit un engagement d’investissement moyen de 1,1 milliard par an. Plus de 220 000 ordres de services sont également lancés pour des interventions plus légères (moins de 1 200 euros par logement en moyenne), pour un engagement d’investissement moyen de 260millions d’euros. L’investissement total engagé atteint ainsi en moyenne 1,4 milliard par an.
Il y a 5 ans et 23 jours

Covid-19 : Le Sénat mise sur la transition énergétique comme levier du plan de relance d'après-crise

Cette audition s'inscrit dans le cadre des travaux de suivi, conduits par Daniel Gremillet, Roland Courteau et Daniel Dubois, de l'impact de cette crise sur le secteur de l'énergie.Après avoir entendu une cinquantaine d'acteurs de terrain depuis le début du mois d'avril (grands énergéticiens, fédérations professionnelles de l'électricité, du gaz et du pétrole, représentants de la rénovation énergétique, des énergies renouvelables – EnR – et des biocarburants, Commission de régulation de l'énergie, Médiateur de l'Énergie, Agence internationale de l'énergie) et relayé leurs difficultés auprès de la ministre de la Transition écologique et solidaire, les sénateurs ont jugé indispensable d'engager une réflexion prospective sur le devenir de notre transition énergétique.Aussi ont-ils échangé hier sur le rôle de la transition énergétique dans la stratégie de sortie de crise : pour les sénateurs, l'accompagnement de la rénovation énergétique, le soutien aux projets d'EnR, la lutte contre la précarité énergétique sont autant de leviers mobilisables pour relancer l'activité économique tout en atteignant nos objectifs énergétiques et climatiques.Les sénateurs ont rappelé leur vive inquiétude quant au cap poursuivi dans ces domaines par le Gouvernement, regrettant la difficile application de la loi « Énergie-Climat », pourtant adoptée dans un esprit de consensus par le Sénat en septembre dernier.Pour Daniel Gremillet, « six mois après l'adoption de cette loi, dont j'étais le rapporteur pour notre commission, tout reste à faire : une ordonnance a été adoptée, une dizaine de mesures règlementaires prises, un rapport publié. La programmation pluriannuelle de l'énergie et la stratégie nationale bas-carbone viennent tout juste d'entrer en vigueur. Il faudra attendre l'été pour que le Gouvernement prenne l'ordonnance sur les centrales à charbon … davantage encore pour celle sur l'hydrogène. C'est trop peu et trop lent ».Les sénateurs ont regretté la faiblesse des moyens budgétaires et fiscaux mis par le Gouvernement en regard de nos objectifs énergétiques et climatiques, plaidant pour leur revalorisation significative à l'occasion des prochains textes financiers.Pour Roland Courteau, « il devient urgent de se pencher sur les difficultés rencontrées par nos énergéticiens en termes de trésorerie et d'investissement, de soutenir le secteur de la rénovation énergétique, en corrigeant les effets de bord de la dernière réforme du crédit d'impôt pour la transition énergétique et en améliorant les aides aux particuliers et aux entreprises, d'accompagner les ménages en situation de précarité énergétique, en revalorisant le chèque énergie. Lors du dernier collectif budgétaire, le Sénat a adopté, à notre initiative, plusieurs amendements pour soutenir les filières très sinistrées des biocarburants : il est regrettable que le Gouvernement ne les ait pas conservés in fine ».Enfin, les sénateurs ont relevé que la transition énergétique ne peut réussir sans indépendance énergétique, insistant sur la nécessité de garantir notre sécurité d'approvisionnement mais aussi notre souveraineté industrielle, dans un secteur aussi stratégique que celui de l'énergie.Pour Daniel Dubois, « l'atteinte de la neutralité carbone d'ici à 2050 nécessite un soutien réaffirmé à la filière nucléaire, qui continuera de produire la moitié de notre mix en 2035, et doit donc demeurer compétitive et attractive. À cet égard, la chute des prix de l'électricité, les difficultés de la régulation et les reports d'investissements observés dans cette filière ne constituent pas une bonne nouvelle pour le climat. Une relocalisation des EnR est également nécessaire : nous attendons beaucoup de l'application du critère du bilan carbone dans les futurs appels d'offres – apport sénatorial majeur à la loi “Énergie-Climat” – qui permettra à nos industriels français et européens de lutter contre le dumping environnemental ».Les sénateurs poursuivront leurs travaux de suivi tout au long de la crise et formuleront des préconisations concrètes pour inscrire la transition énergétique au cœur du plan de relance.
Il y a 5 ans et 30 jours

Le mouvement HLM veut revenir sur les "coupes budgétaires" qui lui sont imposées

COVID-19. L'Union sociale pour l'habitat (USH) s'est associée à cinq associations de locataires pour demander d'"aller plus loin" que l'aide exceptionnelle aux ménages modestes promise par l'exécutif. Ce qui passe, entre autres, par une revalorisation des APL. Pour France urbaine, c'est le modèle économique des bailleurs sociaux qu'il faut sauver, en revenant sur la RLS.
Il y a 5 ans et 119 jours

L’histoire du Fort l’Ecluse à Léaz réécrite par atelierpng

Le programme consistait en la revalorisation touristique du fort l’Écluse à Léaz (Ain). Un petit projet consistant en une salle d’exposition de 140m² et un accueil de 100 m². l’atelierpng – Antoine (Pedro) Petit, Nicolas Debicki et Grichka Martinetti, partagés […] L’article L’histoire du Fort l’Ecluse à Léaz réécrite par atelierpng est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 122 jours

Trophée Béton Ecoles : Les résultats

Revalorisation du quartier des Chiffonniers au Caire. [©Alexandra Kienlen/Tom Hirtzlin] Pour cette nouvelle édition, le Trophée Béton Ecoles a récompensé quatre lauréats. Organisé par Bétocib et le Cimbéton, le concours permet de mettre en avant les jeunes talents des écoles d’architecture françaises. Cette année, une nouvelle catégorie “Studio” a invité les étudiants en 1er et 2e cycle à réinterpréter une œuvre architecturale majeure en béton. Le choix du moyen d’expression était libre pour les candidats. Près de 140 postulants se sont inscrits de manière individuelle ou en groupe (mixant architectes et ingénieurs). Sur ce grand nombre de dossiers, 11 ont été sélectionnés pour défendre leur projet devant un jury de professionnels. Ce dernier était présidé par Jean-François Briand, architecte et directeur de l’école d’architecture de Strasbourg. A la maison de l’architecture Ile-de-France, les membres du jury ont pu départager les candidats et ainsi désigner 3 lauréats dans la catégorie “Classique” et 1 dans la “Studio”. Les prix ont été remis le 9 janvier dernier. L’occasion aussi de lancer la 9e édition du Trophée Béton Ecoles. La version “Pro” sera, quant à elle, de retour en octobre 2020. Les gagnants sont : – 1er prix : Alexandra Kienlen & Tom HirtzlinRevalorisation du quartier des Chiffonniers – Le Caire (Egypte)Ensa Strasbourg – Sous la direction de Dominique Coulon [©Alexandra Kienlen/Tom Hirtzlin][©Alexandra Kienlen/Tom Hirtzlin][©Alexandra Kienlen/Tom Hirtzlin] Les deux lauréats ont imaginé au Caire, en Egypte, un dispositif de télécabines. Il répond à la question de la mobilité urbaine, tout en étant écologique, peu coûteux et rapide d’installation. Pour le concours, ils ont transposé leurs travaux dans le secteur de Mokattam, connu pour être habité par les chiffonniers et éboueurs de la ville. Installé dans une ancienne carrière de pierre, le projet peut utiliser les matières premières sur place. La structure peut se remplir de briques en béton de mâchefer. Un système de poteaux poutres en béton préfabriqué est utilisé, afin de laisser une grande flexibilité et d’appréhender les futures constructions. – 2e prix : Ophélie DozatLe Mur (de soutènement) comme paradigme du territoireEnsa Versailles – Sous la direction de Cédric Libert et Philippe Potié [©Ophélie Dozat] [©Ophélie Dozat] [©Ophélie Dozat] A travers son projet : “Le Mur comme paradigme du territoire”, Ophélie Dozat se questionne sur la construction du territoire à partir d’un mur de soutènement. Pour ses travaux, la jeune architecte s’est intéressée au massif des monts du Cantal, en Auvergne. Une zone modelée par des phénomènes d’érosion et des coulées de laves il y a 13 M d’années. Ici, les murs de soutènement et à contreforts protègent ou constituent une porte. Dans tous les cas, ils trouvent leur place dans l’équilibre du lieu. – 3e prix : Paul de CathelineauTemple urbain : se déconnecter de la frénésie de Tokyo (Japon)Ensa Normandie – Sous la direction de Laurent Salomon [©Paul de Cathelineau] [©Paul de Cathelineau] [©Paul de Cathelineau] [©Paul de Cathelineau] Paul de Cathelineau a imaginé un temple urbain au cœur du quartier de Shinjuku, à Tokyo. Ici, près de 1,3 Md de personnes transitent tous les ans. Dans ce lieu en perpétuel mouvement, le jeune architecte a donc voulu créer un espace de pause. Le programme de Paul s’organise autour d’espaces publics suspendus, proposant différentes expériences spatiales et nouveaux points de vue sur le paysage urbain de Tokyo. Le béton prend sa place dans la structure principale et accueille le bois en structure secondaire éphémère. – 1er prix catégorie Studio : Frédéric Livar Chapelle Saint-Pierre / Paulo Mendes Da RochaEnsa Lyon – Sous la direction de Laurent Mayoud [©Frédéric Livar] [©Frédéric Livar] [©Frédéric Livar] [©Frédéric Livar] Dans cette toute nouvelle catégorie, Frédéric Livar s’est inspiré de l’œuvre de l’architecte brésilien Paulo Mendes da Rocha. Et de son approche brutaliste de la construction, avec une utilisation du béton brut de décoffrage. Pour cela, l’étudiant a réalisé une maquette en béton au 1:200 de la chapelle Saint-Pierre. Construit en 1989 à Sao Paulo, cet ouvrage a entièrement été réalisé en béton. Il comporte quatre éléments structurels significatifs : le pilier cylindrique central, le toit, la dalle intermédiaire accueillant la nef et l’autel, et enfin, le balcon pour le chœur.
Il y a 5 ans et 176 jours

La SNCF commence à valoriser les espaces vacants de ses petites gares

La SNCF a signé les premières attributions d'espaces vacants dans ses petites gares, début de concrétisation d'un programme de revalorisation qui vise à faire d'un millier de gares des endroits plus vivants.
Il y a 5 ans et 263 jours

Hausses de taxes foncières : Dussopt nie tout lien avec la taxe d'habitation

FISCALITE. Dans un communiqué, Olivier Dussopt, secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Action et des Comptes publics, a réagi à l'article du Parisien "sur une prétendue accélération" des revalorisations des bases locatives.
Il y a 6 ans et 74 jours

LE BARDAGE SMART DE NEOLIFE® OBTIENT LE LABEL ÉLU PRODUIT DU BTP PAR LES PROFESSIONNELS 2019

NEOLIFE® décroche le label " Élu Produit du BTP par les professionnels 2019 " dans la catégorie façade avec le bardage SMART ! Décerné par les professionnels, ce label récompense les meilleurs matériaux du bâtiment et des travaux publics pour leur qualité d'innovation et de design. UNE RECONNAISSANCE DU SECTEUR DE LA CONSTRUCTION L'Election des Produits du BTP est devenue en 6 ans un événement majeur dans le secteur du BTP et de la construction. Organisée par SAGERET en partenariat avec la CAPEB et le Bâtiment Artisanal, l'Election des Produits du BTP récompense les matériaux les plus remarquables du bâtiment et des travaux publics. Chaque année, au mois de janvier, ce sont près de 250 000 entreprises et 30 000 prescripteurs de la construction (architectes, maîtres d'"uvre, bureaux d'études, architectes d'intérieur, décorateurs...) qui sont invités à se prononcer sur les matériaux en leur attribuant des notes sur différents critères. Entre le 4 février et le 15 février 2019, 89 384 votes ont désigné 17 produits lauréats dont SMART, le bardage en VESTA de NEOLIFE, qui a obtenu le label " Élu Produit du BTP par les professionnels 2019" remarqué pour le caractère innovant du produit, son design et son ergonomie, sa pertinence et son utilité et l'intention d'achat du professionnel consulté.  UNE RECOMPENSE SOURCE DE CROISSANCE POUR LE BARDAGE SMART Ces dernières années, le développement de NEOLIFE a été porté par la croissance du bardage COVER avec plus de 70 000 m² vendus à ce jour. En 2017, SAGERET avait déjà récompensé le bardage COVER comme " Produit du BTP 2017 " ce qui avait permis de booster les ventes en renforçant sa crédibilité et sa visibilité. Aujourd'hui, c'est au tour du bardage SMART d'obtenir la même récompense lui accordant toute la confiance des professionnels du BTP pour un avenir prometteur.   DE HAUTES PERFORMANCES Le bardage SMART de NEOLIFE est certifié C-s3,d0 (M2). Cette performance de résistance au feu est exceptionnelle pour un bardage à forte teneur en fibres de bois (75%) et lui permet d'accéder aux logements de 1ère à 4ème famille et les ERP de 1ère à 5ème catégorie. Il est hautement résistant aux chocs (Q4), vent (V4) et séisme (compatible en zones 1 à 4 pour tout bâtiment de catégorie 1 à 3). Les lames sont teintées directement dans la masse par des pigments minéraux haute densité qui lui confèrent une grande résistance aux UVs. L'éco-matériau VESTA® est rendu hydrophobe et imputrescible. Il bénéficie ainsi d'un entretien facilité et ne requiert aucun traitement de protection du bois contre les moisissures et l'humidité. Il est également très résistant aux insectes xylophages.   UN MATÉRIAU DESIGN ET ENVIRONNEMENTAL Le bardage SMART de NEOLIFE est conçu en VESTA®, une matière unique qui allie la naturalité du bois à la résistance du minéral. Le bois est issu de la revalorisation de chutes de scierie provenant de forêts européennes gérées durablement. Tous ses composants sont vierges et garantissent à la matière une parfaite traçabilité et une grande valeur ajoutée environnementale. Les fibres apparaissent finement sur les lames dont la profondeur des six couleurs naturelles et la finition vibrée subliment les façades. Des nuances apparaissent tout au long de la journée selon l'intensité lumineuse et l'exposition et viennent créer un effet vivant sur la façade. Le bardage SMART est présenté en lames de grande longueur de 325 cm en standard avec un rythme de 9 cm de largeur vue. Il se coordonne parfaitement avec les autres solutions de façade de NEOLIFE®, dont les gammes SMART et CLAD déjà sous ATex, et les profils multifonctions SPACE et SHADOW. EN SAVOIR PLUS? NEOLIFE®, créateur d'éco-matériaux pour espaces durables, est une société française fondée en 2012. Elle conçoit des solutions constructives à caractère environnemental - bardages, persiennes et terrasses - destinées aux professionnels de la construction soucieux de bâtir des logements, des bâtiments tertiaires et des aménagements paysagers éco-responsables. NEOLIFE® participe ainsi à une nouvelle philosophie de la construction, centrée sur trois valeurs essentielles : le développement durable, l'innovation et l'humain. Premier éco-matériau créé par NEOLIFE®, VESTA® (Vegetal Ecological Stable Timber Advantage) allie la naturalité du bois à la résistance du minéral. Il contient un taux exceptionnel de fibres de bois renforcées " jusqu'à 92% - issues de déchets de scieries revalorisés et sains. Ces déchets de bois sont issus de forêts européennes gérées durablement et amènent une faible empreinte carbone. Tous ses composants sont vierges et garantissent aux solutions NEOLIFE® une grande valeur ajoutée environnementale. L'éco-matériau VESTA® possède des renforts techniques au c"ur de sa matière qui lui confèrent un caractère particulièrement résistant aux outrages esthétiques de l'humidité, des insectes et des UVs. Ses caractéristiques mécaniques alliant légèreté, souplesse et solidité permettent à NEOLIFE® de concevoir des solutions dont les performances répondent aux normes élevées de résistance au feu, aux chocs, au vent ou aux séismes. Pour plus d'informations : www.neolife-solutions.com
Il y a 6 ans et 138 jours

Salaires, formation, aides fiscales : le point sur les principales évolutions en 2019

À nouvelle année, nouvelles réglementations ! 2019 ne fera pas exception, apportant son lot de (nombreux) changements. Du prélèvement à la source à la revalorisation du smic, en passant par la formation, la dématérialisation des documents ou encore les aides au logement et à la rénovation, tour d'horizon des dispositifs mis en place ou maintenus dès ce mois de janvier.
Il y a 6 ans et 156 jours

Comment le BTP s'organise pour le versement de la "prime exceptionnelle" ?

ENTREPRISES. Sollicitées par le président de la République pendant la crise des Gilets jaunes afin de contribuer elles aussi à la revalorisation du pouvoir d'achat, nombre d'entreprises ont annoncé qu'elles verseraient une "prime exceptionnelle" à leurs salariés. Quelle est la position des entreprises du BTP sur ce sujet ?
Il y a 6 ans et 178 jours

Lancement de Walt : un outil digital qui promeut l'alternance

Longtemps dédaignée, l'alternance connaît aujourd'hui un regain d'intérêt et fait l'objet d'un projet de revalorisation, notamment porté par la Ministre du Travail, Muriel Pénicaud. Cinq réseaux de CFA ont ainsi annoncé hier, jeudi 27 novembre, le lancement d'un outil digital nommé " Walt ", pour démocratiser l'alternance auprès des jeunes et des entreprises.
Il y a 6 ans et 269 jours

Budget 2019 : une revalorisation des aides au logement, mais?

Alors que le Premier ministre Edouard Philippe présentait le 26 août le budget 2019 défini par le gouvernement, le secrétaire d'État Julien Denormandie est revenu sur la réévaluation des aides au logement. Celles-ci, qui avaient été largement réduites l'année dernière, devraient au contraire augmenter dès janvier prochain, mais à hauteur de 0,3% seulement. Un taux dont le bras droit de Jacques Mézard se défend.
Il y a 6 ans et 269 jours

Une revalorisation des APL bien inférieure à l'augmentation des prix immobiliers

ACCESSION. Le secrétaire d'État à la Cohésion des territoires, Julien Denormandie, a annoncé ce lundi 27 août une augmentation à hauteur de 0,3 % des aides personnalisées au logement (APL). Cependant, cette revalorisation est loin de l'augmentation des prix de l'immobilier qui dépasse les 2%.
Il y a 6 ans et 317 jours

Álvaro Siza : Capela do Monte

Il faut emprunter un petit sentier pour pouvoir l'atteindre. La Capela do Monte, une chapelle minimaliste de 65 mètres carrés située à flanc de colline, a été érigée par l'architecte Álvaro Siza au printemps 2018 dans la campagne d'Algarve (Portugal). Un édifice tout en humilité qui s'inscrit dans un projet de revalorisation du patrimoine agricole de la région. Une architecture qui va à l'essentiel, voilà la Capela do Monte (signifiant chapelle de la montagne en portugais), intégrée au centre Monte da Charneca, un complexe d'habitation de 7 hectares en cours de construction dont l'ouverture est prévue au début de l'année 2021. Composé de sept maisons traditionnelles réhabilitées pourvues d'un système à énergie solaire ainsi que d'un verger, ce projet a pour but de créer une aire de retraite qui valorise le territoire auprès des touristes. Avec sa façade quasi-aveugle en U, ce large cube de deux niveaux en brique recouverte de chaux locale couleur crème et son parvis d'entrée dominent le hameau d'Algarve sur son flanc ouest. L'entrée se fait côté sud, par le biais d'un hall longitudinal chaleureux baigné de lumière zénithale. Sur les murs : trois scènes religieuses peintes sur un carrelage blanc issu de la ville de Viuva Lamego " reprenant la technique des azulujos chère aux Portugais ", et croquées par Álvaro Siza lui-même. Une fois passé le corridor, changement d'ambiance : une salle carrée immaculée aux parois recouvertes de carrelage sur leur moitié inférieure avec un mobilier en bois clair comprenant un autel, une série de chaises et une abstraction de la croix traditionnelle haute de 2,30 mètres, le tout éclairé zénithalement. D'un rationalisme épuré, ce rendez-vous spirituel situé à vingt minutes de la côte d'Algarve est un bijou de l'architecture dite " régionaliste critique ". Photographies : João Morgado " Fotografia de arquitectura
Il y a 6 ans et 317 jours

Álvaro Siza : Capela do Monte

Il faut emprunter un petit sentier pour pouvoir l'atteindre. La Capela do Monte, une chapelle minimaliste de 65 mètres carrés située à flanc de colline, a été érigée par l'architecte Álvaro Siza au printemps 2018 dans la campagne d'Algarve (Portugal). Un édifice tout en humilité qui s'inscrit dans un projet de revalorisation du patrimoine agricole de la région. Une architecture qui va à l'essentiel, voilà la Capela do Monte (signifiant chapelle de la montagne en portugais), intégrée au centre Monte da Charneca, un complexe d'habitation de 7 hectares en cours de construction dont l'ouverture est prévue au début de l'année 2021. Composé de sept maisons traditionnelles réhabilitées pourvues d'un système à énergie solaire ainsi que d'un verger, ce projet a pour but de créer une aire de retraite qui valorise le territoire auprès des touristes. Avec sa façade quasi-aveugle en U, ce large cube de deux niveaux en brique recouverte de chaux locale couleur crème et son parvis d'entrée dominent le hameau d'Algarve sur son flanc ouest. L'entrée se fait côté sud, par le biais d'un hall longitudinal chaleureux baigné de lumière zénithale. Sur les murs : trois scènes religieuses peintes sur un carrelage blanc issu de la ville de Viuva Lamego " reprenant la technique des azulujos chère aux Portugais ", et croquées par Álvaro Siza lui-même. Une fois passé le corridor, changement d'ambiance : une salle carrée immaculée aux parois recouvertes de carrelage sur leur moitié inférieure avec un mobilier en bois clair comprenant un autel, une série de chaises et une abstraction de la croix traditionnelle haute de 2,30 mètres, le tout éclairé zénithalement. D'un rationalisme épuré, ce rendez-vous spirituel situé à vingt minutes de la côte d'Algarve est un bijou de l'architecture dite " régionaliste critique ". Photographies : João Morgado " Fotografia de arquitectura
Il y a 6 ans et 331 jours

Axel Schoenert Architectes : Le Shift

Au c"ur du quartier de la Gare Saint-Lazare à Paris (8e), un ensemble immobilier rebaptisé le Shift a été entièrement repensé et rénové par l'agence Axel Schoenert Architectes. Un espace de co-working parisien livré en avril 2018 qui fait table rase de son passé résidentiel pour offrir un tout nouvel agencement au plus près du salarié d'aujourd'hui. Travailler en co-working c'est bien, dans un intérieur de haut-standing c'est mieux ! La société allemande de gestion d'actifs MEAG a ainsi confié la revalorisation de sa propriété situé au 54 rue de Londres à Paris, à l'agence Axel Schoenert Architectes. L'ensemble est composé de trois bâtiments en peigne d'une surface totale de 4 758 mètres carrés : une résidence en R+6 datant des années 1930 sur rue et un hôtel particulier de 1840 en R+5, parallèles et séparés par une cour, et en fond de parcelle une ancienne écurie du XIXe siècle avec patio, dorénavant bardée de verre et de métal. Des édifices fragmentés que le client a souhaité réunir et harmoniser afin d'y installer de vastes espaces de co-working pour le groupe SPACES, qui s'est lui-même chargé de l'aménagement de ses plateaux traversants, libérés de toute cloison intérieure. Pour permettre une libre circulation, deux cours végétalisées agrémentent les aires extérieures tandis qu'un escalier construit ex nihilo ajoute une fluidité à l'ensemble. La façade sur rue, exposée plein sud, accueille un bardage en Corian® blanc, matériau également utilisé pour l'habillage de l'escalier extérieur reliant les deux principaux édifices. L'assemblage de panneaux " réalisés sur-mesure " respecte le calepinage de l'immeuble haussmannien voisin et assure par ailleurs une résistance dans le temps aux intempéries, UV, à la chaleur et au feu " en même temps qu'il dissimule une épaisse isolation réduisant les coûts énergétiques. L'agence Axel Schoenert Architectes a donc su faire du Shift un pôle tertiaire attractif et harmonieux. Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Axel Schoenert Architectes Photographies : Axel Schoenert Architectes
Il y a 7 ans et 0 jours

INCA re-sacralise le site de Lourdes

  L'agence INCA (Gilles Marty), habituée des sites historiques et archéologiques, signe le projet de revalorisation du site de Lourdes, qui accueille 6 millions de visiteurs chaque année. 
Il y a 7 ans et 10 jours

Comment l'exploitation des carrières vient contribuer à la revalorisation des écosystèmes

Les producteurs français de granulats sont engagés depuis plus d'une trentaine d'années dans des démarches environnementales afin de concilier les enjeux économiques de l'industrie extractive et le maintien de la biodiversité sur les sites.
Il y a 7 ans et 41 jours

ISOVER Recycling : la laine de verre possède sa filière de recyclage

ISOVER lance ISOVER Recycling, la première filière au monde de recyclage des déchets de laine de verre. Depuis 1997, le groupe possède son propre centre de revalorisation de laine de verre, Oxymelt à Orange, qui traite les déchets de laines, les transforme en calcin et les réinjecte dans le process de fabrication de nouvelles laines. … Cet article ISOVER Recycling : la laine de verre possède sa filière de recyclage est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 7 ans et 73 jours

L'énergie grise des bâtiment : un calcul encore trop approximatif

Le carbone gris comprend les émissions de gaz à effet de serre produites durant l'extraction des matériaux nécessaires à la construction d'un bâtiment, leur transport, la phase de chantier, les rénovations, puis la démolition, jusqu'à la potentielle revalorisation des matériaux. " A l'issue des Accords de Paris sur le climat, de nombreux pays ont accepté … Cet article L'énergie grise des bâtiment : un calcul encore trop approximatif est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 7 ans et 239 jours

Indemnités de licenciement : ce qui a changé

Dans le cadre de la réforme de la loi travail, le décret portant que la revalorisation de l'indemnité de licenciement a été publié ce 25 septembre et est entré en vigueur. Découvrez comment elle est désormais calculée.
Il y a 7 ans et 357 jours

Recyclage des déchets du BTP : " la situation évolue ", Philippe Maillard

Recycler 70% des déchets du BTP à horizon 2020 : tel est l'un des objectifs fixés par la loi de transition énergétique pour la croissance verte. Ambitieux, mais nécessaire selon Philippe Maillard, directeur général des activités recyclage et valorisation de Suez en France. En effet, au-delà de l'aspect environnemental évident, la revalorisation des déchets du bâtiment est avant tout l'occasion de remettre dans les cycles de production une matière première qui n'est pas infinie. Entretien exclusif.
Il y a 8 ans et 58 jours

Martinique : GTS guide les déchets du petit Galion

En partenariat avec la société Sogea Martinique, GTS (groupe NGE) a été missionnée pour réaliser les travaux préparatoires et deux ouvrages de génie civil dans le cadre de la transformation d'une ancienne carrière en un centre de traitement et de revalorisation des déchets du petit Galion en Martinique.
Il y a 8 ans et 96 jours

Paie BTP : ce qui a changé au 1er janvier 2017

FICHE PRATIQUE. Augmentation de la cotisation vieillesse déplafonnée et de la cotisation maladie, revalorisation du SMIC, du plafond de la Sécurité sociale, de la cotisation OPPBTP, des cotisations accidents du travail, de la GMP, modification qui touche le calcul de la réduction Fillon. Retrouvez tous les chiffres qu'il faut connaitre dans le domaine de la paie BTP à compter du 1er janvier 2017.
Il y a 8 ans et 124 jours

Imerys Toiture met en place la revalorisation de ses palettes en bois

60 millions de palettes fabriquées en France ne sont pas réutilisées et sont considérées comme perdues. Sur un chantier, elles représentent une part importante des déchets qui doivent légalement faire l'objet d'un recyclage.
Il y a 8 ans et 183 jours

Un accord pour développer les métiers du gaz de demain

Le ministère de l'Education nationale et les acteurs du secteur gazier ont signé un accord de coopération pour la création d'une nouvelle filière de formation. En effet, la convention porte sur le développement et l'attractivité des métiers de la filière gaz et doit permettre la revalorisation des métiers industriels. Il s'agit également de préparer les entreprises aux métiers du gaz de demain, une mutation nécessaire dans un contexte de transition énergétique.
Il y a 8 ans et 189 jours

Picheta : trier mieux pour valoriser plus

La revalorisation des déchets du BTP connaît un succès grandissant, motivé par des enjeux environnementaux inéluctables et une réglementation de plus en plus dure. Picheta, entreprise spécialisée dans la démolition, dispose de plusieurs plateformes de tri en région parisienne. Focus sur celle de Pierrelaye, dans le Val-d'Oise.
Il y a 8 ans et 216 jours

Paris déblaye

Point d'orgue de la passionnante exposition "Terres de Paris, de la matière au matériau ", la Société du Grand Paris a lancé ce matin son 3ème appel à projet dans les locaux du Pavillon de l'Arsenal. Après la proximité et la mobilité, les équipes concourantes sont à nouveau invitées à réfléchir sur une problématique très concrète : celle du traitement et de la revalorisation des déblais sur les chantiers. Les nombreux chantiers du grand Paris soulèvent souvent des questions...
Il y a 8 ans et 363 jours

Isabelle Daëron : Chantepleure-sur-Seine

Lauréate des Audi talents awards 2015, Isabelle Daëron présente "Chantepleure-sur-Seine" sur la pelouse du Musée des Arts décoratifs. Point d'étape de son projet " Topiques ou l'utopique désir d'habiter les flux", cette installation présente une première partie de son travail sur la revalorisation du réseau d'eau non potable de la Ville de Paris.   Dès le milieu du XIXème siècle, la capitale se dote d'un double réseau d'eau : l'eau potable, destinée à la consommation humaine, et l'eau non potable, prélevée dans la Seine et dans le canal de l'Ourcq, utilisée pour l'arrosage des espaces verts et le nettoyage. Ce deuxième réseau, menacé un temps d'abandon car vétuste et sous-utilisé, nécessite aujourd'hui d'imaginer de nouvelles utilités. Quels nouveaux usages inventer pour l'eau non potable de Paris ? Formulant une réponse sous la forme de deux premiers dispositifs, Isabelle Daëron replace l'utilisation de cette eau de Seine dans notre quotidien. Lancé en 2007, le programme Audi talents awards soutient la jeune création en Art contemporain, Design, Court-métrage et Musique à l'image. Ce concours donne chaque année à quatre jeunes créateurs désignés par un jury indépendant, les moyens de réaliser, exposer et médiatiser leur projet à l'occasion d'expositions, concerts ou encore projections, en collaboration avec, notamment, le festival des D'Days. Chantepleure-sur-Seine, Musée des Arts Décoratifs, 103 Rue De Rivoli 75001 Paris, du mardi 31 mai au dimanche 05 juin, de 11h00 à 18h00, accès libre et gratuit. Le festival des D'Days s'installe au Musée des Arts Décoratifs. Retrouvez ici l'ensemble de la programmation. Pour en savoir plus, consultez le site des D'Days et celui d'Isabelle Daëron.
Il y a 9 ans et 0 jours

D'DAYS 2016 : Musée des Arts Décoratifs

Du 30 mai au 5 juin 2016 le festival des D'DAYS investit Paris et propose une certaine vision du design, vecteur de développement économique, culturel et social. Creuset d'échanges, de découverte et de pensée, les D'DAYS s'installent cette année dans l'institution mère de la discipline : les Arts Décoratifs. Le musée devient le point d'ancrage naturel du festival, au c"ur d'un programme unique où se marient les métiers d'art et le design contemporain. Le design fait sa r/evolution ! ISABELLE DAËRON : CHANTEPLEURE-SUR-SEINE Lauréate Audi talents awards 2015, Isabelle Daëron présentera " Chantepleure-sur-Seine " sur la pelouse du Musée des Arts décoratifs, première partie de son travail sur la revalorisation du réseau d'eau non potable de la Ville de Paris. Sous la forme de deux premiers dispositifs, Isabelle Daëron replace l'utilisation de cette eau de Seine dans notre quotidien. DAAN ROOSEGAARDE : LUMINORD'Days, en coproduction avec Panerai, proposent une expédition dans les dimensions de la lumière froide à travers les recherches et expérimentations de Daan Roosegaarde qui consacre ses recherches aux relations entre l'homme, l'espace, la technologie et la lumière. Il façonne la lumière pour des projets sensibles aux comportements humains : chaleur, toucher, mouvement et son. La lumière n'est plus considérée comme un éclairage, elle est immanente et se retrouve dans sa relation à l'homme. LOEVE : PLUG & DREAM'S OUTSIDE AND INSIDE TRIPSL'exposition "Plug and dream's outside and inside trips" offre l'expérience unique de vivre un moment de bien-être avec son mobilier, grâce à une technologie maitrisée et bienveillante, au service de la sensibilité humaine. Découvrez, expérimentez et imaginez une expérience polysensorielle P&D, une invitation à l'évasion et l'éveil des sens, pour des voyages en dehors du temps accompagné d'une nouvelle génération de mobilier connecté, émotionnel et modulable. OBJETS.PUBICS. : ILLUSIONSObjets.Publics. présente les assises Rocs et la corbeille Animation. Au-delà de leurs fonctions, ces mobiliers, obtenus par superposition de motifs, offrent un jeu visuel à l'observateur. La scénographie Illusions joue avec ces trames pour révéler progressivement au passant la face cachée des mobiliers présentés. POSTER FOR TOMORROW : MAKE EXTREMISM HISORYDepuis 2009, Poster for Tomorrow met le design au service des grandes causes. Poster for Tomorrow organise des débats, des séminaires, des conférences, des ateliers et des expositions dans les écoles, les universités et les institutions du monde entier. Le mouvement comptabilise une banque d'image de plus 25000 affiches dédiées à la liberté d'expression, à l'égalité homme femme, droit à l'éducation, logement, travail ou la santé... En 2016, Poster for Tomorrow vise l'extrémisme : l'extrémisme religieux mais aussi celui à l'"uvre dans la société, la politique, l'environnement et la distribution des richesses. ORIENTED : LA NATURE DES CHOSES - HONSEIOriented, nouvelle plateforme de promotion et de diffusion des designs et savoir-faire du Japon, créée par Sylvie Chevallier, présente l'exposition "La Nature des Choses " Honsei". Dans leur rencontre avec le bois et l'argile, trois créateurs interrogent "l'être" des choses. François Azambourg redonne de la valeur au copeau de bois, témoin du savoir-faire unique des charpentiers japonais. Architect Taitan transcrit l'architecture traditionnelle de Kyoto en un objet mobilier qui module l'espace intérieur comme un paysage. La céramiste Fuku Fukumoto s'affranchit des codes de la porcelaine de Kyoto et explore les réactions de la matière, guidée par l'instinct du geste. L'exposition STOKKE MAXI TRIPP TRAPP® Stokke® vous invite à vous asseoir sur un format géant de sa chaise haute iconique Tripp Trapp® et ainsi à vous mettre à la place d'un enfant. En 1972, le designer norvégien Peter Opsvik révolutionne le mobilier pour enfant : pour la première fois, c'est le bien-être des tout-petits qui guide la conception. En leur permettant de partager la table familiale, Tripp Trapp® favorise les interactions et le lien entre parents et enfants dès leur naissance, pour " grandir ensemble ". RAMY FISCHLER : L'IMAGE ECLAIREAu croisement du luminaire, du cinéma et de l'objet connecté, Ramy Fischler imagine des luminaires cinématographiques et " fait de la lumière " dans tous les sens du terme. En exploitant l'éventail des ressources ouvert par les nouveaux outils domotiques, le designer opère une extension de la fonction première du luminaire à la possibilité d'en faire le moteur d'expériences où tout est possible. PERI'FABRIQUED'Days, la Fondation Bettencourt Schueller et Est EnsemblePour la 5ème année de son existence, Péri'Fabrique s'installe à nouveau au Musée des Arts Décoratifs pendant toute la durée du Festival. Expérience passionnante de co-création d'objets, soutenue par la Fondation Bettencourt Schueller et le territoire Est Ensemble, elle s'inscrit dans une démarche d'exploration artistique entre un designer et un artisan d'art mais en renversant les rôles : l'artisan choisit son partenaire. Ce qui d'emblée peut paraitre déstabilisant pour le designer, s'avère souvent source stimulante de création. Taiwan, invité d'honneur des D'DAYS 2016 TAIWAN - UNFOLDINGCommissariat: Patricio Sarmiento / Scénographie: Sébastien CordoleaniConçue par l'association Hand in Hand, avec le soutien du Ministère de la Culture de Taïwan et du Centre Culturel de Taïwan à Paris, TAIWAN-UNFOLDING dévoile les liens qu'entretiennent les artisans, artistes et designers taïwanais avec le papier, un matériau omniprésent au sein des traditions populaires. L'industrie et l'artisanat contemporain se sont appropriés ses qualités et ont su perpétuer l'usage au quotidien. L'exposition propose de découvrir les différents usages du papier et des qualités créatives de Taïwan, au travers d'offrandes en papier de Hsin Hsin, d'"uvres fantastiques de l'artiste Hsin-Fu Hung, ou encore de créations de design contemporain. Rencontres avec la jeune génération de designers BERNARC CHAUVEAU X ESAD REIMSLe partenariat entre Bernard Chauveau Edition et l'Ecole Supérieure d'Art et de Design de Reims (ESAD) présente aux D'Days une sélection de travaux inédits de jeunes élèves designers. A travers l'expérimentation, les recherches sur les matériaux et les formes, l'objet et son utilisation, la jeune génération n'a de cesse de travailler les questions d'évolution, de détournement, de déplacement, de translation. Ce partenariat singulier, entre l'éditeur et l'École, est engagé au long cours pour la coédition d'objets conçus par les étudiants, dont il s'agit pour la plupart de leur première édition. ECOLE CAMONDO : ARCHITECTURES NOMADESLes étudiants architectes-designers s'approprient les inventions des pionniers de la tenségrité : D.G. Emmerich, R. Buckminster Fuller , K. Snelson. Ils élaborent des modules élémentaires construits avec des élastiques et des spaghettis qui conjuguent arcs, cellules, mats, nappes... Le montage, la mise en tension et le déploiement des assemblages nécessitent trois ou quatre mains. Le montage prend une dimension spectaculaire et acrobatique lorsque les corps s'activent pour interconnecter les éléments qui assument collectivement l'équilibre grâce au réseau des tensions, en une structure finale monumentale, solide et nomade. HAUTE ECOLE DES ARTS DU RHIN : JAM MECANIQUELa Haute école des arts du Rhin (HEAR) en partenariat avec l'Institut national des sciences appliquées (INSA) de Strasbourg présentent une partition commune autour de mécanismes en révolution, mouvement perpétuel, tournant, ascendant et tourbillon spatiotemporel. Une petite musique nous raconte l'histoire de la pluie qui tombe, d'un bras qui s'actionne, d'une vapeur qui s'étiole, énergies combinées et archaïsme techno sensible. Entre la physique appliquée et une poésie de l'instinct, ce travail collectif interroge l'expérience partagée, la manière de penser et de produire ensemble. Retrouvez l'ensemble des manifestations ainsi que les expositions temporaires du musée des Arts Décoratifs en accès libre sur présentation obligatoire du guide ou de l'application D'Days. D'DAYS aux Musée des Arts Décoratifs, 103 rue de Rivoli 75001 Paris, du mardi 31 mai au dimanche 05 juin de 11h00 à 18h00, entrée libre. Muuuz et l'ArchiDesignClub sont partenaires des D'Days. Vous retrouverez au sein d'une rubrique dédiée toute l'activité liée à l'évènement. Pour en savoir plus, consultez le site des D'Days.