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Il y a 3 ans et 238 jours

Le gouvernement veut une aide unique pour l'adaptation des logements au vieillissement

"On souhaite initier ça début 2022, un peu comme sur le sujet de la rénovation énergétique. On avait avant plusieurs dispositifs cherchant à remplir le même objectif, c'est-à-dire accompagner l'adaptation au vieillissement", a déclaré Mme Wargon à l'occasion de la restitution d'une consultation citoyenne et d'une série de tables rondes sur le thème "Habiter la France Demain".L'objectif est "d'unifier" les aides existantes afin de simplifier la démarche, a-t-elle ajouté.MaPrimeAdapt' devrait être cumulable avec MaPrimeRénov', une aide calculée en fonction des revenus et du gain écologique des travaux effectués, et pour laquelle une enveloppe de deux milliards d'euros a été annoncée pour 2022.Dans un rapport remis en mai au gouvernement, Luc Broussy, spécialiste de l'économie des séniors, proposait 80 mesures pour accompagner le vieillissement sans forcément recourir aux Ehpad, dont la création d'une aide unique aux travaux d'adaptation des logements (douches à l'italienne, rampes, poignées, etc.)Le Premier ministre Jean Castex a ensuite chargé Brigitte Bourguignon, ministre déléguée chargée de l'Autonomie, et Emmanuel Wargon de plancher sur le sujet.Cette dernière a affirmé jeudi que le dispositif serait précisé en janvier, mais qu'il faudrait "quelques mois, avec des étapes successives", pour qu'il se généralise et "trouve son public".La ministre a par ailleurs précisé un peu plus les critères du futur dispositif "Pinel+".Le dispositif "Pinel" actuel permet des avantages fiscaux pour l'acquéreur d'un logement neuf, à condition qu'il le loue en respectant un niveau maximum de loyer.S'il souhaite conserver ces avantages, l'acquéreur devra s'assurer que le logement dispose d'une surface minimum (fixée en fonction du nombre de pièces), d'un espace extérieur privatif et d'une double orientation pour les logements d'au moins trois pièces, a annoncé la ministre jeudi.Mme Wargon proposera dans les prochains jour un décret, qui sera ensuite soumis à consultation pour une mise en place en 2023.
Il y a 3 ans et 239 jours

Assises nationales des Ecoles nationales supérieures d’Architecture et de paysage et de l’Ecole de Chaillot

Les Assises des Ecoles nationales supérieures d’architecture et de l’Ecole de Chaillot, se tiennent les 14 et 15 octobre à l’Ecole nationale supérieure d’architecture – ENSA de Normandie, sur le thème de « l’intervention sur l’existant ». Organisées à l’occasion des Journées nationales de l’architecture, elles regroupent des professionnels du monde de l’architecture, de l’aménagement et de la filière de la construction, rassemblés pour débattre autour de cas concrets exposés par des acteurs de terrain et des solutions apportées par les ENSA. Trois tables rondes permettent de débattre de la place du patrimoine et de l’architecture aujourd’hui : – Patrimoines excentrés: la valeur culturelle comme levier de projet dans l’espace rural et les villes moyennes – Nouveaux usages, nouvelles pratiques de projet: l’architecture du XXe siècle, massification ou appropriation? – Les enjeux environnementaux de la réhabilitation. L’architecture existante, nouveaux modèles de transition décarbonée ? Dans le prolongement des Assises, le ministère de la Culture et la DRAC Normandie proposent une conférence, le 14 octobre à 18h30, sur le thème : « Rebâtir ensemble : restaurer les cathédrales de Paris et de Rouen. Contributions scientifiques et rôle de l’architecte ».
Il y a 3 ans et 241 jours

Pour les notaires, rentabiliser l’existant par la « mutabilité des usages »

Après la recherche, les rapports, les tables rondes, voici le colloque « pour un logement Accessible et de Qualité ». Prévu en Phygital, il a lieu le mardi 19 octobre à la salle Wagram ! Les notaires du Grand Paris et le GRIDAUH (Groupement de recherche sur les institutions et le droit de l’aménagement de l’urbanisme et de […] L’article Pour les notaires, rentabiliser l’existant par la « mutabilité des usages » est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 242 jours

Patrimoine et Territoires au Salon International du Patrimoine Culturel 2021

La 26ème édition du Salon International du Patrimoine Culturel se tiendra du 28 au 31 octobre 2021, au Carrousel du Louvre à Paris. Près de 350 exposants, des professionnels de la restauration et de la conservation du patrimoine, associations de sauvegarde du patrimoine, fournisseurs du patrimoine bâti, collectivités locales, créateurs de nouvelles technologies et acteurs innovants, sont attendus. Le thème choisi : « Patrimoine et Territoires », résonne particulièrement dans la période actuelle, comme en témoignent le succès touristique rencontré par les territoires français habituellement peu fréquentés ou encore l’appétence accrue pour la consommation locale, durable et responsable dans laquelle s’inscrivent tout particulièrement les professionnels des métiers d’art et du patrimoine. Une riche programmation de conférences, démonstrations et remises de prix rythme les 4 jours de l’événement. Cette année, en plus du programme habituel, le Salon propose une série de nouveautés, comme l’exposition « Restaurons Notre-Dame ! » fruit d’un partenariat entre Ateliers d’Art de France d’une part, la Fédération des Compagnons du Tour de France et l’association Restaurons Notre-Dame, Le Forum du Patrimoine. Le Forum du Patrimoine, mis en place par le magazine Atrium patrimoine et restauration et Ateliers d’Art de France avec le soutien de la Fondation France Bois Forêt pour notre Patrimoine à l’occasion de l’Edition Digitale du Salon International du Patrimoine Culturel en 2020, a été reconduit pour l’édition 2021. Il prendra la forme d’un plateau télé TV au coeur du Salon. Il comprendra un programme exceptionnel de douze émissions – des tables-rondes d’une vingtaine de minutes chacune, animées par des experts reconnus. Elles seront l’occasion de décrypter l’actualité et les grands enjeux du secteur du patrimoine. Ce format mêlant le présentiel et le digital avec une retransmission en ligne en léger différé, viendra compléter l’offre de conférences physiques du salon.
Il y a 3 ans et 245 jours

Le foncier et la densité, thèmes centraux d'"Habiter la France de demain"

HABITAT. Le cycle de tables-rondes initié par la ministre du Logement touche à sa fin. Lors des six débats organisés au ministère de la Transition écologique, les échanges ont souvent porté sur les problématiques foncières, et la façon de l'économiser sans renchérir encore le logement.
Il y a 3 ans et 256 jours

Colloque “Le Pont” : Le changement climatique et les ouvrages de génie civil

La 26e édition du colloque “Le Pont” sera consacrée aux effets du changement climatique sur les ouvrages d’art. [©Colloque “Le Pont”] La communauté d’ouvragistes en génie civil se mobilise fortement sur les conséquences du changement climatique. Elle ne porte pas son expertise sur les causes, mais sur le constat qu’elle en fait. Et alerte les gestionnaires d’ouvrages sur les conséquences que ces effets pourraient avoir à courts et moyens termes, si rien n’est fait pour les protéger. Cette année, le thème du colloque “Le Pont” est “Le changement climatique et les ouvrages de génie civil”. Ce colloque se déroulera du 28 au 29 septembre prochain, à Toulouse (31). Au côté du comité d’organisation, Christian Tridon, président de l’association “Le Pont”, propose encore un programme très riche. Un programme très riche La 26e édition de cet évènement sera donc consacrée aux effets du changement climatique sur les ouvrages d’art. Nous y retrouverons entre autres : Bojidar Yanev, qui nous fera part de la position américaine sur ce même sujet. Ou encore, Brice Lalonde, qui participera à la traditionnelle table ronde pour nous faire part, en tant qu’ancien ministre “vert”, de ses convictions d’écologiste sur ces phénomènes. Mais aussi, Pietro Teatini, professeur à l’université de Padoue (Italie), qui nous parlera d’un projet très original pour lutter contre l’enfoncement de Venise. En parallèle, l’entreprise Omini Demolizioni Industriali, qui a déconstruit le pont Morandi à Gênes, en juin 2019, viendra nous décrire l’originalité de la méthode utilisée… « La transition écologique doit être une règle et un objectif pour tous. Nous l’avons compris. Aidons-nous mutuellement à nous y préparer », conclut Christian Tridon. Pour en savoir plus :  Sur le siteProgramme du colloque « Le Pont 2021 »
Il y a 3 ans et 260 jours

Fischer France fête 60 ans d’innovations sur le marché de la fixation

Créée en 1961 et basée à Strasbourg, fischer France est la 3ème filiale du groupe fischer. Avec près de 100 salariés et un chiffre d’affaires de 49,3 millions d’euros, l’entreprise n’a cessé depuis plus de 6 décennies de bousculer le marché français de la fixation avec de nombreuses innovations. Aujourd’hui, les produits fischer sont plébiscités aussi bien par les professionnels que les bricoleurs. Le savoir-faire, l’étendue des gammes et des services proposés, les technologies de pointe utilisées et les techniques de fixations d’avant-garde développées pour le domaine du bâtiment et de l’industrie ont permis à fischer de se forger une solide réputation de spécialiste des techniques de fixation. L’entreprise participe ainsi régulièrement à la construction de grands ouvrages : la Grande Arche à Paris, la Tour 2BA et Mozart à Paris, les tunnels du Mont Blanc, de la Défense, de la Croix Rousse, du Puymorens, BPNL, le projet Grand Paris Express…Jean-Marc Berg, Président de fischer France depuis 2018, après plus de 12 ans passés au sein de la société aux postes de Directeur Technique Marketing, Directeur de la division Systèmes dédiés, Directeur Général Adjoint et Directeur Général, a à cœur de poursuivre la digitalisation des solutions techniques, de développer les offres produits et services connexes, tout en privilégiant l’investissement dans la R&D et les innovations.fischer France : une expertise reconnueCréateur de solutions, fischer France est devenu au fil des décennies un acteur moteur sur le marché de la construction. Bénéficiant de l’expertise et de la puissance d’un groupe international (avec 50 filiales et une distribution mondiale des produits), l’entreprise sert en France plus de 11000 clients.Avec plus de 14000 références, fischer permet de répondre aux particuliers comme aux professionnels des différents corps de métier. De la fixation (acier, nylon, chimique, supportage, isolation), la chimie du bâtiment (mousse, mastic, silicone, colle), la visserie, les forets, la protection incendie aux accessoires de terrasse, fischer couvre l’ensemble des besoins en termes de solutions de fixations pour différents domaines d’applications et dans tous les matériaux de construction. L’entreprise, qui développe et fabrique elle-même ses produits, a su, grâce à son savoir-faire et sa capacité d’innovation, imposer de nouvelles références en matière de solutions de fixations. La 1ère cheville à expansion en 1956, le 1er scellement chimique par injection mis sur le marché en 1975, le 1er ancrage à verrouillage de forme en 1978, la nouvelle génération de chevilles en nylon SX en 2000 ou encore la première cheville nylon bi-matière DUOPOWER en 2016 sont autant de solutions qui ont marqué le marché de la fixation.Parmi les nouveautés fischer de ces dernières années : Le Ciment Express. Unique sur le marché, astucieux et économique, le Ciment Express de fischer est une pâte de réparation présentée sous forme de cartouche. Prête à l’emploi, elle offre un véritable gain de temps aux utilisateurs et limite les gaspillages liés au surplus de fabrication de ciment. De haute qualité, le Ciment Express s’utilise en rénovation, sur de nombreux matériaux de construction tels que le béton, la brique, le parpaing, la tuile, la pierre…, et pour différentes applications en intérieur comme en extérieur : jointoiement de carrelage, de parpaings…, bouchage de fissures sur des maçonneries, du béton, des briques…, fixation de tuiles, réparation de bords détériorés sur de la pierre... Il garantit une excellente adhérence sur tous les matériaux de construction. Après séchage, il est parfaitement étanche à la pluie et résiste aux intempéries, et ce, quelques heures seulement après son application.La gamme de fixation DuoLine. Véritable innovation technologique, cette gamme regroupe toutes les meilleures caractéristiques techniques. Fabriquées à partir d’une combinaison de 2 matières, les chevilles DUOPOWER, DUOTEC et DUOBLADE aux couleurs rouges et grises assurent un ancrage optimal et parfaitement sûr. Les principes de fonctionnement fréquemment éprouvés, associés à la combinaison de 2 matières, permettent d’élargir le champ d’applications avec une capacité de charges nettement supérieure à celles des chevilles nylon traditionnelles et une plus grande sécurité.uoPower : Cette cheville nylon multi-matériaux s’adapte elle-même au matériau de construction dans lequel elle va s’ancrer. Elle s’expanse, se déploie ou forme un nœud en fonction du support, que ce soit un matériau plein, creux ou en plaque afin d’obtenir la meilleure adhérence et des valeurs de charges supérieures aux chevilles nylon classiques. Elle garantit une fixation parfaitement sûre, solide et durable. Elle s’introduit facilement dans le forage sans se tordre et assure ainsi une bonne perception du couple de serrage. Polyvalente, elle couvre un large champ d’application, convient pour les vis à bois, les vis à bois agglomérés et les vis à double filet, et fonctionne dans de nombreux matériaux (béton, maçonneries pleines ou creuses, panneaux de particules, plaques de plâtre…). DuoTec : Cette cheville à bascule pour matériaux creux convient pour les applications suivantes : fixation de lustres, suspensions, spots et plafonniers... dans des plaques de plâtres, des panneaux en fibre de plâtre, des panneaux de bois (OSB – aggloméré, stratifié MDF), des panneaux en acier et des panneaux plastiques. Intelligente, elle fonctionne également comme une cheville à expansion si le matériau rencontré s‘avérait être plein. Bi-matière, renforcée de fibres de verre de haute qualité, elle garantit une bonne capacité de répartition des charges, dans les plaques de plâtre sans endommager le matériau. Pour une sécurité optimale, une fois la cheville à bascule placée dans le forage, une douille blanche renforcée en fibre de verre s’insère également dans l’entrée du trou pour offrir une capacité de charges de cisaillement encore plus élevée. Compacte, elle est facile à mettre en œuvre même dans des cavités étroites et isolées (≥ 50 mm) et bénéficie d’un diamètre de perçage réduit (10 mm).DuoBlade : Compacte, cette cheville autoforeuse convient pour tous les travaux d’agencement intérieur, les applications légères : pose de tableaux, luminaires, détecteurs de fumée, stores… dans des plaques de plâtre simples, doubles couches et permet même la fixation sans perçage dans les plaques haute résistance. La partie rouge en polyéthylène (PE) offre une sécurité supplémentaire au corps de base en nylon gris de haute qualité fischer. Elle assure l’effet d’expansion, lors du vissage de la vis, pour supporter des valeurs de charge élevées. La pointe en métal autoforeuse, dotée de trois lames tranchantes, assure un perçage aisé, très précis et propre sans endommager le support. Légèrement inclinée, elle permet de guider facilement la cheville lors d’un montage dans un matériau de faible épaisseur. Les ergots anti-rotation empêchent la cheville de tourner dans le support lors de l’installation ou de l’éventuel démontage des éléments à fixer. Ils augmentent également la capacité de charges en fixations verticales et optimisent la répartition des charges.Le corps en nylon de la cheville dispose d’un pas de filetage autotaraudeur tranchant pour une bonne prise et un verrouillage optimal de la cheville. La collerette plate permet une mise en œuvre en attente ou traversante.La DUOBLADE offre un confort lors de la mise en œuvre avec un couple de serrage relativement faible qui augmente de manière importante à la fin du processus de vissage (blocage). L’utilisateur ressent alors que la cheville « tire » et la sensation de blocage, c’est le « feel good factor ».La gamme DUOLINE va continuer de se développer et s’enrichir d’une nouvelle référence à la fin de l’année.La gamme GreenLine. Cette gamme est le parfait exemple de la capacité d’innovation de fischer et de sa volonté d’apporter des solutions toujours performantes, tout en minimisant l’impact sur l’environnement. Elle est la première gamme de fixations au monde issue de matières premières renouvelables. Les produits GreenLine offrent les mêmes performances, la même sécurité et capacité de charges que les produits similaires traditionnels fischer. De qualité allemande, ils sont fabriqués avec 50 à 80 % de matières premières renouvelables. La gamme se compose de 7 familles de produits qui permettent de réaliser de multiples applications dans de nombreux matériaux de construction : la cheville universelle UX Green, la cheville à expansion SX Green, la cheville pour plaques de plâtre GK Green, la cheville à frapper N Green, la fixation dans matériaux isolants FID Green, la cheville pour béton cellulaire GB Green et la résine d’injection chimique tous matériaux FIS Green 300 T.Avec la qualité éprouvée du nylon fischer, les chevilles UX Green, SX Green, GK Green, N Green, FID Green et GB Green sont fabriquées avec plus de 50 % de matières premières d’origine végétale. L’huile de ricin est ici utilisée comme matériau de base pour le polyamide. Cette huile n’est pas utilisée pour l’alimentation de l’homme et des animaux, et n’entre donc pas en concurrence avec les surfaces agricoles. Les chevilles GreenLine ont été testées et contrôlées par le centre TÜV Rheinland DIN CERTCO et appartiennent à la catégorie « Biosourcés 50-85 % ». Leur emballage est plus respectueux de l’environnement puisqu’il est fabriqué avec 90 % de papier recyclé.Quant à la résine FIS Green 300 T, elle est la première résine de scellement à contenir plus de 50 % de matières premières d’origine végétale. Sa formulation sans styrène a été entièrement revisitée pour contenir des composants organiques, à la place de composants chimiques complexes, qui permettent de répondre aux différentes fonctions des résines réactives, des additifs, des plastifiants et des polymères thermoplastiques.Sûre, cette résine bi-composant est adaptée à la fixation de charges lourdes dans différents matériaux et présente les mêmes caractéristiques techniques et de performances que ses homologues traditionnels. Elle bénéficie d’une EPD (Déclaration environnementale de produit). Classée A+, elle peut être utilisée en intérieur et détient une évaluation technique européenne (ETE) pour les fixations dans la maçonnerie et le béton non fissuré.Et parce que limiter l’impact de ses produits sur l’environnement est important pour fischer, l’entreprise entend compléter cette gamme écoresponsable avec de nouvelles références qui seront commercialisées à la fin de l’année.Le foret creux aspirant FHD. Accessoire idéal pour une utilisation dans les espaces intérieurs sensibles, où la poussière doit impérativement être évitée, il offre des chantiers plus propres et sains, et limite les poussières dans l’air. Les trous forés sont conformes aux homologations dans le béton et béton armé, la pierre naturelle, la brique pleine et la brique silico-calcaire. Les 4 taillants en carbure assurent un forage rapide, même dans le fer à béton. La tête du foret dispose d’une pointe de centrage et de 2 trous d’aspiration/d’évacuation des poussières, qui garantissent l’extraction immédiate de la poussière lors du perçage, via la tige cylindrique creuse. La progression du foret dans le matériau est plus rapide et sans frottements. Le foret creux aspirant FHD est pris en compte par les évaluations ETE des systèmes composites chimiques et il est compatible avec toutes les marques de marteaux perforateurs à emmanchements SDS Plus et SDS Max. Enfin, il s’utilise avec un aspirateur classe M et est disponible en 11 diamètres.L’aspirateur universel eau et poussières FVC 35 M. Avec une cuve de 35 L à double paroi très robuste, cet aspirateur de chantier associé au foret creux aspirant FHD, contribue à offrir un environnement de travail propre et sain. Conforme à la classe de filtration M, avec une capacité de rétention de poussière de 99,9%, il collecte les poussières les plus nocives, directement à la sortie du trou de forage et via le manchon d'évacuation du foret aspirant. Doté d'un puissant moteur, il offre des performances d'aspiration élevées. Grâce à un système de nettoyage automatique du filtre, il garantit le maintien, sans interruption, d'une forte puissance d'aspiration pour un travail continu. Des chocs électromagnétiques nettoient alternativement les cartouches de filtre pour obtenir une filtration toujours optimale. Gamme de vis à béton Ultracut. Cette gamme complète reflète également la capacité d’innovation de fischer. Elle s’utilise dans le béton fissuré et non fissuré, la pierre naturelle dense, les maçonneries pleines et le béton cellulaire. Grâce à une reprise de charges lourdes, elle convient à de nombreuses applications pour tous les corps de métier : la construction métallique, la construction bois et les assemblages bois/béton, les installations temporaires de chantiers, sanitaire, chauffage, électricité… La vis à béton Ultracut dispose d’un filetage renforcé spécial avec une zone coupante sur sa partie avant. Cette géométrie spéciale du filetage facilite la pénétration de la vis en profondeur, réduit l’effort de vissage, assure de fortes capacités de charges de traction, tout en diminuant le nombre de points d’ancrage. Une zone ductile sous la tête permet une légère déformation pour un plaquage optimal. Ajustable, l’Ultracut peut être dévissée au maximum 2 fois et est idéale pour la pose d’éléments de chantiers temporaires puisqu’elle est réutilisable après vérification avec la jauge de contrôle (en option).Pratique, pour les perçages verticaux au sol ou au plafond, la pose s’effectue sans nettoyage du forage. Dans la gamme, la vis à béton Ultracut FBS II A4 en acier inoxydable offre un niveau élevé de résistance à la corrosion, avec une haute performance dans les zones humides et les applications en extérieur. Son embout rouge renforcé permet une installation encore plus rapide, sans effort, et plus sécurisée. Sa géométrie spéciale en dent de scie permet une coupe rapide dans le béton. Par ailleurs, cette vis à béton répond aux exigences de la classe de résistance au feu R120, bénéficie d’un ATE Option 1 pour béton fissuré, et d’une catégorie de performances sismiques C1 et C2.Les Clés à choc sans-fil FSS 18V. Compatibles avec le système de batteries CAS (Cordless Alliance System), elles sont utilisables avec les mêmes batteries et chargeurs que les outils d’une douzaine de fabricants d’outillage électroportatif. Puissant et bénéficiant d’une technologie de batterie haute performance, ce système CAS permet aux utilisateurs de passer d’un outil à l’autre. Robuste et très résistante, les clés à choc fischer sont dotées d’un boîtier spécial qui garantit une dissipation thermique et une longévité optimale des outils. La FSS 18V400 BL dispose d’un couple de 400 Nm et d’un moteur haute qualité sans charbon, à faible frottement, qui garantit un fonctionnement efficace, une faible usure, et une progression rapide du travail. Elle permet la pose de vis à béton de diamètres 6 à 10. Le couple est réglable en 12 positions. La FSS 18V 600, avec un couple élevé de 600 Nm, est idéale pour les installations avec des vis à béton de diamètres 10 à 14 et des applications exigeantes.Une gamme de vis à bois Power-Fast II. Plus techniques, ces vis ont une accroche et une pénétration plus faciles et plus rapides. Leur revêtement est plus respectueux de l’environnement (zingué blanc sans chrome VI (Cr3)) et leur géométrie spéciale font qu’elles sont compatibles avec les chevilles nylon. Elles disposent du marquage CE et bénéficient de l’Évaluation Technique Européenne (ETE). L’empreinte de la tête de vis est profonde et les fraisoirs à facettes inversés assurent une découpe parfaite des épissures de bois. Grâce à la nouvelle géométrie brevetée du filetage à angle asymétrique sans vrille de coupe, au moletage, aux doubles filets sur les premiers pas de vis et au revêtement anti-frottement haute performance, le vissage est nettement plus rapide et sans effort. Les doubles filets permettent une évacuation rapide de la poussière de perçage. Le filetage, jusqu’à la pointe, garantit un centrage très précis de la vis et une accroche immédiate dans le bois, sans aucun pré-perçage, ni risque de glisser. Elles sont disponibles en tête fraisée, tête ronde et tête fraisée bombée en filetage partiel et filetage total.Goujon d'ancrage FNB II HDG : Ce goujon fischer permet des montages traversants ou non, pour les fixations dans le béton non fissuré. Sa double profondeur d’ancrage (standard et réduite) et son long filetage le rendent extrêmement flexible, facile et rapide à mettre en œuvre. En outre, il offre une capacité de charges maximales, attestée par l’Evaluation Technique Européenne ETA-18/0101 (Option 7) pour le béton non fissuré, et dispose d’une résistance au feu R120.Evalué pour une utilisation en zones humides et les applications extérieures (ETE), le goujon FBN II HDG en acier galvanisé est recommandé pour fixer des constructions métalliques, des profilés, des platines, des garde-corps, des mains-courantes, des chemins de câbles, des escaliers, des constructions en bois… Son long filetage autorise des fixations déportées.Le couple formé par la bague et le cône d’expansion fournit une capacité de charges en traction maximales dans le béton non fissuré avec des entraxes et des distances aux bords très faibles. Les très faibles entraxes et distances aux bords autorisent la fixation de petites platines proches des bords pour plus d’applications.Le goujon FNB II HDG bénéficie d’une galvanisation à chaud d’une épaisseur minimum de 50 μm respectant les dispositions de la EN ISO 10684:2011. La durabilité du revêtement a été évaluée selon la EAD 330232-00-0601 et peut s’étendre jusqu’à 50 ans (en fonction des catégories de corrosivité C1, C2, C3, C4, C5, CX).Il peut être installé avec seulement quelques coups de marteau et quelques tours d’écrou suffisent pour appliquer le couple de serrage.Toutes ces innovations sont issues d’une volonté constante de comprendre les besoins des clients et d’apporter les meilleures solutions en termes de qualité, de fiabilité, de sécurité, de performances et de respect de l’environnement. La célébration des « 60 ans d’innovations » de fischer France est l’occasion pour son Président Jean-Marc Berg de présenter à l’ensemble de ses collaborateurs français, les axes de développement pour l’avenir.
Il y a 3 ans et 268 jours

« To build or not to build » : 9ème Congrès du Bâtiment Durable

Le 9ème Congrès interNational du Bâtiment Durable, dont Planète Bâtiment est partenaire, se tiendra du 6 au 8 octobre 2021 en ligne et en semi-présentiel dans le Grand Est, en Allemagne et en Belgique. Il est organisé cette année par le Réseau National du Bâtiment Durable, Envirobat Grand Est, Cluster Eco-construction, Architektenkammer des Saarlandes.   Il est encore possible de s’inscrire en suivant ce lien https://www.congresbatimentdurable.com/ S’ouvrir pour monter en compétence Lors de cette 9ème édition les participants échangeront trois jours durant, sur l’actualité du bâtiment et l’aménagement durable. Avec une nouveauté cette année, puisque le congrès franchit physiquement les frontières pour la première fois. Katharina Brockstedt : Coordinatrice du Centre de ressources Envirobat Grand Est energivie.pro., nous en dit plus. Par Lucien Brenet.  Photo : Klaus Stöber ©INSA de Strasbourg Quelles seront les grandes thématiques du congrès cette année ? Le premier jour se concentrera sur la thématique du bilan carbone, le deuxième, sur celle de la rénovation, et le troisième, sur l’adaptation au changement climatique. Seront évoquées lors de conférences et tables rondes, des thèmes annexes, dans chacune de ces grandes thématiques, citons :  les Réglementations environnementales, les matériaux biosourcés, la frugalité, la qualité de l’air le réemploi des matériaux de construction, ou encore la réhabilitation des friches, la rénovation à l’échelle urbaine et rurale, la résilience, le confort d’été, l’adaptation au changement climatique, la biodiversité…  Pourquoi ces grands thèmes en particulier ?  La question de l’impact carbone et de l’amélioration du bilan carbone est une évidence en soi (le secteur du bâtiment représente 123 millions de tonnes de CO2 soit le quart des émissions du pays ndlr). L’idée consiste à aborder toutes les notions permettant d’améliorer ce bilan carbone. Concernant la rénovation, étant donné qu’elle représente la majeure partie de l’activité du secteur du bâtiment, son importance est vitale dans l’optique de réduire l’impact environnemental. Nous avons durement besoin de rénover si la France souhaite arriver à la hauteur des ambitions de la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC ndlr) qui vise la neutralité carbone à horizon 2050…  Quant à l’adaptation au changement climatique, nous avons une fois encore pris brutalement conscience de sa nécessité avec un été marqué par les inondations et les incendies. Nous ne pouvons donc pas passer à côté de ce sujet. En Alsace par exemple, où se tient en partie le congrès, nous connaîtrons des pics de températures à 55° en 2050 ! Il faut donc se projeter à cet horizon et réfléchir à comment nous vivrons en ville, et à la campagne d’ici plusieurs décennies. Ce qui est sûr, c’est que nous ne pouvons plus construire comme nous le faisons maintenant.  Cette année, le congrès est élargi aux régions frontalières. Quel est l’objectif de cette démarche ?  La raison est toute simple, cette ouverture consiste à ce que chacun puisse voir comment les autres procèdent afin de monter en compétence. Nous avons les grandes thématiques, et devons trouver des solutions ensemble. Ces solutions dépendent de la législation en vigueur, des mœurs, de l’expérience et de la réflexion. Toutes ces notions sont traitées de façon très diverses au Luxembourg, en Allemagne, en Belgique ou en France. Par exemple, les Allemands, Belges et Luxembourgeois apprendront beaucoup sur tout ce qui a trait à la question du carbone, puisqu’ils leur réglementation environnementale n’inclut pas le poids carbone dans les matériaux par exemple. La France elle, tirera des enseignements de ses voisins sur le réemploi des matériaux de construction, les modes de l’habitat différent et les opportunités de la ville diffuse par exemple, qui sont des notions bien plus développées chez-eux.  Pour découvrir le programme du congrès : https://www.congresbatimentdurable.com/lecongres/programme-cnbd9/
Il y a 3 ans et 270 jours

Adaptabilité des logements : le Gouvernement réfléchit à un outil financier "tout-en-un"

EN DÉBAT. Rénover et transformer étaient les deux thèmes de la troisième table ronde thématique d'"Habiter la France de demain", organisée par la ministre chargée du Logement, Emmanuelle Wargon, ce 13 septembre. Parmi les travaux en cours : l'unification des aides autour de MaPrimeRénov'.
Il y a 3 ans et 275 jours

Se mettre au vert après le Covid? Des rêves mais encore peu d'actes

Pas d'exode urbain"On est loin des cohortes de citadins qui fuient les villes", a rappelé Frédéric Violeau, président de l'Institut notarial du droit immobilier, au cours d'une table ronde au ministère du Logement le 31 août.Si le nombre de transactions en France a nettement augmenté depuis la fin du premier confinement, à un niveau record depuis 2000 sur un an, les grands changements de lieux de résidence ne se sont pas tant multipliés: 26,7% des personnes qui ont déménagé au second semestre 2020 ont changé de départements, contre 23,5% sur la même période un an plus tôt."C'est une tendance notable, mais pas massive", commente M. Violeau, en évoquant d'autres signaux comme la baisse marquée des transactions à Paris intramuros, accompagnée d'un tassement des prix et d'un départ plus prononcé vers la proche banlieue. "On peut faire le même constat dans d'autres métropoles comme Lyon ou Toulouse".Mais les salariés restent attachés à leur bassin d'emploi. "On assiste à une volonté de +déconnexion connectée+, avec une envie de vivre plus loin de son lieu de travail tout en étant opérationnel", notamment grâce au travail à distance, estime le notaire.Au-delà du travail, "envisager un changement de vie pose de nombreuses questions, par exemple sur l'attractivité des offres des écoles et des formations", explique Henry Buzy-Cazaux, président de l'Institut du management des services immobiliers.Des villes moyennes plus attractivesLes villes moyennes ont profité des récents départs qui ont eu lieu depuis le coeur de métropoles, contrairement à la tendance observée sur la dernière décennie.En effet, la hausse des prix (+4,5%) a été plus dynamique sur une quarantaine de villes ne figurant pas dans les dix plus grandes de France, que dans ces dix villes (+4,1%), selon les données publiées mardi par la plateforme spécialisée Meilleurs Agents.Ainsi, à Quimper ou Reims, les prix ont grimpé deux fois plus vite entre 2020 et 2021 que sur la moyenne des trois années précédentes.Au début des années 2000, "il y avait encore une forte concurrence entre les villes et les territoires. Les métropoles voulaient +tuer+ les villes moyennes de leur périphérie, qui elles-mêmes n'avaient pas envie que des petites communes gagnent en attractivité", décrit Henry Buzy-Cazaux.Désormais, "ce n'est plus le cas. Une ville sait que si elle n'a pas d'alternative pour attirer des candidats, elle va congestionner son territoire. Bordeaux souhaite que des villes comme Angoulême ou Pau prennent le relais", poursuit-il.Tensions dans de nouvelles zones"Depuis un an, les maisons de campagne ont retrouvé un peu d'air. On fait de nouveau des transactions, alors que ce n'était presque plus le cas entre 2010 et 2015", remarque Olivier Colcombet, président du réseau immobilier Optimhome."Cela doit être une opportunité pour ces biens, car il y a maintenant un intérêt économique à les rénover, les remettre sur le marché", a déclaré la ministre déléguée au Logement Emmanuelle Wargon au cours de la table ronde, en annonçant une réflexion sur la "qualité de l'offre" de ces logements.Autre défi, "il faut être capable de lier les besoins des résidents actuels et des résidents futurs", afin que les seconds soit bien acceptés par les premiers, a prévenu Juliette Auricoste, directrice du programme petites villes."Il faut faire attention à ce que le renouveau des villes moyennes et des petites villes ne se traduise pas en un conflit identitaire" entre les anciens habitants, qui peuvent parfois souffrir de la hausse des prix, et les nouveaux, a également noté Mme Wargon.
Il y a 3 ans et 282 jours

Villes moyennes 3/5: Libourne mise sur son lien ferroviaire métropolitain

Libourne, 25.000 habitants, joue sur plusieurs tableaux pour tirer le meilleur parti de sa proximité avec Bordeaux, située à une trentaine de km. Sa force tient beaucoup à sa gare qui facilite le ruissellement de la richesse métropolitaine vers la sous-préfecture de Gironde.
Il y a 3 ans et 284 jours

Six semaines de débats sur l’habitat de demain

Emmanuelle Wargon entame six semaines de tables rondes afin de dessiner les contours de l’habitat de... Cet article Six semaines de débats sur l’habitat de demain est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 316 jours

Wavin accompagne le chantier SO POP à Saint-Ouen avec plus de 4 000 raccords Tigris M5 et environ 5 000 m de tubes multicouches

À Saint-Ouen (93) aux portes de Paris, le programme neuf SO POP de la foncière COVIVIO adopte les raccords Tigris M5 et les tubes multicouches Wavin. Cet immeuble à l’architecture unique compte 32 000 m2 de bureaux répartis sur 7 niveaux. Le programme SO POP, dont la fin du chantier est prévue pour le 1er semestre 2022, se trouve dans un quartier en plein essor économique. Ce nouvel immeuble de bureaux, à l’architecture emblématique tout en rondeur, est érigé sur l’ancien siège social de Citroën. La division Tertiaire de SPIE Industrie & Tertiaire a été sélectionnée par la foncière COVIVIO, opérateur immobilier européen, pour la réalisation des travaux de CVC (chauffage, ventilation, climatisation), plomberie, courants forts, courants faibles et gestion technique du bâtiment de ce chantier. « Plus de 4 000 raccords Wavin Tigris M5 et environ 5 000 m de tubes multicouches viennent alimenter les réseaux d’hydrodistribution de ces futurs bureaux. Avec autant de raccords à installer, la technologie ACOUSTIC LEAK ALERT des Tigris M5 nous fait gagner un temps considérable sur le chantier et nous évite les mauvaises surprises lors de la mise en eau. » explique Yvan Maurouard – Coordinateur Chantier SPIE Industrie & Tertiaire. Des réseaux d’eau plus fiables et performants La réduction des risques de fuites d’eau et le développement de solutions pour des installations sanitaires fiables et durables sont au cœur de la philosophie Wavin. L’entreprise propose des produits de qualité permettant un approvisionnement sûr et une bonne distribution de l’eau. Sur le chantier SO POP, SPIE Industrie & Tertiaire apporte à COVIVIO une solution globale en génie climatique et génie électrique pour simplifier les décisions techniques et organisationnelles, et fluidifier les phases d’interventions des équipes. Yvan Maurouard – Coordinateur Chantier SPIE Industrie & Tertiaire Grand projet – organise et orchestre l’avancement de tous les corps d’état sur ce chantier (une centaine de personnes au total). Il explique pourquoi son choix s’est porté sur les solutions Wavin pour le réseau d’hydrodistribution de ce chantier. « J’ai connu les solutions Wavin au travers de différentes expériences sur d’autres chantiers. J’ai bien évidemment installé plein d’autres raccords mais Tigris M5 est vraiment différent. Sur le programme neuf SO POP de 7 étages et plus de 32 000 m2, nous devons installer environ 5 000 m de tubes multicouches et plus 4 000 raccords. Le nombre de raccords à sertir est considérable et nous n’avons qu’un seul point d’eau dans les colonnes sur chantier. Les repères visuels et la détection sonore des fuites avec sifflement à l’air des nouveaux raccords Wavin Tigris M5 nous évitent de gros dégâts en cas d’oubli d’un sertissage lors de la mise en eau du réseau. C’est très pratique sur un gros chantier comme SO POP car il est difficile de vérifier un à un chaque sertissage. C’est un gain de temps très important ! De plus, les tubes multicouches Wavin que nous avons utilisé sont insensibles à la corrosion et ont des parois extrêmement lisses qui évitent le dépôt de calcaire. Ces solutions Wavin nous permettent d’offrir au client un réseau durable et performant grâce à une installation fiable et pérenne. Nous bénéficions également d’un très bon suivi de projet. Le commercial Wavin reste très disponible et nous apporte des solutions très rapidement. C’est important pour un chantier comme SO POP où nous avons énormément de raccords à installer. Nous avons également reçu une formation par les équipes Wavin afin de nous expliquer toutes les bonnes pratiques pour une pose parfaite des raccords. Cette formation nous a permis de répondre aux questions des employés qui ne connaissaient pas forcément le produit et de leur montrer comment bien contrôler un raccord visuellement avant sertissage. »   Tigris M5, une innovation mondiale Le raccord Tigris M5 de Wavin compte parmi les dernières innovations les plus marquantes en termes de sécurisation des installations sanitaires. Sa particularité : être le seul raccord au monde équipé d’un système intégré de détection acoustique des fuites. Développé pour répondre aux besoins des installateurs, le Tigris M5 offre une grande fiabilité des raccordements pour minimiser les risques de fuites. Pour cela, il est doté de la technologie ACOUSTIC LEAK ALERT qui, en cas de raccord non serti, émet un sifflement lors d’un test de pré-réception réalisé à l’air. Ce sifflement de 80 db facilite la localisation des fuites, assurant un gain de temps précieux sur le chantier. Autre avantage, l’utilisation de l’air lors des essais permet de laisser l’installation hors d’eau, évitant tout dommage dû au gel sur les chantiers non chauffés pendant la période hivernale. Par ailleurs, l’absence d’eau dans les circuits permet d’éviter toute stagnation prolongée avant la réception de l’ouvrage, réduisant ainsi les risques de développement de légionelles. Et pour encore plus de sécurité lors de la mise en eau, le Tigris M5 bénéficie du système DEFINED LEAK. Ce dernier permet une identification d’éventuels raccords non sertis résiduels grâce à un filet d’eau visible dès 2,5 bars de pression. Le raccord Tigris M5 est un véritable concentré de technologies qui possède bien d’autres atouts destinés à faciliter les travaux des installateurs et à leur assurer des connexions de qualité. En témoigne la technologie IN4SURE qui rend visible le tube à 360° au bout de son emboîtement. Fenêtre astucieuse sur le tube parfaitement emboîté, elle permet son sertissage en toute confiance. La tête hexagonale brevetée EASYFIT facilite d’ailleurs l’emboîtement du raccord sur le tube afin de réduire la pénibilité des travaux. Conçu pour offrir des performances hydrauliques optimales, le raccord Tigris M5 de Wavin est équipé du système OPTI FLOW qui permet de bénéficier d’une grande section de passage pour un flux d’eau amélioré. Les pertes de charge sont réduites pour offrir au réseau toute sa performance. Enfin, avec les raccords Tigris M5, nul besoin d’acquérir de nouveaux outils. Avec le procédé MULTI JAW, les profils de pince à sertir U, Up, H, TH et B sont parfaitement compatibles et garantissent des connexions sûres.   À PROPOS DE WAVIN Créée en 1971, la filiale Wavin France est spécialisée dans la conception, la fabrication et la commercialisation de fournitures de systèmes de canalisations en matière plastique et de solutions destinées à l’assainissement des eaux usées, à la collecte et la gestion des eaux pluviales, et à l’adduction d’eau potable. Wavin est une filiale du Groupe ORBIA, liés par un objectif commun : faire progresser la vie dans le monde. Wavin est l’un des seuls acteurs du secteur présent à la fois sur les marchés du bâtiment et des travaux publics. Il couvre l’ensemble du cycle de l’eau pour une gestion plus équilibrée : de la collecte au rejet. www.wavin.com/fr-fr
Il y a 3 ans et 333 jours

Une biennale des Maisons de l'architecture pour "re-panser la ville"

ÉVÉNEMENT. La cinquième biennale du Réseau des maisons de l'architecture, du 5 au 7 novembre prochains, aura lieu à Clermont-Ferrand. Le thème de l'appropriation et de la réappropriation irriguera expositions, conférence, tables rondes, films, débats, etc.
Il y a 3 ans et 336 jours

Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment : le point sur la décarbonation des chantiers

À l'occasion de la quatrième édition qui a eu lieu le 2 juillet, le Mondial du Bâtiment a réalisé un sondage exclusif1 portant sur le moteur thermique dans le bâtiment.Des chiffres qui ont aussi alimenté les échanges lors du "Grand Dossier du Mondial du Bâtiment" dont le thème était « Décarbonation des chantiers » avec un focus sur les engins de chantier et les modes de transport.En effet, l'empreinte carbone d'un chantier ne se limite pas uniquement à la construction proprement dite. Les véhicules utilitaires des collaborateurs qui se rendent chaque jour sur le chantier, les camions de livraison et les équipements utilisés sur place entrent aussi pour une grande part dans les émissions de carbone. A cela s'ajoute des restrictions de circulation, notamment dans les grandes villes, pour les véhicules considérés comme trop émissifs. Ces évolutions amènent donc les différents acteurs du secteur à rechercher des énergies alternatives (biocarburants, électricité) pour réduire les émissions carbone et rendre les chantiers plus vertueux.Pour débattre autour de cette question et apporter un éclairage d'experts, étaient réunis autour de la table :Hugues-Marie AULANIER, Manager Strategy practice Leader, Carbone 4.Julien CHALET, Directeur de l'action collective, EVOLIS.Catherine GUERNIOU, Chef de file RSE, FFB Ile-de-France.Hervé REBOLLO, Délégué Général du DLR.Sortir du moteur thermique dans le bâtimentLes chiffres clés du sondage exclusif des Rendez-Vous du Mondial du BâtimentLe sondage réalisé à l'occasion de la table ronde par le Mondial du Bâtiment concernant le déploiement d'énergies alternatives pour les engins de chantier ou pour les modes de transport montre qu'il reste du chemin à faire pour qu'elles soient généralisées. Ainsi, 80,2 % des personnes ayant répondu au sondage déclarent posséder un véhicule professionnel fonctionnant au diesel.Sur chantier, ils sont 32 % à avoir déjà utilisé un matériel à énergie alternative (23,3 % électrique et 8,7 % bi-énergie/hybride). Mais 68,6 % à n'avoir jamais utilisé ce type de matériel.Des chiffres qui ont trouvé leurs explications grâce aux quatre intervenants du "Grand Dossier du Mondial du Bâtiment".Ce qu'il s'est dit lors du grand débat…Le débat de 45 minutes a permis aux quatre intervenants de faire le point sur l'utilisation d'énergies alternatives, notamment sur les chantiers, pour avancer sur la décarbonation du bâtiment. Quelles sont les solutions, les avancées majeures mais aussi les freins à la généralisation de ces solutions, voici quelques-uns des points qui ont été abordés.Des difficultés de mise en œuvre« La vente et la location de matériel en France représente 12 milliards d'euros de chiffre d'affaires, 50 000 salariés et 2 200 entreprises. Parmi elles, 60 % sont des TPE employant de 10 à 15 salariés. Pour ces entreprises, investir dans un nouveau matériel est trop coûteux, surtout actuellement en pleine sortie de crise.» indique Hervé Rebollo, Délégué Général du DLR.Julien Chalet, Directeur de l'action collective, EVOLIS ajoute : « L'offre de matériel électrique arrive lentement. Les constructeurs sont aussi confrontés à des problématiques de normes, de réglementations et de certifications. Un autre paramètre est à prendre en compte : pour utiliser du matériel électrique, il faut que le chantier soit électrifié. ».Un point que Hugues-Marie Aulanier, Manager Strategy practice Leader chez Carbone 4, complète : « Aujourd'hui tout fonctionne au diesel. Passer à une autre énergie suppose de résoudre les questions de l'autonomie du matériel, de sa recharge et donc de la fourniture d'énergie sur chantier. ». Mais il précise : « Passer à l'électricité ou à l'hydrogène décarboné permettrait de diviser par un facteur entre 3 et 10 l'empreinte carbone de l'utilisation des matériels. »Des changements à mener sur le long terme« Il y a plus d'une centaine de milliers de matériel à remplacer si nous souhaitons passer à l'utilisation de nouvelles énergies. Cela ne peut se faire que sur un laps de temps long. Par ailleurs, nous manquons de visibilité sur la tenue de ce type de matériel à l'usage, sur chantier. » selon Hervé Rebollo.Tous les intervenants sont unanimes sur le besoin de personnel qualifié : « Pour la maintenance, il est nécessaire de disposer de collaborateurs qualifiés et formés. Nous avons besoin de 1.500 techniciens par an et n'arrivons à en recruter que 800. Il y a un véritable travail à faire sur la sensibilisation des plus jeunes à ces métiers. », précise Hervé Rebollo.De son côté, Catherine Guerniou, Chef de file RSE au sein de la FFB Ile de France, indique : « Il manque de concertation et d'harmonisation pour mener à bien ces changements. En tant qu'entreprise, nous manquons d'accompagnement et d'informations précises. »Vers un mix de solutions ?« Il n'y a pas une solution meilleure qu'une autre mais plutôt un besoin d'utiliser les meilleures énergies selon les usages. », indique Hugues-Marie Aulanier qui ajoute : « L'électricité à déjà fait ses preuves sur les véhicules particuliers. En ce qui concerne les biocarburants, nous savons que l'offre disponible est inférieure à la demande potentielle et que tous ne se valent pas. »Selon Julien Chalet : « Il n'y a pas une solution bonne pour tout. Il faut aussi tenir compte des particularités des machines et des chantiers pour répondre au mieux aux besoins. »« Sur un chantier, il y a nécessité de pouvoir compter sur des engins qui fonctionnent à 100 % de manière constante. C'est un paramètre important à prendre en compte lorsqu'on doit choisir l'énergie qui alimente une machine. », selon Hervé Rebollo.Les Rendez-vous du Mondial sont à voir ou à revoir iciLes prochains « Rendez-vous du Mondial du Bâtiment » auront lieu le vendredi 3 septembre.Le Grand Dossier abordera le thème : La France se donne-telle les moyens de développer les énergies renouvelables dans le bâtiment ?
Il y a 3 ans et 338 jours

Bruno Léger, réélu Président du SNFA

Les convives ont pu suivre tout d'abord la partie statutaire de l'Assemblée Générale comprenant notamment l'annonce de la réélection du Président du SNFA, Bruno Léger, et la présentation du nouveau Bureau du SNFA. Le deuxième temps fort s'est ensuite articulé autour de trois tables rondes dédiées à l'économie circulaire, la RE 2020 et la communication, et animées par des intervenants de renom.Bruno Léger, réélu Président du SNFAC’est lors d’un Conseil d’Administration Extraordinaire, qui a précédé l’Assemblée Générale du 25 juin, que les administrateurs du SNFA ont réélu, à la majorité absolue, Bruno Léger (Ouest Alu) en tant que Président du SNFA.C’est à ce titre que Bruno Léger s’est exprimé dans son rapport moral disponible ici.Le nouveau bureau du SNFACette année 2021 a été marquée par de nombreuses élections au sein du Bureau du SNFA et c’est une nouvelle équipe qui vient accompagner Bruno Léger :LEGER Bruno (Ouest Alu) Président du SNFACHARRETIER Sylvain (Tiaso) Président de la section CloisonsGENIN Jean-Luc (Horizal) Président de la section Garde-CorpsLAMBALLE Dominique (FenêtréA) Président de la section Fenêtres et PortesREINERT Aymeric (Profils Systèmes) Président de la section Concepteurs GammistesSCHEMEL Benoît (FBS Vérandas) Président de la section Vérandas et PergolasTHOMASSON Dominique (Coveris) Président de la section Fenêtres et FaçadesVINCENT Olivier (Groupe Valfidus) TrésorierTrois tables rondes pour parler d’actualitéLa filière est au cœur de grandes évolutions réglementaires et environnementales. Pour accompagner les acteurs du marché et les adhérents du SNFA, l’organisation professionnelle a décidé d’apporter un regard expert sur 3 sujets qui font l’actualité de sa filière : l’Économie Circulaire, la Règlementation Énergétique et Environnementale 2020 et les nouveautés de sa communication.Chaque table ronde était composée de personnalités de renom dans la profession, qui ont éclairé les participants sur ces thèmatiques complexes, dont l’actualité évolue très vite.Sur le volet économie circulaire, la loi AGEC (Anti-Gaspillage pour une Economie Circulaire) est celle qui engage la plus grande évolution, notamment avec l’arrivée, au 1er janvier 2022, de la Responsabilité Elargie du Producteur (REP) appliquée aux produits et matériaux de construction du bâtiment. En effet, ce sont 46 millions de tonnes de déchets qui sont estimés pour cette REP, soit trois fois plus que la somme des déchets estimée pour l’ensemble des REP existantes. Cette réglementation impose la création d’un éco-organisme pour répondre aux objectifs de collecte, tri et recyclage de déchets. Pour valoriser la filière aluminium du bâtiment, le SNFA participe, en tant qu’actionnaire, à la création de l’un de ces éco-organismes, nommé VALOBAT. Pour atteindre cette ambition, ce dernier peut s’appuyer entres autres sur des entreprises de l’économie sociale et solidaire, qui gèrent aujourd’hui le démantèlement des menuiseries. Depuis plusieurs mois, le SNFA travaille de concert avec l’ensemble des acteurs qui participent à l’économie circulaire, dans l’objectif de réduire l’impact environnemental des déchets dans le secteur du bâtiment.Table ronde : Règlementation Énergétique et Environnementale 2020Intervenants :Bruno Hertrich – FFBBenoît Mangin – K.LineSandra Bertin – SNFANicolas Loppin - SNFALa nouvelle réglementation à la fois Energétique et Environnementale est suivie de très près par le SNFA. C’est en considérant chaque bâtiment selon sa typologie et son utilisation qu’une contribution parois vitrées adaptée (fenêtres, façades-rideaux, vérandas) permettra d’optimiser ses performances en termes d’isolation, de facteur solaire et de transmission lumineuse. Les apports solaires ont un rôle majeur à tenir dans la construction que ce soit pour baisser la consommation de chauffage ou pour accéder à la lumière naturelle par exemple.C’est dans un contexte où des discussions sont en cours avec le gouvernement, sur notamment l’habillage des bâtiments tertiaires par des façades-rideaux, que cette table ronde s’est tenue. Depuis 50 ans, cette technique offre des possibilités infinies, comme l’optimisation des surfaces de plancher, une grande diversité architecturale de l’image du bâtiment et une pose rapide. Des améliorations sont bien évidemment possibles pour atteindre les seuils énergétiques et environnementaux tout en continuant à être conforme à d’autres règlementations : acoustique, sécurité, incendie, sismique,…. Cette technique ne doit pas être écartée de la Règlementation Énergétique et Environnementale 2020 (RE2020) mais bel et bien intégrée !Enfin, le SNFA est également à la manœuvre sur le volet environnemental. Il est particulièrement actif dans la création de FDES (Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire) collectives dont le poids CO2 des profilés aluminium est fortement réduit grâce à des billettes aluminium de provenance maîtrisée, produites par une énergie renouvelable ou avec du contenu recyclé.Aussi, un projet collaboratif de création d’un configurateur est en cours et permettra de réaliser à partir de FDES collectives du SNFA appelées « mères », des FDES « Filles » dites « projet » dans le but d’optimiser les données aux spécificités réelles (composants et dimensions) installées.Table ronde : CommunicationIntervenants :Grégoire Chamousset – AluvalNicole Pérez – HBSSandra Bertin – SNFADiane Boulmier – SNFAEn un peu moins de deux ans, le SNFA a réalisé un virage fort en termes de communication. L’organisation professionnelle tient aujourd’hui une posture institutionnelle et porte des messages clés comme l’environnement, le recyclage, la filière métiers et la valorisation des propriétés du matériau aluminium. Messages qui concernent l’ensemble des métiers représentés par le SNFA. Cette évolution est également marquée par, à la fois une communication de masse traditionnelle, et une communication hyper-ciblée digitale. Les résultats de cette nouvelle stratégie de communication sont visibles. Au total, ce sont 20,6 millions d’individus qui ont été atteint par les messages fédérateurs du SNFA en 2020, grâce à de la publicité TV, Radio, digitale et presse spécialisée.En conclusion de cette table ronde, le SNFA a présenté en exclusivité la création de son portail digital nommé bâtir-en-alu.fr qui sera mis en ligne à l’automne 2021. Espace d’accueil et de redirection qui permettra de guider les professionnels, les particuliers et les futures recrues vers la juste information. Affaire à suivre !
Il y a 3 ans et 361 jours

Accessibilité : en quoi le zéro ressaut en salles de bains impacte-t-il tout le bâtiment ?

Organisés tous les mois sous l’impulsion des salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA, « Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment » décryptent les grandes tendances de la construction.  À l’occasion de la troisième édition qui s’est tenue le 7 mai 2021, le Mondial du Bâtiment a réalisé un sondage exclusif1 sur la perception du zéro ressaut par les acteurs professionnels de la filière. Le sondage réalisé à l’occasion de la table ronde par le Mondial du Bâtiment sur le zéro ressaut vu par les installateurs démontre qu’il reste encore beaucoup de choses à éclaircir. En effet, alors que la règlementation impose une zone de douche avec un accès sans ressaut depuis le 1er janvier 2021, 63,2 % des personnes ayant répondu au sondage déclarent ne pas le savoir. Ils sont par ailleurs 64,7 % à ignorer si l’offre des fournisseurs est suffisante pour répondre à cette obligation et 25,6 % à penser qu’elle est insuffisante. Ces chiffres, mais aussi toutes les questions relatives à cette règlementation, ont été longuement débattus par quatre intervenants du « Grand Dossier du Mondial du Bâtiment » : André AUGST, Vice-président CEP-CICAT Ingénieur IPF expert en accessibilité, Claire LE QUELLEC, Présidente du Conseil Français des Architectes d’Intérieur, Hubert MAITRE, Secrétaire général de Afisb association des industries de la salle de bains et Julien SERRI, Délégué National aux Affaires Techniques du Pôle Habitat FFB.
Il y a 3 ans et 361 jours

Les équipes BIMANDCO et Onfly seront présentes au BIM World 2021

Les équipes BIM&CO et Onfly sont heureuses de participer au BIM World 2021, en présentiel pour vous retrouver! Comme la première version en 2015 lors de l’annonce de la création de la plateforme publique bimandco.com, cette année nous avons prévu de frapper fort ! A cette occasion, nos équipes seront présentes sur deux stands, réaliseront trois ateliers et participeront à une conférence, dont les détails sont juste ici.   Un événement très attendu  Comme chaque année, l’entreprise éditeur de la solution Onfly sera présente pour cet événement pour partager et échanger avec l’écosystème d’experts et de passionnés BIM en France. Initialement prévue en octobre 2020, la rencontre annuelle a été décalée pour les raisons sanitaires évidentes que nous connaissons aujourd’hui. Avec près de 12.000 participants, 320 exposants, nous avons hâte de rencontrer les visiteurs qualifiés de ce salon, qu’il s’agisse d’architectes, d’ingénieurs, de maîtrise d’ouvrage, de bureaux d’études, mais aussi de fabricants de la construction.   Conférence avec notre CEO : “Modélisation, conception et objets – organisation de la production” Baptiste Mullie, CEO et fondateur d’Onfly, participera à une table ronde en compagnie de Claire Bruyère de Systra, Alexandre Mahfoud de Solideo ainsi que de l’un des Représentants Mba City. Cet échange sera l’opportunité pour Baptiste de partager sa vision du Design system du BIM: « Le Design system du BIM est un ensemble d’objets BIM réutilisables qui permettent de modéliser facilement une maquette structurée. »  Baptiste abordera les outils et l’organisation à mettre en place pour : optimiser la productivité des équipes de modélisation; simplifier la livraison d’une maquette de qualité, échangeable, aux informations exploitables. Retrouvez-nous à la conférence le 23 juin de 11:00 à 12:00 à l’Espace Congrès BIM World.   Deux stands pour nos deux plateformes A cette occasion, nous serons très heureux de rencontrer nos clients actuels et futurs via deux stands. Le premier stand BIM&CO sera un lieu dédié aux échanges avec tous les utilisateurs et intéressés de la plateforme bimandco.com, dont les fabricants. Le second stand sera quant à lui dédié à Onfly, l’outil au service des architectes, ingénieurs, constructeurs et bureaux d’études. Il s’agira de deux espaces distincts, mais tous deux dédiés aux échanges, aux rencontres et à des démos autour des problématiques BIM avec les meilleurs experts francophones. Se trouver sur deux stands distincts s’inscrit dans notre volonté de différencier les solutions bimandco.com et Onfly. Nous souhaitons simplifier nos échanges avec les collaborateurs intéressés, qu’il s’agisse de fabricants ou d’acteurs de l’AEC et bureaux d’études. Valentin Malemanche, Product Manager d’Onfly, commente : “Nous souhaitons amener les personnes intéressées à des stands où l’expérience utilisateurs leur est adaptée Chacun aura les réponses dédiées à son corps de métier. »   Atelier BIM&CO : “Retour d’expérience RE2020 : Exploitation de la donnée pour optimiser l’éclairage naturel”   Dédié aux architectes et bureaux d’études, cet atelier présentera comment appréhender au mieux l’exigence d’accès à l’éclairage naturel dans les logements neufs en exploitant les données embarquées dans les objets BIM, du générique au spécifique. Présenté par Ludivine Menez, Déléguée Technique à l’UFME et Laurent Lacroix, Business Development director chez BIM&CO, l’atelier aura lieu le 23 juin de 12:30 à 13:00 à l’atelier Violet. Vous pouvez aussi y accéder gratuitement ici !   Ateliers Onfly : “Gérer les niveaux de développement d’un modèle d’objet” & “Comment garantir la continuité de l’information à l’aide d’un référentiel ?” Le premier atelier portera sur comment gérer le niveau de développement du modèle d’une phase à une autre d’un projet, en ingénierie et maquette numérique. Lors de cet atelier, Rémy Maurcot présentera des exemples de solutions rapides et efficaces directement issues de l’expérience des clients d’Onfly.  Cet atelier aura lieu le 24 juin de 12:30 à 13:00 à l’atelier Violet.  Le second atelier d’Onfly, réalisé avec notre client Systra, sera dédié à tous ceux qui rencontrent des problèmes dans le déploiement, le suivi de sa démarche BIM, et la continuité de l’information tout au long de leurs projets, de la conception à l’exploitation. Louis Marie Borione, responsable programme innovation BIM, expliquera aux côtés de Valentin Malemanche, Product Manager de la marque Onfly, comment garantir cette continuité à l’aide d’un référentiel. Cet atelier aura lieu le 24 juin de 14:00 à 14:30 à l’atelier Rouge.   Pour ne rater aucune conférence ou atelier, nous vous donnons rendez-vous les 23 et 24 juin prochains, dans le Hall 6 porte de Versailles à Paris ! On a très hâte de vous rencontrer ! Alors, vous vous êtes déjà inscrits ? Vous pouvez le faire ici pour vous assurer de participer à l’événement BIM de l’année, et profiter d’un accès gratuit à tous nos ateliers !
Il y a 3 ans et 364 jours

Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment : le point sur le zéro ressaut

À l'occasion de la troisième édition qui s'est tenue le 7 mai, le Mondial du Bâtiment a réalisé un sondage exclusif1 sur la perception du zéro ressaut par les acteurs professionnels de la filière.Des chiffres qui ont notamment pu être commentés lors du "Grand Dossier du Mondial du Bâtiment" dont le thème était « Accessibilité : en quoi le zéro ressaut en salles de bains impacte-t-il tout le bâtiment ? »Pour débattre autour de cette question et apporter un éclairage d'experts, étaient réunis autour de la table :André AUGST, Vice-président CEP-CICAT Ingénieur IPF expert en accessibilité.Claire LE QUELLEC, Présidente du Conseil Français des Architectes d'Intérieur.Hubert MAITRE, Secrétaire général de Afisb association des industries de la salle de bains.Julien SERRI, Délégué National aux Affaires Techniques du Pôle Habitat FFB.Le zéro ressaut vu par les installateursLes chiffres clés du sondage exclusif des rendez-vous du Mondial du BâtimentLe sondage réalisé à l'occasion de la table ronde par le Mondial du Bâtiment sur le zéro ressaut vu par les installateurs démontre qu'il reste encore beaucoup de choses à éclaircir. En effet, alors que la règlementation impose une zone de douche avec un accès sans ressaut depuis le 1er janvier 2021, 63,2% des personnes ayant répondu au sondage déclarent ne pas le savoir.Ils sont par ailleurs 64,7% à ignorer si l'offre des fournisseurs est suffisante pour répondre à cette obligation et 25,6% à penser qu'elle est insuffisante.Ces chiffres, mais aussi toutes les questions relatives à cette règlementation, ont été longuement débattus par les quatre intervenants du "Grand Dossier du Mondial du Bâtiment".Ce qu'il s'est dit lors du grand débat…Durant 45 minutes, les quatre intervenants ont débattu autour du sujet du zéro ressaut. L'occasion pour eux de revenir sur les aspects positifs de cette réglementation mais aussi sur les points qui restent à éclaircir.Une évolution globalement saluée« Il s'agit d'une évolution naturelle et souhaitable, souligne Hubert Maitre. Aujourd'hui, il y a 9% de personnes handicapés en France et 9 français sur 10 aimeraient pouvoir adapter son logement. Nous devons donc répondre à ces besoins et à ses demandes. »Claire Le Quellec ajoute : « Le logement doit aujourd'hui être évolutif et fonctionnel. En tant qu'architecte, je travaille sur toute l'ergonomie du logement, pas uniquement de la salle de bains. Mais celle-ci représente un défi notamment par ses dimensions souvent restreintes. ».Et pour André Augst : « Il est important de ne pas faire des salles de bains identiques pour tous. La salle de bains doit avant tout rester un lieu agréable à vivre et à regarder, pour toute la famille. »Mais des points à préciser« Les fabricants n'ont pas été impliqués dès le départ des concertations. Aujourd'hui, ils manquent d'éléments concrets pour répondre à ces évolutions, notamment en ce qui concerne les dimensions qui leurs sont demandées pour les produits. », déplore Hubert Maitre rejoint par André Augst : « Il y a un véritable problème au sujet des dimensions demandées car il n'est pas précisé s'il s'agit de dimensions carrelage terminé ou à poser. Et il n'existe pas de bac à douche de 122 cm ! »Pour Julien Serri : « Les chiffres qui concernent la méconnaissance des installateurs sont frappants, mais ce qu'il est aussi important de noter et que nous avons pu constater, c'est que la règlementation est sujette à différentes interprétations. ». De son côté André Augst précise : « Ce qu'il est intéressant de noter, c'est que la loi date en fait de 2005. Elle évolue, certes, mais ne change pas fondamentalement. Et depuis l'origine, l'objectif est d'arriver à la généralisation du zéro ressaut. »Les quatre intervenants déplorent tous par ailleurs les surcoûts qui vont découler de l'application de ce décret et qu'ils estiment à 4 000 € par logement.Des professionnels mobilisés« Les fabricants ont la capacité à créer de nouveaux produits et à s'adapter à de nouveaux modes de fabrication. Ils sont réactifs et à l'écoute. », indique Hubert Maitre.Quant à Julien Serri, il précise : « Nous avons constitué des groupes de travail pour récolter les avis de tous les métiers concernés par ces évolutions. Car il est difficile de faire cohabiter toutes les contraintes des différents métiers. Nous avons donc élaboré un guide qui sera disponible dès septembre pour décrypter ce sujet complexe. »Arrêté « Douche zéro ressaut »Depuis le 1er janvier 2021, dans les logements situés en rez-de-chaussée (pour les permis de construire déposés depuis cette date) ou dans les étages desservis par ascenseur (pour les dépôts à compter du 1er juillet), au moins une salle d'eau, située au niveau d'accès au logement, doit être équipée d'une zone de douche dont l'accès se fait sans ressaut, ou d'une baignoire, laquelle pourra être réaménagée en douche sans intervention sur le gros oeuvre, ni modification du volume de la salle d'eau hormis l'installation de toilettes. Les maisons individuelles (sauf celles construites pour leurs propres propriétaires), ainsi que les logements des bâtiments d'habitation collectifs sont concernés. La surface, rectangulaire, de la zone de douche doit être au minimum de 90 × 120 cm, et la hauteur minimale de 180 cm.L'arrêté du 17 septembre 2020 modifie un précédent texte, datant de 2015 qui imposait seulement que le ressaut de la douche soit « limité afin de permettre son accès en toute sécurité ».Les prochains « Rendez-vous du Mondial du Bâtiment » auront lieu le vendredi 2 juillet.Le Grand Dossier abordera le thème : Quelles solutions pour réduire l'empreinte carbone des chantiers ?
Il y a 3 ans et 364 jours

"On peut construire de manière durable", Grégory Doucet, maire de Lyon

ENVIRONNEMENT. La Fédération française du bâtiment a organisé une table-ronde autour de la transition de la filière du bâtiment vers une démarche durable. Questionnés à ce propos, l'élu écologiste de Lyon et des représentants de la FFB ont débattu sur la nécessité de construire et de rénover.
Il y a 4 ans et 30 jours

La collection de plafonds Knauf s’embellit de nouveautés inspirantes

Comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, Knauf annonce également le lancement de Knauf Single Smart, une nouvelle solution d’îlots et baffles acoustiques pour murs et plafonds, conjuguant une esthétique sobre et aérienne à une acoustique performante.Rold12 : un design qui bousculeInspiré par les forêts du Danemark, Rold12, apporte une signature moderne, empreinte de nature en combinant plâtre et aspect bois. La profondeur et la perspective filante créées par ses lattes bousculent la perception usuelle des plafonds modulaires.Fabriqué à partir de 30 % de plâtre recyclé, cette nouvelle référence Knauf Danoline cumule les avantages fonctionnels d’un plafond plâtre démontable. En effet, Rold12 se compose d’une dalle de plâtre Unity 3 (600 x 600 x 12,5 mm, perforation 3,5 x 3,5 mm et entraxe de 8,3 mm) en finition blanche, habillée de 12 lattes trapézoïdales en plâtre (25 x 600 x 12,5 mm) imprimées d’une finition chêne clair (épaisseur totale du complexe de 25 mm). Autres atouts qui séduiront les acteurs de la prescription, le décor pourra être personnalisé sur demande pour des réalisations uniques en leur genre et il sera même possible de sélectionner la direction des lattes, sens transversal ou longitudinal.Knauf Danoline Creative : des plafonds personnalisables à souhaitAvec Danoline Creative, Knauf va plus loin dans le rendu esthétique des dalles de plâtre perforées Unity 3 (perforations carrées) et Unity 4 (perforations rondes) grâce à un procédé de personnalisation par impression, monochrome ou polychrome.À partir d’un fichier haute définition, l’idée de l’architecte prend forme ! Motifs, logos, images ou encore textes… avec Knauf Danoline Creative aucune limite ! Il s’agit là d’une réponse idéale pour conjuguer personnalisation, décoration et performances acoustiques dans les établissements tels que les restaurants scolaires, EHPAD, écoles, salles de concert, amphithéâtres, etc.Côté performances, la ligne Creative confirme ses atouts acoustiques (αw jusqu’à 0,85 avec laine minérale de 45 mm) et justifie d’un classement feu A2-s1, d0.Ilots et baffles acoustiques Knauf Single Smart : l’acoustique modulable en toute légèretéKnauf Single Smart est un panneau acoustique pour murs et plafonds, réalisé à base de feutre PET (Polyéthylène Téréphtalate), un matériau à haute efficacité acoustique.Cette innovation Knauf permet de traiter la réverbération des bruits et de lutter contre la pollution sonore. Knauf Single Smart apporte ainsi un meilleur confort acoustique de la pièce. Il s’agit là d’une solution idéale pour une grande variété d’environnements de vie et de travail, en neuf comme en rénovation. Décliné en 3 coloris (blanc, gris et basalte), Knauf Single Smart crée un climat ambiant agréable. Knauf Single Smart est classé A+ en termes d’émissions dans l’air intérieur, soit le le meilleur classement existant.Proposé en dimensions de 1200 x 1200 x 10 cm ou en 1200 x 2400 x 10 cm, Knauf Single Smart conjugue esthétique, flexibilité d’utilisation et rapidité de pose. Panneau de fine épaisseur (10 mm), Knauf Single Smart offre un effet maximal dans un minimum d’espace. Avec ses champs uniformes et fins, il ne nécessite pas de cadre de finition et se découpe facilement au cutter pour créer des formes à l’envi (rectiligne, ronde, ou encore en forme de nuage, etc) pour des rendus audacieux.Polyvalent, Knauf Single Smart s’accompagne d’une grande liberté d’installation avec des intervalles de pose et des hauteurs variables pour des agencements créatifs. Léger (moins de 3 kg/m²), Knauf Single Smart s’installe très facilement et rapidement grâce au kit magnétique fourni pour la pose murale et au kit de suspension par câbles pour une pose en plafond.
Il y a 4 ans et 31 jours

Depot Live Show(s), évènement dédié aux revendeurs de matériaux de réemploi

Du 10 au 26 mai, l’évènement Depot Live Show(s) mettra en scène les revendeurs de matériaux de réemploi dans le secteur du BTP autour de présentations, discussions, rencontres et tables rondes.  Cette initiative est organisée dans le cadre du projet  Interreg FCRBE (Faciliter la Circulation des Éléments de Construction de Réemploi), un partenariat regroupant Rotor (BE- Mandataire), Bellastock (FR), Salvo (UK), le CSTB (FR), le CSTC (BE), le BBRI (BE), la Confédération Construction...
Il y a 4 ans et 57 jours

Table ronde Archistorm Kebony sur les essences de bois le 15 avril

Les tables rondes en ligne « Zoom sur… » sont l’occasion pour la revue Archistorm d’ouvrir un espace de réflexion et d’échange sur les métiers d’art, les savoir-faire artisanaux, et les entreprises qui développent des matériaux innovants pour les projets des architectes. Ces moments s’adaptent à la conjoncture actuelle et aux nouvelles manières de se rencontrer puisqu’ils se déroulent sur la plateforme Zoom. Chaque session, d’une durée d’environ 45 minutes, se déroule en compagnie d’une journaliste Archistorm qui anime la conversation et répond aux questions des participants.Le jeudi 15 avril, de 9h45 à 10h30, Olivier Loheac représentera Kebony autour d’une table ronde intitulée « Zoom sur les essences de bois ». Le bois développé par la marque norvégienne illustre avec brio l’innovation portée aux matières naturelles, tandis que son dégradé de nuances et ses qualités durables et écoresponsables ouvrent de nouvelles perspectives aux architectes. Ce rendez-vous informatif et inspirant se tiendra dans le cadre de la 7e édition des Rendez-vous de la matière + fair(e).Le nombre de places étant limité, Archistorm et Kebony invitent les participants à s’inscrire au plus vite : ma.lincoln@bookstorming.com // 06 24 70 81 79.La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 4 ans et 70 jours

Un concept de dalle de douche de plain-pied présenté en avant-première au salon numérique « Bette Future Days »

Les 20 et 21 avril, Bette présentera ses nouveaux produits et ses innovations 2021 dans le cadre de son salon numérique Bette Future Days. Pendant deux jours, les partenaires et les professionnels des secteurs de la vente, de l’artisanat, de la conception et de l’architecture assisteront à des démonstrations détaillées de nouveaux produits pour la salle de bains. Des présentations d’une demi-heure seront organisées plusieurs fois par jour en allemand ou en anglais. « Cette année, nous mettons l’accent sur des nouveautés passionnantes, très simples à installer, qui subliment la salle de bains », annonce Sven Rensinghoff, Directeur Marketing et gestion des produits chez Bette. « La dalle de douche de plain-pied BetteAir nous permet d’introduire en avant-première mondiale un produit en acier titane vitrifié pour les douches à l’italienne. Peut-être la plus grande innovation depuis la commercialisation de BetteFloor. » Les présentations de produits seront suivies de tables rondes, où les participants pourront poser toutes leurs questions en direct aux spécialistes de Bette. Pour approfondir ces informations, les professionnels pourront également s’inscrire à l’un des séminaires d’accompagnement en ligne. L’occasion de se pencher en détail sur les nouveaux produits en une vingtaine de minutes. Enfin, les commerciaux de l’entreprise se tiendront disponibles pour toute demande de conseils individuels sur rendez-vous. Les personnes intéressées peuvent s’inscrire au salon Bette Future Days sur le site www.bettefuturedays.com.    
Il y a 4 ans et 77 jours

L’Est du quartier Flaubert à Rouen commence sa métamorphose avec un 1er projet de développement urbain durable exemplaire

Véritable projet de reconquête urbaine, cette opération ambitieuse initiée par l’aménageur Rouen Normandie Aménagement et développée par Linkcity Grand Ouest avec ses partenaires TVK, AZ Architectes et OLM Paysages, conjugue excellence environnementale et mixité sociale et intergénérationnelle.Son objectif : contribuer positivement à la qualité de vie du territoire et offrir à l’horizon 2023 un nouveau lieu de vie placé sous le signe du bien-vivre ensemble et de la transition écologique. La première phase des travaux, réalisés par Bouygues Bâtiment Grand Ouest, concerne la création de 256 logements, de 9.000 m² de bureaux, de 300 m² de commerces, de 600m² de restaurants inter-entreprises, organisés autour d’espaces paysagers favorisant la biodiversité et la qualité de vie des habitants.Une grande concertation en cours pour dessiner les contours de la frange Ouest et les abords du futur canal du quartier Rouen FlaubertLa Métropole Rouen Normandie mène depuis octobre 2020 une grande concertation autour de la partie ouest du quartier Flaubert. La population est ainsi invitée à réfléchir sur les évolutions d'un projet majeur qui matérialisera la ville de demain et à imaginer ensemble l’aménagement du futur canal. Plusieurs temps d'échanges et plusieurs outils sont ainsi proposés pour permettre à chacun de donner son avis et proposer des idées. Une occasion de contribuer à l’évolution d’un projet qui doit concilier deux priorités : la résilience (risque technologiques, inondations) et la transition social-écologique.« L’Éveil de Flaubert » : une programmation immobilière à l’Est du quartier Flaubert privilégiant la mixité sociale et intergénérationnelleÀ proximité du centre-ville, “L’Eveil de Flaubert“ qui s’étend sur un site d’1,6 hectare entre l’avenue Jean Rondeaux, et les rues François Depeaux et Niki de Saint-Phalle, bénéficie d’une situation privilégiée proche de la Seine offrant une vue panoramique sur la ville et ses alentours. Point de départ de la reconquête de la ville vers l’Ouest, “L’Éveil de Flaubert” traduit la volonté de la Métropole Rouen Normandie de proposer un modèle de développement urbain durable exemplaire. Confiée à Linkcity Grand Ouest, présent sur le territoire depuis plus de 30 ans, cette opération immobilière d’envergure, l’une des plus importantes de la métropole ces dernières années, synthétise les valeurs de Linkcity : une empreinte écologique réduite, une priorité accordée aux usages à travers l’implication des acteurs locaux et des citoyens, un projet ancré dans son territoire, au service du bien-être et du bien-vivre ensemble, pour contribuer à bâtir la ville de demain.Linkcity et ses partenaires architectes TVK, AZ Architectes et OLM Paysages, ont conçu un nouveau lieu de vie favorisant la mixité : mixité urbaine avec une programmation alliant habitations, bureaux, commerces, services et jardins ; mixité sociale et intergénérationnelle avec une offre de logements comprenant résidence seniors, logements locatifs sociaux, intermédiaires et en accession.Le projet est prévu en 2 phases dont la première, lancée en janvier 2021, se déroulera jusqu’à fin 2023. L’arrivée des 3 grues ce mois-ci lance le gros œuvre de cette première phase. Elle concerne la création de 26.000 m² de plancher :Une résidence seniors de 92 appartements gérés par Réside Etudes ;30 logements locatifs sociaux pour le bailleur social Rouen Habitat ;40 logements locatifs intermédiaires pour CDC Habitat ;94 logements en accession, dont 84 logements en accession libre commercialisés par Sogeprom et iSelection et 10 logements qui seront vendus en accession à prix maîtrisés ;Un bâtiment de bureaux en R+7 d’environ 9 000 m² ;Des commerces situés en rez-de-chaussée des bâtiments.Les jardins de “L’Eveil de Flaubert“Ces différents bâtiments s’organiseront autour de jardins présentant des structures végétales adaptées aux usages et en harmonie avec les espaces publics avoisinants. Fruits d’une réflexion sur la place de la nature en ville et la protection de la biodiversité, ces espaces paysagers, où se retrouveront principalement des essences locales (78 % des arbres plantés seront issus du bassin de la Seine ou de Normandie) seront répartis en 3 typologies d’espaces publics ou privés : la venelle Leila Alaoui, espace public constituant une percée visuelle au cœur du quartier ; le square Martha Graham, mail semi-privé aménagé entre les bâtiments tertiaires et les immeubles de logements. Ceux-ci accueilleront également 2 espaces potagers partagés et des haies de fruits rouges ; et les cœurs d’îlots, jardins intimes et contemplatifs destinés aux habitants. Un système de gestion des eaux pluviales a en outre été pensé pour alimenter en eau les espaces plantés.Une opération visant l’excellence environnementaleLinkcity s’attache à développer des projets contribuant à la transition écologique des territoires afin de coconstruire avec ses clients, ses partenaires et les habitants, des villes saines et durables. “L’Eveil de Flaubert“ illustre cette démarche et fait écho à la volonté de la Métropole de réduire son empreinte écologique et de favoriser l’évolution des comportements et des pratiques. Ainsi, l’ensemble immobilier a été conçu pour répondre à ces enjeux. Pour une performance optimale, diverses solutions techniques seront déployées : l’utilisation de matériaux biosourcés, avec une part importante accordée au matériau bois, des consommations énergétiques optimisées grâce au raccordement des logements à un système de réseau de chaleur urbain métropolitain, et au recours à la géothermie pour les bâtiments tertiaires.Le programme vise en ce sens de multiples labels environnementaux :L’ensemble des bâtiments, de logements et tertiaires, ambitionnent d’atteindre le niveau de performance BEPOS Effinergie 2017 et E3 du label Energie Carbone, en avance sur les réglementations en vigueur.Ces labels attestent de performances exemplaires en matière de sobriété et d’efficacité énergétique, avec des exigences renforcées sur la conception bioclimatique et les consommations énergétiques ; de qualité et de confort.Les bâtiments tertiaires visent en outre le label BBCA, qui atteste de l’exemplarité de la démarche de réduction de l’empreinte carbone ;L’immeuble tertiaire de la première phase ambitionne également d’obtenir la certification BREEAM niveau VERY GOOD, certification la plus utilisée en Europe et reconnue à l’international.Enfin, Linkcity Grand Ouest a opté pour ce projet pour la labellisation environnementale de Bouygues Construction baptisée TOPSITE. Issue de réglementations nationales exigeantes, ce label garantit une exécution des travaux, réalisée par Bouygues Bâtiment Grand Ouest, dans le plus grand respect de la sécurité des personnes, de l’environnement et des riverains (gestion optimale des eaux et des déchets, réduction des nuisances acoustiques et vibratoires, propreté du chantier et de ses abords, etc). Les riverains seront également avertis en cas de perturbation.Focus sur le développement de la filière bois localeIllustrant une véritable synergie entre la Métropole Rouen Normandie, Linkcity, le pôle d’expertise WeWood de Bouygues Bâtiment France Europe, les équipes de Bouygues Bâtiment Grand Ouest et de Manubois, un projet pilote va être déployé sur le premier bâtiment tertiaire de “L’Eveil de Flaubert“. Celui-ci consiste en la mise en œuvre d’une innovation constructive : du bois lamellé collé de hêtre en structure fabriqué à partir de hêtre local par Manubois, filiale du groupe Lefebvre, implantée aux Grandes Ventes(76). L’entreprise s’approvisionne essentiellement dans les forêts de Seine Maritime, exploitant des ressources dans un rayon de 50 km environ. Environ 70 poteaux, soit 36 m3 de hêtre lamellé collé, seront mis en œuvre sur ce bâtiment tertiaire de 9 000 m2, en support des planchers en béton. Fabriqué par Manubois à partir de bois de hêtre local, ce projet permet de développer l’usage des matériaux biosourcés et de structurer la filière bois locale, tout en ouvrant la voie à de nouvelles méthodes constructives.
Il y a 4 ans et 79 jours

La FFB alerte sur la flambée des prix des matériaux et la baisse des constructions de logements

Activité : urgence construction neuveAinsi, après ré-étalonnage des modèles des services de l'État, le nombre des mises en chantier tombe à 351.000 logements en 2020, soit 10.000 de moins que la moyenne de long terme et un niveau équivalent à celui de l'entrée en crise du début des années 1990. Rapporté au nombre de ménages, c'est même au plus dur de cette crise qu'il faut se comparer ! Et les évolutions à fin janvier ne rassurent pas, avec des permis encore en recul de 9% en glissement annuel sur trois mois, après -15% en 2020. Sans relance puissante et rapide, la barre des 300.000 logements commencés sera très probablement enfoncée au tournant 2021-2022.Le choc s'avère encore plus violent pour le non résidentiel neuf. Les surfaces commencées abandonnent 16% en 2020. Et la chute n'a guère de raison de ralentir, puisque les surfaces autorisées s'affichent à -19% en 2020 et encore à -16% en glissement annuel sur trois mois à fin janvier 2021. L'année 2021 risque donc de se révéler la pire jamais observée depuis 1986 en termes de surfaces commencées. D'autant que tous les segments du non résidentiel participent de ce mouvement, y compris commande publique.A contrario, l'amélioration-entretien redresse la tête. Le bilan 2020 ne le révèle pas tout à fait pour l'ensemble, puisqu'au sens de la facturation, l'activité du quatrième trimestre s'inscrit encore en baisse de 2% sur un an, hors effet prix. Toutefois, on l'observe dans l'évolution de la rénovation énergétique, qui ressort stable sur la même période. De fait, le déblocage de MaPrimeRénov' au quatrième trimestre 2020 et le volet bâtiment de « France relance », quasi-exclusivement consacré à la rénovation énergétique, commencent à faire sentir leurs effets.Évidement bienvenus, ils ne suffiront pas à compenser la violente chute du neuf.Emploi : la menace se préciseL'emploi résiste dans le bâtiment, avec 2.900 postes perdus au total en 2020, soit 0,2%, uniquement dans l'intérim. Toutefois, avec 44.000 logements commencés en moins sur 2021 et un ratio de 1,6 emploi mobilisé dans l'ensemble de la filière par logement construit, 70.000 emplois se trouveront très fragilisés à l'horizon 2022, compte tenu des délais de production. En tenant compte de la chute du non résidentiel neuf, aux environs de 100.000 emplois seront menacés.La dynamique de la rénovation énergétique permettra d'atténuer le choc, pas de l'empêcher. D'autant que certains des métiers du gros-œuvre peineront à trouver des passerelles vers ceux de la rénovation et que la mise en œuvre de la RE2020 au 1er janvier 2022 risque de constituer pour eux une seconde lame de fond.Entreprises : attention à la dérive des coûtsBien que plus tardifs qu'anticipés, le choc de la pandémie se manifeste clairement dans les coûts depuis la fin 2020. Une fois les stocks épuisés, la désorganisation des filières productives et des transports internationaux conduisent à de fortes hausses des prix des matériaux. D'abord observé sur les produits acier et cuivre, puis sur le bois de construction et les autres métaux non ferreux, le mouvement gagne plus récemment les plastiques, le polyuréthane et le polystyrène. Il n'est plus rare de recevoir des annonces à +30%, voire plus encore, sur les produits bâtiment. Les craintes se portent maintenant vers des équipements plus techniques, dotés de puces électroniques ou autres composantes en silicium.Pour certains produits bois, PVC ou polyuréthane, cela se double de difficultés d'approvisionnement, donc de réalisation de chantier.Or, force est de constater que la plupart des marchés restent signés à prix ferme, non actualisables ni révisables, et prévoient des pénalités de retard. Ces chantiers risquent donc de se révéler systématiquement en perte.Le bâtiment tient, mais il faut l'aider à poursuivreMalgré la violente chute de 15% de l'activité en 2020, le bâtiment tient. Grâce aux puissantes mesures de soutien public rapidement décidées et à un déconfinement réussi, l'emploi a été préservé et les entreprises ont survécu au choc. Ce qui a permis, au plan macro-économique, de palier le décrochage d'autres secteurs.Pour permettre au bâtiment poursuivre dans cette voie. Pour le permettre, il faudrait tout d'abord lever les blocages et accompagner les donneurs d'ordres. À ce titre, la FFB en appelle aux collectivités locales, afin que la délivrance des permis s'accélère franchement. Dans cette même logique, elle réitère sa proposition de mettre en place un « permis déclaratif » pour toute opération réalisée sous permis d'aménager ou en zone d'aménagement concerté.Elle alerte aussi sur le risque que la loi Climat et résilience débouche sur une politique foncière axée sur le seul objectif de lutte contre l'« artificialisation des sols », aux contours mal maitrisés, sans prise en compte des besoins socioéconomiques sur les territoires visés.Une relance puissante et rapide du neuf passe aussi par le soutien de la demande, que la crise fragilise. Le nouveau protocole d'engagement Action logement-État-USH en faveur du logement social s'avère de bon augure. Mais il conviendrait d'aller plus loin pour permettre une véritable reprise de la primo-accession, fragilisée aujourd'hui par un avenir trop incertain, mais également par les recommandations –bientôt d'ordre règlementaires– du Haut Conseil de stabilité financière (HCSF). À cette fin, la FFB propose la mise en place d'un crédit d'impôt sur les cinq premières annuités d'emprunt des primo-accédants. Quant à l'investissement locatif, la FFB rappelle son souhait de voir majorer transitoirement la réduction d'impôt « Pinel ».Par ailleurs, afin de ne pas entraver la réalisation des opérations, la FFB continue de militer pour l'annonce rapide d'un accompagnement financier permettant de couvrir les surcoûts associés à la RE2020.Enfin, pour permettre au secteur de tenir, il faut s'assurer que les surcoûts liés aux matériaux soient partagés des industriels jusqu'au client final. La FFB demande donc que soit réactivée pour quelques mois les ordonnances qui, au printemps 2020, avaient transitoirement gelé les pénalités de retard et que le gouvernement communique fortement en faveur de l'indexation des marchés.Semaine de la prévention100% digital, la Semaine de la prévention repose sur un programme de quarante webinaires santé - prévention à la carte. Celui-ci sera accessible durant une semaine complète, du 29 mars au 2 avril prochain. Les objectifs sont de sensibiliser et d'informer les chefs d'entreprise, leurs salariés, les apprentis et les intérimaires sur les risques professionnels du BTP et les moyens de s'en prémunir. Cinq thématiques seront abordées: travaux en hauteur ;risque routier ;poussières et risque chimique ;accueil santé/sécurité sur chantier et au poste de travail ;*manutentions manuelles et troubles musculosquelettiques (TMS).Colloque InnovationLa FFB organise le 13 avril prochain de 16h à 17h30, un événement virtuel consacré à l'innovation, diffusé en direct depuis la Station F sur la chaîne YouTube de la FFB.Cet événement s'articulera autour de tables rondes consacrées à l'innovation vue sous les prismes de la transition écologique, la transformation numérique et le développement de nouveaux modes constructifs. Il comprendra des témoignages concrets sur des sujets tels que le béton vert et les nouveaux matériaux biosourcés, l'intelligence artificielle et les objets connectés, l'industrialisation et de nouveaux procédés constructifs.L'occasion de rompre avec les idées préconçues et de prouver que le bâtiment innove, que ce soit en termes de services apportés aux usagers, de transformation numérique, de transition écologique, d'organisation ou d'évolution des matériaux et procédés constructifs.
Il y a 4 ans et 93 jours

Nouveau panneau d'isolation IKO Enertherm ALU XL pour toitures-terrasses béton et bois apparent

Ses hautes performances mécaniques répondent à de nombreuses tendances qui touchent la 5ème façade : végétalisation, panneaux photovoltaïques, rétention des eaux pluviales, création de toitures accessibles aux piétons pour cultiver une toiture jardin, poser des ruches ou un jacuzzi avec vue panoramique, accueillir la clientèle d’un bar en rooftop... Sa résistance à la compression de 175 kPa et son revêtement sur les deux faces d’un complexe multicouche d’aluminium s’adaptent autant aux chantiers neufs qu’en rénovation, sous protection lourde (gravillons, dalles sur plots, dalles...) ou en apparent.Un format XL et léger 100% confortComme son nom l’indique, ce panneau XL se distingue par ses généreuses dimensions L. 1.200 x l. 600 mm. Elles permettent d'optimiser la mise en œuvre et réduisent les découpes sur chantier. Un véritable gain de temps, deux fois plus rapide ! Pour les chantiers d’envergure tels que les centres commerciaux, le panneau se décline en 2.400 x 1.200 mm. Avec une densité de 32kg/m³, sa légèreté facilite la manipulation. Par exemple, un panneau de 100 mm d’épaisseur pèsera 2,3 kg. La fixation s’effectue avec une colle de nature PU pour une durabilité de la toiture optimale.Participer à la conception d'ouvrages responsables et durablesLe panneau IKO enertherm ALU XL se décline en 16 épaisseurs, de 30 à 200 mm, permettant de répondre à tous les besoins thermiques. IKO Insulations propose également de réaliser des épaisseurs sur-mesure sous conditions. Il affiche un lambda de 0,022, l’une des valeurs isolantes les plus élevées du marché. Il favorise le confort d’été et d’hiver, participant aux économies énergétiques. Sur les toitures-terrasses béton, il s’illustre par ses grandes dimensions et sa faible épaisseur. Pour les ouvrages bois, sa légèreté ne nécessite pas de surdimensionner la charpente.Fabriqué à Combronde, dans le centre de la France, il permet de diminuer l’empreinte carbone des transports et de la logistique. Un avantage renforcé par sa faible épaisseur qui diminue le nombre de camions ! Il requiert peu d’énergie pour sa fabrication et affiche une durée de vie de 50 ans.Caractéristiques techniquesPanneau d’isolation avec une âme en mousse rigide de polyisocyanurate 100 % sans CFC, HCFC ou HFCRevêtu sur les deux faces d’un complexe multicouche d’aluminium étanche au gazCoefficient de conductivité thermique : 0,022 W/(m.K)Densité : ± 32 kg/m³Résistance à la compression avec une déformation de 10% : ≥ 175 kPa (17,5 tonnes/m²)Résistance à la diffusion de vapeur : mousse PIR : μ = 60 - parement Alu : μ > 100 000
Il y a 4 ans et 94 jours

Une histoire mondiale du musée avec Krzysztof Pomian : table ronde au Musée du Louvre

Pour la parution de l’ouvrage de Krzysztof Pomian Le musée, une histoire mondiale : L’ancrage européen 1789-1850, une table ronde est organisée par le Musée du Louvre. La rencontre sera retransmise en direct lundi 15 mars à 12h30. L’évènement est l’occasion de discuter du musée – objet devenu incontournable dans les villes – et de ce deuxième tome consacré à la naissance du modèle du musée universel. L’auteur, Krzysztof Pomian, philosophe, s’est exilé en France en...
Il y a 4 ans et 106 jours

Webinaire sur le phare de Cordouan

Candidat pour une inscription sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, le phare de Cordouan sera mis à l’honneur le 15 mars dans un webinaire au cours duquel des spécialistes décrypteront les différentes facettes de ce lieu emblématique. Prouesse architecturale et technique édifiée en pleine mer à l’embouchure de l’estuaire de la Gironde, le phare de Cordouan, majestueusement élancé vers le ciel, résiste depuis plus de 400 ans à l’assaut des eaux tumultueuses de l’Atlantique et de la Gironde. Premier phare français classé Monument historique en 1862, ce lieu exceptionnel du patrimoine national illumine depuis 1611 les côtes girondines et charentaises. Au cours des conférences et tables rondes qui se tiendront tout au long de ce webinaire, des spécialistes apporteront des éclairages riches et complémentaires permettant de valoriser les différentes facettes de ce lieu emblématique. Toutes les interventions du webinaire seront traduites en anglais en simultané et accessibles via Zoom. https://www.phare-de-cordouan.fr/blog/un-webinaire-en-l-honneur-de-cordouan–.html?preview=7c4e493533fe6d752e9be9369c2ee540  
Il y a 4 ans et 107 jours

Webinaires autour du BIM et du démonstrateur Olympi de Chartres

Très impliqué dans le projet du Démonstrateur Olympi de Chartres, opération de 36 logements collectifs, le premier DCE numérique cible porté par le Plan BIM 2022, Abvent invite, à partir du 2 mars 2021, tous les acteurs du BIM (maîtres d’œuvre et maîtres d’ouvrage, architectes, bureaux d’études, entreprises) à découvrir les coulisses de ce projet exemplaire, en 4 webinaires et 2 tables rondes. Le premier webinaire contextualisera les objectifs du projet, posera les problématiques métiers soulevées et présentera les réponses technologiques et techniques, pratiques et méthodologiques agiles apportées par Abvent. La série de 3 webinaires métiers qui suivront, pratiques et concrets, dans une approche AFEST/AFSO (Ateliers de Formation en Situation Opérationnelle) permettra de parler des bonnes pratiques et des étapes-clés de la mise en place et du déploiement du processus BIM, d’expliquer la consolidation de la maquette BIM et le partage des informations, et proposera un tour d’horizon des usages BIM pour répondre à la pluralité des métiers concernés. En avril, 2 tables rondes réuniront les institutionnels et les professionnels parties prenantes qui échangeront sur leur vision du BIM appliquée au démonstrateur, leurs ambitions, leur détermination et traiteront des sujets émergents tandis que les entreprises témoigneront de leur vécu de cette première expérience. https://live.abvent.com  
Il y a 4 ans et 112 jours

RE2020 : les constructeurs, satisfaits du report, inquiets sur le gaz

ASSISES DU LOGEMENT. La table-ronde inaugurale des Assises du logement et de la mixité urbaine a été l'occasion pour les promoteurs-constructeurs, les architectes et l'USH de réagir aux premières annonces concernant la RE2020. La lutte contre l'artificialisation et la qualité des logements ont également occupé une large part du débat.
Il y a 4 ans et 125 jours

Une table ronde en ligne autour de la ressource bois dans l’architecture

Organisée dans le cadre de l’édition 2021 du concours Archi’bois, la table-ronde « DE QUEL BOIS JE CONÇOIS ? LES ENJEUX DE LA RESSOURCE BOIS DANS L’ARCHITECTURE » interrogera la place de la ressource bois dans l’architecture face aux défis écologiques actuels. Elle sera animée par Stéphanie Obadia, journaliste et conférencière spécialisée dans la construction et le bâtiment. Avec : Jean-François Dhôte, directeur de recherche INRA Jérôme Martinez, responsable de Bois de France ; Christophe Aubertin, architecte (Studiolada) ; Marie Schweitzer, architecte-charpentière (présidente du jury 2020) et Marie Jorio, coordinatrice générale de France Bois 2024. Le 9 février 2021 à 17h.
Il y a 4 ans et 131 jours

Les Rencontres d'Averroès sur la Méditerranée résistent au Covid grâce aux podcasts

"Les Rencontres d'Averroès, c'est un an de préparation avec des thèmes, des invités, des tables rondes avec la participation du public. Je ne voulais pas mettre cela au panier parce que le théâtre de la Criée (à Marseille) était fermé", a expliqué à l'AFP Thierry Fabre, concepteur de cette manifestation autour de la Méditerranée créée en 1994.En raison de la pandémie de Covid-19, théâtres et lieux culturels sont fermés en France depuis le 30 octobre."C'est très bien de réunir 5.000 personnes en trois jours mais peut-être que l'on aura encore plus d'auditeurs pour ces podcasts", espère-t-il."Nous proposons à notre public une longue traversée sonore avec tous les invités initialement prévus, chercheurs, architectes, artistes, écrivains" venus de pays du pourtour méditerranéen, détaille M. Fabre. Au programme, entretiens, lectures et captations sonores à Alger, Istanbul, Beyrouth, Alexandrie (Egypte), et dans les villes italiennes de Venise ou Palerme entre autres."Le fil conducteur du programme 2020, "cités à la dérive", reste le même, mais ce ne sont pas des tables rondes enregistrées, c'est une vraie création sonore réalisée par un grand metteur en ondes, Clément Lemariey et le directeur artistique Ariel Kenig", insiste M. Fabre."C'est une balade poétique et sensible à travers des cités de la Méditerranée où l'on pose un certain nombre de questions", dit-il."Qui doit construire la ville entre architectes et politiques? Quelle forme pour la Méditerranée entre cité-Etat et ville pieuvre? Quel imaginaire pour des sites marqués par l'Histoire comme Jérusalem ou Rome? Quel avenir politique après la destruction d'Alep (Syrie), le soulèvement du Caire ou l'explosion au port de Beyrouth?", interrogent les cinq épisodes."On a mis deux mois pour réaliser ces programmes. Ça a été un travail de couture avec au départ plus de 11 heures de rushs pour aboutir à cinq épisodes de vingt à trente minutes chacun", explique M. Fabre.Ces podcasts, sont en ligne sur le site "rencontresaverroes.com" ainsi que sur les principales plateformes d'écoute en accès libre.
Il y a 4 ans et 135 jours

Nouvelle Gamme Rigitone® Design pour des plafonds acoustiques et esthétiques en ERP

Faisant du confort sa première promesse, PLACO® dévoile sa nouvelle gamme d'ilots acoustiques RIGITONE® DESIGN, imaginée pour des plafonds acoustiques et esthétiques.Liberté créative, design, facilité et rapidité de mise en œuvre, les caractérisent. Tels des nuages flottant au-dessus des espaces, les produits RIGITONE® DESIGN jouent les effets de style avec leurs formes concaves ou convexes, une hauteur de suspension ajustable jusqu'à 2 m et des motifs perforés carrés ou aléatoires.Source de confort, les ilots à base de plaques de plâtre RIGITONE® intègrent la technologie ACTIV'AIR®, qui permet d'éliminer jusqu'à 80% du formaldéhyde présent dans l'air intérieur. Ils offrent ainsi une atmosphère saine et chaleureuse, et optimisent l'intelligibilité des échanges. L'autre prouesse en matière de confort réside dans leur conception en kit qui permet une installation rapide !Une fabrication responsable made in savoieLa gamme RIGITONE® DESIGN est fabriquée dans l'usine PLACO® située au cœur de la Savoie, à Chambéry. Un parti pris économique et écologique cher à la marque, à l'heure où la relocalisation des productions est au cœur des débats en France et dans le monde. Le système est assemblé et conditionné en kit par l'ESAT SATREC de La Ravoire (Établissement et Service d'Aide par le Travail). Cette démarche favorise la réinsertion et l'inclusion professionnelle de personnes en situation de handicap.Des îlots tout en légèretéL'inspiration créative constitue l'un des piliers de RIGITONE® DESIGN. Aériennes et élégantes, les plaques de plâtre (L. 1980 mm x l. 1000 mm) ondoient en toute légèreté et révèlent une ambiance harmonieuse, douce et raffinée.Création de designs mixtes, en vague ou dispersés, large choix de motifs décoratifs pour un style épuré (8-18 perforé rond - 8 mm de diamètre et 18 mm d'entraxe - ou 8-15-20 Super avec perforations rondes aléatoires)…, le système s'adapte aux ambiances nouvelles ou existantes, et permet de façonner des espaces singuliers, empreints de modernité et d'élégance. Telle une sculpture, le plafond aux formes concaves et convexes offre une grande flexibilité de design.Un système, un kit, une installation facilitéeLa facilité d'installation de RIGITONE® DESIGN se retrouve dans sa conception en kit qui se compose de :1 plaque de plâtre RIGITONE® Activ'Air® 8/18 ou 8-15-20 Super,1 panneau de laine de verre ISOVER CLEANTEC®,6 entretoises F 530,2 profilés cintrés F 530 (rayon de cintrage de 2 870 mm),16 cavaliers DF STIL® F 530,1 kit de suspension de 4 câbles de 2 m avec accessoires,des accessoires de pose.Le tout est accompagné d'un « Guide de mise en œuvre » richement illustré. Des schémas expliquent les étapes de pose, pas-à-pas. Le kit étant déjà pré-préparé, il suffit de fixer les profilés cintrés à l'aide des cavaliers et d'accrocher l'ilot en ajustant la hauteur des câbles de suspension. Un véritable gain de temps et de confort pour les installateurs, et de praticité pour le référencement dans les négoces !
Il y a 4 ans et 139 jours

Gamme ErgonomiX : notre contribution pour alléger votre charge de travail

Pour préserver la santé et le bien-être des compagnons sur le long terme, les conditions de travail sur les chantiers doivent être améliorées. Afin d’alléger votre charge de travail et réduire les TMS, Doka France vous propose la gamme ErgonomiX, une offre de solutions de coffrage et d’étaiement pour contribuer à la réussite de votre projet. Associant légèreté, robustesse et ergonomie, améliorez la productivité ainsi que la sécurité sur vos chantiers ! Elle comprend déjà 6 produits : le nouveau coffrage manuportable DokaXlight, la tour d’étaiement intuitive Tour Excellence, le nouvel étai Eurex 20 LW, la poutrelle Alu, l’étai Eurex 60 et le coffrage modulaire de dalles Dokadek 20. Plus d’informations sur Doka.fr Doka – spécialiste du coffrage Doka est leader international pour la conception, la fabrication et la commercialisation des systèmes de coffrage (dont coffrage-cadre) et d’étaiement pour tous les secteurs du BTP. Avec plus de 160 sites commerciaux et logistiques dans plus de 70 pays, le groupe Doka dispose d’un réseau extrêmement performant pour fournir aux entreprises de construction des équipements et supports techniques avec réactivité et professionnalisme. La haute qualité d’un produit et la bonne résistance à l’usure d’un matériel sont synonymes de longévité et de sécurité. Grâce aux normes ISO 9001 et ISO 14001, tous les produits Doka répondent aux exigences les plus élevées en matière de qualité et de protection environnementale. En outre, chaque nouvelle génération de produit est compatible avec la précédente. 
Il y a 4 ans et 141 jours

Les lauréats du 14ème Prix DuPont Safety & Sustainability sont désormais connus

Le 25 février 2021 se déroulera une table ronde en ligne sur la thématique : Comment l’excellence opérationnelle, la sécurité et le développement durable contribuent-ils à la résilience ? Genève, le 20 Janvier 2021 – DuPont Sustainable Solutions (DSS) dévoile les lauréats du 14ème prix DuPont Safety & Sustainability, récompensés pour les évolutions innovantes mises en place dans leurs organisations. Les lauréats des trois prix internationaux sont : Engro Fertilizers Limited, Pakistan – Prix International de l’Innovation en matière de Sécurité Municipalité de Dubaï, UAE – Prix International du Développement Durable SMRT Trains Ltd, Singapore – Prix International de l’Excellence Opérationnelle Les lauréats se retrouveront autour d’une table ronde en ligne pour discuter de la capacité à soutenir les améliorations opérationnelles et consolider les performances, même pendant des périodes difficiles. Animée par Davide Vassallo, Président de DSS, la table ronde sera diffusée le jeudi 25 Février 2021 et sera suivie d’une cession de questions/réponses. Parmi les participants : Mme Akanksha Sharma, Responsable Monde – Impact Social & Développement Durable, Sterlite Technologies Ltd. Alvin Kek Yoke Boon, Vice-Président Senior – Opérations Ferroviaires, SMRT Trains D’autres participants seront annoncés ultérieurement. « Je voudrais inviter chacun à trouver l’inspiration dans les changements entrepris par les entreprises lauréates, au-delà de leurs initiatives et de leurs programmes spécifiques » déclare Mieke Jacobs, président du Jury. « Les facteurs du succès sont transposables au-delà des régions, des secteurs, de la taille et de la maturité des entreprises. Ils commencent par impliquer toutes les parties prenantes de la société, à tous les niveaux, dans l’urgence du changement. Cela nécessite de la résilience et de la persévérance durant les périodes difficiles. Cela exige du courage et de la créativité pour développer des solutions innovantes et de nouvelles technologies en gardant une longueur d’avance. Lors de nos tables rondes, nous interrogerons les lauréats sur les enseignements tirés de leurs expériences. » Les projets des lauréats  Engro Fertilizers a entrepris une réorganisation complète de ses systèmes de sécurité, a investi dans le numérique et a redoublé d’efforts pour développer de nouvelles compétences. En phase avec cette philosophie, qui est d’avoir une politique RSE internationale, la stratégie mondiale « Safety Beyond Excellence » a conduit à une réduction de 87% du taux total d’accidents enregistrés, mais également à une forte réduction des perturbations opérationnelles et des incidents liés à un incendie/dégagement de fumée ainsi qu’une amélioration significative de la gestion des risques. Cela se traduit par un plus fort engagement des employés. Finalement, toutes ces actions ont contribué à augmenter les bénéfices de l’entreprise. La ville de Dubaï a été récompensée pour le développement d’un programme durable de recyclage des eaux usées, ce qui lui a permis de doubler sa capacité quotidienne de traitement tout en utilisant environ 25% de puissance en moins pour fonctionner. La commune a réalisé des progrès significatifs en appliquant un des principes de l’économie circulaire. Les équipes de SMRT, un opérateur actif de la mobilité à Singapour, ont fait preuve d’initiatives innovantes en mettant en place un chariot laser pour contrôler de façon plus sûre et plus efficace l’usure des rails et des voies, un système automatisé de gestion des accès aux voies et un système d’exploitation et de maintenance mobile. A elles seules, ces améliorations, qui s’inscrivent dans la philosophie d’amélioration continue Kaizen, ont permis une réduction substantielle des heures de travail équivalant à une économie annuelle de 10,3 millions de dollars singapouriens, tout en améliorant la sécurité, le bien-être, l’efficacité et la qualité. Pour plus d’infos sur les lauréats internationaux et régionaux, rendez-vous sur https://www.consultdss.com/dssa-awards/ La table-ronde en ligne suivie de la cession questions/réponses se déroulera le 25 Février 2021 à 11h00 (fuseau horaire Europe Centrale : http://bit.ly/dssa-14). Les prix DuPont Safety & Sustainability Depuis leur lancement en 2002, les prix DuPont Safety & Sustainability ont mis à l’honneur des organisations qui innovent, se mobilisent et s’engagent sur la sécurité, le développement durable et l’excellence opérationnelle. Ils valorisent les initiatives qui sauvent des vies, protègent l’environnement et engagent une culture d’apprentissage et d’amélioration continue. Liste complète des Lauréats de la 14ème édition du Prix DuPont Safety & Sustainability Prix ​​de l’Excellence Opérationnelle Gagnant mondial : SMRT Trains Ltd, Singapour Prix ​​de l’Innovation en matière de sécurité Gagnant mondial : Engro Fertilizers Limited, Pakistan Gagnant régional EMEA : Saudi Aramco – Power Systems, Arabie Saoudite Vainqueur régional Amériques : Usina Coruripe, Brésil Mention honorable : Neste Corporation, Finlande Prix ​​du Développement Durable Gagnant mondial : Municipalité de Dubaï, EAU Gagnant régional Asie-Pacifique : Sterlite Technologies Ltd., Inde, Italie, Chine et Brésil Gagnant régional Amériques : Grupo Boticário, Brésil Mention honorable : Groupe KCB, Afrique de l’Est Pour plus d’informations sur les réalisations des lauréats 2020, merci de nous contacter. https://www.consultdss.fr/about-us/
Il y a 4 ans et 149 jours

Équipbaie-Métalexpo, une édition 2021 sous les meilleurs auspices

Ces entreprises, dont de nombreux leaders de la filière, expriment ainsi toute leur confiance et leur mobilisation pour faire de ce rendez-vous un moment unique et marquant.Des exposants qui répondent présentsLe salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO se tiendra du 21 au 24 septembre à Paris Porte de Versailles. Premier salon de la reprise pour le secteur, il est plus que jamais un rendez-vous incontournable pour les acteurs de la filière qui répondent d'ores et déjà présents. Cette mobilisation traduit à la fois leurs attentes de se retrouver pour un événement convivial et leur souhait de montrer leur dynamisme et leur optimisme après une année 2020 difficile. Cette édition, inscrite sous la thématique de « La révolution positive du digitale » s'annonce donc comme la traduction concrète de l'innovation portée par les exposants à tous les niveaux.Ils participent à l'édition 2021 d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPODe nombreux leaders sont inscrits et de nouveaux exposants font leur entrée pour cette édition 2021 :Menuiserie (48 exposants) : ATLANTEM, ATULAM, CAIB, CONCEPT ALU, DECEUNINCK, DRUTEX SA, ELCIA, FENETREA, France FERMETURE, GROUPE STELLA, K•LINE, LOREBAT, LOUINEAU, MEO, MILLET, OXXO, PASQUET MENUISERIES, PIERRET PORTES ET FENETRES, PROFILS SYSTEMES, QFORT, REHAU, ROMA, SFS, SOKO Vérandas & Pergolas, SWAO, TIR TECHNOLOGIES, VEKA, VERANDA …Nouveaux exposants : EXTOL, GROUPE OUVEO, LECHLER TECH.Fermetures (24 exposants) : ARMBLOCK, FAME, GROUPE MAINE, HORIZAL, ZILTEN …Nouveaux exposants : BEL'M, DOSTEBA GMBH, GENEFY ALUMINIUM CO LTD, WINLOCK.Smart Home, Smart Building et Digital (14 exposants) : DOOYA CO LTD, NICE, SOMFY…Nouveaux exposants : A-OK FRANCE, IDD-PARTSProtection solaire (14 exposants) : BRUSTOR, MARQUISES, SCREENLINE/DIVISION OF PELLINI SPA, VERANDA RIDEAU…Nouveaux exposants : BIOSSUN, LA VIUDA, WAREMA REINKHOFF SE.Services, équipements & organismes (5 exposants) : HERCULEPRO, OPTIMA SYSTEM…Nouveaux exposants : GROUPE POUEY INTERNATIONALMachines & outillage (12 exposants) : ELUMATEC, LOM, BEWAP, MECAL MACHINERY…Nouveaux exposants : MZR, ROTOX France.METALEXPO (4 exposants) : ETANCO, MEDIA SOFT-METALCAD, S.A.S BUGAL, WÜRTH FRANCE.En attendant le salon…Depuis le 17 novembre, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL est en ligne. Cette plateforme d'information et d'échanges est destinée à tous les professionnels de la menuiserie-fermeture, des équipements de la baie et de la métallerie.Enrichie chaque mois grâce à la contribution des exposants, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL a pour ambition de partager les savoir-faire et de contribuer à l'appropriation et à la diffusion des innovations.Depuis son lancement, ce sont déjà 15 industriels qui se sont investis : AOK France, ATULAM, BEL'M, BOSCH France, CAIB, ELCIA, FRANCE FERMETURES, HERCULEPRO, K•LINE, GROUPE LORILLARD, MEO France, MILLET PORTES ET FENÊTRES, NICE France,SOMFY, ZILTEN. Les tables rondes ont de leur côté mobilisé les 5 partenaires d'ÉQUIPBAIEMÉTALEXPO (Groupement ACTIBAIE, SNFA, UFME, UM, UMB et Union de la Métallerie) ainsi que Serrurerie PASME2, CADIOU, Menuiserie FRAME, Bâtiment CFA 35 et METAFER. Côté visiteurs, plus de 450 inscrits se sont connectés aux différents outils mis à leur disposition.ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO - 21 au 24 septembre 2021 à Paris Expo Porte de Versailles – Hall 1
Il y a 4 ans et 149 jours

Bilan du colloque Build and Connect 2020

Véritable lieu d'échanges sur les tendances les plus prometteuses et de rencontres autour des meilleures technologies et pratiques destinées à l'ensemble des acteurs de la construction durable, le colloque international Build & Connect est co-organisé par le pôle de compétitivité Fibre Energivie et l'Université de Strasbourg depuis plusieurs années pour que chacun s'enrichisse de l'expérience des pionniers d'une grande région au cœur de l'Europe entre France, Allemagne, Benelux et Suisse, les co-organisateurs étant basés à Strasbourg.Tables rondes et retours d'expériences ont permis de faire émerger des problématiques liées à la construction durable et de réfléchir ensemble à des solutions communes.Financer la ville demain« Le renouvellement urbain et le zéro artificialisation net des sols devient un sujet majeur du secteur immobilier. Build & Connect a permis cette année de rassembler des personnalités reconnues et des expertises uniques au niveau européen sur les sujets de l'investissement immobilier responsable et innovant. La table ronde réunissait Novaxia, la Socfim (Groupe BPCE), Bitbond, et Green Soluce. Chacun de ces acteurs ouvre la voie dans son domaine : investissement immobilier, bancaire, crowdfunding, et accompagnement ESG de fonds de dette. Leur point commun ? ». Vincent Aurez, animateur de la table-ronde « Financer la ville du futur, les nouveaux modèles économiques »Lors de la première table ronde « Financer la ville du futur, les nouveaux modèles économiques » l'objectif était de mettre autour de la table banquier, acteur du crowdfunding et de la blockchain, et acteur de la finance durable pour imaginer les modèles de financements au service d'une ville plus durable et d'un renouvellement urbain bénéfique au plus grand nombre. Un enjeu clé au vu des impacts du secteur immobilier, qui représente en France un quart des émissions de gaz à effet de serre. Un certain nombre de questions ont ainsi été soulevées et débattues par les différents interlocuteurs telles que :Comment drainer les investissements vers des fonds responsables pour faire évoluer la ville vers la transition écologique et accompagner les nouveaux usages ?Quels modèles économiques et de financement cela suppose-t-il ?Des acteurs du financement de l'immobilier et de la ville de demain, ont livré leurs convictions de marché à travers des messages clés.Pour Socfim, le secteur de la construction est victime d'injonctions contradictoires qui s'imposent aux opérateurs immobiliers et les poussent à innover :Le souhait sociétal de créer des smart city VS une grande réticence au changement.Le besoin d'étendre le parc immobilier sans artificialiser des sols VS une densification mal perçues et les risques sanitaires qu'elle comporte.L'aspiration des Français pour plus de durabilité, des normes pour limiter les émissions de gaz à effet de serre mais un pouvoir d'achat limité des ménages qui ne leur permettent pas d'accéder à des produits immobiliers vertueux sur le plan de l'environnement.À ces problématiques, la société propose le renouvellement urbain et le recyclage des actifs existants.Green Soluce, acteur du conseil et de l'accompagnement dédié à l'accélération vers un modèle plus durable, inclusif et résilient, s'appuie sur les critères ESG :Les fonds de dette immobilière commencent à changer les règles du jeu du financement immobilier en prenant en compte les critères ESG (Les critères ESG sont fondamentaux pour évaluer la stratégie durable des entreprises).Les évaluations ESG reposent sur deux composantes clés : l'évaluation de l'emprunteur (à travers des dispositif interne et des questionnaires, et des covenants « verts » pour allier la performance environnementale à la performance financière) et l'évaluation au niveau des actifs (avec l'arrivée de la taxonomie européenne et les label, certifications).Les principaux prêteurs appliquent des techniques de souscription ESG distinctes, adaptées aux emprunteurs et aux garanties immobilières. Le suivi des indicateurs clés de performance ESG offre la possibilité d'améliorer considérablement les techniques de gestion des risques.Construire les bâtiments de demain« Nous devons intensifier les usages de chaque bâtiment, rassurer la filière construction et valoriser le fait qu'un bâtiment soit une véritable banque de matériaux réversible.» Morgan COLOMBERT, animatrice de la table ronde « construire le bâtiment de demain »Les intervenants de cette table de ronde ont travaillé sur différents axes :Le bas carboneLa sobriétéL'efficacitéLe stockage carboneCar le bâtiment de demain devra indéniablement prendre en compte les nouvelles technologies et pratiques permettant de réduire son emprunte carbone. Les matériaux bois et biosourcés permette d'avoir des solutions pour faire mieux qu'hier, mais nous avons encore des freins à lever en termes organisationnels, culturels, juridiques et de formation. Le principal point de vigilance est effectivement la formation des acteurs de la construction à la gestion des matériaux renouvelables afin que les capacités techniques existantes et à venir soient opérationnelles.Un nouveau modèle économique est à développer afin qu'il soit entièrement adapté à la construction durable. Dans ce cadre, il est nécessaire de rappeler le rôle à jouer par les collectivités en tant que donneurs d'ordre sur la construction et les projets des territoires.Revoir les sessions du colloque Build and Connect 2020 : Heures Salles Liens 8h45 B&C - Salle 1 - Plénière matin 08h45https://vimeo.com/483104212/5b2ccfd059 8h45 B&C - Traduction - Plénière 08h45https://vimeo.com/483117500 10h30 B&C - salle 2https://vimeo.com/483219986/cc7da45a07 10h30 B&C - Salle 3 - Le smart building et le smart gridhttps://vimeo.com/483096207/db00d269eb 10h30 B&C - Salle 4 - Financer la ville de demainhttps://vimeo.com/483097290/2a1aaa793b 10h30 B&C - Traduction https://vimeo.com/483119018 12h10 B&C - Salle 1 - Plénière https://vimeo.com/483105732/64b3dfefa9 12h10 B&C Traduction https://vimeo.com/483120742 12h50 B&C - Salle 1 - Plénière https://vimeo.com/483113215/6a8ff9f22d 13h30 Salle 2 Réemploihttps://vimeo.com/485403317 13h30 Salle 3 - Le numérique transforme les chantiers https://vimeo.com/485401373 13h30 Construire les bâtiments de demain : des nouvelles technologies et des pratiques à accélérerhttps://vimeo.com/485456511 13h30 B&C Traduction https://vimeo.com/483122124/c821db0f08 15h30 Salle 2 Construire autrement https://vimeo.com/485404501 15h30 Salle 3 - 15h 30 - Gestion patrimoniale, exploitation et IAhttps://vimeo.com/485402378 15h30 B&C Traduction - Gestion Patrimonialehttps://vimeo.com/483125107/b0fd639b00 15h30 Resilience du bati : comment construire et reconstruire en tenant compte de l'augmentation des risques naturels ?https://vimeo.com/483561710/65c4da7523 15h30 B&C Traduction - Résilience du batihttps://vimeo.com/483127774/d5f975bb16 17h20 B&C - Salle 1 - Plénière https://vimeo.com/483114427/cc798fab96
Il y a 4 ans et 176 jours

Poces : Environnement souterrain, et si on parlait béton ?

Une soixantaine de participants scientifiques, maîtres d’ouvrage et d’œuvre, entrepreneurs, fournisseurs et institutionnels ont assisté aux conférences. [©Poces] Inauguré en 2017, le Pôle de compétences en environnement souterrain (Poces) est hébergé à Ecurey (55), au Pôle d’Avenir. Il s’est rapidement imposé comme une référence technique et pédagogique auprès de nombreux acteurs du secteur des travaux souterrains. Depuis plus de deux ans, il propose des évènements et des formations professionnelles spécialisées. Le tout avec des mises en pratiques dans les galeries du laboratoire de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra), à Bure (54). Ainsi, douze modules de formation ont été déployés. Ils abordent différents thèmes comme la maîtrise des risques en souterrain, la sécurité incendie. Mais aussi, les risques projets, l’environnement de travail souterrain, la gestion de travaux… Une deuxième édition Intitulées “Durabilité des bétons en milieu souterrain”, les Journées techniques du Pôle de compétences en environnement souterrain (Poces) ont eu lieu cet automne. [©Poces] C’est toujours dans cette même démarche que le Poces a organisé la 2eédition de ses Journées techniques, intitulées “Durabilité des bétons en milieu souterrain”. Organisé à Ecurey (55), cet évènement a constitué un rendez-vous regroupant scientifiques, industriels et institutionnels du secteur. Ces derniers ont partagé leurs expériences, leurs pratiques et leurs progrès. Pour cette 2eédition, le béton et ses innovations étaient au cœur des discussions. Considéré comme un matériau incontournable dans la réalisation d’ouvrages, tels que les galeries et les tunnels. Autour de la durabilité des bétons Ainsi, une soixantaine de participants scientifiques, maîtres d’ouvrage et d’œuvre, entrepreneurs, fournisseurs et institutionnels ont assisté aux conférences. Et participé aux tables rondes. Ces deux journées ont été l’occasion de partager des expériences et de discuter des meilleures pratiques. Ainsi que de s’informer sur les innovations dans le domaine des bétons pour la construction des tunnels de demain. Ces rencontres ont permis de valoriser toute la filière des milieux souterrains. Et de diffuser de la façon la plus large possible les connaissances acquises par des professionnels et des chercheurs. Quatre conférences François Martin, chef de projets travaux souterrains chez BG Ingénieurs Conseils, a abordé la thématique de l’emploi des bétons dans les travaux de réalisation de tunnels et de galeries. [©Poces] Quatre grandes conférences ont ponctué ces Journées techniques. Déjà, l’exposé de François Martin, chef de projets travaux souterrains chez BG Ingénieurs Conseils. Thématique abordée : l’emploi des bétons dans les travaux de réalisation de tunnels et de galeries. François Martin a ainsi démontré que ce matériau était incontournable dans ces ouvrages. Mais aussi, qu’apparemment simple et facile à confectionner, ainsi qu’à mettre en œuvre, le béton était en réalité « prodigieusement compliqué » dans cet environnement. Laurie Lacarrière, enseignante-chercheuse à l’Insa-LMCD Toulouse, a communiqué sur le thème de la durabilité des bétons et de ses constituants. [©Poces] Puis, c’est l’intervention de Laurie Lacarrière, enseignante-chercheuse à l’Insa-LMCD Toulouse, qui a suivi. Avec comme thème : la durabilité des bétons et de ses constituants. L’enseignante-chercheuse a fait la synthèse sur l’état des connaissances. Temps fort : la “prise en compte des couplages thermo-hydro-chemo-mécaniques pour la prédiction de la durabilité des ouvrages enterrés”. Laurie Lacarrière a appréhendé la durée de vie et de service des constructions selon des conditions environnementales. Cette approche académique a été complétée par l’intervention de Frédéric Duprat, enseignant-chercheur à l’Insa-LMCD Toulouse. Celui-ci a transporté les auditeurs dans le monde de la gestion des ouvrages.  Des tables rondes, marque de fabrique du PoCes Une troisième conférence menée par Sylvie Geromey (Cetu/Asquapro) et Abdel Mestari (ABCCR/Asquapro) a porté sur les bétons projetés. [©Poces] Une troisième conférence menée par Sylvie Geromey (Cetu/Asquapro) et Abdel Mestari (ABCCR/Asquapro) a porté sur les bétons projetés. Les différentes méthodes de projection avec leurs spécificités ont été ici détaillées. Précisant les avantages et les difficultés de chacune. La présence sur le site d’un simulateur virtuel de projection de béton et des démonstrations encadrées par Yves Girard (Master Builders Solutions) ont permis aux participants de s’initier à cette technique innovante. Interventions des scientifiques de l’Andra avec Odile Azanam. [©Poces] Enfin, il y a eu les interventions des scientifiques de l’Andra avec Odile Azanam, Gilles Armand et Jad Zghondi. Qui ont permis de rendre compte des problématiques liées à l’utilisation et à la durabilité du béton dans la future installation souterraine Cigéo. Cette dernière est implantée dans l’Est de la France, à Bure, à la limite des départements de la Haute-Marne et de la Meuse. Marque de fabrique du Poces, le format des tables rondes a aussi permis de partager des expériences autour de la durabilité des bétons.  
Il y a 4 ans et 189 jours

L’Unicem très inquiète pour l’activité 2021

La production de granulats devrait être de 326 Mt en 2020. [©ACPresse] Les chiffres des activités BPE et granulats ne sont pas bons. Ce n’est une surprise pour personne. C’est ce que vient de confirmer l’Unicem (Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction). « L’année 2020 a été très difficile, plombée par la crise sanitaire », indique Nicolas Vuillier, président de l’Unicem. Sur les dix premiers mois de l’année, l’activité globale a été en recul de – 8,5 %, malgré le rebond spectaculaire à + 7,3 % durant le 3e trimestre. « Le seul sans confinement… » Et meilleur que la même période en 2019 ! Mais loin d’être suffisant pour rattraper le retard.  Côté BPE, la baisse moyenne, à fin septembre, était de – 13,2 %. En local, ce recul d’activité a été très disparate d’une grande région à l’autre. C’est l’Ile-de-France qui a connu la chute la plus spectaculaire, affichant un – 20 %. De l’autre côté du spectre, les Pays de la Loire sauvent les meubles, en se situant à seulement – 6% ! Et en faisant un focus sur les anciennes régions de France, le Limousin s’est même placé dans le positif, avec un fier + 2 %, à marquer d’une pierre blanche. Il était le seul dans cette situation enviable.  La consommation de granulats et de BPE a été très disparate sur le territoire national. [©Unicem] Un point bas historique pour les granulats Côté granulats, le recul est moins fort que pour le BPE : – 9,5 % sur les neuf premiers mois de l’année. En local, c’est la Provence – Alpes – Côte d’Azur qui décroche la timbale à – 17 %, talonnée par le Rhône-Alpes – Auvergne et les Hauts-de-France, paritaires à – 15 %. En se focalisant sur les anciennes régions, seule la Franche-Comté tire son épingle du jeu, affichant, là aussi, + 2 %.  Cette divergence d’activité entre le BPE et le granulat est directement liée aux utilisations respectives de ces deux ressources. En effet, les granulats trouvent 82 % de ses débouchés dans les ouvrages de génie civil et de VRD. Et tout juste 18 % dans le bâtiment. Pour sa part, le BPE est destiné dans 68 % des cas à la construction de bâtiments. La voirie ne représente que 15 % des utilisations et le génie civil, 10 %… A la vue de l’ensemble des données disponibles, le BPE devrait donc finir l’année à – 10 %, soit une production de 36,3 Mm3, contre 39,8 Mm3 à fin 2019. De leur côté, les granulats limitent la casse à – 8 %, soit un niveau proche de 326 Mt, à comparer aux 343,9 Mt de 2019… Le chiffre des granulats doit encore être nuancé, car l’extraction pure (sans les granulats issus du recyclage) devrait atteindre son point bas historique, passant en dessous de la barre des 300 Mt, pour finir à 294 Mt. Bis repetita à 36 Mm3 pour le BPE en 2021 Le BPE devrait finir l’année 2020 avec une production de 36,3 Mm3. [©ACPresse] Et l’année 2021 dans tout cela ? L’Unicem ne voit pas de réelles améliorations dans les douze mois à venir. Au mieux, un encéphalogramme plat au niveau du BPE, soit un bis repetita à 36 Mm3. Et les + 3 à + 4 % des granulats, soit 338 Mt, ne devraient pas rendre heureux grand monde. Un avis partagé par l’ensemble de la profession. Interrogés par l’Unicem, les intéressés perçoivent une baisse d’activité pour 68 % d’entre eux. Contre 5 % d’optimistes, qui voient plutôt une hausse. Ceci, pour les six prochains mois. Un point positif tout de même dans ce tableau : les perspectives d’embauche devraient rester stables, pour 68 % des professionnels. La crise sanitaire n’explique pas tout, puisque d’autres freins viennent obscurcir le tableau. « La crise sanitaire s’est transformée en crise économique et sociale », reprend Nicolas Vuillier. Si l’activité des chantiers reste pour le moment bien orientée (il faut bien finir ce qui a été commencé), les demandes de permis de construire fondent comme neige au soleil. Elles sont en recul de – 9 % sur les trois derniers mois. L’inquiétude des ménages et le durcissement de l’accès au crédit ne devraient pas changer la donne. Au 3etrimestre 2020, les réservations de logements neufs ont reculé de 16 % !  [©Unicem] « Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille » Les travaux publics ne sont pas mieux orientés, ayant perdu 14 % de leur activité sur neuf mois. Une situation en partie liée au cycle électoral, avec l’arrivée tardive des nouvelles équipes municipales. Equipes qui se sont empressées de remettre en cause nombre de projets déjà votés. Résultat : une chute de 22 % de la commande publique. « Tout le monde attend des plans de relance Covid, avec des mises en œuvre rapides et ciblées par les collectivités locales », insiste Nicolas Vuillier.  Et pour rajouter un peu de cacophonie, qui de mieux que Jacques Chirac, l’ancien président de la République, pour annoncer la couleur : « Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille ». En effet, alors que la situation est difficile, le gouvernement actuel a choisi de changer les règles du jeu dans la future RE 2020. A la trappe l’Observatoire E+C–, qui a permis d’analyser en détail plus de 1 000 chantiers. Un travail qui semble n’avoir servi à rien.  Un véritable manque de concertation A présent, c’est l’Analyse de cycle (ACV) dynamique simplifié qui va présider les choix constructifs pour les années qui viennent. « Une méthode qui s’affranchit de la rigueur scientifique de l’ACV classique », regrette Jean-Marc Golberg, président du Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE). Et de poursuivre : « Elle fait disparaître 100 kg de CO2/m2 de bâtiment sur son cycle de vie, sans aucune modification des méthodes constructives. Cela ressemble beaucoup à du “Green Washing” ».  C’est la porte ouverte à une importante distorsion de la concurrence entre matériaux à un moment où le secteur traverse une passe plus que difficile. « Nous partageons pleinement les objectifs de réduction de l’empreinte carbone de la construction, mais sûrement pas le chemin pour y arriver, conclut Jean-Marc Golberg. Aujourd’hui, la filière étudie toutes les solutions, y compris juridiques, pour sortir de cette impasse liée à une absence de concertation. L’introduction de l’ACV dynamique simplifié est un biais idéologique, sans rationalité. » Frédéric Gluzicki 
Il y a 4 ans et 204 jours

Fabrication du premier ordinateur quantique finlandais – VTT s’associe à la start-up du secteur quantique IQM

/ins  VTT et IQM ont conclu un partenariat d’innovation pour la construction du premier ordinateur quantique finlandais. L’union des expertises de ces deux entreprises de pointe des technologies quantiques constitue un véritable bond des capacités quantiques de la Finlande. Le gouvernement a d’ailleurs alloué 20,7 millions d’euros au projet. L’ordinateur sera construit en Finlande, à Espoo, dans le centre de recherche commun de VTT et de l’université Aalto, Micronova, qui possède la salle blanche nécessaire à la fabrication des composants quantiques. Les travaux commenceront dès 2020. « La Finlande a le potentiel d’être le leader européen des technologies quantiques. Je suis impatient de voir les opportunités que l’informatique quantique créera pour les entreprises finlandaises et européennes ainsi que pour la compétitivité de toute la région. » a déclaré le Ministre finlandais de l’économie, Mika Lintilä. Le projet comprend trois phases Le partenaire d’innovation, IQM, a été sélectionné suite à un appel d’offres international. IQM est le leader européen de la construction d’ordinateurs quantiques.  La société IQM a d’ores et déjà annoncé ce mois-ci le succès d’une nouvelle levée de fonds amenant sa capacité de financement totale à 71 millions d’euros. « Nous sommes fiers de participer à cette coopération et impatients de collaborer avec les experts de VTT. Ce projet est extrêmement prestigieux pour nous. Nous allons pouvoir travailler ensemble aux meilleures façons de bâtir l’avenir des technologies quantiques. » a indiqué Jan Goetz, PDG d’IQM. Le projet se déroulera en trois phases. La première doit  aboutir,   d’ici un an environ, à un ordinateur quantique fonctionnel de cinq qubits qui démontrera l’expertise de la Finlande en matière de construction d’ordinateurs quantiques. L’objectif ultime du projet étant de fabriquer un ordinateur de 50 qubits d’ici 2024. Les technologies quantiques  ouvrent de nouvelles opportunités pour la Finlande Parallèlement à l’ordinateur quantique, VTT poursuivra ses travaux dans d’autres domaines d’application – tels que les capteurs quantiques, qui prennent de l’importance en imagerie et en diagnostics médicaux, et les algorithmes de cryptage quantique, qui peuvent servir à protéger les réseaux informatiques.  Ces applications, parmi tant d’autres, sont aussi des occasions pour les entreprises finlandaises et européennes  d’exploiter tout le potentiel des technologies quantiques. Selon le PDG de VTT, Antti Vasara, « En investissant dans des technologies innovantes comme l’informatique quantique, nous investissons dans notre capacité future à régler des problèmes mondiaux et à générer une croissance durable ». Ce matin, le Ministre Lintilä a révélé le partenaire d’innovation choisi lors d’un petit déjeuner virtuel organisé par le Ministère des Affaires économiques et de l’emploi et par VTT. Outre des représentants du Ministère, de VTT et d’IQM, l’événement accueillait également l’ambassadeur d’Allemagne en Finlande, Konrad Helmut Arz von Straussenburg, le président du comité d’orientation du programme « Intelligence artificielle 4.0 », Jussi Herlin, et le directeur exécutif et directeur national de Pfizer Oy, Deb Mangone, qui ont participé à une table ronde sur l’importance des technologies quantiques pour l’industrie européenne. Enfin,  des attachés de presse ainsi que des représentants du corps universitaire  et entrepreneuriales avaient aussi été conviés à se joindre virtuellement à l’événement. Informations complémentaires Antti Vasara, PDG, VTT, tél. : +358 20 7224000 Himadri Majumdar, directeur, Programmes quantiques, VTT, tél. : +358 40 658 9596 Jenny Hasu, conseillère spéciale du Ministre des Affaires économiques, TEM, tél. : +358 29 504 7213 Petri Räsänen, directeur développement, TEM, tél. : +358 29 504 7287 Jan Goetz, PDG et cofondateur, IQM, tél. : +358 (0)50 566 6483  Raghunath Koduvayur, responsable marketing et communications, IQM, tél. : +358 (0)50 487 6509
Il y a 4 ans et 219 jours

Nouvelles dates pour Équipbaie-Métalexpo en 2021 et le Mondial du Bâtiment en 2022

BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMACe retour à Paris et ce nouveau calendrier biennal, en année paire, s'accompagnent d'une profonde transformation de l'évènement, avec un concept d'exposition totalement repensé et une offre digitale enrichie.Le vœu des professionnels exaucéGrâce à un travail en collaboration avec Viparis, propriétaire de Paris Expo Porte de Versailles, les organisateurs du Mondial du Bâtiment ont pu saisir l'opportunité de revenir sur le site historique des salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA. Ce retour permet de répondre aux souhaits des professionnels du Bâtiment, de la Construction et de l'Architecture d'un évènement plus convivial et à proximité du centre de Paris et de son offre de tourisme d'affaires.Parmi les conditions pour ce retour à Paris Expo Porte de Versailles, figurait une modification de la date de l'évènement. L'édition 2021 est ainsi reportée à l'automne 2022, ce qui devrait également minimiser les risques de décalages successifs en cas de prolongation de la pandémie actuelle, et faciliter la présence des exposants et visiteurs internationaux. Les trois salons se tiendront dorénavant tous les deux ans au mois d'octobre en année paire, en alternance avec ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, les années impaires.Un évènement plus efficace et plus sobreEn 2022, les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA occuperont les espaces du Hall 1 au Hall 6, représentant une surface d'exposition de plus de 136 000 m². Cette surface étant inférieure à celle disponible au Parc de Paris Nord Villepinte, ce retour s'accompagnera par conséquent d'un chantier d'aménagement de l'offre et de la logistique de l'évènement.Ainsi, les exposants se verront proposer une nouvelle offre d'exposition, organisée autour de modules standards et de tailles de stand limitées. De plus, un projet logistique d'envergure aura pour objectif de réduire les temps de montage/démontage et de fluidifier les flux autour de la Porte de Versailles.Cette refonte de l'offre et de la logistique évènementielle apportera de multiples avantages aux exposants : choix de l'emplacement dès l'inscription, augmentation significative du retour sur investissement (ROI) par une réduction des coûts d'exposition et du passage à 4 jours pour tous les salons.L'autre enjeu est celui de l'évènement lui-même qui va devenir plus sobre et s'inscrire dans une démarche RSE, dans le cadre de la feuille de route que s'est donné Reed Expositions France. Le Mondial du Bâtiment sera le premier grand salon du secteur à mettre en œuvre une politique et des actions d'envergure pour la réduction de ses impacts : réduction et revalorisation des déchets, politique d'achats responsables, écoconception, restauration responsable….Une offre digitale de rupture « 365 jours/365 jours »Pour développer la visibilité des exposants entre deux éditions du Mondial du Bâtiment et leur permettre de préparer une rencontre conviviale et qualitative pendant les 4 jours de salon physique, les organisateurs de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA ont également conçu une offre nouvelle d'outils digitaux. Elle a pour ambition d'augmenter le nombre de contacts et la notoriété des marques des exposants sur une période élargie : la mise en relation et la visibilité, cœur de métier des salons, sont maintenant étendues entre deux éditions grâce au digital.Disponible dès la signature de participation au salon physique, cette offre en rupture avec les pratiques du métier s'articule autour d'un mix de solutions digitales : des contenus multiformes disponibles sur les blogs - livres blancs, articles, nouveautés produits… - des tables rondes en live et en replay, des émissions et podcasts sur Batiradio, des moments interactifs avec des webinars et des conversations en ligne.Bien plus qu'un simple come-back à la Porte de Versailles, c'est la fédération du plus grand nombre d'acteurs du bâtiment que nous promettent la réinvention de l'évènement et son dispositif digital. Rendez-vous début 2021 pour la feuille de route détaillée !Pour Guillaume Loizeaud, Directeur de BATIMAT : « Quel plaisir et quelle belle perspective de pouvoir écrire avec la filière cette nouvelle histoire ! Le retour de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA à Paris en 2022 s'annonce comme un grand moment de convivialité pour tous les professionnels. Complètement repensé sur le format d'exposition, en phase avec les grands enjeux, augmenté dans le temps grâce au digital, le Mondial du Bâtiment réunira le meilleur du salon et du virtuel. »Pour Yves Danielou, Président de l'Afisb : « L'Afisb, ses adhérents et tous les acteurs de la salle de bains ne peuvent que s'enthousiasmer à l'idée du futur Mondial du Bâtiment. Les conditions sont réunies pour en faire un vrai succès. Nous ressentons tous le besoin de moments de convivialité dans notre travail et nos relations professionnelles et Paris expo Porte de Versailles, en grande partie rénovée, les offre dorénavant aux visiteurs comme aux exposants. Ré enchanter ce grand rendez-vous du bâtiment suppose un véritable travail de renouvellement que le nouveau calendrier va permettre de mener. A la demande de nombreux exposants, nous allons ainsi améliorer l'offre commerciale, pour atteindre un meilleur coût/contact. »Pour François Frisquet, Président d'Uniclima : « Notre Profession se réjouit de cette nouvelle dimension que prendra la prochaine édition d'INTERCLIMA en 2022 avec un retour au cœur de Paris, en collaboration avec nos partenaires du Mondial : BATIMAT et IDÉOBAIN. Nous donnons donc rendezvous à tous les acteurs du confort et de l'efficacité énergétique pour découvrir le dynamisme croissant de notre filière. »ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPOFruit du dialogue constant avec les 6 syndicats partenaires (Groupement ACTIBAIE, FFPV, SNFA, UFME, UMB et Union des Métalliers), cette date a été choisie collectivement afin de répondre plus que jamais à l'objectif d'être le rendez-vous incontournable des professionnels de la menuiserie et de la métallerie. Elle en fera également le 1er salon de la reprise pour le secteur de la menuiserie.De nouvelles dates et une ambition renforcéePrévu en novembre 2020, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO a été reporté en raison de la pandémie de la COVID-19 et de ses conséquences sur l'activité économique à la fois des fabricants, des installateurs menuisiers et des métalliers. Il sera désormais programmé en octobre tous les deux ans, les années impaires, en alternance avec le Mondial du Bâtiment, déplacé en octobre les années paires.Initialement placée sous la thématique de « La révolution positive du digital », la prochaine édition d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO (du 21 au 24 septembre 2021) sera d'autant plus tournée vers l'avenir qu'elle incarnera la digitalisation du secteur en proposant aux visiteurs une expérience unique et inédite sur le salon et une offre digitale renforcée.Une plateforme digitale en amont du salonLes organisateurs du salon créent ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL, une plateforme d'information et d'échanges lancée dès novembre 2020. Accessible en continu, rythmée par des rendez-vous mensuels, elle a pour objectif de fidéliser et d'amener la communauté des menuisiers et métalliers à se retrouver sur le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO en septembre 2021. Elle propose aux professionnels, en avant-première et en digital, de découvrir des vidéos de démonstration produits, des vidéos d'experts, des nouveaux produits et services, et des webinars proposés par les exposants du salon, dont une trentaine sont d'ores et déjà engagés sur ce nouvel outil. Autre initiative digitale, les exposants du salon sont également présents dans le tout nouvel annuaire des fournisseurs du Blog, qui vient compléter le site internet du salon.Guillaume Loizeaud commente ce choix : « Nous remercions les exposants d'ÉQUIPBAIEMÉTALEXPO qui nous ont montré leur confiance en nous suivant pendant cette période de réflexion. La rentrée de septembre 2021 devrait voir la filière rassérénée par les effets positifs du plan de relance et prête à se retrouver sur son salon. »Pour Bruno Léger, président du SNFA : « Nous sommes très reconnaissants envers Reed d'avoir négocié pied à pied pour obtenir ce magnifique résultat : le retour de BATIMAT à la porte de Versailles, les années paires, qui permet à ÉQUIPBAIE de se tenir dès l'année prochaine. ÉQUIPBAIE 2021 sera la première occasion pour toute notre profession de se retrouver autour de nos innovations. Je remercie tous nos adhérents exposants d'avoir été patients et de nous avoir fait confiance ».Pour Bruno Cadudal, Président de l'UFME : « Après des mois de crise sanitaire Covid-19, je suis heureux d'annoncer une bonne nouvelle à la profession conjointement avec mes partenaires du Pôle Fenêtre et les équipes de Reed Expo. La confirmation des nouvelles dates de la prochaine édition du salon d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO montre que notre filière, consciente de vivre dans un monde « d'après » Coronavirus, reste optimiste et dynamique afin que la reprise de nos activités soit durable. Les professionnels représentés au sein de l'UFME seront nombreux à se mobiliser pour le 1er salon de la menuiserie. »Pour Franck Perraud, Président de l'Union des Métalliers : « MÉTALEXPO est un des événements majeurs de la métallerie. Maintenir des liens forts avec nos partenaires et nos fournisseurs est essentiel en cette période incertaine. Je me réjouis que toute la famille de la métallerie puisse se retrouver en septembre 2021 »
Il y a 4 ans et 219 jours

Batimat, Idéobain et Interclima se réinventent en 2022 !

Pour répondre aux demandes des professionnels du Bâtiment, de la Construction et de l’Architecture, Reed Expositions, l’Afisb1 et Uniclima2 réinventent les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA dont la prochaine édition se tiendra pendant 4 jours, du 3 au 6 octobre 2022, à Paris Expo Porte de Versailles.  Ce retour à Paris et ce nouveau calendrier biennal, en année paire, s’accompagnent d’une profonde transformation de l’évènement, avec un concept d’exposition totalement repensé et une offre digitale enrichie.  _______________________ 1 Afisb, Association Française des Industries de la Salle de Bains, propriétaire du salon IDÉOBAIN. 2Uniclima, Syndicat des industries Thermiques, Aérauliques et Frigorifiques, propriétaire du salon INTERCLIMA.  LE VOEU DES PROFESSIONNELS EXAUCÉ  Grâce à un travail en collaboration avec Viparis, propriétaire de Paris Expo Porte de Versailles, les organisateurs du Mondial du Bâtiment ont pu saisir l’opportunité de revenir sur le site historique des salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA. Ce retour permet de répondre aux souhaits des professionnels du Bâtiment, de la Construction et de l’Architecture d’un évènement plus convivial et à proximité du centre de Paris et de son offre de tourisme d’affaires.  Parmi les conditions pour ce retour à Paris Expo Porte de Versailles, figurait une modification de la date de l’évènement. L’édition 2021 est ainsi reportée à l’automne 2022, ce qui devrait également minimiser les risques de décalages successifs en cas de prolongation de la pandémie actuelle, et faciliter la présence des exposants et visiteurs internationaux. Les trois salons se tiendront dorénavant tous les deux ans au mois d’octobre en année paire, en alternance avec ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, les années impaires.  UN ÉVÈNEMENT PLUS EFFICACE ET PLUS SOBRE  En 2022, les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA occuperont les espaces du Hall 1 au Hall 6, représentant une surface d’exposition de plus de 136 000 m². Cette surface étant inférieure à celle disponible au Parc de Paris Nord Villepinte, ce retour s’accompagnera par conséquent d’un chantier d’aménagement de l’offre et de la logistique de l’évènement.  Ainsi, les exposants se verront proposer une nouvelle offre d’exposition, organisée autour de modules standards et de tailles de stand limitées. De plus, un projet logistique d’envergure aura pour objectif de réduire les temps de montage/démontage et de fluidifier les flux autour de la Porte de Versailles.  Cette refonte de l’offre et de la logistique évènementielle apportera de multiples avantages aux exposants : choix de l’emplacement dès l’inscription, augmentation significative du retour sur investissement (ROI) par une réduction des coûts d’exposition et du passage à 4 jours pour tous les salons.  L’autre enjeu est celui de l’évènement lui-même qui va devenir plus sobre et s’inscrire dans une démarche RSE, dans le cadre de la feuille de route que s’est donné Reed Expositions France. Le Mondial du Bâtiment sera le premier grand salon du secteur à mettre en oeuvre une politique et des actions d’envergure pour la réduction de ses impacts : réduction et revalorisation des déchets, politique d’achats responsables, écoconception, restauration responsable….  UNE OFFRE DIGITALE DE RUPTURE « 365 jours/365 jours »  Pour développer la visibilité des exposants entre deux éditions du Mondial du Bâtiment et leur permettre de préparer une rencontre conviviale et qualitative pendant les 4 jours de salon physique, les organisateurs de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA ont également conçu une offre nouvelle d’outils digitaux. Elle a pour ambition d’augmenter le nombre de contacts et la notoriété des marques des exposants sur une période élargie : la mise en relation et la visibilité, coeur de métier des salons, sont maintenant étendues entre deux éditions grâce au digital.  Disponible dès la signature de participation au salon physique, cette offre en rupture avec les pratiques du métier s’articule autour d’un mix de solutions digitales : des contenus multiformes disponibles sur les blogs – livres blancs, articles, nouveautés produits… – des tables rondes en live et en replay, des émissions et podcasts sur Batiradio, des moments interactifs avec des webinars et des conversations en ligne.  Bien plus qu’un simple come-back à la Porte de Versailles, c’est la fédération du plus grand nombre d’acteurs du bâtiment que nous promettent la réinvention de l’évènement et son dispositif digital. Rendez-vous début 2021 pour la feuille de route détaillée !  Pour Guillaume Loizeaud, Directeur de BATIMAT : « Quel plaisir et quelle belle perspective de pouvoir écrire avec la filière cette nouvelle histoire ! Le retour de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA à Paris en 2022 s’annonce comme un grand moment de convivialité pour tous les professionnels. Complètement repensé sur le format d’exposition, en phase avec les grands enjeux, augmenté dans le temps grâce au digital, le Mondial du Bâtiment réunira le meilleur du salon et du virtuel. »  Pour Yves Danielou, Président de l’Afisb : « L’Afisb, ses adhérents et tous les acteurs de la salle de bains ne peuvent que s’enthousiasmer à l’idée du futur Mondial du Bâtiment. Les conditions sont réunies pour en faire un vrai succès. Nous ressentons tous le besoin de moments de convivialité dans notre travail et nos relations professionnelles et Paris expo Porte de Versailles, en grande partie rénovée, les offre dorénavant aux visiteurs comme aux exposants. Ré enchanter ce grand rendez-vous du bâtiment suppose un véritable travail de renouvellement que le nouveau calendrier va permettre de mener. A la demande de nombreux exposants, nous allons ainsi améliorer l’offre commerciale, pour atteindre un meilleur coût/contact. »  Pour François Frisquet, Président d’Uniclima : « Notre Profession se réjouit de cette nouvelle dimension que prendra la prochaine édition d’INTERCLIMA en 2022 avec un retour au coeur de Paris, en collaboration avec nos partenaires du Mondial : BATIMAT et IDÉOBAIN. Nous donnons donc rendez-vous à tous les acteurs du confort et de l’efficacité énergétique pour découvrir le dynamisme croissant de notre filière. »    Plus d’informations sur : www.batimat.com www.ideobain.com www.interclima.com   
Il y a 4 ans et 231 jours

Exposition : Tsuyoshi Tane, Archaeology Of The Future

Du 17 octobre 2020 au 28 février 2021, le S AM Musée Suisse d’Architecture (Bâle) accueille l’exposition « Tsuyoshi Tane : Archéologie du Futur », et présente pour la première fois en Europe les réalisations de l’Atelier Tsuyoshi Tane Architects, agence d’architecture fondée en 2017 et basée à Paris. L'occasion de découvrir le travail et la démarche de son fondateur, l’architecte japonais Tsuyoshi Tane. Quel rôle l’architecture joue-t-elle dans la médiation entre passé et futur ? C’est la question à laquelle l’architecte japonais Tsuyoshi Tane (né en 1979) répond dans ses différents projets. Il débute chaque chantier par une phase de recherche, et inclut toujours l’histoire du site dans son processus de création. À rebours d’une architecture fonctionnelle, il défend une architecte référencée, envisagée comme une « archéologie du futur ». « Nous pensons que la mémoire n'appartient pas au passé mais qu'elle est une force motrice pour créer l'architecture du futur. » Tsuyoshi Tane, architecteAprès deux premières éditions, une à Tokyo (Japon) en 2018 et l'autre à São Paulo (Brésil) en 2019, c’est au tour du S AM Musée Suisse d’Architecture d’accueillir l’exposition « Tsuyoshi Tane : Archéologie du Futur ». La manifestation, qui présente treize projets à travers des maquettes, des croquis, des moodboards et des vidéos, révèle le travail de Tsuyoshi Tane, à la fois créatif, conceptuel et poétique. L’architecte japonais viendra enrichir son propos en présentant son approche originale de l’architecture lors de deux événements inédits : la conférence « Archaeology of the Future » (26 novembre 2020, 19 h, Ackermannshof, Bâle) et la table ronde « Context, Pretext, Subtext » avec Emanuel Christ (Christ & Gantenbein) et Catherine Gay (GayMenzel) (4 février 2021, 19h, SILO by TALENT, Bâle). « Exposition : Tsuyoshi Tane, Archaeology Of The Future », du 17 octobre 2020 au 28 février 2021, au S AM Musée Suisse d’Architecture, Bâle (Suisse). Pour en savoir plus, visitez le site du S AM Musée Suisse d’Architecture.Visuels : 1) Musée National Estonien, 2016. Tsuyoshi Tane et DGT Architects2) Hirosaki Museum, Japon, 2020. © Daici Ano3) Archaeology of the future. Inspiration wall. © ATTALa Rédaction