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Il y a 2 ans et 361 jours

En Chine, TIC Art Center, par Domani concept : bâtiment intelligent ?

Près de Foshan (Chine), le TIC Art Center, c’est-à-dire un bâtiment dédié aux Techniques de l’information et de la communication (TIC), conçu par l’agence chinoise Domani architectural concept (Ann Wu), est sorti de terre en 2021. D’une surface de plus de deux millions de m² (coût : 25,15 M€), l’ouvrage participe au développement urbain de la […] L’article En Chine, TIC Art Center, par Domani concept : bâtiment intelligent ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 361 jours

Chantier à l’international – Djibouti : L’immaculé et soigné centre de formation

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine Le bâtiment Transform constitue le cœur du projet du Centre de ressources et de compétences dédié aux métiers portuaires de Djibouti. [©Richard + Schoeller Architectures] C’est à l’entrée de la mer Rouge, face au golfe d’Aden, qu’est implantée la ville de Djibouti, capitale de la république du même nom. Durant plus de 70 ans, cette zone a fait partie de la Somalie française, avant de devenir le Territoire français des Afars et des Issacs, en 1967. C’est seulement en 1977 que cette colonie accède à l’indépendance. Port maritime, Djibouti est la plus grande ville du pays et concentre un peu plus de 500 000 habitants. Soit environ 58 % de la population. Aujourd’hui, avec l’arabe, le français constitue une des langues officielles du pays. Bien qu’indépendante, la République de Djibouti reçoit une aide économique de la France, qui a participé à la construction de nombreuses infrastructures, dont le lycée français Joseph-Kessel, en 1991. Cet établissement fait actuellement l’objet d’une extension-reconstruction, sous la maîtrise d’œuvre de l’agence parisienne Richard + Schoeller Architectures. « Les travaux démarrent tout juste, explique l’architecte Frédéric Schoeller. Et de poursuivre : « Mais c’est une autre opération qui nous occupe aujourd’hui. Celle du Centre de ressources et de compétences dédié aux métiers portuaires de Djibouti. Le bâtiment Transform en est la composante principale. » Le projet est financé par l’Union européenne, dont la gestion des fonds a été déléguée à l’Agence française de développement. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 361 jours

Une plainte d'associations pour détournement de fonds publics sur une partie du projet de la Gare d'Austerlitz

Dans le document envoyé au parquet de Paris le 19 mai et que l'AFP a pu consulter, l'avocat des associations InCOPruptibles, SOS Paris et France Nature Environnement (FNE) Paris estime que "l'acquisition de l'ensemble immobilier A7A8 du projet Austerlitz par l'AFD constitue un détournement de fonds publics".L'AFD, établissement public qui met en oeuvre la politique de développement de la France à l'étranger, doit racheter ce vaste ensemble de 50.000 m2 de bureaux pour "un total de 924 millions d'euros", souligne Jérôme Karsenti en se basant sur l'avis très critique du Conseil immobilier de l'Etat rendu en juin 2021.Le coût estimé de l'opération, entre 17.000 et 18.000 euros le m2, "est particulièrement élevé" dans une zone où le prix moyen est évalué à 12.000 euros le m2, estiment les plaignants pour qui l'achat "ne présente aucun intérêt financier pour l'AFD" et la contraint "à poursuivre une activité de bailleur de fonds" qui se trouve "hors de son objet social".Selon le Conseil immobilier de l'Etat, l'AFD prévoit en effet la location ou la vente à un tiers de 8.000 m2 mais concède "que la superficie inutile" à ses besoins "pourrait être sensiblement supérieure" aux évaluations initiales, notamment en raison du développement du télétravail.Objectifs environnementauxPour les plaignants, la superficie excédentaire culmine ainsi à plus de 40% de la surface totale, ce qui démontre que "l'acquisition des 50.000 m2 n'est pas directement utile à l'AFD".Enfin, pour les trois associations, la construction de ce bâtiment est "contraire aux objectifs environnementaux et sociaux de l'AFD", le Conseil immobilier de l'Etat ayant souligné le "hiatus entre la posture environnementale de l'Agence et la solution immobilière retenue dont la frugalité n'est pas la principale qualité"."Si l'on considère que la construction d'un bâtiment représente 60% des dégagements de gaz à effet de serre, le choix d'un site à construire" aux dépens de biens existants "interroge", avait encore écrit le Conseil immobilier de l'Etat."Figure majeure de l'Accord de Paris", l'AFD "porte ainsi directement atteinte à la crédibilité de ses engagements" en finançant le projet immobilier porté par la Semapa, l'aménageur de la Ville de Paris pour ce secteur, et la filiale de la SNCF Gares et Connexions, estiment les plaignants.Les élus écologistes du Conseil de Paris, alliés de la maire PS Anne Hidalgo favorable au projet, se sont en 2021 alliés à l'opposition de droite pour réclamer une remise à plat du projet afin de le "dédensifier"."Aucun argent de l'aide au développement ne va servir à financer le siège de l'AFD", a réagi auprès de Mediapart Bertrand Walckenaer, directeur général adjoint de l'AFD. Selon lui, cette dernière "ne fait pas construire un bâtiment mais acquiert des bureaux au sein d'un projet beaucoup plus vaste"."Nous ne sommes que les utilisateurs d'un bâtiment", a ajouté M. Walckenaer.
Il y a 2 ans et 362 jours

Wefound et Enogrid permettent à tous les citoyens de contribuer à la transition énergétique

Le marché de l’autoconsommation collective est prometteur. Ce modèle se différencie de l’autoconsommation individuelle par son inclusivité permettant à tous les citoyens, aussi bien particuliers que professionnels, entités publiques ou privées, propriétaires comme locataires, de participer à la transition énergétique, sur tout le territoire français, à travers des projets de production d'électricité verte et décentralisée.Forte de son expérience, Enogrid facilite la mise en place et l’exploitation des projets d’autoconsommation collective. La startup accompagne des porteurs de projet de l’idéation à la mise en œuvre de leur autoconsommation collective et propose une plateforme digitale pour gérer simplement l’exploitation.Wefound offre à Enogrid un accompagnement humain sur du long terme. Quotidiennement les équipes transverses du studio apportent leur expertise en stratégie d’entreprise, communication, marketing, business development, product management, etc. En outre, un investissement financier du studio offre à Enogrid la possibilité de croître et de renforcer sa position de leader sur le marché prometteur de l’autoconsommation collective. Enfin, Enogrid bénéficie de l’écosystème de startups et d’investisseurs du studio.Wefound complète, par ce partenariat, son portefeuille d’investissement et prend part au développement d’un métier qu’il considère comme essentiel dans la transition écologique de nos modes de consommation. Habitué à faire naître des startups, le studio se lance un challenge avec cette prise de position dans une startup plus mature. Il complète son offre et éprouve son modèle sous une nouvelle forme.Benjamin Berthou, co-fondateur d’Enogrid, se félicite de ce partenariat : “L’accompagnement de Wefound va nous aider à créer des synergies avec leur écosystème, avec la garantie d’une relation équilibrée qui préserve notre indépendance.”Gilles Debuchy, fondateur et CEO de Wefound, revient sur cette intégration : “En accueillant Enogrid, nous confirmons notre ambition d’élargir notre portefeuille aux startups dédiées à la production et à la consommation d'énergie en communauté.”
Il y a 2 ans et 362 jours

Travaux d’aménagement de la centrale de recyclage de Massy 2

« La végétalisation en zone industrielle, c’est possible ! » Ces trente dernières années, l’entreprise YPREMA a prouvé que croissance économique et développement durable ne sont pas antinomiques et que performances industrielles et intégration urbaine restent des enjeux compatibles. Depuis sa création, elle n’a eu cesse d’ouvrir les portes de ses centrales de recyclage au […]
Il y a 2 ans et 363 jours

Eurobois Awards : le concours qui valorise les innovations et l’ensemble des acteurs de la filière bois

28 innovations en lice pour devenir lauréate de l’édition 2022Cette année, le concours évolue ! Afin d’offrir une meilleure visibilité aux innovations et aux acteurs de la filière, les entreprises pourront présenter leur candidature à travers un pitch sur le plateau TV Eurobois. Autre nouveauté 2022 : la création d’un jury étudiant, qui décernera le prix « Coup de cœur des étudiants ». Autant d’éléments qui font de cet événement un rendez-vous incontournable du salon pour les professionnels de la filière.Qu’est-ce que les Eurobois Awards ?Plateforme de lancement de produits, les Eurobois Awards récompensent le caractère innovant d’un produit ou d’un service, mais aussi son design, sa performance, la démarche RSE de l’entreprise, la qualité environnementale du produit/service, sa certification, son usage pour les professionnels, et enfin sa maîtrise des coûts.Cette année, le processus d’inscription, ouvert à tous les exposants, a été simplifié pour faciliter la participation des entreprises. Participer au concours offrira aux candidats une visibilité accrue auprès des professionnels de la filière en amont et pendant le salon, avec la présentation de l’ensemble des innovations sur le site web, les réseaux sociaux du salon ainsi que sur l’application Eurobois Connect.Sur le salon, les visiteurs pourront facilement identifier les innovations grâce à une signalétique dédiée.Rendez-vous le 15 juin en fin de journée sur le plateau TV pour la remise des prix.Des pitch et visites des stands pour promouvoir les innovations et défendre les projetsPour valoriser leur candidature, les entreprises auront l’opportunité de présenter leur innovation à travers un pitch de 5 minutes, sur le plateau TV du salon, le mardi 14 juin matin, à partir de 10h. Cette présentation permettra à la fois aux entreprises de rencontrer leur public, mais également de séduire le jury en démontrant leur capacité à défendre leur innovation.Le lendemain, au 2ème jour du salon, le jury se rendra sur les stands des innovations présélectionnées. Ses membres pourront ainsi échanger avec les candidats et découvrir en détail les nouveautés.Les lauréats élus par un jury de professionnels et d’étudiantsComme chaque année, le jury est composé de professionnels de la filière bois (ébénistes, agenceurs, menuisiers, charpentiers…). Dans le but de représenter au mieux tous les publics, la grande nouveauté cette année réside dans la création d’un jury étudiant composé de jeunes en école d’architecture, menuiserie, agencement ou ingénieur.La création de ce jury étudiant permet une appréciation différente et nouvelle des innovations en compétition. C’est également l’occasion pour Eurobois d’intégrer les générations futures dans la filière, qui seront les professionnels de demain. Cette immersion dans le monde professionnel est tout aussi bénéfique aux étudiants, dont la présence sur le salon constitue une première mise en réseau avec les acteurs de la filière. Ce jury remettra un prix spécifique à une entreprise qui sera élue « Coup de cœur des étudiants ».Membres du jury professionnel : Président du jury professionnel : ARNAUD GODEVIN, Directeur de l’ESB – Ecole Supérieure du Bois Membres du jury professionnel : Jérôme CARRAZ Responsable de l'Institut de la Charpente et Construction bois - COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FranceVincent CHARROIN Président - SAS CHARROIN TOITURES, Président de la Chambre Professionnelle « Charpente Toiture » de BTP RHONE – FFBJean-Denis FORTERRE Responsable du service Technique à la CAPEB Auvergne-Rhône-AlpesRaphael HOUSSET Gérant - ATELIER RAPHAELMathieu HUGON Responsable de l'institut européen de la menuiserie, l'agencement et l'ébénisterie - COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FranceLaurent JACQUET Créateur de contenu vidéo, web/Domaine bâtiment, bricolage, maison - BICHON PRODUCTIONJean-François JAILLET Gérant, Jaillet Menuiserie – Membre de la Chambre Française de l‘AgencementXavier LUGINBUHL Directeur Général - Groupe HASAP • Herve MARECHAL Dirigeant agenceur - APPORT ANSELes membres du jury étudiant :Diana ALMERI, en formation « Décorateur » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurAnge CHARPENTIER, en 2ème année de cycle ingénieur de l’ENSTIB - École nationale supérieure des technologies et industries du boisMathilde DE COURCY, en formation « Architecte d’intérieur designer global » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurAmandine FONTAINE, en formation « Décorateur » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurFantine KOCH, en 2ème année à l’ENSTIB - École nationale supérieure des technologies et industries du boisCécile SOULIER, en formation « Architecte d’intérieur designer global » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurGéraldine VINCENT, en formation « Architecte d’intérieur designer global de niveau 7 » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurEUROBOIS, sensible à l’avenir de la filière bois Le salon est particulièrement engagé auprès des jeunes générations car elles représentent les professionnels de demain. Conscient que la problématique de l’emploi et la formation est centrale pour la filière bois, le salon accueille le Campus Eurobois. Il s’agit d’un espace ouvert à tous les professionnels, sur lequel les visiteurs pourront rencontrer de potentiels recruteurs et professionnels du secteur. Plus largement, le salon abordera la thématique de l’emploi et de la formation à travers des conférences sur le plateau TV.Zoom sur les innovations présentées cette année Les entreprises candidates ainsi que leurs innovations pour les EUROBOIS AWARDS 2022 sont :PAPERSTONEPremier matériau composite à être fabriqué à partir de papier et de carton 100% recyclés certifiés FSC et imprégnés d’une résine appelée PetroFree. Celle-ci est obtenue en pressant des coquilles de noix de cajou et ne contient donc aucun composé chimique dérivé du pétrole.HI-MACS ASKA BUGATOOL PAPERSTO – Stand : 6L62THERMOFORMING STATION DUO CROSSLOW La station de thermoformage Duo cross-flow de Global est une solution novatrice « Tout-en- un » pour le préchauffage, le thermoformage et les applications de travail du bois. La machine combine une presse sous vide à membrane et un four de préchauffage dans un seul appareil. GLOBAL VACUUM PRESSES – Stand : 6K88MAXIPRESS M Système de piston avec filetage protégé. Le seul serre-joint de marqueterie au monde utilisant ce système Manche ergonomique interchangeable et multiposition Surface de pression avec rainure en V pour tubes et profils Recommandé pour travaux de soudure, plâtre, etc.INDUSTRIAS PIQUERAS SA - Stand : 6G29CLOUEUR AUTONOME PKT Cloueur autonome sans fil pour des pointes jusqu'à 100mm. ALSAFIX - Stand : 6E41STATION D'ENERGIE MOBILE SYS-POWERSTATION La station d'énergie mobile SYS-PowerStation fournit du courant en permanence et en tout lieu. Elle permet d'alimenter tous les outils filaires, toutes marques confondues.FESTOOL France - Stand : 6E51LAMEO Le profilé hybride BRISEO combine l'aspect du bois composite LAMEO renforcé par un insert aluminium. Mixant toutes les caractéristiques de la formulation LAMEO, ses applications sont exponentielles : habillage décoratif de façade, claire-voie, brise-soleil, mobilier urbain, cache bloc technique... BRISEO - Stand : 6J54ELEVATEUR POUR ETAU D'ETABLI ELV ET ELVP Remplace la base tournante grâce à sa rotation possible sur 360 ° - Permet un ajustement de la hauteur de l’étau pour adapter la hauteur de celui-ci à la taille de l’utilisateur - Lutte contre les Troubles Musculo-Squelettiques et évite tout problème de dos dans le cadre d’une utilisation prolongée. VP DOLEX – Stand : 6E60EXEDRA 2 Très innovant et performant, Exedra2 est une évolution du système pour portes escamotables Exedra qui, grâce à une solution de mouvement novatrice, permet l’ouverture simultanée de deux portes jointes. Le système permet ainsi de fermer des espaces de largeur jusqu'à 3m sans rail bas. SALICE France - Stand : 6H44SAFEDETECT Système de capteurs sans contact pour la sécurité de l'opérateur - présenté pour la première fois au public lors de l'EUROBOIS 2022 WEINIG - Stand : 5A14 PLAN DE TRAVAIL VISE LED Solution LED unique pour le positionnement des ventouses - présentée au public pour la première fois à EUROBOIS 2022 WEINIG - Stand : 5A14 PROFIMAT 50 Le moment est venu pour la génération suivante. La nouvelle Profimat : Rabotage et profilage avec la qualité WEINIG. WEINIG – Stand : 5A14 MAXIPRESS E INDUSTRIAS PIQUERAS SA – Stand : 6G29 TEVA 3D Plateforme web de visualisation et validation 3D pour les agenceurs, les cuisinistes et les menuisiers. CABINET VISION France - Stand : 6G12 ASSISTANT PRODUCTION DE WEBCAB L'ASSISTANT PRODUCTION de WEB CAB est un MES consistant à garantir l'exécution effective des opérations de fabrication et à améliorer le rendement de la production.CABINET VISION France - Stand : 6G12 LE TIROIR AVANTECH YOU AVEC SIGNATURE LUMINEUSE Le tiroir AvanTech YOU donne au meuble sa propre signature lumineuse à LED. La mégatendance de personnalisation qui ne cesse de progresser renforce le souhait d’une liberté d’agencement individuelle des meubles de cuisine et des meubles de salon en général. HETTICH France - Stand : 6G60 SECHAGE SOUS ATMOSPHERE CO2 Cette technologie disruptive de séchage permet de sécher avec du CO2 tout type d’essence de bois en quelques jours, en respectant la structure du matériau tout en augmentant significativement sa durabilité. Le bois sera de meilleure qualité, stable et séquestrera naturellement des quantités de CO2. WAYS INDUSTRIE - Stand : 5F44 CRENO CLT-ONE : MACHINE D'USINAGE DE PANNEAUX CLT La CRENO CLT-ONE est dédiée à l'usinage des panneaux CLT, avec une productivité inégalée : en moyenne 30min pour un plancher et 45min pour un mur. Elle permet d'usiner les 6 faces grâce à une architecture innovante combinant tête 5axes, agrégats additionnels et posages flexibles automatisés. LE CRENEAU INDUSTRIEL - Stand : 6B96 BROYEUR DE FEUILLARDS Présentation du programme 3R inventé par La Croix Noble ! LA CROIX NOBLE - Stand : 6F83 DUAL MIXTE OC Le système DUAL MIXTE OC permet la réalisation de menuiseries mixtes bois - aluminium à ouvrant caché au design épuré et avec un vitrage déporté sur l’extérieur. La gamme de tapées compatibles facilite la pose et permet d’augmenter l’apport solaire.JOINT DUAL – Stand : 6E88 OPTICORE AI Un scanner prend une image de la planche à l'aide de caméras, analyse la planche informatiquement et une fois la planche analysée, la solution de découpe la plus profitable pour le client est décidée. C'est pendant la phase d'analyse de la planche que l'IA va rentrer en jeu. WEINIG - Stand : 5A14 ARTEMIS - FRAISES MONOLÈVRES Fraises de haute technicité à destination des enseignistes, menuiseries et des professionnels de la PLV. PRACARTIS GROUPE - Stand : 5F46 COLLECTION CRYSTAL Allier l’élégance du Crystal et le rangement d’intérieur avec notre collection Crystal. Elle mêle nos panneaux de surface RAUVISIO crystal, nos bandes de chants RAUKANTEX et nos systèmes de rideaux d'armoire RAUVOLET crystalline pour créer un design unique.REHAU - Stand : 6H72 LAMES DE SCIES ACCUCUT AccuCut désigne des lames de scie spéciales à largeur de coupe réduite et disposant des développements les plus récents en termes de matériaux de coupe. Ces innovations offrent une durée de vie accrue des batteries des machines électroportatives sans fil. LEITZ France – Stand : 5C20 VIKING ARM Le viking Arm est une troisième main idéale pour le levage, l'abaissement et le serrage d'objets lourds. SCAB - Stand : 6B113 MERIVOBOX Avec MERIVOBOX, il n’a jamais été aussi facile d’offrir de la diversité. Fabriquer des meubles plus facilement et offrir tout de même de la diversité, tel est l’objectif de la plateforme de tiroir métallique MERIVOBOX ! BLUM France – Stand : 6K72 HNC 47.82 Une créativité sans fin et une précision CNC professionnelle pour les amateurs, les bricoleurs, les petites entreprises, les modélistes et les écoles. FELDER GROUP – Stand : 6C114 SUPERFICI MINI P Superfici mini p est un système de pulvérisation à brancher et prêt à l'utilisation (machine plug&play) qui peut être positionné au sein d'une ligne ou utilisé en tant que machine seule. SCM GROUP France – Stand : 5F22 STEFANI X Industrial edgebander designed to offer the highest edgebanding quality on any type of panel and material and to fully meet the needs of a digital, connected and integrated factory. SCM GROUP France - Stand : 5F22
Il y a 2 ans et 363 jours

La dynamique immobilière des villes ACV s’est poursuivie en 2021

L’objectif de cette politique interministérielle de l’État avec le concours de la Banque des Territoires (Groupe Caisse des dépôts), d’Action logement et de l’Anah est de faire (re)venir habitants, commerces, services et activités en ville, de lutter contre l’étalement urbain et d’œuvrer à un cadre de ville plus naturel et attractif. Il priorise notamment pour cela la rénovation de l’habitat ancien, la construction durable, la requalification de l’espace public, la nature en ville et les mobilités actives.Dans le cadre de sa mission de service public, le Conseil supérieur du notariat met depuis 2018 à disposition de la Direction nationale du programme ACV une série d’indicateurs immobiliers pertinents et fiables : nombre de transactions, prix de vente médian au m² et évolution du Diagnostic de performance énergétique (DPE) des biens vendus.Après les deux premiers baromètres, il est désormais possible d’analyser de façon plus fine les tendances immobilières à l’œuvre depuis le lancement du programme national Action Cœur de Ville dans les villes bénéficiaires et leurs agglomérations et d’évaluer la dynamique de leur marché immobilier, témoin de leur attractivité.Les résultats complets pour l’année 2021 seront détaillés dans le 3e Baromètre qui sera présenté le 21 juin lors d’une conférence de presse.A retenir :Une tendance entre 2018 et 2021 révélatrice de l’attractivité nouvelle des villes ACV, avec une augmentation de 17 % des ventes et de 20% dans l’ensemble des agglomérations ACV.Une reprise post-Covid qui se confirme, avec 12% d’augmentation du volume des ventes en 2021 par rapport à 2020, soit 14 560 mutations supplémentaires dans les villes ACV étudiées.L’ensemble des régions sont concernées par cette augmentation des volumes de ventes dans les villes bénéficiaires du programme entre 2020 et 2021Cette augmentation du volume des ventes est couplée à une progression du prix de l’immobilier dans 137 villes (sur 200 étudiées) sur la période 2018-2021. En 2021, le prix médian du m2 est de 1 557€ pour les appartements et de 183 883€ pour les maisons.Un prix médian au m² qui reste toujours beaucoup plus accessible que celui des grandes villes, pour des biens de plus grande surface.Un marché immobilier dynamique en 2021 dans les villes du programme national Action Cœur de VilleSi elle connaît une évolution positive et constante depuis 2018 en lien avec les aspirations de nos concitoyens, l’attractivité des villes moyennes ACV s’est confirmée en 2021 avec une progression des ventes de 20% dans les agglomérations Action Coeur de Ville, contre 14,5% au niveau national sur la même période. Dans les villes-centres bénéficiaires du programme, les ventes ont connu une hausse de 17% entre 2018 et 2021.Il s’agit avant tout d’un marché d’utilisateurs qui offre aux ménages la possibilité d’accéder à des biens de qualité, de superficie plus importante et à des prix plus accessibles que dans les grandes villes. Le dynamisme du marché de l’immobilier dans ces agglomérations confirme donc une volonté de plus en plus soutenue d’habiter, de travailler et de d’évoluer dans des villes à taille humaine offrant un cadre de vie agréable et une offre de logements accessibles.Des villes-centres qui portent le marché immobilier dans leurs agglomérationsLes volumes de ventes progressent depuis 2018 : + 52 540 ventes (volumes réels ancien et neuf confondus) entre 2018 et 2021 dans les agglomérations Action Cœur de Ville et + 36 130 entre 2020 et 2021. À titre de comparaison, avant la pandémie, entre 2018 et 2019, on comptait + 23 750 ventes dans ces agglomérations Action Cœur de Ville.Tableau des évolutions du volume des ventesLe marché de l’immobilier des villes moyennes reste dynamique, notamment grâce aux villes-centres ACV qui continuent d’attirer et représentent plus de 50 % des volumes de ventes en 2021 dans ces agglomérations. Dans ces villes-centres, l’augmentation était ainsi de + 14 560 ventes entre 2020 et 2021, en comparaison avec +11 140 ventes entre 2018 et 2019, avant la crise sanitaire.Plus précisément, hors Ile-de-France :84 villes Action Cœur de Ville sur les 200 analysées (soit 42 %) sont plus dynamiques que le reste de leur EPCI.Parmi ces 84 villes, pour 11 % des villes du programme,, ce sont même les villes-centres qui portent le marché local face à une périphérie qui décroît.À l’inverse, pour 24 des villes du programme (88 villes), la périphérie reste plus dynamique que la ville-centre qui maintient ou voit décroître son marché.Enfin, 28 villes (14%) ont un développement similaire avec le reste du territoire de leur EPCI.Une augmentation régulière des prix médians au m² continue, signe de la vitalité du marché et d’une réelle attractivité des villes moyennesDepuis 2018, le prix médian du m² pour les appartements augmente de façon régulière dans les villes ACV passant de 1 353 €/m² en 2018 à 1 557 €/m² en 2021, soit une augmentation de 15% et plus particulièrement de 7,5% entre 2020 et 2021, semblable à celle observée au niveau national.Entre 2020 et 2021, on observe à la fois une hausse des prix de l’immobilier et une hausse du volume des ventes dans 109 villes du programme. Sur la période 2018-2021, ce sont 137 villes sur les 200 étudiées qui connaissent ce mouvement, preuve d’un dynamisme retrouvé du marché immobilier local.Alors que le Président de la République a annoncé en septembre dernier la prolongation du programme Action Coeur de Ville sur la période 2023-2026, Rollon MOUCHEL-BLAISOT, directeur du programme national ACV, affirme : « Les résultats de ce troisième Baromètre traduisent les premiers impacts du programme national Action Coeur de Ville qui vise à soutenir le développement durable des villes moyennes exerçant un rôle irremplaçable de centralité, et cela en investissant prioritairement dans la redynamisation des centre-villes.». Il y a incontestablement une nouvelle attractivité résidentielle et économique des villes « moyennes » qui sont de plus en plus reconnues pour ce qu’elles offrent : des logements plus spacieux et accessibles, un cadre de vie agréable et les commodités essentielles à proximité. La requalification des coeurs de ville est donc plus que jamais une ardente obligation à poursuivre pour répondre aux aspirations croissantes de nos concitoyens à vivre dans une ville à taille humaine ».David AMBROSIANO, président du CSN déclare : « Le partenariat avec l’ANCT s’appuie sur la qualité des indicateurs des bases immobilières notariales et leur fiabilité et s’inscrit naturellement dans la mission de service public du notariat et dans les objectifs de la 1ère Convention d’objectifs que le CSN a signé avec l’Etat le 8 octobre 2020. Au niveau national, 2021 a été une année « anormale » pour l’immobilier avec un rattrapage post confinement dans les premiers mois et un effet d’anticipation pour 2022. Les Français ont, dans leur globalité, accéléré la concrétisation de leurs projets. Ce 3e Baromètre de l’Immobilier des Villes Moyennes du programme Action Coeur de Ville permet de suivre l’évolution du marché dans les 234 communes participantes et d’en mesurer leur attractivité. »
Il y a 2 ans et 363 jours

Eclisse se démarque auprès des étudiants en architecture

Sur chaque panneau, un échantillon physique est directement connecté à la bibliothèque numérique, pour un accès facile et rapide à ses caractéristiques techniques. Actif en digital, ECLISSE adhère immédiatement à cette démarche pédagogique innovante.Son objectif : informer les futurs architectes des nouvelles techniques, évolutions et innovations du marché des portes d’intérieur. Développés par la maison mère Italienne, les châssis à galandage et les huisseries invisibles ECLISSE bénéficient d'un savoir-faire reconnu par leur design et leur qualité. Les portes d'intérieur, en perpétuelle évolution, proposent de nouveaux aménagements d'espaces sur le marché français, belge et luxembourgeois. Pour l’année scolaire 2021/22, ECLISSE a choisi de valoriser son huisserie ECLISSE 40 et son châssis Syntesis® Line. L'huisserie permet d'installer une porte battante invisible et architecturale. D'un côté, la porte est à fleur de mur et de l'autre, son cadre en aluminium est apparent pour donner de la profondeur. Le châssis Syntesis® Line, quant à lui, permet d'installer une porte coulissante à galandage. La porte coulisse à l'intérieur de la cloison et laisse un mur épuré d'habillage de finition.En septembre 2021, Franck Dietmann, Directeur d’Archimatérial, installe avec ses équipes les 32 panneaux connectés ECLISSE, dans la rubrique « Aménagement & mobilier ». Le panneau connecté ECLISSE 40 Accessible à 25.000 étudiants et 4.000 enseignants architectes en France, Belgique et au LuxembourgEchantillon physique de l'huisserie ECLISSE 40.Visuels et illustrations de mise en situation. Dimensions et montage de l’huisserie et du chassis.QR Code pour accéder à la bibliothèque numérique : caractéristiques techniques, installation et vidéo de mise en oeuvre des produits.La connaissance des nouveaux matériaux et de leurs évolutions est essentielle aux élèves architectes ; elle peut en effet faire la différence lors de la présentation de projets. L’accès dématérialisé aux produits présentés physiquement incite les étudiants à mieux découvrir l’univers de la matière. Depuis la rentrée, la documentation Eclisse a été téléchargée 1200 fois. En juin, viendra s’ajouter le nombre de scans effectués sur le panneau connecté par les étudiants.En moyenne, chaque année, cinq écoles adhèrent à la Matériauthèque Campus, soit 2.000 étudiants architectes. D’ici la fin 2022, Eclisse participera à l’animation d’une table ronde. Un événement qui permet aux élèves un échange direct avec le fabricant, pour compléter leurs connaissances des matériaux, les procédés de fabrication, de mise en oeuvre et de recyclage. « Ce partenariat est une première pour ECLISSE et nous sommes convaincus de son efficacité pédagogique. Les étudiants en architecture sont tous connectés et sont potentiellement nos futurs prescripteurs. Ils ont aussi des projets, des suggestions et des interrogations pertinentes à remonter à notre service recherche et développement, » déclare Christian Renévot, Directeur Général d’Eclisse France.
Il y a 2 ans et 363 jours

Campa présente de nouveaux radiateurs d’exception au design épuré

Depuis plus de 40 ans Campa a su imposer un véritable parti-pris dans la conception de ses radiateurs électriques haut de gamme. La sélection et la mise au point de matériaux les plus nobles adaptés à la fois aux exigences de la décoration d’intérieurs mais aussi à celle du confort thermique le plus précis sont au cœur de l’univers CAMPA. Conçus et fabriqués en France, ces radiateurs sont intelligents et 100% connectés (sans aucun accessoire supplémentaire) grâce à la technologie Muller’ Intuitiv pour une consommation adaptée au rythme de vie des utilisateurs. Une connectivité qui permet d’associer la performance technologique aux lignes remarquables de ces radiateurs. KERAMOS, le radiateur issu de la terre et du feu Cette nouvelle ligne de radiateur CAMPA valorise les qualités de la céramique, l’inertie, la conductivité thermique et la résistance élevée aux chocs. Le confort apporté par la seule façade et ses éléments chauffants intégrés est tel qu’il peut être suffisant pour couvrir l’essentiel des besoins durant la saison de chauffe. Il associe l’action d’éléments chauffants les mieux adaptés aux qualités thermo-physiques uniques de la céramique. Sa conception privilégie l’inertie et le rayonnement d’un matériau noble qui émet une chaleur d’ambiance douce, régulière et bien repartie dans la pièce, avec une finesse de réglage extrêmement précise. Comme tous les radiateurs d’exception CAMPA, les KERAMOS sont des modèles de référence du confort thermique bas carbone. Le style KERAMOS aux effets rouille, associe sa texture brute à une sensation de chaleur et confort unique. Née du mariage de la terre et du feu, la céramique s’affirme aujourd’hui comme une véritable tendance dans l’aménagement de l’habitat contemporain. Caractéristiques techniques :KERAMOS3 dimensions horizontales et 4 puissances : 84,4cm x 58,9cm à 1000W: 1460€ / 112,2 x 58,9cm à 1500: 1659€ / 112,2cm x 71,4 à 2000w : 1964€Épaisseur : 128mm1,546 x 45,1cm en 1100W : 1675€ et 1600W : 1911€Épaisseur : 125mm CAMPAVER Dépoli, un radiateur au caractère bien trempé Le radiateur Campaver Dépoli émet une chaleur d’ambiance douce, sans à-coup et bien répartie dans la pièce, avec une finesse de réglage extrêmement précise. L’élément rayonnant interne apporte un complément immédiat de chaleur en cas de besoin. La façade en verre trempé dépoli est déclinable en blanc et ficelle (beige) et permet une diffusion de la chaleur sur toute la surface avec une véritable inertie. CAMPAVER combine l’action de deux corps de chauffe associés aux qualités thermo-physiques de la glace de verre et au dessin de sa ligne. Avec sa façade transparente ou à effet miroir, le radiateur en verre ne sert pas seulement à chauffer une maison, mais il est également un élément de décoration à part. Ses lignes élégantes et épurées rehaussent tous les types d'aménagement. Il est très discret grâce à son faible encombrement et sa façade ultra-fine. Caractéristiques techniques :CAMPAVER DEPOLIDéclinable en deux couleurs : Dépoli blanc et Dépoli ficelle (beige)3 dimensions horizontales et 4 puissances :82cm x 56,5cm à 750W : 1225€ / 82 x 56,5cm à 1000W : 1264€ / 109,8cm x 56 ,5 à 1500w : 1450€ / 109,8CM X 69cm à 2000W : 1604€Épaisseur : 121mm 2 dimensions verticales et 2 puissances :1,522m x 42,7CM en 1100W : 1294€ et 1600W : 1450€Épaisseur : 121mm Une fabrication française qui garantit qualité, sécurité et traçabilitéCampa a défini comme une priorité d'intégrer l'ensemble des processus depuis la conception jusqu'à la fabrication sur le territoire national. La conception, le prototype, les opérations de préparation, de transformation et de conditionnement se déroulent en France, dans l’usine de Fismes en Champagne avec leurs réseaux de sous-traitants locaux. Toute la chaîne de production des créations est ainsi maitrisée. Cette volonté lui permet également de participer activement au développement du tissu économique régional et national. Une philosophie industrielle exigeante La notion de “design technologique” décrit la volonté dont Campa a toujours fait preuve pour imposer l’idée qu’un radiateur haut de gamme se définit par les qualités esthétiques de ses lignes mais également par des performances remarquables. Tous les modèles de la gamme CAMPAVER sont certifiés Origine France Garantie, qui contrairement aux mentions auto déclaratives «fabriqué en France» atteste, par un audit extérieur, que le produit prend ses caractéristiques essentielles en France et que 50 % à 100% du prix de revient unitaire du produit est acquis sur le territoire. La connectivité au service de l’efficacité énergétique Analyse des rythmes d’occupation, détection de fenêtre ouverte et d'absence, anticipation, auto-programmation, indicateur comportemental, consultation au jour le jour sur graphique, pilotage par la voix par assistants vocaux, verrouillage par code PIN, ... toutes ces fonctions à économies d'énergie sont accessibles via l’application et sont simples d’utilisation.
Il y a 2 ans et 363 jours

Bilan 2021 et perspectives du groupe immobilier Mercure

Le groupe immobilier Mercure a entamé l’année 2021 avec un calme relatif, dans la continuité du dernier trimestre de 2020, marqué par le second confinement. Les deuxième et troisième trimestres de l’année ont cependant connu une accélération des actes et des visites, avec une clientèle plus mature dans ses projets immobiliers. La fin de l’année a quant à elle été caractérisée par un ralentissement de son activité commerciale en région, contrastant avec une reprise à Paris ainsi que dans les grandes métropoles françaises sur le marché urbain.Si cette année 2021 fut globalement bonne pour le groupe immobilier Mercure (+9% de chiffre d’affaires), on observe les conséquences du contexte Covid, à savoir une accélération de nouvelles tendances de vies de ses clients avec un attrait grandissant pour les belles propriétés en zones périurbaines. On constate une baisse de sa clientèle étrangère hors Europe qui représente aujourd’hui 75% des acquéreurs étrangers.2021 : un marché urbain contrastéTout comme pour l’année 2021, le marché de l’urbain a été largement influencé par l’effet Covid caractérisé par le développement du télétravail et la quête d’authenticité. Les centre villes ont perdu, dans un premier temps, de leur attrait au profit des zones péri-urbaines et rurales, permettant de gagner de la surface ou un extérieur. Les ventes de maisons et appartement avec terrasse ont ainsi représenté 64% des ventes en 2021.Avec la pérennisation du télétravail, les zones rurales ont gagné en attractivité : les Parisiens ou habitants de grandes métropoles envisagent de plus en plus de faire de longs trajets deux ou trois fois par semaine au profit d’une meilleure qualité de vie et d’une plus grande surface.Face à ces nouvelles tendances, le groupe immobilier Mercure a décidé d’adapter ses stocks de biens en choisissant de rentrer en portefeuille les beaux biens situés en zone rurale (70% de son stock actuel).2022 : des perspectives d’évolution tournées vers la clientèle« Propriétés d’Excellence : une promesse de qualité totale. A la fois sur le caractère exceptionnel de nos biens, mais également sur L’Engagement de nos équipes, véritable marque de fabrique du groupe Mercure »Le groupe immobilier Mercure a décidé d’orienter sa stratégie vers sa clientèle. Dans un marché de l’immobilier de luxe à la concurrence accrue, Mercure se différencie par la qualité de ses services, une expertise reconnue, et en modélisant toujours plus ses services d’Excellence. Il entend pour cela améliorer ses formations et recrutements ainsi que la structuration de ses réseaux. À l’international, il souhaite pérenniser ses partenariats internationaux tout en développant les perspectives offertes par sa participation à la création de Forbes Global Properties.Au niveau national, le groupe souhaite également se développer en ouvrant 15 agences supplémentaires d’ici 2026.Les domaines viticoles : une expertise du groupe Mercure au service du patrimoineToujours dans un contexte Covid, Mercure a constaté l’apparition d’une clientèle nouvelle, attirée par l’union d’un bâti d’exception et de la vigne. Projet successoral ou fiscal, cet engouement des néo vignerons a donné l’ambition au groupe de pousser son expertise encore plus loin en engageant un expert du monde viticole et de l’œnotourisme.Celui-ci propose son expertise sur cette typologie de biens spécifiques en permettant à ses clients d’avoir une vue globale sur leurs projets : sur les éléments d’acquisition ainsi que l’entretien et la rentabilisation du domaine. Il peut ainsi proposer son expertise sur l’œnotourisme ou sur les modes de commercialisation du vin.Fidèle à son ADN, le groupe suit sa clientèle dans ses les envies de beau et d’espace avec une expertise fine et de proximité.
Il y a 2 ans et 363 jours

Batimat 2022 prévoit un espace “Low Carbon Construction”

Pour l’édition 2022, Batimat met l’accent sur la construction bas carbone. [©Batimat] A l’occasion de l’édition 2022 de Batimat prévu en octobre prochain, le salon mettra en vedette les solutions émergentes pour la décarbonation des bâtiments. Un espace “Low Carbon Construction” de 600 m2 sera installé en plein cœur du pavillon 1. Il a été conçu en partenariat avec Construction 211 et vise à faire découvrir les offres de ce marché en fort développement. Sur le thème de la décarbonation, cinq thématiques ont été retenues. A savoir, les matériaux de construction bio et géosourcés, en rénovation et dans le neuf et les matériaux de construction issus du recyclage. Le salon mettra aussi en valeur la biodiversité du bâtiment, le réemploi et la construction frugale. Ces solutions seront présentées à travers des conférences, un parcours thématique ainsi que des démonstrations de produits. Batimat : La mode de la construction bas carbone Les exposants de l’espace “Low Carbon Construction” s’engagent ainsi dans des démarches de développement durable. Ils sont notamment mobilisés dans la gestion des déchets, dans l’éco-conception ou encore dans des productions locales. Certains d’entre eux sont d’ailleurs déjà inscrits. Alegina, Parexgroup, Sika France ou encore Cycle Up seront de la partie. Lire aussi : Les isolants biosourcés en pleine croissance En attendant l’ouverture du salon, Batimat propose des articles sur Batiadvisor pour faire connaître l’ensemble des solutions disponibles pour la décarbonation des bâtiments. Une étude sur le bâtiment et le carbone et un guide sur les matériaux biosourcés sont aussi disponibles. Enfin, Batiradio diffuse des podcasts sur les mêmes thèmes. 1Média social du bâtiment et de la ville durable.
Il y a 2 ans et 363 jours

MILWAUKEE  poursuit le développement de son système modulaire PACKOUT™ avec 6 références complémentaires, portant à plus de 40 le nombre de solutions de stockage et de transport de l’outillage des professionnels.

La gamme PACKOUT™ permet aux artisans d’avoir toujours les bons outils à portée de main. Ce système modulaire, nomade et robuste, offre de nombreuses possibilités de combinaisons pratiques répondant exactement aux besoins qu’ont les professionnels pour acheminer, empiler, sécuriser et disposer facilement de leurs outils. En 2021, MILWAUKEE® va encore plus loin avec 3 nouveaux […]
Il y a 2 ans et 363 jours

MEWA mise sur une fabrication innovante préservant les res-sources

Le développement de nouveaux produits et de technologies avancées fait partie intégrante de la philosophie d'entreprise de MEWA. Le prestataire de services textiles optimise constamment la technologie de ses processus de fabrication afin de préserver les ressources. Il en est de même pour le développement des textiles, comme les vêtements de travail et de protection. Dans cette optique, le leader du secteur collabore étroitement avec des experts de la recherche, de l'enseignement et de l'apprentissage.
Il y a 2 ans et 364 jours

Label “Centre agréé de Recherche et Développement” pour Capremib

Capremib vient de recevoir le label “Centre agréé de Recherche et Développement” par le ministère de l’Enseignement et de la Recherche dans le domaine du béton préfabriqué.[©Hervé Vadon] Reconnue des professionnels du BTP et des maîtres d’ouvrage pour la qualité de ses bétons préfabriqués sur mesure, et désormais décarbonés, Capremib franchit une nouvelle étape dans son positionnement sur le marché du béton préfabriqué. En effet, l’entreprise vient de recevoir le label “Centre agréé de Recherche et Développement” par le ministère de l’Enseignement et de la Recherche dans ce domaine. Cela permettra aux partenaires, clients et fournisseurs de Capremib d’utiliser ses services, son personnel et ses infrastructures pour y développer toutes les formulations de béton. Et ainsi bénéficier de crédit d’impôt recherche. A cela s’ajoute l’obtention de la marque NF-BPE pour sa centrale à béton, qui permet d’assurer une traçabilité et une qualité des bétons produits en propre sur le site de Cormicy (51).
Il y a 2 ans et 364 jours

Le CNOA réaffirme au nouveau gouvernement son ambition de faire de l’architecture un levier clé d’amélioration du cadre de vie des Français

Le CNOA constate à regret que la question centrale de l’habitat n’a pas été confiée à un ministre de plein exercice, à l’heure où 12 millions de Français sont touchés par le mal-logement. Pour rappel, le CNOA plaide pour une politique interministérielle de l’architecture favorisant plus de lien avec les autres acteurs du cadre de vie et de l’habitat ; le ministère de la culture (la tutelle actuelle), renforcée par une direction de l’architecture, y auraient toute leur place.Face à l’ampleur des défis immédiats – dérèglement climatique, crise du logement, épuisement des ressources – le CNOA demande au gouvernement un appui immédiat pour faire de l’architecture un levier majeur d’amélioration du cadre de vie des Français, et une réponse à ces enjeux.Le CNOA demandera audience rapidement aux ministres dont les attributions recoupent les champs de mobilisation des architectes, afin de leur exposer le diagnostic et les propositions formulés dans son Plaidoyer « Habitats, Villes, Territoires. L’architecture comme solution ». Pour Christine Leconte, présidente du CNOA : « Agir face à la pénurie des ressources et à l’adaptation de nos villes au changement climatique n’est plus une option. Mieux loger nos concitoyens, et anticiper le vieillissement de la population doit être pris en compte sans attendre. La création architecturale est une solution au service des habitants trop peu exploitées par les décideurs publics et donc, par voie de conséquence, peu mis en œuvre à grande échelle : concevoir de bâtiments plus sobres en énergie et en matière, rénover dans le respect du patrimoine, réimaginer à partir de l’existant, penser au confort d’été dans nos villes et dans nos logements demande un soutien politique fort face à des pratiques obsolètes, trop installées. Nous savons le faire, il faut nous en donner les moyens. Nous défendrons le principe d’une filière économique de l’architecture ouverte qui garantira une souveraineté de production et un réemploi local des matériaux, audible en cette période inédite de pénurie. Ces solutions, proches des territoires et des habitants doivent être soutenues sans attendre: l’heure doit être à l’action ! »Le CNOA entend avancer avec les nouveaux ministres sur ces chantiers prioritaires :Assurer le développement mieux équilibré des territoires,Passer d’une politique du logement à une politique de l’habitat,Donner la priorité à la réhabilitation,Accompagne le changement des pratiques dans la filière du bâtiment et de l’architecture face au changement climatique,Décarboner la construction par le développement de nouvelles filières de matériaux et le réemploi.
Il y a 2 ans et 364 jours

Partenariat pour une offre de bâtiments bas carbone durables à coûts maîtrisés

Saint-Gobain et Nexity viennent de signer un partenariat pour développer ensemble la construction bas carbone, pour les marchés des logements et des bureaux. Grâce à leurs savoir-faire, ce partenariat d’innovation et de co-conception permettra le développement des gammes Ywood Résidentiel – bâtiments bas-carbone réalisés grâce à un mode constructif léger en bois – et Essentiel – bâtiments bas carbone, conçus avec le moins possible de chauffage, ventilation mécanique ou climatisation – de Nexity, afin de proposer au marché une offre de bâtiments bas carbone durables à coûts maîtrisés. Le travail commun réalisé visera plus généralement à optimiser les conceptions de l’ensemble des projets immobiliers, avec des solutions légères, performantes en qualité, bas carbone et économiques en s’appuyant notamment sur la présence de Saint-Gobain sur toute la chaîne de valeur, depuis la conception jusqu’à la distribution et livraison des matériaux. Ce partenariat renforcera la présence des deux groupes sur le marché de la construction bas carbone en France. Il s’inscrit dans la lignée du plan stratégique « Grow & Impact » de Saint-Gobain d’être leader de la construction durable dans le monde, ainsi que dans la stratégie bas carbone abordable de Nexity. Photo : Véronique Bédague, Directrice générale de Nexity et Thierry Fournier, Directeur Général de Saint-Gobain France Cet article Partenariat pour une offre de bâtiments bas carbone durables à coûts maîtrisés est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 0 jours

10ème Championnat de France Cordistes : 2 Jours d’efforts et des nouveaux titres de Champions de France

Bien plus que compétition d’experts, c’est surtout l’occasion de mettre en avant et de faire découvrir un métier en plein développement exercé par plus de 15 000 professionnels en France, regroupés dans 700 entreprises spécialisées. Une profession qui génère un peu moins de 1 milliard d’euro de chiffres d’affaire.Déjà 10 éditions fédératricesLancé en 2006 à Paris, le syndicat Français professionnel France Travaux sur Cordes a fait évoluer cet événement avec la volonté de réunir l’ensemble des acteurs du monde des travaux d’accès difficiles : cordistes, chefs d’entreprise, partenaires, organismes de formation, organismes, préventeurs, FFB, FNTP, Ministère du Travail, afin de mieux faire connaître la profession et d’améliorer les pratiques.Fédérateur, technique et impressionnant, les cordes fait le lien.Moyen d’accès et de déplacement sur des chantiers de travaux publics, des travaux urbains ou industriels, les déplacements sur cordes exigent un très grand professionnalisme de la part des techniciens qui allient double compétence : la maîtrise parfaite des techniques de progression sur cordes et des savoirs faire métier (maçon, tailleur de pierre, peintre, soudeur, foreur en montagne…). Travailler sur cordes exige des formations sanctionnées par des diplômes de certificat de qualification cordiste et de technicien cordiste.Un savoir-faire que le public a pu apprécier dans ce nouveau lieu, la Sucrière à Lyon !Situé en bord de Saône dans le quartier nouveau de Confluence.Un lieu idéal pour organiser ses épreuves en hauteurL’ancien portique du port qui devait charger les barges des péniches, mesure 52 mètres de long avec une hauteur de 16 mètres a permis d’organiser des épreuves très techniques de déplacement sur cordes.Le silo avec ses 21 mètres de haut est aussi idéal pour des déplacements plus confinés et plus précis comme l’épreuve du saut d’eau (monter, se déplacer et travailler avec un saut d’eau tout en perdant le moins d’eau !)Une compétition comme sur un chantier !Deux journées de confrontation dans un cadre prestigieux choisi par les organisateurs pour ce dixième événement.Des mises en situation de travail identique aux travaux sur bâtiments, en industrie, sur falaises pour sécuriser les routes, sécuriser les ouvrages d’Art, et bien d’autres encore…Les équipements, l’outillage, les matériaux, les tâches à effectuer avec précision et rapidité, tous les ingrédients sont réunis pour que les cordistes montrent les exigences techniques requises pour réaliser leurs ouvrages.Durant les épreuves 20 jurys experts de la profession chronomètrent tout en observent chaque geste, évaluent et vérifient que toutes les règles de sécurité soient respectées. Un évènement qui ne laisse personne indifférent, que l’on soit initié ou néophyte.Jusqu’aux Finales, la tension était palpable pour départager les challengers du titre individuel.Après 7 titres consécutifs Antoine Quidoz était l’homme à battre ! Ivan Muscat longtemps vice-champion de France voulait décrocher enfin le titre ! 1 er après les qualifications, il est éliminé en huitième de finale. Antoine va participer à sa 8ème finale face à Alban Girardin, une finale pleine de rebondissement qui se déroule sous l’immense portique. Antoine fini son parcours avec 30 secondes d’avance, mais écope d’une pénalité de 30 secondes suite à une faute technique. Les deux protagonistes finissent ex aequo.Les femmes ne sont pas en reste dans le métier. Elles étaient 5 à participer aux championnats de France Cordiste au terme desquels Leslie Graff est devenue championne de France pour la deuxième fois consécutivement.Le titre par équipe/entreprises est aussi très prisé par les cordistes et les entreprises. Les 3 meilleurs cordistes par entreprises se retrouvent en finale et là aussi pas beaucoup de surprises mais une bagarre de haut vol ! La finale se déroule comme 2019 entre Hydrokarst et Aplomb et est remportée par Hydrokarst.Résultats :Champions de France Hommes aexquo: Antoine Quidoz et Alban GirardinChampionne de France Femmes : Leslie GraffClassement par Équipe : HydrokarstClassement intérim : Actual Sett 1Classement organisme : Dimension CordeUne compétition et une table rondeLors de la remise des prix, Jacques Bordignon, président de France Travaux sur Corde a rappelé l’importance de cette manifestation pour la profession. « L’ensemble des acteurs, entreprises, salariés, entreprises de travail temporaire, organismes de formation et de certification, organismes préventeurs, fournisseurs y sont les bienvenus. Ils peuvent non seulement profiter du spectacle des épreuves, découvrir les nouveautés des partenaires sans lesquels l’événement ne pourrait avoir lieu, mais également échanger sur les actions en cours afin de poursuivre l’amélioration des pratiques professionnelles et la prévention des TMS »Une table ronde, avec tous les acteurs, sur le thème « Les fondamentaux des travaux sur cordes & préserver sa santé », en partenariat avec l’OPPBTP. » France Travaux sur Cordes donne rendez-vous, pour le 11ème championnat en 2024 à la Sucrière
Il y a 3 ans et 0 jours

Le Sénat consulte les élus locaux pour la mise en œuvre du « zéro artificialisation nette »

L’examen du volet « artificialisation » de ce texte avait été délégué au fond à la commission des affaires économiques, présidée par Sophie Primas, le projet de loi ayant été renvoyé à la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable, présidée par Jean-François Longeot.La loi Climat-Résilience a fait de la protection des sols et des milieux une priorité de l’action publique, face à la forte dynamique de consommation d’espaces agricoles, naturels et forestiers. Elle implique une meilleure prise en compte des conséquences environnementales des actions de construction et d’aménagement – l’artificialisation des sols – sans pour autant négliger les besoins des territoires en matière d’implantations d’entreprises, d’habitat ou encore d’infrastructures.D’ambitieux objectifs de réduction de l’artificialisation des sols ont été fixés par la loi afin d’accroître la résilience économique et environnementale des territoires. Neuf mois après l’adoption du texte, les collectivités sont d’ores et déjà pleinement engagées dans la traduction, au sein de leurs politiques d’urbanisme et d’aménagement, de l’ambition de sobriété foncière et de protection des sols portée par la loi Climat-Résilience. Avant que n’intervienne, en cascade, la modification des documents d’urbanisme intercommunaux et communaux, une première vague de révision des schémas régionaux d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires (SRADDET) a été lancée à la fin de l’année 2021.Dans leur rôle de contrôle de l’action du Gouvernement et de l’application des lois, alertés par certaines collectivités, les sénateurs se sont néanmoins fait l’écho de plusieurs interrogations sur la mise en œuvre concrète de l’objectif de « zéro artificialisation nette ». Décrets d’application remettant en cause les équilibres de la loi ; consignes variables des services de l’État ; nécessité de repenser, dans des délais serrés, l’ensemble des politiques territoriales ; insuffisance des outils de mesure de l’artificialisation… Autant de défis qui appellent une réponse rapide et constructive de l’État et, peut-être, du législateur, pour s’assurer de l’accompagnement des collectivités par les services de l’État et la bonne prise en compte des difficultés de chaque territoire.Le Sénat lance donc, le 19 mai 2022, une consultation en ligne des élus locaux, visant à recueillir un grand nombre de témoignages concrets sur la mise en application du volet « lutte contre l’artificialisation » de la loi Climat-Résilience. De l’évolution des documents d’urbanisme à l’impact sur les permis de construire, en passant par les moyens à la disposition des élus pour valoriser les friches ou « désartificialiser » les sols, le questionnaire mis en ligne permettra à l’ensemble des collectivités d’informer le Sénat de leurs difficultés et de transmettre leurs suggestions.Cette démarche pourrait déboucher, à l’issue de la consultation, sur une proposition de loi visant à mieux articuler le déploiement d’une politique de sobriété foncière ambitieuse et concertée sur l’ensemble du territoire français.La consultation en ligne, ouverte jusqu’au lundi 27 juin 2022, est disponible à cette adresse.
Il y a 3 ans et 0 jours

RSE / Responsabilité sociétale des entreprises : Inoha engage ses adhérents dans la décarbonation

Pour lutter contre le changement climatique, la France s’est engagée dans la Stratégie Nationale Bas Carbone et s’est fixée comme objectif la neutralité carbone à l’horizon 2050. C’est dans ce contexte qu’INOHA a placé la RSE parmi les axes de sa stratégie 2022 – 2025 pour accompagner la filière du Nouvel Habitat. A l’issue de son Assemblée Générale du 18 mai 2022, INOHA, l’Association des Industriels du Nouvel Habitat, a dévoilé son plan de décarbonation des entreprises et notamment le parcours d’accompagnement adapté au niveau de maturité et à la taille de ces dernières. Cet événement a également été l’occasion de présenter Delphine de Labarrière, nommée au poste de Responsable RSE. RSE, des actions structurées autour de 3 axes Le 15 décembre 2021, les membres du Conseil d’Administration d’INOHA ont validé la feuille de route stratégique pour engager et accompagner la filière du Nouvel Habitat dans sa démarche RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises). Dans ce domaine, les actions d’INOHA sont structurées autour de 3 axes : • Eclairer ses adhérents sur les enjeux de la RSE, sur les meilleures pratiques à adopter et les guider sur les différentes démarches d’évaluation. • Construire des actions collectives qui contribuent à bâtir une filière à impact positif et à développer des offres durables (mesure de l’empreinte carbone des entreprises et stratégie de décarbonation). • Peser sur la conception de la règlementation et sur la mise en œuvre équitable des pratiques commerciales. Pour accompagner ses adhérents sur ces sujets, INOHA leur propose des formations pour comprendre les enjeux de la RSE et piloter une démarche de transition environnementale. Un module spécifique sur la Responsabilité Sociétale de la Marque a été également mis en place. Bilan Carbone®, quels périmètres ? Afin de construire une filière à impact positif, l’un des axes de sa démarche RSE, INOHA s’engage dans la décarbonation de ses entreprises adhérentes. Pour rappel, le Bilan Carbone sert à mesurer les émissions de gaz à effet de serre liées à l’activité d’une entreprise. Il permet de catégoriser les émissions en 3 périmètres : • Scope 1 : émissions directes de gaz à effet de serre qui ont lieu au sein de l’entreprise résultant de la combustion d’énergies fossiles, telles que le gaz, le pétrole, le charbon… et les émissions de gaz frigorigènes. • Scope 2 : émissions indirectes liées à l’énergie non fossile utilisée par l’entreprise comme, par exemple, la consommation d’électricité ou de la chaleur pour la fabrication d’un produit. • Scope 3 : toutes les autres émissions de gaz à effet de serre qui ne sont pas liées à la fabrication d’un produit mais à d’autres étapes du cycle de vie de celui-ci (approvisionnement, achats, transport, frêt, déchets, …). Ce périmètre constitue la part la plus importante d’émissions d’une entreprise. La réalisation d’un bilan Carbone passe par 3 étapes clés : la collecte et le calcul des émissions de gaz à effet de serre, l’analyse des données et la mise en place d’une stratégie pour réduire les postes d’émissions les plus significatifs. Un parcours d’accompagnement à la décarbonation sur-mesure Pour mener à bien sa mission, et parce que les objectifs de réduction des émission de gaz à effet de serre s’imposent à toutes les entreprises, INOHA a bâti, à l’aide d’experts, un programme d’accompagnement à la décarbonation pour ses adhérents. Basé sur des démarches collectives stimulantes qui permettent d’apprendre ensemble et de se comparer, il propose trois dispositifs adaptés à tous les niveaux de maturité sur le sujet et à toutes les tailles d’entreprises : • Premiers Pas Climat : 3 sessions collectives de 2 heures, alternant avec des actions individuelles en autonomie, destinées aux petites entreprises souhaitant se familiariser et réaliser une première évaluation simplifiée de leur empreinte carbone sur les scopes 1, 2 et 3. • Bilan Carbone sur-mesure : 3 sessions collectives, alternant avec des actions individuelles accompagnées par un consultant expert, pour les entreprises souhaitant réaliser leur bilan carbone. • ACT Pas à Pas, en partenariat avec l’ADEME, pour les entreprises ayant réalisé leur bilan carbone et voulant mettre en œuvre une stratégie bas carbone. Ce parcours, d’une durée d’environ 3 ans, alterne sessions collectives et accompagnement individuel par un consultant expert, formé ACT Pas à Pas. Toutes les données collectées seront intégrées dans l’Observatoire « Vigie Décarbonation INOHA » qui sera mis en place dès que celles-ci seront suffisantes. Véritable chef d’orchestre, INOHA assurera la promotion, la coordination et la gestion administrative de ce programme. « Ce plan de décarbonation est essentiel pour contribuer positivement à la stratégie Bas Carbone des Accords de Paris. Nous avons une responsabilité importante et nous avons décidé d’en faire une priorité au sein d’INOHA pour accompagner nos adhérents sur ce sujet » précise Jean-Luc GUÉRY, Président d’INOHA. Delphine de Labarrière, nouvelle responsable RSE d’INOHA Pour mettre en œuvre efficacement la démarche RSE globale de l’association et de ses adhérents, INOHA a recruté Delphine de Labarrière au poste de Responsable RSE. Avant de rejoindre INOHA, elle a passé 15 ans au Consortium Stade de France, filiale des groupes Bouygues et Vinci, comme Responsable Développement Durable. A ce poste, elle a, entre autres, défini et structuré la démarche RSE de l’entreprise, élaboré les indicateurs et piloté la politique déchets. Elle mettra ses compétences au service d’INOHA et de ses adhérents et présentera au Conseil d’Administration, d’ici la fin de l’année, un plan d’actions structuré qui permettra une implication forte de l’association et des industriels qu’elle représente sur ces enjeux majeurs. http://www.inoha.org/
Il y a 3 ans et 0 jours

Capremib devient centre agréé de R&D pour les bétons préfabriqués

Capable de formuler plus de 50 types de béton et d’innover lorsque l’offre n’existe pas, le groupe Capremib reçoit le label « Centre agréé de Recherche et Développement » pour les bétons préfabriqués.
Il y a 3 ans et 0 jours

L’OPPBTP et la FFB renouvellent leur partenariat pour la prévention des risques professionnels

Dans le contexte du Plan Santé Travail 4 et de la loi Santé Travail, la prévention des risques professionnels doit rester une préoccupation première des entreprises du bâtiment. Si les progrès sont notables, la crise sanitaire du Covid 19, l’urgence climatique, les évolutions technologiques et sociétales que vit la filière construction montrent qu’il faut encore accompagner davantage les chefs d’entreprises dans toutes ces mutations, convaincus qu’un chantier bien mené en prévention est un chantier bien mené en production.Progresser en prévention pour gagner en performance Les actions menées grâce à ce partenariat entre la FFB et l’OPPBTP visent à faire progresser en prévention tous les professionnels du bâtiment pour permettre à leurs entreprises et à leurs chantiers de gagner en performance. L’objectif est de garantir de bonnes conditions de travail aux salariés, de maintenir la performance globale de leurs entreprises et d’innover, en faisant de la prévention des risques professionnels un atout au service des enjeux qu’ils ont à relever. Cette ambition est appelée à être déclinée au plus tôt dans toutes les régions. Prolonger un bilan positif depuis 2012 Inspiré des nombreuses actions menées dans les territoires au travers de conventions régionales depuis 2012, le premier accord national de partenariat conclu par la FFB et l’OPPBTP en 2017, a tout autant permis de renforcer la dynamique entre les deux partenaires, que d’identifier les besoins restant à satisfaire. Ce nouveau partenariat permettra notamment de prolonger et finaliser de nombreuses actions initiées depuis 2017 en relevant les ambitions. Le bilan quantitatif et qualitatif des actions menées depuis 2017 a mis en lumière plusieurs réussites :un meilleur pilotage des actions menées au bénéfice des entreprises grâce au renforcement des relations entre les partenaires, avec plus de 450 ateliers DUER (Document unique d’évaluation des risques) et près de 3000 entreprises accompagnées ;une communication plus visible de la FFB sur les thèmes de prévention des risques professionnels, avec plus de 1.000 réunions d’information prévention organisées sur les sujets d’actualité regroupant plus 19.700 participants ;un engagement marqué de nombreuses unions de la FFB avec l’OPPBTP, ces travaux ayant permis de mener plus de 10 études métiers avec 12 unions professionnelles ;une production de solutions, favorisée par l’implication des professionnels ; autour notamment des quelques 150 réunions d’information sur l’approche « Prévention et Performance » mais également sur le succès de la Semaine de la Prévention.Quatre axes de travail pour la période 2022-2025 Fort de ce bilan, les partenaires retiennent de développer des solutions adaptées aux besoins des entreprises et salariés au travers des quatre axes suivants :L’évaluation des risques professionnels : c’est un axe fort du nouvel engagement pris par les partenaires de ce nouvel accord, qui constitue le point de départ de toute démarche de prévention des risques professionnels construite et durable. Le DUER et son plan d’action doivent être vus comme des outils de cadrage et de pilotage de la démarche en prévention de l’entreprise y compris dans les TPE. Dans ce cadre, la FFB participe activement à la promotion des outils et solutions conçus pour les artisans et entrepreneurs par l’OPPBTP avec une part croissante du digital (ateliers/webinaires DU, PPSPS…).L’accompagnement des professionnels dans une meilleure prise en compte des risques propres à leur métier : ce partenariat doit permettre de proposer à chaque professionnel les solutions les mieux adaptées à ses besoins grâce à une expertise qui propose une réponse pour chaque situation de travail. Pour ce faire, l’accord prévoit la poursuite d’études métiers et études techniques et si besoin l’identification et la réalisation de nouvelles études afin de répondre à un manque de connaissance ou un besoin de solutions, exprimé par les professionnels. Pour mutualiser et atteindre le plus grand nombre de professionnels, les partenaires font la promotion des résultats des études et travaux techniques auprès de toutes les entreprises adhérentes de la FFB.La promotion de la prévention comme vecteur de modernité, d’innovation et d’attractivité : la prévention des risques professionnels est un vecteur de performance globale pour l’entreprise et un atout en matière d’image et d’attractivité. La FFB et l’OPPBTP contribuent à faire de la prévention l’un des outils au service du changement dans le BTP notamment auprès des TPE. En lien avec le Conseil de l’artisanat de la FFB, les partenaires assurent conjointement la promotion de l’approche positive de la prévention. Pour déployer le principe de « prévention et performance », qui porte une approche résolument positive et incitative en prévention des risques professionnels, les partenaires s’associent mutuellement à leurs études liées à l’innovation, au Lean construction, à la transition écologique et aux nouvelles technologies digitales.Le développement de la culture prévention de tous les acteurs : pour une efficacité maximale, les chefs d’entreprise comme leurs salariés doivent s’approprier les enjeux liés à la santé et à la sécurité au travail et connaître les outils disponibles, pour mieux prévenir et gérer les risques propres à leur activité. Pour y parvenir, la FFB, avec le soutien de l’OPPBTP organise annuellement la Semaine de la prévention en partenariat avec les SIST-BTP et le réseau de l’Assurance maladie-risques professionnels. Par ailleurs, l’OPPBTP met à disposition de la FFB tous les contenus éditoriaux permettant d’assurer une communication systématique sur les sujets santé et sécurité au travail dans ses revues, site et différents supports de communication, ainsi que lors des rencontres et moments d’échange avec les professionnels. Enfin, l’accord prévoit de conduire des actions à destination de publics ciblés : intérimaires, jeunes dirigeants et repreneurs, jeunes en formation initiale.
Il y a 3 ans et 2 jours

La Chine remet l'accent sur les infrastructures

Le pays le plus peuplé de la planète a considérablement développé ses infrastructures au cours des dernières décennies, particulièrement à la fin des années 2000 lorsqu'il s'est agi de relancer une économie affaiblie par la crise financière mondiale.Pékin avait alors investi sans compter 4.000 milliards de yuans (573 milliards d'euros actuels) dans l'économie, gonflant sa dette dans des projets parfois inutiles, mais soutenant au passage la reprise économique mondiale.Cette fois, le pouvoir chinois n'a pas annoncé de plan chiffré de développement des grands travaux, selon le compte-rendu d'une réunion de l'Etat-Parti diffusé mardi soir par l'agence Chine nouvelle."Xi Jinping a appelé à des efforts tous azimuts pour renforcer la construction des infrastructures", a rapporté l'agence de presse officielle. L'état actuel des installations de la deuxième économie mondiale "reste incompatible avec les exigences du développement et de la sécurité nationale", ont reconnu les dirigeants chinois.Afin notamment de "soutenir la demande intérieure", il convient d'investir dans les transports, l'énergie et les ressources hydrauliques.La réunion a mentionné tour à tour une multiplication des investissements dans les voies navigables, les ports, les aéroports, les énergies vertes, la recherche, l'informatique et les télécommunications.Faire mieux que l'AmériqueLa Chine est confrontée depuis le début de l'année à un ralentissement de son économie provoqué par la généralisation des mesures de quarantaine, dans l'espoir d'enrayer un fort regain épidémique.Shanghai, moteur économique majeur du pays, est en confinement depuis début avril, sans date de fin en vue. Auparavant, la métropole technologique de Shenzhen (sud) avait elle aussi été placée en quarantaine l'espace d'une semaine.Ces coups d'arrêt à l'activité rendent de plus en plus hypothétique l'objectif de croissance du PIB que le pays s'est fixé à 5,5% pour 2022.Selon le Wall Street Journal, Xi Jinping a ordonné à son administration de faire en sorte que la croissance du pays soit supérieure à celle des Etats-Unis cette année.Une telle performance permettrait de confirmer la supériorité supposée du système politique chinois sur la démocratie à l'occidentale, aurait plaidé le numéro un chinois, selon le quotidien américain.En attendant, la menace d'un confinement plane désormais sur Pékin. Mercredi, la commune limitrophe de Sanhe a annoncé la mise en quarantaine de ses 752.000 habitants, après la découverte d'un cas positif.Ailleurs dans le pays, d'importantes restrictions ont également été prises à Yiwu (est), ce qui risque de davantage peser sur le commerce international.La ville, située à environ 300km de Shanghai, est connue pour être un gigantesque marché de biens de consommation pour l'exportation.Mais des signes positifs se dessinent également avec l'annonce de la levée jeudi du confinement à Changchun et Jilin, deux grandes villes du nord-est du pays, berceau du secteur automobile.Pas de relance immédiateLe retour de la crise sanitaire est venu s'ajouter à la reprise en main des secteurs immobiliers et technologique, qui a gravement pénalisé ces dernières années ces deux piliers de la croissance nationale.Dans ce contexte, "les projets d'accélération des dépenses d'infrastructures sont des outils politiques destinés à accroître directement la dépense publique", observe l'économiste Rajiv Biswas, du cabinet S&P Global Market Intelligence.Mais ils ne permettront pas de relancer rapidement l'économie, avertit son confrère Ting Lu, de la banque Nomura."Avec les confinements, il est encore plus difficile d'accroître l'investissement dans les infrastructures, parce que les déplacements sont interdits et qu'il y une pénurie de main d'oeuvre" dans les zones concernées, remarque-t-il.Au final, la relance par les infrastructures ne pourra au mieux que "compenser une partie de la baisse d'activité induite par le ralentissement des exportations, la chute de l'immobilier et le coût de la stratégie du zéro Covid", estime Nomura dans une note d'analyste.Les annonces de Xi Jinping ont cependant rasséréné les marchés: après une ouverture en baisse, la Bourse de Shanghai a clôturé mercredi en hausse de près de 2,5%, tandis que celle de Shenzhen a gagné près de 4%.
Il y a 3 ans et 3 jours

La CAPEB et Mercedes-Benz France s’associent pour permettre aux artisans d’optimiser leur outil de travail

Cet accord de partenariat signé par Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB, via sa filiale Béranger Développement, Jean Christophe Ajax, Directeur Commercial Vans de Mercedes-Benz France et Brice Grevaz, Directeur Administratif et Financier de l’entreprise, vise à accompagner les entreprises artisanales du bâtiment adhérentes dans l’acquisition de véhicules utilitaires Mercedes- Benz.Mercedes-Benz France permettra aux entreprises adhérentes de la CAPEB d’être accueillies dans les meilleures conditions dans le réseau pour l’achat de leurs véhicules utilitaires et de leur offrir un contrat d’entretien Complete, 36 mois et 60.000 Km comprenant l’extension de garantie, l’entretien et le remplacement des pièces de rechange d’usure sur l’ensemble de la gamme véhicules utilitaires.Dans le cadre de son rôle de référencement et de coordinatrice, la CAPEB s’engage à recueillir et à analyser les besoins d’achat des adhérents, d’analyser les propositions et solutions techniques et de tester les produits et matériels.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Nous sommes fiers de nous associer à Mercedes-Benz France afin de faire bénéficier d’un accueil privilégié à nos entreprises adhérentes pour tout achat d’un véhicule utilitaire. En tant qu’artisan du bâtiment, je sais à quel point le véhicule est important pour la réalisation de notre activité. Nos adhérents vont ainsi pouvoir bénéficier d’utilitaires de qualité pour assurer leurs déplacements, leur maintenance ou encore leurs services auprès de leurs clients. »Pour Jean Chabrol, Responsable du Département Ventes Grands Comptes utilitaires Mercedes-Benz France : « Mercedes-Benz France est ravi de pouvoir équiper les entreprises artisanales du bâtiment. Depuis 125 ans, notre Groupe ne cesse d’évoluer dans son expertise en matière d’utilitaires légers thermiques et électriques et de services à nos clients. Dans le cadre de ce partenariat, nous sommes ravis d’améliorer le quotidien des adhérents de la CAPEB en facilitant leurs déplacements et en leur proposant, à des conditions privilégiées, la référence en termes de robustesse, de confort et de sécurité. En outre, 2022 est l’année où l’ensemble de nos gammes se déclinera en électrique, le eCitan viendra compléter la gamme comprenant déjà le eVito et le eSprinter »
Il y a 3 ans et 4 jours

Ile de Nantes à toute Allure selon Raphaël Gabrion et Ramdam

Le nouveau quartier République, urbanisé selon les principes définis par Jacqueline Osty (paysagiste mandataire) et Claire Schorter (architecte-urbaniste), est en plein développement. En témoigne Allure, un projet conçu par Raphaël Gabrion et Ramdam et composé de trois bâtiments comptant 71 logements sur 4 954 m². Le projet L’îlot Amir se situe entre un grand Parkway […] L’article Ile de Nantes à toute Allure selon Raphaël Gabrion et Ramdam est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 4 jours

Efficacité énergétique et digital : la révolution est proche

Alors que de plus en plus d’acteurs partent à l’assaut des marchés de la Smart Home et du Smart Building, la prochaine révolution qui s’annonce passera par l’arrivée de solutions globales répondant aux différents besoins des consommateurs, analysent les consultants des Echos Etudes dans leur dernière publication « Le marché des solutions d’efficacité énergétique ». Encore émergent, le marché de l’energy management est loin d’avoir exprimé tout son potentiel chez les particuliers comme chez les professionnels. Du côté de la Smart Home, la demande bondit depuis 2020. La crise sanitaire et l’augmentation du temps passé chez soi ont provoqué un engouement des consommateurs pour tous les équipements liés au foyer. Certes, les ventes se concentrent encore essentiellement sur les montres connectées, les télévisions et autres assistants vocaux. Les objets liés à l’énergie comme les ampoules, les prises et les thermostats connectés rencontrent, eux, moins de succès. Mais toutes les enquêtes le montrent : l’intérêt est là. Les solutions digitales d’efficacité énergétique font aussi une percée dans le secteur tertiaire. D’après une enquête réalisée par Les Echos Etudes, 44 % des entreprises ont installé des équipements connectés (capteurs, thermostats intelligents…) au sein de leurs bâtiments pour réduire leur consommation d’énergie. C’est la solution privilégiée devant des équipements à haute performance énergétique. Et pour cause : les coûts de déploiement sont relativement faibles et l’IoT permet d’accéder facilement à des informations exploitables, a minima de prendre conscience de la problématique énergétique. En revanche, la mise en place de plateformes de monitoring des consommations est une solution nettement moins courante avec seulement 24 % des entreprises qui y recourent.Le réveil du marchéSi le développement des solutions digitales pour l’énergie a été jusqu’à présent un peu poussif, le marché est à l’aube d’une nouvelle donne. L’augmentation sans précédent des prix de l’énergie devrait pousser particuliers comme entreprises à s’impliquer davantage dans la maîtrise de leurs consommations énergétiques. D’après l’enquête des Echos Etudes, les deux-tiers des décideurs interrogés pensent que l’augmentation des prix de l’énergie va conduire leur organisation à accélérer ses investissements dans l’efficacité énergétique dans les douze prochains mois. La proportion grimpe même à 94 % pour les entreprises de plus de 5.000 salariés. Du côté de la réglementation, les signaux sont également au vert. Après près d’une décennie d’un parcours très chaotique, le décret tertiaire, en vigueur depuis le 1er octobre 2021, réveille enfin le segment BtoB. 43 % des entreprises estiment que sa mise en œuvre devrait les conduire à accélérer leurs investissements dans l’efficacité énergétique. En revanche, un travail de pédagogie est encore à faire pour tous les acteurs de l’efficacité énergétique, car 37 % des répondants ne connaissent pas encore cette nouvelle réglementation.Vers la fin des approches en silos ?Ce gisement de croissance attise une forte concurrence. Editeurs de logiciels, énergéticiens, sociétés de services énergétiques, fabricants d’équipements électriques et de génie climatique, start-up… de plus en plus d’acteurs partent à l’assaut du marché. Le panel des solutions disponibles sur le marché est aujourd’hui très large, avec de nombreux équipements, logiciels et plateformes de monitoring des consommations proposés. Il n’y aura probablement pas de place pour tout le monde, d’autant que certains dispositifs sont en concurrence partielle ou frontale. Mais la véritable révolution va venir de l’arrivée d’offres globales. Pour le moment, les opérateurs enrichissent leur gamme brique par brique, commercialisées chacune de leur côté. Résultat : les ménages comme les entreprises voient arriver une profusion d’équipements, dont l’énergie n’est parfois qu’une fonctionnalité parmi d’autres. Charge à eux de bâtir leur écosystème. A terme, cette approche est amenée à disparaître pour laisser place à une unique interface de pilotage de la fonction énergie de la maison ou du bâtiment. Reste à savoir quels sont les acteurs les mieux placés pour s’imposer…Le secteur tertiaire face aux enjeux d'efficacité énergétiqueLe marché de l'efficacité énergétique offre des perspectives prometteuses sur le segment tertiaire. Une enquête menée par Les Echos Etudes dresse un état des lieux chiffré des actions menées par les entreprises et administrations publiques.48% des répondants estiment que leur entreprise ou administration publique n'a pas encore engagé d'initiatives concrètes pour réduire ses consommations d'énergie.43% des entreprises et administrations publiques pensent que le décret tertiaire va les conduire à accélérer leurs investissements dans l'efficacité énergétique au cours des douze prochains mois.24% seulement des entreprises et administrations publiques ont installé un logiciel ou une plateforme de monitoring de leurs consommations énergétiques.
Il y a 3 ans et 4 jours

« La couverture, interface clé entre les éléments extérieurs et le bâtiment », au sommaire de Solutions & Performances N°7

Le nouveau numéro de Solutions & Performances, la lettre du CSTB dédiée à l'accompagnement de l'innovation, est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. La lettre Solutions & Performances donne une place centrale aux acteurs, clients et partenaires du CSTB - industriels, maîtres d'ouvrage, maîtres d'œuvre, entreprises et artisans témoignent - car ce sont eux qui donnent les clés en matière d'innovation en lien avec leurs besoins et les attentes du marché. Ainsi, dans la rubrique La parole aux professionnels, un représentant des industriels du secteur et un dirigeant d'entreprise nous parlent des bénéfices de la certification pour leur activité. En Une, la rubrique Tendances s'intéresse notamment à l'émergence de nouvelles applications pour certains matériaux de couverture, comme l'aluminium et l'acier. Elle évoque également le déve¬loppement des écrans de sous-toiture, toujours plus performants, et les innovations des fabricants qui permettent de nouvelles fonctionnalités de la couverture, en lien avec les exigences de la RE2020. Les Actualités réglementaires reviennent sur la méthode simplifiée pour la détermination de l'action du vent selon l'Eurocode 1 P1-4 sur couvertures en bacs métalliques autoportants à joints sertis ou à emboîtement et sur la révision du NF DTU 40.24 relatif aux couvertures en tuiles en béton à glissement et à emboîtement longitudinal. La rubrique Pathologies se focalise sur les différentes causes d'infiltration sur les couvertures réalisées avec des plaques nervurées issues de tôles d'acier galvanisé. Grâce à Parole d'expert, vous saurez tout sur les certifications « Couvertures » délivrées par le CSTB : QB17 (ardoises en fibres-ciment), QB25 (écrans de sous toiture), QB35 (closoirs ventilés et NF249 (plaques ondulées en fibres-ciment). À découvrir également l'animation pédagogique Marquage & Certificats qui donne les clés de la certification dédiée aux procédés et produits de couvertures. La rubrique Innovations présente enfin les dernières tendances du marché, qui concernent notamment les défis engendrés par l'augmentation de la taille des modules photovoltaïques et le développement de nouveaux matériaux pour les couvertures métalliques à joint debout. Bonne lecture ! Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 4 jours

La couverture, interface clé entre les éléments extérieurs et le bâtiment

Photo : ShutterStockLa couverture est la partie visible de la toiture qui recouvre la charpente et l'isolation du toit. Elle protège le bâtiment et ses occupants contre les agressions climatiques : la pluie, le soleil, la chaleur, la neige et le vent. Afin de remplir cette fonction, elle doit présenter des caractéristiques telles que l'imperméabilité et la résistance au poids et aux chocs. Pour s'assurer de l'efficacité du système, le choix d'éléments de couverture de qualité est essentiel. Il doit être déterminé en fonction des performances attendues des produits dans la durée, au regard du climat, des règles d'urbanisme et, idéalement, de l'utilisation des ressources locales. Les couvertures en tuiles sont les plus répandues dans l'Hexagone, devant celles en ardoises et les éléments en zinc, mais les bacs acier, les plaques en fibres-ciment ou, dans une moindre mesure, les bardeaux bitumés sont également utilisés pour certains types de bâtiments, industriels et agricoles notamment. Dans un contexte de fluctuations importantes des prix et de raréfaction de certains gisements comme ceux de zinc, on assiste à l'émergence de nouvelles applications pour certains matériaux de couverture - l'aluminium et l'acier notamment. La RE2020, nouvelle règlementation environnementale entrée en vigueur le 1er janvier 2022, met à ce titre l'accent sur la nécessaire optimisation de l'utilisation des matériaux et procédés, ainsi que sur leur durabilité, leur potentiel de circularité et de réemploi - facilité de réparation et de remplacement -, attributs décisifs pour réduire l'empreinte carbone de la couverture sur l'ensemble de son cycle de vie. La RE2020 a également stimulé l'innovation portée par les industriels du secteur. Ceux-ci proposent aujourd'hui des solutions améliorant significativement les performances énergétiques et thermiques des bâtiments, tout en procurant à leurs usagers davantage de confort, en hiver comme en été. Le sarking, par exemple, technique d'isolation de la toiture par l'extérieur, protège ainsi les bâtiments du froid en hiver et permet de limiter les apports de chaleur en été, sans occasionner de perte d'espace dans les combles, devenus de vraies pièces de vie dans de nombreux foyers. On observe également le développement et la démocratisation des écrans de sous-toiture, toujours plus performants, qui bien que non obligatoires dans les DTU, sont très fortement recommandés, car ils permettent de protéger les combles contre les fines particules : poussières, pollens et surtout neige poudreuse. Ils sont d'ailleurs systématiquement proposés par les tenants d'Avis Techniques de procédés de tuiles de terre cuite à pente abaissée, tendance forte portée par le marché et les architectes. Les innovations des fabricants concernent par ailleurs de nouvelles fonctionnalités de la couverture, qui répondent elles aussi aux exigences de la RE2020. Ainsi, la production d'énergie renouvelable au moyen de panneaux photovoltaïques intégrés à la couverture ou surimposés peut couvrir tout ou partie des besoins énergétiques de fonctionnement d'un bâtiment et de ses usagers, mais génère de nouveaux défis de conservation du niveau d'étanchéité de la couverture dans le temps. Dans cette optique, on constate une tendance forte du marché en faveur de la pose de modules photovoltaïques de plus grande dimension. Ces innovations supposent de nouvelles modalités de mise en œuvre, qui doivent être compatibles avec la sécurisation des chantiers de couverture, pour lesquels des guides de sécurité et de prévention sont disponibles. Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 4 jours

Anne Jeannolin - La parole aux professionnels

La parole aux professionnels Anne Jeannolin, dirigeante, entreprise de couverture Jeannolin, et conseillère professionnelle, UNA CPC CAPEB Quel est votre rôle au sein de la CAPEB ? Je suis vice-présidente de la CAPEB Savoie et conseillère professionnelle pour les couvreurs au sein de l'Union Nationale des Couvreurs Plombiers Chauffagistes de la CAPEB nationale. À ce titre, je participe aux rénovations réglementaires ainsi qu'à différentes missions. Forte de ses 59 300 adhérents, la CAPEB représente 557 000 entreprises artisanales dans le bâtiment, 651 000 salariés et forme 56 000 apprentis. Par ailleurs, je dirige, depuis 1999, une entreprise savoyarde de charpente, couverture et zinguerie avec mon mari. Quelle est votre relation avec le CSTB ? Je suis membre du GS5.1 Produits et procédés de couvertures pour le CSTB, ce qui me permet de donner un avis de « terrain » et de professionnelle sur les Documents Techniques d'Application avant validation. En quoi les certifications QB17, QB25, QB35 et NF249 constituent-elles une valeur ajoutée pour les artisans ? Les certifications sont un gage de qualité et de confiance. Elles attestent de la performance des produits mis en œuvre puisqu'ils répondent, à minima, aux CGM des DTU. En cela, elles facilitent grandement le choix des produits aux artisans et entreprises du bâtiment. On assiste au développement du sarking. Quels sont ses avantages ? Procédé d'isolation que seuls les métiers de la couverture peuvent proposer, le sarking permet d'optimiser les surfaces habitables, tout en évitant les ponts thermiques lors d'une interface avec l'isolation des murs par l'extérieur. Il n'existe malheureusement que très peu de procédés sous Avis Technique et DTA, notamment en climat de montagne. Les modules photovoltaïques de grande dimension sont de plus en plus répandus. Existe-il une différence majeure entre la pose de panneaux intégrés à la couverture et de panneaux surimposés ? Pour nous, couvreurs, il n'y a aucune différence en termes d'étanchéité, car c'est notre cœur de métier. Cependant, les panneaux en surimposés permettent, selon les configurations, de ne pas être soumis aux problèmes de ventilation minimale demandée en intégré, notamment dans les cas où la réfection de la toiture n'est pas prévue dans son intégralité. Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 4 jours

Innovations – Nouveaux Avis Techniques

Photo : PREFADéveloppement de nouveaux matériaux pour les couvertures métalliques à joint debout Avec la raréfaction de certains minerais et les fluctuations sur les prix des matériaux, des alternatives aux métaux traditionnels ont émergé ces dernières années pour la réalisation de couvertures en feuilles métalliques à joint debout serti, posées sur platelage bois continu (voliges). Ainsi, pour remplacer les matériaux historiques comme le zinc, le cuivre, l'acier inoxydable et le plomb, qui disposent de règles de l'art approuvées et éprouvées, des solutions utilisent de l'acier galvanisé “souple” prélaqué ou de l'aluminium prélaqué. Leur mise en œuvre, si elle est très proche des règles appliquées aux matériaux traditionnels, nécessite quelques précautions liées aux spécificités de ces produits et à leur comportement mécanique et physique. Dans les deux cas, la prise en main par le couvreur et la souplesse du matériau ne sont pas exactement les mêmes, et la résistance au vent du procédé doit être réévaluée. Les soudures sont également plus complexes et techniques sur l'acier prélaqué (décapage, peinture de retouche...) ou l'aluminium (soudure TIG-MIG) que sur le zinc. Ainsi, le traitement des points singuliers nécessite une vigilance accrue et des particularités propres à chaque procédé, avec notamment l'utilisation d'accessoires spécifiques préfabriqués en usine. Enfin, l'acier prélaqué n'est pas résistant par nature à la corrosion sans son revêtement. Un vrai travail sur la souplesse des revêtements prélaqués a ainsi été réalisé pour parvenir à des revêtements capables de résister aux contraintes de pliage très sévères lors du sertissage du joint debout. Toutes les exigences spécifiques à ces produits sont détaillées dans leur Document Technique d'Application. Des surfaces de plus en plus étendues pour le photovoltaïque En matière de photovoltaïque, l'innovation concerne principalement l'augmentation de la taille des modules, qui génère de nouveaux défis pour dimensionner les systèmes de montage. Cette innovation pose donc deux problèmes techniques majeurs. Les reprises de charge sont plus importantes, notamment lorsque les modules sont couverts de neige. Il y a donc un enjeu de dimensionnement des tôles d'acier qui constituent l'élément porteur sous le complexe d'étanchéité servant de support aux modules. Par ailleurs, des modules de grande dimension sont beaucoup plus sensibles aux effets du vent et donc au risque d'arrachement. Ce type d'installation concerne principalement les bâtiments commerciaux et logistiques supérieurs à 1 000 m² qui ont généralement des structures porteuses dimensionnées au plus juste, ne permettant pas de compenser les sollicitations potentielles par des ancrages dans des systèmes massifs. Des systèmes surimposés au-dessus d'une couverture en tuiles ou en ardoises se développent également. Ils nécessitent que les modules photovoltaïques soient fixés sur une ossature, elle-même fixée sur un système qui traverse la couverture pour s'appuyer sur la charpente. L'enjeu est alors que ce système de fixation complexe ne dégrade pas l'étanchéité de la toiture et soit en capacité de résister aux charges de neige et de vent. En savoir plus : DTA Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 4 jours

Céline Ducroquetz - La parole aux professionnels

La parole aux professionnels La FFTB travaille avec le CSTB à la rédaction des textes de mise en œuvre et intervient aussi dans des comités de certification de produits, comme la marque QB35 pour les closoirs de faîtage par exemple. Céline Ducroquetz, responsable développement, FFTB Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 4 jours

La construction hors site en plein essor

Prémur préfabriqué en usine et prêt à l’emploi. [©AC Presse] La construction hors site permet de fabriquer et de pré-assembler des composants de bâtiments, en usine, pour une installation sur l’emplacement final. C’est ce que l’on appelle “préfabrication” dans le secteur du béton. Et ce, depuis les années 1920. La société BTP Consultants1 a observé l’évolution et l’impact du hors site dans le secteur de la construction. En effet, ce dernier représenterait 20 % des bâtiments construits dans le monde d’ici 2030, selon le cabinet McKinsey. L’essor de cette technique s’explique notamment par les avantages économiques ou écologiques qu’offrirait la construction hors site par rapport à la construction traditionnelle sur chantier. En effet, l’association UFC-Que Choisir démontre que cette dernière est soumise à des retards de livraisons d’en moyenne 5 mois sur près de 30 % des programmes immobiliers. D’après l’institut Xerfi, elle subit aussi la baisse de 19,3 % de la productivité des ouvriers sur les chantiers depuis 2001. De plus, elle jette l’équivalent de 1,5 Md€ de produits et matériaux non utilisés. De son côté, la construction hors site propose des avantages au niveau de la gestion des ressources. Elle facilite l’emploi de matériaux recyclés ou réutilisés, limitant ainsi le gaspillage de matières premières. L’impact de la construction hors site D’après une étude de l’université d’Aalto, en Finlande, cette technique permet aussi une productivité quatre fois supérieure à un chantier classique. En outre, les coûts des transports sont divisés par cinq, car les matériaux sont stockés en usine. Par ailleurs, le développement de « la construction hors site révolutionne le secteur et impacte tous les acteurs impliqués dans l’acte de construire », déclare Elia Abou Chaaya, directeur de l’activité hors site de BTP Consultants. Les bureaux de contrôle, qui contribuent à la prévention des aléas techniques dans la réalisation des ouvrages sont en particulier touchés. Lire aussi : La préfabrication à la mode du bas carbone « Le rythme classique d’un contrôleur technique n’est pas adapté à l’industrialisation, ajoute Elia Abou Chaaya. C’est tout un état d’esprit qui évolue. » Leur mission est de vérifier la faisabilité de la conception et la conformité des solutions industrielles. Tout en détectant les techniques non traditionnelles ou innovantes nécessitant des certifications spéciales de type Atex2. Les coordonnateurs SPS, qui évaluent les risques sur le chantier, sont aussi concernés par ce changement. Ils doivent adapter leur vision pour prendre en compte le risque d’accident en usine, la réduction de la phase chantier, le traitement des livraisons et du mode de montage des modules. 1 BTP Consultants est un bureau de contrôle technique de construction et de coordination SPS. Il est le premier à être certifié Iso 9001 et Iso 14001.2Procédure d’évaluation technique formulée par un groupe d’experts sur un produit ou un procédé innovant. 
Il y a 3 ans et 4 jours

Herige monte en puissance pour l’année 2022

Benoît Hennaut, président du directoire d’Herige. [©Charles Marion/Herige] En 2020, le groupe Herige annonçait les grandes lignes de son projet de transformation articulé autour de trois piliers : “l’humain”, “l’environnement”, “l’innovation et le digital”. Il a pour ambition d’être un acteur majeur pour tous ses clients et tous ses territoires. Tout en contribuant à l’évolution et à la décarbonation des secteurs de la construction et de l’industrie. Cet objectif se caractérise par une montée en puissance du groupe. En effet, le chiffre d’affaires d’Herige a atteint 720 M€ en 2021. Un record ! Les trois corps de métiers du groupe, que sont la menuiserie industrielle (Atlantem), le béton (Edycem) et le négoce (VM), ont contribué à cette croissance. Tout comme les récentes acquisitions d’Activence (Paca) et d’Audoin & Fils Béton (Aquitaine). Ces filiales s’adaptent aux nouvelles normes du secteur et proposent des solutions capables de répondre aux enjeux actuels. Ainsi, Herige place l’environnement au cœur de ses activités. Il a mis en place une politique RSE qui touche tous les métiers. En témoigne la filiale de négoce VM qui développe ses offres biosourcées pour contribuer à la rénovation énergétique des bâtiments. Herige engagé dans la RSE Mais aussi, le groupe lutte contre la surexploitation de matières premières. Il veut privilégier l’économie circulaire et mieux valoriser les déchets. « La priorité est d’être dans le “faire”, en encourageant la prise d’initiative, déclare Caroline Lutinier, directrice RSE et communication d’Herige. Cela, afin de favoriser au mieux l’appropriation de ces enjeux par toutes nos parties prenantes. Nous voulons aussi nous inscrire dans une démarche de dialogue à la fois à l’interne et à l’externe. La communication sera donc essentielle, afin de fédérer et d’encourager l’engagement de chacun. » Lire aussi : Capeb et Herige : Un partenariat environnemental Par ailleurs, Herige a signé un partenariat avec WWF, en 2021, pour une durée de trois ans. Cette collaboration porte sur plusieurs thématiques comme le climat ou encore la biodiversité. Elle a pour objectif de réduire l’empreinte carbone du groupe et de préserver les forêts françaises, en soutenant le projet “Cœur Forestier de la France”. En ce qui concerne le pilier “innovation et digital”, la data est au cœur des priorités d’Herige. Le groupe s’ancre pleinement dans la transition numérique. Il compte bien enrichir les données BIM de VM, moderniser les outils d’Edycem ou encore accompagner Atlantem dans la transformation digitale, avec la solution Digit’Am. Les services d’Herige Au niveau des datas, Herige a pour ambition d’exploiter au mieux ces données. Une réflexion a été engagée en interne, afin de mieux valoriser la donnée au service du pilotage de la performance interne (économique, RH, et environnementale), des clients, des fournisseurs et des parties prenantes. Après avoir déjà analysé les pratiques et dégagé une trentaine d’usages identifiés, Herige prépare une stratégie de budgétisation et de déploiement de nouveaux procédés dans les mois à venir. La RSE d’Herige place aussi l’humain au cœur de sa politique RH. Le groupe propose des opportunités de formation et de développement de carrière. Lire aussi : Herige entre au capital de Valobat Il souhaite mettre en œuvre des dispositifs comme la digitalisation du système d’information RH. Cela, afin d’assurer le suivi des entretiens annuels. Ainsi, il adapte ses moyens pour répondre aux attentes des équipes et attirer de nouveaux talents. Il a notamment lancé la Herige Académie, qui propose des parcours de formation “leaders” et “sprint managers”. Cette dernière place la RSE au cœur de l’enseignement. Enfin, Herige a créé “Graines d’impact”. Ce collectif a pour objectif de partager, en interne, la feuille de route de la société pour renforcer l’engagement RSE. Pour cela, une newsletter est diffusée chaque mois. Elle permet d’informer les collaborateurs sur les actions en cours.
Il y a 3 ans et 5 jours

Doctorants au CSTB, ils présentent leurs thèses en 180 secondes

Afin de valoriser les travaux de recherche de ses doctorants, et d'encourager ces jeunes chercheurs à transmettre leurs connaissances, le CSTB leur a demandé de présenter leurs thèses en 180 secondes. Une démarche qui confirme la pluridisciplinarité des projets au cœur de la recherche du CSTB. Gabriel, Merveil, Nada, Miora et Martin… Tous ont un point commun : ils font partie de la cinquantaine de doctorants et doctorantes qui se forment à la recherche, et par la recherche, au CSTB. Leurs cinq projets attestent ainsi de la diversité des domaines de recherche : économie circulaire, qualité de l'air intérieur, rénovation énergétique du parc, décarbonation du secteur de la construction, sécurité et effet des incendies sur les structures. Les doctorants au CSTB Les travaux des doctorants sont menés dans le cadre de collaborations entre le CSTB et des laboratoires académiques. Après trois ans de recherche, co-encadrés par leur directrice ou directeur de thèse et un chercheur du CSTB, ils aboutissent à la soutenance d'une thèse en lien avec les quatre domaines d'actions stratégiques recherche du CSTB : Bâtiments et Quartiers pour bien vivre ensemble, Bâtiments et villes face au changement climatique, Rénovation, Fiabilisation de l'acte de construire & Innovation, Economie circulaire et ressources pour le bâtiment. La diffusion et la validation de ces travaux s'effectuent notamment par des articles et des communications scientifiques. Intégrés aux équipes de recherche du CSTB, ou hébergés chez ses partenaires, ces chercheurs en herbe contribuent à l'émergence de nouvelles pistes de recherche qui participent à la conception des bâtiments et villes de demain. « Ma thèse en 180 secondes » MIORA ROBSON, 28 ans Université d'Orléans Thèse : Résistance du béton des ancrages chimiques sous sollicitation thermomécanique (3ème année) Le cadre pluridisciplinaire et les équipements de pointe du CSTB sont un réel atout. MERVEIL MUANDA LUTETE, 29 ans Nantes Université Thèse : Évaluation des mesures d'adaptation de l'environnement urbain aux contraintes du réchauffement climatique (2ème année) Proposée par le CSTB, ma thèse a suscité l'intérêt de l'entreprise Ingérop. Dans le cadre de cette thèse CIFRE, dispositif qui encadre une collaboration entre une entreprise publique et un laboratoire de recherche, mes travaux ont pour objectif de faire avancer la recherche en lien direct avec les problématiques de l'entreprise sur les questions d'adaptation au changement climatique dans les projets d'aménagement urbain. MARTIN RIT, 27 ans École des Mines de Saint-Étienne Thèse : Évaluation du potentiel de rénovation énergétique d'un territoire dans le cadre de démarches de massification (1ère année) Dans le domaine du bâtiment et de la rénovation, le CSTB reste l'une des références en France. En termes d'encadrement, il me donne notamment la possibilité de m'enrichir des autres projets liés à la thématique de ma thèse. NADA BENDAHMANE, 26 ans École des Mines de Saint-Étienne Thèse : Développement d'indicateurs de pression sur les ressources minérales et métalliques pour une approche performancielle de l'économie circulaire (3ème année) J'ai effectué un stage au CSTB Grenoble pour réaliser des données environnementales par défaut des produits de construction et équipements du bâtiment afin de préparer la RE2020. Eloignée du domaine de la recherche, les discussions avec les autres doctorants et l'accompagnement de l'équipe Environnement du CSTB pendant ce stage m'ont donné envie de poursuivre dans cette voie. Faire une thèse au CSTB permet d'être rapidement confrontée au terrain et d'être constamment en lien avec les besoins concrets des acteurs. GABRIEL ROSSIGNOL, 25 ans Institut Mines-Telecom de Lille Thèse : Impact de la présence de Libérateurs de formaldéhyde dans la formulation des produits ménagers sur la Qualité de l'Air des environnements intérieurs (2ème année) Ma thèse est co-financée par le CSTB et l'ADEME. Etant plus habitué aux manipulations en laboratoire, mon intégration à la direction Santé Confort du CSTB est très enrichissante sur le plan de la recherche pure, et particulièrement sur la transmission et le partage des résultats.
Il y a 3 ans et 5 jours

VEKA Spectral : une offre exclusive pour des menuiseries PVC architecture contemporaine de haute qualité

Grâce à ces nombreux atouts, VEKA SPECTRAL est donc en mesure de séduire architectes, maîtres d’ouvrage, fabricants de menuiseries, poseurs et amoureux de design à la recherche de produits durables. Ainsi, pour le fabricant, VEKA SPECTRAL s’impose comme une véritable opportunité : différenciation et exclusivité sur son marché, création de valeur ajoutée, le tout sans avoir à investir dans un nouveau processus d’assemblage. Pour l’installateur/artisan, cette finition VEKA SPECTRAL, en plus d’apporter un design unique et abouti, se veut résistante et incomparable. Enfin, le particulier y trouvera un rendu inédit visuellement et étonnant par le toucher, le tout associé à des menuiseries VEKA performantes et recyclables. VEKA SPECTRAL : 10 teintes disponibles pour habiller profilés PVC et produits complémentaires S’appuyant sur une technologie maîtrisée, associant laquage et plaxage, VEKA propose VEKA SPECTRAL. Cette finition couleur exclusive allie design et technologie et s’inscrit parfaitement dans les tendances architecturales actuelles, ainsi que dans la progression des menuiseries couleurs sur le marché.VEKA SPECTRAL séduit immédiatement par ses qualités esthétiques et sensorielles, inédites dans le monde de la menuiserie. Sa technologie brevetée génère un aspect ultramat qui absorbe la lumière, plutôt que de la réfléchir. Son interaction avec la lumière crée une qualité de couleur particulièrement dense et riche, pour un aspect unique. Son apparence interpelle également et incite à tester de ses propres mains, pour expérimenter un toucher velours exceptionnel ; une sensation inhabituelle et très agréable.VEKA SPECTRAL se décline en un large éventail de coloris, idéal pour accompagner des projets modernes et élégants, et d’ores et déjà riche d’une dizaine de possibilités : Blanc Pur, Blanc, Gris, Anthracite, Noir Graphite, Umbra, Vert Sapin, Vert Noir, Bleu Acier ou encore le tout nouveau Bordeaux. Cette palette couleur s’enrichit régulièrement de nouveaux tons pour répondre aux dernières évolutions et tendances du marché.Mentionnons aussi que VEKA SPECTRAL propose la possibilité de réaliser des menuiseries plus personnelles, en bicoloration, pour une plus grande harmonie avec la décoration intérieure et l’architecture extérieure.Par ailleurs, l’étendue de la gamme de profilés PVC proposés en VEKA SPECTRAL ainsi que les accords noués avec de nombreux partenaires* de produits complémentaires à la menuiserie (portes d’entrée, portes de garage, bardages, coffres de volet roulant, panneaux de remplissage, habillages et croisillons…) permettent de proposer une collection complète et harmonisée de produits destinés à l’habitat.Une finition haute qualité répondant aux exigences de durabilité et de stabilité Si cette nouvelle technologie de colorisation s’adapte particulièrement aux architectures contemporaines de haute qualité, le rendu haut de gamme des profilés VEKA SPECTRAL s’allie à des qualités techniques appréciées aujourd’hui tant en neuf qu’en rénovation. Ainsi, le film de plaxage laqué associé à une résine de protection Radcure®, durcie par faisceaux d’électrons, rend la surface des profilés VEKA SPECTRAL particulièrement résistante aux variations de température comme à l’humidité, aux rayures ou à l’abrasion. Cette surface s’avère d’ailleurs plus globalement insensible à toutes les influences climatiques, chimiques et mécaniques de l’environnement extérieur. Ce traitement exclusif, antistatique et très résistant, prodigue aussi stabilité et durabilité des teintes et de leur aspect.Les films exclusifs VEKA SPECTRAL sont certifiés QB33-CSTB et RAL et sont produits dans l’usine CELOTEC du groupe VEKA (20 000 m² spécialement dévolus à la fabrication des films VEKA SPECTRAL ; un marché d’ailleurs ouvert à d’autres acteurs du bâtiment, comme les industriels du bardage PVC).Pour continuer d’accompagner ses clients dans leurs activités, VEKA propose également des kits complets pour rénover les surfaces qui auraient subi des dégradations (que ce soit en atelier durant la phase de production comme lors de la mise en œuvre in-situ). Gommes pour effacer les marques surfaciques, stylos de peinture pour faire disparaître les rayures, Celotape pour restaurer les surfaces plus abîmées : toutes les situations trouvent une solution simple, efficace et durable dans l’exhaustivité de l’offre VEKA SPECTRAL.Une gamme étendue sans changement du process industriel pour les fabricants VEKA propose un large choix de profilés PVC pour fabriquer des menuiseries VEKA SPECTRAL. Cette gamme étendue et les accords noués avec de nombreux partenaires* permettent de répondre à tout type de marché, en neuf comme en rénovation.Solution industrielle par excellence, VEKA SPECTRAL rime avec simplicité et valeur ajoutée pour les fabricants de menuiseries. Rappelons en effet que VEKA SPECTRAL ne nécessite aucune modification des processus de fabrication. Usinage, soudure et ébavurage sont standards. Les performances thermique, acoustique et mécanique de la fenêtre PVC restent par ailleurs inchangées.Une finition couleur 100 % recyclableLes films VEKA SPECTRAL sont conçus et développés par la filiale CELOTEC du groupe VEKA. Intégrant une ligne de production et une ligne de découpe, le site CELOTEC de 20 000 m² est situé à Sendenhorst, près du siège social du leader allemand. Il respecte parfaitement l’engagement environnemental de la marque VEKA avec des films qui sont totalement recyclables.Le groupe VEKA intègre en effet les enjeux de développement durable dans sa stratégie d’entreprise depuis plus de 30 ans. Conscient de l’impact de ses activités sur l’environnement et sur l’homme, il prend en compte le cycle de vie de ses produits et s’attache à utiliser des matières premières de manière responsable. Par ailleurs, le Groupe compte pas moins de 3 unités de recyclage en Europe, dont VEKA Recyclage en France, à Vendeuvre-sur-Barse (10).Une large panoplie de supports d’aide à la vente disponibleParce que VEKA se tient toujours aux côtés de ses clients directs ou indirects pour les accompagner dans leur démarche commerciale, l’entreprise a conçu de nombreux outils d’aide à la vente destinés aux maîtres d’œuvre, fabricants de menuiseries, entreprises de pose ou encore au grand public.Alliant outils numériques (site internet, galerie virtuelle**, vidéos), supports physiques (brochure B2B, documentation grand public, nuanciers, coffrets d’échantillons, signalétique pour showroom) et argumentaires commerciaux adaptés à chaque équipe commerciale, la panoplie des supports d’aide à la vente de VEKA SPECTRAL répond là-encore à chaque besoin.Précisons aussi que cette démarche d’accompagnement se double d’un fort investissement de VEKA dans les médias digitaux et traditionnels, et d’un effort particulier pour la mise en avant de VEKA SPECTRAL dans les points de vente du réseau Fenétrier® VEKA.Pour en savoir plus et découvrir de façon interactive les caractéristiques et possibilités de la finition couleur VEKA SPECTRAL, rendez-vous sur la galerie virtuelle dédiée : www.veka.fr/experience-spectral* EURADIF, ISOSTA, VOLMA, Novatech Europe, Rodenberg, Frager Fralu, Europlacage, Sunclear, Indupanel, Elibois, Profiline, SPPF, Geplast, Coprodex, PBI, SDA, Vnylit… ** Rendez-vous sur la galerie virtuelle pour découvrir de façon interactive les caractéristiques et possibilités de la finition couleur VEKA SPECTRAL : www.veka.fr/experience-spectral Ce qu’en disent les fabricants VEKA Une source de nouveaux chantiers pour BIASON FENÊTRES « Depuis quelques années, la part de marché représenté par le PVC plaxé chez BIASON FENÊTRES était supérieure à celle du marché français. Néanmoins, nous rencontrions un plafond chez le particulier sur le segment CSP+. Le ressenti qualitatif du plaxé « classique » restait une barrière psychologique. La finition VEKA SPECTRAL nous a semblé la réponse à cette problématique. En effet, avec cette finition, les menuiseries PVC à frappe présentent un ressenti qualitatif digne de l’aluminium tout en conservant la performance thermique du PVC. Pour compléter ce tableau, le positionnement tarifaire est plus intéressant que les frappes en aluminium. Nous avons donc mis VEKA SPECTRAL à notre offre.Dans un premier temps, l’offre VEKA SPECTRAL nous a permis de concrétiser des dossiers volumes, initialement voués à l’Aluminium. Ce n’est que dans un second temps, avec la mise à disposition progressive de produits complémentaires (cornières, panneaux de portes, coffres de volets roulants, croisillons...), que la finition SPECTRAL a été adoptée par nos clients artisans et fenêtriers. Ils disposent désormais d’une offre étoffée, permettant de répondre aux attentes d’harmonisation du client final CSP+. Ce marché du particulier est en plein essor actuellement et reste prometteur. L’augmentation du prix de l’énergie et la tension sur le pouvoir d’achat des ménages sont deux facteurs qui devraient ancrer durablement cette finition VEKA SPECTRAL dans notre offre produit et développer nos ventes.Côté fabrication, nous avons fait le choix de rester avec des soudures ébavurées et l’intégration de cette nouvelle finition dans notre process industriel a quasiment été transparente. » - Hugo Van den Eede, Directeur Commercial, GROUPE BIASON FENÊTRESUn positionnement haut de gamme et gagnant pour VMA Fenétrier® VEKA« Il a toujours été dans l’ADN de VMA Fenétrier® VEKA de proposer à ses clients les dernières innovations et nous avons rapidement cru au potentiel de la finition VEKA SPECTRAL. Celle-ci fait partie des solutions haut de gamme de notre offre commerciale et nous permet de véritablement nous démarquer sur notre marché. En cohérence avec notre offre, nous avons décidé de proposer VEKA SPECTRAL uniquement avec notre gamme premium HP Line 82. Nous sommes le seul fabricant à commercialiser ce type de menuiserie, ce qui nous permet de proposer une solution véritablement différenciante.En termes de couleurs, le Noir Graphite Ultramat et le Blanc VEKA Ultramat rencontrent le plus de succès auprès de nos clients particuliers. Cet engouement pour des couleurs plus contemporaines confirme que la fenêtre est devenue un objet de décoration à part entière.VEKA SPECTRAL se révèle donc comme un pari gagnant pour notre entreprise et sa part de marché ne cesse de croître. » - Marc Rechard, Président-Directeur Général, VMA Fenétrier® VEKA
Il y a 3 ans et 6 jours

La transformation de bureaux en logements, une solution qui peine à décoller

Boulevard Morland en plein coeur de la capitale (IVe arrondissement), l'immeuble massif des années 60 qui abritait la préfecture et des services municipaux a fait peau neuve.Pour en tirer -entre autres usages- quelque 200 logements (dont 40% de logements sociaux), il a fallu des travaux conséquents. "On n'a conservé que la structure en béton. On a refait les isolations, les faux plafonds...", détaille Julien Desenepart, directeur opérationnel chez le promoteur du projet, Emerige.Plusieurs autres chantiers emblématiques de transformation de bureaux ou de commerces en logements sont en cours dans la capitale, comme l'ancien siège des Hôpitaux de Paris (AP-HP) ou l'ancien magasin Tati Barbès.Paris en pointeCauses de ce succès : d'une part le développement du télétravail, qui fait baisser la demande pour les locaux de bureaux. Et d'autre part les normes environnementales.L'objectif "zéro artificialisation nette" (ZAN), inscrit dans la loi, tend à favoriser la réhabilitation des bâtiments ou des friches plutôt que d'accentuer l'étalement urbain.Le groupe Action Logement, co-géré par patronat et syndicats, a ainsi créé en 2020 une foncière de transformation immobilière (FTI), qui doit y dédier 1,5 milliard d'euros dans les prochaines années.Elle est par exemple chargée de créer 91 logements dans l'ancien siège de l'Urssaf Lorraine, un immeuble haussmannien en centre-ville de Metz."Dans cette volonté de limiter l'artificialisation des terres et l'empreinte carbone dans la construction, la reconquête de ces espaces vacants ou mal occupés est intéressante, notamment dans les zones denses", témoigne Kevin Maruszak, directeur général de la FTI.Selon une estimation du ministère du Logement, depuis 2013, quelque 5.300 logements autorisés par an étaient auparavant des bureaux. Soit environ 1,2% des permis de construire.Mais à Paris, ville très dense où le foncier est aussi rare que cher, ce chiffre dépasse les 12%."Il y a un gisement extrêmement important en Ile-de-France", se félicite Jean-Philippe Dugoin-Clément, vice-président (UDI) de la région francilienne, chargé de l'urbanisme."On estime qu'on va avoir 300.000 mètres carrés qui vont se libérer par an, avec un gisement antérieur qui était de 4 millions. Donc il y a une marge qui est absolument énorme", dit-il.Les promoteurs d'immeubles de bureaux, de leur côté, mettent en avant la "réversibilité" de leurs constructions, c'est-à-dire la possibilité de changer leur usage à l'avenir, comme pour la future Tour Triangle à Paris.D'importants obstacles surtout économiquesPour les propriétaires de bureaux, souvent de grandes entreprises gestionnaires d'actifs, il est plus intéressant, économiquement, de louer des bureaux que des logements. Et accepter leur transformation signifie souvent acter une perte de valeur."Un immeuble de bureaux qui fonctionne mal, son propriétaire va quand même le garder, jusqu'à ce qu'il arrive au point de rupture; et là, c'est la loi du marché qui s'impose", explique Hideki Kurata, dirigeant pour la France de la foncière résidentielle américaine Greystar.Les travaux peuvent également être onéreux. Les immeubles des années 1970-80, explique Kevin Maruszak, "sont des bâtiments très épais, qui peuvent aussi être pollués, notamment avec de l'amiante."Une tour aura aussi beaucoup d'espaces "aveugles", sans fenêtre, et donc difficiles à transformer en pièce à vivre sans perdre en surface.Les élus locaux peuvent aussi être réticents, car des logements rapporteront moins d'impôts locaux que des bureaux, et entraîneront un besoin en nouveaux services publics coûteux : écoles, crèches..."Il y a un intérêt +macro+ à le faire. Parce que coûts moindres, bilan énergétique moindre, crise du logement... Mais si on se place d'un point de vue local, il n'y a pas forcément d'intérêt économique, pour un maire, à le faire. Il peut même y avoir des inconvénients", confie Jean-Philippe Dugoin-Clément.Les pouvoirs publics ont aussi pris des mesures pour favoriser ces changements. La loi Elan de 2018 permet aux chantiers de transformation de bureaux en logements de déroger à certaines règles, notamment les quotas de logements sociaux.
Il y a 3 ans et 6 jours

Pour les 190 ans du Groupe Blanchon, rencontre avec Guillaume Clément, Président Directeur Général

Batinfo : Pourriez-vous nous présenter le Groupe Blanchon ?Guillaume Clément : Le Groupe Blanchon a été fondée il y a 190 ans afin de fournir des solutions fiables pour la protection, la décoration, l'entretien et la rénovation du bâtiment, de l'habitat et des lieux de vie, avec un focus particulier sur le bois utilisé en intérieur (parquet, boiseries, meubles) et en extérieur (terrasses, bardages). Le groupe développe, fabrique et commercialise une vaste gamme de vernis techniques, de produits de finition et de peintures, en restant toujours à la recherche de nouvelles innovations. Nous sommes partenaires des utilisateurs, des négoces bois et matériaux et des grossistes peinture, des industriels de revêtements sols et des grandes surfaces de bricolage.En raison de notre longue histoire en France nous restons attachés à une production locale de qualité. Nous comptons actuellement 420 collaborateurs dans le groupe dont 250 en France et nos 3 plus grandes usines se situent en région Rhône-Alpes. Nous vendons plus de 10000 références, à plus de 8500 clients dans 55 pays, avec une présence forte en Europe. Notre très puissante implantation en France nous permet de nous développer à l’international avec ambition et détermination. Le développement international reste un enjeu stratégique pour l'entreprise et nous projetons de réaliser à terme 50% de notre chiffre d'affaires à l'export. En 2020 nous avions un chiffre-d'affaires de 75 millions d'euros, en 2021 nous avons dépassé les 100 millions de CA et nous nous sommes donnés un objectif de 150 millions de CA en 2025.Batinfo : Nouveaux produits verts, développement en Europe, nouvelle identité graphique... ce 190e anniversaire est-il le début d'une nouvelle ère pour le groupe ?« Protéger c’est dans notre nature » depuis 190 ans...Le Groupe Blanchon a évidemment rencontré plusieurs défis depuis sa création et notamment avec les changements en lien avec la prise de conscience écologique de la fin du XXème siècle. L'arrêt des solvants dans les années 90 a par exemple été un challenge pour nous qui produisons des vernis et des peintures. Mais cela nous a amené à développer notre technologie biosourcée, à lancer une démarche RSE et aujourd'hui plus d'une centaine de nos produits bénéficient de l'Écolabel Européen.Depuis de nombreuses années maintenant, nous nous sommes engagés dans une démarche éco-responsable pour limiter autant que possible notre empreinte environnementale. Nous misons notamment sur l'éco-conception en privilégiant des formulations en phase aqueuse, des matières premières renouvelables et des produits à faible émissions de Composés Organiques Volatiles (COV). Nous produisons dans des usines efficientes, propres et respectueuses de l'environnement, sans rejets dans l'eau, l'air ou le sol, en veillant à un bilan carbone mesuré et en réduisant ou supprimant de façon drastique les solvants. Les consommateurs ont également un rôle à jouer dans cette démarche écologique et c'est pourquoi nous fournissons des conseils sur la bonne utilisation des produits, des recommandations données aux utilisateurs pour protéger l'environnement et nous incitons à privilégier la rénovation plutôt que le remplacement. Valoriser les emballages recyclables, le tri sélectif et le retraitement des déchets en filière spécialisée sont évidemment des points clés pour limiter notre impact sur l'environnement de la création de nos produits à leur fin de vie.Le développement à l'international relève aussi du défi pour une entreprise française privilégiant la production locale. Nous nous développons en Angleterre, en Pologne, en Belgique, aux Pays-Bas, en Italie et partout en Europe. Pour l'instant 60% de notre chiffre-d'affaires vient de la France et 40% de l'Europe mais nous créons de nouvelles équipes régulièrement pour augmenter notre présence à l'étranger.Mais le futur s'avère aussi jonché d'obstacles. Comme dans beaucoup de métiers liés à l'artisanat ou au BTP, attirer des jeunes talents est difficile. Nous devons trouver une solution pour rendre nos métiers à nouveau attractifs. Face à ce défi que représente le recrutement et la conservation du savoir-faire des artisans qui travaillent avec nos produits, créer une académie pour les professionnels puis pour les particuliers dans un second temps peut être une solution à envisager.Batinfo : Quelles sont vos ambitions pour l'avenir ?Pour assurer la pérennité du Groupe, et relever les enjeux environnementaux de notre planète, une évidence : proposer des produits toujours plus performants, éco-responsables et consolider la présence de nos marques sur le plan international. Notre modèle économique, bâti sur 3 activités complémentaires –le grand public, les professionnels du bâtiment et les fabricants industriels de revêtements de sols- doit continuer à s’exporter partout dans le monde. Nous avons accéléré nos implantations en Belgique et aux Pays-Bas avec les acquisitions de Ciranova et de Rigo Verffabriek au cours des 10 derniers mois. L’Europe est notre maison commune et le Groupe Blanchon a vocation à en devenir l’un des leaders incontournables dans l’offre de solutions durables de produits de protection pour les matériaux bois notamment.
Il y a 3 ans et 6 jours

"Objectif : couvrir 100% des entreprises dans les 5 ans", Brice Messier, DG de Covage

INTERVIEW. Après les rachats de Kosc Télécom en 2020 et d'une partie des activités de Covage en septembre 2021, spécialisées dans les deux cas sur le marché de fibre optique pour les entreprises, le groupe Altitude a choisi d'unir les deux entités sous une même bannière. Le nouvel ensemble s'est par ailleurs doté d'un plan pluriannuel de développement, que son directeur général, Brice Messier, détaille à Batiactu.
Il y a 3 ans et 6 jours

Aide à la gestion locative sociale : les effets des annonces gouvernementales se font attendre

Cette enquête montre peu d’évolutions sur le large panel de résidences interrogées, avec un taux de versement moyen de 65% au niveau national (63% en 2020). Les disparités de dotations entre les départements et entre les résidences au sein de certains d’entre eux demeurent, malgré quelques points d’amélioration.L’Aide à la Gestion Locative Sociale (AGLS)L’AGLS est une aide destinée aux résidences sociales, pour financer la gestion locative sociale, qui se décline en 4 grandes catégories d’interventions : la régulation de la vie collective au sein de la résidence, la prévention et la gestion des impayés, la lutte contre l’isolement et la médiation vers les services extérieurs.Une enveloppe redéployée chaque annéeDepuis plusieurs années, la loi de finances vote une enveloppe de 26 millions d’euros. Cette enveloppe n’a pas été revalorisée depuis 2013 et ne tient pas compte de l’évolution régulière du nombre de résidences sociales : ainsi cette ligne, en application stricte du barème, devrait atteindre 31 millions d’euros (soit 19% de plus que son montant actuel).Chaque année, environ un tiers de cette enveloppe est redéployée vers d’autres politiques. Si les chiffres officiels ne sont pas encore connus pour l’année 2021, cette enquête montre que le redéploiement de crédits ne devrait pas avoir diminué. La légère amélioration constatée est trop lente pour être perçue comme significative par les acteurs d’autant que la dotation théorique elle-même ne correspond plus aux besoins.De fortes disparités territorialesMalgré quelques améliorations, les constats se répètent année après année :1. Des disparités de situation qui restent très marquées entre les territoiresCette année encore, les écarts restent très variés selon les départements. La moyenne des versements varie de 100% de l’AGLS prévue par la circulaire, à … 0%. Il n’y a pas de corrélation entre le nombre de résidences sur le territoire et l’écart relevé. La proportion de département versant en moyenne plus de 50% de la dotation théorique est stable, à 85%.2. Des approches très différentes au sein des départements n’attribuant qu’une fraction de l’enveloppe maximaleLà encore, le constat réalisé depuis 2019 est toujours d’actualité : à l’inégalité de situation entre les territoires, s’ajoute l’inégalité de traitement au sein de certains territoires. En effet, si certains départements répartissent l’enveloppe AGLS de façon homogène, d’autres attribuent l’intégralité de la subvention à certaines résidences et rien à d’autres (selon l’ancienneté de la résidence, par exemple).3. Les résidences totalement privées d’AGLS restent nombreuses19% des résidences sociales de cette enquête n’ont perçu aucune AGLS en 2021. Ce chiffre est en légère amélioration par rapport à 2020 où cette proportion était de 23% sur le même échantillon.Les propositions de l’Unafo1. Transformer l’AGLS en une aide de droit et mettre en adéquation les ressources avec les besoins des gestionnaires. Pour que l’AGLS réellement attribuée permette aux gestionnaires de mener leurs actions, l’Unafo souhaite que :l’enveloppe globale dédiée à l’AGLS fasse l’objet d’une réévaluation dès la loi de finances pour 2023 pour atteindre a minima 31M€,l’ensemble des crédits votés par le Parlement pour financer l’AGLS soient dépensés uniquement à cette fin, sans être redéployés pour financer d’autres politiques, aussi légitimes soient elle.une clause de revalorisation des montants plafonds soit instituée pour tenir compte de la hausse des coûts.la possibilité ouverte par la circulaire de 2013 de dépasser le plafond de subvention de 20% pour les résidences de plus de 200 logements soit rappelée aux financeurs.la création d’une aide renforcée de 2 euros par jour et par personne pour permettre de financer les associations qui exercent des actions plus fortes visant à renforcer l’accès aux droits sociaux et sanitaires.2. Donner de la visibilité aux gestionnaires par des conventions pluriannuelles3. Engager un dialogue avec les territoires les plus en décalage : l’Unafo souhaite qu’un dialogue soit établi, en visant en priorité les départements sur lesquels les écarts sont les plus marqués (la Gironde, le Rhône, la majorité des départements d’Ile de France, la Haute Garonne, …) afin de réfléchir à une harmonisation des pratiques.Sur ces points, la feuille de route du gouvernement pour le développement de la production des résidences sociales annoncée il y a un an, en mai 2021, n’a encore entrainé aucune amélioration.1 L’enquête s’est tenue en février et mars 2022 sur l’AGLS perçue en 2021. L’Unafo a pu recueillir les données de 23 adhérents, représentant 616 résidences sociales, soit 62588 logements, réparties sur 52 départements métropolitains.
Il y a 3 ans et 6 jours

Des bâtiments en bois pour la décarbonation

Ingénieur en construction bois formé à Nantes, Mathieu Robert, responsable des solutions de construction du groupe suédo-finlandais Stora Enso Wood Products se félicite de la mise en place de la RE 2020, pionnière en Europe, qui doit permettre à terme le développement de l'industrie de la construction bois dans toute l'Union.
Il y a 3 ans et 6 jours

Eldo lève 6 millions et ambitonne la première place du SaaS marketing du BTP en Europe

Plateforme de conseils en amélioration de l'habitat pour les particuliers et solution SaaS marketing pour les professionnels et les marques, la start-up Eldo accélère son développement.
Il y a 3 ans et 6 jours

Rockwool mécène de l’exposition « Ré-Génération » célèbre la photographie africaine à Arles

Fidèle à ses engagements pour la transition sociale, économique et environnementale, le Groupe ROCKWOOL, leader de la fabrication de produits, systèmes et solutions en laine de roche, est fier de participer à l’exposition « Ré-Génération » et de contribuer ainsi à la mise en valeur du talent des artistes africains exposés par la galerie La Grande Vitrine à Arles dédiée à la scène photographique africaine.La Grande Vitrine poursuit sa volonté d’être un révélateur de talents. Repérés sur les réseaux sociaux ou via des expositions, les trois photographes réunis à cette occasion Françoise Benomar, Malik Kébé et O’Kiins Howara, ont tous en commun une énergie vitale générée par la couleur. Ils bousculent les codes, apportent une touche supplémentaire à leur œuvre en associant portraits et peinture. Ils partagent cette soif de rassembler tradition et modernité. Leurs modèles, tous Africains, sont magnifiés par la couleur et l’exposition qui relaie toute l’énergie et la fierté de l’Afrique parle au coeur et à l’âme.Des valeurs partagées par ROCKWOOL qui à travers le développement de son activité en Afrique, a à cœur de mieux connaitre la culture et l’architecture de ses pays, de ses typologies de maisons et de bâtiments par le biais d’une démarche toujours plus responsable.Un vernissage aura lieu le 5 mai en présence des artistes, de personnalités locales, des représentants du Maroc et de Côte d’Ivoire, du monde politique, économique et artistique ainsi qu’un représentant de ROCKWOOL.
Il y a 3 ans et 7 jours

Invisible, fine, et solide : découvrez siMple la fenêtre

Imaginée et conçue sur le principe « moins, c’est plus », le résultat après 3 ans de recherche et développement s’est imposé tout naturellement avec siMple, la fenêtre.Cette menuiserie brevetée est la première fenêtre à frappe du marché en aluminium extérieur et en acier intérieur qui repose sur la technologie du MULTIMATÉRIAUX*.Les performances*Uw jusqu’à 1,2 W/(m².K)Tlw jusqu’à 69 %Sw jusqu'à 0,60A*4 E*9A V*A3* Perfomances maximales atteignables sur la gammesiMple, la fenêtre bénéficie de plusieurs innovations technologiques de rupture à savoir :siMple, la fenêtre INVISIBLE : un dormant caché, des paumelles invisibles et des poignées laquées à la couleur dela menuiserie pour plus de pureté.siMple, la fenêtre FINE : des profilés de 45mm et un meneau central de 60 mm, 30 % à 40 % plus fin qu’une fenêtre standard (90 à 100 mm le plus couramment) pour un gain de lumière allant jusqu’à 35 %.siMple, la fenêtre SOLIDE : un ouvrant en acier soudé pour atteindre des dimensions hors-normes jusqu’à 2.650 mm de hauteur sans imposte ou allège.Niveau performance, siMple la fenêtre défie tous les autres matériaux du marché avec un cœfficient thermique Uw de 1.2 W/(m².K) avantagé par un rupteur par chambre thermique qui permet d’isoler l’air chaud et froid pour un plus grand confort.Côté décoration, siMple la fenêtre profite du savoir-faire du Groupe MILLET en s’appuyant sur sa technologie unique de la MULTICOLORATION* sur plus de 27 coloris pour satisfaire toutes les envies de couleurs et épouser tous les styles d’architectures régionales.FRÉDÉRIC GUERET - manager produit aluminium, Groupe MILLETEn quoi siMple la fenêtre est une innovation concernant l’invisibilité ?" Pour rendre cette fenêtre jolie, il fallait qu’elle soit pure ! Nous avons donc, rendu invisible les traits de coupe grâce à un ouvrant soudé, laqué la poignée de la couleur de l’ouvrant. Enfin, les charnières et le dormant sont cachés et contribuent à avoir une fenêtre plus minimaliste. "...et la finesse ?" Aujourd’hui, le constat fait sur le marché est simple : la majorité des fenêtres 2 vantaux disposent d’un profil central de 94 mm. Notre souhait est d’apporter beaucoup plus de lumière et nous avons réussi à offrir 35 % de lumière en plus grâce au profil central de 60 mm et à l’ouvrant de 45 mm. "...et la solidité ?" Étant l’inventeur du concept multimatériaux, nous le maîtrisons parfaitement et pour répondre aux nouvelles demandes de nos clients - plus de robustesse, plus de sécurité, de plus grandes dimensions - nous avons donc tout naturellement fait le choix d’allier l’alu à l’acier. En couplant ces 2 matériaux à un ouvrant en acier soudé, nous pouvons désormais proposer des fenêtres de grandes dimensions allant jusqu’à 2,65 m de haut sans imposte ! "*LE MULTIMATÉRIAUX : Technologie brevetée inventée par le Groupe MILLET qui permet de combiner une façade extérieure en aluminium avec 3 matériaux intérieurs alu, bois et pvc.*LA MULTICOLORATION : Technologie qui permet de combiner les couleurs intérieures et extérieures sur 27 coloris au choix et plus de 500 combinaisons possibles.
Il y a 3 ans et 7 jours

FINALCAD lève 10M$ pour accélérer son développement et la numérisation du secteur de la construction

Finalcad : plus de 10 ans d’innovation au service de la digitalisation du BTPLancé fin 2011 par Jimmy Louchart, Joffroy Louchart et David Vauthrin, Finalcad a vu le jour avec l’ambition d’aider les entreprises du secteur de la construction à optimiser leur efficacité opérationnelle grâce aux outils digitaux. Pour relever ce défi, la société a conçu une plateforme SaaS de gestion des chantiers qui permet de digitaliser les données et les processus liés aux projets de construction. La solution permet de faciliter la collaboration et la coordination entre les différentes parties prenantes sur site et hors site, et ainsi d’optimiser la qualité des projets livrés. Nombreux sont les acteurs à faire confiance à Finalcad parmi lesquels le groupe Eiffage qui vient de prolonger de plusieurs années son partenariat engagé en 2017 avec l’éditeur pour l’accompagner dans la transformation digitale de ses chantiers.Une levée de fonds pour renforcer les investissements et accélérer la transformation de l’entrepriseCette levée a été menée par l'équipe de direction de Finalcad qui s’est vu renforcée récemment par l’arrivée de Pascal Laik en qualité de Chief Executive Officer pour soutenir l’ambitieux programme de développement de la société.Pascal Laik a été nommé CEO de Finalcad fin 2021. Il apporte à l’éditeur son expérience de plus de 30 années acquise dans les nombreux postes à responsabilité qu’il a occupés chez des éditeurs leaders dans leur spécialité comme Oracle, Siebel Systems, Informatica et C3.AI dont il a accompagné la croissance et le développement à l’international. Sa profonde expérience dans l’univers du SaaS, ainsi que dans la gestion, la commercialisation et la mise en œuvre de plateformes de transformation numérique acquise dans l'univers IoT, Big Data et IA sont autant d’atouts au service des objectifs d’excellence opérationnelle et de croissance des ventes que visent Finalcad.Fort de ce nouveau financement, Finalcad va renforcer les investissements et la transformation entamée il y a quelques années, dans un esprit de continuité avec les investisseurs historiques. Cette levée de fonds va notamment permettre de soutenir les investissements R&D sur des sujets tels que la sécurité et l'environnement sur les chantiers ainsi que l’exploitation des données dont l’utilisation de l’Intelligence Artificielle au service des équipes terrain et de management. Enfin, après avoir développé son activité en Asie du Sud-Est ces dernières années, Finalcad va poursuivre son déploiement à l’international, en Europe mais aussi en Afrique du Nord.« Nous nous réjouissons de cette levée de fonds dont l’objectif est de rendre accessible à tous les professionnels de la construction une plateforme collaborative unique et personnalisable permettant de digitaliser en toute autonomie chaque étape de la vie des ouvrages, depuis le début des travaux jusqu’à leur exploitation.Grâce à elle, nous allons renforcer notre positionnement en tant que Field Experience Platform - solution de productivité orientée terrain – afin d’apporter une meilleure réponse aux besoins quotidiens des équipes opérationnelles, et, pour leur management, en facilitant le pilotage et la gestion de la performance via l’analyse des données remontées des chantiers. Ce financement va nous permettre d’aller encore plus loin dans cette direction, en exploitant pleinement le potentiel des données BIM et les capacités offertes par l’Intelligence Artificielle. », indique Pascal Laik, CEO de Finalcad. Jean-François Cochy, Partner chez Cathay Innovation déclare à propos de cette levée :« Grâce à sa suite technologique moderne et à ses outils numériques évolutifs et user-friendly, Finalcad est aujourd’hui un leader incontesté de la digitalisation du secteur de la construction. Finalcad fournit des solutions qui aident les professionnels du BTP à optimiser leurs opérations et leur expérience sur le terrain.Depuis notre investissement initial en 2018, nous avons accompagné le renforcement de l’équipe - ce qui s’est traduit au cours de l’année dernière par l’acquisition d’une large base d’utilisateurs de Finalcad One, tout en conservant les clients historiques avec des contrats renouvelés. Nous nous réjouissons de soutenir l’équipe dans cette prochaine phase de développement et d’expansion grâce aux atouts de notre plateforme mondiale. »Jonathan Sibilia, Partner chez Molten Ventures insiste quant à lui sur les perspectives pour les professionnels du BTP :« Finalcad fournit une solution dont la valeur est aujourd’hui largement prouvée et reconnue. Des gains de temps significatifs ont été remontés suite aux retours d’expérience de nombreux conducteurs de travaux qui utilisent la solution depuis plusieurs mois : plus de 28 heures/mois pour chaque utilisateur ! Ces gains de temps sont déjà considérables, mais des gisements de valeur gigantesques restent à exploiter en poussant plus loin l’analyse des données chantiers. Nous sommes convaincus que cette analyse sera demain le moteur principal de la transformation digitale des entreprises de construction. »
Il y a 3 ans et 7 jours

Les sept lauréats de Canopée Challenge

Forinvest Business Angels, l’école d’ingénieurs ESB, Fibois France et le Pôle de compétititvité Xylofutur ont dévoilé les sept lauréats de la seconde édition du Canopée Challenge, concours dédié à l’innovation dans la filière forêt-bois. Organisé sous le Haut Patronage du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, il a permis de recenser 160 projets innovants. Sept lauréats ont finalement été mis en lumière, à travers trois catégories : Création, Développement et International. En complément de la dotation, les organisateurs prévoient un accompagnement en compétences qui permettra de faciliter leur éclosion. Les lauréats de la catégorie « Création » Ouverte à tout porteur de projet individuel (étudiants, chercheurs …) et aux entreprises de moins de trois ans dont le CA est inférieur à 100 000 €. Premier prix doté de 8 000 € : Woodtech (basée à Grenoble – 38) – procédé de modification de la structure moléculaire du bois compatible avec les essences françaises qui deviennent alors plus résistantes à l’humidité que les meilleurs bois tropicaux, pour un bilan environnemental et économique bien meilleur (multiplication de la durée de vie par 20). Parmi les marchés visés par Woodtech : les bois « de revêtements », menuiseries extérieures, bardages et terrasses, et plus précisément la frange « haute » de ces marchés, actuellement occupée par les bois tropicaux, les bois composites et d’autres matériaux à fort contenu carbone. Second prix doté de 5 000 € : Farm3 (basée à Verrières-de-Joux – 25) – projet de chambre de culture permettant un fort rendement, un contrôle précis des conditions de croissance, une économie en eau et la pulvérisation de nutriments biologiques. En complément, le projet a reçu un prix coup de coeur de l’Institut Technique FCBA Les lauréats de la catégorie « Développement » Ouverte aux entreprises de plus de trois ans ou dont le CA excède 100 000 €. Premier prix doté de 15 000 € : Horizons Bois (basée à Rennes – 35) – HOBOA®, un système constructif bas-carbone et une solution de plancher mixte bois-béton adapté à l’habitat collectif de grande hauteur. En 2022, ce système constructif sera intégré à la construction d’un bâtiment R+11. En complément, le projet a reçu un prix coup de coeur de l’Institut Technique FCBA Second prix doté de 10 000 € : Bio Stratège (basée en Guyane) – programme d’innovation Ecophyto-Guyane qui vise à développer des solutions naturelles et écologiques pour remplacer les engrais, pesticides et insecticides de synthèse. Les molécules actives sont obtenues à partir de la valorisation de déchets de l’industrie du bois guyanaise dans un modèle d’économie circulaire qui s’intègre en amont de la biomasse énergie. En complément, le projet a reçu un prix coup de coeur de l’Institut Technique FCBA Troisième prix doté de 5 000 € : Wall’up Préfa (basée à Aulnoy – 77) – usine de production de panneaux préfabriqués ultra performants sur base ossature bois et isolés de béton de chanvre, au service des projets de construction biosourcés. Les lauréats de la catégorie « Internationale » : Ouverte aux porteurs de projets implantés hors des frontières de l’Hexagone. Benjamin Droguet, chercheur à l’université de Cambridge, a été récompensé d’un prix de 5 000 € pour son projet de pigments et paillettes à base de cellulose de bois.