Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour production

(7415 résultats)
Il y a 3 ans et 117 jours

Les 5 grandes tendances du CES 2022 qui devraient impacter les secteurs du bâtiment et de la ville

Dans ce cadre, Construction Tech a créé différentes actions tels que le Challenge Start-Ups Construction Tech, qui vient de dévoiler les lauréats de sa 4ème édition, l’Annuaire des Start-Ups enrichi régulièrement ou encore l’espace Construction Tech installé tous les deux ans au salon BATIMAT.Construction Tech® décrypte par ailleurs les grandes tendances du secteur du bâtiment et l’impact des innovations sur l’évolution du marché à travers des observatoires et des études réguliers. Dans ce cadre, Construction Tech propose chaque année une analyse des tendances émergentes du CES de Las Vegas.Malgré un contexte sanitaire difficile, l’événement s’est tenu du 5 au 8 janvier 2022 et a, encore une fois, fait éclore de nouvelles idées et de nouveaux concepts.Nul doute que la crise sanitaire actuelle a accéléré certains développements mais les forts enjeux climatiques sont aussi à l’origine d’une proposition de technologies prometteuses. Construction Tech dévoile les 5 tendances phares repérées au CES 2022, dont les applications auront des répercussions profondes sur l’usage des bâtiments mais aussi plus largement sur la manière de vivre la ville.Smart Home 2.0 : Une petite révolution grâce à de nouveaux protocoles de communicationJusqu’à présent, l’un des principaux freins au déploiement de la domotique est la grande diversité des protocoles de communication incompatibles les uns avec les autres. Le rêve d’un langage unique qui permettrait à chaque solution d’interagir avec une autre, voire avec plusieurs autres solutions, semble toutefois à portée de main.Protocole de communication sans fil, Thread a déjà été adopté par de nombreux grands groupes tels que Amazon, Belkin, Schneider Electric, Aqara (filiale de Xiaomi) ... qui ont profité du CES 2022 pour l’annoncer. Thread ne comporte toutefois pas de couche d’application, domaine de Matter qui peut, lui, être transporté par de multiples réseaux compatibles tel que Thread mais aussi par WiFi ou Bluetooth par exemple. Matter permet ainsi de rendre compatibles entre eux des objets connectés de différentes marques. De son côté, le BLE ou Bluetooth Low Energy offre une grande simplicité d’emploi pour les utilisateurs et fonctionne parfaitement pour la configuration appareil par appareil dans un logement.La course à l’IA et aux robots les plus performantsSi l’IA offre un large champ à l’imaginaire, elle est aussi une formidable opportunité d’aide au quotidien. La multiplicité des usages mais aussi le travail des développeurs et des fabricants pour proposer des solutions accessibles au plus grand nombre permettent aujourd’hui d’envisager un déploiement massif de cette technologie.Des exemples très concrets ont été repérés au CES 2022 de Las Vegas. Ainsi, la start-up française Niryo commercialise des robots destinés à l’éducation, la formation et la R&D afin de répondre aux besoins d’une industrie 4.0 en plein essor. Toujours dans le secteur de l’automation industrielle, ITRI lance un bras robotisé intelligent et doté de captures 3D. De son côté, Nvidia propose une plateforme ouverte, Omniverse, conçue pour la collaboration virtuelle et les simulations en temps réel. Une thématique aussi développée par Ansys qui développe des IA de simulation des bruits, vibrations et autres aléas environnementaux sur les véhicules électriques. Des solutions dont l’utilisation dans le BIM et la conception semble envisageable.Le boom des healthtechsCorollaire d’une crise sanitaire qui perdure, les solutions de smart home en lien avec les préoccupations autour de la santé des habitants se multiplient. Amélioration de la qualité d’air, protection de la santé des personnes, obstacle à la propagation des germes... autant de problématiques qui trouvent leurs réponses dans la mise en place de solutions adaptées, comme la fonctionnalité « touchless » mise en place par de nombreux fabricants pour leurs produits tel que le robinet intelligent Moen Smart Faucet. La qualité de l’air des habitations et des bureaux est aussi une problématique phare dont les industriels s’emparent en proposant de nombreux purificateurs d’air pour tous types d’espaces, comme chez LG avec le PuriCare Aero Tower ou comme la solution Lod Protect dont la promesse est de désinfecter l’air à 99 % grâce aux UV-C produits par ses éclairages.Climat et environnement : la promesse du tout électrique décarboné et produit localementLes solutions de production d’énergie se font enfin une place remarquée au sein du CES 2022. En lien direct avec les préoccupations liées au climat et à l’environnement, les propositions autour de la production et de la gestion d’énergie connaissent un véritable essor. Ainsi, les voiles photovoltaïques d’Héole sont capables d’alimenter en énergie des bateaux, mais aussi des bâtiments et sont parfaitement adaptées à la construction bioclimatique. Pour la production d’hydrogène, Doosan développe un système de production « Trigen hydrogen fuel cell » basé sur la pyrolyse de plastique issu du recyclage. De son côté Schneider Electric propose un tableau électrique intelligent, “Wiser Energy Center” qui permet de collecter et d’analyser les données de consommation électrique du foyer pour mieux la piloter et l’optimiser. Finz, start-up française, développe une solution d’aide à la décision du financement des projets d’eau, d’énergie ou d’adaptation climatique en contexte de smart cities/ports/agriculture par la prédiction des risques cognitifs humains, climatiques, géopolitiques, une garantie blockchain et la mesure de l’impact carbone.La e-mobilité arrive sur le chantierLa mobilité est toujours un sujet phare du CES 2022. Elle est aussi liée au développement des véhicules électriques et gagne du terrain notamment sur les chantiers où la recherche d’un travail plus vertueux s’impose petit à petit. Véhicule 100 % électrique, Pickwheel présente par ailleurs la particularité de n’être piloté qu’à l’aide des pieds, libérant ainsi les mains des opérateurs pour d’autres tâches. Toujours dans ce segment d’utilitaires électriques, Goupil développe des véhicules électriques adaptés à différentes activités (maintenance, collecte des déchets, logistique...). Qui dit véhicules électriques dit besoin de recharger. ChargePoly a créé une solution de charge rapide et multi-véhicules.Pour Guillaume Loizeaud, Directeur du salon Batimat : « Les enjeux liés à la transformation de l’acte de construire et de l’habitat offrent une réelle opportunité aux géants de la tech mais aussi aux entrepreneurs. On le voit, ces nouvelles technologies qui apparaissent dans un premier temps sur les marchés grand public, émergent deux à trois ans plus tard sur les marchés professionnels. On observe ces phénomènes pour l’IA, la robotique, la mobilité ou la commande sans contact. Les enjeux environnementaux jouent aussi leur rôle dans le développement de solutions autour de la décarbonation de l’énergie. Du côté du smart home, l’ouverture des protocoles de communication et leur interopérabilité élargit le champ des potentiels. Bien évidemment, on ne peut passer sous silence la pandémie mondiale qui s’est déclarée en 2020 et qui a aussi accéléré un certain nombre de développements notamment sur le marché des healthtechs. »
Il y a 3 ans et 118 jours

Production, innovation, qualité... Le logement au rapport !

L'année 2021 restera une année d'interrogations sur le logement. La question a été explorée à travers plusieurs études et rapports, venus au chevet d'un habitat en crise, et ce, bien avant la tempête sanitaire. Que peut-on retenir de cette production éditoriale foisonnante émanant d'horizons divers ? Le logement, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 118 jours

Europan 16 : École des arts de la terre, projet lauréat à Auneuil

L'année 2021 restera une année d'interrogations sur le logement. La question a été explorée à travers plusieurs études et rapports, venus au chevet d'un habitat en crise, et ce, bien avant la tempête sanitaire. Que peut-on retenir de cette production éditoriale foisonnante émanant d'horizons divers ? Le logement, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 118 jours

La préfabrication peut-elle rendre la construction plus écologique et abordable ?

On peut définir le concept de préfabrication par la production en usine d’éléments, de parties ou de bâtiments entiers transportés sur un chantier pour une installation rapide. Alors, quel est son impact pour l’environnement et les coûts de construction ? Cela représente de nombreux avantages par rapport aux méthodes de construction traditionnelles, par sa rapidité, sa précision […]
Il y a 3 ans et 120 jours

Comment construire des logements de qualité ? Regards d'architectes

PROCESS. Réunis lors d'une journée organisée par le Puca, plusieurs architectes ont pu livrer quelques ingrédients nécessaires à la production de logements de qualité. Selon le contexte, les porteurs, la commande, leurs exemples démontrent qu'il reste de la place pour l'innovation.
Il y a 3 ans et 120 jours

EDILTECO® FRANCE renouvèle l’avis technique des mortiers de remplissage POLITERM® 200 ET 300

Dans une volonté constante de réglementation et de certification de ses produits, EDILTECO® France, a renouvelé l’Avis Technique des agrégats légers POLITERM®. Le Groupe spécialisé n° 13 « Procédés pour la mise en œuvre des revêtements » de la Commission du CTSB a formulé un nouvel Avis Technique N° 13/16 – 1320_V1 pour les formules POLITERM® 200 et POLITERM® 300. Composées de ciment et d’agrégats en billes de PSE expansé, traitées, les formules POLITERM® 200 et POLITERM® 300 permettent la réalisation de remplissages allégés en construction neuve ou en rénovation pour des bâtiments courants. Cette version annule et remplace le précédent Avis Technique 13/16-1320 et intègre également une modification avec l’ajout d’un nouveau site de production des billes de polystyrène. En effet, depuis le mois de juin 2021, l’usine Edilteco® France du Pontet (84) accueille une ligne de production et d’enrobage pour l’agrégat Politerm®. Cette nouvelle ligne permet d’accroître la fabrication du procédé et de répondre à une demande croissante mais également d’amoindrir le bilan carbone de l’entreprise en produisant au plus près des clients et ainsi réduire les coûts de transport et les émissions de GES. UN AGRÉGAT DE PSE POUR UN ALLÈGEMENT DES STRUCTURES. L’agrégat léger POLITERM®, bille de polystyrène vierge expansé, à granulométrie contrôlée, enrobée de l’adjuvant breveté E.I.A, (conçu et développé dans les laboratoires d’Edilteco) permet d’alléger les structures grâce à un gain de poids. Ce gain est obtenu par la réduction d’agrégats traditionnels, au profit de l’adjonction de POLITERM®, qui permet d’atteindre des coefficients de conductivité thermique à partir de 0,066 W/mK (POLITERM® 200) et 0,082 W/mK (POLITERM® 300). Les formules POLITERM® 200 et POLITERM® 300, sont donc des mortiers légers dont les masses volumiques, variant 200 kg/m3 et 300 kg/m3, s’avèrent inférieures à celle du béton traditionnel. Les gains de poids volumiques respectifs de 90 % et 88 % offrent un allègement considérable des structures. Et cet allègement qui ne se fait pas au détriment de la robustesse, est permis par un process de fabrication de qualité contrôlée. Les agrégats POLITERM® sont des billes de polystyrène à cellules fermées, fabriquées par la société EDILTECO France et enrobées de l’adjuvant E.I.A. Ils ne proviennent en aucun cas de broyage de panneaux ou de matières recyclées. L’expansion des grains de polystyrène est obtenue par traitement à la vapeur d’eau. Les billes sont alors hydrophobes, imputrescibles et insensibles aux réactions alcalines. Elles sont stockées dans un silo pendant minimum 24 heures, ce qui assure leur stabilisation, avant d’être enrobées par l’adjuvant E.I.A. Ce traitement permet d’éviter toute ségrégation entre billes et liants hydrauliques et garantit l’homogénéité du mélange. MISE EN OEUVRE SIMPLIFIÉE ET RAPIDE Les remplissages allégés POLITERM® 200 et POLITERM® 300 sont destinés à réaliser une couche de remplissage non armée servant à niveler le support en une forme qui recevra une couche supérieure. Ce procédé rattrape donc irrégularités, déformations, changements brusques de niveaux, et permet de noyer les canalisations de plomberie, tuyauteries, câbles, fourreaux, gaines électriques etc. Le POLITERM® 200 s’emploie donc aussi bien pour des opérations de remplissage pour une remise à niveau des pentes, que de ravoirage, ravoirage isolant et d’isolation thermique. De même, le POLITERM 300® s’emploie pour du ravoirage, de l’isolation thermique, de l’isolation acoustique aux bruits de chocs et pour une remise à niveau de plancher. Parfaitement pompable sur de longues distances et à grande hauteur, les mortiers légers POLITERM® 200 et POLITERM® 300 se mettent en œuvre facilement. Lors des mises à niveau et de la confection de supports de revêtement, l’application est simplifiée et rendue plus efficace par sa consistance mousseuse. Dès lors, l’obtention d’un nouvel A.T. des formulations POLITERM® 200 et POLITERM® 300, confirme le caractère exclusif et technique d’allègement des structures sans déperdition thermique et avec une amélioration de l’isolation acoustique ; ainsi que l’engagement d’EDILTECO® France dans une démarche de contrôle qualité certifiée répondant aux exigences de chantiers multiples.
Il y a 3 ans et 120 jours

ENI se lance dans le secteur photovoltaïque en Grèce

La société grecque fait partie de Solar Konzept International, contrôlé par Aquila Capital, une société d'investissement durable allemande, indique ENI dans un communiqué, sans préciser le montant de la transaction.SKGR possède une plateforme pour le développement de centrales photovoltaïques en Grèce et compte une réserve de projets d'environ 800 mégawatts, "qui servira de base à la poursuite du développement du portefeuille d'énergies renouvelables" d'ENI dans ce pays.La filiale gaz et électricité d'ENI est présente sur le marché grec de l'énergie depuis 2000 et compte environ 500.000 clients.Le groupe italien avait annoncé en avril la fusion entre ses branches ventes de gaz et électricité au détail et énergies renouvelables. Il souhaite introduire en Bourse cette année jusqu'à 30% du capital de cette nouvelle société, qui s'appellera prochainement Plenitude.L'objectif de cette entité sera de développer une capacité de production d'énergie renouvelable de plus de 6 gigawatts d'ici à 2025 et de plus de 15 gigawatts d'ici à 2030.
Il y a 3 ans et 121 jours

Le projet de "label vert" européen pour le nucléaire montre ses limites

Périmètre restreintToutes les activités de la filière nucléaire ne sont pas reconnues dans la liste des investissements pouvant bénéficier des avantages de la finance verte (taxonomie de l'UE).Sont concernés la construction de nouvelles centrales pour la production d'électricité et les travaux pour la prolongation de centrales existantes, ainsi que la recherche en vue du développement de technologies minimisant les déchets.Mais la gestion du cycle du combustible (extraction et enrichissement de l'uranium, traitement du combustible usé, enfouissement), élément central de la chaîne de valeur, n'est pas mentionnée.Dates limitesLe projet de texte fixe une date limite à la reconnaissance du nucléaire, technologie bas-carbone mais considérée seulement comme solution "transitoire" au réchauffement climatique, au même titre que le gaz.Seules les énergies renouvelables (éolien, photovoltaïque, etc.) sont classées dans la catégorie des investissements "durables" qui restent l'objectif prioritaire de la politique énergétique européenne.Pour les nouvelles centrales nucléaires, cette reconnaissance "transitoire" concernera des projets ayant obtenu un permis de construire avant 2045. Les prolongations de centrales existantes devront avoir été autorisées d'ici à 2040.Ces limites visent à encourager le recours le plus tôt possible aux futurs réacteurs de 4e génération, attendus dans les décennies à venir, plus sûrs et limitant considérablement la production de déchets. Une clause de revoyure est prévue: les dates limites devront "être revues selon les progrès dans le développement de ces technologies", est-il précisé.Meilleurs technologies disponiblesLe "label vert" ne pourra être accordé qu'aux projets nucléaires mettant en oeuvre les meilleures technologies disponibles. Les nouvelles centrales concernées seront donc au moins de 3e génération (comme l'EPR français de Framatome-Siemens).Pour être reconnus dans la taxonomie de l'UE, tous les projets de centrale (construction ou extension) devront en particulier recourir à de nouveaux combustibles résistant aux accidents ("accident tolerant fuel").Si la Société française d'énergie nucléaire (Sfen) reconnaît l'intérêt de cette innovation en matière de sûreté, elle estime cependant qu'elle "ne saurait être une exigence" dans la mesure où ces carburants sont encore au stade de la R&D, avec un calendrier de déploiement qui reste incertain. Cette condition est susceptible de réduire à néant l'intérêt de la taxonomie pour la filière, selon certains experts.Gestion des déchets et démantèlementParadoxalement, bien que non reconnus dans les activités bénéficiant du "label vert", la prise en charge du traitement et stockage des déchets, tout comme du démantèlement des installations en fin de vie, figure parmi les critères exigés pour les projets de construction et renouvellement de centrales.Ces contraintes incluent pour les États membres abritant ces projets l'existence d'un plan de gestion de tous les types de déchets, radioactifs ou non, ainsi que la réutilisation autant que possible des combustibles usés.Mais aussi un projet détaillé pour disposer d'ici à 2050 des installations de stockage par enfouissement des déchets nucléaires à haute intensité dont certains restent dangereux pendant 100.000 ans. Un plan de financement de ces dispositifs est également requis.Contrôle bruxelloisChaque projet de nouvelle centrale ou de prolongation de centrale existante devra être notifié à la Commission européenne qui analysera sa conformité avec les critères fixés. Il devra en outre faire l'objet tous les cinq ans d'un rapport détaillé transmis à Bruxelles pour faire le point sur son avancement.Ainsi, l'exécutif européen s'attribue de nouvelles prérogatives qui risquent de s'avérer redondantes avec celles des autorités de sûreté nationales et de rogner la souveraineté des États en matière énergétique.TransparenceTous les investisseurs devront publier la part de leurs activités dans le secteur nucléaire. Cette disposition permettra aux acteurs financiers qui le souhaitent de créer des produits d'investissement "verts" garantis sans nucléaires.
Il y a 3 ans et 121 jours

Nouveau portail digital Sika 100% dédié aux distributeurs négoces professionnels du bâtiment

Dans ce cadre, Sika, leader dans le développement et la production de systèmes et de produits destinés au collage, à l'étanchéité, à l’amortissement, au renforcement et à la protection, lance un site qui s’adresse aux distributeurs professionnels pour faciliter leur quotidien mais aussi celui de leurs clients. Didactique et simple, ce portail distributeurs professionnels donne accès à plusieurs niveaux d’informations en navigation publique ou privée.L’expérience client au cœur de la construction Partenaire privilégié des négoces et des professionnels, Sika réaffirme aujourd'hui sa volonté de les accompagner avec la mise en ligne d’un nouvel espace membre disponible sur son site internet www.sika.fr. Afin de développer ce portail distributeurs professionnels, Sika a identifié les problématiques et les attentes de ses clients à travers de nombreuses interviews auprès d’agences partenaires en France. Au vu de ces échanges, l’enjeu était de concevoir un site facilitant l’accès aux informations produits, un guide de solutions pour faire le bon choix de produit face à une problématique spécifique, mais aussi au suivi des commandes en cours, du mix produits, de l’accès aux opérations commerciales ou la prise de contact directe et facilitée avec l’interlocuteur Sika de référence. Les différents départements Sika, marketing, IT, commerce, service technique, ont travaillé de concert pour développer ce nouveau portail distributeurs professionnels, testé et approuvé par les distributeurs du négoce. Portail distributeurs professionnels : tout Sika en un clic Conçu pour faciliter et simplifier l'accès aux informations de l'ensemble des solutions Sika de façon attractive et dynamique, le portail « distributeurs professionnels » c’est : En accès public : un catalogue « produits » permettant de trouver la ou les solutions Sika recherchées par « type d’application ». Pour chaque produit, un descriptif complet est proposé avec les avantages, les domaines d’application, le coloris, le conditionnement... Les fiches techniques, visuels et documents associés sont téléchargeables en PDF. De plus, un e-mail peut être envoyé au client avec le lien qui renvoi à la page du produit concernéune rubrique « Guide de solutions » qui propose trois modes de recherche : la première par mots clés, la seconde par destination de mise en œuvre et la troisième par application technique. Cette rubrique, imaginée pour venir en aide aux agences du négoce, comprend plus de 400 questions, les plus couramment posées par les artisans, pour trouver rapidement et facilement la solution Sika adaptéeun espace « documents & vidéos » regroupant toutes les brochures, les fiches argumentaires produits et toutes les vidéos disponibles en distribution professionnelleUn espace nouveauté dynamique et actualisé en permanenceEn accès personnalisé :une visibilité sur les commandes en coursun tableau de bord personnalisé et interactif pour le suivi des achats et du mix produitsles opérations commerciales du momentles tarifs publics en vigueur et les solutions chantiersà l’équipe Sika dédiée avec possibilité d’organiser un rendez-vous via le portail, aux demandes de maquettes, d’échantillons, de brochures...
Il y a 3 ans et 122 jours

Catalogue de solutions en bois scandinave

NORSILK, acteur dans la production de bois scandinave de première qualité à destination des professionnels industriels et distributeurs et des grandes surfaces de bricolage dispose de gammes complètes de lames dédiées à la construction, au lambris, au bardage et à la terrasse. Cette offre est réunie dans le catalogue de la marque récemment mis à jour et intitulé “Inspiration”. Sur 68 pages, l’ouvrage s’articule en 11 chapitres. Il présente le savoir-faire de l’entreprise et l’ensemble des produits. Dans les 4 premiers paragraphes, l’ouvrage catégorise l’offre phare de Norsilk à travers ses gammes de lames de bardages, de lambris, de terrasses et d’aménagements extérieurs. Le lecteur trouvera également toutes les informations relatives aux dimensions des lames, de leurs aspects et des schémas de coupe permettant de visualiser chaque profil de produit (Moutier, Claire-voie biseauté, Grain d’Orge…) pour tout type de projet.
Il y a 3 ans et 122 jours

Les formations SAINT-ASTIER certifiées

Le premier producteur français indépendant de chaux hydrauliques naturelles, SAINT-ASTIER, vient d’obtenir la certification QUALIOPI de son centre de formation à destination des professionnels. Cette certification, obligatoire aux formateurs contribuant au développement des compétences à compter du 1er janvier 2022, s’adresse aussi bien aux organismes qu’aux indépendants. Elle vient confirmer le savoir-faire du chaufournier et l’excellence des formations que SAINT-ASTIER propose aux entrepreneurs du bâtiment, artisans et salariés, aux maîtres d’œuvre, architectes et aux distributeurs. Proposées en modules de deux à trois jours alternant la théorie et les applications pratiques, les formations SAINT-ASTIER apportent un complément de connaissances et de savoir-faire sur les matériaux (chaux, sable, enduits, pigments, mortiers techniques, béton de chaux, béton de chanvre…) et sur les modes opératoires de mises en œuvre. Ces sessions de formation sont dispensées principalement au centre de formation sur le site de production en Dordogne. En fonction des besoins d’une entreprise ou d’un organisme, le centre de formation est en mesure de proposer des formations sur mesure, dispensées, soit sur leur site soit in situ. Le calendrier 2022 est déjà bien rempli au point d’envisager de nouvelles dates pour satisfaire les demandes…
Il y a 3 ans et 122 jours

L'économie française résiste dans l'ensemble au variant Omicron

L'activité devrait rester stable en janvier, selon la banque centrale qui relève des difficultés d'approvisionnement légèrement amoindries mais des problèmes de recrutement persistants et concernant toujours plus d'une entreprise sur deux.L'économie échappe jusqu'ici à la désorganisation redoutée en raison de l'explosion des contaminations au Sars-Cov-2, d'après les résultats de l'enquête mensuelle réalisée auprès de 8.500 chefs d'entreprise du 20 décembre au 6 janvier. Quatre sur cinq ont répondu durant la première semaine de janvier."Pour le moment, les difficultés d'approvisionnement et de recrutement ont supplanté les problématiques d'absentéisme", relève Hélène Tanguy, directrice des enquêtes de la Banque de France.En dépit de la flambée épidémique liée à la propagation fulgurante du variant Omicron, la croissance s'est élevée à 0,6% au quatrième trimestre par rapport au précédent, confortant la prévision d'une hausse du produit intérieur brut de 6,7% pour l'ensemble de l'année 2021.De son côté, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire s'était dit la semaine dernière "très confiant pour la croissance française".Pour le mois de décembre, l'enquête de la Banque de France a mis en évidence une progression à la fois dans l'industrie et les services, ainsi que dans une moindre mesure dans le bâtiment.Dans l'industrie, le taux d'utilisation des capacités de production est supérieur en novembre et en décembre à la moyenne sur 15 ans dans tous les secteurs, sauf pour l'automobile et l'aéronautique.Le produit intérieur brut (PIB) devrait ainsi être en janvier, comme en décembre, supérieur de 0,75% à son niveau de début 2020, juste avant la crise sanitaire liée au Covid 19.Fortes disparitésMais l'indicateur d'incertitude repart à la hausse, surtout dans les services. Cet indicateur est réalisé à l'aide d'un algorithme de "text mining" relevant "des mots qui signalent de l'incertitude" dans les entretiens des enquêteurs avec les chefs d'entreprise, a expliqué le directeur général de la Banque de France, Olivier Garnier.Les perspectives restent malgré tout favorables.Pour le mois de janvier, "dans l'industrie comme dans le bâtiment on a toujours des carnets de commande qui sont très au-dessus de la moyenne historique", selon M. Garnier.Il relève néanmoins que dans l'automobile, ainsi que dans l'informatique et l'électronique, on s'attend "à un repli de l'activité qui ne tient pas directement à la vague Omicron mais à la persistance des difficultés d'approvisionnement, notamment dans le domaine des semi-conducteurs".Pour les services, la Banque de France prévoit une activité en léger repli en janvier, avec de fortes disparités entre "le travail temporaire et les services aux entreprises, qui sont bien orientés", et à l'inverse l'hébergement, la restauration et l'événementiel, secteurs pour lesquels on observe une "forte détérioration en lien avec le contexte sanitaire".Ainsi, pour l'hébergement, l'activité se situerait à 64% du niveau d'avant-crise en ce début d'année, contre 80% au quatrième trimestre 2021, alors que dans la restauration elle diminuerait dans le même temps de 85% à 75%.Concernant l'inflation, "on n'est plus en phase d'accélération" pour les prix de production dont la hausse a atteint 17% sur un an en novembre, rappelle Olivier Garnier. Si le nombre d'entreprises déclarant des hausses de prix reste à un niveau élevé, il se replie par rapport à novembre.Les prix à la consommation des produits manufacturés devraient au contraire voir leur hausse s'accélérer, bien qu'à un niveau beaucoup plus faible, pour atteindre 1,4% en rythme annuel au premier trimestre.L'inflation dans les services accélèrerait aussi, mais la hausse des prix dans son ensemble serait freinée en cours d'année par un "effet de base" au deuxième semestre, du moins si les prix de l'énergie se stabilisent.
Il y a 3 ans et 122 jours

Pénuries : la crise de l'énergie trouble le secteur de l'aluminium

MATÉRIAUX. Un industriel français a décidé de ralentir sa production d'aluminium à cause de la hausse des prix de l'électricité. La crise énergétique qui sévit dans toute l'Europe n'est pourtant pas prête de prendre fin.
Il y a 3 ans et 122 jours

Bois : "La vraie question est de savoir si le bâtiment est en capacité de muter"

INDUSTRIE. Les matériaux biosourcés, propulsés sur le devant de la scène avec l'entrée en vigueur de la Réglementation environnementale 2020, doivent encore finir de convaincre sur le plan technique et réussir leur industrialisation pour répondre aux besoins de la construction. À commencer par le bois, qui attend des investissements pour ses nouvelles capacités de production comme pour les compétences de ses futurs salariés.
Il y a 3 ans et 122 jours

Malgré les contaminations record, le télétravail ne décolle pas

Face aux contaminations record du Covid-19 (près de 370.000 mardi), le protocole sanitaire en entreprise prévoit depuis le 3 janvier, pour trois semaines, que les employeurs fixent "un nombre minimal de trois jours de télétravail par semaine, pour les postes qui le permettent". Auparavant il prévoyait une simple "cible" de deux à trois jours par semaine.Pourtant, selon un sondage Harris interactive pour le ministère du Travail, au cours de la semaine du 3 au 9 janvier, la part de télétravailleurs est restée stable par rapport à mi-décembre: parmi les actifs pouvant télétravailler facilement, 60% ont télétravaillé au moins partiellement (58% mi-décembre).Le nombre de jours télétravaillés a néanmoins légèrement augmenté chez les actifs ayant déclaré télétravailler, passant de 3 jours en moyenne mi-décembre à 3,3 jours.Ces résultats ont été jugés "pas à la hauteur de la situation sanitaire" par le ministère. Il défend, au vu de ces chiffres, la pertinence des amendes administratives prévues par le projet de loi instaurant le pass vaccinal (jusqu'à 1.000 euros par salarié pour les entreprises récalcitrantes), arguant "qu'on ne peut pas transiger avec la protection de la santé des salariés".Or la majorité sénatoriale de droite a supprimé du texte ces sanctions, vivement contestées par le Medef. Cette disposition fait partie des "points durs" sur lesquels députés et sénateurs essaieront de trouver un compromis jeudi.Le gouvernement entendait initialement mettre en place un pass sanitaire en entreprise, mais y a renoncé au vu de la fronde des partenaires sociaux. Il table aussi sur les contrôles, Mme Borne ayant demandé à l'inspection du travail de passer de 1.000 à 5.000 contrôles par mois.Invité de BFM Business, le numéro un de la CFDT, Laurent Berger, a néanmoins rappelé que "les inspecteurs sont 2.000 pour 20 millions de salariés à contrôler", mettant en avant le "rôle d'alerte" des représentants des salariés face aux entreprises récalcitrantes, qui sont "quelques-unes" mais "pas beaucoup"."Faire tourner la boutique"Le problème se pose moins pour les grands groupes. A la Société générale, "on s'adapte face à cette nouvelle vague" avec 4 jours de télétravail par semaine pour les activités qui le permettent, les jours de présence étant lissés sur la semaine.Selon Benoit Serre, vice-président de l'Association nationale des DRH, "dans l'ensemble, les entreprises jouent le jeu". Mais il reconnaît que "le problème se pose toujours pour les petites boîtes parce qu'elle ont des effectifs assez tendus".Or, dit-il, "le cumul du télétravail et des absences, des cas contact, des malades, etc., fait que quelquefois ça devient une espèce d'équation impossible pour avoir des gens dans la boîte".C'est le problème que rencontre Charles, responsable d'une PME parisienne dans la mobilité."On n'est plus dans la léthargie du confinement. Les boîtes, il faut qu'elles tournent", dit-il. Mais aux 3 jours de télétravail "s'ajoutent les cas contact, les gardes d'enfants pour classes fermées, et ceux-là c'est du 100%. Donc si toute l'équipe (est à distance ou absente), comment tu fais tourner la boutique ?", dit-il, rapportant être obligé de ramener certains salariés à seulement un jour à distance.Certains se heurtent aussi à l'opposition de leur employeur.Paul (prénom modifié), 25 ans, rapporte à l'AFP que dans son entreprise de jeux vidéo, "les équipes de production n'ont pas le droit de télétravailler".L'inspection du travail est venue mais s'est rangée aux arguments de la direction, qui a mis en avant l'enjeu de la cybersécurité pour refuser le télétravail, alors qu'une équipe interne est dédiée à ce sujet, dit-il."On se retrouve avec des cas contact dans mon open space", déplore ce salarié.Un autre employé d'un cabinet d'expertise comptable explique que son employeur "invoque la raison de la confidentialité des informations et documents manipulés".In fine, "on a hâte que ça se termine, le télétravail", rapporte Charles, mais "personne n'est dupe", ça ne durera pas trois semaines...
Il y a 3 ans et 122 jours

Interdiction du fioul : chaudières hybrides et biofioul seront autorisés après le 1er juillet 2022

Dès le 1er juillet 2022, les équipements neufs installés pour le chauffage ou la production d’eau chaude sanitaire ne pourront pas dépasser un plafond d’émission de GES de 300 gCO2eq/KWh PCI.
Il y a 3 ans et 123 jours

Evolis Symop, une nouvelle organisation professionnelle industrielle

Evolis Symop se tourne vers une organisation agile et digitale pour attirer les jeunes générations. [©Evolis Symop] Evolis1 et Symop2 se rapprochent pour former une seule et même organisation professionnelle industrielle. Dans ce contexte, Jean-Claude Fayat, président du groupe éponyme, a été nommé à la tête d’Evolis Symop. Tandis que Fabien Vincentz, président de Marposs France, occupe la fonction de premier vice-président. Pour le nouvel organisme, l’objectif ici est de rassembler et de défendre « l’ensemble des acteurs qui contribuent à la compétitivité et à l’efficacité de l’industrie française par la modernisation de l’outil de production ». Dans le détail, l’entité représente les fournisseurs de biens d’équipements et de machines à destination de toutes les filières industrielles. A l’image de l’industrie mécanique, la construction et les infrastructures. Ou encore, celles de la chimie, du bois, de l’emballage et du recyclage… Lire aussi : Voyage au cœur des centrales à béton En s’associant, Evolis Symop atteint près de 600 entreprises adhérentes employant 82 000 salariés. Pour un chiffre d’affaires cumulé de 19 Md€, dont 65 % à l’export. Des chiffres qui permettront à la nouvelle organisation de peser davantage auprès des instances françaises et européennes sur des sujets réglementaires, de normalisation ou de modernisation. De plus, Evolis Symop se tourne vers une organisation agile et digitale pour attirer les jeunes générations. C’est pourquoi il s’est doté d’une nouvelle plate-forme Internet. Imaginée comme un lieu de convergence propice à de nombreuses opportunités de business, cette dernière permet de favoriser les échanges entre les adhérents. 1Organisation professionnelle de biens d’équipement, ex-Cisma.2Syndicat des machines et technologies de production.
Il y a 3 ans et 123 jours

Le décret mettant en place la Rep Bâtiment est paru

Un éco-organisme pour le développement de la filière de recyclage des matériaux de construction a été créé par les syndicats et les fédérations des industriels de la construction. [©ACPresse] Si en novembre dernier, le ministère de la Transition écologique et solidaire annonçait le report de la Rep, le décret n° 2021-1941 qui définit les obligations des metteurs sur le marché de produits de construction est finalement paru au Journal officiel. Publié au 1er janvier 2022, le décret met en place la responsabilité élargie des producteurs de déchets du bâtiment prévue par la loi Agec. L’objectif ? Accélérer et optimiser le recyclage. Lire aussi :Ecominero : Une marque pour valoriser les déchets inertes du bâtiment Car pour rappel, le bâtiment génère près de 42 Mt/an de déchets. Le décret définit ainsi le rôle et les obligations des éco-organismes. Sans toutefois acter les entités agréées, qui font l’objet d’une concertation depuis novembre 2021. De plus, le décret indique que les dispositions actuelles de reprise des déchets restent en vigueur jusqu’à ce qu’au moins un éco-organisme soit agréé. Lorsque cela sera fait, ces derniers s’engagent à reprendre sans frais les déchets triés du bâtiment. Le texte stipule que plusieurs éco-organismes peuvent exister pour une même filière de produits et de matériaux. Un décret mis sur pause De plus, ils devront assurer un maillage territorial efficace en concertation avec les collectivités locales. « Sauf lorsque le plan ou le schéma régional en dispose autrement, la distance moyenne à l’échelle régionale entre le lieu de production des déchets et l’installation de reprise des déchets est de l’ordre de 10 km. » Toutefois, dans les zones où la densité d’habitants et d’activités économiques est faible, cette distance est de l’ordre de 20 km. « Lorsque le maillage ne permet pas de respecter cette distance, l’éco-organisme propose des mesures de reprise des déchets auprès de leur détenteur ou de compensation financière des coûts de transport. » Lire aussi :Valobat : Pour faire progresser le recyclage des déchets du bâtiment Enfin, le texte définit deux types de produits et matériaux de construction. D’une part, les solutions constituées de minéraux et dépourvues de verre, laines minérales ou plâtre (béton, chaux, terre cuite…). Et d’autre part, les autres produits de la construction (bois, laine de verre et de roche, métal…). Les terres excavées, les outils et équipements techniques industriels ou encore les installations nucléaires de base ne rentrent pas dans le giron de ce dispositif.
Il y a 3 ans et 123 jours

La part du renouvelable dans la consommation d'énergie en Allemagne a chuté en 2021

Les panneaux solaires, l'éolien et les autres sources d'énergies renouvelables ont représenté 42% de la consommation d'énergie dans la première économie européenne, après avoir atteint 45,3% en 2020, selon un communiqué de l'agence publique de l'environnement UBA, publié cette semaine.En cause, une "consommation globale ayant augmenté", dans un contexte de reprise économique, alors que la production d'énergies renouvelables a "baissé de 5%" sur un an, a indiqué l'organisme.L'éolien, qui représente "la moitié" de l'ensemble des renouvelables en Allemagne, a connu un revers très important, de 11%, en raison du manque de vent, "particulièrement au premier trimestre", a-t-il détaillé.La consommation d'énergie solaire a quant à elle "seulement augmenté de 1%", malgré la mise en service de "nombreuses nouvelles installations", en raison d'un "temps moins ensoleillé" qu'en 2020 dans le pays.Seul progrès : l'augmentation de 9% sur un an de la consommation d'énergies renouvelables pour le chauffage, selon l'UBA.Au total, l'énergie provenant de sources durables a représenté en 2021 un total de 237 milliards de kW/h, contre 250 milliards de kWh l'an dernier.Ces chiffres sont publiés une semaine après la prise de fonction du nouveau gouvernement allemand dirigé par le social démocrate Olaf Scholz, avec les libéraux et les Verts.Cette coalition composite compte relever les objectifs de l'Allemagne en terme de transition écologique, avec 80% d'énergies renouvelables d'ici 2030.Le gouvernement est par ailleurs à la fois engagé dans la sortie du nucléaire, dès 2022, et du charbon, en 2030.Or, le cap des 80% "ne pourra pas être atteint au rythme actuel de développement" des infrastructures, a alerté Dirk Messner, le président de l'UBA, cité dans un communiqué."Nous avons besoin de mesures rapidement applicables dans les prochaines années pour construire davantage d'installations éoliennes et photovoltaïques", a-t-il ajouté.
Il y a 3 ans et 123 jours

Les solutions cheminées Poujoulat au service de la RE2020 pour un chauffage bois performant

Ce sont les énergies renouvelables, comme le bois, qui seront favorisées pour le chauffage et la production d’eau chaude sanitaire. Énergie renouvelable et locale (circuit-court grâce aux massifs forestiers français), l’énergie bois est un réel puits de carbone (la forêt capte le carbone présent dans l’atmosphère).Aujourd’hui, cette ressource apparaît comme l’une des meilleures alternatives aux énergies fossiles : son coût est nettement inférieur, son renouvellement est beaucoup plus rapide et son impact sur l’environnement est nul.Autre évolution réglementaire à venir : à compter du 1er juillet 2022, il ne sera plus possible de remplacer ou d’installer une chaudière au fioul neuve. Des dérogations existeront pour palier certaines difficultés techniques . Toutefois, il sera possible d’utiliser sa chaudière au fioul tant que l’équipement sera en état de fonctionnement. Dans ce contexte, la chaudière biomasse apparaît comme une alternative idéale.Les aides financières pour le chauffage au boisUn ensemble d’aides est disponible pour le consommateur afin de l’accompagner dans sa transition énergétique et ainsi réduire le reste à charge. En 2021, le remplacement d’un appareil par une chaudière à bois ou à granulés ainsi que l’installation d’un poêle à bois (bûches et granulés) permettent de bénéficier d’aides. Les montants dépendent du revenu fiscal du foyer.Si le choix d’un appareil de chauffage performant est primordial (labellisé Flamme Verte), le conduit d’évacuation de fumées l’est tout autant ! Leur complémentarité, avec un combustible de qualité, est un gage de fiabilité, de sécurité et de meilleur rendement thermique. Cheminées Poujoulat, leader européen des conduits de cheminées et sorties de toit métalliques, a toujours placé la performance énergétique et l’innovation au cœur de ses orientations stratégiques, comme en témoignent ses dernières solutions :AIRWOOD pour la récupération et la distribution de l’énergie bois dans toute la maison,DUAIS EI pour le raccordement des chaudières à granulés étanches,Autre fer de lance Cheminées Poujoulat, l’esthétique et la personnalisation des produits sont également mises à l’honneur avec la présentation de :DESIGN’UP : la nouvelle génération d’habillage ventilé des poêles à bois facile à installer,OUTSTEEL : la nouvelle gamme de caches pompe à chaleur et climatisation.
Il y a 3 ans et 124 jours

Une terrasse de bureaux en bois Kebony

L'architecte Matt Dawson, de TBG Partners, a choisi le bois Kebony pour de multiples éléments de ce projet, et notamment la terrasse, les tables, les bancs et autres structures. L'une des raisons principales ayant motivé ce choix est son côté esthétique : le bois développe avec le temps une élégante patine gris argent qui ajoute une touche moderne au lieu. De plus, certaines zones définies par l'architecte utilisent le bois Kebony comme revêtement de sol, lequel se marie très harmonieusement avec le mobilier design épuré choisi pour ces mêmes zones.Si l'architecte a choisi le bois Kebony, c'est également pour ses qualités intrinsèques : il s'agit d'un bois respectueux de l'environnement, très facile à entretenir et résistant aux aléas climatiques. Les lames de bois façonnent un environnement très calme, empreint de sérénité, comme seuls les bâtiments utilisant des matériaux naturels en ont le secret.Kebony est un bois véritable, haut de gamme, écologique et durable, utilisé dans de nombreuses applications extérieures : terrasse, bardage, toiture et mobilier. La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d'améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l'environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide organique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa densité et stabilité dimensionnelle, lui donnant un coloris brun foncé similaire à un bois tropical. Le siège mondial de la société est basé à Oslo en Norvège, et ses sites de production se situent à Skien, au sud d'Oslo ainsi qu'à Anvers en Belgique.
Il y a 3 ans et 124 jours

Holcim s’offre le groupe PRB

PRB devrait rejoindre le groupe suisse Holcim durant le deuxième trimestre 2022. [©PRB] En corrélation avec sa stratégie Accelerating Green Growth, Holcim annonce s’être engagé dans l’acquisition du groupe PRB. Créé en 1975, ce dernier s’est spécialisé dans la fabrication de produits pour l’isolation thermique et la rénovation. Notamment, avec des revêtements spéciaux pour façades ou des mortiers techniques, des solutions pour les sols ou encore sa ligne “responsables et durables” à empreinte carbone réduite. « C’est un démarrage très fort en ce début d’année avec l’arrivée du groupe PRB au sein de la famille Holcim, déclare Jan Jenisch, Pdg du groupe Holcim. C’est une nouvelle étape enthousiasmante pour le développement de notre branche “Solutions & Produits” et le déploiement de notre stratégie. » En effet, l’industriel suisse vise l’expansion de ses activités “Solutions & Produits”, qui devraient atteindre 30 % de son chiffre d’affaires net d’ici 2025. Et ce, en se développant dans des segments attractifs allant des activités de toitures à la réparation, en passant par la rénovation. La rénovation et l’isolation thermique comme axe de croissance De son côté, PRB compte près de 700 collaborateurs. L’industriel dispose d’un centre de R&D, de 5 usines de production, de 26 dépôts logistiques et s’appuie sur 1 300 points de distribution. Pour 2022, le groupe compte atteindre les 340 M€ de chiffre d’affaires. De plus, avec le plan de relance et les différentes mesures tournées vers la construction décarbonée, le marché de la rénovation représenterait un potentiel de croissance de l’ordre de 18 % pour PRB. « Ce rapprochement est un nouveau chapitre presque naturel pour les deux entreprises qui partagent les mêmes valeurs et la même vision, explique Jean-Jacques Laurent, président de PRB. Ensemble, nous allons pouvoir accélérer davantage notre stratégie de croissance. Tout comme PRB, Holcim est engagé dans l’économie circulaire et veut contribuer à rendre le secteur de la construction plus durable. » L’opération de rachat est pour le moment soumise aux instances d’approbations françaises et devrait être finalisée au deuxième trimestre 2022.
Il y a 3 ans et 124 jours

Le village des athlètes des JO de Paris sera bas carbone

Spie batignolles outarex, en groupement avec GCC Habitat, réalise actuellement 12 bâtiments des lots D1 et D2 du Village des Athlètes, aménagé pour les Jeux Olympiques Paris 2024. Si dans un premier temps ces ouvrages sont destinés à loger plus de 2000 athlètes, ils accueilleront à terme, pour la phase Héritage, et ce, dès la rentrée 2025, des logements, commerces et de nombreux services. Sur ce projet, le groupe Spie batignolles s’est lancé plusieurs défis avec, notamment, l’installation de sa première centrale béton bas carbone pour produire les 30 000 m3 nécessaires à l’ensemble du projet. Les équipes Spie batignolles ont travaillé pendant plusieurs mois sur les caractéristiques du béton à employer, pour qu’il puisse présenter un impact carbone faible fixant à 157 kg eq CO2/m3 maximum la quantité d’émissions carbone du béton à produire. Avec le support du bureau d’études EGIS, Spie batignolles a identifié 10 formulations de béton, qui ont toutes été retenues. Elles correspondent aux différentes spécificités techniques du projet, intègrent les facteurs météorologistes et les cadences/rotations de production. Spie batignolles a utilisé du laitier de haut-fourneau issu des déchets sidérurgiques pour remplacer une partie du ciment, dont la cuisson à haute température génère une forte pollution. Les équipes ont privilégié des fournisseurs détenant des carrières en France, en maximisant les apports par voie fluviale (Ciments Calcia, Lafarge Granulats, Ecocem et Master Builders). Afin de s’assurer de sa stratégie d’exécution et de ses choix de matériaux pour rester dans la limite des 740 kg eq CO2/m² de plancher imposés sur le secteur D par le maître d’ouvrage, le groupe a lancé un processus de vérification de sa performance. Cette réflexion a conduit l’entreprise à produire 43 fiches de déclaration environnementale et sanitaire. Le projet fait également la part belle au bois, matériau par ailleurs favorisé sur l’ensemble du Village des Athlètes, pour une construction mixte bois/béton. Celui-ci sera acheminé depuis des forêts gérées durablement et certifiées PEFC ou FSC avec 30% de bois structurel issus des forêts françaises. Les travaux débutés en mai 2021 s’achèveront, au cours d’une première mise à disposition, au 31 décembre 2023 en faveur de P2024 pour le Village des Athlètes. Les travaux reprendront dès novembre 2024 pour lancer la reconversion des bâtiments, jusqu’à la phase de livraison aux clients au 3ème trimestre 2025. Maître d’ouvrage : SCCV Quinconces représentée par Icade Promotion, co-investisseur avec la Caisse des Dépôts et CDC Habitat Maître d’œuvre : – UAPS Architecte coordonnateur – Atelier Pascal Gontier – Atelier Architecture Brenac Gonzalez associés – NP2F – Fagart & Fontana Conception/construction : Groupement Spie batignolles outarex (mandataire) et GCC Habitat Cet article Le village des athlètes des JO de Paris sera bas carbone est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 124 jours

Inauguration du Pavillon by Cemex à Paris

Le Pavillon by Cemex est le nouveau showroom de l’industriel, situé sur son site de production de Port-Victor, à Paris dans le XVe arrondissement. [©Cemex] Fin novembre dernier s’est déroulée l’inauguration virtuelle du Pavillon by Cemex. Cet évènement a été l’occasion de visiter ce lieu innovant. Et d’assister à la démonstration de l’outil digital “Le Pavillon Virtual Tour”. Ce dernier étant destiné à la découverte des bétons et des solutions constructives Cemex en lien avec la ville durable. « Le Pavillon by Cemex a pour vocation d’accueillir décideurs, prescripteurs, maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre. Ceci, afin de les soutenir dans leurs projets de construction et de rénovation », indique Michel André, directeur général Cemex Matériaux Europe de l’Ouest. Et de poursuivre : « Nous avons créé un cadre propice à la discussion, à la réflexion et à la créativité. Les équipes prescription et promotion y conseilleront les acteurs de la construction et de l’aménagement du territoire. Sur les solutions les plus adaptées à leurs ambitions ». A la découverte du Pavillon Virtual Tour La visite guidée par Dominique Sestillange, responsable produits spéciaux et réseaux partenaires de Cemex France, a permis aux invités de découvrir les différents espaces du show-room. Mais aussi les technologies phares du groupe. Ainsi que des références de chantiers innovants. « L’objectif est de co-construire des solutions sur mesure directement avec les maîtres d’ouvrage. Et ce, en présentant les différentes technologies que nous mettons à leur disposition comme la durabilité, l’économie circulaire, la perméabilité, le confort ou encore l’esthétique », ajoute Dominique Sestillange. Et de conclure : « Pour les porteurs de projets qui ne pourraient pas venir nous rencontrer sur place, nous avons créé Le Pavillon Virtual Tour, qui leur permet de s’immerger à distance dans Le Pavillon by Cemex ». Retrouvez prochainement l’intégralité du reportage-vidéo sur notre site www.acpresse.fr et de “l’Esprit Béton” dans Béton[s] le Magazine n° 100.
Il y a 3 ans et 124 jours

Chauffage et production d’ECS : les innovations du salon BePositive 2021

Une rupture technologique dans les pompes à chaleur, l’hydrogène en collectif, le bois énergie est partout, l’offre rurale des chaudières Perge, les avantages de la production d’ECS décentralisée, …
Il y a 3 ans et 124 jours

SMAC cède Resipoly et Eurosyntec au groupe MAPEI

Cette vente s’inscrit pleinement dans la stratégie de SMAC qui se recentre sur son cœur de métier, à savoir son activité de travaux : étanchéité, bardage, façade architecturale, rénovation énergétique ainsi que l’entretien et la maintenance de l’enveloppe du bâtiment.En cohérence avec cette stratégie, SMAC avait initié dès 2020 la vente de ses filiales industrielles, dont la cession de RESIPOLY et d’EUROSYNTEC marque l’achèvement. Il s’agit pour SMAC d’une réelle opportunité. L’entreprise souhaite ainsi se concentrer sur sa raison d’être, à savoir : concevoir, construire et entretenir de manière éco-responsable l’enveloppe du patrimoine immobilier d’aujourd’hui et de demain. Il est en effet à noter que le secteur du bâtiment représente plus de 40 % de l’énergie totale consommée et génère plus de 20 % des émissions globales de gaz à effet de serre.Construire et rénover les enveloppes des bâtiments qui modèlent nos villes et nos paysages constituent un enjeu environnemental fort. À travers ses choix stratégiques, SMAC s’engage pleinement pour relever ce défi via ses activités de travaux et de services, jouer un rôle d’acteur majeur de la ville durable et contribuer à l’amélioration de la vie quotidienne des citoyens.Rappelons qu’au début du mois de mars, SMAC a finalisé la vente d’AXTER, son pôle de production et de commercialisation de membranes, et en avril la vente de SKYDÔME et ESSEMES Services spécialisées dans la production, la commercialisation et l’installation de lanterneaux.
Il y a 3 ans et 124 jours

Concertation publique pour la projet de parc éolien offshore Centre-Manche 2

Ce nouveau parc éolien français fournira en électricité l'équivalent de la consommation annuelle d'un million de foyers, selon le dossier de concertation.Cette concertation publique, encadrée par la Commission nationale du débat public (CDNP), va durer jusqu'au 7 mars puis du 25 avril au 16 mai 2022 et elle inclut 10 réunions publiques.Dans un délai d'un mois, un bilan rédigé par des garants seront présentés au public et, au maximum deux mois après ce bilan, le ministère de la Transition écologique et RTE révéleront les enseignements tirés de la concertation.Concernant l'installation du parc éolien, les autorités précisent que les éoliennes « seront posées sur le fond marin et non flottantes, car la profondeur des fonds marins est faible ».La localisation des éoliennes, à environ 45 km des côtes normandes sera quasiment à « équidistance des départements de la Manche, du Calvados et de la Seine-maritime », selon Damien Levallois, directeur du projet à la direction de l'environnement de Normandie, pour l'AFP.Ce projet de 4 à 5 milliards d'euros sera situé à l'est du projet Centre-Manche 1, qui lui atteignait une production de 1 GW. M. Levallois mentionne d'ailleurs que « Potentiellement les deux parcs se toucheront » lorsque le Centre-Manche 2 sera mis en service à l'horizon 2031.L'industriel chargé du projet Centre-Manche 1 sera connu fin 2022 et sera chargé de la mise en service pour l'horizon 2027, selon M. Levallois.La zone « centre Manche », située a minima à 32km des côtes, fait 500 km² en tout et est le centre d'un débat public en 2019 et 2020.D'autres projets de parcs éoliens situés sur les côtes normandes sont également présents au large de Courseulles, Fécamp et Dieppe/Le Tréport, à une distance de 10 à 20 km du littoral. Leur mise en service est prévu pour l'horizon 2023.Le but assumé de ces projets offshore est pour l'État « de répondre au besoin croissant d'électricité décarbonée, afin de diminuer la part des énergies fossiles sur lesquelles reposent encore les deux tiers de notre consommation énergétique ».
Il y a 3 ans et 124 jours

Meljac poursuit son engagement pour le Fabriqué en France

Ces modèles en matériaux nobles résultent d’un savoir-faire manuel complexe, combiné à des technologies de pointe. Le traitement de surface et les réalisations sur-mesure font aujourd’hui la renommée de la marque."Cette distinction témoigne toujours de notre expertise et nous apporte une reconnaissance supplémentaire tant en France qu’à l’étranger. Elle illustre notre volonté de défendre le savoir-faire français et la proximité avec nos clients. Outre le label OFG attribué depuis 9 ans, le label EPV a placé MELJAC dès 2015 parmi les joyaux du patrimoine économique et culturel français. Nous sommes très fiers que nos valeurs et la qualité de notre fabrication soient récompensées ainsi." Jean-Michel LAGARDE, Directeur général de MELJACOFG : la qualité et la finesse des produits françaisAvec un taux de 70 à 95% d’origine française, tous les produits MELJAC se situent largement au-delà des exigences du label OFG.Bureau Veritas reconduit son audit chaque année.Cette distinction met en avant les principes chers à l’entreprise : conserver la fabrication de ses produits en France et y maintenir ses savoir-faire.2012 : 1er label OFG pour toutes les gammes en laiton MELJAC (ensuite, extension aux gammes en porcelaine, verre et plexi)2015 : 1ère de son secteur d’activité à obtenir le label EPV (Entreprise du Patrimoine Vivant) décerné par le Ministère de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique.MELJAC, acteur reconnu du Made in FranceParticipation à une délégation « French Touch » de 13 entreprises sélectionnées par Bpifrance, en Corée du Sud dans le cadre du 130e anniversaire des relations diplomatiques France-Corée (2016)Lauréat du Trophée RMC-PME « Bougeons-Nous » catégorie Fabriqué en France (2018)Une fabrication française alliant industrie et artisanatLa fabrication des produits MELJAC fait appel à la fois aux outillages de haute précision et à l’irremplaçable main de l’homme.Internalisation des étapes de fabrication à forte valeur ajouté dès 1999 : usinage, gravure, traitement de surface…Maîtrise de toute la chaîne de production au sein d’une usine construite sur-mesure en 2010, en région parisienne (Villeneuve-Le-Roi, 94), et d’un site dédié au traitement du surface (Neuilly Plaisance, 93).L’entreprise peut ainsi répondre aux demandes les plus pointues des architectes et designers.
Il y a 3 ans et 124 jours

BETON MOUSE TECHNOLOGIE lance AEROLITYS

Béton Mousse permet de vastes applications ! Sous la marque Aérolithys, Béton Mousse Technologie propose un service de béton mousse,livré, mélangé et coulé en place. Sans polystyrène et sans sable, c’est une solution avec unfaible impact environnemental, nécessitant moins de transport et produisant zéro déchet dechantier. Proposé en différentes densités (de 300 à 500 kg/m3), le béton mousse permet unevaste gamme d’applications ( ravoirage allégé, remblai d’engineering, Isolation sous dallage ettoit-terrasse…). Fluide et auto-compactant, le béton mousse Aérolithys permet aussi de réduirela pénibilité du travail et d’augmenter la productivité de vos chantiers ( 150 m3/ j coulés). Embarquée sur un 32 t, notre unité mobile de mélange et de pompage assure d’excellentesperformances de production, afin de répondre aux besoins des petits ou des grands projets.
Il y a 3 ans et 127 jours

Le gouvernement présente de nouvelles mesures pour les entreprises de taille intermédiaire

Dix nouvelles "actions" doivent aider ces entreprises à devenir "plus compétitives et engagées", selon un communiqué de presse cosigné par cinq ministres et secrétaires d'État.Des "référents ETI" seront ainsi nommés dans chaque région. Ils devront servir d'"interlocuteur unique, qui puisse coordonner l'ensemble des sujets d'une ETI, pour qu'elle ne se perde pas entre les nombreux services de l'État", a précisé le ministère de l'Économie et des Finances.Autre mesure phare: la création d'un indicateur de suivi des impôts de production payés par les entreprises.Le gouvernement souhaite aussi "améliorer la connaissance des ETI ainsi que la prise en compte de leurs caractéristiques, notamment en identifiant dès que possible cette catégorie dans les travaux d'enquêtes et de statistiques"."Vous représentez 3 millions d'emplois en France, c'est considérable", a souligné Bruno Le Maire mercredi soir à Bercy devant des représentants des ETI et plusieurs membres de l'exécutif.Le ministre de l'Économie et des Finances a détaillé trois "responsabilités" du gouvernement envers les ETI: "baisser davantage les impôts de production", "abaisser les charges" pesant sur les salariés les plus qualifiés et "offrir des conditions de financement les plus favorables possibles."En contrepartie, "continuez à embaucher en France, à investir en France, valorisez la marque France!", leur a enjoint Bruno Le Maire, pour qui "les ETI doivent devenir le fer de lance de la reconquête industrielle française."Les bénéficiaires de la Stratégie nation ETI ont pris mercredi plusieurs autres "engagements": d'ici 2025, elles visent 5% d'alternants dans leurs effectifs et veulent faire progresser de 10% l'index de l'égalité professionnelle des ETI."L'indicateur global annoncé par le gouvernement afin de suivre l'évolution des impôts de production doit être salué", se sont félicité les coprésidents du Mouvement des entreprises de taille intermédiaire (Meti), l'organisation représentative des ETI, Philippe d'Ornano et Frédéric Coirier, cités dans le communiqué.Les ETI regroupent les entreprises ayant entre 250 et 5.000 salariés et un chiffre d'affaires de 60 millions d'euros à 1,5 milliard d'euros. En 2019, on en comptait plus de 5.500 en France, selon des chiffres de l'Insee cités par Bercy.
Il y a 3 ans et 127 jours

Bâtiment modulaire: Portakabin France poursuit sa croissance malgré la crise

Agrandissement des centres techniques, de l’usine de production, recrutements et lancement d’un nouveau module compatible avec la RE 2020 : Portakabin France, spécialiste du bâtiment modulaire en location, poursuit sa croissance malgré le ralentissement des projets dans le secteur du bâtiment.
Il y a 3 ans et 128 jours

Quatre nouveaux projets en France de Power Road, la route à énergie positive

Power Road® permet de valoriser la chaleur captée par la chaussée tout au long de l’année et ainsi de se substituer à l’énergie fossile consommée pour le chauffage des bâtiments. En France, près des deux tiers des consommations d’énergie liées aux bâtiments sont consacrées au chauffage, dont l’énergie de production provient également, pour les deux tiers, de la combustion d’énergies fossiles, fortement émettrices de gaz à effet de serre (GES).Saint-Pol-de-Léon : Rénovation énergétique de la piscine municipaleLa piscine de Saint-Pol-de-Léon (29) en Bretagne va être rénovée par la communauté de communes afin de limiter sa consommation énergétique. La mise en place de 860m² de Power Road répondra à 39% des besoins en énergie liés au préchauffage de l'eau des bassins. À sa réouverture en juillet 2022, 30 tonnes de CO² seront économisées chaque année par rapport à la consommation de la chaudière à gaz actuelle ; l'alimentation en chaleur de la piscine sera alors faite avec 29% d'énergies renouvelables.Agneaux : Construction du nouveau siège administratif du SDEMLe syndicat départemental d'énergies de la Manche, SDEM, se dote d'un nouveau siège basé à Agneaux (50) en Normandie, occasion parfaite d'envisager des solutions énergétiques alternatives. 200m² de Power Road chaufferont les 1650m² du nouveau bâtiment. Économe en énergie, cet équipement permettra d'économiser 87,5% de CO² par an comparativement à une solution gaz, soit 5 tonnes de CO² par an.Bourgoin-Jallieu : Démolition et reconstruction d'une agence de travaux EuroviaL'agence EJL de Bourgoin-Jallieu (38) fait peau neuve grâce à la construction d'un nouveau bâtiment. 100m² de Power road seront installés en fin 2022 avec l'objectif de chauffer et rafraîchir un espace de 700m². 10 tonnes de CO² seront ainsi économisées annuellement en comparaison d'une solution au gaz, réduisant encore de 30% les émissions de gaz à effet de serre par rapport à une solution déjà performante (VRV). La part d'énergie renouvelable de la solution de chauffage et climatisation s'élèvera à 80%.Tarbes : Démolition et reconstruction d'une agence de travaux EuroviaL'agence La Routière des Pyrénées, située à Tarbes (65), rénove ses 585m² de bureaux. Une voirie Power Road de 100m² sera installée afin d'assurer le chauffage et le refroidissement des espaces de travail. Les bénéfices estimés permettront l'économie de 13 tonnes de CO² par an en comparaison d'une solution au gaz.Ces projets montrent la pertinence de Power Road comme solution d'énergie renouvelable de proximité pour la transition vers des bâtiments décarbonés et optimisés, ainsi que sa contribution dans l'atteinte des objectifs climat de la France : les énergies renouvelables devront couvrir 50% de la consommation de chaleur dès 2030 et atteindre la neutralité carbone en 2050.
Il y a 3 ans et 128 jours

Le décret interdisant l'installation d'équipements de chauffage fonctionnant au charbon ou au fioul à compter du 1er juillet 2022 est paru

"Pour pouvoir être installé dans un bâtiment, y compris en remplacement d'un équipement existant, un équipement de chauffage ou de production d'eau chaude sanitaire" doit respecter un niveau d'émissions de gaz à effet de serre "inférieur à 300 gCO2eq / kWh PCI", indique le texte.Les nouvelles normes s'appliquent à compter du 1er juillet 2022, précise le décret.Ce plafond revient "à exclure l'installation d'équipements neufs fonctionnant au charbon ou au fioul, qui conduirait à pérenniser pour plusieurs années des modes de chauffage fortement émetteurs de gaz à effet de serre", indique dans un communiqué le ministère de la Transition écologique."En revanche, les propriétaires d'équipements existants fonctionnant au fioul ou au charbon pourront continuer à les utiliser sans changement de combustible, les entretenir et les faire réparer pour maintenir leur efficacité", précise-t-on de même source.Le sujet, sensible, concerne des millions de Français, notamment en zones rurales.Le fioul domestique est "la 3e énergie de chauffage en France", chauffant "près de 4 millions de bâtiments dont plus de 3 millions de maisons individuelles en résidence principale", selon un communiqué de la filière biofioul, alternative au fioul domestique fossile.Ces maisons chauffées au fioul se trouvent "principalement dans des territoires ruraux et périurbains que les réseaux de chaleur ou le gaz de ville ne desservent souvent pas", selon des données de l'Ademe citées par le communiqué.L'utilisation de ce type d'énergie est particulièrement importante dans des zones où les températures hivernales sont basses, comme la façade Est, et les régions Hauts-de-France et Auvergne-Rhône-Alpes, entre autres.Les acteurs impliqués dans le développement du biofioul saluent un texte ambitieuxLa Fédération Française des Combustibles, Carburants et Chauffage (FF3C), organisation représentative regroupant les professionnels de la distribution des énergies hors réseaux ; la Fédération Française des Pétroliers Indépendants (FFPI) ; la Fédération Française des Producteurs d’Oléagineux et de Protéagineux (FOP) ; Esterifrance, le syndicat des esterificateurs français ; Uniclima, le syndicat des industries thermiques, aérauliques et frigorifiques ; l’Union Nationale Artisanale Couverture Plomberie Chauffage (UNA CPC) de la CAPEB ; l’Union des Métiers du Génie Climatique, Couverture et Plomberie (UMGCCP) de la FFB saluent ce Décret amorçant une transition du fioul domestique 100 % fossile vers le biofioul, biocombustible liquide de chauffage incorporant une part croissante d’énergie renouvelable sous forme d’ester méthylique de colza (EMC).76 % des consommateurs prêts à opter pour du biofioul Un sondage a été réalisé par Opinion Way en juillet 2021 auprès d’utilisateurs de fioul afin de recueillir leur avis sur leur mode de chauffage actuel et leur intérêt vis-à-vis d’un biocombustible liquide. Parmi les principaux enseignements de ce sondage :99 % des répondants trouvent le chauffage au fioul efficace.68 % n’envisagent pas de changer d’énergie de chauffage ; 32 % y pensent mais « sans urgence », d’ici 2 à 5 ans pour 21 % d’entre eux.45 % ont déjà entendu parler du biofioul ; 76 % seraient prêts à opter pour du biofioul et 58 % se disent prêts à opter dès à présent pour une chaudière biocompatible utilisant du biofioul.Le biofioul, énergie des territoiresLe biofioul est une énergie liquide stockable, composée d’une part d’énergie renouvelable, prioritairement sous forme d’ester méthylique de colza (EMC). Le choix du colza tient aux nombreux atouts de cette plante dont la France est l’un des premiers producteurs en Europe : 80 000 agriculteurs cultivent du colza sur l’ensemble du territoire. Sa graine, composée à parts équivalentes d’huile (notamment valorisée en biofioul) et de matière riche en protéines (notamment valorisée pour l’alimentation animale), offre des réponses prometteuses et complémentaires aux enjeux des transitions agroalimentaire, énergétique et environnementale, dont celui de la souveraineté protéique de la France.
Il y a 3 ans et 129 jours

Total Energies va construire la centrale solaire de Prony Resources (nickel) en Nouvelle-Calédonie

Le projet, dont le coût n'a pas été dévoilé, prévoit en phases successives l'installation d'une centrale solaire d'une puissance installée totale de 160 MW, ainsi que des capacités de stockage de batteries de 340 MWh, en remplacement d'une grande partie de l'électricité produite actuellement à partir de charbon qui alimente le site minier, souligne un communiqué commun.La première centrale, d'une puissance de 30 MW, sera mise en service en 2023. La majeure partie des installations seront situées sur des terrains appartenant à l'usine hydrométallurgique du Grand Sud de Prony, une surface de quelque 150 hectares.Les deux partenaires seront liés par un contrat d'achat d'électricité renouvelable (PPA) d'une durée de 25 ans.Le projet couvrira près des deux tiers des besoins en électricité du site et permettra d'éviter chaque année l'émission de près de 230.000 tonnes de CO2, indique le communiqué.Prony s'engage à "accompagner son fournisseur et partenaire industriel historique Enercal dans la conversion au gaz de sa centrale thermique au plus tard en 2025", à développer "un programme de serres solaires" pour les tribus kanaks du grand sud, et sur place, "à installer des panneaux surélevés", pour protéger la végétation et le maquis minier, a expliqué le président de Prony Resources Antonin Beurier, cité dans le communiqué.Actuellement, le groupe émet 25 tonnes de Co2 par tonne de nickel produit et prévoit de réduire ses émissions directes et liées à l'achat d'électricité à 16 tonnes en 2025, selon une publication du groupe.Le directeur-général de Total Energies Renouvelables France, Thierry Muller a lui aussi indiqué que les deux sociétés s'engageaient à "protéger les ressources naturelles et la biodiversité ainsi qu'à améliorer la vie des communautés locales".A fin septembre, la capacité brute de production d'électricité renouvelable de Total Energies est de 10 GW et le groupe souhaite atteindre une capacité de production et stockage de 35 GW en 2025 et de 100 GW en 2030.Prony Resources (PRNC), détenu à 51% par des intérêts locaux néo-calédoniens et à 49% par le négociant suisse Trafigura allié à la direction du groupe, a repris au printemps les mines calédoniennes du groupe brésilien Vale. Il a bénéficié d'un soutien financier de l'Etat français.Il vient d'annoncer un méga-contrat avec le constructeur automobile Tesla, devenu son premier client pour le nickel destiné aux batteries électriques. Mercedes-Benz est également son client.
Il y a 3 ans et 129 jours

Les mesures et conséquences positives du projet de loi de finances 2022 pour les investisseurs dans le neuf

Le cabinet de conseil en investissement immobilier Amberstone fait le point sur les principales mesures de ce nouveau Projet de loi de finances 2022 et revient sur leurs conséquences positives pour les investisseurs dans le neuf.Une baisse de l'impôt sur le revenuLes différentes tranches du barème de l'impôt sur le revenu seront rehaussées de 1,4% en 2022. La revalorisation concernera l'imposition des revenus des ménages français pour 2021. Cette mesure est née en raison de l'augmentation des prix à la consommation et son objectif est de contrebalancer les effets de l'inflation. Le barème du taux neutre (prélèvement à la source) sera également revalorisé. “Cet avantage fiscal sert directement à maintenir un niveau de consommation et d'investissement des français”, déclare la fondatrice du cabinet d'Amberstone Béatrice Dossou-Yovo.Une exonération progressive de la taxe d'habitationDéjà réduite en 2021, la taxe d'habitation sera de nouveau abaissée de 65% pour les contribuables encore soumis à cet impôt local en 2022. La taxe d'habitation pour les résidences principales sera définitivement abrogée à compter de 2023, sauf pour les logements vacants et les résidences secondaires.Une augmentation du budget alloué au logementL'enveloppe attribuée au ministère du Logement augmentera de 7% et sera évaluée à 17,1 milliards d'euros pour 2022. Ceci représente une évolution de +6% en comparaison au budget de 2020. Ce montant intègre les aides à l'accès au logement (APL), l'hébergement d'urgence, l'urbanisme et les territoires de l'habitat. Le projet de loi de finances 2022 met également l'accent sur la rénovation du parc immobilier ancien et pour les constructions neuves, le ministère assure la continuité du dispositif fiscal Censi-Bouvard.Ma PrimeRenov' prolongéeAfin de continuer à promouvoir la rénovation énergétique des logements, le dispositif MaPrimeRenov' sera prolongé en 2022 avec un budget de 2 milliards d'euros. En septembre 2020, le gouvernement a initié cette mesure avec pour objectif de réduire les passoires thermiques du marché immobilier français. Accessible aux propriétaires occupants comme aux propriétaires bailleurs et copropriétés, l'ambition pour 2021 était d'engager 400 000 dossiers. C'est le double qui est espéré pour 2022.Le dispositif Pinel + en 2022La nouvelle loi de finances prévoit la prolongation du dispositif Pinel dans les mêmes conditions jusqu'à fin 2022. Cette prolongation s'inscrit en parallèle du plan de relance énergétique de l'Etat et affirme sa volonté d'améliorer l'efficacité énergétique des logements. Ces critères de performance correspondent à la norme environnementale RE2020 pour les logements neufs.Évolutions du marché immobilier au regard de ces nouvelles mesures pharesToutes ces mesures budgétaires du Projet de loi de finances 2022 contribuent à maintenir le pouvoir d'achat et l'investissement, dans une tendance inflationniste, notamment sur le marché immobilier.Pour Béatrice Dossou-Yovo : “le maintien de la Loi Pinel (Pinel +) prouve la volonté du gouvernement de maintenir la demande sur le marché de l'immobilier neuf et donc de maintenir ce marché attractif. En effet, le Prêt à Taux Zéro ainsi que la loi Censi-Bouvard complètent le tableau des mesures incitatives. Les particuliers deviennent eux-mêmes bailleurs : ils créent leur patrimoine privé transmissible, se constituent des revenus complémentaires à la retraite. D'un autre côté, l'Etat se soulage d'une production de logement qu'il ne peut assumer seul.”
Il y a 3 ans et 129 jours

Robinetterie Taormina by Ritmonio design et respectueuse de l'environnement

Ritmonio répond rapidement aux besoins du marché : depuis des années, l'entreprise guide les processus en visant une production éthique, visant à minimiser l'impact sur l'écosystème. Une attention qui se reflète également dans l'analyse constante du système de production et dans les interventions pour le mettre en œuvre. En plus de la certification ISO 14001 qui garantit la durabilité et l'exactitude de la gestion environnementale, Ritmonio a mis en place le programme ECO pour les produits de la division Bath & Shower (mitigeurs de lavabo et bidet) qui se caractérisent par un débit d'eau inférieur à 9 l/min, tout en assurant un confort d'utilisation maximal.Parmi ceux-ci, également TAORMINA, une collection qui se décline dans une gamme complète de produits pour différents usages : à partir des mitigeurs par appui, aux mitigeurs encastrés, jusqu'aux pommes de douche. Pour certaines de ces configurations, le débit d'eau est inférieur à 6 l/min, incarnant parfaitement l'inclination naturelle de Ritmonio pour une conception durable.La collection revisite des éléments classiques dans une touche contemporaine, avec des lignes gracieuses. S'inspirant clairement de la station balnéaire sicilienne enviée dans le monde entier pour son charme et sa beauté, la série incarne la véritable expression du Made in Italy de la société : le corps du mitigeur de lavabo rappelle la forme des colonnes caractéristiques du théâtre antique de Taormina et ses lignes douces font référence aux criques et aux vagues sinueuses de la mer Méditerranée.Design épuré, largeur et transversalité de l'offre : tels sont les atouts de la série. Proposée en 16 finitions, elle est disponible avec une commande sans levier, plus minimale et essentielle, ou avec levier, pour permettre à l'utilisateur final plus de personnalisation dans la salle de bain.TAORMINA est une solution multiforme et polyvalente, respectueuse de l'histoire dans la modernité. Un produit au design hautement technologique, conçu pour réduire considérablement la consommation d'eau et d'énergie et préserver l'eau, l'un des ressources naturelles les plus précieux.
Il y a 3 ans et 130 jours

Arbonia renforce sa compétitivité en consolidant davantage sa production de radiateurs à panneaux

La division renforce sa position concurrentielle en tant que meilleur fournisseur de radiateurs de sa catégorie grâce à l'augmentation de l'utilisation des capacités et de la productivité sur les sites restants et à la poursuite de la centralisation du savoir-faire dans les centres de compétences.D'ici fin 2022, la division CVC prévoit de regrouper les capacités de production du site néerlandais de Vasco de Tubbergen dans ses usines hautement automatisées de Plattling (Allemagne) et de Legnica (Pologne) afin de renforcer durablement sa position concurrentielle par la concentration des compétences et des volumes.La délocalisation prévue de la production et la fermeture de l'usine en résultant pourraient entraîner la suppression d'une centaine d'emplois sur le site de Tubbergen (Pays-Bas) d'ici fin 2022. Cette mesure envisagée a été soumise à la consultation du comité d'entreprise et, parallèlement, des discussions seront entamées avec les représentants des travailleurs concernés, notamment pour l'élaboration d'un plan social et la définition de possibilités de soutien efficaces pour les salariés concernés.Le développement du marché de la division CVC n'en sera pas affecté. Les clients continueront à bénéficier d'un portefeuille de produits attrayant, d'une qualité supérieure et des meilleurs services logistiques. Comme auparavant, nos clients néerlandais seront soutenus par l'organisation de vente basée à Amsterdam (Pays-Bas).La production de radiateurs à panneaux pour le marché européen sera à l'avenir concentrée dans le centre de compétences en Allemagne.Arbonia prévoit des coûts uniques dus à la fermeture de moins de 10 millions de francs suisses, qui seront imputés au résultat annuel 2021.
Il y a 3 ans et 131 jours

Le pilote ou driver, un élément déterminant pour optimiser le rendement des luminaires LED

Les pilotes de LED utilisent des techniques à découpage de tension et à modulation de largeur d’impulsions. Les dispositifs abaisseurs de tension fournissent le niveau de tension nécessaire à l’éclairage des LED reliées en série. Ces dispositifs disposent d’une self mémoire de courant ; en hachant la tension d’entrée on obtient la tension voulue pour l’activation des LED.Les LED nécessitent une alimentation capable de convertir le courant alternatif en tension continue, de réguler le courant traversant la LED pendant le fonctionnement et de protéger les LED des fluctuations de tension de ligne, telles que le ballast utilisé pour une lampe fluorescente. Les pilotes de LED peuvent être des types à tension constante ou des types à courant constant. Avec l'utilisation de ces pilotes électroniques, une variété de fonctions supplémentaires peut être intégrées dans le luminaire, l'intégration de tous les composants électroniques est une tendance contre l'utilisation decomposants discrets pour simplifier l'application. Les pilotes dotés d'une capacité de gradation peuvent modifier le flux lumineux sur toute la plage de 100 % à 5 à 10 %. Les pilotes dimmables peuvent tamiser les LED en réduisant le courant direct (réduction de courant constant CCR), par modulation de largeur d'impulsion (PWM) via une commande numérique ou par des méthodes plus sophistiquées comme DALI. La plupart des pilotes de gradation fonctionnent en utilisant la méthode PWM. Avec cette méthode, la fréquence peut atteindre quelques centaines de Hz à kHz, de sorte que la lumière LED semble être continue sans scintillement. L'électronique sensible du pilote est directement exposée aux effets de l'environnement, ce luminaire doit résister à tout moment. Il est donc important de connaître tous les facteurs qui peuvent influencer la fiabilité.Les exigences critiques pour les pilotes de LED sont en partie liées aux performances, en partie à la fiabilité :Attentes liées au rendement :Haute efficacité - Critique pour les économies d'énergieFonction de gradation - Améliore considérablement la fonction d'économie d'énergieAutres caractéristiques électriques (PFC, THD, Ripple)Attentes liées à la fiabilité :Haute fiabilité - Fondamentale pour minimiser les coûts de maintenanceLongue durée de vie - Compatible avec la durée de vie prévue des LEDMesure de la performanceLe pilote LED joue un rôle crucial dans le contrôle des performances de l'ensemble de l'appareil d'éclairage. La diversité des pilotes disponibles rend difficile le choix de la bonne solution, notamment en raison du fait que les fabricants fournissent des informations techniques de qualité différente. Les pilotes qui semblent parfaitement adaptés à première vue peuvent fonctionner de manière complètement différente dans des conditions particulières, donc sans connaître le comportement exact dans toutes les circonstances, il est difficile de comparer les produits. Pour pouvoir poser les bonnes questions au fabricant, il faut savoir comment spécifier les disques avec plus de précision pour obtenir les bonnes performances.Fiabilité : Durée de vie (LifeSpan) versus MTBFPar définition, la fiabilité est une probabilité que le produit remplisse la fonction attendue dans certaines conditions de fonctionnement pendant une période définie. La fiabilité est dépend du fonctionnement, des conditions et du temps attendus. Les exigences critiques pour les performances des pilotes LED sont le rendement élevé pour fournir suffisamment d'économies d'énergie, la fiabilité pour minimiser les coûts de maintenance, la longue durée de vie mesurable avec la durée de vie des puces LED et la fonction de gradation pour des économies d'énergie et de durée de vie supplémentaires. Habituellement, la fiabilité est quantifiée avec le MTBF, mais une compréhension correcte du MTBF est indispensable. En théorie, l'hypothèse selon laquelle un MTBF plus élevé signifie une fiabilité plus élevée est vraie, mais il n'y a pas de proportionnalité directe entre les deux nombres.Le temps moyen entre les pannes (MTBF) représente l'approximation statistique des heures cumulées pendant lesquelles un certain nombre d'unités doivent fonctionner avant qu'une panne puisse être attendue. Il ne représente pas la durée de vie prévue d'une unité donnée.La durée de vie d'un produit indique combien de temps un produit devrait survivre dans des conditions de fonctionnement normales.Si cette durée de vie est de 50 000 heures, la fiabilité des différentes solutions de pilotes MTBF peut être calculée :Il est bien visible que l'augmentation de 400 % ou du MTBF n'entraîne qu'une augmentation de 30 % de la fiabilité avec les mêmes attentes de durée de vie.Au début de la période de service, les défauts de production peuvent entraîner de défaillances précoces élevées, Le nombre de pannes commence à diminuer considérablement par la suite. L'intégrité de la conception, les tests de résistance et l'assurance qualité adéquate ont tendance à diminuer le nombre de défaillances précoces. Au cours de la période de vie utile, les défaillances se produisent dans un ordre aléatoire, mais le taux de défaillance est presque constant. C'est la période entre le début d'utilisation de l'appareil et le début de la phase d'usure. Ceci est déterminé par l'espérance de vie des composants utilisés dans l'assemblage de l'unité.Au fur et à mesure que les composants commencent à se dégrader, des problèmes surviennent à des taux croissants, principalement causés par la panne des composants électroniques soumis au vieillissement, aux contraintes électriques et thermiques. C'est la période où le MTBF calculé ne s'applique plus. Le MTBF n'est applicable que pendant la durée de vie normale du produit. Il peut arriver qu'un appareil avec 10 ans de MTBF s'use en 3 ans, personne ne peut prédire l'usure des composants de manière fiable. En général, les fabricants de composants de qualité ainsi que d'alimentations visent à avoir une durée de vie utile dépassant la durée de vie de conception.Mesures de fiabilitéTempérature de fonctionnementLa température à laquelle le pilote fonctionne affecte fortement sa durée de vie, c'est pourquoi une gestion efficace de la température est un point clé de la conception du luminaire.Habituellement, la température maximale du boîtier Tcmax est la limite pour donner une durée de vie garantie au pilote LED. Même s'il y a une protection thermique intégrée, elle est déclenchée bien au-delà de cette limite, par conséquent la durée de vie attendue du pilote chute considérablement, à moins que le concepteur du luminaire n'installe une protection de température externe.Condensateurs électrolytiques et autres composants critiquesLe composant le plus faible avec l'espérance de vie la plus courte détermine la durée de vie de l'ensemble du produit. Pour les alimentations, les condensateurs électrolytiques ont généralement la durée de vie la plus courte, de sorte que la durée de vie du pilote de LED AC/DC est normalement déterminée par la durée de vie des condensateurs en aluminium utilisés. Des capuchons longue durée doivent être utilisés pour assurer une longue durée de vie des pilotes de LED. Étant donné que la durée de vie des capuchons en aluminium double pour chaque diminution de 10 °C de la température de fonctionnement (règle d'Arrhenius), il est essentiel de minimiser la température de fonctionnement des condensateurs électrolytiques. Malgré ce fait, les taux de défaillance des pilotes de LED sont dominés par les dispositifs à semi-conducteurs, qui comprennent les principaux MOSFET, diodes, circuits intégrés de commande et optocoupleurs. En raison des règles de conception appliquées, les condensateurs en aluminium ne contribuent aujourd'hui qu'à une petite partie des taux de défaillance des pilotes, qui dépendent largement de la température de fonctionnement. En règle générale, le taux de défaillance d'un pilote de LED augmente de 25 à 40 % pour chaque augmentation de 10 °C de la température du boîtier.EfficacitéComme écrit précédemment, l'efficacité a un impact énorme sur la durée de vie. Moins l'auto- échauffement se produit dans le conducteur en raison des pertes thermiques, les composants sont moins soumis à des contraintes thermiques. La durée de vie typique d'un pilote de 150 W est augmentée d'environ 2,5 fois à mesure que l'efficacité du pilote passe de 85 % à 93 %.Le MTBF calculé d'un driver de 150 W augmente d'environ 90 % à mesure que l'efficacité du driver passe de 85 % à 94 %.Les soudures de jonctionLa fiabilité des soudures peut causer des problèmes en raison du cycle de température, qui provoque une dilatation thermique différente des matériaux à souder, donc un risque de fissures dans la soudure de jonction. Les contraintes mécaniques peuvent également provenir de l'utilisation de composants lourds ou de vibrations.Résumé des actions pour maximiser la fiabilité :Sélectionnez des composants de qualité, en particulier les principaux dispositifs à semi-conducteursRéduire la température de fonctionnement en améliorant l'efficacitéFournir suffisamment de marges de conception à tous les composantsSuivre des procédures de conception strictesConsidérations financièresEn plus de fournir des performances et une fiabilité élevée, les attentes financières doivent également être prises en compte et des fonctionnalités techniques supplémentaires doivent être impliquées ici.Le fait de pouvoir utiliser des pilotes connectés au même disjoncteur permet de réaliser des économies sur les coûts d'installation. Le nombre de pilotes LED est limité par des disjoncteurs à courant de déclenchement. Si tous les pilotes ont un courant d'appel optimisé, plusieurs peuvent être connectés en même temps sans problème au démarrage.Lors du démarrage d'un système d'éclairage à LED, un fort courant transitoire initial peut être maintenu, qui peut être plusieurs fois supérieur au courant nominal en fonctionnement normal.Typiquement, ces courants d'appel durent moins de 10 ms mais ils peuvent néanmoins déclencher le disjoncteur. Le courant d'appel est causé par la charge des condensateurs dans les alimentations des pilotes de LED ou parce que le flux magnétique ne s'est pas encore accumulé dans le transformateur de l'alimentation. La sélection de pilotes à régulation d’appels de charges est un moyen rentable, en particulier pour les solutions de modernisation simplifiant le câblage.ConclusionPour sélectionner le meilleur pilote LED en termes de durée de vie, de fiabilité, de performance et d'aspects financiers, plusieurs facteurs doivent être pris en compte. Il est difficile de comparer les spécifications des pilotes entre les fabricants, et il n'est pas conseillé de baser la décision sur le coût d'achat pur, car cela élimine trop de facteurs de décision, qui peuvent avoir un rôle important sur les performances réelles. Nous espérons qu'en clarifiant les facteurs ci-dessus, le concepteur aura une meilleure chance de faire une sélection exacte. MeanWell, Philips, Inventronics, Osram, Turful, Sosen, Moso… proposent une vaste gamme de pilotes LED intérieurs et extérieurs. Comme la plupart des applications d'éclairage LED sont justifiées sur la base d'économies d'énergie et de coûts de maintenance réduits, nous nous concentrons en conséquence sur la fourniture de produits à haute efficacité et longue durée de vie. Ces marque leader proposent des Pilotes LED avec un rendement jusqu'à 95 %, un facteur de puissance jusqu'à 0,99, une protection robuste contre la foudre et des niveaux d'étanchéité IP67. Ces produits sont conformes aux réglementations de sécurité mondiales et aux normes de compatibilité électromagnétique et disposent d'une protection contre les surtensions, les surintensités et les surchauffes. Ils sont largement utilisés pour les lampadaires LED, les éclairages de tunnel et l'éclairages d’atelier, locaux industriels, chantiers, zones de stockages, parking, aire de loisirs, terrain de sport et stades.Les drivers de la gamme NOVETI des série SFL, HFL, XFL utilisent des condensateurs électrolytiques spéciaux à longue durée de vie spécifiés sur une durée de vie « LS » de 50 000 heures de -40°à +85°C. La régulation de sortie de courant à faible ondulation crée une lumière stable sans scintillement et une gradation en douceur pour les modèles équipés d’une option dimable 1-10V . La conception thermique autorégulée permet une garantie jusqu’à 5 ans.Le pilote LED représente 80% de la fiabilité d’un luminaire LED. Au-dessous d’une certaine qualité il ne peut plus offrir au luminaire l’uniformité, le rendement et une fiabilité optimum.
Il y a 3 ans et 131 jours

Avec plusieurs réacteurs à l'arrêt, la vigilance électrique est de mise en janvier

Les prévisions météorologiques tempèrent toutefois les craintes quant à la sécurité d'alimentation: la survenue d'épisodes de froid sévère et durable, sources des pics de consommation, "apparaît très peu probable" au cours de la première quinzaine du mois et pour la suite "peu probable" (avec cependant un degré d'incertitude plus élevé), note RTE jeudi dans une note d'analyse sur l'équilibre entre l'offre et la demande.Pour autant, le gestionnaire des lignes à haute tension a relevé son "niveau de vigilance", et prévoit une série de mesures dans un contexte de crise énergétique européenne et de tensions sur l'offre en France.Le pays, qui tire 70% de son courant de l'atome, subit une moindre disponibilité de son parc nucléaire lié à un calendrier de maintenance chargé, en outre perturbé par les confinements de 2020. EDF a aussi dû à la mi-décembre arrêter deux réacteurs à Chooz (Ardennes) et prolonger l'arrêt de Civaux (Vienne), après la détection de défauts sur des circuits de sécurité.RTE évalue ainsi la disponibilité prévisionnelle entre 43 et 51 gigawatts pour janvier (sur une capacité de production nucléaire totale de 61 GW), soit "le niveau le plus bas jamais atteint pour le parc nucléaire à cette période de l'année".L'année 2022 devrait débuter avec 12 réacteurs à l'arrêt (sur 56), avant une amélioration en cours de mois, sauf aléa. EDF en comptait jusqu'à 17 à la mi-décembre.Le gouvernement, lui, a demandé de prendre des mesures pour améliorer à court terme la sécurité d'approvisionnement, et un audit indépendant sur la maîtrise industrielle et l'optimisation des arrêts de réacteurs (avec un point d'étape attendu d'ici à la mi-mars).L'électricien a annoncé avoir "réoptimisé" son planning de maintenance, ce qui devrait se ressentir à partir de février seulement, estime Thomas Veyrenc, directeur exécutif de RTE, en charge du pôle Stratégie, prospective et évaluation."Coupures maîtrisées"Quant à la consommation électrique, la hausse des prix liée à la crise de l'énergie en Europe n'a pas conduit à un recul marqué de la demande et RTE maintient sa prévision de -1% à -2% par rapport à la période précédant la crise sanitaire.C'est ainsi que la France, traditionnellement exportatrice d'électricité, a dû en importer depuis novembre, et ce, à des niveaux parfois proches des capacités techniques maximales comme entre les 20 et 22 décembre.Aujourd'hui le pays dispose de stocks hydrauliques satisfaisants. RTE rappelle en outre l'existence de deux dernières centrales à charbon, à Saint-Avold et Cordemais: ces unités pourraient être utilisées en début d'hiver, mais leurs limites légales d'utilisation les rendraient assez vite indisponibles.Dans ce contexte tendu, RTE dispose d'un panel de mesures exceptionnelles pour la suite de l'hiver. D'abord l'interruption de grands consommateurs industriels et une légère baisse de la tension sur les réseaux, "probables" en cas de grand froid (de l'ordre de 4°C en dessous des normales saisonnières) ou de faible production éolienne en Europe."En dernier ressort", en cas de froid durable couplé à l'absence de vent pour l'éolien, ou de nouvelle dégradation des capacités, notamment nucléaires, RTE pourra aussi "potentiellement recourir à des coupures ciblées de consommateurs", prévient-il.Ces "coupures momentanées ne sont en rien un +blackout+ mais des opérations que nous contrôlons, mises en oeuvre avec les distributeurs et les administrations de l'État", insiste Jean-Paul Roubin, directeur de l'exploitation de RTE, évoquant une mesure rarissime, dont le dernier exemple remonte aux années 1990 dans un contexte de mouvement social.Un "délestage (...) localisé, limité à deux heures consécutives", et épargnant les consommateurs sensibles, en particulier le secteur de la santé, précise RTE.RTE publiera fin janvier un diagnostic actualisé pour février. Dans l'intervalle, les consommateurs peuvent suivre la situation en temps réel sur le site Ecowatt.
Il y a 3 ans et 132 jours

Maximum passe à l'échelle supérieure - Portrait

Maximum, c’est avant tout une manufacture de mobilier, fondée en 2015 par les designers diplômés de l'ENSAD, Romée de la Bigne et Basile de Gaulle, avec Armand Bernoud. Leurs créations sont fabriquées dans leur atelier d’Ivry-sur-Seine à partir d’excédents de production industrielle. Depuis 2021, c'est aussi un studio […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 134 jours

Nouméa renouvelle le contrat d'Engie

EEC Engie, filiale néo-calédonienne d'Engie Solutions (activités d'efficacité énergétique d'Engie), assurera l'apport d'électricité aux 100.000 habitants de la ville, avec l'entretien, le renouvellement et l'extension des installations électriques (725 km de réseaux, quatre postes sources, 630 postes de distribution et 46.000 points de livraison).Les équipes gèreront aussi les quelque 1.500 points d'injection photovoltaïque produits par des usagers producteurs.Le contrat prévoit notamment le déploiement de "solutions innovantes pour répondre aux enjeux locaux": réduction des coupures (avec d'ici 2026, des temps de coupure sous la barre des 20 minutes par an), intégration des ouvrages dans l'environnement urbain (enfouissement des réseaux) et esthétique des équipements (postes source, postes de transformation, coffrets de réseaux), résilience accrue des installations face aux événements climatiques.Pour Engie, "ce succès consolide [son] rôle comme acteur majeur de la transition énergétique dans le Pacifique".Gestionnaire de réseau de distribution d'électricité depuis 1929, EEC est délégataire pour le service public de la distribution d'électricité dans huit autres communes calédoniennes, outre Nouméa, desservant au total plus de 65% de la population de l'archipel.Engie réalise un chiffre d'affaires annuel de 500 millions d'euros en Nouvelle-Calédonie, en Polynésie française, au Vanuatu et à Wallis-et-Futuna (production d'énergie renouvelable, réseaux de distribution d'électricité, stockage batteries...)
Il y a 3 ans et 134 jours

Cemex et la Ligue pour la Protection des Oiseaux : 18 ans de partenariat en faveur de la biodiversité

Une convention renouvelée pour 3 ans venant renforcer le partenariat CEMEX-LPOCEMEX et la LPO sont partenaires depuis 2003. Cette collaboration, entre un acteur majeur dans l'industrie des matériaux de construction et l'une des plus importantes associations naturalistes de France, repose sur l'échange de savoir-faire, la sensibilisation aux enjeux de protection de la nature et la valorisation du patrimoine naturel. La convention qui encadre ce partenariat, jusqu'ici renouvelée chaque année, s'articule autour de deux volets : l'« Accompagnement », qui permet aux deux partenaires de mettre en commun leurs compétences au bénéfice de la meilleure contribution de CEMEX à la préservation de la biodiversité sur ses sites d'activités ; et le « Mécénat » en faveur de programmes de préservation du patrimoine naturel portés par la LPO. Pour la première fois renouvelée de manière triennale, cette convention couvre la période 2021-2023. Sa mise en œuvre permettra notamment à la LPO d'accompagner CEMEX dans la concrétisation de son engagement « Entreprises Engagées pour la Nature » pris sur cette même période 2021-2023 auprès du ministère de la Transition écologique et de l'Office français de la biodiversité (OFB).Des actions concrètes en faveur de la préservation de la biodiversité Parmi les actions qui seront mises en œuvre dans le cadre du volet Accompagnement de cette 18ème convention se trouve la poursuite du plan d'actions « Hirondelles de rivage ». Initié en 2013, il a pour but de concilier exploitation de carrières et accueil des hirondelles de rivage, espèce protégée trouvant fréquemment des habitats de substitution au sein des carrières. Après 9 ans de suivi de ces oiseaux sur les sites CEMEX, l'objectif est maintenant d'exploiter et de valoriser les données collectées à travers la publication d'un document de synthèse ainsi que de poursuivre le développement d'outils de sensibilisation et de bonnes pratiques à l'attention des collaborateurs de l'entreprise. Une seconde action phare sera la poursuite de la démarche « CEMEX Bétons agit pour la biodiversité » entamée en 2012 et dont l'objectif est de contribuer à l'accueil de la nature en ville à travers la mise en œuvre d'actions en faveur de la biodiversité sur les unités de production de béton de l'entreprise. Le soutien financier du programme Life Vison, pour la sauvegarde du Vison d'Europe, fait quant à lui partie du volet mécénat de la convention. Il vise à maintenir, voire accroître la population de Visons d'Europe dans le bassin de la Charente. CEMEX soutient également le programme de la LPO en faveur du Moineau domestique à Paris. En effet, face à la disparition de plus de 73 % des moineaux vivant à Paris intra-muros entre 2003 et 2016, la LPO mène plusieurs actions afin d'améliorer les connaissances sur la répartition, l'abondance et l'évolution des populations du Moineau domestique à Paris, de comprendre et promouvoir les conditions nécessaires au bon fonctionnement des colonies, d'apporter conseils et expertises aux acteurs locaux concernés (propriétaires, syndics, bailleurs sociaux...) pour les sensibiliser et préserver les colonies suivies.Au-delà de ces actions phares, les échanges réguliers de CEMEX avec la LPO pour des demandes d'avis et d'expertises sur divers projets, la réalisation d'études selon les besoins et enjeux identifiés au niveau des sites CEMEX font aussi partie intégrante de la convention. « CEMEX et la LPO sont partenaires depuis 18 ans, ce qui illustre la volonté de CEMEX de placer la préservation de la biodiversité et la maîtrise de son impact sur l'environnement au cœur de sa politique d'entreprise. Nous sommes fiers de cette collaboration ininterrompue avec la LPO, qui a permis de mener conjointement et avec succès de nombreuses actions en faveur de la biodiversité sur nos sites d'activités, ou à l'attention de nos salariés. », se réjouit Michel André, Directeur des activités matériaux de CEMEX Europe de l'Ouest.« L'alliance entre CEMEX et la LPO est inscrite dans la durée et illustre que notre partenariat ne doit rien à un effet de mode ou une visée mercantile. Au contraire, il s'est chaque année renforcé, gagnant en logique et en exemplarité » souligne Allain Bougrain Dubourg, président de la LPO.
Il y a 3 ans et 135 jours

Le verre retourne à ses fourneaux

Dans son usine d'Orange, Isover poursuit le développement de son procédé de recyclage de laines de verre Oxymelt pour augmenter le taux d'incorporation de calcin, et améliorer le bilan carbone de sa production.
Il y a 3 ans et 136 jours

Isère : la nouvelle usine d'Aledia voit grand

La start-up Aledia, fondée en 2011 et issue du CEA-Leti, vient de poser la première pierre de sa future usine, au sein de la ZAC Saut du Moine à Champagnier (Isère). Il s'agit de sa première unité de production de microleds 3D pour écrans nouvelle génération, en grande série.