Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour allemand

(2675 résultats)
Il y a 2 ans et 119 jours

France et Allemagne s'engagent à mieux coopérer pour des mobilités durables et connectées

TRANSPORTS. A l'occasion du 60e anniversaire du Traité de l'Elysée, les gouvernements français et allemand ont assuré leur volonté de favoriser les coopérations, afin de faciliter les déplacements entre les deux puissances européennes.
Il y a 2 ans et 119 jours

Artelia consolide sa présence en Allemagne

ACQUISITION. L'ingénieriste Artelia a annoncé se rapprocher un peu plus d'une entreprise allemande avec laquelle il avait l'habitude de collaborer en rachetant l'intégralité de son capital.
Il y a 2 ans et 125 jours

Tendance : Grues à tour sur porteur : au plus près de la construction

Le montage des installations industrielles est l’une des utilisations des grues à tour sur porteur. Ici, la MK 88-4.1 signée Liebherr. [©Liebherr] Une grue mobile capable de lever une charge au plus près d’une construction avec une portée importante : voici le projet. Un défi relevé par l’Allemand Liebherr et le Néerlandais Spierings Mobile Cranes. La solution : une grue déployable automatiquement. Un équipement constituée d’un mât vertical, d’une cabine et d’une flèche de distribution horizontale en structure treillis, relevable, montée, via une tourelle rotative, sur un porteur routier multi-essieux. Concurrentes des grues mobiles télescopiques conventionnelles, les grues à tour sur porteur ne nécessitent ni le montage d’une fléchette, ni celui de contrepoids additionnels. Le transport se limite à la machine elle-même, conduite, mise en œuvre et opérée par une seule personne. « Une grue sur porteur à quatre essieux Spierings Mobile Cranes est dépliée en 7 mn », indique le constructeur néerlandais. La mise en station des Liebherr prend, elle, une demi-heure, dont 10 mn pour le déploiement… Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 125 jours

Hydro rachète Hueck

Cette acquisition permettra à Hydro Extrusions d'affirmer sa position et sa présence en Europe. Cela renforcera également la position d'Hydro Building Systems et de ses marques TECHNAL, SAPA et WICONA en Allemagne et sur d'autres marchés européens, consolidant ainsi sa capacité à offrir des services de qualité à ses clients, grâce à une gamme de produits encore plus large.Forte de 60 ans d'expérience dans le domaine de l'ingénierie allemande, Hueck Systems opère principalement en Allemagne, qui représente le plus grand segment du marché européen des systèmes de construction. Elle est spécialisée dans la création de solutions pour fenêtres, portes et façades pour les secteurs du bâtiment et de la construction, et dispose d'une plate-forme de distribution sur son site principal, à Lüdenscheid. Outre l'Allemagne, Hueck Systems opère également en Autriche, en Suisse, au Danemark, aux Pays-Bas, en République Tchèque et au Royaume-Uni, mais aussi sur d'autres marchés grâce à de solides partenariats comme en France.Hydro Building Systems propose des solutions innovantes en aluminium durable pour les fenêtres, portes et façades en oeuvrant pour une économie circulaire. Ses marques TECHNAL, SAPA et WICONA développent et distribuent des systèmes de construction en aluminium pour tout type de bâtiment. Avec ses 3 200 collaborateurs, Hydro Building Systems vise à développer une approche pérenne avec de nouvelles solutions durables, contenant au moins 75% de matériaux recyclés et 95% de matériaux recyclables, réduisant ainsi l'impact des matériaux sur le cycle de vie d'un bâtiment.« Ensemble, formant une seule et même entreprise, Hueck et les marques d'Hydro Building Systems TECHNAL, SAPA et WICONA investiront sur la durabilité, l'implantation locale et l'expertise technique. Avec l'acquisition de Hueck, notre mission demeure la même : nous nous engageons pleinement à aider nos clients à saisir les nouvelles opportunités présentes sur le marché du bâtiment et de la construction. En disposant des meilleurs talents et en restant pleinement focalisés sur l'activité de nos clients et la qualité des produits que nous leur livrons, nous serons un partenaire indispensable pour la réalisation de leurs objectifs », explique Henri Gomez, Vice-président senior d'Hydro Building Systems.La finalisation de l'acquisition est soumise à l'approbation des autorités de concurrence allemande et autrichienne et est prévue pour la fin du premier trimestre 2023.
Il y a 2 ans et 130 jours

le groupe hager s apprete a faire l acquisition de la societe pmflex

Le groupe Hager a signé fin décembre un accord avec le Fonds VII de Deutsche Beteiligungs AG (DBAG), une importante société de capital-investissement allemande, pour l’acquisition de Pmflex, société italienne spécialisée dans les gaines et les tubes électriques.
Il y a 2 ans et 131 jours

Le groupe Vinci remporte un énorme contrat dans l'éolien offshore

Ce contrat est similaire à un premier annoncé en juillet 2022, mais d'une ampleur nettement plus importante : ces deux plateformes seront d'une capacité totale de 4 GW et "pourront alimenter l'équivalent d'une ville de 4 millions d'habitants comme Berlin", précise Vinci.Leur mise en service est prévue en 2029 et 2030 et elles "seront parmi les premières d'une telle capacité à être développées en Europe du Nord"."Elles permettront de convertir le courant alternatif produit par plusieurs parcs éoliens en courant continu haute tension (...), qui sera reconverti en courant alternatif sur des stations terrestres, situées à 400 km environ", précise Vinci.La réalisation de ces stations terrestres est également incluse dans le contrat.Le client est l'allemand Amprion Offshore, l'un des quatre gestionnaires du réseau de transport d'électricité en Allemagne. Ce contrat est plus précisément attribué à un groupement composé d'une filiale de Vinci (Dragados Offshore, filiale de Cobra IS achetée par Vinci en décembre 2021) et de l'allemand Siemens Energy.La construction de ces plateformes, prévue à Cadix (Espagne), doit permettre la création de plus de 2.000 emplois jusqu'en 2029.En juillet 2022, Vinci avait annoncé un contrat similaire, mais cette fois "proche du milliard d'euros", pour alimenter l'équivalent d'une ville comme Hambourg, soit 1,8 million d'habitants à compter de 2028.
Il y a 2 ans et 132 jours

Retraites : les Français sont-ils mieux lotis que leurs voisins ?

L'âge légal: comparaison n'est pas raisonL'âge légal est l'âge à partir duquel un travailleur a le droit de partir à la retraite. Cet âge ne garantit toutefois pas une retraite pleine et sans décote. En France, il est fixé à 62 ans et le gouvernement prépare actuellement une réforme pour le reporter.En comparaison, il s'établit à 67 ans en Allemagne, en Italie, au Danemark et bientôt en Espagne, à 66 ans au Royaume-Uni.Mais l'âge légal ne suffit pas à comparer la situation réelle d'un pays à l'autre, car les systèmes de retraite sont différents et la notion même d'âge légal varie beaucoup. Ce seuil est par ailleurs souvent assorti d'exceptions permettant de partir plus tôt, notamment pour les personnes ayant commencé à travailler très jeunes.D'autres indicateurs permettent une meilleure comparaison entre pays, comme l'âge de départ à la retraite réellement constaté.Les Français partent tôtAinsi, les Français quittent le marché du travail à 62,3 ans en moyenne, selon les dernières données de la Commission européenne (2019).Dans l'Union européenne, seuls les seniors de quatre petits pays partent plus tôt. Ce sont les Luxembourgeois qui prennent leur retraite le plus tôt, à 60,2 ans en moyenne.La France est en revanche très loin de l'Italie, pays de l'Union européenne où les travailleurs demandent leur pension le plus tard (65,5 ans), mais également de l'Allemagne (64,6 ans), le Portugal (64,3 ans), l'Espagne (64,2 ans).En moyenne, les habitants de l'UE prennent leur retraite à 63,8 ans. Dans la plupart des pays de l'Union, les femmes partent à la retraite plus tôt que les hommes. L'Espagne, l'Italie et la Belgique sont de rares exceptions. En France, la différence est minime, les femmes partant à 62,2 ans, contre 62,3 ans pour les hommes.Leurs retraites moins généreuses qu'au SudEn moyenne, les retraités français touchent une pension s'élevant à 54,4% de leur dernier salaire, selon la Commission.Ils sont mieux lotis que la moyenne des retraités de l'UE, qui en perçoivent 46,2%, ou que leurs homologues allemands, qui touchent en moyenne 39,8% de leur ancien salaire.La France est en revanche devancée par les grands pays du sud de l'Europe, comme l'Espagne, championne avec une pension de 77% du dernier salaire, le Portugal (74%) ou l'Italie (66,9%).Mais cette situation durera-t-elle ? La Commission européenne s'attend à voir les pensions baisser en France à 39,6% de l'ancien salaire en 2040 et à 34,7% à horizon 2070. Les retraités français seraient alors rétrogradés sous la moyenne européenne (40,4% en 2040 et 37,5% en 2070).Beaucoup d'argent consacré aux pensionsLa France consacre en moyenne 14,8% de son Produit intérieur brut (PIB) aux pensions, toujours selon la Commission.Dans l'Union européenne, seules la Grèce (15,7%) et l'Italie (15,4%) y consacrent plus d'argent.Ces trois pays dépensent beaucoup plus pour les retraites que la moyenne européenne (11,6%) et que des pays comme la Pologne (10,6%), l'Allemagne (10,3%) ou la Roumanie (8,1%).C'est l'Irlande qui ferme la marche, ne consacrant que 4,6% de son PIB aux retraites.
Il y a 2 ans et 139 jours

JACKOBOARD® Aqua 

JACKOBOARD® Aqua, les solutions receveur prêt à carreler 100% étanche. Le meilleur écoulement, la plus faible épaisseur. Le point crucial de l’espace douche : l’étanchéité. Avec les solutions JACKOBOARD® Aqua pour receveur, le fabricant allemand Jackon Insulation garantit une étanchéité intégrale, y compris aux points les plus sensibles grâce à un matériau constitutif ultra-performant et un système d’écoulement parfaitement adapté. Un produit innovant pour des réalisations d’excellence. Un receveur panneau en XPS hydrofuge Le panneau en mousse rigide de polystyrène extrudé (XPS) de haute qualité qui constitue le receveur est entièrement élaboré et fabriqué avec une sélection minutieuse des matières premières, à Mechau en Allemagne. Hydrofuge, isolant, résistant à la compression (résistance > 300 kPa) et indéformable, le receveur ne peut pas être endommagé et peut être mis en œuvre avec des tolérances minimes. Il intègre une pente préformée et une évacuation. JACKOBOARD® Aqua Innovantes, ces solutions proposées par Jackon Insulation sont destinées à des applications exigeantes notamment celles qui requièrent une résistance à un taux d’humidité élevé et qui sont exposées à des conditions extrêmes. La mise en œuvre est simplifiée en raison de la légèreté du matériau (11,65 kg pour le 140 x 90 cm) et de son revêtement spécial sur les deux faces pouvant être directement carrelé. Des systèmes d’écoulement efficace, pérennes et design La bride d’écoulement étanchéifiée et les siphons sont parfaitement adaptés aux solutions JACKOBOARD® Aqua, pour une réalisation efficace, zéro défaut, facile et rapide en raison des caractéristiques suivantes : Une garde d’eau de 50 mm Une très faible hauteur du siphon horizontal ultra-plat (DN 50) avec une épaisseur minimale de 97 mm seulement, receveur compris. A noter qu’il existe également un siphon vertical (DN 40/50). Un important débit correspondant à un écoulement d’eau de 3 à 4 fois plus important que les débits de tête de douche (20 l/min). Une surface de mortier entièrement compatible avec les mortiers colle. Un système de fixation du siphon par vissage. Un choix de carrelage illimité y compris de très faible épaisseur (3 mm), sans accessoire. Les atouts des solutions JACKOBOARD® Aqua : Nombreux formats standard, une large palette de dimensions et de formes sur-mesure, en 40 et 50 mm d’épaisseur pour de très faibles hauteurs d’installation. Version spéciale « zéro ressaut » pour les planchers bois avec Aqua Flat qui propose une épaisseur de 20 mm seulement en intégrant un siphon horizontal pour une hauteur d’encastrement variable de 97 mm à 116 mm. JACKOBOARD® Aqua Flat Equipements spéciaux adaptés, à la fois design et performants : grilles avec support et caniveaux de douche en acier inoxydable massif existant en plusieurs modèles, pouvant également être carrelés par retournement du dispositif. JACKOBOARD® Aqua Kits complets comprenant des bandes et des coins préformés avec caoutchoutage au central pour étancher tous les éléments JACKOBOARD® (dans la zone humide), des nattes pour étancher les passages de tuyaux, des produits adaptés pour le collage. JACKOBOARD® kit complet Une pose et un carrelage effectué dans la journée pour une réalisation durable, sans risque de fuite et parfaitement étanche avec un revêtement de sol carrelé et son jointoiement, par principe non étanches à l’eau. À propos de JACKON Insulation : Fabricant d’isolants et de panneaux de construction de grande qualité en mousse rigide de polystyrène extrudée (XPS), JACKON Insulation GmbH remporte depuis plus de 30 ans un franc succès sur le marché national et international. Avec plus de 300 collaborateurs, la société gère, en plus de ses deux sites d’implantation en Allemagne, des filiales en Belgique, en France et en Suisse. Grâce au développement de matériaux innovants comme les isolants JACKODUR® et les panneaux de construction JACKOBOARD®, JACKON Insulation GmbH a su s’imposer durablement sur un marché très concurrentiel et compte aujourd’hui parmi les sociétés les plus innovantes du secteur.  Pour plus d’informations, rendez-vous sur www.jackon-insulation.fr 
Il y a 2 ans et 144 jours

Wienerberger fait une offre pour l’acquisition de Terreal

Terreal : Fournisseur européen de premier plan dans le domaine des produits de couverture dédiés à la rénovation et à la réparationLe périmètre de l'opération comprendrait les activités de Terreal en France, en Italie, en Espagne et aux États-Unis, ainsi que les activités allemandes et du Benelux de Creaton, acquises par Terreal en 2020, qui emploient près de 3 000 personnes. À l'issue de cette opération, Wienerberger agrandirait son empreinte opérationnelle de 29 sites. L'acquisition des activités de Terreal, qui devraient générer un chiffre d'affaires annuel d'environ 740 millions d'euros en 2022, constituerait un complément important aux activités de Wienerberger, en particulier dans le contexte de la nouvelle Réglementation Environnementale française (RE 2020) relative à l'efficacité thermique et à la sobriété des matériaux utilisés pour la construction, adoptée parallèlement aux réglementations européennes portant sur la réduction de consommation énergétique. Par ailleurs, Terreal exploite des installations de pointe, notamment en France, dont le centre de recherche et de développement de Castelnaudary, et en Allemagne.L'étape idéale dans la stratégie de croissance créatrice de valeur de WienerbergerPour Wienerberger, l'acquisition de Terreal viendrait en complément des activités existantes, offrirait des opportunités de croissance uniques, notamment sur les marchés français et allemand, et permettrait à l'entreprise de renforcer encore sa position de pionnier de l'innovation et de la décarbonisation dans le secteur.Pour Heimo Scheuch, Président Directeur Général du Groupe Wienerberger : « La rénovation du parc immobilier vieillissant en l'Europe est une étape essentielle pour atteindre la neutralité climatique. Pour Wienerberger, ce domaine d'activité recèle un énorme potentiel de croissance à exploiter dans les années à venir, notamment dans le segment des toitures, y compris les solutions solaires et de gestion de l'eau. L'acquisition de Terreal doublerait nos ventes de toiture. En les faisant passer à 75 millions m2, elle constituerait une étape importante dans la mise en œuvre de notre stratégie de croissance créatrice de valeur. Avec les activités de Terreal qui complètent parfaitement notre propre gamme de produits, nous renforcerions notre capacité à fournir des solutions de premier ordre, surtout sur les marchés stratégiquement importants que sont la France et l'Allemagne. Dans le même temps, notre position dans le secteur de la rénovation et de la réparation s'améliorerait considérablement. Grâce à l'importance commune que nous accordons à la durabilité, aux solutions innovantes et aux modèles commerciaux digitalisés, l'installation de nos solutions permettra de réduire les émissions de CO2 de 225.000 tonnes par an. En outre, nous dégagerons des synergies durables en combinant nos installations de production et nos technologies et en élargissant notre gamme de produits en ce qui concerne le toit en pente, y compris les accessoires et l'isolation. En créant le premier véritable expert européen en matière de toits en pente qui intègre des solutions pour l'énergie solaire, l'eau et d'autres solutions pour le toit, Wienerberger construit une plate-forme solide pour la poursuite de sa croissance. »Pour Laurent Musy, Président Directeur Général du groupe Terreal : « Ces dernières années, Terreal a mis en œuvre avec succès une stratégie de croissance durable, grâce au engagement de nos équipes, au soutien de nos clients, de nos communautés et de nos actionnaires que je tiens à remercier tout particulièrement. L'acquisition et l'intégration réussies de Creaton en Allemagne et en Europe de l'Est ont été un point fort très positif. A l'heure où des défis sans précédent liés aux prix élevés de l'énergie et des besoins toujours plus urgents de décarbonisation de notre industrie et du bâtiment nous assaillent, unir nos forces avec Wienerberger nous permettrait d'accélérer notre feuille de route actuelle grâce au partage des meilleures pratiques, aux investissements, à l'innovation et à la digitalisation. Wienerberger est une entreprise européenne très réputée qui possède une grande expertise dans le secteur des tuiles et des briques en terre cuite dans le monde entier. Elle bénéficierait clairement de la complémentarité de notre empreinte industrielle et de l'ajout des marques, des actifs et des capacités de Terreal/Creaton, notamment en France et en Allemagne, dans le domaine des toits en pente et du solaire. Wienerberger a un projet industriel et commercial ambitieux qui assurera la croissance durable de nos activités. Nos collègues autrichiens, polonais et hongrois, qui connaissent un grand succès, resteraient sous le contrôle de nos actionnaires actuels. Nous continuerons à les soutenir dans la phase de transition. »En achetant Terreal, Wienerberger franchirait sa plus grande étape à ce jour dans le cadre de sa stratégie de croissance créatrice de valeur, qui repose sur des critères ESG ambitieux et se concentre sur le développement de produits et de solutions durables. À cette fin, l'entreprise s'est complètement repositionnée stratégiquement au cours des dix dernières années et est devenue un fournisseur complet de solutions efficaces de rénovation, de construction neuve et de la gestion de l'eau. La combinaison de produits innovants, de savoir-faire industriel et de modèles de distribution basés sur un partenariat dans toute l'Europe renforce le réseau commercial de Wienerberger et, dans le même temps, accélère l'avancée dans les objectifs environnementaux ambitieux de l'entreprise.
Il y a 2 ans et 147 jours

RSE : Une démarche au cœur de la stratégie du groupe fischer

Pour fischer la RSE est bien au cœur des investissements. Groupe international avec 50 filiales dans plus de 30 pays fischer partage et porte des valeurs communes qui sont l’innovation la responsabilité le sérieux. Véritable philosophie du groupe elles sont le pilier de sa démarche RSE. Menée par une approche environnementale initiée depuis plus de 60 ans cette démarche est aujourd’hui globale et solidement ancrée dans le quotidien de l’entreprise. Elle s’articule autour de 7 principes fondamentaux.Une démarche RSE déclinée en 7 principes fondamentauxLe bien-être des collaborateursfischer a toujours accordé une grande importance au bien-être et à la motivation de ses collaborateurs. Pour contribuer à l’épanouissement des salariés et à des conditions de travail, fischer met à leur disposition des salles de pause et de sport, des mesures pour les protéger et limiter les risques d’accidents au travail, des formations…L’avis des parties prenantesEn étroite collaboration avec ses partenaires - clients, revendeurs, distributeurs, fournisseurs, représentants de groupements, associations ou encore organisations – fischer est attentif aux suggestions et aux besoins de ces parties prenantes. Leurs recommandations permettent à l’entreprise de s’améliorer continuellement et de faire évoluer ses activités.Des ressources préservéesLe groupe fischer ne cesse de perfectionner la gestion de ses ressources. 85% de ses produits sont fabriqués au sein de l’Union Européenne, dont 48% proviennent des usines allemandes. Soucieux de limiter l’impact de ses produits sur l’environnement, fischer valorise près de 100% des déchets issus de la production de chevilles en plastique. En 2021, 99,99% des 2 791 tonnes de déchets produits ont été recyclés.Gestion de l’énergie et des émissionsPour évaluer et améliorer ses performances environnementales, et minimiser les risques, fischer est conforme aux normes ISO 14001 pour le Système de management environnemental, ISO 50001 pour le Système de management de l’énergie et ISO 9001 pour le Système de management de la qualité. Afin d’augmenter l’efficience énergétique d’au moins 1,5% par an, ses installations de production sont continuellement modernisées. L’entreprise souhaite également augmenter le pourcentage d’énergie produite en interne via l’installation de ses propres centrales de production, des panneaux photovoltaïques... Par ailleurs, fischer veille a ce que les émissions de CO2 soient maitrisées et augmentent moins fortement que le volume de production Des produits responsablesDu choix des matières premières à la fin de vie des produits en passant par la fabrication, le conditionnement et le merchandising, fischer porte une attention particulière sur le cycle de vie de ses solutions de fixation pour les rendre plus responsables. Les matières premières et les moyens de production mis en place doivent répondre aux exigences de recyclage et de gestion des déchets.Pour la conception de ses produits, le groupe recherche des solutions qui peuvent valoriser des matériaux durables. La gamme Greenline en est le parfait exemple. Elle est la première gamme de fixation au monde fabriquée à partir de matières premières renouvelables. fischer cherche également à limiter l’impact de ses produits sur l’environnement et sur l’Homme en développant des formulations sans substances nocives comme la résine d’injection FIS V Zero.fischer s’est engagé à modifier les emballages de ses produits afin qu’ils soient respectueux de l’environnement et recyclables au maximum. Le carton utilisé pour les boîtes et les blisters est recyclé jusqu’à 98% et recyclable.La formation Prospère et en pleine croissance, le groupe fischer comptait plus de 5 400 collaborateurs fin 2021. Il soutient activement le développement professionnel et personnel de ses collaborateurs, et ce de nombreuses façons. Des programmes de formation interne préparent les managers de demain, et soutiennent les collaborateurs qui souhaitent acquérir ou parfaire des compétences techniques. Des formations continues sont proposées aux apprentis et aux étudiants qui recherchent une expérience professionnelle.Des innovations constantesAvec plus de 14 000 références, l’offre fischer couvre l’ensemble des besoins des professionnels comme des particuliers : solutions de fixation métalliques, chimiques, nylon, sanitaires, isolants, visserie et accessoires, forets, coupe-feu, techniques de supportage, inserts pour A|C|T, systèmes de rails insert, chimie du bâtiment ou encore outils électriques.Avec plus 1 500 brevets déposés, l’entreprise a su imposer de nouvelles références et devenir un acteur incontournable dans le domaine des systèmes de fixation. Les produits fischer sont utilisés dans la vie courante des bricoleurs comme sur les chantiers des artisans et des professionnels du bâtiment.Parmi les dernières innovations :La FIS V Plus : 1ère résine universelle agréé 100 ans dans le béton.La FIS V Zero : 1ère résine exempte de substances nocives (peroxyde de benzoyle) plus respectueuse de l’Homme et l’environnement. La gamme DuoLine : avec les chevilles multi-matériaux DuoPower, à bascule DuoTec, autoforeuse DuoBlade, étanche DuoSeal et rallongée DuoXpand.Le système de rails insert : une nouvelle génération qui intègre le processus BIM (Building Information Modeling).La recherche de performanceL’obtention de prix est un important indicateur de performance pour le groupe fischer. Parmi les dernières récompenses, fischer a reçu le « Prix allemand de la durabilité 2020 », le « Trophée de l’Innovation LSA » en 2021 pour la FIS V Zero, et le « Plus X Award » 2022, le plus grand prix d’innovation au monde dans le domaine de la technologie, du sport et du style de vie.
Il y a 2 ans et 152 jours

RSE : Une démarche au cœur de la stratégie du groupe fischer 

« La durabilité associe des aspects tels que la protection de l’environnement, la technologie et l’innovation ainsi que la réussite économique et la responsabilité sociale. Chez fischer, nous considérons cette interaction comme un défi pour vivre, travailler et prospérer en accord avec la nature. »Professeur Klaus Fischer – Propriétaire du groupe d’entreprises fischer  ©fischer Respect de l’environnement, bien-être des collaborateurs ou encore pérennité financière sont des défis quotidiens pour les entreprises. La RSE guide les investissements tant elle pousse à inscrire le développement économique dans une démarche environnementale et sociale. Pour fischer, la RSE est bien au cœur des investissements. Groupe international avec 50 filiales dans plus de 30 pays, fischer partage et porte des valeurs communes qui sont l’innovation, la responsabilité, le sérieux. Véritable philosophie du groupe, elles sont le pilier de sa démarche RSE. Menée par une approche environnementale, initiée depuis plus de 60 ans, cette démarche est aujourd’hui globale et solidement ancrée dans le quotidien de l’entreprise. Elle s’articule autour de 7 principes fondamentaux.  Le développement durable chez fischer, une histoire qui dure « Pour une entreprise, le développement durable est une action responsable qui vise la réussite économique à long terme en accord avec l’environnement et la société. » Devise fischer  Une démarche RSE déclinée en 7 principes fondamentaux – Le bien-être des collaborateursfischer a toujours accordé une grande importance au bien-être et à la motivation de ses collaborateurs. Inspirer les personnes, apporter une qualité de vie au travail, et donner les valeurs et les outils pour atteindre au mieux les objectifs fixés : ce sont les facteurs clés de la réussite de l’entreprise familiale. Pour contribuer à l’épanouissement des salariés et à l’amélioration des conditions de travail, fischer met à leur disposition des salles de pause et de sport, des mesures pour les protéger et limiter les risques d’accidents au travail, des formations…– L’avis des parties prenantesEn étroite collaboration avec ses partenaires – clients, revendeurs, distributeurs, fournisseurs, représentants de groupements, associations ou encore organisations – fischer est attentif aux suggestions et aux besoins de ces parties prenantes. Leurs recommandations permettent à l’entreprise de s’améliorer continuellement et de faire évoluer ses activités.– Des ressources préservéesLe groupe fischer ne cesse de perfectionner la gestion de ses ressources. 85% de ses produits sont fabriqués au sein de l’Union Européenne, dont 48% proviennent des usines allemandes. Soucieux de limiter l’impact de ses produits sur l’environnement, fischer valorise près de 100% des déchets issus de la production de chevilles en plastique. En 2021, 99,99% des 2 791 tonnes de déchets produits ont été recyclés. Autre mesure, sur le site de production en Allemagne, l’eau de source est utilisée pour le refroidissement indirect des installations de production et l’arrosage des espaces verts.  ©Fischer – Gestion de l’énergie et des émissionsL’efficacité énergétique et la réduction des émissions (CO2, sonores, polluantes) sont au cœur de la stratégie de développement durable de fischer.Pour évaluer et améliorer ses performances environnementales, et minimiser les risques, fischer est conforme aux normes ISO 14001 pour le Système de management environnemental, ISO 50001 pour le Système de management de l’énergie et ISO 9001 pour le Système de management de la qualité. Afin d’augmenter l’efficience énergétique d’au moins 1,5% par an, ses installations de production sont continuellement modernisées. Les éclairages conventionnels sont substitués par la technologie LED, les systèmes de ventilation, de pompage et de production sont remplacés par des systèmes plus performants… L’entreprise souhaite également augmenter le pourcentage d’énergie produite en interne via l’installation de ses propres centrales de production, des panneaux photovoltaïques… Depuis 2018, tous les sites allemands sont alimentés en électricité verte, qui provient entièrement de centrales utilisant des sources d’énergie renouvelables.Par ailleurs, fischer veille a ce que les émissions de CO2 soient maitrisées et augmentent moins fortement que le volume de production.Enfin, les émissions sonores des usines de production ainsi que les émissions de substances polluantes, via les ventilations, sont rigoureusement analysées afin de ne pas nuire à l’environnement et aux zones résidentielles avoisinantes. – Des produits responsablesSelon les idées du concept japonais Kaizen (amélioration continue), le groupe fischer a développé une philosophie visant à améliorer les procédures de l’entreprise et à éviter le gaspillage. La conception de chaque produit fischer suit ainsi ce processus afin d’apporter aux utilisateurs la meilleure solution d’ancrage en termes de qualité et d’usage. Du choix des matières premières à la fin de vie des produits en passant par la fabrication, le conditionnement et le merchandising, fischer porte une attention particulière sur le cycle de vie de ses solutions de fixation pour les rendre plus responsables. Les matières premières et les moyens de production mis en place doivent répondre aux exigences de recyclage et de gestion des déchets.Pour la conception de ses produits, le groupe recherche des solutions qui peuvent valoriser des matériaux durables. La gamme Greenline en est le parfait exemple. Elle est la première gamme de fixation au monde fabriquée à partir de matières premières renouvelables. fischer cherche également à limiter l’impact de ses produits sur l’environnement et sur l’Homme en développant des formulations sans substances nocives comme la résine d’injection FIS V Zero.Outre la formulation des produits, fischer s’est engagé à modifier les emballages de ses produits afin qu’ils soient respectueux de l’environnement et recyclables au maximum. Le carton utilisé pour les boîtes et les blisters est recyclé jusqu’à 98% et recyclable. Pour l’implantation en magasin, fischer accorde une attention aux matériaux qu’il utilise. Les matières plastiques et le PVC sont délaissés progressivement pour des outils à base de carton ou de PVC recyclé, qui ne comportent pas d’encres solvantées.– La formation Prospère et en pleine croissance, le groupe fischer comptait plus de 5 400 collaborateurs fin 2021. Il soutient activement le développement professionnel et personnel de ses collaborateurs, et ce de nombreuses façons. Des programmes de formation interne préparent les managers de demain, et soutiennent les collaborateurs qui souhaitent acquérir ou parfaire des compétences techniques. Des formations continues sont proposées aux apprentis et aux étudiants qui recherchent une expérience professionnelle. ©Fischer – Des innovations constantesAvec plus de 14 000 références, l’offre fischer couvre l’ensemble des besoins des professionnels comme des particuliers : solutions de fixation métalliques, chimiques, nylon, sanitaires, isolants, visserie et accessoires, forets, coupe-feu, techniques de supportage, inserts pour A|C|T, systèmes de rails insert, chimie du bâtiment ou encore outils électriques.  Avec plus 1 500 brevets déposés, l’entreprise a su, grâce à son savoir-faire et à sa capacité d’innovation, imposer de nouvelles références et devenir un acteur incontournable dans le domaine des systèmes de fixation. Les produits fischer sont utilisés dans la vie courante des bricoleurs comme sur les chantiers des artisans et des professionnels du bâtiment, c’est pourquoi fischer œuvre en permanence à l’amélioration de la qualité de ses produits. Parmi les dernières innovations :– La FIS V Plus : 1ère résine universelle agréé 100 ans dans le béton. Avec un seul produit, les utilisateurs peuvent réaliser de nombreuses applications dans le béton fissuré, non fissuré et la maçonnerie, sismiques C1 ou C2 et des ancrages dans des forages inondés.– La FIS V Zero : 1ère résine exempte de substances nocives (peroxyde de benzoyle) plus respectueuse de l’Homme et l’environnement. Universelle, polyvalente et aussi performante qu’une résine traditionnelle, elle dispose de nombreuses ETE.– La gamme DuoLine : avec les chevilles multi-matériaux DuoPower, à bascule DuoTec, autoforeuse DuoBlade, étanche DuoSeal et rallongée DuoXpand, qui regroupent les meilleures caractéristiques techniques pour couvrir un large champ d’application. – Le système de rails insert : une nouvelle génération qui intègre le processus BIM (Building Information Modeling). Disposant d’une ETE-18/0862 (Evaluation Technique Européenne) dans le béton fissuré, ce système de fixation complet, composé de rails et de tiges d’ancrage prémontés en usine, offre une grande souplesse d’utilisation et un réel gain de temps de pose. La recherche de performanceL’obtention de prix est un important indicateur de performance pour le groupe fischer. Parmi les dernières récompenses, fischer a reçu le « Prix allemand de la durabilité 2020 », le « Trophée de l’Innovation LSA » en 2021 pour la FIS V Zero, et le « Plus X Award » 2022, le plus grand prix d’innovation au monde dans le domaine de la technologie, du sport et du style de vie.  https://www.fischer.fr/fr-fr
Il y a 2 ans et 153 jours

Solids

Solids est un salon allemand, qui permet aux exposants nationaux et internationaux de présenter leurs technologies et solutions pour le traitement, la manutention, le stockage, le transport et l'analyse des poudres, granulés et solides en vrac.
Il y a 2 ans et 153 jours

Une tiny house flottante autonome et design de conception sino-allemande

L’agence d’architecture sino-allemande Crossboundaries a repensé le concept de bateau à moteur, en alimentant entièrement à l’énergie solaire, avec des caractéristiques haut de gamme de petite maison qui lui permettent de fonctionner comme un nid de voyage au ralenti. [De l’architecte] Alors que le monde semble bouleversé en raison des restrictions pandémiques de voyage, des […]
Il y a 2 ans et 154 jours

Terre cuite : Terreal convoité par Wienerberger

ACQUISITION. Le spécialiste de la terre cuite, Wienerberger, annonce vouloir racheter une grande partie des activités de Terreal. Cette opération renforcera sa présence sur les marchés français et allemands. Frédéric Didier, directeur général de Wienerberger France, nous en dit plus.
Il y a 2 ans et 154 jours

Stiebel Eltron franchit le milliard d'euros de chiffre d'affaires

RÉSULTAT. Le fabricant allemand, Stiebel Eltron, annonce avoir dépassé le milliard d'euros de chiffre d'affaires à fin novembre 2022.
Il y a 2 ans et 155 jours

Hydro rachète Hueck  

Hueck est une entreprise familiale, fournisseur de systèmes en aluminium et de profilés en aluminium extrudé, dont le siège social est situé à Lüdenscheid, en Allemagne.  Elle emploie 500 collaborateurs, et dispose de deux presses d’extrusion et de sa propre fonderie. Le groupe Hueck est composé de deux filiales : Hueck Extrusion et Hueck Systems.  Cette acquisition permettra à Hydro Extrusions d’affirmer sa position et sa présence en Europe. Cela renforcera également la position d’Hydro Building Systems et de ses marques TECHNAL, SAPA et WICONA en Allemagne et sur d’autres marchés européens, consolidant ainsi sa capacité à offrir des services de qualité à ses clients, grâce à une gamme de produits encore plus large.  Forte de 60 ans d’expérience dans le domaine de l’ingénierie allemande, Hueck Systems opère principalement en Allemagne, qui représente le plus grand segment du marché européen des systèmes de construction. Elle est spécialisée dans la création de solutions pour fenêtres, portes  et façades pour les secteurs du bâtiment et de la construction, et dispose d’une plate-forme de distribution sur son site principal, à Lüdenscheid. Outre l’Allemagne, Hueck Systems opère également en Autriche, en Suisse, au Danemark, aux Pays-Bas, en République Tchèque et au Royaume-Uni, mais aussi sur d’autres marchés grâce à de solides partenariats comme en France.  Hydro Building Systems propose des solutions innovantes en aluminium durable pour les fenêtres, portes et façades en œuvrant pour une économie circulaire. Ses marques TECHNAL, SAPA et WICONA développent et distribuent des systèmes de construction en aluminium pour tout type  de bâtiment. Avec ses 3 200 collaborateurs, Hydro Building Systems vise à développer une approche pérenne avec de nouvelles solutions durables, contenant au moins 75 % de matériaux recyclés et 95 % de matériaux recyclables, réduisant ainsi l’impact des matériaux sur le cycle de vie d’un bâtiment.   Ensemble, formant une seule et même entreprise,  Hueck et les marques d’Hydro Building Systems TECHNAL, SAPA et WICONA investiront sur la durabilité, l’implantation locale et l’expertise technique. Avec l’acquisition de Hueck, notre mission demeure la même : nous nous engageons pleinement à aider nos clients à saisir les nouvelles opportunités présentes sur le marché du bâtiment et de la construction. En disposant des meilleurs talents et en restant pleinement focalisés sur l’activité de nos clients et la qualité des produits que nous leur livrons, nous serons un partenaire indispensable pour la réalisation de leurs objectifs. Henri Gomez, Vice-président senior d’Hydro Building Systems. La finalisation de l’acquisition est soumise à l’approbation des autorités de concurrence allemande et autrichienne et est prévue pour la fin du premier trimestre 2023. 
Il y a 2 ans et 158 jours

L'autorité britannique de la concurrence valide la fusion Sika-MBCC

ACQUISITION. L'autorité britannique de la concurrence vient de donner son accord pour que Sika puisse acquérir l'allemand MBCC. Ce feu vert est toutefois corrélé à la vente d'une partie de l'activité adjuvants de MBCC, une opération déjà en cours.
Il y a 2 ans et 159 jours

le groupe hydro acquiert hueck

Le groupe Hydro annonce l’acquisition de Hueck, fournisseur allemand de systèmes en aluminium et de profilés en aluminium extrudé pour la création de fenêtres, portes et façades. Ce rachat permettra à Hydro de renforcer sa présence en Allemagne et sur les autres marchés européens.
Il y a 2 ans et 160 jours

Les gratte-ciels ont toujours la cote en Europe

Avec 330 mètres de haut, ce sera le plus haut gratte-ciel d'Europe occidentale: la construction de la tour Madrid Norte doit débuter en 2025 dans la capitale espagnole, sans susciter de polémique. La "skyline" du nord de Madrid, déjà composée de cinq gratte-ciels très reconnaissables, y suscite plutôt la fierté.Loin des débats à Paris ou Berlin, où les projets de tours sont vivement combattus.A Paris, l'inauguration en septembre, sans grande pompe, des tours Duo, conçues par l'architecte-star Jean Nouvel, est symbolique du peu d'appétence pour les gratte-ciels.La maire Anne Hidalgo est confrontée à l'opposition de ses alliés écologistes et de la droite, qui jugent ces projets énergivores et inesthétiques, et l'ont forcée à abandonner ou redimensionner d'autres projets.Signe de la sensibilité du sujet, le quartier d'affaires de La Défense, où vient d'être inaugurée la tour Hekla - là encore dessinée par Jean Nouvel - a lancé début décembre des "Etats généraux de la transformation des tours" pour réduire leur impact carbone.A Berlin, riverains et personnalités politiques critiquent un projet de tour de bureaux de 140 mètres de haut, qui va abriter le siège allemand du géant Amazon, l'accusant entre autres de favoriser la gentrification.Polémiques"Si vous avez des débats en Allemagne, ils sont davantage sociologiques et politiques que liés à la planification", souligne Hermann Horster, responsable ESG (critères environnementaux, sociaux et de gouvernance) chez BNP Real Estate."On va discuter sur le mode +voulons-nous encore ces tours aussi énormes issues des fantasmes d'architectes masculins ?+", détaille M. Horster."L'acceptation, aujourd'hui, des projets qui ont un impact urbain fort par les populations, est de plus en plus difficile. Et plus le projet est impactant, plus il va y avoir des oppositions, des polémiques...", juge Olivier Estève, directeur général délégué de la foncière française Covivio.Mais les gratte-ciels, ou "IGH" pour "immeubles de grande hauteur" dans le jargon de l'immobilier d'entreprise, continuent de se multiplier dans les quartiers d'affaires européens."Il n'y a qu'à voir ce qui peut se passer à Londres, où les tours sont plébiscitées, toujours parce qu'elles sont dans le centre de Londres, à la City, et parce qu'il y a un niveau de services qui est poussé à son maximum", tranche Vincent Bollaert, directeur France de Knight Frank, société britannique spécialisée dans l'immobilier d'entreprise.Restauration, salles de sport et surtout balcons, terrasses et autres espaces à l'air libre, sont particulièrement demandés."Ça, c'est une vraie révolution, parce qu'avant, le seul espace extérieur, c'était le pied de tour. Vous aviez 80 fumeurs en permanence devant", raconte Yannis de Francesco, directeur de l'agence Bureaux Ile-de-France du spécialiste de l'immobilier d'entreprise JLL.Arguments verts"On pense aussi bien-être: ce sont les services, c'est la lumière, c'est la taille des plateaux, la hauteur libre, intégrer tout ce qui est mobilités douces...", énumère Vincent Bollaert.Car les tours, malgré leur caractère énergivore, font également valoir des arguments écologiques: elles sont souvent proches des centres-villes et donc bien desservies par les transports en commun, contrairement aux "campus" en vogue dans les années 2000.Dans une époque marquée par le traumatisme des attentats du 11 septembre 2001 à New York, "il y avait vraiment la panique des grandes tours, donc on était plutôt sur la sécurité accrue et plus trop sur la tour la plus haute", se souvient Ingrid Nappi, professeure à l'Ecole des Ponts.Plus récemment, la pandémie a accru les craintes vis-à-vis des ascenseurs. "Toutes les crises remettent en cause les tours", dit-elle.Les gratte-ciels limitent aussi l'artificialisation des sols, nocive pour la ville et le climat, et les plus emblématiques collectionnent des labels de qualité environnementale plus ou moins reconnus: Leed, Well, Breeam, HQE...Ils se veulent aussi pionniers dans la mixité d'usages.Ainsi la future - et contestée - Tour Triangle au sud de Paris, qui inclut, en plus des bureaux, un hôtel, une crèche et des commerces, est conçue comme "réversible", c'est-à-dire facilement transformable en logements.C'est aussi le cas du projet FOUR Frankfurt dans la métropole allemande, dont quatre tours incluront aussi des logements, y compris aidés, pour donner de la vie au quartier d'affaires.
Il y a 2 ans et 161 jours

Systèmes aluminium : Hydro acquiert l'entreprise allemande Hueck

ACQUISITION. Le groupe norvégien, Hydro, vient d'annoncer avoir racheté le fournisseur de systèmes en aluminium et de profilés en aluminium extrudé Hueck.
Il y a 2 ans et 162 jours

Gutech Oman imprime 3 bâtiments en seulement 8 j

Les nouveaux bâtiments imprimés en 3D béton ont été réalisés à Duqm, la zone économique d’Oman. [©Cobod] Après avoir réalisé en décembre 2021, un bâtiment de 190 m2 en 3D béton, Gutech fait de nouveau parler d’elle à Oman ! L’université technologique allemande récidive, en établissant un nouveau record dans le domaine de la fabrication additive. Celui d’imprimer 3 nouveaux bâtiments en seulement 8 j à Duqm, à 540 km de Mascate, capitale du pays. « Nous avons introduit l’impression 3D béton dans le Sultanat d’Oman, déclare Yousuf Al Bulushi, vice-recteur adjoint pour l’innovation et les services éducatifs de Gutech. Grâce à ce procédé, il est possible de construire très rapidement. Nous voulons aller au-delà des attentes. » Le premier des nouveaux bâtiments imprimés est un café commercial de 81 m2. Le temps total d’impression a été de 22 h. L’équipe de Gutech a achevé cette construction d’une hauteur de 3,70 m en 3 semaines. Pour ce faire, seulement 19,60 m3 de béton ont été utilisés et fabriqués en très grande majorité (99 %) à partir de matières disponibles localement. Lire aussi : Une première maison imprimée en 3D à Bornéo Une méthode approuvée Le second bâtiment abrite des toilettes publiques. D’une superficie de 20 m2, il se développe sur une hauteur de 3,50 m. Sa construction a duré 13 h réparties sur 2 j et a nécessité 10,60 m3 de béton. Quant à la dernière réalisation, il s’agit d’une maison de pêcheur de 72 m2.  Cette habitation de 3 m de haut a été érigée en 19 h sur 2 j, à l’aide de 17,3 m3 de béton. Tous les bâtiments ont été édifiés en coopération avec l’entrepreneur général Teejan et ont vu la mise en œuvre de l’imprimante de construction Cobod. Les autorités de Duqm ont approuvé cette méthode et ont fourni les permis pour les bâtiments.  « Avec l’utilisation des courbes de formes non conventionnelles, ces édifices correspondent à la nature futuriste et ambitieuse de Duqm », se réjouit Zaid Marmash, architecte en chef et responsable du Moyen-Orient chez Cobod. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 172 jours

Hager Group intègre l’association allemande Klimaschutz-Unternehmen e.V.

 Hager Group accélère dans la décarbonation de ses activités. Ces efforts ont été reconnus par l’association allemande Klimaschutz-Unternehmen e.V. pionnière dans la protection du climat, qui intègre Hager Group parmi ses 60 membres.  En tant que membre de l’association, Hager Group compte parmi les entreprises pionnières qui fournissent, en Allemagne, des conseils, des bonnes pratiques […]
Il y a 2 ans et 175 jours

Ingérop se renforce en Allemagne

ACQUISITION. Le spécialiste de l'ingénierie et du conseil, Ingérop, annonce avoir mis la main sur une société allemande IBF Ingenieure.
Il y a 2 ans et 176 jours

Lumag : Aide à la mise en œuvre

Lumag propose notamment la truelle mécanique BT800. [©Lumag] L’Allemand Lumag propose deux talocheuses mécaniques pour la préparation des sols. Il s’agit des BT800 et BT900. Idéales pour les surfaces jusqu’à 100 m2 ou en complément des truelles mécaniques conventionnelles ou des talocheuses doubles. L’anneau de protection rotatif permet de contourner sans problème les supports et les tuyaux, ainsi que de lisser jusqu’au mur. Ce qui minimise les retouches Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 176 jours

Durabilité : Mewa mise sur une logistique verte

Grâce à son approche globale, le prestataire de services textiles allemand Mewa rend peu à peu sa logistique plus respectueuse de l'environnement. La gestion durable de la distribution englobe tous les aspects de la chaîne d'approvisionnement : de la planification des tournées à l'utilisation d'emballages réutilisables en passant par la flotte de véhicules.
Il y a 2 ans et 177 jours

Gölz : Large gamme

Parmi les scies à sols de la marque Gölz, la FS175 est très populaire. [©Gölz] Le constructeur allemand Gölz vient de lancer la raboteuse industrielle GFP 200, disponible en version thermique et électrique, destinée aux petites surfaces. Compacte et maniable, cette machine embarque une gamme complète d’outils pour le traitement du béton. Ainsi, avec une unique machine, il est possible de rainurer, de surfacer, de rectifier, de raboter les peintures, laitances, résidus de laitance. Enfin, une brosse métallique permet le nettoyage de sol acier, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 179 jours

Menuiseries : Hörmann profite d'une "nouvelle dynamique malgré les difficultés du marché"

STRATÉGIE. La branche française du groupe allemand spécialisé dans les portes, huisseries et motorisations, affiche de bons résultats sur l'exercice 2022. Bien que ses activités habitat, industrie et tertiaire soient en progression dans un contexte international très tendu, l'entreprise avance aussi ses pions dans les domaines de la formation et de la décarbonation.
Il y a 2 ans et 179 jours

Holcim déploie ConcreteDirect en Europe

Après l’Amérique du Nord, Holcim déploie la solution ConcreteDirect en Amérique latine et en Europe. [©Holcim] Holcim a lancé le déploiement géographique de sa plate-forme digitale ConcreteDirect. Jusque-là cantonnée à l’Amérique du Nord, elle fait son entrée en Europe et en Amérique latine. Ainsi, les sites de construction allemands, britanniques et français peuvent bénéficier de la même expérience digitale que leurs collègues colombiens, équatoriens ou salvadoriens. La plate-forme relie tous les postes d’activité d’un site de construction, avec les équipes d’Holcim. Ceci, afin de mieux coordonner les actions de chacun, avec des informations en direct dans un environnement digital complet. Lire aussi : Holcim investit dans l’impression 3D de Cobod « Nous sommes fiers de notre portfolio de solutions durables et de bétons à hautes performances, explique Mahali Anderson, responsable des solutions durables et innovantes d’Holcim. Nous sommes déterminés à prouver au marché que nos innovations produits apportent les résultats que nous avons promis. » [Inter] 100 Mm3 de béton distribués via ConcreteDirect La plate-forme ConcreteDirect est, d’ores et déjà, un succès en Amérique du Nord. Où 100 Mm3 de béton ont été distribués dans le cadre de son utilisation. Ce qui fait dire à Mijan Gutovic, responsable de la région EMEA : « nos clients en Europe ont soif d’explorer des solutions digitales permettant de gagner en efficience et en connaissance issue des datas. Les retours des utilisateurs-testeurs de ConcreteDirect ont été tout à fait positifs. Nous sommes très heureux d’offrir cette solution à plus d’utilisateurs, à travers son déploiement en Europe. »
Il y a 2 ans et 180 jours

Ville de Royan : Une nouvelle architecture en béton

Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine. Claude Ferret a tout d’abord dessiné un plan d’urbanisme néo-classique, style “Art Déco” des années 1930. Avec une touche régionale saintongeaise… On le voit sur le boulevard Aristide Briand qui prolonge le marché central et le front de mer. [©Ville de Royan] Fin XIXe et début XXe siècle, Royan est une petite cité balnéaire de Charente-Maritime, qui doit son développement à la mode des bains de mer venue d’Angleterre. Mais aussi à l’essor de la navigation à vapeur. Une liaison s’établit d’ailleurs entre la ville et Bordeaux. Royan s’adapte au tourisme. Elle prospère jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, où elle devient une poche de résistance allemande. « Après deux vagues successives de bombardements, en janvier et avril 1945, plus de 85 % de la ville de Royan sont détruits. Seuls, les quartiers situés à l’Ouest, du côté Pontaillac, et à l’Est, le long de la Grande Conche, sont en partie épargnés », résume Charlotte de Charette, responsable du service patrimoine de Royan. Et de poursuivre : « Après sa libération en avril 1945, Royan est un champ de ruines. La question de la reconstruction à l’identique ne se pose pas ici, contrairement à Saint-Malo ou Gien. Claude Ferret est alors nommé à la fois architecte et urbaniste en chef de la reconstruction de la cité balnéaire. Il est assisté de Louis Simon, de Paris et André Morisseau, un local de Pons. Venant de Bordeaux où il est le directeur de l’Ecole d’architecture, Claude Ferret emmène avec lui ses étudiants. C’est toute une effervescence… » Raoul Dautry, alors ministre de la Reconstruction et de l’Urbanisme nommé par la Résistance, avait reçu Claude Ferret en juillet 1945 et lui avait dit : « Vous voyez, Ferret, vous avez 3 ans pour reconstruire cette ville. Si dans 3 ans, vous n’avez pas terminé, on vous fera fusiller… » Il lui faudra 20 ans pour achever la ville ! Venu du Brésil… L’église Notre-Dame-de-Royan, œuvre de l’architecte parisien Guillaume Gillet, nouveau Grand Prix de Rome, élève d’Auguste Perret, rompt avec les avant-projets jugés trop “brésiliens”. [©Ville de Royan] La “modernité” n’a pas été une volonté immédiate. Claude Ferret a tout d’abord dessiné un plan d’urbanisme néo-classique, style “Art Déco” des années 1930. Il voulait une station balnéaire contemporaine : des lignes droites, des bâtiments simples et bas (il ne fallait pas cacher la mer). Avec une touche régionale saintongeaise… On le voit sur le boulevard Aristide Briand qui prolonge le marché central et le front de mer. « Ferret s’est beaucoup promené dans la ville rasée. Avant de reconstruire, il y avait les gravats à déblayer, les routes à reformer, les plages à déminer… Cela lui a laissé un temps de réflexion assez long. Les travaux ne commencèrent qu’en 1947-1948. Ses premiers projets s’inspiraient de l’esthétique des années 1930-1940. Mais en 1950-1951, ils basculent soudainement vers une expression moderne “lyrique”, proche de celle des architectes brésiliens qui ont pour chefs de file Lucio Costa et Oscar Niemeyer, reprend Charlotte de Charette. En effet, c’est à l’occasion de la lecture de revues d’architecture que Claude Ferret retravaille ses projets vers une “tropicalisation” à la brésilienne. Le béton tout en courbes En 1950-1951, les projets de Claude Ferret basculent soudainement vers une expression moderne “lyrique”, proche de celle des architectes brésiliens qui ont pour chefs de file Lucio Costa et Oscar Niemeyer. Ici, le front de mer. [©Ville de Royan] Le béton est donc mis à l’honneur, avec des formes ludiques courbes, une relation poussée entre intérieur et extérieur, la multiplication de terrasses, de loggias, de claustras, d’auvents… Ainsi, le front de mer mélange trois styles : Art Déco, charentais et brésilien. En effet, à Royan, la rigueur “idéologique” et militante du Mouvement moderne est adoucie pour prendre des allures “festives” et conviviales. Parmi les réalisations emblématiques de la ville, le Palais des congrès, la poste centrale, l’église du parc, l’entrée de la ville. Mais aussi la galerie Botton et son auditorium sur le front de mer, le temple, le stade, la gare routière… Et, bien sûr, l’église Notre-Dame-de-Royan, œuvre de l’architecte parisien Guillaume Gillet, nouveau Grand Prix de Rome, élève d’Auguste Perret, qui rompt avec les avant-projets jugés trop “brésiliens”. L’église utilise surtout la technique “V-Lafaille”, qui consiste en une structure auto-portante en béton armé mince. La forme de l’édifice fait penser à une immense proue de navire. Mais il y a aussi un clin d’œil à l’architecture gothique, en particulier à la cathédrale d’Albi par la hauteur de sa nef allongée. Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 185 jours

Bruno Le Maire assure que "les entreprises françaises seront aussi bien protégées" que les allemandes

"La priorité du gouvernement français, celle qui se lit dans le projet de loi de finances, c'est de protéger les ménages et de protéger les entreprises contre les conséquences de l'inflation", a déclaré le ministre de l'Économie à l'ouverture de la discussion en première lecture du projet de budget pour l'année prochaine."En 2023, nous passerons à des aides plus ciblées, en 2023 le ciblage des aides pour les ménages comme pour les entreprises devra être la règle", a-t-il exposé, invoquant d'abord "une question de justice"."Nous devons tous prendre conscience que le choc énergétique n'est pas transitoire, qu'il est structurel et que par conséquent nous devons nous adapter à ce nouvel environnement énergétique", a-t-il poursuivi. "Il faudra donc à un moment donné que les prix du gaz et les prix de l'électricité en France retrouvent les prix de marché", a déclaré M. Le Maire, précisant que le gouvernement préfère "le faire de manière progressive (…) plutôt que de le faire de manière brutale"."Ça n'exclut pas d'aider ceux qui en ont le plus besoin, de soutenir ceux qui ont impérativement besoin de leur véhicule pour aller travailler", a-t-il souligné.Concernant les entreprises, le ministre a affirmé que le gouvernement ne laisserait "tomber aucun site industriel français car il en va de la reconquête industrielle que nous avons engagée"."Je comprends la question soulevée par les représentants des chefs d'entreprise", a dit le ministre, alors que le Medef et la filière agroalimentaire ont alerté sur un problème de concurrence au sein de l'UE."Une chose est claire: nous sommes dans un marché unique, les entreprises sont donc soumises aux mêmes règles et aux mêmes obligations. Je veux donc le dire avec beaucoup de force, face à la crise énergétique, [que] les entreprises françaises seront aussi bien défendues, aussi bien protégées que les entreprises allemandes", a-t-il affirmé."S'il y avait un seul chiffre à retenir de cette guerre en Ukraine, c'est que le choc énergétique représente désormais plus de 3% de la richesse européenne, (...) soit mille euros par citoyen européen, dont l'Europe a été privée au profit des pays producteurs de pétrole et de gaz", a encore dit Bruno Le Maire.S'agissant de la dépense publique, le ministre a par ailleurs indiqué accueillir "favorablement" la proposition du Sénat d'aligner l'objectif de réduction de la dépense en volume de l'État sur celui des collectivités (0,5%).
Il y a 2 ans et 186 jours

Siemens Gamesa annonce des pertes annuelles record avant son retrait de la Bourse

Le groupe énergétique, filiale à 67% de l'allemand Siemens Energy et que ce dernier souhaite retirer de la Bourse en rachetant les 33% qu'il ne détient pas encore, a perdu 940 millions d'euros sur son exercice décalé, clos le 30 septembre.Ce résultat, enregistré malgré d'importantes ventes d'actifs dans le sud de l'Europe et un portefeuille de projets évalué à 35 milliards d'euros, traduit une nette dégradation par rapport à l'exercice précédent, déjà marqué par de fortes pertes (621 millions d'euros).L'exercice écoulé "a été sans aucun doute une année compliquée", en raison de "l'inflation élevée", des "ruptures dans la chaîne d'approvisionnement" et des "risques géopolitiques" liés à la guerre en Ukraine, a souligné dans un communiqué le PDG de Siemens Gamesa, Jochen Eickholt."Ces problèmes touchent toute la filière et pourraient mettre en péril la transition énergétique en l'absence d'engagement clair des autorités pour faire de l'éolien une filière stratégique", a ajouté M. Eickholt, qui estime néanmoins que Siemens Gamesa a "posé les bases" pour redevenir "rentable".Siemens Energy a lancé au printemps un vaste plan stratégique baptisé Mistral, qui doit se traduire par le rachat au cours des prochaines semaines du solde du capital de Siemens Gamesa qu'il ne détient pas encore, afin de simplifier la structure d'actionnariat de cette société.Ce rachat a été autorisé lundi par l'autorité boursière espagnole (CNMV).Cette réorganisation doit entrer en vigueur au 1er janvier. Elle entraînera la suppression de 2.900 postes dans le monde, soit près de 11% des effectifs de Siemens Gamesa, avec notamment 800 emplois supprimés au Danemark, 475 en Espagne et 300 en Allemagne.Ce plan de restructuration a été dénoncé par l'un des principaux syndicats espagnols, Commissions ouvrières (CCOO), qui a accusé fin octobre Siemens Energy de "détruire le tissu productif" du groupe.Siemens Gamesa, issu de la fusion en 2017 de l'espagnol Gamesa et de la division énergie éolienne de Siemens, est confronté depuis des années à de fortes difficultés liées à l'envolée des cours des matières premières et à une concurrence accrue d'acteurs à bas prix, notamment chinois.
Il y a 2 ans et 187 jours

Ingérop poursuit son développement à l’international

De gauche à droite en commençant par le haut : Stephan Geiss (directeur financier Ingérop Deutschland et Codema), Yves Metz (président du groupe Ingérop), Rainer Bründel (directeur IBF Ingenieure), Christophe Blanc (directeur international groupe Ingérop), Frank Diedrichs (directeur général IBF Ingenieure), Christof Zehetmeier (directeur IBF Ingenieure), Thomas Sontag (directeur général Ingérop Deutschland et Codema), Michael Weise (directeur général IBF Ingenieure). [©Ingérop] Ingérop poursuit son développement à l’international. Le groupe d’ingénierie et de conseil vient d’acquérir la société allemande IBF Ingenieure. Cette dernière est spécialisée dans les équipements techniques des bâtiments : chauffage, ventilation, climatisation, électricité, plomberie et sécurité incendie. Elle se complémente parfaitement avec Ingérop au niveau des expertises. Cette acquisition va permettre au groupe français de développer des projets stratégiques, sur la décarbonation des bâtiments par exemple. Une implantation forte en Allemagne L’acquisition d’IBF Ingenieure permet à Ingérop de poursuivre son implantation en Allemagne. Le groupe y possède déjà 10 implantations situées à Berlin, Munich, Nuremberg et Stuttgart notamment. Le spécialiste français réalise aujourd’hui un chiffre d’affaires annuel supérieur à 30 M€ outre-Rhin. Au total, ce sont 300 personnes qui travaillent pour le groupe en Allemagne. Avec les 150 ingénieurs et techniciens français, ils pourront créer une véritable synergie. Dans le monde, près de 650 personnes collaborent avec Ingérop, qui n’en a pas fini de se développer à l’international.
Il y a 2 ans et 188 jours

HeildelbergCement devient Heidelberg Materials

De gauche à droite, Jon Morrish, membre du directoire et responsable du développement de la marque, et Dominik von Achten, président du directoire de Heidelberg Materials. Derrière eux, la nouvelle identité de marque. [©Heidelberg Materials] HeidelbergCement n’est plus. Vive Heidelberg Materials ! Telle est la nouvelle identité de marque de la vénérable maison allemande fondée en 1873. Et aujourd’hui 2e producteur mondial de ciment, avec une capacité de 200 Mt/an, derrière le Suisse Holcim et ses 340 Mt/an… « Nous sommes fiers de notre activité ciment, mais la gamme de services de l’entreprise va bien au-delà du ciment. Aujourd’hui et encore plus à l’avenir, souligne Dominik von Achten, président du conseil d’administration d’Heidelberg Materials. Dans la nouvelle identité, “Heidelberg” constitue le synonyme de continuité et de position forte sur le marché. “Materials”, lui, remplace l’historique “Cement”, pour mieux représenter le portefeuille innovant de matériaux de construction durables et intelligents, mais aussi de solutions digitales. La marque ne renie donc pas son passé, mais s’adapte aux tendances actuelles… Un ciment décarboné à grande échelle dès 2024 « Notre futur est durable. Notre futur est numérique, poursuit Dominik von Achten. Les demandes des clients, les marchés et la concurrence évoluent très vite. Les opportunités et les défis dépassent les frontières nationales. La communication devient mondialisée. Des opportunités de différenciation se présentent. Dans ce contexte, nous serons la première entreprise au monde à proposer du ciment décarboné à grande échelle dès 2024. Nous poursuivons la montée en puissance de nos activités CCUS1. D’ici 2030, nous réduirons nos émissions de CO2 de 10 Mt avec les projets que nous avons déjà lancés. » Avec sa nouvelle marque mondiale, Heidelberg Materials donne un visage et un ancrage à sa transformation. Elle continue à conduire le changement dans son industrie vers la durabilité et la digitalisation. Ceci, pour le bénéfice de ses clients, de ses collaborateurs, de ses actionnaires et de la société dans laquelle chacun vit. 50 % du chiffre d’affaires liés à la neutralité carbone En premier lieu, le changement d’identité a commencé au niveau du groupe, où Heidelberg Materials a été immédiatement adopté en tant que marque unique. A partir de 2023, ce sera au tour des filiales nationales et internationales, qui prendront peu à peu le nom de Heidelberg Materials. « Nous voulons offrir à nos clients une valeur durable. C’est notre rôle de pionnier sur la voie de la neutralité carbone et de l’économie circulaire dans l’industrie des matériaux de construction, souligneJon Morrish, membre du directoire et responsable du développement de la marque Heidelberg Materials. D’ici 2030, nous visons à générer la moitié de notre chiffre d’affaires avec des produits à faible émission de carbone. Heidelberg Materials est une marque puissante qui représente nos standards mondiaux de qualité et de durabilité. Cette marque combine les forces des pays dans lesquels nous sommes présents avec celles de l’ensemble du groupe. » En France, Heidelberg Materials est la maison-mère de Ciments Calcia, de GSM, de Socli, de Tratel et d’Unibéton. Un logo plein de symboles… Le nouveau logo qui accompagne la marque “Heidelberg Materials” allie rationalité et émotion. Il fédère les valeurs traditionnelles et les métiers d’avenir du groupe. Deux éléments, réunis sous une forme organique, représentent le “h” initial de la marque. Le plus grand symbolise un élément de construction et donc les atouts techniques de Heidelberg Materials. Le plus petit suggère les développements futurs du groupe. Ainsi, la nouvelle marque reflète l’ambition d’ouverture au changement, tout en restant accessible et authentique. Dans le même temps, elle rappelle que Heidelberg Materials est un pilier fondamental de l’industrie mondiale des matériaux de construction. Et ce, avec un objectif concret : devenir la première entreprise Net Zéro du secteur ! 1Carbon Capture, Utilization and Storage, soit Capture et séquestration du CO2 et son utilisation.
Il y a 2 ans et 189 jours

Le cahier des solutions

Bati Média & Planète Bâtiment présentent : Le Cahier des Solutions. Weber / Gamme Tradical et béton de chanvreUne offre enrichie Depuis le 1er mai 2022, suite à un accord signé avec le groupe belge Lhoist, Weber commercialise, en exclusivité sur le territoire français, les produits Tradical à base de chaux aérienne. Entre ces produits qui viennent enrichir la gamme Georges Weber et l’offre « bétons de chanvre » que le fabricant entend développer, ce dernier assoit davantage son expertise en restauration patrimoniale. Mélange de chanvre, de chaux et d’eau, le béton de chanvre, biosourcé, présente des propriétés isolantes et peut être utilisé en neuf comme en rénovation, y compris en préfabrication. Matériau de remplissage, il s’utilise notamment dans les systèmes constructifs poteaux-poutres, qu’ils soient en bois ou en béton. L’occasion pour Weber de se positionner sur l’enveloppe avec une solution durable et légère ! Avec le couple Tradical Thermo + Chanvribat, conforme aux règles professionnelles, il ajoute à sa gamme une solution béton de chanvre de hautes performances (temps de prise, lambda, etc.) reposant sur une formule brevetée. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Weber Photo : Isonat Isonat /DuoprotectIsolant rigide en fibres de bois Sous forme de panneau rigide, l’isolant Duoprotect est composé de fibres de bois issues de plaquettes des scieries du massif forestier du Beaujolais, situées à proximité immédiate des usines de production. Biosourcé, le produit présente la résistance mécanique la plus élevée de la gamme rigide d’Isonat, tout en offrant des performances thermiques intéressantes. Pour exemple, sa conductivité thermique est de 0,046 W/(m.K). En outre, il assure une bonne isolation acoustique, notamment aux impacts de pluie, ce qui le rend pertinent en isolation de toitures inclinées par l’extérieur. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Schöck / Rupteurs Rutherma Impact carbone minimum, performances maximum Assurant les liaisons structurelles dalle/façade, dalle/balcon, dalle/loggia, dalle/éléments saillants de l’enveloppe et refend/façade, les rupteurs Rutherma, types DFi, DFi/ VM, Ki, DB, D et RF, développés par Schöck sont désormais couverts par une nouvelle Fiche de déclaration  environnementale et sanitaire (FDES), valide jusqu’en avril 2027. Une pole position pour cette gamme qui affiche le meilleur impact carbone du marché des rupteurs de ponts thermiques linéiques, avec une valeur de 12,2 kg.eq.CO2/UF. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Forbo Flooring Systems Photo : Schöck Rutherma DFI Forbo Flooring Systems / Marmoleum MarbledEloge de l’écoconception Dès son élaboration, la collection de revêtements de sol Marmoleum Marbled de Forbo est, comme tous ceux de la famille Marmoleum, un hymne à la nature. Elle se compose, en effet, de matières premières naturelles, renouvelables pour la plupart – huile de lin, résine de pin, farine de bois (certifiée PEFC et issue de forêts gérées durablement), pigments et charges  minérales –, sur un support en toile de jute. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com VisionAIR / Ciment CalciaDes ciments moins carbonés Grâce à des formulations variant la proportion de clinker et d’ajouts, Ciments Calcia propose VisionAIR, une gamme de ciments à l’empreinte carbone moindre (jusqu’à – 40 % de CO2). Des solutions moins carbonées pour une performance optimale des produits mis en œuvre, garantissant ainsi qualité et pérennité des ouvrages. À disposition, quatre produits livrés en sacs : Baticia, un ciment pour béton destiné à tous les usages du bâtiment ; Forcia, un ciment pour béton adapté aux milieux agressifs ; Flexia, un ciment pour mortier de montage avec air entraîné ; Poncia, un mortier de montage à base de pierre ponce pour blocs béton et briques, qui permet de supprimer la quasi-totalité des ponts thermiques. Autres choix durables du fabricant, des sacs en papier kraft sans traitement de blanchiment, des encres à l’eau avec des pigments de grade alimentaire et des colles à base d’amidon. En outre, VisionAIR décline des solutions dédiées aux applications BPE de type fondation, voile, plancher, et Préfa pour les bétons précontraints avec démoulage immédiat ou différé. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Calcia Photo : Hörmann Hörmann et Tubauto Engagement environnemental Leader européen dans la fabrication des portes, blocs-portes, huisseries et motorisations pour l’industrie, le tertiaire et l’habitat, le groupe Hörmann s’est engagé, depuis des années, dans la sauvegarde du climat et de l’environnement. À l’heure de la RE 2020 et de la réduction des émissions de carbone, il est déjà opérationnel avec des solutions neutres en carbone sur ses portes d’intérieur et dans son offre promotionnelle Europa Promotion. L’usine de production Tubauto, propriété du groupe allemand depuis 1991, lui emboîte le pas, opérant elle aussi sa transition environnementale. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com   Knauf Lightboard Horizon 4Plaque de plâtre allégée… comme son empreinte carbone Knauf innove avec Knauf Lightboard Horizon 4, première plaque de plâtre à quatre bords amincis pour plafonds, plus légère et plus facile à poser qu’une plaque standard. La formulation de son cœur de gypse permet, en effet, un gain de poids de près de 25 % – de quoi faciliter les chantiers au quotidien. Cette solution, unique sur le marché français (sous Atex du CSTB), est adaptée à la réalisation d’ouvrages de plafonds et rampants intérieurs, dans tous types de bâtiments (hors locaux humides). Autre argument fort, son empreinte environnementale allégée, qui séduira à coup sûr les maîtres d’ouvrages et maîtres d’œuvre. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Knauf Photo : Seigneurerie Seigneurerie/PhylopurPeinture biosourcée Composée d’alkyde d’origine végétale en phase aqueuse à 97 %, cette peinture biosourcée permet de répondre à tous les chantiers engagés dans une démarche environnementale. Dénommée Phylopur, elle propose aux professionnels des performances d’esthétique et d’application en positionnement haut de gamme. Déclinée en impression et finition mate et soie, elle est blanche de base et peut se teinter dans toutes les teintes pastel. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Viessmann / Vitodens SEChaudière auto-adaptative gaz à condensation Dévolue aux ménages modestes et d’une qualité éprouvée, la nouvelle chaudière auto-adaptative gaz à condensation Vitodens SE, signée Viessmann, garantit un haut confort en chauffage comme en production d’eau chaude sanitaire. Adaptée aussi bien à la construction neuve qu’à la rénovation, cette chaudière, avec échangeur de chaleur instantané intégré, est dotée d’une étiquette énergétique A. Elle couvre une plage de puissances allant de 3,2 à 25/29 kW (double service, chauffage et production d’eau chaude sanitaire à micro-accumulation : 15,4 l/min selon EN 13203). Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Viessmann Photo : Alkern Alkern et RE2020 Cap sur la performance environnementale L’engagement d’Alkern pour améliorer l’impact carbone de ses solutions constructives reste une priorité. Ainsi en 2020, 2 millions d’euros ont été investis sur les sites d’Izeaux (38) et de Mouy (77) : d’une part dans une rectifieuse pour la fabrication de blocs à joints minces, d’autre part dans une ligne de fabrication de blocs intégrant la mousse 100 % minérale Airium, soit des blocs 100 % recyclables, sans étape de tri. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Veka / Veka RecycleEn avance sur le recyclage L’innovation passe par l’environnement et, en la matière, Veka anticipe régulièrement les réglementations. Pour preuve, le groupe affiche aujourd’hui une moyenne de 26 % de matière recyclée utilisée dans ses profilés, un pourcentage à comparer à la moyenne nationale située à 8 %, ou encore aux objectifs de la profession fixés à 20 % à l’horizon 2025. En 2022, l’industriel va encore plus loin avec la solution Veka REcycle. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Veka Photo : Kemica Coatings Kemica Coatings / Souplethane 5Résine d’étanchéité biosourcée Cette PME française développe des résines d’étanchéité et de revêtements de sols biosourcées et innovantes, destinées aux secteurs de la construction et du génie civil. Ainsi sa gamme de résines vertes et durables Souplethane 5, qui couvre une quinzaine d’applications dans le secteur du bâtiment et bénéficie des qualifications du CSTB. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Xella Ytong / Compact 20Construire malin avec le béton cellulaire Dédié à la construction de maisons individuelles, qu’elles soient de plain-pied ou à étages, le bloc Ytong Compact 20 permet d’alléger l’isolation du bâti en parois verticales, voire de plancher bas, et de gagner en Shab par rapport à d’autres matériaux de construction. Il se positionne donc comme la solution la plus économique, tout en respectant les différents indicateurs de la RE 2020. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Xella Ytong Photo : Onduline Onduline FlexoutuileUn matériau fiable et respectueux de l’environnement Les plaques de sous-toiture Onduline Flexoutuile contiennent environ 50 % de matières premières recyclées. En outre, leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l’environnement. Sans oublier les émissions de CO2 réduites grâce au poids allégé des matériaux, ce qui limite l’impact du transport. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Saint-Gobain Glass Première gamme de verre bas carbone C’est une étape essentielle pour la construction durable que Saint-Gobain Glass franchit avec cette gamme de verres présentant la plus faible empreinte carbone du marché. Une première dans l’industrie, obtenue grâce à une production qui associe un contenu élevé en verre recyclé (environ 70 % de calcin), l’utilisation d’énergie renouvelable ainsi qu’un effort important en recherche et développement. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com   Photo : Saint-Gobain Glass Photo : Cem’In’Eu Cem’In’EuCiment bas carbone Cem’In’Eu investit pour produire un ciment à base de pouzzolane, une matière première naturelle extraite localement. Son utilisation permet de réduire fortement le pourcentage de clinker et représente donc un effet de levier considérable pour la baisse de l’empreinte carbone globale des ciments produits, en vrac comme en sac. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Sika / Sikadur -31+Adhésif structural « Développement Durable » Dernier arrivé dans la gamme des solutions « Développement Durable » développée par le spécialiste de la chimie de la construction, l’adhésif structural Sikadur -31+ offre de meilleures performances, tout en affichant une technologie et un mode d’application plus vertueux. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Sika Photo : Milliken Milliken & Company / Revêtement de solsEn route vers la neutralité carbone « Notre programme M/PACT prouve que les revêtements de sol peuvent satisfaire les attentes de design et de performance, tout en tenant compte des enjeux environnementaux », souligne Jim McCallum, vice-président exécutif de Milliken & Company. Plus concrètement, les matériaux non essentiels sont éliminés des produits, tandis que ceux issus du recyclage sont privilégiés. Privilégiés également, l’approvisionnement régional et la production locale, afin de limiter l’impact du transport. De même, l’industriel s’efforce de réduire sa dépendance au pétrole. Les revêtements de sol présentent une traçabilité intégrale des produits. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Solar-Paint / SolarcoatLa peinture de toit qui rafraîchit PME toulousaine, Solar-Paint a mis au point, en partenariat avec son fournisseur ariégeois Maestria, la solution Solarcoat, une peinture à l’eau qui intègre des ingrédients naturels et des matières recyclées, telle la brisure de verre. Simple, peu coûteuse et durable, cette peinture de toit blanche présente un taux de réflexion solaire supérieur à 92 %, ce qui permet d’abaisser de 5 °C en moyenne la température intérieure des bâtiments. Et donc de limiter le recours à la climatisation en période estivale. À la clé, des économies d’énergie ainsi qu’une amélioration du confort et du bien-être des occupants. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Solar-Paint Photo : Kompozite Deep Tech / KompozitePlateforme d’aide à la conception bas carbone Destinée aux architectes, bureaux d’études, constructeurs et maîtrises d’ouvrage, la plateforme Kompozite, développée par la startup Deep Tech, leur permet de prendre rapidement et efficacement des décisions complexes en termes de construction durable. La solution applique au secteur du BTP, des techniques de design génératif, bien connues dans les secteurs de l’aéronautique ou de l’automobile. Plus clairement, le logiciel compile les données pour générer des solutions constructives optimisées en fonction des contraintes spécifiques de chaque projet, que ce soit en construction neuve ou en rénovation thermique. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Immoblade / Vitrages de protection solaireEconomies d’énergie toute l’année Réduire l’empreinte carbone des bâtiments en diminuant leurs consommations d’énergie liées à la climatisation et au chauffage. Telle est l’ambition d’Immoblade, qui conçoit, fabrique et commercialise des vitrages de protection solaire uniques sur le marché. Efficaces toute l’année, ces derniers ne nécessitent aucune maintenance. Leur dimension innovante réside également dans leur capacité à laisser passer les apports solaires en hiver et à les bloquer l’été. Et ce, sans nuire à la visibilité des occupants ni à l’aspect architectural des bâtiments. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Immoblade Photo : Rector Rector / Box Rupteurs EquatioUne gamme réduite mais performante Dans le cadre de sa démarche RSE, Rector, fabricant d’éléments en béton précontraint et béton armé, a ajusté le contenu de ses Box, afin de réduire les pertes et déchets sur les chantiers. À disposition : Box vide sanitaire, Box étage & toit terrasse et Box sous-sol & toit-terrasse. De même, les cartons utilisés sont recyclés et recyclables. Moins de références à stocker, un design revu, un code couleur pour une meilleure lisibilité sur le parc de stockage : le fabricant a également pensé à ses clients distributeurs. Complète, compacte et pratique, la nouvelle gamme de Box de rupteurs Equatio illustre sa volonté de proposer aux professionnels de la construction des solutions adaptées à leurs besoins. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Knauf Ceiling Solutions / Plafonds AdagioPerformance acoustique et graphique Réflexion de la lumière, confort acoustique, durabilité et flexibilité de design… La nouvelle gamme minérale de plafonds acoustiques Adagio, de Knauf Ceiling Solutions, répond aux plus hautes exigences. Certifiée Cradle to Cradle Silver et Gold pour la qualité de l’air, la gamme se décline en quatre solutions : Adagio Acoustic+, Adagio Alpha+, Adagio Db+ et Adagio HD+ (disponibles en 19, 30 et 35 mm). Chacune peut se poser seule ou être combinée selon les effets recherchés, soit un large éventail de performances acoustiques selon les besoins de l’espace. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Knauf Ceiling Solutions Photo : LG LG / ERV résidentielleConfort intérieur et économies d’énergie Complète, la nouvelle solution de ventilation (ERV) résidentielle est équipée d’une filtration en plusieurs étapes, pour un air purifié et un environnement agréable. Elle est, en outre, compatible avec l’application LG ThinQ™. L’expérience utilisateur s’avère confortable, avec une surveillance en temps réel des niveaux de poussières fines et de dioxyde de carbone, ainsi qu’une commande à distance intuitive. Grâce à l’échangeur de chaleur de LG, cette solution garantit une circulation de l’air efficace, tout en réduisant de manière significative le gaspillage énergétique. En effet, elle permet de récupérer jusqu’à 85 % de l’énergie du chauffage en hiver et 83 % de l’énergie du refroidissement en été. Soit une consommation minime en fonctionnement, ce qui réduit d’autant les factures d’électricité de l’utilisateur, tout en gardant un environnement de vie plaisant. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com  Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Le cahier des solutions est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 189 jours

Ingérop acquiert l'allemand IBF Ingenieure

Spécialisée dans les équipements techniques des bâtiments,  IBF Ingenieure est basée à Munich et opère principalement dans l’Etat de...-Ingénierie
Il y a 2 ans et 189 jours

L'Allemagne va à son tour sortir du Traité de la Charte de l'Energie

"Nous orientons de manière conséquente notre politique commerciale sur la protection du climat et en conséquence, nous nous retirons du Traité sur la Charte de l'Energie", indique la secrétaire d'Etat au ministère de l'Economie et de la Protection du climat, Franziska Brantner, dans un communiqué."C'est un signe important envoyé à la conférence des Nations unies sur le climat", la COP 27 réunie actuellement à Charm el-Cheikh (Egypte), ajoute-t-elle.Les groupes parlementaires des partis membres de la coalition au pouvoir, les sociaux-démocrates, les Verts et les Libéraux, ont donné vendredi leur feu vert à cette sortie, proposée par le gouvernement.Ils ont dans le même temps donné leur accord à la ratification de l'accord commercial CETA avec le Canada.Le Traité sur la charte de l'énergie (TCE) a été signé en 1994, au sortir de la Guerre froide, pour offrir des garanties aux investisseurs dans les pays d'Europe de l'Est et de l'ex-URSS.Réunissant l'UE et une cinquantaine de pays, il permet à des entreprises de réclamer, devant un tribunal d'arbitrage privé, des dédommagements à un Etat dont les décisions et l'environnement réglementaire affectent la rentabilité de leurs investissements –même lorsqu'il s'agit de politiques pro-climat.Cas emblématique: après l'adoption d'une loi néerlandaise bannissant le charbon d'ici 2030, l'énergéticien allemand RWE réclame 1,4 milliard d'euros à La Haye pour compenser ses pertes sur une centrale thermique.En septembre, l'Italie a été condamnée à verser une compensation de 180 millions d'euros à la compagnie pétrolière britannique Rockhopper, pour lui avoir refusé un permis de forage offshore. Des poursuites ont également été entamées contre la France par l'entreprise allemande Encavis AG à la suite de la modification des tarifs de rachat de l'électricité photovoltaïque en 2020. Plusieurs pays, - l'Espagne, les Pays Bas et la France - ont annoncé récemment leur sortie du Traité.
Il y a 2 ans et 195 jours

Hausse d’installations de panneaux solaires en autoconsommation pour les particuliers

L’inflation des prix de l’énergie pousse les particuliers à se doter de panneaux solaires. Avec 207 000 autoconsommateurs, la France accuse malgré tout toujours un lourd retard, loin des 1,6 millions de foyers allemands équipés par exemple.
Il y a 2 ans et 196 jours

Mano Mano Pro s'attaque au marché allemand

INTERNATIONAL. Déjà présente dans 4 pays, la branche professionnelle de la marketplace d'articles de bricolage et de jardinage, Mano Mano Pro, poursuit son développement et s'implante en Allemagne.
Il y a 2 ans et 196 jours

Indisponibilités nucléaires : EDF prié de débrider barrages et éoliennes

Dans un courrier au PDG d'EDF daté de vendredi, la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher lui demande "de tout mettre en œuvre pour dégager de nouvelles marges de manœuvre pour le passage de l'hiver", ce qui "passe, notamment, par la maximisation de la production renouvelable de l'entreprise". Cela signifie augmenter "de manière anticipée la puissance des concessions hydroélectriques", écrit-elle.Le recours accru aux barrages était jusqu'ici limité notamment par l'existence d'une redevance s'appliquant aux exploitants en cas d'augmentation de puissance. Mais cette taxe doit disparaître à la faveur de la nouvelle loi de finances.C'est aussi "la maximisation de la production renouvelable d'origine éolienne, qui nécessite pour EDF une expertise site par site des possibilités de débridage, en lien avec les services déconcentrés de l'Etat, qui ont la consigne d'instruire les éventuelles demandes de manière prioritaire", ajoute la lettre adressée à Jean-Bernard Lévy.Cette demande concerne, outre EDF, tous les exploitants, a-t-on précisé au ministère.Le bridage des éoliennes est paramétré à l'avance, selon leur exposition, les seuils de vent... afin aussi de limiter certains impacts, sonores notamment. Le débridage et ses modalités seront décidés site par site, chaque parc ayant ses caractéristiques.L'effort "passe enfin par l'accélération des projets renouvelables en cours de construction portés par EDF", ajoute la ministre, en invitant à lui "signaler toutes les difficultés éventuelles dans ces projets".Pour EDF, cette lettre "s'inscrit dans une continuité d'échanges" avec le gouvernement en vue de l'hiver, et la question de l'augmentation de la production renouvelable "était déjà en cours d'instruction", sans que l'on puisse encore à ce stade évaluer le volume d'électricité supplémentaire espéré là."On va apporter une réponse dans les meilleurs délais", ajoute le groupe.A ce jour, 26 réacteurs nucléaires sont à l'arrêt, pour maintenance mais aussi problèmes de corrosion, sur un parc de 56.L'électricien national a annoncé jeudi un nouveau report de la date de reconnexion de quatre d'entre eux, et revu à la baisse son estimation de production nucléaire pour 2022, dans un contexte d'approvisionnement électrique et gazier déjà tendu.Sur le front des renouvelables, le gouvernement compte aussi sur l'entrée en service complet du tout premier parc éolien offshore de France, face à Saint-Nazaire.En outre, "les travaux portant sur la fiabilisation de notre capacité d'importation d'électricité, notamment d'Allemagne, devraient trouver une issue favorable très prochainement", ajoute Mme Pannier-Runacher dans sa lettre.Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz s'étaient accordés début septembre pour que la France livre davantage de gaz à l'Allemagne, celle-ci pouvant en retour fournir, si besoin, de l'électricité à son voisin.
Il y a 2 ans et 201 jours

Prix Bauwelt 2023 : Premiers Projets

Chaque année, le magazine d’architecture allemand Bauwelt récompense des premières réalisations, réparties dans 6 catégories : ...More about Cet article Prix Bauwelt 2023 : Premiers Projets est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 202 jours

Enthousiasmante Bauma

Bauma a réuni quelque 3 200 exposants. Comme à son habitude, le stand Liebherr était le plus grand de la foire munichoise. [©ACPresse] Comme à chaque édition, les chiffres restent vertigineux, même s’ils restent en retrait pour cette année. Ainsi, Bauma 2022 a réuni un total de 3 200 exposants originaires de 60 pays… Ceux-ci étaient 3 684 en 2019 ! La part des exposants internationaux a presque dépassé les 65 %. Par ordre d’importance, les dix premiers pays exposants étaient : l’Allemagne, l’Italie, la Turquie, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, la France, les Etats-Unis, l’Autriche, l’Espagne et la Chine. Côté visitorat, plus de 495 000 personnes de plus de 200 pays ont fait le déplacement pour ce rendez-vous décalé de six mois par rapport aux dates initiales. Toutefois, elles étaient 627 603 en 2019. La proportion de visiteurs internationaux était d’environ 50 %. « Cette Bauma a de nouveau attisé l’enthousiasme et la fascination ! Nous sommes ravis que ce salon reste un moteur de l’industrie des équipements de construction. Ceci, grâce à la grande variété d’innovations, aux bonnes affaires et aux nombreux visiteurs de tous horizons », se réjouit Stefan Rummel, président de Messe München. Déjà impatient de se revoir Les grands exposants partagent cet enthousiasme. A l’image de Domenic Ruccolo, directeur de la stratégie de Wirtgen Group et vice-président commercial et marketing de la division Global Construction Equipment de John Deere : « Notre participation au salon Bauma a été la plus réussie de l’histoire de Wirtgen Group. Tout en étant l’occasion d’une première apparition commune avec notre maison-mère John Deere. » Quant à Steffen Günther, membre du conseil d’administration de Liebherr, il estime que : « Bauma s’est avérée être un salon très réussi pour nous. Nous avons généré beaucoup d’enthousiasme parmi un large public. Les échanges ont été exceptionnels. Nous attendons déjà avec impatience la prochaine édition. » En termes de transactions commerciales, Bauma a démontré une fois de plus qu’il était une plate-forme incontournable pour l’industrie de la construction. Comme le souligne Alexander Greschner, directeur des ventes de Wacker Neuson : « Les visiteurs ont afflué sur notre stand. Dès le premier jour, nous avons atteint un succès commercial d’un niveau similaire à celui de 2019… » Affaires conclues chez Peri Et Alexander Schwörer, propriétaire de Peri, de renchérir : « Toute l’équipe était très impatiente de voir comment le salon allait se développer en ces temps difficiles. Mais très vite, il était clair que cette Bauma serait un succès complet. Point important : la qualité des échanges que nous avons eus ont été exceptionnels à tous égards. Nous avons même signé un certain nombre de contrats directement sur le salon. En bref, Bauma 2022 a plus que dépassé nos attentes ». Des affirmations que Stefan Rummel et Reinhard Pfeiffer, co-présidents de Messe München, confirment largement : « En ces temps difficiles, Bauma a envoyé un signal fort au secteur des salons. Les industries ont besoin de tels événements où tout le monde peut découvrir directement les produits et avoir des échanges personnels ». Rendez-vous en avril 2025 Enfin, Bauma ne s’est pas contentée de montrer sa force en tant que plate-forme commerciale. Le salon a aussi ouvert la voie aux solutions de demain. « Les exposants proposaient des solutions pour relever les défis actuels liés à la neutralité en CO2, à l’automatisation et à la numérisation. C’est l’avenir, détaille Joachim Schmid, Dg de VDMA, l’association des machines et des matériaux de construction de la Fédération allemande des ingénieurs. On l’a vu avec les entreprises traditionnelles. Mais surtout avec la présence de près de 50 start-up, pour la première fois exposantes sur Bauma ». Tels les Montpelliérains de SoPump, ravis d’avoir été retenus par les organisateurs… Et Andreas Klauser, Pdg de Palfinger, de conclure : « En tant que premier salon mondial dans son domaine, Bauma donne aux exposants et aux visiteurs l’occasion de découvrir l’avenir dès aujourd’hui ! » Rendez-vous dans trois ans, du 7 au 13 avril 2025, pour la prochaine édition de Bauma.
Il y a 2 ans et 203 jours

Baromètre Transactions Immobilières 2022 : une situation qui se complique en Europe

Les transactions deviennent plus complexes, plus chronophages et plus coûteusesL'étude montre qu’entre l'appel d'offres et la clôture, la durée des transactions d’entreprises a considérablement augmenté. Alors qu'en 2019, le délai entre l'ouverture d'une dataroom de transaction et la clôture de la transaction ne dépassait pas 165 jours, il a atteint 258 jours au premier semestre 2022, soit une hausse de 58 %. Plus frappant encore, la durée des transactions a progressé de manière exponentielle de 33 % entre 2019 et 2020.Pour Alexandre Grellier, PDG et cofondateur de Drooms : « L'augmentation du temps exigé par les transactions immobilières est donc clairement démontrée. Cette situation est en partie due aux délais accumulés pendant la pandémie de coronavirus et causés par le climat économique. À cela nous devons ajouter la multiplication des réglementations, par exemple dans le domaine ESG, qui prolonge les procédures. Simultanément, l'activité transactionnelle a fortement chuté depuis le début de la pandémie. Néanmoins, notre étude indique que le marché est optimiste, du moins à long terme. »Malgré l'incertitude, plus d'un tiers des professionnels du secteur prévoit d'accroître leurs investissements internationauxLe marché semble globalement optimiste, en dépit de l'incertitude générée par la hausse des taux d'intérêt, le conflit ukrainien et l'inflation. Plus d'un tiers (36%) des experts interrogés par Drooms prévoit d'étendre leurs investissements sur les marchés immobiliers internationaux. Environ 47% se préparent à investir à peu près autant que précédemment, tandis que seulement 17% réduiront leurs activités. Les entreprises allemandes semblent plus prudentes. Presque 20% des personnes interrogées prévoient de réduire leurs activités d'investissement, 23% envisagent de les développer. 58% investiront à peu près autant que l'année précédente. Au Royaume-Uni, les investisseurs ont identifié des opportunités. Dans ce pays, pas moins de 82% des participants à l'enquête ont répondu vouloir développer leurs activités internationales. En France, la majorité (64%) des professionnels de l'immobilier souhaitent également investir davantage à l'international. Les répondants espagnols semblent relativement indécis : 42% souhaitent devenir plus actifs au niveau international et 46% prévoient d'investir à peu près autant que pendant la période précédente.Pour Grellier : « En dépit des circonstances actuelles et des contraintes qu'elles exercent sur le marché des transactions, les investissements immobiliers internationaux sont à la hausse. Cela implique donc que le marché offre non seulement des possibilités d'augmenter le rendement des investissements existants, mais aussi un potentiel de diversification. La plupart des investisseurs allemands préfèrent réduire leurs investissements internationaux, mais cette tendance peut aussi être justifiée par la vigueur de leur marché national. »Plus d'un tiers des investisseurs prévoit d'investir au moins 25% de leur capital sur les marchés internationaux L'enquête a également révélé que 36% des experts immobiliers sont prêts à investir au moins un quart de leur capital sur les marchés internationaux. 16% souhaitent même investir au moins la moitié de leur capital dans ce domaine. Les investisseurs britanniques sont les plus attirés par le marché international : environ 73% des participants souhaitent investir au moins 25% de leur capital à l'étranger. En revanche, près de 70% des experts allemands interrogés ont l'intention de n'investir que 25% tout au plus sur les marchés internationaux.Les réglementations fragmentées constituent actuellement le défi principal des investissements internationaux Pour 47% des personnes interrogées, les spécificités locales et la fragmentation des réglementations sur les marchés cibles constituent les principales raisons de la réticence aux investissements immobiliers transnationaux. 28% pensent que le manque d'accès et de connaissance du marché jouent également un rôle important. Comme l'explique M. Grellier : « L'Union européenne n'est pas aussi unifiée qu'on voudrait le croire. Ses réglementations sont en réalité inscrites dans le droit national de manière différente selon les pays. Grellier précise : « Tous les acteurs du marché n'ont pas la même vision sur ce point. C'est pourquoi la transparence pendant le processus transactionnel, et tout le cycle de la documentation et des données immobilière joue un rôle déterminant pour répondre rapidement à toutes les exigences réglementaires. Ne pas répondre à ces exigences peut coûter du temps et de l'argent. Mais ces risques peuvent être considérablement réduits en choisissant des solutions numériques de gestion des documents et des transactions. »Les Américains, les Allemands et les Britanniques sont les principaux moteurs du marché immobilier européen Cette étude a conclu que les Allemands (51%), les Américains (26%) et les Britanniques (23%) sont les principaux moteurs du marché immobilier européen. En effet, les marchés européens bénéficient en général d'une position largement orientée sur l'international. Au Royaume-Uni, 30% des personnes interrogées ont déclaré que les investisseurs étrangers étaient les plus influents sur leur marché. En France, ce chiffre s'élève à 64%, tandis qu'en Allemagne, il ne dépasse pas 31%. D'après l'enquête, l'Espagne apparaît comme l'un des marchés les plus internationaux d'Europe, 73% des personnes interrogées citant les investisseurs étrangers comme étant les plus actifs sur leur marché. L'enquête a également révélé que les marchés de la région DACH (Allemagne, Autriche et Suisse) et du Royaume-Uni étaient les plus attractifs pour les investisseurs en capital, avec respectivement 52% et 26% des réponses. Toutefois, les experts reconnaissent aussi que la région CEE (Europe centrale et orientale) offre un potentiel important (21%).Demande en hausse pour la logistique et le résidentiel, les espaces professionnels en progrès imminentsSelon les professionnels de l'immobilier, les classes d'actifs logistiques et résidentiels sont les plus attractifs avec une part respective de 34% et 27%. Pour les investisseurs, ils offrent les plus grandes opportunités d'investissement, du fait de la stabilité de leur cash-flow et de leurs risques gérables. Les espaces professionnels (16%) restent attractifs, même si de nombreux employés travaillent davantage à domicile.
Il y a 2 ans et 210 jours

Restaurant Osmans Töchter à Berlin-Charlottenburg

Le restaurant Osmans Töchter à Berlin-Charlottenburg est déjà le deuxième établissement de Lale Yanik et Arzu Bulut dans la capitale allemande. Les experts en gastronomie jugent le concept du restaurant comme un « délicieux équilibre entre cuisine traditionnelle et moderne ». Des ingrédients éprouvés, mais des recettes revisitées à la sauce moderne : c'est aussi le credo de l'architecte Heike Brandt. Son bureau, studiobrandt Berlin, a réalisé le réaménagement intérieur des locaux du restaurant de la Wielandstraße.
Il y a 2 ans et 214 jours

Vinci investit dans une entreprise allemande de stations de rechargement hydrogène

MOBILITÉ. Le groupe Vinci, via Vinci Concessions, a annoncé avoir investi dans la société allemande H2 mobility, exploitant plus de 90 stations de rechargement hydrogène dans le pays.