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Résultats de recherche pour centre commercial

(872 résultats)
Il y a 3 ans et 215 jours

Ivry-sur-Seine : transformation du centre commercial Quais d’Ivry

La première étape d’une longue concertation avec les habitants a été lancée. Le début des travaux est prévu pour 2025.
Il y a 3 ans et 217 jours

Maintien à domicile, accessibilité des logements, répondre aux besoins

Aujourd’hui 20 % de la population en France est victime de handicap. Alors que 30% de la population aura plus de 60 ans en 2030, il faut répondre aux besoins en proposant du confort à ces personnes tout en gardant leur décor afin qu’elles se sentent toujours chez elles et non pas dans un centre hospitalier. Artibat 2021 / Intervenants : Philippe Paugam, Directeur commercial – ITGA / Kevin Marivin, Chargé de mission – HB Développement Interrogés par Stéphane Miget Voir les vidéos d’Artibat 2021
Il y a 3 ans et 220 jours

Nouvelle direction chez Doka France

Nouvelle direction chez Doka France avec l’arrivée de Nicolas Ensminger (à gauche), au poste de directeur général, et de Thierry Demingeon, comme directeur commercial. [©Doka] Doka France se fixe un nouveau cap, avec un changement de taille pour sa direction. A savoir, l’arrivée de Nicolas Ensminger en tant que directeur général, et de Thierry Demingeon au poste de directeur commercial. En effet, Nicolas Ensminger, qui a déjà une forte expertise dans le marché de la construction en France et aussi en Europe, s’appuie sur une carrière riche orientée dans les domaines du bâtiment et des travaux publics. Il a occupé différents postes à hautes responsabilités chez Hilti et Sto. Avant de devenir directeur général chez Knauf. « Forts de notre offre produits et services reconnus, nous aurons à cœur d’assurer notre réussite et nos succès futurs, en plaçant la satisfaction de nos clients et l’excellence de nos opérations au centre de nos efforts », insiste Nicolas Ensminger. Il est titulaire d’un diplôme d’ingénieur en génie mécanique et civil de l’Ecole centrale de Nantes et d’un MBA de HEC « Quant à Thierry Demingeon, nous avons le plaisir de le retrouver chez Doka France » , souligne le coffreur dans son CP. En effet, diplômé d’un DUT génie civil et après avoir débuté sa carrière en tant que chef de chantier, il a travaillé 16 ans chez Hilti. Jusqu’à occuper le poste de directeur régional des ventes. Il a, une première fois, intégré Doka France en 2004 en tant que directeur commercial. De 2009 à 2016, il a lancé sa propre entreprise dans l’industrie du coffrage. Puis, a décidé de rejoindre à nouveau la famille Doka en tant que directeur grands comptes. « Sa connaissance approfondie du secteur est un atout précieux pour accélérer la croissance de Doka France et affirmer son rôle de partenaire auprès des clients », conclut le communiqué.
Il y a 3 ans et 230 jours

Corbeil-Essonnes : le quartier de Montconseil bénéficiera d’un nouveau centre commercial

À Corbeil-Essonnes, le projet de construction du nouveau centre commercial du quartier de Montconseil a fait l’objet d’une première concertation publique le 23 septembre 2021.
Il y a 3 ans et 236 jours

Saint-Gobain Weber présente un porte-seaux bien pratique

Le Weber Porte-seaux est le fruit d’une collaboration entre Weber incubateur et Jean-Jacques Carbon, carreleur de son état. [©Saint-Gobain] Lors de la présentation de la politique RSE de Saint-Gobain Weber, en octobre 2020, Charlotte Famy, directrice générale, soulignait l’importance d’innover. En mettant le client au cœur du processus de création. Et de lancer un nouveau service baptisé “Weber incubateur”. Le but était d’accompagner les artisans créatifs, en les aidant à concrétiser leur idée. C’est ainsi qu’a pu voir le jour le Weber Porte-seaux de Jean-Jacques Carbon, gérant de l’entreprise F2J Carrelage, à Rennes (35). A ce titre, l’entrepreneur est devenu le premier bénéficiaire de ce nouveau service. Son constat était simple. Manipuler tous les jours jusqu’à 15 seaux de colle à carrelage de 32 kg, en étant en position à genoux, est éreintant. En particulier avec des douleurs à l’épaule. Du fait de tirer chaque seau à soi, à chaque avancement du sol carrelé. Ainsi, Jean-Jacques Carbon a imaginé un dispositif astucieux, afin de le déplacer sans efforts et pallier tout risque de TMS. « C’est un chariot qui permet de transporter les seaux de colle au ras du sol, avec un centre de gravité relativement bas,confie l’entrepreneur. Le système est léger, évolutif et facilite la vie ! » Dans le cas de Jean-Jacques Carbon, ce sont des seaux à colle qui sont déplacés. Mais le système fonctionne avec n’importe quel matériau en seau devant être régulièrement déplacé au fur et à mesure de l’avancement d’un chantier…  De la conception à la commercialisation Côté technique, le Weber Porte-seaux bénéficie d’une fabrication française. Il est réalisé en aluminium brut passivé, épais de 5 mm. Chacune des roues est en mesure de supporter une charge de 50 kg. Toutes sont indépendantes, rendant l’outil très manœuvrable sur chantier. Le plateau surbaissé avec emplacement pour le seau confère une ergonomie optimale pour toujours moins de pénibilité. Enfin, une poignée facilite sa manipulation et le rangement. Un porte-outils complète le plateau, permettant d’y déposer croisillons, taloches, peignes et autres équipements légers.  Le principe du Weber incubateur est simple : un artisan imagine une solution, en particulier pour gagner en confort de travail, mais n’a ni le temps, ni les moyens de la concrétiser. Il contacte alors Weber, via la plate-forme collaborative Weber incubateur. Cette dernière va réaliser une étude de faisabilité approfondie et accompagner l’inventeur jusqu’au dépôt de brevet. Voire même jusqu’au contrat de commercialisation. Dans le cas du Weber Porte-seaux, la distribution sera assurée en France sous la marque… Weber. 
Il y a 3 ans et 241 jours

L'abandon du projet de la Gare du Nord est un nouveau coup dur pour la filiale foncière d'Auchan

En 2018, Ceetrus avait été retenue par la SNCF pour concevoir avec elle un projet de rénovation de la gare parisienne, première d'Europe en terme de fréquentation - un chantier estimé initialement à 600 millions d'euros. Le projet devait tripler la superficie de la Gare du Nord, et multiplier par cinq les espaces de services et commerces, le tout avant les Jeux olympiques de 2024.La foncière du distributeur français Auchan, propriété de l'Association familiale Mulliez, est alors au coeur d'une polémique au sujet d'un autre contrat juteux: celui de la construction du gigantesque complexe de commerces et de loisirs Europacity à Gonesse, dans le Val d'Oise, entre les aéroports du Bourget et de Roissy-Charles de Gaulle.Le ministre de la Transition écologique de l'époque, Nicolas Hulot, et des élus locaux dénoncent notamment l'artificialisation de sols agricoles qu'entraînerait le projet piloté par Ceetrus et le conglomérat chinois Wanda.Fin 2019, tout se complique encore pour la société immobilière, lorsque Emmanuel Macron annonce l'abandon pur et simple d'Europacity. Le contrat estimé à 3 milliards d'euros est annulé et Ceetrus ne peut qu'engager une procédure pour se faire indemniser.Au même moment, du côté de la Gare du Nord, la mairie de Paris - qui avait soutenu au départ le projet - change de position et critique un projet trop commercial et pas assez tourné vers les voyageurs.La polémique s'enlise tout au long de l'année suivante, la mairie accusant Ceetrus de ne pas être en mesure de respecter les délais, et le gouvernement de chercher à "passer en force".Un accord est trouvé en novembre, mais Ceetrus et la SNCF doivent se résoudre à réduire la taille du projet, qui est aussi retardé après les Jeux olympiques. Pour finalement l'abandonner cette semaine.Nouvel échecAprès ces difficultés, l'annonce mardi de la SNCF a donc un air de déjà-vu pour Ceetrus, qui ne digère pas une décision "unilatérale"."Je suis sous le choc. Ce qu'on souhaite, c'est rétablir les vérités", dit à l'AFP le président du conseil d'administration, Antoine Grolin, qui affirme que la SNCF a toujours été au courant de l'avancée du projet. Il insiste: "on compte se faire respecter".Début 2021, le groupe Auchan avait pourtant tenté de tourner la page Europacity, en remodelant son activité immobilière. Il avait ainsi créé Nhood, une nouvelle structure chargée de la réalisation de projets immobiliers, séparée de Ceetrus, propriétaire des principaux actifs d'Auchan.Nhood promettait notamment de "s'enrichir du local pour écouter les habitants", et des investissements à hauteur d'un milliard d'euros sur trois ans étaient prévus.Nhood et la foncière Ceetrus ont ensuite été rassemblés dans une nouvelle société: New Immo Holding. Mais la pandémie a, comme dans tout le secteur, fait chuter les revenus.New Immo Holding continue néanmoins de porter des projets en France et à l'étranger, notamment au Portugal et en Italie. Pour 2021, elle prévoit une enveloppe de 350 millions d'euros d'investissements.À défaut de pouvoir poursuivre son projet pour la Gare du Nord, la société maintient le 29 septembre l'inauguration d'un autre de ses grands chantiers: la transformation du quartier de la Gare de Vigo, dans l'est de l'Espagne. Un projet de 121.500 m2, qui intègre un centre commercial de 43.000 m2... autour d'un hypermarché Auchan.
Il y a 3 ans et 242 jours

Fischer France fête 60 ans d’innovations sur le marché de la fixation

Créée en 1961 et basée à Strasbourg, fischer France est la 3ème filiale du groupe fischer. Avec près de 100 salariés et un chiffre d’affaires de 49,3 millions d’euros, l’entreprise n’a cessé depuis plus de 6 décennies de bousculer le marché français de la fixation avec de nombreuses innovations. Aujourd’hui, les produits fischer sont plébiscités aussi bien par les professionnels que les bricoleurs. Le savoir-faire, l’étendue des gammes et des services proposés, les technologies de pointe utilisées et les techniques de fixations d’avant-garde développées pour le domaine du bâtiment et de l’industrie ont permis à fischer de se forger une solide réputation de spécialiste des techniques de fixation. L’entreprise participe ainsi régulièrement à la construction de grands ouvrages : la Grande Arche à Paris, la Tour 2BA et Mozart à Paris, les tunnels du Mont Blanc, de la Défense, de la Croix Rousse, du Puymorens, BPNL, le projet Grand Paris Express…Jean-Marc Berg, Président de fischer France depuis 2018, après plus de 12 ans passés au sein de la société aux postes de Directeur Technique Marketing, Directeur de la division Systèmes dédiés, Directeur Général Adjoint et Directeur Général, a à cœur de poursuivre la digitalisation des solutions techniques, de développer les offres produits et services connexes, tout en privilégiant l’investissement dans la R&D et les innovations.fischer France : une expertise reconnueCréateur de solutions, fischer France est devenu au fil des décennies un acteur moteur sur le marché de la construction. Bénéficiant de l’expertise et de la puissance d’un groupe international (avec 50 filiales et une distribution mondiale des produits), l’entreprise sert en France plus de 11000 clients.Avec plus de 14000 références, fischer permet de répondre aux particuliers comme aux professionnels des différents corps de métier. De la fixation (acier, nylon, chimique, supportage, isolation), la chimie du bâtiment (mousse, mastic, silicone, colle), la visserie, les forets, la protection incendie aux accessoires de terrasse, fischer couvre l’ensemble des besoins en termes de solutions de fixations pour différents domaines d’applications et dans tous les matériaux de construction. L’entreprise, qui développe et fabrique elle-même ses produits, a su, grâce à son savoir-faire et sa capacité d’innovation, imposer de nouvelles références en matière de solutions de fixations. La 1ère cheville à expansion en 1956, le 1er scellement chimique par injection mis sur le marché en 1975, le 1er ancrage à verrouillage de forme en 1978, la nouvelle génération de chevilles en nylon SX en 2000 ou encore la première cheville nylon bi-matière DUOPOWER en 2016 sont autant de solutions qui ont marqué le marché de la fixation.Parmi les nouveautés fischer de ces dernières années : Le Ciment Express. Unique sur le marché, astucieux et économique, le Ciment Express de fischer est une pâte de réparation présentée sous forme de cartouche. Prête à l’emploi, elle offre un véritable gain de temps aux utilisateurs et limite les gaspillages liés au surplus de fabrication de ciment. De haute qualité, le Ciment Express s’utilise en rénovation, sur de nombreux matériaux de construction tels que le béton, la brique, le parpaing, la tuile, la pierre…, et pour différentes applications en intérieur comme en extérieur : jointoiement de carrelage, de parpaings…, bouchage de fissures sur des maçonneries, du béton, des briques…, fixation de tuiles, réparation de bords détériorés sur de la pierre... Il garantit une excellente adhérence sur tous les matériaux de construction. Après séchage, il est parfaitement étanche à la pluie et résiste aux intempéries, et ce, quelques heures seulement après son application.La gamme de fixation DuoLine. Véritable innovation technologique, cette gamme regroupe toutes les meilleures caractéristiques techniques. Fabriquées à partir d’une combinaison de 2 matières, les chevilles DUOPOWER, DUOTEC et DUOBLADE aux couleurs rouges et grises assurent un ancrage optimal et parfaitement sûr. Les principes de fonctionnement fréquemment éprouvés, associés à la combinaison de 2 matières, permettent d’élargir le champ d’applications avec une capacité de charges nettement supérieure à celles des chevilles nylon traditionnelles et une plus grande sécurité.uoPower : Cette cheville nylon multi-matériaux s’adapte elle-même au matériau de construction dans lequel elle va s’ancrer. Elle s’expanse, se déploie ou forme un nœud en fonction du support, que ce soit un matériau plein, creux ou en plaque afin d’obtenir la meilleure adhérence et des valeurs de charges supérieures aux chevilles nylon classiques. Elle garantit une fixation parfaitement sûre, solide et durable. Elle s’introduit facilement dans le forage sans se tordre et assure ainsi une bonne perception du couple de serrage. Polyvalente, elle couvre un large champ d’application, convient pour les vis à bois, les vis à bois agglomérés et les vis à double filet, et fonctionne dans de nombreux matériaux (béton, maçonneries pleines ou creuses, panneaux de particules, plaques de plâtre…). DuoTec : Cette cheville à bascule pour matériaux creux convient pour les applications suivantes : fixation de lustres, suspensions, spots et plafonniers... dans des plaques de plâtres, des panneaux en fibre de plâtre, des panneaux de bois (OSB – aggloméré, stratifié MDF), des panneaux en acier et des panneaux plastiques. Intelligente, elle fonctionne également comme une cheville à expansion si le matériau rencontré s‘avérait être plein. Bi-matière, renforcée de fibres de verre de haute qualité, elle garantit une bonne capacité de répartition des charges, dans les plaques de plâtre sans endommager le matériau. Pour une sécurité optimale, une fois la cheville à bascule placée dans le forage, une douille blanche renforcée en fibre de verre s’insère également dans l’entrée du trou pour offrir une capacité de charges de cisaillement encore plus élevée. Compacte, elle est facile à mettre en œuvre même dans des cavités étroites et isolées (≥ 50 mm) et bénéficie d’un diamètre de perçage réduit (10 mm).DuoBlade : Compacte, cette cheville autoforeuse convient pour tous les travaux d’agencement intérieur, les applications légères : pose de tableaux, luminaires, détecteurs de fumée, stores… dans des plaques de plâtre simples, doubles couches et permet même la fixation sans perçage dans les plaques haute résistance. La partie rouge en polyéthylène (PE) offre une sécurité supplémentaire au corps de base en nylon gris de haute qualité fischer. Elle assure l’effet d’expansion, lors du vissage de la vis, pour supporter des valeurs de charge élevées. La pointe en métal autoforeuse, dotée de trois lames tranchantes, assure un perçage aisé, très précis et propre sans endommager le support. Légèrement inclinée, elle permet de guider facilement la cheville lors d’un montage dans un matériau de faible épaisseur. Les ergots anti-rotation empêchent la cheville de tourner dans le support lors de l’installation ou de l’éventuel démontage des éléments à fixer. Ils augmentent également la capacité de charges en fixations verticales et optimisent la répartition des charges.Le corps en nylon de la cheville dispose d’un pas de filetage autotaraudeur tranchant pour une bonne prise et un verrouillage optimal de la cheville. La collerette plate permet une mise en œuvre en attente ou traversante.La DUOBLADE offre un confort lors de la mise en œuvre avec un couple de serrage relativement faible qui augmente de manière importante à la fin du processus de vissage (blocage). L’utilisateur ressent alors que la cheville « tire » et la sensation de blocage, c’est le « feel good factor ».La gamme DUOLINE va continuer de se développer et s’enrichir d’une nouvelle référence à la fin de l’année.La gamme GreenLine. Cette gamme est le parfait exemple de la capacité d’innovation de fischer et de sa volonté d’apporter des solutions toujours performantes, tout en minimisant l’impact sur l’environnement. Elle est la première gamme de fixations au monde issue de matières premières renouvelables. Les produits GreenLine offrent les mêmes performances, la même sécurité et capacité de charges que les produits similaires traditionnels fischer. De qualité allemande, ils sont fabriqués avec 50 à 80 % de matières premières renouvelables. La gamme se compose de 7 familles de produits qui permettent de réaliser de multiples applications dans de nombreux matériaux de construction : la cheville universelle UX Green, la cheville à expansion SX Green, la cheville pour plaques de plâtre GK Green, la cheville à frapper N Green, la fixation dans matériaux isolants FID Green, la cheville pour béton cellulaire GB Green et la résine d’injection chimique tous matériaux FIS Green 300 T.Avec la qualité éprouvée du nylon fischer, les chevilles UX Green, SX Green, GK Green, N Green, FID Green et GB Green sont fabriquées avec plus de 50 % de matières premières d’origine végétale. L’huile de ricin est ici utilisée comme matériau de base pour le polyamide. Cette huile n’est pas utilisée pour l’alimentation de l’homme et des animaux, et n’entre donc pas en concurrence avec les surfaces agricoles. Les chevilles GreenLine ont été testées et contrôlées par le centre TÜV Rheinland DIN CERTCO et appartiennent à la catégorie « Biosourcés 50-85 % ». Leur emballage est plus respectueux de l’environnement puisqu’il est fabriqué avec 90 % de papier recyclé.Quant à la résine FIS Green 300 T, elle est la première résine de scellement à contenir plus de 50 % de matières premières d’origine végétale. Sa formulation sans styrène a été entièrement revisitée pour contenir des composants organiques, à la place de composants chimiques complexes, qui permettent de répondre aux différentes fonctions des résines réactives, des additifs, des plastifiants et des polymères thermoplastiques.Sûre, cette résine bi-composant est adaptée à la fixation de charges lourdes dans différents matériaux et présente les mêmes caractéristiques techniques et de performances que ses homologues traditionnels. Elle bénéficie d’une EPD (Déclaration environnementale de produit). Classée A+, elle peut être utilisée en intérieur et détient une évaluation technique européenne (ETE) pour les fixations dans la maçonnerie et le béton non fissuré.Et parce que limiter l’impact de ses produits sur l’environnement est important pour fischer, l’entreprise entend compléter cette gamme écoresponsable avec de nouvelles références qui seront commercialisées à la fin de l’année.Le foret creux aspirant FHD. Accessoire idéal pour une utilisation dans les espaces intérieurs sensibles, où la poussière doit impérativement être évitée, il offre des chantiers plus propres et sains, et limite les poussières dans l’air. Les trous forés sont conformes aux homologations dans le béton et béton armé, la pierre naturelle, la brique pleine et la brique silico-calcaire. Les 4 taillants en carbure assurent un forage rapide, même dans le fer à béton. La tête du foret dispose d’une pointe de centrage et de 2 trous d’aspiration/d’évacuation des poussières, qui garantissent l’extraction immédiate de la poussière lors du perçage, via la tige cylindrique creuse. La progression du foret dans le matériau est plus rapide et sans frottements. Le foret creux aspirant FHD est pris en compte par les évaluations ETE des systèmes composites chimiques et il est compatible avec toutes les marques de marteaux perforateurs à emmanchements SDS Plus et SDS Max. Enfin, il s’utilise avec un aspirateur classe M et est disponible en 11 diamètres.L’aspirateur universel eau et poussières FVC 35 M. Avec une cuve de 35 L à double paroi très robuste, cet aspirateur de chantier associé au foret creux aspirant FHD, contribue à offrir un environnement de travail propre et sain. Conforme à la classe de filtration M, avec une capacité de rétention de poussière de 99,9%, il collecte les poussières les plus nocives, directement à la sortie du trou de forage et via le manchon d'évacuation du foret aspirant. Doté d'un puissant moteur, il offre des performances d'aspiration élevées. Grâce à un système de nettoyage automatique du filtre, il garantit le maintien, sans interruption, d'une forte puissance d'aspiration pour un travail continu. Des chocs électromagnétiques nettoient alternativement les cartouches de filtre pour obtenir une filtration toujours optimale. Gamme de vis à béton Ultracut. Cette gamme complète reflète également la capacité d’innovation de fischer. Elle s’utilise dans le béton fissuré et non fissuré, la pierre naturelle dense, les maçonneries pleines et le béton cellulaire. Grâce à une reprise de charges lourdes, elle convient à de nombreuses applications pour tous les corps de métier : la construction métallique, la construction bois et les assemblages bois/béton, les installations temporaires de chantiers, sanitaire, chauffage, électricité… La vis à béton Ultracut dispose d’un filetage renforcé spécial avec une zone coupante sur sa partie avant. Cette géométrie spéciale du filetage facilite la pénétration de la vis en profondeur, réduit l’effort de vissage, assure de fortes capacités de charges de traction, tout en diminuant le nombre de points d’ancrage. Une zone ductile sous la tête permet une légère déformation pour un plaquage optimal. Ajustable, l’Ultracut peut être dévissée au maximum 2 fois et est idéale pour la pose d’éléments de chantiers temporaires puisqu’elle est réutilisable après vérification avec la jauge de contrôle (en option).Pratique, pour les perçages verticaux au sol ou au plafond, la pose s’effectue sans nettoyage du forage. Dans la gamme, la vis à béton Ultracut FBS II A4 en acier inoxydable offre un niveau élevé de résistance à la corrosion, avec une haute performance dans les zones humides et les applications en extérieur. Son embout rouge renforcé permet une installation encore plus rapide, sans effort, et plus sécurisée. Sa géométrie spéciale en dent de scie permet une coupe rapide dans le béton. Par ailleurs, cette vis à béton répond aux exigences de la classe de résistance au feu R120, bénéficie d’un ATE Option 1 pour béton fissuré, et d’une catégorie de performances sismiques C1 et C2.Les Clés à choc sans-fil FSS 18V. Compatibles avec le système de batteries CAS (Cordless Alliance System), elles sont utilisables avec les mêmes batteries et chargeurs que les outils d’une douzaine de fabricants d’outillage électroportatif. Puissant et bénéficiant d’une technologie de batterie haute performance, ce système CAS permet aux utilisateurs de passer d’un outil à l’autre. Robuste et très résistante, les clés à choc fischer sont dotées d’un boîtier spécial qui garantit une dissipation thermique et une longévité optimale des outils. La FSS 18V400 BL dispose d’un couple de 400 Nm et d’un moteur haute qualité sans charbon, à faible frottement, qui garantit un fonctionnement efficace, une faible usure, et une progression rapide du travail. Elle permet la pose de vis à béton de diamètres 6 à 10. Le couple est réglable en 12 positions. La FSS 18V 600, avec un couple élevé de 600 Nm, est idéale pour les installations avec des vis à béton de diamètres 10 à 14 et des applications exigeantes.Une gamme de vis à bois Power-Fast II. Plus techniques, ces vis ont une accroche et une pénétration plus faciles et plus rapides. Leur revêtement est plus respectueux de l’environnement (zingué blanc sans chrome VI (Cr3)) et leur géométrie spéciale font qu’elles sont compatibles avec les chevilles nylon. Elles disposent du marquage CE et bénéficient de l’Évaluation Technique Européenne (ETE). L’empreinte de la tête de vis est profonde et les fraisoirs à facettes inversés assurent une découpe parfaite des épissures de bois. Grâce à la nouvelle géométrie brevetée du filetage à angle asymétrique sans vrille de coupe, au moletage, aux doubles filets sur les premiers pas de vis et au revêtement anti-frottement haute performance, le vissage est nettement plus rapide et sans effort. Les doubles filets permettent une évacuation rapide de la poussière de perçage. Le filetage, jusqu’à la pointe, garantit un centrage très précis de la vis et une accroche immédiate dans le bois, sans aucun pré-perçage, ni risque de glisser. Elles sont disponibles en tête fraisée, tête ronde et tête fraisée bombée en filetage partiel et filetage total.Goujon d'ancrage FNB II HDG : Ce goujon fischer permet des montages traversants ou non, pour les fixations dans le béton non fissuré. Sa double profondeur d’ancrage (standard et réduite) et son long filetage le rendent extrêmement flexible, facile et rapide à mettre en œuvre. En outre, il offre une capacité de charges maximales, attestée par l’Evaluation Technique Européenne ETA-18/0101 (Option 7) pour le béton non fissuré, et dispose d’une résistance au feu R120.Evalué pour une utilisation en zones humides et les applications extérieures (ETE), le goujon FBN II HDG en acier galvanisé est recommandé pour fixer des constructions métalliques, des profilés, des platines, des garde-corps, des mains-courantes, des chemins de câbles, des escaliers, des constructions en bois… Son long filetage autorise des fixations déportées.Le couple formé par la bague et le cône d’expansion fournit une capacité de charges en traction maximales dans le béton non fissuré avec des entraxes et des distances aux bords très faibles. Les très faibles entraxes et distances aux bords autorisent la fixation de petites platines proches des bords pour plus d’applications.Le goujon FNB II HDG bénéficie d’une galvanisation à chaud d’une épaisseur minimum de 50 μm respectant les dispositions de la EN ISO 10684:2011. La durabilité du revêtement a été évaluée selon la EAD 330232-00-0601 et peut s’étendre jusqu’à 50 ans (en fonction des catégories de corrosivité C1, C2, C3, C4, C5, CX).Il peut être installé avec seulement quelques coups de marteau et quelques tours d’écrou suffisent pour appliquer le couple de serrage.Toutes ces innovations sont issues d’une volonté constante de comprendre les besoins des clients et d’apporter les meilleures solutions en termes de qualité, de fiabilité, de sécurité, de performances et de respect de l’environnement. La célébration des « 60 ans d’innovations » de fischer France est l’occasion pour son Président Jean-Marc Berg de présenter à l’ensemble de ses collaborateurs français, les axes de développement pour l’avenir.
Il y a 3 ans et 242 jours

Gare du Nord: le gouvernement demande un projet "beaucoup plus réduit", la SNCF présente son "Plan B"

"On a demandé à la SNCF de préparer un projet beaucoup plus réduit, dans une dimension de l'ordre de 50 millions d'euros, pour faire des aménagements et répondre aux enjeux de 2023 et 2024", soit la Coupe du monde de rugby et les JO, a précisé mercredi M. Djebbari."Le projet initial était de 600 millions d'euros et a glissé vers 1,5 milliard, et qui s'est décalé de deux à trois ans dans le calendrier. C'est la chronique d'un projet qui s'est mal déroulé sur le plan technique", a regretté le ministre sur RMC/BFMTV en revenant sur l'annonce de mardi."Il est abandonné en l'état. La SCNF a indiqué son intention de prononcer la déchéance du contrat", et elle est "soutenue par le gouvernement", a souligné M. Djebbari.La SNCF a annoncé mardi soir qu'elle renonçait au gigantesque et controversé projet de transformation de la Gare du Nord à Paris conçu avec Ceetrus, une filiale d'Auchan, mettant en avant des "dérives insupportables", notamment en matière de coût. Le chantier devait tripler la surface de la première gare d'Europe en prévision notamment des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024."C'est un projet qui a été soutenu par la mairie de Paris, voté par la maire de Paris, qui a ensuite fait une campagne électorale contre le projet de la gare du Nord (...) Il n'y a pas eu de constance politique sur ce sujet", a accusé le ministre.La SNCF réduit son projet avec un "Plan B" pour les JOLa SNCF va lancer un "Plan B" d'amélioration de la Gare du Nord à Paris avant les Jeux olympiques de 2024, beaucoup plus modeste que l'ambitieuse rénovation abandonnée mardi, mais elle envisage pour la suite un nouveau projet plus vaste, à l'horizon 2030.La foncière immobilière Ceetrus a dénoncé mercredi les manquements de SNCF Gares & Connexions."Ceetrus regrette le manquement manifeste de son partenaire, SNCF Gares & Connexions, à ses responsabilités de co-actionnaire et à la loyauté requise entre les partenaires d'une entreprise commune", a déclaré la société dans un communiqué, au lendemain de l'abandon officiel du projet qui devait tripler la surface de la gare parisienne en vue des Jeux olympiques de 2024.La SNCF a justifié l'abandon par des "dérives insupportables", notamment en matière de coût.Au lendemain de l'annonce de la SNCF, le gouvernement lui a demandé mercredi de préparer un projet "beaucoup plus réduit" pour la gare, autour de 50 millions d'euros, a annoncé le ministre délégué aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari. Le projet initial était estimé à 600 millions d'euros et avait gonflé pour atteindre quelque 1,5 milliard d'euros, selon le ministre.Concrètement, la concession a été confiée à SA Gare du Nord 2024 (StatioNord), une coentreprise formée par SNCF Gares & Connexions (34%) et la foncière Ceetrus (66%), cette dernière ayant la main pour la conception, les travaux et leur financement, ainsi que l'exploitation des boutiques pendant 46 ans.Après une longue polémique avec la ville de Paris, qui pourtant avait approuvé le dossier à l'origine, car le projet était jugé trop imposant et s'apparentant trop à un centre commercial déconnecté du quartier, une mouture moins ambitieuse du projet avait été adoptée en novembre 2020.Une "phase de participation du public par voie électronique" en vue de la délivrance d'un permis de construire modificatif était d'ailleurs en cours jusqu'à vendredi."Plan C" pour 2030Cette réduction de la voilure n'a pas empêché l'envolée des coûts et les retards. En outre, les travaux tels que "StatioNord" les envisageait auraient exigé de supprimer le quart des trains en 2023 et 2024, "ce qui (était) juste impossible", selon la SNCF."C'est une déroute industrielle, et pas du tout un problème politique", affirme-t-on au sein du groupe."Le projet est abandonné en l'état. La SNCF a indiqué son intention de prononcer la déchéance du contrat", et elle est "soutenue par le gouvernement", a résumé Jean-Baptiste Djebbari.La mairie de Paris a appelé à "ne pas reporter une nouvelle fois la modernisation et la rénovation de la gare".Un "Plan B" doit permettre, avec l'aide d'Arep l'agence d'architecture de la SNCF, de la rénover pour les événements sportifs de 2023 et 2024."On démarre tout de suite, on s'y met dès aujourd'hui", a affirmé à l'AFP la directrice générale de SNCF Gares & Connexions, Marlène Dolveck.Il s'agit selon elle d'ajouter des escaliers mécaniques, de renforcer la signalétique, de réaménager la gare routière, d'ajouter des places de stationnement pour les vélos, de revoir la zone des taxis et VTC, de pacifier les espaces jouxtant le bâtiment...Le terminal transmanche doit également être réaménagé, avec une amélioration de la salle d'attente et des zones d'embarquement pour Eurostar."Après, il y aura un +Plan C+ parce qu'on n'a pas abandonné l'idée d'avoir une gare prête à l'horizon 2030, pour accueillir nos voyageurs, car on anticipe qu'il y aura une importante augmentation des flux", a annoncé la responsable."Le cahier des charges est à définir" pour cette nouvelle transformation, qui doit être étudiée "en réflexion avec l'ensemble des acteurs publics", selon Mme Dolveck."Nous sommes disponibles et volontaires pour engager un nouveau projet de rénovation de la Gare du Nord qui soit au service des usagers du quotidien, de l'insertion urbaine et de l'intermodalité", a déclaré dans un communiqué Emmanuel Grégoire, premier adjoint de la maire PS Anne Hidalgo.
Il y a 3 ans et 243 jours

Les salaires du BTP devraient augmenter de 3,6% en 2022

Ce « retour à la normale » arrive après deux années marquées par l'empreinte de la crise COVID-19, et dans un contexte de taux d'inflation relativement bas, de tensions marquées sur le marché du recrutement et de difficultés significatives d'attraction et de rétention des meilleurs talents.Ce niveau d'augmentations salariales prévisionnelles pour l'année 2022 représente une augmentation de 0,7 point par rapport à 2020 (1,8% en moyenne) et de 0,4 point par rapport à 2021 (2,1% en moyenne). Prenant en considération le taux d'inflation, les augmentations salariales moyennes pour 2022 représenteront un gain de pouvoir d'achat de 1,4 point pour les salariés français, avec un taux d'inflation prévisionnel de 1,1% en 2022, tandis que ce gain de pouvoir d'achat ne représentait que 0,8 point en 2021, avec un taux d'inflation de 1,3% en 2021.Par ailleurs, il est important de noter que plus de 8% des entreprises interrogées déclarent avoir gelé les augmentations salariales en 2021 tandis que moins de 1% des entreprises prévoient un gel complet des augmentations salariales en 2022. La part d'entreprises qui avaient gelé leurs augmentations salariales en 2020 était de plus de 25% ; un effet direct de la crise COVID-19 ayant eu un impact significatif sur la santé financière des entreprises.La tendance vers la différenciation et la reconnaissance des plus performants est une réalité qui devrait encore s'accentuer en 2022 dans un double objectif d'attirer et de retenir les meilleurs talents. Le rapport met en lumière que les plus performants devraient bénéficier en 2022 d'augmentations salariales 2,5 fois supérieures à la moyenne. Ces talents se voient en moyenne attribuer 20% de l'enveloppe globale des augmentations salariales tandis qu'ils ne représentent que 10% des effectifs.Les augmentations salariales moyennes en 2022 devraient être plus significatives dans les secteurs des médias (3% en 2022 vs. 2,3% en 2021), des nouvelles technologies (2,6% en 2022 vs. 2,3% en 2021) et des fintech (2,6% en 2022 vs. 1,9% en 2021). Les salariés des secteurs de l'énergie et des ressources naturelles (2,1% en 2022 vs. 1,7% en 2021), de la banque et de l'assurance (2,2% en 2022 vs. 1,8% en 2021) et de la distribution (2,3% en 2022 vs. 2,1% en 2021) devraient, quant à eux, bénéficier d'augmentations moins significatives.« L'optimisme de ces derniers mois, couplé à une forte tension sur le marché de l'emploi, notamment pour les métiers de développement commercial et du digital, devraient encourager les entreprises à débloquer, en 2022, des budgets d'augmentations supérieurs à ceux observés en 2020 et 2021, tout en renouant avec les augmentations salariales, gelées depuis deux ans pour certaines. Néanmoins, une grande majorité d'entreprises devrait avancer prudemment sur ce sujet, sur la base des enseignements des multiples vagues et ralentissements économiques. La réalité des augmentations salariales effectivement attribuées en 2022 pourrait clairement différer selon l'évolution de la situation pandémique dans les prochains mois », observe Khalil Ait-Mouloud, Directeur de l'Activité Rewards Data & Software en France.L'étude met en lumière un certain optimisme sur l'évolution de la situation économique des entreprises. Plus de la moitié (55%) des entreprises françaises interrogées déclarent que leur situation est « meilleure » ou « bien meilleure » que leurs prévisions.Par ailleurs, près du tiers (32%) des entreprises prévoient un plan de recrutement renforcé dans les 12 prochains mois, tandis que seules 7% prévoient de réduire ces efforts. Les fonctions qui concentreront le plus de recrutements sont les fonctions commerciales et de développement (59%), d'ingénierie (40%), de techniciens (39%) et enfin du digital et de l'informatique (35%).« La reprise économique relative et progressive à la suite de la crise du COVID-19, et après plusieurs vagues de restructuration et de réduction ou de gel des recrutements, devrait pousser les entreprises françaises à se renforcer sur le court terme. Les fonctions commerciales, génératrices de croissance et de valeur ajoutée, devraient connaître une tension très particulière dans les prochains mois. Ceci sera également le cas pour les fonctions dont l'objectif est l'accompagnement de la transformation digitale des entreprises et le développement de stratégies de distribution multicanale », précise Khalil Ait-Mouloud.Notes1. Le rapport “Salary Budget Planning” est réalisé par Willis Towers Watson's Data Services. L'enquête correspondante a été menée en juin 2021. Environ 23 000 réponses ont été reçues d'entreprises de 130 pays à travers le monde. 540 organisations en France ont répondu.2. Le rapport résume les conclusions de l'enquête annuelle de Willis Towers Watson sur l'évolution des salaires et passe en revue les pratiques comme moyen d'aider les entreprises à planifier leur rémunération pour 2021 et au-delà.3. Les données d'inflation, datant de juin 2021, sont compilées par l'Economist Intelligence Unit (EIU).
Il y a 3 ans et 249 jours

Tubesca-Comabi et FMS Ringue déploient leur savoir-faire pour la rénovation du Palais Chaillot à Paris

Des problématiques d’étanchéité des sols sont apparues impliquant d’engager une restauration. TUBESCA-COMABI, leader français dans la fabrication et la commercialisation des solutions d'accès et de travail en hauteur, et FMS Ringue, spécialiste de la location, de la pose et dépose d'échafaudages, en partenariat avec Degaine (Groupe Vinci) vont mener de concert ce chantier emblématique.De renommée internationale, ce monument majeur des années 30 fait l’objet de vastes rénovations des terrasses et du parvis du Trocadéro. TUBESCA-COMABI et FMS RINGUE ont uni leur savoir-faire pour concevoir un échafaudage épousant les contours de la structure et répondant à toutes les contraintes liées aux travaux et aux interventions des différents corps de métier. Ainsi les deux entreprises assureront la fourniture, le montage et démontage des échafaudages et parapluies de protection et Degaine interviendra dans la restauration du parvis côté Passy (en maçonnerie et pierre de taille). Ce chantier d’une durée de 16 mois se déploiera sur4 zones et l’ensemble sera monté, puis démonté et basculé de zone en zone en 4 étapes.La zone 1 : une installation unique dans sa conception et son installationLe chantier a débuté en mai dans la zone 1 pour une durée de 4 mois. La zone d’entrée et d’approvisionnement de cette zone représente 18 m de hauteur au total et par conséquent trois niveaux d’escaliers ont été conçus et construits. Pour assurer la jonction entre ces deux parties, une passerelle a été mise en place afin de faciliter la circulation du matériel et des intervenants du point le plus bas au point le plus haut pour les différents corps d’État. De même, un ascenseur de chantier a été installé afin de fluidifier et accélérer la manutention et les déplacements des matériaux et des hommes. La structure se compose d’un échafaudage de classe 5 (le M368 multidirectionnel, hors élévateur) dimensionné et calculé pour rependre les efforts engendrés par l’ascenseur.En complément, une seconde passerelle de liaison de 16 m de haut et 20 m de long est mise en œuvre pour faciliter l’accès et la circulation entre la zone de stockage et la zone de travail. Par ailleurs, le restaurant Café del’Homme restera ouvert au public pendant toute la période de travaux, ainsi des solutions de stockage occultant ont été prévues afin de ne pas gêner la clientèle.Une application atypique de parapluie pour garantir confort et protectionUn parapluie de 700 m² d’échafaudage a été conçu par le bureau d’étude de TUBESCA-COMABI afin de garantir la mise en œuvre facile et rapide du montage au démontage. La première tranche de travaux a consisté à effectuer la dépose des dalles afin que l’échafaudage de protection repose en périphérie de la zone d’intervention et soit ensuite directement ancré au sol. L’exécution des travaux sur dalle impose une hauteur libre sous parapluie de 3 m. Les fermes sont réalisées avec des poutres en aluminium permettant un montage simple et rapide sans outil, sur lesquelles sont positionnées des glissières permettant d’accueillir les bâches de protection. Cette installation a mobilisé 6 personnes pendant 3 semaines pour la zone 1 et la passerelle.« Nous sommes très fiers d’intervenir sur ce chantier qui représente l’un des lieux les plus connus de la capitale.Ces derniers mois, toutes les équipes de TUBESCA-COMABI et de FMS RINGUE se sont mobilisées pour concevoir et mettre en œuvre des structures adaptées aux contraintes fortes de chantiers emblématiques comme celui duCentre Georges Pompidou en début d’année et de l’hôtel de ville de Pantin récemment. Ce nouveau lieu est une nouvelle fois, la reconnaissance d’un travail collectif de qualité réalisé avec les équipes et nos partenaires. » précise Jean-Baptiste Spinicci, directeur général chez FMS RINGUE & directeur technique et commercial chez Tubesca-Comabi.
Il y a 3 ans et 249 jours

Comment ajuster ses prix face à la hausse des coûts des matières premières dans la construction ?

Depuis le début de la crise Covid-19, les prix des matières premières telles que l'acier, le bois, les produits à base de silicone, les silanes, les acrylates et les résines ont fortement augmenté ; au cours des six derniers mois seulement, des hausses de 50 à 100% ont été observées. Les entreprises de l'industrie manufacturière attribuent cette situation principalement à une forte augmentation de la demande, à des capacités de production qui n'ont pas encore été entièrement relancées et à un effet des fournisseurs qui tirent parti de leur position de force, comme le montre une récente enquête d'experts* menée par le cabinet de conseil en stratégie et marketing international Simon-Kucher & Partners.Cela pose des défis majeurs aux entreprises du secteur de la construction, d'autant plus que près de la moitié des participants à l'étude ne s'attendent pas à ce que les prix se calment et baissent avant six à douze mois ; l’autre moitié prévoit même un niveau de prix durablement élevé ou en hausse. "Les augmentations actuelles des coûts doivent conduire à des augmentations de prix si les entreprises veulent maintenir leurs marges", estime Franck Brault, Senior Partner chez Simon-Kucher. "Avec une augmentation du coût des matières premières de 15% - les matières premières représentant 60% du coût de revient - une augmentation du prix net de 9% est nécessaire pour obtenir la même marge brute. Et les coûts des matières premières ont encore augmenté de manière significative", souligne-t-il.Les entreprises de la construction ne réussissent pas assez bien les ajustements de prixSelon l'étude, les entreprises interrogées du secteur de la construction ont toutefois beaucoup de problèmes à ce niveau. Bien que les fortes augmentations de coûts exigent la mise en œuvre rapide d'une hausse des prix de vente, plus d'un tiers des entreprises n'ont pas encore augmenté leurs prix (38%). Toutefois, 21% ont au moins annoncé une hausse et 13% ont préparé la mise en œuvre. Si 62 % ont déjà augmenté leurs prix, seulement 48% ont, à date, mis en œuvre plus de 50% de l'augmentation prévue sur le marché. "Ainsi, pour au moins la moitié des entreprises (52%), les fortes augmentations de coûts se font au détriment de la marge", indique Laurent Bourgoing, Senior Director chez Simon-Kucher.Conditions du marché et frilosité interne, causes de la faible mise en œuvre des hausses de prixSelon les entreprises interrogées, les raisons de cette situation résident principalement dans une certaine frilosité du marché : pour 50% des managers interrogés, les clients ont du mal à répercuter les hausses de prix dans la chaîne de valeur et 42% pensent que le secteur n'est tout simplement pas habitué à des augmentations de prix répétées et à court terme. En outre, un quart d'entre eux pensent que leur propre équipe commerciale freine les ajustements de prix par crainte de perdre des opportunités.C'est en toute logique le point de départ des mesures les plus populaires pour des augmentations de prix plus réussies : deux tiers des participants à l'étude se concentrent sur la préparation et la communication d’une argumentation solide sur les contraintes de coûts subies afin de convaincre à la fois leur propre département commercial et leurs clients de la nécessité d'ajuster les prix. La deuxième mesure la plus importante mentionnée par 46% des managers interrogés est la différenciation de l'augmentation des prix en fonction de la hausse des coûts spécifiques à chaque produit. Cela permet aux entreprises d'indiquer clairement qu'elles n'ajusteront les prix que lorsque cela sera absolument nécessaire. "De cette manière, les entreprises s'attaquent déjà aux bonnes questions", explique Marie Verdier, Partner chez Simon-Kucher. "Toutefois, une stratégie d'ajustement des prix réussie ne se résume pas à cela. Une gestion dynamique des prix, une planification stratégique et l'introduction de mécanismes de prix judicieux tels que des prix à courte validité, des surcharges ou des clauses d'indexation des prix dans les contrats sont le moyen de réagir de manière optimale à la situation actuelle en matière d'adaptation des prix."*A propos de l'étude : L'enquête a été réalisée par Simon-Kucher & Partners en France en août 2021. 48 décideurs du secteur de la construction/technologie du bâtiment ont été interrogés sur leur évaluation de la hausse des prix des matières premières. Les résultats sont disponibles sur demande.
Il y a 3 ans et 251 jours

Lancement de la 3C.Académie du CCCA-BTP

Le CCCA-BTP, outil à gouvernance paritaire des branches du bâtiment et des travaux publics, qui représente 20 % de l’apprentissage en France tous secteurs professionnels confondus, lance le 13 septembre la 3C.Académie, une plateforme d’offre de connaissances pour accompagner les organismes de formation aux métiers du BTP dans la montée en compétences de leurs collaborateurs. Elle est ouverte à tous leurs salariés, qui peuvent y accéder gratuitement en créant un compte sur la plateforme.Son objectif : contribuer au développement des compétences d’aujourd’hui et de demain, à travers une offre de connaissances qualitative, diversifiée et adaptée au plus près des réalités du terrain et aux besoins partagés, communs et transverses de tous les acteurs de la formation dédiée aux métiers du bâtiment et des travaux publics.En parfaite adéquation avec la réforme de la formation professionnelle de 2018, c’est dans le cadre de sa nouvelle offre de services au profit de l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP, pour les accompagner et leur permettre d’accroître leur performance et assurer le développement de leur activité et celui de l’apprentissage BTP grâce à une haute qualité pédagogique dans les parcours de formation et les modalités pédagogiques, que le CCCA-BTP crée la 3C.Académie.Un triple objectif pour viser l’excellence de la formation BTP1 | TRANSMETTRE, à travers une offre qualitative par ses modalités pédagogiques avec :une grande variété de contenus multimodaux (distanciel, présentiel et mixte) ;de nombreuses ressources pédagogiques en libre-service : guides pratiques, infographies… ;des parcours cours ou longs, tutorés ou non, organisés en modules composés de quiz, vidéos, études de cas, webinaires, classes virtuelles… ;des ateliers thématiques, micro learning, serious game… 2 | INNOVER, à travers une offre engagée vers la montée en puissance de l’innovation au sein des organismes de formation aux métiers du BTP, en proposant :des contenus adaptés aux évolutions actuelles et futures des métiers, au contexte réglementaire et aux exigences des entreprises, des organismes de formation et plus largement du secteur du BTP ;des contenus spécifiques co-construits et animés par des experts du CCCA-BTP ou des opérateurs référencés.3 | PARTAGER, pour favoriser le développement des compétences, à travers :un espace d’animation des différentes communautés métiers, pour échanger entre pairs sur les bonnes pratiques ou les difficultés rencontrées, partager les retours d’expériences, les expérimentations et les actualités ;des forums de discussions dédiés aux parcours proposés, pour pouvoir questionner les experts ou témoigner de ses expériences.Neuf thématiques inscrites au programmeÀ l’ouverture de la plateforme le 13 septembre, neuf thématiques sont déjà inscrites au programme de la 3C.Académie ; d’autres thématiques viendront l’enrichir d’ici à la fin de l’année 2021.Communication digitale : accompagner les organismes de formation aux métiers du BTP, pour élaborer et déployer leur stratégie de communication digitale.Démarche innovation : inscrire les organismes de formation aux métiers du BTP, en qualité d’acteurs du développement économique de leur territoire, et leurs apprenants comme ambassadeurs de l’innovation au sein des entreprises.Démarche qualité : accompagner les organismes de formation aux métiers du BTP au management de la qualité et à la certification.Droit de la formation : aider les organismes de formation aux métiers du BTP à s’informer, comprendre et identifier les impacts de l’actualité juridique de la formation, à maîtriser le cadre juridique de la réforme de la formation professionnelle.Ingénierie et innovation pédagogiques : aider les organismes de formation aux métiers du BTP à repenser l’ingénierie de la formation, améliorer les pratiques et modalités pédagogiques, les espaces et moyens pédagogiques adaptés aux évolutions des matériels, matériaux ou équipements, pour les actualiser, promouvoir le numérique éducatif, afin d’améliorer les contenus de formation, et valoriser les parcours en alternance. Management de projets avec financement externe : accompagner les organismes de formation aux métiers du BTP à trouver des sources de financement. Management et pratiques RH innovantes : donner des clés en réponse à un environnement dans lequel les méthodes de management et de travail évoluent : donner du sens au travail, se développer, travailler en équipe….Pratiques pédagogiques et éducatives de l’alternance : proposer des parcours « Expertise apprentissage » pour les formateurs BTP et pour les responsables de centres de ressources.Process marketing et commercial : accompagner les organismes de formation aux métiers du BTP dans la construction de leur stratégie marketing et commerciale pour préparer, attirer, convertir, transformer et fidéliser les entreprises et les jeunes.Le mot d’Éric Routier, président du CCCA-BTP« C’est dans le cadre de son offre de services que le CCCA-BTP propose à l’ensemble des organismes de formation qui forment à nos métiers du BTP, que nous lançons aujourd’hui la 3C.Académie. Transmettre, innover et partager sont les trois objectifs de cette nouvelle plateforme de connaissances, ouverte gratuitement aux femmes et aux hommes qui forment avec excellence au quotidien les futures forces vives de notre secteur. Afin d’assurer la haute qualité pédagogique des parcours et modalités pédagogiques que nous devons aux jeunes et aux entreprises, il est essentiel de contribuer au renforcement des compétences des collaborateurs des organismes de formation aux métiers du BTP. C’est une priorité qui est chère à notre organisme national à gouvernance paritaire, notamment en impulsant et permettant la montée en puissance de l’innovation au sein des organismes de formation, qui est un marqueur fort de notre action. La 3C.Académie propose une très grande variété de contenus, avec des ressources, parcours et ateliers thématiques co-construits et animés par nos experts métiers et confortés par l’expertise pédagogique de l’alternance de notre organisme à gouvernance paritaire, que nous déployons depuis près de 80 ans au service des entreprises et des jeunes. »Découvrez la nouvelle plateforme à cette adresse.
Il y a 3 ans et 252 jours

A Venise, le pont du Rialto inauguré après restauration

Avec son élégante arche basse et ses arcades caractéristiques, le pont blanc étincelant qui permet de franchir le Grand Canal en son point le plus étroit est l'une des attractions touristiques les plus photographiées de Venise - et jusqu'au milieu du XIXe siècle, le seul moyen de le traverser à part en bateau.La restauration complète du pont, qui aura coûté cinq millions d'euros, financée par le fondateur de la marque de vêtements Diesel, Renzo Rosso, a été achevée en 2019 après avoir commencé en 2015, ont précisé les organisateurs. Mais une cérémonie d'inauguration prévue a dû être reportée à deux reprises en raison du Covid-19."Ce pont est le pont de Venise", a déclaré Luca Zaia, président de la région de Vénétie dont Venise est la capitale, aux invités réunis au sommet du pont. "C'est un morceau d'histoire, c'est un musée à ciel ouvert".Andrea Bocelli a chanté le célèbre air de Puccini "Nessun Dorma" lors d'une brève cérémonie d'inauguration, tandis que le flot de gondoles, de taxis nautiques et de péniches du Grand Canal passait en dessous.Le pont à trois passages piétonniers et une arche de 6,5 mètres de hauteur est le plus ancien qui traverse actuellement le Grand Canal, reliant le quartier de San Marco au Rialto, le centre commercial de la ville et le célèbre marché du Rialto.6.000 pieux en boisIl est considéré comme un chef-d'oeuvre architectural pour ses deux arcades de boutiques et ses allées piétonnes avec balustrades face à l'eau, le tout soutenu par 6.000 pieux en bois.Construites entre 1588 et 1591, ses deux arcades de magasins ont été pendant des siècles le domaine exclusif des orfèvres.Mais plus de 400 ans de vent, d'eau et de pollution - et l'afflux de touristes des temps modernes - ont laissé des traces sur la blanche pierre d'Istrie. La totalité de ses 5.000 mètres carrés de surface ont étés restaurés, y compris ses bas-reliefs décoratifs.Des millions de touristes visitent chaque année Venise, classée au patrimoine de l'Unesco."C'est du tourisme de masse, ce n'est pas du tourisme de qualité", a déclaré un employé d'une bijouterie du pont du Rialto, Alessio, à propos des 25 millions de touristes qui ont visité la ville en 2019 pré-Covid. "Venise ne peut pas gérer tous ces gens".En juillet, la "Sérénissime" a évité de peu d'être placée par l'Unesco sur la liste des sites en péril.Après avoir interdit l'entrée dans la lagune des plus gros navires de croisières, les autorités veulent maintenant limiter l'afflux incontrôlé de touristes en les obligeant à réserver à l'avance et à payer.
Il y a 3 ans et 261 jours

Au Sénégal, la cité futuriste du chanteur Akon tarde à sortir de terre

Sur le site, à Mbodiène, sur la côte atlantique, à une centaine de kilomètres au sud-est de Dakar, la pancarte montrant des constructions aux formes fantasmagoriques posée sur la première pierre s'est détachée."On n'a pas encore vu grand-chose", soupire Jules Thiamane, 35 ans, qui travaille dans le tourisme. "C'est un début de déception" pour la population du village par rapport aux promesses de la cérémonie d'inauguration, résume-t-il.De son vrai nom Alioune Badara Thiam, le chanteur et producteur américano-sénégalais de 48 ans, connu pour ses tubes R&B "Locked Up" ou "Smack That", est aussi impliqué dans l'énergie solaire avec son entreprise Akon Lighting Africa.Il avait annoncé le début des travaux d'"Akon City" pour le "premier trimestre de 2021". A l'époque, le ministre sénégalais du Tourisme, Alioune Sarr, avait dit vouloir faire mentir les "Cassandre et oiseaux de mauvais augure qui voient toujours les nouveaux projets comme des chimères".Mais sur place, les habitants en sont réduits aux conjectures sur l'avancement du projet, dont la première phase doit être achevée en 2023.Un étudiant, Ahmeth Deme, se demande s'il n'a pas purement et simplement été abandonné, tandis que David Seck Sène, président de l'association des jeunes du village, ne "voit pas comment un projet de ce genre pourrait s'arrêter du jour au lendemain".L'adjoint au maire de la commune dont Mbodiène fait partie, Badara Diakhaté, se montre compréhensif. "Il y a aussi ce contexte mondial du Covid", hasarde-t-il, "il y a des temps forts et des temps faibles"."Les gens aiment que les choses avancent", ajoute-t-il.De l'obscurité à la lumièreIl faut dire qu'avec son hôpital, son casino, son stade, son centre commercial, ses logements, ses bureaux et restaurants, le projet, d'un coût estimé de 6 milliards de dollars, a de quoi faire tourner la tête des habitants et des Sénégalais en général, dont 40 % vivent sous le seuil de pauvreté selon la Banque mondiale."C'est un grand (progrès) pour nous", se félicite Philomène Bamimba, qui dirige une association locale de femmes.Un représentant de l'équipe d'Akon n'a pas répondu aux sollicitations de l'AFP. Mais Paul Martin, en charge du projet au sein de l'entreprise KE International, basée aux Etats-Unis, a affirmé que les travaux débuteraient effectivement en octobre."Les 12 premiers mois ont été consacrés à la planification, aux autorisations, aux passations de marchés et au recrutement de sous-traitants", a-t-il expliqué.KE International, qui a remporté le marché de construction d'"Akon City", achève la réalisation d'une cité similaire au Kenya, d'un budget également évalué en milliards de dollars, pour le compte de l'homme d'affaires kényan Julius Mwale, partenaire d'Akon.Des sommes bien moins astronomiques suffiraient à transfigurer le quotidien de Mbodiène."On aimerait que la zone soit éclairée, qu'il y ait de l'eau, qu'il y ait des routes, qu'il y ait de l'assainissement alors qu'au village c'est l'obscurité", souligne l'adjoint au maire, qui plaide pour une formation de la jeunesse locale afin de pourvoir les futurs emplois générés par "Akon City"."Je pense que les gens savent que ce projet va changer le village, changer la commune", dit-il, "et il faut se préparer par rapport à ça".
Il y a 3 ans et 263 jours

Edycem BPE nomme Cédric Ménager comme nouveau directeur de zone

Cédric Ménager est le nouveau directeur du secteur Centre du territoire occupé par l’activité Edycem BPE. [©Herige] Cédric Ménager est le tout nouveau directeur de la zone Centre du territoire occupé par l’activité Edycem BPE (groupe Herige). Pour mémoire, l’industriel possède 33 centrales à béton réparties sur le Grand Ouest de la France, entre Quimper et Le Mans et jusqu’au Sud de Bordeaux. La nomination de Cédric Ménager constitue une création de poste, qui s’inscrit dans la stratégie mise en place par Olivier Collin, directeur général d’Edycem. Annoncée en mai dernier, cette dernière prévoyait en particulier un renforcement du maillage territorial, avec un redécoupage du dispositif BPE en trois secteurs : Nord, Sud et Centre, nouvellement créé. Lire aussi : Enquête exclusive autour du béton prêt à l’emploi en France Déjà 20 ans dans le béton Cédric Ménager est fort de près de 20 ans d’expérience dans le secteur du béton. Responsable de centre d’exploitation LafargeHolcim (Nantes – Cholet) à partir de 2003, il est devenu responsable marketing et performances commerciales de LafargeHolcim pour le Grand Ouest. Ceci, avant de rejoindre, en 2020, Unibéton au poste de Chef des ventes Pays de la Loire et Charente-Maritime. Ainsi, grâce à ses connaissances de la zone géographique, il assurera la gestion, l’exploitation et le commerce sur les départements de la Vendée (hors Bocage) et de la Loire-Atlantique. Dans son périmètre, il aura sous sa responsabilité 9 centrales, allant de Héric à Longeville, en passant par Boufféré, Challans et les Sables-d’Olonne. Et 53 collaborateurs (responsables commerce et exploitation, technico-commerciaux, centraliers, chauffeurs…). Equilibrer la couverture géographique « La satisfaction de nos clients reste la priorité d’Edycem,indique Cédric Ménager. Grâce à ce nouveau dispositif opérationnel, le renforcement de la proximité et le management de la performance permettront de consolider notre savoir-faire. A l’aube de la mise en application de la RE 2020, le déploiement de notre stratégie RSE sera l’une des clefs pour préparer l’avenir. Et pour contribuer au développement d’Edycem sur le secteur qui m’a été attribué. » Ainsi, à travers la création de ce troisième secteur Centre, c’est l’ambition d’Edycem de renforcer ses liens de proximité qui s’illustre. Lire aussi : Estelle Breillat, Alexandre Gouré et Bruno Bachaud : Nouveaux promus chez Edycem Une volonté d’autant plus forte d’équilibrer la couverture géographique après l’acquisition de six centrales à béton en Sarthe (72) et en Mayenne (53) en mars 2020.Dans le cadre de ses activités, Cédric Ménager aura donc pour principales missions de diriger les équipes commerciales et de production pour accroître la performance d’Edycem. Mais aussi de renforcer la proximité avec les parties prenantes qu’Edycem place au cœur de sa stratégie. Il rejoint Bruno Bachaud, à la tête de la zone Nord, et Wilfried Decombredet, en charge du secteur Sud d’Edycem BPE.  Lire aussi : Edycem BPE poursuit sa stratégie de développement
Il y a 3 ans et 271 jours

Promulgation de la loi Climat & Résilience

Ce texte marque un tournant pour une société pleinement engagée dans la lutte contre le dérèglement climatique et la surconsommation de ressources, au bénéfice des Français. La loi permettra notamment d'améliorer la qualité de l'air des grandes villes, de massifier les rénovations de logements en accompagnant les ménages, de lutter contre la bétonisation des sols, ou encore d'intégrer davantage de menus végétariens dans les cantines.Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, déclare : « Nous y sommes ! Après deux années de travail intense, la transformation écologique de notre société va s'accélérer grâce à la loi Climat & Résilience. Riche de près de 300 articles, c'est un texte complet et ambitieux qui ancre durablement l'écologie dans notre modèle de développement. Ce texte s'inscrit dans une action globale menée depuis le début du quinquennat pour être à la hauteur du défi écologique et qui a permis de réorienter notre façon de nous déplacer, de nous chauffer, de gérer nos déchets et d'investir massivement pour décarboner notre économie. Elle fait également écho à l'action internationale de la France pour faire respecter partout l'Accord de Paris. Cette loi est l'aboutissement du travail inédit des membres de la Convention citoyenne pour le climat, du Gouvernement et des parlementaires qui ont enrichi le texte au cours des différents examens. L'ensemble de mon ministère et moi-même sommes désormais concentrés sur la prochaine étape : prendre les décrets d'application au plus vite pour traduire concrètement les mesures du texte dans le quotidien des Français. »Des citoyens mieux informésLa question environnementale est un enjeu de société central qui implique d'en comprendre et d'en maîtriser les fondamentaux dès l'école. 78 % des Français disent par ailleurs ne pas avoir assez d'informations écologiques sur ce qu'ils consomment.Affirmation du rôle fondamental et continu de l'éducation au développement durable, du primaire jusqu'au lycéeUn comité dédié dans chaque établissement programmera des activités de sensibilisation à l'environnement, qui renforceront les projets des éco-délégués et les sorties découvertes en pleine nature, par exemple.Création d'un éco-score pour afficher l'impact sur l'environnement des biens et services consommés par les FrançaisÀ l'issue une phase d'expérimentation, l'affichage de l'impact sur l'environnement, en particulier sur le climat, des produits et services sera uniformisé et obligatoire.Une publicité mieux encadréeL'incitation à la surconsommation de produits polluants est contradictoire avec les objectifs de transition écologique de la société.Possibilité pour le maire de réglementer les dispositifs publicitaires lumineux en vitrine via le règlement local de publicitéLes maires pourront réglementer les publicités lumineuses situées à l'intérieur des vitrines, et visibles depuis la rue (réglementation de la taille, de l'espace alloué, des horaires d'utilisation...).Expérimentation du « Oui pub » dans les collectivités territoriales volontairesFace au gaspillage massif de papier, jusqu'à 15 collectivités territoriales volontaires expérimenteront pendant 36 mois le dispositif « Oui pub » : seuls les foyers ayant affiché sur leur boîte aux lettres cette étiquette recevront des imprimés.Fin de la publicité pour les énergies fossilesLa publicité pour les énergies fossiles sera interdite dès le second semestre 2022. Dès 2028, ce sera la publicité pour les véhicules les plus polluants qui sera également interdite, deux ans avant la fin de leur mise en vente.Inscription obligatoire de l'impact climatique sur les publicitésIl sera obligatoire d'indiquer l'impact climatique des produits dans les publicités, avec une application immédiate dans les secteurs de l'automobile et de l'électroménager.Moins d'emballages dans la vie des françaisOn estime que l'équivalent d'un camion de déchets plastique se déverse chaque minute dans la mer. À eux seuls, les emballages alimentaires représentent 820.000 tonnes de déchets par an, soit plus de 12 kilos par Français.20% de la surface de vente consacrée à la vente en vrac d'ici 2030 dans les grandes et moyennes surfaces (commerces de plus de 400 m² de vente)En 10 ans, les supermarchés vont devoir s'organiser pour qu'un cinquième de leur surface soit dédiée au vrac. Cette ambition va mécaniquement fortement diminuer les déchets de plastiques et modifier en profondeur les habitudes des Français.Un soutien aux énergies renouvelablesEn 2020, les énergies renouvelables ont représenté plus de 25% de l'électricité produite. La France vise 40% en 2030.Développement des communautés citoyennes d'énergies renouvelablesLa prochaine PPE définira formellement des objectifs de production d'énergies renouvelables par des communautés citoyennes. L'État devra ainsi mettre en œuvre les outils nécessaires pour soutenir cette production d'énergie verte par et pour tous.Extension de l'obligation de végétalisation ou d'installation de photovoltaïque sur les toits et les parkingsL'obligation d'installation de photovoltaïque ou de toits végétalisés lors d'une construction, d'une extension ou d'une rénovation lourde sera étendue aux surfaces commerciales avec une baisse du seuil à 500 m² de création de surface. Elle est aussi étendue aux immeubles de bureaux de plus de 1 000 m² et aux parkings de plus de 500m2.Un nouveau cadre de soutien au biogazLes fournisseurs de gaz naturel devront obligatoirement intégrer une part de biogaz dans le gaz qu'ils commercialisent.Des villes moins polluéesLa pollution de l'air, principalement liée aux particules d'oxyde d'azote, générées à 70% par la circulation des voitures et en particulier des vieux véhicules diesels, est responsable de 40.000 morts par an.Mise en place de zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m) dans les agglomérations métropolitaines de plus de 150.000 habitants d'ici le 31 décembre 2024L'ensemble des agglomérations de plus de 150.000 habitants devront mettre en place une ZFE-m, soit 33 nouvelles ZFE-m. Dans les 10 métropoles qui enregistrent des dépassements réguliers des valeurs limites de qualité de l'air, des interdictions de circulation pour les véhicules Crit'air 5 en 2023, Crit'air 4 en 2024 et Crit'Air 3 en 2025 seront automatiquement prévues.Une expérimentation d'un prêt à taux zéro pour les ménages les plus modestes qui vivent dans des zones à faibles émissionsUn prêt à taux zéro sera expérimenté pendant deux ans, à partir de 2023, pour aider les ménages les plus modestes qui vivent dans des ZFE à financer leur changement de véhicule, en complément des aides (prime à la conversion, bonus écologique, etc.) déjà prévues.Fin de vente des véhicules émettant plus de 95 gCO2/km en 2030La vente des voitures émettant plus de 95 gCO2/km de sera interdite en 2030, fixant ainsi une trajectoire vers 2040. Pour être pleinement efficace, cette mesure est également proposée par la Commission européenne dans le cadre du Fit for 55.Élargissement de la prime à la conversion aux vélos à assistance électriqueIl sera désormais possible de mettre un vieux véhicule thermique à la casse et de bénéficier d'une aide pour l'achat d'un vélo à assistance électriqueMoins d'avion plus de trainOn prend parfois l'avion pour de courtes distances, même lorsqu'une alternative en train, moins polluante et parfois plus rapide, existe.Interdiction des vols intérieurs lorsqu'un trajet en train existe en moins de 2h30Les vols seront interdits quand il existe une alternative en train en moins de 2h30, à l'exception des vols majoritairement empruntés par des passagers en correspondance vers une destination plus lointaine. Les correspondances train-avion dans les aéroports seront facilitées, comme les récents billets combinés proposés par la SNCF et AirFrance.Des logements mieux isolés4,8 millions de foyers vivent dans des logements mal isolés et le bâtiment est responsable d'un quart des émissions de gaz à effet de serre du pays.Gel du loyer des passoires énergétiquesDès 2023, les propriétaires de passoires thermiques seront obligés de réaliser des travaux de rénovation énergétique s'ils souhaitent augmenter le loyer de leur logement en location. Il s'agit d'un premier signal important avant l'entrée en vigueur des interdictions de mise en location des logements les plus consommateurs d'énergie.Interdiction de mise en location des logements les moins bien isolésDès 2025, il sera interdit de louer les passoires thermiques les moins bien isolées (classées étiquette G), et dès 2028 pour le reste des passoires (classées F). Et à partir de 2034, ce sont les logements classés E qui seront interdits à la location. Ces logements seront ainsi progressivement considérés comme indécents au regard de la loi. Le locataire pourra alors exiger de son propriétaire qu'il effectue des travaux et plusieurs mécanismes d'information, d'incitation et de contrôle viendront renforcer ce droit pour le locataire.Financement du reste à chargeTous les ménages, même ceux dont les revenus sont les plus modestes, auront accès à un mécanisme de financement pour régler le reste à charge de leurs travaux de rénovation. Cela pourra notamment passer par des prêts garantis par l'État.Moins de bétonisation des terresTous les 10 ans, l'équivalent d'un département de la taille des Yvelines disparaît sous le béton. L'artificialisation accélère la perte de biodiversité, amplifie les risques d'inondations, renforce la dépendance à la voiture individuelle.Division par 2 du rythme d'artificialisation des solsLe rythme d'artificialisation devra être divisé par deux d'ici 2030. Le zéro artificialisation nette devra être atteint d'ici 2050. Cette mesure sera appliquée par l'ensemble des collectivités territoriales.Principe général d'interdiction de création de nouvelles surfaces commerciales qui entraînerait une artificialisation des solsL'interdiction de construction de nouveaux centres commerciaux, qui artificialiseraient des terres sans démontrer leur nécessité selon une série de critères précis et contraignants, sera la norme. Aucune exception ne pourra être faite pour les surfaces de vente de plus de 10.000 m2 et les demandes de dérogation pour tous les projets d'une surface de vente supérieure à 3.000 m2 seront examinées par le préfet.Une alimentation plus durableL'élevage cause 14,5% des émissions de gaz à effet de serre mondiales et l'importation de viande contribue à la déforestation de pays comme le Brésil.Choix quotidien d'un menu végétarien dans les cantines de l'État et des universités, menu hebdomadaire dans les cantines scolaires et expérimentation pour les collectivités volontairesÀ la suite de l'expérimentation prévue par la loi Egalim, les cantines scolaires devront désormais obligatoirement proposer un menu végétarien au moins une fois par semaine.Les cantines de l'État et des universités qui proposent déjà plusieurs menus devront pour leur part proposer une option végétarienne dès le 1er janvier 2023.Les collectivités volontaires pourront expérimenter le menu végétarien quotidien et ainsi venir enrichir l'évaluation qui sera conduite par l'État.Un renforcement de la protection judiciaire de l'environnementMieux protéger nos écosystèmes demande d'avoir une justice environnementale plus forte et mieux armée face aux dégradations que subit la natureCréation d'un délit de mise en danger de l'environnementDésormais, le fait d'avoir exposé l'environnement à un risque de dégradation durable de la faune, de la flore ou de l'eau en violant une obligation de sécurité ou de prudence pourra être sanctionné de 3 ans de prison et 250.000 € d'amende. Contrairement au délit général de pollution, les sanctions pourront s'appliquer si le comportement est dangereux et que la pollution n'a pas eu lieu.Délit général de pollution des milieux (flore, faune et qualité de l'air, du sol ou de l'eau) et délit d'écocide pour les cas les plus gravesLes atteintes les plus graves commises intentionnellement à l'environnement seront passibles d'une peine maximale de 10 ans de prison et 4,5 millions d'euros d'amende (22,5 millions d'euros pour les personnes morales), voire une amende allant jusqu'à dix fois le bénéfice obtenu par l'auteur du dommage commis à l'environnement.
Il y a 3 ans et 282 jours

Les métiers du BTP et de la construction sont les plus recherchés en intérim au deuxième trimestre 2021

1 offre sur 4 en intérim concerne les métiers du BTP et de la constructionLes métiers du BTP et de la construction sont très demandés (26%) en intérim. Il en est de même pour la Production et la Maintenance industrielle (24%) et les métiers de la logistique et du transport (23%). Ces trois domaines représentent à eux seuls près de trois quarts (73%) des offres en intérim diffusées au 2e trimestre.« Nous constatons une reprise forte de l’emploi avec plus de 1 753 000 offres d’emploi mises en ligne au premier semestre 2021. L’Île-de-France n’a pas retrouvé son niveau d’avant crise, traduisant l’ampleur de l’impact de la pandémie sur les emplois en région francilienne ; les métiers du BTP, de la logistique et du transport ainsi que de la production industrielle recrutent toujours aussi fortement. Nous sommes confiants pour les prochains mois grâce aux perspectives de sortie de la crise sanitaire et aux diverses mesures de soutien à l’économie associés à un rebond de la consommation et de l’investissement des entreprises », observe David Beaurepaire, Directeur Délégué de Hellowork.Un marché de l’emploi très dynamique au 2e trimestreLe second trimestre a vu une progression de 23 % du volume d’offres d’emploi proposé par rapport au premier en lien avec les différentes étapes du déconfinement et de la reprise économique : (786 000 au T1 et 967 00 au T2).L’Auvergne-Rhône Alpes et l’Île-de-France en tête des régions qui recrutent le plusL’emploi conserve la dynamique du premier trimestre 2021. L’Auvergne-Rhône-Alpes reste ainsi à la 1ère place du classement des régions qui recrutent le plus en CDI et CDD au second trimestre et représente 18% des 317 436 offres publiées. Après un premier trimestre en décroissance, l’Île-de-France n’en demeure pas moins l’une des régions proposant le plus d’offres d’emploi CDI/CDD et se positionne à la seconde place, avec 17% du volume national.La Nouvelle Aquitaine et les Pays de la Loire occupent respectivement la 3ème et 4ème place avec 10% du volume national.Le Centre-Val de Loire, la Normandie et la Bourgogne-Franche-Comté, en revanche, ne représentent que 4% du volume d’offres d’emploi proposé au 2e trimestre 2021 chacune, comme c’était déjà le cas au premier trimestre.L’Auvergne-Rhône-Alpes, 1ère région du recrutement en intérimSur les 649.212 offres en intérim analysées, l’Auvergne-Rhône-Alpes occupe également la 1ère place du classement des régions qui recrutent le plus en intérim (15%). Les Pays de la Loire et la Nouvelle Aquitaine prennent respectivement la 2ème et 3ème place avec 11% du volume national. La Bourgogne-Franche-Comté et le Centre-Val de Loire sont celles qui proposent le moins d’offres de travail temporaire (5%). La 8e place de l’Île-de-France traduit quant à elle l’impact des contraintes sanitaires et des fermetures d’établissements qui ont fortement pesées sur la région francilienne notamment sur les secteurs du tourisme et de la culture.Le Grand Paris en tête des métropoles qui recrutent le plus La Métropole du Grand Paris et la Métropole de Lyon pèsent à elles deux près de la moitié des offres en CDI /CDD à pourvoir dans ce Top 10 des métropoles (46%) ; et leurs places dans le classement restent inchangées par rapport au 1er trimestre. Nantes Métropole complète ensuite le podium avec 10% du volume d’offres en CDI /CDD et ce, y compris en intérim.Les Métropoles d’Aix-Marseille et Bordeaux Métropole occupent ensuite respectivement la 4e et 5e place. Montpellier Méditerranée Métropole ne pèse que pour 3% des offres en CDI /CDD et intérim à pourvoir en France.Les villes moyennes poursuivent leur lancéeLes 10 plus grandes métropoles concentrent 34% des offres en CDI/CDD au 2e trimestre 2021, contre 36% en 2020. Depuis six mois, nous observons une baisse de l’influence des métropoles sur les emplois au profit des ville moyennes (Cholet, Angers, Vannes…). De la même façon, le top 10 des métropoles concentraient 24% des offres en intérim en 2020 et n’en concentrent plus que 19% au 2e trimestre 2021.Les fonctions commerciales toujours très demandéesLe classement des postes les plus dynamiques est composé des fonctions commerciales (16% du volume des offres mises en ligne en CDI/CDD et a pris une place par rapport au 1er trimestre 2021), suivies des métiers de la Production et de la Maintenance industrielle (15%) et des techniciens en ingénierie industrielle (13%). Ces trois métiers représentent à eux seuls près de la moitié (44%) des offres en CDI/CDD à pourvoir.A noter, les métiers de la logistique et du Transport et les postes en développement informatique montent de 2 places dans le classement au second trimestre. En revanche, ceux du BTP et de la construction en perdent 4.Méthodologie : Analyse basée sur 1.753.163 offres d’emploi diffusées du 01/01/2021 au 31/06/2021 (dont 595.367 en CDI/CDD/Alternance et 1.157.796 en intérim).*(Médiametrie//NetRatings - Mesure Internet Global)
Il y a 3 ans et 283 jours

A Hong Kong, l'agriculture dans les nuages pour reconnecter avec sa nourriture

Perchée à 150 mètres de hauteur, au sommet de la Bank of America Tower, dans le coeur financier de l'ancienne colonie britannique, cette ferme fait partie de la soixantaine de micro exploitations agricoles ayant essaimé depuis 2015 sur la canopée d'une mégapole en mal d'espace.Elles ont bourgeonné sur des héliports désaffectés, sur le toit de centres commerciaux ou des terrasses publiques, grâce à des initiatives privées comme celle de l'entreprise sociale Rooftop Republic ("La république des toits-terrasses"), qui promeut une philosophie de vie plus saine et plus verte.Andrew Tsui, l'un des cofondateurs, voit l'agriculture urbaine comme un moyen pour les citadins de renouer avec leur nourriture.Un impératif dans ce territoire du sud de la Chine, "la ville des nouilles instantanées" comme la surnomme M. Tsui en référence à l'addiction des Hongkongais pour les plats préparés à emporter qui génèrent des quantités effrayantes de déchets.Un territoire ruralIl y a "quelque chose de cassé" dans la relation que les habitants de Hong Kong entretiennent avec la nourriture, déplore l'entrepreneur de 43 ans."Cela date du moment où nous avons commencé à sous-traiter l'origine de notre nourriture en misant sur des lignes de production industrielles", avance-t-il.A en croire les statistiques officielles, Hong Kong envoie chaque jour 3.600 tonnes de nourriture dans ses décharges, soit l'équivalent de 250 bus à impériale. Moins du quart des déchets alimentaires de la ville sont recyclés.Et environ 90% de la nourriture consommée par les 7,5 millions d'habitants de la ville est importée, principalement de Chine continentale.On l'ignore parfois mais Hong Kong n'est pas qu'une forêt minérale de gratte-ciels puisque 75% de son territoire est rural. Des espaces verts composés principalement de parcs naturels mais aussi, selon des chiffres officiels de fin 2020, de 755 hectares de terres cultivées.Celles-ci se trouvent majoritairement dans les Nouveaux territoires, dans le nord, très loin du coeur urbain et financier de Hong Kong."Le défi, pour nous, est d'intégrer l'agriculture à notre quotidien", poursuit M. Tsui. "La première étape, bien sûr, c'est de la rendre accessible."Il reste de la placeEn dépit de l'extrême densité de peuplement de ses quartiers, il reste à Hong Kong de la place pour l'agriculture urbaine, assure M. Tsui.Son entreprise a identifié plus de 600 hectares disponibles sur la canopée de cette jungle urbaine. "Nous avons donc la possibilité de doubler l'espace où cultiver des aliments."Pour y parvenir, Rooftop Republic collabore étroitement avec des architectes, des urbanistes et des promoteurs immobiliers dans l'espoir d'intégrer les fermes urbaines aux plans des immeubles de bureaux.L'entreprise a aussi réussi à convaincre de grands groupes internationaux comme la banque singapourienne DBS, dont la Fondation s'est associée à Rooftop Republic pour créer une académie proposant des formations à l'agriculture urbaine.Le géant américain du conseil en immobilier JLL a ajouté l'agriculture urbaine à son portefeuille et compte même une ferme sur un bâtiment."A Hong Kong, les gens se concentrent sur la valeur commerciale des propriétés, mais nous voulons promouvoir le concept de durabilité", assure Eric Lau, l'un des dirigeants du groupe à Hong Kong.L'agriculture urbaine est, selon ses adeptes, un moyen de tisser un lien social. De plus en plus d'entreprises la proposent ainsi à leurs employés pour favoriser la cohésion."Un savoir nécessaire"Retraitée de la fonction publique, Lai Yee-man s'est tournée vers l'agriculture pour renouer avec la nature mais aussi avec ses voisins.Propriétaire d'une ferme dans les Nouveaux Territoires, la sexagénaire a appris auprès de professionnels les techniques et astuces pour développer sa parcelle.Autant de connaissances qu'elle transmet à son tour à d'autres au Sky Garden - plus grande ferme urbaine au sommet d'un centre commercial à Hong Kong - où des habitants cultivent 1.200 mètres carrés de fleurs comestibles et arbres fruitiers, dont les produits sont en majorité donnés à des associations caritatives."Les gens font davantage attention à leur santé et achètent bio", explique-t-elle. "Ici, nous leur apprenons à ne pas gaspiller et à chérir leur nourriture".
Il y a 3 ans et 291 jours

A Hong Kong, des modélistes reproduisent la ville d'antan en miniature

Une fois dans l'atelier de Tony Lai et Maggie Chann, le visiteur est dans une machine à remonter le temps. Dans un coin, il se retrouve au milieu d'une fête foraine, avec ses manèges et sa grande roue. De l'autre, il assiste à la danse du dragon de feu à travers la ville.Les deux modélistes ont également répliqué avec luxe de détails un immeuble d'habitation, avec du linge aux fenêtres et les légendaires néons qui autrefois éclairaient les rues de l'ex-colonie britannique.Une chose anime ces deux artistes: reproduire le Hong Kong de leur enfance et permettre de faire ressurgir des souvenirs enfouis aux plus nostalgiques."Lorsque les personnes âgées voient nos créations, des choses leur reviennent", raconte M. Lai, en pointant le parc d'attractions Kai Tak, qui n'existe plus depuis 1982."Souvent, elles se mettent à pleurer à la vue de nos maquettes", raconte-t-il.A Hong Kong, se battre pour préserver le patrimoine architectural n'est pas une mince affaire face à l'avidité des magnats de l'immobilier, désireux de construire toujours plus de tours."Gravé dans ma mémoire"Le territoire de près de 7,5 millions d'habitants, où le mètre carré est l'un des plus chers de la planète, souffre d'une pénurie de logements.De nombreux édifices, dont certains sont un héritage du passé colonial de la ville, ont donc été démolis pour laisser place à des immeubles.Né à Hong Kong, M. Lai se souvient avec émotion des excursions avec son père sur l'île de Lamma, où les pêcheurs vivaient le long de la rive, dans de simples maisons en bois.Dans leur atelier, TOMA Miniatures, les deux artistes ont représenté une scène de la vie quotidienne dans un de ces villages. "Ce souvenir est resté gravé dans ma mémoire jusqu'à aujourd'hui", confie M. Lai.Mme Chan se rappelle de cette époque dans les moindres détails.Dans leur atelier, les deux modélistes ont chacun leur spécialité, M. Lai se concentre sur les grandes structures et Mme Chan sur les reproductions demandant plus de minutie.Inspirée par le souvenir de son père qui rapportait à la maison des plats, elle a commencé par reproduire des plats hongkongais en version miniature."Un simple poster ou un bol de nouilles au bœuf peut faire ressurgir des souvenirs et émouvoir des gens", explique-t-elle.L'an passé, un cinéma qui avait ouvert ses portes en 1952 dans le quartier de North Point, a fermé après avoir été racheté par des promoteurs immobiliers.Sauvé de la démolitionAvec son toit en arches de béton qui font sa singularité, le bâtiment apparait dans le film "Le Jeu de la mort" (1978) avec le célèbre acteur hongkongais Bruce Lee.Sauvé de la démolition en mai, il sera finalement rénové par de promoteurs immobiliers pour un montant de plusieurs milliards de dollars.D'autres édifices n'ont pas eu cette chance. Les autorités ont récemment autorisé la démolition d'un immeuble de quatre étages dans le quartier de Jordan, une décision critiquée par les associations de défense du patrimoine.La poste centrale, un bâtiment moderniste de l'après-guerre, située sur le très prisé front de mer, doit laisser place à un luxueux centre commercial."Hong Kong est une grande ville, et ses richesses architecturales ou les choses liées à notre enfance ont disparu les unes après les autres", regrette M. Lai.En plus de permettre aux habitants de se replonger avec nostalgie dans leur passé, ils espèrent pouvoir reconquérir les touristes étrangers, une fois la page de la pandémie tournée."J'espère que lorsqu'ils viendront nous rendre visite, ils verront qu'il y a beaucoup de choses ici qu'ils n'ont pas encore découvertes", dit Chan. "J'espère que nos créations pourront donner une idée de ce qu'est réellement Hong Kong".
Il y a 3 ans et 297 jours

Wavin accompagne le chantier SO POP à Saint-Ouen avec plus de 4 000 raccords Tigris M5 et environ 5 000 m de tubes multicouches

À Saint-Ouen (93) aux portes de Paris, le programme neuf SO POP de la foncière COVIVIO adopte les raccords Tigris M5 et les tubes multicouches Wavin. Cet immeuble à l’architecture unique compte 32 000 m2 de bureaux répartis sur 7 niveaux. Le programme SO POP, dont la fin du chantier est prévue pour le 1er semestre 2022, se trouve dans un quartier en plein essor économique. Ce nouvel immeuble de bureaux, à l’architecture emblématique tout en rondeur, est érigé sur l’ancien siège social de Citroën. La division Tertiaire de SPIE Industrie & Tertiaire a été sélectionnée par la foncière COVIVIO, opérateur immobilier européen, pour la réalisation des travaux de CVC (chauffage, ventilation, climatisation), plomberie, courants forts, courants faibles et gestion technique du bâtiment de ce chantier. « Plus de 4 000 raccords Wavin Tigris M5 et environ 5 000 m de tubes multicouches viennent alimenter les réseaux d’hydrodistribution de ces futurs bureaux. Avec autant de raccords à installer, la technologie ACOUSTIC LEAK ALERT des Tigris M5 nous fait gagner un temps considérable sur le chantier et nous évite les mauvaises surprises lors de la mise en eau. » explique Yvan Maurouard – Coordinateur Chantier SPIE Industrie & Tertiaire. Des réseaux d’eau plus fiables et performants La réduction des risques de fuites d’eau et le développement de solutions pour des installations sanitaires fiables et durables sont au cœur de la philosophie Wavin. L’entreprise propose des produits de qualité permettant un approvisionnement sûr et une bonne distribution de l’eau. Sur le chantier SO POP, SPIE Industrie & Tertiaire apporte à COVIVIO une solution globale en génie climatique et génie électrique pour simplifier les décisions techniques et organisationnelles, et fluidifier les phases d’interventions des équipes. Yvan Maurouard – Coordinateur Chantier SPIE Industrie & Tertiaire Grand projet – organise et orchestre l’avancement de tous les corps d’état sur ce chantier (une centaine de personnes au total). Il explique pourquoi son choix s’est porté sur les solutions Wavin pour le réseau d’hydrodistribution de ce chantier. « J’ai connu les solutions Wavin au travers de différentes expériences sur d’autres chantiers. J’ai bien évidemment installé plein d’autres raccords mais Tigris M5 est vraiment différent. Sur le programme neuf SO POP de 7 étages et plus de 32 000 m2, nous devons installer environ 5 000 m de tubes multicouches et plus 4 000 raccords. Le nombre de raccords à sertir est considérable et nous n’avons qu’un seul point d’eau dans les colonnes sur chantier. Les repères visuels et la détection sonore des fuites avec sifflement à l’air des nouveaux raccords Wavin Tigris M5 nous évitent de gros dégâts en cas d’oubli d’un sertissage lors de la mise en eau du réseau. C’est très pratique sur un gros chantier comme SO POP car il est difficile de vérifier un à un chaque sertissage. C’est un gain de temps très important ! De plus, les tubes multicouches Wavin que nous avons utilisé sont insensibles à la corrosion et ont des parois extrêmement lisses qui évitent le dépôt de calcaire. Ces solutions Wavin nous permettent d’offrir au client un réseau durable et performant grâce à une installation fiable et pérenne. Nous bénéficions également d’un très bon suivi de projet. Le commercial Wavin reste très disponible et nous apporte des solutions très rapidement. C’est important pour un chantier comme SO POP où nous avons énormément de raccords à installer. Nous avons également reçu une formation par les équipes Wavin afin de nous expliquer toutes les bonnes pratiques pour une pose parfaite des raccords. Cette formation nous a permis de répondre aux questions des employés qui ne connaissaient pas forcément le produit et de leur montrer comment bien contrôler un raccord visuellement avant sertissage. »   Tigris M5, une innovation mondiale Le raccord Tigris M5 de Wavin compte parmi les dernières innovations les plus marquantes en termes de sécurisation des installations sanitaires. Sa particularité : être le seul raccord au monde équipé d’un système intégré de détection acoustique des fuites. Développé pour répondre aux besoins des installateurs, le Tigris M5 offre une grande fiabilité des raccordements pour minimiser les risques de fuites. Pour cela, il est doté de la technologie ACOUSTIC LEAK ALERT qui, en cas de raccord non serti, émet un sifflement lors d’un test de pré-réception réalisé à l’air. Ce sifflement de 80 db facilite la localisation des fuites, assurant un gain de temps précieux sur le chantier. Autre avantage, l’utilisation de l’air lors des essais permet de laisser l’installation hors d’eau, évitant tout dommage dû au gel sur les chantiers non chauffés pendant la période hivernale. Par ailleurs, l’absence d’eau dans les circuits permet d’éviter toute stagnation prolongée avant la réception de l’ouvrage, réduisant ainsi les risques de développement de légionelles. Et pour encore plus de sécurité lors de la mise en eau, le Tigris M5 bénéficie du système DEFINED LEAK. Ce dernier permet une identification d’éventuels raccords non sertis résiduels grâce à un filet d’eau visible dès 2,5 bars de pression. Le raccord Tigris M5 est un véritable concentré de technologies qui possède bien d’autres atouts destinés à faciliter les travaux des installateurs et à leur assurer des connexions de qualité. En témoigne la technologie IN4SURE qui rend visible le tube à 360° au bout de son emboîtement. Fenêtre astucieuse sur le tube parfaitement emboîté, elle permet son sertissage en toute confiance. La tête hexagonale brevetée EASYFIT facilite d’ailleurs l’emboîtement du raccord sur le tube afin de réduire la pénibilité des travaux. Conçu pour offrir des performances hydrauliques optimales, le raccord Tigris M5 de Wavin est équipé du système OPTI FLOW qui permet de bénéficier d’une grande section de passage pour un flux d’eau amélioré. Les pertes de charge sont réduites pour offrir au réseau toute sa performance. Enfin, avec les raccords Tigris M5, nul besoin d’acquérir de nouveaux outils. Avec le procédé MULTI JAW, les profils de pince à sertir U, Up, H, TH et B sont parfaitement compatibles et garantissent des connexions sûres.   À PROPOS DE WAVIN Créée en 1971, la filiale Wavin France est spécialisée dans la conception, la fabrication et la commercialisation de fournitures de systèmes de canalisations en matière plastique et de solutions destinées à l’assainissement des eaux usées, à la collecte et la gestion des eaux pluviales, et à l’adduction d’eau potable. Wavin est une filiale du Groupe ORBIA, liés par un objectif commun : faire progresser la vie dans le monde. Wavin est l’un des seuls acteurs du secteur présent à la fois sur les marchés du bâtiment et des travaux publics. Il couvre l’ensemble du cycle de l’eau pour une gestion plus équilibrée : de la collecte au rejet. www.wavin.com/fr-fr
Il y a 3 ans et 313 jours

A Lyon, un urbanisme vert par petites touches

"Tout ce qui est au-dessus de 50 mètres" - définition administrative d'un immeuble de grande hauteur - "a été enlevé", décrypte-t-on à la société publique chargée d'aménager le site, la SPL Part Dieu. 100.000 mètres carrés de constructions sont passés à la trappe, presque exclusivement des bureaux.Végétalisé et "apaisé", le premier quartier d'affaires de France hors Paris doit devenir un endroit "à vivre", au service de ses habitants, ambitionnent les écologistes qui présentaient là leur premier grand chantier depuis leur arrivée à la tête de Lyon il y a un an."On ne veut plus d'hyper-spécialisation. Le mot clef, c'est rééquilibrage des usages", souligne-t-on à la SPL.Deux voies de circulation ont été réservées aux "modes doux" de déplacement. Et les rares espaces verts prévus seront un peu plus généreux.Michel Le Faou, qui pilota la politique d'urbanisme de la précédente équipe, s'attendait à "beaucoup plus percutant": pour lui, les écologistes "se sont contentés de +greenwasher+ le projet existant".VertueuxCar la transformation de ce quartier symbolique des errements des années 70, avec son architecture brutaliste et la priorité donnée à la voiture, était déjà bien engagée, selon des orientations dont nombre étaient "écolo-compatibles" .D'autres chantiers, moins écologiquement vertueux, étaient trop avancés pour être remis en cause. Les nouveaux élus ont dû avaler la construction d'un spectaculaire gratte-ciel jouxtant la gare, dont les premiers étages commencent à sortir de terre.Le président de la métropole, Bruno Bernard, écologiste lui aussi, et le maire de la ville, Grégory Doucet, se sont aussi retrouvés à couper le ruban après l'achèvement des travaux du centre commercial de La Part-Dieu - le plus vaste d'Europe en centre-ville.Un complexe certes désormais coiffé d'agréables terrasses végétalisées remplaçant un ancien parking mais symbole pour nombre d'écologistes d'une frénésie de consommation honnie.Quid de la suite ? Piétonnisation devant les écoles, plantations de mini-vergers, réduction des places de parking au profit du vélo: de multiples annonces depuis un an esquissent par petites touches la ville verte de demain.Mais l'opposition reproche aux écologistes un manque d'ambition, attesté par l'absence de ces grands projets qui ont marqué les mandatures précédentes, comme la réhabilitation des berges du Rhône et de la Saône."Ce qui a porté la visibilité de Lyon depuis 40 ans était sa capacité à se projeter vers l'avant grâce à des projets emblématiques", estime M. Le Faou. "On en voit peu sortir et ceux en cours sont soumis à réinterrogation ou mis en +stand-by+".Ce choix de prendre son temps avant de fixer les grandes orientations de la ville pour des décennies, les Verts l'assument pleinement."Je ne veux pas signer les permis de construire de bâtiments qu'il faudra détruire dans moins de quarante ans", affirme l'adjoint à l'urbanisme de la ville, Raphaël Michaud qui dénonce le lancement d'opérations trop "expérimentales" dans le passé.Bling-bling"Un projet qui part à la poubelle... Un autre... Encore un autre", confirme le promoteur local Didier Caudard-Breille, réputé pour ses sièges sociaux à l'architecture innovante, en égrainant les projets bloqués depuis l'arrivée des Verts. Il dit avoir appris l'abandon d'un projet de tour "par la presse".Il est certes parvenu à sauver son projet de rénovation/extension d'un vieil immeuble de La Part Dieu, mais en acceptant d'en sacrifier la partie "la plus novatrice": piscine, salle de sport et spa ouverts aux résidents - fortunés - de l'immeuble."On a mis à la place du logement social", se félicite M. Michaud. Le jeune élu reconnaît "des négociations parfois très dures avec les promoteurs" mais, dit-il, c'est une des conditions pour que Lyon survive au dérèglement climatique". Les futurs projets, assure-t-il, seront tous examinés sous le prisme de leur contribution à la transition écologique de Lyon.Même le nouveau quartier branché de la Confluence, où se multiplient les initiatives écologiques, ne trouve pas grâce à ses yeux. Trop "bling-bling", avec ses architectes stars (Kengo Kuma, Jean Nouvel, Rudy Ricciotti, Odile Decq...)."On y a beaucoup tenté mais, en matière d'écologie, c'était de la communication qui s'est faite dans des conditions financières exorbitantes, alors que dans le même temps on a abandonné d'autres quartiers", dénonce-t-il. Avec le projet Hikari, qui ambitionnait de devenir le premier îlot urbain à énergie positive d'Europe, "on s'est ridiculisé".En matière de planification urbaine, les Vert ne partent pas d'une page blanche à Lyon. Sans être la "ville du quart d'heure" appelée de leur voeux, l'agglomération est déjà largement multipolaire, surtout avec l'émergence des nouveaux quartiers de Gerland, de La Soie et bientôt de La Saulaie, où cohabitent assez harmonieusement bureaux et logements.Mais l'attractivité de la troisième ville de France a propulsé les prix de l'immobilier à des niveaux jamais atteints en province."La priorité du mandat, c'est le logement abordable, pas le logement tout court", insiste M. Michaud. Des outils ont été mis en place ou renforcés, comme les baux fonciers solidaires et l'augmentation du budget consacré au logement social.Mais s'il veut tenir ses ambitieux objectifs, l'exécutif devra trouver où construire, puisqu'il s'est engagé à ne pas bétonniser des surfaces encore intactes et à rebasculer en zones agricoles nombre de terrains jusqu'alors promis à l'urbanisation.
Il y a 3 ans et 317 jours

Construction du cœur de ville à la place de l’ancien centre commercial Bobigny 2

Les fondations et le terrassement des bâtiments du futur cœur de ville de Bobigny doivent être réalisés de l’été 2021 à l’automne 2022. Le gros œuvre sera achevé d’ici octobre 2023.
Il y a 3 ans et 326 jours

En Russie, entreprises et autorités commencent à se tourner vers l'éolien

Mercredi, le géant de l'internet russe Yandex a ainsi annoncé avoir signé un contrat de cinq ans pour la fourniture d'énergie issue de parcs éoliens finlandais.Cette énergie, qui sera fournie par le groupe finlandais Ilmatar Energy à partir de janvier, est destinée à couvrir 100% des besoins d'un centre de données du groupe russe en Finlande.Toujours mercredi, le fonds souverain russe a annoncé le rachat par sa co-ntreprise avec le groupe finlandais d'énergie Fortum de deux champs éoliens en Kalmoukie (sud de la Russie). Cette coentreprise avait déjà annoncé en mars la construction d'une centrale solaire photo-voltaïque dans cette même région.Si ces initiatives impliquent des entreprises finlandaises, c'est que la Russie dispose de peu de structures de ce type et surtout du savoir-faire qui va avec, qu'elle va chercher en Europe.Parmi les principaux acteurs du secteur, l'agence nucléaire Rosatom a lancé plusieurs grands parcs éoliens depuis 2020 avec le fabricant néerlandais d'éoliennes Lagerwey.Longtemps au deuxième plan, le changement climatique est devenu un sujet récurrent dans le discours public russe ces derniers temps. Les régions russes de Sibérie et de l'Arctique sont parmi les plus exposées au monde au réchauffement.Elles ont enregistré ces dernières années des records de chaleur, mais aussi de gigantesques et inhabituels feux de forêts. Mais la Russie voit aussi du positif à ce réchauffement, à commencer par le développement d'une route commerciale maritime reliant Europe et Asie par l'Arctique, plus praticable grâce à la fonte des glaces.La Russie figure aujourd'hui au 4e rang des plus gros émetteurs de gaz à effet de serre au monde et Vladimir Poutine, après des années d'hésitations, a ratifié en octobre 2019 l'accord de Paris sur le climat.
Il y a 3 ans et 340 jours

Centres commerciaux : la transformation de La Part Dieu arrive à son terme

Le centre commercial lyonnais de La Part Dieu a inauguré un nouveau "rooftop", après quatre ans de travaux au prix d'un investissement de 400 millions d'€ pour Unibail Rodamco Westfield.
Il y a 3 ans et 341 jours

Les sculptures en béton de Joséphine Chevry sauvées par Alphi

En novembre dernier, Béton[s] le Magazine lançait un appel à mécénat pour sauver les œuvres en péril de Joséphine Chevy à La Grande Motte. Et le coffreur Alphi a répondu présent pour la moitié de son budget. Ce mécénat portera sur la rénovation des “Peignes”, sculptures en forme de “I” en béton. « Nous avons souhaité davantage participer à des évènements artistiques et culturels. Tout à commencer avec la photographe Lisa Ricciotti en janvier 2020. Avec la crise sanitaire, les choses ont été ralenties. Mais grâce à Béton[s] le Magazine, nous avons découvert le travail de Joséphine à La Grande Motte. Et nous avons adoré. Je connais d’autant plus cette ville balnéaire que j’ai effectué mes études d’ingénieur à Montpellier. J’ai toujours trouvé remarquable la réalisation architecturale de Jean Balladur, qui a pensé un mode de vie et un vivre ensemble de toutes pièces. Les sculptures de Joséphine sont liées à ce contexte. Elles font partie du visage de La Grande Motte et nous ne pouvions pas les laisser dépérir. Nous avons de plus avec elle un amour commun du béton », s’enthousiasme Alexandre Souvignet, le Pdg d’Alphi. Retour sur l’œuvre de Joséphine Chevry Il est des rencontres quasi-magiques, avec le béton comme élément fédérateur. Par un intermédiaire, je décroche mon téléphone. Pas moyen de se déplacer dans l’atelier-maison pour cause de Covid-19. J’appelle donc sur FaceTime la sculptrice Joséphine Chevry pour une interview. Et tout de suite, ça matche. Le courant passe avec cette dame élégante de 84 ans, à la voix rauque de fumeuse patentée. Là, elle me narre sa rencontre avec le béton. Avec Jean Balladur. Avec tant d’architectes. La Grande Motte (34) et son Jardin Minéral, qui dépérit sous les vents marins salés et corrosifs. Et qu’elle voudrait sauver… Mais commençons par le début de son aventure artistique. Les débuts Quand Joséphine Chevry, dite “Joséphine”, s’est-elle découverte une âme d’artiste ? « A 3 ans, je scarifiais les potirons du jardin de ma nounou. Ou j’arrosais avec une boîte de conserve trouée les cours poussiéreuses. Mes premières performances, si je puis dire… », explique Joséphine. A 16 ans, elle quitte la France pour Edinbourg, au Royaume-Uni, et s’y inscrit aux Beaux Arts. Puis, elle en revient, désirant devenir sculptrice. « Je voulais rentrer aux Beaux Arts de Paris. Maman qui était avant-gardiste, m’a dit “oui”… » Elle trouve déjà un soutien de l’Académie Charpentier, puis dans l’Atelier Marcel Gimond. Tous deux stimulent son travail aux Beaux Arts. C’est la rencontre avec l’architecte Jean Balladur qui l’encourage et lui donne confiance pour se présenter au Grand Prix de Rome, qu’elle décroche en 1966. Val d’Yerres (91), murs Cariatides et soutènement d’un parking, oeuvre réalisée avec l’architecte Jean Maneval. [©Fonds privé de l’artiste]Bernay (27), création de moules en polystyrène pour la réalisation d’une fontaine, oeuvre réalisée avec l’architecte Jean Balladur. [©Fonds privé de l’artiste]Evry (91), clôture des jardins privés du lotissement « les Epinettes », oeuvre rélisée avec l’architecte Jean Balladur. [©Fonds privé de l’artiste] Ses premières réalisations seront le fruit de sa fascination pour le béton. « Boue liquide qui, solidifiée, devient inaltérable », indique Joséphine, avec laquelle elle crée des ouvrages de grandes dimensions. « Joséphine Chevry va vers une matière modeste et primitive, mais moderne : le béton. C’est une boue liquide qui fait prise. Elle se prête avec complaisance à toutes les sollicitations du coffrage qui la contient. Elle utilise alors la souplesse et la force de cette matière contemporaine. La force, dont nous venons de parler, s’augmente par la grandeur que cette sculpture affectionne et qu’autorise la modicité de coût de ce produit. Peu de sculpteurs savent aussi bien qu’elle inscrire leur imaginaire dans la dimension qu’exige l’architecture et son environnement », expliquait alors l’architecte Jean Balladur. Le béton comme emblème Portrait de l’audacieuse Joséphine Chevry. [©Olivier Ramon] « Ma relation à l’objet est le poids, sa massivité. Je n’expose pas mes sculptures en galerie. J’aime voir les gens déambuler dans mon travail, martèle Joséphine. J’aime la proximité du corps. J’aime que chacun puisse toucher mes œuvres. J’aime descendre la sculpture de son socle pour la mettre dans la rue, les jardins, la confondre avec les architectures. Le béton m’a ainsi tendu les bras et répondait parfaitement à mes aspirations. » Les choses s’enchaînent. Au niveau de l’entrée des Beaux Arts de Dunkerque (59), elle réalise un drapé en béton de 6 m de haut. Puis, à la station de ski Puy-Saint-Vincent (05), elle sculpte toutes les coursives… Caen (14), les Mâts, éléments en béton préfabriqué, oeuvre réalisée avec l’architecte H. Ploquin. [©Fonds privé de l’artiste] Joséphine fait partie de ce mouvement de jeunes artistes de l’époque, qui vont se confronter à l’échelle du chantier architectural et urbain. Et apprendre à maîtriser ces outils et matériaux. Inventive, elle crée des moules légers en polystyrène en plusieurs morceaux, qui lui permettent de concevoir des formes par assemblage. La surface du matériau est aussi travaillée. Des empreintes sont gravées au fer de forge. Pour varier les textures et découper les blocs béton, elle utilise un fil chaud. Par contact, ce dernier fond le polystyrène et creuse le support, qui servira pour mouler le béton. Cette technique lui permet de concevoir des formes, dont le registre varie de l’arabesque à l’accident. Les coulées de béton épousent les parois des banches, qui libèrent une variété de concrétions monumentales en relief stratifiées, feuilletées, parfois drapées.  “Bétonner” La Grande Motte La Grande-Motte, 1968, une famille à la plage devant le Jardin Minéral en fond. [©Archives de la Mairie de la Grande Motte] Et nous arrivons à La Grande Motte, qui est son premier grand chantier, en 1968. Et ses œuvres monumentales. C’est Jean Balladur, encore et toujours lui, qui lui confie la réalisation de sculptures sur les dunes du Point Zéro. Il lui propose comme première page d’écriture, la plage de La Grande Motte, avec pour contrainte de fixer le sable. Car il n’y avait que marais et monceaux de sable assez “moches”. « Toute cette côte-là était sauvage dans les deux sens, le bon et le mauvais », se souvient Joséphine. A l’époque, elle arrive avec un seau de sable et des morceaux de carton. « A l’image de l’arbre ou de la concrétion du coquillage, la sculpture de Joséphine Chevry laisse affleurer à la surface de la matière le discours énigmatique du monde des choses », insistait Jean Balladur. Et ces deux-là, vont déambuler dans les dunes, parler art, parler de tout. « Une véritable symbiose. » Création du « Jardin Minéral » en 1968. Archive de la Mairie de La Grande Motte. [©Pierre Pillet paysagiste]Éléments du « Jardin Minéral » dans les dunes du Point Zéro créé par Joséphine Chevry en 1968 à La Grande Motte. [©Fabrice Duvert]Éléments du « Jardin Minéral » dans les dunes du Point Zéro créé par Joséphine Chevry en 1968 à La Grande Motte. [©Fonds privé de l’artiste]Éléments du « Jardin Minéral » dans les dunes du Point Zéro créé par Joséphine Chevry en 1968 à La Grande Motte. [©Fonds privé de l’artiste] Joséphine dessine alors sur le sable les premières formes d’écriture : des “I”, des “O” et des jambages. Elle propose ainsi un alphabet de formes simples en béton préfabriqué. Et un énorme chantier commence, de « folie le chantier ! » Moulés en béton brut, ces modules élémentaires sont préfabriqués en série, avant d’être fixés dans le sol que l’artiste a modelé en pentes douces. Le vent, la dune… Sur la dune, le béton… Joséphine a dessiné un jardin en béton, où l’on peut pique-niquer. Des formes derrière lesquelles se cacher des vents de sable, entre lesquelles courir et s’amuser à écouter les sons du souffle marin… Le Jardin Minéral devient emblématique du Point Zéro. Il figure même dans le label du Patrimoine du XXe siècle. Un jardin de sculptures en béton à sauver Création du « Jardin Minéral » en 1968. Archive de la Mairie de La Grande Motte. [©Pierre Pillet paysagiste] Après plusieurs tempêtes (notamment en 1989) et agressions climatiques, le béton des œuvres monumentales du Jardin Minéral de la Grande Motte a subi de graves lésions. De même que l’invasion de lichens et de mousse. Il est donc urgent de retrouver la “peau d’origine” des sculptures dégradées. En effet, le béton est soumis à l’épreuve du temps et du climat. Les facteurs environnementaux contribuent au développement de pathologies diverses : encrassement des surfaces, éclatement, eau douce (pluviale, acide sulfurique et nitrique) et eau de mer (sulfurique), provoquant dissolutions et décompositions du matériau. Il en est de même du cycle “gel-dégel”, qui entraîne des phénomènes d’écaillages, puis d’éclatement. Bref, il faut sauver ces œuvres en péril. A cette fin, Joséphine a créé l’association “Sous le vent_le béton”, afin d’envisager un chantier de restauration. Les travaux prévus portent sur le désensablage, la restauration des bétons après échantillonnage. Mais aussi sur la reconstitution des Peignes (formes en “I”) et le nettoyage et protection des bétons par hydro-gommage d’origine végétale, peiling et gommage. Enfin, l’étanchéité. La mairie de la Grande Motte soutient le projet et le coffreur Alphi a répondu présent pour le mécénat des Peignes, ce qui représente 50 % du budget de rénovation. C’est pourquoi nous appelons tous nos lecteurs cimentiers, bétonnières, industriels, entreprises générales… à soutenir cette initiative. A bon entendeur… Joséphine Chevry dans son atelier en 2018 en préparation de son exposition pour les 50 ans de La Grande Motte. [©Fonds privé de l’artiste] Association “Sous le vent_le béton”5 rue Marcel Pagnol – 34920 Le CresTél : +33 6 81 13 40 13 contactventbeton@gmail.comSite Internet Muriel Carbonnet 
Il y a 3 ans et 341 jours

IBAT lance sa nouvelle offre IBAT Achat ZEN pour les artisans, PME et TPE du BTP

Les artisans peuvent désormais, en quelques clics, passer leur commande à tous leurs fournisseurs depuis une seule et même application, puis piloter leurs achats. Ils gagnent ainsi beaucoup de temps dans leurs tâches administratives et maîtrisent en temps réel leurs dépenses. Ils peuvent alors se concentrer davantage sur leur cœur de métier.« Lorsque j'étais responsable d'un chantier, je passais mes soirées à vérifier mes factures mais ne savais jamais où j'en étais dans mes dépenses. Aucun outil n'était adapté à mes besoins spécifiques du BTP : je perdais énormément de temps. J'ai voulu créer un outil simple et efficace qui répond pleinement aux besoins des PME, TPE et artisans du BTP. » souligne Mélanie Lehoux, présidente d'IBAT.IBAT Achat ZEN, l'outil indispensable pour rendre plus simple et plus rapide la gestion des achats des PME, TPE et artisansIBAT confirme son engagement auprès des professionnels du BTP, afin de leur apporter toujours plus de services et d'accompagnement avec le lancement d'IBAT Achat ZEN.Grâce à un outil clé en main, simple d'utilisation, intuitif et accessible à tous, IBAT permet ainsi aux artisans de mieux gérer les documents administratifs liés aux dépenses de chantier, en particulier leurs achats auprès de leurs fournisseurs, et d'avoir un contrôle en direct de leur gestion d'entreprise via des reportings, suivi des dépenses...Par ailleurs, l'utilisateur peut géolocaliser les fournisseurs référencés autour de son chantier et passer directement commande en un clic, sans avoir à multiplier les appels téléphoniques pour valider une commande de matériaux ou de fournitures.« Nous sommes la plateforme qui rassemble l'entreprise du BTP et ses fournisseurs. Nous connaissons la valeur du service rendu par les fournisseurs pour une entreprise de bâtiment et leur rôle de conseil technique. C'est pour cela qu'IBAT digitalise les tâches administratives tout en conservant une place centrale à la relation humaine entre les professionnels du BTP et les fournisseurs. Nos partenaires fournisseurs sont les principaux acteurs du marché, ils peuvent se référencer directement sur l'outil et permettre ainsi à leurs clients de passer leurs commandes via l'application. Je précise que nous ne sommes pas une marketplace, nous ne prenons pas de commission sur les ventes et n'interférons pas dans la relation commerciale entre les fournisseurs et les entreprises », précise Mélanie Lehoux.500 000 références sont d'ores et déjà disponibles sur IBAT Achat ZEN dans les domaines d'application suivants :structure/gros œuvre : acier, profilé métallique...négoces matériaux gros œuvre et TP : maçonnerie, isolant, voirie, équipements routiers, bois, produits d'étanchéité, produits de carrière...matériel de chantier : manutention, stockage, matériel de carrière, matériels électriques de chantier...location matériels et véhicules de chantier…fournitures pour second œuvre : plomberie, fournitures électriques, menuiserie, revêtement de sols et murs, terrasse et jardin…outillage et quincaillerie : matériels et consommables électroportatifs, matériels de peinture, quincaillerie...produits chimiques du BTP : traitement des métaux, des joints, des bétons…Avec IBAT Achat ZEN, l’utilisateur peut :créer et personnaliser son espace entreprisechoisir ses articlesfaire une demande de devispasser sa commandesuivre son budget en temps réelAvec cette nouvelle application, la gestion et le suivi d’un chantier se fait en toute sérénité. Le gérant dispose de toutes les clés pour piloter simplement sa dépense et libère du temps pour son cœur de métier. “Avec IBAT Achat ZEN, nous avons tout simplement adapté ce qui existe dans votre vie de tous les jours, à l’activité des professionnels du secteur du bâtiment. Pour vos achats sur chantier, restez ZEN, IBAT s’occupe de tout ”, assure Mélanie Lehoux.
Il y a 3 ans et 343 jours

La transformation du centre commercial de La Part Dieu à Lyon arrive à son terme

"C'est devenu trop réducteur de parler de centre commercial pour La Part Dieu. Avec ses nouveaux espaces, c'est un endroit à vivre ensemble", a fait valoir Anne-Sophie Sancerre, directrice général pour l'Europe du Sud d'URW.Les nouvelles surfaces inaugurées, en partie gagnées sur l'ancien parking occupant le toit du centre, sont largement consacrées à la restauration et aux loisirs.La réflexion sur le devenir du premier centre commercial de centre-ville en Europe, avec ses 33 millions de visiteurs par an, avait été engagée il y a près de dix ans."C'est un monolithe qu'il fallait ouvrir" en y créant de nouveaux accès et en y faisant arriver la lumière du jour, a expliqué l'architecte du projet Winy Maas.Le massif bâtiment qui interdisait ainsi l'accès du centre historique depuis la gare a été percé de nouveaux cheminements. Trois escaliers monumentaux permettent d'accéder à ses toits végétalisés où s'installent des terrasses de restaurants offrant une vue imprenable sur les tours de ce quartier d'affaires.Le centre a été doté de 32.000 mètres carrés supplémentaires pour porter sa surface totale à 160.000 m2. Mais l'existant a également été complètement rénové, notamment au niveau des sols et des plafonds.Le nombre de places de parking, largement excédentaire avec l'amélioration de la desserte du quartier par les transports en commun, a été ramené de 4.300 à 3.150. "Il n'y a plus que 14% des clients qui viennent en voiture contre 25% il y a quelques années", s'est félicité Mme Sancerre.La nouvelle offre de restauration installée sous une immense verrière - 25 établissements - se veut plus qualitative par rapport aux enseignes de restauration rapide déjà présentes dans le centre.A l'étage inférieur, un "food court" à l'esthétique grunge rassemble une dizaine de kiosques opérés par des restaurateurs lyonnais, dont une "épicerie comptoir" du chef étoilé Mathieu Vianney (La Mère Brazier).Avec les 350 emplois créés avec le "rooftop", le centre commercial emploie désormais 4.700 personnes - presque la moitié des effectifs totaux du géant américain Amazon en France, a relevé Mme Sancerre.Si les gros travaux se terminent, le centre n'a pas encore complètement terminé sa mue.Le cinéma, opéré par UGC, va profiter de son déménagement pour passer de 14 à 18 salles. La plus petite salle du nouveau complexe sera équivalente à la plus grande de l'ancien. L'inauguration est prévue cet été.A l'emplacement laissé vacant ouvrira l'an prochain un "pôle loisirs", aux contours encore non précisés. Le centre dispose déjà d'un espace d'escalade ludique tourné vers les enfants.
Il y a 3 ans et 352 jours

Du bâtiment intelligent à un environnement sain

Au cours des années précédentes, NanoSources s'était concentré sur le développement commercial de produits innovants respectueux de l’environnement, centrés pour les milieux industriels, de la construction, de la rénovation du bâtiment, ou encore pour augmenter la production d'énergie du panneau photovoltaïque. Pour extérieurs et intérieurs de l’habitat, les solutions pour surfaces et matériaux se déclinent en nettoyant, démoussant, hydro-oléofuge imperméabilisant, à des produits dits «intelligents» qualifiés par la gamme SurfaShield.Ci-contre à gauche : photo d’un banc nettoyé puis traité partiellement à gauche par SurfaShield C, la partie de droite reste non traitée.Résultat après plus de deux ans, en extérieur.Sous forme liquide, applicable par pulvérisation, SurfaShield est un auto-actif qui rend en continue une surface: dépolluante (dépollue l’air extérieur et intérieur), autonettoyante, auto-stérilisante détruit toute présence de microbe, spore, bactérie…), dépourvue de traces de pollution, odeur, taches, fongiques, mousses sans modifier un mur ou tout matériau traité, le laissant totalement respirer. Dure plus d’une dizaine d’année, sans former de film.Ces produits intelligents, s’ancrent aux micropores des surfaces et s’activent par la lumière naturelle (du jour) ou artificielle agissant en continue et apportant à la surface traitée des performances multiples et durables.Photo de gauche : dépôt de bactériesPhoto de droite : bactéries désagrégées, sur une surface traitée avec SurfaShieldPour répondre à la crise du COVID-19, participer à freiner la pandémie de SRAS-CoV-2 NanoSources a été plutôt préparé ne se limitant pas uniquement aux gels antiseptiques pour les mains, mais à une série complète de préparations nettoyantes, désinfectantes, et de protections actives aux propriétés microbicides, antivirales et antiseptiques.Les boutons et les touches, les sièges utilisés quotidiennement sont parmi les surfaces les plus contaminées. Il a été démontré qu'un bouton d'ascenseur peut être près de 40 fois plus contaminé qu'un abattant de toilettes publiques. Même si la surface est désinfectée une ou deux fois par jour, la charge microbienne n'est éliminée qu'avec l'utilisation de produits intelligents, qui agissent constamment comme un bouclier de protection hygiénique de surface.Pour plus d'information consultez le site du fabricant : https://nanosources.fr/
Il y a 3 ans et 353 jours

Adieu les tours ! Lyon esquisse sa vision d'une Part-Dieu végétalisée et "apaisée"

Si l'ancien maire Gérard Collomb rêvait d'une "skyline" fournie, symbolisant l'accès de sa ville au rang de grande métropole européenne, ses successeurs ont acté l'abandon de tout projet d'immeuble de grande hauteur dans le premier quartier d'affaires français en dehors de l'agglomération parisienne.Le nouveau projet, "clairement orienté vers les habitants", selon le président de la métropole Bruno Bernard (EELV), réduit de 100.000 mètres carrés les constructions prévues dans le quartier, dont 85.000 m2 de bureaux. Il reste néanmoins encore 250.000 m2 de bureaux à livrer d'ici 2030, précise-t-on à la métropole.Le volume de construction de logements est globalement maintenu - 92.000 m2 restent à livrer - mais avec un poids accru de logements accessibles.De nouveaux équipements de proximité, notamment des crèches, ont été planifiés pour accompagner l'accroissement prévu de la population du quartier."Jusqu'ici, on parlait surtout de la +skyline+ de La Part-Dieu, de sa grande verticalité. Maintenant, on a retrouvé la terre et une dimension humaine", a relevé devant la presse l'adjoint à l'Urbanisme de la ville Raphaël Michaud.En particulier, "la forêt de tours" prévue au nord de la gare laissera la place à un espace vert, à des logements et des immeubles de bureaux de taille modeste.La nouvelle majorité municipale et métropolitaine, avait pris acte dès son arrivée au pouvoir il y a un an, de l'irréversibilité de grands projets en cours qui vont transformer profondément le quartier: modernisation du centre commercial, refonte de la gare, édification de la nouvelle tour ToLyon et reconstruction de l'ancienne tour EDF.Elle entend toutefois mettre sa patte sur le verdissement du quartier, avec un accroissement sur le mandat de 77% du nombre d'arbres et de 25% des surfaces "dégoudronnées". Avec une accélération prévue pour un éventuel deuxième mandat. De même, les itinéraires cyclistes vont être doublés sur la période.Le foncier des principaux espaces verts prévus appartient toutefois à des tiers, comme l'Etat ou France Télévisions, ce qui augure de discussions "pas simple", a concédé Béatrice Vessiller, vice-présidente chargée de l'Urbanisme à la métropole.Une donnée qui explique notamment que les premières réalisations des Verts ne devraient se concrétiser qu'en toute fin de mandature.Ce changement de cap s'effectuera "dans une équation économique identique", les "investissements lourds prévus étant maintenus", en dépit de la réduction des droits à construire, a indiqué M. Bernard.
Il y a 3 ans et 356 jours

Les chaussettes à béton CHAB remportent l'InnovDay TP, concours de l'innovation dans les Travaux Publics

La finale s'est déroulée mardi 25 mai 2021 à Lyon dans les locaux de la profession, en présence de Pierre Berger, Président de la FRTP Auvergne-Rhône-Alpes, Paul Galonnier, Président du Cluster INDURA et de Pierre Rampa, Président du Hub Innov'Infra.Les autres innovations gagnantes d'InnovDay TP sont le robot de traitement de façade PaintUP présenté par Romaric Gomart, PDG fondateur de PaintUP, basée à Villefranche-sur-Saône (69) dans l'Univers Transitions numériques et robotiques, et les Ecrans forestiers NGE Fondation présentés par Clément Bois, Directeur développement de NGE Fondations, basée à Saint-Priest (69) dans l'Univers Sobriété énergétique. Les 3 gagnants récompensés par une visibilité régionale participeront à la 6e édition du Salon Espace BTP des 1, 2, 3 et 4 juillet au Parc des Oiseaux de Villars-les-Dombes (01). Olivier Balas sera quant à lui récompensé par une visibilité nationale lors de la Rencontre annuelle des travaux publics de la FNTP en février 2022 ainsi que l'a annoncé par visio Bruno Cavagné, Président de la FNTP.« Mariage du textile et des Travaux Publics, la solution CHAB Chaussette à Béton est née de l'union de trois industriels leader dans leur domaine, Balas Textile, CTMI et SMB Bord Côte, en collaboration avec l'INSA Lyon » Olivier Balas, Président de Balas Textile46.500 votes !Après quatre semaines d'une campagne 100% digitale et 46 500 votes du public, les 49 innovations en lice ont été sélectionnées par les internautes. Les 9 lauréats des 3 univers, Transitions numériques et robotiques, Sobriété énergétique et Green Technologies, ont ensuite été départagés par le jury d'Innov Day TP, composé d'experts économiques, universitaires et scientifiques, à l'issue d'un ultime concours de pitchs.De g à d : Pierre Berger, Président de la FRTP Auvergne-Rhône-Alpes, Romaric Gomart, PDG Fondateur de PaintUP, Clément Bois, Directeur développement de NGE Fondations, Olivier Balas, Président de Balas Textile et Paul Galonnier, Président du Cluster INDURAComposition du jury : Dominique Chevillard, Directeur Technique et de la Recherche FNTP, Thierry Michel, président de la Commission Développement Durable FRTP Auvergne-Rhône-Alpes, Emmanuel Bois, Secrétaire Général Coordonnateur des Ecoles des Travaux Publics d'Egletons, Jean-Louis Valentin Directeur de Centre d'Affaires BTP Banque, Virginie Willaert, Directrice stratégie et développement Egis Rail, Olivier Bedeau, Directeur général de l'Auxiliaire, Félix Darve, Président du Conseil scientifique d'INDURA, Béatrice Causse, Directrice déléguée PRO BTP.Les chaussettes à béton Chab : la solution textile qui change la donne pour les fondationsLa construction nécessite des fondations. Cela implique de forer dans le sol pour construire des pieux de béton armé, ancrés dans un sol solide en dessous. Avec la raréfaction du terrain facilement constructible, les constructeurs se tournent vers des sites où d'épaisses couches de sol instable recouvrent le sol.Pour que les pieux atteignent le substratum rocheux, profondément en dessous, jusqu'à 30 m, il faut utiliser des équipements lourds, coûteux et encombrants tels que des caissons en acier. Les pieux forés à caisson d'acier sont nécessaires lorsqu'ils sont confrontés à des couches creuses. Mais le béton peut se répandre et polluer le sol, lorsque l'eau pénètre ou que le sol grotte, ce qui entraîne des pieux défectueux qui doivent être reconstruits. Le caisson en acier présente trois inconvénients principaux :Coûteux : nécessite de la machinerie lourde spécialisée et une logistique complexe qui peut engendrer des retards ;Fort impact environnemental : empreinte carbone élevée de la production, du transport et de la manutention ;Dangereux à utiliser.« CHAB change la donne pour les fondations profondes et participe à des techniques de construction beaucoup plus propres ! » souligne Olivier BALASLes chaussettes à béton CHAB remplacent les caissons en acier par une solution textile légère et facile à utiliser, qui n'a pratiquement pas d'exigences logistiques.Cette solution offre le même niveau de qualité, réduit les coûts, les retards et les risques.Innovation : Mise en place de pieux dans des zones meubles ou en présence de cavités karstiques. Par sa capacité de déformation et sa résistance à la pression lors du coulage du béton frais, la solution Chab permet la réalisation de pieux en évitant toute pollution et ce, avec un niveau de manipulation simple et en toute sécurité. Elle permet, à coût très inférieur par rapport à la solution employant des tubes acier, une réduction importante de l'empreinte carbone et une productivité accrue quel que soit le terrain.Société basée à Saint Romain-de-Popey (69) : CHAB est née de l'union de 3 industriels leaders dans leur domaine, Balas Textile, CTMI et SMB Bord Côte, en collaboration avec l'INSA Lyon, lauréats R&D booster 2018. Leur volonté a été de créer une structure industrielle innovante régionale dans le domaine du TP à rayonnement national et international. Leur expertise et leur savoir-faire dans les techniques et l'assemblage de composite ont permis à CHAB de déposer un brevet en 2019 sur une solution « Chaussette à béton ». https://chab-solutions.com/ZOOM sur les 2 autres lauréats des Univers Sobriété Energétique & Transitions numériques et robotiquesEcrans forestiers, par NGE FondationsLes écrans forestiers permettent d'éviter la réalisation d'ancrages forés et scellés au coulis de ciment, et de réduire les travaux d'abattage et le préjudice à l'environnement associé.« L'utilisation du peuplement forestier devient l'élément structurel des ouvrages de protection pare-pierres » précise Clément Bois, Directeur développement de NGE Fondations, lauréat dans l'Univers Sobriété Energétique.Fondations porte son effort de recherche sur des solutions innovantes en lien avec ses objectifs de réduction d'émissions de gaz à effet de serre et du respect de la biodiversité.Les 780 collaborateurs de NGE FONDATIONS accompagnent depuis 30 ans leurs clients sur tous les projets de fondations, de confortements et de travaux spéciaux, pour 200 millions d'euros de chiffres d'affaires, sur l'ensemble du territoire français et à La Réunion. Leader français de l'activité de sécurisation contre les risques naturels, NGE FONDATIONS conçoit, teste et commercialise des produits : paroi AD/OC®, écrans pare-blocs et forestiers, paravalanches et solutions de protection spécifiques. https://www.ngefondations.fr/Robot PaintUP, par PaintupLe robot de traitement de façade PaintUP est capable de nettoyer, décaper et peindre grâce à un bras robotisé porté par un chariot télescopique rotatif. Au sol, un ordinateur et un laser permettent de positionner et piloter le robot avec une grande précision.« Au-delà d'une finition prémium et d'une plus grande productivité, ce système améliore la sécurité en diminuant le risque de chutes et réduit la pénibilité » souligne Romaric Gomart, PDG Fondateur de PaintUP, lauréat dans l'Univers Transitions Numériques et Robotiques.Le potentiel de la solution PaintUP va au-delà de son utilisation actuelle. Il est possible entre autres de réaliser des fresques monumentales à des prix très concurrentiels.Société basée à Villefranche-sur-Saône (69) : Après 3 ans de R&D associant une Université et des industriels, le premier prototype PaintUP est entré en production en août 2019 sur un nettoyage de façade de 1800m2. La réussite de ce premier grand chantier a montré que la technologie PaintUP était opérationnel. http://www.paintup.fr/
Il y a 3 ans et 356 jours

Watts protège les réseaux d’eaux intérieurs de la Tour Pacific à La Défense

Construite en 1992, la Tour Pacific est idéalement située dans le secteur Valmy au cœur du quartier d’affaires de Paris La Défense. Conformément au Code de la Santé Publique et au Règlement Sanitaire Départemental, l’immeuble tertiaire a été équipé, lors de sa conception, de dispositifs de protection afin de prévenir tout risque de pollution des réseaux d’eau intérieurs. Près de 30 ans après leur installation, le gestionnaire du bâtiment vient de remplacer l’intégralité des appareils avec des disconnecteurs hydrauliques Watts.   Un vaste maillage de canalisations D’une surface totale de plus de 55.000 m2, la Tour Pacific se compose de deux ailes (Est et Ouest) reliées entre elles par un pont. Haute chacune de 25 étages, elles abritent des espaces de bureaux et offrent de nombreux aménagements tels qu’un espace lounge, un centre de conférence ainsi qu’un restaurant avec terrasse situé au 23ème étage. A l’intérieur, le réseau de distribution d’eau est organisé selon trois utilisations : • l’alimentation en eau chaude /eau froide sanitaire de l’ensemble du gratte-ciel, • le circuit de sécurité incendie qui dessert les sprinklers présents dans les deux ailes du bâtiment, • l’usage technique et d’agrément comprenant le système d’arrosage automatique et le miroir d’eau du roof-top.   Tel que défini par le bureau d’étude d’hydraulique dès la conception de l’immeuble, chaque niveau, composé d’un vaste maillage de canalisations, est équipé de dispositifs de protection antipollution. Placés à différents points du réseau, ils évitent toute contamination de l’eau potable distribuée dans l’installation par des phénomènes de retour d’eau.   Fin 2020, l’entreprise habilitée à effectuer le contrôle annuel obligatoire des disconnecteurs, procédure destinée à vérifier le bon fonctionnement du dispositif antipollution, a constaté que certains appareils vieillissants nécessitaient une remise en conformité. Afin de simplifier le suivi de l’installation, en particulier la maintenance, Monsieur Derouiche d’OA7 Energy, chargé d’affaires travaux sur le site, a alors proposé au propriétaire du bâtiment d’uniformiser les produits en choisissant des solutions de la gamme antipollution de Watts.   Les disconnecteurs hydrauliques Watts au service d’une protection optimale des réseaux Après avoir réalisé des prises de mesure sur site et effectué une pré-sélection des modèles, OA7 Energy a pu compter sur le soutien technique de Watts. Comme l’explique Monsieur Derouiche : « Watts m’a conforté dans mon choix en m’assurant, d’une part que les disconnecteurs retenus correspondaient bien à l’installation de la Tour Pacific et d’autre part, que leur encombrement serait le même afin d’éviter d’importants travaux d’adaptation ».   Conformes à la norme EN12729, 8 nouveaux disconnecteurs hydrauliques à zone de pression réduite contrôlable de type BA ont ainsi été mis en œuvre pour protéger les réseaux d’eau intérieurs à raison de : • 2 disconnecteurs en diamètre 200 mm pour le circuit de sécurité incendie, • 2 disconnecteurs en diamètre 100 mm pour l’alimentation principale en eau froide/eau chaude sanitaire des 800 points d’eau répartis dans les 2 ailes de l’édifice, • 2 disconnecteurs en diamètre 65 mm et 25 mm pour l’alimentation en eau adoucie du bar, de la cuisine et de la laverie, • 2 disconnecteurs en diamètre 50 mm et 25 mm pour l’alimentation du circuit d’arrosage automatique et celle du miroir d’eau actuellement en cours de réalisation au niveau de la terrasse.   Grâce à l’accompagnement personnalisé du responsable technico-commercial de Watts, l’installation des nouveaux disconnecteurs a été réalisée sans encombre en février dernier. « Elle a nécessité l’intervention d’une équipe de 4 personnes pendant 4 jours et l’utilisation de matériel de levage pour manipuler notamment les plus gros modèles dont le poids avoisine les 140 kg », conclut Monsieur Derouiche. http://www.wattswater.fr
Il y a 3 ans et 357 jours

Saint-Laurent-du-Var : le centre commercial Cap 3000 fera prochainement l’objet d’une extension

Le centre commercial Cap 3000, à Saint-Laurent-du-Var, maintient son projet d’extension.
Il y a 3 ans et 360 jours

Xella habille le projet majeur de Saint-Etienne

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Les blocs Ytong limiteront l’éventuelle propagation des feux dans le centre commercial Steel. [©Xella] LOIRE. Le projet du centre commercial Steel a été imaginé par Sud Architectes, Atelier Rivat et Studio Briand & Berthereau. Il a ouvert ses portes à l’entrée de Saint-Etienne, en septembre. Il associe 52 000 m2 de surfaces commerciales, avec plus de 70 enseignes, restaurants et loisirs. Et 37 000 m2 d’espaces verts. Sur ce type d’établissements recevant du public (ERP), la réglementation relative à la protection incendie est très exigeante. Elle prévoit des dispositions constructives particulières, pour limiter la propagation des flammes et des fumées. Parmi les techniques choisies, les solutions coupe-feu Xella ont été retenue. Ceci, pour le cloisonnement des cellules commerciales et des locaux techniques.  Les produits Xella à l’honneur Les entreprises Civez, Sopraco et Chenaud Bâtiments sont en charge du chantier. Elles sont habituées aux produits Xella et ont privilégié le bloc Ytong Compact 20. Ce ne sont pas moins de 550 m3. Soit près de 2 800 m2 de murs séparatifs coupe-feu Ytong. Qui ont été posés dans les différentes zones commerciales.  Classé A1, soit dans la catégorie “Matériaux non combustibles”, le bloc Ytong n’alimentera pas le feu et limitera la propagation des flammes. De plus, il ne dégage ni fumée toxique, ni gaz. Et ne se déforme pas sous l’effet de la chaleur. En détail, le bloc limite l’élévation de température à 30 °C au bout de 1 h 30. Et à 70 °C au bout de 4 h 00.  Lire aussi les autres actualités en région Autre atout : la légèreté. « Nous sommes intervenus sur l’une des enseignes du centre commercial Steel, explique Eric Chenaud gérant de Chenaud Bâtiments. Nous y avons posé 250 m2 d’Ytong Compact 20. Le faible poids du bloc, limité à 93,5 kg/m2, a permis de répondre à la contrainte de surcharge linéique des murs séparatifs sur les dalles. » Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 360 jours

Putzmeister : « Il est essentiel d’apporter au client le service qu’il attend »

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Iván Martinsanz est le nouveau directeur général de Putzmeister France, depuis quelques moins maintenant. [©Putzmeister] Vous avez été nommé à la direction de Putzmeister France il y a quelques mois. Quelles sont les orientations que vous souhaitez donner à cette entreprise ? Iván Martinsanz : La nouvelle stratégie de Putzmeister en France va s’inscrire dans la durée et s’articule autour de 3 axes, dont le SAV est le premier pilier. Il est essentiel d’apporter au client le service qu’il se doit d’attendre de nous. Cela passe par une réponse rapide et la disponibilité de la bonne pièce. Dans ce cadre, nous allons intégrer un inspecteur technique après-ventes pièces et services, qui nous permettra d’être encore plus pro-actifs auprès des utilisateurs de nos machines. Lire aussi :Putzmeister présente son nouveau Mixokret M 740 Le client est donc au centre de notre développement. Là encore, la réponse à ses demandes doit être immédiate et de qualité.  Enfin, faire croître l’entreprise constitue le 3epilier, surtout en cette période très compliquée. Heureusement, le secteur du BTP et du béton s’en sort plutôt bien.  D’autres changements sont-ils intervenus dans l’entreprise ? Renforcer l’entreprise, c’est renforcer l’interne, donc les équipes. A ce niveau, notre force de vente régionale, constituée de 3 personnes, va voir l’arrivée d’un 4etechnico-commercial. Celui-ci aura aussi la charge de développer la marque Sany, qui lance ses premières pompes en Europe et en France.  L’autre évolution est l’intégration dela partie pompage industriel, qui chapeaute la distribution des pompes stationnaires à matières épaisses. Ainsi, d’ici à 2023, nous avons la volonté de nous développer davantage dans le domaine de la préfabrication. Nous sommes en train d’en évaluer le potentiel.  En attendant, Putzmeister France semble être sur la bonne voie pour réussir une bonne année 2021, a priorimeilleure que 2019 et 2020. A propos de Sany, comment Putzmeister France va s’organiser pour commercialiser deux marques en parallèle ?  Pour mémoire, Putzmeister appartient à Sany*,depuis quelques années déjà. Et tout se passe bien. En France, l’entité Sany Construction est rattachée à Sany Europe et assure la distribution des gammes “terrassements”. Putzmeister n’intervient pas là-dessus. Mais lorsqu’il s’agit de matériels pour le béton, la donne change.Dès cet été, nous allons proposer l’ensemble de la gamme des pompes de cette marqueSany, dont la SY 37 sera la première représentante. Un road-show de présentation sera organisé.  Pour autant, il n’y aura pas de cannibalisation entre les deux marques. Les clients “Putzmeister” savent ce qu’ils veulent acheter. Mais peuvent aussi avoir une oreille attentive à propos de Sany… Le marché du pompage en France est très large.Et Il y a beaucoup d’autres clients à approcher et à convaincre. D’autant plus que le SAV sera le même que pour Putzmeister et assuré par les mêmes techniciens. Sachant aussi que les pompes Sany intègrent nombre d’éléments Putzmeister, profitant ainsi d’une belle montée en gamme.  Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 362 jours

Delphine Piquard nommée nouvelle Directrice Supply Chain du Groupe Lorillard

Arrivée en juillet 2020 au sein du Groupe Lorillard, Delphine Piquard est la nouvelle Directrice Supply Chain au niveau groupe. Diplômée de l’Ecole des Mines de Nancy, Delphine Piquard a débuté sa carrière en tant qu’ingénieure logistique sur un site d’Arcelor Mittal dans le Doubs, pour évoluer vers la division automobile, en tant que responsable de la planification et des affectations des volumes sur les différentes usines du groupe. 7 ans plus tard, elle quitte l’entreprise pour rejoindre Tarkett, en août 2010, où elle pilotera la mise en place du département Prévision et Planification de la division européenne. Puis en février 2017, elle prend le poste de Directrice Supply Chain de l’usine Sophartex, une création de poste qui lui permet de concevoir la mise en place de sa fonction avec une dimension service client. 3 ans et demi passés, elle choisit le challenge Lorillard – un poste de Directeur Supply Chain au niveau Groupe avec une gestion de flux plus complexes entre les différents sites, des entités commerciales aux besoins variés et la nécessité d’harmoniser et d’homogénéiser les offres de service pour chacune. LE CLIENT AU CENTRE DE LA LOGISTIQUE… Delphine Piquard en a fait une notion indissociable, le client est au centre de toute réflexion logistique. Un aspect prioritairement intégré dans l’approche logistique qu’elle a pensée pour les différents sites du Groupe Lorillard. L’un de ses premiers objectifs – en accord avec le Directeur Industriel, Hubert Marti – a été l’uniformisation de l’offre produit sur les différents sites du Groupe, afin de produire au plus près du client. C’est donc dans une optique de proximité qu’une approche régionale a été pensée, tout en tenant compte des contraintes d’équilibrage des charges de travail entre les différentes usines. Pour ce faire, un circuit de distribution converge entre les différents sites, notamment les 4 sites de PVC (Bourges, Pralong, Chartres, Bayonne). Ainsi, chaque client bénéficie d’un point d’ancrage grâce à des navettes qui approvisionnent des menuiseries entre chaque site en région, tenant lieu de plateforme de proximité pour les clients régionaux. Et pour mieux évaluer et maîtriser ce process de proximité, un travail avec le service HSE a permis de mettre en place des indicateurs mesurant le nombre moyen de kilomètres parcourus par les camions par rapport au nombre de menuiseries expédiées. Ainsi le service logistique est en capacité de gérer précisément les affrètements de camions pour réaliser des tournées. « Dans cette même vision de proximité, pour les livraisons dans les grandes villes, un projet est en cours de réflexion à horizon 2022 », explique Delphine Piquard, « Les transporteurs rencontrent de nombreuses contraintes de livraisons liées à la circulation, aux accès difficiles aux chantiers, etc. Notre objectif c’est de mettre en place une plateforme logistique en petite couronne ; un endroit de stockage plus proche des clients finaux pour des livraison plus fréquentes. La région parisienne, notamment le quart Nord-Est entre Gennevilliers, Pantin et Montreuil, sera notre plateforme prototype avec une flotte de véhicules électriques ou au gaz naturel, nous permettant de réaliser des plus petites livraisons et plus fréquemment ». Ces plateformes serviront également de bureaux pour les conducteurs de travaux et accueilleront un stock avancé de quincaillerie. … ET DE LA TRANSFORMATION DIGITALE « La nécessité d’une stratégie de management de la chaîne logistique dans l’entreprise a depuis longtemps été intégrée par les dirigeants. Mais la transformation digitale a façonné un environnement logistique de plus en plus exigeant pour les entreprises, à tel point que l’on parle aujourd’hui de l’agilité de la supply chain » constate Delphine Piquard. Au-delà de permettre au Groupe Lorillard de gagner en performance, délais et production, la transformation digitale est, pour Delphine Piquard, un moyen de maintenir un flux d’information efficace entre les différents acteurs : fournisseurs, fabricants mais aussi les clients. C’est l’une de ses missions qu’elle s’attache à déployer depuis son arrivée au sein du Groupe en juillet 2020. Cette transformation digitale a débuté par la définition du processus et des modes opératoires communs pour tous les clients du Groupe (concessions, agences, artisans, etc.) afin d’harmoniser toutes les pratiques. « Pour ce faire, le principe réside en la mise en place d’une bonne communication entre les différents interlocuteurs. On établit des flux d’information et des notifications en temps réel. On définit des alertes pour déterminer les expéditions livrées ou retardées. Une communication efficace entre toutes les parties impliquées est impérative afin que le client puisse vivre une expérience positive » explique Delphine Piquard. En relation avec les entités commerciales, dans le cadre de la rédaction des cahiers des charges, et le service informatique, pour le développement des process informatiques, le service logistique a automatisé et informatisé la gestion des délais. « Désormais quand la commande est passée, le client reçoit un accusé de réception avec date. Et depuis mars dernier, si l’on rencontre un retard, un processus automatique d’email permet d’alerter le service Administration des Ventes qui prend contact avec le client ou le conducteur de travaux pour le prévenir. La prochaine étape consistera à avoir de la visibilité sur le suivi de la commande et de la livraison. Nous travaillons ce développement avec les transporteurs afin que ce flux d’information soit efficient d’ici 2022 ». Toutes ces évolutions induisent un changement dans les méthodes de travail mais l’automatisation des processus simplifie tout. L’un des exemples les plus parlant c’est la mise en place d’un QR code sur l’ensemble des menuiseries produites dans le Groupe. Effectif depuis mars 2021, ce QR Code simplifie les flux d’informations et permet tout à la fois de recommander un vitrage s’il est cassé, d’avoir accès aux données de la menuiserie ou encore d’ouvrir directement une demande de refabrication dans le cadre d’une non-conformité. Dernier projet pour fin 2021 : le process de gestion des travaux pour les conducteurs leur permettra, selon l’avancement du chantier, de demander la livraison des menuiseries, via leur Smartphone, quand ils en ont besoin grâce à un nouvel outil de planification. Cet outil permettra d’absorber la complexité de la gestion des différents sites ; les conducteurs de travaux des différentes entités du Groupe travaillant dans toute la France. Ils se sentiront également moins isolés et auront accès directement et temps réel aux informations de planification et de suivi de leur livraison. Opérer la transformation digitale d’un Groupe multi site est un challenge que Delphine Piquard et son équipe concrétisent. Au quotidien, ils occupent un rôle à la fois transversal et central au sein du Groupe. Leur travail implique l’encadrement, la coordination et l’animation des équipes logistiques sur chaque site. Et pour s’assurer de la satisfaction client, ils doivent en interne optimiser les processus afin de réduire les temps de production, maîtriser les délais et favoriser une gestion fluide des informations. A Chartres, aux côtés de Delphine Piquard, une équipe logistique de 15 personnes est à l’œuvre. Des recrutements sont en cours pour embaucher 2 ingénieurs supply chain qui seront en charge de la bonne mise en œuvre de tous les processus, en amont et en aval, sur les différents sites du Groupe. Plus d’information sur ces recrutements via le site Internet : http://www.lorillard.fr/recrutement/offres-d-emploi Partager la publication « DELPHINE PIQUARD, nommée nouvelle Directrice Supply Chain du Groupe Lorillard »  
Il y a 4 ans et 9 jours

Mennecy : quelques projets subventionnés par la Région Île-de-France

La rénovation de l’école maternelle, celle du centre commercial et celle des courts de tennis, à Mennecy, comptent parmi les projets bénéficiaires des subventions de la Région.
Il y a 4 ans et 13 jours

Poissy : le nouveau cinéma de l’Union Générale Cinématographique est prêt à être mis en service

Les travaux pour l’aménagement d’un complexe cinématographique au sein du centre commercial Mon Grand Plaisir sont terminés. Le nouvel établissement n’attend plus que son ouverture.
Il y a 4 ans et 16 jours

A Villebon, galerie couverte à la feuille d’or par Atelier de Midi

Atelier de Midi a signé en 2016 l’extension du centre commercial Auchan de Villebon-sur-Yvette (Essonne) – maître d’ouvrage Immochan France – avec une robe ondulée en Métal Déployé couleur or qui donne une cohérence contemporaine à un bâtiment vieillissant. Le site, ouvert en 1988 – il s’agissait alors d’un Mammouth doté d’une petite galerie d’une […] L’article A Villebon, galerie couverte à la feuille d’or par Atelier de Midi est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 17 jours

Le projet de loi Climat & Résilience adopté en première lecture à l'Assemblée nationale

Ce projet de loi, c’est d’abord l’incarnation d’une nouvelle manière de faire de la politique, de la démocratie participative en acte. Il est, en effet, la traduction fidèle d’une très large partie des propositions des 150 citoyens tirés au sort de la Convention citoyenne pour le climat. La plupart des autres mesures ont déjà été mises en place par le Gouvernement.L'écologie dans notre quotidienLes 110 heures de débats à l’Assemblée ont permis d’enrichir le projet de loi et de le rendre plus ambitieux encore. Ce texte fait rentrer l’écologie dans notre quotidien et agit en matière climatique sur tous ses aspects :diviser par deux le rythme de bétonisation des sols en interdisant la construction de centres commerciaux sur des zones rurales ;arrêt de tous les vols intérieurs pour lesquels il existe une alternative moins émettrice de CO2 en moins de 2h30 ;à partir de 2023, dans les cantines, dans les CROUS ou dans les restaurants des administrations, une option végétarienne quotidienne sera obligatoire ;en 2024, la circulation des véhicules les plus polluants sera limitée en ville, en quadruplant le nombre de zones à faibles émissions (ZFE) ;dès 2025, il ne sera plus possible de louer des logements très énergivores ;en 2040, il ne sera plus possible de commercialiser des poids lourds utilisant des énergies fossiles, diesel ou essence.Une loi pour faire basculer la société française dans l’ère écologiqueDe la même manière que des lois fondatrices sur la liberté de la presse ou la laïcité ont enraciné des principes essentiels dans la République à l'orée du 20e siècle, la loi issue des travaux de la Convention citoyenne pour le climat ancrera durablement l'écologie dans notre société contemporaine.Ce texte a d'ores et déjà innové dans la façon dont les lois peuvent être construites en s'appuyant sur une démocratie plus participative. Elle nous permettra aussi de transformer notre modèle de société et de croissance et à engager des mutations profondes.Avec cette loi, la cause écologique intègrera la vie quotidienne des Français et les accompagnera durablement dans leurs choix de déplacement, de logement, de consommation, de production.C'est une loi qui vise à franchir le « dernier kilomètre » de la transition, le plus crucial : celui qui conduit à changer réellement nos modes de vie. Ce texte vise précisément cela, en faisant pénétrer l'écologie au cœur du modèle français et en irrigant concrètement la société française dans ce qu'elle a de plus fondamental : l'école, les services publics, la vie en entreprise, la Justice, mais aussi le logement et l'urbanisme, la publicité, la mobilité pour se rendre au travail ou en vacances.Cette loi n'agira pas seulement sur les structures de l'économie pour en accélérer la décarbonation, elle innervera notre culture, en favorisant l'éducation à l'environnement, une publicité responsable, une consommation plus sobre.C'est tout à l'honneur de la France de mener ces transformations au moment où nous affrontons une crise sanitaire majeure doublée d'une crise économique et sociale. Au moment où, plus que jamais, nous avons collectivement pris conscience de notre vulnérabilité, nous avons ce devoir de nous préparer à la plus grande menace systémique du siècle à venir. Le devoir d'agir pour une société plus sobre et plus résiliente, dans laquelle nos concitoyens vivront mieux et pourront faire face aux chocs du dérèglement climatique.Ce projet de loi vient compléter et accélérer les grandes lois de ce quinquennat sur l'écologie comme la loi agriculture et alimentation, la loi énergie climat, la loi d'orientation des mobilités ou encore la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire ; ainsi que le plan de relance, qui intègre un montant inédit de 30 milliards d'euros d'investissements verts sur les deux prochaines années. Notre pays prépare désormais une loi de transformation autour de 6 grands thèmes, qui va occuper la vie parlementaire pendant plusieurs semaines et générer des débats de société structurants pour notre avenir.Toutes ces politiques nous mettent sur les rails pour tenir nos objectifs climatiques et poser les bases pour aller encore plus loin dans la transition écologique.Les dispositions présentées dans ce dossier de presse sont un zoom sur certaines mesures-phares des 69 articles qui composent le projet de loi portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets, dit « Climat et Résilience ». Après avoir été présenté en Conseil des ministres, le projet sera soumis au Parlement à qui il appartiendra, comme le prévoient nos règles constitutionnelles, d'en valider le contenu au terme d'un processus de plusieurs mois, jusqu'à un adoption probablement à la fin de l'été 2021.Tout cela, nous le devons à une expérience démocratique inédite, voulue par le président de la République : la Convention citoyenne pour le climat. Une expérience pour trouver les réponses à la question de l'urgence climatique, mais aussi pour assurer l'acceptabilité sociale des mesures proposées.Une expérience à laquelle peu croyaient à son lancement il y a 18 mois mais qui, grâce au sérieux et à l'investissement de 150 citoyens tirés au sort, ainsi qu'à l'engagement personnel d'Emmanuel Macron, a créé aujourd'hui les conditions d'un changement profond.Barbara Pompili - Ministre de la Transition écologique Le projet de loi Climat et résilience est attendu au Sénat dans le courant de juin.
Il y a 4 ans et 23 jours

Chute du chiffre d'affaires d'Unibail-Rodamco-Westfield de 40% au 1er trimestre sous l'effet Covid

Malgré la levée progressive des restrictions pesant sur les commerces non essentiels en Grande-Bretagne, en République tchèque, au Danemark et aux Pays-Bas en avril, 51% des centres commerciaux d'URW sont actuellement toujours fermés, a indiqué le groupe dans un communiqué.Le chiffre d'affaires a atteint 566,7 M EUR contre 956,6 M EUR (-40,8%) au premier trimestre 2020 où les résultats "avaient été affectés de façon marginale par le Covid-19, les principales restrictions dans les marchés clés d'URW n'étant intervenues qu'à fin mars", indique le groupe.2021 "restera une année difficile avec des restrictions plus lourdes et plus longues qui affecteront le groupe au delà du premier trimestre", a commenté Jean-Marie Tritant, PDG du groupe, dont la branche congrès et expositions est également à l'arrêt en raison du coronavirus.Si le taux de vacance des commerces "a légèrement augmenté", M. Tritant voit cependant "des signaux positifs" pour un retour à la normale une fois les restrictions levées."En mars, les ventes en Espagne, Autriche et en Suède où les commerces non essentiels ont pu rouvrir, ont atteint respectivement 81%, 79% et 76% des niveaux de 2019", a-t-il noté.Aux Etats-Unis, les marchés où la plupart des restrictions ont été levées se sont bien remis en mars et "certains centres ont même dépassé les niveaux pré-Covid", selon lui.En 2020, les loyers nets collectés par URW dans ses centres commerciaux ont été en baisse de 26,4% à 1,79 milliard d'euros.Son bénéfice récurrent par action, l'indice de référence du secteur, est tombé à 7,28 EUR soit une chute de 41% en raison des restrictions gouvernementales liées au coronavirus.Le patrimoine d'URW est composé à hauteur de 85% de commerces, 8% de bureaux, 5% de sites de congrès et expositions et 2% de services.Le groupe possède 87 centres commerciaux en Europe et aux Etats-UnisIl doit vendre une partie de ses actifs en Europe et réduire significativement sa présence aux Etats-Unis pour renflouer sa dette.Mercredi, il a annoncé la vente de 45% de sa participation dans un centre commercial de Vienne et son désengagement progressif d'un autre centre à Bratislava.
Il y a 4 ans et 23 jours

APPLICATION PV ARCHELIOS™ PRO : TRACE SOFTWARE POUSSE ENCORE PLUS LOIN LA CONCEPTION PHOTOVOLTAÏQUE

Saint-Romain de Colbosc (76), le 28 avril 2021 – Trace Software International et sa filiale solaire Cythelia Energy ont le plaisir d’annoncer la sortie de la toute dernière version de la gamme de logiciels photovoltaïques archelios PRO. Application de la solution PV archelios Suite, archelios PRO permet de dimensionner tout type de projet solaire, de quelques kWc à plusieurs dizaines de MWc, sur toiture, en ombrière ou au sol. Une gamme complète pour les professionnels du PV Comme les professionnels du PV n’ont pas tous les mêmes besoins en matière de conception, Trace Software a choisi de lancer en juin 2020 une nouvelle offre archelios PRO élargie et adaptée à la taille de leurs projets et à leur activité (bureaux d’études, installateurs, développeurs …) : archelios PRO Free : conception de projets jusqu’à 36 kWc sans 3D archelios PRO Silver : conception d’installations jusqu’à 100 kWc archelios PRO Gold : dimensionnement de projets d’une puissance maximale d’1 MWc archelios PRO Platinum : dimensionnement de projets complexes illimités Selon la version choisie, conception rapide, puissance de calcul, précision dans la simulation de production, environnement 3D, optimisation des installations ou encore outils 3D pour la conception, sont autant de fonctionnalités qui dotent les utilisateurs d’un outil puissant et unique sur le marché des logiciels PV. Plus de possibilités de calcul et de modélisation sur la version 2021. Parmi toutes les évolutions apportées sur la version 2021, les utilisateurs pourront bénéficier de plus de possibilités pour la prise en compte de paramètres règlementaires, tels que la limitation de la puissance injectée ou encore les seuils de production, mais aussi pour l’optimisation de projets de centrales solaires de grande envergure. Optimisations pour les grandes centrales Pour les concepteurs de centrales solaires, la capacité et les performances de calcul ont été largement optimisées afin de permettre la gestion de projets plus importants (jusqu’à 100 MWc soit un gain d’un facteur 10 par rapport à la version précédente). De plus l’export et la synchronisation entre SketchUp et archelios PRO sont plus rapides et la sauvegarde des projets n’est plus bloquante pour travailler pendant la sauvegarde. Limitation de la puissance injectée  Les utilisateurs pourront dorénavant répondre simplement aux exigences imposées sur certains projets. La prise en compte de la limitation de la puissance injectée est intégrée et affichée sur les rapports. Les pertes de production qui en découlent pourront être aussi visualisées. Seuils de production – adaptation à l’arrêté tarifaire 2021 Le logiciel intègre la prise en compte de l’évolution des tarifs par seuil de production (nouvel arrêté tarifaire français 2021 en attente de publication). Evolutions sur la fonctionnalité 3D Map  Les utilisateurs de la version archelios PRO Platinum bénéficient d’une utilisation illimitée* du module 3D Map. Ils disposent ainsi d’une plus grande flexibilité de modélisation 3D de l’environnement sur les projets, avec l’assurance d’un crédit 3D Map toujours disponible. Dans la version 2021 d’archelios PRO, les terrains issus de 3D Map sont modélisés avec une texture pour un rendu au plus proche de la réalité et pour une visualisation réaliste de l’environnement. Le concepteur peut prendre en compte les paramètres de terrain sans contraintes de déplacement pour les sites les plus éloignés. Cette fonctionnalité permet aussi aux donneurs d’ordre de se projeter avec un projet personnalisé qui peut faire la différence lors la prise de décision finale. * en illimité sur la version Platinum uniquement, sur la base d’une utilisation standard jusqu’à 100 Km2 Mise à jour des bases de données météo Les bases de données météo par défaut (MétéoNorm) ont été actualisées afin d’intégrer des données plus récentes et fiables. Lors de la création du projet, le logiciel propose automatiquement la station météo la plus récente. Export de données Des modèles de rapport d’étude archelios PRO au format XLSX (générés à partir du rapport CSV) sont disponibles afin de guider le concepteur dans la représentation des données de son installation. Grâce aux développements permanents réalisés sur le logiciel archelios PRO, Trace Software et Cythelia  Energy dotent les professionnels du photovoltaïque d’un outil qui va au-delà de la conception PV standard. Le logiciel se positionne non seulement comme un réel outil de management de projet mais aussi comme un support marketing. À propos de Trace Software International et Cythelia Energy Depuis plus de 30 ans, Trace Software édite des solutions logicielles pour la conception et l’exploitation d’installations électriques et solaires, pour les professionnels du bâtiment et de l’énergie. Les solutions de Trace Software couvrent les besoins de la conception jusqu’à l’exploitation, en passant par le dimensionnement des réseaux. La société dispose d’une présence à l’international via des filiales en Allemagne, Espagne, Maroc et Chine, et des distributeurs agréés. Depuis plus de 20 ans Cythelia Energy accompagne ses clients sur leurs projets solaires photovoltaïques et smart grids. Leurs missions couvrent l’ensemble du cycle de vie des projets, depuis l’aide à la décision jusqu’à la mise en œuvre des solutions et leur suivi dans le temps. Le centre R&D de Cythelia Energy, développe la suite logicielle archelios commercialisée dans le monde entier. Cythelia Energy et Trace Software appartiennent au Groupe Trace, expert dans les solutions pour la conception électrique, le bâtiment, le BIM et l’énergie. Contact presse Trace Software International : Karine Pinson – kpinson@trace-software.com
Il y a 4 ans et 24 jours

Diffuver transforme les façades

Aujourd’hui dans le cercle très fermé des dix plus importants acteurs français de transformation du verre, l’entreprise lyonnaise part à l’assaut de tous les défis.Créée il y a 35 ans par Philippe Melon, Diffuver s’est spécialisée depuis une quinzaine d’années dans le vitrage isolant technique dédié à la façade prenant au fur et à mesure des parts de marché, pour devenir aujourd’hui leader dans sa région Rhône-Alpes. Avec deux sites, à Marclopt (42), Lyon (69) et deux filiales en Ardèche et dans la Drôme, Diffuver s’affiche comme poids lourd de la façade en même temps que s’étirent à l’extrême les dimensions du verre... et les références emblématiques de son savoir-faire. Auprès des professionnels – architectes, maîtres d’œuvre, entreprises générales du bâtiment, aluminiers, métalliers... – l’entrepreneur poursuit au quotidien son objectif : investir au service de sa spécialisation et de la performance. Autour d’un axe «simple» : « savoir construire et livrer en conséquence », résume Philippe Melon, président de Diffuver. Pour le transformateur, qui s’est illustré auprès d’impressionnants édifices, avec pas moins d’un kilomètre de murs-rideaux pour Framatome Lyon ou plus de 7 000 m² de vitrage pour le chantier de Steel, Active Shopping Resort à Saint-Etienne parmi les plus récents en 2020, « les prévisions de chantiers pour cette année invitent à l’optimisme. 1 500 m² de nos vitrages isolants seront notamment mis en place sur les façades du plus grand centre commercial d’Europe continentale pour lesquelles notre atelier de Vaulx-en-Velin aura collé des centaines de motifs en autant de carrés se détachant sur les verres ! ». Une stupéfiante réalisation à découvrir avant l’été 2021, qui vient s’adjoindre aux signatures architecturales uniques avec lesquelles Diffuver s’est construit une solide réputation ; à l’instar des 2.000 m² de verres isolants fabriqués sur son site en Loire pour Le Cube Vert, siège d’Euronews à Lyon, conçue par les architectes Jakob + MacFarlane, adeptes des géométries mouvementées et des ouvrages à contre-courant.Savoir-verre Avec une quarantaine de salariés sur l’ensemble de ses sites et une production annuelle de 100.000 m² de double vitrage, Diffuver transforme constamment son outil pour gagner en productivité, service et qualité…sa marque de fabrique. Preuve par l’exemple, depuis trois ans, sous l’impulsion de Rémi Maximin, nouvel associé et par ailleurs président de Glassalia et vice-président de CEKAL, la société a entamé un programme d’investissement de 3 M€ pour satisfaire le marché en fort développement des verres grande dimension.Dans son usine de Marclopt, Diffuver a ainsi repoussé les murs de 600 m² supplémentaires pour accueillir une table de coupe pour verre feuilleté avec pont de 6 m, deux centres d’usinage et une ligne de vitrage isolant Jumbo dernière génération, issus du fabricant autrichien Lisec.« Ce monstre de 56 m concentre une technologie qui a nécessité 1 mois d’assemblage et de déploiement dans notre atelier », renseigne Rémi Maximin, également directeur du site. Opérationnelle depuis fin février 2021, cette ligne unique en France embarque un scanner de détection des défauts, un retourneur, une presse tandem et un robot d’enduction dernière génération. Elle est capable de supporter jusqu’à 2 tonnes de verre et 350 kg par mètre linéaire et des verres isolants de 6000 x 3210 mm. « Cette installation hyper performante, sans équivalence en France, va nous permettre de répondre aux demandes les plus exigeantes en matière de vitrages isolants XXL et de rentrer dans le top 5 des fabricants capables d’industrialiser ce type de vitrage », se réjouit Philippe Melon. « Nous avons également investi dans deux camions porteurs avec remorque et grue de 42 tonnes pour accompagner au mieux nos clients dans la livraison de ces verres ».Le VEC, du haut des façadesLa haute technicité de Diffuver distingue également son atelier de collage dédié à tous chantiers VEC (Vitrage Extérieur Collé). Une expertise « de plus en plus sollicitée par nos confrères et piste d’avenir », pointe le dirigeant ; « la façade VEC, qui utilise des vitrages collés sur des cadres aluminium ouvrants ou fixes, peut intégrer de nombreux vitrages, tels que verres feuilletés de sécurité ou verres trempés, montés sur des double ou triple vitrage isolant. Outre son esthétisme épuré et homogène particulièrement apprécié par les architectes et prescripteurs, le mur-rideau VEC, de par sa fixation, absorbe parallèlement les vibrations et les contraintes extérieures (neige, vent, forte température, mouvements sismiques...).L’intérêt de ces façades, dont le type de montage relève d’une grande maîtrise technique, rejoint parfaitement les enjeux de la transition énergétiques et des bâtiments durables (HQE, BBC, etc.). Proactif déterminé à faire évoluer la fabrication du vitrage et ses applications, le transformateur se félicite de sa situation géographique, au centre de l’Hexagone, composant avec une proximité et des appels d’offres locaux jusqu’aux contreforts suisses et de l’Ile-de-France, remportant de plus en plus de marchés parisiens, tout en ménageant l’impact du transport sur l’environnement.« Nous participons ainsi au développement du modèle économique actuel, plus vertueux et soucieux de nos répercussions écologiques, à titre industriel et entité morale ».
Il y a 4 ans et 24 jours

Wavin : Tigris M5, un raccord qui se fait entendre

Wavin déploie une campagne promotionnelle du raccord Tigris M5 vers les plombiers-chauffagistes Permettre à tous les plombiers-chauffagistes du territoire de tester le raccord Tigris M5, récemment lancé sur le marché, tel est l’objectif de la campagne promotionnelle développée par Wavin. Du 26 avril au 30 juillet 2021, chaque plombier qui le souhaite, peut faire sa demande d’échantillon gratuitement en ligne sur www.wavin.fr/tigris. Le produit lui sera alors envoyé afin de lui permettre de juger de sa qualité comme de ses avantages. En outre, dans le cadre de ce grand plan d’activation, Wavin déploie différentes opérations de promotion dans tous les magasins participants dès 375 euros d’achat.   Tigris M5, une innovation mondiale Le raccord Tigris M5 de Wavin compte parmi les dernières innovations les plus marquantes en termes de sécurisation des installations sanitaires. Sa particularité : être le seul raccord au monde équipé d’un système intégré de détection acoustique des fuites. Destiné à la connexion des tubes multicouches d’alimentation en eau, le raccord Tigris M5 se décline en une centaine de références, du diamètre 16 à 40 mm. Sur les chantiers, l’installation des réseaux d’hydrodistribution peut en effet réserver quelques surprises lors de la mise en eau. Un raccord mal serti et c’est la fuite. Le raccord Tigris M5 évite ces désagréments nécessitant parfois une nouvelle purge des circuits. Développé pour répondre aux besoins des installateurs, le Tigris M5 est doté de la technologie ACOUSTIC LEAK ALERT qui, en cas de raccord non ou mal serti, émet un sifflement lors d’un test de pré-réception réalisé à l’air. Ce sifflement de 80 db facilite la localisation des fuites, assurant un gain de temps précieux sur le chantier. Autre avantage, l’utilisation de l’air lors des essais permet de laisser l’installation hors d’eau, évitant tout dommage dû au gel sur les chantiers non chauffés pendant la période hivernale. Par ailleurs, l’absence d’eau dans les circuits permet d’éviter toute stagnation prolongée avant la réception de l’ouvrage, réduisant ainsi les risques de développement de légionelles. Et pour encore plus de sécurité lors de la mise en eau, le Tigris M5 bénéficie du système DEFINED LEAK. Ce dernier permet une identification d’éventuels raccords non sertis résiduels grâce à un filet d’eau visible dès 2,5 bars de pression. Le raccord Tigris M5 est un véritable concentré de technologies qui possède bien d’autres atouts destinés à faciliter les travaux des installateurs et à leur assurer une grande qualité des connexions. En témoigne la technologie IN4SURE qui rend visible le tube à 360° au bout de son emboîtement. Fenêtre astucieuse sur le tube parfaitement emboîté, elle permet son sertissage en toute confiance. La tête hexagonale brevetée EASYFIT facilitera d’ailleurs l’emboîtement du raccord sur le tube afin de réduire la pénibilité des travaux. Conçu pour offrir des performances hydrauliques optimales, le raccord Tigris M5 de Wavin est équipé du système OPTI FLOW qui permet de bénéficier d’une grande section de passage pour un flux d’eau amélioré. Les pertes de charge sont réduites pour offrir au réseau toute sa performance. Enfin, avec les raccords Tigris M5, nul besoin d’acquérir de nouveaux outils. Avec le procédé MULTI JAW, les profils de pince à sertir U, Up, H, TH et B sont parfaitement compatibles et garantissent des connexions sûres.   Un plan d’activation musclé Parce que le Tigris M5 est un raccord sans équivalent sur le marché, une telle nouveauté nécessitait bien un plan d’activation musclé. Dès le 26 avril et jusqu’au 31 décembre 2021, Wavin a ainsi développé de nombreuses offres destinées aux plombiers-chauffagistes dans ses points de vente partenaires. En premier lieu, l’offre spéciale Installateur permet à l’artisan l’achat d’un assortiment de 120 raccords pour 375 euros HT avec en cadeau une malette Sortimo L-Box. Et le plan Wavin se décline, selon le volume d’achat, en différentes offres avec à la clé de nombreux cadeaux nécessaires à la panoplie d’outils de l’artisan tels que sets de calibrage, sertisseuses et mâchoires, compresseurs d’air. Tester le Tigris M5, c’est l’adopter. C’est pourquoi Wavin invite tous les plombiers-chauffagistes à demander gratuitement leur échantillon. Pour cela, il suffit de se rendre sur la page du site Wavin et remplir le formulaire. Un tube multicouche de 10 cm et un raccord Tigris M5 sera envoyé dans les meilleurs délais. Le plombier-chauffagiste aura ainsi l’occasion de manipuler et de tester de manière ludique le raccord afin d’entendre ce sifflement, synonyme de son efficacité. www.wavin.fr/tigris   À propos de Wavin Créée en 1971, la filiale Wavin France est spécialisée dans la conception, la fabrication et la commercialisation de fournitures de systèmes de canalisations en matière plastique et de solutions destinées à l’assainissement des eaux usées, à la collecte et la gestion des eaux pluviales, et à l’adduction d’eau potable. Wavin est une filiale du Groupe ORBIA, liés par un objectif commun : faire progresser la vie dans le monde. Wavin est l’un des seuls acteurs du secteur présent à la fois sur les marchés du bâtiment et des travaux publics. Il couvre l’ensemble du cycle de l’eau pour une gestion plus équilibrée : de la collecte au rejet. www.wavin.com/fr-fr
Il y a 4 ans et 25 jours

Nomination du nouveau directeur GCC Ile-de-France 2

Francis Castagné devient le directeur de GCC Ile-de-France 2. Il succède à Guillaume Girault. [©GCC] En France, GCC, groupe indépendant, fait partie des 10 premières entreprises du secteur du BTP. Aujourd’hui, afin de continuer son développement, il vient de nommer Francis Castagné au poste de directeur GCC Ile-de-France 2. Il Celui-ci prend la tête d’une agence qui gère de nombreux chantiers en cours. Cette dernière est connue pour avoir réalisé l’extension du centre commercial Vélizy 2, le siège de Nestlé et l’école centrale Supélec. Elle est l’une des plus importantes du pôle construction de GCC. Elle compte 140 collaborateurs. Francis Castagné sera rattaché à Eric Delineau, directeur régional des ouvrages fonctionnels. Ainsi, il succède à Guillaume Girault, qui  devient directeur régional Centre – Val-de-Loire. Francis Castagné aura pour mission de continuer la gestion de chantiers importants, tels que l’Arboretum de Nanterre et l’hôtel Citizen M à Paris.  Son parcours  Francis Castagné a obtenu un diplôme de l’Ecole du bâtiment et des travaux publics de Vincennes. Il est aussi détenteur d’une licence de management et de gestion d’entreprises du BTP, qu’il a obtenue en 2020.  En 1987, il débute sa carrière au sein de l’entreprise SCREG Screg EPI où il a occupé le poste de conducteur de travaux. C’est en 1990 qu’il devient responsable d’opérations en entreprise générale, marchés privées et publiques publics chez de Screg Bâtiments. Francis Castagné intègre ensuite la société Ballestrero comme responsable de production. Il rejoint ensuite Bouygues Bâtiment Ile-de-France en 2020, en qualité de directeur de projet, puis de directeur de travaux.