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(679 résultats)
Il y a 3 ans et 97 jours

REP Bâtiment : une filière en attente

Cette avancée réglementaire dans la mise en place effective du dispositif nécessite de la part de la filière des produits ou matériaux de construction du secteur du bâtiment de se mettre en ordre de marche sinon d’accélérer le mouvement.Tant attendu par les professionnels du secteur, le décret d’application n°2021-1941 du 31 décembre 2021, publié au Journal Officiel le 1er janvier 2022, est venu mettre sur pied la nouvelle REP bâtiment. Prévue par la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire (AGEC) du 10 février 2020, la filière de responsabilité élargie des producteurs (REP) pour les déchets issus du bâtiment a pour objectif d’apporter des solutions concrètes et durables à la problématique de gestion de la production de déchets et des dépôts sauvages, émis par la filière. Chaque année, le secteur du bâtiment génère plus de 42 Mt/an de déchets, soit l’équivalent de la quantité totale de déchets produits annuellement par les ménages en France.Si la nécessité de réduire cette forme de pollution fait consensus auprès des professionnels de la filière, les moyens et les coûts de sa mise en œuvre font toutefois débat.Un dispositif centré sur la collecte et le traitement des déchets L’objectif est clair : collecter et revaloriser les déchets générés lors de la destruction et la rénovation des bâtiments. Tous les efforts sont donc concentrés sur le traitement des déchets, à défaut de pouvoir réduire efficacement leur émission.Le dispositif en tant que tel repose sur deux piliers que sont le développement des filières de réemploi et la lutte contre les dépôts sauvages.Le renforcement du maillage territorial des installations destinées à recueillir les déchets est indispensable. Or, ce dernier n’est pas directement fixé par le décret qui donne seulement compétence aux éco-organismes agréés. Ceux-ci auront donc la charge d’établir un projet de maillage. Ce projet devra respecter les standards fixés par le décret et retranscrits à l’article R. 543-290-5 du code de l’environnement. Par exemple, à l’échelle régionale, la distance moyenne entre le lieu de production des déchets et l’installation de reprise des déchets doit être, en principe, de 10 kilomètres.Ces standards ont été salués par les acteurs du bâtiment, comme la CAPEB (Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment), car ils permettraient de limiter les coûts de transport, sous réserve qu’un projet de maillage soit mis en œuvre incessamment. A défaut, les dépôts sauvages continueront de croître et les dispositifs comme l’obligation de reprise des déchets perdront de leur efficacité.Si ce décret ne permettra pas de résoudre à lui seul cette question majeure, son apport est indéniable. Il permet en effet de fixer l’étendue des nouvelles obligations de reprise des déchets. Par ailleurs, en définissant les matériaux et producteurs concernés par la REP, ce décret ajoute une pierre à l’édifice au régime de responsabilité élargie des producteurs.Des retards dommageables dans la mise en œuvre du dispositifPour autant, et bien que le texte ait été salué par l’ensemble de la filière, sa mise en œuvre s’avère plus complexe que prévu. En effet, les concertations engagées avec les parties prenantes de la filière n’ont pas abouti dans les temps impartis par la réglementation applicable. A ce jour, aucun éco-organisme n’a été agréé alors que cet agrément est indispensable à la mise en place de la REP.Alors que la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire (AGEC) du 10 février 2020, prévoyait une mise en œuvre du dispositif au 1er janvier 2022, le gouvernement a annoncé un report pour partie au 1er janvier 2023. La filière du bâtiment se retrouve de fait dans une situation paradoxale où la REP a force obligatoire, nécessitant de se mobiliser afin d’être en conformité avec cette réglementation, alors que les moyens de traitement et de collecte des déchets n’ont toujours pas été précisément définis et déployés concrètement. Cela se traduira pour l’exercice 2022 par un rattrapage dont les modalités devront être ultérieurement précisées d’ici à 2023.Ainsi, bien que ce décret soit une avancée majeure, l’agrément d’un éco-organisme est encore indispensable. Plus la période entre la mise en vigueur de la REP et cet agrément sera longue, plus le rattrapage dans la structuration de la filière sera complexe à organiser.Tribune de Maître Adrien Fourmon, Counsel en Droit public, énergie et environnement au sein du cabinet Jeantet (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 102 jours

JO-2024 : la justice demande de préserver les jardins d'Aubervilliers

"Il est enjoint au président de l'établissement public territorial Plaine commune d'engager la procédure de modification du plan local d'urbanisme intercommunal en ce qu'il classe en zone urbaine une partie de la frange ouest des jardins des Vertus", le nom de ces jardins centenaires en Seine-Saint-Denis, a décidé la cour dans son arrêt consulté par l'AFP.L'intercommunalité, dirigée par le maire (PS) de Saint-Denis Mathieu Hanotin, a quatre mois pour proposer une nouvelle mouture, a-t-elle précisé.La cour administrative d'appel de Paris estime que "l'urbanisation de la frange ouest des jardins des Vertus", pour la piscine mais aussi une future gare de métro, "portera également atteinte à la préservation d'un noyau de biodiversité primaire et accroîtra les discontinuités écologiques existantes".Dans son arrêt, cette instance compétente en matière de litige autour des projets olympiques a rappelé que le document contesté présentait des "incohérences" avec ses propres obligations, notamment environnementales.Le futur centre aquatique dispose d'un solarium, qui doit se construire sur environ 4.000 m2 de parcelles vivrières."Il n'y a pas de conséquence immédiate sur la question des travaux, le permis de construire reste valable. Ça ne remet pas en cause le projet", a réagi Mathieu Hanotin auprès de l'AFP, assurant que Plaine commune se mettrait en conformité.Sollicitée, la ville d'Aubervilliers a déclaré ne pas vouloir réagir "à ce stade"."On a toujours dit que le projet était illégitime, maintenant c'est illégal. Pour la première fois la justice nous donne raison en leur disant +vous n'avez pas le droit de faire ce que vous avez fait+", a réagi Ziad Maalouf, un des jardiniers à l'origine de la requête.Une bataille juridique s'est engagée autour du projet. Les opposants, qui l'estiment à contre-courant de l'urgence écologique, ont également attaqué le permis de construire et ont occupé les lieux pendant quatre mois en 2021.Brièvement suspendus par décision de justice, les travaux ont finalement pu se poursuivre. Ce qui n'a pas empêché le 2 février des militants de s'accrocher à une bétonneuse jusqu'à l'intervention des forces de l'ordre.D'un montant de 33 millions d'euros dont un tiers financé par la Solideo (la société chargée de livrer les ouvrages pour les JO-2024), le centre aquatique doit servir de bassin d'entraînement pour les nageurs lors des JO, avant d'être accessible aux habitants.
Il y a 3 ans et 103 jours

Somfy accompagne ses clients dans le cadre de la RE2020, grâce à ses solutions et en leur proposant un démonstrateur en ligne

Dans le cadre de la nouvelle Réglementation Environnementale 2020 (entrée en vigueur le 1er janvier 2022), les bureaux d’études ont un rôle clé pour déterminer la conformité d’une construction neuve, en partenariat avec les promoteurs, constructeurs, architectes et installateurs, ainsi que les industriels du bâtiment. Pour les accompagner dans l’optimisation de la performance globale des […]
Il y a 3 ans et 109 jours

TUBESCA-COMABI renouvelle sa certification ISO 9001 et obtient le certificat ISO 14001

Tubesca-Comabi, leader français dans la fabrication et la commercialisation de solutions d’accès et de travail en hauteur, vient de se voir attribuer officiellement deux nouveaux certificats internationaux de conformité selon les normes ISO. A l’issue d’un audit réalisé en décembre 2021 par l’organisme TÜV Rheinland, l’entreprise a renouvelé la certification ISO 9001 relative au système […]
Il y a 3 ans et 110 jours

Les limites du "label vert" pour le nucléaire adopté par la commission européenne

Périmètre restreintToutes les activités de la filière nucléaire ne sont pas reconnues dans la liste des investissements pouvant bénéficier des avantages de la finance verte.Sont concernés la construction de nouvelles centrales pour la production d'électricité et les travaux pour la prolongation de centrales existantes, ainsi que la recherche en vue du développement de technologies minimisant les déchets.Mais la gestion du cycle du combustible (extraction et enrichissement de l'uranium, traitement du combustible usé, enfouissement), élément crucial, en est exclue.Dates limitesLa Commission reconnaît l'utilité du nucléaire pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et lutter contre le réchauffement climatique, mais affirme que seules les énergies renouvelables (éolien, photovoltaïque, etc...) sont réellement "durables" et restent l'objectif prioritaire de la politique énergétique européenne.Elle a souhaité fixer une limite dans le temps. Pour les nouvelles centrales nucléaires, la labellisation ne pourra s'appliquer qu'aux projets ayant obtenu un permis de construire avant 2045. Les prolongations de centrales devront avoir été autorisées d'ici à 2040.Ces limites visent en fait à encourager le recours le plus tôt possible aux futurs réacteurs de 4e génération, attendus dans les décennies à venir, plus sûrs et limitant considérablement la production de déchets. Il est prévu que ces dates puissent être repoussées "selon les progrès dans le développement de ces technologies".Meilleures technologies disponiblesLe "label vert" ne pourra être accordé qu'aux projets nucléaires mettant en oeuvre les meilleures technologies disponibles. Les nouvelles centrales concernées seront donc au moins de 3e génération (comme l'EPR français de Framatome-Siemens).Pour être reconnus par le label de finance durable de l'UE, tous les projets de centrale (construction ou extension) devront en particulier recourir à partir de 2025 à de nouveaux combustibles qui résistent aux accidents ("accident tolerant fuel").Si la Société française d'énergie nucléaire (Sfen) reconnaît l'intérêt de cette innovation en matière de sûreté, elle estime cependant qu'elle "ne saurait être une exigence" dans la mesure où ces carburants sont encore au stade de la R&D, avec un calendrier de déploiement qui reste incertain.Gestion des déchets et démantèlementBien que non reconnus parmi les activités bénéficiant du "label vert", le recours au traitement et stockage des déchets, tout comme le démantèlement des installations en fin de vie, sont des conditions nécessaires pour labelliser les projets de construction et de renouvellement de centrales.Bruxelles impose aux États membres abritant ces projets un plan de gestion de tous les types de déchets, radioactifs ou non, ainsi que la réutilisation autant que possible des combustibles usés.Mais aussi un projet détaillé pour disposer d'ici à 2050 des installations de stockage par enfouissement des déchets nucléaires à haute intensité dont certains restent dangereux pendant 100.000 ans. Un plan de financement de ces dispositifs est également requis.Contrôle bruxelloisChaque projet de nouvelle centrale ou de prolongation devra être notifié à la Commission européenne qui analysera sa conformité aux critères fixés. Il devra en outre faire l'objet tous les cinq ans d'un rapport détaillé transmis à Bruxelles pour faire le point sur son avancement.Ainsi, l'exécutif européen s'attribue de nouvelles prérogatives qui risquent de s'avérer redondantes avec celles des autorités de sûreté nationales et de rogner la souveraineté des États en matière énergétique.TransparenceToutes les entreprises devront publier la part de leurs activités dans le secteur nucléaire. Cette disposition permettra aux acteurs financiers qui le souhaitent de créer des produits d'investissement "verts" garantis sans nucléaire.
Il y a 3 ans et 113 jours

Le centre commercial Leclerc de Saint-Just-en-Chaussée choisit Portalp pour sécuriser et fluidifier les accès de son magasin

Depuis près de 60 ans, Portalp fabricant français de portes automatiques sur-mesure, propose une offre globale de produits et services pour la sécurité et l’accès des bâtiments dans de nombreux secteurs dont le commerce. C’est pour cette expertise et pour la proximité que fournit son réseau français de 26 agences régionales que le centre commercial Leclerc, situé à Saint-Just-en-Chaussée (Oise), a fait appel à Portalp pour le remplacement des deux portes d’accès au magasin. Des portes SAS sur-mesure D’une superficie de 6500 m2 le centre commercial de Saint-Just-en-Chaussée, composé d’un supermarché Leclerc et d’une galerie marchande, accueille chaque jour près de 2500 clients. A l’origine, il était équipé de deux portes tambours rendant difficile l’accès avec un chariot. De plus, ce système s’avérant en panne régulièrement, Monsieur Deschamps, Directeur du centre, a souhaité  le remplacer pour bénéficier de portes mieux adaptées au fort trafic. Il a fait appel à Portalp qui lui a proposé une solution sur-mesure pour conserver, au maximum, la structure existante encore fonctionnelle Les portes SAS automatiques composées, chacune, de quatre vantaux fixes et de deux vantaux mobiles s’ouvrant en même temps pour fluidifier l’accès ont remplacé les installations dysfonctionnelles. « La problématique technique était de s’adapter au diamètre des deux structures cintrées existantes« , explique Christophe Ferrero, technico commercial Portalp. En amont de la fabrication de ces produits spécifiques, l’expertise de Mohamed Touach conducteur de travaux Portalp a été capitale dans la prise de cotes et la vérification de celles-ci avant leur transmission au bureau d’études pour la réalisation du plan d’exécution. « Une fois celui-ci dessiné, il est à nouveau contrôlé et validé avec le client. Et comme ce sont des portes automatiques sur-mesure, le plan est très détaillé pour que les techniciens réalisent la pose dans les règles de l’art » ajoute Lionel Landois, chef des ventes Ile-de-France Portalp. Avant la pose des deux nouvelles portes SAS coulissantes Portalp, le sol a été carrelé pour une meilleure planéité, les rails cintrés des portes d’origine enlevés et remplacés par ceux de Portalp qui ont été scellés dans une réservation pour maintenir les portes en partie basse. Compte tenu de la grande largeur de passage et pour être en conformité avec la norme EN 16005, la sécurité  des clients est assurée par trois détecteurs situés de part et d’autre, des portes SAS cintrées ainsi qu’un supplémentaire au milieu du passage libre. Un délai de fabrication et de pose très court « Le délai de fabrication de ces portes automatiques sur-mesure est de seulement 8 semaines et il faut compter 12 semaines de l’étude à la livraison. C’est ce qui fait notre spécificité chez Portalp » indique Christophe Ferrero. L’installation de chaque porte SAS a été réalisée par cinq techniciens en une semaine. Pour faciliter et optimiser le temps de pose sur chantier, la structure aluminium des portes, dont chaque vantail pèse 120 kg, est pré-assemblée et pré-percée en usine. « Afin d’optimiser la durée de vie et la fiabilité de ces deux nouvelles structures, nous avons proposé à Monsieur Deschamps un contrat de maintenance assuré par notre équipe régionale qui intervient 7 jours /7, 24 h/ 24. Une offre qu’il a immédiatement accepté car celle-ci lui permet de bénéficier en plus d’une extension de garantie à cinq ans » conclut Christophe Ferrero. Cette offre de maintenance complète le service que Portalp propose tout au long d’un projet à ses clients. De l’accompagnement à l’étude en passant par la fabrication sur mesure et made in France, les équipes expérimentées de Portalp fournissent une offre globale et complète au secteur des petites et grandes enseignes. http://www.portalp.com/
Il y a 3 ans et 116 jours

QuosAir lance Lucie, le capteur français écoresponsable qui mesure le CO2 et les COV directement depuis votre smartphone

La crise sanitaire a changé le regard de la société sur la qualité de l'air. Désormais, chacun a pris conscience de l'importance de respirer un air sain, exempt de virus mais aussi de tous les polluants qui peuvent être présents dans un lieu fermé.Pourtant, concrètement, comment s'assurer qu'une pièce est bien ventilée ? Dans le cadre de la lutte contre la propagation de la Covid-19, le Gouvernement préconise d'aérer au minimum quelques minutes toutes les heures. Mais est-ce suffisant ? Comment savoir quand le seuil d'alerte est atteint ?Dans les collectivités, les crèches, les écoles et les entreprises, il est primordial de disposer d'outils de mesure efficaces et simples à utiliser au quotidien.Or actuellement, les dispositifs existants sont loin d'être adaptés à la réalité du terrain. Non seulement ils manquent souvent de fiabilité, mais ils sont aussi inadaptés pour un usage en totale autonomie.Dans ce contexte, QuosAir lance Lucie, un nouveau capteur de CO2 et de COV. Il permet de visualiser immédiatement les seuils de confinements et des polluants d’une pièce directement sur n’importe quel smartphone grâce à son QR code.Le mesure de la qualité de l'air : un véritable enjeu de santé publiqueSavez-vous que l'air intérieur est 5 à 7 fois plus pollué que l'air extérieur ? Or, respirer un air qui n'est pas sain a de vraies conséquences sur la santé : allergies respiratoires, asthme, maux de tête, nausées...C'est pour cela que la surveillance de la qualité de l'air intérieur est à la fois :une obligation légale : elle s'impose déjà aux crèches, maternelles, centres de loisirs, collèges et lycées. A partir de 2023, tous les ERP (établissements recevant du public) seront concernés.une bonne pratique RSE pour améliorer la qualité de vie au travail (QVT) des collaborateurs tout en augmentant la productivité (meilleure capacité de concentration).Avec Lucie, surveiller la qualité de l'air intérieur devient simple et accessible à tous. En effet, le capteur français est équipé d'une cellule photovoltaïque permettant une recharge autonome du capteur qui mesure le CO2 et les COV présents dans votre air intérieur.Il suffit de scanner le QR code du capteur et, hop, les mesures peuvent être visualisées directement sur votre smartphone.Lucie peut donc être utilisée en totale autonomie dans les salles de classe/de professeurs, réfectoires, bibliothèques, CDI, espaces de coworking, salles de repos, salles des fêtes, salles des protocoles, centres de santé, cinémas et théâtres municipaux. Le capteur Lucie sera disponible au premier trimestre 2022. Il est possible d'effectuer dès à présent une précommande.Les (grands) petits plus de Lucie "Easy to use" et completLucie s'utilise de façon autonome, sans avoir besoin de compétences particulières : la lecture des seuils d'alerte est très simple : Led verte allumée = bon, led orange = moyen, led rouge = mauvais ; l'appareil mesure le CO2, la température, l'humidité, les PM1, PM2,5, PM10, les COV, et le formaldéhyde. Facile à vivreGrâce à un panneau photovoltaïque, le capteur se recharge tout seul. Cependant, en cas de besoin, il dispose d'une batterie de recharge USB-C.Le capteur est simple à installer, il peut être posé ou fixé sur un mur. Ensuite, dès qu'il est mis en place, il est immédiatement opérationnel.Un système anti-vol est inclus.FiableLucie utilise la technologie de mesure NDIR recommandée par les autorités sanitaires. L'appareil est étalonné selon les procédures COFRAC et conforme à la norme RoHS.Cet outil permet donc de valider en quelques instants l'efficacité des protocoles d'aération existants.Mesurer la qualité de l'air intérieur à 360° grâce aux solutions QuosAirQuosAir est devenu un véritable expert de la qualité de l'air avec plus de 500 objets déployés dans une dizaine de villes auprès d'une cinquantaine de clients.L'entreprise française a commencé en lançant un capteur de CO2 "nouvelle génération" qui permet de mesurer en temps réel la température, l'humidité et le taux de CO2. Fabriqué en France, il est connecté à la plateforme Quoslive pour faire des analyses durables et adapter les systèmes de ventilation ou de climatisation.Par la suite, QuosAir a développé le pack QAI pour aider tous les ERP sensibles (crèches, écoles, collèges, lycées, Ehpad…) à se mettre en conformité avec la loi grâce à un accompagnement pas à pas. En effet, depuis 2018, ils ont l'obligation de contrôler leur qualité de l'air (indice ICONE, Formaldéhyde et Benzène).Puis, pour répondre à la demande des clients ayant des taux mauvais, QuosAir a mis au point le pack R’Quos en partenariat avec NatéoSanté, qui permet à la fois de mesurer, purifier et désinfecter en continu avec un taux d'efficacité de 99,6%.
Il y a 3 ans et 118 jours

Le SNEP confie sa marque « QualiPVC fenêtre » à l’UFME

Adapté à toutes les tailles d’entreprises et plus particulièrement aux petites structures, le process d’obtention de cette marque est rapide et simple, au coût adapté et maîtrisé.La mise en place de cette démarche qualité peut être appréciée comme une première étape vers la certification NF Fenêtre. Idéale pour une entreprise qui n’a pas la ressource nécessaire pour gérer différents marquages. QualiPVC fenêtre permet ainsi aux titulaires, avec une seule marque, un seul logo, de mettre en avant la qualité de leur fabrication et son origine française, au-delà du classique et généralisé « made in France ».Une marque qualité accessible à tous...La procédure est simple. Le fabricant retire son dossier auprès de l’UFME ou de son coach gammiste QualiPVC fenêtre. Une fois complété, il le renvoie vers l’instructeur indépendant SOCOTEC qui procède à un audit du système qualité de la production sur site. Le rapport est ensuite transmis auprès du comité de marque qui délivre le droit d’usage de la marque pour une durée de deux ans renouvelables.Les entreprises bénéficiaires en tirent de multiples avantages, avec en premier lieu la reconnaissance de leur savoir-faire. Leurs produits attestent d’une valeur ajoutée pour répondre aux appels d’offres et faciliter l’accès aux dispositifs financiers et aides gouvernementales mis à disposition des foyers. Les candidats fabricants disposent de l’accompagnement personnalisé d’un coach gammiste fabricant de profilés PVC et de l’appui d’une communication nationale valorisant la fenêtre PVC et la marque QualiPVC fenêtre....aux exigences élevées : un repère pour les consommateursQualiPVC fenêtre vise à apporter la preuve de la bonne application du Contrôle de Production en Usine (CPU) de la norme harmonisée NF EN 14351-1. Le règlement définit une organisation rigoureuse et documentée, s’appuyant sur des moyens adaptés pour obtenir, de manière fiable et reproductible, un produit de qualité aux performances revendiquées. Elle permet ainsi aux entreprises de justifier de la conformité aux exigences générales et spécifiques du NF DTU 36.5 P1-2 CGM de leur fabrication de fenêtre en profilés PVC. La démarche qualité et sa conformité au règlement d’usage sont contrôlées au cours des deux ans de validité du droit d’usage de la marque par des audits de suivi dont le nombre et la fréquence sont adaptés selon les volumes de production de menuiseries.
Il y a 3 ans et 123 jours

Qualifelec renforce sa position de leader dans la qualification IRVE

En complément de la recharge à domicile, la France compte désormais environ 40.000 points de recharge ouverts au public (chiffre 3e trimestre 2021 - source Gireve) et enregistre, ces derniers mois, une très nette accélération du déploiement de ces Infrastructures de Recharge des Véhicules Électriques (IRVE). Côté filière, cette dynamique est soutenue par le nombre croissant d’installateurs électriciens qui s’investissent dans cette activité. Qualifelec, organisme de qualification de référence du génie électrique, énergétique et numérique, compte aujourd’hui 2.300 entreprises qualifiées dans l’activité IRVE. Ce qui fait de lui, le leader français dans la qualification IRVE. La qualification est un gage de confiance pour les consommateurs qui garantit que les installateurs électriciens qualifiés maîtrisent le savoir-faire indispensable pour répondre aux normes de sécurité en vigueur. Qualifelec a été le premier organisme de qualification à proposer la reconnaissance de la compétence en IRVE, deux ans avant que le législateur ne rende la qualification obligatoire dans cette activité, dans le cadre du décret de janvier 2017. Avec l’aide de ses instances, Qualifelec observe en permanence les évolutions des marchés du génie électrique, énergétique et numérique et développe un outil de cartographie qui permet de localiser, sur l’ensemble du territoire national, les entreprises qualifiées en matière d’IRVE. Pour renforcer encore sa position de leader de la qualification IRVE, le conseil d’administration de Qualifelec a adopté, le 17 novembre dernier, une nouvelle qualification dédiée qui tient compte des évolutions réglementaires et des attentes spécifiques de la maîtrise d’ouvrage, dont les besoins ont évolué. La massification des IRVE ne peut pas se faire sans une exigence d’excellence associée, et contribuer à la sécurité des installations est une priorité pour Qualifelec. C’est pourquoi cette nouvelle qualification renforce les exigences en matière de conception, d’installation et de maintenance des IRVE par les entreprises qualifiées.Que disent les textes réglementaires ? Le décret du 12 janvier 2017 fixe l’obligation de formation de l’installateur et de qualification de l’entreprise pour être autorisé à installer des IRVE d’une puissance supérieure à 3,7 kW, accessibles au public. Le décret du 4 mai 2021 prévoit un renforcement des compétences techniques des entreprises et de nouvelles obligations de qualification en Études et Maintenance.Obligation de produire une étude de conception électrique préalable pour tout projet d’IRVE dans un parc de stationnement d’au moins 50 places ainsi que dans les bâtiments d’habitation collectifs proposant au moins 4 points de recharge.Obligation de qualification spécifique Études IRVE pour les entreprises produisant ces études (détails dans l’arrêté du 27 octobre).Obligation de qualification des entreprises réalisant la maintenance des IRVE. Qualification s’appuyant sur une formation préalable des techniciens(détails dans arrêté du 27 octobre).Obligation d’obtenir une attestation de conformité visée par Consuel pour mise en service d’une IRVE :pour toute nouvelle IRVE d’une puissance supérieure à 36 kWpour toute nouvelle IRVE installée dans les bâtiments d’habitation collectifs, quelle que soit la puissancepour toute modification d’une IRVE existante dont la puissance maximale dépasse les 36kW après modification.Introduction de la notion de Pilotage de la recharge dont les caractéristiques seront fixées par un nouvel arrêté.
Il y a 3 ans et 124 jours

Le Cerema poursuit le déploiement de la règlementation environnementale (RE2020) dans les territoires

Le Cerema a apporté pour l’élaboration de la nouvelle réglementation thermique « RE2020 », un appui technique aux services du ministère de la Transition écologique : expertise pour les mesures de performance réelle des bâtiments, détection et analyse de non-conformités et analyse du cycle de vie des bâtiments (ACV). Le Cerema avait auparavant accompagné l’expérimentation Energie Positive et Réduction Carbone E+/C-, qui a préfiguré la RE2020 notamment sur le volet de l’ACV. Nos missions auprès des acteurs des territoires et des professionnels du bâtimentAujourd’hui, la mission de service public du Cerema se poursuit pour déployer la nouvelle règlementation et accompagner tous les acteurs publics et privés avec :La formation des professionnels et des maîtres d’ouvrages à la RE2020 ;L’animation des territoires avec des webinaires dédiés et des conférences techniques territoriales ;L’élaboration de guides de décryptage et de fiches d’application ;La réalisation de Fiches de Données Environnementales et Sanitaires (FDES) pour quantifier l’impact environnemental de chaque produit ;L’évaluation des logiciels RE 2020 sur le volet Analyse du Cycle de Vie ;Le décryptage de l’analyse de cycle de vie dynamique et son lien avec les matériaux biosourcés ;L’encadrement de la filière des professionnels habilités à vérifier sur le terrain le respect des exigences de la réglementation.Avec ses 26 implantations partout en métropole et dans les Outre-mer, le Cerema développe des projets au plus proche des besoins et du contexte des territoires. Il organise régulièrement des conférences techniques territoriales pour accompagner les collectivités et les services de l’État. Focus sur l’action du Cerema en région Bourgogne-Franche-ComtéLe Cerema est présent en région Bourgogne-Franche-Comté par son agence d’Autun qui a développé une expertise de pointe sur plusieurs volets de la RE2020 :Les méthodologies de calcul de la performance des bâtiments : avec des contributions à de nombreux groupes d’expertises pour définir la méthodologie de calcul de la performance des bâtiments, les indicateurs et les seuils réglementaires à retenir dans la RE2020.L’étanchéité à l’air des parois des bâtiments neufs : l’agence d’Autun dispose de matériels de mesure uniques en France et d’une expertise historique mobilisés pour l’élaboration de la RE2020. Cette agence du Cerema accompagne aussi les maîtres d’ouvrages publics dans les territoires afin d’assurer la meilleure performance énergétique et environnementale possible de leurs bâtiments. C’est le cas notamment au collège Dorgelès à Longvic au Sud de Dijon où le Conseil départemental de la Côte d’Or réhabilite un collège par le biais d’une déconstruction – reconstruction en site occupé. L’assistance du Cerema à ce projet a débuté dès 2016 pour finaliser le programme du projet et se poursuivra deux ans après la livraison pour vérifier que le bâtiment tient ses promesses.Pour rappel, la RE2020 a pour objectifs de :Réduire les émissions de gaz à effet de serre des bâtiments, en prenant en compte tout le cycle de vie du bâtiment, de sa conception à sa fin de vie ;Améliorer le confort d’été dès la conception pour éviter le recourt à la climatisation ;Faire baisser la facture énergétique en améliorant les performances des bâtiments neufs.
Il y a 3 ans et 127 jours

Construction, géométrie, maths et mesures…

L’étalonnage est un processus de certification de la fiabilité des instruments de mesure et de leur niveau de précision. Dans le BTP, l’étalonnage des techniques et du matériel de construction est une nécessité. En effet, c’est ce procédé qui garantit la qualité des ouvrages et leur durabilité dans le temps. Quels sont les avantages d’un étalonnage régulier et pourquoi est-il important de disposer des équipements d’étalonnage au sein de l’entreprise ? Quelle est l’importance des équipements d’étalonnage dans une entreprise de BTP ? L’étalonnage permet de comparer deux types d’appareils. Le premier instrument est celui que l’on souhaite étalonner. Le second quant à lui est une sonde de référence de température. C’est elle qui permet de définir le niveau de précision de votre appareil. Procéder à un étalonnage de vos instruments permet de garantir leur précision en rapport avec la mesure. Les équipements comme les thermocouples embarqués font régulièrement l’objet d’étalonnage. Pour ce faire, le recours à une sonde de température de référence est un impératif. À la suite de leur usure normale liée au temps qui passe, les appareils de mesure connaissent une dérivation au fil du temps. C’est pourquoi ces derniers nécessitent un étalonnage régulier. Le niveau de stabilité des sondes RTD est supérieur à celui des thermocouples. Autrement dit, leur pourcentage de dérivation est faible comparé à celui des thermocouples qui s’accroît à mesure que le temps passe. Que la tendance en matière de dérivation soit faible ou élevée, la nécessité s’impose de procéder à un étalonnage régulier de vos appareils de mesure. Cela permet de maintenir constamment une meilleure qualité des produits fabriqués et la fiabilité des données recueillies. L’indispensable étalonnage dans les techniques de construction L’utilisation et l’environnement déterminent la fréquence d’étalonnage des équipements. Cela va sans dire, les ondes dérivent plus rapidement dans des environnements difficiles et moins vite dans un environnement ayant moins de contraintes. Pour définir la nécessité d’un étalonnage, vous devez également prendre en compte la précision de la mesure. L’importance de l’étalonnage dépend en effet de la spécificité et du niveau de précision attendu lors du paramétrage de la mesure. L’étalonnage des instruments doit intervenir dans le cadre d’une procédure opérationnelle standard (SOP). Ce procédé peut d’ailleurs impacter de manière significative le résultat de la mesure au cas où un dysfonctionnement de la sonde survient. Dans un tel cas de figure, il peut advenir que de petits écarts soient constatés. Dans le BTP, le processus de fabrication des matériaux implique le maintien des températures. Un faible pourcentage d’écart de celle-ci pouvant entraîner des dommages irréparables telle la mauvaise qualité des produits ou carrément la perte d’un lot entier. Inspection et étalonnage des équipements de BTP Les grues et les appareils de levage sont parmi les équipements de BTP qui nécessitent une inspection constante. Cette précaution permet de s’assurer que les équipements de levage présents sur le chantier sont en parfait état de fonctionnement. L’évaluation de la conformité des grues et des appareils de levage peut se faire dans un cadre légal ou volontaire. En sollicitant l’expertise des organismes de certification agréés, vous pouvez bénéficier des formations ou des recyclages destinés à vos salariés exerçant comme opérateurs de grues ou de plateformes élévatrices. L’inspection des appareils proprement dite comporte différentes étapes. On peut citer pêle-mêle : l’inspection du matériel de levage, le contrôle des niveaux de ligne, la vérification des poutres de grues, des embrayages, des freins, des poulies, etc. En faisant contrôler régulièrement vos grues et appareils de levage, vous garantissez la fiabilité de vos équipements et la sécurité de toutes les personnes qui interviennent sur les sites des différents chantiers. Ces opérations permettent également d’assurer la conformité de vos équipements par rapport aux normes réglementaires. Étalonnage et certification des équipements dans l’univers de la construction En cas de besoin, n’hésitez pas à faire appel à un service de certification et d’étalonnage agréé. Parmi les missions assignées à ces organismes, il y a la garantie de conformité de vos équipements aux directives et normes en vigueur. Fabricants et importateurs des biens industriels doivent donc veiller à ce que leurs équipements soient conformes aux directives nationales et internationales. Vous êtes propriétaire de grues, d’appareils de levage ou vous exploitez simplement ces équipements ? Quoiqu’il en soit, assurez-vous de la fiabilité de leur utilisation et de leur conformité aux exigences légales. Cela peut se faire au travers d’une inspection réalisée par les équipes assermentées sur les grues et les appareils de levage. Faire appel à un organisme agréé pour des besoins de cette nature est d’une extrême nécessité. Le contrôle, l’inspection, la vérification et la certification font partie des missions dévolues à ces experts. Il s’agit en réalité d’une expertise de haut niveau conjuguée à une expérience certaine et des outils de pointe qui permettent de réaliser des diagnostics de toutes natures. Ces inspections concernent aussi bien le dispositif de manutention des matériaux que ceux destinés aux déplacements du personnel.
Il y a 3 ans et 127 jours

Conformité des entreprises : naissance d'un leader européen franco-britannique

Les leaders français de la conformité d'entreprise Once For All (OFA-Marque Attestation Légale) et Actradis fusionnent avec leur homologue britannique Fortius. Ces sociétés fournissent des logiciels et des services de vérification de la conformité des fournisseurs et de gestion de la chaîne d'approvisionnement, dans les secteurs de la construction, de la gestion des installations, de l'immobilier et de l'énergie.
Il y a 3 ans et 131 jours

Le projet de "label vert" européen pour le nucléaire montre ses limites

Périmètre restreintToutes les activités de la filière nucléaire ne sont pas reconnues dans la liste des investissements pouvant bénéficier des avantages de la finance verte (taxonomie de l'UE).Sont concernés la construction de nouvelles centrales pour la production d'électricité et les travaux pour la prolongation de centrales existantes, ainsi que la recherche en vue du développement de technologies minimisant les déchets.Mais la gestion du cycle du combustible (extraction et enrichissement de l'uranium, traitement du combustible usé, enfouissement), élément central de la chaîne de valeur, n'est pas mentionnée.Dates limitesLe projet de texte fixe une date limite à la reconnaissance du nucléaire, technologie bas-carbone mais considérée seulement comme solution "transitoire" au réchauffement climatique, au même titre que le gaz.Seules les énergies renouvelables (éolien, photovoltaïque, etc.) sont classées dans la catégorie des investissements "durables" qui restent l'objectif prioritaire de la politique énergétique européenne.Pour les nouvelles centrales nucléaires, cette reconnaissance "transitoire" concernera des projets ayant obtenu un permis de construire avant 2045. Les prolongations de centrales existantes devront avoir été autorisées d'ici à 2040.Ces limites visent à encourager le recours le plus tôt possible aux futurs réacteurs de 4e génération, attendus dans les décennies à venir, plus sûrs et limitant considérablement la production de déchets. Une clause de revoyure est prévue: les dates limites devront "être revues selon les progrès dans le développement de ces technologies", est-il précisé.Meilleurs technologies disponiblesLe "label vert" ne pourra être accordé qu'aux projets nucléaires mettant en oeuvre les meilleures technologies disponibles. Les nouvelles centrales concernées seront donc au moins de 3e génération (comme l'EPR français de Framatome-Siemens).Pour être reconnus dans la taxonomie de l'UE, tous les projets de centrale (construction ou extension) devront en particulier recourir à de nouveaux combustibles résistant aux accidents ("accident tolerant fuel").Si la Société française d'énergie nucléaire (Sfen) reconnaît l'intérêt de cette innovation en matière de sûreté, elle estime cependant qu'elle "ne saurait être une exigence" dans la mesure où ces carburants sont encore au stade de la R&D, avec un calendrier de déploiement qui reste incertain. Cette condition est susceptible de réduire à néant l'intérêt de la taxonomie pour la filière, selon certains experts.Gestion des déchets et démantèlementParadoxalement, bien que non reconnus dans les activités bénéficiant du "label vert", la prise en charge du traitement et stockage des déchets, tout comme du démantèlement des installations en fin de vie, figure parmi les critères exigés pour les projets de construction et renouvellement de centrales.Ces contraintes incluent pour les États membres abritant ces projets l'existence d'un plan de gestion de tous les types de déchets, radioactifs ou non, ainsi que la réutilisation autant que possible des combustibles usés.Mais aussi un projet détaillé pour disposer d'ici à 2050 des installations de stockage par enfouissement des déchets nucléaires à haute intensité dont certains restent dangereux pendant 100.000 ans. Un plan de financement de ces dispositifs est également requis.Contrôle bruxelloisChaque projet de nouvelle centrale ou de prolongation de centrale existante devra être notifié à la Commission européenne qui analysera sa conformité avec les critères fixés. Il devra en outre faire l'objet tous les cinq ans d'un rapport détaillé transmis à Bruxelles pour faire le point sur son avancement.Ainsi, l'exécutif européen s'attribue de nouvelles prérogatives qui risquent de s'avérer redondantes avec celles des autorités de sûreté nationales et de rogner la souveraineté des États en matière énergétique.TransparenceTous les investisseurs devront publier la part de leurs activités dans le secteur nucléaire. Cette disposition permettra aux acteurs financiers qui le souhaitent de créer des produits d'investissement "verts" garantis sans nucléaires.
Il y a 3 ans et 139 jours

Un nouveau type de radars routiers va être testé en France

Première phase d'expérimentationTrois technologies différentes vont être testées pour ces radars qui seront mis en place à partir du mardi 4 janvier ou du 5 janvier, dès la publication d'un décret dans le Journal officiel. Ces radars sont installés sur la route qui traverse Saint-Forget (78) dans la vallée de Chevreuse, route chérie des motards.Cete route avait déjà fait l'objet d'un test pour un « radar méduse » équipé d'une caméra et de micros.Six autres collectivités vont donc voir apparaître ces dispositifs dans les semaines prochaines : Paris, les métropoles niçoises, toulousaines et lyonnaises, Bron et les communes de Rueil-Malmaison (92) et Villeneuve-le-Roi (94).Pendant cette phase expérimentale, les radars ne constateront pas d'infractions, le but du test étant de déterminer le niveau sonore maximal, fixé pour commencer à 90 décibels (les sons de la vie quotidienne sont compris entre 30 et 90 décibels).Jusqu'à maintenant, chaque véhicule avait son propre niveau sonore maximal que l'on peut retrouver sur sa carte grise et que les forces de l'ordre ne pouvaient contrôler qu'à l'arrêt pour vérifier sa conformité.Le but pour le ministère est donc « d'amplifier les contrôles et d'améliorer leur efficacité ».Seconde phase d'expérimentationTrois mois à partir de la mise en place des radars tests, une deuxième phase d'expérimentation pourra commencer avec cette fois-ci la constatation d'infractions et donc de potentielles contraventions de 4ème classe, c'est-à-dire une amende forfaitaire de 135 euros, minorée à 90 euros si le paiement est effectué dans les 15 jours.Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, souligne dans un communiqué que « le bruit a un coût très concret pour nos concitoyens » et que « des réglementations existent déjà mais la généralisation des contrôles est un levier essentiel pour lutter efficacement contre cette source de pollution, en particulier sur la voie publique ».Pour rappelLe « coût social » auquel fait référence Barbara Pompili fait référence à l'exposition au bruit, principalement des transports, qui coûte plus de 147 milliards d'euros par an en France, notamment via les conséquences sanitaires indirectes, selon un rapport publié en juillet 2021 par le Conseil national du bruit et de l'Ademe (Agence de la transition écologique).Quant à l'OMS, l'organisation considère que le bruit est le deuxième facteur environnemental provoquant le plus de dommages sanitaires en Europe, juste après la pollution de l'air, responsable de 40.000 décès prématurés par an en France par exemple.Ces nouveaux radars sonores auront donc « vocation à être généralisés sur l'ensemble du territoire national » si un dispositif législatif pérenne est adopté, selon le ministère.
Il y a 3 ans et 141 jours

Dominique Granseigne, nommé directeur commercial et marketing Xella pour la France et l’Espagne

Diplômé de l’école Sup’TG Reims Néoma Business School et d’un CESA Direction Marketing et Commerciale d’HEC, Dominique Granseigne, 49 ans, profite d’un long parcours dans le monde du bâtiment et bénéficie d’une grande expérience de cet univers.Débutant sa carrière dans le monde de l’électroportatif en tant que commercial chez Hilti, Bosch puis Metabo, il devient en 2000, Manager Général d’un club professionnel de Basket.En 2006, il est nommé Chef des Ventes France d’Isoroy, spécialiste de la Maison Ossature Bois puis entre chez Monier en qualité de Directeur Régional Sud, fonction qu’il occupera pendant 8 ans. En 2016 , il prend la co-gérance de Geoxia IDF et la responsabilité du développement commercial des marques Maison Familiale et Maison Castor. C’est lors de sa mission au sein de Geoxia qu’il est élu Président de Domexpo, association qui regroupe les constructeurs de maisons individuelles autour de villages Expo.Arrivé en février 2019 chez Xella en tant que Directeur Commercial France, Dominique Granseigne a eu la charge de fusionner les forces de vente Ytong et Cellumat, entreprise nouvellement achetée par le groupe. Un an plus tard, la direction commerciale de l’Espagne entre dans son périmètre lequel s’élargit encore aujourd’hui avec les directions marketing et du développement produits pour les marques Siporex, Ytong, Multipor, Hebel et Silka.Depuis ses différentes prises de fonctions, la structure commerciale de l’entreprise a été repensée et s’organise aujourd’hui autour de :3 Directeurs Régionales des ventes rattachés aux 3 usines : Arnaud Zinsch (Saint-Savin, Région Est)Ingrid Quantin (Mios, Région Ouest)Jean-Marc Cuignez (Saint-Saulve, Région Nord).1 Responsable Nationale Maison Individuelle, Tatiana Guillot, arrivée le 8 novembre, qui a la charge de développer ce segment de marché grâce aux atouts du béton cellulaire et de sa conformité avec la RE 2020.1 Responsable technique et qualité produits, Arnaud Porte.1 Responsable ADV, Julie Didone.1 Directeur Commercial Hebel/Ytong pour les projets tertiaires et industriels et les murs séparatifs coupe-feu, Pascal Meulders.1 Directeur Commercial Espagne, Juan Irastorza et son équipe de 3 personnes.1 Directeur Commercial GSB, Eric Criquioche et son équipe de 4 personnes pour animer ce réseau.Dans l’objectif de répondre au mieux aux besoins en béton cellulaire dans les différents secteurs de la construction, l’équipe commerciale Xella est désormais plus étoffée. Notons en effet la mise en place d’une équipe de 6 Responsables de Ventes Affaires dès janvier 2022, lesquels auront pour mission de développer les ventes et les partenariats dans les secteurs de la maison individuelle, du logement collectif, de la rénovation urbaine et de la protection incendie où Xella possède un produit coupe-feu 4h, toutes hauteur dès 15 cm.
Il y a 3 ans et 145 jours

Poêles à combustible liquide Qlima – Chaleur homogène et budget maîtrisé

Le chauffage pèse de plus en plus lourd dans le budget annuel des Français. Permettant de se chauffer rapidement, sans faire augmenter de façon drastique la facture énergétique, les poêles à combustible liquide ont bénéficié ces dernières années de nombreuses avancées techniques. Économiques à l’achat comme à l’utilisation, pouvant fonctionner instantanément dès que le besoin s’en fait sentir, ils connaissent un succès croissant pour faire face aux affres de l’hiver. Qlima, leader européen sur le marché des poêles à combustible liquide, propose deux appareils peu gourmands en énergie, les modèles SRE 4035 C et R 8128S C-2. En utilisant un combustible Qlima à 0,075 € TTC/kWh*, l’économie réalisée peut atteindre 35 %, par rapport à un radiateur électrique radiant au tarif de 0,171 € TTC/kWh. Classés A, ne nécessitant aucune installation spécifique et parfaitement sécurisés, ces modèles Qlima apportent rapidement chaleur et confort aux intersaisons comme au cœur de l’hiver. En quelques minutes, la puissance de chauffe associée à un ventilateur performant (sur le modèle SRE 4035 C) réchauffe agréa-blement la pièce de façon uniforme. 100 % de sécurité Répondant à la très stricte norme NF, les poêles à combustible liquide Qlima garantissent un chauffage haute performance totalement sécurisé. Les appareils sont équipés d’un détecteur de CO2, d’un système anti-renversement en cas de choc et d’un arrêt automatique si la température de la pièce est trop élevée. Deux grandes familles d’appareils Le modèle Laser SRE 4035 C Qlima nécessite une alimentation électrique pour la mise en route et la régulation électronique. Ses nombreuses fonctions permettent de chauffer sans gaspiller : par exemple, le mode Save coupe et redémarre l’appareil automatiquement pour maintenir la température demandée sans fluctuations énergivores. Rapide, sécurisé et très silencieux, le poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima est, quant à lui, idéal pour un apport ponctuel de chaleur sans électricité. À haut rendement, il est équipé d’un système unique de brûleur à double combustion.   Poêle électronique Laser SRE 4035 C Qlima Particulièrement puissant, le poêle électronique Laser SRE 4035 C Qlima permet de chauffer rapidement de grandes surfaces (jusqu’à 60 m2). La chaleur produite se propage uniformément au moyen du ventilateur intégré. En seulement cinq minutes, l’appareil diffuse une chaleur confortable dans l’espace de vie. Le brûleur à bec bunsen du poêle Qlima utilise la forme gazeuse du combustible dans la chambre de combustion. Les effets sont remar-quables : démarrage rapide (environ 45 secondes), odeurs considérablement réduites, y compris au démarrage et à l’extinction, et régulation de la combustion très précise. La régulation du poêle se fait en effet de 100 W en 100 W. Cela procure une chaleur constante, confortable, sans variations de température désagréables. De plus, un système d’air pulsé chauffe la pièce très rapidement grâce à une répartition équilibrée de l’air chauffé, perpétuellement brassé. Les + signés Qlima Avec le SRE 4035 C Qlima, la consommation de combustible est réduite de 8 %. Doté d’un mode Save, avec marche et arrêt automatiques, l’appareil maintient la température programmée sans variations de chaleur. Un capteur mesure la température ambiante, et le poêle s’autorégule en fonction de la chaleur choisie. La fonction Fuzzy Logic sert à contrôler les conditions de température et ajuste le fonction-nement du poêle. Elle repère les problèmes éventuels et les indique par codes erreurs. Pour une totale sécurité, le SRE 4035 C est équipé d’un témoin de flamme qui contrôle la qualité de combustion, d’un système anti-renversement qui coupe immédiatement le poêle s’il vient à se renverser, de parois froides, d’un bouton de sécurité enfant et d’un détecteur de CO2. Ce dernier contrôle en permanence l’atmosphère de la pièce, et permet d’arrêter automatiquement l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. Grâce à son grand réservoir d’une contenance de 5 litres, le poêle SRE 4035 C Qlima, peu gourmand en combustible, dispose d’une autonomie maximale de 40 heures.   Poêle électronique Laser SRE 4035 C Qlima Type de brûleur : à injection électronique Puissance : de 1 190 à 3 500 W Volume pièce : de 22 à 60 m2 Autonomie : de 13,5 à 40 h Consommation (max.) : 0,365 l/h Capacité du réservoir : 5 l Dimensions : L 436 x P 313 x H 435 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 399 euros TTC Points de vente : GSB, GSA et sites e-commerce   Poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima Particulièrement mobile, le poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima, qui fonctionne sans avoir besoin d’être branché à une prise de courant, constitue un chauffage autonome idéal dans les pièces de vie, ainsi que dans les garages, ateliers, vérandas… Convenant pour le chauffage des surfaces de 20 à 42 m2, l’appareil affiche une puissance de 2 850 watts. Grâce à son réservoir d’une contenance de 5,2 litres, ce modèle offre jusqu’à 17,5 heures d’autonomie. À utiliser dans un espace ventilé, le poêle à mèche Qlima est équipé d’un système unique de brûleur à double combustion qui permet d’optimiser ses performances. Le principe consiste à brûler les gaz issus de la première combustion au moyen d’un brûleur supérieur, afin d’obtenir une efficacité énergétique proche de 100 %. Avec ce système breveté, la combustion est propre, sans condensation, et les émanations d’odeurs considérablement limitées. Les + signés Qlima Ultra performant, le R 8128S C-2 Qlima intègre de nombreux systèmes de sécurité : • Un dispositif de contrôle d’atmosphère qui mesure en permanence le taux de CO2, et arrête l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. • Une sonde qui déclenche l’arrêt total de l’appareil dès que la température de la pièce est trop élevée (33 °C). • Un dessus tempéré, en conformité avec la norme de sécurité en vigueur. • Un système d’arrêt automatique qui se déclenche en cas de choc ou de renversement.   Poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima Type de brûleur : double combustion Puissance : 2 850 W Volume pièce : de 20 à 42 m2 Autonomie : 17,5 h Consommation (max.) : 0,297 l/h Capacité du réservoir : 5,2 l Dimensions : L 455 x P 295 x H 505 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 249 euros TTC Points de vente : GSB, GSA et sites e-commerce www.qlima.fr
Il y a 3 ans et 148 jours

Ce qui change au 1er janvier 2022 pour accélérer la transition écologique

Économie circulaireInterdiction d’éliminer les invendus non alimentairesInterdiction d'élimination des invendus non alimentaires pour les produits couverts par les filières REP (autrement appelées filières « pollueurs payeurs »), les produits d’hygiène et de puériculture, les produits d’éveil et de loisirs, les livres et fournitures scolaires, les équipements de conservation et de cuisson des aliments. L’élimination, autrement dit la mise en décharge et l’incinération, de ces produits invendus sera ainsi interdite. Les entreprises devront désormais les donner ou les recycler.Lutte contre le plastique à usage uniqueFin des emballages plastiques autour de certains fruits et légumes. Dès le 1er janvier 2022, c’est une trentaine de fruits et légumes frais non transformés qui seront vendus sans plastique dont une quinzaine de légumes : poireaux, courgettes, aubergines, poivrons, concombres, pommes de terre et carottes, tomates rondes, oignons et navets, choux, choux fleurs, courges, panais, radis, topinambours, légumes racines. Du côté des fruits, ce sont notamment les pommes, poires, oranges, clémentines, kiwis, mandarines, citrons, pamplemousses, prunes, melons, ananas, mangues, fruits de la passion, kakis, etc. que l’on retrouvera sur les étals sans emballage plastique dès 2022.Interdiction des jouets en plastique offerts dans certains menus : les restaurants qui souhaitent poursuivre la distribution gratuite de jouets avec leurs menus enfants devront en proposer dans d'autres matériaux, comme le bois ou le carton.Fin de la livraison sous plastique des journaux, magazines et publicités, qui devront être livrés sans emballage ou avec un emballage fabriqué avec un autre matériau, comme par exemple le papier.Dans le secteur de l'achat public : l'Etat ne pourra plus acheter de produits en plastique à usage unique pour une utilisation sur les lieux de travail ou lors des événements qu'il organise.Information du consommateur sur les émissions de gaz à effets de serre liées à ses consommations internet et mobilesLes fournisseurs d'accès internet et opérateurs mobiles devront communiquer à leurs abonnés les émissions de gaz à effets de serre liées à leurs consommations internet et mobiles. Cette information permettra de sensibiliser les consommateurs à l'impact de leur consommation numérique sur l’environnement et le climat.EnergieGel des prix du gazLe gel des prix du gaz en 2022 est étendu aux entreprises locales de distribution (ELD). L’instauration de ce bouclier tarifaire vise à protéger le pouvoir d’achat des ménages face à la flambée de prix de l’énergie.Modification de la réglementation relative aux installations d'éoliennes terrestresDeux nouveaux arrêtés ministériels modifient la réglementation relative aux installations éoliennes terrestres à compter du 1er janvier 2022 en introduisant :un contrôle acoustique systématique à réception pour les parcs éoliens ;un nouveau critère d’appréciation de l’impact sur les radars Météo France ;la possibilité de réutiliser les postes de livraison, les câbles et les fondations en cas de renouvellement ;une augmentation du montant des garanties financières, cohérente avec l’évolution technologique de la filière.Logement et bâtimentLancement de France Rénov', le service public pour rénover son logementFrance Rénov' est le nouveau nom du service public de la rénovation de l'habitat piloté par l’ANAH. Les Espaces Conseil FAIRE et les Points rénovation information service de l'Anah (PRIS) deviennent les Espaces Conseil France Rénov' dès le 1er janvier 2022 le point d'entrée unique pour guider les Français dans leurs travaux de rénovation. Ce service de référence délivre des informations et conseils neutres, gratuits et indépendants. Il accompagne également les ménages tout au long de leur parcours à travers l'offre spécifique « Mon accompagnateur Rénov' ».Le réseau France Rénov' est présent sur l'ensemble du territoire avec près de 450 guichets et est disponible via la plateforme france-renov.gouv.fr et au 0808.800.700.Lancement d'Eco Energie Tertiaire pour déclarer des données bâtimentaires et de consommationÉco Énergie Tertiaire est une obligation réglementaire qui impose une réduction progressive de la consommation d’énergie dans les bâtiments à usage tertiaire (surface de 1.000 m² ou plus) afin de lutter contre le changement climatique. À partir du 1er janvier 2022, les assujettis doivent déclarer leurs données bâtimentaires et de consommation d’énergie sur la plateforme Operat (Observatoire de la performance énergétique de la rénovation et des actions du tertiaire) de l’Ademe.Possibilité de déposer un permis de construire par voie électroniqueÀ partir du 1er janvier 2022, les usagers pourront choisir de déposer leur permis de construire et plus largement leur demande d’autorisation d’urbanisme (déclaration préalable, permis d’aménager, permis de démolir…) par voie électronique pour la réalisation de leurs travaux (construction/extension, ravalement, clôture, abris de jardin, fenêtres, panneaux solaires, …). Pour accompagner cette transformation d’ampleur et l’ensemble des communes, l’État en concertation avec les associations d’élus (AMF et AdCF) déploie un vaste programme de transformation numérique de l’application du droit des sols, appelé Permis de construire en ligne. Jusqu’à présent, l’usager était dans l’obligation :soit d’envoyer son dossier papier en de multiples exemplaires par voie postale en recommandé avec accusé de réception,soit de se déplacer aux horaires d’ouverture du guichet en mairie.Le dépôt et l’instruction en ligne des demandes d’autorisation d’urbanisme répondent ainsi aux enjeux de simplification et de modernisation des services publics, à l’heure où la très grande majorité de services est accessible en ligne.Mise en application de la RE2020, nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufsLa réglementation environnementale des bâtiments neufs, appelée RE2020, va remplacer l'actuelle réglementation thermique, la RT2012. Elle s'appliquera aux maisons individuelles et logements collectifs pour lesquels le permis de construire est déposé à partir du 1er janvier 2022 et aux bâtiments de bureau et d'enseignement pour lesquels le permis de construire est déposé à partir du 1er juillet 2022.Les trois objectifs principaux poursuivis à travers la RE2020 sont :donner la priorité à la sobriété énergétique et à la décarbonation de l’énergie ;diminuer l’impact carbone de la construction des bâtiments ;en garantir le confort en cas de forte chaleur.Ainsi, en plus de renforcer les exigences en matière de performance énergétique des bâtiments neufs par rapport à la RT2012, la RE2020 améliore la prise en compte du confort d'été et introduit la dimension environnementale en établissant des exigences relatives à l'impact carbone du bâtiment sur son cycle de vie dès sa construction. Afin de fixer une trajectoire de réduction de l'impact environnemental de la construction de bâtiments, les exigences seront progressivement renforcées tous les trois ans jusqu’en 2031.Santé-environnementMise en application du nouveau règlement bio européenDe nouvelles règles vont s’appliquer au 1er janvier 2022 pour la production biologique. Elles sont inscrites dans le règlement de base adopté en 2018 qui définit les principes généraux et les règles principales de l’agriculture biologique. Ce nouveau règlement est complété par une quinzaine de textes réglementaires sur des sujets souvent techniques. Plusieurs changements importants entreront en vigueur au 1er janvier 2022 :de nouvelles catégories de semences disponibles pour l’agriculture biologique ont été définies pour offrir aux agriculteurs bio du matériel plus adapté à leurs besoins et au service de la biodiversité agricole ;un certain nombre de nouvelles mesures visant à augmenter le bien-être des animaux sont également à l’ordre du jour, comme par exemple l’interdiction de mutilations (ébecquage, taille des dents) ;des produits qui n'étaient pas couverts par le règlement européen pourront à l’avenir bénéficier du label bio : il s'agit notamment des animaux de ferme comme les lapins et les cervidés, des huiles essentielles, du sel, etc. ;le règlement contient enfin de nouvelles règles concernant l’utilisation d’arômes et d’additifs mais aussi les importations, faisant de la conformité au cahier des charges européen la règle d’échange avec les pays tiers.TransportsProposée par la Convention citoyenne pour le climat, la taxe sur la masse en ordre de marche (malus poids) entrera en vigueur au 1er janvier. Elle s’appliquera aux véhicules de tourisme neufs pesant plus de 1,8 tonne (1.800 kg), avec un tarif unitaire de 10 € par kilogramme excédentaire. Pour tenir compte de situations personnelles particulières (familles nombreuses, personnes invalides, etc.) d’une part ; des spécificités techniques liées aux véhicules les plus performants sur le plan environnemental (véhicules électriques, hydrogène ou hybrides rechargeables d’une autonomie suffisante) d’autre part, des abattements ou des exonérations, suivant les cas, ont été intégrés au dispositif. Les véhicules utilitaires, quant à eux, ne sont pas concernés par la taxe.Renforcement du malus lié aux émissions de CO2 des véhicules et prolongation du barème actuel du bonus pour aider à l’acquisition de véhicules propresA partir du 1er janvier 2022, un nouveau barème du malus sur les émissions de CO2 des automobiles s'appliquera aux véhicules neufs. Cette évolution avait été prévue dès fin 2020 par l'article 55 de la loi de finances pour 2021. Il s'appliquera à partir de de 128 grammes de CO2/km au lieu de 133 grammes de CO2/km en 2021. Pour ce niveau de pollution, la taxation sera de 50 €. Le seuil de 1000 € sera atteint dès 151 grammes de CO2/km (1.074 €), au lieu de 156 grammes de CO2/km en 2021. La dernière tranche du barème s'élèvera à 40.000 € pour les véhicules ayant un taux de CO2 supérieur à 223 grammes de CO2/km (au lieu de 30.000 € en 2021 pour les plus de 218 grammes de CO2/km).En contrepartie de ces évolutions, et dans un contexte de forte hausse récente des prix des carburants, le barème du bonus écologique, subventionnant l’acquisition de véhicules propres, qui devait initialement diminuer d’un montant de 1.000 € au 1er janvier 2022, est finalement maintenu à son niveau actuel pour une durée supplémentaire de 6 mois. Les particuliers pourront ainsi continuer de bénéficier au 1er janvier 2022, par exemple, d’une aide de 6.000€ pour l’acquisition d’une voiture électrique ou hydrogène neuve de moins de 45.000€.Risques industrielsObligation de tenue à jour d’un état des matières stockéesL’obligation de tenue à jour d’un état des matières stockées entre en vigueur pour les entrepôts de stockage de matières combustibles, de liquides inflammables, les installations de tri transit déchets et les installations Seveso. Cet état devra être disponible sous deux formats, le premier format destiné à être utilisé par les services de l’État pour la gestion d’un évènement accidentel, le second pour répondre aux besoins d’information de la population dans ce même cadre.Les arrêtés encadrant les sites de liquides inflammables classés à enregistrement ou à déclaration entrent également en vigueur, achevant ainsi la mise en œuvre du plan d’action sur le volet de la réglementation relative aux liquides inflammables.Pour les entrepôts à autorisation, c’est la disposition visant l’anticipation des premiers prélèvements environnementaux en cas d’accident qui entre en vigueur. Par ailleurs, pour les entrepôts dotés d’un plan d’opération interne, il devient obligatoire d’y définir les dispositions à mettre en œuvre pour le nettoyage et la remise en état du site, ainsi que l’organisation pour lutter contre un incendie de plus de 2 heures.
Il y a 3 ans et 154 jours

Les principales mesures de la proposition de loi pour "accélérer l'égalité économique et professionnelle"

QuotasDes quotas de femmes seront instaurés parmi les cadres dirigeants et les instances dirigeantes des entreprises de plus de 1.000 salariés, avec une proportion d'au moins 30% de femmes d'ici 2027, et de 40% d'ici 2030.A compter de 2030, les entreprises auront deux années supplémentaires pour se mettre en conformité. A défaut, une pénalité financière est prévue, plafonnée à 1% de la masse salariale de l'entreprise.Dans une logique de "name and shame" (nommer et blâmer), ces entreprises devront également publier chaque année sur le site du ministère du Travail les écarts de représentation hommes-femmes. Cette obligation s'appliquera deux ans après la publication de la loi. Indicateurs d'égalité professionnelleEst inscrite dans la loi l'obligation pour les entreprises de plus de 50 salariés de publier les résultats obtenus à chacun des indicateurs composant l'index de l'égalité professionnelle (écart de rémunération entre les hommes et les femmes, écart de promotion...). Ainsi que les objectifs de progression de chacun de ces indicateurs.Autonomie financièreLe salaire et les prestations sociales individuelles devront désormais être versés sur un compte bancaire dont le salarié est le détenteur ou codétenteur et ne pourront plus l'être sur le compte d'un tiers. L'objectif est d'empêcher qu'un membre du couple ne prenne le contrôle des ressources de l'autre.Ce n'est que depuis 1965 que les femmes sont autorisées à ouvrir un compte en banque à leur nom et à travailler sans le consentement de leur mari.Crèches, formationLes bénéficiaires de la prestation partagée d'éducation de l'enfant, en grande majorité des femmes, auront la garantie d'un droit de formation afin de favoriser la reprise ultérieure d'une activité professionnelle.Les places en crèches aujourd'hui réservées aux enfants de parents engagés dans un parcours d'insertion professionnelle seront accessibles aux familles monoparentales, constituées à 85% de femmes.Grossesse et télétravailPour faciliter l'accès au télétravail des femmes en fin de grossesse, l'accord d'entreprise ou la charte sur le télétravail devra préciser les conditions dans lesquelles les salariées enceintes peuvent bénéficier de ce mode de travail.Les parlementaires ont renoncé à inscrire dans la loi un droit au télétravail opposable à l'employeur.FinancementAfin d'augmenter le financement de l'entrepreneuriat des femmes, le texte comprend des "objectifs de mixité" dans le soutien aux entreprises de la banque publique BpiFrance. Il fixe un quota de 30% de membres de chaque sexe au sein des comités d'investissement de Bpifrance afin de lutter contre les biais de sélection.Enseignement supérieurUn "index de l'égalité" sera mis en place dans les établissements d'enseignement du supérieur et les établissements publics de recherche, comme dans les entreprises.Les jurys d'admission pour l'accès à l'enseignement supérieur devront être composés d'au moins 30% de personnes de chaque sexe.La commission des titres d'ingénieur, qui accrédite les formations dispensant des formations d'ingénierie, devra veiller "à la juste représentation des femmes et des hommes, à la diversité des origines géographiques et sociales, à la lutte contre toutes les formes de discrimination et à la prise en compte de la situation de handicap".
Il y a 3 ans et 155 jours

Minima sous le Smic depuis janvier : environ "un tiers" des branches désormais en conformité

Sur la quarantaine de branches qui avaient des minima en dessous du Smic avant la revalorisation automatique du 1er octobre et appelées par le gouvernement à négocier, "environ un tiers" ont des minima conventionnels "au moins égaux au Smic", a indiqué Mme Borne, à l'issue d'une réunion avec les représentants de ces branches."Il faut saluer les branches qui ont conclu des accords dans des délais qui sont contraints", a-t-elle ajouté, citant notamment l'esthétique ou l'intérim ainsi que l'accord ouvert à la signature jeudi dans les hôtels-cafés-restaurants, avec des hausses mises sur la table qui "ne sont pas négligeables".La ministre a ajouté qu'"une grosse moitié" des branches étaient encore en train de négocier, indiquant que leurs discussions continueraient à être suivies "de près".Elle a aussi cité "trois branches dans lesquels le dialogue social apparaît clairement défaillant": la coiffure (106.000 salariés), les grands magasins (36.900) et le bois négoce (7.200), invitant les partenaires sociaux à "faire preuve de responsabilité" et prévoyant un "suivi rapproché".L'enjeu, a-t-elle souligné, "c'est l'attractivité des métiers dans un contexte par ailleurs marqué par des tensions de recrutement importantes".Les hausses successives du Smic ont pour effet de "tasser" les grilles salariales. Si le minimum conventionnel est inférieur au Smic, l'employeur doit combler l'écart. Mais lorsque les minima de branches sont rattrapés par le Smic, cela génère souvent une concentration accrue de salariés dont le salaire devient ancré sur le Smic. Autrement dit, même avec l'ancienneté, le salarié reste au salaire minimum.Avec la revalorisation automatique du Smic intervenue au 1er octobre, 89 branches se sont ajoutées aux branches non conformes. Et avec la nouvelle hausse automatique prévue au 1er janvier (+0,9%), 22 nouvelles branches vont s'ajouter à celles ayant un coefficient inférieur au Smic, a précisé le ministère du Travail.In fine, à ce jour, 63 branches, soit 36,8% des 171 branches suivies (4,7 millions de salariés) disposent d'une grille intégralement conforme.A l'inverse, 108 branches, soit 63,2% (près de 6,6 millions de salariés) ont une grille comportant au moins un coefficient inférieur au Smic, selon le bilan du ministère.
Il y a 3 ans et 166 jours

Hellio contribue à financer la 1ère rénovation énergétique biosourcée européenne de performance passive

Air Énergie, entreprise spécialisée dans la mise en œuvre d'enveloppes thermiques « basse énergie » située en Alsace, vient d'achever les travaux de rénovation globale d'une maison des années 70 située à Sentheim (68) à l'isolation quasi inexistante et à la consommation excessive de fioul : isolation de la toiture, isolation des planchers bas, isolation des murs extérieurs, fenêtres, installation d'un chauffe-eau thermodynamique et d'une ventilation double-flux. La maison sera chauffée au bois avec un poêle et consommera en moyenne une bûche par jour. Le tout est réalisé uniquement avec des matériaux recyclables à faible impact carbone et énergétique, permettant ainsi à l'opération d'être compensée en moins de 2 ans d'économies d'énergie.Cette rénovation fait figure d'exemple puisqu'elle a permis de passer de l'étiquette G à A et d'atteindre ainsi la performance passive, validée par le label Minergie P.Sur le plan du financement, Air Énergie a collaboré avec son partenaire Hellio, spécialiste de la rénovation globale dans le dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE), qui s'est chargé d'obtenir l'aide Coup de pouce Rénovation performante. Les propriétaires ont également bénéficié de l'aide publique MaPrimeRénov'.Résultats : un gain en confort de vie, une économie d'énergie garantie de 91%, soit 4 530 € de dépenses énergétiques économisées par an, et une valorisation patrimoniale de +32% !« Ce chantier démontre l'efficacité de la rénovation globale, qui est LA solution pour réduire drastiquement sa facture énergie, augmenter son confort et sa résilience face à la hausse des prix de l'énergie. Cela vient couronner 2 ans de travail de nos équipes dans l'incubation de ces programmes. Attention cependant, l'instabilité des aides financières aujourd'hui, et notamment des Certificats d'Économies d'Énergie, met en péril la dynamique voulue par le gouvernement lui-même. Sans les entreprises de travaux et une incitation financière suffisante, nous n'atteindrons pas les objectifs de rénovation globale imposés par la loi et l'urgence climatique ! », souligne Christophe Casta, Chef de projet rénovation globale Hellio pour le résidentiel.Une maison des années 70 classée G passoire thermiqueAvant travaux, cette maison de Sentheim affichait une étiquette G, la plus défavorable, aussi bien en termes énergétique que d'émissions de gaz, faisant d'elle une passoire thermique.L'audit énergétique va révéler que le principal poste de déperditions thermiques est l'isolation (murs : 48% , toit : 18% et planchers 13%).Pour orchestrer la rénovation de leur maison, les propriétaires décident de faire appel à l'expertise d'Air Énergie, à la fois bureau d'ingénierie (Air Énergie Développement) et entreprise de travaux (Air Énergie Artisan), qui conçoit et pilote des rénovations énergétiques à haut niveau de performance : en moyenne 2 à 3 fois plus efficace que le neuf et que la norme RT 2012. Depuis 2014, Air Énergie a accompagné une centaine de clients particuliers dans leur projet de rénovation énergétique globale.L'entreprise est également fortement engagée dans une démarche environnementale qui vise à montrer qu'il est possible de s'affranchir d'une dépendance énergétique et du coût qui en résulte, tout en améliorant son confort dans le plus grand respect écologique. « La démarche d'Air Énergie consiste à travailler en priorité l'étanchéité à l'air et l'enveloppe isolante du bâtiment, sans nécessairement installer des radiateurs ou un plancher chauffant. Une bûche par jour doit pouvoir suffire à chauffer l'ensemble de la maison, de façon homogène », explique Dominique Rudler, gérant de Air Énergie.Pour la première fois en Union Européenne, la rénovation énergétique d'une maison ancienne va permettre d'atteindre la norme passive la plus exigeante en termes d'éco-habitation pour la zone climatique : le label suisse Minergie P.7 postes de travaux pour devenir une maison passive certifiée classée AL'autre marque de fabrique d'Air Énergie est d'avoir recours uniquement à des matériaux recyclables à faible impact carbone et énergétique pour l'isolation. Le but est d'atteindre plusieurs objectifs, dont la performance énergétique bien sûr, mais également l'autonomie, le retour sur investissement, la qualité de l'air, le respect architectural et la pérennité du bâtiment.Sur ce chantier, Air Energie a également assuré le pilotage du projet de bout en bout avec des artisans partenaires de son réseau pour la réalisation des différents types de travaux :L'isolation de la toiture par l'extérieur avec 400 mm de ouate de cellulose insufflée (R= 9.5 m².K/W),L'isolation en sous-face du plancher bas avec 200 mm de coton recyclé (R = 5.1 m².K/W),L'isolation des murs par l'extérieur sous enduit avec 260 mm d'isolant en ouate de cellulose, 40 mm de fibre de bois et un enduit de finition crépis (R = 5.1 m².K/W),Le remplacement des menuiseries par des fenêtres à triple vitrage (Uw =0.67 W/m².K – Sw = 0.55)L'installation d'un chauffe-eau thermodynamique qui permet de récupérer les calories provenant de l'extérieur pour préchauffer l'eau (ETAS = 130% – COP = 3.1),Enfin, l'installation d'un système de ventilation double flux pour un confort thermique et une qualité de l'air améliorés.Les heureux propriétaires de la maison de Sentheim profitent de l'autonomie énergétique, après seulement 2 mois et demi de travaux pendant lesquels ils sont restés chez eux (de septembre à novembre 2021). La rénovation de leur maison leur permet en outre de diviser par 10 l'impact écologique de leur logement.Près d'un tiers du coût de la rénovation globale financé grâce aux aides à la rénovation énergétiqueSur le plan du financement, Air Énergie a fait appel à son partenaire Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, avec lequel il collabore régulièrement : 11 chantiers sont actuellement en cours.Pour la rénovation de la maison de Sentheim, le spécialiste de la rénovation globale dans le dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie s'est chargé d'obtenir l'ensemble des aides CEE, d'un montant de 30.300 €.Depuis octobre 2020, et l'apparition des bonifications Coup de pouce Rénovation performante, Hellio est signataire de la charte et référencé comme acteur de confiance par le ministère de la Transition écologique.Hellio a également accompagné Air Énergie dans l'établissement de l'audit énergétique, afin de s'assurer de la conformité du dossier, selon les critères de la réglementation.Le couple de propriétaires (ménage violet) a aussi bénéficié de l'aide publique MaPrimeRénov' Rénovation globale, d'un montant de 7.000 €, avec en plus les bonus sortie de passoire et BBC, de 1.000 € chacun.Les aides à la rénovation énergétique ont ainsi permis de financer près d'1/3 de la rénovation globale, pour un coût total du chantier d'environ 120.000 € (soit environ 600 € / m²).Cette rénovation a donc coûté trois fois moins cher que du neuf, sans compter la plus-value patrimoniale estimée à 32% (100.000 € pour le secteur géographique) et l'économie de dépenses énergétiques de 4.530 € par an !
Il y a 3 ans et 173 jours

Sourcéa La nouvelle peinture biosourcée signée Onip

Une peinture éco-conçueSourcéa est une peinture pour la protection et la décoration des murs et plafonds intérieurs, formulée à base de résine alkyde en émulsion biosourcée à 97%.Labellisée Ecolabel, Sourcéa est la première peinture du marché affichant sa conformité à la norme NF/EN 16640 et son taux de plus de 54% de carbone biosourcé. Formulée sans polluants volatils, sans métaux lourds, sans nanomatériaux ni agents toxiques, Sourcéa bénéficie d’un taux de COV < 1g/L, contribuant ainsi à la qualité de l’air intérieur.Une peinture polyvalente et performante2 en 1, la peinture Sourcéa peut s’utiliser à la fois en couche d’impression et en couche de finition. Son aspect mat-velouté et sa finition pommelée fine très tendance la rendent idéale pour la décoration des murs et des plafonds dans toutes les pièces à vivre.Adaptée aux chantiers neufs comme aux travaux de rénovation, Sourcéa offre un accrochage parfait en impression et une excellente couvrance, qui garantissent une opacité optimale en 2 couches.Une peinture conçue pour faciliter le travail des peintresLa nouvelle peinture biosourcée Sourcéa d’Onip offre un confort d’application optimal sans projection ni reprise à la brosse acrylique, au rouleau ou à l’airless, ainsi qu’un bon temps ouvert. Son rendement élevé (12 m²/L) et son séchage rapide (2h au toucher) permettent aux peintres de gagner du temps sur les chantiers.Une personnalisation à la carteConditionnée en pots de peinture blanche de 1L, 3L et 10L, Sourcéa peut être teintée dans plus de 1200 coloris grâce au système de mise à la teinte COLOR’ONIP.Caractéristiques techniquesAspect : mat veloutéRendement : 12 m²/L par coucheConditionnement : 1L, 3L et 10LPrix public HT conseillé :Sourcéa 1L : 21,82 € HTSourcéa 3L : 59,70 € HTSourcéa 10L : 167 € HTDistribution : réseau ONIP
Il y a 3 ans et 181 jours

Rénovation et FLJ : efficacité d’une simulation

Le site de la société PL Maître héberge 70 collaborateurs, tous œuvrant dans l'étude et la production de structures métalliques pour la rénovation, ou entrant dans la conception des bâtiments de demain. Aujourd'hui, en fonction depuis un bon nombre d'années, le site vosgien lui-même est sujet à des mises en conformité. En octobre 2019, c'est d'ailleurs dans l'optique d'une rénovation des appareils de toiture qu'il a été fait appel aux services de Bluetek, via notre client et partenaire ; l'agence travaux Soprema Nancy.Les produits aujourd'huiLes appareils posés pour la première phase des travaux, aujourd'hui finalisés, sont :4 Bluevoûte Therm de 3 m X 12 m remplissage en polycarbonate épaisseur 16 mm intégrant la technologie de microbilles en verre Pearl Inside.17 Bluevoûte identiques dimensions 3 m X 9 m.Ces lanterneaux filants sont dotés de 30 modules de désenfumage Exuplus Pneu, soit des DENFC pneumatiques dont chaque unité est associé à un vérin électrique course 500 mm permettant l'aération quotidienne du bâtiment. Les appareils remplacent d'anciennes voûtes en polyester.Même si le fait d'utiliser les trémies existantes n'a pas suffit à homogénéiser l'éclairage naturel intérieur de façon optimale, et donc de répondre à 100% aux différents critères de la norme EN 17037, les lanterneaux apportent aujourd'hui sécurité et confort de travail aux utilisateurs. Précisons qu'une construction neuve aurait permis un autre choix en dimensions d'appareils et une implantation différente.En attendant, le résultat est là et cohérent. L'implantation, telle qu'elle est réalisée aujourd'hui, apporte 300 lux pendant 50% du temps de travail (tranche horaire 8/18 heures), soit un éclairement de qualité sur l'intégralité du temps d'occupation du bâtiment.Respect des normes et du bon sens Cette rénovation répond donc à une conformité du désenfumage en cas d'incendie du bâtiment par le biais de la conformité des DENFC à la norme EN 12101-2 (les lanterneaux filants répondent à la norme NF EN 14963).Le bon sens a tenu dans le choix du polycarbonate entrant dans la composition des lanterneaux filants. En effet, les voûtes sont toutes équipées d'un PCA alvéolaire 16 mm Pearl Inside. Ce remplissage permet une amélioration de l'isolationphonique, thermique, du facteur solaire et une diffusion de la lumièredujour homogène à l'intérieur du bâtiment. Il permet aussi un meilleur confort visuel aux utilisateurs car il limite les risques d'éblouissements.Ce choix rejoint donc aussi la norme RE2020 dans 3 de ses exigences de résultats, soitLa limitation de la consommation d'énergie primaire.La limitation de l'impact sur le changement climatique associé à ces consommations.La limitation des situations d'inconfort dans le bâtiment en période estivale d'été.Au centre du propos : l'outil lumière naturelle Au-delà d'un constat réglementaire, cette rénovation de bâtiment a été un très bon sujet d'étude pour la Direction Technique Bluetek. Le service a pu confirmer l'efficacité de son outil de calcul en lumière naturelle.Le résultat au FLJ-mètre Daniele Mariotti, Ingénieur Recherche et Innovation Bluetek, a été amené à réaliser différents essais afin d'assurer la cohérence de l'outil lumière naturelle Bluetek avec la réalité du terrain. C'est donc au bureau et sur site qu'il a effectué cette étude.Il a réalisé les mesures FLJ (Facteur Lumière du Jour) selon les prérogatives de la norme EN 17037. Sur une surface de 360 m², 40 points de lumière ont été relevés de 3 X 3 m.Après travaux de rénovation, le résultat est un FLJ moyen de 1,4%.La simulation Archiwizard "avant / après"Commençons par préciser que les simulations standards ne tiennent pas compte de l'encombrement du volume (charpente, pont roulant, poste de travail, écrans ce cantonnement, etc.).Sur le site PL Maître, les calculs ont été réalisés en tenant compte de facteurs de réflexion les plus en adéquation possible avec la réalité du terrain (soit du bardage gris en toiture et en façade), à savoir 0,4 pour la toiture et 0,4 pour la façade. Normativement, ce ratio est respectivement de 0,7 et 0,5. Sur le terrain ou normativement, il est de 0,2 pour les sols.Le résultat de cette simulation est un FLJ moyen de 0,6%.(Résultat simulation Archiwizard avant rénovation) Le résultat de cette simulation est un FLJ moyen de 1,5%.(Résultat simulation Archiwizard après rénovation)En conclusionPassant de 0,6% à 1,4% en résultat réel, le Facteur Lumière du Jour a plus que doublé.Avec un résultat de 1,5%, la simulation Archiwizard, soit notre outil lumière naturelle, est cohérente.Même si elle reste bien sûr perfectible, cette méthode, grâce à notre outil de simulation, est donc une aide précieuse dans le cadre d'études pour tous projets, que ce soit en neuf ou pour la rénovation.Ici, la synergie Bluetek/Soprema a permis encore une fois de concrétiser sur le terrain les résultats des simulations.PL Maître : une suite à venirCes travaux en lumière naturelle ont été réalisés sur la première tranche de cette rénovation. Les actions à suivre sont l'optimisation de l'association en lumière naturelle et artificielle, la ventilation et la possibilité de rafraîchissement des bâtiments par solution adiabatique Bluetek.
Il y a 3 ans et 183 jours

Master Builders Solutions lance Solunaut et Online Planning Tool

Solunaut est un moteur de recherche mis à disposition des professionnels de la construction par Master Builders Solutions. [©MBCC Group] Depuis le lancement de son centre de ressources Virtual Design Construction (VDC), Master Builders Solutions (ex-MBCC Group, dans le giron de Sika) a développé près de 700 objets BIM. Aujourd’hui, l’industriel propose deux solutions digitales : Solunaut et Online Planning Tool. Ces deux outils évolutifs reposent sur une base de données considérable. Ils seront enrichis et actualisés au fur et à mesure. Et sont accessibles gratuitement sur le site de Master Builders Solutions, identifiés dès la page d’accueil. A destination des professionnels de la construction Solunaut est un moteur de recherche au service des acteurs de la construction, apportant rapidité et logique de recherche. Il permet à l’utilisateur de trouver la solution Master Builders Solutions qui le concerne. De plus, il est richement illustré de schémas. Un tableau récapitulatif permettra au décideur de comparer les diverses propositions, leur conformité aux normes, leurs différentes variantes. Et ce, jusqu’à la fiche technique correspondant au produit. Lire aussi : Sika acquiert MBCC Group (ex-BASF CC) pour un montant de 5,2 Md€ Online Planning Tool est un outil de planification, de décision et de constitution du dossier technique. Il permet à chaque intervenant (architecte, concepteur, bureau d’études…) de matérialiser les solutions nécessaires à la réalisation du projet de construction. A partir d’un ouvrage précis à construire, l’utilisateur va pouvoir intégrer en amont ses exigences&nbsp;. A savoir les dimensionnements, les usages, les fonctionnalités… L’ensemble de ces informations techniques indispensables (réglementations existantes, Avis techniques, normes…), à constituer, sera ainsi coordonné et mis à disposition du professionnel dans un fichier personnalisé.
Il y a 3 ans et 187 jours

BSM ouvre le plus grand BPE de France

BSM vient de mettre en service son nouveau site de production de Gennevilliers, au Nord de Paris. [©ACPresse] Avec un chiffre d’affaires attendu pour 2021 de 150 M€, quelque 185 collaborateurs et une production de béton supérieure à 1 Mm3/an, Béton Solutions Mobiles (BSM) poursuit son développement d’une manière plus que soutenue. « A l’heure actuelle, nous disposons d’un réseau de 31 centrales à béton, dont 12 mobiles », indique Philippe Tibère-Inglesse, président de BSM. Et de dévoiler : « 7 permis de construire sont déposés ou en cours de dépôt pour l’installation d’autant d&rsquo;unités fixes supplémentaires ».  Dans le détail, BSM a prévu l’ouverture de 3 nouvelles centrales en Normandie et de 2 dans l’Oise, dont une en cours de montage à Beauvais. A cela s’ajouteront 2 unités en Ile-de-France&nbsp;: une au Sud et une à l’Ouest, à Lognes, siège de l’entreprise. Mais l’actualité immédiate pour l’industriel est l’ouverture de son nouveau site de production de Gennevilliers, au Nord de Paris. Pour BSM, la genèse de cette installation est sa volonté de pouvoir maximiser ses flux par voie d’eau. C’était aussi le souhait du Port Autonome de Paris, propriétaire du site, que de favoriser le trafic fluvial.&nbsp; Un investissement de 4 M€ De l’extérieur, peu de choses laissent deviner que la présence de la plus importante centrale à béton de France. « Ici, nous sommes en capacité de produire quelque 200 000 m3/an de BPE ! », affirme Philippe-Inglesse. Comme à Lognes, siège de BSM, toute l’installation est construite à l’intérieur d’un bâtiment fermé. La surface totale disponible est de 8 500 m2 (210 m de long pour 40 m de large), avec une hauteur maximale sous faîtage de 13 m. Ici, ce ne sont pas une, ni 2, mais bien 3 centrales à béton complètes et autonomes qui occupent les lieux. Et ce, depuis le 1ernovembre dernier. Un ensemble construit, livré et assemblé par Arcen en un temps record, puisque le site était accessible à partir du 4 janvier 2021&#8230; Pour BSM, l’investissement représente un montant de 4 M€ en matériels et équipements. A quoi s’ajoutent les fonds nécessaires à toutes les mises en conformité du bâtiment existant.&nbsp;
Il y a 3 ans et 188 jours

Le Groupe Edouard Denis digitalise ses appels d’offres avec AOS

« Nous perdions beaucoup de temps auparavant : trop de mails, de tableaux Excel, de liens de téléchargement… sans parler du suivi des relances, de l’attente des réponses des entreprises ou de l'analyse des offres », se souvient Flavien Di Iorio, Directeur Technique, Annecy et Lyon, Groupe Edouard Denis.Sept responsables techniques de son équipe sont formés pour s’approprier la plateforme AOS en quelques heures. Plus de trente appels d’offres ont été lancés depuis. « Avec AOS plus besoin de classer les différentes offres reçues car toutes les entreprises retrouvent sur la plateforme un dossier complet du DCE ainsi que les contrats cadre pour les référencements chez nos partenaires », poursuit Flavien Di Iorio.Un véritable gain de productivité et de transparence dans l’analyse des offres. Tout est accessible et visible d’un seul coup d’œil : la réponse des partenaires, la conformité des offres par rapport au cahier des charges, la mise en lumière des prix (anormalement bas ou haut par rapport aux ratios et offres des autres concurrents).Constat similaire pour Gweltaz Roudaut, Directeur Technique, Nantes et Rennes, Groupe Edouard Denis. « Nous partagions un tableur Excel avec les équipes de maîtrise d’ouvrage. Nous perdions un temps précieux à attendre la réponse des entreprises et à les relancer. Sans compter les dossiers incomplets ou pièces manquantes, le suivi des entreprises, les problèmes de coordonnées, le retard dans la réception des offres ».En digitalisant ses appels d’offres, le Groupe Edouard Denis a non seulement gagné en temps, dans la gestion de ses chantiers, mais aussi en référencement. « Grâce à AOS, nous pouvons désormais conclure un appel d’offre en deux mois pour les premiers lots, au lieu de trois. Autre avantage, nous consultons quatre fois plus d’entreprises qu’avant. 1 entreprise sur 3 télécharge le DCE. 15 à 20% d'entre elles font une offre. Enfin, AOS nous a permis de développer notre réseau de partenaires plus rapidement. Dans des villes avoisinantes où nous étions absents comme Laval et Angers, 200 entreprises ont été consultées et nous connaissent désormais », s’enthousiasme Gweltaz Roudaut.Depuis 2018, AOS digitalise les appels d’offres des programmes immobiliers privés. À ce jour, plus de 450 donneurs d’ordres l’utilisent. Le contexte sanitaire a boosté la demande des maîtres d'ouvrage et accéléré la digitalisation de leurs process.« Notre ambition est de continuer d’aider les acteurs du BTP à se familiariser avec les outils digitaux car ils prennent de plus en plus de place dans leurs métiers et leur permettront de se démarquer de la concurrence en étant plus agiles et rapides », se félicite Thomas Cassou co-fondateur de AOS.
Il y a 3 ans et 197 jours

Tout savoir sur les travaux de peinture de façade

La peinture est une étape incontournable dans des travaux de façade. Elle vient en finition du support afin d’en améliorer l’esthétique, entre autres. La réalisation des travaux de peinture nécessite des compétences et le choix des couleurs de peinture est soumis à certaines réglementations. Pour apporter plus de visibilité sur le sujet, voici quelques informations utiles à connaître concernant les travaux de peinture de façade. La peinture de façade, indispensable pour une finition esthétique Que ce soit lors d’une construction de maison ou d’une rénovation de façade, les travaux de peinture constituent une étape essentielle permettant de favoriser l’esthétique de l’habitation. Dans cette mesure, il est conseillé de faire appel à un expert en peinture de façade comme sur ce site : https://www.entreprise-batiment.ch/ pour prendre en main sa réalisation. Cela offre l’assurance d’obtenir des résultats de qualité. Il faut savoir qu’avant l’application de la peinture sur les murs extérieurs, ces derniers doivent être préalablement préparés, en particulier dans le cas d’un ravalement de façade. Les fissures doivent être colmatées, les détériorations des enduits réparées, etc. Pour ces diverses raisons, il est plus judicieux de recourir aux services de professionnels pour réaliser les travaux de ravalement et de peinture de façade. Les éléments à considérer pour choisir la couleur et le type de peinture de façade Il est à préciser que le choix de la peinture de façade doit être effectué en fonction du support et du climat de la région, mais également selon l’esthétique finale que l’on souhaite donner aux murs extérieurs. Concrètement, les critères suivants sont à prendre en compte avant de choisir la peinture de façade : La conformité à la règlementation en vigueur Tout d’abord, il faut souligner que les travaux de ravalement sont une obligation légale fixée par le Code de la Construction et de l’Habitat. Ces travaux doivent être effectués au minimum tous les dix ans, sous peine de se voir coller des sanctions comme une forte amende. Le Plan local d’urbanisme (PLU) en vigueur impose en outre un panel précis de couleurs, ceci afin de conserver une cohérence architecturale au sein de la commune ou région concernée. Il est donc conseillé de se rapprocher auprès de la Mairie afin de déterminer les couleurs autorisées au sein de la commune. Le type de support Il faut savoir qu’il existe plusieurs types de peinture de façade, à l’instar des peintures acryliques et des peintures pliolites. Pour choisir la peinture la plus adaptée, il est important de prendre en compte le type de support. Pour les novices, il est recommandé de faire appel à une entreprise de peinture de façade pour obtenir des conseils pertinents sur le sujet, en plus de la qualité des travaux. Les peintures de types acryliques figurent parmi les plus utilisés. Ces peintures sont adaptées à tous les types de supports à l’exception du métal. Faciles à poser et à entretenir, elles sont à privilégier pour les supports de faible épaisseur et en résine. Les peintures pliolites sont, quant à elles, adaptées à tous les types de supports hormis le ciment. En effet, au contact du ciment, ce type de peinture produit peut provoquer une réaction chimique se traduisant par un décollage de la peinture.
Il y a 3 ans et 200 jours

K-Ops, la plateforme collaborative qui optimise le suivi de chantier de construction arrive en France

Pour pallier ces contraintes, qui engendrent une augmentation notable des coûts, la startup Pharonyx cofondée par Hugo Brizard et Samuel Godbout, a lancé K-Ops, une solution collaborative de suivi de chan7er en temps réel qui facilite la gestion et l'exécution des projets.Après avoir développé le marché Nord Américain, K-Ops se lance aujourd’hui sur le marché Français de la construction. Désormais présent sur 3 continents, K-Ops c’est aujourd’hui plus de 1.700 projets gérés, et plus de 2.000 utilisateurs quotidiens.K-Ops, l’outil digital pour un meilleur suivi de chantierLancée en 2018 à Montréal, K-Ops est la solution digitale qui a été pensée et conçue pour faciliter le suivi de chantier. Constructeurs, architectes, artisans, ingénieurs, maîtres d’ouvrage, professionnels spécialisés du bâtiment... La solution simple et intuitive, répond aux différentes problématiques récurrentes rencontrées par tous les acteurs de la construction. Gestion et suivi des défauts, centralisation et accès à l’information, partage de documents, gestion des extras... sont autant de solutions apportées par la plateforme K-Ops.“Nous savons que les chantiers contiennent leurs lots de problèmes, qui représentent une perte de temps et d’argent colossale pour les entreprises de la construction. Équipes, chargés de projets ou inspecteurs..., sur les chantiers, tous prennent des photos, prennent des notes, qu’ils doivent ensuite retranscrire une fois de retour au bureau. La retranscription fait perdre plus d’une heure par jour par personne. C’est pourquoi nous avons conçu K-Ops, la solution qui permet de simplifier et d’optimiser le suivi de chantier et de maximiser la rentabilité.” ajoute Hugo Brizard, cofondateur de la solution K-Ops, société Pharonyx.Avec son application intuitive K-Ops, la startup Pharonyx vient moderniser les outils de suivi de chantier des professionnels bien souvent désuets...“Plusieurs dizaines de milliers d’euros gagnés / chantier” :Au bout de quelques mois d’utilisation, les bénéfices pour les professionnels se font déjà sentir. Outre l’économie de temps, la meilleure visualisation et uniformisation des projets et une meilleure communication, K-Ops permet de gagner, par projet, en moyenne 5 heures par semaine soit environ plus de 8.380€ (soit plus de 12.500$ CAD) par utilisateur. Aussi, plus il y a d'utilisateurs et de projets dans K-Ops, plus le gain est élevé.“L’objectif premier de K-Ops est de rendre le suivi de chantier simple, efficace et rentable. Par exemple, un rapport quotidien de chantier effectué manuellement peut prendre jusqu’à 1h. Un rapport doit être fait par projet, généralement de façon quotidienne, et ce pour chaque acteur concerné (maîtres d’oeuvres, inspecteurs...). En moyenne K-Ops permet d’économiser environ 70 euros par rapport/personne. Il faut bien sûr multiplier cela par le nombre de chantiers, de jours, et de ressources concernées par les rapports...” ajoute Hugo Brizard.Une application complète avec des fonctionnalités simple d’utilisation:Avec K-Ops, disponible à la fois sur mobile et desktop, les professionnels de la construction peuvent, à portée de main:Accéder à une vue d’ensemble en temps réel sur les projets et chantiers en cours via un tableau de bordTravailler de façon collaborative avec les différents tiers concernés (collaborateurs, ouvriers, fournisseurs, particuliers...) sur toutes les phases du projet en gérant et assignant des tâches et documentsCentraliser tous les documents liés au chantier (photos, plans, contrats), sans limite de taille et de les historiserAnnoter et approuver les documents directement en ligne en quelques clicsPartager des photos de chantier pour documenter et suivre l’évolution du chantierGérer les équipements du chantier et garder le contrôle sur leur mise en placeÊtre notifiés et peuvent alerter les défauts ou problèmes rencontrés (retards, produits manquants ou défectueux, non conformités...)Historiser les documents et actions du chantier et ainsi obtenir une protection en cas de litigeCréer et recevoir des rapports journaliers sur le suivi de chantierA noter qu’en plus d’une prise en main facile et rapide par tous les utilisateurs, K-Ops possède une API permettant son intégration avec toutes les applications existantes du marché.A date, la startup accompagne de grands noms sur le marché québécois comme la ville de Montréal, des commissions scolaires de grande envergure ou encore le promoteur immobilier Montréalais Prével. Après avoir fait ses preuves sur le marché Nord Américain, la société Pharonyx souhaite à présent développer sa solution K-Ops sur le marché Français et Européen.
Il y a 3 ans et 201 jours

L’Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP voit le jour

Le CCCA-BTP, l&rsquo;OPPBTP et Impulse Partners dévoilent le premier Observatoire des tendances d&rsquo;innovation dans le BTP. [©OPPBTP] Le secteur du bâtiment est en quête de nouveauté. Le CCCA-BTP, l’OPPBTP et Impulse Partners se sont associés pour dévoiler le premier “Observatoire des tendances d’innovation”. Celui-ci permet aux professionnels d’appréhender les principaux champs d’innovation à l’œuvre dans le secteur. L’objectif est d’en faire un vecteur de transformation positive et durable. Ainsi, cet observatoire décrypte les dernières solutions pour tous les métiers de la filière. Lire aussi : Le CCCA-BTP lance sa plateforme pour les jeunes Il regroupe des thématiques comme la sécurité, la formation et la prévention. Sa création donne une vision plus claire des nouvelles tendances dans le secteur du bâtiment. Le CCCA-BTP et ses partenaires ont décidé de s’aider des 222 start-up recensées au sein d’Impulse Partners pour réaliser cet observatoire. Celles-ci se développent et constituent un précieux révélateur des transformations dans le BTP.&nbsp;Après une étude approfondie, les tendances se regroupent autour de trois grandes problématiques et de leurs solutions en développement. La production&nbsp;: un enjeu majeur de l&rsquo;Observatoire Tout d’abord, l’observatoire met en exergue l’accroissement de la productivité des entreprises.&nbsp;Dans cette logique, il souligne l’avènement des solutions de construction hors site. Ces dernières permettraient de réaliser 80 % de la production en usine. Cette technique constructive mènerait à une nette évolution des métiers, des méthodes et des risques associés.&nbsp;La question de la productivité s’étend tout autant sur&nbsp;les dispositifs de pilotage intelligent des équipements et d’ouvrages (capteurs IoT, plate-forme BOS). Ces objets connectés offrent l’opportunité de saisir de nouveaux marchés dans le Smart Building. De leur côté, les outils d’édition et de partage du jumeau numérique renforcent la sécurité des chantiers. Des produits de meilleures qualités Les études de l’observatoire se concentrent aussi&nbsp;sur la réalisation d’ouvrages de meilleures factures. En effet, un produit de bonne qualité se démarque par ses performances et son moindre impact sur l’environnement.&nbsp;Ainsi, les tendances actuelles et l’évolution de la réglementation font la part belle au bois. Lire aussi : La FNTP et le CCCA-BTP unis pour la formation Ce matériau, de plus en plus sollicité, exige de nouvelles compétences (logistique, réglage&#8230;) et propose une autre approche pour le secteur du BTP. Toujours dans cette thématique, les plates-formes et les outils favorisant le réemploi constituent aussi un levier majeur de transformation, notamment pour la filière de déconstruction. Tout comme le “lean management” (gestion sans gaspillage), avec ses outils de suivi d’avancement et de contrôle de conformité. La sécurité avant tout Le troisième&nbsp;objectif&nbsp;majeur réside dans l’amélioration de la sécurité sur les chantiers. Les outils digitaux comme la réalité virtuelle sont étudiés. Ils permettent de former et de sensibiliser aux différents risques du chantier.&nbsp;De plus, les études de l’observatoire mettent en avant les dispositifs de détection d’accidents comme les robots, les caméras ou l’intelligence artificielle.&nbsp;Enfin, des équipements de protections individuelles connectées sont prévus pour assurer une sécurité maximale lors des chantiers.
Il y a 3 ans et 207 jours

Quels sont les risques liés aux travaux de rénovation de toiture?

Les travaux de rénovation de toiture sont classés parmi les interventions les plus risquées. Le risque se trouve surtout sur le fait que le déroulement des opérations se trouve en hauteur. À part cela, en cas de non-respect aux règlementations locales, le propriétaire du chantier peut également s’exposer à des risques de sanction administrative. Dans cet article, nous allons voir en détail tout ce qu’il faut savoir sur les risques des travaux de rénovation de la toiture. Des risques de non-conformité La non-conformité aux différentes règlementations est un risque à ne pas prendre à la légère. En effet, les travaux de rénovation de la toiture sont soumis à des déclarations de travaux auprès de la mairie. C’est seulement après avoir reçu l’aval des autorités administratives locales que les travaux de rénovation peuvent commencer. Il est donc important de se renseigner sur les réglementations locales en vigueur avant de déposer la demande de rénovation de toiture. Pour avoir l’autorisation de la commune à effectuer les opérations, la demande doit répondre à certaines normes qui sont énoncées dans le DTU (Documents Techniques Unifiés) et dans le PLU (Documents Techniques Unifiés). Lors de la réalisation des travaux de toiture, le propriétaire ainsi que les couvreurs ne peuvent pas changer le plan de rénovation qui a été validé par la mairie. Il est par exemple interdit de procéder au changement de matériaux ou de couleur pouvant modifier l’aspect final au cours des travaux. Au cas où la déclaration déposée à la mairie et les travaux réalisés ne sont pas conformes, un arrêté de cessation de travaux sera prononcé à l’encontre du propriétaire.  D’autres sanctions comme le paiement d’amende peuvent également être infligées à l’auteur de cette irrégularité. Des risques d’accidents et de dommages sur le chantier Comme dit ci-dessus, effectuer les travaux de rénovation de la toiture expose son intervenant à des risques comme : les chutes liées au travail en hauteur ; le glissement des matériels ou des outils, les projections des matériaux sur les personnes présentes sur le chantier, les infrastructures et objets à proximité. Il est donc déconseillé de s’aventurer soi-même à réaliser les travaux de rénovation de la toiture. Pour effectuer ce genre d’opération, il est recommandé de faire appel à un couvreur professionnel qui s’y connait très bien dans ce domaine.  Non seulement il dispose de bons outils pour parfaire les travaux, mais aussi il dispose d’une assurance de responsabilité civile qui couvre les éventuels dommages matériels et corporels causés par son équipe. Des risques de vices de construction La perfection n’existe pas dans le domaine du bâtiment. En effet, des anomalies peuvent survenir plus tard. Plusieurs cas peuvent se présenter comme les problèmes d’étanchéité et d’isolation. Ce sont là des risques qui peuvent affecter la solidité et l’habitabilité du bâtiment, ce qui causeront des dépenses supplémentaires aux propriétaires au cas où le prestataire n’offre pas des garanties. De ce fait, il est toujours recommandé de confier les travaux de rénovation à un professionnel en toiture qui propose des garanties décennales. Ainsi, tous les vices qui apparaissent dans les 10 ans après la réalisation des travaux seront à la charge de professionnels. &nbsp;
Il y a 3 ans et 208 jours

Feu vert du Sénat à des quotas aux postes de direction pour une meilleure parité hommes femmes en entreprise

"Rétablir l'égalité ce n'est pas leur accorder une faveur (...) c'est réparer une injustice que rien ne saurait justifier", a affirmé Elisabeth Moreno, ministre chargée de l'Egalité entre les femmes et les hommes.Porté par la députée Marie-Pierre Rixain, le texte avait été adopté à l'unanimité des votes exprimés en mai dernier par l'Assemblée nationale. Députés et sénateurs vont maintenant tenter de s'accorder sur un texte commun, faute de quoi l'Assemblée aura le dernier mot.Les sénateurs ont adopté la proposition d'instaurer un quota de représentation de chaque sexe parmi les cadres dirigeants et les membres des instances dirigeantes d'au moins mille salariés. Elle prévoit une proportion d'au moins 30% de femmes en 2027, et de 40% en 2030.En 2030, "dans un délai" maximum "de deux ans", elles devront se mettre en conformité avec la règle de 40% de cadres dirigeantes, sous peine de se voir "appliquer une pénalité financière", plafonnée à 1% de la masse salariale.Les sénateurs ont également approuvé l'obligation faite aux entreprises de publier chaque année sur le site du ministère du Travail les écarts de représentation hommes-femmes, mais en leur accordant un délai de cinq ans après publication de la loi.La gauche a tenté sans succès d'abaisser le seuil de salariés à partir duquel les entreprises seraient concernées ou de raccourcir les délais.Ce texte est présenté dix ans après l'adoption de la loi Copé-Zimmermann, qui imposait 40% de femmes dans les conseils d'administration des entreprises.Pour la rapporteure Laurence Garnier (LR), si cette féminisation "a eu des effets très positifs, elle n'a pas entraîné de progrès notables dans la répartition des postes à responsabilité au sein des entreprises"."Les quotas ont fonctionné mais n'ont pas eu le ruissellement escompté", a renchéri la présidente centriste de la Délégation aux Droits des femmes, Annick Billon. "Il n'y a aujourd'hui que 25% de femmes au sein des comités de direction" des 120 plus grandes sociétés cotées en Bourse, a précisé Mme Moreno.Le texte comprend des "objectifs de mixité" dans le soutien aux entreprises de la banque publique BpiFrance. Le Sénat a adopté un amendement de Mme Billon visant à imposer la présence d'au moins 40% de femmes au sein des comités d'investissement de Bpifrance d'ici 2027.Il vise en outre à "lutter contre les biais de genre" dans les choix professionnels, grâce à un "index de l'égalité" dans les établissements du supérieur et plus de mixité des jurys.Il prévoit "l'obligation" de verser salaire ou prestations sociales sur un compte bancaire "dont le salarié est le détenteur ou le codétenteur".La proposition de loi s'adresse aussi aux mères élevant leurs enfants seules, via formation et places en crèche réservées.Le Sénat a modifié l'article visant à faciliter l'accès au télétravail des femmes en fin de grossesse, prévoyant que l'employeur serait en droit de refuser la demande si les fonctions occupées ne peuvent pas être effectuées à distance."Déçue", la gauche s'est abstenue sur ce texte.
Il y a 3 ans et 211 jours

Plombiers : quels types d’interventions réalisent-ils habituellement ?

Que ce soit sur un chantier de rénovation ou de construction, les plombiers professionnels peuvent intervenir sur n’importe quel chantier pour y réaliser des missions aussi diverses que nécessaires. Ils peuvent notamment mettre en place des systèmes de distribution et vous offrir leur soutien dans bon nombre de situations pour vous permettre d’opérer des choix convenables. Voici les différentes interventions qu’ils peuvent effectuer sur un chantier. L’installation sanitaire Pour ces missions, les plombiers sont généralement amenés à s’occuper de l’alimentation en eau dans les maisons où ils sont appelés à intervenir. En clair, ils peuvent être chargés d’installer un compteur d’eau, de mettre en place des filtres anticalcaires ou encore des adoucisseurs. Par ailleurs, pour accomplir ces missions, ils peuvent être amenés à préparer les canalisations de sortie et d’entrée, mais aussi la tuyauterie. Une fois ces installations terminées, ils s’évertuent à les régler et à les tester pour vérifier leur état de fonctionnement. D’autre part, en plus des installations sanitaires, les plombiers sont aussi compétents pour s’occuper de leur entretien ou maintenance. Ainsi, ils sont capables de régler tous leurs dysfonctionnements et de prendre un certain nombre de dispositions pour prolonger leur durée de vie. En outre, pour être mis en contact avec des plombiers de référence et ce, quelle que soit votre localisation, il suffit de vous rendre sur des plateformes dédiées. Une fois sur ces annuaires, vous n’aurez plus qu’à exprimer clairement vos besoins pour dénicher un professionnel en fonction du problème à résoudre et du lieu d’intervention. À titre illustratif, vous pourrez voir ce site pour trouver rapidement et sans difficulté le professionnel dont vous avez besoin pour mettre un terme au problème de plomberie qui vous affecte. Le dépannage des circuits de distribution S’agissant de ces missions, les plombiers peuvent intervenir dans n’importe quel type de bâtiment pour réparer un circuit de distribution de gaz, d’eau ou d’air comprimé. Ils sont donc susceptibles d’intervenir très rapidement chez vous pour régler un problème de fuite d’eau, de chauffage ou de canalisation bouchée. Plus encore, ils sont à même de rendre vos circuits de distribution plus sûrs et plus performants pour votre sécurité, confort et tranquillité. Qui plus est, grâce à leurs conseils avisés, vous saurez quelles mesures prendre pour prévenir l’apparition d’un certain nombre de problèmes et acquérir des équipements beaucoup plus fiables et résistants. D’un autre côté, les conseils que ces experts sont capables de prodiguer peuvent aussi vous permettre de réaliser des économies sur vos factures d’eau, d’électricité ou de gaz. De quoi vous amener à mieux contrôler ces types de dépenses ou à réduire considérablement leur montant. Le contrôle de conformité Il s’agit d’un diagnostic réalisé par les plombiers pour vérifier la conformité des installations et équipements sanitaires aux normes en vigueur. Une fois que ce diagnostic est réalisé, et après avoir relevé les anomalies et dysfonctionnements, le plombier prendra les mesures qui s’imposent pour les réparer et les adapter aux normes recommandées. Grâce à cela, vous pourrez rendre vos installations plus sûres et disposer d’une demeure plus performante en termes de chauffage, d’isolation et bien plus encore. En outre, grâce à ces interventions, les organismes de crédit seront moins réticents à vous accorder des prêts pour financer vos travaux de rénovation ou de mise en conformité. De quoi vous permettre de bénéficier d’un véritable accompagnement et d’accéder facilement à plusieurs types d’offres. Les travaux de raccordement Ils peuvent être effectués pour relier toutes les pièces d’une maison à un réseau de distribution. De même, ces travaux peuvent être engagés pour l’installation d’un système qui contrôlera la distribution de l’électricité ou de l’eau à l’intérieur d’un bâtiment. En clair, de tels travaux peuvent être décidés pour bon nombre de raisons et ce, quel que soit leur niveau de complexité. Les plombiers n’éprouveront aucune difficulté à les réaliser.
Il y a 3 ans et 211 jours

Premier « Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP »

Elle permet de s’adapter aux nouveaux besoins et également de repenser les problématiques liées à la prévention et de toujours améliorer la performance des entreprises. Avoir une vision claire des tendances d’innovation est ainsi devenu une nécessité stratégique pour l’ensemble des acteurs du secteur du BTP.Dans cette optique, Impulse Partners, CCCA-BTP et l’OPPBTP, acteurs engagés au service du secteur du BTP, se sont associés pour réaliser et publier un « Observatoire des tendances d’innovation du BTP ». Celui-ci décrypte les grandes tendances d’innovation, leurs impacts sur les métiers, la sécurité, la prévention et la formation.Son objectif est de permettre à tous les acteurs de la filière, qu’ils soient industriels, constructeurs, entreprises, grandes ou petites, mais aussi centres de formation, fédérations et organisations professionnelles, de comprendre et d’appréhender au mieux les principaux champs d’innovation à l’oeuvre dans le secteur, pour en faire un vecteur de transformation positive et durable. Pour cela, il sera enrichi régulièrement et diffusé chaque année.Les objectifs majeurs de l'innovationGrâce à une étude approfondie des acteurs de l’innovation dans le BTP, l’Observatoire révèle que les grandes tendances d’innovation se concentrent autour de trois objectifs majeurs :Accroître la productivité des entreprisesTrois tendances majeures transforment les métiers du BTP : les solutions de construction hors site permettent de réaliser 80 % de la production en usine, ce qui fait évoluer massivement les métiers, les méthodes de production et les risques qui y sont associés. Les dispositifs de pilotage intelligent des équipements et ouvrages (capteurs IoT, plateformes BOS…) offrent l’opportunité de saisir de nouveaux marchés dans le smart building avec une très haute valeur ajoutée pour les métiers concernés. Enfin, les outils d’édition et de partage du jumeau numérique constituent l’un des leviers de la modernisation des métiers et renforcent la sécurité sur les chantiers.Réaliser des ouvrages de meilleure qualitéLa qualité des ouvrages repose sur leur conformité au cahier des charges, leur performance et l’impact environnemental des chantiers. Les solutions favorables à l’emploi du matériau bois, de plus en plus sollicité, bouleverse les chaînes de valeur traditionnelles et exigent des compétences nouvelles (logistique, levage, réglage…). Les plateformes et outils pour le réemploi constituent également un levier de transformation majeur, en particulier pour la filière déconstruction. Par ailleurs, les outils de suivi d’avancement et de contrôle de conformité accompagnent les professionnels dans une démarche de lean management et de contrôle qualité continu, vecteurs de productivité et de prévention des risques.Améliorer la sécurité sur les chantiersEnfin, l’amélioration de la sécurité sur les chantiers exige une anticipation des risques en amont ainsi qu’une gestion de ceux-ci au cours des travaux. Pour y parvenir, les EPI connectés et les dispositifs de détection des accidents (capteurs, robots caméra, intelligence artificiels) mobilisent un grand nombre d’acteurs de l’innovation, du fait de leur très fort impact sur la réduction du risque d’accident. En outre, les outils digitaux pour la formation des professionnels, tels que les outils e-learning ou utilisant la réalité virtuelle, permettent de former les collaborateurs aux bonnes pratiques et de les sensibiliser aux différents risques du chantier.Un Observatoire de l’innovation qui s’inscrit dans les missions du CCCA-BTP et de l’OPPBTPAfin de s’adapter aux évolutions majeures qui impactent le secteur (transition écologique, digitalisation…), l’innovation est au coeur des enjeux du BTP. Le CCCA-BTP et l’OPPBTP sont tous deux mobilisés pour accompagner son développement et aider l’ensemble des acteurs à s’en saisir pour en tirer tous les bénéfices. D’une part, le CCCA-BTP, premier acteur de l’apprentissage en France, a pour mission d’anticiper les métiers de demain et l’évolution des compétences pour adapter les parcours de formation et ainsi mieux répondre aux besoins des entreprises de la construction. D’autre part, en tant qu’organisme de branche, l’OPPBTP se positionne comme un moteur pour détecter, accompagner et promouvoir l’innovation au profit de l’ensemble des acteurs du secteur. L’analyse des tendances d’innovation sous l’angle de la santé-sécurité lui permet d’adapter les actions de prévention à mener au plus proche des problématiques émergentes. Dans ce cadre, l’Observatoire des tendances d’innovation du BTP représente un précieux outil de veille pour décrypter les tendances de la filière. Il permet à la fois de mettre en lumière le rôle de la formation dans l’évolution des compétences et d’apprécier les conséquences de l’innovation sur les métiers et les problématiques de sécurité. Sa promotion auprès de tous les acteurs est essentielle pour leur permettre d’évoluer collectivement vers une plus grande performance opérationnelle.Une méthodologie basée sur une étude des acteurs de l’innovation dans le BTPLe CCCA-BTP, l’OPPBTP et Impulse Partners ont décidé d’appuyer cet Observatoire sur les 222 start-up recensées au sein de l’écosystème d’Impulse Partners. En effet, celles-ci se développent depuis plusieurs années à un rythme accéléré et leurs champs d’action constituent un précieux révélateur des transformations en cours dans le BTP. L’ensemble des start-up a été regroupé en 41 champs d’innovation. Pour chacun de ces champs d’innovation, l’observatoire détaille les enjeux majeurs et les principaux outils et solutions développés par les innovateurs pour y répondre. La dynamique économique de chaque champ d’innovation a également été mesurée selon trois indicateurs clefs : le nombre de start-up, le chiffre d’affaires cumulé des acteurs et le volume de fonds levés par ceux-ci. Par ailleurs, l’observatoire donne une estimation du potentiel de transformation pour la filière, sur le plan des métiers, de l’impact en matière de prévention, ainsi qu’en termes de besoins nouveaux de formation pour les professionnels.Enfin, les partenaires ont également interrogé plusieurs professionnels représentant des grandes entreprises, entreprises de tailles intermédiaires, fédérations ou organisations représentatives de toute la profession :David Amadon, Directeur technique de la CAPEB Nationale ;Guillaume Bazouin, Responsable start-up et programme intrapreneuriat au sein de Leonard ;Mathieu Boussoussou, Responsable innovations durables au sein d’Eiffage Construction ;Valérie Cassous, Membre du directoire et directrice communication du groupe Cassous ;Jonathan Chemouil, Directeur innovation technique au sein de Demathieu Bard ;Dominique Chevillard, Directeur technique et de la recherche de la FNTP ;Christian Cremona, Directeur technique et R&D au sein de Bouygues Construction ;Isabelle Dubois-Brugger, R&D et Innovation Manager au sein de LafargeHolcim ;Marc Esposito, Directeur du Lab GSE ;Antoine Gibour, Directeur stratégie, marketing et innovation au sein de Léon Grosse ;Claire Guidi, Chargée de mission FFB ;Philippe Robart, Directeur technique de l’OPPBTP.Ces interviews ont largement guidé la structuration de l’observatoire et ont permis de collecter l’avis du marché sur les innovations recensées.Des tendances structurées autour de trois principaux objectifs : la productivité, la qualité et la sécuritéL’étude des 41 champs d’innovation et les échanges avec les entreprises ont permis aux trois partenaires de mettre en évidence trois objectifs majeurs à toutes démarches d’innovation dans le BTP, non exclusifs les uns des autres : atteindre un plus haut niveau de productivité, de qualité et de sécurité. Pour avancer dans chacune de ces directions, les acteurs peuvent mettre en oeuvre différents leviers d’action qui rassemblent plusieurs champs d’innovation complémentaires.Une plus grande productivité des entreprisesL’un des principaux défis pour le secteur du BTP est sa faible productivité. Il s’agit de l’un des seuls secteurs de l’économie dont la productivité n’a pas augmenté ces 20 dernières années, mais a au contraire baissé en Europe. Sur l’ensemble de la chaîne de valeur, industriels, concepteurs, constructeurs, exploitants de bâtiments et d’infrastructures cherchent à réduire leurs coûts pour consolider leurs marges. La productivité est donc le premier objectif majeur qui pousse à innover dans le secteur.L’observatoire fait ressortir six principaux leviers d’action : la maîtrise des coûts du foncier, des matières premières, de la main-d’oeuvre, des frais généraux des entreprises, des coûts d’usage des ouvrages, ainsi que la réduction du poids économique des équipements et de la logistique. Il révèle également que les trois champs d’innovation en faveur d’une plus grande productivité des entreprises les plus dynamiques sur le plan économique sont :✓ Les outils d’édition et de partage du jumeau numérique, qui permettent de partager l’information entre les différentes parties prenantes d’un projet de construction et d’assurer un suivi continu de l’information sur le cycle de vie d’un ouvrage. Ils s’imposent sur les grands projets de construction depuis plusieurs années et constituent l’un des principaux leviers de la transformation digitale et industrielle du secteur.✓ Les outils digitaux collaboratifs de suivi de chantier. Simples, mobiles et adaptés aux process et méthodes actuelles, ces outils digitaux permettent de digitaliser et d’optimiser le travail du chef ou du directeur de chantier pour assurer un suivi de l’avancement des tâches et partager les informations entre tous les acteurs.✓ Les dispositifs de pilotage intelligent des équipements et ouvrages, tels que les capteurs IoT ou les plateformes Building Operating Systems. Ces dispositifs permettent d’optimiser les consommations énergétiques, d’organiser une meilleure gestion des déchets, d’assurer un confort aux usagers et de réduire les coûts d’exploitation. Ils ont également un fort potentiel de transformation des métiers du BTP vers des métiers à très haute valeur ajoutée.✓ Par ailleurs, l’observatoire fait ressortir les solutions de construction hors site parmi les champs d’innovation à fort potentiel de transformation des métiers du secteur, puisqu’elles permettent de réaliser 80 % de la production, ce qui développe fortement la productivité.Des ouvrages de meilleure qualitéLe deuxième enjeu majeur pour le secteur est l’amélioration de son niveau global de qualité. Les exigences de la maîtrise d’ouvrage se renforçant dans de nombreux domaines, cette exigence de qualité ne s’évalue plus seulement sur la simple conformité à un cahier des charges fonctionnel, mais aussi sur un nombre croissant de critères de performance (dont l’impact environnemental). Cette qualité s’évalue bien sûr sur l’ouvrage lui-même sur toute sa durée de vie, mais aussi au travers de critères propres aux chantiers (impact sur l’environnement, nuisances…).✓ Les outils de suivi d’avancement et de contrôle de conformité apparaissent comme étant à la fois les solutions innovantes les plus dynamiques et parmi les plus transformatrices du secteur. Elles permettent de détecter les erreurs de mise en oeuvre éventuelles, pour les corriger rapidement, afin d’en réduire les coûts et d’assurer que le construit est conforme au conçu.Parmi les champs d’innovation pour une meilleure qualité des ouvrages les plus dynamiques économiquement, on trouve également :✓ Les solutions pour la qualité de l’air : pour améliorer la santé et le confort des occupants, des capteurs IoT, des plateformes d’analyse des données et de simulation de la qualité de l’air se développent. Cette dynamique a par ailleurs été renforcée par le contexte de la crise sanitaire qui a placé cette problématique au coeur des enjeux du bâtiment.✓ Les solutions pour l’usage de nouvelles énergies sur les chantiers tels que les solutions hydrogène, les biocarburants ou l’électrification des engins et matériels, qui permettent de réduire les consommations d’énergie non renouvelables et les émissions de gaz à effet de serre.Enfin, les champs d’innovation pour la qualité au plus haut potentiel de transformation du secteur sont :✓ Les solutions favorables à l’emploi du matériaux bois, de plus en plus sollicité du fait de ses atouts écologiques et environnementaux. La construction bois est souvent synonyme de construction industrialisée et bouleverse à ce titre les chaînes de valeur traditionnelles. Le chantier bois exige par ailleurs des compétences nouvelles (logistique, levage, réglage…) pour des acteurs qui historiquement ont une meilleure maîtrise de la construction en béton.✓ Les plateformes et outils pour le réemploi. Le réemploi constitue un challenge important pour les fabricants de matériaux et leurs distributeurs, mais aussi un levier de transformation majeur pour la filière déconstruction, afin de permettre un démontage propre et sélectif des matériaux pouvant être réemployés.Un accroissement de la sécurité sur les chantiersLa sécurité sur les chantiers est un enjeu de progrès continu pour toutes les entreprises du BTP. Le secteur comporte en effet encore de nombreux risques contre lesquels des politiques de prévention, renforcées par l’innovation, peuvent être efficaces. Plusieurs champs d’innovation favorables à la productivité et à la qualité ont aussi un impact positif sur la sécurité. De plus, certains champs d’innovation peuvent être totalement focalisés sur ces enjeux de sécurité. Les deux leviers d’action identifiés pour accroître la sécurité sur les chantiers sont l’anticipation des risques en amont, ainsi que leur gestion pendant les travaux.L’observatoire fait ressortir trois champs d’innovation, qui sont à la fois les plus dynamiques et les plus transformateurs pour le secteur en matière de sécurité :Les EPI connectés : les équipements de protection individuelle sont de plus en plus connectés, afin de renforcer la sécurité des compagnons au-delà des protections dites classiques. Ils permettent, par exemple, d’alerter en cas de situations de danger (fuites de gaz, éboulement, etc.), de réduire les accidents Homme/machine, ou d’effectuer un suivi en temps réel des compagnons.Les dispositifs de détection des accidents : grâce à des outils tels que des capteurs, des robots caméras ou l’intelligence artificielle, de nombreux dispositifs permettent de réduire les accidents sur site en analysant les situations à risque, ou d’intervenir rapidement s’ils ont lieu.Les outils digitaux pour la formation des professionnels : on estime aujourd’hui à 430 000 les besoins annuels en formation initiale et continue. Ces nouveaux outils ont pour objectif de massifier la formation et de la rendre la plus impactante possible au travers de nouvelles méthodes pédagogiques (outils e-learning, formations en réalité virtuelle et augmentée, outils d’ancrage qui cumulent présentiel et digital…). Ils permettent de former les collaborateurs aux bonnes pratiques et de les sensibiliser aux différents risques du chantier.« Innover aujourd’hui dans notre secteur c’est aussi repenser les enjeux de prévention et de sécurité pour en faire des atouts pour la performance des entreprises. C’est aussi intégrer très tôt les besoins de formation et d’évolution de compétences. C’est le sens de notre partenariat avec l’OPPBTP et le CCCA-BTP dans la réalisation de cet observatoire. » Antoine Thuillier, Associé Impulse Partners.« En tant qu’Organisme de prévention des risques du BTP, nous sommes convaincus que la performance des chantiers rime avec prévention et que l’innovation technique est le premier facteur d’amélioration des conditions de sécurité et de travail. Sachons-nous saisir collectivement de cet observatoire des tendances d’innovation dans le BTP pour faire grandir la performance opérationnelle de nos chantiers et de nos opérateurs. » Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP.« Le digital est un facilitateur, un accélérateur. Il est d’une aide précieuse dans le parcours de formation des jeunes et des professionnels qui se forment tout au long de leur vie professionnelle. Mais au-delà de la transformation intrinsèque des métiers, le digital peut être également un facilitateur de l’articulation et de la coordination dans la réalisation des projets : un catalyseur de productivité. Il favorise le décloisonnement entre les métiers, pour gagner en polyvalence et en transversalité et contribue également à une plus grande ouverture entre les sujets (smartcity, bien être, etc.) » Franck Le Nuellec, Directeur Marketing, Développement et Innovation Stratégique de CCCA-BTP.Le rapport complet de l’Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP est disponible ici.
Il y a 3 ans et 215 jours

La Métropole lilloise va devoir revoir sa copie pour l'aménagement de la Friche Saint-Sauveur

Le tribunal avait été saisi par deux associations qui réclamaient l'annulation de ces deux délibérations de 2018 et 2019. Elles contestent ce projet qui prévoit notamment la construction de 2.400 logements, de commerces et d'une piscine olympique sur un terrain vague de 23 hectares en plein centre-ville.Suivant le rapporteur public, la justice leur a fait droit, annulant pour des "vices de procédure" ces deux délibérations, a indiqué le tribunal administratif dans un communiqué.En octobre 2018, rappelle le tribunal, le juge des référés "avait suspendu l'exécution de la délibération initiale" du 15 juin 2018 de la Métropole européenne de Lille (Mel) en raison "des insuffisances de l'étude d'impact quant aux incidences du projet sur la qualité de l'air", ainsi "que de ses inexactitudes concernant l'état d'avancement du projet d'implantation d'une piscine olympique".Pour y remédier, la Mel avait "organisé une enquête publique dite complémentaire" en 2019, puis par une nouvelle délibération, "déclaré à nouveau d'intérêt général le projet Saint-Sauveur".Le tribunal a estimé que la Mel aurait dû organiser "une nouvelle enquête publique de droit commun" et "pas seulement une enquête complémentaire".Il a en revanche "écarté la contestation par les associations requérantes du caractère d'intérêt général du projet au regard des enjeux environnementaux, en s'appuyant notamment sur les conclusions du commissaire enquêteur, qui a émis à deux reprises un avis favorable".Pour Me Muriel Ruef, l'avocate des requérants --PARC Saint-Sauveur et ASPI (Association pour la suppression des pollutions industrielles)-- cette décision est "une victoire des associations".Cela "signifie que le projet doit être abandonné. Du moment que l'étude d'impact est jugée insuffisante, on ne peut pas savoir si l'intérêt général existe ou pas", a-t-elle analysé pour l'AFP.Si "la Mel et la mairie persistent nous irons jusqu'au bout", a-t-elle ajouté."Pour nous il n'y a plus de projet (...) il faut absolument conserver cet espace comme espace naturel" a fait écho la co-présidente de l'association Parc, Bénédicte Vidaillet, dénonçant une "politique mortifère de densification urbaine"."L'essentiel est que l'intérêt général du projet est reconnu par le tribunal (...) , que le fonds du projet est acté", a pour sa part réagi auprès de l'AFP Mme Aubry."Nous allons nous mettre en conformité avec les demandes du tribunal, traiter les problèmes de procédure qu'il a relevés", a-t-elle ajouté et "le projet sera, comme fait jusqu'à présent, réalisé en concertation avec les habitants", a-t-elle ajouté. La Mel n'entend pas faire appel, selon une source proche du dossier, qui estime à environ deux ans le délai pour mener à bien une nouvelle enquête publique.Stéphane Baly, président du groupe d'opposition municipal "Lille Verte", s'est pour sa part félicité "de la suspension du projet", "obsolète au regard des urgences climatiques et sanitaires", prônant une "remise à plat en co-construction avec les habitants".
Il y a 3 ans et 223 jours

Bâtiments tertiaires : une vaste étude pointe la vétusté des équipements techniques

L&#39;&eacute;diteur Beeldi s&#39;est appuy&eacute; sur la collecte de donn&eacute;es r&eacute;alis&eacute;e chez ses clients pour dresser un &eacute;tat des lieux de la v&eacute;tust&eacute; et de la non-conformit&eacute; des &eacute;quipements techniques des b&acirc;timents tertiaires.
Il y a 3 ans et 229 jours

Cébazat : un chantier d’assainissement impasse de la Chute et allée des Peupliers

L’opération s’inscrit dans un programme de travaux portant sur la modernisation et la mise en conformité du réseau d’assainissement du secteur nord de la ville.
Il y a 3 ans et 229 jours

Première mondiale : le béton ultra bas carbone sur le Grand Paris Express

Les premiers voussoirs en béton Exégy Ultra Bas Carbone de Vinci pour le lot 1 de la ligne 18 du Grand Paris Express. [©Vinci] Au fur et à mesure que la construction des différentes lignes de métro du Grand Paris Express avance, chaque chantier peut devenir un champ d’expérimentation. Ainsi, après les&nbsp;voussoirs en béton fibré métallique, sur la ligne 16 &#8211; lots 1 et 2, voici qu’arrive le béton ultra bas carbone. Cette fois-ci, c’est le lot 1 de la ligne 18 qui est concerné par cette première mondiale, annoncée par la Société du Grand Paris et Vinci Construction, mandataire des travaux. Ceci, dans la cadre d’un test à l’échelle 1. Le pilote a pour objet de confirmer la formulation d’un béton à très faible impact environnemental. Mais aussi de vérifier sa capacité de coulage en moules dans un cadre de cadencement industriel. Puis, de contrôler le comportement du produit fini dans sa phase de stockage et d’exploitation.&nbsp; Une réduction de 70 % de l’empreinte carbone Pour cette opération, Vinci Construction a fait le choix de la&nbsp;solution Exégy, sur laquelle il travaille depuis plusieurs années déjà. L’Exégy Ultra Bas carbone (UBC) est formulé sur la base du liant alcali-activé Ecocem Ultra. Ce béton permet une réduction significative de l’impact carbone, de l’ordre de 70 % par rapport à un béton traditionnel. Et de 50 % en comparaison à un béton dit “très bas carbone”. Soit un impact de 90 kg CO2/m3&nbsp;pour l’ExégyUBC, versus 170 kg CO2/m3&nbsp;pour le “très bas carbone” et 330 kg CO2/m3&nbsp;pour le traditionnel. L’ExégyUBC fait l’objet d’un brevet conjoint détenu par Ecocem et Vinci Construction.&nbsp; Une phase de test a eu lieu chez CDB, filiale préfabrication de Vinci Construction, afin d’élaborer la formulation spécifique aux voussoirs. Aujourd’hui, l’opération entre dans sa phase d’industrialisation chez Stradal, sous-traitant industriel du béton retenu par Vinci Construction pour assurer la préfabrication des voussoirs. Elle va permettre de réaliser 5 anneaux complets, soit un équivalent de 40 voussoirs, aux dimensions du projet. Les premiers exemplaires, à l’échelle 1, serviront aux essais de la qualification du produit&nbsp;: résistance au feu ISO, épreuves de charges.&nbsp; Rentrer en conformité avec la norme NF EN 206/CN La mise en œuvre de voussoirs préfabriqués définitifs en béton ultra bas carbone dans une section de tunnel de métro en service sera une première mondiale. Mais surtout, l’opportunité de procéder à une étude de référence de l’application d&rsquo;un matériau nouveau, plus respectueux de l’environnement dans les tunnels. Lancée dès 2019, une Evaluation technique européenne (ETE) est d’ailleurs en cours d&rsquo;instruction. Elle doit permettre de faire agréer l’Ecocem Ultra, afin d’autoriser les formules de bétons intégrant ce liant alternatif de rentrer en conformité avec la norme NF EN 206/CN.&nbsp;« Nous sommes très fiers de pouvoir permettre à nos partenaires de tester de nouvelles solutions sur nos chantiers, qui pourront profiter à l’ensemble de la filière du BTP par la suite,&nbsp;conclut Bernard Cathelain, membre du directoire de la&nbsp;Société du Grand Paris.&nbsp;Depuis le début du projet, nous encourageons toutes les initiatives qui permettent, entre autres, de réduire l&rsquo;impact carbone de nos chantiers. Nous serons donc très attentifs aux résultats de l’expérimentation. »
Il y a 3 ans et 230 jours

Opter pour une bûche de ramonage pour votre entretien d’appoint

Si vous souhaitez effectivement optimiser le rendement de votre appareil de chauffage, vous pouvez entreprendre des travaux de ramonage de cheminée chimique. Il s’agit d’une technique d’appoint qui permet d’utiliser une bûche spécifique, afin de dégager les suies qui restent encore accrochées à votre conduit. En effet, malgré le passage d’un artisan spécialisé, si vous exploitez intensément votre foyer durant la période de chauffe, il est préférable de recourir à cette alternative. Dans cette optique, l’intervention sera en complément de l’entretien annuel obligatoire qui devait être assuré par un professionnel certifié. Pour cette solution de secours, vous n’êtes plus tenu de faire appel à un ramoneur qualifié, il vous suffit de suivre méticuleusement les recommandations d’usage. Guide d’utilisation D’après le centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB), la manipulation des produits de ramonage chimique, tels que la bûche reste sans danger pour les utilisateurs. En effet, ils sont considérés comme des solutions synthétiques propres compte tenu de leurs compositions (sciure de bois compactée, sels minéraux métalliques, sulfate de cuivre pentahydrat). Autrement dit, ces mélanges ne contiennent pas des ingrédients nocifs pour la santé tels que le soufre ou le chlore. Toutefois, leur mise en œuvre doit tenir compte des indications recommandées par le fabricant pour être en conformité aux normes en vigueur. Pour une utilisation optimale, les producteurs préconisent les démarches suivantes : Allumage du feu 2 à 3 heures au préalable, Maintien du feu à vif pour permettre à la chaleur de réchauffer le conduit et ramollir ainsi le goudron pour qu’ils se décollent plus facilement. Sortie de la bûche de son étui, tout en gardant dans son emballage en papier, avant de la déposer sur les braises. Prévision d’une bonne heure de combustion. Extinction avec de l’eau ou de la neige carbonique après l’opération. Avantages et inconvénients Le choix d’une bûche de ramonage présente effectivement des avantages comme des inconvénients que vous devez savoir avant son utilisation. Parmi ces bénéfices, il s’agit d’une solution sans odeur et qui n’est pas susceptible de provoquer des risques d’allergie, tout en permettant d’activer les bistres. Autrement, il est maniable et reste particulièrement léger en ne pesant pas plus de 1Kg. Il est également bon marché, car il ne coûte que 10 à 15 euros. En ce qui concerne les points négatifs, il est important de noter que cet entretien ne remplace nullement la méthode mécanique réalisée par un ramoneur certifié. Par conséquent, il n‘est pas pris en considération par les compagnies d’assurance, en cas de sinistre. Cependant, cette opération vous offre l’opportunité d’améliorer la performance de votre appareil de chauffage, si vous l’effectuez 15 j avant l’exécution de la méthode traditionnelle. De plus, solliciter les services d’un professionnel vous accorde le privilège d’obtenir un certificat de ramonage en bonne et due forme. En cas de manquement, vous vous exposez à de lourdes sanctions qui sont estimées à plus de 450 euros d’amende dans certains départements. Bref, il est intéressant d’utiliser une bûche pour entreprendre des travaux de ramonage de cheminée d’appoint, afin d’optimiser le rendement de votre système de chauffage. Toutefois, rien ne vaut les prestations d’un professionnel si vous souhaitez bénéficier d’un certificat de ramonage. Par conséquent, vous devez faire appel à un ramoneur pour obtenir des garanties en cas de sinitres.
Il y a 3 ans et 236 jours

Les solutions Rector en Maisons Individuelles pour des planchers RE 2020

Spécialiste de la fabrication d’éléments de plancher en béton précontraint et béton armé, RECTOR s’engage aux côtés de ses clients dans la réduction de l’impact environnemental en proposant, dès à présent, des solutions pensées pour répondre aux exigences de la RE2020. Ces dernières seront présentées sur le stand de RECTOR au salon ARTIBAT qui se tiendra à Rennes du 13 au 15 octobre 2021.Des solutions concrètes pour répondre aux principaux enjeux de la RE2020 en maisons individuellesPartenaire privilégié des Cmistes (Constructeurs de Maisons Individuelles) et leader sur ce marché depuis près de 70 ans, Rector propose la gamme la plus complète de solutions préfabriquées innovantes et optimisées, du soubassement aux toitures terrasse.Grâce à la pertinence de ses systèmes préfabriqués, Rector répond d’ores et déjà aux trois principaux enjeux de la RE2020 :Isolation et traitement des ponts thermiques pour chaque niveau de la maisonAvec sa gamme de planchers Equatio avec entrevous isolants (vide sanitaire, sous-sol, étage, toitures terrasses) associée à ses Box de rupteurs de ponts thermiques et leurs accessoires, Rector est l’un des seuls industriels à être capable de traiter l’ensemble des ponts thermiques du plancher en isolation 100% intégrée.Pour le vide sanitaire, Rector propose des combinaisons (planchers Equatio VS et entrevous isolants Rectosten) pour être au plus juste du PSI conforme à la réglementation RE2020, quelle que soit la zone climatique. Le département Recherche et Développement Rector a ainsi revu l’ensemble des calculs pour ajuster les performances des planchers aux nouvelles exigences de Bbio et proposer une gamme élargie d’entrevous à languette allant de l’up 40 à l’up 11.Les systèmes de planchers bas et à étage Rector avec isolation intégrée sont à privilégier par rapport à ceux avec isolation rapportée. En effet, en plus du gain de temps et de surface, ce type d’isolation permet l’application d’un revêtement directement sur la table de compression ou encore l’intégration d’un plancher chauffant/rafraîchissant directement sans chape.«Parce que nous avons pris en compte toutes les zones climatiques de France lors de nos études, nous sommes en capacité d’apporter des solutions pertinentes et standardisées, et d’accompagner tous nos clients lors de leur mise en œuvre pour des maisons conformes. Grâce à l’ajustement de nos solutions calculées au juste psi, l’atteinte des performances thermiques des planchers selon les seuils envisagés de la RE2020 est beaucoup plus simple», explique Côme Lesage, Responsable Marketing Stratégique.Maîtrise du bilan carboneNécessitant moins de béton pour leur fabrication et moins de transport pour les livrer sur les chantiers, les planchers préfabriqués Rector sont naturellement plus sobres en matière et bénéficient d’un impact environnemental réduit. Ils sont, en plus, dotés d’une durée de vie quasi-illimitée.Pour obtenir un bon bilan carbone, un plancher constitué de poutrelles précontraintes et d’hourdis Rector est une solution optimisée comparée à d’autres solutions telles que le dallage porté ou la dalle sur terre-plein.Enfin, Rector commercialise une gamme d’entrevous légers, en plastique 100% recyclé, en bois, pour le vide sanitaire ou les planchers en étage dont les formulations ont été pensées pour réduire l’impact carbone sur les chantiers. « Nous proposons à nos clients des solutions adaptées pour décarboner les planchers : Rectoplast Recyclé, Primolight et Rectolight ainsi que des montages mis au point pour chaque chantier », ajoute Côme Lesage.Au-delà de la composition de ses produits, Rector met au cœur de sa démarche l’économie circulaire, l’optimisation des transports, la gestion des ressources et des déchets en usine comme sur les chantiers de ses clients.Enfin, toutes les solutions de planchers préfabriqués Rector font l’objet de Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) pour assurer aux constructeurs et bureaux d’étude la qualité et les performances de systèmes.Prise en compte du confort d’étéRector lance une nouvelle gamme de plancher Equatio® chauffant rafraîchissant, issue de son partenariat avec Rehau.Tout en préservant l’inertie thermique du plancher, ce système, intégré dans la dalle, permet aux constructeurs de maisons individuelles d’offrir le confort à leurs clients, été comme hiver, tout en répondant à la RE2020.Avec l’ensemble de toutes ces solutions durables de planchers préfabriqués Rector, les professionnels de la maison individuelle ont l’assurance de faire le choix de la performance à coûts maîtrisés et de la conformité à la nouvelle réglementation.Pour en savoir consultez la page Rector sur Batinfo ou le site internet.
Il y a 3 ans et 236 jours

Kemica Coatings présente Souplethane 5 ATE, une étanchéité liquide autoprotégée sans solvant et sans odeur pour les toitures et balcons

KEMICA COATINGS conçoit et fabrique des résines de haute performance, bio sourcées et non toxiques pour l’homme et l’environnement. Sans solvant, sans odeur, sans bisphénol A, les substances nocives ont été supprimées au profit de ressources naturelles et renouvelables. La résine SOUPLETHANE 5 ATE est un revêtement classé A+*, destinée à répondre aux exigences règlementaires appliquées aux toitures et balcons. Applicable à froid, elle s’utilise en neuf et en réhabilitation sur tous types de support : béton, acier, bois, bitume, asphalte, résines en place. SOUPLETHANE 5 ATE assure une étanchéité continue, sans joint, sur les toitures-terrasses, balcons, loggias, coursives et gradins à usage privatif ou public. UNE RÉSINE CERTIFIÉE Les certifications du CSTB assurent la qualité technique de la résine SOUPLETHANE 5 ATE pour traiter à la fois l’étanchéité et l’anticorrosion des toitures et terrasses, lui attribuant ainsi des valeurs de sécurité et de durabilité : en tant que système d’étanchéité liquide confirmé avec le D.T.A. N° 5.2/18-2615_V1 destiné aux toitures inaccessibles et accessibles, avec extension aux DROM, en tant que système d’étanchéité liquide auto-protégée confirmé avec l’Avis Technique N°12/15-1704, en tant que revêtement de sol testé selon les normes européennes et UPEC : RSET-09-26013839, en tant que revêtement non inflammable avec son classement européen de tenue au feu Bfl – s1, en tant que revêtement biosourcé avec son agrément environnemental HQE*. &nbsp; UNE MISE EN OEUVRE ET UN ENTRETIEN SIMPLISSIMES SOUPLETHANE 5 ATE est une résine polyurée-uréthane à deux composants (polyol et isocyanate) sans solvant et sans odeur. Ces composants sont des élastomères destinés à générer des membranes et joints élastomériques à très hautes résistances mécaniques, thermiques et chimiques. Son application est possible à des conditions climatiques extrêmes (température de –10°C à 50°C, humidité relative HR < 90%). Appliquée sur tous supports en neuf et en rénovation : béton, bois, isolants, métal, asphalte, membrane bitumineuse, PVC, elle va pallier les problèmes d‘étanchéité en résistant à la fissuration, aux écarts de température et aux agressions chimiques de l’atmosphère. Exempte de retrait, elle garantit l’étanchéité après polymérisation de la résine et ponte toutes les fissurations (tenue à la fissuration de 3 mm). SOUPLETHANE 5 ATE peut être appliquée aussi bien en étanchéité accessible (balcons, terrasses) qu’en étanchéité non accessible (terrasses sur toits, terrasses-parkings). Comme pour toute mise en œuvre d’étanchéité, une préparation des surfaces sera indispensable après dépose de l’ancienne membrane d’étanchéité avec la pose d’un primaire mono-composant sans solvant PU AQUEUX sur béton sec ou humide qui assure une adhérence au béton supérieure à 3,8 MPa – 150 g/m². L’application se fait manuellement au rouleau après mélange des 2 composants de la résine: 3/1 en volume : épaisseur du système : 1,2 à 1,5 mm Facile d’entretien et de réparation, la surface revêtue de SOUPLETHANE 5 ATE peut être de plus rendue antidérapante par projection de silice fine sur le film liquide, apportant un facteur supplémentaire de sécurité pour toute intervention humaine ultérieure. Elle est également directement applicable sur les résines de sol existantes (époxy, polyuréthane). Des finitions sont préconisées d’une part pour traiter l’anti-dérapance et d’autre part pour garantir la stabilité aux UV. &nbsp; &nbsp; La terrasse peut être praticable 24 heures après l’application. L’aspect lisse, neutre mais surtout antiadhérent du revêtement SOUPLETHANE 5 ATE facilite son entretien. Et, la facilité d’entretien n’amoindrit pas sa durabilité qui peut ainsi dépasser une trentaine d’années, tout en conservant ses performances. &nbsp; CERTIFICATIONS DTA pour l’étanchéité liquide de toitures « SOUPLETHANE 5 ATE ». Formulé pour la France et les DROM, et destiné aux toitures inaccessibles et accessibles, le SOUPLETHANE 5 ATE se pose sur béton, métal et bois (CSTB). Avis Technique 1215/1704 – V1 du CSTB. Classé A+ : Etiquetage réglementaire des émissions de COV et conformité au protocole AgBB (2012) – rapport CSTB. Tests revêtement de sol selon normes européennes et UPEC : RSET-09-26013839. Tests réaction au feu : SOUPLETHANE 5 : Bfl – s1. Partager la publication « Kemica Coatings présente Souplethane 5 ATE, une étanchéité liquide autoprotégée sans solvant et sans odeur pour les toitures et balcons. »
Il y a 3 ans et 238 jours

Hoffmann Green Cement lance le H-Iona, son 4e ciment bas carbone

H-Iona est le dernier-né des ciments à empreinte carbone réduite de Hoffmann Green Cement Technologies. [©HGCT] Hoffmann Green Cement vient de mettre sur le marché le H-Iona, un tout nouveau ciment à empreinte carbone très réduite, inférieure à 150 kg/t. Soit près de cinq fois moins que la moyenne des ciments traditionnels produits aujourd’hui en France. Sa fabrication est assurée dans l’unité existante de Bournezeau, en Vendée, sur la base d’un mélange de laitier moulu de hauts fourneaux et de sulfate de calcium. A ce niveau, Hoffmann Green Cement a développé un système innovant d’activation spécifique, dans le prolongement des technologies déjà mises au point, notamment pour H-UKR. H-Iona est le premier ciment décarboné à obtenir le marquage CE. Cette quatrième technologie répond à l’ensemble des exigences mécaniques, physiques, chimiques et de durabilité de la norme NF EN 15743 &#8211; Ciment sursulfaté, composition, spécifications et critères de conformité &#8211; de juin 2015. C’est un ciment très clair de classe de résistance courante de 32,5 MPa à 28 j.&nbsp; Il est destiné à un grand nombre d’applications et permet la formulation de bétons armés ou non. Son utilisation est ainsi possible pour la construction de bâtiments industriels, de logements collectifs et de maisons individuelles. Mais aussi en génie civil et pour les travaux en grande masse. Le béton agricole et celui prévu pour les stations d’épuration ou la préfabrication légère constituent les autres domaines d’emploi possibles.&nbsp; Disponible en sacs de 25 kg « En lançant H-Iona, Hoffmann Green Cement poursuit sa démarche d’innovation continue. A travers cette technologie inédite, nous démocratisons l’accès au ciment décarboné. En effet, c’est la première fois que le grand public aura l’occasion d’utiliser un ciment de notre marque&nbsp;», déclarent Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de Hoffmann Green Cement Technologies. Pour ce faire, H-Iona sera proposé en sacs de 25 kg, en plus d’une commercialisation en vrac et en big bags de 1 t. A ce niveau, le groupe Ravate est le premier à en assurer la distribution, à travers plus de 40 points de vente, sur le secteur de l’océan Indien, entre La Réunion, Mayotte et l’île Maurice. Un contrat de distribution exclusif qui va générer des premières livraisons d’ici la fin de l’année. Et ainsi permettre de répondre à la forte demande pour cette nouvelle technologie, aussi bien de la part des professionnels de la construction que du grand public.&nbsp; Ce nouveau ciment H-Iona enrichit la gamme de produits développée par Hoffmann Green Cement, qui compte aussi trois autres technologies&nbsp;: H- UKR, H-P2A et H-Eva.
Il y a 3 ans et 239 jours

Expoprotection Sécurité 2021 présente le Village Cyberprévention

Dix exposants expertsAvant de cliquerAvant de Cliquer développe une culture de cybersécurité avec un programme autonome, accessible à tous, immédiatement opérationnel et inter services. Cette solution Saas développe des algorithmes intelligents associant audit de vulnérabilité, plateforme de e-learning, envoi de mails d'apprentissage et process d'alerte cyber pour les SI.CaeirusCaeirus est un cabinet d'expertise spécialisé en cybersécurité accompagnant les entreprises face aux problématiques sécurité SI. L'équipe d'experts réalise des tests d'intrusion, propose un SOC managé et conseillent les directions SI sur les enjeux en cybersécurité.Cyber4uCyber4U est le 1er centre de cybersécurité dédié aux organismes et ETI. Ils proposent des offres de service packagées et managées ainsi qu'un accompagnement personnalisé avec des experts sécurité à temps partagé : RSSI, DPO, architectes, analystes SOC, etc. Tous les métiers de la sécurité sont réunis en une offre de confiance accessible à tous dans leur centre disponible 24/24 et 7/7.GatewatcherGateWatcher est un éditeur français spécialisé dans la détection des intrusions avancées. Son modèle de protection associe plusieurs technologies à l'IA pour offrir une approche multi-vecteurs couvrant toutes les techniques d'attaque et en mesure d'identifier les éléments propres à chaque type de menace pour une protection optimale.KeopassKeoPass est un dispositif autonome universel et ultra-sécurisé d'authentification biométrique destiné tant au contrôle d'accès physique (remplacement de clés et badges) qu'au contrôle d'accès logique (remplacement de mots de passe) sur tout type d'appareil fixe ou mobile sans modification logicielle.Upfront technologiesUpfront Technologies décèle les éventuelles failles de sécurité dans les SI en proposant différentes prestations : installation de réseau informatique Virtual Desktop Infrastructure, réalisation de tests d'intrusion, mise en place et configuration de pare-feu dans des réseaux d'entreprise, réalisation d'audits internes sécurité Wi-Fi, formations...CNPP CybersécuritéLes experts CNPP Cybersécurité sont au service de la sécurité des systèmes d'information.Audit & Conseil : évaluer le niveau de sécurité et de conformité des SI et accompagner les entreprises.Sensibilisations et formations certifiantes Forensic : analyser et expertiser ; recherches de causes, de preuves et récupération de données.Cybermalveillance.gouv.frCybermalveillance.gouv.fr est le dispositif national d'assistance aux victimes d'actes de cybermalveillance, de sensibilisation aux risques numériques et d'observation de la menace sur le territoire français. Ses publics sont les particuliers, les entreprise (hors OIV/OSE) et les collectivités territoriales.Direction centrale de la Police JudiciaireLa sous-direction de la lutte contre la cybercriminalité, service de police judiciaire, développe une expertise en matière de prévention et de répression des infractions commises sur internet et dispose sur tout la France d'un réseau des référents cybermenaces au service du tissu économique local.Fédération française de la cybersécuritéLa Fédération Française de la Cybersécurité a pour objet de rassembler les acteurs directs ou indirects de la Cybersécurité en France pour leur apporter un soutien et des services utiles à leur fonctionnement et promouvoir la défense du tissu économique Français.Des conférences dédiées à la thématique CyberpréventionUn programme de 6 conférences est proposé aux visiteurs sur différentes thématiques : Les technologies de ruptures au service de la sécurité globale ; Sensibilisation et assistance aux victimes de Cybermalveillance : présentation du dispositif national ; Cyberattaques : comment lutter dans le respect du cadre règlementaire européen ? ; Panorama de la cybercriminalité : les bonnes pratiques pour appréhender la menace ; Sûreté - cybersécurité : une convergence indispensable à la sécurité globale des organisations (pour découvrir le programme de conférences : cliquez ici).
Il y a 3 ans et 239 jours

Des boîtes d’attente pas si basiques que ça

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine DMA Industries : Simple et efficace Boîte d’attente DMA Box de DMA Industries [©Groupe DMA] Comme son nom le laisse entendre, l’armature industrielle pour béton est le métier de DMA Armatures. Né en 1980, dans l’Eure, le groupe familial est aujourd’hui à la tête de dix usines en France, dont DMA Industries, sise à Saint-Georges-sur-Eure (28). Ainsi, à sa gamme de produits sur plan et autres solutions standards, l’entreprise a naturellement intégré une offre d’accessoires de reprise de béton, à la tête de laquelle figurent les boîtes d’attente. Leur fabrication est assurée par l’entité DMA Industries. Quant à l’identité des boîtes, elles ont été appelées DMA Box. Simple et efficace.&nbsp; A support incorporé, cette gamme de boîtes d’attente existe en trois largeurs et en deux longueurs. Elle utilise des aciers NF B500A, aptes aux pliage et dépliage. Ceux-ci sont déclinés du diamètre 6 au 12 mm. DMA Industries précise que son service étude peut aussi proposer des boîtes sur mesure selon les besoins des chantiers. Conformément aux normes applicables en matière d’engravures pour reprise de bétonnage, DMA Industries respecte les prescriptions et propose une profondeur de boîtier de 30 mm. Armabox Fimurex : Une offre bien définie La Novabox d’Armabox Fimurex est une boîte d’attente à support intégré. [©Fimurex] Le catalogue Armabox Fimurex est riche de deux grandes familles de boîtes d’attente, certifiées Afcab. La ligne Gammbox2 est la première d’entre elles. Le support recevant les armatures est en polypropylène recyclable. Il est dit amovible. Il est donc impératif de l’ôter en intégralité, afin de garantir une reprise béton contre béton.&nbsp; La ligne Gammbox2se décline en plusieurs variantes. A la classique “B”, pour les usages standards, s’ajoute la “BPR”, dédiée à une utilisation avec des prémurs. Les autres références techniques prennent les noms de “BA”, “BAB”, “BB” et “BG”, et dépendent de la configuration des armatures en attente. L’offre est complétée par la Gammbox2BPS. Il s’agit de la boîte d’attente spécifique pour assurer les liaisons planchers à prédalles et voiles avec engravure (LPPVE). Cette boîte répond à toutes les exigences du Fascicule de documentation FD P 18-720. Ainsi, l’ensemble (boîte d’attente et dispositif de maintien aimanté) permet de générer une indentation verticale de 12 mm de profondeur, en conformité avec l’Eurocode 2.&nbsp;Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 244 jours

France Fermetures dévoile au salon Equipbaie ses innovations pour répondre aux enjeux du secteur

Rendez-vous de référence des spécialistes de la menuiserie, de la fermeture et de la protection solaire, le salon EquipBaie est l’occasion pour les industriels de dévoiler leurs produits répondant aux enjeux du secteur de la construction : transition numérique de la filière, performances thermiques des bâtiments neufs et anciens, conformité à la réglementation RE 2020, respect de l’environnement. Avec AllôVisio, son nouveau service de visio-assistance sur chantier, lauréat des Trophées de l’Innovation, l’ensemble de ses outils digitaux dont la nouvelle boutique en ligne de pièces détachées, et ses dernières innovations en volets et portes de garage combinant performances et simplicité de pose, France Fermetures s’affirme plus que jamais comme l’expert des professionnels. LE DIGITAL : AU SERVICE D&rsquo;UNE EXPÉRIENCE CLIENT RÉUSSIE &#8211; ALLÔVISIO, UN SERVICE UNIQUE DE VISIO-ASSISTANCE SUR CHANTIER Alliant rapidité, efficacité et déplacements limités, AllôVisio permet d’aider les installateurs à distance grâce à un outil collaboratif créant les conditions d’une assistance en présentiel.Lors de la pose d’une porte de garage, d’un volet roulant&#8230;, l’installateur est parfois confronté à différents imprévus. L’Assistant France Fermetures visualise sur son écran d’ordinateur ce que filme la caméra du téléphone de l’artisan et établit ainsi un diagnostic précis du problème rencontré. Il peut également partager sur l’écran du smartphone de son client des informations (notices de pose, photos, schémas de câblage, &#8230;) pour l’aider à trouver rapidement une solution. &#8211; LE SHOW-ROOM VIRTUEL 3DEMO Tous les points de vente ne sont pas équipés de showrooms ou ne permettent pas d’exposer l’ensemble de l’offre d’un fabricant. Pour pallier ce manque, France Fermetures propose désormais 3DEMO, un showroom virtuel présentant les produits en réalité virtuelle sur PC, Smartphone ou casque VR pour une immersion totale. Ce nouveau service facilite la vente en offrant aux particuliers la possibilité de mieux se projeter et d’être rassuré quant au produit qu’ils commandent. Le parcours d’achat des consommateurs se digitalisant de plus en plus, 3DEMO de France Fermetures va également permettre aux installateurs de mieux capter les internautes grâce à cet outil en ligne pour les faire venir ensuite en magasin. La nouvelle porte de garage sectionnelle MAESTRO VIP, présentée à EquipBaie, est le premier produit à figurer dans le nouveau show-room virtuel 3DEMO. D’autres gammes viendront progressivement enrichir ce nouvel outil. Lien vers 3DEMO : https://3demo-maestro-vip.france-fermetures.fr/ &#8211; LA BOUTIQUE EN LIGNE DE PIÈCES DÉTACHÉES Pour accompagner ses clients, France Fermetures lance une boutique de vente en ligne de pièces détachées pour la pose, la motorisation et la réparation des volets roulants. Accessible depuis l’Espace Pro du site internet de France Fermetures, et grâce à une navigation intuitive, elle permet à l’installateur de commander rapidement, facilement et à tout moment, les accessoires dont il a besoin pour finaliser son chantier. VOLETS : DES INNOVATIONS POUR TOUS LES BESOINS France Fermetures fait évoluer son offre de volets afin de proposer une solution adaptée à chaque besoin des occupants d’une maison, que ce soit en rénovation ou en neuf. &#8211; VOLETS ROULANTS NOVALIS V3 & NOVASOL’R INTÉGRAL SÉCURITÉ : LES LIMITEURS D’EFFRACTION France Fermetures décline désormais ses volets roulants Novalis V3 et ses volets roulants solaires Novasol’R en version sécurité, une solution idéale pour les pièces en rez-de-chaussée. Gage de sûreté, Novalis V3 et Novasol’R Integral Sécurité sont équipés : • de bloqueurs automatiques doublés qui empêchent le soulèvement du volet lorsqu’il est en position fermée. Le tablier reste ainsi solidement fixé sur l’arbre ; • d’une lame finale de sécurité avec seuil anti- crochetage fixé sur l’appui de la fenêtre pour éviter l’insertion d’un outil sous le tablier du volet roulant. Quand le volet se ferme, il s’emboîte dans ce seuil et limite ainsi toute tentative d’intrusion ; • de vis indémontables sur caisson pour limiter son ouverture ; • d’un tablier ADP 41 HD avec des lames en aluminium double paroi isolée haute densité. Les lames sont dotées d’une mousse isolante haute densité (350 kg/m3), 4 fois supérieure à celle des lames ADP classiques pour assurer une meilleure résistance aux projections, à la grêle, &#8230; &#8211; VOLET ROULANT SOLAIRE NOVASOL’R INTÉGRAL MOUSTIQUAIRE : LE CONFORT DEUX-EN-UN Avec Novasol’R Integral Moustiquaire, France Fermetures offre une réponse adaptée à tous ceux qui souhaitent bénéficier à la fois des avantages d’un volet roulant solaire (rapidité de pose, sans travaux de raccordement électrique) et d’une moustiquaire (le confort thermique en été sans les désagréments). Intégrée dans le coffre du volet roulant solaire, la moustiquaire à ouverture verticale permet d’aérer une chambre les nuits d’été tout en se protégeant des nuisances des insectes. Enroulable manuellement, la toile moustiquaire bénéficie de composants haut de gamme qui garantissent un fonctionnement durable et efficace : • souplesse d’utilisation grâce à un système de compensation intégré dans l’arbre, • verrouillage automatique, • toile imputrescible en fibre de verre enduite de pvc, • coloris noir permettant de préserver une bonne visibilité vers l’extérieur. Aux caissons à pan coupé ou quart de rond, le volet roulant solaire à commande radio Novasol’Integral Moustiquaire France Fermetures allie quant à lui performance, simplicité et fiabilité. Il est équipé d’un moteur solaire radio Somfy, alimenté par une batterie offrant 45 jours d’autonomie et un panneau photovoltaïque discret pour la recharge. Disponible dans de nombreux coloris, il est garanti 7 ans. &#8211; PRÉ-CADRE VOLETS BATTANTS : ESTHÉTIQUE ET ISOLATION AMÉLIORÉES Préconisé pour une rénovation sans travaux de maçonnerie, le nouveau pré-cadre proposé par France Fermetures permet l’installation de nouveaux volets battants en dissimulant l’emplacement des anciens gonds grâce à un recouvrement qui préserve l’esthétique de la façade. Pour s’adapter à toutes les baies, il est disponible : • en pré-cadre 3 côtés, • en pré-cadre 4 côtés pour une meilleure occultation de la lumière, • et avec deux versions de profils (ailes de 30 mm et 60 mm). Le pré-cadre renforce l’occultation des volets battants ainsi que l’isolation thermique grâce à des joints d’étanchéité intégrés en périphérie. Personnalisable pour une intégration parfaite, le nouveau pré-cadre volets battants en aluminium est proposé dans tous les coloris du nuancier France Fermetures. Le volet étant livré déjà monté dans le pré-cadre, la pose est facilitée. &#8211; WELL’DRIVE, MOTEUR RADIO NOUVELLE GÉNÉRATION POUR VOLETS ROULANTS & STORES France Fermetures étoffe son offre domotique Well’Com avec son nouveau moteur radio Well’drive bénéficiant de la technologie brushless aux nombreux atouts : • fiabilité et longévité : pas d’usure des pièces mécaniques et de risque de surchauffe, • fonctionnement silencieux et plus souple du volet en fin de course, • respectueux de l’environnement : la haute efficacité du moteur brushless réduit la consommation énergétique par 3 comparé à un volet équipé d’un moteur classique. Doté d’une antenne intégrée avec une portée radio de 300 mètres, le moteur Well’drive est également équipé d’un câble d’alimentation débrochable facilitant la réparabilité du volet roulant. Réglages intuitifs, détection automatique du sens d’enroulement sont autant de caractéristiques techniques simplifiant la pose par les installateurs. Grâce au nouveau moteur radio Well’Drive, le volet roulant s’arrête et se relève légèrement en cas de détection d’obstacles. Il repère également lorsque le volet est gelé. Côté confort, et pour un pilotage simple et intuitif, les volets roulants et stores équipés du moteur radio Well’Drive sont compatibles avec les solutions maison connectée Well’Com de France Fermetures et Tydom, ainsi qu’avec les commandes vocales Alexa et OK Google. Certifié NF, il est garanti 8 ans et bénéficie du service connecté Qwidi de France Fermetures qui permet à l’installateur de réaliser toutes les opérations de réglage et de dépannage des volets et stores motorisés Well’com® depuis un smartphone ou une tablette. PORTES DE GARAGE &#8211; MAESTRO VIP, LA NOUVELLE VIRTUOSE DES PORTES DE GARAGES SECTIONNELLES LATÉRALES Particulièrement adaptée pour la rénovation des garages en sous-sol, la nouvelle porte sectionnelle latérale MAESTRO VIP de France Fermetures, conjuguant praticité, sécurité et fiabilité, répond à un besoin de modernité, de confort et de performance. MAESTRO VIP, le haut de gamme de la porte de garage latérale avec portillon Réalisée sur mesure jusqu’à 5 m de large et 3 m de haut, la nouvelle porte de garage sectionnelle latérale MAESTRO VIP est composée : • d’un pré-cadre et de rails laqués blanc, • de panneaux en acier double paroi isolés de 40 mm d’épaisseur. Des joints, disposés sur les 4 côtés, favorisent le calfeutrement périphérique de la porte. Praticité et ergonomie Pratique, la porte de garage motorisée MAESTRO VIP offre trois types d’ouverture en fonction des besoins : • une ouverture totale pour faciliter le passage d’un véhicule ; • un portillon pivotant manuel pour accéder à pied au garage. Un ferme-porte intégré garantit le maintien à 90° du portillon ouvert pour faciliter l’accès au garage ; • une largeur de passage optimisée pour un accès facilité au garage en vélo. Côté extérieur, la porte de garage MAESTRO VIP est équipée d’une poignée encastrée étudiée pour une préhension manuelle aisée. La finition inox de cette dernière participe à l’esthétique soignée de l’ensemble. Côté intérieur, l’ouverture manuelle de la porte se fait à l’aide d’une poignée et la fermeture s’effectue par un bouton de verrouillage pour simplifier encore plus le quotidien des utilisateurs. Sécurité maximale Pour assurer la sécurité du garage, MAESTRO VIP intègre une serrure multipoints.Pour garantir un fonctionnement sûr lorsque le portillon est ouvert, un système de sécurité électro- magnétique empêche l’utilisation de la porte. Des finitions irréprochables et une personnalisation à la carte Bénéficiant du savoir-faire « made in France » du fabricant, la nouvelle porte de garage sectionnelle latérale MAESTRO VIP est dotée de finitions soignées jusque dans les moindres détails : charnières blanches, cache-vis, double galets montés sur roulement à billes et protégés par des cache-galets. Pour créer la porte de garage à son image, France Fermetures dispose d’un large choix de coloris (250 coloris RAL au choix, deux tons bois et contretypage couleur), de designs (7 modèles de panneaux), de modèles de hublots et de décors Alunox. Avec la porte de garage sectionnelle latérale MAESTRO VIP, particuliers et professionnels font le choix de la modernité et de la qualité. http://www.france-fermetures.fr/
Il y a 3 ans et 245 jours

Des chantiers de construction fermés à Melbourne après des manifestations anti-vaccin

OPPOSITION. Les ouvriers de la capitale culturelle d'Australie ont été placés au chômage technique, en raison de la non-conformité aux règles sanitaires et aux manifestations anti-vaccin. La ville connaît des confinements successifs depuis le début de la pandémie.