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La COP21, organisée à Paris, ne se cantonne pas au Bourget, elle va laisser son empreinte dans tout Paris. La nef du Grand Palais s'ouvrira transformée en un espace d'exposition appelé L'Expérience Climat du 4 au 10 décembre. De nombreux artistes y présenteront leurs regards sur l'environnement avec des "uvres directement en lien avec ce sujet universel et devenu urgent, des conférences et des débats y sont également prévu accompagnés d'expositions souhaitées claires et accessibles. Du 4 au 10 décembre 2015, l'exposition L'Expérience Climat accueillera gratuitement des visiteurs au Grand Palais pour vivre l'expérience climat et découvrir des solutions concrètes et déjà accessibles pour entrer dans la société post-carbone. A l'occasion de la COP21, ce dispositif porté par le Comité 21 et le Club France Développement durable, rassemble les acteurs non-étatiques pour partager les solutions climat auprès du plus grand nombre. Pendant 7 jours, près de 50 000 visiteurs sont attendus au Grand Palais dans le cadre d'un événement unique dans son ampleur, co-construit par une multiplicité d'acteurs, et offrant à l'ensemble des publics une programmation riche et gratuite. Des centaines de solutions climat pour changer d'époque, présentées par près de 200 partenaires sur 35 pavillons et espaces d'exposition, 1 Nuit de l'innovation, 1 Forum métiers-emploi-formation, 12 artistes en résidence, 1 concert-climat, 4 showcases sur les musiques du monde, 1 ciné-climat avec 10 films et de multiples projections permanentes, 1 200 m2 d'ateliers ludiques et pédagogiques pour les plus jeunes, 1 brunch-climat pour éclairer sur les enjeux de l'alimentation, plus de 350 conférences et près de 150 plateaux TV. Pour consultez le programme de L'Expérience Climat cliquez ici L'Expérience Climat - Grand Palais, 3 Avenue du Général Eisenhower, 75008 Paris - du 4 au 10 décembre 2015 Pour en savoir plus, visitez le site de L'Expérience Climat

Le projet du mémorial du camp de Rivesaltes est un projet puissant qui tire sa force de l'histoire qu'il défend au service de la mémoire collective. L'architecture opaque et presque brutale du mémorial exprime la violence qu'a pu connaitre le lieu. Le monolithe conçu pour le projet reste néanmoins humble, malgré ses dimensions il ne s'impose pas au lieu. Le bâtiment du mémorial est implanté sur la place centrale : la place d'appel de l'ancien camp, aujourd'hui au milieu des ruines des baraquements. Les architectes ont choisi de construire un bâtiment monolithe dont l'extérieur et l'intérieur sont recouverts par un béton teinté d'un rouge ocre, rappelant celui de la terre du site. Celle du sol dans lequel il s'installe, où il a été enfoncé, partiellement dissimulé et d'où il émerge péniblement en dépassant pas l'altimétrie des baraquements présents dur le site. Un processus et une posture de respect face au lieu qui n'enlèvent rien à la puissance du message architectural souhaité par ses concepteurs. La violence du lieu et de son histoire s'exprime au travers d'une architecture engagée au service de la mémoire collective. A l'intérieur le visiteur est coupé du monde, le bâtiment n'offre presque aucune vue sur l'extérieur. Toute l'architecture est vouée à la composition d'un parcours dans lequel le visiteur s'abandonne, elle devient le vecteur de l'histoire. Les matériaux se conjuguent et la forme du bâtiment n'a laissé que quelques patios offrant air et lumière à certains éléments précis du programme. Pas d'ouvertures, ni de fenêtres, les salles sont entièrement dédiées aux expositions. Depuis le parking, le visiteur emprunte un long chemin qui le fait entrer par la porte principale du camp. Face à lui se dessine peu à peu la géométrie du monolithe de 240 mètres de long abritant le mémorial. Sur la gauche une longue pente douce, se terminant par un tunnel, constitue un premier seuil, un premier passage obligé où le visiteur descend au niveau du bâtiment. Un accueil à l'échelle du lieu dirige les visiteurs vers un long couloir d'où peu à peu il perd la lumière naturelle pour ensuite arriver au c"ur de la grande salle d'exposition où une scénographie sobre raconte le lieu. Le programme divise le bâtiment en quatre entités : une première partie est dédiée à un centre de documentation de recherche et d'enseignement qui profite de la lumière d'un grand patio ; la seconde est occupée par les espaces d'accueil du public, vestiaires & sanitaires, mais aussi une librairie et un café où l'on prend le temps de réfléchir et de penser à une époque pas si lointaine ; la troisième partie dans le plan accueille les bureaux mais est surtout longée par le couloir d'entrée pensé véritablement comme une plongée vers l'histoire et l'exposition occupant une grande salle aux dimensions spectaculaires en quatrième partie de plan. La scénographie de la grande salle d'exposition s'organise autour d'une table s'étalant, au centre, sur toute la longueur de la pièce. Documents et quelques objets de l'histoire du camp y sont exposés. Sur les murs de la pièce sont projetés des films muets en noir et blanc. La couleur et la texture du béton rouge et brut se mélangent aux témoignages historiques. Face à ces films sont disposés de petits mats sur lesquels des écrans sont posés à la verticale, les visiteurs peuvent interagir avec eux et écouter le son de témoignages. L'exposition est divisée en six parties : la première introduit et la dernière conclue et ouvre la réflexion sur le monde d'aujourd'hui au sujet des populations déplacées. Les quatre autres correspondent aux quatre époques du camp de Rivesaltes. D'un point de vue architectural, les architectes ont été maitres de la coupe de la salle. La matière béton est la plus présente, les éléments techniques, de projection, de lumière ont tous étés contenus à l'intérieur d'un coffre filant placé au dessus de la table centrale. Le résultat est une salle où encore plus qu'ailleurs l'on sent la présence du béton du monolithe. Il est seul à encadrer et à recueillir l'exposition, les tripailles techniques ont subtilement étés rassemblées et dissimulées. Les mêmes soucis de détail et de maitrise du projet ont été appliqués tout au long de la transcription formelle et architecturale du programme. Photographies : O. Amsellem, M. Hédelin / Région Languedoc-Roussillon Pour en savoir plus, visitez le site de Rudy Ricciotti et de Passelac & Roques Architectes  

Ora-Ito invite cette année l'artiste new-yorkais Dan Graham au MaMo Audi Talents Awards : sur le toit de la Cité radieuse à Marseille. L'exposition Observatory / Playground joue sur les codes de la sculpture et de l'architecture pour un rendu tout en élégance et en transparence. Le créateur du MaMo, Ora-Ito confie :  "Après l'hommage de Xavier Veilhan à Le Corbusier et Défini, Fini, Infini de Daniel Buren, Dan Graham, artiste iconique, imagine un nouveau dialogue avec l'oeuvre de Le Corbusier. Mon projet est d'offrir chaque été aux visiteurs venus de Marseille et d'ailleurs une rencontre exceptionnelle entre l'une des plus belles architectures du monde et un grand artiste de notre temps. Qu'un artiste de la dimension de Dan Graham s'installe au MaMo est une formidable manière de rendre hommage à Le Corbusier, cet architecte de génie, à l'occasion du 50ème anniversaire de sa disparition". Dans la continuité des deux précédentes expositions, Dan Graham expose un ensemble de travaux constitué de deux pavillons, sept maquettes ainsi qu'une sélection de films montrés sur le toit de la Cité Radieuse. Selon les concepteurs de l'exposition "Les pavillons de verres exposés sont en réalité des structures fonctionnelles et hybrides à mi-chemin entre sculpture et architecture où s'affirme le questionnement entre espace privé/intérieur et espace public/extérieur ainsi que le jeu entre observateur et observé". Pour le spectateur, l'expérience est très ludique et l'impression esthétique très légère.  Au Mamo Audi Talents Awards du 14 juin au 20 septembre 2015 Photographies : Sebastien Veronese

L'exposition "Corps en résistance" du Jeu de Paume réunit pour la première fois une large sélection de l'oeuvre photographique de Valérie Jouve. L'événement a commencé le 2 juin et se finira le 27 septembre 2015. La première exposition monographique de Valérie Jouve retrace un ensemble important de photographies et de films réalisés depuis la fin des années 80 jusqu'à aujourd'hui. L'artiste met en scène le corps dans l'espace urbain, l'humain et son paysage.  Ses photographies, principalement réalisées à la chambre grand format et ses films tournés en 16 mm évoquent des lieux en constante évolution en Europe et depuis quelques années au Moyen-Orient et en Amérique centrale.  Les personnages sont très importants dans le travail de Valérie Jouve, ce sont le fruit d'une mise en scène où les figures font corps à corps avec l'univers urbain. L'artiste photographie aussi les façades des immeubles dans un cadre serré pour révéler les tensions de l'urbanisme. De la même manière, ses paysages, très présents au début de son oeuvre, sont toujours capturés dans des mises en scène très chorégraphiques. Photographies : Valérie Jouve Pour en savoir plus, visitez le site du Jeu de Paume.  

  Le Centre Pompidou consacre une rétrospective à l'"uvre de Charles-Edouard Jeanneret, dit Le Corbusier  jusqu'au 3 août 2015. Au travers de l'exposition "Le Corbusier-Mesures de l'homme", le centre Pompidou propose une relecture du travail de l'architecte centrée sur la figure humaine. Architecte, urbaniste, théoricien, peintre, et sculpteur, Le Corbusier a profondément marqué la création architecturale du XXème siècle. L'humain est au centre de son "uvre : l'homme, le corps, la sensation sont des points primordiaux dans le processus de création de Le Corbusier. L'exposition est composée de douze salles qui présentent chronologiquement l'oeuvre de Le Corbusier. Le parcours de l'exposition fonctionne par pièces thématisées en explorant les domaines de l'architecture, du design, des arts plastiques mais également des lettres, des ouvrages et des revues y sont présentés. A travers quelques trois cents oeuvres, le visiteur découvre peu à peu, l'ampleur du travail de l'architecte qui s'est illustré aussi dans de nombreux domaines tels que l'urbanisme ou l'écriture de théorie sur l'architecture et le mouvement puriste. Ainsi, peintures, sculptures, croquis, dessins d'architecture, maquettes, objets, films, et photographies rythment l'exposition. 29 avril 2015 - 3 août 2015de 11h00 à 21h00Galerie 2 - Centre Pompidou, Paris14¤, TR 11¤ Pour en savoir plus, visitez le site du Centre Pompidou. Affiche : Centre Pompidou, Guy Carrad, direction de la communication et des partenariats, conception graphique : Ch Beneyton, 2015 1.Le Corbusier, Pierre Jeanneret, Pavillon de l'Esprit Nouveau, Paris, 1925PhotographieFLC, ADAGP, Paris 2015ADAGP, Paris 2015 2.Le Corbusier, Nature morte à la pile d'assiettes et au livre, 1920Huile sur toile, 80,9 x 99,7 cmFLC, ADAGP, Paris 2015 3. G. ThirietEmpreinte du Modulor dans le bétonPhotographieFLC, ADAGP, Paris 2015 4. Le Corbusier, Pierre Jeanneret, Villa SavoyePhotographieFLC, ADAGP, Paris 2015, Paul Koslowski 5. Le Corbusier, Chapelle Notre-Dame-du-Haut, Ronchamp, 1955Maquette, plâtre, 36 x 61 x 56 cmCentre Pompidou / Dist. RMN-GP / J. FaujourADAGP, Paris 2015      

L'agence STUDIOS Architecture a imaginé les nouveaux bureaux de la société "Weave", une structure de conseil en stratégie opérationnelle en forte croissance, qui souhaitait regrouper ses équipes sur de nouveaux bureaux et créer une image forte, à la fois innovante et décalée. Pour répondre aux exigences du secteur, où les collaborateurs sont très mobiles, les architectes ont développé un espace où les postes de travails sont non-attribués et qui offre des capacités d'accueil complémentaires ponctuelles, ainsi qu'un nombre conséquent de petites salles de réunion. Ce projet s'articule autour d'ambiances variées en fonction des zones du bâtiment : l'accueil et les salles de réunion reprennent des motifs floraux et des formes géométriques, les boxes de visioconférence intègrent une technologie de pointe, l'espace bibliothèque à l'ambiance feutrée est dédiée aux Senior Advisors, un mur végétal de cubes blancs en relief anime l'accès au Ristretto lounge. Enfin, les espaces de travail en open space sont agrémentés d'un mur d'alcôves alors que les espaces de réunion informelle sont ponctués de films à iconographie industrielle.   Pour en savoir plus, visitez le site de STUDIOS Architecture. 

Armor, spécialiste des films photovoltaïques organiques, et Cambrios Technologies Corporation, spécialisée dans les conducteurs transparents, développent une nouvelle génération de films photovoltaïques souples organiques. Cette innovation sera présentée à l'occasion du salon Pollutec 2014.

La société Yprema a fêté ses 25 années d'existence ce mercredi 2 juillet au club 13 le cinéma de Claude Lelouche, avec la diffusion de deux films présentant l'entreprise et son évolution au travers de ses salariés.

Empruntant les codes des super-héros nord-américains, une série de neuf films de 30 secondes proposée par PEFC France met en scène ces personnages de façon à rappeler au " consomm'acteur " qu'il a le pouvoir...

Lancé en janvier 2014, Hybris, le nouvel isolant hybride alvéolaire de la société ACTIS, a été choisi parmi 128 dossiers de candidature lors de la 33e édition du concours des Inn'Ovations organisé par l'Agence régionale de l'innovation MPI. Cet isolant se compose d'une structure alvéolaire en " nid d'abeilles " formée à partir de nappes de mousses de polyéthylène complexées sur des films métallisés de très faible émissivité.

Le réalisateur Michel Gondry a décidé d'implanter son usine de films amateurs dans l'ancienne manufacture d'allumettes d'Aubervilliers (92). Un lieu, gratuit et ouvert à tous, dédié aux cinéastes amateurs. Le début des travaux est prévu pour septembre 2015 avec une ouverture au public en mai 2016. Mais le financement de cette réhabilitation, estimée à 1,8 millions d'euros, est encore incomplet.

La vieille fabrique d'allumettes à Aubervilliers va avoir un nouveau destin, non plus industriel mais cinématographique : l'Usine de films amateurs du cinéaste Michel Gondry va s'implanter dans ces locaux désaffectés.

A Natchitoches, en Louisiane, l'agence d'architecture américaine Trahan Architects, fondée par l'architecte Victor Trahan, vient de livrer le nouveau "Louisiana State Museum & Sport Hall of Fame". Ces deux lieux d'exposition sont désormais réunis au sein d'un même espace, interconnexion entre l'histoire de l'Etat et le monde du sport. Le revêtement extérieur composé panneaux de cuivre plissé souligne l'environnement naturel voisin, contrôle la lumière et la ventilation. Ce monolithe "simple" contraste avec l'entrée sinueuse et entame un dialogue entre la ville et l'intérieur du lieu. Le visiteur est invité à pénétrer dans un hall d'accueil dynamique, sculpté et organique qui s'habille de panneaux en pierre usinés numériquement. Baigné par la lumière naturelle, l'espace semble prendre vie et s'animer tel un cours d'eau.   Sur ce projet, les architectes précisent : "The Louisiana State Museum and Sports Hall of Fame in historic Natchitoches merges two contrasting collections formerly housed in a university coliseum and a nineteenth century courthouse, elevating the visitor experience for both. Set in the oldest settlement in the Louisiana Purchase on the banks of the Cane River Lake, the design mediates the dialogue between sports and history, past and future, container and contained. The museum is configured to interpret athletics as a component of cultural history. While sports and regional history may appeal to different audiences, the exhibits and configuration explore interconnections between the two. The spaces flow visually and physically together, arranged to accommodate state-of-the-art exhibits, education, and assembly and support functions. The internal organization is an extension of the existing meandering urban circulation. The pathway branches throughout the first level galleries and classrooms, and winds its way upward, concluding at a veranda overlooking and reconnecting to the historic town square. Historical pastiche is set aside in favor of a design language inspired by the riverfront setting and the 17th century bousillage found in the region. The exterior cladding of pleated copper panels alludes to the nearby plantations, controlling light, views and ventilation, and employing surface articulation rather than architectural ornamentation. The "simple" urban container contrasts with the sinuous entry and foyer within, highlighting the dialogue between the city and the natural environment. The flowing interior emerges at the entry, contrasting with the patinated exterior shell, inviting the visitor within. The dynamic foyer reflects the carving of the ancient river's fluvial geomorphology. Sculpted out of 1,100 digitally milled cast stone panels, the shaped surfaces seamlessly integrate all building systems. Washed during the day by natural light from above, they also serve as screens for films and exhibits, further merging content and context." Pour en savoir plus, visitez le site de Trahan Architects. 

Axil 3000 HUV est le premier produit de traitement, insecticide et fongicide, capable d'allonger significativement la durée de vie des films de finition...

DisaSolar a annoncé mercredi 12 décembre le lancement, avec le financement d'Oséo, de son projet de ligne pilote pour la fabrication de films solaires organiqu

Spécialiste de l'étanchéité, Siplast propose une gamme de solutions, pour la plupart, fabriquées en France, spécialement adaptée à la maison à ossature bois...

Une maquette numérique de 37m2, mais aussi plus de 1000 documents d'archives, photos, cartes, plans et films sont à découvrir au sein de la nouvelle exposition permanente du Pavillon de l'Arsenal qui consacre 800m2 à l'histoire, l'actualité et au devenir de la métropole parisienne.

Verre Avenir (http://www.verre-avenir.fr) a créé trois films web qui mettent en scène des emballages en verre. Sur un ton décalé, deux bocaux se racontent l'histoire de leurs parents, leur rencontre, leur coup de foudre, leur amour... "Tout ceci ne pourrait exister sans le recyclage..."