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Il y a 5 ans et 339 jours

Pavés CARRÉ D’ARC – Ils jouent dans la cour des grands

Tous les goûts sont dans la nature… et dans la décoration pourrait-on ajouter à propos des créations CARRÉ D’ARC, très variées en matière de dallages, pavages et accessoires pour aménagements extérieurs. Toujours tendance, les pavés CARRÉ D’ARC se répartissent en une impressionnante ligne de modèles. Chaque collection a son caractère propre, sa texture, sa finition (pavé martelé, vieilli, grenaillé brossé, brut) et ses nuances. Les pavés CARRÉ D’ARC composent des aménagements aussi splendides en terrasse que dans un patio, une allée, sur le seuil d’une maison ou une entrée de garage. La ligne Béton décoratif CARRÉ D’ARC comprend un large choix de dalles, blocs et pavés. Ces derniers inspirent toutes sortes d’ouvrages, car ils offrent une diversité très appréciée des professionnels et des particuliers. Le pavé martelé CARRÉ D’ARC, d’aspect vieilli en surface, reproduit comme autrefois les milliers de coups de marteau portés par l’artisan sur le matériau. Le pavé vieilli imite le pavé irrégulier d’antan. Le pavé grenaillé brossé a été patiné par projection de billes sous haute pression, puis sa surface a été brossée pour affiner le rendu. Quant au pavé brut CARRÉ D’ARC, il se présente tel quel, révélant sa structure sobre, et trouve souvent sa place dans des décors contemporains. Les allées et autres lieux carrossables seront égale-ment très bien servis par les pavages drainants CARRÉ D’ARC, aux propriétés techniques et esthétiques reconnues des professionnels. &nbsp; Pavage Navarre finition brut  Sobrement carrossable Sous forme d’opus à quatre grandes dimensions associées (25 x 15, 25 x 20, 25 x 25 et 25 x 30 cm sur 6 cm d’épaisseur), le pavage finition brut Navarre CARRÉ D’ARC avec chanfrein est idéal pour aménager de grandes surfaces : allée, esplanade, terrasse, zone piétonnière… La réalisation des joints (en conformité avec la réglementation en vigueur) est facilitée par les distanceurs intégrés. Autre particularité du pavage Navarre, son chanfrein périphérique, qui assure une finition parfaite de l’ouvrage, occasionnellement carrossable (Classe de trafic T7). Cette large allée carrossable illustre parfaitement les capacités fonctionnelles et décoratives du pavage Navarre CARRÉ D’ARC, dont la teinte Gris nuancé s’harmonise avec les éléments d’un espace contemporain. &nbsp; Pavé vieilli Floréal  Un passé très présent On se plaît à imaginer une calèche tirée par des chevaux sur une allée de pavés vieillis Floréal CARRÉ D’ARC. D’aspect irrégulier, ce modèle comprend trois formats bout à bout (12 x 18, 12 x 15 et 12 x 12 cm sur 6 cm d’épaisseur). La pose en bande forme ainsi des opus qui s’adaptent à tous types d’ouvrages : allée centrale, terrasse, patio… Floréal peut même servir de bordurette ou de jardinière. Il admet la circulation des voitures, dans la limite de 25 véhicules par jour et par sens (Classe de trafic T5). Les nuances chaudes du ton Flammé du pavé vieilli Floréal CARRÉ D’ARC installent une ambiance accueillante. Il démontre ici sa capacité à composer une superbe allée centrale pour piétons et véhicules. &nbsp; Pavé Provençal finition martelé Astucieux et atemporel Le martelage donne au pavé Provençal CARRÉ D’ARC un aspect régional aux accents du Sud. Il est aussi agréable d’y poser le regard que d’y circuler. Les 7 modules facilitent le calepinage et permettent de créer des opus graphiques dans des espaces traditionnels ou modernes. Les distanceurs intégrés apportent une aide précieuse à la pose réglementaire des joints entre chaque élément du pavage. Celui-ci supporte la circulation de véhicules dans la limite de 25 maximum par jour et par sens (Classe de trafic T5). Associé au pavé Tépia CARRÉ D’ARC, le pavé Provençal finition martelé s’insère avec naturel entre pré, pelouse et habitat, traçant une perspective aux contours nets. Le ton Gris nuancé se marie joliment avec l’ensemble. Combiné à d’autres matériaux comme des galets, du sable et des morceaux de roche, le pavé Provençal finition martelé CARRÉ D’ARC structure les dénivelés de terrain avec élégance. Il est délimité par un muret bas en blocs Clairefontaine, dans la même ligne Béton décoratif CARRÉ D’ARC. &nbsp; Pavé Catalan finition martelé  Assemblages à la carte Le pavé Catalan finition martelé CARRÉ D’ARC est plein de ressources. Il forme une famille nombreuse de 17 modules, sur des longueurs échelonnées de 9,5 à 20 cm, pour une largeur de 12,5 cm et une épaisseur de 6 cm. Ce moderne aux accents authentiques se prête à des poses en bande ou en opus à multiples assemblages et à joints discontinus. Les pavés Catalan auront autant de succès en allée qu’en terrasse. Ils sont carrossables dans la limite de 25 véhicules par jour et par sens (Classe de trafic T5). Le relief à l’ancienne et les multiples formats du pavé Catalan finition martelé CARRÉ D’ARC donnent au paysagiste la possibilité de créer des tracés inventifs, telle cette superbe allée prolongeant l’entrée de la propriété.   Pavé Montréal finitions grenaillé brossé et brut À la fois simple et original Côté finitions, grenaillé brossé ou brut, le pavé Montréal CARRÉ D’ARC mène un double jeu. Cela multiplie les choix décoratifs. Les distanceurs intégrés et l’assemblage des deux grands formats – 15 x 15 et 15 x 20 cm sur 6 cm d’épaisseur – facilitent la mise en œuvre du pavé en bandes sur de belles surfaces. Il supporte le passage des véhicules dans la limite de 25 par jour et par sens (Classe de trafic T5). Le pavé Montréal CARRÉ D’ARC finition grenaillé brossé se distingue par son élégance organisée en demi-cercle au seuil de la maison et en bordure externe du massif. Une réussite dans le ton Gris nuancé. Pavage drainant Durance  Un utilitaire élégant Comme son semblable Stratus de la ligne Béton décoratif CARRÉ D’ARC, le pavage Durance appartient à la famille des pavages drainants. Cela signifie qu’il peut être engazonné ou comblé avec du sable ou de la clapissette. Il est par conséquent très utile pour absorber les eaux de pluie et éviter les risques d’inondation. Son allure de gros galet plat fait tout son charme. Le pavage Durance est présenté sous forme de bloc de 33 x 50 cm divisé en 7 formats de galets accolés, d’une épaisseur de 8,5 cm. Les véhicules peuvent y circuler aisément (jusqu’à 150 par jour et par sens &#8211; Classe de trafic T3-4). Les propriétés du pavé drainant Durance CARRÉ D’ARC font de lui un élément idéal pour installer une entrée de garage, une allée carrossable ou tout autre ouvrage alliant technicité et originalité. &nbsp; Pavage drainant Stratus  Voie royale revisitée Les contours irréguliers du pavage drainant Stratus CARRÉ D’ARC apportent un esprit ancien à l’ouvrage, dans le style cour ou allée de château. Une irrégularité calculée et symétrique qui associe 4 monoformats pour former un bloc de 17 x 22 cm par 8 cm d’épaisseur. Jusqu’à 150 véhicules par jour et par sens peuvent rouler sur le pavage Stratus (Classe de trafic T3-4). Le pavage drainant Stratus CARRÉ D’ARC conjugue des formes douces et deux teintes qui évoquent le tracé des voies anciennes : ocre rose du sable des joints et Gris du pavé. &nbsp; Pavage Navarre CARRÉ D’ARC Dimensions : 25 x 15, 25 x 20, 25 x 25 et 25 x 30 cm &#8211; ép. 6 cm Coloris : Anthracite, Gris Nuancé et Flammé Pose : Sable ou gravillon Classe T7 : Circulation occasionnelle de véhicules de charge par roue < à 900 kg Matériau : Béton pressé Prix public indicatif : 35 euros TTC le m2 Points de vente : Négoces en matériaux Pavé Floréal CARRÉ D’ARC Dimensions : 12 x 18, 12 x 15 et 12 x 12 cm &#8211; ép. 6 cm Coloris : Anthracite, Pierre, Paille et Flammé Pose : Sable ou gravillon Classe T5 : Circulation de véhicules (charge totale ≥ 3,5 T) dans la limite de 25 par jour et par sens Matériau : Béton pressé Prix public indicatif : 45 euros TTC le m2 Points de vente : Négoces en matériaux Pavé Provençal CARRÉ D’ARC Dimensions : 10 x 10, 10 x 15, 10 x 20, 15 x 15, 15 x 20, 20 x 25 et 25 x 25 cm &#8211; ép. 6 cm Coloris : Anthracite, Gris nuancé et Flammé Pose : Sable ou gravillon Classe T5 : Circulation de véhicules (charge totale ≥ 3,5 T) dans la limite de 25 par jour et par sens Matériau : Béton pressé Prix public indicatif : 52 euros TTC le m2 Points de vente : Négoces en matériaux Pavé Catalan CARRÉ D’ARC Dimensions : 17 modules de largeur 12,5 cm, longueur de 9,5 à 20 cm &#8211; ép. 6 cm Coloris : Anthracite, Gris nuancé Pose : Sable ou gravillon Classe T5 : Circulation de véhicules (charge totale≥ 3,5 T) dans la limite de 25 par jour et par sens Matériau : Béton pressé Prix public indicatif : 48 euros TTC le m2 Points de vente : Négoces en matériaux &nbsp; Pavé Montréal CARRÉ D’ARC Dimensions : 15 x 15 et 15 x 20 cm &#8211; ép. 6 cm Coloris : Anthracite, Gris nuancé Pose : Sable ou gravillon Classe T5 : Circulation de véhicules (charge totale ≥ 3,5 T) dans la limite de 25 par jour et par sens Matériau : Béton pressé Prix publics indicatifs : 37 euros TTC le m2 finition grenaillé brossé &#8211; 33 euros TTC le m2 finition brut Points de vente : Négoces en matériaux Pavage Durance CARRÉ D’ARC Dimensions : 33 x 50 cm &#8211; ép. 8,5 cm Coloris : Pierre Pose : Sable ou gravillon Classe T3-4 : Circulation de véhicules (charge totale ≥ 3,5 T) dans la limite de 150 par jour et par sens Matériau : Béton pressé Prix public indicatif : 41 euros TTC le m2 Points de vente : Négoces en matériaux Pavage Stratus CARRÉ D’ARC Dimensions : 17 x 22 cm &#8211; ép. 8 cm Coloris : Pierre et Gris Pose : Sable ou gravillon Classe T3-4 : Circulation de véhicules (charge totale ≥ 3,5 T) dans la limite de 150 par jour et par sens Matériau : Béton pressé Prix public indicatif : 45 euros TTC le m2 Points de vente : Négoces en matériaux Fournisseur de solutions complètes, Fabemi propose également les produits IDÉAL JARDIN qui permettent de finaliser et de pérenniser les dallages et pavages. Ainsi, Protection pavés protège les surfaces pavées et limite la pénétration de l’eau, de l’huile et des taches de toutes natures. Prix public indicatif : 124 euros TTC le bidon de 5 l Points de vente : Négoces en matériaux
Il y a 5 ans et 341 jours

Trevi de rébellion, ou la dilatation de l’espace

Je m’apprêtais, comme tous les derniers dimanche du mois, à prendre la plume pour entreprendre la si délicate mission de poursuivre les aventures du génome urbain. La thématique du jour annoncée, avec appétit, lors de la dernière chronique consacrée à [&#8230;] L’article Trevi de rébellion, ou la dilatation de l’espace est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 345 jours

DIY d’un bassin aquatique ou d’une fontaine

Pour pouvoir savourer de délicieuses sensations de repos et de fraîcheur, surtout avec les chaleurs actuelles sur toute la France, certains construisent une fontaine ou même un petit bassin dans leur jardin. Ces installations, malgré leur apparente complexité, sont à la portée de n’importe quel bricoleur. Les fontaines de jardin La construction d’une fontaine de jardin est toujours réalisée suivant un modèle très simple. Il suffit d’avoir à sa disposition un réservoir, une pompe et un moteur. Le réservoir, qui peut être invisible car enterré ou apparent, a pour rôle de collecter l’eau. Quant à la pompe, généralement immergée, elle comporte un tuyau en caoutchouc qui récupère et conduit l’eau vers un système d’ajustage. Dans ce système, l’eau circule en circuit fermé. Comme c’est la même eau qui est utilisée, faire régulièrement l’appoint est conseillé. Cela permet de compenser les pertes par évaporation. En ce qui concerne l’esthétique, la partie visible d’une fontaine peut avoir des formes et des modèles variées selon le choix.  Plusieurs possibilités sont offertes. Il y a la classique amphore à la statue figurative et les formes plus abstraites, comme les boules, les cylindres, les cônes ou les parallélépipèdes. L’important c’est d’obtenir l’illusion d’un écoulement naturel. Il est à noter que pour une fontaine bouillonnante, l’eau se répand sous forme de gros bouillons et non pas en jet. La partie apparente est souvent limitée  à un simple contenant de terre cuite. Comment installer un kit de fontaine ? Actuellement, pour venir en aide à ceux qui souhaitent installer une fontaine dans leur jardin, des kits de fontaine avec un réservoir d’eau enterré sont vendus sur le marché.  Ces kits sont très faciles à mettre en place et conviennent surtout aux petits jardins. L’installation  s’effectue en plusieurs étapes : Etape 1 : Le décapage La surface prévue pour l’emplacement de la fontaine doit être décapée. Il faut enlever les touffes de gazon, les éventuelles pierres et les toupets d’herbe. Etape 2 : Le creusage Selon la forme du réservoir disponible, le trou peut être rond ou carré.  Il est recommandé de réaliser une excavation un peu plus grande que le réservoir. Ce dernier doit flotter dans sa cavité et être de 5 cm plus bas que son niveau définitif une fois qu’il est en place. Étape 3 : Tapisser le fond de la cavité de sable Pour ce faire, le  réservoir est d’abord enlevé, puis replacé. À la fin de cette opération, il doit être à ras de terre. Au cas où sa position n’est pas très horizontale, l’épaisseur du sable doit être réajustée. Étape 4 : Vérification de l’horizontalité  du réservoir avec un niveau à eau Lorsque l’horizontalité est parfaite, il ne reste plus qu’à combler les interstices entre les bords du trou et le réservoir, puis  disposer la pompe et mettre le couvercle du réservoir. Étape 5 : Mettre en place la partie visible et  relier le tuyau au système d’ajustage Le moment est maintenant venu de remplir le réservoir d’eau et de brancher la pompe. Un régulateur de débit, qui est généralement adapté à la pompe, permet de régler la puissance du jet. Étape 6 : Parfaire la finition Cette dernière étape consiste à dissimuler le couvercle du réservoir sous des galets ou d’autres pierres qui s’harmonisent à l’ensemble. Comment construire un bassin aquatique pour son jardin ou sa terrasse ? Il est très facile de créer soi-même une petite mare peu profonde dans son jardin. Il suffit de creuser une fosse. Avec des bandes de géotextile et de la bâche étanche, il est possible de se construire un joli petit bassin aquatique dans son jardin. Pour ceux qui ne disposent pas d’un jardin, des bassins hors sol peuvent être utilisés. Ces bassins en bois ne nécessitent pas de travaux lourds, à part un sol plan et une surface résistante. La construction d’un bassin aquatique se fait en plusieurs étapes, dont la première consiste à définir son emplacement. De manière générale, un endroit mi- ombragé est idéal. Quelles sont les règlementations et les règles de sécurité ?  Dans le cas d’un petit bassin aquatique de jardin, un permis de construire n’est pas nécessaire. Néanmoins, il vaut mieux faire une déclaration de travaux. Ainsi, votre entourage sera averti des nuisances occasionnées. Afin de se tenir en conformité avec les règles locales qui concernent l’aménagement du territoire communal, il est vivement conseillé de se renseigner auprès des services techniques de sa mairie. Enfin, dans le but de prévenir les accidents des jeunes enfants qui pourront éventuellement être attirés par ce point d’eau, le bassin aquatique doit être conçu de façon à éviter les risques potentiels.
Il y a 5 ans et 346 jours

L’impact environnemental sur le mobilier urbain

Lorsque vous concevez et fabriquez du mobilier urbain, vous devez prendre en compte un certain nombre de facteurs. D&rsquo;abord et avant tout, tous les articles fabriqués seront plus ou moins constamment exposés aux éléments, ce qui signifie qu&rsquo;ils doivent être conçus pour résister à la fois aux chaleurs extrêmes ainsi qu’au froid, sans oublier les pluies fréquentes. De plus, de nombreux mobiliers, notamment les sièges, les bancs et les corbeilles, risquent de faire l’objet d’une utilisation intensive tous les jours. Ils doivent donc être conçus pour durer. Cet aspect de durabilité pose une question : Les matériaux utilisés sont-ils en accord avec les problématiques environnementales que nous rencontrons au quotidien ? Mobilier Urbain Recyclé : Une solution durable ? La réduction de carbone dans la chaîne d’approvisionnement, l’extraction des matières premières et l’élimination des déchets est donc indispensable pour limiter notre impact sur l’environnement. Produire du mobilier urbain en plastique recyclé peut être la solution idéale pour réduire, réutiliser et, surtout, recycler les matériaux tout au long du processus de fabrication. Résistant aux intempéries, le plastique est également connu pour être un matériau avec une grande longévité et ne nécessite que très peu d’entretien. En termes de production et de maintenance, le plastique recyclé est une option à long terme plus durable que le bois et le métal. Le mobilier urbain recyclé n&rsquo;est donc pas seulement meilleur pour l&rsquo;environnement. Les nombreux avantages du mobilier urbain recyclé Jardinières, fontaines, cendrier urbain et même sanitaire avec toilettes sèches, il existe de nombreuses solutions pour diminuer notre impact sur l’environnement. En transformant les « déchets » en produits de haute qualité, fonctionnels et durables, le mobilier urbain recyclé peut réduire le besoin de sites d&rsquo;enfouissement. Par exemple, la création d’un banc pour un parc équivaut à 2 000 bouteilles recyclées. Avec les toilettes sèches par exemple, la pollution devient une ressource. En effet, les urines sont une source d’azote et de phosphore et les excréments eux permettent au sol de bien se structurer. Dans notre imaginaire, les toilettes sèches sont des cabanes placées au fond des jardins. Mais la réalité est tout autre. En effet certaines communes mettent en place des sanitaires publics pensés pour être à la fois pratiques et pour respecter l’environnement. On ne trouve plus seulement des toilettes avec des copeaux en guise de litière, mais des systèmes ingénieux qui séparent l’urine des excréments. &nbsp; Du mobilier urbain pour améliorer la communication entre les habitants Le mobilier urbain est beaucoup utilisé dans les parcs, sur les places ou les jardins publics. Installés du mobilier recyclé peut donc engendrer des discussions autour du recyclage et des nombreuses possibilités que pourraient avoir la ville grâce à ça. Certaines écoles utilisent des tables de pique-niques en plastique pour inciter les écoliers à réfléchir sur le recyclage et la protection de l’environnement. Les enfants sont apparemment abasourdis par l’idée qu’une bouteille en plastique pourrait un jour se transformer en table. En s’appuyant sur ça, les enseignants pourraient organiser une collecte de recyclage, demandant à l’ensemble de l’école de collecter 2 000 bouteilles de plastique, puis de se rendre dans une usine de recyclage pour montrer que les déchets pourraient être éliminés de manière plus durable. Ce n&rsquo;est qu&rsquo;un petit exemple de la manière dont des produits recyclés peuvent lancer un débat. Plus tôt les enfants comprendront l’importance du recyclage sur notre impact environnemental, plus tôt ils seront en mesure de le reconnaître comme une partie nécessaire de la vie quotidienne. Bien moins cher et plus durable que le mobilier urbain classique, le mobilier recyclé à de beaux jours devant lui !
Il y a 5 ans et 361 jours

La sélection 2019 de la Mission Patrimoine en péril est annoncée

Franck Riester, ministre de la Culture, vient de présenter la liste des 103 projets 2019 de la Mission Patrimoine en péril confiée à Stéphane Bern par le Président de la République. Cette seconde sélection, parmi les 3 500 projets signalés par le grand public depuis 2018, se caractérise par sa très grande diversité &#8211; tous les types de patrimoine y sont représentés : édifices religieux, industriels et techniques, habitations, châteaux, maisons d’artistes, bibliothèques, moulins, jardins, etc. &#8211; et sa répartition harmonieuse sur l’ensemble du territoire de la France métropolitaine (un édifice par département) et des collectivités d’outre-mer, dans les espaces urbains comme dans les zones rurales. Avec les 18 sites emblématiques annoncés en mars dernier, ces 103 nouveaux sites constituent la deuxième édition de la Mission Patrimoine en péril qui pourra bénéficier de la part revenant à l’État des fonds issus du Loto du Patrimoine. Dès le 15 juin la grille du super Loto du Patrimoine sera mise en vente au prix de 3 € avec un tirage exceptionnel le 14 juillet, et à partir du 2 septembre deux offres de tickets de grattage à 3 € et 15 € seront proposées. Les 18 projets emblématiques annoncés en mars 2019 Auvergne-Rhône-Alpes Viaduc des Fades (63) Bourgogne-Franche-Comté Château de Maulnes (89) Bretagne Glacière d’Étel (56) Centre-Val de Loire Moulins de la Fontaine à Thoré-La-Rochette (41) Corse Bibliothèque Fesch à Ajaccio Grand-Est Moulin de Bar-sur-Seine (10) Hauts-de-France Beffroi de Béthune (62) île-de-France Château de By &#8211; Maison de Rosa Bonheur à Thomery (77) Normandie Abbaye Sainte-Marie de Longues-sur-mer (14) Nouvelle Aquitaine Amphithéâtre gallo-romain de Saintes (17) Occitanie Fort de Brescou à Agde (34) Pays de la Loire Ruines du château de l’Étenduère aux Herbiers (85) Provence-Alpes-Côte d&rsquo;Azur Abbaye Notre-Dame de Sénanque à Gordes (84) Guadeloupe Église Saint-André de Morne-à-l’eau Guyane Relais Barcarel à Saint-Laurent-du-Maroni Martinique Façades des maisons de Saint-Pierre La Réunion Temples tamouls des Casernes à Saint-Pierre et du Gol à Saint-Louis Saint-Pierre-et-Miquelon Phare de l’île aux Marins Les 103 projets 2019 de la Mission Patrimoine en péril Auvergne-Rhône-Alpes Cuivrerie de Cerdon (01) Tuilerie de Lenax (03) Moulin Dupuy à Saint-André-Lachamp (07) Maison Buc à Laroquebrou (15) Château de la Touche (26) Villa La Casamaures à Saint-Martin-le-Vinoux (38) Château de Jarnosse (42) Église Saint-Hilaire et Saint-Roch à Beaumont (43) Collège des Jésuites à Billom (63) Domaine Dupoizat à Saint-Symphorien-d’Ozon (69) Église Saint-Saturnin à Saint-Sorlin-d’Arves (73) Château de Ripaille à Thonon-les-Bains (74) Bourgogne-Franche-Comté Église Saint-Ambroise à Busserotte-et-Montenaille (21) Viaduc de la Loue à Cléron (25) Abbaye impériale Saint-Pierre de Baume-les-Messieurs (39) Église Saint-Roch à Lamenay-sur-Loire (58) Abbaye cistercienne de Montigny-Lès-Cherlieu (70) Maison canoniale dite du Lutrin à Autun (71) Pigeonnier Saint-Joseph à Sens (89) Fort des Basses Perches à Danjoutin (90) Bretagne Ancienne gare de Brélidy à Plouëc-du-Trieux (22) Maison Pinchon à Landéda (29) Pont médiéval du Couesnon à Val-Couesnon (35) Ancien couvent des Carmélites à Ploërmel (56) Centre-Val de Loire Grange pyramidale du domaine de Récy à Vinon (18) Église Saint-Eloi-Saint-Jean-Baptiste à Crécy-Couvé (28) Chapelle du château de Greuille à Sassierges-Saint-Germain (36) Château du Chillou à Jaulnay (37) Jardin Renaissance dans le parc du château de Saint-Denis-sur-Loire (41) Relais de poste à Fontenay-sur-Loing (45) Corse Fortin de Girolata à Osani Église San Gavino à San-Gavino-d’Ampugnani Grand Est Ancien couvent des Cordeliers à Vendresse (08) Château de Vaux à Fouchères (10) Logis des officiers du château de Braux-Sainte-Cohière (51) Maison au 26 rue des Marmouzets à Joinville (52) Château du maréchal Lyautey à Thorey-Lyautey (54) Synagogue de Verdun (55) Citadelle de Bitche (57) Château du Haut-Andlau (67) Château de Wesserling à Husseren-Wesserling (68) Chalet impérial Tivoli à Plombières-les-Bains (88) Guadeloupe Clocher de Notre-Dame de Bon Port à Petit-Bourg Guyane Ancienne école de Rémire-Montjoly Hauts-de-France Église Saint-Basle à Bucy-lès-Cerny (02) Église Sainte-Barbe à Wallers (59) Hôtel-Dieu de Galande à Senlis (60) Église Notre-Dame à Buire-au-Bois (62) Moulin de Stavèle à Naours (80) Île-de-France La Ruche &#8211; Bâtiment Fernand Léger à Paris (75) Anciens réfectoires Menier à Noisiel (77) Orangerie du château d’Hanneucourt à Gargenville (78) Basilique Notre-Dame-de-Bonne-Garde à Longpont-sur-Orge (91) Folie Claret à Vaucresson (92) Église Notre-Dame du Raincy à Le Raincy (93) Église Saint-Louis de Vincennes (94) Théâtre du château de la Roche-Guyon (95) La Réunion Chapelle du domaine de Bel-Air à Sainte-Suzanne Martinique Domaine de la Trace à Fort-de-France Mayotte Mosquée et minaret de Tsingoni Normandie Maison Bleue de Da Costa à Dives-sur-Mer (14) Parc du Moulin d’Andé (27) Église de Saint-Loup (50) Manoir de Courboyer à Perche-en-Nocé (61) Église Sainte-Marie-Madeleine à Douvrend (76) Nouvelle Aquitaine Abbaye de Châtres à Saint-Brice (16) Maison de la Gaieté à Chérac (17) Château de Comborn à Orgnac-sur-Vézère (19) Ancienne commanderie templière de Lavaufranche (23) Maison des moines de l’abbaye de Saint-Amand de Coly (24) Château d’eau de Le Corbusier à Podensac (33) Chapelle Notre-Dame des Cyclistes à Labastide-d’Armagnac (40) Prieuré Saint-Étienne de Lagrange à Durance (47) Eglise orthodoxe de Biarritz (64) Château de Pougne-Hérisson (79) Eglise Saint-Jacques à Châtellerault (86) Four industriel à porcelaine Haviland à Limoges (87) Occitanie Plâtrières de Surba (09) Église Saint-Loup-de-Sens à Clermont-sur-Lauquet (11) Hameau médiéval de Saint-Caprazy (12) Escalier monumental Saint-Pierre à Pont-Saint-Esprit (30) Maison Ysalguier à Auterive (31) Grange basque du château de Caumont à Cazaux-Savès (32) Moulin de Juffet à Montbazin (34) Maison dite Marot à Senaillac-Latronquière (46) Château du Tournel à Mont-Lozère-et-Goulet (48) Ancien atelier de l’architecte Edmond Lay à Barbazan-Debat (65) Colonie minière de la Pinosa à Valmanya (66) Château de Ferrières à Fontrieu (81) Chapelle Saint-Pierre à Beaupuy (82) Pays de la Loire Four à chaux du Montru à La Chapelle-Heulin (44) Prieuré de la Jaillette à Segré-en-Anjou Bleu (49) Moulin à eau de la Petite Bavouze à Ménil (53) Jumenterie du Lude (72) Kiosque à musique de Luçon (85) Provence-Alpes-Côte d’Azur Cathédrale Notre-Dame du Bourguet à Forcalquier (04) Église Saint-Martin à Villar d’Arène (05) Moulin à vent à Berre-les-Alpes (06) Jardins d’Albertas à Bouc-Bel-Air (13) Chapelle Notre-Dame de Pitié au Val (83) Église Notre-Dame de Suzette (84) Saint-Martin Parc paysager de la plantation Mont Vernon Saint-Pierre-et-Miquelon Maison du pêcheur
Il y a 5 ans et 361 jours

La 9e édition du Festival de l’histoire de l’art de Fontainebleau a été un succès

Avec 36 500 visites, la 9e édition du Festival de l’histoire de l’art a rencontré un très vif succès auprès d&rsquo;un public varié. Conférences, expositions, projections, concerts, lectures, tables rondes, ont fait salle comble. Les visiteurs ont pu profiter de près de 300 événements accessibles gratuitement autour de la thématique du Peuple et des pays nordiques -le Danemark, la Finlande, l’Islande, la Norvège et la Suède- invités du Festival. our cette nouvelle édition, la volonté a été de recentrer les sujets des interventions autour du thème et des pays invités à travers l’actualité des expositions et autres événements marquants. Plusieurs interventions ont également permis de poser la question de la collaboration entre artistes et citoyens. Le programme du Forum a par ailleurs donné la parole à plusieurs spécialistes qui ont pu réagir aux débats soulevés par l’actualité comme l’incendie de la cathédrale Notre-Dame.
Il y a 5 ans et 362 jours

Manger franco-japonais

vOra Ito et Thierry Marx se sont associés pour créer Marxito, nouvelle adresse située à deux pas du rond-point des ChampsÉlysées et de ses nouvelles fontaines réalisées par les frères Bouroullec. Manger vite, mais manger sain : c’est ce qui a guidé le chef étoilé dans la (...)$##$ conception d’une offre culinaire originale inspirée par la street food japonaise. On y trouve les dorayaki (crêpe épaisse fourrée de pâte de haricots rouges), spécialité nipponne ici déclinée à...
Il y a 6 ans et 17 jours

La Nuit des musées, un succès

Plus de 2 millions de personnes se sont rendues au musée, en France, dans la soirée du samedi 18 mai 2019, à l’occasion de la 15e édition de la Nuit européenne des musées. Plus de 3 000 musées en France et en Europe ont participé à l&rsquo;évènement et ouvert gratuitement leurs portes. Chiffres du Ministère de la Culture : À Paris et en Île-de-France • Le musée du Louvre : 16 324 visiteurs • Etablissement public des musées d’Orsay et de l’Orangerie : 11 943 • Le musée d’Orsay : 8 264 visiteurs • Le musée national de l’Orangerie : 3 679 visiteurs • Les expositions du Grand Palais : 4 776 visiteurs • Le Petit Palais : 5 446 visiteurs • Le musée national des arts asiatiques, Guimet : 1 111 visiteurs • Le musée national Eugène Delacroix : 300 visiteurs • Le musée Picasso Paris : 3 529 visiteurs • Le 11 quai Conti &#8211; musée de la Monnaie de Paris : 1 485 visiteurs • Le muséum national d’histoire naturelle (Musée de l’Homme et Grande Galerie de l’évolution) : 8 608 visiteurs • La Philharmonie 2, musée de la musique : 1 642 visiteurs • Le musée national des Arts et métiers : 4 552 visiteurs • Le musée d’Art moderne de la Ville de Paris : 3621 visiteurs • Le musée Jean-Jacques Henner : 426 visiteurs • Le musée de la Chasse et de la Nature : 2 998 visiteurs • Le Centre Pompidou : 7 888 visiteurs • Le musée du quai Branly – Jacques Chirac : 10 960 visiteurs • Le château de Fontainebleau : 1 659 visiteurs • Le musée national de la Renaissance, à Écouen : 564 visiteurs • Le MAC VAL : 780 visiteurs • Le château de Champs-sur-Marne : 4 000 visiteurs • Le Palais de Compiègne : 2 115 visiteurs • Le domaine national de Versailles : 4 780 visiteurs • Le musée Rodin, Meudon : 1 280 visiteurs • L’Institut du monde arabe : 1 191 visiteurs • Le musée de l’Armée – Hôtel national des Invalides : 8 090 visiteurs • Le musée de l’UNESCO : 2 300 visiteurs En régions : chiffres de fréquentation par musées • Le musée des Confluences à Lyon : 6 951 visiteurs • Le musée des Beaux-Arts de Lyon : 3 500 visiteurs • Le MAC Lyon (musée d’art contemporain) : 1 357 visiteurs • Le MUCEM (Musée des civilisations de l’Europe et de la méditerranée) : 3 657 visiteurs • Le musée du Louvre-Lens : 7 794 visiteurs • Le musée des Beaux-Arts de Rouen : 2 009 visiteurs • Historial de la Vendée : 5 212 visiteurs • Le MuMa Le Havre : 1 887 visiteurs • Le musée national Magnin de Dijon : 507 visiteurs • Le MAMC+ (musée d’art moderne et contemporain de Saint-Etienne Métropole) : 1 900 visiteurs • Le musée du Touquet-Paris Plage : 717 visiteurs • Le domaine national du Château d’Angers : 2 034 visiteurs • Le musée national du château de Pau : 855 visiteurs • Le musée des baux-arts de Brest : 1 844 visiteurs • Le CAPC, à Bordeaux : 4 661 visiteurs • Le musée des Augustins à Toulouse : 7 274 visiteurs • Le musée Saint-Raymond à Toulouse : 3 760 visiteurs • Le musée Toulouse Lautrec à Albi : 1 048 visiteurs • La Piscine à Roubaix : 3 769 visiteurs • Le musée Fabre Montpellier Méditerranée Métropole : 5 053 visiteurs • Le muséum d’Histoire naturelle de Toulouse : 7 554 visiteurs • Le musée des impressionnismes à Giverny : 537 visiteurs • Le Centre Pompidou-Metz : 1 723 visiteurs • Le musée des Beaux-Arts de Reims : 1 179 visiteurs • Les musées nationaux du XXe siècle des Alpes-Maritimes : 1 457 visiteurs • Le musée du Petit Palais, à Avignon : 575 visiteurs • Le musée Réattu, en Arles : 1 307 visiteurs • Le musée Unterlinden à Colmar : 1 716 visiteurs • Le musée des beaux-arts de Valenciennes : 1 328 visiteurs • Le musée de la Corse à Corte : 407 visiteurs • Le musée de la chaussure à Romans : 655 visiteurs • Le musée Matisse de Nice : 254 visiteurs • Le musée historique de Villèle : 838 visiteurs • Le musée des Beaux-Arts de Tours : 1 350 visiteurs • Le musée d’art et d’archéologie de Valence : 1 449 visiteurs • Le Palais des Beaux-arts de Lille : 5 115 visiteurs • L’atelier-musée de l’imprimerie : 1 429 visiteurs • Le musée Casa Pairal à Perpignan : 675 visiteurs • Le musée du jouet à Colmar : 1 546 visiteurs • Le muséum de Grenoble : 1 561 visiteurs • Le musée national des douanes de Bordeaux : 2 780 visiteurs • Le musée Georges-Labit de Toulouse : 1 273 visiteurs • Musée des beaux-arts de Calais : 904 visiteurs • Le MAMAC (musée d’art moderne et d’art contemporain à Nice : 2 800 visiteurs • Le musée de Dieppe : 522 visiteurs • Le musée national de la marine à Toulon : 911 visiteurs • Le musée d’histoire naturelle de Tours : 1 012 visiteurs • Le musée Renoir, à Cagnes-sur-Mer : 882 visiteurs • Les Champs Libres – Musée de Bretagne : 3 218 visiteurs • Musée des papillons à Saint Quentin : 1 240 visiteurs • Musée de L’Abbaye de Saint Germain à Auxerre : 1 139 visiteurs • Musée portuaire de Dunkerque : 1 670 visiteurs • Le château des Ducs de Bretagne, à Nantes : 2 269 visiteurs • Le musée d’Arts de Nantes : 1 900 visiteurs Chiffres de fréquentation par ville • Paris Musées (les musées de la ville de Paris) : 11 000 visiteurs • La Nuit des mystères à Mulhouse : 27 574 visiteurs • Les musées de Strasbourg : 15 086 visiteurs • Les musées de Troyes : 3 424 visiteurs • Les musées de la Réunion des musées métropolitains Rouen-Normandie : 4 500 visiteurs • Les musées du Mans : 3 822 visiteurs • Les musées de la ville d’Orléans : 1 775 visiteurs Quelques exemples en Europe • En Espagne, à Barcelone (82 lieux) la Nit dels Museus a rassemblé 170 000 visiteurs ; à Valladolid, le musée de Valladolid : 2 007 visiteurs • En Italie, la bibliothèque universitaire régionale, en Sicile : 3 720 visiteurs • En Serbie, le musée historique à Belgrade : 1 032 visiteurs • En Finlande, le musée de Pori : 1 035 visiteurs • En Roumanie, the Artistic Center Baia Mare ; 1 368 visiteurs • En Grèce, le Peloponnesian Folklore Foundation, à Nafplio : 2 500 visiteurs • En Belgique, les musées de Tournai : 5 890 visiteurs • En Ukraine, le musée d’art régional de Vinnytsia : 910 visiteurs • En Bulgarie, le National Museum Earth and Man (Sofia) : 4 035 visiteurs • En Slovaquie, le SNU Museum (Banská Bystrica) : 715 visiteurs et le musée Gemer-Malohont (Rimavska Sobota) • En Espagne, le Museo Municipal de Albasete : 620 visiteurs • À Madère, le musée Quinta das Cruzes : 1 059 • En Lituanie, le musée de la ville de Kaunas : 7 560 visiteurs La Nuit européenne des musées en chiffres Nombre de musées participants en France 700 en 2005 1 300 en 2019 Nombre de musées participants dans les autres pays européens 450 en 2005 2 000 en 2019 Nombre de pays participants 29 en 2005 30 en 2019
Il y a 6 ans et 45 jours

archi5 et Tecnova Architecture : Complexe sportif La Fontaine

Qu'est ce donc que cet édifice aux éclats cuivrés installé dans le quartier de La Fontaine à Antony (92)&nbsp;? Fruit de la collaboration des agences archi5 et Tecnova Architecture, le complexe sportif facetté détonne dans un paysage situé entre patrimoine végétal et logements verticaux. Une silhouette organique, un revêtement théâtral&nbsp;: plus qu'un nouveau gymnase, l'édifice de 5 200 mètres carrés agit comme un marqueur, un élément de signalétique, dans le quartier de La Fontaine à Antony qui fait actuellement l'objet d'une nouvelle impulsion urbaine. Attirant le regard des passants et autres curieux, le monolithe fracturé est plus proche de la pépite d'or grande taille que de la salle de sport classique. Cet Objet Architectural Non Identifié s'inscrit dans le parc de la zone ainsi que dans un quartier résidentiel constitué de barres de logements des années 1970. Un contexte duquel l'ensemble se démarque tout en s'amusant des particularités de son environnement. Revêtu d'une peau constituée d'un alliage de cuivre, d'aluminium et d'étain, le gymnase rompt avec les tours de son site, de part son horizontalité et ses multiples facettes.A l'intérieur, les concepteurs privilégient des matériaux naturels&nbsp;: parois recouvertes de lames de bois, plafonds tendus et éclairage naturel permettent aux sportifs de la région de pratiquer une activité physique dans un cadre idéal. En effet, une faille traversante s'ouvre sur la vallée et offre des vues d'exception aux usagers tout en séparant les deux pôles du complexe. Un attrait des maîtres d'oeuvre pour la transparence qui se traduit également par de nombreuses percées. Une semie-mezzanine complète l'ensemble, morcelant les volumes généreux et rappelant la géométrie marquée de l'enveloppe. Il va y avoir du sport à Antony ! Pour en savoir plus, visitez le site d'archi5 et Tecnova Architecture Photographies&nbsp;: Sergio Grazia
Il y a 6 ans et 51 jours

Brise-Soleil XXL

Les nouveaux volets BOREALE de Tellier Brise-Soleil se composent de panneaux XXL en aluminium, fixes ou coulissants, qui s’installent sans visserie apparente devant les baies et fenêtres, pour protéger efficacement les bâtiments tertiaires et logements collectifs des rayonnements solaires. Ils sont constitués de vantaux de grandes dimensions, jusqu’à 2 m en longueur et 4 m en hauteur. Pleins ou persiennés, ces volets offrent aux concepteurs une large variété de remplissages, avec des lames en forme d’ailes d’avion, rectangulaires ou trapézoïdales. Pour une plus grande personnalisation, les tôles qui composent les panneaux peuvent être lisses ou perforées. Deux sections de cadre sont disponibles afin de s’adapter avec précision à toutes les configurations de chantier. De nombreuses finitions sont possibles pour répondre à tous les styles architecturaux, du thermolaquage avec nuancier RAL à l’imitation bois. &nbsp; Photo : Centre Hospitalier de DOUÉ-LA-FONTAINE (49) &#8211; Architecte : Pascal Perrin Houdon / Pose : Franchet &nbsp;
Il y a 6 ans et 65 jours

Les 18 projets emblématiques de la mission Bern 2019 : 5 sites ultramarins sélectionnés

L&rsquo;édition 2019 du Loto du patrimoine a été lancée et ce sont 865 dossiers qui ont été déposés. L&rsquo;an dernier, cette action avait permis de rapporter 22 millions d&rsquo;euros dans le but de restaurer 269 monuments jugés en péril. Cette année, parmi les 18 monuments emblématiques, on retrouve 5 sites ultramarins sélectionnés pour cette deuxième édition du loto du patrimoine.  Les Façades des rues Victor Hugo et Bouillé à Saint-Pierre en Martinique © Fondation du patrimoine Les rues Victor Hugo et Bouillé représentent un réel centre d&rsquo;activité économique pour la ville. Aujourd&rsquo;hui, les façades sont dégradées, laissées à l&rsquo;abandon depuis de nombreuses années il s&rsquo;agit de préserver cette architecture remarquable qui raconte l&rsquo;histoire de cette ville prospère.  Le Relais Barcarel à Saint-Laurent-du-Maroni en Guyane ©Fondation du patrimoine Maison typique de la ville pénitentiaire que fut Saint-Laurent-du-Maroni, ce relais se trouve au au cœur du quartier historique. Bâtie par un ancien bagnard dans les années 1880, elle prospéra d’abord en étant utilisée comme magasin de cartes postales puis de matériel pour orpailleurs. Elle a la particularité d’être la seule maison à ossature bois avec un remplissage en briques apparentes de la ville.  Les Temples tamouls des Casernes et du Gol à Saint-Pierre et Saint-Louis ©Fondation du patrimoine Les deux temples de l&rsquo;Île de la Réunion présentent un état sanitaire très préoccupant nécessitant d&rsquo;importants travaux. Le Temple tamoul des Casernes est ancien bâtiment de l&rsquo;usine des Casernes et depuis 1850, le bâtiment est affecté au culte. Le Temple du Gol est plis ancien lieu de culte hindou de la Réunion. Il a été construit en 1852.  Le Phare de l&rsquo;île aux Marins à Saint-Pierre-et-Miquelon ©Fondation du patrimoine Tour métallique de 7 mètres de haut, le phare a été achevé en 1876 et a été maintenu en activité jusqu&rsquo;en 1961, année de l&rsquo;interfiction de la navigation dans cette passe.  L’humidité, le sel et les longues périodes de gel provoquent la corrosion des aciers, l’expansion des bétons, et l’éclatement des peintures d&rsquo;où la nécessité de sécuriser et restaurer le phare.  L&rsquo;Eglise de Morne-à-l&rsquo;Eau en Guadeloupe ©Fondation du patrimoine L&rsquo;Eglise de Morne-à-l&rsquo;Eau est une architecture emblématique d&rsquo;Ali Tur. Construite en 1930, l&rsquo;église domine le parvis sur lequel ouvre le presbytère, lui aussi dessiné par Ali Tur. Le clocher en béton est en mauvais état et ne répond plus aux normes sismiques. Ci-dessous la liste des 13 autres monuments sélectionnés : &#8211; Viaduc des Fades – Puy de Dôme &#8211; Château de Maulnes – Yonne &#8211; Glacière d’Etel – Morbihan &#8211; Moulins de la Fontaine – Loir et Cher &#8211; Bibliothèque Fesch à Ajaccio – Corse-du-Sud &#8211; Moulin de Bar-sur-Seine – Aube &#8211; Beffroi de Béthune – Pas-de-Calais &#8211; Château de By, maison de Rosa Bonheur – Seine-et-Marne &#8211; Abbaye Sainte-Marie de Longues-sur-mer – Calvados &#8211; Amphithéâtre gallo-romain de Saintes – Charente-Maritime &#8211; Fort de Brescou à Agde – Hérault &#8211; Ruines du château de l’Étenduère – Vendée &#8211; Abbaye Notre-Dame de Sénanque – Vaucluse Pour en savoir plus sur les 18 projets emblématiques de la Mission Bern, vous pouvez visiter le site de la fondation du patrimoine. &nbsp; &nbsp;
Il y a 6 ans et 77 jours

Des fontaines lumineuses des frères Bouroullec inaugurées sur les Champs-Élysées

Six fontaines lumineuses en cristal et bronze de 13 mètres de haut des frères Bouroullec ont été inaugurées jeudi par la maire de Paris Anne Hidalgo sur le Rond-point des Champs-Élysées.
Il y a 6 ans et 87 jours

18 sites sélectionnés dans le cadre de l’édition 2019 du Loto du patrimoine

Franck Riester, ministre de la Culture, s’est rendu avec Stéphane Bern à Château-Thierry ce lundi 11 mars pour le lancement de la seconde édition du Loto du patrimoine. L’Hôtel-Dieu de Château-Thierry, avait été retenu en 2018 comme l’un des 18 sites prioritaires de la première édition du Loto du patrimoine pour la région Hauts-de-France, il va être transformé en musée de l’histoire hospitalière. Après l’important succès de la première édition ils ont annoncé la pérennisation du dispositif et les 18 sites emblématiques sélectionnés dans le cadre de l’édition 2019 : &#8211; Viaduc des Fades (Puy de Dôme, Auvergne-Rhône-Alpes) &#8211; Château de Maulnes (Yonne, Bourgogne-Franche-Comté) &#8211; Glacière d’Etel (Morbihan, Bretagne) &#8211; Moulins de la Fontaine (Loir-et-Cher, Centre-Val de Loire) &#8211; Bibliothèque Fesch à Ajaccio (Corse-du-Sud, Corse) &#8211; Moulin de Bar-sur-Seine (Aube, Grand Est) &#8211; Beffroi de Béthune (Pas-de-Calais, Hauts-de-France) &#8211; Château de By, maison de Rosa Bonheur (Seine-et-Marne, Ile-de-France) &#8211; Abbaye Sainte-Marie de Longues-sur-mer (Calvados, Normandie) &#8211; Amphithéâtre gallo-romain de Saintes (Charente-Maritime, Nouvelle-Aquitaine) &#8211; Fort de Brescou à Agde (Hérault, Occitanie) &#8211; Ruines du château de l’Étenduère (Vendée, Pays de la Loire) &#8211; Abbaye Notre-Dame de Sénanque (Vaucluse, Provence-Alpes-Côte d’azur) &#8211; Eglise de Morne-à-l’Eau (Guadeloupe) &#8211; Relais Barcarel à Saint-Laurent (Guyane) &#8211; Façades des maisons de la ville de Saint-Pierre (Martinique) &#8211; Temples tamouls des Casernes à Saint-Pierre et du Gol à Saint-Louis (La Réunion) &#8211; Phare de l’île aux Marins (Saint-Pierre-et-Miquelon) Ces sites prioritaires bénéficieront d’un soutien financier via les jeux « Mission Patrimoine » portés par la Française des jeux : un tirage du Super loto aura lieu le 14 juillet 2019, et des tickets à gratter seront mis en vente à l’occasion des Journées européennes du patrimoine qui auront lieu les 21 et 22 septembre 2019. 100 nouveaux sites seront sélectionnés au cours du printemps (un par département et collectivité d’Outre-mer) et bénéficieront des jeux « Mission Patrimoine » en 2019. Photo : Ruines du château de l’Étenduère &#8211; Tux-Man &#8211; Wikimedia
Il y a 6 ans et 88 jours

6 fontaines lumineuses sur les Champs-Elysées un projet mené par les frères Bouroullec

Dès le 21 mars, 6 fontaines lumineuses de 13 mètres viendront entourer le rond-point des Champs-Elysées.  Ce sont les designers Ronan et Erwan Bourrollec qui sont chargés du projet. Pour cela, les frères Bourrollec ont décidé d&rsquo;allier bronze et aluminium (utilisé pour construire les hélices des sous-marins) ainsi que le cristal sur les branches lumineuses verticales. Illuminées par 43 822 Led, ls six nouvelles fontaines imaginées seront toutes identiques. Elles viendront succéder aux fontaines en verre réalisées par René Lalique en 1932 mais démontées et remplacées  par des copies en plastique en 1958 car jugées trop fragiles. Les fontaines Bouroullec s’élèveront donc au milieu des six bassins rénovés dessinés par Alphand, au XIXe siècle, en remplacement d’un jet d’eau central. Chaque fontaine tournera lentement sur elle-même grâce à 930 dents de pignons actionnées par une puissance électrique. Le projet a été financé par le mécénat privé par l&rsquo;intermédiaire du Fonds pour Paris. La maquette avait été approuvée en 2016 par la maire de Paris, Anne Hidalgo. ©Les fontaines des Champs Elysees, Iconographie, Ronan & Erwan Bouroullec &#8211; Studio-Bouroullec
Il y a 6 ans et 95 jours

Six fontaines lumineuses de 13 mètres bientôt installées sur les Champs-Elysées

Sur le rond-point des Champs-Elysées, six fontaines lumineuses en cristal et bronze de 13 mètres vont changer le visage d'un des plus célèbres carrefours au monde: les designers Erwan et Ronan Bouroullec ont opté pour la verticalité et la légèreté.
Il y a 6 ans et 96 jours

Six fontaines lumineuses de 13 mètres sur les Champs-Elysées

Six fontaines en cristal et bronze de 13 mètres de haut, oeuvres des designers Erwan et Ronan Bouroullec, vont être installées sur le rond-point des Champs-Elysées.
Il y a 6 ans et 97 jours

PRIX MPF " René Fontaine : Architecture et Patrimoine

Le prix "Architecture & Patrimoine" de Maisons Paysannes de France (MPF) couronne des travaux de réhabilitation, d'extension ou d&#8217;intégration d&#8217;un bâti contemporain. Jusqu'au 15 juin 2019. Les réalisations doivent être effectuées dans les règles de l'art selon l'esprit de l'association [&#8230;] L'article PRIX MPF " René Fontaine : Architecture et Patrimoine est apparu en premier sur Chroniques d&#039;architecture.
Il y a 6 ans et 130 jours

Sabine Marcelis : Shapes of Water

Afin de célébrer le dixième anniversaire de la participation de Fendi à la Design Miami Fair, le designer basé à Rotterdam (Pays-Bas) Sabine Marcelis imagine une série de dix fontaines inspirée de l'identité visuelle forte de la maison de luxe italienne. Le choix de la fontaine comme terrain d'expression n'est pas anodin pour Sabine Marcelis. En effet, Fendi entretien un rapport étroit avec l'eau depuis des années. En 1977, lorsque la marque présente sa première collection de prêt à porter, elle le fait par le biais d'un court métrage intitulé Histoire d'eau dans lequel on suit le parcours de Suzy Dyson, une jeune touriste en vacances à Rome. En 2013, la maison lance la Fendi for Fountains Iniative, une association ayant pour but la préservation des points d'eau de la ville éternelle. Enfin, en 2016, la marque fête ses 90 ans au travers d'un défilé présenté devant la célèbre fontaine de Trevi. Un intérêt prononcé donc pour une typologie emblématique de la capitale italienne qui inspire à la créatrice néerlandaise sa série " The Shapes of Water " présentée à Miami en décembre dernier. Réalisées à partir de blocs de résine coulée polis translucides, les sculptures de Marcelis alternent les tonalités chaudes, passant du jaune au rouge dans une palette élégante issue des modèles iconiques de la Maison de luxe. Installée sur des socles en travertin, les "uvres réinterprètent les codes propres à Fendi, comme le FF emblématique créé par Karl Lagarfeld en 1965 ou le sac Selleria dont le nom renvoie aux techniques de coutures utilisées par les anciens Romains pour fabriquer des selles. Un travail sculptural animé par la présence de l'eau qui s'écoule selon les parcours imaginés par Sabine Marcelis. Un hommage au caractère avant-gardiste de Fendi qui conjugue design, patrimoine et haute couture. Chapeau bas ! Pour en savoir plus, visitez le site de Sabine Marcelis Photographies : Carl Kleiner
Il y a 6 ans et 149 jours

Fontainebleau : un appel à projets pour réhabiliter la Grande Ecurie du Roi

MODERNISATION. L'Etablissement public du château de Fontainebleau lance un appel à projets pour rénover le quartier des Héronnières, l'ancienne Grande Ecurie du Roi bâtie sous le règne de Louis XV. Classée au titre des Monuments historiques, il s'agit de l'une des plus grandes dépendances du site, s'étalant sur 8 hectares.
Il y a 6 ans et 190 jours

ARBA- : Entre les murs

Entre les murs... Quèsaco ? La suite du film réalisé par Laurent Cantet et primé lors du Festival de Cannes en 2008 ? Que nenni ! Il s'agit d'une maison imaginée par l'agence d'architecture ARBA- en 2017 dans la commune de Thomery. Une réalisation un peu particulière, car implantée sur un terrain délimité " et découpé " par des murs de vignes avec lesquels les concepteurs ont dû composer... Lorsque leurs clients leur confient la mission de concevoir une maison familiale sur ce terrain situé à Thomery (77), petite commune en lisière de la forêt de Fontainebleau, les architectes Jean-Baptiste Barache et Sihem Lamine se trouvent confrontés à un dilemme un peu particulier. En effet, la ville est caractérisée par la présence de centaines de murs à vignes qui délimitent les propriétés des habitants. Jusque-là, rien de très complexe, sauf que la parcelle en question est justement traversée pile en son milieu par l'un de ces murets. " Beaucoup de la poétique du lieu venait de ce mur, de l'appareillage de la pierre. Il créait un écosystème autour de lui : générant de l'ombre, il emmagasinait des calories et les redonnait aux plantes grimpantes. Mais il dérangeait, divisant en deux un terrain que l'on aurait souhaité unitaire et ouvert ! ", témoignent Jean-Baptiste Barache et Sihem Lamine. Alors face à la magie émanant de cet héritage, les architectes s'interrogent : " Fallait-il le détruire et recréer du neuf ? Ou au mieux, réutiliser ses pierres ? Fallait-il garder cet objet intact, comme on l'a trouvé, le "respecter" comme on respecterait un arbre ou un objet de patrimoine ? Ces questions sont classiques pour les professionnels du Patrimoine, mais nous sommes des créateurs de "nouveau", et ce mur n'était pas un objet de patrimoine dans le sens classique du terme. " Par chance pour le mur à vignes, Jean-Baptiste Barache et Sihem Lamine ne sont pas que " des créateurs du nouveau ". Ils sont aussi des architectes sensibles. Aussi le duo choisit-il de conserver cet élément, qui n'est au final découpé qu'en son centre. La maison, elle, est construite en bois selon un plan carré, entre l'enceinte nord et le fameux mur, si bien qu'elle dispose de trois jardins indépendants : à l'est, au sud et à l'ouest. Autour du projet, une coursive facilite les déplacements des habitants et occupe le vide laissé entre les façades et des espaces extérieurs protégés des intempéries et contribue à occulter la limite dedans/dehors. À l'intérieur aussi, le bois est roi. " Les agencements et partitions intérieures sont réalisés en contre-plaqué de bouleau ", expliquent ainsi les maîtres d'"uvre. Au rez-de-jardin, la grande pièce de vie jouit d'une très belle et agréable hauteur sous plafond, grâce au percement d'un atrium central souligné par la présence du poêle et de son conduit. Dans les deux étages supérieurs, les pièces intimes donnent toutes sur ce vide, permettant aux occupants de rester toujours en contact. Dernier détail intéressant : les panneaux de contreventement des murs à ossature bois, d'habitude dissimulés, sont ici laissés apparents et simplement peints en blanc. Un bon moyen de faire rimer économie de budget et esthétisme... Pour en savoir plus, visitez le site de ARBA-  Photographies : Daniel Moulinet
Il y a 6 ans et 208 jours

Exposition : L'Art du Chantier

Assommant l'univers du chantier ? Rien n'est moins certain, à en croire la Cité de l'Architecture et du Patrimoine qui organise jusqu'au 11 mars 2019 une exposition non pas sur le chantier lui-même, mais sur ses représentations, qu'elles soient réalisées par des artistes, des organisations politiques, des architectes ou des ouvriers. De quoi changer d'opinion sur ce monde de bruits, d'outils et de gravats... Si le mot " chantier " ne vous évoque que vacarme de marteau-piqueur, camion en plein milieu de la rue, poussière et autres désagréments, rendez-vous vite à la Cité de l'Architecture et du Patrimoine (16e) pour découvrir l'exposition L'Art du Chantier, construire et démolir du 16e au 21e siècle. Imaginé par les commissaires Valérie Nègre et Marie-Hélène Contal, cet événement qui n'a pas pour ambition de raconter ce qu'est " ou était " un chantier, mais d'explorer les façons dont il a pu être représenté par les artistes comme par les entreprises ou même les artisans, modifiera à coup sûr votre perception de cet univers si singulier... SI le corpus ultra-riche composé de 433 "uvres présenté entre les murs de la Cité Chaillot vaut le détour, c'est pour plusieurs raisons. La première, et non des moindres, consiste à rappeler que ce moment si particulier dans la vie d'un projet constitue une source d'inspiration pour les artistes. Perçu comme un " spectacle de rue ", il fascine autant qu'il exaspère, faisant l'objet de portraits tantôt laudatifs, tantôt critiques. Mais plus intéressant encore, l'exposition révèle surtout en quoi la représentation du chantier " et par extension la communication qui l'entoure " est affaire de pouvoir. Valorisation du savoir-faire des artisans ; démonstration de force pour une entreprise visant à démontrer sa capacité à construire une tour de plusieurs dizaines d'étages en un temps record ; outil de revendications sociales pour les ouvriers ; objet de propagande instrumentalisé par certains partis ; média destiné à valoriser " si ce n'est faire accepter " une politique d'aménagement du territoire... Nombreux sont les exemples présentés démontrant à quel point le chantier représente, pour celui qui en dresse le tableau, un moyen efficace de défendre son propos. Au-delà de cette dimension méta-politique, l'événement est aussi l'occasion pour le visiteur de découvrir certains aspects méconnus du chantier si souvent " interdit au public " : de comprendre qu'il est pour les ingénieurs et les entreprises un lieu d'expérimentation, pour les architectes en herbe un moment d'apprentissage, et, pour certains visiteurs inopinés " enfants, errants, prostitués, etc. " un point de rendez-vous ! Quoi qu'appréciable, ce petit plus est aussi le petit moins de l'exposition, donnant l'impression que celle-ci perd de vue son propre sujet, glissant de la représentation du chantier à sa réalité. Mais ce désagrément reste minime... Alors n'hésitez plus, enfilez vos bottes, votre casque et filez à la Cité de l'Architecture et du Patrimoine découvrir L'Art du Chantier ! Pour en savoir plus, visitez le site de la Cité de l'Architecture et du Patrimoine  Photographie et illustrations : 1) Eugène de Salignac, Peintres suspendus aux câbles du pont de Brooklyn, 7-10-1914© New York City Municipal Archives2) Knickerbocker Photo Service, L'Empire State Building en construction, 1930© Avery Architectural&Fine Arts Library, Columbia University3) Alphonse Terpereau, Le viaduc de Gabarit, état des travaux le 6 avril 1884 7© Musée d'Orsay, Dist. RMN-GP Alexis Brandt4) Bureau de John Soane, Vue de la salle de l'infirmerie de l'Hôpital Royal de Chelsea en construction, 1809© Sir John Soane's MuseumPh. Geremy Butler5) Fernand Léger, Les Constructeurs à l'aloès, 1951. Tapisserie tissée par les ateliers Pinton Frères© RMN-GP (musée F. Léger)-G.Blot - Adagp, Paris, 20186) Henri Rivière, Ouvrier plombier sur la tour. Les Trente-six vues de la Tour Eiffel, entre 1888 et 1902© RMN-GP (musée d'Orsay)-R-G Ojéda - Adagp, Paris, 20187) Lewis Wickes Hine, Icare, tout en haut de l'Empire State, 1931© The New York Public Library8) B. Descamps, Badauds regardant par le trou d'une palissade du chantier du forum des Halles, devant la fontaine des Innocents, 1979© BHVP-Parisienne de Photo9) Michel Delaporte, Le replatrage dans La caricature morale, politique et littéraire10) Achille Beltrame, Mussolini lance le chantier de la via dei Fori11) Tu es syndiqué. Pourquoi n'est-tu pas coopérateur, vers 193512) Mise en charge d'une dalle-champignon en ciment© Felix Candela architectural records and papers, 1950-1984, Avery Architectural & Fine Arts Library, Columbia University13) Alain Bublex, Plug-in City, Expérience monumentale, 2003 © C. Pompidou MNAM-CCI Dist. RMN-GP© Adagp, Paris, 201814) " En remerciement à Notre-Dame-de-Laghet. 17.12.26 Menardo Geoffroy ", 192715) " Ex voto. Ma. Sig. Staudo dentro nel cortile successo il 18 aprile venerdi santo 1851. Paolo Tibaud. Malero Modesto. Fortune Viegi ", 1851
Il y a 6 ans et 221 jours

S'il n'y a plus de pétrole dans la fontaine, Vincent Chapal a des idées

A Gabian (Hérault), un enseignant et un architecte ont découvert une étonnante fontaine à pétrole du XVIIIe siècle. Un ouvrage si incroyable qu'il fut restauré par la Communauté de communes des Avant-Monts, maître d'ouvrage, à fin de valorisation touristique, à [&#8230;] L'article S'il n'y a plus de pétrole dans la fontaine, Vincent Chapal a des idées est apparu en premier sur Chroniques d&#039;Architecture.
Il y a 6 ans et 222 jours

Dante " Goods and Bads : Affection Sérieuse

Une histoire d'amour, avec un grand A, le travail du designer ? Avec ou sans majuscule, c'est en tout cas la piste explorée l'équipe de créateurs de la maison Dante " Goods and Bads pour leur collection 2018/2019. Une ligne épurée qui témoigne de la relation qu'entretiennent les artistes avec leurs réalisations, sans chichi ni eau de rose : en deux mots, une Affection Sérieuse. À la fois irréprochable et insolent, l'éditeur de design Dante " Goods and Bads fait partie de ces maisons montantes qui nous rappellent l'audace des premiers de la classe, petits génies humbles en même temps si talentueux que leur travail exaspère autant qu'il fascine. Une réaction ambivalente qui, quand on y réfléchit un peu, n'a rien de très surprenant, puisque le duo fondateur formé par Aylin Langreuter et Christophe de la Fontaine s'amuse à jouer des paradoxes. Elle est artiste ; il est designer industriel ; ensemble, ils éditent leurs propres produits là où d'autres font appel à une société extérieure, suscitant indifféremment exaltation comme rejet à travers chacune de leurs pièces de mobilier. Dernière-née de Dante " Goods and Bads, Affection Sérieuse est une exploration du " mécanisme de création lui-même, et du réseau d'émotions qui l'accompagne. (...) C'est un processus marqué par la séparation, par la suppression du superflu. (...) C'est envoyer nos courageux petits objets dans le grand monde et les laisser se défendre seuls ", expliquent les concepteurs pour raconter la vingtaine de paravent, miroir ou encore desserte qui composent la collection. Une quête de l'essentiel non sans élégance et qu'il est possible de découvrir jusqu'au 18 novembre au Luxembourg dans la boutique Paul Smith, qui a accepté " d'adopter " les créations de l'équipe menée par Aylin Langreuter et Christophe de la Fontaine dans le cadre de la biennale Design City. Enième preuve que Dante n'a pas fini de nous surprendre, (pour l'instant) en bien, comme (un jour peut-être) en mal... Pour en savoir plus, visitez le site de Dante " Goods and Bads et de Design City  Photographies : Katarina ?irkovi?
Il y a 6 ans et 241 jours

La 10 millionième tuile Saint Vincent sur le toit de la chapelle de Gaillefontaine (76)

Wienerberger France met en valeur La Maison Dupuis, artisan couvreur du patrimoine depuis 1983 à Cailly (76), pour la pose de la 10 millionième tuile Saint Vincent de la marque Aléonard. Celle-ci a été posée dans le cadre de la rénovation de la toiture de la chapelle de Gaillefontaine datant du XIIème siècle.
Il y a 6 ans et 260 jours

Paris verdit ses cours d'école pour lutter contre le réchauffement climatique

Une fontaine où boivent les enfants, des arbres en pleine terre, un revêtement drainant à la place de l'asphalte noir dans la cour: l'école maternelle Daumesnil fait partie des trois établissements pilotes à Paris rénovés pour s'adapter au réchauffement climatique et aux canicules à venir.
Il y a 6 ans et 276 jours

Arthur Hoffner : Le cours de l'eau

À tous les amoureux de design : rendez-vous jusqu'au 30 septembre à la Villa Noailles de Hyères (83), demeure moderniste s'il en est, aujourd'hui devenue un centre d'art. Dans ce lieu situé depuis ses origines à l'avant-garde de l'art par ses commanditaires et mécènes Charles et Marie-Laure de Noailles, venez découvrir les fontaines du jeune designer Arthur Hoffner exposées à l'occasion du festival de la Design Parade 2018. Un hommage aux passionnés d'art qu'étaient les Noailles. Et dire que la Villa Noailles, édifiée entre 1924 et 1934 par l'architecte Robert Mallet-Stevens, n'était plus qu'une ruine lorsque, à la fin des années 1980, cette belle endormie de 1 800 mètres carrés retrouve enfin sa splendeur passée grâce à de longs travaux de restauration, avant d'être classée au Monument historique puis de devenir un centre d'art et une résidence d'artistes.Entre ces murs blancs avec une vue à couper le souffle sur la Méditerranée, des personnalités telles que Jean Cocteau, André Gide, Pablo Picasso, Salvador Dalí, Luis Buñuel se sont ainsi succédées. L'on imagine alors aisément l'animation qui régnait en ces lieux. Un joyeux bordel et une effervescence créatrice qui semblent encore vibrer dans ces vastes pièces fonctionnalistes et à l'orée de ses jardins cubistes. Un terrain de jeu rêvé pour ces hôtes de choix et les propriétaires de la demeure, le Vicomte de Noailles et sa femme Marie-Laure, riche héritière du cru. Mais voilà, la séparation du couple, suivie du décès de l'iconique maîtresse des lieux en 1970, signent la fin de plusieurs décennies d'émulation intellectuelle et artistique, aux allures de happenings longue durée.Heureusement, grâce au rachat de la maison par la Municipalité et à l'investissement de passionnés, la ruine retrouve son vaste d'antan et son âme d'enfant. Dans la lignée instaurée par les Noailles : place à la jeune création, donc ! Elle accueille ainsi le Festival international des arts et de la mode à partir de 1986, puis un prix photo à partir de 1997, et enfin la Design Parade en 2006, sous la houlette et l'"il rieur de l'enfant du pays : Jean-Pierre Blanc, directeur de l'institution.Fidèle à son histoire et à sa réputation de dénicheur de talents, cet édifice-paquebot accueille depuis le 28 juin la 13e édition de la Design Parade, festival international de design dirigé par Jean-Pierre Blanc et présidé par Pascale Mussard " fondatrice de Petit h, atelier-laboratoire de la marque Hermès. Quatre jours durant lesquels le public et un jury d'experts emmené par le designer Philippe Malouin, ont pu prendre le pouls de la création de demain. Au premier niveau de cette maison d'anthologie : zoom sur les réalisations du vainqueur du Prix du public et de la Ville de Hyères 2017, Arthur Hoffner, et ses fontaines iconoclastes issues d'assemblages de matériaux que la bienséance nous empêcherait presque d'imaginer ensemble, et pourtant !En somme, un retour aux sources pour Arthur Hoffner, ici sur la terre des Noailles qui avait honoré son travail un an auparavant. Dans un espace en L, l'exposition " Le cours de l'eau " nous présente sur des estrades un univers onirique où flottent entonnoirs, tuyaux en plastique ou métal, scie et adhésif ; où matières nobles et ordinaires se mêlent sur fond rose et blanc. Une réécriture décomplexée, un brin malicieuse, voire ironique, de la figure millénaire de la fontaine, qui a inspiré de nombreuses légendes à travers les siècles. " On aimerait découvrir un mythe des passages avec une source légendaire, écrit Walter Benjamin [dans l'ouvrage Paris, capitale du XIXe siècle], une source d'asphalte qui jaillirait au c"ur de Paris. Les brasseries, où la bière coule à flots, tirent leur existence de ce mythe des fontaines ", cite alors l'artiste. Ses associations culotées sont si abouties que la Villa vient de faire l'acquisition de l'une de ses pièces " mêlant bois, marbre, PVC et corde ", qui trône dorénavant dans l'une des cours de la demeure.Finalement, une manière de faire perdurer la légende ! " Le cours de l'eau ", Arthur Hoffner, Villa Noailles, Hyères (83), jusqu'au 30 septembre 2018 Pour en savoir plus, visitez le site de la Design Parade Hyères Photographies : Lothaire Hucki © villa Noailles, 2018
Il y a 6 ans et 276 jours

Arthur Hoffner : Le cours de l'eau

À tous les amoureux de design : rendez-vous jusqu'au 30 septembre à la Villa Noailles de Hyères (83), demeure moderniste s'il en est, aujourd'hui devenue un centre d'art. Dans ce lieu situé depuis ses origines à l'avant-garde de l'art par ses commanditaires et mécènes Charles et Marie-Laure de Noailles, venez découvrir les fontaines du jeune designer Arthur Hoffner exposées à l'occasion du festival de la Design Parade 2018. Un hommage aux passionnés d'art qu'étaient les Noailles. Et dire que la Villa Noailles, édifiée entre 1924 et 1934 par l'architecte Robert Mallet-Stevens, n'était plus qu'une ruine lorsque, à la fin des années 1980, cette belle endormie de 1 800 mètres carrés retrouve enfin sa splendeur passée grâce à de longs travaux de restauration, avant d'être classée au Monument historique puis de devenir un centre d'art et une résidence d'artistes.Entre ces murs blancs avec une vue à couper le souffle sur la Méditerranée, des personnalités telles que Jean Cocteau, André Gide, Pablo Picasso, Salvador Dalí, Luis Buñuel se sont ainsi succédées. L'on imagine alors aisément l'animation qui régnait en ces lieux. Un joyeux bordel et une effervescence créatrice qui semblent encore vibrer dans ces vastes pièces fonctionnalistes et à l'orée de ses jardins cubistes. Un terrain de jeu rêvé pour ces hôtes de choix et les propriétaires de la demeure, le Vicomte de Noailles et sa femme Marie-Laure, riche héritière du cru. Mais voilà, la séparation du couple, suivie du décès de l'iconique maîtresse des lieux en 1970, signent la fin de plusieurs décennies d'émulation intellectuelle et artistique, aux allures de happenings longue durée.Heureusement, grâce au rachat de la maison par la Municipalité et à l'investissement de passionnés, la ruine retrouve son vaste d'antan et son âme d'enfant. Dans la lignée instaurée par les Noailles : place à la jeune création, donc ! Elle accueille ainsi le Festival international des arts et de la mode à partir de 1986, puis un prix photo à partir de 1997, et enfin la Design Parade en 2006, sous la houlette et l'"il rieur de l'enfant du pays : Jean-Pierre Blanc, directeur de l'institution.Fidèle à son histoire et à sa réputation de dénicheur de talents, cet édifice-paquebot accueille depuis le 28 juin la 13e édition de la Design Parade, festival international de design dirigé par Jean-Pierre Blanc et présidé par Pascale Mussard " fondatrice de Petit h, atelier-laboratoire de la marque Hermès. Quatre jours durant lesquels le public et un jury d'experts emmené par le designer Philippe Malouin, ont pu prendre le pouls de la création de demain. Au premier niveau de cette maison d'anthologie : zoom sur les réalisations du vainqueur du Prix du public et de la Ville de Hyères 2017, Arthur Hoffner, et ses fontaines iconoclastes issues d'assemblages de matériaux que la bienséance nous empêcherait presque d'imaginer ensemble, et pourtant !En somme, un retour aux sources pour Arthur Hoffner, ici sur la terre des Noailles qui avait honoré son travail un an auparavant. Dans un espace en L, l'exposition " Le cours de l'eau " nous présente sur des estrades un univers onirique où flottent entonnoirs, tuyaux en plastique ou métal, scie et adhésif ; où matières nobles et ordinaires se mêlent sur fond rose et blanc. Une réécriture décomplexée, un brin malicieuse, voire ironique, de la figure millénaire de la fontaine, qui a inspiré de nombreuses légendes à travers les siècles. " On aimerait découvrir un mythe des passages avec une source légendaire, écrit Walter Benjamin [dans l'ouvrage Paris, capitale du XIXe siècle], une source d'asphalte qui jaillirait au c"ur de Paris. Les brasseries, où la bière coule à flots, tirent leur existence de ce mythe des fontaines ", cite alors l'artiste. Ses associations culotées sont si abouties que la Villa vient de faire l'acquisition de l'une de ses pièces " mêlant bois, marbre, PVC et corde ", qui trône dorénavant dans l'une des cours de la demeure.Finalement, une manière de faire perdurer la légende ! " Le cours de l'eau ", Arthur Hoffner, Villa Noailles, Hyères (83), jusqu'au 30 septembre 2018 Pour en savoir plus, visitez le site de la Design Parade Hyères Photographies : Lothaire Hucki © villa Noailles, 2018
Il y a 6 ans et 283 jours

" L'avenir des paysages, nouveaux rapports entre l'humain et la nature "

Les jeudi 30 et vendredi 31 août 2018, la communauté internationale des acteurs de la protection de la nature se retrouve à Fontainebleau pour le 70ème anniversaire de l'Union Internationale de la Conservation de la Nature.
Il y a 6 ans et 331 jours

Événement : Design Parade Hyères 2018

À tous les amoureux de design : rendez-vous jusqu'au 30 septembre à la Villa Noailles de Hyères (83), demeure moderniste s'il en est, aujourd'hui devenue un centre d'art. Dans ce lieu situé depuis ses origines à l'avant-garde de l'art par ses commanditaires et mécènes Charles et Marie-Laure de Noailles, venez découvrir le festival de la Design Parade 2018. Une ode à la discipline et un hommage aux passionnés d'art qu'étaient les Noailles. Et dire que la Villa Noailles, édifiée entre 1924 et 1934 par l'architecte Robert Mallet-Stevens, n'était plus qu'une ruine lorsque, à la fin des années 1980, cette belle endormie de 1 800 mètres carrés retrouve enfin sa splendeur passée grâce à de longs travaux de restauration. La vaste demeure, entre-temps classée au Monument historique, devient alors un centre d'art et une résidence d'artistes.Entre ces murs blancs avec une vue à couper le souffle sur la Méditerranée, des personnalités telles que Jean Cocteau, André Gide, Pablo Picasso, Salvador Dalí, Luis Buñuel se sont ainsi succédées. L'on imagine alors aisément l'animation qui régnait en ces lieux. Un joyeux bordel et une effervescence créatrice qui semblent encore vibrer dans ces vastes pièces fonctionnalistes et à l'orée de ses jardins cubistes. Un terrain de jeu rêvé pour ces hôtes de choix et les propriétaires de la demeure, le Vicomte de Noailles et sa femme Marie-Laure, riche héritière du cru. Mais voilà, la séparation du couple, suivie du décès de l'iconique maîtresse des lieux en 1970, signent la fin de plusieurs décennies d'émulation intellectuelle et artistique, aux allures de happenings longue durée. Heureusement, grâce au rachat de la maison par la Municipalité et à l'investissement de passionnés, la ruine retrouve son vaste d'antan et son âme d'enfant. Dans la lignée instaurée par les Noailles : place à la jeune création, donc ! Elle accueille ainsi le Festival international des arts et de la mode à partir de 1986, puis un prix photo à partir de 1997, et enfin la Design Parade en 2006, sous la houlette et l'"il rieur de l'enfant du pays : Jean-Pierre Blanc, directeur de l'institution. Fidèle à son histoire et à sa réputation de dénicheur de talents, cet édifice-paquebot a accueilli du 28 juin au 1 juillet pour sa 13e année consécutive, la Design Parade, festival international de design dirigé par Jean-Pierre Blanc et présidé par Pascale Mussard " fondatrice de Petit h, atelier-laboratoire de la marque Hermès. Quatre jours durant lesquels le public et un jury d'experts emmené par le designer Philippe Malouin, ont pu prendre le pouls de la création de demain. . Parmi les dix designers présélectionnés sur dossier, celui-ci a eu la tâche ardue d'élire un Grand prix et de décerner une mention spéciale, accompagnés de dotations émanant des partenaires de l'événement. La première récompense revient à la Portugaise Sara de Campos (1989), avec l'ergonomique Uva " " raisin " en portugais ", un panier fonctionnel dédié à la récolte des grappes, inspiré de ses racines familiales viticoles ; la seconde salue une démarche toute autre, anthropologique cette fois, celle des designers américains Alex Sizemore (1995) et Hank Beyer (1994), partis durant une année à la découverte de savoir-faire locaux aux États-Unis. Les deux compères sont en effet revenus de ce périple initiatique avec un constat tout à fait différent de celui escompté : l'uniformisation des produits de masse. Une douche froide qu'ils racontent avec humour dans leur série For the rest of us, détournant l'objet qui ,selon eux, est la représentation archétypale de la mondialisation : l'ordinateur, parodié ici en cire, terre ou encore charbon. Un truchement qui nous rappelle, à nous consommateurs, que le produit n'a aujourd'hui plus rien de naturel. La distinction du public revient quant à elle aux jeunes Camille Viallet (1992) et Théo Leclercq (1991) qui interrogent la place du meuble dans l'espace public dans leur projet nommé La Cité. Une terminologie qui fait écho au sens premier du terme, celui de communauté, et qui réunit sous cette bannière des croquis de mobilier urbain et un prototype de banc à l'échelle 1:1 nommé Exèdre " une référence aux salles antiques semi-circulaires dotées de sièges. La revue hollandaise Frame a pour sa part auréolé la collection Bone du Canadien Loïc Bard de sa mention spéciale " Eye on talents " " par ailleurs coup de c"ur de la rédaction de Muuuz. Un ensemble sensuel tout en rondeurs, composé de bancs, chaises et tabourets en érable blanchi ou brûlé par les soins de l'ébéniste devenu designer, d'où aucune aspérité ne point. L'occasion également d'exposer d'anciennes jeunes pousses repérées lors de précédentes éditions de la Design Parade, notamment le travail de Philippe Malouin (1980), au travers d'une rétrospective exposée dans l'ancienne piscine de la Villa revenant sur ses 10 ans de carrière. Les spectateurs auront également le plaisir de découvrir la synthèse de la résidence d'artistes de Carolien Niebling, Grand Prix de l'édition 2017, à la manufacture de Sèvres (92) et au Cirva (Centre international de recherche sur le verre et les arts plastiques), par le biais d'un hommage aux plantes aquatiques prenant la forme de plats et de vases. Au premier niveau de cette maison d'anthologie : zoom sur le travail d'un autre vainqueur, Arthur Hoffner, et ses fontaines iconoclastes issues d'assemblages de matériaux que la bienséance nous empêcherait presque d'imaginer ensemble, et pourtant ! Ses objets sont si réussis que la Villa vient de faire l'acquisition de l'une de ses pièces mêlant bois, marbre, PVC et corde, qui trône dorénavant dans l'une des cours de la demeure. En somme, un retour... aux sources, pour cet ancien Prix du public et de la Ville de Hyères. Treize ans après sa fondation, la Villa Noailles assoie donc plus que jamais sa réputation de dénicheuse de talents. Il nous tarde déjà de venir y chiner les découvertes de la prochaine édition ! Design Parade, Villa Noailles, Hyères (83), jusqu'au 30 septembre 2018 Pour en savoir plus, visitez le site de la Design Parade Hyères Photographies :01) Membres du jury de la Design Parade Hyères 2018 (Philippe Malouin, Erwan Bouroullec, Felix Burrichter, Alexandra Cunningham Cameron, Maria-Cristina Didero, Marianne Goebl, Paul Johnson, Matylda Krzykowski, Livia Lauber et Carolien Niebling) - photo JPPM by Luc Bertrand02) La Cité, Camille Viallet & Theo Leclercq - photo JPPM by Luc Bertrand03) Les 10 designers présélectionnés aux concours de la Design Parade Hyères 2018 (Loïc Bard, Anaïs Borie, Tom Chung, Marie Cornil, Sara de Campos, Julien Manaira Alex Sizemore& Hank Beyer, Camille Viallet & Théo Leclercq et Alexandre Willaume) - photo JPPM by Luc Bertrand04) Grand Prix Design Parade Hyeres : Uva, Sara de Campos - photo JPPM by Luc Bertrand05) Portrait Sara de Campos - photo JPPM by Emile Kirsch06) Grand Prix Design Parade Hyeres : Uva, Sara de Campos - photo JPPM by Luc Bertrand07) Mention spéciale du jury : For the rest of us, Alex Sizemore & Hank Beyer08) Portrait Alex Sizemore & Hank Beyer - photo JPPM by Emile Kirsch09) Mention spéciale du jury : For the rest of us, Alex Sizemore & Hank Beyer - photo JPPM by Luc Bertrand10) Prix du public Design Parade Hyères : La Cité, Camille Viallet & Théo Leclercq11) Portrait Camille Viallet et Theo Leclercq - photo JPPM by Emile Kirsch12) Prix du public Design Parade Hyères : La Cité, Camille Viallet & Théo Leclercq - photo JPPM by Luc Bertrand13) Prix du public Design Parade Hyères : Exèdre, Camille Viallet & Théo Leclercq - photo JPPM by Luc Bertrand14) Mention " Eyes on talents x Frame " Design Parade Hyères : Barn, Loic Bard15) Portrait Loic BARD - photo JPPM by Emile Kirsch16) Mention " Eyes on talents x Frame " Design Parade Hyères : Barn, Loic Bard - photo JPPM by Luc Bertrand17) Rétrospective, Philippe Malouin, photo Lothaire Hucki © villa Noailles, 201818) Rétrospective, Philippe Malouin, photo Lothaire Hucki © villa Noailles, 201819) La beauté des plantes aquatiques, Carolien Niebling, photo Lothaire Hucki © villa Noailles, 201820) Le cours de l'eau, Arthur Hoffner, photo Lothaire Hucki © villa Noailles, 2018
Il y a 6 ans et 331 jours

Événement : Design Parade Hyères 2018

À tous les amoureux de design : rendez-vous jusqu'au 30 septembre à la Villa Noailles de Hyères (83), demeure moderniste s'il en est, aujourd'hui devenue un centre d'art. Dans ce lieu situé depuis ses origines à l'avant-garde de l'art par ses commanditaires Charles et Marie-Laure de Noailles, venez découvrir le festival de la Design Parade 2018 et ses sélections. Une ode à la discipline et un hommage aux mécènes qu'étaient les Noailles. Et dire que la Villa Noailles, édifiée entre 1924 et 1934 par l'architecte Robert Mallet-Stevens, n'était plus qu'une ruine lorsque, à la fin des années 1980, cette belle endormie de 1 800 mètres carrés retrouve enfin sa splendeur passée grâce à de longs travaux de restauration. La vaste demeure, entre-temps classée au Monument historique, devient alors un centre d'art et une résidence d'artistes. Entre ces murs blancs avec une vue à couper le souffle sur la Méditerranée, des personnalités telles que Jean Cocteau, André Gide, Pablo Picasso, Salvador Dalí, Luis Buñuel s'y sont ainsi succédées. L'on imagine alors aisément l'animation qui régnait en ces lieux. Un joyeux bordel et une effervescence créatrice qui semblent encore vibrer dans ces vastes pièces fonctionnalistes et à l'orée de ses jardins cubistes. Un terrain de jeu rêvé pour ces hôtes de choix et les propriétaires de la demeure, le Vicomte de Noailles et sa femme Marie-Laure, riche héritière du cru. Mais voilà, la séparation du couple, suivie du décès de l'iconique maîtresse des lieux en 1970, signent la fin de plusieurs décennies d'émulation intellectuelle et artistique, aux allures de happenings longue durée.Heureusement, grâce au rachat de la maison par la Municipalité et à l'investissement de passionnés, la ruine retrouve son vaste d'antan et son âme d'enfant. Dans la lignée instaurée par les Noailles : place à la jeune création, donc ! Elle accueille ainsi le Festival international des arts et de la mode à partir de 1986, puis un prix photo à partir de 1997, et enfin la Design Parade en 2006, sous la houlette et l'"il rieur de l'enfant du pays : Jean-Pierre Blanc, directeur de l'institution. Fidèle à son histoire et à sa réputation de dénicheur de talents, cet édifice-paquebot a accueilli du 28 juin au 1 juillet pour sa 13e année consécutive, la Design Parade, festival international de design dirigé par Jean-Pierre Blanc et présidé par Pascale Mussard " fondatrice de Petit h, atelier-laboratoire de la marque Hermès. Quatre jours durant lesquels le public et un jury d'experts emmené par le designer Philippe Malouin, ont pu prendre le pouls de la création de demain. Parmi les dix designers présélectionnés sur dossier, ils ont eu la tâche ardue d'élire un Grand prix et de décerner une mention spéciale, tous deux ayant reçu différentes dotations émanant des partenaires de l'événement. Le premier revient à la Portugaise Sara de Campos (1989), avec l'ergonomique Uva " " raisin " en portugais ", un panier fonctionnel dédié à la récolte du raisin, inspiré de ses racines familiales viticoles ; le second salue une démarche toute autre, anthropologique cette fois, celle des designers américains Alex Sizemore (1995) et Hank Beyer (1994). Ces derniers, partis durant une année à la découverte de savoir-faire locaux aux États-Unis sont en effet revenus de ce périple initiatique avec un constat tout à fait différent de celui escompté : l'uniformisation des produits de masse. Une douche froide qu'ils racontent avec humour dans leur série For the rest of us, détournant l'objet qui selon eux est la représentation archétypale de la mondialisation, l'ordinateur, parodié ici en cire, terre ou encore charbon ; un truchement qui nous rappelle, à nous consommateurs, que le produit n'a aujourd'hui plus rien de naturel. La distinction du public revient quant à elle aux jeunes Camille Viallet (1992) et Théo Leclercq (1991) qui interrogent pour leur part la place du meuble dans l'espace public dans leur projet nommé La Cité. Une terminologie qui fait écho au sens premier du terme, celui de communauté, et qui réunit sous cette bannière des croquis de mobilier urbain et un prototype de banc à l'échelle 1:1 nommé Exèdre " une référence aux salles antiques semi-circulaires dotées de sièges. La revue hollandaise Frame a pour sa part auréolé la collection Bone du Canadien Loïc Bard de sa mention spéciale " Eye on talents ", " par ailleurs coup de c"ur de la rédaction de Muuuz. Un ensemble sensuel tout en rondeurs composé de bancs, chaises et tabourets en érable blanchi ou brûlé par les soins de l'ébéniste devenu designer, d'où aucune aspérité ne point. L'occasion également d'exposer d'anciennes jeunes pousses repérées lors de précédentes éditions de la Design Parade, notamment le travail de Philippe Malouin (1980), au travers d'une rétrospective revenant sur ses 10 ans de carrière, exposée dans l'ancienne piscine de la Villa. Les spectateurs auront par ailleurs le plaisir de découvrir la synthèse de la résidence d'artistes de Carolien Niebling, Grand Prix de l'édition 2017, à la manufacture de Sèvres (92) et au Cirva (Centre international de recherche sur le verre et les arts plastiques), par le biais d'un hommage aux plantes aquatiques prenant la forme de plats et de vases. Retour sur le travail d'un autre vainqueur : Arthur Hoffner et ses fontaines iconoclastes issues d'assemblages de matériaux que la bienséance nous empêcherait presque d'imaginer ensemble, et pourtant ! Ses objets sont si réussis que la Villa Noailles vient de faire l'acquisition de l'une de ses pièces mêlant bois, marbre, PVC et corde, qui trône dorénavant dans l'une des cours de la demeure. En somme, un retour... aux sources, pour cet ancien Prix du public et de la Ville de Hyères. Treize ans après sa fondation, la Villa Noailles assoie donc plus que jamais sa réputation de dénicheuse de talents. Il nous tarde déjà de venir y chiner les découvertes de la prochaine édition ! Design Parade, Villa Noailles, Hyères (83), jusqu'au 30 septembre Pour en savoir plus, visitez le site de la Design Parade Hyères Photographies :01) Membres du jury de la Design Parade Hyères 2018 (Philippe Malouin, Erwan Bouroullec, Felix Burrichter, Alexandra Cunningham Cameron, Maria-Cristina Didero, Marianne Goebl, Paul Johnson, Matylda Krzykowski, Livia Lauber et Carolien Niebling) - photo JPPM by Luc Bertrand02) La Cité, Camille Viallet & Theo Leclercq - photo JPPM by Luc Bertrand03) Les 10 designers présélectionnés aux concours de la Design Parade Hyères 2018 (Loïc Bard, Anaïs Borie, Tom Chung, Marie Cornil, Sara de Campos, Julien Manaira Alex Sizemore& Hank Beyer, Camille Viallet & Théo Leclercq et Alexandre Willaume) - photo JPPM by Luc Bertrand04) Grand Prix Design Parade Hyeres : Uva, Sara de Campos - photo JPPM by Luc Bertrand05) Portrait Sara de Campos - photo JPPM by Emile Kirsch06) Grand Prix Design Parade Hyeres : Uva, Sara de Campos - photo JPPM by Luc Bertrand07) Mention spéciale du jury : For the rest of us, Alex Sizemore & Hank Beyer08) Portrait Alex Sizemore & Hank Beyer - photo JPPM by Emile Kirsch09) Mention spéciale du jury : For the rest of us, Alex Sizemore & Hank Beyer - photo JPPM by Luc Bertrand10) Prix du public Design Parade Hyères : La Cité, Camille Viallet & Théo Leclercq11) Portrait Camille Viallet et Theo Leclercq - photo JPPM by Emile Kirsch12) Prix du public Design Parade Hyères : La Cité, Camille Viallet & Théo Leclercq - photo JPPM by Luc Bertrand13) Prix du public Design Parade Hyères : Exèdre, Camille Viallet & Théo Leclercq - photo JPPM by Luc Bertrand14) Mention " Eyes on talents x Frame " Design Parade Hyères : Barn, Loic Bard15) Portrait Loic BARD - photo JPPM by Emile Kirsch16) Mention " Eyes on talents x Frame " Design Parade Hyères : Barn, Loic Bard - photo JPPM by Luc Bertrand17) Rétrospective, Philippe Malouin, photo Lothaire Hucki © villa Noailles, 201818) Rétrospective, Philippe Malouin, photo Lothaire Hucki © villa Noailles, 201819) La beauté des plantes aquatiques, Carolien Niebling, photo Lothaire Hucki © villa Noailles, 201820) Le cours de l'eau, Arthur Hoffner, photo Lothaire Hucki © villa Noailles, 2018
Il y a 7 ans et 23 jours

PRO URBA : Collection design de mobilier urbain

Éditeur, distributeur et installateur de jeux, d'équipements sportifs, de sols et de mobilier urbain, Pro Urba est un aménageur global d'espaces personnalisés. Pour l'édition 2018 de Materials & Light, le fabricant de mobilier City Design est mis à l'honneur Précurseur de tendances depuis 40 ans, Pro Urba est un acteur essentiel du marché du jeu et du mobilier urbain, ayant largement participé à son évolution en apportant des idées, des produits et des innovations disruptives. Vecteurs de lien social, les espaces urbains sont des lieux essentiels dans la ville d'aujourd'hui, au même titre que les espaces sportifs ou les aires de jeux. Grâce à sa large gamme de mobiliers, Pro Urba aide à aménager des espaces de vie et de partage, adaptés au lieu et à chaque contexte : profiter du soleil, surveiller ses enfants, se retrouver entre amis ou pique-niquer ensemble...Pour répondre plus spécifiquement aux attentes de ses clients et prescripteurs, Pro Urba est doté d'un bureau d'études interne, exercé à proposer une réflexion globale à partir d'une simple idée ou d'un fil conducteur : ce pôle " design & création " aide à la conception de l'univers souhaité et fournit, pour sa réalisation, des rendus détaillés et personnalisés : CAO, DAO et conception 3D.En outre, des équipes fiables et expérimentées, présentes sur toute la France, assurent un service de proximité efficace. À travers ce maillage, Pro Urba diffuse son savoir-faire et son expertise technique, garantissant qualité, sécurité et réactivité. Toujours à l'affût des tendances, Pro Urba aime se réinventer en permanence. Ses gammes de produits sont sélectionnées selon des critères de pertinence et d'originalité pour permettre de créer des lieux uniques et attractifs. Adaptés à leur environnement et à l'évolution des modes de vie, ces produits innovants et qualitatifs, sont respectueux des préoccupations écologiques.Les sols de sécurité amortissants sont également des produits essentiels dans le cadre d'un aménagement global. Ils sont même, désormais, devenus des éléments de jeux autant que des éléments de sécurité indispensables. De toutes les couleurs, en relief ou à motifs, en gazon synthétique pour une meilleure intégration paysagère composés de copeaux de bois naturel pour un aspect champêtre, interactifs, animés de sons ou de flux lumineux... Pro Urba propose des solutions techniques multiples et esthétiques, pour que ce support allie récréatif, décoratif et sécurité. Chaque partenaire est ainsi choisi selon des critères d'originalité, ainsi que sur ses spécificités et son savoir-faire. Cette année, Pro Urba a choisi de présenter le fabricant de mobilier City Design.Ce fabricant italien est une marque historique dans le secteur du mobilier urbain. Le design exclusif de ses produits est inspiré par la nécessité d'allier exigences techniques et concordance avec l'environnement urbain. Les lignes de bancs et banquettes, tables, corbeilles, supports pour vélos, jardinières, fontaines.... sont destinées aux espaces publics et privés, collectivités et particuliers, pour des espaces couverts ou découverts. Des créations " spéciales ", sur-mesure, peuvent également être réalisées pour des projets de mobiliers urbains spécifiques où technicité et design sont indissociables. À PROPOS DE PRO URBAPro Urba maîtrise les marchés des jeux, équipements sportifs, sols et du mobilier urbain. Tous ses partenaires bois sont certifiés FSC et PEFC. La plupart des partenaires utilisant de l'inox sont certifiés ISO 14001, 9001 et 26000. D'un point de vue sécurité, tous les équipements sont conformes aux normes EN1176 (équipements d'aires de jeux), EN1177 (sols d'aires de jeux) et 99 610 (mobilier urbain). Pour assurer une qualité d'installation optimale, ses équipes sont constituées de techniciens qualifiés et régulièrement formés. Grâce à son rapprochement en 2011 avec la société Divers Cité, Pro Urba a étoffé sa gamme de produits et propose un service de proximité partout en France pour réaliser des aménagements uniques, de qualité et pérennes. Pour en savoir plus, visitez le site de Pro Urba Photographies/Illustrations :01-02) " Flow ", structure en acier galvanisé peint, assise en lattes de bois exotique. Existe en deux modèles. Design : Tilman Latz © AlexisToureau03) " Division ", poubelle à la structure en tôle d'acier galvanisé et thermolaqué avec récipient et option cendrier. L. 328 x l. 328 x H. 938 mm. Design : Mattia Li Pomi04) " Fola ", banc en tôle d'acier galvanisé et thermolaqué et assise en lattes de bois exotique ou mélèze, fixées sur une structure en acier. L. 1750 x l. 474 x H. 776 mm. Design : Massimo Tasca05) " Sein ", borne avec éclairage avec bande à LED en option. L. 405 x l. 404 x H. 436. Design : A. Tasca + Mattia Li Pomi06) " Duo ", collection de jardinières en tôle d'acier thermolaqué ou acier corten ou acier inoxydable, modulaire, avec pieds réglables. Design: Massimo Tasca
Il y a 7 ans et 23 jours

Ambiance Lumière : COMPOSE.IT

À l'occasion de cette quatrième édition de Materials & Light, Ambiance Lumière dévoile COMPOSE.IT, un nouveau concept de luminaire modulable qui s'intègre à tous les projets. La lumière dévoile sa part de magie lorsqu'elle est intégrée à l'architecture, lorsque l'effet lumineux est " ajusté " à l'élément à mettre en valeur, lorsque la source de lumière devient invisible et laisse place à l'éclairage. Pour cela, Ambiance Lumière conçoit des solutions adaptées à chaque besoin, respectant les contraintes techniques, et offrant l'effet lumineux souhaité. Cette année, Ambiance Lumière dévoile COMPOSE.IT, une véritable solution modulaire qui saura s'adapter à tous les projets, pour un résultat parfaitement homogène. Le luminaire est disponible en différentes configurations, de 1 à 7 diodes, et peut être installé en encastré, semi-encastré ou suspendu. Disponible sur une large plage de température de couleurs avec un indice de rendu supérieur à 90, un faisceau de 10 à 55° et une basse luminance pour un meilleur confort visuel. Les luminaires sont conçus dans des ateliers en France pour répondre à des besoins précis.Ambiance Lumière collabore au quotidien avec les architectes et concepteurs lumière. Forte de réalisations d'envergure comme les loges du Stade de France (Saint-Denis), Euronews (Lyon), le Futuroscope (Poitiers) ou le viaduc des Arts (Paris 12e), la société est également à l'origine de nombreuses innovations, comme les éclairages des nez de marches dans les salles de cinéma (1983), les plots de balisage à LED (1998) et les éclairages de fontaine.Un autre aspect de son métier est la flexibilité, pour faire gagner du temps d'installation. Elle propose donc des solutions et accessoires adaptés à chaque réalisation. C'est l'ADN de la société : proposer de créer un nouveau produit ou concept lumineux, un nouveau design, des dimensions particulières, un effet de lumière original. À PROPOS D'AMBIANCE LUMIÈREFabricant d'éclairage architectural depuis 1979 et basé à Alfortville (94), Ambiance Lumière propose des solutions pour l'intérieur et l'extérieur en s'appuyant sur des produits standard ou sur mesure. Ambiance Lumière réunit une équipe de spécialistes de l'éclairage à l'écoute des architectes pour la définition des produits selon les exigences de chacun et pour une satisfaction totale. Sur le plan technique, son bureau d'études travaille à l'écoute des tendances en intégrant les dernières technologies. Pour en savoir plus, visitez le site d'Ambiance Lumière Contact commercial :Tél. : +33 1 43 68 45 22contact@ambiance-lumiere.com Photographies :1) Chocolaterie, Paris, Architecte Lina Ghotmeh, Concepteurs Lumière Ph.A © Michel Labelle2) Loge Stade de France à Saint-Denis. Studio IÉNA Architecte © Epaillard+Machado3) Parvis de la médiathèque Les Fuseaux à Saint-Dizier, équipé de profilés Outo en inox. Agence Nicolas Michelin et Associés Architectes © DR4) Pour ce projet du Temple de la Boxe à Paris, le luminaire KALIE est décliné en longueurs sur mesure. Hors Limites architectes et Ph.A Concepteurs Lumière © DR5) Éclairage de la façade de la tour Greenelle à Paris, avec des cassettes surmoulées en acier intégrant une bande LED. Castro-Denissof Associés Architectes © H-A Ségalen6) COMPOSE.IT, concept de luminaire modulable de composé de 1 à 7 diodes
Il y a 7 ans et 36 jours

Pernod Ricard University, sinon rien !

Envie de changer d&rsquo;air ? À moins d&rsquo;un kilomètre du centre d&rsquo;entrainement de l&rsquo;équipe de France de football, à Clairefontaine, la Pernod Ricard University offre l&rsquo;assurance d&rsquo;un dépaysement aux entreprises. Un projet nommé au grand prix du SIMI 2017 et conçu par Cyril Durand-Behar Architectes.
Il y a 7 ans et 74 jours

Lyon fête ses 20 ans au patrimoine mondial de l'Unesco

Lyon a fêté le retour d&#39;un de ses monuments emblématiques, la fontaine Bartholdi, et présenté un projet de rénovation de son centre-ville, après les 20 ans de son inscription au patrimoine mondial de l&#39;Unesco.
Il y a 7 ans et 101 jours

Prix PMF René Fontaine " Architecture et Patrimoine

Maisons Paysannes de France et ses partenaires récompensent depuis 1985 des propriétaires passionnés pour la qualité de leurs travaux et pour des démarches qui méritent d'être reconnues et encouragées ! Jusqu'au 15 juin. Le prix "Architecture & Patrimoine" de Maisons [&#8230;] L'article Prix PMF René Fontaine " Architecture et Patrimoine est apparu en premier sur Chroniques d&#039;Architecture.
Il y a 7 ans et 106 jours

Sean Scully : San Cristóbal

Conçu en 1964 par l'architecte Luis Barragán, la villa Cuadra San Cristóbal (Mexique) est l'une des merveilles du mouvement moderniste présentes sur ce territoire. C'est entre ces murs aux couleurs vives que l'Irlandais Sean Scully expose jusqu'au 24 mars ses toiles et sculptures à l'expression chromatique tout aussi marquée que la demeure. Deux pratiques artistiques différentes qui semblaient être faites pour être réunies. Lors d'un premier voyage dans le berceau de la civilisation maya en 1983, Sean Scully est frappé par les nuances colorées des édifices et les lignes de composition de l'architecture vernaculaire. En découlera un ensemble d'aquarelles intégrées par la suite à sa série Wall of Light " achevée à la fin des années 1990 ", qui définira le style pictural de l'artiste, où alternent rayures et barres verticales et horizontales. Une région du monde qu'il affectionne tout particulièrement, où il n'exposera pourtant jamais. Un temps désormais révolu puisque, depuis le 5 février dernier, il présente ses "uvres au sein d'un des lieux artistiques emblématiques du XXe siècle : la Cuadra San Cristóbal, à Mexico. Écuries de l'ensemble de Los Cubles " comprenant également la demeure de la famille Egerstrom et la Fontaine des Amoureux ", l'édification de Luis Barragán combine avec brio expérimentations architecturales moderniste et symboliste. Caractérisé par de grandes parois en pierre peinte en rose vif, le site semble avoir été conçu pour accueillir la production du plasticien en son sein. " Sean a exposé des centaines de fois sur des murs blancs, des sols en béton, éclairés par des lumières crues. Quand on travaille avec un si grand artiste, il y a de la place pour être plus nuancé et faire des installations comme ça. " Oscar Humphries, commissaire de l'exposition Un mariage idéal enfin concrétisé et qui coïncide avec la 15e édition de Zona Maco, principale foire d'art contemporain mexicaine. L'occasion de découvrir quinze tableaux en aluminium et cuivre ainsi que trois statues en Corten ® et en acier peint dialoguant naturellement avec le lieu, de par leurs formes et leurs partis-pris esthétiques. Si les peintures sont installées dans les écuries et contrastent admirablement avec leur décor équestre authentique, les sculptures, quant à elles, prennent place dans la cour. Reflétant la linéarité du lieu, ces dernières s'amusent du jeu de vides et de pleins imaginé par l'architecte et complètent l'ensemble. Une exhibition solaire qui, grâce au dialogue entre architecture et art plastique, apparaît comme l'unification idéale des deux pratiques. Exposition " Sean Scully : San Cristobal ", jusqu'au 5 mars 2018 à Los Cubles, Mexico (Mexique) Pour en savoir plus, visitez le site de Sean Scully Photographies : DR
Il y a 7 ans et 119 jours

Démarrage des travaux de la 2ème phase du quartier de la Fontaine Margot à Brest

La seconde phase d'aménagement du quartier de la Fontaine Margot à Brest a débuté début janvier 2018, pour environ un an. Elle permettra de relier l'ensemble des logements existants et futurs au tout à l'égout, de réaliser le réseau principal de récupération des eaux usées du quartier, d'étendre le parc d'activités du Vern pour accueillir de nouvelles entreprises et d'aménager un deuxième secteur d'habitat pour environ 40 logements.
Il y a 7 ans et 185 jours

Snøhetta : Aesop

Entre l'agence norvégienne d'architecture Snøhetta et la marque de cosmétique australienne Aesop, c'est une véritable histoire d'amour qui a débuté quand la firme a confié au studio le soin de dessiner sa boutique d'Oslo (Norvège). Six autres magasins ont suivi. La dernière en date, située à Londres (Royaume-Uni), a été imaginée comme un repaire futuriste de méchants de James Bond. C'est dans le quartier branché de Chelsea que prend place le nouveau point de vente d'Aesop, enseigne de soins pour la peau aux échoppes originales. Sur 108 mètres carrés, l'espace commercial de plain-pied est organisé autour d'un point central, d'où partent douze arches s'étendant vers les murs d'enceinte, à la manière d'un origami lentement déplié. Ce pilier est cerné par un évier circulaire " point commun de tous les magasins de la marque ", réalisé en acier inoxydable poli et en fibre de verre dont la nature réfléchissante évoque un miroir d'eau, une fontaine de jouvence. Les parois et les voûtes sont enduites d'argile rosée provenant du sud-ouest du pays, qui rappelle la base naturelle des produits, tout en contrastant avec les étalages verticaux en acier disposés le long des cloisons. Le tout offre, à l'image des soins proposés par Aesop, un savant mélange entre contemporanéité et tradition grâce à assemblage de matières et textures. Un écrin raffiné et énigmatique qui s'inscrit dans la continuité des réalisations uniques proposées par Snøhetta pour l'entreprise, aux quatre coins du monde. Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta Photographies : Paola Pansini
Il y a 7 ans et 259 jours

Sordo Madaleno Arquitectos : Parque Toreo

Situé à Naucalpan, dans la banlieue de Mexico (Mexique), un impressionnant complexe commercial de près de 475 000 mètres carrés, rassemble de multiples usages et activités sous un même toit. À la fois lieu d'achalandage et parc urbain, cet ensemble réalisé par l'agence Sordo Madaleno Arquitectos tente de pallier l'absence de lieux de rencontre de la mégapole. L'ouvrage se compose d'un centre commercial positionné au c"ur d'une construction de quatre premiers étages, sur un total de 91 500 mètres carrés ; bientôt entouré de trois tours de 15 niveaux qui hébergeront des bureaux et un hôtel de 250 chambres. Le projet repose sur la création d'un grand parc urbain planté faisant office de place publique, d'espace de circulation arboré, de lieu de rencontre et d'exposition, capable d'accueillir des événements culturels et des conférences. Ces possibilités offertes aux visiteurs font de lavaste superficie bien plus qu'une simple galerie marchande. Les poteaux en forme de troncs d'arbres, qui supportent l'ensemble de la couverture alvéolaire métallique, permettent par ailleurs de libérer la surface de tout mur et donc d'y amener une grande quantité de lumière. Le visiteur circule ainsi dans un lieu ponctué par une riche végétation exotique et des fontaines procurant une atmosphère calme dans une ruche bouillonnant d'activités et de boutiques, restaurants et autres cinémas. Un bâtiment qui symbolise à lui seul le renouveau des architectures commerciales, et dont la mixité d'usage est vue par ses concepteurs comme une réponse à l'urbanisation galopante des mégalopoles sud-américaines. Pour en savoir plus, visitez le site de Sordo Madaleno Arquitectos Photographies : Rafael Gamo
Il y a 7 ans et 263 jours

MAISON&OBJET : Coups de c"ur de la rédaction

Pour son édition de septembre 2017, MAISON&OBJET a convié la rédaction de Muuuz " partenaire de l'événement " à faire partie du jury LES DECOUVERTES. L'équipe a non seulement décerné un prix à son produit favori, mais a également eu le plaisir de glaner les nouveautés. Retour sur les coups de c"ur de l'équipe. Lauréat du PRIX LES DECOUVERTES remis par Muuuz : René par Maison Vervloet Fruit de la collaboration exclusivement belge du designer Jean François D'Or et du fabricant spécialiste de la ferronnerie de luxe Maison Vervloet, la collection de poignées de porte René s'inspire de la physionomie de la pipe que tenait dans ses mains le créateur au moment de la conception de cette série " et peut-être également en hommage à son compatriote Magritte et à son fameux " Ceci n'est pas une pipe ". Le résultat ? Un objet épuré en laiton aux finitions polies incomparables. Disponible en plusieurs coloris, notamment en bleu, une nuance osée et pourtant d'un raffinement extrême, a particulièrement plu à la rédaction qui récompense ce travail sans hésitation. Kandinsky, par OIA Dessinée par André Teoman, jeune designer portugais, la gamme de table d'appoint Kandinsky éditée par la marque lusitanienne de tables en pierre, s'inspire des travaux du peintre russe éponyme. La géométrie simple, la légèreté de la structure et le marbre coloré ne sont pas sans rappeler les compositions expressionnistes de l'artiste. Revisitant les matériaux nobles dont ils sont dotés " marbre et laiton ", les différents modèles détonnent par des formes et des coloris originaux. Une interprétation atypique de la pierre. THE TIRED MAN + FRAME + STROPP par By Lassen L'entreprise danoise des frères Lassen, architectes de renom, présentait de nombreux produits de sa nouvelle collection. Parmi eux, le fauteuil aux courbes organiques The Tired Man en peau et laine de mouton, invitation au délassement. La gamme de caissons en chêne épurés, Frame, a également retenu l'attention de la rédaction grâce à son allure résolument scandinave et à sa fonctionnalité. Enfin, un petit objet décoratif a tiré son épingle du jeu : Stropp, une suspension tout en sobriété en cuir et en laiton aux multiples fonctionnalités " patère, porte-bouteille, porte-journaux... Une collection si complète qu'il est difficile de ne retenir que trois réalisations ! BIG EL + YU SET + CHARGE BOX par Konstantin Slawinsky La société allemande spécialisée dans le travail de l'acier Konstantin Slawinski a su diversifier son activité avec l'exploitation de cet unique matériau lors de MAISON & OBJET. La rédaction a en premier lieu remarqué de curieux petits éléments géométriques aux lignes inachevées, prénommés BIG EL. Cales ? Étagères ? Panneaux muraux ? BIG EL est un peu de tout cela. Un accessoire de rangement unique, aimanté et disponible dans une large gamme de couleurs chatoyantes. Un peu plus grand mais tout aussi détonnant, la CHARGE BOX, toujours réalisée en acier laqué poudré, permet de cacher les câbles d'alimentation disgracieux dans une boîte dont le plateau est déclinable en cuir, en feutre ou en liège. Pour finir, dans un format plus important, le YU SET est un ensemble de modules personnalisables et combinables pour créer un meuble unique selon vos besoins et envies. Vous pouvez choisir essence de bois, nuances et y ajouter des portes ou des parois à votre guise. Une belle façon d'organiser votre intérieur comme bon vous semble. Minima Moralia + Falstaff + Nightingale par Dante " Goods and Bad En poursuivant notre parcours, l'équipe est tombée sur les créations de Dante - Goods and Bad, marque autrichienne aussi impertinente que séduisante. Par mi les nombreux éléments de mobilier, un paravent japonisant a attiré l'"il attentif de la rédaction. Minima Moralia, réalisé par le designer français Christophe de la Fontaine est un élément sensuel a la structure en acier qui semble tout droit sortie d'un film asiatique. À ses côtés, trône le fauteuil Falstaff dont les plis de l'assise en cuir bordeaux nous supplient d'y prendre place. Tout aussi attrayante, Ninetingale, lampe minimaliste et futuriste, diffuse un éclairage doux. Des ouvrages charnels qui nous ont fait tourner la tête. Text Block + Twist Scissors + PlusMinus Screwdrivers par TRE Design Dans un tout autre style, les créations minimalistes des Polonais de TRE Design ont également su capter l'attention de la rédaction. Campant au milieu du stand, une immense étagère aux lignes simples et épurées, Text Block, matérialise l'expression " simple et efficace ". Ici, pas de fioritures superflues. L'essentiel suffit à faire de cet ensemble de modules imaginé par le studio compatriote, un élément de mobilier élégant et contemporain. Dans un registre plus petit, le designer Donata Rucinska conçoit Twist Scissors, une paire de ciseaux en acier inoxydable mat à la forme intemporelle inspirée des instruments chirurgicaux s'adaptant parfaitement aux droitiers comme aux gauchers. La marque réinterprète également le tournevis classique en le transformant en un outil plus proche de l'objet d'art que de la mallette de bricolage. Comme quoi, rien ne sert de faire compliquer pour éblouir ! Wall Mirror + Organise + Floating Leaves par Moebe Joliment sobre, les créations éditées par la firme danoise Moebe n'en sont pas moins fortes. À la manière des travaux de l'artiste Kasimir Malevitch, les éléments de décoration de la marque simplifient les lignes et ne conservent que l'essentiel. Dans cette optique, leur Wall Mirror se compose uniquement d'un disque réfléchissant et d'un support discret en laiton. Toujours avec le terme " simplicité " comme mantra, Moebe assemble des petites boîtes rectangulaires en chêne non traité que l'on peut couvrir d'une plaque de laiton pour cacher ses babioles. L'ensemble forme Organise, un fourre-tout harmonieux. Oscillant au-dessus de nos têtes, Floating Leaves est une collection de " cadres botaniques ", fruit d'une collaboration avec les collectifs Paper Collective et Norm Architects. De quoi apporter un peu de verdure, de douceur et d'élégance dans un environnement citadin. Lloyd + Duplex + Facett par Puik Les créations exposées par les Hollandais de Puik détonnent par leurs matériaux et formes originales. L'utilisation du cuir dans les suspensions Lloyd, dessinées par Nieuwe Heren, montre par exemple une facette différente de ce matériau. L'étagère en acier Duplex, imaginée par Frederik Roijé, suit le même chemin et réinvente le design traditionnel par des ajouts subtils d'élements géométriques à une simple tablette, la faisant ainsi évoluer en un objet contemporain. Perpétuellement à la recherche de la limite entre style traditionnel et atypique, Puik et le designer Lex Pott conçoivent la gamme de miroirs Facett combinant forme rectangulaire conventionnelle et verre facetté or ou argent. De quoi se démarquer sans avoir à jouer les extravagants. Little Sister + Glouton + Funambulb par Superlife Pour clôturer ces coups de c"ur, l'équipe de Muuuz s'est intéressé aux réalisations ludiques et plus légères de la firme suisse Superlife, à commencer par sa bibliothèque contemporaine et ergonomique Little Sister. Les plateformes de formes différentes permettent d'y installer des objets de toute taille. Toujours dans un souci de simplification d'usage, les Helvétes imaginent Glouton, une console suspendue à la façade composée de bandes élastiques dissimulant un espace creux dans lequel il est possible de ranger diverses choses et de les attraper juste en glissant sa main à travers les rubans. Une drôle de lampe nous a également séduits. Funambulb est composée d'un long câble de 2,90 mètres sur lequel se balade une ampoule ronde. Un fonctionnement enfantin convenant à n'importe quel intérieur. Pour en savoir plus, visitez le site de MAISON  & OBJET Photographies : DR
Il y a 7 ans et 291 jours

Les journées de l'industrie Legrand : découvrez leurs usines en Normandie

Le 29 juin 2017, une soixantaine de clients Legrand sont venus de toute la France pour visiter leurs 2 usines de Fontaine-le-Bourg et Malaunay (76) parmi 22 sites de production en France.
Il y a 7 ans et 316 jours

Studio GGSV : Galerie Party

Pour fêter ses 40 ans, le Centre Pompidou organise une série d'événements dans toute la France et bien entendu dans son bâtiment parisien éponyme. Pour ce faire , il donne carte blanche aux designers du studio parisien GGSV pour réinventer la Galerie des Enfants située dans le hall du musée. Les artistes imaginent Galerie Party, une "uvre totale, mêlant design, architecture, audiovisuel et jeux. L'espace créé par le studio parisien nous plonge dans l'univers étrange et fantasmé de deux petits habitants clandestins du Centre Pompidou, Gallaé et Séphante, dissimulés depuis des années dans les recoins de l'institution. Leur maison s'inspire du Container Zero de Jean-Pierre Raynaud, "uvre iconique faisant partie de la collection permanente de la galerie contemporaine. De sa cheminée s'échappe une structure gonflable bleue, rappelant les gaines techniques trônant au-dessus de Beaubourg. Cette partie énigmatique est appelée la Galeroom et matérialise les rêves les plus fous des deux protagonistes. " Séphante, J'ai fait un rêve incroyable ! Je marchais dans une galerie et tout au fond du couloir, j'ai vu une fontaine de peinture. Je me suis penchée au-dessus du bassin, des formes en sortaient ! Sitôt que je pensais à une chose, elle sortait de la fontaine. La fontaine fabriquait les formes qu'il y avait dans ma tête ! Les unes après les autres ! " Gellaé, curieux résident des souterrains du Centre Pompidou Au sein de ce volume flottant, motifs abstraits et figuratifs se mélangent, à l'image des "uvres présentées par l'institution. À l'aide d'un dispositif vidéo, un espace circulaire interactif prend place au milieu de cet espace et change constamment, produisant ainsi les formes rêvées par Gallaé. Une rosace chimérique confère à l'endroit un aspect solennel, comme si ce dernier était une cathédrale abritant les rêves des petits enfants. Cet ensemble prend place dans un jardin au sol graphique représenté sur une moquette, dont les différences de motifs, les effets d'optique et les jeux de perspectives représente dans un trompe-l'"il contemporain un jardin à la française. Les références aux composants architecturaux du quartier de Beaubourg sont nombreuses. : une version simplifiée de la fontaine Stravinsky disposée au centre de la Galerie des enfants ou encore des miniatures gonflables reproduisent les grandes cheminées d'extraction blanches campant sur le parvis et derrière le centre culturel. Des boîtes sont disposées aléatoirement dans ce paysage fantastique et contiennent des éléments de construction surréalistes, dont certains s'inspirent de réalisations visibles au sein du Centre Pompidou. On retrouve par exemple des pinces de homard, dérivé en mousse du téléphone de Dalí et de Lobster de Koons ; ou des pieds à quatre orteils rappelant ceux imaginés par les street-artistes rodant dans le quartier, Ella & Pitr. Les enfants sont invités à assembler ces formes entre elles grâce à des tuyaux en PVC et à créer leurs propres sculptures, à disposer ensuite sur la fontaine centrale de cet éden créatif. Cet espace ludique ne s'adresse pas qu'aux tout-petits, mais permet également aux plus grands de s'affranchir de l'élitisme parfois pesant de l'art contemporain en créant, à leur tour, des structures imaginaires libératrices. Galerie Party, Studio GGSV, du 20 mai 2017 au 5 mars 2018 au Centre Pompidou, Paris (4e) avec la participation de Liu Bolin du 9 septembre 2017 au 8 janvier 2018 puis de Morgane Tschiember du 20 janvier 2018 au 5 mars 2018). Pour en savoir plus, visitez le site du Studio GGSV Photographies : Michel Giesbrecht
Il y a 7 ans et 332 jours

Villa Noailles Hyères : Design Parade

Pour la deuxième année consécutive, la villa Noailles organise la Design Parade, un festival mettant à l'honneur le design et l'architecture, à Hyères (83) et à Toulon (83). À travers deux concours, les organisateurs de l'évènement souhaitent promouvoir la jeune création et les talents de demain. À cette occasion, quatre prix ont été décernés. Grand Prix Design Parade Toulon Van Cleef & Arpels : Imajaghan, par Paul Brissonnet et Alexandre Benjamin NavetRespectivement diplômés de l'École de Design de Nantes-Atlantique et de l'ENSCI - Les Ateliers de Paris, Paul et Alexandre imaginent un environnement modifiant le logement afin de stimuler l'imagination de ses occupants. Inspiré du mode de vie des nomades, Imajaghan " signifiant " guerrier " en berbère ", reprend les codes de l'appartement haussmannien, tels qu'une cheminée surmontée d'un trumeau, en leur ajoutant des reliefs au sol, et une multitude de coffres contenant des éléments de la vie de tous les jours, comme de la vaisselles, des livres, de l'électroménager ou de la nourriture. Ces choses ancrées dans notre quotidien deviennent ainsi des petits trésors.   Prix spécial du Jury : La plage abandonnée, Mathilde Vallantin et Victor LevaiLes deux designers parisiens " elle est diplômée de l'École Duperré, lui des Beaux-Arts de Paris ", réalisent une chambre à la manière d'une cabane au bord de l'eau. Au sol, des motifs de galets et d'ondes nous amènent vers un rocher en plâtre, pièce centrale de la composition. Cette sculpture dissimule un espace de nuit douillet, conçu comme un nid, avec des volumes en osier apportent un sentiment de protection à cet espace de couchage parré de taies d'oreillers évoquant le mouvement des vagues. Autour du roc central se trouve également un point d'eau pensé comme un espace de détente qui abritera lectures et moments de repos des résidents de cette pièce aux effluves de vacances. Mention spéciale Eyes on Talents x Frame : Tool One, Martial MarquetMartial Marquet, formé au South Californian Institute for Architecture de Los Angeles (USA) et diplômé de l'ENSCI - les Ateliers ainsi que de l'École Spéciale d'Architecture de Paris, imagine une salle à manger modulable et chaleureuse. À l'opposé des espaces aseptisés, ce réfectoire reprend les codes primaires du partage de la nourriture, à savoir l'interaction et la convivialité. Ici, l'environnement évolue selon les envies de chacun et les invités assemblent eux-mêmes les différents éléments qui composent leur mobilier " les tabourets, les pieds de tables, ou les supports de lampes "à l'aide de modules rouges, comprenant aussi bien des panneaux en MDF prépercés que des tubes en acier ou des ampoules. Prix du Public de la Ville de Toulon : La chambre sur l'eau, d'Emmanuelle SimonOrganisée autour d'un lit disposé en îlot central sur un empilement de quatre tapis, la chambre imaginée par Emmanuelle Simon, diplômée de L'École Camondo Paris, se compose de matières naturelles et confortables comme le lin ou la laine. Le couchage repose sur une plateforme en bouleau, inspirée d'une barque, et est surmonté d'une structure en grandes arches tressées qui enveloppe son propriétaire ensommeillé. La lumière est filtrée grâce à des voilages translucides rappelant les voiles d'un navire, invitant à un voyage marin. Grand Prix Design Parade Hyère : Future sausage, par Carolien NieblingLe travail de Carolien Niebling, diplômée de l'Université des Arts Artez à Arnheim (Pays-Bas) et de l'ÉCAL de Lausanne (Suisse), où elle vit et travaille aujourd'hui, reprend et questionne les codes d'un élément, pas des plus glamours, de la gastronomie européenne : la saucisse. À travers Future sausage, le designer valorise ainsi son procédé de fabrication " une enveloppe comestible, un stockage facile, une consommation directe et une production de déchets minimale ", tout en remettant en question ses valeurs nutritives, écologiques et hygiéniques. Elle imagine alors une gamme design comestible combinant ingrédients diététiques et esthétiques. Le tout est également accompagné d'un livre illustré présentant de façon scientifique, ludique et plastique l'entièreté du potentiel d'un élément phare de la charcuterie.   Prix spécial du Jury : Hale Bopp, par Léa BardinÀ travers un projet ludique, Léa Bardin, diplômée de l'ENSCI - Les Ateliers, rend la robotique poétique. Elle réalise ici un projet fait de formes imaginaires et sonores , à mille lieux des figurines reprenant des corps humains parfaits et présupposant des scénarios, altérant ainsi l'imagination des plus jeunes. Ainsi, l'oiseau de sa gamme chante si on le place à hauteur de l'"il , mais émet des échos aquatiques lorsqu'il est abaissé au niveau du sol et des bruits évoquant l'espace lorsqu'on l'élève vers le plafond. Le designer fabrique ici une collection ludique et magique, dont le nom s'inspire de la comète Hale Bopp qui frôla la Terre en 1997, lorsqu'elle-même était petite fille.   Mention spéciale Eyes on Talents x Frame : Main d'"uvre, par Ragna RagnarsdottirRagna Ragnarsdottir est une islandaise diplômée de l'ENSCI " Les Atelier qui vit et travaille désormais à Reykjavik (Islande). Elle imagine une collection réalisée grâce à un processus artisanal unique. Le piètement de ces récipients " vases ou bols " est toujours le même, fait de disques en MDF noir superposés et teintés dans la masse, surplombé d'un contenant dont les dimensions varient. La designer y insère ensuite un moule souple fait d'une membrane en latex doublée à l'intérieur d'une contre-forme en polystyrène qu'elle remplit de plusieurs couches de résines aqueuses colorées. Une fois secs et libérés de leur carcan de latex, les différents objets se parent de paysages imaginaires et aléatoires.   Prix du Public de la Ville d'Hyères : Être ou ne paraître, par Arthur HoffnerLe parisien Arthur Hoffner, diplômé de l'École Boule et de l'ENSCI - Les Ateliers, s'intéresse à la thématique de la fontaine et tente de réhabiliter cet objet désuet, un brin kitch en s'inspirant de l'univers de l'électroménager. Partant alors du matériel de plomberie et utilisant ses composants, aux qualités aussi pratiques que plastiques, il réalise des ensembles décoratifs suspendus ou posés en équilibre sur des surfaces du quotidien. On retrouve alors dans ses formes la fonction contemplative et hypnotique des fontaines, placées cette fois-ci dans des intérieurs contemporains. Design Parade Toulon et Hyères, jusqu'au 24 septembre 2017 Pour en savoir plus, visitez le site de la Villa Noailles Hyères Photographies : Emile Kirsh
Il y a 7 ans et 332 jours

Réseau anti-feu sous le château de Fontainebleau

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