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Il y a 3 ans et 307 jours

ThermaCote®, une peinture avant gardiste pour l'isolation thermique des toitures, façades et sols

L’isolation thermique est aujourd’hui une préoccupation majeure et l’enjeu pour notre pays est devenu général pour toutes les régions et pas seulement les grandes villes. Isoler toitures, façades ou revêtements de sol, des fortes températures et limiter les déperditions de chaleur sont au cœur des réflexions pour les constructeurs, les particuliers et nos responsables politiques.Avec THERMACOTE®, Durieu apporte à l’isolation thermique une solution pointue très technique qui répond à de multiples contraintes actuelles.THERMACOTE® des atouts spécifiques :Très haute concentration en extraits secs garantissant une efficacité imparable et une protection sur le long terme de tous les supports protégés.Composé essentiellement de céramique (80 % de la peinture), le revêtement protégé bénéficie de fait des capacités isolantes de la céramique et de sa résistance aux fortes chaleurs.En résumé : les supports protégés voient leur température diminuer sensiblement ou bien leur déperdition de chaleur se réduire pendant l’hiver.Explications :THERMACOTE® un revêtement isolant qui va plus loin, 3 vecteurs d’action : Isolation thermique/ Anti-humidité /Etanchéité à l’air.L’isolation thermique : Grâce à sa formulation spécifique THERMACOTE® agit comme une couverture de survie sur les supports. Il les enveloppe d’une couche protectrice qui en période froide, limite le passage de la chaleur vers l’extérieur en « renvoyant » la chaleur à l’intérieur du bâtiment et en période chaude permet la réflexion d’une partie la chaleur en dehors du support permettant ainsi de réduire sensiblement la température ressentie en surface. Ainsi, un support protégé avec du THERMACOTE® peut passer de 60° à 38°.Anti-humidité :L’humidité est le premier ennemi de l’isolation car elle s’infiltre dans les parois et entraine la formation de condensation et de rouille. Une protection au THERMACOTE® permet de laisser respirer le support, en extrayant l’humidité tout en l’empêchant de rentrer.Étanchéité à l’air :L’infiltration ou la fuite d’air dans les supports est un gage de détérioration de l’isolation et l’application de THERMACOTE® évite ce phénomène. L’isolation est pérenne.La combinaison de l’isolation des supports vis-à-vis du chaud, du froid, de l’humidité et de l’air permet de :Éviter les chocs thermiques et donc la présence d’humidité ou de condensation.Empêcher la formation de rouille induite par l’air ou l’humidité avec les supports en métal et d’éviter ainsi au béton armé de rouiller et donc d’éclater.THERMACOTE® c'est aussi agir pour demain grâce à son action aujourd'hui en Europe et dans le mondeAux USA, THERMACOTE® est agréé par le Cool Roof Rating Council et en Europe par le European Cool Roof Rating Council, attestant de l’efficacité du produit pour la protection et l’isolation des toitures.À Los Angeles, THERMACOTE® fait partie avec l’Etat de Californie et d’autres industriels, d’un groupe d’expérimentation et de recherche visant à protéger toutes les surfaces bitumes ou béton au sol (routes, parking, ...) afin de limiter l’effet d’îlots de chaleur urbains qui empêchent les températures urbaines de diminuer.En France et au-delà de la métropole (Réunion, Martinique & Guadeloupe), THERMACOTE® est en test pour l’étude du revêtement de plusieurs bâtiments publics : toitures, chaussées afin de limiter les effets d’îlots de chaleur.
Il y a 3 ans et 312 jours

Nouvelle colle Stix A600 Evolution Bostik avec une formule inédite et respectueuse de l'environnement

Cette technologie offre une application crémeuse inégalable et un produit aéré avec une densité réduite. Encore inexistante sur le marché, cette colle a été pensée pour améliorer le quotidien des installateurs en combinant de nombreux atouts en un seul produit :Un rendement optimisé grâce à sa formulation unique : La STIX A600 EVOLUTION permet de couvrir 30% de surface supplémentaire par rapport à la même quantité de colle standard, avec une consommation de 200 à 300 grammes par mètres carrés. Le poids du sceau est ainsi réduit tout en conservant une haute capacité de rendement et des performances de haute qualité (fort piégeant et prise rapide).Une technologie respectueuse de l’environnement : la formulation de la STIX A600 EVOLUTION est composée de 35% de matières premières biosourcées. Aussi, son packaging est constitué à 30% de plastique recyclé. Sans solvant et sans phtalate, ce produit dispose de nombreux labels et certifications (A+, EC1+, LEED, BREAM M1) et offre ainsi une empreinte carbone réduite.Une colle polyvalente qui sert à de multiples usages : la nouvelle colle BOSTIK est un véritable caméléon adaptée à tous les revêtements soumis à de fortes sollicitions dans les environnement commerciaux, tertiaires et privatifs : des PVC (homogènes, hétérogènes) aux linoleums acoustiques en passant par les textiles (moquettes tous envers et fibres naturelles) et les caoutchoucs acoustiques. Un produit également admissible sur un grand nombre de supports : bétons surfacés à parement soigné, chape ciment fluide ou traditionnelle, chapes anhydrites, anciens carrelages ou parquets, panneaux bois, sous-couches d’interposition et sols chauffants et PRE.
Il y a 3 ans et 319 jours

Comment bien préfabriquer un prémur ?

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine Les MCI sont produits au sein d’usines qui sont de plus en plus automatisées. [©Progress Group] 1 – Quels sont les avantages d’un MCI ? Les MCI, ou murs à coffrage intégré, sont plus connus en France sous le patronyme de prémurs. Ce sont des murs préfabriqués, livrés sur site par des camions équipés de racks à tiroirs. Là, une fois positionnés dans le bâtiment en construction, il ne reste qu’à bétonner leur noyau. C’est-à-dire l’interstice présent dans les faces interne et externe de l’élément.  Les prémurs sont un potentiel d’économie pour les entreprises, car ils réduisent la pénibilité et surtout les durées des chantiers. Ces panneaux sont prédestinés pour la réalisation d’ouvrages en sous-sol, avec cotes bloquées, de trémies d’escaliers ou d’ascenseurs. L’autre avantage du produit est la réduction des délais sur les chantiers. A vrai dire, comme son nom le laisse entendre, un prémur peut remplacer sans difficultés un voile de béton à couler en place… Les prémurs se déclinent en plusieurs types en fonction des options choisies : isolés ou non, matricés ou teintés, polis… D’un point de vue béton, les solutions bas carbone commencent à être de plus en plus populaires.  2 – Quelles sont les différentes étapes de production ? Les installations de production peuvent être modifiées et upgradées en fonction des besoins des préfabricants. [©Progress Group] L’important lorsque l’on parle de MCI est de bien comprendre que l’industrialisation de la production permet la constance de la qualité du produit. Ainsi que l’optimisation du nombre de tables traitées à l’heure. Le travail se fait sur carrousel avec des tours d’étuvages, permettant de fonctionner, selon les usines, jusqu’en 3/8. Ces unités ont des degrés d’automatisation divers et restent évolutives. La première étape de la production consiste à décoffrer la table de la précédente préfabrication. Ceci, avant de la nettoyer et de la huiler de nouveau. Dans la foulée, la table sera coffrée. Les douilles d’étaiement et les aimants pour boîtiers électriques seront posés avec précision. L’idéal est de confier ces opérations à des robots. Ce qui évite la pénibilité et assure une grande précision de pose, ainsi qu’un rythme élevé. Il existe même un concept de coffrages précis au centimètre. A l’étape suivante, les opérateurs peuvent intervenir pour assurer l’installation des réservations polystyrène, des réservations en bois et des éventuelles gaines. Si le design le nécessite.  Arrivent ensuite les armatures. Là, plusieurs solutions existent. Avec le logiciel Ebos, qui pilote le carrousel, les informations sont prises depuis le dessin 3D et transmises à chaque machine. Ainsi, que les barres soient débitées de manière automatique par une redresseuse MSR, posées à la main ou via un robot. Voire encore sous forme de treillis spécial pour les grosses unités, leur débit est complètement automatisé. Les cages d’armatures complémentaires sont produites sur place, sur un circuit parallèle spécifique avec une légère anticipation.  Les raidisseurs triangulaires peuvent désormais être produits en juste à temps dans les unités les plus modernes, directement à partir de bobines. Offrant ainsi des économies au producteur. Dernier élément, les cales d’enrobage des armatures sont, elles aussi, placées par robot, afin d’en optimiser le nombre. Que cela soit sur les barres individuelles ou sur les treillis spéciaux.  3 – Comment se déroule le bétonnage ?  Le coulage du béton se fait automatiquement, grâce à une distribution via une distributrice béton automatique équipée de vis hélicoïdales et de clapets. [©Progress Group] Avant le bétonnage, il y a un contrôle qualité. Les postes peuvent même être équipés de caméras qui prennent en photos les éléments avant bétonnage. Il est même possible de faire des contrôles qualité informatisés. Ce qui est très demandé par les clients finaux.  Le bétonnage se fait ensuite idéalementde façon automatique, à l’aide d’une distributrice béton, quivient directement s’approvisionner en béton au niveau de la centrale. A l’intérieur de cette benne béton automatique, des vis hélicoïdalespermettentde maîtriser les volumes de béton déversés. Ainsi que sa répartition sur la table de préfabrication. Un coup de vibration, en fonction de la formulation du béton, achève cette première phase de production. A l’issue de la phase de bétonnage, chaque table rejoint la zone d’étuvage où elleyséjourne durant environ8 h.  4 – Comment est finalisée la préfabrication d’un prémur ? Le logiciel de gestion permet le flux des données à toutes les machines, l’optimisation des productions et l’aide aux collaborateurs dans leurs tâches. [©Progress Group] Pour faire simple, un prémur est constitué de deux plaques de béton (tout à fait comparable à des prédalles), reliées ensemble par des éléments d’armature. Mais séparées d’un vide interstitiel rempli sur le chantier. Ainsi, lorsque la première face est sèche, prête à être retournée, on lance en production la seconde face du même mur, en suivant le même processus que celui décrit plus haut. Toutefois, lorsque l’élément quitte l’aire de bétonnage, il ne rejoint pas directement l’étuve, mais une zone dite “d’assemblage”. En parallèle, la première plaque sèchesort de l’étuve pour rejoindre cette même zone. C’est l’étape la plus spectaculaire du process de préfabrication qui débute alors, avec le retournement complet de la table qui porte la plaque de béton durci. Cette dernière est ensuite déposée sur la seconde table fraîchement bétonnée, ses armatures en attente venant se noyer dans le béton frais de la plaque tout juste coulée.  A l’issue, la première plaque est décoffrée de sa table support, qui peut être réintroduite dans le circuit de production. De son côté, la seconde table, supportant désormais un prémur reconstitué, ira finir de sécher en étuve 8 h environ.  Une fois le béton durci, cette table est dirigée vers la zone de démoulage où elle sera relevée pour permettre la prise en charge du prémur à l’aide d’un pont roulant. Durant cette phase finale, l’élément est positionné dans un rack dédié au stockage sur parc, puis au transport.  Article réalisé avec l’appui technique de Benoît Guiberteau, responsable commercial de Progress Group A propos de Progress Group Progress Group est un spécialiste de l’étude et de l’installation d’équipements et de logiciels pour les usines de préfabrication. Plusieurs marques font partie du groupe, parmi lesquelles figurent Progress Machinen & Automation, Ebawe, Progress Software Development,Echo Precast Engineering, ou Tecnocom.  Progress Group est un groupe d’entreprises actif à l’international avec des sites à Eilenburg et Francfort, en Allemagne, à Houthalen, en Belgique, à Brixen et à Udine, en Italie. Mais aussi à Winnipep, au Canada, à Qingdao, en Chine, à Chicago, aux Etats-Unis, à New Delhi, en Inde, et à Kuala Lumpur, en Malaisie. Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 319 jours

Avec Mix&Flow, Sika réinvente l’adjuvantation du béton

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine Le concept Mix&Flow de Sika constitue une adjuvantation multi-critères configurable selon la nature des matériaux et les caractéristiques attendues du béton. [©ACPresse] Sur une centrale à béton, il y a en moyenne entre 4 et 7 adjuvants différents. Mais avec l’arrivée des ciments et bétons bas carbone, l’introduction de nouvelles additions ou encore l’utilisation plus massive de granulats difficiles ou recyclés, les formulations vont aller en se complexifiant. Ce qui nécessitera de multiplier les références adjuvantaires. Pour éviter cette prolifération, Sika a choisi d’ouvrir une nouvelle voie, en proposant une adjuvantation sur mesure accessible à tous. « Nous souhaitons redonner les leviers de contrôle à l’utilisateur, tout en l’accompagnant dans cette démarche inédite », résume Joachim Monge, chef de marché béton de Sika.  Mix&Flow : tel est le nom du concept. Le principe en est très simple et s’articule autour de trois produits de base. « Comme des teintes primaires en capacité de créer toute la palette des couleurs possibles… ». Le premier est un régulateur de prise, le Sika Viscoflow-200 Timer. Le deuxième est un régulateur d’ouvrabilité, le Sika Viscoflow-400 Soft. Et le dernier est un fluidifiant performant, le Sika Viscoflow-800 Power. Chaque produit peut être utilisé seul, ou en combinaison à deux ou à trois. « Mix&Flow va se substituer aux lignes de plastifiants et superplastifiants de l’offre Sika. A terme, il est censé les remplacer », dévoile Joachim Monge. Un accompagnement permanent Mix&Flow s’adresse, en premier lieu, au secteur du béton prêt à l’emploi, mais Sika proposera sans doute une version “préfabrication” de ce concept… Pour l’utilisateur, la première chose à retenir est que le basculement vers Mix&Flow ne demande aucune modification ou adaptation des équipements de la centrale à béton. Cuves de stockage et pompes de dosage restent d’actualité. Avec un avantage : on peut gagner de la place dans le local à adjuvants, car le nombre de cuves nécessaires suit une tendance baissière.  « Avec Mix&Flow, l’utilisateur définit son besoin et ajuste le dosage des différents produits en conséquence». Par exemple, en application dallages, le béton doit commencer sa prise rapidement, donc on force sur le Sika Viscoflow-800 Power et moins sur les deux autres. Mais que chacun se rassure, personne n’est laissé seul face au Mix&Flow. « Après essais préalables au sein de notre laboratoire, les solutions d’adjuvantation sont testées et ajustées au niveau de chaque centrale, reprend Joachim Monge. L’accompagnement est permanent. »Les équipes techniques de Sika disposent même d’une application numérique permettant de calibrer les dosages des produits.  Le concept Mix&Flow est né en France, troisième filiale du groupe à l’échelle internationale. Il n’est disponible que dans l’Hexagone, avant un essor possible sur d’autres marchés. De même, il devrait y avoir d’autres versions des produits de base, sans doute cinq ou six à terme. Mais le concept tournera toujours autour de trois références.  Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 319 jours

Pas-de-Calais : Mosaïque de béton

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine Le nouveau front de mer de Calais. [©Eqiom] Détériorée par des années de crise des migrants, l’image de la ville de Calais nécessitait un coup de neuf. La municipalité a donc décidé de rénover son front de mer, afin de le rendre plus attirant pour les touristes. Pour cela, une promenade a été aménagée, allant de la Cité gourmande au parking de Blériot. Et entourant en particulier un skatepark nouvellement créé. Ainsi, l’entreprise Sols Savoie a assuré l’application des bétons texturés des trottoirs et de la voie dite “du dragon”. Pas moins de 2 000 m3 d’Articimo Texturé C30/37 fourni par Eqiom  ont été coulés sur le front de mer. Puis, passé à l’hélicoptère et sablé pour faire apparaître les granulats calcaires du Boulonnais. A cela se sont ajoutés 1 500 m3 d’un deuxième béton Articimo C35/45, utilisés de manière spécifique pour la voie dite “du dragon”. Pour certains passages, le recours à une pompe à béton a été nécessaire. Lire aussi les autres actualités en région En parallèle, Territoire Skatepark a réalisé l’espace de glisse urbaine. Avec, là aussi, deux formulations de béton. D’une part, 150 m3 du EB Projeté par voie sèche à 350 kg/m3de ciment (un 52,5 PMES), mis en œuvre sur les parties en pente classique. Et le même volume du même béton, mais en version 400 kg/m3 pour les zones en fortes pentes. L’applicateur ajoutant du quartz dans le béton frais. Le tout transporté par tapis, notamment dans les fortes pentes. L’ensemble des bétons a été fourni par la centrale Eqiom de Calais, avec 5 à 6 toupies en rotation. La centrale d’Eqiom de Saint-Léonard a été utilisée en appoint. Le tout dans un volume journalier allant de 80 à 120 m3/j.
Il y a 3 ans et 320 jours

Loire-Atlantique : Signature tripartite

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine Jean-François Plée (Plée Constructions), Max Garcia (Garcia Frères) et Nicolas Sarrasin, directeur agence de LafargeHolcim Bétons Pays de Loire, lors de la signature du partenariat. [©LafargeHolcim] LafargeHolcim poursuit sa politique de développement de liens avec le tissu économique local. Ainsi, l’agence LafargeHolcim Bétons Pays de Loire a signé un partenariat tripartite avec les entreprises Plée Constructions et Garcia Frères. L’objectif est d’accélérer à la fois le développement des bétons bas carbone et celui des granulats recyclés dans la région. Ce contrat comprend aussi un accompagnement dans la formation et l’utilisation du simulateur 360Design des équipes de Plée Constructions. Ainsi qu’une assistance sur chantiers par les équipes de l’agence Bétons Pays de Loire. Il a été signé par les directeurs respectifs de chacune des entreprises : Jean-François Plée (pour Plée Constructions), Max Garcia (pour Garcia Frères) et Nicolas Sarrasin, de l’agence LafargeHolcim Bétons Pays de Loire. Lire aussi les autres actualités en région Par ailleurs, cette signature prévoit un accompagnement de l’entreprise Garcia Frères pour le développement de granulats recyclés adaptés à la formulation des bétons. Plusieurs projets sont d’ores et déjà sur les rails pour concrétiser dans les faits ce partenariat. Les entreprises ont travaillé main dans la main sur le projet de 19 logements collectifs de la Villa Matisse, à Arès (33). Mais aussi sur les Jardins d’Eden à Saint-Pierre-du-Mont (40) et ses 25 logements collectifs. Ou encore dans leur réponse au concours de l’éco-quartier La Guignardière à Chambray-lès-Tours (37), avec une réponse de Plée Constructions et la solution EcoPact pour 40 logements collectifs.  Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 320 jours

Charente-Maritime : Chacun sa route, chacun son chemin…

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine La nouvelle promenade du Port Neuf à La Rochelle. [©LafargeHolcim/Spie Aménagement Littoral] La Rochelle travaille à la rénovation de la digue de Port-Neuf à Chef-de-Baie, transformée en une vaste promenade. Pour cela, LafargeHolcim a proposé un total de quatre types de bétons, pour deux lots distincts. « Pour la partie génie civil, il s’agissait de créer un muret de protection, explique Sébastien Mabille, commercial en charge du dossier. Il nous fallait une prise rapide et une résistance aux effets du littoral, nous avons donc prescrit un béton Chronolia. »Ce dernier a été mis en œuvre par l’entreprise Echart GC. Sur la promenade, le choix a été fait de déterminer les différents modes de circulation par des finitions de béton spécifiques. Un béton bouchardé, un béton imprimé et un béton légèrement désactivé, pour les piétons d’un côté, les cyclistes de l’autre, et au centre, les skates et autres rollers. « A ce niveau, la difficulté était liée une accessibilité au chantier très réduite. Ces bétons décoratifs ont donc été mis en œuvre à la pompe par Chatelier Pompage Service. De fait, nous avons adapté nos formulations afin qu’elle soit pompables… » Lire aussi les autres actualités en région Tous les bétons ont été fournis à partir des deux centrales LafargeHolcim de La Rochelle. A savoir, celles de Pallice et de La Jarne.« Les coulages ont eu lieu sur trois mois, avec des perturbations dues aux intempéries. Nous coulions selon une rythmique de deux interventions par semaine, avec des volumes de 50/80 m3, grâce à quatre à cinq toupies à chaque fois », conclut Sébastien Mabille. Au total, 5 000 m3de bétons auront été coulés le long du littoral rochelais. Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 327 jours

TPF Industrie donne ses lettres de noblesse à l’isolation en polyuréthane

Unique fabricant en France de polyols intégrés dans les systèmes d’isolation intérieure et extérieure en polyuréthane projeté, TPF Industrie, basée à Noves dans les Bouches-du-Rhône, a organisé, le 29 juin, une journée portes ouvertes pour présenter son outil de production. Mis en route en juillet 2020, il est aujourd’hui pleinement opérationnel avec une production annuelle à ce jour de 6 000 tonnes. Spécialisé dans les formulations à façon, TPF Industrie veut produire d’ici à 2023 des polyols 100 % biosourcés.
Il y a 3 ans et 333 jours

Trois centrales au secours de Tchernobyl

En 2010, Imer installe une 3e centrale OneDay, installée à 20 m de deux précédentes. [©Imer] A la suite de la catastrophe du réacteur numéro 4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl, en Ukraine, le 26 avril 1986, un sarcophage en béton avait été construit dans l’urgence. Puis, les travaux se sont poursuivis à 2 km de l’explosion, sur un terrain viabilisé de 147 000 m2 duquel ont été retirés 2 m de terre irradiée, remplacés par du sable. Là, près de 650 personnes sont intervenues pour le compte du groupement de génie civil formé par Vinci Construction Grands Projets et Bouygues Travaux Publics. Objectif : concevoir et construire une usine de préfabrication des conteneurs destinés à conditionner les éléments de combustibles radioactifs, qui alimentaient les différents réacteurs de la centrale… C’est dans ce cadre particulier et parce qu’il garantissait le respect de la norme ISO 9001 de la fabrication à l’installation que l’industriel Imer a été en charge, en 2000, de l’installation et de la mise en service de deux centrales à béton de type Rome CZ3, équipées de malaxeurs Oru MS 1500/1000, d’une capacité unitaire de 40 m3/h de béton. 58 conteneurs à combustible irradié. Devant durer cent ans, les blocs de stockage ont été réalisés avec un béton conçu pour résister à de nombreux cycles de gel-dégel. [abonnés]Ainsi, il fallait limiter les éventuelles formations de bulles d’air dans la matrice, via une formulation adaptée. Les deux centrales Imer ont produit près de 20 000 m3 de béton. De quoi réaliser les 58 conteneurs en béton. Ces éléments cubiques de 6,18 m de côté intégraient un radier de 75 cm d’épaisseur et des cloisons préfabriquées de 30 cm, formant les casiers destinés à recevoir le combustible irradié. Ce dernier est conditionné pour la forme de cylindres en acier inoxydable appelé “canisters”. Quatre sont insérés dans un conteneur avant la pose du couvercle, élément constitué par une prédalle doublée d’une couche de béton également coulée en place. Pour contrôler la non-radioactivité de l’atmosphère, le chantier était doté d’une station d’analyse spécifique, ainsi que d’une antenne météorologique. « La sécurité était très contraignante et devait correspondre pour le chantier aux normes russes », explique Mirk Fugier-Garrel, responsable SAV centrale à béton chez Imer. Un nouveau sarcophage. Imer a été en charge, en 2000, de l’installation et de la mise en service de deux centrales à béton de type Rome CZ3. [©Imer] En 2010, Imer a été rappelé à Tchernobyl pour remettre en service les deux centrales à béton activées dix ans plus tôt. Et surtout pour en installer une troisième, à 20 m des précédentes. Une unité OneDay cette fois-ci, équipée d’un malaxeur Oru MS 2250/15000, capable de produire jusqu’à 60 m3/h de béton. Son utilisation ? Fabriquer les bétons – quelque 60 000 m3 – devant servir à consolider le sarcophage de la centrale nucléaire. « Cette installation a été conçue pour produire des bétons de haute qualité », reprend Mirk Fugier-Garrel. Depuis deux ans maintenant, elle participe au nouveau chantier, qui voit s’élever un dôme au-dessus du sarcophage fissuré. Une sorte de couvercle étanche supplémentaire. Fondée sur deux longrines en béton, cette arche à ossature métallique a été assemblée à l’Ouest du réacteur accidenté avant d’être positionné au-dessus du sarcophage existant. Les fondations définitives du nouvel ouvrage représentent à elles seules 20 000 m3 de béton, également issus des trois centrales Imer. L’achèvement de l’ouvrage est prévu à la fin de 2017 pour un appel d’offres remporté par Novarka, joint venture à parité entre Vinci Construction Grands Projets et Bouygues Travaux Publics.[/abonnés]
Il y a 3 ans et 336 jours

Chryso : Pour bétons bas carbone

Article paru dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Chryso lance les ChrysoXel EMX ULC pour bétons bas carbone. [©ACPresse] Bas carbone et économie circulaire constituent les deux grandes attentes du secteur de la construction. Chryso accompagne ainsi les industriels pour leur permettre de répondre à ces tendances de fond. Ainsi, il a lancé sur le marché, il y a une dizaine d’années, les premières solutions EnvironMix, pour bétons formulés avec des faibles quantités de ciments. Aujourd’hui, deux nouvelles gammes d’adjuvants sur mesure sont proposées. A savoir, les Chryso EnviroMix et EnviroMix ULC, pour “Ultra Low Carbon” (ultra bas carbone). « Nous visons les bétons permettant une réduction de plus de 50 % de l’empreinte carbone, en comparaison à des bétons classiques », explique Marc Plançon, directeur adjoint de la BU Béton de Chryso. Cette nouvelle offre est à la fois destinées au BPE et à la préfabrication. Elle devrait permettre d’élargir les possibilités d’emploi des nouveaux ciments bas carbone et des nouveaux liants, en garantissant de bonnes résistances à jeune âge, un maintien d’ouvrabilité et une rhéologie en phase avec les besoins de mise en œuvre. Lire aussi : Quoi de neuf dans l’adjuvantation ? L’arrivée des nouveaux EnviroMix est aussi l’occasion de proposer des outils digitaux d’accompagnement : Chryso EnviroMix Impact. « Cet outil permet un calcul de l’ICV spécifique du béton du client, en prenant en ligne de compte différents paramètres liés aux matières premières, à leur distance de transport ou à la formulation », conclut Marc Plançon. Article paru dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 342 jours

Nouveau coffrage en béton fibré Schöck Signo® : Qualité, durabilité et esthétique au cœur de la préfabrication

Grâce à une nouvelle formulation et à un tout nouveau process de fabrication, Schöck Signo® s’impose ainsi comme l’offre de coffrage la plus large du marché. Une combinaison inédite de bétons confère aux éléments de cette gamme une surface extérieure exceptionnellement lisse, sans bulles ni aspérités, pour un aspect impeccable. Cet atout esthétique se double de celui d’être hydrophobe, totalement étanche en raison de pores capillaires infinitésimaux, permettant d’atteindre une durabilité optimale, sans risques de détérioration dans le temps liés à l’humidité et garantissant l’enrobage nécessaire des aciers. Le procédé de fabrication intègre deux phases : la première relève du moulage de la face extérieure du Signo®, puis dans la continuité d’une seule et même coulée, la seconde consiste en un procédé d’extrusion qui octroie, au béton fibré hautement compacté des faces intérieures, une rugosité et des tenons favorisant l’adhérence au béton frais.Dédié à la réalisation d’éléments de construction en béton apparent comme les rives de prédalles, balcons, bandeaux, murs ou encore coffrages de poutre de rives, Schöck Signo® bénéficie d’un parement irréprochable qui séduira architectes, préfabricants et entreprises de construction.De nombreux avantagesEn béton fibré extrudé type C40/50, Schöck Signo® présente l’avantage d’une surface remarquablement lisse côté extérieur, gage d’une finition de haute qualité, et rugueuse à l’intérieur, ainsi que des tenons, pour une adhérence optimale au béton frais.Livrés prêts au montage, dans une longueur maximale de 2.70 ML, il suffit de couper ces éléments de coffrage pour obtenir la dimension et l’angle souhaités, puis de les assembler en toute simplicité et en un temps record grâce aux clips de jonction droits et d’angles pour un alignement parfait. Les tenons dont ils sont pourvus côté intérieur créent alors une liaison mécanique linéique avec le béton frais.Efficace, rapide et sécure, cette solution clé en main, ne générant de facto aucun déchet sur chantier, s’érige comme alliée des professionnels en quête de méthodes de construction rationnelles, de délais de réalisation courts et d’optimisation de rentabilité, avec un résultat esthétique répondant pertinemment aux attentes des différents acteurs du bâtiment.Notons encore que Schöck Signo® peut être conçu sur mesure en fonction des besoins et des projets, avec un choix de hauteurs allant de 7 à 60 cm.Qu’il s’agisse d’ouvertures de portes, de fenêtres, d’escaliers, de paliers ou de balcons, Schöck Signo® apporte à chacune de ces configurations une solution idéale en créant un cadre parfait.Trois modèles pour de multiples applicationsSchöck Signo® type U-0Coffrage pour rives de dalles, prédalles et poutres. Le coffrage Signo® type U-0 s’utilise pour les rives de dalles, prédalles et poutres. Doté d’un chanfrein identique à celui d’une règle à coffrer, il assure une finition irréprochable.Schöck Signo® type U-1Coffrage pour réalisation de rives de balcon Signo® type U-1, également avec profil chanfreiné, dispose d’une languette d’étanchéité particulièrement efficace permettant d’obtenir une goutte d’eau parfaite et réglementaire en retirant le joint après coulage. Il se positionne facilement sur la table à coffrer pour réaliser les rives de balcons.Schöck Signo® type U-2Coffrage pour double murs et murs sandwich Signo® type U-2 est, quant à lui, muni de deux languettes d’étanchéité, pour traiter les côtés latéraux des prémurs, évitant tout passage de la laitance du béton.
Il y a 3 ans et 342 jours

NOUVELLE STRATÉGIE DE MARQUE : SIPOREX devient la nouvelle marque forte multicanal dédiée aux projets d’aménagement et cloisons en carreaux béton cellulaire

Jusqu’alors, au sein du groupe Xella, l’offre de produits en béton cellulaire était disponible sous les marques SIPOREX et YTONG. Chacune d’entre-elles disposait de son propre réseau de distribution pour commercialiser des produits équivalents. SIPOREX, marque devenue générique très connue du grand public et distribuée exclusivement en Grandes Surfaces de Bricolage, est essentiellement utilisée pour l’aménagement intérieur et la décoration ainsi que la construction de cloisons dans la maison. Quant à l’offre YTONG, elle est commercialisée via les négoces de matériaux pour la construction et la rénovation de maisons, de logements collectifs, de bâtiments professionnels ainsi que la mise en oeuvre de murs coupefeu. Aujourd’hui, pour capitaliser sur la notoriété SIPOREX auprès des particuliers comme des professionnels et assurer une meilleure visibilité à YTONG, le groupe Xella a redéfini entièrement sa stratégie de marques. Il établit ainsi une nouvelle offre multicanal, plus claire avec des marques fortes, chacune ancrée dans leur univers : SIPOREX devient la marque dédiée au second oeuvre pour l’aménagement intérieur (cloison, meuble de rangement, habillage…) avec une offre de carreaux de 5, 7 et 10 cm disponibles en Grandes Surfaces de bricolage et en Négoces de matériaux. YTONG devient la marque dédiée au gros oeuvre pour la construction (murs coupe-feu, maisons individuelles, extension-surélévation, logements collectifs, bâtiments tertiaires…) avec des blocs de 15 à 42 cm désormais disponibles en Grandes Surfaces de bricolage et en Négoces de matériaux.   François CHARDON – Directeur Marketing et Prescription Xella « Nous avons choisi de repositionner nos marques SIPOREX et YTONG pour plusieurs raisons. Nous voulons mieux exploiter la notoriété de SIPOREX auprès des particuliers et des professionnels et offrir davantage de visibilité à la marque YTONG pour promouvoir les bénéfices des murs YTONG, notamment auprès du grand public, en lien avec notre communication YTONG Inside. Ensuite, il est essentiel d’avoir un discours en accord avec les avantages clés pour chaque application. Notre ambition est de créer des marques fortes pour chaque univers – SIPOREX pour le second oeuvre et YTONG pour le gros oeuvre – avec des moyens bien différenciés. Enfin, cette approche répond à l’évolution du marché et à la typologie des clients. Aujourd’hui, les particuliers comme les professionnels s’approvisionnent, pour leurs matériaux, dans tous les réseaux de distribution, en GSB comme en Négoces en matériaux. C’est pour toutes ces raisons, que nous avons entièrement redéfini notre stratégie en proposant une nouvelle offre multicanal pour les deux marques, afin d’en faire des marques fortes dans leur propre univers.»   Nouvelle gamme SIPOREX : une offre optimisée pour l’aménagement Idéale en rénovation, la nouvelle gamme SIPOREX a été optimisée pour répondre à tous les projets d’aménagement intérieur et extérieur : moduler des pièces avec des cloisons droites ou courbes, habiller des murs, créer des meubles de rangement, concevoir une cuisine extérieure… Complète, elle propose des carreaux en béton cellulaire et les accessoires de pose spécifiques : – Des carreaux droits (lisse ou emboîtement) : 5, 7 et 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 et 50 cm – Des carreaux courbes de 30 et 60° : 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 cm – Des linteaux armés : 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 cm / longueurs 125, 150 et 200 cm – Des accessoires de pose : mortier colle, colle prête à l’emploi, truelle.   Les carreaux SIPOREX Les carreaux, les carreaux courbes et les linteaux SIPOREX présentent des caractéristiques exceptionnelles pour tous les travaux d’aménagement. Résistant au choc et léger (22 à 55kg /m2), le béton cellulaire est un matériau plein qui peut recevoir des fixations lourdes. Imperméable, perspirant et hydrofuge, il peut s’utiliser dans toute la maison, même dans les pièces humides (cuisine, salle de bains). Incombustible et ininflammable, il est particulièrement adapté à l’habillage d’une cheminée. Pour le confort et le bien-être des occupants, c’est un matériau sain, écologique et classé A+, qui préserve l’air intérieur. Pratique, il convient pour de multiples applications. Par ailleurs, le carreau SIPOREX est simple à manipuler car il est compact et léger. Facile à mettre en oeuvre, il se découpe, se ponce et se façonne facilement pour offrir une grande liberté dans les projets. Pratique, il s’assemble par emboîtement ou par collage. De nombreuses finitions peuvent être posées sur les carreaux SIPOREX : enduits de finition, carrelage, peinture, toile de verre, résine…   Innovation : SIPOREX Easyfix Une colle prête à l’emploi pour simplifier la pose des carreaux SIPOREX Pour faciliter le montage des carreaux de béton cellulaire et réduire le temps de mise en oeuvre d’une cloison ou de réalisation d’un aménagement, SIPOREX lance une nouvelle colle vinylique : SIPOREX Easyfix. Classée A+ et labellisée EC1 Plus, cette colle est parfaitement adaptée aux travaux d’intérieur car sa formulation est saine et écologique. A très faible émission de COV, elle répond aux plus hautes exigences en matière d’environnement et de santé. Pratique et prête à l’emploi, SIPOREX Easyfix est une colle qui permet un montage à sec, rapide, sans préparation préalable, ni eau ni outillage ! Un véritable gain de temps. Ergonomique, le flacon à double embout (espacé de 4 cm) assure une bonne répartition de la colle sur la partie du carreau à encoller. Son temps d’ajustement est de 10 minutes, ce qui laisse le temps de bien positionner les carreaux. La bouteille d’1kg est adaptée pour un projet de 9 à 14 m2, et permet de coller 50 m linéaire de carreaux SIPOREX. Prix public conseillé : 17,50 euros HT / Points de vente : GSB, Négoces en matériaux   Une nouvelle communication orientée «projets utilisateurs» Les outils de communication (réseaux sociaux, site, guide de pose…) autour de la nouvelle gamme SIPOREX sont orientés sur les projets des utilisateurs. Ils veulent éveiller les envies d’aménagement à travers des visuels de projets finis, créatifs… et un discours simple « Avec des SI on peut tout faire ! » : PERFORMANT ! Un matériau résistant, léger, hydrofuge, coupe-feu, sain et écologique. FACILE ! Un matériau pour de multiples applications, mêmes les plus créatives grâce aux carreaux courbes, et rapide à poser avec la colle SIPOREX Easyfix. PRATIQUE ! Un matériau compact, facile à manipuler et à travailler, qui autorise plusieurs finitions. ECONOMIQUE ! Un matériau compétitif qui offre un gain de temps dans sa pose.   Un accompagnement soutenu des points de vente partenaires Pour accompagner le lancement de la nouvelle gamme SIPOREX, Xella met à la disposition des partenaires distributeurs un guide pratique à destination des utilisateurs. Concis et didactique, il présente les avantages des carreaux SIPOREX avec : – une approche projet « Avec des SI on peut tout faire ! » pour offrir la possibilité au lecteur de se projeter dans des réalisations concrètes, – un guide de choix, – les règles de montage pour les cloisons et les rangements. Des ILV et des offres promotionnelles sont aussi proposées. Avec ces outils, les points de vente peuvent orienter les particuliers et les professionnels dans leurs projets, et s’assurer une bonne rotation produits en magasin. Par ailleurs, pour parfaire les connaissances des points de vente partenaires, Xella va plus loin en proposant des sessions de formation en ligne et en organisant une journée de visite d’usine et de montage de produit. Enfin, Xella, partenaire du programme de fidélité VIPros, participe à l’opération « Série Illimité » pour promouvoir la nouvelle marque SIPOREX. Du 1er juin jusqu’au 30 octobre les artisans et professionnels du bâtiment ont la possibilité de gagner un véhicule utilitaire hybride Ford Transit Custom, ainsi que plusieurs lots offerts par les marques partenaires du programme VIPros.
Il y a 3 ans et 342 jours

SATURATEUR PUR-T® DECK – La haute protection anti-UV des terrasses et des bardages

Que ce soit pour aménager des esplanades de centres commerciaux, des terrasses de restaurants ou autres lieux publics… ou pour réaliser un bardage sur des bâtiments tertiaires, collectifs ou résidentiels, le bois est un matériau de premier choix. Authentique et noble, qu’il soit au sol ou en façade, il rend les espaces esthétiques et dans l’air du temps. Pour préserver durablement l’aspect naturel et chaleureux des caillebotis, des terrasses, des constructions ou des bardages en bois contre les assauts du temps, il est impératif d’entretenir et de protéger la surface. Plastor, spécialiste depuis plus de 50 ans de la formulation et de la fabrication de produits bois, propose le saturateur Pur-T® Deck, un produit de finition et de protection haute performance, facile à mettre en oeuvre et respectueux de l’environnement.   PUR-T® DECK Imperméabilise durablement le bois Bénéficiant d’une Fiche de Données Environnementales et Sanitaires (FDES), le saturateur Pur-T® Deck Plastor s’inscrit pleinement dans le cadre des chantiers HQE et d’écoconstruction grâce à sa formulation à faible empreinte écologique. Haute protection contre les intempéries, sa formulation en phase aqueuse, à base d’huile enrichie en anti-UV et en pigments résistants aux agressions extérieures, prolonge la beauté naturelle du bois. Le saturateur garantit ainsi une longévité particulièrement accrue au matériau. Le saturateur Pur-T® Deck permet de bloquer efficacement l’eau et l’humidité en surface grâce à son pouvoir hydrofuge renforcé. Nourri et imperméabilisé, le bois préserve durablement son aspect authentique et élégant. Il est parfaitement protégé des taches, même les plus grasses, et des salissures. Non filmogène, il ne s’écaille pas. Compatible avec les bois traités en autoclave, le saturateur Pur-T® Deck s’applique sur tout type de bois. Il est disponible en 4 teintes : naturel, teck, mélèze et bois grisé. Existe en 1 L – 5 L – 20 L
Il y a 3 ans et 348 jours

Projet de recherche « Odyssée des matériaux en feu extrême »

L'un des objectifs est d'élaborer des matériaux et des assemblages de matériaux possédant une faible inflammabilité, protégeant des substrats variés et limitant la propagation du feu. Il s'agira également de comprendre les effets de la microgravité sur le comportement au feu de polymères FR en plus des hauts flux de chaleur.Ses travaux s'inscrivent dans la continuité du projet « FireBar-Concept » pour lequel le Professeur Bourbigot avait obtenu une bourse de l'ERC (European Research Council) en 2015 et qui visait à élaborer des matériaux et des assemblages de matériaux ayant une faible inflammabilité, protégeant les substrats et limitant la propagation de l'incendie.De l'UMET à l'IUF : 30 années de recherche consacrées à accroître la résistance au feu des matériauxLes travaux sur le feu et la résistance des matériaux de Serge Bourbigot font référence depuis de nombreuses années. Sa nomination à l'IUF en octobre 2020 vient distinguer l'excellence scientifique et académique de ses activités de recherche en chimie et matériaux.Avec les 15 chercheurs de son équipe (enseignant-chercheurs, chercheurs, ingénieurs, doctorants et postdoctorants), il concentre ses travaux actuels sur la résistance et la réaction au feu des matériaux polymères, sa volonté étant d'élaborer de nouveaux matériaux qui ne s'enflamment pas en cas de stress et de développer les propriétés d'ignifugation de matériaux existants. Il travaille aussi à la modélisation des comportements des matériaux et du feu dans un environnement agressif et complexe, et au développement de méthodes de caractérisation et de mesures originales. Ses travaux se déclinent autour de deux axes : (i) Procédés d'élaboration de matériaux additivés et de revêtements (synergie et formulation, extrusion réactive, nanocomposite, spectrochimie) et (ii) Similitude et modélisation (réduction d'échelle et analyse dimensionnelle, analyse cinétique, modèle de pyrolyse).Pour cela, le Professeur Bourbigot exploite le potentiel offert par les nouvelles techniques de simulation numérique qui permettent de toucher du doigt les limites de certaines idées et d'explorer d'autres champs d'investigation. En conceptualisant les protections au feu par des assemblages numériques et par la simulation, il peut définir et optimiser de nouveaux designs de multi-matériaux. Il aborde les aspects de similitude pour créer des scénarios 'feu' à échelle réduite. Cela lui apporte une grande flexibilité dans ses expériences et de la rapidité dans le développement de nouveaux matériaux performants.Trois domaines plus particulèrement investis en 2021En termes de domaines d'application, Serge Bourbigot et son équipe travaillent sur :le secteur du nucléaire - par exemple, pour contribuer à la longévité des centrales, ce qui requiert l'installation de systèmes et équipements spécifiques à base de matériaux adaptés au feu (clapets anti-feu, chatières, câbles ...) ;les batteries électriques telles celles installées dans les voitures ou les avions et qui nécessitent des protections spécifiques pour parer ou retarder le déclenchement de l'incendie en cas de prise de feu ;les milieux confinés où les charges thermiques croissent très vite et ont un très grand rayon d'action, sur des sites spécifiques type plateformes pétrolières ou raffineries où le feu se propage sous forme de jets, ou encore dans des espaces en microgravité comme au sein des fusées et de la station spatiale internationale.Sur ce point, un projet multi-partenarial est en cours, mobilisant des équipes de Centrale Lille, de Sorbonne Université et de Aix-Marseille Université. Déposé auprès du CNES, il regarde comment se comportent des polymères retardés à la flamme agissant en phase gaz (libération de radicaux libres phosphorés) ou en phase condensée (phénomènes d'intumescence physique et chimique).Diplômé de l'ENSCL (promotion 1990), Serge Bourbigot est docteur en spectrochimie, et habilité à diriger des recherches depuis 1993. Maître de conférences à l'ENSCL de 1995 à 1999, il devient professeur des universités en 1999 et rejoint l'ENSAIT de 1999 à 2003, avant de revenir à l'ENSCL en 2003 et depuis 2020 à Centrale Lille.Rattaché à l'UMET (Unité Matériaux et Transformation, CNRS UMR 8207), il est responsable de l'axe de recherche dédié à l'ingénierie des systèmes polymères et pilote l'équipe sur la réaction et la résistance au feu des matériaux.Il a participé au dépôt d'une dizaine de brevets.Le 1er octobre 2020, il a été a été nommé membre Senior de l'IUF (Institut universitaire de France) pour 5 ans.
Il y a 3 ans et 349 jours

Ligexia : Défi du bas carbone de Ciments Calcia

Les liants hydrauliques bas carbone Ligexia M4 et M4+ sont idéals pour le traitement des chaussées en place. [©Ciments Calcia] Dans la continuité de son offre de ciments à faible empreinte carbone VisionAir, Ciments Calcia lance deux liants hydrauliques routiers bas carbone. Les Ligexia M4 et M4+ sont ainsi dédiés au traitement des chaussées en place. « Solutions techniques dédiées aux opérations de voirie et terrassement, ils intègrent les enjeux de la transition écologique portés par les collectivités territoriales »,indique l’industriel. Leurs performances mécaniques s’avèrent équivalentes à un liant hydraulique routier conforme à la NF EN 13282-1. Mais toute ressemblance avec un liant routier lambda s’arrête là. En effet, la formulation de Ligexia M4 affiche une réduction de 20 à 30 % des émissions de CO2. Et celle de Ligexia M4+ de 10 à 20 %, par rapport au liant référent Ligex M4.
Il y a 3 ans et 354 jours

Michèle Duval rejoint Sika France

Michèle Duval vient d’être nommée directrice du pôle béton. [©Sika] Création de poste chez Sika France. Michèle Duval vient d’être nommée directrice du pôle béton, sous la responsabilité de Pascal Malafosse, directeur général de l’entreprise. Elle y aura en charge de développement de l’ensemble de l’offre “adjuvantation” destinée à la formulation et à la protection des bétons. Elle aura aussi pour mission de mettre en place de nouvelles solutions et de nouveaux produits pour répondre aux futures attentes du marché. Bien entendu, dans le cadre de ses fonctions, elle encadrera les équipes techniques et marketing dédiées au béton. « Je suis ravie de rejoindre Sika, dont les principes centrés autour de la priorité au client et à l’innovation sont des valeurs qui me sont chères et pour lesquelles j’aime m’investir. Ces premières semaines laissent présager de très beaux projets pour accompagner nos clients dans leur développement », indique Michèle Duval. Le parcours de Michèle Duval Michèle Duval a effectué une grande partie de sa carrière au sein de Lafarge France et connaît donc très bien le secteur du béton et des matériaux de construction. Elle apportera ainsi ses connaissances du marché béton, afin de développer cette activité chez Sika.  Diplômée de l’Ecole des mines de Nancy et d’un master of science à l’université de Strathclyde en Ecosse, Michèle Duval a acquis une double culture marketing et technique chez Lafarge. Dernièrement directrice marketing LafargeHolcim France, elle y a développé les offres ciments, bétons et granulats.
Il y a 3 ans et 360 jours

Fasfox : Suivre, gérer et optimiser son bétonnage

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Concrete Dispatch permet de suivre et de gérer les bétonnages sur chantier [©Fasfox] Imaginé par la start-up Fasfox, Concrete Dispatch se présente comme un logiciel de gestion et de suivi des bétonnages. Il permet de contrôler le cycle de vie des bétons sur chantier. Dans la phase précédant le bétonnage, l’application sert à planifier la date souhaitée, la formulation prévue, ou encore les ouvrages et les éléments à réaliser. Concrete Dispatch offre la possibilité de gérer sa comptabilité avec les bons de livraison de la plupart des fournisseurs. Durant le bétonnage, l’application, disponible sur mobile, revêt un autre rôle. A ce stade, l’opérateur peut scanner ses bons de livraison, suivre la ventilation du bétonnage par ouvrages et éléments d’ouvrages. Mais aussi, les contrôles qualité sur chantier (température, affaissement ou étalement…). L’application de Fasfox prend ainsi en considération les prestations de pompage, les retours bétons, les retards camions. Enfin, à la fin du bétonnage, elle envoie une notification. Elle autorise la gestion des données récoltées durant le chantier : des informations qui sont stockées et qui peuvent être exportées. Avec sa solution, Fasfox promet une mise en place du dispositif en moins d’une semaine sur un projet. Dernièrement, Concrete Dispatch a été utilisée sur les chantiers franciliens de la ligne 15 Sud, du prolongement de la ligne 11 ou encore sur le lot 2 de la ligne 16, dans le cadre du Grand Paris. Aujourd’hui, Concrete Dispatch est en cours de déploiement sur le chantier du port du Havre (76).  Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 361 jours

Fabrication additive : Une technologie en cours de démocratisation

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine L’’impression 3D béton s’inscrit dans la stratégie bas carbone en France. [©Vicat] Dans la trilogie “Retour vers le futur”, sortie dès 1985, le réalisateur Robert Zemeckis nous fait voyager dans le temps. A bord d’une DeLorean DMC-12 quelque peu modifiée, Marty McFly et le docteur Emmett Brown explorent le passé, mais aussi le futur. Dans le deuxième opus, les protagonistes se retrouvent en 2015. Ici, les voitures volent et les pizzas sont prêtes en 2 s ! Tous les codes de la science-fiction dépeignant le futur sont réunis. Si la domotique et la notion de “maison connectée” y sont perçues, les bâtiments et leur architecture ne semblent pas trop avoir bougé. Pourtant, dans la vraie vie, si nos déplacements ne se font pas encore par lévitation, le monde de la construction a bien évolué. Parmi les innovations, la fabrication additive ou impression 3D béton fait de plus en plus parler d’elle. Notre n° 91 lui était consacré. En effet, la discipline ouvre une multitude de problématiques que les industriels, selon leurs expertises, tentent d’élucider. D’un point de vue matériau et matériel, la technologie demande un savoir-faire particulier : l’encre minérale, l’imprimante et les logiciels sont trois composantes d’un tout.  Un trio gagnant La majorité des technologies actuelles utilisent le principe de la dépose d’un cordon de béton en couche par couche. Le matériau mis en œuvre doit donc tenir en place pour supporter son propre poids et être assez fluide pour que les couches adhèrent entre elles. La matière doit aussi répondre aux besoins classiques de durabilité, de performances… De plus en plus d’industriels proposent des gammes dédiées à la fabrication additive, à l’image de Cemex, Ciments Calcia ou encore Vicat. Du côté de l’imprimante, plusieurs “camps” s’affrontent. Il y a ceux qui s’ancrent dans la lignée de la construction hors site. Ainsi, l’outil est installé en usine où elle imprime des éléments à emporter. C’est le cas d’industriels comme Soliquid et XtreeE. D’autres ont misé sur des imprimantes nomades qui se déploient sur chantier. La start-up Valenciennes Construction 3D ou Cobod s’inscrivent dans cette mouvance. Quelle que soit la technique adoptée, la buse et le dispositif d’extrusion sont des points sensibles. Enfin, les différents logiciels de pilotage et de modélisation, qui peuvent être imaginés par le fabricant de l’imprimante ou par un éditeur indépendant, permettent de faire la traduction numérique de la volonté architecturale. Une transition environnementale et numérique Plusieurs enjeux entourent la fabrication additive. La dimension environnementale intervient naturellement. Au cœur de la future RE 2020, la transition écologique de la construction fait partie de la stratégie bas carbone de la France. Les acteurs de l’impression 3D béton mettent en avant les avantages de leur discipline dans ce domaine. A savoir, l’optimisation des matières premières, la construction hors site et l’utilisation du bon matériau au bon endroit. L’impression 3D est aussi une résultante de la transition numérique de la construction. Cemex l’englobe ainsi dans ce qu’il appelle la « fabrication digitale ». Cette dernière peut répondre aux problématiques de pénibilité sur chantier avec moins de compagnons nécessaires in situ. Et en même temps, à la résolution de défis techniques dans la construction, que ce soit dans les formes architecturales ou dans la rapidité de conception. Reste à résoudre quelques freins : le coût, la réglementation ou encore la formulation vue sous le prisme de l’économie circulaire. Il reste encore de grandes avancées à accomplir avant d’atteindre une démocratisation de la fabrication additive. Korodur : « Une nouvelle liberté d’écriture » Créé en 1936, le groupe familial allemand Korodur fabrique et commercialise des solutions minérales pour sols industriels. A l’entrée de son siège, le nom Korodur s’inscrit en lettres géantes, imprimées en 3D ! En effet, depuis plus de 10 ans, l’industriel s’est lancé dans l’aventure de la fabrication additive. « En 2012, un de nos partenaires néerlandais nous a présenté Berry Hendriks, raconte Nikola Heckmann, présidente de Korodur. A ce moment-là, il lançait sa start-up Cybe et avait pour ambition de révolutionner la construction avec l’impression 3D. A l’époque, c’était fou, mais nous avons décidé de travailler ensemble en nous occupant de la partie matériau. » Avec son expertise dans la conception de mortiers, Korodur a pris le temps de trouver la bonne formulation. Le tout en utilisant un ciment à impact carbone réduit. « Le mortier à imprimer doit être à prise rapide, ne pas se déformer sous son poids et chaque couche doit adhérer sur la précédente. De plus, le matériau doit s’adapter à l’imprimante et au logiciel. Les trois fonctionnent ensemble. Après plusieurs mois de recherche, nous avons réalisé avec Cybe notre premier objet : un banc. » Korodur s’est associé à Cybe pour développer la fabrication additive. [©Korodur] Depuis, Korodur et son partenaire se sont lancés dans des projets à l’international. A Dubaï, ils ont réalisé un bâtiment dédié aux drones qui surveillent les pipelines. Au Japon, ce sont des toilettes publiques… Il y a aussi l’Afrique du Sud, la Nouvelle-Zélande et la France, avec une maison en Normandie. « L’impression 3D est intéressante et doit avoir sa place dans l’évolution de la construction. Elle donne une nouvelle liberté d’écriture pour les architectes et les designers. Mais répond aussi à des défis techniques pour la préfabrication, par exemple. »  Lycée Louis Loucheur : L’impression 3D dès le plus jeune âge Dans le cadre du programme “Espace d’innovation partagée”, le lycée professionnel Louis Loucheur, à Roubaix (59), a reçu une dotation de la Région Hauts-de-France. Une manne qui a permis à l’établissement de mettre en place une nouvelle matière à son cursus “gros œuvre” : l’impression 3D. « Nous avons acquis une Mini Printer de Construction 3D, explique Régis Schefller, enseignant au sein du lycée. Nous avons bénéficié d’une formation pour pouvoir être autonomes. » Aujourd’hui, le lycée travaille avec des mortiers de Parexlanko dédiés à l’impression. « Les élèves sont très curieux de ce que l’on peut faire avec. Nous espérons que cela représentera un atout pour promouvoir les formations dans le bâtiment et de montrer une autre facette de nos métiers. » A Roubaix, le lycée Louis Loucheur vient d’intégrer l’impression 3D béton dans son cursus de formation. [©Lycée Louis Loucheur] Saint-Gobain : Voici les clefs Fin avril 2020, Saint-Gobain a remis les clefs à d’heureux résidents d’une maison un peu particulière. A Eindhoven, aux Pays-Bas, ce bâtiment de 94 m2a été entièrement réalisé en impression 3D. Pour rappel, Saint-Gobain Weber Beamix conçoit des mortiers spéciaux pour cette application. Ici, 24 éléments en béton ont été préfabriqués, avant d’être acheminés in situ. Cette maison est la première du programme Milestone, qui en comptera 5 au total. Chaque nouvel habitat sera optimisé grâce aux enseignements tirés des précédentes mises en œuvre.  Aux Pays-Bas, Saint-Gobain a livré sa première maison imprimée en 3D béton. [©Saint-Gobain] Sivagami Casimir Retrouvez l’ensemble du dossier : Que seront les bétons de demain ? Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 94
Il y a 3 ans et 361 jours

Groupe Daniel : Le béton recyclé disponible à Pau

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Le groupe Daniel lance son béton recyclé. [©Groupe Daniel] PYRENEES – ATLANTIQUES. Déjà acteur dans l’économie circulaire avec les granulats recyclés, le groupe Daniel poursuit sa logique de développement durable et de valorisation. Ceci, en proposant du béton formulé avec des granulats recyclés issus de la déconstruction. Mais aussi de la démolition ou encore des retours de chantiers. Le béton est récupéré sur les trois plates-formes de valorisation du groupe pour être réincorporées dans de nouvelles formules. La procédure de tri sélectif des déchets béton et des autres matériaux de démolition (plastique, bois, ferraille, plâtre) doit répondre à un haut niveau d’exigence, qui déterminent la régularité de la résistance du futur béton. Les bétons issus de la démolition sont ensuite concassés, avant de passer au déferraillage et au criblage.  Du béton recyclé dans des blocs décoratifs La production du béton recyclé répond ainsi à des procédures strictes de contrôles et de traçabilités. La technique d’élaboration du béton reste une étape clef. Pour cela, le laboratoire interne du groupe Daniel a mené de nombreux essais pour la création de nouvelles coupures aptes à atteindre les niveaux de régularité et de durabilité nécessaires à la formulation des bétons.  Lire aussi les autres actualités en région Des solutions d’aménagements comme les blocs décoratifs matricés effet bois ont été produits à partir de béton 100 % recyclé dans les usines de préfabrication à Abos et Tarnos. La réalisation de chantiers pour des fondations et des dallages a aussi été effectuée et sont conformes aux attentes règlementaires. Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 361 jours

Eiffage a fait le choix de Sdec

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine La sonde Sono M1 de Sdec, déployée sur les sites d’Eiffage Route. [©Sdec] INDRE- ET- LOIRE. Il y a trois ans, Eiffage Route cherchait une solution pour la gestion de l’humidité des sables. « Jusque-là, nous passions par le classique test en laboratoire, explique Alassane Balde, ingénieur matériel pour le groupe. Il s’agissait de réaliser des prélèvements, de les chauffer et de comparer les poids des échantillons secs et humides. Cette solution souffrait du peu de flexibilité qu’elle offrait. Le processus était trop long pour être vraiment adapté à nos besoins. » Denis Bourdelier, responsable matériel pour la région Grand-Sud d’Eiffage Route, teste alors la sonde Sono M1, accompagnée du boîtier HD2 de Sdec. Et Alassane Balde, de préciser : « Avec cette solution, la mesure se fait directement sur les tas de matières. En 10 s, la valeur est connue. Nos équipes peuvent donc faire des mesures dès qu’il y a un changement de météo ou un doute sur les valeurs. La formulation des bétons est donc sans cesse adaptée. Cela professionnalise une action qui dépendait jusque-là de l’expérience des compagnons. » Lire aussi les autres actualités en région Convaincu, Denis Bourdelier lance un déploiement national de la solution. « Nous avons aujourd’hui une trentaine de sondes en fonctionnement. Mais cela devrait encore progresser, jusqu’à une cinquantaine. D’autant que nous nous sommes aperçus que les sites qui disposent de cette solution, associée à notre application de suivi énergétique, voient leur consommation se rationaliser. Cela nous procure ainsi un gain d’efficacité et une économie d’énergie », conclut Alassane Balde. Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 362 jours

La filière cimentière veut réduire de 80% ses émissions de CO2 d'ici 2050

ENGAGEMENT. L'industrie cimentière a rendu publics aujourd'hui ses objectifs pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre. Recyclage des matériaux, reformulation de la fabrication de ciment, plusieurs propositions ont été formulées par le Syndicat français de l'industrie cimentière (Sfic).
Il y a 4 ans et 6 jours

TEC7 lance une nouvelle gamme de produits de haute technologie pour prévenir et réparer quasiment tous les problèmes liés aux infiltrations d’eau dans les bâtiments

Le spécialiste du collage et de l’étanchéité TEC7 lance une nouvelle gamme de produits de haute technologie pour prévenir et réparer quasiment tous les problèmes liés aux infiltrations d’eau dans les bâtiments : WP7 (Wateprotec7). Les dégâts provoqués par une mauvaise étanchéité sont nombreux et il existe aujourd’hui une multitude de produits, mais souvent compliqués à mettre en œuvre. C’est en partant de ce constat que TEC7 a mis au point sa nouvelle gamme professionnelle, capable de traiter une majorité des travaux d’étanchéité des murs et des toitures avec 7 produits de haute qualité. TEC7 propose des solutions simples à utiliser et d’une extrême résistance dans le temps. Grâce, notamment, à ses formulations uniques et à son précédé basé sur la technologie MS polymère Hybride, les produits TEC7 sont très efficaces, même sur les supports difficiles à traiter.   La nouvelle gamme WP7 se décline en 4 produits pour la toiture, résistants à l’eau, mais également aux UV et à la chaleur : ÉTANCHE TOITURE UNIVERSEL (WP7-101) ÉTANCHE DE SUITE (WP7-201) ROOFTAPE (WP7-202) ÉTANCHE TOITURE (WP7-301) WP7 c’est également 3 produits pour les murs et les caves, répondant aux besoins d’isolation,d’assainissement et de traitement des sels des eaux souterraines : HYDROFUGE FAÇADE (WP7-401) STOP HUMIDITÉ MONTANTE (WP7-402) ÉTANCHE MURS+CAVES (WP7-501)
Il y a 4 ans et 13 jours

Bloomberg plaide sa bonne foi dans l'affaire du faux communiqué sur Vinci

En décembre 2019, Bloomberg s'était vue infliger une amende de cinq millions d'euros par l'AMF pour avoir manipulé les marchés en diffusant de fausses informations qui avaient fait chuter le cours de l'action du groupe de BTP, Vinci.Le cours avait plongé de 18,28% avant de se redresser pour clôturer en baisse de 3,78%. Un préjudice évalué par l'AMF à 6,5 millions d'euros pour les investisseurs.Devant la cour, les avocats de Bloomberg ont plaidé la "bonne foi" des deux journalistes de l'agence qui "n'ont pas tiré profit" de la diffusion des fausses informations. Ils ont jugé la sanction "exorbitante" et "sans précédent en France et en Europe" tandis que la défense de l'AMF souligne que le montant représente "5% du maximum encouru"."Au nom de quoi un journaliste qui se trompe de bonne foi devrait-il encourir une sanction presque 1.000 fois plus importante qu'un traître à la nation"?, clame Me Jean-Charles Jaïs, l'un des avocats de Bloomberg, évoquant la sanction prévue pour le cas où une fausse nouvelle diffusée de mauvaise foi ébranle le moral des armées.De son côté, la défense de l'AMF reproche aux journalistes d'avoir diffusé l'information "sans vérification ni lecture du communiqué dans son intégralité", et soutient que "la bonne foi implique d'agir dans le respect des règles de la profession".Les journalistes avaient diffusé en novembre 2016 plusieurs dépêches sur la base d'un communiqué frauduleux qui avait annoncé la révision des comptes consolidés du groupe en raison de prétendues irrégularités ayant entraîné une perte nette et le prétendu licenciement de son directeur financier.Ce communiqué était faux dans son contenu et dans sa provenance, mis en ligne sur un site miroir, imitant le vrai site (vinci.group et non vinci.com). Le document était signé du nom du véritable responsable des relations presse de Vinci, en renvoyant à un faux numéro de téléphone.Liberté de la presse"Comment reprocher à Bloomberg de ne pas s'être aperçue que le numéro en bas du communiqué n'était pas le bon?", interroge un autre avocat de Bloomberg, Me Arnaud de la Cotardière. "Je ne connais même pas le numéro de téléphone de mes enfants!"Pour lui, "le titre Vinci n'a pas chuté à cause d'une mauvaise foi mais à cause de cybercriminels hors norme" que même "la police n'a pas pu retrouver".Une enquête avait été ouverte par le Parquet national financier mais celle-ci a été "classée sans suite pour motif: auteur inconnu", avait rappelé plus tôt la rapporteure.Selon la défense de Bloomberg, le postulat d'un "faux grossier" retenu par la partie adverse ne tient pas: la source était "en apparence crédible" et le faux communiqué, "la reproduction à l'identique d'un vrai"."Les faussaires ont usurpé de véritables identités pour acheter des lignes téléphoniques payées en bitcoin", révèle Me de la Cotardière.Aussi, "Bloomberg n'a pas été la seule à être trompée mais a été la seule à découvrir la supercherie", fait-il valoir, indiquant que trois autres agences de presse dont l'allemande DPA, la britannique Reuters, l'américaine Dow Jones ainsi que le journal les Echos s'étaient également fait piéger. Mais l'AMF n'en fait "pas mention", déplore-t-il."Domaine erroné, fautes d'orthographes, formulations douteuses" auraient pourtant dû mettre la puce à l'oreille aux journalistes de Bloomberg, estime de son côté le Parquet, partageant l'avis de l'AMF qui insiste sur "l'intérêt public de protéger le marché et les investisseurs"."Des coquilles, il y en a aussi dans les rapports de l'AMF", ironise Me de la Cotardière.Les deux journalistes avaient été alertés par un collègue ex-spécialiste de Vinci que la société avait fait l'objet d'un faux communiqué en 2014. Dès qu'ils ont compris avoir été dupés, ils ont supprimé les annonces et diffusé rectificatifs et démentis avant même que Vinci ne publie son démenti officiel."Ce qui est en jeu, c'est le respect de la liberté de la presse", a martelé Me Jaïs. "L'AMF ne connaît pas la réalité de ce métier" mais veut, selon lui, "déterminer les règles applicables" à la profession.La décision sera rendue le 16 septembre.
Il y a 4 ans et 27 jours

Le futur collège de Remoulins affiche de fortes ambitions environnementales

Agir face au changement climatiqueLe futur établissement remplacera l’ancien collège Voltaire construit dans les années 60, aujourd’hui dépassé en termes de normes et de capacité d’accueil. Partiellement situé en zone inondable, le nouveau bâtiment pensé par NM2A Architecture est bâti sur pilotis et met en scène les matériaux bois et béton.Projet issu d’une démarche environnementale ambitieuse, le futur collège de Remoulins vise à répondre à plusieurs exigences en ce sens : labels BEPOS et E3C1, Démarche Bâtiments Durables Occitanie (niveauOr), Bâtiment Nowatt. D’où la pertinence d’utiliser des bétons bas carbone pour sa construction.Un besoin ? Un bétonCEMEX, depuis son unité de production de Montfrin située à seulement 7 kms du chantier, a fourni à son client Eiffage Construction, entreprise générale, près de 5 000 m³ de bétons à faible teneur en carbone, dont près de 3 000 m³ de Vertua® classic et 2 000 m³ de Vertua® plus, affichant respectivement une diminution de l’empreinte carbone de 20 à 35 % et de 35 à 60 % ; un apport non négligeable dans l’atteinte des ambitions environnementales du maître d’ouvrage. De plus, CEMEX a livré des bétons architectoniques gris et blancs pour la réalisation des murs des couloirs du bâtiment conçus comme de grandes avenues. Pour ces bétons esthétiques, atteindre à la perfection la teinte exigée par l’architecte a nécessité plusieurs formulations et échantillons peaufinés par les équipes techniques. Enfin, c’est l’unité de production nîmoise qui produit les 200 m³ de chape anhydrite destinés aux 4.800 m² de planchers et dont les caractéristiques évitent la multiplication de joints de fractionnementPas de compromis sur la santé et la sécuritéAfin de préserver la sécurité des usagers du collège et de leurs accompagnants, CEMEX a adapté son planning de production et de livraison aux horaires scolaires, l’ancien établissement toujours en fonctionnement étant situé à proximité immédiate du chantier. Autre illustration de l’engagement de CEMEX dans la santé et la sécurité de ses parties prenantes : sa plateforme 100 % digitale spécialisée dans la gestion des commandes de matériaux et le suivi des livraisons en temps réel. CEMEX Go a effectivement contribué à améliorer les performances sécurité (distanciation physique), environnement (0 papier) et productivité (facilité et souplesse d’utilisation, gain de temps) d’Eiffage Construction ; un atout appréciable dans la gestion de ce chantier devant être livré d’ici au second semestre 2021 pour permettre, dès janvier 2022, de recevoir les collégiens de Remoulins et de ses environs, et ce dans le plus grand respect des hommes et de l’environnement.
Il y a 4 ans et 28 jours

Des formulations en pleine évolution

Pour concilier empreinte carbone, performances, exigences réglementaires et mise en œuvre, les fabricants travaillent sur de nouvelles solutions ouvrant la voie à des liants alternatifs.
Il y a 4 ans et 33 jours

A tout lieu sa formule, écriture de circonstance et ar(t)chitecture

La formule aide à lire et agit sur le lieu, elle le compose temporairement. Son écriture participe à la conception de l’œuvre. Elle aura une incidence sur l’apparence du bâtiment mais aussi sur son écho, son utilisation (faire résonner l’instrument) et la manière dont il est perçu, approprié. (Fin)* Formulation La structure de la formule […] L’article A tout lieu sa formule, écriture de circonstance et ar(t)chitecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 40 jours

Sika teste en France sa première génération de mortiers “durables”

Sika France lance cinq nouveaux mortiers de réparation plus “durable”. [©Sika] « Plus de valeur, moins d’impact » constitue le leitmotiv de la stratégie de Sika. Le but ? S’ancrer dans une démarche environnementale, tout en garantissant des solutions techniques. « Nous nous sommes fixé six cibles stratégiques à atteindre d’ici 2023 », explique Virginie Guittard, responsable développement durable chez Sika France. Parmi ces objectifs, l’industriel s’attaque à la performance climatique et énergétique. Ainsi, Sika souhaite réduire sa consommation d’énergie par l’utilisation de nouvelles technologies et la pratique opérationnelle. Le groupe compte diminuer aussi de 12 % ses émissions de CO2/t vendues d’ici 2023. D’autre part, le traitement des déchets et de l’eau constitue un axe majeur. Avec comme ambition la réduction de 15 % de quantité d’eau par tonne vendue et l’augmentation de 25 % de part de déchets recyclés. L’engagement sociétal et la sécurité au travail font partie du programme de cette stratégie environnementale. Enfin, outre ces mesures impactant son process de fabrication et ses pratiques, l’industriel suisse développe des solutions plus en adéquation avec cette philosophie.  Une méthode dotée de critères techniques et environnementaux Afin d’évaluer cette dernière démarche, Sika s’est basé sur la méthode PSA1 du World business council for sustainable development (WBCSD). Une organisation mondiale regroupant près de 200 entreprises engagées dans la transition écologique. La méthode comprend six catégories pour la partie technique et une douzaine pour les bénéfices environnementaux [voir tableau]. Chaque critère comprend une note pour classer le produit. Des preuves, tests, essais, analyse du cycle de vie et Fdes sont nécessaires afin d’appuyer la notation.  « Nous ne voulons pas dissocier la performance et le développement durable, détaille Nicolas Chaignon, chef de marché gros œuvre. La France est la filiale pilote pour la mise sur le marché de cinq produits allant dans ce sens. » Sika France a lancé une nouvelle gamme de mortiers “développement durable” dans le domaine de la réparation des bétons. Ces solutions viendront remplacer les équivalents moins écologiques déjà présents sur le marché et dans la gamme Sika. Elles répondent toutes aux exigences de la certification environnementale Leed v4.  Une nouvelle gamme de mortiers Sika MonoTop-1010 est une protection anti-corrosion des armatures. Il a pour équivalent le Sika MonoTop 910 N. Le nouveau mortier bénéficie d’une empreinte carbone réduite de 25 %. Le mortier de réparation structurale et de surfaçage Sika MonoTop-3020 enregistre une empreinte carbone de – 15 % et – 44 % d’émissions de poussières. Il s’ancre dans la norme NF EN 1504-3 (R3) et son équivalent est le Sika MonoTop 723 N.Sika MonoTop-4012 F est l’équivalent du Sika MonoTop 412 N. Il se caractérise par une empreinte carbone de – 21 % et répond à la norme NF EN 1504-3 (R4). Le mortier de scellement et de calage SikaGrout-234, ex-Sika Grout 217, voit son empreinte carbone diminuée de 38 %.SikaWall-180 Viscorep, ancien Sika Viscorep, est un mortier de ragréage ultra fin pour murs, plafonds, utilisable en intérieur comme en extérieur. Il est caractérisé par de faibles émissions de COV (A+/Excell +) et une réduction des poussières de – 67 %. Si la nouvelle formulation de ces produits n’a pas été dévoilée, l’équipe de Sika France évoque les pistes d’amélioration. « Nous avons travaillé au cas par cas, conclut Nicolas Chaignon, chef de marché gros œuvre. Nous avons joué sur la part des matériaux recyclés, les additifs que nous avons modifiés, réduits ou substitués par d’autres. »  1Portfolio Sustainability Assessment = Evaluation développement durable du portefeuille produits.
Il y a 4 ans et 40 jours

In béton veritas

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. La cuve sphérique de vinification, imaginée par la start-up française Galileo, est fabriquée en béton allégé, naturel et sans adjuvant. [©Préfa Périgord] Il n’est pas rare de retrouver la mention “élevé en fûts” sur les étiquettes des bouteilles de vin. On pense naturellement à des fûts en chêne. Pourtant, le béton tend à se développer dans ce secteur. Ainsi, la cuve sphérique de vinification imaginée par la start-up française Galileo fait tourner toutes les têtes. Rotative de 15 ou 30 hl, elle est fabriquée en béton allégé, naturel et sans adjuvant. Et “Made in Préfa Périgord”, filiale de Seguin Moreau. Les formes de la nature « Sa rondeur vient de la forme du raisin, de la terre, du soleil, au plus près de la nature. Cela permet une vinification meilleure, indique Julien Béral, technicien étude/qualité chez Préfa Périgord. Cette forme sphérique minimise le ratio entre la surface externe et le volume contenu. Elle permet de préserver les variations de températures, les mouvements de convection. Et enfin, elle favorise les extractions douces. La composition naturelle innovante du matériau renforce les propriétés thermiques du béton. Et ce, sans aucun additif chimique. » C’est une formulation interne, mais avec la collaboration de LafargeHolcim. Ce béton est deux fois plus isolant qu’un béton classique. Le poids de la cuve est réduit de moitié vis-à-vis des contenants usuels en béton. Cette cuve peut donc être plus déplacée sans difficulté dans la cave. Ce qui permet de changer son organisation entre la période de vinification et celle d’élevage. Les équipements complémentaires (tuyaux, vannes et trappes) sont en inox et garantissent l’aptitude au contact du vin. Cette cuve sphérique de vinification est “Made in Préfa Périgord”, filiale de Seguin Moreau. [©Préfa Périgord]« Sa rondeur vient de la forme du raisin, de la terre, du soleil, au plus près de la nature. Cela permet une vinification meilleure, indique Julien Béral, technicien étude/qualité chez Préfa Périgord. [©Préfa Périgord] « La sphère elle-même, forme parfaite, limite la surface d’échange des jus en fermentation avec l’extérieur. Elle a été conçue sur le principe de l’igloo et elle dispose d’un circuit de thermo-régulation directement intégré dans la masse du béton », conclut Benoit Verdier, directeur technique chez Galileo et co-inventeur de la sphère. Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 40 jours

Master Builders Solutions France : Et le nouveau MasterSuna devient plastifiant

Cet article est à retrouvé dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Le MasterSuma SBS 4131 est le premier plastifiant réducteur d’eau pour bétons formulés avec des sables argileux. [©Master Builders Solutions] Dès lors qu’ils contiennent certains types d’argiles (dont l’argile gonflante), les sables deviennent inaptes à la production de bétons. De fait, les carriers peuvent se retrouver avec des stocks importants de matières premières inutilisables, alors même que le pays manque de ressources… C’est pour permettre de valoriser ces matériaux que Master Builders Solutions France (MBS) a lancé, il y a déjà quelques années, le MasterSuna SBS 3890. « Il s’agissait d’un ajout destiné à fonctionner en synergie avec un plastifiant ou un superplastifiant », rappelle Christophe Landry, directeur technique adjuvants de MBS France. Et de poursuivre :« Les argiles gonflantes présentent dans le sable captent de manière préférentielle les polymères du MasterSuna SBS 3890, permettant au plastifiant ou au superplastifiant de faire son travail sans être neutralisé ».  En d’autres termes, le MasterSuna SBS 3890 fait office de produit sacrificiel. Toutefois, cette approche a montré quelques limites d’utilisation, car l’ajout est sensible à la concentration d’argile. Il faut donc veiller à bien ajuster son dosage.  Si le MasterSuna SBS 3890 poursuit son existence dans l’offre de MBS France, l’industriel vient demettre sur le marché une toute nouvelle génération MasterSuna SBS 4131.« Plus qu’une simple évolution, il est question en réalité d’un produit totalement inédit », reprend Christophe Landry.  Peu sensible à l’action électro-statique des argiles Changement majeur : le nouveau MasterSuna SBS 4131 entrant dans le concept MasterSuna Sand Blocker Solutions n’est pas un ajout, mais un adjuvant, mono-composant, qui plus est. « Il entre dans la famille des plastifiants réducteurs d’eau. ». Son secret ne peut être vu que sous le microscope. « Le “4131” intègre un nouveau polymère dont les terminaisons sont très peu sensibles à l’action électro-statique des argiles,explique Christophe Landry. Ainsi, l’adjuvant n’est plus adsorbé par ces argiles, mais par le ciment, comme il se doit». Ainsi, en présence de sables argileux – dans les limites autorisées par les normes NF EN 12-620 et NF P 18-545 -, le MasterSuna SBS 4131 s’acquitteseul de la mission de plastifiant qui lui a été attribuée. « Produit mono-composant, il peut aussi être utilisé en synergie avec d’autres adjuvants, tels des superplastifiants traditionnels, des retardateurs de prise ou encore des entraîneurs d’air ». Au quotidien, son utilisation ne se distingue pas de ses congénères. On reste sur des plages de dosages classiques comprises entre 0,3 et 1,2 % de la masse de ciment. « Le nouveau MasterSuna SBS 4131 permet de garantir des formulations robustes pour des bétons réalisés avec des sables argileux », conclut Christophe Landry.  Cet article est à retrouvé dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 40 jours

3Béton s’implante sur l’arc alpin

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine La nouvelle centrale 3Béton est construite à l’intérieur d’un bâtiment fermé. [©3Béton] Isère. Une nouvelle entreprise de production de béton prêt à l’emploi est en train de voir le jour dans la région grenobloise. C’est à Domène, en périphérie Est de la préfecture iséroise, que 3Béton achève la construction de sa toute première centrale. « 3Béton souhaite se positionner sur les solutions bas carbone et valorisant les matières premières issues du recyclage », indique Emmanuel Garcia, directeur technique et co-fondateur de 3Béton. Ceci, avec Patrick Sallemand et Laurent Morniroli. Le nouvel entrant s’inscrit donc dans l’air du temps. « Le contexte de la construction est en pleine mutation. Les attentes des utilisateurs évoluent aussi. L’expérimentation est acceptée plus facilement. » Laitier de hauts fourneaux, granulats recyclés, formulations adaptées constituent ainsi les fondamentaux de l’entreprise, qui reste ouverte à toutes les opportunités.  De fait, son outil industriel est dimensionné pour les bétons bas carbone. Sa première caractéristique est d’être construit à l’abri d’un bâtiment fermé. Une approche qui simplifie la gestion des éventuelles émissions de poussières et du bruit. De conception italienne, la centrale signée MCF Systems s’articule autour d’un malaxeur vertical de 2 m3 de même marque, « adapté à nos spécifications », reprend Emmanuel Garcia. Pour accueillir les granulats, pas moins de huit cases, de capacités variables ont été prévues. Et cinq silos à liants de 80 t unitaire complètent le dispositif de stockage. Enfin, l’adjuvantation n’est pas en reste, avec la présence de dix cuves dédiées.   3Béton a prévu de produire ses premières formulations début d’avril. Et ambitionne de créer une dizaine de centrales, à terme, sur le secteur Annecy – Chambéry – Grenoble. En attendant, l’industriel vient de signer un contrat de fourniture de BPE pour le projet du Club Med à Tignes, via une centrale mobile qui sera installée sur site. Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 41 jours

Argeco Développement : Métaflash-HP, la carte “performances et durabilité” pour les bétons

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Le Métaflash-HP d’Argeco Développement est une addition minérale destinée à la formulation de bétons à hautes performances et haute durabilité. [©Argeco Développement] Jusqu’à présent, Argeco Développement proposait cinq métakaolins flash différents à son catalogue. Aux additions historiques que sont l’Argicem (classique) et l’Argicem Blanc sont venus s’ajouter les Géoflash S, P et R, dont les usages sont dévolus à la formulation de géopolymères et autres liants alcali-activés. Aujourd’hui, c’est au tour du Métaflash-HP d’enrichir l’offre des métakaolins orientés bétons. Le nouveau venu est un métakaolin flash conforme à la norme NF P18-513. Il est utilisable dans les bétons devant respecter les spécifications de la norme NF EN 206/CN. Comme la plupart des additions minérales, le Métaflash-HP sera employé en substitution aux ciments CEM I ou CEM II/A, avec des dosages allant de 5 à 10 % et de manière exceptionnelle au-delà, ceci en fonction des niveaux de résistance ou durabilité recherchés.  Les bétons courants étant couverts par les métakaolins flash plus conventionnels Argicem ou Argicem Blanc, leMétaflash-HP cible en priorité les bétons à hautes ou très hautes performances. Tout comme ceux, de très haute durabilité. C’est même là sa caractéristique d’usage prioritaire. Une alternative technique à la fumée de silice « A ce titre, Métaflash-HP permet de rivaliser avec une autre ultrafine historique : la fumée de silice, à même niveau de dosage dans le mélange,souligne Raphaël Bucher, ingénieur R&D chez Argeco Développement. Et d’expliquer : « Pour répondre aux spécifications exigeantes des bétons très hautes performances et/ou de très haute durabilité, la fumée de silice est l’un des moyens plébiscités par les donneurs d’ordres et les acteurs du génie civil. En effet, elle permet de réduire la diffusion des chlorures et améliore le comportement au fluage des bétons. Néanmoins, son coût élevé et sa délicate manipulation en font un constituant plus difficile à employer que les autres matériaux couramment utilisés dans la formulation de béton ».  Le métakaolin flash ayant des propriétés assez proches de celles des fumées de silice, Argeco Développement a souhaité parfaireson offre avec un produit équivalent au plan technique. C’est ainsi et pour ce faire qu’est né Métaflash-HP.« Notre nouveau métakaolin flash est un outil performant pour répondre aux cahiers des charges encore réservés à la seule fumée de silice. A savoir, le faible coefficient de diffusion des chlorures et surtout la baisse de la déformation de fluage », reprend Raphaël Bucher. En effet, pour permettre aux bétons d’atteindre de hauts niveaux de résistance comme de durabilité, plusieurs critères sont essentiels : performances mécaniques, coefficient de diffusion des ions chlorures et fluage.  Une empreinte carbone réduite Ainsi, le coefficient de diffusion permet de simuler une cinétique de propagation des ions chlorures à travers le béton. Plus ce coefficient est faible, moins le béton sera sensible au risque de dépassivation des aciers d’armature.  C’est-à-dire au risque de voir se déclencher une action d’oxydation de l’acier (rouille) qui peut conduire à la ruine du béton. Le fluage du béton correspond à sa déformation propre sous une charge constante et permanente. L’objectif recherché est de minimiser autant que possible cette déformation. D’autant plus que le niveau de fluage est nécessaire pour qualifier les bétons employés dans les ouvrages de grandes hauteurs et/ou certains ouvrages précontraints. Dernier argument positif et non des moindres pour le Métaflash-HP : une empreinte carbone réduite. Compte tenu de son process de production (séjour de quelques secondes dans un calcinateur, à une température de 750 °C au maximum), le nouveau venu génère moins de 250 kg éq CO2/t. Toujours quelques kilogrammes de carbone économisés, en comparaison au ciment ou à la fumée de silice auquel ce métakaolin flash peut se substituer.  Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 46 jours

« Lean Construction : une démarche favorable à la prévention », le nouvel ouvrage de l’OPPBTP

Ce nouvel ouvrage en présente les résultats, qui démontrent la large convergence entre Lean et prévention et leur contribution positive conjointe à la performance des opérations de construction.Le Lean Construction, un atout à ne pas négligerNé dans les années 1980 aux Etats-Unis, le Lean se fonde sur un certain nombre de principes visant à améliorer la qualité de production, réduire le gaspillage et répondre aux nécessités de délais et de coûts.L'OPPBTP a souhaité mettre en œuvre et observer le déploiement du Lean dans le domaine de la construction et apporter sa contribution sur des chantiers. Il s'agissait d'anticiper par une étude méthodique, concertée, évolutive et évaluée, tous les engrenages du chantier dès sa conception. L'objectif était de mettre en adéquation les ressources disponibles et les moyens alloués au projet pour atteindre une qualité maximale, en s'attachant à la performance globale, à l'équilibre entre les acteurs, à la sécurité et la préservation des conditions de travail des opérateurs et encadrants.Ce nouvel ouvrage complète le rapport d'étude paru en 2018, « Lean Construction - démarche d'optimisation de la production et de réduction des gaspillages sur chantier », édité par la FFB Nouvelle Aquitaine et l'OPPBTP à la suite de la mise en place d'un programme d'observation sur chantiers. Ces chantiers expérimentaux menés par l'OPPBTP et ses partenaires ont démontré tout l'intérêt du Lean sur les opérations de construction et son rôle majeur pour permettre aux entreprises d'allier prévention et performance.Un ouvrage pédagogique et complet pour les professionnels de la constructionCet ouvrage regroupe toutes les clés pour faciliter l'appropriation et la mise en œuvre du Lean Construction par tous les acteurs d'un chantier. L'OPPBTP souhaite ainsi aider ces derniers à s'en emparer et à découvrir ce nouveau mode de travail collaboratif. Il s'agit de réunir tous les intervenants dans une démarche préventive, coopérative et performante.L'ouvrage revient sur l'historique du Lean et retrace son développement et son évaluation sur divers chantiers expérimentaux. Il propose également des outils pour un déploiement équilibré. L'OPPBTP aborde ainsi le Lean sous l'angle de la prévention des risques professionnels afin de favoriser la montée en compétence de tous les acteurs.L'OPPBTP propose une vision du Lean Construction reposant sur 8 principes fondamentaux:La transparence : formuler clairement et précisément des objectifs permettant leur acceptation et leur application par tous.Les enjeux : créer une synergie autour des enjeux des différents acteurs engagés sur un chantier pour atteindre un niveau de performance optimale.L'engagement des acteurs : inciter les acteurs à s'engager au respect des objectifs assignés.L'anticipation : maîtriser les événements grâce à une analyse multifactorielle.La participation de tous : améliorer la qualité, réduire les délais, diminuer les risques professionnels et augmenter la performance grâce au partage et à la mutualisation des informations entre tous les acteurs.La valeur ajoutée : identifier les tâches vectrices de désorganisation et de perte de temps pour proposer les solutions adaptées.L'amélioration continue : mettre en place des indicateurs fiables pour suivre les progrès réalisés en tenant compte des erreurs commises et des remèdes trouvés.Le management visuel : créer des supports visuels permettant de rendre les réunions de chantiers concrètes et opérationnelles.Ces principes s'accompagnent d'un certain nombre d'outils. L'OPPBTP détaille les avantages et les moyens de mise en pratique de chacun d'entre eux et donne de nombreux exemples d'application concrets :Le last planner system : ce planning collaboratif est un outil de pilotage de chantier exhaustif basé sur la participation et la concertation de tous les acteurs.Les indicateurs de suivi : il s'agit de la liste des objectifs à atteindre, présentée de manière simple, rapide et visuelle et accessible à tous. Chaque activité importante est liée à un indicateur pertinent dans le but de vérifier son avancement et son pourcentage de réalisation par rapport à ce qui était prévu.La méthode des 5S : cette approche a pour objectif d'améliorer la propreté et l'ordre dans l'environnement du travail selon cinq règles : Trier (Seiri) ; Ranger (Seiton) ; Nettoyer (Seiso) ; Standardiser (Seiketsu) et Respecter (Shitsuke).Le Plan d'Installation Dynamique du Chantier (PIDC) en phase de finitions : ce plan attribue des zones de rangement à chaque entreprise en fonction du poids des matériaux, des surfaces nécessaires à leur stockage, suivant des modalités de livraison prédéfinies avec les fournisseurs.Le Lean Construction au service d'une meilleure préventionCes bases établies, l'OPPBTP propose à tous les acteurs du chantier une aide précieuse pour les aider à s'approprier la démarche Lean Construction. Pour cela, l'ouvrage fournit une liste de 13 déterminants fondamentaux. Concrets et pratiques, ils couvrent la chronologie d'une opération.L'OPPBTP s'appuie sur eux pour apporter sa vision de l'acte de construire en Lean Construction, dans une optique de performance globale. Ce regard constitue une réelle innovation dans le domaine et rend son application opérationnelle en associant les principes philosophiques et les outils :La conception : elle aborde les problématiques de choix constructifs, les stratégies du projet, les définitions de missions des acteurs, l'implémentation Lean sur des problèmes particuliers et les délais que se fixe le maître d'ouvrage pour atteindre ses objectifs.Le référentiel Lean Construction : il regroupe les descriptions qualitatives, quantitatives et les attendus du projet.Les outils du Lean Construction : la démarche s'adopte progressivement et évolue au cours du temps en mettant en place, au fur et à mesure, les outils nécessaires.La concertation : cette phase doit permettre la mise en place d'un climat propice à l'échange et à la communicationÉquilibre préventif/curatif : ce déterminant vise à établir le meilleur compromis entre préventif et curatif en tenant compte des caractéristiques du chantier.Environnement du chantier : il s'agit d'un aspect très contraignant car notamment lié à des règlementations. Il doit faire l'objet d'une formulation précise pour ne pas compromettre le chantier et la sécurité des personnes.Qualité : la concertation et l'anticipation permettent de mieux équilibrer niveaux de prix et qualité de réalisation des prestations.Modes opératoires : mieux élaborer et transcrire les différentes phases nécessaires à la réalisation d'un chantier.Gestion des équipes : créer une véritable valeur ajoutée en constituant des équipes expertes et impliquées.Management : créer un nouveau mode de management capable de transmettre les bonnes pratiques et de les faire appliquer.Gestion des flux : l'étude de la gestion des flux (véhicules, engins, matériaux entrants et sortants, opérateurs) permet de dégager des marges de performance et de sécurité, et de limiter le port manuel de charges.Sécurité et propreté : l'analyse de l'environnement de travail (encombrements, accès difficiles…), des facteurs de risques physiques (rythme de travail, postures contraignantes, efforts physiques…) permet d'ajuster les mesures de prévention en lien avec une production efficace et équilibrée.Implication des fournisseurs : les process industriels des fournisseurs impactent les chantiers, notamment à travers les modalités de livraison, de colisage et de dimensionnement des véhicules. Il est donc primordial de les inclure dans la réflexion.Ces déterminants fondent un langage commun entre différents acteurs impliqués tout au long de l'acte de construction. Ils fixent un certain nombre d'objectifs clairement définis et créent une véritable dynamique de projet pour tous.Grâce à ses observations, l'OPPBTP peut aujourd'hui tirer de nombreux enseignements et préciser comment le Lean Construction déployé de manière équilibrée peut aider efficacement à une meilleure prévention.« Grâce aux études menées sur les chantiers, nous avons pu constater qu'une bonne gestion des flux a une incidence très forte sur les accidents tels que chute de hauteur et de plain-pied. Sécuriser ces flux en prenant en compte les déplacements des hommes, des matériels et des matériaux concourt considérablement à la diminution de l'accidentologie du BTP. Et c'est notamment cela que permet le Lean Construction. Avec ces cas concrets, nous avons pu mettre en évidence les répercussions positives du Lean Construction si les déterminants sont bien respectés. » Yves Chassagne, ingénieur prévention de l'OPPBTPTout l'enjeu de cet ouvrage édité par l'OPPBTP est de permettre aux différents acteurs de mettre en place une démarche Lean Construction à sa mesure, en tenant compte de ses besoins, de ses capacités et de ses enjeux. Et cela, afin de faire en sorte que les situations à risque diminuent sur les chantiers au fur et à mesure que les principes du Lean Construction seront adoptés.L'ouvrage « Lean Construction : une démarche favorable à la prévention » est disponible en téléchargement ici.
Il y a 4 ans et 51 jours

Rénover une terrasse avec Owatrol

Synonyme de fiabilité et d'authenticité, le bois est souvent choisi dans les constructions de notre nouveau millénaire en particulier pour les terrasses qu'il habille avec sa beauté naturelle. Attention : qui dit beauté, dit soin ! L'heure n'est plus au délaissement et la tendance est à l'entretien pour faire renaître, à la protection pour faire durer ! On ne change pas, on prend soin, on améliore, on pérennise ! Pérenniser n'est pas si simple : il faut apprendre les bons réflexes car le bois vit et requiert une attention particulière. Le secret : avant de lui appliquer quelque finition que ce soit, il faut qu'il soit propre, puis choisir la finition adaptée.Marche à suivre et conseils d'OwatrolÉtape nettoyage : rappels essentielsOn dégrise un bois gris par l'usure du temps (UV, pluie …).On déshuile un bois encrassé par une ancienne finition huilée qui a cuit au soleil.On décape un bois avec un ancien revêtement très filmogène ou une ancienne peinture.Les conseils nettoyage d'Owatrol® :NET-TROL®, véritable cure de jouvence, dégrise en 15 min les bois juste gris, suivi d'un rinçage.AQUANETT® déshuile les bois encrassés par de vieilles huiles en 20 minutes, suivi d'un rinçage puis stabilisation.DILUNETT® décape jusqu'à 8 couches de peinture ! Suivi d'un rinçage puis stabilisation.Une fois le bois prêt, il faut le protéger :Étape protection - choisir la finition : huile, lasure ou saturateurL'huile apporte un bel aspect mais va souvent noircir dans le bois sous l'effet des UV et risque de l'encrasser. L'entretien est alors plus compliqué.La lasure apporte une finition filmogène qui risque de s'écailler dans le temps, il faudra décaper pour la maintenance.Le saturateur nourrit le bois en profondeur par imprégnation, sans laisser de film en extérieur. L'entretien est simple.Les conseils d'Owatrol® : le cas des bois exotiquesLes bois exotiques, ou les bois durs d'une façon générale, véhiculent l'idée qu'ils vont durer toujours tant ils sont durs et donc résistants… Mais comme toutes les autres essences, sans protection ils vont griser, ternir, se tacher, se déformer et parfois même se fendiller.Avec leurs pores très fins ou fermés ces bois denses ne laissent pas les produits pénétrer. Il faut donc un produit avec d'excellentes qualités de pénétration pour contrer cette densité. Seuls les saturateurs imprègnent et pénètrent en profondeur.Zoom : AQUANETT® + NET TROL® + d.1 "qualité marine" : comment rénover une terrasse en teckCette terrasse anciennement lasurée, grisée et vieillie sous l'effet des UV a été d'abord déshuilée avec AQUANETT® puis stabilisée et éclaircie au NET-TROL®. Ensuite pour nourrir son bois dense, le D.1 a été préconisé.D.1 mode d'emploi : Comme son titre l'indique, le D.1 possède des qualités marine qui font toute la différence. Il a été conçu pour les ponts de bateaux des climats extrêmes de Scandinavie pour résister à toutes les agressions violentes de ces latitudes vents, soleil, sel, pluie, neige. Sa résistance hors pair l'a fait tout naturellement gagner la terre ferme et ses qualités d'imprégnation exceptionnelles en font un saturateur de choix.Grâce à sa formulation technique qui lui confère une extrême fluidité, il rentre dans les supports pour les protéger de l'intérieur, en s'infiltrant partout. Il apporte en profondeur tous les principes actifs qui vont nourrir de l'intérieur, les fibres du bois exotique. À base d'huiles végétales, le D.1 nourrit intensément en profondeur.Dedans et aussi dehors : en rentrant dans le support, le D.1 ne laisse pas de film en surface et fait corps avec le bois en l'imprégnant : la protection est totale. Il le protège alors durablement de l'abrasion et des agressions.Maintenance simplifiée : grâce à l'effet vaccin du saturateur qui reste en mémoire dans le support, il suffit d'une passe en entretien après le nettoyage du bois au NET-TROL®.
Il y a 4 ans et 55 jours

SikaRoof® i-Cure®, le premier système d’étanchéité liquide polyuréthane pour toitures à très faible odeur

Pour aller plus loin et répondre aux exigences environnementales, Sika a développé SikaRoof® i-Cure®, le premier système d’étanchéité liquide polyuréthane pour toitures, à faible teneur en COV et à très faible odeur.SikaRoof® i-Cure® : un système respectueux des utilisateurs et de l'environnementDéveloppé à partir d’une nouvelle formulation nommée i-Cure®, le système SikaRoof® i-Cure® se caractérise par une faible teneur en COV et peu de dégagement d’odeur, pendant et après l’application.Il se compose de deux résines polyuréthanes :Sikalastic®-631 : résine polyuréthane monocomposante appliquée à froid, sans joint, hautement élastique, à très faible odeur. De couleur rouge, facilement identifiable, elle est utilisée en première couche du système. Elle s’applique sans primaire sur les supports béton et offre une bonne adhérence à la plupart des supports. Elle est recouvrable en 2 à 4 heures.Sikalastic®-641 : résine polyuréthane monocomposante appliquée à froid, sans joint, hautement élastique et résistante aux UV, à très faible odeur. Elle est appliquée en seconde couche pour constituer un film étanche et continu.L’ensemble est complété ou non d’une armature selon les besoins. SikaRoof® i-Cure® est un système complet respectueux des applicateurs et de l’environnement, réalisable dans la journée, pour une étanchéité performante des toitures.SikaRoof® i-Cure® : une solution pour chaque chantierParticulièrement adapté à des projets de rénovation dans les milieux sensibles comme les hôpitaux, les écoles, les industries alimentaires et pharmaceutiques, SikaRoof® i-Cure® est un système complet, rapide à poser et responsable. Il se décline en 4 solutions adaptées aux différentes sollicitations de la toiture. Il propose une solution dédiée à la rénovation des couvertures sèches, SikaRoof® i-Cure® Réhabilitation couvertures.Il est également disponible en plusieurs coloris dont un RAL Blanc permettant de réaliser des toitures Cool Roof (Indice de Réflectance Solaire (SRI) initial = 108). Ce système est testé et approuvé selon l'ETAG 005 et validé par le CCT 48.
Il y a 4 ans et 62 jours

Lowcarbotys, la marque bas carbone du Cérib

Depuis plusieurs années, le Cérib travaille sur les bétons bas carbone. [©ACPresse] Impulsé par l’industrie du béton et les travaux menés avec l’IMT de Douai et d’Alès, le Cérib mène depuis plusieurs années des recherches autour du bas carbone. Véritable enjeu dans le domaine de la construction, la réduction des émissions de CO2 bouleverse la filière. Une réalité encore plus palpable, avec la publication des arbitrages de la future RE 2020. Afin de réduire l’impact environnemental des systèmes constructifs en béton, le Cérib a pu déterminer que les leviers matériau et process de production en constituent les éléments centraux. Tous ces travaux, innovations et savoir-faire bas carbone sont désormais concentrés sous la marque Lowcarbotys. Ils ont pour vocation d’être mis en œuvre avec les procédés de fabrication actuels sur les marchés du neuf et de la rénovation, et avec tous types de produits ou systèmes constructifs. Un travail sur le matériau et les process de production Plusieurs axes ont été explorés avec des objectifs concrets. Tout d’abord, diminuer de 50 % les émissions carbone du béton par rapport à une formulation opérée sur la base d’un CEM I. Et ensuite, garantir une performance à l’état frais, ainsi que les résistances mécaniques. La question économique du modèle à adopter, tant pour l’industriel et que pour le consommateur, a, elle aussi, son importance. Ceci, pour encourager la démocratisation de ces produits. D’un point de vue technique, les solutions Lowcarbotys permettent l’utilisation de liants bas carbone dans les bétons industriels, grâce à l’accélération de leur durcissement. Ces liants présentent une proportion réduite de clinker allant de 50 à 70 %, voire 100 % pour les technologies de rupture. Cette matière première est, le plus souvent, compensée par des éléments minéraux : additions calcaires, laitiers de hauts fourneaux, métakaolins… Des matériaux bénéficiant d’une empreinte plus favorable. Cependant, il existe un flou réglementaire autour de l’impact réel des laitiers de hauts fourneaux et de son allocation en CO2… Un triptyque vertueux L’utilisation de ces liants bas carbone en préfabrication est rendue possible grâce à l’action de certains leviers à la disposition des industriels. Il s’agit par exemple de la formulation du béton (activateurs, accélérateurs de durcissement, réduction d’eau). Mais aussi, du levier “process” relatif aux procédés de production en usine, tels que la cure thermique ou la vibro-compaction. Le Cérib indique qu’en termes de gain, la réduction de carbone peut atteindre jusqu’à 60 % pour des solutions suivant le spectre normatif actuel. Et jusqu’à 90 % de réduction pour des solutions de rupture. D’autres axes sont en cours de développement au sein du Cérib. L’objectif ? Optimiser au maximum le triptyque “performance, coûts, impacts environnementaux”. Toujours dans l’optique de rester compétitif, tout en répondant aux problématiques de l’économie circulaire et des différentes réglementations à venir.
Il y a 4 ans et 66 jours

Pénuries de substances chimiques essentielles à la fabrication de peintures, colles et vernis

Les fabricants sont depuis plusieurs semaines en difficulté pour se faire livrer les substances chimiques nécessaires à leur production. Des pénuries importantes, caractérisées par l'activation de clauses de forces majeures par leurs fournisseurs et des retards de livraison mettent la disponibilité des produits finis sous forte pression. Par ailleurs, la hausse générale des prix des matières premières a pour effet une augmentation très forte du coût de revient des produits.Une combinaison de facteurs hétérogènes a pour conséquence la perturbation des chaînes d'approvisionnement et ainsi la limitation des capacités de production des industries. Ces facteurs impactant significativement les fournisseurs de matières premières seraient liés à des problèmes graves de maintenance de certains sites de production (accidents et incidents majeurs, intempéries provoquant des arrêts techniques), des difficultés d'approvisionnement ou encore des tensions logistiques sur les transports. Ces interruptions ou forts ralentissements de livraisons des matières premières perturbent et diminuent les capacités de production des industries et donc leurs possibilités de servir en quantité et en heure les clients et les marchés.Les fédérations partenaires de la FIPEC constatent également que cette situation est généralisée au niveau européen.Une dépendance stratégique à une filière d'approvisionnement en difficultéLes professions subissent les conséquences de leur dépendance stratégique à une filière d'approvisionnement internationale qui est aujourd'hui en difficulté, sans visibilité à court terme sur une amélioration de la situation. Ces tensions provoquent également des mises sous allocation impactant tous les acteurs de la filière. Cette situation cristallise la fragilité de la filière dépendante des acteurs internationaux notamment en Asie et aux États–Unis.Jacques Menicucci, Président de la FIPEC, tient cependant à « saluer la formidable mobilisation des femmes et hommes de nos industries pour trouver les solutions à cette crise d'approvisionnements et servir dans les meilleures conditions possibles leurs clients et leurs marchés. »Des conséquences importantes sur les filières économiques à très court terme ?Les professions de la FIPEC sont intégrées dans de nombreuses filières. Les peintures, les encres, les colles, les vernis sont présents partout dans notre univers visible (objets, bâtiments, constructions, etc…). Toute fabrication est recouverte, protégée ou décoré par leurs produits. Une déstabilisation de ces industries peut donc avoir des effets extrêmement sensibles dans l'ensemble des filières d'activités économiques du pays.Ces filières, en plus d'être des acteurs significatifs de la relance de l'activité en France, participent à des activités stratégiques, par exemple dans le secteur de l'emballage alimentaire ou médical. D'autres ont fait l'objet d'appui considérables du gouvernement dans le cadre du plan de relance (par exemple, la rénovation thermique du bâtiment) qui ne doivent pas être pénalisées par cette situation. A ce stade, les industriels font tout leur possible pour tenir leurs engagements mais des choix stratégiques pourraient être pris par les adhérents de la FIPEC, pour éviter des situations de vente à perte ou assurer la sécurisation de filières essentielles, cela d'autant plus que le contexte de la pandémie de Covid19 a déjà fragilisé le secteur.Un appel au soutien des pouvoirs publics pour un cadre réglementaire adapté à la résilience de nos industriesLes adhérents de la FIPEC déploient quotidiennement une énergie sans précédent pour trouver des solutions industrielles de substitution à de nombreuses substances chimiques, et ainsi pallier aux défauts de livraison afin de sécuriser l'approvisionnement de leurs clients. Malgré tous ces efforts, leurs taux de service seront dégradés et les adhérents ne pourront être tenus responsables de cette situation de force majeure échappant à leur contrôle.De plus, des reformulations chimiques nécessiteront une modification de l'étiquetage des produits. Ces professions souhaitent des pouvoirs publics une réflexion urgente pour identifier les meilleures solutions opérationnelles pour rendre conforme réglementairement les adaptations d'urgence réalisées par les équipes de R&D des entreprises.Par cette action, l'objectif prioritaire de la FIPEC est de sécuriser au maximum les approvisionnements de nombreuses filières et d'anticiper d'autres situations de ce type à l'avenir grâce à une réglementation plus résiliente.
Il y a 4 ans et 70 jours

Peintures, enduits, vernis : fortes tensions sur les matières premières

Les entreprises industrielles spécialisées dans la fabrication de peintures, colles, encres, enduits, vernis et autres mélanges, subissent de fortes perturbations sur leurs capacités de production. De plus, certaines substances essentielles à la fabrication ne sont aujourd’hui plus disponibles, ou sous conditions d’allocation extrêmement strictes. Les fabricants, adhérents de la FIPEC, sont depuis plusieurs semaines en difficulté pour se faire livrer les substances chimiques nécessaires à leur production. Des pénuries importantes, caractérisées par l’activation de clauses de forces majeures par leurs fournisseurs et des retards de livraison mettent la disponibilité des produits finis sous forte pression. Par ailleurs, la hausse générale des prix des matières premières a pour effet une augmentation très forte du coût de revient des produits.    Les facteurs impactant significativement les fournisseurs de matières premières seraient liés à des problèmes graves de maintenance de certains sites de production (accidents et incidents majeurs, intempéries provoquant des arrêts techniques), des difficultés d’approvisionnement ou encore des tensions logistiques sur les transports. Ces professions subissent les conséquences de leur dépendance stratégique à une filière d’approvisionnement internationale qui est aujourd’hui en difficulté, sans visibilité à court terme sur une amélioration de la situation. Ces tensions provoquent également des mises sous allocation impactant tous les acteurs de la filière. Cette situation cristallise la fragilité de la filière dépendante des acteurs internationaux notamment en Asie et aux Etats-Unis. La FIPEC indique : nos adhérents déploient quotidiennement une énergie sans précédent pour trouver des solutions industrielles de substitution à de nombreuses substances chimiques, et ainsi pallier aux défauts de livraison afin de sécuriser l’approvisionnement de nos clients. Malgré tous ces efforts, nos taux de service seront dégradés et nos adhérents ne pourront être tenus responsables de cette situation de force majeure échappant à leur contrôle. De plus, des reformulations chimiques nécessiteront une modification de l’étiquetage des produits. Nos professions souhaitent des pouvoirs publics une réflexion urgente pour identifier les meilleures solutions opérationnelles pour rendre conforme réglementairement les adaptations d’urgence réalisées par les équipes de R&D de nos entreprises. Par cette action, notre objectif prioritaire est de sécuriser au maximum les approvisionnements de nombreuses filières et d’anticiper d’autres situations de ce type à l’avenir grâce à une réglementation plus résiliente.   Source : FIPEC    
Il y a 4 ans et 73 jours

Construction d'un campus de formation écologique à Saint-Priest

Un complexe multiusageEn 2015, la SNCF a lancé un programme visant à remplacer plusieurs centres de formation vieillissants et ne répondant plus aux besoins actuels répartis sur l'ensemble du territoire par trois nouveaux campus implantés dans les agglomérations de Paris, Lyon et Bordeaux. Sur une surface de 12.900 m², l'aménagement du campus lyonnais consiste à construire trois bâtiments à usages différents : industriel, tertiaire, hébergement et restauration. On y trouve des espaces de formation théorique, un atelier pour la formation pratique, des locaux administratifs, des locaux d'hébergement (273 chambres) et de restauration, un espace événementiel pouvant accueillir jusqu'à 200 personnes ainsi qu'un showroom digital de 100 m². Un parking de 80 places de stationnement ainsi qu'un aménagement paysager complètent l'ensemble.Réduire l'empreinte carbone des bâtimentsDès la phase de conception, SNCF Réseau a placé la performance environementale au coeur du projet, visant pour les bâtiments la certification HQE. Pour répondre à cette ambition, Eiffage Construction, en charge des travaux, a fait appel à CEMEX pour la fourniture d'un béton Vertua®, une gamme de bétons bas carbone éprouvés depuis plusieurs années. Ici, pour les fondations, voiles et planchers des bâtiments, c'est un béton Vertua® classic qui a été choisi, présentant une diminution de l'empreinte carbone de 20 à 35%. La formulation du béton conçu à partir de matières premières locales et de co-produits issus de processus industriels a été validée par le bureau d'études Inddigo spécialisé dans le développement durable. Les premiers coulages ont démarré en septembre dernier et devraient s'achever au printemps 2021, à la fin des travaux de gros œuvre. Au total, 6.500 m³ de Vertua® classic auront été livrés depuis les unités de production CEMEX de Lyon Herriot, Mions et Saint-Pierre-de-ChandieuFaciliter le travail des équipes de constructionSéduites par la présentation de CEMEX Go, une solution 100 % digitale spécialisée dans la gestion des commandes de matériaux de A à Z et le suivi des livraisons en temps réel, les équipes d'Eiffage Construction ont fait le choix de passer et de suivre l'intégralité de leurs commandes de bétons en utilisant cette plateforme créée par CEMEX en 2018 pour accompagner l'évolution du secteur de la construction. Ainsi Eiffage Construction a pu doter son chantier d'un nouvel élément de performance environnementale et sécuritaire, en évitant par exemple l'impression, le transfert et la manipulation de documents papier. Sans oublier le gain de temps et l'efficacité engendrés, un vrai plus pour le major du BTP.Les intervenantsMaître d'ouvrage : SNCF RéseauMaître d'œuvre : Eiffage ConstructionArchitecte : Reichen et Robet & AssociésBureau d'études environnental : InddigoUnités de production : Lyon Herriot, Mions et Saint-Pierre-de-Chandieu
Il y a 4 ans et 80 jours

CECIL PROFESSIONNEL : SOLUTIONS POUR RÉNOVER DES MURS TACHÉS PAR LA MOISISSURE OU L’HUMIDITÉ

Peinture en aérosol PA MTD, impression IP TD et peinture PE MTE Auréoles d’humidité suite à une infiltration d’eau, peintures écaillées liées à un dégât des eaux, traces de moisissures, de nicotine ou de fumée, petites taches de la vie quotidienne… sont autant de marques qui peuvent salir, abîmer ou nuire à l’esthétique des murs intérieurs et des plafonds. CECIL PROFESSIONNEL, marque référente en négoce sur le marché de la peinture, propose des solutions pour rénover ces murs. La peinture en aérosol PA MTD, un blanc malin idéal pour des retouches rapides, l’impression IP TD, une sous-couche pour supports dégradés, et la peinture de finition PE MTE, un blanc sans tension qui masque les taches les plus difficiles. Haute performance et à haut pouvoir couvrant, ces peintures techniques de qualité professionnelle sont de conception et de fabrication française.   PEINTURE BLANC MALIN – PA MTD Pour des retouches rapides sur les taches les plus difficiles Pour recouvrir les taches difficiles sans avoir à repeindre tout le pan de mur ou le plafond, la peinture en aérosol PA MTD CECIL PROFESSIONNEL est idéale. En effet, anti-tache, elle permet de réaliser efficacement des retouches rapides sur les surfaces tachées ou abîmées des murs et des plafonds intérieurs en plaques de plâtre, plâtre, béton, briques… Son pouvoir bloquant évite la réapparition des taches, notamment en cas d’humidité, et stoppe les remontées de tanin. Isolante, d’une très bonne opacité et d’un haut pouvoir couvrant, elle masque les traces d’humidité, de suie, de crayon… et peut être utilisée pour des petites retouches sur des murs peints abîmés par un choc. La peinture PA MTD peut être appliquée en sous-couche avant une mise en peinture puisqu’elle empêche la migration des taches dans les peintures et revêtements de finition. Ce blanc mat malin offre un beau tendu et sèche rapidement. Aucune tache ne reste visible dès la première couche de PA MTD. Elle ne jaunit pas et recouvre parfaitement toutes les taches. Avec sa bombe ergonomique, elle est très facile et agréable à utiliser. Conditionnement : 400 ml Prix de vente conseillé : 12,50 euros TTC Points de vente : Négoces en matériaux   IMPRESSION POUR SUPPORTS DÉGRADÉS –  IP TD Idéale pour les dégâts des eaux et les taches difficiles La couche d’impression régule l’absorption des fonds, prépare le support, améliore l’adhérence, l’esthétique et le rendu de la finition. Parfaite en rénovation et compatible avec toutes sortes de finitions, l’impression IP TD CECIL PROFESSIONNEL a été conçue pour adhérer aux supports dégradés, tachés ou humides. Sa formulation additivée ciment isole et bloque les taches les plus difficiles : auréoles d’humidité, moisissures, suie, nicotine, graisse… sur du plâtre et ses dérivés, le ciment, la brique, le bois… Par ailleurs, elle fixe les fonds anciens et consolide les murs. Performante, l’impression IP TD peut s’appliquer directement sur des murs humides, suite à des dégâts des eaux ou une infiltration d’eau par exemple. Conditionnements : 2,5 L – 5 L – Prix de vente conseillés 2,5 L : 49,95 euros TTC – 5 L : 76,95 euros TTC   PEINTURE SANS TENSION –  PE MTE Un revêtement isolant qui masque les taches Sans siccatif (substance destinée à accélérer le séchage), la peinture sans tension PE MTE CECIL PROFESSIONNEL répond efficacement aux problèmes de phénomène de tension et d’écaillage au moment du séchage. De très bonne opacité, ce blanc mat permet de recouvrir les anciens fonds sans risque de les décoller. Il isole et masque parfaitement les défauts du support et les taches les plus difficiles : humidité, moisissure, suie… ce qui le rend idéal en rénovation. Offrant un gain de temps sur les chantiers, PE MTE peut être appliquée « mouillé sur mouillé » sur des fonds douteux et instables (badigeons, vieux plâtres) et est recouvrable par toutes sortes de finitions et colles à papier peint. Son séchage long assure une application uniforme sans trace de reprise ni d’écaillage. Multisupport, cette peinture convient en application sur les murs, plafonds et menuiseries, en béton et dérivés, plâtre et dérivés, plaques de plâtre cartonnées, anciennes peintures. Conditionnements : 5 L – 10 L Rendement : 10 – 12 m2/ L Prix de vente conseillés 5 L : 89,95 euros TTC 10 L : 134,95 euros TTC Points de vente : Négoces en matériaux
Il y a 4 ans et 94 jours

Mineral Service investit la Haute-Corse

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. La promenade de l’Aldilonda en contrebas de la citadelle de Bastia a été réalisée par Mineral Service. [©Mineral Service] Parfois, certains chantiers obligent à de longues réflexions pour chacun des gestes de l’opération. Lorsque Mineral Service, habitué au climat normand, s’engage pour un chantier à Bastia, en Corse, c’est dans ce type d’aventures que les équipes de Jérémy Jamelin, directeur d’entreprise, s’engagent. Sur le papier, il s’agit simplement de réaliser la promenade de l’Aldilonda, en contrebas de la citadelle de Bastia. Mais non seulement le coulage de béton devait soutenir l’ensemble du système de garde-corps. Mais surtout, la promenade est logée à flanc de rocher, au-dessus de la mer. Pour ne rien faciliter, le chantier a eu lieu entre août et septembre 2020, une période où les Corses ne coulent pas de béton, la chaleur étant trop importante… « La formulation du béton nous a obligés à une très grosse réflexion, explique Jérémy Jamelin. D’une part, il y avait la question de la chaleur, qui montait facilement à 38 °C. Nous avons donc mis en place des brumisateurs à l’eau claire, qui refroidissaient les aciers avant le coulage. Nous avons aussi travaillé à partir de 17 h 00, pour chercher la fraîcheur. » D’autre part, la mer qui vient se fracasser contre la paroi rocheuse inonde en permanence la promenade. « Pour répondre à cette problématique, nous avons utilisé un CEM I 52,5 à prise mer, qui intègre des extraits rocheux de la paroi. » Au total, ce sont 150 m3 qui ont été coulés, grâce à une pompe et 150 m de tuyaux. Ceci, à un rythme de 20 à 25 m3/j. En finition, le béton a été squamé. Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 94 jours

Calvados : Une vitrine pour le béton décoratif

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Le nouvel accès plage de Merville-Franceville-Plage arbore des bétons décoratifs Cemex. [©Cemex] La ville de Merville-Franceville a fait le choix de transformer son accès à la mer, afin de le rendre plus harmonieux et plus accueillant, pour les habitants comme pour les touristes. Sur ce chantier de 4 500 m2, les équipes de Cemex ont déployé plusieurs formulations et types de finitions de bétons décoratifs, mis en œuvre par l’entreprise Vallois. Le chantier s’est déroulé en deux phases, entre 2019 et 2020. En fait, la réalisation du haut de la plage a précédé l’aménagement autour de la nouvelle halle polyvalente. Plus de 600 m3 de bétons ont été coulés à la pompe, par volumes allant de 8 à 50 m3. L’esthétique désirée par l’agence Bassinet Turquin Paysage – un effet de vague – a nécessité la mise au point de trois formules de bétons. Les volumes importants, parfois simultanés, pour les différentes formules utilisées ont mobilisé l’unité de production de Giberville et nécessité des cadences soutenues. Le cœur du projet reste les bétons décoratifs et leurs différentes compositions et finitions (lissée, poncée et désactivée). Un béton Nuantis Minéral alliait de deux à trois couleurs de granulats : bleu, blanc, rouge. Des bétons rouges teintés dans la masse (Nuantis Color) ont aussi été appliqués. De plus, la formulation de béton intégrant une finition poncée et désactivée a  été réalisée. Enfin, Cemex a fourni le béton des 27 places de parking végétalisées, réalisées suivant le procédé Via Verde de Via Sols. Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 95 jours

Logiciels : Donner vie à la centrale

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Les logiciels d’aide à la production des bétons ne se limitent plus à piloter les automatismes des centrales. De la gestion des flottes en direct à la digitalisation des bons de livraison, en passant par l’analyse prédictive, ils sont un puits, encore sans fond, de gain de productivité. Amis : Une solution globale pour la préfabrication Arcade : Nouvelle version Command Alkon : Large choix Delta Automation : Pour toutes les installations d’un site Exxia : Nouveau venu Marcotte Systems : Solution complète RSAI : Nouvelle mouture Amis propose à ses clients Prefamis. Cet automatisme pour centrales à béton de préfabrication associe la robustesse sur les postes de production, à la puissance de l’informatique sur les postes de gestion déportés, à travers le logiciel Datamis. Dans les ateliers, les postes de production sont équipés d’automates programmables avec écrans tactiles industriels de marques réputées et internationalement distribuées. Dans les bureaux, Datamis est installé sur les postes de gestion (PC, serveur…) en réseau avec la production. Cette organisation permet la formulation des bétons, l’analyse complète de la production, mais aussi la traçabilité des alarmes de maintenance. Le logiciel Datamis est conçu pour s’intégrer pleinement avec les systèmes d’information (ERP). De son côté, Prefamis intègre la totalité des composantes de l’usine de production. Comme l’ensilage des granulats, les sécurités remplissages des silos, mais aussi la livraison béton par tout type de bennes-bus. Sans oublier, la maintenance, avec prise en main à distance par tablette. La solution globale Prefamis est aujourd’hui utilisée à la fois par des entreprises indépendantes et par des grands groupes de l’industrie du béton. La solution globale Prefamis permet la gestion de la production des sites de préfabrication.[©Amis] Le successeur du logiciel de laboratoire Wil se nomme Massia-Laboratoire.[©Arcade] Après le succès de Wil, Arcade a présenté son successeur Massia-Laboratoire, au cours de l’année dernière. Pour l’éditeur, 2020 a été remplie de projets. Qui ont enrichi ce logiciel de nouveautés fonctionnelles importantes. En collaboration avec Delta Automation, il propose désormais une solution clefs en main : de la conception des formules bétons jusqu’à la livraison sur chantier. En passant par le suivi production, le contrôle qualité et le suivi livraison. La gamme de logiciels Massia, c’est aussi Massia Labo Mobilité, l’application mobile qui permet de saisir les prélèvements et essais sur smartphone ou tablette. Massia #Portail qui partage les documents avec les clients et partenaires, et peut s’interfacer avec les logiciels et matériels. Le logiciel Wil continue cependant d’être maintenu et commercialisé, tout en gagnant en facilité avec son application “Mobilité”. Les progiciels Command Alkon s’appuient sur plusieurs modules, dont Conactive Process Control (CP) et Conactive Quality Control (CL). La solution d’automatisation Command Alkon CP a été, il y a peu, revue et modernisée. Permettant de gérer l’ensemble d’une centrale BPE, elle offre la possibilité d’améliorer la qualité de production et l’efficacité des opérations. Ceci, grâce à la visibilité constante offerte sur toutes les opérations de production. Le module CL est, lui, l’assistant intelligent du technicien de contrôle qualité. En un seul endroit, ce dernier pourra retrouver tous les outils nécessaires à la gestion des matériaux, les mélanges, les tolérances. Le tout avec les tests et les analyses disponibles sur une seule plate-forme. Et ce, afin d’optimiser les formulations en fonction des besoins de chaque coulée. Quant au Conactive Materials Manager, il permet de gérer l’approvisionnement en matériaux à travers la gestion des automates de transport. De son côté, et comme son nom l’indique, Maintenance Manager planifie les interventions de maintenance pour limiter les arrêts de centrales. Il offre aussi la possibilité de consulter le journal des tâches effectuées et l’ensemble de statistiques sur la centrale. Le BPE monégasque EMT vient d’opter pour la suite de logiciels Command Alkon. [©Command Alkon] Parmi les derniers arrivés sur le marché, Delta Automation cherche à se démarquer. Ceci, à travers son système Delta Mix. Ce sytème permet de suivre la production du béton, de l’édition du devis à l’inscription dans la comptabilité. En passant par la génération des bons de production, la fabrication de produits et la facturation. « Nos solutions évoluent en permanence, explique Pascal Parrain, gérant de Delta Automation. Nous proposons à nos clients un module générique, qui fonctionne pour toutes les entreprises. Si besoin, nous développons des solutions spécifiques à leurs problématiques. Nous nous demandons alors si cette réponse peut leur être utile. Dans ce cas-là, nous l’intégrons directement à notre logiciel général. » Pour se démarquer, Delta Automation embarque de l’intelligence artificielle pour l’analyse prévisionnelle des productions. Tout en intégrant des modules destinés aux silos, aux matériaux et aux bassins de décantation. Permettant de gérer l’ensemble des installations d’un site de production. Enfin, l’industriel travaille main dans la main avec Arcad [Lien]. Le but est d’inclure des solutions Delta dans la suite Arcade. Le logiciel Eazzy d’Exxia utilise l’intelligence artificielle pour réaliser des analyses prédictives. [©Exxia] Exxia est une société créée fin 2019, spécialisée dans la conception de progiciels pour la production et le contrôle du BPE. « Notre plate-forme web se nomme Eazzy et fonctionne pour les professionnels des granulats, du BPE, de la préfabrication ou de la construction routière, explique David Ortolan, président de l’entreprise. Il dispose d’un socle commun à toutes les entreprises, qui englobe le pilotage, l’administration des ventes, la gestion de la production, le contrôle qualité et la gestion de la logistique. En fonction des besoins, nous activons ou désactivons ces options. » Adopté en particulier par Béton Solutions Mobiles, Eazzy dispose de fonctionnalités de navigation spécifiques. « Nous intégrons la reconnaissance vocale, des interfaces tactiles mobiles, une messagerie interne, les plannings dynamiques ou encore le traitement graphique des données internes ou externes en temps réel. » Tout en projetant une grosse mise à jour en cours d’année, « nous travaillons à l’incorporation d’intelligence artificielle pour optimiser les coûts de nos clients. Grâce à l’analyse prédictive, nous pourrons orienter la production en temps réel, en jouant simultanément sur plusieurs variables comme la qualité, les ressources humaines, les ventes prévisionnelles, les disponibilités logistiques, l’anticipation du trafic ou encore la météo ». L’ensemble des solutions Marcotte Systems permet la gestion des centrales à béton, de leur flotte de véhicules et de leurs activités commerciales. Ainsi, le module Marcotte Batch permet d’ajuster la quantité de chaque constituant d’une formulation, même en pleine exécution de ce lot. Le tout, en préservant ses ratios clefs. Ensuite, Marcotte Dispatch comprend un ensemble de caractéristiques, qui allège beaucoup la tâche des agents techniques de production. Le contrôle de charge des centrales et d’occupation des véhicules, en temps réel, permet aux répartiteurs d’agir de suite sur leurs livraisons et d’assurer une qualité de service optimale. Puis vient Marcotte GPS & eTicket, qui donne un relevé des statuts et du positionnement, en temps réel, des camions, grâce à une simple application. Dans le même temps, la plate-forme web permet la digitalisation des bons de livraison. Enfin, avec Marcotte Insights, les utilisateurs ont accès à une plate-forme offrant des données clefs pour l’analyse des performances de livraison et d’exécution de la production. Ceci, pour effectuer d’éventuelles corrections ou prédire les futurs besoins, en lien avec le carnet de commandes. Les logiciels Marcotte Systems permettent la gestion et l’anticipation des besoins des centrales BPE.[©Marcotte Systems] Le logiciel RSA Dispatch vient s’ajouter à la suite de solutions de RSAI. [©RSAI] L’année 2020 a été celle du renouveau du site Internet de RSAI. Et du lancement d’une nouvelle mouture de son logiciel phare. Profitant d’une interface revue, le nouveau site Internet permet de composer rapidement le menu de ses besoins. Quant à la nouvelle version du logiciel, elle améliore la navigation de la suite, qui a déjà convaincu des entreprises dans huit pays francophones, en Europe et en Afrique. « Notre solution s’organise autour de plusieurs modules, dont le principal est RSA Beton, explique Rémi Gueugneau, responsable commercial BTP et carrière. Il s’agit là de la gestion complète des automatismes de la centrale, le tout via une interface épurée. RSA Gestion Commerciale permet d’éditer les devis, offres, factures avec des termes et des pratiques adaptés aux métiers de la construction. RSA Qualité centralise les choix en matière de formulation, de paramétrage et de gestion des droits, pour l’ensemble des centrales d’une même entreprise. RSA Demat permet aux chauffeurs d’envoyer des informations en direct sur leurs actions, aux clients d’obtenir des statistiques sur leurs différentes livraisons. Enfin, RSA Dispatch, complètement repensé avec une interface graphique intuitive, est un module de prise de commande pour le BPE et les granulats. Planifiant au passage les livraisons et la charge de travail des différents sites. » Sur la même base, RSAI propose des solutions pour la préfabrication et les carrières. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 92
Il y a 4 ans et 95 jours

Le béton sur place et en quantité maîtrisée

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Avec son service Cub’Drive, CuBe livre les chantiers nécessitant des quantités de béton limitées. [©CuBe] La livraison du béton doit répondre à deux commandements principaux : être frais et respecter la quantité définie. Pour les plus gros chantiers, la problématique se résume à livrer la plus grande quantité, le plus tôt possible. Pour les plus petites opérations, le casse-tête est tout autre. Une commande de quelques mètres cube coûte “la partie non remplie” de la toupie. La plupart du temps, les petites commandes n’ont pas la priorité des centrales. Et les formulations sont parfois limitées pour les plus petites quantités. Du côté des centraliers, gérer les camions-plateaux qui viennent se servir sous la centrale n’est pas chose aisée. Enfin, les traditionnelles bétonnières ne sont pas toujours simples ou rentables à utiliser. A ces différents problèmes, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 96 jours

RECTOR enrichit son offre avec des Prémurs béton bas carbone pour réduire l’impact environnemental de ses systèmes préfabriqués

Dans le cadre de sa démarche RSE initiée en 2020, RECTOR, spécialiste de la fabrication d’éléments en béton précontraint et béton armé, s’engage dans la réduction de l’impact environnemental de ses systèmes préfabriqués. Son offre s’enrichit d’un Prémur béton bas carbone, né de la collaboration entre l’unité de production de Rector située à Berre-L’Etang et Ecocem, 1er producteur européen indépendant de laitier moulu de haut-fourneau, basé à Fos/Mer. Une réduction de 35 à 40 % de l’empreinte carbone Pour la création de son nouveau Prémur bas carbone, la stratégie de Rector a reposé sur 3 objectifs majeurs : obtenir un Prémur bas carbone avec les mêmes qualités que le Prémur réalisé en béton standard afin de ne pas réduire son champ d’application, maîtriser son coût de revient pour continuer à proposer un produit aux prix du marché, réduire son impact environnemental au maximum. Fruit de la recherche interne de Rector sur les formulations béton réduisant fortement l’impact carbone, le nouveau Prémur affiche une réduction de l’ordre de 35% à 40%, suivant la classe d’exposition, par rapport aux bétons décrits dans la norme NF EN206. Pour parvenir à de tels résultats, Rector a substitué une part du ciment par du laitier de haut fourneau et du filler, deux matériaux aux émissions carbone faibles mais avec des performances de durabilité équivalentes à celles du ciment. Un travail sur l’adjuvantation et sur l’optimisation de l‘étuvage a également été réalisé en usine. Ces résultats, qui ont fait d’ores et déjà l’objet de nombreux tests en laboratoire et en usine, seront formalisés dans une FDES spécifique en cours d’élaboration. Un Prémur bas carbone réalisé en local Le nouveau Prémur bas carbone de Rector est né de la collaboration entre son unité de production située à Berre-L’Etang et le site voisin d’Ecocem de Fos/Mer qui lui fournit le laitier de haut fourneau. Les sous-produits de l’industrie sidérurgique sont ainsi revalorisés efficacement, en local, dans l’unité de production de Rector. Proposée dans un premier temps uniquement dans le Sud de la France, l’offre de prémurs bas carbone Rector sera prochainement disponible nationalement. Au-delà des Prémurs, Rector souhaite aujourd’hui ouvrir ces avancées techniques à ses Prédalles et à l’ensemble de ses produits en béton. Parce qu’une seule solution d’optimisation ne peut être envisagée, l’entreprise explore toutes les pistes menant à la décarbonation en bonne intelligence de son offre. Prémur Rector, une solution constructive préfabriquée aux multiples avantages Elément de structure préfabriqué industriellement, le Prémur Rector est une solution constructive qui offre de nombreux avantages par rapport au béton banché et à la préfabrication lourde. Il est constitué de deux parois minces en béton armé préfabriqué, assemblées en usine et de dimensions indépendantes, maintenues espacées par des raidisseurs métalliques verticaux. Une fois positionnés et stabilisés, les panneaux de Prémur font office de coffrage : des armatures de liaison y sont glissées et du béton prêt à l’emploi coulé, ce qui garantit la stabilité de la construction. Destiné aux murs intérieurs et extérieurs, le Prémur Rector bénéficie de nombreuses possibilités de configurations (intégration de poteaux, poutres, huisseries métalliques…) et présente des atouts majeurs : rapidité et facilité de pose, réduction des coûts et des délais d’exécution, qualité de parement simplifiant les finitions, solution idéale contre existant ou en cotes bloquées, réduction des terrassements en infrastructure, suppression des inconvénients du coffrage, amélioration des conditions de travail et de sécurité.