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Fournisseur de solutions d’éclairage éco-énergétiques de haute qualité pour les applications professionnelles, Sylvania propose des luminaires et des lampes à la pointe de la technologie pour les secteurs publics, privés et commerciaux. Avec la création d’un département dédié à l’accompagnement des prescripteurs (études d’éclairage, audit, ROI, solutions sur-mesure…), Sylvania est plus que jamais tourné vers l’innovation. Son objectif : développer le meilleur système d’éclairage possible pour les architectes, bureaux d’études, concepteurs lumière et clients finaux, en leur apportant une réponse personnalisée pour tous leurs projets architecturaux.   Allier innovation et sur-mesure La production de luminaires spéciaux, avec des caractéristiques non standardisées, représente entre 30 et 40% de la production des usines de Sylvania. Ce chiffre est en nette augmentation depuis plusieurs années. Créé pour répondre à ces besoins spécifiques, le département Sylvania Lighting Solutions (SLS) dédié à la prescription s’appuie sur :   > une importante présence commerciale harmonieusement répartie sur le territoire, > une puissance industrielle grâce à 3 usines en Europe (Saint-Etienne en France, Newhaven en Grande Bretagne, Erlangen en Allemagne) dont la proximité géographique réduit les délais de chiffrage (5 jours en moyenne) et de livraison des produits (4 à 8 semaines selon les demandes). Chaque site de production dispose d’un bureau d’études intégré qui lui permet de maîtriser parfaitement le développement de luminaires personnalisés.   Ces atouts humains et logistiques offrent une grande flexibilité. Ils sont la force de Sylvania pour garantir aux clients et prescripteurs un service personnalisé et une parfaite adaptation à leur demande. Le tout s’effectue avec une réactivité optimale et dans le respect des délais impartis.   Une organisation structurée et un process maîtrisé Afin de répondre au mieux aux intentions d’éclairage des clients, Sylvania a défini des étapes clés pour chaque projet sur-mesure :   > l’identification des besoins et l’écriture du cahier des charges réalisées par le responsable commercial local, qui reste l’interlocuteur unique du client tout en faisant le lien avec la cellule prescription,   > l’étude d’éclairage détaillée (données techniques et photométriques avec création des plans d’implantation et vérification des plans de distribution) par le bureau d’études,   > l’ajustement, à partir du cahier des charges, de l’optique, de la température de couleur, du flux lumineux, des finitions, ou encore des dimensions. De l’adaptation simple des luminaires à la prise en compte des contraintes d’installation (faux-plafonds, fixations…) jusqu’à l’intégration de systèmes de gestion d’éclairage, la cellule prescription répond à toutes les demandes à partir de 50 pièces. Un minimum de 100 pièces est requis pour les solutions 100% sur-mesure. Vient ensuite la conception du prototype par les usines.   Chaque étape est supervisée par un Gestionnaire de Projets et Développement qui coordonne les différents services de l’entreprise.   Saint-Etienne, un site au cœur du développement des solutions tertiaires sur-mesure Créée en 1987, l’usine française de Sylvania est spécialisée dans la production de luminaires et solutions tertiaires. D’une surface de 10.000 m2, ce site historique du groupe compte 120 personnes, toutes issues du milieu de l’éclairage, réparties entre :   > l’atelier tôlerie dont les plus de 750.000 pièces produites par an servent de point de départ à la fabrication des luminaires Sylvania,   > l’atelier peinture avec une chaîne dédiée aux demandes sur-mesure pour une personnalisation dans toutes les couleurs possibles et même de la sérigraphie,   > la création des optiques pour augmenter le confort visuel des occupants tout en respectant les réglementations en vigueur,   > les 15 lignes d’assemblage semi-automatisées dont les équipes gèrent avec la plus grande flexibilité les 2.300 références de luminaires. Cette étape étant fondamentale dans la conception des produits sur-mesure, une ligne de production est dédiée à la fabrication des prototypes,   > le service qualité qui contrôle tous les paramètres techniques des produits afin qu’ils soient parfaitement conformes aux réglementations en vigueur (éligibilité CEE, norme NF EN 60598…),   > et l’équipe locale de développement constituée de lighting designers, techniciens concepteurs en CAO et ingénieurs en photométrie optique.   En lien avec les orientations stratégiques de Sylvania, résolument tournées vers la prescription, l’usine de Saint Etienne produit plus de 40% de luminaires spéciaux dont certains ont depuis été intégrés au catalogue.   Zoom sur les luminaires avec CVC intégrée Parmi les tendances actuelles pour lesquelles Sylvania a été force de proposition auprès des bureaux d’études et des architectes figurent les luminaires avec CVC intégrée. L’objectif était de mieux intégrer le luminaire dans un faux plafond, souvent composé de dalles 600×600 ayant chacune une fonction différente (CVC, éclairage, sprinkler…), tout en s’affranchissant des contraintes mécaniques et des problèmes industriels de finition. En fusionnant la grille de ventilation et l’éclairage, Sylvania a réussi le pari.   Offrant un faux-plafond plus aéré et minimaliste dont l’impact visuel est réduit, la solution imaginée par le département SLS intègre sur le dessus du luminaire un caisson sur lequel le lot CVC n’a plus qu’à relier la gaine de distribution d’air.   Grâce à des découpes de ventilation réalisées sur-mesure directement sur la plaque du luminaire, l’air est diffusé sur les côtés ou au centre du luminaire.   En supprimant les risques de différences de teintes entre les pièces de tôleries prévues pour le CVC et pour l’éclairage mais aussi grâce aux nombreuses possibilités de personnalisation (finition, découpe laser…), cette solution est plus esthétique. Autre avantage à l’installation : ce type de luminaire avec CVC intégrée limite les problèmes d’assemblage entre les plaques CVC et les luminaires installés côte à côte et réduit de 50% les temps de pose.   Grâce à une technicité de pointe, une réactivité optimale et une grande créativité, le département SLS de Sylvania repousse les limites de la conception de solutions d’éclairage innovantes et adaptées à chaque projet. En alliant son expertise à celui de fabricants de CVC, de sprinklers, de plafonds acoustiques ou encore à des spécialistes du design sonore, Sylvania met plus que jamais la technique au service de l’usage avec une perception des luminaires la plus esthétique possible.   Le savoir-faire de Sylvania en matière de conception de solutions d’éclairage sur-mesure est à découvrir dans la nouvelle brochure dédiée « Créer et concevoir des solutions d’éclairage pour tous vos projets » illustrée de nombreux exemples tels que la bibliothèque de Caudéran, la médiathèque La Source du Bouscat ou les bureaux de Médecins Sans Frontières. https://www.sylvania-lighting.com/fr-fr/

Procédé d’isolation de la toiture par l’extérieur, le sarking est de plus en plus répandu en rénovation. Basé sur la mise en œuvre de panneaux isolants rigides sur la charpente, cette méthode garantit la performance énergétique d’un bâtiment en limitant les déperditions thermiques au niveau de la couverture et de la ventilation. Leader français de la tuile terre cuite, spécialiste de l’enveloppe du bâtiment, EDILIANS enrichit aujourd’hui sa gamme de solutions éco-habitat avec SARKÉO FEU, une offre de panneaux isolants par l’extérieur haute performance.   Solution intégrée ou combinée : une performance optimisée Sur le marché du sarking, il existe plusieurs types d’isolants parmi lesquels la mousse phénolique retenue par EDILIANS pour la fabrication de sa gamme sarking. De par sa structure alvéolaire, cette technologie, encore peu utilisée, présente de nombreux atouts en terme d’isolation thermique.   Destinée à l’isolation par l’extérieur des toitures en pente, la gamme SARKÉO FEU d’EDILIANS se compose de panneaux isolants en mousse phénolique dont l’épaisseur (de 80 à 160 mm) varie en fonction de la résistance thermique souhaitée. Adaptée à tous les types de construction en rénovation, la gamme se décline en deux versions pour répondre à toutes les configurations rencontrées sur le terrain par les couvreurs :   1 – une solution, compatible avec toutes les toitures (simples comme complexes), qui associe le panneau isolant SARKÉO FEU, revêtu sur ses deux faces d’un parement en fibre de verre, à l’écran de sous-toiture AÉRO FEU (vendu séparément). La perméabilité à la vapeur d’eau du panneau évite le risque de condensation. Classé au feu Cs1d0 (très peu de dégagement de gaz toxiques), SARKÉO FEU doit être posé avec l’AÉRO FEU, lui-même classé Bs1d0. Ecran de sous-toiture souple HPV R3 (DBA* en option), ce complexe bi-couche se compose d’une membrane support en polyester non tissé revêtue d’une grille de renforcement et d’une enduction spéciale résistante à la température. La résistance au feu de l’ensemble SARKÉO FEU et AÉRO FEU combinés est ainsi améliorée.   2 – une solution 2 en 1 pour les toitures simples à deux pans qui intègre un écran de sous-toiture au panneau isolant SARKÉO FEU+, permettant d’assurer l’isolation thermique et l’étanchéité en une seule opération. Si la face inférieure est revêtue d’un parement en fibre de verre saturé, la face supérieure est couverte d’un parement composite en polyester et fibre de verre spécial feu qui confère au panneau un classement au feu Bs1d0 (très peu de dégagement de gaz toxiques).   Disponible en dimensions 1200 x 2400 mm, la gamme SARKÉO d’EDILIANS offre des performances thermiques optimales même dans les conditions les plus extrêmes (de -50°C à +120°C). Certifiées par l’ACERMI et dotées d’une résistance thermique ≥ 6 m2.K/W pour une épaisseur de 147 mm, les solutions SARKÉO FEU et SARKÉO FEU + sont naturellement éligibles au crédit d’impôt.   Une mise en œuvre simple et rapide Garantissant une isolation en continu sans pont thermique et une parfaite étanchéité à l’air et à l’eau, la nouvelle gamme SARKÉO d’EDILIANS est facile à mettre en œuvre sur volige.   Alliant légèreté et robustesse, les panneaux isolants bénéficient d’une bonne résistance à la compression facilitant leur pose et leur vissage. Rainurés bouvetés sur les quatre faces, ils sont simples à assembler : il suffit de les emboîter les uns aux autres pour assurer rapidement une parfaite étanchéité. La toiture est mise hors d’eau en une journée et la charpente peut rester apparente, préservant ainsi l’esthétique et le volume habitable. Pratique, pour le traitement des point singuliers et la découpe, il est possible de rainurer manuellement les panneaux sans aucune difficulté.   En complément, EDILIANS met à la disposition des couvreurs des accessoires spécialement conçus pour faciliter le bon assemblage des panneaux par l’extérieur et assurer le traitement des rives (avec ou sans débord), de l’égout, de la noue, du faîtage et de l’arêtier (Double bande adhésive pour l’écran de sous-toiture ADHEO uni rouleau simple face…).   Offrant un confort thermique optimal toute l’année, les nouveaux panneaux isolants SARKÉO d’EDILIANS confirment l’un des engagements du fabricant pris à l’égard de ses clients artisans : leur rendre accessible des techniques d’avenir qui allient performance, rapidité et facilité de mise en œuvre.   *Double bande adhésive https://edilians.com/

Vivons au rythme des artistes et artisans ! L'ancienne acquisition du Groupe des Galeries Lafayette au 9, rue du Plâtre (4ème arrondissement), devient un tremplin de la création. La Fondation Lafayette propose Lafayette Anticipations, un bâtiment conçu par OMA qui révèle sa structure d'origine grâce à une intervention flexible et surprenante permettant d'être exploité par les artistes contemporains. Dédié à la création, le bâtiment de la Fondation Galeries Lafayette, situé dans le Marais (4ème arrondissement), vient intensifier le programme architectural du quartier.Le bâtiment industriel de la fin du XIXème siècle, ancien entrepôt du BHV, est une des propriétés historiques du Groupe. Le projet de rénovation, confié en 2012 à l'agence OMA fait honneur au patrimoine architectural de Paris au moyen d'une nouvelle structure métallique qui vient se greffer sur la pierre ancienne du bâti. Conservée et restaurée à son état d'origine à la demande des architectes des bâtiments de France, la structure initiale est complétée d'une tour d'exposition de 18 mètres de haut qui donne accès à un passage et une cour intérieure, reliant la rue du Plâtre à la rue Sainte-Croix de la Bretonnerie.Le bâtiment traversant de 5 étages conçu sur un plan en U consacre ses 2 200 mètres carrés à la culture et est pensé comme un lieu de passage, aussi bien sur le plan physique qu'artistique. En effet, près de la moitié de la surface est dédiée à des espaces d'exposition.En complément de cette offre d'envergure, un atelier de 400 mètres carrés au sous-sol accueille trois artisans et ingénieurs - qui travaillent aussi bien le bois que le métal et la peinture -, et convertit le lieu en une véritable plate-forme de création.Le 3ème étage est consacré aux créations légères, telles que la couture, la sérigraphie et la photographie. La tour d'exposition en acier contient deux niveaux mobiles qui peuvent se séparer en deux parties, créant ainsi quatre plateformes aux surfaces inégales se déplaçant au gré des envies le long d'un système de pignons et de grilles. Cette tour est conçue pour étendre les espaces d'exposition déjà présents, et s'adapter aux variations de niveauxdans le bâtiment. Un ajout qui vient compléter l'offre curatoriale classique, en offrant un espace qui dévie les usages de la structure originelle du musée et qui s'articule autour et pour elle. Il s'inscrit dans la continuité des étages intérieurs, dont le traitement sobre et industriel de métal et de béton vient révéler les éléments de structure du bâtiment historique. Le nouvel édifice précède le projet des Champs-Elysées des Galeries Lafayette, qui accueille depuis mars dernier 6 000 mètres carrés de boutiques. Une expérience prête à élever l'art au plus haut rang !   Pour en savoir plus, visitez le site de OMA Photographies : Frans Parthesius

L'ancienne presse d'imprimerie de Tiblissi (Géorgie), témoignage patrimonial de l'architecture soviétique, est définie par un caractère brut manifeste. Un aspect qui a largement inspiré les architectes d'Adjara Group qui réhabilitent la manufacture en un hôtel de luxe, grâce notamment à l'ajout d'éléments empruntés à l'univers glamour des années 1930. Alléger une enveloppe massive faite de briques et de béton sans lui ôter son essence ? Une gageure qui, loin d'effrayer les équipes d'Adjara Group, basé à Londres, a su stimuler leur créativité. Habitués des projets de réhabilitations audacieux, les maîtres d'œuvre convertissent un établissement manufacturier désuet situé au cœur de l'artère principale de la ville en un hôtel inscrit dans l'esprit dynamique du quartier. Tout en conservant son implantation et sa façade d'origine, les concepteurs imaginent une auberge occupant un espace caverneux qui dialogue entre intérieur et extérieur grâce à des jeux de hauteurs et des saillies transformant le bâtiment en un lieu vivant et hospitalier, quelle que soit la saison.L'atrium du grand hall d'entrée révèle l'impressionnante structure du bâtiment sur cinq étages, laissant se dégager une série de balcons éclairés par une lumière tamisée rendue possible grâce à l'ajout d'une piscine en verre, installée sur le toit, produisant des reflets qui soutiennent l'atmosphère feutrée du lieu Les poutres apparentes, renforcées de grilles de métal rouges – qui constituent l'ancien faisceau de séchage d'impression –, dégagent une façade et un toit entièrement vitrés, procurant chaleur et lumière naturelle aux nombreux éléments de végétation de l'hôtel. Le restaurant situé au rez-de-chaussée – qu'il partage avec le café, le bar et la chocolaterie –, mène à une cour intérieure verdoyante qui devient pour l'occasion un lieu d'échanges informel attirant, en plus des résidents, de nombreux habitants du quartier. Ils y dégustent une cuisine locale servie entre des murs bruts et pavés de mosaïque stylisés par la présence de mobilier aux couleurs pastels et de luminaires art-déco. L'atmosphère à la fois luxueuse et industrielle se poursuit jusque dans les étages, où les chambres, qui profitent d'une hauteur de plafond considérable, dévoilent des murs en briques d'origines et de généreuses ouvertures. Les pénates témoignent du savoir-faire de la région, allant des carreaux de céramique réalisés par le studio local Pataki aux papiers-peints, signés du designer Maya Sumbadze.Plus qu'un lieu où dormir et se restaurer, l'hôtel se veut être un véritable vivier de divertissement et dispose également d'un casino, d'une librairie, d'un musée et d'un amphithéâtre ouverts à tous. Un hôtel sanctuaire qui fait voyager ses habitants à travers le temps et les courants architecturaux. Pour en savoir plus, visitez le site de Adjara Group Photographies : DR

Un amphithéâtre contemporain ? Un musée ? Un stade en cours de construction ? Qu'est-ce donc que cet édifice en arc de cercle installé au beau milieu des maisons en bois de Flinders (Australie) ? Erigée par l'agence Woods Bagot, la Tidal Arc House est une habitation pas comme les autres qui envoie valser conventions et architecture vernaculaire pour réinterpréter la silhouette de la côte sur laquelle elle prend place. Zoom sur une demeure belle et rebelle. Petite bourgade de 900 habitants située au 50 kilomètres au sud de Melbourne, la commune de Flinders porte encore en elle les traces de l'époque coloniale. En effet, victimes d'un modèle unique d'architecture, les édifications contemporaines reproduisent le schéma du chalet local recouvert de bois inséré dans une grille de planification d'époque. Une redondance qui n'a pas semblé inspirer les équipes de Woods Bagot qui réalisent, sur un terrain circulaire de 880 mètres carrés, une demeure tout aussi voluptueuse. En réponse à l'environnement côtier dans lequel il s'inscrit, le projet est conçu selon des plans d'étages en forme de croissant occupant le bord est d'un site ovoïde. " Il n'y a pas de courbes parallèles sur le projet ni d'angles droits. La géométrie est aussi dynamique que le temps et les mouvements des marées. " Woods Bagot L'ensemble est composé de deux volumes concentriques recouverts de calcaire traité " à la matérialité évoquant la texture des coquillages et des récifs de corail ", empilés l'un sur l'autre de manière asymétrique. Largement vitrés, les deux volumes sont cernés de pieux en béton traversant toute la hauteur du bâti, du toit en pente recouvert de zinc au sous-sol, créant ainsi un rythme équilibré entre horizontalité et verticalité. Le rez-de-chaussée est accessible par deux points d'entrée : une à double hauteur située à l'ouest et une entrée privée à l'est, donnant toutes deux sur une pièce de vie ainsi que sur trois chambres séparées par des coques incurvées bordées de bois. Relié par un escalier alternant bois et pierre situé à l'extrémité nord du bâtiment, l'étage supérieur accueille l'espace de jour principal " salon, salle à manger et cuisine ", ainsi que la suite parentale. Enfin, sous la surface du sol, une cave à vin et un local de stockage cohabitent discrètement. Une petite terrasse au sud complète le tout. Si la connexion avec l'extérieur est évidente dans la conception et l'enveloppe du bâtiment, elle est également présente plus subtilement dans les aménagements intérieurs baignés de lumière et offrant des vues à 180 degrés sur la mer. Pour contrebalancer cet éclairage constant, les différents espaces ont été finis avec des matériaux plus sombres : bois bruns et noirs, calcaire apparent ou encore béton, créant ainsi un contraste entre le site balnéaire australien et l'intimité du foyer. Un projet audacieux qui rompt (enfin) avec une tradition architecturale poussiéreuse. Pour en savoir plus, visitez le site de Woods Bagot Photographies : Trevor Mein

FISCALITÉ. Le site spécialisé Batiactu Emploi propose désormais les grilles de salaires du BTP actualisées pour intégrer le prélèvement à la source, en vigueur depuis le 1er janvier 2019. Tous les métiers de la construction et de l'immobilier bénéficient ainsi d'une fiche de renseignements exhaustive.

Le fonds français est entré en négociation avec Intermediate Capital Group (ICG) pour le rachat du producteur de volets roulants et grilles de protection Stella Group, qu'il souhaite développer à l'international.

À travers une gamme exclusive de grilles, Hauraton signe une ligne originale destinée à valoriser les espaces publics et privés.

Hauraton, spécialiste dans la conception et la fabrication de caniveaux et solutions pour l'évacuation des eaux pluviales, propose une offre de grilles audacieuse puisant son inspiration dans les grandes références artistiques.

En octobre dernier, Antoine Rouzeau présentait sur les réseaux sociaux BRIC A BRAC, un vide poche, utile, simple et efficace. Depuis quelques années, le designer " architecte de profession " occupe son temps libre à imaginer des projets évidents, des objets auxquels rien n'est à ajouter ni à retirer. Le vide-poche BRIC A BRAC est un " produit évident où chaque détail a son importance " décrit Antoine Rouzeau. Composé d'une base en bois laqué noir et d'une grille en maille pliée laquée bleu, l'objet traduit les influences de l'artiste, parmi lesquelles Dieter Rams et Jasper Morrison, que le designer admire fidèlement. Aux yeux d'Antoine Rouzeau, tous les composants sont essentiels " les matériaux, les couleurs, leur juxtaposition " et il les utilise de manière à souligner la lecture de ses créations. Une philosophie qui le conduit à bannir tout élément superflu. En cela, il contribue à faire connaître et apprécier la simplicité dans le design. Pour en savoir plus, visitez le site de Antoine Rouzeau  Photographies : Antoine Rouzeau

Chomarat, spécialiste des armatures grilles pour le renfort des matériaux de construction, investit dans une nouvelle ligne de fabrication pilote pour développer sa prochaine génération de renforts de grilles enduites. Cette innovation technologique est destinée au renforcement de l'étanchéité des toitures et des plaques de ciment. Une technologie qui sera opérationnelle début 2019 sur le site américain de Chomarat, à Anderson.

Lancée il y a un an en Europe centrale et en Scandinavie, la WX6500, une grille de criblage en caoutchouc développée par Sandvik, est désormais à la conquête de nouveaux marchés en Europe du sud et au Moyen-Orient.

À Concepción, au Chili, une lanterne géante illumine depuis 2018 les rives du fleuve Biobío le soir venu. Imaginée par l'architecte et enfant du pays Smiljan Radi? " en collaboration avec Eduardo Castillo et Gabriela Medrano ", elle abrite les cinq étages du plus grand théâtre régional. À l'origine de cette réalisation titanesque de presque 10 000 mètres carrés accueillant deux salles de spectacles " une première d'une capacité de 1 500 sièges et une seconde 250 places ", un concours public lancé en 2011 pour que la région dispose de son propre théâtre, un an après que la ville de Concepción a été frappée et partiellement détruite par un séisme. Un événement marquant, lequel impliquait d'imaginer un édifice solide et rassurant, à l'épreuve des secousses les plus violentes. Pourtant, si le projet de Smiljan Radi? ne manque pas de robustesse, grâce à sa structure antisismique en béton armé prenant la forme d'une grille en 3 dimensions, il n'en laisse rien paraître. La raison : son enveloppe, réalisée en polytétrafluoréthylène (PTFE) blanc translucide et en verre, dont l'apparence est aussi légère qu'une lanterne chinoise. " C'est un emballage pour la fiction. Une tentative d'évoquer la nature du programme, de le cacher, de l'envelopper ", explique à ce sujet le concepteur. Un parti pris d'autant plus efficace que cette peau peut être ouverte en été pour ventiler le bâtiment tandis qu'elle retient la chaleur quand arrive l'hiver. À l'intérieur, le squelette minéral permet, grâce à son maillage semblable à celui des échafaudages utilisés dans les coulisses de la plupart des salles de spectacles, de multiplier les vides et donc d'amplifier le sentiment de légèreté inspiré aux visiteurs. L'endroit idéal pour débattre " et critiquer ? " des dernières productions des dramaturges ! Photographies : Cristobal Palma

Nos espaces publics ont parfois mauvaise presse : urbanisme chaotique, mobilier urbain de piètre qualité, manque de confort, logiques sécuritaires exacerbées, etc. Ils peuvent pourtant se muer en une source d'inspiration. Cela a été le cas pour l'atelier de design belge Nortstudio avec son banc Urban shapes, issu de la joyeuse combinaison de formes primaires qui nous entourent. Le travail du duo de créateurs basé à Anvers s'inspire de l'espace public et de certains éléments qui le composent, que l'on ne voit plus toujours, tellement notre "il s'y est habitués ; ou dont on ne mesure plus la beauté. Pourtant, assemblés, mis en lumière et en couleurs ces derniers retrouvent toute la puissance qui leur manquait. Prenez un plot en béton, une gaine métallique circulaire, une poutre de section carrée, et un caillebotis, réinterprétez-les en bois et métal, dynamisez-les avec des teintes bleu Majorelle, terracotta, et rose pâle, et vous obtiendrez la collection vitaminée Urban shapes ! Avec ses volumes quadrillés en partie haute, à poser de façon autonome ou à connecter comme bon vous semble grâce à une grille métallique, la gamme s'adapte à toutes les envies et à tous les espaces. " Une ville grandissante est une source d'inspiration constante, comme les formes et matériaux bruts disséminés autour des chantiers, attendant d'être utilisés et de remplir une fonction. En les décontextualisant et en les combinant d'une manière complètement différente, une tension spéciale est créée. "  Nortstudio Une gamme qui redonne toute leur place à des oubliés du quotidien. Pour en savoir plus, visitez le site de Nortstudio Photographies : DR

Les architectes d'intérieur de Masquespacio ont encore frappé ! Après avoir le bar à sushis Nozomi conçu pour les chefs Jose Miguel Herrera, Nuria Morell et Clara Vidal, ces derniers ont choisi de faire une deuxième fois appel au studio de design espagnol pour imaginer leur nouveau concept de bar à yakitori à Valence (Espagne) : le Hikari. Une rue de Tokyo se cache dans cette ville de la côte est espagnole. Dans le quartier multiculturel et éclectique de Ruzafa, au sud de la métropole, Hikari, un bar à brochettes japonais, tire son inspiration de l'esthétique nippone, tout comme son grand frère le Nozomi construit en 2014, au point d'en faire oublier l'environnement méditerranéen dans lequel il prend place. L'entrée du lieu donne le ton : bardage en taule, grilles métalliques noires et néons blancs décorent la façade, laissant entrevoir le crépitement des flammes de la cuisine. Dans cet espace tout en longueur de 180 mètres carrés divisé en deux salles en enfilade, plafond en acier galvanisé, sol en terrazzo, pieds de table en faux parpaings et murs bardés de panneaux de béton et métal procurent une ambiance industrielle à l'ensemble, contrebalancé par du mobilier en bois clair.La première pièce, de forme longitudinale, présente d'un côté la cuisine avec comptoir, comme dans les typique izakaya, ces micro-restaurants japonais ; et de l'autre quelques tables séparées par des grilles en métal rouillé. Au fond du restaurant, tapi dans l'ombre, un tunnel donnant accès à une seconde zone, carrée, composée de tables disposées dans des alcôves, avec faux débord de toiture, avec en son centre un stand de commerçant traditionnel en bois. On, se croirait presque dans une rue de l'Empire du soleil levant !Et pour illuminer cette surface aveugle, Masquespacio mise sur des lampions en papier mais surtout des suspensions en métal, méthacrylate et bandes de LED, rappelant certaines allées de l'Archipel. Un clin d'oeil au nom du restaurant : hikari, qui signifie " lumière " en japonais. Un rendu minimaliste qui fait honneur aux quartiers tokyoïtes commerçants.  Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Masquespacio Photographies : Luis Beltran

La chaîne internationale Student Hotel Campus étend à l'Espagne son concept hybride mêlant herbergement et co-working, entièrement dédié aux étudiants. Le résultat : une résidence de cinq cent chambres dont la rénovation a été réalisée l'agence Masquespacio, dans le quartier de Marina (Barcelone). La firme néerlandaise déjà implantée dans diverses grandes villes d'Europe installe à Barcelone un lieu mêlant co-living et co-working, destiné exclusivement aux étudiants. Une mixité programmatique dans l'air du temps qui encourage la connectivité et l'échange. Le campus de Marina, situé à quinze minutes de la Sagrada Familia, réunit à lui seul cinq cent chambres réparties en quatre tours allant de quatre à dix étages, pour une surface totale de 21 000 mètres carrés. Ces dernières, installées en peigne et chacune coiffées d'un bassin de nage, sont reliées par un rez-de-chaussée commun aux deux programmes, divisé en zones répondant à divers usages tels que le divertissement (baby-foot, billard et ping-pong), le travail (salle d'études) et le repos (fauteuils et gradins), délimitées par des grilles vernis, des piliers de béton brut, mais surtout par l'utilisation de couleurs exubérantes. " Il convient de noter que l'utilisation de la couleur influence non seulement l'humeur de chacun, mais crée aussi un environnement au design audacieux. " Ana Hernández, directrice artistique de Masquespacio L'esthétique industrielle que l'on retrouve dans chaque établissement du groupe hôtelier est ici combinée à un style Memphis et une touche vintage seventies. Carrelages noirs et blancs, conduits d'aération apparents, mais aussi courtes citations lumineuses et fauteuils aux tons méditerranéens font de cette adresse un hébergement hors-normes, en phase avec l'identité de sa clientèle. Attention à ne pas vous y perdre au point d'en oublier de visiter le pays ! Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence MasquespacioPhotographies : Luis Beltran

REGLEMENTATION. Les entreprises du BTP font bénéficier à leurs salariés travaillant sur chantier des indemnités de panier, de transport et de trajet lorsqu'ils sont en situation de petits déplacements. Le montant versé correspond au minimum à celui fixé par les partenaires sociaux au niveau de la branche, dans le cadre d'accords régionaux ou départementaux. Suite à l'entrée en vigueur des ordonnances Macron, faisons le point sur l'impact en matière d'indemnisation des petits déplacements.

Parce qu'un détail peut tout changer, ALDES fait disparaître les grilles de ventilation dans le décor grâce à la collection inédite ColorLINE®.

Aménager un restaurant dans un local de seulement 40 mètres carrés ? Défi relevé, pour le jeune architecte-designer espagnol Valentin Sanz qui réalise la PIVVZZA, pizzéria originale et minimaliste située dans le centre-ville de Soria (Espagne). Organisé sur un plan carré de 40 mètres de côté, l'établissement se compose principalement d'une salle à manger de 15 mètres carrés, autour de laquelle prennent place deux espaces organisés sur un plan en L : une cuisine ouverte et des WC situés au fond de la zone d'accueil. Dans une surface si réduite, le stockage est au c"ur des problématiques d'aménagement. Ainsi, avant de dessiner le projet, le concepteur a tout d'abord effectué un minutieux inventaire des outils indispensables au bon fonctionnement du lieu, puis a pris le soin d'intégrer dans une ossature métallique orthonormée de nombreux rangements et plans de travail adaptés. Chacun des éléments en bois possède ainsi une place spécifique dans cette grille faisant également office de montants de fixation pour des parois en contreplaqué. Ce jeu de pleins et de vides organise le local de manière rationnelle et efficace, afin de ne pas encombrer ou gêner restaurateurs et clients.   Valentin Sanz a en outre dessiné le mobilier composé de tables en métal et bois, et de tabourets en chêne " empilables bien entendu, pour se transformer en chaises hautes. Cet ameublement sur-mesure prodigue alors un maximum de flexibilité d'agencement tout en apportant une atmosphère de terrain de jeux. Un endroit chaleureux et ludique optimisé avec brio, où toutes les conditions sont réunies pour se régaler. Pour en savoir plus, visitez le site de Valentín Sanz Photographies : Luis Diaz Diaz

Conçue par le studio chinois Waterform Design, la pharmacie Molecure " contraction de " molécule " et " cure " ", tend à modifier l'image de l'apothicairerie traditionnelle en inscrivant dans un environnement architectural contemporain. Si ce projet rompt avec la forme traditionnelle de la pharmacie, son intérieur n'en reste pas moins doté de multiples références au monde de la santé, au corps humain ou simplement à la nature, d'où provient une grande partie des remèdes. Répartis sur deux niveaux reliés entre eux par un escalier cuivré en colimaçon - reprenant la forme d'un brin d'ADN -, les 120 mètres carrés de ce lieu atypique apaisent par leur épure et la présence massive de lumière naturelle diffusée par la large baie vitrée d'entrée. Le rez-de-chaussée est marqué par une imposante table composée de poutres de bois massif reposant sur la souche d'un arbre centenaire. Ici, des tablettes numériques, mises à la disposition des profesionnels de santé et de leurs patients pour un suivi plus aisé, rencontrent une végétation luxuriante. Ces éléments de mobilier lient ainsi nature et technologie, à l'image de l'industrie médicale. Cette association se retrouve également dans les revêtements muraux en ciment recouverts de galets qui prennent place devant les étalages en acier et verre transparent " parfois agrémentés de supports colorés. Les plafonds agissent également comme un clin d'"il à la science puisque des tubes à essai sont suspendus à des grilles en cuivre. Cette zone, entièrement dédiée aux clients, mêle distribution autonome et conseil. Lorsque le visiteur accède au niveau supérieur, il emprunte une coursive suspendue en cuivre dont le sol qui l'entoure et la rambarde sont percés de minuscules triangles. Au centre de cette cavité, de fins branchages flottent dans les airs, rappelant encore une fois l'importance des végétaux en médecine. L'espace y est divisé en deux zones délimitées par l'excavation : des étals d'une part ; un bureau, une salle de pause et des pièces de stockage des apothicaires d'autre part. Ici, le revêtement de sol en granit du rez-de-chaussée est remplacé par un parquet massif, plus chaleureux. Cette réalisation revisite les codes de l'officine et prouve que design et santé peuvent faire la paire, notamment par la mise en valeur des plantes dans les recherches et avancées médicales. Pour en savoir plus, visitez le site de Waterform Design Photographies : Kuomin Lee

Saint-Gobain, groupe de matériaux de construction annonce ce 24 juillet 2017 avoir signé un accord définitif en vue d'acquérir 100% du capital de Kirson. Il s'agit d'un fabricant allemand de grilles de renfort et de produits combinés à base de grilles et de toiles non tissées.

Saint-Gobain acquiert la société allemande Kirson, spécialisée dans les grilles de renfort pour l'étanchéité des toitures, des revêtements de sols et des panneaux de construction.

Coincé entre trois immeubles du 9e arrondissement de Paris, le Playground Pigalle Duperré s'offre un second lifting. Aux commandes de ce projet vitaminé : le fan de basket, et créateur de la marque de prêt-à-porter Pigalle, Stéphane Ashpool, qui y organise chaque année un tournoi et su convaincre la mairie du bienfondé de la conservation de cette dent creuse. Le terrain, aux dimensions non réglementaires, était menacé de fermeture il y a quelques années, jusqu'à une première intervention picturale d'Ill Studio et de Pigalle en 2015, avec le soutien de la mairie d'arrondissement. La parcelle biscornue, tout en longueur, de biais et enchâssée entre trois pignons, ne correspond en effet pas vraiment aux canons du genre... C'est à l'occasion de la Fashion Week de Paris de fin septembre dernier, et avec le soutien de Nike, que l'agence de design et la marque de vêtements décident de collaborer à nouveau. Pour ce second remodelage, ils choisissent alors un habillage mêlant rose vif, bleu et orange. Ces tonalités sont omniprésentes, que ce soit sur la grille séparant l'aire de jeu de la rue, l'escalier bicolore menant à une mystérieuse porte latérale, le parterre, les murs ou même les paniers aux panneaux en plexiglas teinté. Au sol, les limites ont été stylisées et simplifiées. Ainsi, la raquette " zone qui délimite la distance de tir au basket ", n'est que suggérée par quelques traits. Les contours blancs asymétriques de la surface apportent quant à eux de la sobriété dans une farandole de couleurs. Un graphisme renouvelé qui a permis de sauver un espace de jeu plutôt rare dans la capitale. Pour en savoir plus, visitez le site de Pigalle Basketball Photographies : 1), 3), 4), 6) & 9)   Alex Penfornis  2), 5), 7) & 8) Sebastien Michelini  

Sous la houlette de l'architecte et professeur américain Darin Johnstone, les élèves de la Southern California Institute of Architecture " SCI-Arc ", en collaboration avec l'association Habitat for Humanity, ont eu pour mission d'imaginer une maison abordable et originale. Parmi les 16 propositions, la IVRV House s'est distinguée par son approche sécuritaire, adaptée aux zones de Los Angeles où la criminalité est la plus forte. Ce logement unifamilial de 110 mètres carrés réparti sur deux étages est situé dans le quartier de West Athens, dans le sud de la Cité des anges, particulièrement réputé pour sa criminalité. Nous sommes ici bien loin des villas luxueuses de Santa Monica ou de Venice Beach, puisque la zone accueille les populations les plus défavorisées de L.A. Le défi était donc de réaliser un lieu de vie agréable, abordable et surtout en adéquation avec les mesures sécuritaires malheureusement nécessaires au bien-être des habitants. En façade, deux expressions architecturales s'affrontent : l'arrière de la demeure reprend ainsi le profil d'un pignon " traditionnel " coiffé d'une toiture à deux pans ; tandis qu'à l'arrière le toit est doté d'une ouverture biseautée permettant d'apporter à l'intérieur un puit de lumière zénithal. Sous ces volumes originaux se cache une structure bois revêtue de panneaux de ciment, qui proviennent de dons faits à Habitat for Humanity. Les résidences du voisinage n'ayant pas de réels espaces extérieurs " ou entourés de clôtures métalliques disgracieuses, pour des raisons évidentes de sûreté ", les architectes ont souhaité intégrer au sein même du volume d'habitation un jardin d'hiver entouré de grilles protectrices et des treillis et installés à c"ur de la propriété. " Nous voulions créer une zone extérieure protégée dans le volume de la maison, de sorte que la famille puisse profiter pleinement du climat et du style de vie de la Californie tout en se sentant en sécurité. " Darin Johnstone, architecte en charge de superviser le projet Pour ce projet, les concepteurs ont gardé en tête le mantra d'Habitat for Humanity, à savoir " chaque homme et femme devraient avoir un endroit décent, sûr et abordable dans lequel vivre ". Un concept qui semble logique mais pour lequel les réalisations manquent encore. Pour en savoir plus, visitez le site de Darin Johnstone Photographies : Joshua White