Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour passerelle

(719 résultats)
Il y a 3 ans et 363 jours

Début du gros œuvre de l'immeuble résidentiel "Link" au sein du programme "Les Jetées" à Huningue (68)

Une portée urbaine uniqueAux frontières de la France, de l’Allemagne et de la Suisse, aux portes de Weil-Am-Rhein et de Bâle, c’est en bordure de Rhin que le projet « Les Jetées », porté par Constructa, ambitionne de faire rayonner la ville de Huningue. Pour créer un véritable quartier fluvial, emblématique, carrefour des trois pays, « Les Jetées » ouvre la ville sur le Rhin en prolongeant le centre-ville jusqu’aux berges.Conscient de l’opportunité de ce site, le groupement d’architectes dont fait partie Triptyque porte un projet ambitieux, pour faire de ce nouveau quartier un lieu de vie unique, privilégié, au plus près du Rhin où l’on trouvera de nombreux logements au points de vues exceptionnelles, des commerces, des bureaux et des espaces de loisirs.Le bâtiment résidentiel Link, conçu par l’agence, vient former place avec ce futur ensemble urbain pour dévoiler un nouveau quartier aux lignes souples, à l’ambition paysagère respectueuse de l’environnement, le tout dans un esprit fédérateur en bordure de fleuve. Il comportera des commerces en rez-de-chaussée, faisant office de prolongement linéaire du centre-ville commerçant et reliant la passerelle à la place Abbatucci.Parti pris architectural« L’écriture architecturale et paysagère du projet global a été guidée par trois ambitions : ouvrir Huningue sur le fleuve en créant une nouvelle relation avec l’eau, mettre la ville dans l’agglomération bâloise avec un projet phare et offrir aux Huninguois un nouveau lieu de vie exceptionnel, au cœur du réseau vert. Chaque bâtiment, tout en affirmant sa singularité, contribue à la réalisation de ce projet de ville. » Olivier Raffaëlli, Associé-Fondateur de Triptyque ArchitectureAujourd’hui les travaux de l’immeuble résidentiel Link ont démarré, ce bâtiment nouvelle génération d’une surface totale de 4.000 m2 sur 5 niveaux offre des logements spacieux reposant sur des espaces innovants et de haut standing, prévus pour être cédés en accession libre. Les quatre premiers niveaux de l’ensemble forment un corps central entouré de débords de dalles, tandis que le R+5 vient couronner le bâtiment, en créant un attique.Les volumes dessinés par l’agence sont généreux, dépassant les standards classiques. Alliés à d’importantes hauteurs sous plafond de 2m70, ils viennent appuyer l’écriture moderne de cette résidence de haut standing. Longeant le parc et le fleuve, l’immeuble propose 44 logements répartis sur des halls offrant des accès privatifs par ascenseur. La plupart des appartements sont traversants : l’apport en lumière est généreux, notamment grâce à la façade Est totalement vitrée, dévoilant une vue sur le Rhin. Grâce à l’exosquelette, chaque appartement bénéficie d’un large balcon privatif.« Apporter de la lumière et démultiplier les espaces extérieurs était un pré-requis dans la conception, ce postulat résonne d’autant plus aujourd’hui. »Guillaume Sibaud, Associé-Fondateur de Triptyque ArchitectureLe bâtiment se veut clair et transparent, les architectes ont ainsi fait le choix d’utiliser du béton gris clair pour la grille des poteaux structurels obliques et des débords de dalles. Les façades Est, l’angle Nord-Ouest et l’angle Sud-Ouest largement vitrés sont pour leur part composés de menuiseries toute hauteur en aluminium laqué blanc. Enfin, les séparatifs de balcons ont été conçus en verre translucides, matériau également utilisé sur une partie des façades.Une ambition environnementale et socialeLe bâtiment de logements et l’hôtel imaginés par Triptyque prennent part à un projet d’envergure, tant environnemental que social. L’ambition paysagère est d’inscrire ce nouveau quartier dans la stratégie 3Land, menée par l’Eurodistrict Trinational de Bâle, qui prévoit la création d’une trame verte reliant le centre de Bâle à Huningue. Les cœurs d’îlots mêleront terre et eau, permettant une dissolution des bâtiments avec le fleuve.
Il y a 3 ans et 363 jours

A Hangzhou (Chine), trop BIG le siège d’OPPO ?

C’est BIG – Bjarke Ingels Group, a annoncé l’agence en mars 2021, qui construira le nouveau siège de OPPO R&D (160 000m²), un bâtiment écologiquement, économiquement et socialement durable – une passerelle emblématique à la Future Sci-Tech City de Hangzhou. Communiqué. Hangzhou n’est pas seulement une plaque tournante de l’innovation mais abrite également les paysages naturels […] L’article A Hangzhou (Chine), trop BIG le siège d’OPPO ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 4 jours

DOMConnect® by Dény : Pour aider les bâtiments à renforcer la protection de leurs accès, Dény Sécurity repousse les limites de son écosystème de sécurité Optimal

En forte croissance ces dernières années, la taille du marché mondial du contrôle d’accès devrait progresser de près de 50% à l’horizon 2025*. Parmi les raisons expliquant ce phénomène, figure l’essor des bâtiments intelligents dans lesquels la gestion des accès joue un rôle central. Conscient de la nécessité de proposer des systèmes capables d’évoluer en fonction des usages et des technologies, Dény Sécurity complète ses solutions connectées Optimal avec DOMConnect® et offre ainsi un système global alliant une gestion simplifiée des accès et une flexibilité inégalée. Gamme DOMConnect® : un large éventail de produits connectés Complet, l’écosystème OPTIMAL de Dény Security se compose d’une large gamme de serrures connectées permettant d’installer rapidement un contrôle d’accès sur l‘ensemble des points à sécuriser dans un bâtiment. Cylindres électroniques Optimal Lock, béquilles Optimal Hand, verrous Optimal Locker pour sécuriser casiers, armoires ou vestiaires, lecteurs muraux de badges… sont autant de solutions simples à mettre en œuvre en lieu et place de verrouillages mécaniques. Ne nécessitant aucun raccordement électrique, ni tirage de câbles, ces produits totalement autonomes rendent possible le déploiement, à moindre coût, d’un contrôle en entrée et/ou sortie sur l’ensemble des portes et accès, même les plus éloignés ou inaccessibles, à l’intérieur d’un bâtiment, et ce, sans aucune modification de la structure existante. D’une grande adaptabilité, les solutions de l’écosystème Optimal de Dény Security répondent à tous les besoins de sécurisation en construction neuve. Grâce à DOMConnect®, Dény Security apporte aujourd’hui une réponse fiable et évolutive à tous les sites déjà équipés qui souhaitent renforcer leur sécurité en installant des lecteurs ou cylindres connectés supplémentaires, sans pour autant changer leur système en place. DOMConnect® : la clé pour une gestion intelligente et simplifiée des accès Puissant, DOMConnect® est un dispositif de sécurité qui, grâce à l’Optimal Box faisant office de passerelle, relie toutes les solutions connectées de l’écosystème Optimal à un logiciel de contrôle d’accès existant, quelle que soit sa marque. Une fois l’Optimal Box intégrée à ce dernier, DOMConnect® est prêt à l’emploi. Il se connecte alors automatiquement à toutes les portes et autres accès équipés des produits Dény Sécurity via une connexion sans fil ou une application dédiée. Garantissant un fonctionnement synchronisé de tous les équipements (contrôle d’accès, vidéosurveillance, anti-intrusion…), DOMConnect® permet de bénéficier d’une vue d’ensemble de la gestion de la sécurité d’un bâtiment. A partir de l’interface d’un seul et même logiciel, un gestionnaire d’établissement coordonne et contrôle ainsi deux systèmes différents encore plus facilement, sans aucune modification de son installation existante. *Source MarketsandMarkets Un système global, unique et flexible Outre transformer la sécurité d’un bâtiment en un système de verrouillage entièrement connecté et contrôlé, DOM Connect® by Dény Security offre une grande flexibilité de programmation des badges, quelle que soit leur technologie (Mifare Classic, PLUS S, Desfire…), grâce à trois modes disponibles qu’il est possible de mixer indifféremment pour une gestion de l’ensemble des accès : Data on card sous protocole ouvert (OSS) pour gérer l’ensemble de l’installation grâce aux badges dans lesquels sont conservées directement toutes les données d’autorisation. Cette technique évite toute intervention du gestionnaire sur chaque porte individuellement, Online pour une programmation en temps réel et à distance de tous les appareils connectés depuis le logiciel de contrôle d’accès, Offline directement à l’aide de l’application DOMConnect® App compatible avec tous les smartphones Android dotés de la fonctionnalité NFC. Elle s’utilise alors comme un outil de configuration et de programmation entre les dispositifs de verrouillage et le logiciel de contrôle d’accès. Il suffit ensuite de présenter le smartphone devant la serrure connectée pour mettre à jour les droits et consulter l’historique des événements. Solution globale et fiable de sécurité permettant de penser et d’organiser un système de contrôle des accès dans son ensemble, les produits de la gamme DOMConnect® by Dény Security présentent en plus l’avantage d’être compatibles avec le Pack ID by Orange. Grâce à cette solution sans contact mobile qui convertit tous types de smartphones Android et iOS, quel que soit l’opérateur mobile ; employés, clients et usagers disposent alors d’un véritable trousseau de clé virtuel sécurisé. https://www.deny-security.com/global/fr
Il y a 4 ans et 5 jours

Vimar présente de nouvelles solutions smart pour le contrôle d'accès des structures d'accueil

Parfaites pour les structures d’accueil de petites et moyennes dimensions comme le tourisme rural ou les B&B, les nouveautés comprennent deux dispositifs: un lecteur palier NFC/RFID - qui affiche l’état de la chambre et limite l’accès aux personnes autorisées – et une poche NFC/RFID d’intérieur qui reconnaît la smart card et fournit l’énergie à la chambre.Deux dispositifs qui donnent naissance à un système extrêmement polyvalent répondant à toutes les exigences.En modalité autonome, à travers l’appli View Wireless, l’installateur procède à la mise en service du système. La même appli View Wireless permet au responsable de programmer les accès grâce au wizard intégré à l’appli. Il mémorise les badges sur le smartphone et synchronise l’installation en approchant le smartphone des dispositifs présents. Le client pourra accéder à sa chambre ou à d’autres espaces communs grâce au badge qui lui aura été remis. Pour augmenter le niveau de sécurité, le système offre la fonction « relais inverseur » qui déclenche le contact d’ouverture à partir de la poche présente à l’intérieur de la chambre.En ajoutant la passerelle IoT Bluetooth Wi-Fi, le système résulte connecté, permettant d’utiliser l’appli View pour ouvrir le passage à distance, vérifier la présence dans la chambre, dialoguer avec d’autres dispositifs connectés pour le contrôle de l’éclairage, l’actionnement éventuel des stores et le réglage automatique de la température dans la chambre, mais aussi créer des scénarios personnalisés.De simples opérations qui facilitent la tâche au responsable de la structure, sans devoir toujours être présent à l’accueil. Les clients pourront accéder à la structure après que le gérant leur aura ouvert la porte en déporté, prendront leur badge et l’utiliseront en l’introduisant dans la poche pour allumer les différents dispositifs : une solution qui évite de gaspiller l’énergie. La température de la pièce passe en mode confort, les scénarios de bienvenus, définis et personnalisés, se déclenchent. Pour un séjour sous le signe de l’hospitalité smart. Les dispositifs pour le contrôle des accès se basent sur la technologie Bluetooth® wireless technology et sont disponibles pour les séries Eikon, Arké et Plana.
Il y a 4 ans et 19 jours

Le Portugal inaugure le pont pédestre le plus long du monde

INFRASTRUCTURE. Le plus long pont pédestre du monde, situé au Portugal, ouvre ce lundi 3 mai aux touristes. Il dépasse le record établi en 2017 par la passerelle Charles Kuonen dans les Alpes suisses.
Il y a 4 ans et 30 jours

WiredScore lance SmartScore, le nouveau label international pour les immeubles intelligents

Le label SmartScore a été développé en réponse à la demande croissante d’un cadre clair et partagé sur ce qu’est réellement un immeuble intelligent, et sur la manière dont ce cadre peut être appliqué.Le label SmartScore est ainsi signe de crédibilité et de confiance pour un secteur qui a souffert et souffre encore d’un manque de sens et de transparence en matière de transformation numérique.Le label offre une vision partagée de l’avenir des immeubles intelligents pour répandre des pratiques communes pour les multiples acteurs impliqués dans ces démarches.SmartScore vient compléter les solutions de certifications existantes, et WiredScore travaille depuis un moment avec BREEAM, LEED, RESET et WELL pour créer des passerelles avec leurs certifications.En effet, depuis un an, WiredScore mène des travaux importants en collaboration avec le WiredScore Smart Council, constitué de plus de 90 utilisateurs, propriétaires et promoteurs du monde entier, afin de développer un cadre destiné aux immeubles intelligents. Ses membres ont contribué à définir un approche des immeubles intelligents centrée sur les plus-value pour les utilisateurs : efficacité opérationnelle, durabilité et respect de l’environnement, expérience utilisateur, et pérennité. 70 immeubles situés dans 7 pays et appartenant à 44 propriétaires à travers le monde se sont déjà engagés dans la démarche de labellisation SmartScore. Parmi ces pionniers de l’immobilier figurent Allianz Real Estate, Art-Invest Real Estate, AXA Investment Managers and Sefri-Cime, Battersea Power Station Development Company, Benson Elliot, Bentall Green Oak, Boston Global Investors, British Land, CA Immo, Carttera, CEG, Columbia Property Trust, Commerz Real, Covivio, Derwent London, Dream Office REIT, EDGE, Gecina, Great Portland Estates, Greystar Real Estate Partners, HFD Property Group, Immovalor Gestion, Ivanhoe Cambridge and Hines, KingSett Capital, Legal & General, M&G Real Estate & Nuveen Real Estate, McLaren, MOMENI Gruppe, Morgan Stanley Real Estate Investing (MSREI), JLL and Anchor Line Partners, Nuveen Real Estate, Ponte Gadea, Quadrant, Quadrum Global, RedTree Capital, Royal London Asset Management, Rudin Management Company, SIGNA Real Estate, Skanska, Standard Life Aberdeen, The John Buck Company, U+I.En France, les immeubles engagés dans la démarche de labellisation SmartScore sont notamment 2 Erables, 21 Paix, 25 Matignon, Boétie, DREAMVIEW, Eiffel, EMBLEM, L’OFFICINE et le Siège de Gecina. Le label SmartScore est lancé à un moment crucial pour le marché, alors que propriétaires et locataires d’immeubles doivent travailler ensemble pour inciter les employés à revenir travailler dans les bureaux. Les immeubles intelligents joueront un rôle essentiel dans la création d’espaces de travail plus attractifs, efficaces et durables, où les individus peuvent se retrouver et collaborer, bénéficier des meilleures conditions de travail et gagner en productivité.Ainsi, un nouveau rapport de WiredScore, Sustainable, future-proofed and connected – the office beyond 2021, (« Durabilité, évolutivité et connectivité : les bureaux au-delà de 2021 »), révèle que les employés privilégient des espaces de travail intelligents, sociables et durables, offrant des expériences inégalées dans leur environnement de travail à domicile. Entres autres résultats, plus d’un quart (26 %) attendent de leurs bureaux qu’ils disposent de technologies dernier cri ; environ un tiers (30 %) indiquent qu’ils souhaiteraient disposer de services numériques favorisant la culture d’entreprise en les aidant à savoir quels collègues sont au bureau et à quel endroit ; et près des deux tiers (63 %) déclarent qu’il est important de pouvoir travailler dans un bureau s’inscrivant dans une démarche de développement durable.« En tant que membre du WiredScore Smart Council, nous avons participé à la construction du label SmartScore appliqué aux bâtiments intelligents et engagé dans cette démarche deux immeubles particulièrement représentatifs de notre marque YouFirst, dont notre siège social. Ce label constitue pour nous une opportunité d’accélérer notre ambition d’offrir à nos clients des immeubles performants avec un haut niveau de service et une expérience humaine enrichie. » déclare Sabine Desnault, Directrice Exécutive R&D, Innovation et RSE, Gecina.« SmartScore met en évidence l'importance du smart building pour la valorisation des bâtiments par les usages. Cette approche est tout à fait en ligne avec les travaux que mène la SBA depuis des années. Les 2 organisations travaillent d'ores et déjà à établir des passerelles entre les cadres de référence technique de la SBA et le label SmartScore. » observe Emmanuel FRANÇOIS, Président de la Smart Building Alliance.« Le secteur de l’immobilier et les exigences des locataires ont substantiellement évolué au cours de l’année écoulée. Une approche “intelligente” est indispensable pour les propriétaires qui souhaitent offrir les expériences et la valeur ajoutée que l’on attend d’eux désormais. Notre ambition est de donner du sens à l’utilisation des technologies dans les immeubles, et créer les conditions d’une transformation numérique effective et durable. Avec SmartScore, pensé avec les décideurs immobiliers, la filière dispose enfin d’un cadre lui permettant de tirer tous les bénéfices des immeubles intelligents. » déclare Frédéric Motta, Directeur Général de WiredScore France.
Il y a 4 ans et 31 jours

Paris-2024 : soupçons de propos sexistes et racistes, trois salariés de la Solideo suspendus

Cette enquête a été confiée "il y a quelques jours" au déontologue de la Solideo à la suite de l'envoi de questions par le journal en ligne Mediapart au sujet de propos sexistes, racistes et homophobes tenus au sein de l'établissement public, selon La Solideo."Nous avons été saisis de questions de la part de Mediapart qui nous a rapporté des accusations extrêmement graves et choquantes, suffisamment graves pour déclencher une enquête en interne et suspendre trois salariés afin de pouvoir établir la véracité des choses", a-t-elle expliqué.Selon les témoignages recueillis par Mediapart qui a publié dimanche un article sur le sujet, sur les trois salariés visés par ces accusations, deux sont des cadres de la société placés à des postes-clés."Il y a déjà eu des dysfonctionnements dans le passé qui ont été traités avec sérieux et à la hauteur de ce qui avait été établi, pas forcément sur les mêmes salariés. Mais là, il s'agit de nouvelles accusations, extrêmement graves", a précisé la Solideo.L'audit pourrait déboucher sur des sanctions concernant les salariés visés par ces accusations, a-t-elle ajouté.La Solideo, établissement public industriel et commercial (Epic) qui emploie une centaine de salariés, est présidée par la maire PS de Paris Anne Hidalgo.Chargée de construire les ouvrages pérennes pour les JO de Paris, la Solideo supervise 62 ouvrages allant du village des athlètes à des rénovations de gymnases, en passant par des ponts et passerelles."Les comportements déviants peuvent arriver dans n'importe quelle organisation", a réagi, contacté par l'AFP, le cabinet d'Anne Hidalgo qui affirme ne pas avoir eu connaissance de "l'étendue des accusations" avant l'enquête de Mediapart.Selon ce dernier, le cabinet a pourtant récupéré en novembre 2020 le rapport d'une ancienne directrice de la communication de Solideo alertant sur les "propos misogynes, racistes et homophobes échangés au quotidien".Si "cette ex-collaboratrice licenciée" a bien "fait état d'une série de choses" auprès du cabinet, celui-ci a "clos le chapitre" car la personne en question n'a pas "voulu saisir officiellement la maire, préférant s'en tenir à une solution transactionnelle avec son employeur"."Si ce que dit Mediapart est avéré, c'est particulièrement choquant", ajoute l'équipe de l'élue socialiste, qui "fait confiance" au directeur général de Solideo Nicolas Ferrand "pour prendre les décisions qui s'imposent à l'issue de l'enquête contradictoire"."Aucune décision n'a été prise pour lutter contre les responsables de tels propos jusqu'à ce que Mediapart s'en saisisse et enquête", a dénoncé la conseillère de Paris (La France Insoumise) Danielle Simonnet."A la Mairie de Paris, de tels faits se multiplient et revêtent un caractère systémique", soutient l'opposante à la maire, qui reproche à l'exécutif parisien de "couvrir les agissements et propos sexistes, racistes, LGBTphobes, au nom de l'entre-soi".
Il y a 4 ans et 36 jours

La fille de l'architecte du théâtre national de Nice s'oppose à sa destruction

"Bien sûr, rien n'est éternel, mais c'est une œuvre assez récente et il y a des façons de faire!", proteste Martine Bayard, 58 ans, seule ayant-droit d'Yves Bayard, un architecte de renommée internationale décédé en 2008 après de nombreuses réalisations sur la Côte d'Azur.Nice lui doit notamment la première et unique sculpture monumentale habitée, "La Tête carrée", un cube dont l'une des façades forme un visage inspiré d'un modèle de son ami sculpteur Sacha Sosno. Elle abrite les bureaux de la bibliothèque municipale.Parisienne, Mme Bayard, qui dit avoir été informée par la presse, a écrit fin mars à la municipalité. "La suggestion de la mairie est de trouver un accord, mais je ne vois pas comment trouver un accord, hormis de ne pas supprimer le bâtiment", dit-elle en espérant "un miracle" et en affirmant vouloir "éviter un bras de fer": "On ne peut pas détruire un bâtiment comme ça pour y faire passer de la pelouse!"Pour la mairie, "le droit au respect de l'intégrité d'une œuvre architecturale n'est pas intangible et absolu" et "un ouvrage public peut évoluer ou être démoli en raison de l'intérêt public". La ville affirme démontrer son attachement à l'œuvre d'Yves Bayard en conservant "la partie centrale et significative" qu'est le bâtiment du Musée d'art moderne et contemporain (Mamac), "insuffisamment mis en valeur" actuellement.Pour Mme Bayard, le bâtiment octogonal aux façades de marbre gris pourrait s'intégrer au projet de "forêt urbaine" par l'ajout de passerelles, prévues dès la conception de l'ensemble de la "Promenade des Arts" en 1988-1992: "Il y a une totale possibilité d'évolution du bâtiment", assure-t-elle.M. Estrosi doit rencontrer "ces prochains jours" Mme Bayard, avec son adjoint au patrimoine et avocat Me Gérard Baudoux.Annonce surprise de la campagne municipale 2020, le projet choc de M. Estrosi de prolonger la "coulée verte" sur huit hectares en rasant le TNN et le palais des congrès Acropolis est sur les rails depuis janvier, et l'appel d'offres a été lancé pour 75,6 millions d'euros, contre 33 millions annoncés avant le scrutin.Initialement M. Estrosi avait également annoncé la démolition de deux hôtels, sans les prévenir, mais leurs baux emphytéotiques étant trop chers à résilier ils seront finalement intégrés au nouveau paysage.
Il y a 4 ans et 39 jours

Roissy ouvre un œil

Le percement de la coque du terminal 2F de l'aéroport Roissy Charles-de-Gaulle en vue d'installer une passerelle d'accès à un nouveau salon d'accueil a fait appel au procédé de l'hydrodémolition. Une méthode éprouvée mais délicate.
Il y a 4 ans et 44 jours

JO-2024 de Paris : le village des médias a-t-il la poisse ?

Avec le village des athlètes et le centre aquatique olympique (CAO) de Saint-Denis, le village des médias fait partie des chantiers amiraux des JO-2024. Leur lancement s'échelonne sur 2022 et tout doit être bouclé pour décembre 2023. Construit sur les communes de Dugny, La Courneuve et Saint-Denis, et sur une partie du parc départemental Georges-Valbon, le village des médias doit accueillir techniciens et journalistes du monde entier à l'été 2024, avant d'être transformé en éco-quartier de 1.300 logements."La Seine-Saint-Denis a besoin de logements", répètent en coeur élus et aménageurs, qui réclament la part "d'héritage" promise par les JO pour ce département très pauvre.Un argument martelé en septembre dernier quand le village des médias semblait menacé au milieu de discussions des organisateurs visant à faire des économies. Il sera finalement construit en deux fois, avant et après 2024. Mais, la suspension ordonnée mardi par la Cour administrative d'appel de Paris fait figure de premier obstacle judiciaire dans le mécano des JO. Jusqu'ici, seul un échangeur autoroutier à Saint-Denis avait donné lieu à une procédure, mais les travaux avaient pu reprendre."Regarder l'impact""Il faut regarder l'impact sur le calendrier et les suites", explique pudiquement la Solideo (Société de livraison des ouvrages olympiques), affairée depuis mardi soir à éplucher l'ordonnance en référé qui a suspendu une partie de l'autorisation environnementale délivrée par le préfet de Seine-Saint-Denis en novembre 2020.Celui-ci peut représenter une autorisation, en attendant un recours au fond qui prendra sans doute plusieurs mois. Depuis un an, le directeur général de la Solideo, Nicolas Ferrand, l'assure: malgré le confinement, "les délais sont tenus". Chargée de construire les ouvrages pérennes pour les JO, elle supervise 62 ouvrages allant du village des athlètes à des rénovations de gymnases, en passant par des ponts et passerelles.S'agissant du village des médias, le temps presse néanmoins.Selon les termes de l'ordonnance, la Solideo et la préfecture de Seine-Saint-Denis, ont défendu l'urgence des travaux, car "les tâches de viabilisation réalisées doivent impérativement être effectuées avant la mise à disposition des lots aux opérateurs immobiliers, dont le début des chantiers doit se faire au plus tard le 30 septembre 2021".En clair, les lots ont été attribués à des promoteurs et doivent être viabilisés d'ici septembre, afin d'être à l'heure pour les Jeux.JO prétextePour les deux associations qui ont saisi la justice (le Mouvement national de lutte pour l'environnement MNLE 93 et le Collectif pour le Triangle de Gonesse), il s'agit d'une opération d'aménagement nocive pour l'environnement, avec les JO en guise de prétexte.A cet égard, le juge des référés a mis en avant le fait qu'il n'est pas avancé de "solutions alternatives permettant de limiter l'atteinte portée aux espèces protégées et, en particulier, d'éviter l'urbanisation, sur une superficie d'environ huit hectares, de la frange sud-ouest de l'aire des Vents laquelle pouvait en tout état de cause faire l'objet d'une réhabilitation adaptée à son état"."On est dans l'aménagement du territoire plus que dans les Jeux", reconnait l'un des acteurs du dossier. Quant un autre concède "des difficultés" sur le village des médias, "depuis la candidature" de la France aux JO. "En même temps, politiquement, ce serait compliqué d'y renoncer", commente une autre source.Interrogé par l'AFP, le conseil départemental de Seine-Saint-Denis n'a pas encore réagi.Autre péripétie autour du village, la plus grande incertitude règne autour de sa desserte via la ligne 16, au Bourget, qui a peu de chance d'être prête à temps.De son côté, le comité d'organisation Paris 2024, chargé d'organiser les épreuves, dont l'épreuve de tir non loin du village des médias, n'a pas souhaité s'exprimer.
Il y a 4 ans et 45 jours

La gare Paris-Montparnasse franchit une étape majeure de sa transformation avec l'installation de sa nouvelle passerelle en verre

Dernière ligne droite avant la fin de la transformation de la gareLors de cette 3e phase de rénovation de la gare Montparnasse, le remplacement de la passerelle en béton par un majestueux ouvrage en métal et en verre vient sublimer le hall Vasarely. Une opération emblématique qui marque l'étape finale de la modernisation de la gare avec un élément totémique. Cette passerelle marque une étape clé dans la progression du chantier de transformation de la gare. Elle sera finalisée puis mise en service en fin de chantier dans quelques semaines.Une avancée qui illustre les promesses de ce projet de transformation : améliorer le confort des visiteurs, et ouvrir la gare sur la ville en y apportant plus de lumière naturelle.Une performance technique remarquableLa passerelle est arrivée en quatre tronçons d'une vingtaine de mètres de long et 2 à 5 mètres de large. Le plus lourd pèse 17,2 tonnes.Les quatre tronçons ont été acheminés sur 4 nuits d'affilées par convois exceptionnels jusqu'à la rue du Commandant René Mouchotte sans incidence sur l'activité de la gare et dans le respect des mesures sanitaires. Pour permettre leur acheminement final, les tronçons ont été déchargés depuis la rue par une grue et ont été tractés dans la gare au niveau du quai transversal où ils ont été transférés sur des rails. Un acheminement exceptionnel tant par la conception de la passerelle que par son assemblage sur place.Ce projet de transformation reflète les ambitions de SNCF Gares & Connexions et Altarea Commerce : fluidifier la circulation de tous les voyageurs, restructurer les interfaces de la gare avec le quartier et développer son attractivité avec une nouvelle programmation de commerces et de services répondant aux attentes de tous.Rendez-vous dans quelques semaines pour découvrir le nouveau visage de la gare avec l'ouverture de la passerelle au grand public et son offre enrichie de commerces et services.Données et chiffres clés4e gare en termes de trafic130 commerces et restaurants attendusArchitectes : AREP et Jouin MankuDémarrage des travaux : 2017Fin de la transformation de la gare : septembre 2021
Il y a 4 ans et 45 jours

Une liaison douce entre le département des Yvelines et celui des Hauts-de-Seine en 2022

Une passerelle dédiée aux vélos et aux piétons sera construite entre la gare d’Houilles-Carrières-sur-Seine et Nanterre d’ici 2022.
Il y a 4 ans et 46 jours

De la coursive à la passerelle, mutation indispensable

Jamais le mot MUTATION n’aura été autant utilisé, avec, malheureusement, en ces temps de panique sanitaire, une connotation terriblement négative et anxiogène ; ce sont bien sûr les mutations du virus qui nous menacent et colorent de touches noires la compréhension de ce phénomène habituellement bienveillant et tellement humain. Ce sont à de multiples mutations que […] L’article De la coursive à la passerelle, mutation indispensable est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 58 jours

Podcast #6 – Pierre Richard, le père des BHP et des BFUP

Cet article est à retrouver dans le n°72 de Béton[s] le Magazine. ACPresse – Pierre Richard – Raconté par Sivagami Casimir Rendons à César ce qui appartient à César ! Il aura fallu l’association des travaux du physicien Pierre-Gilles de Gennes (1932-2007) sur les mélanges granulaires et ceux de Pierre Richard (1927-2002), pour propulser le béton des Romains au rang de matériau High Tech. Qui se souvient de l’homme à l’origine des bétons à hautes performances (BHP) ou des bétons fibrés à ultra hautes performances (Bfup) ? S’est-on réellement penché sur l’un des pères de ces développements “révolutionnaires” pour le monde de la construction ? Remettons-nous dans le contexte. Celui qui nous intéresse se nomme Pierre Richard. Dès 1967, il est directeur scientifique de l’entreprise Bouygues. Et dans ce cadre, cet ingénieur de l’Ensais (Ecole nationale supérieure des arts et d’industrie de Strasbourg, actuelle Insa) se penche sur les bétons. ACPresse · Podcast #6 – Pierre Richard, le père des BHP et des BFUP Convaincu que l’évolution d’une structure ne peut se faire sans celle des éléments, qui la constituent, Pierre Richard va consacrer sa carrière à la recherche de nouveaux matériaux utilisables, notamment en génie civil. Il commence par développer la réalisation d’éléments préfabriqués en béton précontraint, notamment, pour la construction du Parc des Princes, à Paris (1972). « Pierre Richard avait un sens intuitif des structures. Et cela au premier regard. Il comprenait instantanément leur fonctionnement, sans même faire de calculs. Et “voyait” transiter leurs efforts, se souvient Bernard Raspaud, l’un de ses proches collaborateurs, puis son successeur chez Bouygues. Il était très rigoureux dans ses raisonnements. Son mot d’ordre : “il ne faut rien mettre d’inutile ! C’est ainsi qu’un jour, il m’a confié : “j’ai trouvé ce qu’il faut enlever au béton !” » Combler les “vides” dans la matière Pierre Richard (1927 – 2002) est le père des BHP et des futurs Bfup. [©DR] Les recherches sur ce qui allait devenir les bétons à hautes performances (BHP), mais aussi les bétons fibrés à ultra hautes performances (Bfup), démarrent au Danemark sous la direction du professeur H.H. Bache. Elles sont menées dans le cadre des technologies CRC (Compact Reinforced Composition), plutôt orientée vers la production d’éléments préfabriqués, et CCC (Compact Cement Concrete). Alliés à la précontrainte, ces derniers engendrent des ouvrages d’art plus fins, plus élancés et plus durables. Pierre Richard commence par analyser les brevets de l’ingénieur et du bâtisseur Albert Caquot (1881-1976) autour du béton armé, de l’élasticité des matériaux, de la compression du béton, de sa résistance… Pierre Richard commence par analyser les brevets de l’ingénieur et du bâtisseur Albert Caquot (1881-1976) autour du béton armé, de l’élasticité des matériaux, de la compression du béton, de sa résistance… Il se tourne vers l’emploi de superplastifiants. Puis, afin de combler les fameux “vides” présents dans la structure des bétons, il teste l’utilisation de la fumée de silice. Francis Bouygues et tout le groupe sont alors très concernés par ses recherches. « Il apportait toujours des solutions aux difficultés rencontrées lors de la réalisation d’ouvrages, comme au Koweït, en 1981, avec le pont de Bubiyan. Je n’étais pas d’accord avec lui sur ce pont. J’avais même rejeté sa solution, car ce n’était pas assez économique. Il m’a alors demandé de le rejoindre et il a argumenté pendant 4 h, dont 2 h passées en voiture. Le lendemain, il présentait un projet qu’il avait réalisé dans la nuit… A 20 % moins cher ! Autant dire que Bouygues a foncé ! Pierre était capable de solutionner les problématiques les plus complexes », commente Bernard Raspaud. Sans le BHP, pas de Pont de Normandie La Grande Arche de La Défense a fait la part belle au BHP. [©Bouygues] L’emploi des fumées de silice en association avec un superplastifiant améliore la maniabilité des bétons. Comme sur le chantier de Grande Arche de la Défense, à Paris, avec la mise en œuvre d’un BHP, qui apporte à la fois une haute résistance aux jeunes âges et une meilleure ouvrabilité rendue nécessaire pour un pompage sur une hauteur de plus de 100 m. « Dans les années 1980-1990, Bouygues a su s’entourer de chercheurs d’une incroyable qualité scientifique, il n’y a jamais eu d’équivalence depuis », insiste Yves Malier, ingénieur conseil, ancien directeur de la division “Ouvrages d’art – matériaux et structures” du LCPC (actuel Isfftar), créateur de l’Ecole française du béton… Les deux hommes se sont rencontrés, dans les années 1970, lors de la reconstruction du Louvre des Antiquaires, à Paris. Ils se sont s’influencés l’un l’autre. « Sans le BHP de Pierre, il n’y aurait pas eu le pont de Normandie et ses pylônes de 214 m de hauteur », reprend Yves Malier. Ni le pont de l’île de Ré, premier grand ouvrage d’art en BHP et inauguré en 1988… Une officialisation en 1982 Le pont de l’île de Ré a pu être réalisé, en combinant BHP et préfabrication foraine. [©Bouygues] Secrètement, ces deux ingénieurs ont fait coulé du BHP sur une partie du périphérique de Paris, sans que ni le maître d’œuvre et ni le maître d’ouvrage ne soient au courant ! L’officialisation de ce fameux béton ne se fait qu’en 1982, lors des Assises nationales de la recherche organisées par Jean-Pierre Chevènement, alors ministre de la Recherche. Ses nouvelles propriétés en terme de délais d’exécution, de facilité de mise en œuvre, d’allègement de formes, d’étanchéité aux gaz et, peut-être et surtout, pour Bouygues à l’époque, de gains sur le coût des fondations ! Donc économiquement plus rentable, et par voie de conséquence, préférable… pour l’ensemble des acteurs de la construction.Une grande diversité dans les ouvrages réalisés en BHP (notamment par Bouygues en France et dans le monde), de toutes natures et de toutes dimensions, a été d’autant plus remarquable que, dans cette même décennie (période allant de 1985 à 1995), Américains, Finlandais, Japonais, Norvégiens… se limitaient respectivement aux immeubles de grandes hauteurs (IGH), aux plates-formes offshore, aux ouvrages maritimes et à la préfabrication en grandes séries de petits composants. Un nouveau matériau appelé BPR La passerelle piétonne de Sherbrooke, au Canada, constitue la première utilisation au monde du Bfup pour ce type de constructions. [©DR] Et puis, « Pierre Richard s’est intéressé avant l’heure au développement durable et à l’analyse systémique des ouvrages, en optimisant ces derniers par rapport aux propositions des maîtres d’ouvrages et en les projetant dans l’avenir, dans leurs futures fonctions, reprend Yves Malier. En intégrant le dimensionnement de la structure mais aussi les gains de délais, de main-d’œuvre, de matériels et de maintenance future. Notamment sur le pont expérimental de Joigny dans l’Yonne, à 200 km de Paris, avec un BHP prévu pour 300 ans. Avec pour la première fois en France, l’utilisation de la précontrainte extérieure. L’esthétique y a gagné, la durabilité aussi ». Mais l’appétit scientifique… vorace de Pierre Richard ne s’est pas arrêté là. Il a fini par inventer, en 1990, un nouveau type de matériau à très haute performance : le béton à poudres réactives (BPR), à teneur élevée en fumée de silice, qui possède une exceptionnelle résistance à la compression et une résistance traction/flexion suffisante pour pouvoir s’affranchir des armatures passives. Sans compter une ductilité très élevée. Son concept est alors optimisé grâce à l’association avec Lafarge et Rhodia, qui donnera naissance à un Bfup (béton fibré à ultra hautes performances), connu sous le nom de Ductal. Sa première utilisation se fait au Québec, en 1997, avec la passerelle piétonne de Sherbrooke. Cet ouvrage de franchissement de 60 m de long est composé de 6 segments de treillis post-tendus. Le tablier ne fait que 30 mm d’épaisseur. « Cet exploit architectural n’aurait pas été possible sans son invention », s’exclame Bernard Raspaud. Depuis, le Ductal et nombre d’autres Bfup ont pris leur envol… Cet article est à retrouver dans le n°72 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 59 jours

Rénovation urbaine: ces banlieues à la recherche d'un centre-ville

Au pied de la mairie de Bobigny (Seine-Saint-Denis), au milieu des tours de logements sociaux, les pelleteuses abattent les derniers vestiges du vieux centre commercial à l'allure d'entrepôt qui accaparait depuis les années 1970 le cœur de cette ville-préfecture populaire.D'ici 2023, cette galerie marchande, ou "boîte à chaussures", doit laisser place à un quartier flambant neuf aux larges rues piétonnes à ciel ouvert.Elles offriront aux 50.000 Balbyniens une multitude de commerces de proximité, un cinéma de six salles, des bancs à l'ombre des arbres et des fontaines rafraîchissantes. A l'échelle locale, une petite révolution urbaine."C'est important d'avoir un endroit où vous ne faites rien du tout. Vous vous retrouvez, vous vous asseyez sur les bancs. Les ados se retrouvent, zonent ici. C'est le rôle d'un centre-ville", explique à l'AFP l'architecte Pierre Alain Trévelo, dont l'agence TVK a conçu ce nouveau quartier.Jusqu'ici à Bobigny, une commune rurale qui s'est transformée à la faveur de l'explosion urbaine et démographique après la Seconde guerre mondiale, "il n'y avait pas de centre-ville", rappelle Benjamin Dumas, le directeur de cabinet du maire (PCF) Abdel Sadi. "Le lieu pour se retrouver, c'était la dalle."Le chantier s'inscrit dans l'effort de renouvellement et de revitalisation au long cours du centre de la ville, où se côtoient cités montées sur des dalles surélevées et bâtiments administratifs.Revitaliser le centre-villePensé selon l'architecture moderne et politique de l'époque, le quartier a surgi de la campagne au tournant des années 1960-1970 pour intégrer une importante population ouvrière dans cette ville traditionnellement communiste et répondre à la crise du logement. Mais, un demi-siècle plus tard, ce modèle a mal vieilli et est de plus en plus contesté.Sans faire dalle rase du passé, Bobigny cherche toutefois depuis une vingtaine d'années à adapter son urbanisme.La municipalité veut ramener au niveau du sol la circulation des piétons, qui se faisait en hauteur sur les dalles ou passerelles, et créer une continuité nouvelle dans le tissu urbain.L'une des cités a vu sa dalle démolie et deux tours abattues, pour l'ouvrir sur le reste de la commune. Une autre devrait voir une partie de ses dalles disparaître. C'est au milieu de cet ensemble que doivent s'insérer les nouvelles rues commerçantes.L'ancien centre-ville "n'était plus adapté, notamment à cause de la voiture, de la confiscation du rez-de-chaussée", estime M. Trévelo. "Il fallait redonner la primauté au piéton et chercher à faire une pièce fédératrice de tout ce qu'il se passe autour".Vingt ans de travauxDe l'autre côté de l'Ile-de-France, Evry-Courcouronnes tient un raisonnement similaire. La mairie compte démolir une partie de sa dalle de centre-ville et réaménager le quartier. Un chantier d'au moins vingt ans.Le chef-lieu de l'Essonne est né de la fusion récente de Courcouronnes et d'Evry, une ville nouvelle des années 1960 imaginée autour d'une dalle et d'un gigantesque centre commercial qui occupe près de la moitié du coeur de la ville, à une époque où la voiture était reine."L'habitant moyen de l'Essonne qui vient une fois à Evry, il arrive dans un parking sombre et dégueulasse, il sort par un escalier qui sent l'urine et arrive sur une dalle", soupire le maire Stéphane Beaudet (ex-LR).Malgré la concentration dans cette zone des services essentiels aux 70.000 habitants (université, tribunal, préfecture, centre sportif, poste...), l'inhospitabilité des lieux les dissuadent de s'y attarder.Selon des études menées pour le projet, explique l'élu, une personne flânant dans un agréable centre-ville de province marche au maximum à 3 km/h.A Evry, la vitesse de déplacement moyenne d'un piéton est de 5-6 km/h."La sauce ne prend pas", constate l'architecte Xavier Lauzeral, qui travaille sur la réhabilitation du centre d'Evry, "les échanges qui ont été imaginés entre les différentes fonctions commerciales et urbaines ne se sont pas produits".Sur place, les commerçants ne sont pas tous informés des travaux en gestation, qui devraient débuter dans quelques années, mais en comprennent l'utilité. "Ce n'est pas très vivant comme centre, à part les banques et les restos, il n'y a pas de boutiques. On n'a qu'une clientèle de bureau mais ça serait bien de pouvoir se diversifier", témoigne Sandrine Chareunphol, qui y tient un restaurant.Pour Xavier Lauzeral, il faut "revenir sur les fondements et la conception initiale de la ville" et surtout attendre que les habitants s'approprient leur nouveau centre. Les villes nouvelles savent que Rome ne s'est pas faite en un jour.
Il y a 4 ans et 59 jours

Construction neuve : 2021, péril en la demeure

Olivier Salleron, président de la FFB. [©ACPresse] Depuis le début de la crise sanitaire, les différents syndicats professionnels du bâtiment alertent sur la santé de la construction neuve. Le 23 mars dernier, la Fédération française du bâtiment (FFB) a réitéré ses inquiétudes et demandé des actions concrètes de la part des pouvoirs publics. En effet, le nombre de mises en chantier est descendu à 351 000 logements en 2020. Soit 10 000 de moins que la moyenne et un chiffre équivalent à l’entrée en crise du début des années 1990. « Et les évolutions à fin janvier ne rassurent pas, avec des permis encore en recul de 9 % en glissement annuel sur trois mois, après – 15 % en 2020, détaille Olivier Salleron, président de la FFB. Sans relance puissante et rapide, la barre des 300 000 logements commencés sera très probablement enfoncée au tournant 2021-2022. » Le non résidentiel neuf semble être encore plus atteint et cela ne devrait pas aller en s’arrangeant… Ainsi, les surfaces commencées chutent de 16 % en 2020. Tandis que, les surfaces autorisées enregistrent une baisse de – 19 % en 2020 et – 16 % en glissement annuel sur trois mois à la fin de janvier 2021. « L’année 2021 risque donc de se révéler la pire jamais observée depuis 1986, en termes de surfaces commencées. D’autant que tous les segments du non résidentiel participent de ce mouvement, y compris en commande publique. » De son côté, le secteur de l’amélioration-entretien reprend doucement. La pire crise de la construction neuve depuis 1986 Pour la FFB, les effets de MaPrimeRénov’ et des mesures prévues par France Relance commencent à avoir un impact. « Le bilan 2020 ne le révèle pas tout à fait pour l’ensemble, puisqu’au sens de la facturation, l’activité du quatrième trimestre s’inscrit encore en baisse de 2 % sur un an, hors effet de prix. » Toutefois, cette tendance ne permettra pas de compenser la précipitation de la construction neuve. Même constat en ce qui concerne l’emploi dans le bâtiment. « La dynamique de la rénovation énergétique permettra d’atténuer le choc, mais pas de l’empêcher. » Sachant que certains métiers du gros œuvre ne trouveront pas de passerelles avec la rénovation. L’année 2020 a enregistré une perte de 2 900 postes, soit – 0,2 %, principalement dans l’intérim. Un chiffre à nuancer selon la FFB. « Avec 44 000 logements commencés en moins en 2021 et un ratio de 1,6 emploi mobilisé dans l’ensemble de la filière par logement construit, 70 000 emplois se trouveront très fragilisés à l’horizon 2022. Et ce, au regard des délais de production. En tenant compte de la chute du non résidentiel neuf, aux environs de 100 000 emplois seront menacés. » La hausse des prix des matériaux, une conséquence de la pandémie Autre conséquence de la crise sanitaire : la hausse des prix des matériaux. Un phénomène remarqué depuis la fin 2020. L’augmentation a tout d’abord été observée sur les produits en acier et en cuivre, puis sur le bois de construction et les autres métaux non ferreux. « Le mouvement a gagné plus récemment les plastiques, le polyuréthane et le polystyrène. Il n’est pas rare de recevoir des annonces à + 30 %, voire plus encore, sur les produits du bâtiment. Les craintes se portent maintenant vers des équipements plus techniques, dotés de puces électroniques ou autres composantes en silicium. » Cet effet est renforcé par une difficulté d’approvisionnement et par conséquent de réalisation de chantier. « Or, force est de constater que la plupart des marchés restent signés à prix ferme, non actualisables, ni révisables. Et prévoient des pénalités de retard. Ces chantiers risquent donc de se révéler systématiquement à perte. » Face à ces différents constats, la FFB a formulé plusieurs propositions, afin de lever les blocages et accompagner les donneurs d’ordres. Ainsi, la fédération en appelle aux collectivités locales, afin d’accélérer la délivrance des permis de construire. De plus, elle demande, une fois de plus, la mise en place d’un “permis déclaratif” pour toutes les opérations réalisées sous permis d’aménager ou en zone d’aménagement concerté. Un appel au gouvernement et aux collectivités locales « Nous alertons aussi sur le risque que la loi Climat et Résilience ne débouche sur une politique foncière axée sur le seul objectif de lutte contre l’artificialisation des sols, aux contours mal maîtrisés. Sans prise en compte des besoins socio-économiques sur les territoires visés. » Par ailleurs, la FFB considère que le nouveau protocole engageant Action Logement, l’Etat et l’USH1 en faveur du logement social va dans bon sens. Mais, il faut aller plus loin… Elle propose de créer un crédit d’impôt sur les cinq premières annuités d’emprunt des primo-accédants. « Quant à l’investissement locatif, la FFB rappelle son souhait de voir majorer transitoirement la réduction d’impôt “Pinel”. » Concernant la RE 2020, la fédération continue de militer pour l’annonce rapide d’un accompagnement financier couvrant les surcoûts associés. « Enfin, pour permettre au secteur de tenir, il faut s’assurer que les surcoûts liés aux matériaux soient partagés des industriels jusqu’au client final. La FFB demande donc que soient réactivées, pour quelques mois, les ordonnances du printemps 2020. Ces dernières avaient transitoirement gelé les pénalités de retard. » La fédération demande aussi que le gouvernement « communique fortement en faveur de l’indexation des marchés ». 1Union sociale pour l’habitat
Il y a 4 ans et 60 jours

La FFB alerte sur la flambée des prix des matériaux et la baisse des constructions de logements

Activité : urgence construction neuveAinsi, après ré-étalonnage des modèles des services de l'État, le nombre des mises en chantier tombe à 351.000 logements en 2020, soit 10.000 de moins que la moyenne de long terme et un niveau équivalent à celui de l'entrée en crise du début des années 1990. Rapporté au nombre de ménages, c'est même au plus dur de cette crise qu'il faut se comparer ! Et les évolutions à fin janvier ne rassurent pas, avec des permis encore en recul de 9% en glissement annuel sur trois mois, après -15% en 2020. Sans relance puissante et rapide, la barre des 300.000 logements commencés sera très probablement enfoncée au tournant 2021-2022.Le choc s'avère encore plus violent pour le non résidentiel neuf. Les surfaces commencées abandonnent 16% en 2020. Et la chute n'a guère de raison de ralentir, puisque les surfaces autorisées s'affichent à -19% en 2020 et encore à -16% en glissement annuel sur trois mois à fin janvier 2021. L'année 2021 risque donc de se révéler la pire jamais observée depuis 1986 en termes de surfaces commencées. D'autant que tous les segments du non résidentiel participent de ce mouvement, y compris commande publique.A contrario, l'amélioration-entretien redresse la tête. Le bilan 2020 ne le révèle pas tout à fait pour l'ensemble, puisqu'au sens de la facturation, l'activité du quatrième trimestre s'inscrit encore en baisse de 2% sur un an, hors effet prix. Toutefois, on l'observe dans l'évolution de la rénovation énergétique, qui ressort stable sur la même période. De fait, le déblocage de MaPrimeRénov' au quatrième trimestre 2020 et le volet bâtiment de « France relance », quasi-exclusivement consacré à la rénovation énergétique, commencent à faire sentir leurs effets.Évidement bienvenus, ils ne suffiront pas à compenser la violente chute du neuf.Emploi : la menace se préciseL'emploi résiste dans le bâtiment, avec 2.900 postes perdus au total en 2020, soit 0,2%, uniquement dans l'intérim. Toutefois, avec 44.000 logements commencés en moins sur 2021 et un ratio de 1,6 emploi mobilisé dans l'ensemble de la filière par logement construit, 70.000 emplois se trouveront très fragilisés à l'horizon 2022, compte tenu des délais de production. En tenant compte de la chute du non résidentiel neuf, aux environs de 100.000 emplois seront menacés.La dynamique de la rénovation énergétique permettra d'atténuer le choc, pas de l'empêcher. D'autant que certains des métiers du gros-œuvre peineront à trouver des passerelles vers ceux de la rénovation et que la mise en œuvre de la RE2020 au 1er janvier 2022 risque de constituer pour eux une seconde lame de fond.Entreprises : attention à la dérive des coûtsBien que plus tardifs qu'anticipés, le choc de la pandémie se manifeste clairement dans les coûts depuis la fin 2020. Une fois les stocks épuisés, la désorganisation des filières productives et des transports internationaux conduisent à de fortes hausses des prix des matériaux. D'abord observé sur les produits acier et cuivre, puis sur le bois de construction et les autres métaux non ferreux, le mouvement gagne plus récemment les plastiques, le polyuréthane et le polystyrène. Il n'est plus rare de recevoir des annonces à +30%, voire plus encore, sur les produits bâtiment. Les craintes se portent maintenant vers des équipements plus techniques, dotés de puces électroniques ou autres composantes en silicium.Pour certains produits bois, PVC ou polyuréthane, cela se double de difficultés d'approvisionnement, donc de réalisation de chantier.Or, force est de constater que la plupart des marchés restent signés à prix ferme, non actualisables ni révisables, et prévoient des pénalités de retard. Ces chantiers risquent donc de se révéler systématiquement en perte.Le bâtiment tient, mais il faut l'aider à poursuivreMalgré la violente chute de 15% de l'activité en 2020, le bâtiment tient. Grâce aux puissantes mesures de soutien public rapidement décidées et à un déconfinement réussi, l'emploi a été préservé et les entreprises ont survécu au choc. Ce qui a permis, au plan macro-économique, de palier le décrochage d'autres secteurs.Pour permettre au bâtiment poursuivre dans cette voie. Pour le permettre, il faudrait tout d'abord lever les blocages et accompagner les donneurs d'ordres. À ce titre, la FFB en appelle aux collectivités locales, afin que la délivrance des permis s'accélère franchement. Dans cette même logique, elle réitère sa proposition de mettre en place un « permis déclaratif » pour toute opération réalisée sous permis d'aménager ou en zone d'aménagement concerté.Elle alerte aussi sur le risque que la loi Climat et résilience débouche sur une politique foncière axée sur le seul objectif de lutte contre l'« artificialisation des sols », aux contours mal maitrisés, sans prise en compte des besoins socioéconomiques sur les territoires visés.Une relance puissante et rapide du neuf passe aussi par le soutien de la demande, que la crise fragilise. Le nouveau protocole d'engagement Action logement-État-USH en faveur du logement social s'avère de bon augure. Mais il conviendrait d'aller plus loin pour permettre une véritable reprise de la primo-accession, fragilisée aujourd'hui par un avenir trop incertain, mais également par les recommandations –bientôt d'ordre règlementaires– du Haut Conseil de stabilité financière (HCSF). À cette fin, la FFB propose la mise en place d'un crédit d'impôt sur les cinq premières annuités d'emprunt des primo-accédants. Quant à l'investissement locatif, la FFB rappelle son souhait de voir majorer transitoirement la réduction d'impôt « Pinel ».Par ailleurs, afin de ne pas entraver la réalisation des opérations, la FFB continue de militer pour l'annonce rapide d'un accompagnement financier permettant de couvrir les surcoûts associés à la RE2020.Enfin, pour permettre au secteur de tenir, il faut s'assurer que les surcoûts liés aux matériaux soient partagés des industriels jusqu'au client final. La FFB demande donc que soit réactivée pour quelques mois les ordonnances qui, au printemps 2020, avaient transitoirement gelé les pénalités de retard et que le gouvernement communique fortement en faveur de l'indexation des marchés.Semaine de la prévention100% digital, la Semaine de la prévention repose sur un programme de quarante webinaires santé - prévention à la carte. Celui-ci sera accessible durant une semaine complète, du 29 mars au 2 avril prochain. Les objectifs sont de sensibiliser et d'informer les chefs d'entreprise, leurs salariés, les apprentis et les intérimaires sur les risques professionnels du BTP et les moyens de s'en prémunir. Cinq thématiques seront abordées: travaux en hauteur ;risque routier ;poussières et risque chimique ;accueil santé/sécurité sur chantier et au poste de travail ;*manutentions manuelles et troubles musculosquelettiques (TMS).Colloque InnovationLa FFB organise le 13 avril prochain de 16h à 17h30, un événement virtuel consacré à l'innovation, diffusé en direct depuis la Station F sur la chaîne YouTube de la FFB.Cet événement s'articulera autour de tables rondes consacrées à l'innovation vue sous les prismes de la transition écologique, la transformation numérique et le développement de nouveaux modes constructifs. Il comprendra des témoignages concrets sur des sujets tels que le béton vert et les nouveaux matériaux biosourcés, l'intelligence artificielle et les objets connectés, l'industrialisation et de nouveaux procédés constructifs.L'occasion de rompre avec les idées préconçues et de prouver que le bâtiment innove, que ce soit en termes de services apportés aux usagers, de transformation numérique, de transition écologique, d'organisation ou d'évolution des matériaux et procédés constructifs.
Il y a 4 ans et 61 jours

Nora® by Interface lance deux nouvelles collections de revêtements de sol

Norament Castello : un design intemporel et élégantEn architecture, un design de qualité résiste au temps. Les monuments architecturaux parviennent à se réinventer au fil de l’évolution des styles et s’érigent en passerelle entre les époques. De façon similaire, norament 926 castello (revêtement de sol de 3,5 millimètres d’épaisseur) a été conçu pour offrir un design intemporel. Ses marbrures font écho aux élégantes surfaces en pierre calcaire, ce qui confère une touche de luxe classique à son environnement. Chaque dalle se veut unique et arbore une surface à deux tons et deux niveaux de brillance. La palette raffinée comporte huit teintes chaudes de gris et de beige.« Outre sa robustesse, norament 926 castello offre une absorption sonore et une ergonomie exceptionnelles. Notre matériau durablement élastique réduit les bruits d’impacts par rapport à d’autres surfaces souples ou sols durs. Cela permet de minimiser les bruits parasites et d’améliorer l’acoustique dans les intérieurs, ce qui représente un formidable avantage, en particulier dans les zones à fort passage. Par ailleurs, le sol offre un confort nettement plus élevé, aussi bien en position statique qu’en mouvement », explique Dirk Oswald, responsable de la gestion des produits et de la marque pour les gammes de nora. Norament 926 castello peut être installé de manière traditionnelle, à l’aide d’une colle liquide, mais existe aussi en version nTx (le revêtement est préencollé en usine) avec simplement un film de protection à enlever pour une pose encore plus rapide.Nora Kivo, un produit à l’esprit industriel et urbainLes plus belles idées architecturales puisent leur source dans des éléments authentiques et originaux. Les lieux de travail très créatifs ont tendance à préférer les hommages au passé industriel, selon la devise minimaliste « moins, c’est plus ». Une ambiance moderne et classique avec laquelle s’accorde norament 926 kivo. Son design aux grains irréguliers avec une surface à deux niveaux de brillance légèrement structurée est inspiré du béton et confère aux intérieurs un véritable esprit urbain et industriel. Le revêtement de sol s’adapte harmonieusement à tous les mélanges d’acier, de bois, de brique apparente et constitue un terreau fertile où germent librement des idées de décoration créatives. Le revêtement de sol de 2,7 millimètres d’épaisseur se décline en huit couleurs, du beige chaud aux tons gris-bleu froids.« Ce nouveau revêtement de sol en caoutchouc apporte de nombreux avantages et convient parfaitement aux espaces professionnels, comme les bureaux, les salles de conférence et les cafétérias. La qualité reconnue de nora et son apparence moderne s’associent ici pour créer un rendu industriel fonctionnel et spectaculaire », indique Dirk Oswald. À l’instar de tous les revêtements de sol commercialisés par Interface (moquette, LVT, rouleaux et dalles en caoutchouc), norament 926 castello et norament 926 kivo sont certifiés neutres en carbone grâce au programme Carbon Neutral FloorsTM, et cela sans aucun coût supplémentaire pour le client. L’usine de caoutchouc de Weinheim s’efforce en permanence de supprimer ou de réduire les émissions de CO2 et ainsi de diminuer davantage sa propre empreinte carbone. Les inévitables émissions de CO2 sont compensées par l’acquisition de certificats de réduction d’émissions, qui servent à financer des projets en faveur de la protection du climat.
Il y a 4 ans et 61 jours

LafargeHolcim entre au capital de XtreeE, dont il devient un des actionnaires de référence

Actionnaire d’XtreeE à hauteur de 20%, LafargeHolcim France devient administrateur et rejoint ainsi les Cofondateurs de l’entreprise, Vinci Construction Invest et le fonds d’investissement Shibumi International. Cette opération vise à renforcer l’association des savoir-faire techniques et de R&D entre les deux entreprises pour accélérer le développement et la commercialisation de solutions industrielles 4.0 pour la construction durable de bâtiments et d’infrastructures.L’impression 3D de matériaux pour la construction est en effet une des réponses à la nécessaire transition écologique de ce secteur économique. Elle permet de :limiter les quantités de matériaux utilisées grâce à la conception et à la fabrication numériques : jusqu’à moins 60% de béton en moins sur certaines réalisations ;mettre en œuvre de nouveaux matériaux imprimables structurels à empreinte CO2 réduite ; réaliser des éléments structurels complexes en béton imprimé à coûts et délais maîtrisés grâce à des solutions sur mesure ;réduire les nuisances des chantiers et d’améliorer la qualité des constructions, grâce à la fabrication hors-site.Ainsi, en prévision des Jeux Olympiques de 2024, le groupement Freyssinet / Lavigne & Cheron Architectes / Quadric / XtreeE / LafargeHolcim travaille déjà à la conception et la réalisation pour Plaine Commune Grand Paris d’une passerelle piétonne de 40 mètres franchissant le canal Saint Denis. Son tablier sera entièrement réalisé en béton imprimé 3D structurel, permettant ainsi de réduire de 60% les quantités de matière nécessaires et donc l’empreinte carbone de l’ouvrage.« La transformation écologique du secteur de la construction et plus particulièrement du béton passe aussi par la révolution numérique et les nouvelles performances environnementales qu’offre l’impression 3D. En renforçant notre partenariat stratégique avec XtreeE, un des leaders les plus innovants dans ce domaine, nous ouvrons un nouveau chapitre pour nos matériaux innovants et pour l’évolution des modes constructifs. »François Petry, directeur général de LafargeHolcim FranceXtreeE, développeur d’un réseau international pour l’impression 3D bétonXtreeE vise à accélérer en France et à l’international le développement d’un réseau d’unités industrielles d’impression 3D connectées.En effet, après son usine pilote de Rungis, un premier système opérationnel à l’École des Ponts ParisTech (France) et l’ouverture aux Emirats Arabes Unis en juin 2019 d’une deuxième unité de production, XtreeE a accéléré son déploiement en 2020 avec deux nouvelles unités, au Japon et aux États-Unis. Trois autres unités verront le jour en 2021. Ce réseau doit permettre à terme de produire efficacement, aux quatre coins du globe, des éléments de construction structurels sur mesure, sur la base de sa technologie.XtreeE pourra désormais bénéficier de la forte implantation internationale de LafargeHolcim, de ses capacités de R&D sur son site de L’Ile d’Abeau (France) et de la force de prescription d’un acteur leader dans les matériaux de construction innovants.« L’expertise de LafargeHolcim dans les bétons à haute performance, ainsi que ses savoir-faire sur toute la chaîne de valeur de la construction vont venir enrichir le développement national et international de notre réseau d’unités d’impression 3D connectées. Avec ce réseau, nos clients acquièrent non seulement la capacité de produire eux-mêmes, au plus proche de leur marché, mais aussi la maîtrise de la chaîne numérique, de la conception à la réalisation »Alban Mallet, CEO d’XtreeE
Il y a 4 ans et 62 jours

DELABIE : BLACK BINOPTIC

Avec BLACK BINOPTIC, DELABIE conçoit une robinetterie design pour des sanitaires haut de gamme. Focus sur un produit innovant. DELABIE tisse dans les nouveaux lieux de vie accueillant du public – les musées, les restaurants, les sièges d'entreprises, les aéroports – une nécessaire passerelle entre design, architecture et intérieur. Avec la nouvelle finition chrome noir de sa gamme de robinetteries électroniques BINOPTIC, DELABIE propose à la vente une collection sophistiquée qui conjugue performance et élégance.Déjà choisie et installée dans de nombreux lieux publics à travers le monde, notamment l’Aéroport International d’Abu Dabi, la Tour Incity de Lyon, la Métropole Européenne de Lille, le nouveau centre culturel Tai Kwun (Hong Kong) et la Tour Majunga à La Défense, la gamme de robinetteries électroniques BINOPTIC est à la fois esthétique et fonctionnelle.Pour chaque intérieur, il y a une robinetterie BINOPTIC adaptée. La collection BLACK BINOPTIC s'invite dans les nouveaux lieux de vie dans une version noir mat. Sa conception 100 % chrome noir offre une résistance optimale à l'usage intensif, garantit des économies d'eau et d'énergie, ainsi qu'une hygiène totale grâce à un rinçage quotidien antibactérien, un bec à intérieur lisse et un robinet avec capteur pour une utilisation sans contact manuel. Une gamme de qualité spécifiquement conçue pour les lieux publics.Pour en savoir plus, visitez le site de DELABIE. Visuels : © DELABIELa rédaction
Il y a 4 ans et 64 jours

JK Technic, entreprise française spécialisée dans le caillebotis

Avec plus de 25 ans d’expérience, la société JK Technic s’est imposée sur le marché concurrentiel des caillebotis. Créée en 1996, l’entreprise s’est dans un premier temps installée sur le marché français avant de s’exporter à l’international avec aujourd’hui plus de 20 000 clients partout en Europe. Si l’entreprise est bien entendu positionnée sur du caillebotis standard, elle est aussi spécialisée dans la réalisation de caillebotis sur mesure. A travers un bureau d’études composé d’une équipe de techniciens et directement intégré à l’entreprise, elle peut répondre aux demandes les plus techniques. Elle s’adresse à l’ensemble des professionnels du bâtiment, du secteur industriel mais aussi du secteur architectural. Bien que le caillebotis soit originellement constitué de bois, JK Technic vous propose un large choix de matières et de modèles. En effet, vous pouvez retrouver le caillebotis électroforgé (fait à partir d’acier galvanisé ou brut, d’inox et d’aluminium), le caillebotis polyester, le caillebotis caoutchouc ou encore le caillebotis pressé. En ce qui concerne le caillebotis pressé JK Technic il peut être utilisé de nombreuses et différentes façons : marches d’escalier, passerelles, brise-soleil, brise-vue, clôture ou encore garde-corps. En résumé, il peut aussi bien être utilisé pour des éléments techniques que des éléments esthétiques. De la fabrication à la mise en œuvre, JK Technic vous accompagnera tout au long de votre projet. En effet, en complément des équipes de fabrication et du bureau d’études, un service commercial ainsi qu’un service logistique ont été mis en place. En amont de la fabrication, le service commercial vous conseillera pour choisir les produits les plus adaptés à vos besoins et répondra à toutes vos questions avec la réactivité nécessaire aux professionnels que vous êtes. En aval, le service logistique garantira votre livraison et son suivi dans les meilleurs délais. Enfin, pour les demandes urgentes, il est important de noter que la société JK Technik dispose d’un stock important de caillebotis standard (+ de 100.000 m²), ce qui lui permettra d’assurer des expédition le jour même pour des commandes passées avant 10h. Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à contacter la société : JK technic spécialiste du caillebotis en france Parc industriel Sud – ZI Edison Rue Abbé Louis Verdet 57200 SARREGUEMINES Tél. : +33 3 87 98 88 76 Fax : +33 3 87 98 82 87 jktechnic@jktechnic.fr
Il y a 4 ans et 72 jours

Au Chili, l’étage libre qui fait la différence

Le bureau d’architectes et promoteur immobilier Norte Verde a remporté l’édition 2020 du prix Aporte Urbano avec son projet Ñuñoa Vida, récemment inauguré à Santiago du Chili. Ce double édifice relié par une passerelle aérienne vouée aux activités récréatives, « lui donne la possibilité d’une vie de quartier », selon le lauréat.
Il y a 4 ans et 72 jours

Nouvelle pompe à chaleur Saunier Duval destinée à la rénovation et toujours fabriquée en France

Ces solutions, dédiées à la rénovation, sont disponibles en chauffage seul (GeniaAir Max) ou en double service (GeniaSet Max) pour répondre à tous les projets. Ces pompes à chaleur air / eau monobloc assurent le chauffage, le rafraîchissement et la production d’eau chaude sanitaire (intégrée ou déportée) en utilisant les calories naturellement présentes dans l’air extérieur. Grâce à une température de départ jusqu’à 75 °C, ces pompes à chaleur sont idéales en remplacement d’une chaudière existante sans changement des émetteurs en place. Elles s’adaptent aussi bien aux radiateurs moyenne et haute température qu’aux planchers chauffants. Grâce au fluide naturel R290, GeniaAir Max et GeniaSet Max sont des solutions durables avec un impact quasi nul sur l’environnement. Toujours plus silencieuses, ces pompes à chaleur atteignent une pression acoustique de seulement 32 dB(A) à 5 mètres, aussi discrètes qu’un réfrigérateur récent. Elles s’intégreront ainsi parfaitement dans les zones urbaines denses.Avec un COP jusqu’à 4,9 et une efficacité saisonnière jusqu’à 191 %, les pompes à chaleur GeniaAir Max et GeniaSet Max garantissent un confort en toutes saisons et des économies d’énergie au quotidien. Pour le professionnel, aucune démarche n’est nécessaire lors de l’achat. En effet ces pompes à chaleur fonctionnent avec un fluide naturel non soumis à la réglementation F-Gas. De plus, l’installation est facilitée grâce à la technologie monobloc (fluide contenu à l’intérieur de l’unité extérieure et scellé d’usine) sans intervention sur le fluide frigorigène ni ouverture de l’unité extérieure. La mise en service est également simplifiée avec des réglages possibles directement depuis l’interface de l’unité intérieure ou du régulateur. GeniaAir Max et GeniaSet Max s’adaptent à tous les projets : 5 modèles monophasés (230 V) de 3,8 à 12,6 kW à -7 °C / 55 °C, 2 modèles triphasés (400 V) de 10,1 à 12,6 kW à -7 °C / 55 °C et des unités intérieures au choix (colonne double service compacte, module mural avec appoint intégré ou interface pompe à chaleur seule). Le nouveau régulateur MiPro Sense et la passerelle de connectivité MiLink V3 permettent le pilotage à distance. L’utilisateur peut ainsi gérer sa température de confort, programmer des plages horaires, assurer un suivi de ses consommations d’énergie ou encore activer le mode « vacances ». Ces nouvelles pompes à chaleur sont produites en France au sein du plus grand site français de fabrication d’unités extérieures de pompes à chaleur résidentielles. Située à Nantes, l’usine a agrandit sa capacité avec la mise en place d’une ligne de production supplémentaire dédiée aux pompes à chaleur. Un levier pour Saunier Duval qui a pour objectif de tripler sa production d’ici 2023 afin de répondre aux besoins de plus d’une vingtaine de pays où la marque Saunier Duval est présente.
Il y a 4 ans et 75 jours

thyssenkrupp Elevator devient TK Elevator et lance sa nouvelle marque TKE

« La nouvelle marque TKE permet à la société indépendante de poursuivre son expansion. C'est une excellente occasion de renforcer notre positionnement sur le marché et notre leadership technologique dans le domaine des services de mobilité de nouvelle génération. Avec MAX notre service de maintenance prédictive compatible sur tous types d'ascenseurs et d'escaliers mécaniques récents, nous avons fait un pas important vers la digitalisation de nos produits et services. Cela a permis d'établir une nouvelle norme de qualité dans les solutions de mobilité urbaine », déclare Peter Walker, PDG de TK Elevator. « D'autre part, la marque TKE nous permet de consolider des décennies de tradition, de savoir-faire et de succès en ingénierie ».Conçue pour fonctionner facilement sur tous les supports numériques et physiques, la nouvelle identité de la marque fait référence à l'énergie et l'optimisme qui émane d'un lever de soleil. La palette de couleurs chaudes et énergiques, la typographie et le logo transmettent une idée de vitesse, de mouvement et de positivité. Cela crée un environnement idéal pour développer l'esprit de responsabilité, d'autonomie et d'excellence technologique.La nouvelle marque TKE reflète l'engagement de la société à transformer la vie des personnes grâce à des solutions de mobilité intelligentes et sans faille. Présente dans le monde entier et employant plus de 50 000 personnes, TK Elevator s'appuie sur l'héritage réussi de thyssenkrupp Elevator, qui a réalisé un chiffre d'affaires d'environ 8 milliards d'euros au cours de l'exercice 2019/2020. Le secteur d'activité le plus important de TK Elevator restera celui des services, qui assure actuellement la maintenance d'environ 1,4 million d'ascenseurs et d'escaliers mécaniques avec l'aide de 24 000 techniciens de service dans le monde entier.Le portefeuille de produits de TKE couvre une large gamme de produits : des ascenseurs pour les immeubles résidentiels et commerciaux aux solutions de pointe et hautement personnalisées pour les immeubles de grande hauteur - comme le One World Trade Center à New York. Outre les ascenseurs, son portefeuille comprend également des escaliers mécaniques et des trottoirs roulants, des passerelles d'embarquement pour les passagers, des monte-escaliers et des plates-formes élévatrices ainsi que des solutions de service sur mesure pour tous les produits - couvrant ainsi un large spectre de la mobilité urbaine.« Au cours de l'année dernière, TK Elevator a réussi à diversifier et à élargir son offre de services tout en élargissant sa présence mondiale », déclare Peter Walker. « Notre nouvelle identité de marque reflète encore mieux notre solide héritage de réalisations. Elle souligne également de manière significative notre objectif en tant que marque de service centrée sur les personnes, leader du secteur des ascenseurs et agit comme un précurseur en matière de solutions numériques ».
Il y a 4 ans et 76 jours

A Blois, Marc Mimram dessine une élégante passerelle sur la Loire

En 2024, une nouvelle passerelle réservée aux circulations douces traversera la Loire à Blois (Loir-et-Cher). L’ouvrage de 380 mètres de long a été imaginé par l’architecte et ingénieur Marc Mimram.
Il y a 4 ans et 79 jours

La nouvelle version de la plateforme VIPros.fr est désormais en ligne !

Forte de sa communauté de 22 industriels, 14 partenaires services et près de 10 000 entreprises artisanales inscrites, VIPros poursuit son développement et ses évolutions. Avec la mise en ligne de sa nouvelle plateforme, VIPros propose désormais un parcours utilisateur encore plus intuitif et fonctionnel avec de  : – Nouvelles fiches produits Beaucoup plus détaillées, elles centralisent toutes les informations liées au produit sélectionné – garanties, SAV, fiches techniques, photos, modes d’emploi ou tuto – mais également les services, les offres VIPromos, les actualités ou d’autres produits associés. – Nouvelles fiches cadeaux Dans l’espace cadeaux, les artisans peuvent découvrir tous les nouveaux cadeaux loisirs ou à vocation professionnelle et les services pour développer leur activité, à travers des fiches détaillées. – Nouvelles offres promotionnelles 3 nouveaux modes de récompense différents sont proposés aux artisans inscrits  : des bonus en VIPoints, des cadeaux Professionnels offerts ou des offres Cashback avec un remboursement immédiat ou différé sur les produits achetés. – Nouvelles fonctionnalités pour l’envoi des factures Pour faciliter l’enregistrement de ses preuves d’achat, l’artisan peut scanner ou photographier sa facture. La lecture automatique des codes-barres des produits ou l’import de la liste d’envies préalablement établie sur la plateforme avant l’achat des produits peut également être joint à la facture pour accélérer le crédit des points de fidélité. – Nouveau compte artisan L’espace fidélité du compte artisan permet désormais de suivre en temps réel le traitement des preuves d’achats, la liste d’envies directement mise en forme pour toute demande de devis auprès de son distributeur habituel, la boîte à outil pour y ranger toutes les informations à conserver… – Nouveaux services La nouvelle plateforme propose le VIPros Pass qui facilite la mise en relation directe entre l’industriel et l’artisan pour toute demande technique spécifique. Toutes ces évolutions de la plateforme vipros.fr seront progressivement déployées jusqu’au mois de Juin, pour permettre aux partenaires industriels de compléter les contenus associés. Une web app dédiée aux smartphones complète ces nouveautés en attendant de nouvelles passerelles technologiques vers d’autres applications telles que la gestion automatisée de bons de réduction immédiate ou la préparation de devis. Une offre unique sur le marché, la fidélisation multi-marques et multi-enseignes !
Il y a 4 ans et 82 jours

Cemex inaugure trois centrales à béton dans le Sud-Ouest

La nouvelle unité de production de BPE Cemex de Prades-le-Lez (34) est signée MG Lilienfeld. [©Cemex] Alors même qu’il vient de céder à LafargeHolcim 24 centrales à béton sur la région Auvergne – Rhône-Alpes. Cemex poursuit son déploiement dans le Sud-Ouest. Là, l’industriel a mis en service trois nouvelles unités de production.  La nouvelle unité de Prades-le-Lez (34) remplace l’ancienne installation devenue obsolète et ne pouvant pas assurer la production des bétons spéciaux. Ce site dispose de deux principaux atouts. Une intégration paysagère réussie et une conception compacte permettant de s’implanter au mieux sur le terrain préexistant de 5 000 m2. Signée MG Lilienfeld – un partenaire historique de Cemex -, l’unité a repris une partie du génie civil de l’ancienne installation. En particulier, le traitement des eaux qui a été upgradé pour assumer plus de capacité. La nouvelle centrale est équipée de cinq trémies en ligne, de quatre silos à ciments. Et d’un malaxeur Teka de 1,5 m3alimenté par skip. De quoi offrir une capacité de production de 45 m3/h. Une nouvelle référence pour Elkon A Toulouse-Sud, Cemex a fait appel à Elkon pour la construction de la nouvelle centrale à béton. [©Cemex] Nouvelle implantation pour Cemex, la centrale de Toulouse-Sud répond à la croissance du marché local. Apte à fournir toute la gamme Cemex, elle sera cependant dédiée à la production des bétons bas carbone de la ligne Vertua. Et des bétons conçus à base de granulats recyclés. Ceci, avec une capacité de production de 90 m3/h. Pour cette installation, l’industriel du BPE a fait appel au constructeur turc Elkon. Ce dernier a fourni un outil s’articulant autour d’un malaxeur de 3 m3, de six silos à ciments et de huit trémies à granulats, d’une capacité totale de 600 t. En partie confinée dans un bâtiment fermé et isolé. Cette centrale répond à tous les standards Cemex, en termes d’équipements environnementaux. Tout y est : débourbeur déshuileur, régulateur de débit des eaux de pluie, filtre pour pulvérulent, bardage double peau. Mais aussi, circuit fermé des eaux de process, sept bassins hors sol pour les bétons essorés.  Le volet sécurité s’inscrit dans la même logique : nettoyage automatique du malaxeur, locaux sociaux dernière génération. Ainsi que passerelle sécurisée pour lavage du cône des toupies. Sans oublier un accès aux silos depuis la tour de stockage des granulats avec escalier, monte-charge. Dernières particularités : la réception et l’évacuation des retours de bétons vers le site de recyclage Cemex de Cugnaux. Et son adossement à un dépôt de granulats nouvellement créé. Comprenant neuf cases au sol dédiées à la réception de déblais et à la vente de granulats. Une centrale Euromecc pour le quartier Belvédère, à Bordeaux C’est une unité mobile Euromecc qui permet à Cemex de livrer le chantier du quartier Belvédère, à Bordeaux. [©Cemex] Troisième et dernière unité Cemex inaugurée dans le Sud-Ouest. La centrale à béton de Bordeaux est dédiée au chantier du nouveau quartier Belvédère, situé en rive droite de la Garonne. Mise en service en trois semaines seulement, sur un espace de 1 500 m2. Cette unité mobile Euromecc est équipée d’un malaxeur double arbres horizontaux de 1,5 m3. Trois silos à ciments et quatre trémies de granulats complètent l’installation. Qui offre ainsi une capacité de production de 65 m3/h.  « Ces trois nouvelles unités de production de bétons, deux fixes et une mobile, confirment la volonté de Cemex de toujours s’assurer une présence de premier plan sur les marchés locaux des matériaux de construction, conclut Jean-Marie Modica, directeur de Cemex Matériaux France Sud. Une ambition qui se traduit aussi par une présence accrue de notre entreprise sur les gammes de produits spéciaux et bas carbone, répondant aux impératifs environnementaux. »
Il y a 4 ans et 82 jours

A Meyzieu, le lycée colonel Arnaud Beltrame, proposé par Chabanne

L’agence Chabanne est lauréate en février 2021 du futur lycée colonel Arnaud Beltrame de Meyzieu (Rhône). L’ouvrage, d’une surface de 16 207 m² pour un budget 29 M€ H.T conçu pour la région Auvergne Rhône-Alpes, maître d’ouvrage, se distingue par une passerelle sculpturale. Communiqué. Ce nouvel établissement d’une capacité d’accueil de 1 800 élèves comprendra […] L’article A Meyzieu, le lycée colonel Arnaud Beltrame, proposé par Chabanne est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 86 jours

Des nouveautés en bambou

MOSO international, spécialiste des solutions en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur, apporte des innovations majeures à sa gamme de lames de terrasse Bamboo X-treme® qui permettent de gagner du temps lors de la pose. L’entreprise ajoute à sa gamme une lame de 30 mm d’épaisseur (137 x 30 mm), spécialement adaptée pour habiller des projets architecturaux exigeants, tels que des passerelles piétonnes ou des ponts. Soucieux d’améliorer la qualité de ses produits, MOSO propose désormais une gamme de lames de terrasse finies en usine avec le saturateur Sikkens Cetol WF 771. Ce procédé offre un avantage en termes de gain de temps. D’une part, l’artisan est dispensé d’une étape de finition lors de la pose et d’autre part, la terrasse est immédiatement utilisable. En plus des lames avec une face lisse et striée standard, MOSO propose désormais une lame de terrasse avec une face striée V et une face brossée en 155 mm de large. La lame brossée et striée V est réversible :  côté strié laissant apparaître les fines stries pour un design élégant ou côté brossé pour une installation sécurisée. La lame de terrasse version brossée obtient d’excellents résultats en termes de résistance à la glissance ce pour des installations autour de piscines ou dans des zones à trafic intense. Par ailleurs, la nouvelle lame « bombée » se révèle très pratique, avec un léger bombage de 1,5 mm, l’eau s’écoule directement sur le côté, de sorte que les lames sèchent rapidement et se salissent moins. La nouvelle forme facilite également l’installation puisque cette dernière ne requière aucune pente. Les lames de terrasse bombées sont disponibles en 155 mm de large. Photo : Candlewood Lake – Photographer/Design: Rob Turner Studios  
Il y a 4 ans et 88 jours

Hager enrichit son offre KNX avec une passerelle de communication pour compteurs d’énergie

La marque franco-allemande confirme ainsi sa présence dans l’univers KNX, et sa volonté de proposer aux intégrateurs, aux bureaux d’études et aux installateurs des solutions de comptage toujours plus simples à installer et à connecter.Compatible avec la majorité des compteurs d’énergie Hager[1] et tous les modes de communication (impulsionnel, Modbus, M-bus), la passerelle de comptage KNX TXF121 se connecte automatiquement grâce à une cellule infrarouge, dès lors qu’elle est positionnée à gauche d’un compteur d’énergie Hager. Elle se distingue aussi par son encombrement réduit : un seul module. Elle s’intègre facilement sur le rail DIN d’un tableau électrique.Avec la passerelle TXF121, il est désormais possible de rendre les compteurs d’énergie communicants et de transmettre sur le bus KNX les données mesurées sur les réseaux monophasés jusqu’à 80A et sur les réseaux triphasés jusqu’à 125A en lecture directe. Il est également possible de renvoyer les données des compteurs triphasés utilisant des transformateurs de courant.Dans le cadre d’installations tertiaires (commerces, centres commerciaux hôtels etc.) ou résidentielles (villa, multi-résidentiel), la passerelle TFX121 permet notamment de connaître l’état du réseau électrique, la qualité d’énergie, les consommations par zone ou par usage.C’est une nécessité, voire une obligation dans le cadre normatif de la RT2012 ainsi que les mesures environnementales de l’IEC 60 364-8-1 et de l’ISO 50 001, qui exigent que les constructions soient équipées d’instruments de mesure de la consommation par zone ou par usage.Auto-alimentée par le bus KNX, le TXF121 permet de renvoyer l’ensemble des données de mesure sur n’importe quel superviseur KNX. Il est alors possible de cibler les consommations, d’établir un diagnostic pour mettre en place des actions correctives et d’anticiper les dérives afin d’éviter une surconsommation.Disponible en programmation sous ETS pour les grands projets, la passerelle de comptage KNX Hager est également paramétrable en mode Easy, afin de permettre des installations simples et rapides dans un environnement produit Hager. Grâce à la nouvelle passerelle de comptage KNX TXF121, il est désormais possible de renvoyer sur un superviseur Hager domovea paramétré en Easy des données de comptage électrique.Grâce à la nouvelle passerelle de communication TXF121, les professionnels de la filière ont accès à une solution simple à installer, à encombrement réduit, avec une référence unique adaptée à la majorité des compteurs de la gamme Hager.[1] Sauf ECM140D et ECR140D.
Il y a 4 ans et 102 jours

Hager enrichit son offre KNX avec une passerelle KNX de communication pour compteurs d’énergie

©Hager   Hager complète son offre KNX avec une nouvelle passerelle de communication KNX pour compteurs d’énergie électrique, adaptée à la majorité de ses compteurs. La marque franco-allemande confirme ainsi sa présence dans l’univers KNX, et sa volonté de proposer aux intégrateurs, aux bureaux d’études et aux installateurs des solutions de comptage toujours plus simples à installer et à connecter. Compatible avec la majorité des compteurs d’énergie Hager[1] et tous les modes de communication (impulsionnel, Modbus, M-bus), la passerelle de comptage KNX TXF121 se connecte automatiquement grâce à une cellule infrarouge, dès lors qu’elle est positionnée à gauche d’un compteur d’énergie Hager. Elle se distingue aussi par son encombrement réduit : un seul module. Elle s’intègre facilement sur le rail DIN d’un tableau électrique. Avec la passerelle TXF121, il est désormais possible de rendre les compteurs d’énergie communicants et de transmettre sur le bus KNX les données mesurées sur les réseaux monophasés jusqu’à 80A et sur les réseaux triphasés jusqu’à 125A en lecture directe. Il est également possible de renvoyer les données des compteurs triphasés utilisant des transformateurs de courant. [1] Sauf ECM140D et ECR140D. Dans le cadre d’installations tertiaires (commerces, centres commerciaux hôtels etc.) ou résidentielles (villa, multi-résidentiel), la passerelle TFX121 permet notamment de connaître l’état du réseau électrique, la qualité d’énergie, les consommations par zone ou par usage. C’est une nécessité, voire une obligation dans le cadre normatif de la RT2012 ainsi que les mesures environnementales de l’IEC 60 364-8-1 et de l’ISO 50 001, qui exigent que les constructions soient équipées d’instruments de mesure de la consommation par zone ou par usage. Auto-alimentée par le bus KNX, le TXF121 permet de renvoyer l’ensemble des données de mesure sur n’importe quel superviseur KNX. Il est alors possible de cibler les consommations,  d’établir un diagnostic pour mettre en place des actions correctives et d’anticiper les dérives afin d’éviter une surconsommation. Disponible en programmation sous ETS pour les grands projets, la passerelle de comptage KNX Hager est également paramétrable en mode Easy, afin de permettre des installations simples et rapides dans un environnement produit Hager. Grâce à la nouvelle passerelle de comptage KNX TXF121, il est désormais possible de renvoyer sur un superviseur Hager domovea paramétré en Easy des données de comptage électrique. Grâce à la nouvelle passerelle de communication TXF121, les professionnels de la filière ont accès à une solution simple à installer, à encombrement réduit, avec une référence unique adaptée à la majorité des compteurs de la gamme Hager.  
Il y a 4 ans et 103 jours

Une passerelle imprimée en 3D : première mondiale pour Lavigne & Chéron?

En prévision des Jeux Olympiques de 2024, l’Etablissement Public Territorial Plaine Commune a confié au groupement dirigé par Freyssinet, en association avec Lavigne & Chéron Architectes et la startup spécialisée XtreeE, la conception et la réalisation d’une passerelle piétonne de 40 mètres dont le tablier sera entièrement réalisé en béton imprimé 3D structurel. Communiqué de […] L’article Une passerelle imprimée en 3D : première mondiale pour Lavigne & Chéron? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 110 jours

Bouygues retenu pour le chantier de rénovation de la gare du Nord

"Au terme d'un appel d'offres, nous avons retenu Bouygues Bâtiment Ile-de-France comme attributaire pressenti des travaux de rénovation qui représentent 600 millions sur les 900 millions du projet au total pour StatioNord, en y incluant l'aménagement des abords de la gare, les frais financiers, les taxes etc..", déclare Aude Landy-Berkowtiz, présidente du directoire de StatioNord.En ajoutant une passerelle piétonne et cyclable devant surplomber les voies qui ne relève pas du même budget, un parking souterrain et un nouveau bâtiment SNCF, le projet total dépassera la barre du milliard d'euros.Les travaux qui devraient être lancés d'ici juin, "sans attendre la délivrance du permis modificatif et la purge des recours, comme le droit de l'urbanisme nous le permet", dureront quatre ans, puis StatioNord exploitera les espaces commerciaux jusqu'en 2065, indique la dirigeante.Selon Mme Landy-Berkowitz, les travaux vont générer 450 emplois, puis 1.800 emplois directs permanents pour les diverses activités de la gare, hors SNCF.Un accord avait été conclu fin 2020 avec la mairie de Paris sur la forme finale de la gare qui devrait avoir un peu moins de surfaces commerciales et un peu plus de parkings à vélos qu'initialement prévu.Le Terminal TransManche, d'où part l'Eurostar, devrait être livré "à temps pour la Coupe du monde de rugby de 2023" et "tous les ouvrages ferroviaires seront opérationnels pour les Jeux Olympiques de 2024" prévus à Paris, ajoute-t-elle.Le projet comporte peu de démolitions, et le principe d'une construction en métal et verre, qui ne nécessite qu'un assemblage d'éléments, a été retenu pour accélérer le chantier et minimiser les nuances.Plus de 700.000 personnes transitent chaque jour dans cette gare aujourd'hui "et 900.000 sont prévus en 2030", selon Mme Landy-Berkowitz.
Il y a 4 ans et 114 jours

EMCI Group : « Nous avons relancé la centrale compacte Amazon »

A gauche, Thibault Castillo, directeur général d’EMCI Group. A droite, Régis Castillo, le président. [©EMCI Group/ACPresse]. EMCI a procédé à l’intégration d’Acom et Atec, en 2016. Quel est le rôle de ces deux structures aujourd’hui au sein d’EMCI Group ? Thibault Castillo : Aujourd’hui Acom et Atec ont été placées sous la direction de Gilles Grosclaude, qui vient de nous rejoindre. Charge à lui de développer leur périmètre de compétences. Chacune de ces marques chapeaute une activité précise. Acom évolue dans la sphère des centrales mobiles et déplaçables standardisées. Des outils auxquels nous croyons beaucoup. Dans ce cadre, nous avons relancé la centrale Amazon, qui existait déjà chez Acom. De son côté, Atec est dédiée à la diffusion des pièces détachées et de rechange. En parallèle, elle assure la conception de petites centrales sur la base de sous-ensembles et d’équipements standards disponibles sur le marché. Pouvez-vous rappeler ce qu’est EMCI Group aujourd’hui ? Régis Castillo : EMCI est une entreprise née en 1990, dans l’Est de la France. Ainsi, elle fête son 30e anniversaire durant l’année 2020 ! EMCI compte six entités. Comme précisé, Acom et Atec constituent nos deux unités commerciales, qui viennent en appui d’EMCI. Ainsi, tous trois sont en mesure d’engager des affaires à confier à nos ateliers de production. L’historique est situé à Ennery, en Moselle, spécialisé en chaudronnerie et assemblage de grosses pièces. Le deuxième est basé à Chavigny, dans la Vienne. Il intervient en mécanique et en mécano-soudure. Il répond à la dénomination Lacelle EMCI. Enfin, notre dernier atelier – Sibi – est localisé à côté de Szczecin, au Nord-Ouest de la Pologne. Il assure la construction des principaux sous-modules de nos centrales. A cet ensemble technico-commercial s’ajoutent nos deux bureaux d’études : l’un rattaché à Acom/Atec et le principal, installé au Luxembourg. T. C. : Afin de fédérer tous ces marques et ateliers, nous venons de procéder à une harmonisation visuelle des logos, qui reprennent la charte graphique et les couleurs rouge, grise et blanche de celui d’EMCI Group. Il est important que chacun de nos collaborateurs sente son appartenance au groupe, en plus de son attachement à telle ou telle marque. EMCI Group, ce ne sont pas que les centrales à béton. Quelles sont ses autres activités ? Et vos ambitions ? Centrale à béton EMCI Amazon installée sur un site de préfabrication, dans le cadre des travaux du Grand Paris. [©EMCI Group] R. C. : Cette année, nous avons constaté un léger recul de notre chiffre d’affaires. Toutefois, nous ambitionnons un retour à une moyenne à 15 M€ dès 2022… Ceci, via notre activité de construction de centrales, qui pèse plus de 50 % de notre chiffre d’affaires. Vient ensuite le “retrofit”, c’est-à-dire l’entretien et la rénovation d’outils industriels existants, voire leur transfert. Là, nous réalisons 25 % de notre activité. Enfin, EMCI Group intervient dans le domaine des équipements mécanosoudés, tels les passerelles piétonnes ou les aménagements de quais ferroviaires. A ce titre, nous sommes agréés SNCF. Nous lançons aussi une nouvelle activité en 2021 : les équipements pour carrières. Une réponse à la demande de nombreux clients aussi bien présents dans le béton que dans le granulat. A terme, nous visons entre 3 et 5 M€ de chiffre d’affaires. C’est pourquoi nous cherchons dès aujourd’hui à étoffer nos équipes de chargés d’affaires, tout comme techniciens de bureaux d’études… Côté centrales, quelles sont les tendances actuelles ? T. C. : Depuis une grosse année, la demande s’oriente de plus en plus sur des outils plus mobiles, plus compacts. Notre centrale standardisée Amazon y répond. Nous venons d’en installer deux, avec malaxeur de 3 m3, en Ile-de-France. Et une 3e est en préparation pour le Sud de la France. Qu’est-ce qui fait la force d’EMCI Group ? R. C. : Nous avons une double culture de constructeur de centrales à béton sur mesure et standardisées. Notre expertise couvre toutes les étapes de la construction, depuis les esquisses préliminaires jusqu’à l’assemblage in situ. Ceci, en passant par toutes les études techniques et la construction en atelier, tout en assurant le suivi après-vente et l’entretien. Cette démarche impose une très grande flexibilité de nos équipes, donc de l’entreprise. Votre filiale polonaise Sibi vous permet-elle de vous développer sur ce territoire particulier, dans vos domaines de compétence ? R. C. : Jusqu’à présent, nous n’avons pas vraiment cherché à nous développer sur ce pays. En effet, notre offre de centrales fixes sur mesure de fortes capacités n’étaiement pas en phase avec les attentes locales. Aujourd’hui, les choses sont en train de changer grâce à l’évolution de notre offre. La centrale Amazon, tout comme les petites unités Atec semblent bien ciblées. Aussi, nous nous préparons à partir à la conquête de ce territoire. Le salon ICCX Central Europe, fin juin prochain à Varsovie, pourrait être un bon point de départ, si l’événement a lieu… Nous devons aussi trouver un chargé d’affaires parlant polonais. D’une manière plus large, il n’est pas exclu que nous opérions un développement sur l’Europe centrale. Seul ou avec un partenaire industriel qui pourrait, pourquoi pas, entrer au capital d’EMCI Group ! Propos recueillis par Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 116 jours

Le bureau d'études Construire renouvelle l'apport de l'ingénierie dans le BTP

Il propose de revenir à une conception plus traditionnelle de l'ingénieur : un professionnel qui s'efforce de faire progresser les technologies et le savoir-faire de son époque.L'ingénieur traditionnel est beaucoup plus rentable que l'ingénieur machine. Il cherche la meilleure solution par le bon sens et l'intuition, qu'elle soit standard ou non. Il utilise les normes comme un guide et non comme un frein.Lorsque la meilleure solution n'est pas standard, elle le devient. Ainsi, il gagne un temps précieux non seulement pour lui-même, mais également pour l'intégralité des équipes de construction.Une ingénierie traditionnelle et innovanteConstruire défend une ingénierie traditionnelle dont l'objectif est de perfectionner encore et toujours. C'est cette passion et cette soif de progrès technologique qui ont donné envie à Axel Sundermann et Xavier Laborde, lassés par le management entravant des grands groupes du BTP, de créer leur propre bureau d'études.Les capacités techniques de Construire permettent d'atteindre un niveau de flexibilité architecturale pour répondre au plus près aux souhaits du client.Le modèle développé par ConstruireConstruire défend la synergie architectes / ingénieurs, ticket gagnant du BTP. Cette alliance associe les 2 compétences complémentaires indissociables de la valorisation et de l'optimisation des projets : l'artiste qui fournit le rêve et le réalisateur.La mise en place de passerelles entre la réflexion architecturale et technique permet de configurer des détails constructifs en cohérence avec les concepts architecturaux.Inversement les ingénieurs développent des innovations techniques pour donner une plus grande dimension à la conception architecturale, comme ce fut le cas pour la construction en containers des années 90. Cette phase d'élaboration nécessite un important travail collaboratif dans lequel l'implication de l'ensemble des intervenants, y compris la maîtrise d'ouvrage, est indispensable.Construire promeut la construction paille et la construction en container maritime et développe d'autres techniques innovantes de construction écologique plus performantes que les techniques traditionnelles.Une ingénierie qui optimise la rentabilité des projets architecturauxPlus un projet est complexe techniquement, plus les économies réalisées grâce au savoir-faire des ingénieurs de Construire sont importantes ! Construire imagine et propose des solutions qui permettent d'optimiser les délais et les coûts de réalisation sans pertes en qualités architecturales.Construire s'appuie sur la modélisation numérique 4D, la réalité augmentée, des algorithmes d'optimisation de géométrie, de reconstruction numérique de l'existant à partir de photos ou vidéos et sur des calculs éléments finis. Ces outils viennent en support d'une bonne compréhension préalable des principes mathématiques et physiques qui constituent la base du savoir-faire des ingénieurs de Construire.Ceci permet à la fois d'optimiser les gains pendant la construction et de maintenir la qualité de l'ouvrage tout au long de sa vie. La rentabilité est optimale avec la solution la plus simple.L'évaluation par les ingénieurs de Construire peut permettre une réduction des coûts sans perte de qualité sur la durée de vie d'un ouvrage pouvant aller jusqu'à plus de 50 % par rapport au standard.Le prix cumulé d'un projet de la première pierre jusqu'au démantèlement est un indicateur assez fiable du coût écologique car il représente les dépenses énergétiques et donc écologique réelle de toutes les étapes. Un projet moins cher est un projet qui endommage moins la planète.Les ingénieurs de Construire pensent que construire écologique signifie améliorer la rentabilité et donc construire moins cher à qualité constante. Cette vision va à l'encontre des idées reçues, qui prétendent que l'écologie implique un surcoût.Les prestations de ConstruireElles vont des études en amont jusqu'au suivi des travaux.Les ingénieurs de Construire interviennent aussi bien en ingénierie générale qu'en ingénierie mono-technique : structure, énergie, électricité, VRD, fluides CVC, économie de la construction, bâtiments connectés, OPC.Construire souhaite devenir la référence de la réalité augmentée au service des particuliers. Celle-ci permet au client de visualiser sans surcoût le résultat architectural achevé avant même que les travaux n'aient commencé et donc de définir le projet au plus proche des besoins du client.Elle peut être utilisée par exemple dans le contexte d'une restructuration d'intérieur (agrandissement de salon, création de baies vitrées, …) ou dans le cadre de la construction ou de l'extension d'une maison individuelle.Construire développe la réalité augmentée au service des entreprises. Cette technique leur permet d'avoir accès à toutes les données relatives aux projets et aux différents composants à chaque étape de la réalisation sur place pendant la construction. Le maçon visualise chacun des parpaings qu'il doit installer de façon transparente, la réalité étant visible en vue de fond. Plus besoin de plans 2D en noir et blanc dont l'impression fini par coûter plus que les ingénieurs qui les dessinent !Construire souhaite également développer la réalité augmentée sur les marchés publics encore largement dominé par les plans 2D, 3D ou BIM traditionnels.Indépendants, pragmatiques et créatifs, les ingénieurs de Construire ont pour ambition d'allier innovation technique, simplicité, durabilité et réductions des coûts.
Il y a 4 ans et 119 jours

Couverture d’une passerelle en maillage de bambou, par Atelier Déambulons

Une création d’envergure : 26 mètres de long, trois mètres de haut, six mètres de large et près de cinq kilomètres de lamelles de bambou, la couverture de cette passerelle piétonne offre une entrée spectaculaire au parc végétal Terra Botanica à Angers (Maine-et-Loire). Terra Botanica révèle les secrets de la richesse de l’Anjou, capitale du végétal : […] L’article Couverture d’une passerelle en maillage de bambou, par Atelier Déambulons est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 122 jours

Manehome : un site unique de 22.400 m² pour regrouper 180 agents Enedis à Blois

Le lieu, à la Chaussée Saint-Victor près de Cap Ciné, a été choisi pour son potentiel en termes d’espace (22 400 m²) et de proximité avec l’autoroute A10. C’est clairement le choix de l’efficacité et de l’optimisation qui a été fait, choix qui se décline sur l’ensemble des points clés de ce projet.Réunir activités industrielles et tertiairesLe site a été conçu en arc de cercle, pour masquer l’intérieur, la cour et les équipements.La mixité des activités se traduit dans le concept même du bâtiment : une structure béton pour les bureaux et l’accueil du public, associée à une ossature métallique pour les locaux techniques. Un concept créé par Apside Architecture, qui allie les dimensions esthétiques et fonctionnelles, et qui a mis le cabinet de maîtrise d’œuvre du chantier, Manehome, face à des défis techniques de taille.3 défis techniques majeurs à releverSi le maître d’œuvre a un important rôle de coordination des équipes et d’organisation du chantier, il a en amont une mission délicate : apporter des solutions techniques qui vont permettre de concrétiser le concept architectural.La “signature” de ce bâtiment : une façade de 13 m de haut en béton apparentL’entrée principale donne sur un immense mur en béton gris, brut et épuré. Ce type de finition impose une solution technique innovante, le bétomur pour un rendu parfait. Ce sontdes murs béton préfabriqués avec isolation intégrée ce qui les rends ultra-performantsrépondant aux exigences de la RT 2012 et anticipant les futures réglementations de laRT 2020. Anticorrosion et étanche à l’air, le mur est également adapté à toute zone de sismicité 1 à 5. Les différents éléments, fabriqués hors site, sont assemblés sur place. Le coulage du béton vient consolider l’ensemble. Un assemblage qui demande une manipulation pointilleuse des différents modules, mais permet un important gain de temps sur le chantier et d’être moinstributaire des intempéries. Ces éléments, préfabriqués en région parisienne par SORIBA,sont en effet produits en intérieur, dans des conditions de travail optimales. Chaque élément est composé de deux parois béton préfabriquées servant de coffrage, d’une paroi isolante assurant l’isolation thermique par l’extérieur et d’un vide central permettant le coulage d’un noyau béton tout en limitant fortement les pertes thermiques.Faire cohabiter la structure béton et la structure à ossature métalliqueDifférentes solutions de jonction des structures en béton et en métal ont été étudiées enamont pour permettre d’assurer la jonction entre ses deux matériaux. C’est un véritabledilemme : l’évolution dans le temps des deux types de matériaux est très différente, ce qui ne permet pas de les lier. Pour autant, l’étanchéité doit être parfaite. Assurer la jonction entre l’ossature métallique bardée et les bétomurs doit donc être réalisé avec la plus grande rigueur afin d’assurer le calfeutrement entre les diverses zones. Pour optimiser cette jonction, bureaux d’études et entreprises intervenantes ont travaillé ensemble et choisi de mettre en attente les deux structures pour se coordonner et les achever simultanément, et non l’une avant l’autre. Finir l’une avant l’autre aurait pu créer des ponts thermiques et des défauts d’étanchéité.Pour prendre ce type de décision et coordonner les parties prenantes, il faut un véritable esprit collectif sur le chantier, une exigence qualité commune et un bon chef d’orchestre. C’est la mission du maître d’œuvre, Manehome, cabinet créé par Anthony Conte en 2014 qui relève quotidiennement ce type de défis : optimiser les solutions techniques, coordonner les intervenants sur les chantiers et assurer un véritable suivi sur le terrain.Aménagement modulaire des cloisons avec un haut niveau de traitement acoustiqueLe bâtiment est réalisé avec un niveau d’isolation acoustique élevé, rarement misen œuvre dans des locaux tertiaires. Ce qui a nécessité une étude préalable complexe.Le défi est cette fois de combiner un haut niveau d’isolation acoustique, avec des cloisons mobiles en verre qui permettent de redistribuer totalement les espaces de bureau et de réunion en cas de besoin et les réseaux électriques et informatiques qui passent en faux-plafond et faux-plancher.Il n’y a pas de cas préexistant auquel se référer. La solution a donc été tout d’abord calculée de manière théorique, puis mise en œuvre et testée dans une salle témoin. Les tests acoustiques ont validé la solution technique qui a alors été déployée sur les 3 450 m² de la partie tertiaire.Favoriser l'emploi local, les matériaux et les équipements françaisEnedis n’a pas vocation à être propriétaire de ses locaux. C’est donc un investisseur privé qui en est propriétaire et a délégué la construction au promoteur Essor. Essor a confié une partie de la maîtrise d’œuvre à Manehome, qui a piloté le chantier et coordonné les intervenants. Une vigilance toute particulière a été apportée au choix des prestataires, aussi bien pour les travaux que les équipements et matériaux. Sur le rapport qualité / prix de leur prestation, mais également sur leur proximité. Dans une logique responsable, les intervenants étaient des entreprises locales, de Blois ou des alentours, sauf pour deux prestations très spécifiques (faux-plancher et charpente couverture). Les matériaux et équipements made in France ont été privilégiés. Plus d’une centaine de personnes ont travaillé sur ce chantier pendant un an et demi, apportant une belle dynamique à l’emploi local et aux emplois induits.La maîtrise d'œuvre en univers incertainLe contraste est toujours saisissant entre la rigueur dont doit faire preuve une équipede maîtrise d’œuvre sur un projet de cette dimension et la diversité des aléas qui vontvenir perturber le chantier. Malgré une organisation méthodique et précise, le maître d’œuvre est amené à s’adapter sans cesse à des circonstances extérieuresinattendues. Un métier qui nécessite des nerfs en acier, surtout en 2020. Ainsi ce chantier a, tour à tour été : interrompu par un obus découvert sur site et qu’il a fallu désamorcer ; bouleversé par un accident quia fait quatre blessés avec arrêt immédiat des travaux par sécurité puis réorganisation ;ralentit par des intempéries ; et finalement bloqué par le confinement de mars-avril 2020.La crise sanitaire a nécessité une réinvention totale de l’organisation du travail sur siteManehome a pu reprendre les travaux dès la fin avril, en réorganisant totalement lesinterventions et le planning. Le respect des gestes barrière a limité le nombre d’intervenants en simultané sur le site. Pour optimiser une nouvelle organisation dans un contexte totalement inédit, il fallait : - bien connaître les spécificités des métiers de chacun pour proposer une organisation agileet efficace,- savoir conjuguer les impératifs du maître d’ouvrage et les contraintes multiples de laconstruction,- savoir parler le langage du client et celui du bâtiment, être la passerelle entre ces deuxunivers et maintenir le chantier dans un délai raisonnable sans compromis sur la qualité deréalisation.“Face à la crise Covid, il a été salvateur d’avoir des intervenants de proximité. Le planning est au cœur de leur métier et tout était à repenser. Cela les a amenés à prendre plus de responsabilités et d’initiatives, en relais avec nous qui avions une mobilité limitée en raison des restrictions de déplacement. La confiance a été primordiale.” Benoit Leroux, Directeur Travaux de la Maîtrise d’Ouvrage, groupe Essor
Il y a 4 ans et 131 jours

SPIE France met l'innovation à l'honneur

Qu'il s'agisse de générer de nouvelles idées, d'améliorer les processus, d'enrichir les offres, de simplifier les modes opératoires ou de contribuer à une meilleure qualité de vie au travail, partout au sein de SPIE France, des idées se connectent et des talents se reconnaissent. L'innovation fait partie du quotidien des équipes. Cet état d'esprit fédère tous les collaborateurs, ceux des chantiers comme ceux des bureaux. Pour valoriser leurs initiatives et renforcer cette culture entrepreneuriale, SPIE France a lancé la première édition du concours Challenge Innovation & Bonnes pratiques en 2020. Sur les 60 expérimentations présentées par des collaborateurs, 28 ont été retenues pour concourir au Challenge SPIE France.9 ont été primées à l'issue d'un processus de sélection qui intégrait le vote des collaborateurs sur la plateforme d'innovation Sioux, ainsi que celui d'un jury multi-filiales composé des différentes directions et de la filière « Innovation » de SPIE France.Prix Bonne Pratique - Projet BAES (Blocs Autonomes d'Éclairage de Sécurité). Alain Herbin et Bruno Agostini de SPIE Nucléaire ont été récompensés pour une idée astucieuse et économique de maintenance des blocs autonomes d'éclairage de sécurité en environnement nucléaire amianté, procédé mis en œuvre auprès de l'un des clients de la filiale et déjà dupliqué sur d'autres applications.Prix « copier c'est gagner » - Projet RPA. Sébastien Bouillon et Julie Azzola, de la division Industrie de SPIE Industrie & Tertiaire, sont venus en aide aux opérationnels de la maintenance dont le quotidien est parfois miné par la paperasserie et les rapports, et ont permis de supprimer les multiples saisies manuelles entre les GMAO[1] des contrats et les systèmes d'information des clients.Prix de la transformation digitale - Projet Hub Digital. Daniel Beaubouchez, Jean Pierre Viandaz et Vincent Dubearnes se sont distingués pour le projet qui permet de digitaliser formulaires et process et de fluidifier les échanges. Cette innovation bénéficie à l'ensemble des collaborateurs de SPIE CityNetworks et permet de mieux exploiter les données, au service de la sécurité des collaborateurs, des clients et de l'organisation globale. Prix de l'innovation pour la sécurité des personnes - Projet Sock Ball. Jean-Yves Saint-Dizier, Géraldine Durieux, et Gilles Frémiot, de SPIE CityNetworks, ont développé un système inédit pour la sécurité des travaux en hauteur. Prix de la confiance numérique – Projet ValuOty. Carole Bonnafous, Karine Engrand, Pascal Castagné et Laurent Maille, de SPIE ICS ont été primés pour ValuOty, une offre de services autour du data management et de la data science qui permet d'exploiter et de sécuriser les données pour en partager la valeur avec les métiers. ValuOty apporte aux clients des services industrialisés qui répondent aux enjeux de qualité de vie au travail, d'efficacité énergétique et de réduction des coûts de maintenance dans la ville, l'industrie et le bâtiment intelligent.Prix du collaborateur augmenté - Projet BIM et réalité mixte. Anna Truong de la division Tertiaire de SPIE Industrie & Tertiaire, a remporté le prix pour le projet qui vise à exporter les maquettes BIM des bureaux d'études, afin qu'elles servent mieux les équipes de chantier grâce à la réalité mixte. La démarche a été testée en 2020 sur plusieurs réalisations dans l'industrie pharmaceutique. Prix de l'optimisation des procédés du terrain - Projet Aqua. Guillaume Femenia de la division Tertiaire de SPIE Industrie & Tertiaire, est le lauréat pour sa solution dans le traitement des réseaux hydrauliques. Intégralement conçue en interne, cette solution économique et sécurisée a été évaluée, testée et approuvée lors des travaux réalisés sur des plateaux de bureaux de grande envergure.Prix du service prédictif - Projet maintenance prédictive industrielle. Jérôme Morisson et Alain Lagreze se sont distingués pour leur plateforme dédiée à l'Industrie 4.0. Cette plateforme combine procédés industriels, expertises et data, et a déjà fait ses preuves dans la maintenance prédictive de compresseurs à gaz.Prix de l'expérience client réinventée - Projet Green@work. Imane Benchenaa, Eric Lefèvre et Daniel Berger ont été primés pour leur prototype qui crée une passerelle entre les émotions et les données techniques, afin de piloter la qualité de vie au travail. Une innovation doublement récompensée puisqu'elle a également été distinguée lors de l'Innovation Day 2019, et qui vient enrichir la solution digitale SMART FM360°[2].[1]Gestion de maintenance assistée par ordinateur[2]Voir le communiqué de presse
Il y a 4 ans et 134 jours

Nouvelle gamme de pompes à chaleur Heiwa Pro Essentiel ZEN dédiée au petit tertiaire

Ces performances énergétiques sont dans la continuité des valeurs durables et responsables que défend la marque pour ses pompes à chaleur. Pour accompagner au mieux les professionnels dans leur quotidien, la gamme HEIWA PRO se compose de 3 solutions de chauffage et climatisation à hautes performances avec une fiabilité maximale et qui s’adaptent à toutes les configurations d’espaces.Une gamme entièrement modulable et facile à poser pour l’installateurPour une plus grande flexibilité, les 3 produits de la gamme sont entièrement modulables et compatibles avec une seule gamme de groupes extérieurs. HEIWA a engagé une véritable démarche de recherche et développement sur leur design pour les rendre extrêmement compacts et faciles à transporter pour les installateurs.Pour une plus grande facilité d’installation, la configuration des produits est adaptée aux grandes surfaces, avec une longueur de liaison entre l’unité extérieure et l’unité intérieure qui peut aller jusqu’à 75 m, une longueur idéale pour les petits commerces par exemple.Des pompes à chaleur adaptées aux spécificités du petit tertiaireAfin de répondre aux spécificités du petit tertiaire qui nécessitent des produits endurants et fiables, les solutions de la gamme HEIWA Pro Essentiel ZEN sont toutes équipées du compresseur le plus avancé de la gamme HEIWA. Elles proposent un excellent indice SEER jusqu’à 6,8 en mode froid et peuvent être utilisées sur une large plage de fonctionnement : entre -20° et +48° en mode froid et de -20° à +24° en mode chaud. Très modulable selon la configuration des bureaux ou des locaux commerciaux, la nouvelle gamme HEIWA PRO permet de connecter jusqu’à 4 unités intérieures de la même puissance à l’unité extérieure. Pour simplifier la gestion des locaux commerciaux ou des espaces de travail au quotidien, il est possible de relier l’ensemble des unités intérieures à une gestion technique du bâtiment centralisée type GTB (gestion technique des bâtiments) grâce à la passerelle Modbus en option.Grâce à un contrôleur central à écran tactile associé à la passerelle Modbus il est possible de contrôler entièrement jusqu’à 36 unités intérieures de la gamme Heiwa PRO. Les produits ont été pensés pour faciliter leur maintenance. Les gainables et les cassettes sont équipés d’une pompe de relevage pour faciliter l’évacuation des condensats et permettre plus de souplesse lors de l’installation. Sa hauteur de refoulement jusqu’à 1m assure une grande flexibilité de positionnement dans l’installation. Les codes erreurs s’affichent aussi directement sur l’écran de l’unité intérieure (ou sur la télécommande filaire) ce qui facilite les interventions des installateurs.Du confort pour les usagers des bureaux et des locaux commerciauxLa gamme HEIWA Pro offre de multiples options pour le confort des usagés, parfaitement adaptées aux espaces collectifs. Les produits HEIWA peuvent être 100% connectés pour faciliter leur usage. Autonomes, ils disposent d’un mode automatique qui génère la bascule entre le mode chaud et le mode froid selon la température de consigne (entre 16° et 30°). Les usagers ou les vendeurs, par exemple, n’ont donc plus à se soucier de régler la température intérieure pour le confort de leurs clients ou de leurs collaborateurs. Par ailleurs, grâce à la fonction « SetBack » l’administrateur peut définir une plage de température minimum et maximum ainsi que le mode souhaité (froid ou chaud). Si les usagers le souhaitent, ils peuvent aussi utiliser la fonction verrouillage sur un mode et une température unique. Pour gagner du temps, toute la programmation initialement installée est conservée dans le cas d’une coupure de courant grâce à la fonction redémarrage automatique. Pour plus de facilité dans le contrôle de l’installation, l’ensemble de la gamme peut être connecté au réseau wifi.Les solutions HEIWA sont très adaptées au rythme et à l’usage des locaux commerciaux ou des bureaux. Elles sont équipées d’un mode absence longue durée, idéal pour faire des économies d’énergies lors des périodes de congés ou de fermetures annuelles. Alors que nombreux espaces commerciaux sont dépourvus de fenêtre, et qu’elles peuvent parfois être inaccessibles dans les bureaux, il est peut être compliqué d’aérer. La fonctionnalité « Air Neuf » renouvelle l’air d’une pièce en cas de mauvaises odeurs ou d’un besoin de ventilation. Pour un maximum de confort à destination des clients ou des collaborateurs, la fonction « silence » permet aux systèmes HEIWA de se faire discrets.Le gainable Heiwa PRO Essentiel ZenLe système gainable permet de chauffer efficacement l’intérieur de son entreprise en toute discrétion et en préservant le design des espaces. De 5kW à 12,1kW, la nouvelle gamme gainable Heiwa PRO Essentiel Zen offre un large choix de puissances. Afin de pouvoir s’adapter parfaitement aux différents usages des locaux, la marque Heiwa a développé son propre Zoning sur la solution gainable. L’usager peut alors contrôler la température de manière indépendante dans chaque zone, et jusqu’à 6 zones, grâce à un thermostat radio ou filaire. Chaque composant du zoning HEIWA (plénum de soufflage, plénum de reprise, passerelle de communication et centrale de contrôle zoning) a été étudié pour s’adapter sur mesure aux différentes unités intérieures. L’ensemble du Zoning est entièrement pré- monté et la configuration est extrêmement simple.Le gainable HEIWA Essentiel Zen PRO peut se décliner en deux autres modèles. Le gainable Essentiel Zen 5 Kw SLIM est idéal pour les faux plafonds, les combles ou les encadrements réduits. Son design optimisé permet de réduire le niveau sonore et d’améliorer le rendement du système. Le gainable Essentiel Zen Haute Pression est quant à lui destiné aux espaces plus grands qui nécessitent plus de pression. Un kit d’accessoires d’isolation est inclus lors de l’achat d’un système gainable de la gamme Heiwa PRO quel que soit le modèle.La cassette Heiwa PRO Essentiel ZenLa gamme cassette Heiwa PRO Essentiel Zen permet de répondre aux principaux besoins des espaces commerciaux avec un design élégant et un confort maximal. Sa pose est un véritable gain de temps pour l’installateur grâce à son carton d’emballage conçu pour servir de gabarit. Les capots d’angles escamotables situés aux 4 coins de la façade, permettent d’ajuster facilement la hauteur de l’unité par les trappes d’accès, et ce, même après avoir installé la grille. Pour optimiser le confort des utilisateurs, l’orientation de chaque volet peut être pilotée indépendamment à l’aide de la télécommande filaire.Le plafonnier Heiwa PRO Essentiel ZenLa technologie et l’efficacité au service des gros volumes et des grands espaces du petit tertiaire. Les angles des volets du plafonnier Heiwa PRO Essentiel Zen permettent un balayage spécifique en mode froid comme en mode chaud et améliorent le confort de l’habitat.
Il y a 4 ans et 136 jours

SPIE France dynamise sa politique RH au bénéfice de ses collaborateurs

La démarche concerne la valorisation des évolutions de carrière dans un groupe ambitieux et en pleine transformation. Chaque collaborateur a les moyens de construire sa trajectoire et de se projeter au sein des différentes filiales de SPIE France. Tous ont désormais une vision globale de leur fonction, ils visualisent précisément les compétences attendues et évaluent mieux celles qu’ils doivent développer et comment le faire.Lancée en février 2019, cette démarche permet d’optimiser la gestion des compétences, de préparer les évolutions professionnelles et organisationnelles. Marqueur de la transformation de SPIE France, le projet s’est tout d’abord constitué sur un socle de 5 communautés professionnelles : Offres et actions commerciales – Management de Centres de profits / Gestion des affaires et projets – Chantiers Opérations (travaux, maintenance et management de chantiers) – Etudes – Experts.L’ensemble de ces communautés représente 10 filières et 62 fonctions. 80% des métiers opérationnels de SPIE France ont été étudiés et ont donné lieu à la réalisation d’un référentiel commun.Chaque fonction a fait l’objet d’une présentation en 5 parties créant un référentiel commun pour la description de la fonction, les compétences transverses et métiers nécessaires, les perspectives d’évolution au sein de chaque filière, les passerelles inter-métiers au sein de chaque filiale et de SPIE France et les parcours de formation.Les objectifs de la démarche sont les suivants :Mettre en adéquation les ressources humaines d’aujourd’hui et les besoins en compétences de demain en lien avec le plan stratégique de SPIE France et de ses filialesRendre plus lisibles les métiers et les évolutions possibles au sein des filiales et des filières de SPIE FranceOptimiser le recrutement des équipes opérationnelles et managérialesRendre les collaborateurs les acteurs de leur évolution en leur permettant d’évaluer les opportunités qui leur sont offertesCartographier les compétences attendues pour chaque fonction, tracer la progression pour chacune d’entre ellePromouvoir la mobilité interne entre les filiales et les filièresLe référentiel des fonctions et des compétences désormais déployé pour les 62 fonctions opérationnelles, en cours de réalisation pour 45 fonctions supports, est accessible via le Système d'Information Ressources Humaines (SIRH) pour l’ensemble des collaborateurs et managers. Tous disposent d’un socle commun particulièrement utile lors des entretiens annuels d’évaluation, des entretiens professionnels ou de l’intégration des nouveaux collaborateurs.Pour construire ce dispositif, SPIE France a choisi le mode collaboratif et s’est inscrit dès le début des travaux dans une démarche très opérationnelle en appui sur 13 ateliers, chacun composé d’un sponsor membre d’une filiale, d’un pilote RH et de 4 à 5 opérationnels issus de différents métiers et filiales. Au total, une centaine de collaborateurs ont conduit un diagnostic pertinent des métiers et des compétences.Les responsables des ateliers se sont régulièrement réunis pour partager les avancées de leurs travaux et formaliser leurs contributions respectives. Les résultats ont été recueillis et synthétisés dans le « book GDC » présenté aux dirigeants de SPIE France, à l’occasion d’un séminaire de direction.Ce livrable est destiné aux collaborateurs, aux managers, aux futurs candidats et aux représentants de la filière RH. Il est aussi utilisé en externe par les futurs candidats et les ambassadeurs Ecoles pour mieux maîtriser les métiers des filiales et promouvoir les besoins en compétences au sein des 34 écoles partenaires de SPIE France.« L’implication des opérationnels dans la démarche a été déterminante. L’adhésion a dépassé nos attentes et a permis une contribution collective d’une grande utilité pour qualifier les compétences et explorer de manière très concrète le périmètre de chacune des fonctions », indique Patricia Léné, responsable développement ressources humaines et diversité chez SPIE France et chef de projet GDC. « L’ensemble de cette démarche valorise la mobilité interne des collaborateurs au niveau national ou au sein d’un même bassin d’emploi. Le contexte économique actuel, très complexe, qui nécessite une grande agilité a révélé l’efficacité de la démarche qui nous a permis d’accompagner les collaborateurs et de répondre rapidement aux enjeux d’adaptation des compétences aux besoins du marché », conclut Olga Martin-Jarousse, directrice des ressources humaines de SPIE France.
Il y a 4 ans et 137 jours

Marc Mimram | Paysages de gravité

Le 14 juillet 2016, j’ai eu la chance d’être invité par Farrokh Derrakshani, directeur du Prix Aga Khan d’Architecture, à une conférence au V&A Museum de Londres, intitulée « Beyond The Bridge ». Dans la liste des orateurs, j’ai vu la biographie d’un homme appelé Marc Mimram. Chronique-photos d’Erieta Attali. Je ne savais pas qui […] L’article Marc Mimram | Paysages de gravité est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 138 jours

A Nantes, la gare de Rudy Ricciotti cache une forêt

La nouvelle gare de Nantes (Loire-Atlantique), signée Rudy Ricciotti pour un budget de 37,5 M€, a été inaugurée (finalement) le 20 novembre 2020. Sous la maîtrise d’ouvrage de SNCF Mobilités – Gares & Connexions, le projet consistait en la construction d’une passerelle-mezzanine de 160 m de long et 18 m de hauteur afin de relier […] L’article A Nantes, la gare de Rudy Ricciotti cache une forêt est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 144 jours

Delta Dore crée le pole Smart IoT Solutions, une nouvelle étape dans l’interopérabilité au profit de la smart home

Fort d’un savoir-faire reconnu et de l’écosystème le plus large pour le pilotage des équipements de la maison, Delta Dore passe à la vitesse supérieure. Le groupe structure l’ensemble de ses activités IoT et Smart Home en créant l’entité Smart IoT Solutions. A destination de tous les professionnels de l’habitat, ce nouveau pôle est composé de trois piliers : « Your IoT », « Your services » et « Your interface ». L’objectif ? Accompagner les industriels à chaque étape de la transformation digitale de leurs offres de produits & services pour les logements, de la création, à l’exploitation, en passant par la conception. Delta Dore entend ainsi conforter son expertise et être moteur dans les prochaines grandes étapes de l’écosystème IoT.Avec 38 milliards d’objets connectés à internet dans le monde en 2020 (+ 285% par rapport à 2015 – source : IDC), l’univers IoT fait partie du quotidien, et particulièrement pour la maison qui ne cesse d’évoluer au fil des années. A titre d’exemple, les appareils d’équipement de la maison représentent à eux seuls 57 % des ventes d’objets connectésen 2020.Cette multitude d’équipements et d’écosystèmes soulève un point : comment garantir uneexpérience simple et intuitive autour de la smart home ?Une question qui impacte autant les industriels (concevoir des équipements pilotables à distance) que les utilisateurs finaux (interagir de manière fluide sur une interface unique donnant accès à un grand nombre de solutions).« L'avenir de la maison intelligente nécessitera l'interopérabilité et la collaboration de nombreux écosystèmes, et plus largement une unification de l'expérience utilisateur. Notre ambition est de concevoir des solutions améliorant le confort de chacun, sécurisant l’habitat et participant à la transition énergétique. Nous entendons renforcer nos collaborations avec nos clients et partenaires technologiques. Nous voulons accompagner nos clients industriels dans l’évolution de leurs offres, par exemple en les aidant sur des aspects tels que la connectivité. Cela implique également l’interopérabilité de nos offres avec celles d’autres acteurs du marché, y compris de nosconcurrents » explique Stéphane Lemerle, Directeur du pôle Smart IoT Solutions.Delta Dore, le partenaire de choix dans la transformation digitale de l’habitatAvec une expertise de 50 ans dans la fabrication de solutions et dans la conception de produits en marque blanche, Delta Dore a su s’imposer sur le segment de la smart home avec près de 250 000 box domotique Tydom vendues.2020 : un nouvel ancrage dans l’Internet des objets et la transformation digitale de l’habitatLes attentes des clients et partenaires, l’évolution des usages, combinées à la force de l’écosystème smart home Delta Dore le plus large du marché, a naturellement amené la marque à structurer son expertise avec la création du pôle Smart IoT Solutions.L’équipe est composée de divers profils : ingénieur, architecte IoT, UX designer, chef de projets dédiés, développeur travaillant en mode agile. Sa mission est d’accompagner dans la transformation digitale de leurs offres les gestionnaires immobiliers, les fournisseurs de services d'énergie, les fabricants d'équipements, les constructeurs de maisons, les sociétés de maintenance, les agrégateurs d'énergie, les fournisseurs de services…Smart IoT Solutions : une activité pensée pour chaque étape de la Smart Home« Smart IoT Solutions se met au service de nos clients, leur apportant une expertise et des solutions qui leur permettent d’accélérer tout en conservant l’entière propriété de leurs données et la primauté de leurs contacts clients. Smart IoT Solutions aide à créer de la valeur, pas à en prendre », développe Stéphane Lemerle.Le groupe applique une stratégie claire et sur-mesure au service des professionnels avec comme objectif principal : créer de la valeur auprès de leurs clients.Au travers de trois offres complémentaires, Delta Dore propose ainsi un accompagnement unique sur le marché, allant de la conception de devices, à la proposition de nouveaux services et jusqu’à la création des interfaces.Your IoT : des solutions pour entrer ou évoluer dans le monde de l’IoT, via la création ou laréutilisation de devices, et connecter et piloter facilement ses équipements (connecteurs,box domotiques et digitalisées, modules, logiciels...) via une plateforme IoTYour services : une offre de services accessible via la plateforme IoT de Delta Dore pourapporter une valeur ajoutée aux fonctions à destination des utilisateurs.Your Interface : réalisation d’interfaces et applications smartphones sur-mesure pour unemeilleure expérience client (possibilité de pilotage via des assistants vocaux, large gammede télécommandes et switches connectés...)> ELM LEBLANC : offrir de nouveau services grâce à l’intégration de protocole radioLe système Optibox permet aux bailleurs sociaux et entreprises de maintenance de piloter et superviser, à distance, un parc de chaudières. Il permet aussi de proposer aux utilisateurs finaux, de nouveaux services comme le suivi des consommations.« Notre projet était un challenge technique qui a été relevé grâce à l’expertise radio des équipes Delta Dore et à leur savoir-faire industriel. Nos clients sont satisfaits du service innovant que nous leur apportons. ». Marc Trela, Directeur marketing produits.> SWAO : des fenêtres connectées alliant confort et sécuritéL’objectif était de développer un capteur pour permettre aux clients de connaître l’état(ouvert/fermé/en aération) de leur fenêtre afin de sécuriser leur habitat et réaliser des économies d’énergies.Un capteur qui peut aussi être couplé au système d’alarme pour faire une protection périmétrique et à la gestion du chauffage pour le couper en cas d’ouverture des fenêtres.« Le capteur I-SECURE® s’inscrit dans une démarche « origine France », Delta Dore était donc le partenaire idéal avec ses experts et sa production basée en Bretagne. Notre projet continue d’évoluer grâce aux retours terrain et à l'interactivité avec les équipes qui nous accompagnent au long cours. » Nicolas Robin, Directeur technique fenêtres.> WELL’COM : volets, portes de garage et stores connectés avec l’écosystème TydomLes volets, portes de garage, stores extérieurs ou intérieurs équipés de moteurs Well’com peuvent être pilotés à distance, réagir en fonction d’un scenario prédéfini ou même être contrôlés à la voix. Grâce à une compatibilité totale avec la Smart Home Delta Dore, Well’com permet ainsi aux utilisateurs de sécuriser leur maison, gagner en confort et contribuer à une meilleure performance thermique de leur habitat en hiver comme en été.« Conscients des enjeux qui s’ouvrent pour une maison plus confortable, plus sûre et plus performante, nous avons développé des produits permettant de bénéficier de tous les avantages qu’offre la Smart Home en intégrant nos produits dans l’application Tydom et en nous appuyant sur l’expertise globale de Delta Dore. » Pascal Ischoffen, Responsable de projets Well’com.> ARISTON THERMO s’intègre au logement connecté by Delta DorePour répondre au marché en pleine expansion du logement connecté, le groupe a souhaitérendre les solutions Ariston et Chaffoteaux compatibles avec l’écosystème Delta Dore.« Grâce au développement d'une passerelle nos clients peuvent piloter nos chaudières et pompes à chaleur depuis une interface Delta Dore. Le mode de fonctionnement local permet la régulation modulante et multizone du générateur depuis un boitier d’ambiance Delta Dore ainsi que le relevé de consommations RT2012. En mode connecté, il est également possible de gérer son confort thermique à distance depuis l’Application Smartphone Tydom. » Benjamin d'Erceville, Chef de produit connectivité.La prochaine étape ?Début 2021, Delta Dore ouvre son portail développeurs, un nouveau pas vers l’ouverture avec la mise à disposition des API facilitant ainsi l’intégration des équipements et des services de la Smart Home.
Il y a 4 ans et 150 jours

Le béton, une nouvelle perspective pour l'impression 3D

Pour "imprimer" un mur, un long bras articulé diffuse une mince coulée de béton selon un parcours déterminé en appliquant une couche sur la précédente. En quelques heures, un mur est érigé, ouvrant de nouvelles perspectives aux métiers de la construction."L'intérêt de l'impression 3D, c'est comment aller plus loin que l'utilisation courante du béton" et "chercher des formes qu'on ne pourrait pas faire de façon traditionnelle, ou qui demanderaient beaucoup plus de temps", explique Alain Guillen, directeur général Développement et Applications de XTreeE.Cette start-up basée à Rungis a lancé dans son atelier la fabrication d'une trentaine de murs, destinés à la construction en 2021 de cinq maisons à Reims, dans le cadre du projet Viliaprint, porté par le bailleur social Plurial Novilia.L'entreprise vient d'obtenir une Appréciation technique d'expérimentation (Atex) pour la construction en impression 3D béton, délivrée par le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB).Une phase industrielle"Aujourd'hui pour la première fois en France, on a une construction en impression 3D béton qui est validée par les autorités publiques", souligne M. Guillen. "Grâce à cet avis technique, on va pouvoir passer maintenant à une phase vraiment industrielle".Pour le responsable de la maîtrise d'ouvrage chez Plurial Novilia, Jérôme Florentin, "c'est certainement le début d'une longue histoire". "On commence à avoir beaucoup de concurrents", observe-t-il, en mentionnant les Pays-Bas, la Chine, les Etats-Unis, la Russie.Ce type de construction "va avoir tendance à se développer, pas de façon fulgurante dans les prochains mois, mais sur des constructions mixtes" avec "des murs imprimés associés à des modes constructifs classiques", estime-t-il.De son côté, le fabricant de machines Constructions-3D, basé à Valenciennes, vient de réaliser son premier bâtiment en impression 3D béton pour son futur siège.Antoine Motte, fondateur et dirigeant de Constructions-3D, est confiant sur les perspectives de cette technologie, citant une étude du cabinet SmarTech en 2018, qui prévoit pour 2027 un chiffre d'affaires mondial de 20 milliards de dollars pour l'impression 3D dans la construction, dont 4 milliards pour les fabricants de matériels."Un quart de l'humanité est mal logée aujourd'hui, et donc si on peut, par la technologie, apporter une machine qui va construire une maison par jour (...) on se dit qu'avec un million de machines, on peut déjà juguler la croissance du mal logement, et deux millions de machines résoudront le problème", fait valoir Antoine Motte.Améliorer "l'imprimabilité"Mais il reste encore des étapes à franchir, reconnaît le patron de Constructions-3D. "Ces machines pourront apporter des solutions quand on aura réussi à imprimer des 'encres' locales, réalisées à partir de l'argile", explique-t-il.Reste ensuite à former les futurs travailleurs du bâtiment à cette nouvelle technologie."Demain, pour faire fonctionner ces machines, l'opérateur idéal est quelqu'un qui aura un peu de compétences en numérique, qui connaîtra les contraintes d'un chantier de bâtiment et qui sera un petit peu mécanicien", décrit Didier Malbranque, co-fondateur de Constructions-3D.La start-up valenciennoise a mis au point une petite machine, plutôt destinée à la formation, qui est installée dans une douzaine de lycées professionnels ou écoles du bâtiment des Hauts-de-France.Cette nouvelle technologie intéresse au premier chef les groupes cimentiers, qui fournissent la matière première."On est encore en phase de recherche, mais on évolue vers les premiers chantiers, les premières réalisations", assure Olivier Martinage, ingénieur R&D du groupe Vicat, partenaire de XTreeE dans le projet Viliaprint.La recherche porte notamment sur "l'imprimabilité" du béton pour "améliorer les performances, les vitesses d'impression, le rendu esthétique", explique-t-il."C'est une technologie en devenir", confirme Yves Baroulier, directeur Grands Projets de LafargeHolcim. "L'impression 3D va nous permettre (...) une plus grande sobriété: moins de matériau et bas carbone".LafargeHolcim collabore avec XtreeE sur la construction en impression 3D d'ici 2023 d'une passerelle de 40 mètres sur le site des futurs Jeux olympiques de Paris 2024 en Seine-Saint-Denis.