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Il y a 2 ans et 215 jours

Ambitieux programme de requalification urbaine "Chelles-Foch" en entrée de ville de Chelles

En lieu et place d’une friche présente depuis plus de 10 ans située avenue du Maréchal Foch, en entrée de ville, à seulement 600 mètres de la gare du RER E qui relie Paris et de la future ligne 16 du métro, du centre-ville historique de Chelles et à proximité de nombreux commerces, l’opération Chelles-Foch s’intègre dans un environnement urbain dynamique.Programme mixte ambitieux répondant aux besoins du territoire, l’opération s’étendra sur 8.750 m² SDP et accueillera :Un bâtiment de 33 logements gérés par in’li et dotés d’une double exposition (et pour certains d’une triple) offrant une grande luminosité. Chaque logement bénéficiera d’un espace extérieur (balcon ou terrasse).Une résidence pour séniors de 117 logements (T1, T2 et T3), pour le compte de l’OPPCI Esprit Pierre Résidences (Groupe Spirit), qui sera gérée par Les Girandières, filiale du Groupe Réside Etudes. Adaptée aux besoins spécifiques des séniors autonomes, elle offrira une large palette de services : restaurant, coiffeur, salon de massage, salle polyvalente, salle de gym, services de linge… Un jardin d’agrément permettra aux résidents de partager des moments de convivialité et de profiter des espaces verts. Un programme à la croisée de l’hôtel, de la résidence gérée et du logement traditionnel, issu d’une réflexion approfondie autour des usages et du bien-être. Cette résidence pour séniors, souhaitée par la Ville, vient opportunément compléter le parcours résidentiel des Chellois.Un commerce en pied d’immeuble viendra compléter l’offre de services de proximité du quartier pour le compte d'AVM Holding.Une conception architecturale dans la pure tradition chelloiseL’architecte, MAIREA Architecture a su répondre aux attentes de la Ville en reprenant les codes de l’architecture chelloise traditionnelle (toitures en pente, façades en brique et pierre, modénatures) dans la continuité du tissu urbain local tout en respectant les contraintes du terrain. Trois axes ont guidé l’écriture architecturale : marquer l’entrée de la ville, créer un profil urbain et séquencer les bâtiments.Les labellisations environnementales visées par ce projetLa résidence services pour les séniors sera labellisée E2C1 et atteindra le niveau de performance énergétique RT2012-17%, et les logements seront eux certifiés NF Habitat HQE. Ces critères environnementaux s’inscrivent dans la démarche RSE de Linkcity et de l’ensemble de ses partenaires.Pour David MARQUET, Directeur Général Adjoint Linkcity Ile-de-France : « C’est un travail de longue haleine qui a été mené, intégrant notamment la réhabilitation complète des sols. Ce projet symbolise l’esprit partenarial de Linkcity : architecte, investisseurs, exploitant, entreprises, tous associés pour satisfaire la commune de Chelles et réaliser un projet ambitieux porteur pour le territoire. »Pour Benjamin STUTZMANN et Alexandre PARVEZ, respectivement Président et Directeur des Acquisitions chez SPIRIT REIM SERVICES : « Nous sommes très heureux de cette première acquisition pour le compte de notre fonds ESPRIT PIERRE RESIDENCES. Cette résidence correspond parfaitement à notre cible, à savoir un actif de qualité, sécurisé sur le long terme avec un exploitant de premier ordre. Elle répond aux exigences de la labellisation ISR du fonds, notamment en matière de réversibilité, qui se valorisera dans la durée grâce à la transformation en cours à l’entrée de Chelles et la desserte prochaine par le Grand Paris Express. »Pour Damien ROBERT, Président du directoire d’in’li : « In’li poursuit son engagement en faveur du développement de l’offre en logements intermédiaires en zones tendues, en Ile-de-France. Le partenariat avec la ville de Chelles est en ce sens exemplaire. Il s’inscrit dans une logique territoriale alliant offre de transport, développement urbain raisonné, services et logements. C’est grâce à ce type de démarche que nous répondrons aux défis du Grand Paris de demain ! »
Il y a 2 ans et 220 jours

A la porte de la Chapelle, un quartier flambant neuf mais une encombrante réputation

De sa terrasse en bois couverte de lierre, Aurélien Fonteneau n'entend ni les voitures sur le tout proche boulevard périphérique, ni les badauds qui arpentent la rue de la Chapelle, où se croisent voitures, camions et vendeurs de cigarettes à la sauvette.D'abord hésitant à cause de l'image de ce quartier "pas forcément évident", le jeune homme de 35 ans a changé d'avis en visitant ce trois-pièces baigné de lumière, un "coup de coeur" acheté avant l'été à "un peu moins de 9.000 euros le mètre carré", en-dessous du prix moyen du XVIIIe arrondissement.La réputation de cette porte du nord de Paris reste marquée par la "colline du crack", démantelée fin 2019, et par les campements de migrants qui s'étaient installés le long du boulevard périphérique.Avec ses tours modernes, son école et sa ferme urbaine, "Chapelle International va redorer l'image de ce quartier encore trop mal jugé", promet le maire PS du XVIIIe, Eric Lejoindre.Sorti de terre sur une ancienne friche ferroviaire, le nouveau lotissement a été imaginé pour allier une "haute qualité environnementale" à des "valeurs sociales et inclusives", explique la directrice de l'aménageur Espaces ferroviaires, Fadia Karam.Sur les 1.117 logements que comprendra à terme le nouveau lotissement (dont 43% de logements sociaux), plus de 900 ont déjà été livrés. Mais tous n'ont pas encore trouvé preneur."Tous nos logements sociaux sont occupés. Mais sur 65 logements intermédiaires livrés en mai, 46 sont encore vides", explique Christine Laconde, la directrice générale de la Régie immobilière de la ville de Paris (RIVP), un des bailleurs de Chapelle International."Sécurité dégradée"Locataire depuis décembre 2020, Léa (prénom modifié) cherche déjà à quitter le quartier. "Sur le papier, c'est un beau projet", explique sous couvert d'anonymat la jeune femme de 36 ans dans le hall de son immeuble. "Mais la sécurité, qui s'était améliorée, s'est à nouveau beaucoup dégradée".Même son de cloche chez son voisin Arnaud Siduron, qui a emménagé à Chapelle International il y a un an et demi. "Ma compagne n'aime pas rentrer seule le soir dans ce quartier. On cherche ailleurs", affirme le jeune homme de 27 ans.Du côté de l'opposition municipale, Rudolph Granier, conseiller LR de Paris élu dans le XVIIIe arrondissement, pourfend le "bétonnage à outrance" d'un "spot de deal" où il est "encore compliqué de se balader"."C'est un quartier magnifique, en devenir, qui connaît encore des difficultés", tempère Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la maire de Paris, notamment en charge de l'urbanisme. "Ce sera un quartier en dynamique dans à peine cinq ans."Selon lui, Chapelle International connaîtra dans les prochains mois "trois gros accélérateurs": le campus Condorcet, qui regroupera plusieurs établissements d'enseignement supérieur; l'Arena, futur site des Jeux olympiques 2024; et la rénovation de l'axe qui mène au centre de la capitale, avec l'aménagement d'une piste cyclable pérenne.Face à un square que les enfants du quartier commencent à s'approprier, Valérie Grévin loue un local commercial et un petit logement à l'étage "pour quasi la moitié du prix qu'ailleurs à Paris"."C'est ça au début qui m'a convaincue. Et puis finalement, c'est très agréable de travailler ici, il y a de la vie dans la journée. Le soir, c'est encore un peu triste", raconte Valérie Grévin, qui fabrique dans son atelier des uniformes d'hôtellerie.Pour le maire du XVIIIe, "il y a dans chaque lotissement la partie urbaine et, derrière, l'esprit de quartier, qui prend un peu plus de temps à s'installer". "Ici", assure Eric Lejoindre, "une nouvelle page est entrain de s'écrire".
Il y a 2 ans et 221 jours

Batimat : Les produits que vous avez (peut-être) manqués

Si Batimat a quitté le gigantisme du Parc des Expositions de Paris Nord Villepinte pour retrouver le parc des expositions de Portes de Versailles, mondial du bâtiment oblige, difficile d’en faire le tour. Pour vous, Batijournal revient sur quelques produits qui vous ont peut-être échappés. Style Inov : Styl’Inov Evolution Style Inov développe un nouveau profil de couverture à joints debout en acier galvanisé laqué pour la couverture/bardage. Le profil est façonné en usine remis directement au couvreur. Par sa conception, le temps de pose est divisé par deux estime l’entreprise. Stylinov Evolution est proposé en 6 coloris. Il affiche des dimensions de 0,5 mm d’épaisseur, de 29 mm de hauteur de joint, de 469 mm d’entraxe des joints. Sa longueur maximale est de 13m. Style Inov a engagé une démarche auprès du CSTB afin d’obtenir une fiche FDES. Le produit a été récompensé par le label SAGERET « ELU INNOVATION du BTP par les professionnels 2022 lors des élections des Produits du BTP 2022. Héméa : Le Club pro Hemea développe Club Pro hemea, une gamme de service pour les professionnels du bâtiment. Objectif : libérer du temps avec un logiciel de devis. L’entreprise assure que l’outil peut libérer entre 5 et 10 heures de temps par mois sur la réalisation des devis. Une base de prix est associée au logiciel qui permet aux professionnels de se positionner par rapport aux prix du marché. La base de données a été nourrie grâce à des audits réalisés auprès de centaines de professionnels. A côté de cela, ont été associés d’autres outils digitaux comme la signature électronique, des notifications d’ouverture qui permettent de voir quand et combien de fois un client a ouvert un devis. Une messagerie a été intégrée directement dans la plateforme afin de faciliter les échanges entre clients et professionnels. Héméa développe également une centrale d’achat de matériaux en ligne. Riou Glass : Store Vision  Riou Glass a développé un vitrage avec store intégré. Le produit est proposé en deux versions, avec lames ou Blackout (store plissé). Le store vision lame peut embarquer au choix, une commande manuelle slide ou à moteur solaire. Il est proposé en blanc, gris métallisé, ou beige. Le store Vision Blackout permet d’occulter complètement la lumière en journée. Il est disponible en commande manuelle par cordon, ou à moteur solaire. Les deux produits apportent également un bénéfice d’un point de vue thermique, solaire, sonore et sécuritaire promet l’entreprise. Alucobond ® Easy fiX  Alucobond a présenté son nouveau système de fixation invisible pour façade ventilée Easy fiX. Afin de garantir une plus grande liberté architecturale, le calepinage des cassettes peut être au choix, horizontal et/ou vertical. Le pliage lui, est réalisé par fraisage directement sur chantier. Cette petite particularité permet également d’assurer un meilleur taux de remplissage des camions à la livraison, et ainsi de réduire les émissions liées au transport indique l’entreprise. Les fixations par pincements sont invisibles et ne nécessitent pas l’ajout de rivets. Ce qui réduit l’épaisseur des cassettes de 31 mm. Edilteco : Politerm® R Produit de la gamme green d’Edilteco, Ploliterm®R est conçu à partir de polystyrène expansé 100% recyclé. Sa matière première est issue des chutes de découpe de bloc de panneaux sur les chaînes de fabrication. Les déchets sont récupérés, broyés et regranulés dans des diamètres de 2 à 5 mm, puis ensachés. Cet agrégat d’isolant est destiné aux mortiers et béton légers thermo-acoustiques pour la réalisation de chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes et remplissage. Il isole et traite thermiquement et acoustiquement les supports.
Il y a 2 ans et 221 jours

Ondura rejoint Kingspan et intègre sa nouvelle division « Roofing and Waterproofing »

Ondura, créé autour de l’entreprise française Onduline, est spécialiste des solutions de toitures légères. Propriétaire d’alwitra, spécialisé dans les membranes hautes performances pour les toits plats et de l’entreprise polonaise CB, l’un des leaders européens des écrans de sous toiture et d’accessoires de couverture pour toits en pente, Ondura dispose d’une grande expertise dans l’étanchéité à l’eau et à l’air des bâtiments et développe ses activités sur les cinq continents. Dirigé par Patrick Destang, Ondura est présent dans plus de 100 pays et emploie 1.600 personnes.Ondura aborde une nouvelle étape en rejoignant le groupe Kingspan, leader mondial de solutions hautes performances pour l’isolation et l’enveloppe du bâtiment. Le rapprochement, annoncé en février 2022*, vient en effet de recevoir la validation des autorités réglementaires.A l’issue de cette intégration, Kingspan, présent dans plus de 70 pays et disposant de plus de 200 sites de production dans le monde, opérera dans six pôles majeurs :Insulated Panels : Panneaux sandwichs isolants, division principale et historique de Kingspan,Insulation : Panneaux isolants, isolation des tuyauteries et gaines,Light + Air : Solutions d’éclairage naturel et de ventilation, système d’évacuation des fumées,Water & Energy : Systèmes innovants de collecte des eaux de pluie et de contrôle des inondations, stockage des combustibles, des eaux chaudes, gestion intelligente des bâtiments,Data & Flooring Technology : Systèmes de planchers surélevés.Roofing & Waterproof - Solutions de toitures autour des savoir-faire d’Ondura.*Cf communiqué du 18 février 2022 : « Kingspan, le leader mondial des solutions d'isolation et d'enveloppe du bâtiment de haute performance, est entré en négociations exclusives avec Naxicap Partners et autres pour l'acquisition du groupe Ondura»Alors que le secteur du bâtiment est en pleine transition énergétique et écologique, cette nouvelle étape est particulièrement prometteuse pour le développement d’Ondura, qui bénéficiera de tout le support d’un groupe leader.Pour Patrick Destang, CEO d’Ondura : « L’intégration d’Ondura dans Kingspan est une excellente nouvelle pour l’ensemble des salariés du groupe. Kingspan est un groupe profondément international, résolument tourné, avec son programme « Planet Passionate », vers une ambition de réduction des consommations d’énergie et de développement durable conforme au scénario de 1,5°C du GIEC. Le réchauffement climatique et les incertitudes économiques démontrent l’importance de profiter de toitures et de systèmes d’étanchéité thermiquement performants et peu énergivores. Ondura, qui dispose de positions uniques sur ce segment, bénéficiera de toute l’expérience et du savoir-faire de Kingspan dans ce domaine pour proposer des solutions toujours plus respectueuses de la planète et de ses ressources. Je voudrais remercier Eric Aveillan et l’équipe Naxicap qui ont été des partenaires essentiels dans le développement d’Ondura, qui nous ont soutenu dans nos projets de croissance interne et externe, permettant au groupe de doubler son CA entre 2018 et 2021, incluant les acquisitions d’alwitra et de CB. »Pour Donal Curtin, Directeur général de la division Roofing & Waterproofing de Kingspan : « Le management, l’ensemble des équipes et les marques premium d'Ondura représentent des avantages de poids pour Kingspan, complétant nos capacités, produits et solutions existants. Impatients de poursuivre notre expansion sur les marchés de la toiture et de l'étanchéité, nous nous réjouissons de grandir ensemble et de partager nos expertises. Nous sommes enthousiastes à l'idée d'accueillir l'équipe élargie d'Ondura dans la famille Kingspan et de soutenir le succès continu de l'entreprise. »
Il y a 2 ans et 223 jours

Le renouveau des infrastructures ferroviaires : une passerelle piétonne à Moulins par Base et Demain

Au nord de La Haye, Wassenaar est une banlieue résidentielle protégée des eaux de la mer du Nord par un massif dunaire recouvert d'une forêt de pins. Cette villa de week-ends vient s'ancrer sur une pente orientée vers les terres et le polder. Elle s'encastre dans les ondulations du terrain, faisant corps avec son environnement. Une topologie […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 223 jours

Les métiers et savoir-faire du patrimoine au service de la construction à plus faible impact carbone – Bati Journal TV sur Batimat 2022

avec Jérôme Carraz, Responsable de l’Institut de la Charpente et de la construction bois – Les Compagnons du Devoir et du Tour de France Frédéric Letoffé, Vice-Président – GMH  
Il y a 2 ans et 224 jours

Développer l’intelligence de la main – Bati Journal TV sur Batimat 2022

avec Jérôme Carraz, Responsable de l’Institut de la Charpente et de la construction bois – Les Compagnons du Devoir et du Tour de France  
Il y a 2 ans et 224 jours

Acheter les murs de son logement mais pas le terrain, le BRS un outil anti-spéculation

Avec 40.000 euros d'apport, Béatrice, professeure d'espagnol de 51 ans, n'avait pas les moyens d'acheter seule un appartement à Pantin (Seine-Saint-Denis). Grâce au BRS, nouveau dispositif d'accession sociale à la propriété, la voilà propriétaire d'un "71 m2 plus 14m2 en soupente" à Pantin, moyennant 220.000 euros et une redevance mensuelle de 175 euros."C'est miraculeux car c'est 50% moins cher que dans le privé. Je n'étais pas obsédée par l'idée d'acheter à tout prix, mais j'avais déjà un loyer de plus de 1.000 euros et je ne voulais pas être locataire à vie sans rien transmettre à mes enfants", poursuit cette mère de deux enfants, qui a emprunté sur 15 ans à raison de 1.200 euros de mensualités.Issu de la loi Alur, le bail réel solidaire suppose l'achat d'un terrain par un organisme foncier solidaire (OFS), un établissement à but non lucratif agréé par l'État. L'OFS revend ensuite le bâti - neuf ou rénové - à un ménage à revenus modestes moyennant le versement d'une redevance pendant la durée du bail, qui peut aller jusqu'à 99 ans. A Paris, une personne seule devra ainsi gagner moins de 33.400 euros par an pour en bénéficier.Pour l'acquérant, l'économie peut atteindre 40%, voire plus, par rapport au privé, selon la fédération des Coop' HLM.A l'issue du bail, le propriétaire ou ses ayants-droits peuvent soit revendre avec une plus-value encadrée soit conserver le logement en signant un nouveau bail long, toujours sous condition de ressources."On n'est pas du tout habitués à ce modèle en France mais la propriété n'est pas fragile du tout, simplement on ne peut pas faire de spéculation. Ca permet de toucher des ménages qui sont totalement exclus de l'accession à la propriété pour qu'ils puissent vivre là où ils en ont besoin", observe Cécile Hagmann, directrice générale de la Coop' Foncière, qui ambitionne de vendre 1.000 logements en BRS en Ile-de-France d'ici 2030.Zone tendueLe dispositif "ne cesse de monter en puissance", assure Tristan Ruiz, du cabinet Adéquation. "On est passé de 2.000 logements mis en vente fin 2021 à 3.300 au premier semestre 2022", observe-t-il, avec un prix de vente moyen "à 2.690 euros/m2". La plupart de ces logements sont situés dans les zones les plus tendues, "historiquement d'abord en Bretagne et en Nouvelle-Aquitaine, mais on observe aujourd'hui un recentrage sur l'Ile-de-France et en PACA", précise M. Ruiz.Les collectivités sont particulièrement friandes du dispositif et créent leur propre OFS pour éviter d'exclure les catégories sociales les plus modestes des villes. Le secteur privé se montre lui aussi très intéressé. "Le terrain étant dissocié du bâti à la vente, l'un des risques est d'avoir une spéculation sur le foncier. Il ne faudrait pas que des propriétaires vendent leur terrain plus cher en se disant qu'il trouvera toujours son client dès lors qu'on peut faire un BRS et lisser le prix du foncier sur 80 ans", prévient toutefois Marianne Louis, déléguée générale de l'Union sociale pour l'habitat (USH), qui représente les bailleurs sociaux.Conçu au départ pour répondre aux besoins de logements dans les zones tendues avec une offre de logements neufs, le BRS a également trouvé son utilité dans certaines zones rurales, dans l'ancien.C'est le cas au Pays basque, où l'établissement public foncier local s'est emparé de l'outil pour rénover des logements inoccupés dans les centres-bourgs et y faire revenir des familles qui n'avaient pas les moyens de faire les travaux.Selon Antoine Rousselie, directeur général adjoint du bailleur social marseillais Erilia, le BRS trouve aussi son utilité sur les littoraux "face à la multiplication des résidences secondaires et des locations saisonnières qui évincent les populations locales", même s'il faut selon lui "l'utiliser massivement pour avoir un effet, faute de quoi on risque de déplacer la spéculation sur un autre territoire".
Il y a 2 ans et 226 jours

Comment bien choisir son cloueur professionnel ?

Indispensables aux différents travaux du bâtiment, le cloueur est un outil qui permet de fixer différentes structures. Bon nombre de charpentiers ainsi que des professionnels du bâtiment choisissent de l’utiliser en raison de son côté pratique. Voici quelques conseils qui permettent de bien choisir un cloueur professionnel à utiliser pour tous travaux du bâtiment. Déterminer le modèle en fonction de l’utilisation de chacun Il existe en tout 4 types de cloueurs professionnels sur le marché. Par conséquent, il est important de connaître le modèle à acheter avant de faire ses courses auprès d’une quincaillerie professionnelle. Pour ce faire, la première étape consiste à déterminer l’utilisation future du cloueur. Certains appareils permettent effectivement de clouer des couvertures ou de faire des travaux de bardages. Ils sont adaptés pour fixer des plaques en bois acier ou des bétons fibrés. Ces équipements conviennent aussi pour poser une isolation extérieure. Ils permettent d’effectuer un tir continu. De cette manière, l’ouvrier peut facilement réaliser des clouages répétitifs et finir son travail assez rapidement. Les cloueurs charpentes sont quant à eux destinés à travailler sur les ossatures en bois. Ils servent également pour différents travaux sur les chantiers de construction. Ces cloueurs s’adaptent effectivement à différents types de surfaces et d’utilisations. En ce qui concerne les travaux de finitions, des cloueurs sont aussi conçus spécifiquement pour cela. Ils permettent ainsi de réaliser la pose de parquets ou de cloisons. Ces équipements conviennent aussi pour les travaux de décorations comme la pose de tissus ou la conception de petits meubles. Choisir parmi 4 types de cloueurs Après avoir défini l’utilisation future du cloueur, il est désormais temps de trouver celui qui convient pour les besoins de chacun. Ainsi, le cloueur pneumatique est le plus puissant des 4 modèles disponibles sur le marché. Il est donc recommandé pour les travaux de couvertures et peut accueillir des clous de 130 mm. Le cloueur pneumatique fonctionne grâce à un système d’air comprimé et permet alors de clouer de manière répétitive. Le cloueur électrique est moins puissant que le modèle pneumatique. Néanmoins, il est plus apprécié en raison de son côté silencieux. En plus, le cloueur électrique est branché sur secteur et peut donc être utilisé de manière illimitée. Il peut être utilisé pour clouer des tissus ainsi que des plinthes avec des clous de moins de 35 mm. Le cloueur électrique est aussi un outil d’ébénisterie. Le clouer à batterie est idéal pour avoir plus d’autonomie et plus de liberté dans les mouvements. Il permet d’enfoncer des clous de moins de 60 mm. Cet équipement offre ainsi la possibilité aux ouvriers du bâtiment de travailler plus rapidement et en toute sécurité. En plus, certains modèles de cloueurs à batterie angulaires permettent de travailler sur certaines zones difficiles d’accès. Les cloueurs à gaz sont quant à eux les plus performants du marché. Ils se caractérisent par une puissance supérieure à celle des modèles électriques. Les cloueurs à gaz ne sont pas munis de compresseurs et fonctionnent grâce à une technologie de propulsion à gaz. Cet équipement convient pour enfoncer des clous de moins de 90 mm. En plus, les cloueurs à gaz sont dotés d’une bonne autonomie permettant ainsi une utilisation prolongée.
Il y a 2 ans et 228 jours

L’abri de fortune de Baptiste César fait la part belle au béton de bois

L’artiste Baptiste César expose une installation en forme d’abri de fortune en béton de bois, située dans le square Renaudel, à Montrouge. [©Baptiste César] Sélectionné par les Montrougiens dans le cadre du concours “Art dans la ville”, l’artiste Baptiste César (né en 1983) expose une installation en forme d’abri de fortune située dans le square Renaudel. L’idée de ce concours : permettre aux jeunes créateurs de s’exposer dans les rues, les places, les jardins… de la ville de Montrouge (92). L’abri a été réalisé en béton de bois. Et à partir d’éléments de mobilier urbain collectés dans le cadre des travaux du Grand Paris. Il a une drôle d’allure, semblable à une cabane faite de bric et de broc. C’est intriguant… « J’aime bien le côté surréaliste d’une architecture, dont on ne sait pas très bien à quoi elle sert. » C’est tout à fait ça, une folie ou une chapelle moderne, dont un lampadaire sort du toit. Une étrange structure réalisée en béton de bois TimberRoc de CCB Greentech. Avec une charpente en palette de bois et un toit en tôle métallique provenant de conduits d’aération. Un vrai modèle d’upcycling. Sorti de l’imaginaire de l’artiste « J’aime bien le côté surréaliste d’une architecture, dont on ne sait pas très bien à quoi elle sert », explique Baptiste César. [©Baptiste César] L’abri se pare aussi de grilles d’arbres parisiennes en guise de vitraux. Les murs sont recouverts de briques à l’extérieur et de carreaux de métro parisien à l’intérieur. Des motifs en forme de queue de paon, réalisés à partir de pavés parisiens noyés dans la résine, agrémentent les murs. Enfin, un banc public prend place au sein de l’abri. « Je cherchais un matériau écolo. Le béton de bois de CCB Greentech m’est apparu évident. » Ce béton de bois est réalisé avec un mélange innovant composé de plaquettes de bois broyées certifiées PEFC et d’un ciment qui assure résistance et durabilité. Sensible aux paysages et aux habitants, Baptiste César a entrepris d’abord d’explorer la ville. Au gré de ses déambulations et de ses rencontres, il s’est nourri de pratiques pluridisciplinaires. Il y a découvert des matériaux, des équipements et des expertises à partir desquels il a imaginé un projet en relation avec le site qui l’accueillait. Les objets que l’artiste a glanés sont agencés de manière à détourner leur fonction première. Ceci, pour créer un module architectural à l’image de l’esthétique de la ville et accessible à tous. Chacun peut ainsi s’approprier l’abri de fortune de Baptiste César comme il le souhaite… M. C.
Il y a 2 ans et 229 jours

Unilin Insulation obtient la certification Qualiopi pour sa formation Exterio Pro

Elle atteste de la qualité des prestations proposées par l’entreprise et permet aux chefs d’agences et commerciaux des négoces auxquels les sessions sont destinées de bénéficier de leurs prises en charge par les OPCO / Opérateurs de Compétence.Certification Qualiopi, gage de qualité des formationsUnilin Insulation a obtenu la certification Qualiopi, d’une durée de validité de 3 ans, pour sa formation Exterio Pro dispensée dans son centre Expert Lab, à l’issue d’un audit strict basé sur sept critères principaux :Information au public des formations proposées,Identification précise des objectifs,Adaptation aux publics bénéficiaires des prestations et modalités d’accueil, d’accompagnement, de suivi et d’évaluation mises en œuvre,Adéquation des moyens pédagogiques, techniques et d’encadrement,Qualification des formateurs,Investissement du prestataire dans son environnement professionnel,Recueil et prise en compte des appréciations et des réclamations formulées par les parties prenantes.Une formation certifiée pour devenir expert en isolation par l’extérieur de la toiture en penteRéservées pour l’instant à son réseau de partenaires négoces Exterio Pro pour développer leurs compétences techniques en lien avec l’isolation de la toiture en pente, les sessions sont dispensées par les experts Unilin Insulation au centre de formation Expert Lab de Desselgem (Belgique). Elles portent sur la gamme de panneaux de toiture Usystem Roof et sur la gamme sarking Utherm.Alliant théorie et pratique, elles sont réparties en trois modules spécifiques :les fondamentaux pour connaître la terminologie de la charpente, relever les cotes sur un chantier et aborder toute l’offre d’Unilin Insulation,l’approche commerciale pour savoir argumenter sur les avantages de ces solutions d’isolation et maîtriser les outils de chiffrage,la mise en œuvre en atelier afin de réaliser la pose de ces produits selon les règles de l’art, et de choisir la bonne technique en fonction du point singulier à traiter.Les sessions, qui accueillent 8 participants maximum par module, sont organisées une fois par mois. Elles ont déjà réuni plus de 100 stagiaires depuis leur création. Unilin Insulation ne compte pas s’arrêter là. L’entreprise réfléchit déjà à compléter son catalogue de formation avec des modules s’adressant plus particulièrement aux charpentiers et couvreurs.Les chefs d’agences et commerciaux des négoces de matériaux bois peuvent d’ores et déjà s’inscrire en ligne aux prochaines sessions programmées sur le dernier trimestre 2022 sur le site ou auprès du commercial Unilin Insulation de leur secteur.
Il y a 2 ans et 229 jours

Ça y est, Ondura rejoint Kingspan

Le rapprochement entre Ondura et Kingspan, annoncé le 18 février 2022, a reçu l’approbation des autorités de tutelle. Il s’agit d’une étape essentielle dans la formation de la nouvelle division « Roofing and Waterproofing » de Kingspan. Ondura, créé autour de l’entreprise française Onduline, est spécialiste des solutions de toitures légères. Propriétaire d’alwitra, spécialisé dans les membranes hautes performances pour les toits plats et de l’entreprise polonaise CB, l’un des leaders européens des écrans de sous-toiture et d’accessoires de couverture pour toits en pente, Ondura dispose d’une grande expertise dans l’étanchéité à l’eau et à l’air des bâtiments et développe ses activités sur les cinq continents. Ondura aborde une nouvelle étape en rejoignant le groupe Kingspan, leader mondial de solutions hautes performances pour l’isolation et l’enveloppe du bâtiment. A l’issue de cette intégration, Kingspan, présent dans plus de 70 pays et disposant de plus de 200 sites de production dans le monde, opérera dans six pôles majeurs : – Insulated Panels – Panneaux sandwichs isolants, division principale et historique de Kingspan, – Insulation – Panneaux isolants, isolation des tuyauteries et gaines, – Light + Air – Solutions d’éclairage naturel et de ventilation, système d’évacuation des fumées, – Water & Energy – Systèmes innovants de collecte des eaux de pluie et de contrôle des inondations, stockage des combustibles, des eaux chaudes, gestion intelligente des bâtiments, – Data & Flooring Technology – Systèmes de planchers surélevés. – Roofing & Waterproof – Solutions de toitures autour des savoir-faire d’Ondura.
Il y a 2 ans et 229 jours

Ça y est, Ondura rejoint Kingspan

Le rapprochement entre Ondura et Kingspan, annoncé le 18 février 2022, a reçu l’approbation des autorités de tutelle. Il s’agit d’une étape essentielle dans la formation de la nouvelle division « Roofing and Waterproofing » de Kingspan. Ondura, créé autour de l’entreprise française Onduline, est spécialiste des solutions de toitures légères. Propriétaire d’alwitra, spécialisé dans les membranes hautes performances pour les toits plats et de l’entreprise polonaise CB, l’un des leaders européens des écrans de sous-toiture et d’accessoires de couverture pour toits en pente, Ondura dispose d’une grande expertise dans l’étanchéité à l’eau et à l’air des bâtiments et développe ses activités sur les cinq continents. Ondura aborde une nouvelle étape en rejoignant le groupe Kingspan, leader mondial de solutions hautes performances pour l’isolation et l’enveloppe du bâtiment. A l’issue de cette intégration, Kingspan, présent dans plus de 70 pays et disposant de plus de 200 sites de production dans le monde, opérera dans six pôles majeurs : – Insulated Panels – Panneaux sandwichs isolants, division principale et historique de Kingspan, – Insulation – Panneaux isolants, isolation des tuyauteries et gaines, – Light + Air – Solutions d’éclairage naturel et de ventilation, système d’évacuation des fumées, – Water & Energy – Systèmes innovants de collecte des eaux de pluie et de contrôle des inondations, stockage des combustibles, des eaux chaudes, gestion intelligente des bâtiments, – Data & Flooring Technology – Systèmes de planchers surélevés. – Roofing & Waterproof – Solutions de toitures autour des savoir-faire d’Ondura.
Il y a 2 ans et 231 jours

SGB – Hünnebeck : Le robot, l’escalier et le sabot

Le robot de manutention autonome Manu’T de SGB – Hünnebeck a été primé aux Awards de l’Innovation du Mondial du Bâtiment. [©SGB – Hünnebeck] Trois nouveautés principales animent le stand SGB – Hünnebeck. A commencer par le robot de manutention autonome Manu’T, lauréat de bronze dans la catégorie “Matériels de chantier” des Awards de l’Innovation du Mondial du Bâtiment. Ne pesant que 45 kg, il est capable de tracter jusqu’à 500 kg de charge, tout en transportant 80 kg dans sa caisse, juste emboîtée sur le plateau et interchangeable. Le plateau est équipé d’un capteur de poids, évitant toute surcharge. Manu’T est équipé d’une boule d’attelage et d’un adaptateur pouvant se connecter à n’importe quel transpalette ou à son chariot à roulette. Il peut circuler sur une pente de 15 % et sur terrain accidenté. Il est équipé d’un moteur de 1 kW alimenté par une batterie lithium-ion de 24 V/100 Ah. Manu’T peut être guidé de 3 façons : par un joystick (ou via un smartphone), en mode “suiveur” ou encore en toute autonomie en suivant un chemin balisé. D’une largeur de 65 cm, il passe dans les ouvertures étroites et dans toutes les portes. La deuxième innovation s’appelle ST’Air. Il s’agit d’un escalier d’accès qui s’intègre à l’intérieur d’une tour d’étaiement ST60. Chaque niveau de 1 m se compose d’une volée de 2 marches et d’une volée de 3 marches. Ces éléments se dupliquent jusqu’à atteindre la hauteur souhaitée. Enfin, SGB – Hünnebeck dévoile le Sabot d’étaiement 1,5 t. Il est constitué de 2 éléments indépendants : la platine support (3 kg) et la console équipée d’un vérin de réglage. Une fois la platine fixée sur un support vertical, il ne reste plus qu’à emboîter la console dessus. La liaison entre les deux pièces se fait à l’aide d’une clavette imperdable. Batimat – Hall 4 – Stand D46 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 231 jours

Ile de France : D’après le Cerc, le secteur du bâtiment reste debout

Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102 Le secteur du bâtiment en Ile-de-France est en constante évolution. [©Sogea] Le Cerc a publié une étude sur l’évolution de l’activité, de l’emploi et de la formation dans le bâtiment en Ile-de-France. Après une année 2020 fortement perturbée par le Covid-19, le secteur montre qu’il n’est pas à bout de souffle. En effet, d’après les derniers scénarii d’évolution du chiffre d’affaires du bâtiment, il devrait rester en constante évolution pendant les cinq années à venir. Dans le meilleur des cas, le CA en 2026 devrait monter à plus de 45 M€, contre moins de 35 M€ en 2020. Cette hausse s’explique par une évolution constante de l’emploi. Entre 2009 et 2019, le bâtiment a recruté 48 732 salariés, dont 21 902 dans le gros œuvre et 26 830 dans le second œuvre.  Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France Le Cerc a aussi constaté une nette modification des pyramides des âges du secteur. La tendance se tourne désormais vers la jeunesse. Le taux de salariés de la production, de l’administratif et du commercial de moins de 25 ans a doublé depuis 2016. Malgré des résultats encourageants, le bâtiment peine à embaucher, en particulier dans la charpenterie, la menuiserie ou encore la plomberie. Plus de la moitié des projets de recrutements pour ces professions ne sont pas aboutis. En ce qui concerne la formation en Ile-de-France, la répartition des jeunes selon les métiers de production varie énormément. Les étudiants en maçonnerie, par exemple, proviennent pour la moitié de la voie scolaire, tandis que les autres ont bénéficié d’une formation en apprentissage. Enfin, le nombre de contrats de professionnalisation a diminué de moitié entre 2019 et 2020. Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102
Il y a 2 ans et 231 jours

M-CUBE® by Würth : clé à chocs à batterie Li-ion 18 V Ass 18-1/2' Compact

Force et résistanceEn complément de la visseuse à chocs, la nouvelle clé à chocs (Art. N° 5701 406 004) permettra désormais d’effectuer des vissages plus puissants et plus importants. Que ce soit pour le chevillage, pour l’assemblage métallique ou pour la charpente bois, plus aucun support ne résistera à la ASS 18-1/2" compact M-CUBE® !Les caractéristiques techniquesCette clé à chocs permet un vissage de diamètre M10 à M20. Elle possède un couple serrage à 4 positions (160 / 260 / 300 / 460 Nm). Le serrage se réalise de manière régulée en fonction du diamètre de vis et du type de matériau. La machine s’arrête automatiquement et instantanément dès que le couple de vissage est atteint en mode auto-stop. Elle est équipée de 3 ampoules LED blanches et d’un crochet attache-ceinture. Elle est livrée en coffret avec 2 batteries 5 Ah et 1 chargeur rapide.Équipée d’une poignée avec revêtement antidérapant « soft-grip », elle vous garantit un maintien confortable et sans fatigue !Découvrez la clé à chocs en vidéo :Inspiré par vous, développé par WürthM-CUBE® est une plate-forme de batteries Lithium-Ion puissantes et résistantes, fabriquées exclusivement par le groupe Würth ! Les besoins des clients sont au cœur des préoccupations, c’est donc conjointement que cette nouvelle gamme de machines propre à Würth a été conçue. Toutes les machines ont été inspirées par des besoins, des souhaits et des idées des clients avant d’être conçues et fabriquées dans les usines du Groupe Würth. La batterie est la pièce maîtresse de cette nouvelle génération de machines innovantes. Le concept M-CUBE® permettra, à terme, d’utiliser la même batterie pour l’ensemble des machines de la gamme. Les caractéristiques exceptionnelles de ces nouvelles batteries comprennent une capacité élevée permettant une longue durée d'utilisation, une gestion intelligente de la batterie pour une surveillance électronique unicellulaire et un rendement maximal. De plus, tous les produits M-CUBE® sont équipés d'une structure robuste à double soudure et d’une protection en caoutchouc de haute qualité.
Il y a 2 ans et 234 jours

Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022

Organisé par Éditions des Halles et Batimat, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt, les équipes de Bati-Journal vous retrouveront au cœur du salon Batimat pour une nouvelle édition de son plateau TV, animé par Stéphane Miget (rédacteur en chef de magazine 5façades et Planète Bâtiment). Véritable chaîne TV dédiée au monde du bâtiment, BATI-JOURNAL accompagne les grands événements du secteur afin de vous emmener au cœur de ces rencontres. Bati-Journal réunit dans une ambiance plateau TV des professionnels, des experts ou des politiques afin de débattre autour des enjeux du secteur. Autour des 4 grandes thématiques du salon : Préserver l’environnement Transformer les méthodes Bien vivre dans la ville de 2050 Valoriser les métiers Au travers de nos expertises sur les sujets : Construction bois Patrimoine & restauration Enveloppe du bâtiment Bâtiment durable Programme du plateau TV* (susceptible d’être modifié) : Lundi 03 octobre : 10h00 : Place et rôle des artisans et entreprises (Transformer les méthodes) avec Catherine Gillet (Pilote du Programme FEEBAT) 11h30 : Bois-fôret : concilier construction et préservation de la ressource (Préserver l’environnement) avec Aymeric Albert (Directeur commercial Bois – ONF) 13h30 : Quelles infrastructures pour nourrir la ville en 2050 ? (Bien vivre dans la ville en 2050)  14h45 : Développer l’intelligence de la main (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) 15h45 : La parole à Piveteau Bois 16h15 : Retour d’expérience – Construction bois avec Benjamin Pirany (Architecte – HSP Architectes) 17h30 : Low Carbon – en partenariat avec Construction 21 avec Laetitia Belaube (Responsable de missions énergie-carbone – Artelia) Pierre-Yves Legrand (Directeur – Novabuild) et Christophe Rodriguez (Directeur général adjoint – IFEP)  Mardi 04 octobre : 09h30 : Préfabriquer avec le bois, pourquoi ? Comment ? Quelles innovations ? (Transformer les méthodes) avec Pierre Vaugoyeau (Directeur commercial – Maître Cube) 10h30 : La parole au CERIB avec Christophe Tessier (Directeur du Centre d’essais feu) 11h00 : Le bois, biosourcé par essence ? (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h30 : Patrimoine et centre-ville, moteurs de la revitalisation urbaine ?  (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Etienne Bourdais (Head of innovation projects – Vinci) 15h00 : Les métiers et savoir-faire du patrimoine au service de la construction à plus faible impact carbone (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) et Frédéric Letoffé (Vice-Président – GMH) 16h15 : Retour d’expérience – Patrimoine & Restauration avec Élodie Heberlé (Responsable d’études énergie et environnement – Cerema) 17h00 : La parole à Actis 18h00 : Émission spéciale sur Le Prix National de la Construction Bois Mercredi 05 octobre :  09h30 : Construction métallique, polyvalence et design : dernières évolutions (Transformer les méthodes) avec Pascal Bonaud (Délégué général – ConstruirAcier) et Peggy Schouller (Head of Business Development France – Arcelor Mittal) 10h30 : La parole Simpson Strong-Tie 11h00 : Bois, biosourcés et géosourcés (terre crue et pierre) : les matériaux des circuits cours ? (Préserver l’environnement) avec Yves Hustache (Associé-fondateur – Kiribati) 12h00 : La parole au SNBVI 13h15 : La parole à Hellio avec Arthur Bernagaud (Directeur des opérations BtoC) 14h00 : La parole à SADEV 15h00 : Focus Façadier (Valoriser les métiers) avec Vincent Bes (Directeur régional ouest – Wicona) 16h15 : Retour d’expérience – Enveloppe du bâtiment avec Myriam Humbert (Directrice de projets recherche et développement – Cerema) 17h30 : Low Tech – en partenariat avec Construction 21 avec Catherine Papillon (Directrice DD/RSE – BNP Real Estate), Anne Keusch (Directrice DD & Innovation – Groupama Immobilier) et Charlotte Girerd (Directrice Transition, RSE & Innovation) Jeudi 06 octobre : 09h30 : Audit : étape cruciale pour bien rénover (Transformer les méthodes) avec Xavier Bernard (Délégué régional Île-de-France – AQC) et Étienne Duhot (Responsable de projet – Hellio) 11h00 : Favoriser la réutilisation et la transformation des bâtiments existants (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h00 : Renaturer la ville (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Sophie Rousse-Rivière (Déléguée générale de l’Advient) 14h15 : Focus Prescripteur bois (Valoriser les métiers) 15h15 : Retour d’expérience – Villes & constructions durables avec Laurent Arnaud (Directeur du domaine bâtiment – Cerema) Toutes les vidéos des émissions seront à retrouver dès le lundi 03 octobre sur la chaîne YouTube de Bati-Journal et sur les sites de nos partenaires institutionnels et médias. En partenariat avec les magazines 5façades, Atrium, Planète Bâtiment et Wood Surfer. Participez à l’événement et commandez votre badge d’accès gratuit avec le code BPA22ATCPR sur le site de batimat.com Cet article Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 234 jours

Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022

Organisé par Éditions des Halles et Batimat, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt, les équipes de Bati-Journal vous retrouveront au cœur du salon Batimat pour une nouvelle édition de son plateau TV, animé par Stéphane Miget (rédacteur en chef de magazine 5façades et Planète Bâtiment). Véritable chaîne TV dédiée au monde du bâtiment, BATI-JOURNAL accompagne les grands événements du secteur afin de vous emmener au cœur de ces rencontres. Bati-Journal réunit dans une ambiance plateau TV des professionnels, des experts ou des politiques afin de débattre autour des enjeux du secteur. Autour des 4 grandes thématiques du salon : Préserver l’environnement Transformer les méthodes Bien vivre dans la ville de 2050 Valoriser les métiers Au travers de nos expertises sur les sujets : Construction bois Patrimoine & restauration Enveloppe du bâtiment Bâtiment durable Programme du plateau TV* (susceptible d’être modifié) : Lundi 03 octobre : 10h00 : Place et rôle des artisans et entreprises (Transformer les méthodes) avec Catherine Gillet (Pilote du Programme FEEBAT) et Aristide Belli (Chef de projet senir programme OSCAR) 11h30 : Bois-fôret : concilier construction et préservation de la ressource (Préserver l’environnement) avec Aymeric Albert (Directeur commercial Bois – ONF) 13h30 : Quelles infrastructures pour nourrir la ville en 2050 ? (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Angel Menendez (Architecte – Atelier Lame) 14h45 : Développer l’intelligence de la main (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) 15h45 : La parole à Piveteau Bois 16h15 : Retour d’expérience – Construction bois avec Benjamin Pirany (Architecte – HSP Architectes) 17h30 : Low Carbon – en partenariat avec Construction 21 avec Laetitia Belaube (Responsable de missions énergie-carbone – Artelia) Pierre-Yves Legrand (Directeur – Novabuild) et Christophe Rodriguez (Directeur général adjoint – IFEP)  Mardi 04 octobre : 09h30 : Préfabriquer avec le bois, pourquoi ? Comment ? Quelles innovations ? (Transformer les méthodes) avec Pierre Vaugoyeau (Directeur commercial – Maître Cube) 10h30 : La parole au CERIB avec Christophe Tessier (Directeur du Centre d’essais feu) 11h00 : Le bois, biosourcé par essence ? (Préserver l’environnement) avec Ambre Le Ferrec (Reponsable pôle 2nde transformation et suivi de la normalisation – Fédération Nationale du Bois) et Jérôme Martinez (Responsable du label Bois de France) 11h00 : La parole à Cadwork avec Denis Roblin (Directeur vente France) 12h00 : La parole au SNBVI 13h30 : Patrimoine et centre-ville, moteurs de la revitalisation urbaine ?  (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Etienne Bourdais (Head of innovation projects – Vinci) 15h00 : Les métiers et savoir-faire du patrimoine au service de la construction à plus faible impact carbone (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) et Frédéric Letoffé (Vice-Président – GMH) 16h15 : Retour d’expérience – Patrimoine & Restauration avec Élodie Heberlé (Responsable d’études énergie et environnement – Cerema) 17h00 : La parole à Actis 18h00 : Émission spéciale sur Le Prix National de la Construction Bois Mercredi 05 octobre :  09h30 : Construction métallique, polyvalence et design : dernières évolutions (Transformer les méthodes) avec Pascal Bonaud (Délégué général – ConstruirAcier) et Peggy Schouller (Head of Business Development France – Arcelor Mittal) 10h30 : La parole Simpson Strong-Tie 11h00 : Bois, biosourcés et géosourcés (terre crue et pierre) : les matériaux des circuits cours ? (Préserver l’environnement) avec Yves Hustache (Associé-fondateur – Karibati), Alec Bickersteth (Chef de projet Filière, Emploi & Formation – Fibois Île-de-France) et Ghislain Moret de Rocheprise (Directeur marketing et commercial – ISOL’en Paille) 12h00 : La parole au SNBVI 13h15 : La parole à Hellio avec Arthur Bernagaud (Directeur des opérations BtoC) 14h00 : La parole à SADEV 14h30 : La parole à Eiffage avec Thomas Doyon (Directeur Eiffage Immobilier Solutions Industrialisées)  15h00 : Focus Façadier (Valoriser les métiers) avec Vincent Bes (Directeur régional ouest – Wicona) et Sandrine Bertin (Déléguée générale – SNFA) 16h15 : Retour d’expérience – Enveloppe du bâtiment avec Myriam Humbert (Directrice de projets recherche et développement – Cerema) 17h30 : Low Tech – en partenariat avec Construction 21 avec Catherine Papillon (Directrice DD/RSE – BNP Real Estate), Anne Keusch (Directrice DD & Innovation – Groupama Immobilier) et Charlotte Girerd (Directrice Transition, RSE & Innovation – SNCF Immobilier) Jeudi 06 octobre : 09h30 : Audit : étape cruciale pour bien rénover (Transformer les méthodes) avec Xavier Bernard (Délégué régional Île-de-France – AQC) et Étienne Duhot (Responsable de projet – Hellio) 11h00 : Favoriser la réutilisation et la transformation des bâtiments existants (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h00 : Renaturer la ville (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Sophie Rousse-Rivière (Déléguée générale de l’Advient) 14h15 : Focus Prescripteur bois (Valoriser les métiers) 15h15 : Retour d’expérience – Villes & constructions durables avec Laurent Arnaud (Directeur du domaine bâtiment – Cerema) Toutes les vidéos des émissions seront à retrouver dès le lundi 03 octobre sur la chaîne YouTube de Bati-Journal et sur les sites de nos partenaires institutionnels et médias. En partenariat avec les magazines 5façades, Atrium, Planète Bâtiment et Wood Surfer. Participez à l’événement et commandez votre badge d’accès gratuit avec le code BPA22ATCPR sur le site de batimat.com
Il y a 2 ans et 235 jours

Épisodes méditerranéens : comment éviter les dégâts des crues brutales ?

Quelles sont les mesures de prévention ?Si l'intégralité de la France est concernée par un risque d'inondations, même mineur, quinze départements du sud sont particulièrement exposés aux crues brutales à cause des épisodes méditerranéens, ces systèmes orageux capables de déverser des mois de pluies en quelques heures.Comme pour tout risque naturel, divers plans de prévention et de gestion existent, sans cesse révisés avec la récurrence des catastrophes. En 2020, la tempête Alex faisait dix morts, huit disparus, 13.000 sinistrés et environ un milliard d'euros de dégâts dans les Alpes-Maritimes.Depuis les années 1990, des "plans de prévention du risque inondation" (PPRi) établissent la cartographie des dangers et réglementent l'occupation des sols. Annexés aux Plans locaux d'urbanisme (PLU), ils peuvent mener à des interdictions de construire ou à des restrictions, comme l'impossibilité de doter sa maison d'un sous-sol.Ces contraintes se doublent d'initiatives des collectivités, les Programmes d'actions de prévention des inondations (PAPI), ouvrant droit à des subventions de l'État : études du risque local, entretien des cours d'eaux, construction d'ouvrages de protection...Depuis 2011, 69 PAPI ont été labellisés dans les quinze départements concernés, soit un milliard d'euros d'actions (sur 2,6 milliards au national), dénombre la Direction générale de la prévention des risques (DGPR) au ministère de la Transition écologique.Environ un quart a servi aux délocalisations de "plus de 800 foyers (183 dans l'Aude, 383 dans le Gard et environ 250 dans les Alpes-Maritimes)", selon les chiffres du ministère.Les outils d'alerte se sont aussi multipliés: outre les vigilances de Météo-France et des systèmes d'alertes par SMS, le service Vigicrues s'est enrichi au printemps d'une application mobile avec des notifications personnalisées.Axe majeur de prévention, le gouvernement a relancé en août ses campagnes d'information sur les bons réflexes: "ne pas aller chercher ses enfants" ; "reporter ses déplacements", "rester dans un bâtiment" en hauteur ; "ne pas prendre sa voiture, car quelques centimètres d'eau suffisent à l'emporter", etc.Quelles sont les pistes d'amélioration ?"La plupart des crues sont prévisibles par Vigicrues", rappelle Sybille Muller, cheffe du bureau des risques d'inondation à la DGPR. Ce qui permet d'activer au plus tôt les Plans communaux de sauvegarde (PCS), c'est-à-dire les mesures en cas de crise, en premier lieu les plans d'évacuations."Mais ça ne sert à rien d'avoir un bon plan si on ne s'entraîne pas", ajoute Véronique Lehideux, cheffe du service des risques naturels et hydrauliques au ministère de la Transition écologique."Jusqu'ici on a beaucoup travaillé sur l'acquisition des bons réflexes, mais il faut désormais développer une culture de l'exercice", comme ceux contre les incendies organisés tous les ans et entrés dans les moeurs, souligne la haute fonctionnaire.Adoptée fin 2021, "la loi Matras" sur la sécurité civile "a renforcé les exigences d'exercices" et les autorités comptent étendre cette "logique de crise", "déjà très développée dans les territoires ultra-marins", précise Mme Lehideux.Les grandes lignes de ce qu'il reste à faire sont recensées dans les Plans de gestion des risques d'inondation (PGRI), déclinés sur cinq ans au niveau local.Celui du bassin hydrologique Rhône-Méditerranée prévoit notamment pour la période 2022-2027 d'"améliorer les capacités d'écoulement", alors que l'urbanisation et l'imperméabilisation des sols n'ont cessé d'accentuer le ruissellement.Cela va de la coupe d'arbres fragiles, susceptibles d'être emportés et de former des barrages en s'accumulant sous les ponts, à la destruction d'ouvrages ayant étroitisé les cours d'eau, en passant par les "solutions d'adaptation fondées sur la nature" (SaFN). Il s'agit par exemple de restaurer des zones humides pour étaler les crues, décompacter les sols grâce aux systèmes racinaires des arbres ou multiplier les "noues paysagères" (larges fossés en pente douce pour accueillir les eaux pluviales)."Ces solutions sont à la mode et ont un rôle contributif pour atténuer les catastrophes naturelles", note Sybille Muller, "mais il faut être réaliste : il y a des risques climatiques qui nécessitent des constructions en durs", comme les digues et barrages redimensionnés à la hauteur du danger.
Il y a 2 ans et 238 jours

Rector & Techniwood : l’association de la préfabrication industrielle béton et bois pour une décarbonation intelligente des bâtiments

Pour son retour sur le salon BATIMAT, RECTOR, spécialiste de la préfabrication d’éléments en béton, a ainsi souhaité partager son stand avec TECHNIWOOD, industriel français leader des façades biosourcées préfabriquées en bois. Cette association a pour objectif de proposer des solutions de préfabrication industrielle bois et béton hors-site pour une décarbonation intelligente des bâtiments.Une vision partagée de la construction durable et de la construction hors-siteGrâce à ses gammes de produits et systèmes préfabriqués bas carbone, RECTOR est résolument engagée en faveur de la décarbonation, démarche qui s’inscrit dans la stratégie RSE de l’entreprise.Spécialisé depuis 10 ans dans la fabrication de systèmes constructifs en bois (ossature bois, charpente, CLT) et particulièrement de façades bois préfabriquées avec son produit innovant Panobloc® 100% made in France, le groupe TECHNIWOOD affiche également sa volonté de s’inscrire dans une démarche vertueuse en faveur de la transition énergétique.Pour Côme Lesage, Responsable Marketing Stratégique de Rector : « Nous avons eu l’occasion de rencontrer les équipes de Techniwood sur des actions de prescription commune, et très rapidement, nous avons réalisé que nos visions et nos valeurs étaient très proches. »Les deux entreprises croient en la complémentarité des matériaux béton et bois car chacun dispose d’atouts propres qui justifient leur mise en œuvre au meilleur endroit pour répondre aux contraintes des bâtiments durables (thermique, acoustique, feu, bas carbone,...).Pour favoriser le développement de la construction hors-site, RECTOR et TECHNIWOOD sont convaincus qu’il est primordial de :s’appuyer sur les compétences des entreprises générales et de gros œuvre et de les accompagner, le plus en amont possible dans la transition vers un changement des modes constructifs ;proposer des solutions innovantes industrialisées laissant libre cours à la créativité des architectes. Celles-ci ne doivent pas nécessiter de techniques de mise en œuvre trop disruptives pour accélérer les délais de construction et maintenir le logement à un niveau de prix acceptable ;viser l’excellence industrielle grâce à l’utilisation d’outils numériques, tels que le configurateur Caméléo® de RECTOR, compatibles avec l’accélération des chantiers BIM.Des systèmes complémentaires pour porter une offre globaleAyant pour ambition commune d’être la référence dans son domaine pour la construction durable, les deux entreprises s’appuient sur une offre réunissant :la structure plancher-dalle préfabriquée en béton bas carbone Caméléo® sans mur porteur de RECTOR, qui intègre tous les éléments résistants dans l’épaisseur du plancher. Composé d’une trame de poteaux et d’une dalle en béton armé, Caméléo® permet la construction de bâtiments évolutifs dont les espaces intérieurs et les façades peuvent être facilement reconfigurés au fil du temps. Grâce à sa grande adaptabilité (pas de retombées de poutres, ni de séparatifs lourds), les plateaux libres se prêtent à toutes les configurations et le bâtiment construit aujourd’hui s’adapte aisément à de nouveaux usages demain. La transformation peut être ainsi prévue dès la conception de l’ouvrage en choisissant judicieusement l’emplacement des poteaux. RECTOR laisse ainsi aux architectes toute latitude pour exprimer leur créativité dans un cadre évolutif, tout en minimisant les coûts et l’impact environnemental des reconversions. L’écoconception de Caméléo® privilégie systématiquement le bon matériau au bon endroit et accompagne dès les premières esquisses la mixité constructive et tout particulièrement le bois.le panneau de façades éco conçu Panobloc® CLT à isolation intégrée de TECHNIWOOD qui garantit une excellente performance de l’enveloppe du bâtiment (au niveau thermique, feu et carbone) et une mise hors d’eau et hors d’air plus rapide du chantier. Panobloc® est un treillis structurel en bois composé d’un empilage de plis croisés composé d’une alternance de lames de bois massifs et de bandes isolantes de remplissage occupant l’espace libre entre les lames de bois. Fabriqués grâce à un process industriel totalement automatisé sous assurance qualité, les panneaux de façade Panobloc® ont un impact carbone négatif. Ils apportent une grande qualité d’usage et de confort aux occupants (isolation thermique et acoustique, qualité de l’air, ...).Ce système combiné offre tous les bénéfices de la préfabrication (gain de temps, de ressources, de coûts et réduction des nuisances sur chantier) tout en garantissant un bâtiment pérenne, à impact carbone fortement réduit, conforme à la RE2020.
Il y a 2 ans et 241 jours

La mairie de Paris veut piétonniser le bas des Champs-Elysées le dimanche

La ville "souhaite piétonniser tous les dimanches" la partie est de la célèbre artère, "première étape pour magnifier les jardins" et participer à la "reconquête de la place de la Concorde et du bas des Champs-Elysées", a indiqué à l'AFP l'adjoint (PS et apparentés) aux espaces verts Christophe Najdovski.La mairie a déjà formulé sa demande auprès de la préfecture, a-t-il précisé. Les Champs-Elysées sont réservés aux piétons le premier dimanche de chaque mois.La revalorisation des jardins publics dessinés au XVIIe siècle par André Le Nôtre et bordant l'Elysée fait partie d'un premier plan de rénovation du quartier annoncé en mai par la maire PS Anne Hidalgo en vue des Jeux olympiques de 2024.Ce plan comprend également la réduction de la place de la voiture sur la place de l'Etoile.Ses adjoints ont donné jeudi matin le coup d'envoi des travaux en accueillant sur le port des Champs-Elysées une barge transportant une partie des 14.000 m2 de granit prévus pour refaire les trottoirs de l'avenue, aujourd'hui très dégradés.Quatre ans après les manifestations de "gilets jaunes" marquées par les scènes de vandalisme, les travaux doivent permettre "d'accueillir dignement les centaines de milliers de personnes qui l'arpentent chaque jour", a souligné la maire (LR) du VIIIe arrondissement Jeanne d'Hauteserre.Selon Marc-Antoine Jamet, président du Comité Champs-Elysées, qui regroupe les acteurs économiques du quartier, 250.000 personnes fréquentent chaque jour "la plus belle avenue du monde" dont la vacance des enseignes "diminue".Outre la réfection des trottoirs et du mobilier urbain, en souffrance depuis les "gilets jaunes", "on plante 107 arbres et on débitume et végétalise un hectare", avec trois axes mineurs du bas de l'avenue "transformés en allées paysagères" et, "sur la partie haute des Champs, 400 pieds d'arbres végétalisés", a rappelé M. Najdovski à l'AFP.Autour de l'Arc de Triomphe, l'agrandissement de l'anneau piéton se fera via des bornes en calcaire posées sur 10 m de largeur "pour neutraliser les trois files de voiture les plus proches", a précisé l'adjoint (PCF) à la construction publique Jacques Baudrier.Ces premiers travaux, pour lesquels la mairie engage une trentaine de millions d'euros, doivent se terminer fin 2023.
Il y a 2 ans et 241 jours

Le matériau bois : une partie de la solution pour décarboner la construction

En France, la part du bois dans la construction (secteur résidentiel et non résidentiel) atteint près de 10 % et devrait fortement progresser dans les prochaines années*. Utilisé dans la construction depuis toujours, le bois s’impose dorénavant en tête des matériaux renouvelables et biosourcés et ses usages se diversifient. Il entre ainsi dans la construction, la réhabilitation, la rénovation et l’aménagement. Le bois représente des enjeux écologiques, sociétaux et environnementaux majeurs. Développement du Grand Paris, chantiers liés aux Jeux Olympiques, construction grande hauteur, maison individuelle... les débouchés ne manquent pas aussi bien dans la construction collective qu’individuelle, pour le tertiaire comme pour le résidentiel. La mise en application récente de la RE 2020 est également un facteur de développement du marché pour les prochaines années.BATIMAT met une nouvelle fois en lumière la construction bois et toute la filière en amont comme en aval. Un secteur de 1 521 m2, lui est entièrement dédié dans le Pavillon 1 avec près de 40 exposants inscrits à date. Il s’agit d’organismes tels que FNCB CFDT, FRANCE BOIS FORET, CODIFAB et d’industriels de renom : ADKALIS, AGIBOIS SAS, ALSAFIX, ARCLIN LLC, BEST WOOD SCHNEIDER, C.B.S.T./ SCIERIE JOSLET, CAMBRAI CHARPENTE, ESSETRE S.R.L. UNIPERSONALE, FELIX DISTRIBUTION, GOLBALUX SP. Z O.O., GRABO, GROUPE BERKEM, GROUPE SETIN, HANS HUNDEGGER AG, JUNGINGER NATURHOLZWERK GMBH, KAMEOKA CONSTRUCTION CO., LTD, KYOCERA UNIMERCO FASTENING A/S, LES FILS DE CYRILLE DUCRET, LIGNATEC, LIXOL, MACH DIFFUSION, MALAYSIAN TIMBER COUNCIL, MANUBOIS, MAX EUROPE BV, MONNET SEVE, PGB EUROPE NV, PIVETEAU BOIS, SCHILLIGER BOIS SAS, SCIERIE EYMARD, SELECTION VOSGES, SIMONIN SAS, SIMPSON STRONG TIE, STEICO SE, TECHNIWOOD.Cet espace, ainsi que les conférences dédiées permettent à la fois de saisir tous les enjeux fondamentaux de ce matériau et de valoriser la diversité des produits en bois français.* France Bois Forêt – Le Bois dans la Construction – sept 2020Les conférencesLe bois est au cœur des sujets de décarbonation et sera notamment la thématique de deux conférences Experts’Corner :Mercredi 5 octobre de 16h à 16h45. (Agora 1, Pavillon 1) :Bois & traçabilité dans le cadre des Jeux de Paris. En partenariat avec le CODIFAB et France Bois ForêtCette conférence sera animée par Marie Jorio, Coordinatrice du Projet France Bois 2024 (projet accompagnant le bois dans les Jeux de Paris soutenu par le CODIFAB et France Bois Forêt, accompagné par le CNDB) qui animera en présence de Georges-Henri Florentin, Président de France Bois 2024, une table ronde composée de Jérôme Martinez, Responsable du Label Bois de France ; Paul Emmanuel Huet, Directeur Exécutif PEFC France ; Aurélien Sautière, Directeur Exécutif FSC France, la Solidéo et Paris 2024.Animateur : Jean-Marc Pauget, Architecte Expert Construction Bois CNDBJeudi 6 octobre de 16h à 16h45 :Le bois et le biosourcé pour atteindre la neutralité carbone à horizon 2030. En partenariat avec le CODIFAB et France Bois ForêtCette conférence traitera en introduction de la RE2020, du positionnement des bâtiments actuels, des objectifs du futur. Une table ronde donneraensuite la parole à deux cabinets d’architectes qui viendront témoigner lors de cette session de leurs projets ou réalisations respectives, dont le cabinet A003 architecte.Animateur : Jean-Marc Pauget, Architecte Expert Construction Bois CNDB.Il sera aussi l’une des thématiques phares du plateau TV de Bati-Journal, organisé par Éditions des Halles et BATIMAT et situé au cœur du secteur bois, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt. Le bois sera abordé lors de quatre émissions :La préfabrication des bâtiments boisConstruction bois, préserver la ressourceLe bois, matériau biosourcé par essenceLe bois, matériau des circuits courtsDemandez votre invitation gratuite pour BATIMAT
Il y a 2 ans et 241 jours

Une maison sur le lac par MH architectes

L’agence MH architectes (Mickaël Hébert) a livré dans la commune de Laroque Timbaut (Lot-et-Garonne) la réhabilitation et l’extension d’un cabanon de famille en petite maison de bois (70 m²) surplombant un lac marquant l’évolution du lieu de villégiature. Communiqué. Une parcelle boisée en légère pente, un cabanon en son centre, un plan d’eau et un […] L’article Une maison sur le lac par MH architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 242 jours

A.Doc présente à Batimat la dernière version de son logiciel de conception BIM pour les projets à ossature bois

Une solution tout-en-un intuitive et sans équivalence pour le BBC et la construction boisDestinée aux professionnels de l’architecture bois qui souhaitent paramétrer très précisément leurs ossatures bois, tant pour le neuf ou la rénovation que pour les extensions bois, cette nouvelle version 16 apporte une facilité et une puissance de travail sans précédent qui va de nouveau révolutionner la manière de dessiner et de créer les projets des utilisateurs, qu’il soient débutants ou expérimentés.Les constructeurs en ossature bois recherchent des fonctions particulières que les logiciels classiques de conception en bâtiment ne possèdent pas. Basé au départ sur la version Architecture, ouverte à tous les principes constructifs, Envisioneer 16 Construction Bois intègre toutes les fonctions utiles au paramétrage de tels ouvrages, dont :Des outils 3D paramétriques.Des fonctions de paramétrage ultra précis de tous les composants et de l'ossature.Un repérage immédiat et un affichage automatique des plans d’ossature.Une planche à dessin 2D.Une bibliothèque paramétrée de solutions constructives orientée BBC & modes passifs.Un module de terrain.L’utilisateur gagne donc un temps précieux grâce au catalogue de murs, planchers, toitures déjà paramétrés. Ensuite, celui-ci peut facilement modifier ces objets pour les adapter à ses modes de construction. En effet le logiciel Envisioneer Construction Bois possède, au moyen d’une interface inédite, une puissance de paramétrage pour enregistrer et modifier tous les détails de montage des ossatures (bois ou métal), tout comme l’édition de chaque ouvrage particulier. L’utilisateur diminue donc significativement le temps d’exploitation du projet de l’esquisse vers la fabrication : définition des sections et leurs entraxes, position des entretoises, configuration des angles, édition ultra-fine des intersections de murs, paramétrage complet des porteurs tels que linteaux, poutres et leurs retombées, règles de mise en place, …En outre, le modèle BIM du projet conçu dans Envisioneer 16 Construction Bois peut être directement relu à l'extérieur du fait de sa compatibilité avec les logiciels d’étude thermique, et ce, afin d’analyser ses performances bioclimatiques et de vérifier sa conformité réglementaire.Dans sa nouvelle version, Envisioneer 16 Construction Bois repousse encore plus loin les limites de la conception et de la fabrication à ossature bois.Une nouvelle version pour créer facilement et automatiquement les plans de panneaux bois en 1 clicAvec l’arrivée du nouveau module révolutionnaire “FABRICATION”, intégré au logiciel de CAO Envisioneer Construction Bois v16, tous les professionnels de la construction bois, de l’architecture et du bâtiment vont pouvoir réduire de façon considérable le temps nécessaire à la création et au paramétrage des plans de pans de murs en bois.En effet, jusqu’à présent, la création des plans nécessaires à la fabrication des panneaux d’ossature d’une maison individuelle pouvait durer deux jours voire plus. Aujourd’hui grâce à ce module, cette tâche répétitive est réalisée tout simplement en un seul clic. Les plans de fabrication sont obtenus très facilement et en un temps record, et comprennent pour chacun:Une vue de face et une vue de dessus du panneau accompagnées de cotations précises.La liste de débits permettant de détailler les longueurs et les quantités de chacune des pièces nécessaires.Par ailleurs, et pour parfaire le tout, le logiciel intègre toute une batterie de fonctions clés qui permettront de faciliter davantage la mise en place des projets à ossature bois :Maquette 3D présentable sur tout mobile.Commandes pour la charpente améliorées.Interopérabilité accrue avec le BIM.Nouveaux objets fermes de charpente en 3D.Quantitatif partiel immédiat au clic droit.Présentation graphique améliorée en 2D.
Il y a 2 ans et 249 jours

En Alsace, une "maison solaire" en réponse à l'urgence climatique

La façade, orientée plein sud, est une gigantesque verrière de 160 m2 et 10 mètres de haut, quadrillée de métal. Inclinée vers le sol, elle évoque, au choix, une toile d'araignée ou un diamant.Le toit, plat, est lui aussi incliné. A l'intérieur, un élégant escalier donne sur trois vastes niveaux, d'une superficie totale de 200 m2. Béton et bois, l'ensemble est épuré. Un piano trône au rez-de-chaussée où règne une étonnante fraîcheur pour cette fin juillet en Alsace, où le mercure tutoie les 30°.Fraîche en été, agréable en hiver, le tout sans climatisation ni chauffage, ou presque : "ça m'arrive parfois de faire une petite flambée" dans un poêle d'appoint, confie le concepteur de l'Heliodome (littéralement "maison solaire"), Eric Wasser, ébéniste et designer de 65 ans.Le chauffe-eau, lui, est alimenté par les panneaux solaires sur le haut de la charpente."Déclic"L'hiver, l'Heliodome couvre jusqu'à 80% les besoins thermiques, explique M. Wasser.Le secret? Une bonne isolation (laine de bois et liège), une orientation plein sud, une bonne inertie et, surtout, la verrière et son étonnante inclinaison, pensées pour tirer le maximum du soleil en fonction de sa trajectoire, quotidienne et annuelle.Lorsqu'il est bas en hiver, ses rayons frappent directement le verre qui profite au maximum de leur chaleur. Haut en été, ils ne peuvent directement l'atteindre, laissant la verrière dans l'ombre.Autre paramètre crucial : la latitude, déterminante pour calculer le degré d'inclinaison de la façade. Un Heliodome en Europe du nord aura une verrière plus inclinée que dans le sud tandis qu'à l'équateur, elle sera droite, explique cet ancien meilleur ouvrier de France qui a consacré plusieurs décennies à peaufiner un concept dont il a déposé le brevet et qui lui a valu le concours Lépine en 2003.M. Wasser ne construira son premier Heliodome qu'une dizaine d'années plus tard, sur le terrain familial de Cosswiller, à l'ouest de Strasbourg où il vit avec son épouse Caty, artiste-verrier.Le couple y accueille les nombreux visiteurs intrigués par cet ovni architectural qui jouit d'une belle couverture médiatique, mais a longtemps peiné à conquérir un plus large public : pour l'heure, seule une dizaine d'Heliodome ont vu le jour, en France, en Suisse et en Allemagne.Herbert Lötscher, lui, a tout de suite été emballé. "L'architecte, c'est le soleil!", s'enthousiasme cet ébéniste-designer suisse qui a fait construire il y a une dizaine d'années à Erschmatt, dans le Valais, un Heliodome de 80 m2."J'ai été séduit par la forme, l'idée de prendre la ligne du soleil", confie M. Lötscher, qui reconnaît que la nouveauté presque avant-gardiste de l'Heliodome peut effrayer : "quand quelqu'un vient avec une autre forme, ça prend toujours du temps pour que les gens aient un déclic".Autre facteur qui a pu ralentir son développement : la crédibilité technique d'un produit radicalement nouveau.Crédibilité techniqueIl était crucial de "traduire scientifiquement" les qualités thermiques de la maison avant d'engager des projets d'ampleur, explique Rémi Mammosser, qui assure depuis quelques années la promotion de l'Heliodome.Le promoteur a récemment recruté un ingénieur chargé de concevoir des "algorithmes de calcul" et va en embaucher un autre pour les questions liées à la structure du bâtiment.Ca a pris du temps mais "c'était impératif" pour assoir la solidité du concept face aux "contraintes administratives et techniques" et assurer une promotion efficace, insiste M. Mammosser.Les projets, d'ailleurs, se concrétisent : outre trois maisons et l'agrandissement d'un bâtiment existant, une dizaine de lodges ainsi qu'une vaste salle de réception vont voir le jour en Savoie. Un projet d'immeuble de quatre étages pour une banque est également dans les cartons. L'Heliodome est sur une "très bonne voie", se félicite Rémy Mammosser, convaincu que sa conception architecturale, qui ne nécessite quasiment aucun ajout "technologique" comme la climatisation, est "l'une des meilleures réponses" à l'urgence climatique.L'Heliodome "nous montre exactement les accords qu'il faut trouver pour pouvoir profiter de ce que la nature" offre, résume M. Wasser. "Si on veut bien essayer de construire dans ce sens, je pense qu'on arrivera à faire des bâtiments économes dans la durée".
Il y a 2 ans et 250 jours

Bas Smets, le paysagiste belge qui veut verdir les villes et Notre-Dame de Paris

A Hong Kong, Bahreïn, en Amérique, au Portugal, à Bordeaux ou à Arles en France; son cabinet fondé en 2007 à Bruxelles était déjà sollicité partout dans le monde avant d'être sélectionné fin juin par la Ville de Paris pour concevoir le futur parvis de Notre-Dame, à l'horizon 2027.Mais l'architecte paysagiste de 47 ans voit dans ce projet l'opportunité rêvée pour accroître encore la visibilité de son travail, qu'il envisage comme "un laboratoire d'expériences" pour "inventer une sorte d'écologie urbaine", et végétaliser l'espace public bien au-delà de quelques squares."Notre ambition est de transformer la ville pour la rendre résiliente, habitable, agréable", explique Bas Smets à l'AFP."Et si on arrive à le faire sur l'île de la Cité, autour de Notre-Dame, on peut le faire partout", poursuit-il lors d'une rencontre à son cabinet, dans un openspace avec vue panoramique sur Bruxelles où il emploie une vingtaine de jeunes collaborateurs.A Paris, sur un site fréquenté par des touristes du monde entier, Bas Smets veut développer les pelouses arborées de part et d'autre de la cathédrale, et "imaginer le parvis comme une clairière", au milieu de laquelle de l'eau de pluie récupérée dans une cuve ruissellerait au sol par forte chaleur, sur une pente très légèrement inclinée."Il y aura des réflexions éphémères à photographier, et cela produira l'effet d'une averse d'été qui rafraîchit l'air", poursuit ce Belge néerlandophone, diplômé de l'université de Louvain."On peut aussi imaginer que ce ruissellement devienne un rendez-vous quotidien de quelques minutes, comme le scintillement de la tour Eiffel", ajoute-t-il.Le chantier doit commencer en 2024 après les Jeux olympiques et l'achèvement de la rénovation de l'édifice lui-même, gravement endommagé par un spectaculaire incendie en 2019.Inspiré par Central ParkCôté sources d'inspiration, Bas Smets cite le New-Yorkais Frederick Law Olmsted, qui a conçu entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe quantité de parcs urbains aux Etats-Unis, dont le célèbre Central Park de sa ville natale."Il a réfléchi au stockage de l'eau pour amener la nature en ville, organisait les espaces verts en réseau en les reliant entre eux. Il pensait presque déjà au climat avant le global warming (réchauffement climatique)", sourit celui qui aime se décrire en "architecte de paysages".Pour ses projets à travers le monde, le bureau de Bas Smets s'appuie sur des collaborations locales, et le Bruxellois bénéficie pour la botanique des conseils de spécialistes dont ceux du neurobiologiste italien Stefano Mancuso (auteur de "L'intelligence des plantes"), rencontré il y a six ans à Florence.La réflexion avec eux porte notamment sur la nécessité de choisir une végétation adaptée à la nature du sol, au climat. Et qui sans doute devra se montrer plus résistante à la chaleur et aux épisodes de sécheresse susceptibles de se multiplier à l'avenir.Pour la "promenade plantée" créée sur une place du centre-ville de Waregem, en Belgique, Bas Smets a choisi des micocouliers, une espèce méridionale. "J'ai dû me battre parce qu'on sortait de la liste des plantes indigènes", raconte-t-il, "mais dans 50 ans un micocoulier a plus de chances d'avoir survécu qu'un arbre d'ici".Il classe cette réalisation parmi "les projets exemplaires qui montrent qu'on peut réfléchir autrement"... sa formule pour définir tout ce qu'il entreprend. Bas Smets doit aussi transformer et verdir dans les années à venir le quartier de la Gare centrale à Bruxelles, où il déplore le manque d'avenues arborées."Envisager une réponse au changement climatique est très difficile tellement il semble inévitable. Mon espoir est que les villes agissent toutes en même temps pour créer ces réservoirs écologiques, fait-il valoir."Mais il faut le faire maintenant, pas dans dix ans".
Il y a 2 ans et 250 jours

Journées européennes du patrimoine : au cœur des premières opérations de restauration de Notre-Dame de Paris

À l’occasion de la 39ème édition des Journées européennes du patrimoine, les 17 et 18 septembre 2022, l’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris propose une plongée au cœur des premières opérations de restauration de la cathédrale avec un village du chantier qui se tiendra sur le parvis. Dans le village du chantier, cinq espaces permettront au public de découvrir toutes les étapes des premiers mois de la restauration, en présence des acteurs mobilisés : – espace pilotage (présentation du rôle et du travail de la maîtrise d’ouvrage et de la maîtrise d’œuvre) – espace opérations préparatoires à la restauration (présentation des opérations de dépoussiérage global des intérieurs, de dessalement des voûtes et de curage des réseaux techniques, démonstrations) – espace restaurations intérieures (présentation des opérations de restaurations intérieures, explication des protocoles de restauration des sculptures en pierre, des vitraux, du grand orgue et des peintures murales, démonstrations) – espace restauration de la flèche et du transept (présentation des différentes étapes de la reconstruction de la flèche et du transept, explication de l’approvisionnement en bois et en pierre, de la restitution de la charpente et des maçonneries, démonstrations) – espace fouilles archéologiques (présentation des fouilles archéologiques préventives menées à la croisée du transept et du métier d’archéologue, atelier-découverte) Photo : Journées européennes du patrimoine 2021 – Vue générale du Village des métiers organisé sur le parvis de la cathédrale © Brieuc Clerc / Etablissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris  
Il y a 2 ans et 251 jours

Envisioneer Architecture 16, logiciel de CAO 3D BIM rapide, simple et intuitif de A.Doc dévoilé à Batimat

Un logiciel de conception BIM puissant, facile à maîtriser pour créer tous les projets de constructionDéveloppé par Cadsoft et commercialisé en exclusivité par A.DOC le logiciel de CAO 3D Envisioneer Architecture a été conçu pour répondre aux attentes des architectes, des constructeurs, des maîtres d’œuvre et plus largement de tous les acteurs du bâtiment en s’adaptant à tous les scénarios de projets : le neuf, la rénovation, la réhabilitation.Envisioneer Architecture est un logiciel de modélisation en 3D axé sur la conception facilitée de tout type de projet. Centrée sur le montage d’un modèle unique (en mode BIM), l’information de la maquette 3D est ensuite exploitée par des fonctions avancées rendues disponibles dans un seul et même outil.Ainsi, la présentation virtuelle (visite panoramique, rendu photo ultra réaliste, animations, présentation sur mobile), le dessin précis (plans, coupes et façades), le chiffrage (quantitatif précis et ventilé par lots de chantier, intelligence des ouvrages, communication avec les applications de pièces écrites) deviennent accessibles et forment une solution tout en un très séduisante et performante.Au-delà de sa convivialité, Envisioneer est un logiciel caméléon capable de gérer tous les scénarios de projets : bâtiment neuf, agrandissement, extension, surélévation, rénovation d’un bâti ancien, projet d’aménagement intérieur et de décoration, ... Le logiciel est donc réellement taillé pour réaliser des projets de diverses dimensions et les traiter aux niveaux de détails souhaités par l’utilisateur.En outre; le modèle unique issu du logiciel Envisioneer est automatiquement interprété à l'extérieur en raison de sa compatibilité avec les logiciels d’étude thermique, et ce, afin d’analyser ses performances bioclimatiques et de vérifier sa conformité réglementaire. La gestion d’une maquette 3D unique par Envisioneer permet ainsi de piloter facilement l’étude thermique qui conduit à l’obtention du certificat Bbio, nécessaire pour le dépôt d’un dossier de permis de construire.Dans sa nouvelle version, qu’il s’agisse d’un utilisateur débutant ou expérimenté, Envisioneer Architecture 16 va encore plus loin et révolutionne la manière de dessiner, et ce, sans formation !Une nouvelle version optimisée pour concevoir, dessiner et chiffrer toujours plus facilement et précisémentAvec les nouvelles capacités de la version 16, le logiciel professionnel qui se positionne comme la solution ayant le meilleur rapport qualité/prix du marché progresse encore. En effet, en passant à la version 16, la somme d’améliorations est conséquente. En plus d’une facilité d’utilisation toujours plus poussée, l’interopérabilité du logiciel connaît une avancée spectaculaire et la montée en charge qualitative de la version 16 renforce les nombreux atouts du logiciel Envisioneer.Focalisées sur les moyens de gagner du temps durant le montage des projets, des avancées décisives répondent plus particulièrement à la demande des utilisateurs, tandis qu’une série d’améliorations s’intègrent judicieusement au sein de l’interface et ses fonctions clés. Pour cela, le logiciel intègre des nouveautés majeures pour une conception facilité :Gestion de la charpente plus détaillée et en net progrès.Insertion des pannes et voliges.Nouvelle bibliothèque de végétaux et plantes vertes réalistes en 3D (bibliothèques Xfrog),Nouvelle communication BIM avec une interopérabilité largement accrue.Support et import optimisés des objets 3D de grande taille.Les portes et baies vitrées s’ouvrent dorénavant en grand sur les angles des murs.Les tableaux de nomenclatures des menuiseries sont refondus et reportent un maximum d’informations.Présentation percutante des plans d’avant-projet avec un rendu graphique immédiat et personnalisable (plans avec murs pochés en un clic).Commandes d’édition pour une disposition optimale des objets (aligner/répartir facilement des objets)....
Il y a 2 ans et 257 jours

AEG lance sa gamme d'instruments de mesure laser pour les professionnels

Niveau laser croix vert CLG330-K, avec point d’aplomb et 30 m de portéeKit niveau laser CLG220-K et niveau laser croix vert CLG220-B avec une portée de 20 mNiveau laser croix rouge CLR215-B avec portée à 15 mLes lasers AEG sont destinés aux professionnels du bâtiment tout corps d’état - plaquistes, soliers, menuisiers, charpentiers, carreleurs, cuisinistes, fenêtriers… et répondent à toutes les applications sur les chantiers.Précision et simplicité d’utilisation caractérisent ces instruments de mesure offrant une haute intensité lumineuse quelles que soient leurs portées, un réglage facile et une grande fiabilité.Points communs des différents modèlesPrécis et performants, ils sont pourvus d’un nivellement automatique et d’un avertisseur visuel lorsqu’ils ne sont pas de niveau. Leur bouton de blocage de lignes est idéal pour projeter des lignes en pente (installation d’un escalier, par exemple) et assurer un transport sécurisé.Faciles à utiliser, ils disposent d’un pavé de commande intuitif pour travailler rapidement avec précision.Polyvalents, ils s’installent rapidement sur tout type de support même dans les zones les plus complexes et bénéficient d’une conception antichocs pour des conditions de travail difficiles. Ils sont équipés d’un support aimanté puissant avec molette de réglage et d’un filetage 5/8” et ¼” compatible avec les trépieds standards du marché.Robustes, les niveaux lasers AEG bénéficient de l’indice de protection IP54 pour une haute résistance aux poussières et à l’eau. Leur boîtier est recouvert de protections caoutchouc et plastiques ultra résistantes en cas de choc.Les spécificitésLes niveaux laser CLG330-K, CLG220-K et CLG220-B sont équipés d’un faisceau vert à diodes haute densité d’une portée respective de 30 m et 20 m. Le modèle CLR215-B dispose d’une optique à laser rouge pour une portée de 15 m.Selon le modèle, les lasers AEG présentent différentes fonctions de projections.Niveau laser CLG330-K, polyvalence et longue portée de travail pour une meilleure productivité sur les chantiersLe laser CLG330-K garantit une grande précision grâce à son faisceau vert haute visibilité 4 fois plus intense qu’un laser croix rouge. Les professionnels peuvent l’utiliser à l’intérieur ou à l’extérieur et quelles que soient les conditions de luminosité. Il garantit différents types de projection : ligne horizontale, 2 lignes verticales, lignes transversales et il dispose également d’un point d’aplomb pour projection du sol au plafond.Sa portée de 30 m couvre toutes les applications sur les chantiers avec une précision de +/- 0,02 mm/m.3 modes d’utilisation sont possibles : manuel, auto (horizontal/vertical) et un mode détection pour réaliser simplement tous types de projet.Il est facile d’emploi et très précis avec sa mise à niveau automatique ; la durée d’auto-nivellement est de 3 secondes et sa plage de nivellement de +/- 3°. Un avertissement visuel et sonore se met en marche si le laser n’est pas de niveau.Pratique et très polyvalent, le laser CLG330-K est équipé de pieds pliables en métal avec appuis en caoutchouc pour une bonne stabilité au sol. Autonome, il permet de travailler pendant 6 heures avec 3 piles AA et est livré avec une cible laser qui étend sa portée à 50 m, un support de fixation aimanté avec un filetage 5/8” et 1/4” compatible avec tous les trépieds ainsi qu’une bande velcro pour le fixer sur les surfaces non métalliques.Une version accessoirisée CLG220-B & une version sur-accessoirisée CLG220-K : une offre de choix pour les professionnelsLes 2 modèles projettent une ligne horizontale et verticale simultanément jusqu’à 20 mètres. La couleur verte du laser améliore 4 fois plus la visibilité dans toutes les conditions de luminosité et est idéale pour tous les chantiers.Ils garantissent une précision de 0,04 mm/m, ceci grâce à une technologie de laser vert très puissante, un bouton de blocage des lignes et une plage de nivellement de +/- 3°. Rapide, le nivellement automatique des lasers croix vert AEG CLG220-K et CLG220-B se fait en moins de 3 secondes accélérant ainsi considérablement la productivité de travail des professionnels. L’utilisateur est averti par un signal visuel lorsqu’il est hors de la plage de calage automatique. Un support mural magnétique rotatif robuste assure une utilisation sur des surfaces métalliques et peut être fixé à toute autre surface à travers un trou d’accrochage. Ils disposent également d’un filetage 5/8” et 1/4” pour un montage sur trépied.Le kit laser CLG220-K est équipé en plus d’une pince de fixation aimantée ainsi que d’une cible laser vert pour améliorer la visibilité du faisceau laser sur de longues distances.D’une grande autonomie, ces 2 lasers permettent de travailler pendant 15 heures avec 2 piles AA.Niveau laser croix rouge CLR215-B, avec portée à 15 mètresIl projette 2 lignes indépendantes avec fonctions horizontale, verticale, ligne en croix jusqu’à 15 mètres ; avec cette portée, il facilite les mesures de moyenne distance et devient l’outil de mesure idéal pour tous les travaux de pose de carrelage, de lambris, d’étagères…Un interrupteur marche/arrêt avec verrouillage pendulaire garantit un transport sécurisé.Un support mural magnétique rotatif robuste permet une utilisation sur des surfaces métalliques et une fixation à toute autre surface grâce à un trou d’accrochage. Pratique, le filetage 5/8” et 1/4” assure un montage sur tous les trépieds standards.Les lignes clignotent lorsque le laser est hors niveau afin de garantir un alignement parfait avec une précision jusqu’à +/- 0,3 mm/m.Côté praticité, polyvalence et robustesse, le niveau laser croix rouge présente les mêmes caractéristiques que les autres modèles de la gamme.Autonome, il fonctionne jusqu’à 10 heures avec 2 piles AA.
Il y a 2 ans et 265 jours

Le Conservatoire Botanique National de Brest inaugure ses nouveaux bâtiments

Son objet est la connaissance et la préservation du patrimoine végétal sur les régions Bretagne, Pays de la Loire et Normandie ainsi que dans le cadre de partenariats internationaux. Il compte une quarantaine de salariés. Situé dans le Vallon du Stang Alar à Brest, le Conservatoire dispose de biens et moyens mis statutairement à sa disposition par la métropole (locaux, terrains, jardiniers...) pour exercer ses compétences. 400.000 visiteurs par an Les nouveaux bâtiments administratifs, scientifiques et techniques ont été réalisés pour offrir une nouvelle plateforme technique à la hauteur des enjeux (banque de semence, banque de données, centre de documentation, herbier, espaces de réunion...). Ils sont plus rationnels et respectueux des règles environnementales que les anciennes infrastructures devenues vétustes. Ces locaux sont aussi conçus pour être communicants, plus visibles et visitables. Ils s’insèrent dans un jardin botanique dédié, offrant un tour du monde végétal de 30 hectares. Ce site exceptionnel est labellisé Jardin remarquable, Jardin botanique de France et Conservatoire des collections végétales spécialisées. Il est visité chaque année par près de 400.000 personnes. Des bâtiments économes, fonctionnels et respectueux de l'environnementLe groupement de l’atelier Philippe Madec, d’Ingerop Conseil et Ingénierie et d’Horizons paysage a été choisi pour la réalisation des nouveaux bâtiments. Dans ce renouveau architectural, les différents pôles fonctionnels sont répartis dans trois volumes compacts, liés par la serre dont les espaces libres auront vocation à devenir le lieu de rencontres, d’échanges et de détente. Les bâtiments sont de faible hauteur, constitués d’un étage sur rez-de-chaussée. Leur toiture de même pente que la serre contribue à l’unité du lieu. La diversité des lieux mis en place dans les espaces libres de la serre, végétalisés et très lumineux, dans les interstices entre les bâtiments, offre des usages variés d’accueil et de circulation. Les bureaux et laboratoires du Conservatoire ont reçu une attention toute particulière, afin de favoriser l’efficacité et le confort de travail, via des espaces vitrés bénéficiant d’une lumière naturelle. Le choix de la serre traduit une volonté d’intégrer l’aménagement du bâtiment au parc, d’évoquer à travers sa structure les activités du Conservatoire et de structurer l’espace afin d’améliorer sa lisibilité.Cette réalisation répond également à l’engagement de Brest métropole en faveur de l’environnement et de la biodiversité. Le choix des matériaux, l’efficacité énergétique ainsi que la création d’un environnement intérieur sain et confortable sont des critères importants de sélection de ce projet. La conception bioclimatique, une utilisation raisonnée du soleil et des façades à haute performance thermique permettent une insertion en douceur des bâtiments dans le jardin du Conservatoire. Véritable vitrine de la biodiversité de la région, le Conservatoire est donc doté d’un bâtiment dont les matériaux garantissent un impact réduit sur l’environnement. Ces choix (les bois utilisés en charpente et en bardage, la paille comme matériau d’isolation principal, la mise en place de toitures végétalisées et d’un système de récupération des eaux de toiture pour le lavage des véhicules) permettent l’économie de ressources naturelles et le soutien aux filières locales. Le montant de l’opération est de 7 M€ TTC, soit : Brest métropole : 2.9 M€ Etat : 981.000 € Région Bretagne au titre du contrat Pays de Brest : 1.6 M€ Région Bretagne au titre du contrat métropolitain : 900.000 € Conseil Départemental du Finistère : 530.000 € Le Conservatoire Botanique National de Brest – des missions de service public et en expertise reconnue aux échelles régionale, nationale et internationale Le Conservatoire botanique national de Brest assure une mission de service public reconnue par le Code de l’environnement. Cette mission s’exerce en premier lieu sur les régions Bretagne, Normandie et Pays de la Loire où il travaille en étroite collaboration avec les collectivités territoriales, les services de l’État, les gestionnaires d’espaces naturels, les réseaux d’éducation ou encore les organisations internationales, pour mener à bien ses quatre missions, inscrites au code de l'Environnement : Connaître le patrimoine végétal sauvage : étudier les plantes sauvages et les milieux naturels, mesurer leur état de conservation et leur évolution Diffuser des données et informations sur les plantes et les milieux naturels Conserver les éléments les plus rares et les plus menacés en nature, en culture ou en banque de graines Conseiller les acteurs des territoires : fournir des expertises scientifiques et techniquesSensibiliser, informer et former les habitants, les scolaires, les botanistes et les professionnels à la préservation de la biodiversité. En second lieu, le Conservatoire Botanique National contribue aux expertises nationales développées par les 12 Conservatoires botaniques nationaux en lien étroit avec l’Office Français de la Biodiversité et le ministère de l’Ecologie. En troisième lieu, il mène des expertises au niveau international, en priorité dans les hauts lieux de biodiversité (Maurice, Madagascar, Chili, Sicile…) pour accompagner le développement de compétences et de structures au plus près des enjeux de conservation. Le syndicat mixte du CBNB est composé de quatre membres : Brest métropole, le Conseil Régional de Bretagne, le Conseil Départemental du Finistère et l’Université de Bretagne Occidentale. Depuis sa création, en 1975, le Conservatoire botanique a vu ses missions et compétences se renforcer. Il abrite aussi la troisième collection mondiale d’espèces végétales en voie de disparition et rayonne au niveau national et international. Il compte une quarantaines de salariés spécialisés. Si le rôle du Conservatoire botanique est aujourd’hui déjà incontournable sur l’ensemble des questions liées au patrimoine végétal, la période qui s’ouvre devrait asseoir son rôle structurant et accélérer le développement de son activité à l’aune de différents facteurs :L’aggravation des problématiques de préservation de la biodiversitéLa prise en charge du pilotage d’un réseau d’expertise à ancrage régional et inter-régionalL’exigence d’accompagnement des politiques publiques de la biodiversitéLa contractualisation des missions et la nécessité de nombreux partenariatsL’internationalisation des enjeux et le développement des échanges de coopérationL’importance croissante de la communication environnementale et de la pédagogie de l’actionL’inscription du projet dans une logique de polarisation des compétences biodiversité de la Métropole de Brest en prolongement d’Océanopolis, parc de découverte des océans, Centre de Culture Scientifique, Technique et Industrielle de la merLa contribution de plus en plus forte aux réseaux régionaux de diffusion de la connaissance dans le domaine de la biodiversité
Il y a 2 ans et 273 jours

À 200 ans, la nouvelle jeunesse du canal de l'Ourcq

Voulu par Napoléon pour améliorer l'approvisionnement en eau potable de la capitale, puis devenu un axe majeur de la transformation industrielle et du transport de bois et charbon pour le marché parisien, le canal de 108 kilomètres inauguré en 1822 atteint cette année son bicentenaire.Sinistré par la désindustrialisation de l'Île-de-France, cet espace autrefois inhospitalier s'intègre à la ville depuis une vingtaine d'années pour devenir, pour la première fois de son histoire, un authentique lieu de vie pour les habitants. Une mue particulièrement visible du côté du XIXe arrondissement de Paris et de la commune voisine de Pantin, en Seine-Saint-Denis.Assis à l'ombre des Magasins Généraux de Pantin, des entrepôts de stockage de denrées coloniales reconvertis en siège d'une agence de publicité, Dolores et Miguel Julia savourent avec oisiveté le passage de péniches chargées de sable ou de gravats. Casquette sur la tête, ils suivent du regard les familles avec poussette qui prennent l'air, observent les cyclistes et joggeurs faisant de l'exercice.Bien que Pantinois depuis les années 1960, ce couple de retraités n'a découvert les plaisirs du canal de l'Ourcq qu'à la faveur de l'apparition du quartier flambant neuf qui a récemment remplacé de vieilles structures industrielles. Ils arpentent désormais deux fois par jour, en habitués, la nouvelle promenade aménagée au port de Pantin."C'est notre promenade des Anglais!", s'amuse Dolores, ex-rayonniste en pharmacie de 82 ans. "Avant on ne pouvait pas venir ici. C'était de la terre, il n'y avait pas de pavés".Avec sa fraîcheur et ses arbres dans cette zone urbanisée à l'extrême, ses péniches culturelles, ses nouveaux immeubles à l'architecture soignée dont les bobos parisiens s'arrachent les appartements, le canal de l'Ourcq est devenu la vitrine de Pantin, ville qui reste par ailleurs profondément populaire.Ancien no man's landL'emblématique minoterie des Grands Moulins, aux faux airs médiévaux, s'est transformée en bureaux, abritant des services de la banque BNP Paribas. Une fabrique de meubles du début du XXe siècle a été réaménagée en logements, un théâtre a pris ses quartiers dans un hangar en briques de la rive nord."Quand j'ai été élu en 2001, la ville tournait le dos au canal. C'était plutôt vécu comme une fracture. Nous avons retourné la ville vers le canal", témoigne auprès de l'AFP Bertrand Kern, le maire (PS) de Pantin. "Vous seriez venu un samedi il y a vingt ans sur les quais du canal, il n'y avait pas grand monde. Aujourd'hui ça se bouscule tellement que je suis obligé de faire des aménagements entre vélos et piétons."Les allures parfois hétéroclites des abords du canal montrent toutefois que sa transition reste encore à conclure. Ici une blanchisserie industrielle répand sur les quais une puissante odeur de linge propre, là opère une centrale à béton. Sous la passerelle du tramway T3, un camp de migrants est apparu ces derniers jours.Plus en aval, une fois le canal passé sous les voies du boulevard périphérique, le même processus de transformation urbaine s'observe dans le XIXe arrondissement de Paris.Les pique-niqueurs des pelouses de la Villette savent-ils qu'ils se tiennent à l'emplacement de l'ancienne "cité du sang" ? Jusqu'à sa reconversion en parc dans les années 1980, le lieu a accueilli pendant un siècle les immenses marchés aux bestiaux et abattoirs qui fournissaient Paris en viande fraîche.Au pont levant de la rue de Crimée, des petits bateaux de tourisme attendent de pouvoir passer. Des jeunes fument des joints en écoutant du rap, des couples dansent du tango sur une piste installée pour l'opération "Paris Plages".La renaissance du canal de l'Ourcq, le maire socialiste du XIXe, François Dagnaud, la date pour son arrondissement au mitan des années 1990 et au "pari" de la chaîne de cinémas MK2 d'ouvrir une salle dans un ancien hangar conçu par Gustave Eiffel, au milieu de ce qui était alors un "no man's land"."On était en pleine période où le crack était déjà présent, relate-t-il à l'AFP. Dans un quartier en perdition, marginalisé, pas du tout fréquenté par les habitants, ça a été l'amorce d'une mutation urbaine, culturelle et sociale."
Il y a 2 ans et 297 jours

Que devriez-vous savoir à propos de la pose de maison en bois ?

Dans le secteur de la construction de maison, l’on remarque de plus en plus que de nombreuses personnes font l’option de la pose de maison en bois. Quelles que soient les raisons des uns et des autres pour ce choix, il est important d’avoir des informations nécessaires sur ce style de construction. Que doit-on savoir sur la pose de maison en bois ? Le coût de la maison en bois Pour connaître le prix d’une maison en bois, il faut d’abord déterminer le type de maison en bois que vous désirez poser et l’envergure de votre projet de pose. Sachez qu’il y a plusieurs types de maisons en bois à savoir : les maisons à ossature bois (MOB) ; les maisons à poteau et poutres en bois ; les maisons en bois massif empilé ; les maisons en rondins de bois ; les maisons à panneaux massifs. Ainsi, le prix d’une maison en bois est fixé par mètre carré et varie en moyenne entre 600 euros à 2200 euros par mètre carré selon le modèle. Toutefois, il peut varier selon la technique de construction utilisée et les professionnels engagés pour les travaux. Les étapes de la pose de la maison en bois Avant d’installer les fondations de votre maison en bois qui constituent le gros œuvre, il faut au préalable que votre constructeur fasse fabriquer tous les pans des fondations dans un atelier approprié à travers les plans de l’ossature qu’il aura envoyé. Une fois que les fondations sont installées, les murs et la charpente sont montés avant l’installation du bardage au niveau des murs extérieurs et du toit. Après cette étape, on procède à l’isolation par l’intérieur ou par l’extérieur de la maison en bois selon vos besoins pour ensuite entamer le second œuvre. Le second œuvre concerne la menuiserie, les réseaux électriques, la plomberie, le revêtement des murs et des sols, la ventilation et le chauffage. Ce n’est qu’après tous ces travaux que vous pourriez décorer votre maison en bois et y emménager. Les atouts et inconvénients de la maison en bois Comme avantages, sachez que la maison en bois est faite de matériau sain et naturel avec un temps de construction réduit de moitié par rapport à une construction classique. Le bois est un matériau d’isolation thermique et phonique par excellence six fois supérieur à la brique. Il est durable dans le temps et très écologique avec une faible consommation d’énergie au cours de sa production. Il absorbe l’humidité et permet de faire des économies d’énergie. L’un des inconvénients de la maison en bois est le traitement à base de produits chimiques fait directement dans le bois afin de le protéger des parasites et insectes malgré la réduction de leur toxicité à travers des techniques bien précises. L’autre inconvénient est la flambée des prix de certaines maisons en bois positionnées sur le marché comme produit de luxe. La pose d’une maison en bois est un choix qui nécessite la connaissance du type de maison souhaitée, de l’essence de bois à choisir, du coût de la maison choisie et des avantages et inconvénients d’une telle construction.
Il y a 2 ans et 302 jours

Ce qu’il faut savoir avant d’acheter une charpente en bois en kit

Vous envisagez d’acheter une charpente en bois en kit ? Notez que ce choix peut vous offrir différents avantages. Il suffit de bien choisir le modèle dont vous avez besoin. Vous obtiendrez ainsi une construction solide répondant parfaitement à vos attentes. Vous pouvez aussi confier l’intervention à un spécialiste en charpente de maison. C’est quoi une charpente en bois en kit ? Généralement coupée par le constructeur, une charpente en bois en kit affiche de bonnes mesures pour couvrir votre habitation. Vous pouvez tomber sur un modèle doté de différents éléments réassemblés. De nombreuses essences de bois peuvent être proposées sur le marché. Vous pouvez par exemple opter pour l’épicéa ainsi que le pin sylvestre. N’oubliez pas de solliciter un couvreur charpente pour vous aider à réaliser les travaux dont vous avez besoin. Il faut noter que l’opération peut prendre moins de temps que prévu surtout si vous contactez un spécialiste. Les principaux points à retenir Votre charpente est normalement offerte avec un dossier de montage, mais aussi les accessoires qu’il faut. Vous n’aurez aucune rectification à réaliser pour assurer la réalisation de votre toiture. Cela est dû au fait que le fabricant réalise les découpages convenables en usine. Il faut noter que des techniciens qualifiés s’occupent de tout pour faciliter la pose de votre revêtement. Il suffit de ce fait de contacter un professionnel comme cet artisan couvreur charpentier en Bas de Rhin sur ce site : https://www.couvreur-charpentier-67.fr/  pour réaliser les travaux comme il se doit. Vous êtes libre de choisir le modèle dont vous avez besoin avec l’aide du spécialiste que vous choisirez. Un kit de charpente en bois pour couvrir votre garage N’oubliez pas qu’un kit de charpente en bois ne se pose pas uniquement sur le toit de votre maison. Vous avez aussi la possibilité de faire ce choix pour couvrir d’autre construction. Cela est par exemple le cas pour le toit de votre garage qui doit être assez solide et résistant. Ce type de réalisation se fait en principe avec 1 ou 2 pentes. Vous pouvez en choisir en plus pour ces dernières pour profiter d’une meilleure qualité pour la charpente. Les principaux points forts de ce type de kit Le choix d’un kit de charpente en bois offre des avantages considérables. Le matériau peut en premier lieu améliorer l’esthétisme de votre habitation. Vous pouvez par exemple ajouter une décoration avec des poutres apparentes. Il suffit d’avoir les bonnes connaissances pour réaliser les travaux comme il se doit. D’ailleurs, l’opération de pose de la réalisation ne prend pas beaucoup de temps. Il ne faut pas non plus négliger la durée de vie de votre construction qui peut aller jusqu’à 50 ans. Il suffit de trouver un modèle qualifié FCBA et proposé avec le marquage CE. Combien coûte un kit de charpente en bois ? Vous devez savoir qu’un kit de charpente en bois ne coûte pas une fortune. Il suffit de préparer le budget essentiel pour obtenir le modèle dont vous avez besoin. Une couverture avec une seule pente peut par contre coûter 135 €/m² contre 150 €/m² si vous en avez deux. Une commande pour kiosque peut toutefois atteindre 320 €/m². Cela implique que vous devez prendre le temps de bien choisir le style que vous voulez adopter pour votre habitation. Tout peut toutefois dépendre du produit que vous voulez adopter en prenant en compte l’essence utilisée ainsi que le style que vous voulez adopter. La dimension de votre charpente est aussi à prendre en compte pour la préparation de votre budget.
Il y a 2 ans et 298 jours

Dossier détails : charpentes triangulées

    Si les charpentes triangulées se définissent traditionnellement par la figure élémentaire du toit à deux pentes, en opposition aux couvertures plates, cet archétype se décline dans de nombreuses combinaisons. Les fermes ne se décomposent plus seulement en arbalétriers, poinçon et entrait. L'angle des versants […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 301 jours

Le recul d’activité dans les matériaux se modère en mai

La flambée des coûts de l’énergie, rajoutée aux tensions sur l’offre déjà attisées par le rebond d’activité post COVID, a eu pour conséquence de faire bondir les coûts de production dans le bâtiment et les travaux publics. Même si les carnets demeurent bien remplis, plus dans le gros œuvre que dans les TP d’ailleurs, les chantiers peinent à se réaliser, faute de facteurs de production disponibles côté entrepreneurs et/ou faute de financements suffisants côté clients, qu’ils soient publics ou privés. Cette complexité à boucler l’équation coûts-prix-devis pèse sur la demande de matériaux qui pourrait au final afficher un repli en 2022, prolongeant ainsi la tendance observée au cours des trois derniers mois sur le marché du granulat et du BPE. Mai, meilleur qu'avril, mais moins bon qu'en 2021 Selon les résultats encore provisoires pour le mois de mai, la production de matériaux se serait redressée par rapport à avril, un mois marqué par un repli sensible de l’activité. Ainsi, la production de granulats aurait augmenté de +1,6% mais demeure en retrait de -4% par rapport à celle de mai 2021 (données CVS-CJO). Sur les trois derniers mois connus, l’activité des granulats observe un repli de -4,9% comparé aux trois mois précédents et de -4,6% au regard de la même période d’il y a un an. En cumul sur les cinq mois de l’année, la tendance s’inscrit sur une pente négative de -1,5%, soit un rythme un peu moins élevé que celui de la tendance calculée sur les douze derniers mois (-1,8%). Du côté du BPE, les livraisons de mai ont également grimpé par rapport à avril (+3,1%) mais s’affichent en deçà de celles de mai 2021 (-2%). Au cours du trimestre mars-avril-mai, les volumes de BPE livrés ont cédé -3,8% par rapport aux trois mois précédents et -5,4% par rapport au même trimestre de l’année 2021. En cumul sur les douze derniers mois, l’activité du béton se replie désormais de -3,2% sur un an, tandis que sur les cinq premiers mois de l’année, le recul atteint -1,8%. L'indicateur matériaux de l'UNICEM connaît lui aussi un fléchissement en mai plus modéré qu’en avril, avec, respectivement, un recul de -2,7% contre -8,7% sur un an (données CJO). Après un premier trimestre en hausse de +1,4% en glissement annuel, l’activité du panier de matériaux de l'UNICEM se contracte désormais de -1,6% sur un an pour les cinq premiers mois de l’année, seul le segment des tuiles et briques demeurant haussier sur la période, sans doute porté par la dynamique constructive de la maison individuelle. Chiffres clés Perspectives 2020/2021 (production) Granulats : - 4% BPE : - 3% Bâtiment et TP : Tensions sur l'offre et les coûts Interrogés en juin par l’INSEE, les professionnels du bâtiment se sont montrés un peu moins optimistes sur leur activité future mais leur opinion sur l’activité passée s’est à nouveau améliorée, maintenant ainsi l’indicateur du climat des affaires à haut niveau. Les carnets de commandes se situent toujours à un point historiquement élevé dans le gros œuvre (9,8 mois) et le ressenti des professionnels quant à ces carnets demeure très favorable et largement au-dessus de la moyenne de long terme, ce qui écarte l’hypothèse de carnets artificiellement gonflés par des retards et difficultés de réalisation des chantiers. Pour autant, ces dernières restent prégnantes et près de la moitié des entreprises de gros œuvre (48,6%) sont encore dans l’incapacité d’accroître leur production (une part en léger repli par rapport au mois de mai à 57,4%) tandis que 72% d’entre elles sont confrontées à des obstacles qui limitent leur activité (personnel, approvisionnement...). On notera toutefois que la part des entreprises du bâtiment faisant face à des difficultés d’offre se stabilise en juin, voire se modère, à l’inverse de celles faisant face à des difficultés de demande dont la part, après avoir atteint un point bas, tend à se redresser. Il faut peut-être y voir les premiers signes des effets du renchérissement du coût des chantiers et des difficultés à conclure le démarrage de travaux. L’inflexion récente des mises en chantier de logements pourrait confirmer cette assertion. En effet, sur les trois derniers mois allant de mars à mai, les logements commencés ont stagné par rapport aux trois mois précédents, déjà en recul (CVS-CJO), laissant la tendance à -5% sur un an. C’est le segment du collectif qui marque le plus le pas (-16% sur le trimestre) tandis que, du côté de l’individuel, la dynamique reste enclenchée (+12%). Au total, à fin mai et en cumul sur un an, un peu plus de 388.000 logements ont été commencés, soit +0,5% en glissement annuel. En revanche, la vigueur des permis ne se dément pas même si depuis avril le flux se modère nettement : en effet, l’anticipation de la RE2020 a généré une abondance de dépôts fin 2021 qui, compte tenu des délais d’instruction (d’environ trois mois pour l’individuel) a boosté les autorisations au premier trimestre. A fin mai, 502.800 logements étaient autorisés sur un an (dont 46% en collectifs), soit +16,4% par rapport à l’année précédente. Mais sur les trois derniers mois (mars à mai), le rythme fléchit sensiblement sur l’individuel par effet de contrecoup (-11,9% par rapport au trimestre précédent) à la différence du collectif encore soutenu (+16,6%). Ce stock de permis, qui préfigure les futurs chantiers, devrait alimenter la demande de matériaux au moins sur 2022-début 2023 sauf si les pesanteurs actuelles continuent de limiter l’ouverture des travaux et d’en freiner les délais de réalisation. Côté non résidentiel, le rebond des permis et mises en chantier reste quant à lui bien engagé et constitue un facteur de soutien plutôt encourageant. Avec 27 millions de m2 de locaux commencés à fin mai sur un an (+8,3%), le rythme de progression s’est accéléré sur les trois derniers mois (+20,2%), permettant de renouer avec les niveaux d’avant la pandémie. Quant aux surfaces autorisées, elles s’inscrivent sur une tendance de +10% sur les trois derniers mois, les ouvrages commerciaux (+66,7%), industriels (+32,1%) ou encore les bureaux (+22,4%) affichant les plus fortes accélérations. Le tableau apparaît un peu plus sombre côté travaux publics où l’activité a également connu un freinage depuis mars. En dépit d’un mois de mai mieux orienté, les travaux réalisés en cumul depuis janvier se stabilisent sur un an en valeur mais ressortent en repli de -8,6% en volume. De même, les prises de commandes, bien qu’en hausse de +4,6% en valeur sur la même période, basculent en baisse de -4,8% en volume, une fois corrigées de l’inflation des coûts (par l’indice TP01). Alors que les conditions étaient réunies pour un réveil des carnets (cycle électoral, Plan de relance...), l’atonie de la commande publique éloigne encore la perspective de redémarrage des travaux. Perspectives matériaux 2022 Dans le bâtiment comme dans les TP, les contraintes d’offre, l’inflation des coûts, des prix et des devis pèsent donc sur le volume des chantiers en cours ou à réaliser ce d’autant que le stock de commandes peine à s’étoffer, comme pour les travaux publics. Ce faisant, l’ajustement de la demande de matériaux devrait être plus marqué côté granulats que BPE : initialement attendue autour de +1% en 2022, l’activité des granulats pourrait se replier de - 4% tandis que les volumes de BPE, qui devaient se stabiliser à leur haut niveau de 2021, enregistreraient un recul de -3%.
Il y a 2 ans et 305 jours

Christophe Possémé, élu président du CCCA-BTP

Christophe Possémé est président de l’entreprise Le Bâtiment Associé à Muizon (51), qui compte 155 collaborateurs : maçonnerie, taille de pierre, charpente, ossature bois, restauration du patrimoine, travaux de déplombage et désamiantage, travaux publics.Après un CQP (certificat de qualification professionnelle) de briqueteur et un baccalauréat professionnel Construction bâtiment gros œuvre, Christophe Possémé a obtenu un diplôme de chef d’équipe gros œuvre puis un DUT (diplôme universitaire de technologie) de Conducteur de travaux. Il a également suivi le cycle de direction d’entreprise de l’Aproba et il est titulaire du certificat supérieur Développement durable et Qualité environnementale de l’IFRB. Après plusieurs années passées dans différentes entreprises du bâtiment, Christophe Possémé a rejoint en 2000 l’entreprise Le Bâtiment Associé en qualité de conducteur de travaux. Directeur de travaux de 2005 à 2009, puis directeur général adjoint de 2009 à 2010, il est depuis 2011 le président de l’entreprise.Son engagement professionnelChristophe Possémé a été président du NF DTU 20.1 Ouvrages en maçonnerie de petits éléments - Parois et murs de 2010 à 2013 et président de Constructys Champagne-Ardenne de 2011 à 2013.Il a également été vice-président de 2013 à 2019 de l’UMGO-FFB**, dont il est aujourd’hui le président. Depuis 2020, Christophe Possémé est membre du comité exécutif de la FFB (Fédération française du bâtiment) et président de la commission marché de la FFB. Un engagement de longue date dans la formation professionnelle aux métiers du BTPChristophe Possémé est de longue date investi dans la formation professionnelle aux métiers de son entreprise, notamment des jeunes par la voie de l’apprentissage. À ce titre, Le Bâtiment Associé, qui forme chaque année une vingtaine d’alternants et dont la formation et la montée en compétence permanente des salariés constitue une valeur forte de l’entreprise, a reçu en 2021 le Trophée de l’alternance.Le conseil d’administration du CCCA-BTP du 5 juillet 2022 a également élu :Éric Routier (FNCB-CFDT), vice-président,Ludovick Lefebvre (FNSCBA-CGT), trésorierLaure Vial (CAPEB), secrétairePour Christophe Possémé, président du CCCA-BTP : « Dans un environnement où les mutations sont désormais permanentes et s’accélèrent, les entreprises de nos secteurs du BTP doivent relever de nombreux et forts enjeux, qu’il s’agisse de performance environnementale, de transitions écologique, technologique et numérique, mais aussi de compétences professionnelles. Il est ainsi plus que jamais essentiel de former des jeunes à nos métiers, mais aussi d’assurer la montée en compétences des salariés de notre secteur. C’est le cœur de la mission du CCCA-BTP que j’ai désormais l’honneur de présider.Avec l’ensemble de notre conseil d’administration à gouvernance paritaire, pleinement mobilisé et déterminé pour relever ces défis d’avenir, je m’attacherai à porter, promouvoir et déployer une politique volontariste et innovante de formation professionnelle, en particulier par la voie de l’apprentissage. C’est le rôle du CCCA-BTP et ce que les partenaires sociaux du BTP attendent de nous, en déclinaison de leurs orientations. C’est d’ailleurs tout le sens de l’offre de services que le CCCA-BTP propose à l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP. En cette année anniversaire pour le CCCA-BTP, qui fête ses 80 ans, notre action doit permettre d’être toujours aux avant-postes des défis d’avenir que nous devons relever. Cela passe par l’anticipation et l’innovation, qui sont des marqueurs singuliers des initiatives que nous prenons et des projets que nous menons. Ma volonté est d’agir de façon transversale avec l’ensemble des acteurs de notre environnement, pour impulser et conduire des projets ambitieux et à fort impact, pour garantir la performance de notre activité et une haute qualité pédagogique dans la formation professionnelle à nos métiers du BTP. »* Le CCCA-BTP, outil des branches du bâtiment et des travaux publics à gouvernance paritaire, est dirigé à la fois par les fédérations professionnelles d’employeurs (CAPEB, FFB, Fédération des SCOP du BTP et FNTP) et les organisations syndicales de salariés (BATI-MAT-TP CFTC, CFE-CGC BTP, FNSCBA-CGT, FGFO Construction et FNCB-CFDT).** UMGO-FFB : Union de la maçonnerie et du gros œuvre - Fédération française du bâtiment.
Il y a 2 ans et 307 jours

Lundi 18 juillet : 3ème journée de repos, culturelle et aqualudique

La montée et la descente des Alpes pendant cette deuxième semaine n’auront épargné aucun des concurrents. Cette troisième journée de repos à Carcassonne (Aude) offre le loisir aux coureurs et à la caravane d’une pause bien méritée sur les bords de l’Aude, là où les pentes ne sont ni longues, ni raides et où l’architecture […] L’article Lundi 18 juillet : 3ème journée de repos, culturelle et aqualudique est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 310 jours

Vienne : Réhabilitation ambitieuse menée par Spie Batignolles Grand Ouest

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Spie Batignolles Grand Ouest opère une rénovation ambitieuse mêlant performance et économie circulaire. [©Spie Batignolles] Spie Batignolles Grand Ouest est en charge de la réhabilitation de la résidence Schuman, à Poitiers. Le chantier constitue la première transformation avant une requalification globale du quartier des Couronneries. Et ce, pour créer un nouvel ensemble plus durable, attractif en faveur de la mixité. L’immeuble Schuman en R+4 dispose d’une architecture typique des années 1970. Il est doté de 85 appartements, et 40 bureaux et locaux commerciaux. La réhabilitation permettra de totaliser 97 appartements et 21 locaux commerciaux (au rez-de-chaussée). Le chantier vise une performance BBC Rénovation. L’économie circulaire est un marqueur fort sur ce programme. Ainsi, les équipes Spie Batignolles ont proposé la récupération de différents éléments durant les phases de démolition des cages d’escalier. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Nouvelle-Aquitaine A l’image de granulats récupérés, envoyés en carrière pour être concassés et réinjectés dans la formulation de nouveaux bétons. Près de 34 t de matériaux ont été identifiées pour être réemployées dans le cadre de cette rénovation. D’autres innovations ont été choisies par l’entreprise de BTP. A l’image du lean pour optimiser le planning de ce chantier. Ou encore la maquette BIM. Enfin, pour la création d’ancrage en béton pour supporter les charges de la charpente, Spie Batignolles a opté pour l’impression 3D. Les 160 coffrages en béton seront imprimés depuis le parc matériel de Spie Batignolles, à Ollainville (91) où le groupe possède sa propre tête d’impression. La livraison du chantier est prévue à la fin mai 2023. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 311 jours

EUROBOIS 2022 : une édition réussie

L’ensemble des exposants et partenaires sont unanimes vis-à-vis de la dynamique de cette édition d’Eurobois. L’affluence le confirme avec 22 883 professionnels présents durant les 4 jours et l’augmentation de la part du visitorat national entre 2020 et 2022, qui représentait 50% cette année, en hausse de 5 points par rapport à 2020. Les visiteurs étaient majoritairement composés de porteurs de projets, acheteurs et décideurs, venus visiter le salon avec des objectifs concrets (lancement de nouvelles activités, investissements en équipements, recherches de partenaires…). Le Top 5 des activités visiteurs les plus représentées sur le salon sont : la décoration et de l’agencement intérieur, la menuiserie, la charpente, la scierie – l’affûtage – le séchage et enfin les fabricants de matériel et machines diverses. Dans un contexte de forte croissance liée aux nouvelles réglementations et au soutien des pouvoirs publics, la filière bois peine à recruter. Et même si la situation tend à s’améliorer (+2% de recrutements depuis 2 ans), les efforts doivent être maintenus. Alors que plus de 70 000 projets de recrutement sont prévus à l’échelle nationale cette année, le campus Eurobois soulignait l’engagement du salon aux côtés des professionnels. Plus de 100 offres d’emploi ont ainsi été proposées sur le Mur de l’Emploi, dans différentes spécialisations et 15 organismes de formation étaient présents sur le Campus Eurobois pour présenter leurs formations initiales et continues : Centre de Formation Forestière (Saugues) Centre de formation professionnelle du Pays des Bleuets CFPF DE CHATEAUNEUF DU RHONE – Centre de Formation Forestière de Châteauneuf du Rhône CFPPA REINACH FORMATIONS (Savoie) Compagnons du devoir L’Ecole Technique du Bois (01) ENSTIB (Lorraine) EPLEFPA Roanne Chervé, Site du Lycée Nature et Forêt ESB (Nantes) FIBOIS (Lyon) FORMABOIS (Québec) GRETA CFA Lyon métropole Institut des Métiers Lycée Claude Mercier (03) Master Sciences du Bois Faculté des Sciences – Université de Montpellier … Pôle Emploi était également présent sur 2 journées afin d’informer les visiteurs sur les offres d’emploi disponibles dans la filière En plus des animations historiques du salon, comme l’atelier de Fabrication de Panneaux MOB, le Plateau Batijournal TV ou encore les nombreuses démos sur le salon, de nouvelles animations sont venues enrichir cette édition 2022. Eurobois donne dès à présent rendez-vous du 6 au 9 février 2024 pour sa prochaine édition.
Il y a 2 ans et 312 jours

Christophe Possémé, nouveau président du CCCA-BTP

Christophe Possémé, 45 ans, a été élu président du CCCA-BTP (Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics), lors du conseil d’administration du 5 juillet 2022, pour un mandat de trois ans. Il succède à Éric Routier, qui présidait l’association à gouvernance paritaire depuis 2019. Christophe Possémé est président de l’entreprise Le Bâtiment Associé à Muizon (51), qui compte 155 collaborateurs : maçonnerie, taille de pierre, charpente, ossature bois, restauration du patrimoine, travaux de déplombage et désamiantage, travaux publics. Après un CQP (certificat de qualification professionnelle) de briqueteur et un baccalauréat professionnel Construction bâtiment gros œuvre, Christophe Possémé a obtenu un diplôme de chef d’équipe gros œuvre puis un DUT (diplôme universitaire de technologie) de Conducteur de travaux. Il a également suivi le cycle de direction d’entreprise de l’Aproba et il est titulaire du certificat supérieur Développement durable et Qualité environnementale de l’IFRB. Après plusieurs années passées dans différentes entreprises du bâtiment, Christophe Possémé a rejoint en 2000 l’entreprise Le Bâtiment Associé en qualité de conducteur de travaux. Directeur de travaux de 2005 à 2009, puis directeur général adjoint de 2009 à 2010, il est depuis 2011 le président de l’entreprise. Christophe Possémé est de longue date investi dans la formation professionnelle aux métiers de son entreprise, notamment des jeunes par la voie de l’apprentissage. À ce titre, Le Bâtiment Associé, qui forme chaque année une vingtaine d’alternants et dont la formation et la montée en compétence permanente des salariés constitue une valeur forte de l’entreprise, a reçu en 2021 le Trophée de l’alternance. Le conseil d’administration du CCCA-BTP du 5 juillet 2022 a également élu : Éric Routier (FNCB-CFDT), vice-président, Ludovick Lefebvre (FNSCBA-CGT), trésorier Laure Vial (CAPEB), secrétaire
Il y a 2 ans et 312 jours

ONDULINE® FLEXOUTUILE – Le système de sous-toiture qui permet la réutilisation des anciennes tuiles et garantit l’étanchéité des toitures en tuiles même après de grosses intempéries

En France, la plupart des toitures sont recouvertes de tuiles différentes en fonction des régions (tuiles canal, tuiles plates ou mécaniques). Ce mode de couverture est apprécié pour sa fiabilité. Mais pour garantir une étanchéité pendant 30 ans, il doit être associé à un système de sous-toiture adapté. Pour éviter les fuites et renforcer la protection des toitures en tuiles contre les risques d’infiltrations (fortes pluies, orages, grêle, neige) et le soulèvement des tuiles par le vent, le leader mondial des solutions de toitures légères ONDULINE a développé FLEXOUTUILE : ce système de sous-toiture ingénieux largement éprouvé assure une étanchéité parfaite et durable des toitures en tuiles. Économique, FLEXOUTUILE offre la possibilité de conserver et de réutiliser les tuiles originales, très pratique en période de pénurie de tuiles, grâce aux différents profils de plaques disponibles (largeur de tuiles allant de 17 à 23 cm). Légères et très flexibles, les plaques bitumées de sous-toitures ONDULINE FLEXOUTUILE sont très simples à installer. Elles s’adaptent à tous les types de tuiles y compris sur des charpentes anciennes. Ce système de sous-toiture assure la pérennité du bâti, en neuf comme en rénovation, en le protégeant des défauts d’étanchéité qui peuvent survenir au fil des années à cause des conditions climatiques ou suite à l’altération des tuiles. ONDULINE FLEXOUTUILE Une pose simplifiée qui s’adapte parfaitement à la charpente existante Les plaques ONDULINE FLEXOUTUILE sont hautement perméables à l’eau et offrent une protection durable et totalement étanche de la toiture contre l’humidité, le vent et la condensation, même lorsqu’une tuile se casse. Très simples à manipuler, à découper et à installer, ces plaques de sous-toitures légères (2,9 Kg/m2) et flexibles s’adaptent à tous les types de charpentes y compris les charpentes anciennes qui peuvent être un peu déformées. Différents profils de plaques sont disponibles (largeur de tuiles allant de 17 à 23 cm) afin d’être installés sur tous types d’ouvrages : les bâtiments historiques, les Établissements Recevant du Public, les bâtiments agricoles, les maisons individuelles et les bâtiments commerciaux. Les bâtiments sont hors d’eau dès la mise en place des plaques et cette étanchéité est garantie 6 mois sans tuiles. La sous-toiture ONDULINE FLEXOUTUILE est dotée d’un système de marquage qui permet de positionner facilement et rapidement les tuiles, en assurant un alignement parfait. La pente de la couverture doit être de 18 % minimum. De plus, sa résistance accrue et sa grande rigidité permettent notamment de marcher sur les plaques, pour une pose facilitée et plus sûre. Un matériau fiable et respectueux de l’environnement Les plaques de sous-toiture ONDULINE FLEXOUTUILE contiennent environ 50 % de matières premières recyclées et leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l’environnement forte et visible. De plus, les émissions de CO² sont réduites grâce au poids allégé des matériaux qui limite l’impact lors du transport.
Il y a 2 ans et 314 jours

Mardi 12 juillet. Étape 10. MORZINE > MEGEVE (148 km)

Au lendemain de la journée de repos, le parcours à travers la Haute-Savoie offre un décor de montagne à couper le souffle, bordant notamment le lac Léman avant de se diriger vers Megève. Le tracé serpente entre les vallées, sans réelle difficulté pour les coureurs qui devront s’expliquer entre costauds dans la montée finale vers […] L’article Mardi 12 juillet. Étape 10. MORZINE > MEGEVE (148 km) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 314 jours

Jeudi 7 juillet. Étape 6 : BINCHE > LONGWY (220 km)

Une étape accidentée et, pour les coureurs, une longue route pour traverser les Ardennes. A 6 km de l’arrivée, les puncheurs devront s’expliquer une première fois dans le mur de Pulventeux – 800 m à 12 % de pente moyenne – avant de régler leurs derniers comptes dans la côte des Religieuses. A moins que, […] L’article Jeudi 7 juillet. Étape 6 : BINCHE > LONGWY (220 km) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 312 jours

Edilians étend sa gamme de produits photovoltaïques et dispose aujourd’hui d’une offre complète pour répondre à toutes les configurations et tous les styles architecturaux

Même si l’installation de panneaux photovoltaïques s’est imposée ces dernières années en construction neuve, la production d’énergie solaire doit s’accélérer afin d’atteindre l’objectif de la loi Climat & Résilience qui vise la neutralité carbone à l’horizon 2050. Pour répondre au défi de l’urgence climatique, EDILIANS propose déjà des solutions toiture innovantes parmi lesquelles ses tuiles terre cuite solaires, le photovoltaïque ultra intégré, et la tuile Solaire Max, son best-seller depuis plus de 20 ans. Aujourd’hui, l’acteur de l’éco-habitat passe à la vitesse supérieure et enrichit son offre destinée aux couvreurs et solaristes avec Easy Roof, une gamme complète de systèmes conçus pour faciliter l’intégration ou la surimposition de panneaux photovoltaïques en toiture, et le brise-soleil Umbra Solar Pro. EASY ROOF EVOLUTION et EASY ROOF ACCESS : des produits solaires intégrés au bâti pour une esthétique optimale en toiture Outre ses tuiles terre cuite solaires riches de 3 modèles disponibles en coloris rouge et noir (Alpha Solaire, HP 10 Solaire, Rhôna Solaire) et sa tuile solaire universelle (Tuile Solaire Max) déclinée également dans les même teintes, EDILIANS ajoute à sa gamme deux nouvelles solutions d’intégration de panneaux photovoltaïques en toiture : – EASY ROOF EVOLUTION, système de fixation ventilé dont l’ingénieux procédé breveté d’emboîtement permet aux différents éléments qui le composent de s’imbriquer les uns aux autres avec la plus grande précision (abergement haut intégré au cadre et centrage parfait des modules), sans découpe ni joint. L’étanchéité de la toiture est assurée par recouvrement. Rapide et facile à monter, puisque 6 heures suffisent pour une installation de 3kW à 2 personnes. Performant, il bénéficie d’une grande résistance à toutes les conditions climatiques (U.V., grêle, pluie, neige, vent) et d’une ventilation optimisée grâce à des entrées et sorties d’air présentes sous chaque module au service d’une meilleure performance énergétique. Compatible avec la majorité des modules photovoltaïques existants sur le marché, EASY ROOF EVOLUTION convient parfaitement aux toitures présentant une pente de 10 à 50°, quelles que soient les applications (résidentielles, commerciales, bâtiments publics, agricoles et industriels), – EASY ROOF ACCESS, un kit qui réunit en un système complet le panneau photovoltaïque et le procédé de fixation. Il associe la rapidité de montage et la fiabilité du système Easy Roof Evolution au panneau photovoltaïque Luxor Eco Line M120/340 W. Alliant esthétique et robustesse grâce à une sélection exigeante des composants, il garantit un excellent rendement énergétique avec une réflexion optimisée sur la surface cellulaire. L’ensemble constitue une solution idéale pour développer l’autoconsommation énergétique en toute sérénité (garantie 15 ans du module). EASY ROOF FLAT : simple à installer et de plus en plus plébiscité pour les toitures terrasse Ce système de montage pour panneaux photovoltaïques en toiture plate convient quels que soient l’orientation (Sud, Est/Ouest) et le type de revêtement (bitume, membrane, béton, graviers). Conçu pour accueillir la majorité des modules cadrés du marché ayant une largeur allant jusqu’à 1100 mm, il dispose d’une pente ajustable pour s’adapter à toutes les situations : parallèle au toit, de 10° à 14° (1 châssis par module), de 8° à 14° (configuration inter-module). Léger et résistant, chaque châssis Easy Roof Flat intègre tous les composants nécessaires à la fixation des modules par rail ou par socle. Sa mise en œuvre s’effectue ainsi de façon rapide et économique. EASY ROOF TOP : la solution photovoltaïque Edilians en surimposé Idéal sur toiture existante, Easy Roof Top rend possible la mise en œuvre de modules photovoltaïques cadrés sur tous types de toiture, présentant une pente de 8° à 50°, en tuiles (canal, à emboîtement, plate mécanique), en ardoise et sinusoïdales (fibrociment, plaque sous tuile) grâce à des crochets de fixation dédiés. Ce système en surimposition s’installe ainsi par-dessus la couverture existante tout en étant fixé directement sur la structure du bâtiment. Disponible en portrait, il peut également être posé en mode paysage. Grâce à une embase spécifique, une simple rotation de rail suffit, ce qui représente un véritable gain de temps lors de la mise en œuvre. Pour une esthétique irréprochable, le système Easy Roof Top se décline en deux finitions (aluminium, noir) et aucun élément (rail et fixation) ne dépasse du champ photovoltaïque. UMBRA SOLAR Pro : une alternative efficace ou complémentaire à une solution PV en toiture Pour concilier réduction des besoins énergétiques et confort d’été, EDILIANS présente UMBRA SOLAR Pro. Solution idéale en neuf, conformément aux exigences de la RE2020, comme en rénovation, ce nouveau modèle de marquise solaire permet de créer une avancée de toit au-dessus des ouvertures (fenêtres, baies vitrées, hall d’entrée) d’un bâtiment commercial, industriel ou même résidentiel collectif. A l’aide de son support en acier zingué qui assure une protection optimale contre la corrosion, il se pose simplement et rapidement en façade pour faire office de brise-soleil. Il protège alors de l’inconfort lié aux rayonnements solaires tout en récupérant l’énergie pour la production en instantané de l’électricité. L’inclinaison optimale à 15° des modules garantit le meilleur compromis entre protection solaire et rendement énergétique, quelles que soient la saison et la zone géographique. Grâce à son esthétique épurée et à la possibilité d’aligner une succession de modules photovoltaïques, il s’intègre harmonieusement à toutes les architectures. En contribuant ainsi à réduire les besoins en climatisation tout en optimisant les économies d’énergie, UMBRA SOLAR Pro trouve naturellement sa place dans tous les projets BEPOS, BBC ou encore HQE. Rappelons qu’EDILIANS propose également la MARQUISE SOLAIRE, un kit complet prêt à l’emploi qui comprend la structure composée de 2 consoles avec système de fixation inclus, un ou deux panneaux photovoltaïques ainsi que le micro-onduleur. En enrichissant ainsi son offre solaire avec des produits photovoltaïques issu du savoir- faire français reconnu d’IRFTS*, EDILIANS propose aux couvreurs et solaristes une gamme étendue de solutions complètes pour répondre à toutes les configurations d’installations. En complément, afin d’aider ses clients couvreurs à se développer sur ce marché, EDILIANS déploie un panel de services dédiés : formation avec habilitation électrique BP, assistance 1er chantier, soutien dans la constitution du dossier administratif de raccordement et raccordements électriques, bureau d’études et hotline pour étudier les projets et répondre à toutes les questions techniques… Un véritable accompagnement clé en main pour leur simplifier toujours plus la vie au quotidien ! *Depuis le 1er février 2022, EDILIANS a officiellement intégré l’activité solaire en toiture d’IRFTS (technologies, brevets et systèmes). http://www.edilians.com