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Résultats de recherche pour plaque

(1588 résultats)
Il y a 2 ans et 47 jours

HydroProof, le nouveau système de plafond extérieur à l'esthétique sobre et simple à poser

Le plafond extérieur Knauf HydroProof est un système de plafond suspendu en plaque de plâtre, sans joints apparents. Mis en œuvre en zone abritée extérieure (non exposée aux intempéries), il se destine ainsi aux avancées, ou parties semi-ouvertes de tout type de bâtiment (maison individuelle, ERP, tertiaire, industriel), comme les sous-faces de loggias, toitures, préaux… en neuf comme en rénovation.
Il y a 2 ans et 48 jours

Plaques de plâtre : la tendance confort

Longtemps dévolues aux bâtiments non résidentiels, les plaques de plâtre techniques ont conquis les logements. Outre le confort qu'elles apportent à leurs occupants et sans compliquer pour autant la mise en œuvre par les artisans, elles deviennent un marqueur du savoir-faire des professionnels de la rénovation.
Il y a 2 ans et 49 jours

la g olocalisation pour lutter contre l usurpation de plaque d immatriculation

Le suivi de véhicules fonctionne comme un témoin silencieux, prouvant exactement où se trouvent vos véhicules et où ils ne se trouvaient pas.
Il y a 2 ans et 51 jours

Bande HP – Haute Performance

A VOS BANDES, PRÊTS ? PARTEZ ! Nouvelle bande Haute Performance HP SEMIN pour une réalisation au top des joints de plaques de plâtre. Il s’agit là d’une bande à joint haut de gamme qui a été développée pour les spécialistes de la réalisation de joints de plaques de plâtre.
Il y a 2 ans et 52 jours

plafond ext rieur knauf hydroproof r un nouveau syst me l esth tique sobre et simple poser

Le plafond extérieur Knauf HydroProof® est un système de plafond suspendu en plaque de plâtre, sans joints apparents. Mis en oeuvre en zone abritée extérieure (non exposée aux intempéries), il se destine ainsi aux avancées, ou parties semi-ouvertes de tout type de bâtiment (maison individuelle, ERP, tertiaire, industriel), comme les sous-faces de loggias, toitures, préaux… en neuf comme en rénovation.
Il y a 2 ans et 52 jours

Une nouvelle usine de transformation du bois pour le groupe Thebault

INDUSTRIE BOIS. Fabricant de contreplaqué, le groupe Thebault annonce la construction d'une nouvelle unité de transformation du bois en Auvergne. Cette dernière produira des panneaux et poutres LVL (Laminated Veneer Lumber) – Lamibois.
Il y a 2 ans et 53 jours

2022, année record pour le recyclage des déchets de plâtre : Plus d’un million de tonnes cumulées depuis 2008 !

164 500 tonnes de déchets de plâtre externes recyclés en 2022 dans la fabrica3on de plaques de plâtre, soit une progression de 29% par rapport à 2021, malgré la conjoncture économique difficile. Jean-Michel Guihaumé, Délégué Général du Syndicat Na3onal des Industries du Plâtre, se réjouit que cet excellent résultat permeGe de passer un seuil embléma3que […]
Il y a 2 ans et 54 jours

Pour le Syndicat Français des chaudiéristes Biomasse : « le bois plaquette est plus que jamais pertinent pour les installations collectives. »

Face à l’explosion du coût des énergies ainsi qu’aux difficultés d’approvisionnement, les collectivités sont confrontées à des surcoûts importants pour leurs installations.  La chaleur représente 46% des besoins énergétiques de la France, or seulement 19% de la chaleur est produite à partir d’énergie renouvelable. Bien que les 2/3 de la chaleur renouvelable soit déjà produite […]
Il y a 2 ans et 54 jours

Plafond extérieur KNAUF HYDROPROOF® -un nouveau système à l’esthétique sobre et simple à poser

Le plafond extérieur Knauf HydroProof® est un système de plafond suspendu en plaque de plâtre, sans joints apparents. Mis en oeuvre en zone abritée extérieure (non exposée aux intempéries), il se destine ainsi aux avancées, ou parties semi-ouvertes de tout type de bâtiment (maison individuelle, ERP, tertiaire, industriel), comme les sous-faces de loggias, toitures, préaux… […]
Il y a 2 ans et 59 jours

le sfcb rappelle la pertinence du bois plaquette pour les installations collectives

Face à l'explosion des coûts de l’énergie et des difficultés d’approvisionnement, le Syndicat Français des Chaudièristes Biomasse (SFCB) rappelle la pertinence du bois énergie et plus particulièrement la plaquette bois. Cette dernière peut être une alternative pour les collectivités encore tributaires du gaz et du fioul.
Il y a 2 ans et 59 jours

Saint-Gobain engage une production "100% décarbonée" de plaques de plâtre

INNOVATION. La multinationale des produits de construction a annoncé, ce 6 avril, qu'elle allait démarrer une production 100% décarbonée de plaques de plâtre dans son usine de Fredrikstad, en Norvège. Cette nouvelle production va dans le sens de la politique de développement durable engagée par la société, qui s'est aussi dotée d'une raison d'être.
Il y a 2 ans et 59 jours

Les professionnels du chauffage bois vantent les mérites du "bois plaquette"

ÉNERGIE. La filière des chaudiéristes biomasse met en avant, en cette période de crise énergétique, les atouts de la plaquette bois.
Il y a 2 ans et 63 jours

plaques de pl tre la tendance confort

Résistance des murs, isolation phonique entre les pièces ou encore qualité de l'air intérieur, le choix des plaques de plâtre devient déterminant pour le confort intérieur !
Il y a 2 ans et 67 jours

L’unité de production d’Unilin Insulation de Sury-le-Comtal obtient la certification ISO 14001

Dans le cadre de sa stratégie de durabilité « One Home », Unilin Insulation, spécialiste depuis 50 ans des isolants en polyuréthane (panneaux de toiture et plaques), vient d’obtenir la certification ISO 14001 de son site de production français à Sury-leComtal (42). Ainsi, toutes les usines du fabricant (Desselgem et Feluy, en Belgique) s’inscrivent dans la même démarche de management environnemental.
Il y a 2 ans et 76 jours

4 700 m2 de plaques ONDUCLAIR® PC ONDULINE recouvrent la façade de RUN’EVA,le futur Pôle Déchets Sud de Pierrefonds à la Réunion

Le nouveau Pôle Déchets Sud RUN’EVA est un projet multi-filière ambitieux pour le traitement et la valorisation des déchets ménagers à La Réunion. Situé sur un site de 45 hectares à Pierrefonds, ce chantier unique, porté par le syndicat mixte ILEVA permettra dès 2024, la fin du tout enfouissement et la valorisation à grande échelle… Lire la suite 4 700 m2 de plaques ONDUCLAIR® PC ONDULINE recouvrent la façade de RUN’EVA,le futur Pôle Déchets Sud de Pierrefonds à la Réunion
Il y a 2 ans et 76 jours

Développement de l'isolation par insufflation de matières biosourcées

L'insufflation de paille hachée et de ouate de cellulose est actuellement testée sur deux chantiers expérimentaux. Un système d'isolation thermique par l'extérieur, sur construction à ossature bois, sous un bardage bois avec un isolant à base de paille hachée insufflée est expérimenté dans le cadre d'une Appréciation Technique d'Expérimentation concernant le chantier de rénovation énergétique du restaurant universitaire Champlain du Crous de Poitiers. Prélèvements et mesures de température et d'humidité seront effectués régulièrement in situ pour vérifier l'absence de développement fongique dans les matériaux biosourcés et la présence éventuelle d'eau dans la paille – ou dans son environnement sous l'effet de la condensation –, due aux transferts hygrothermiques. L'évaluation porte également sur la problématique de tassement de la paille hachée dans le temps. Un Avis Technique a également été formulé pour évaluer un procédé d'isolation thermique de murs à ossature bois par insufflation de ouate de cellulose en parois verticales préfabriquées. Le procédé est utilisé sans membrane pare-vapeur rapportée. Le caractère innovant du procédé tient à l'utilisation de la ouate de cellulose insufflée dans les cavités à la place d'un isolant traditionnel plus couramment utilisé. L'évaluation porte sur la durabilité de la ouate de cellulose, mais aussi sur son tassement dans le temps. Celle-ci étant préalablement insufflée en usine, l'impact de la vibration mécanique lors de son transport sur le chantier est aussi pris en considération lors de l'évaluation. Des matières recyclées et recyclables au service de l'isolation par l'intérieur L'innovation en isolation par l'intérieur porte de plus en plus sur l'utilisation de matières recyclées ou recyclables telles que le plastique et la mousse minérale isolante. Un procédé d'isolation thermique constitué de mousse minérale isolante et destiné à réaliser l'isolation thermique de planchers de combles non aménageables, non aménagés ou perdus fait l'objet d'une première Appréciation Technique d'Expérimentation. Entièrement recyclable et de faible densité (50 à 70 kg/m3 au lieu de 2 600 kg/m3 pour le béton traditionnel), la mousse minérale isolante est cependant plus lourde que les isolants classiques de type laine minérale de verre. L'évaluation porte ainsi sur la charge admissible sur plafond et sur la compatibilité avec un plancher bois via la réalisation de simulations hygrothermiques destinées à vérifier la durée admissible du temps de séchage. Des extensions sont envisagées sur d'autres types de supports tels que les plafonds suspendus en plaques de plâtre notamment. Un procédé d'isolation thermique de murs intérieurs constitué de fibres de polyester fabriquées à partir de bouteilles plastiques recyclées fait également l'objet d'un Avis Technique. Il est destiné à l'isolation thermique, en rénovation ou en construction neuve, des maisons individuelles isolées, des maisons jumelées ou en bande, des bâtiments d'habitation collectifs, des bâtiments à usage de bureaux, scolaires, hospitaliers, hôteliers, et de tout autre recevant du public, ainsi qu'aux locaux industriels et commerciaux. Solutions & Performances - Numéro 11 : « Produits isolants » Le numéro 11 de Solutions & Performances est consacré aux produits isolants. PDF 4.19 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 77 jours

Saint-Gobain fusionne ses activités avec Dalsan, spécialisé dans le plâtre

INDUSTRIE. Saint-Gobain, le géant français des matériaux de construction, vient d'annoncer son rapprochement avec Dalsan en Turquie, afin d'y développer ses activités de plâtre et plaques de plâtre. Le groupe compte y acquérir une position de leader.
Il y a 2 ans et 84 jours

Maison à ossature bois : comment se passer du pare-pluie ?

Sous Avis Technique, la nouvelle plaque Defentex contrevente les éléments MOB et positionne Siniat en spécialiste de la construction bois. Photo : Chantier du collège Dadonville en cours. © Soulabaille Yves
Il y a 2 ans et 89 jours

C'est le propriétaire qui est responsable des écoulements de sa pompe à chaleur

Le propriétaire d'un appareil qui fuit (pompe à chaleur, chaudière à ventouse) est responsable des accidents qui pourraient se produire si l'eau crée une plaque de verglas, pour la Cour de cassation.
Il y a 2 ans et 89 jours

Meljac personnalise ses boutons avec des gravures

MELJAC, fabricant français d’appareillages électriques haut de gamme, propose de personnaliser ses interrupteurs en gravant directement les boutons poussoirs. Cette solution permet de préserver le design épuré de la plaque en laiton et de sa finition. Les clients peuvent ainsi combiner plusieurs fonctions (éclairage, stores, son, scénarios domotiques…) sur une seule plaque tout en repérant facilement le rôle de chaque commande.
Il y a 2 ans et 90 jours

Un nouveau directeur marketing et stratégie pour Siniat

CARNET-NOMINATION. Le groupe Etex France Building Performance vient de nommer Marc-Robert Jean comme directeur marketing et stratégie pour sa marque Siniat, spécialisée dans la plaque de plâtre.
Il y a 2 ans et 90 jours

Les produits de Rairies Montrieux mis à l’honneur aux Galeries Lafayette Paris Haussmann

La société Rairies Montrieux est située en Maine-et-Loire et reconnue comme l’un des plus anciens sites producteurs de terre cuite en France, elle développe son savoir-faire depuis cinq générations. Elle est spécialisée dans la conception de carreaux, de plaquettes de parement et de briques pour tous projets architecturaux. C’est avec plaisir que le fabricant de […]
Il y a 2 ans et 91 jours

Les plaquettes terre cuite de Rairies Montrieux mis à l'honneur aux Galeries Lafayette Paris Haussmann

C’est avec plaisir que Rairies Montrieux a collaboré sur le projet de la Wellness Galerie, un étage entier de 3.000 mètres carrés consacré à l’univers du soin, de la beauté et du sport.
Il y a 2 ans et 97 jours

Plâtre : accompagner les artisans vers des solutions de construction plus durables

La Capeb, l’Iris-St et Siniat ont signé un partenariat vendredi, dans le but d’aider les artisans du bâtiment sur le marché des nouveaux modes constructifs à base de plaques de plâtre.
Il y a 2 ans et 97 jours

les plaquettes terre cuite rairies montrieux parent la wellness galerie

Aménagée au sein des Galeries Lafayette, la Wellness Galerie est centrée sur le bien-être. Pour traduire cette ambiance, les murs de l’espace sont ornés de plaquettes en terre cuite Rairies Montrieux, aux teintes naturelles.
Il y a 2 ans et 97 jours

Saint-Gobain : 2022, année de tous les records

Benoit Bazin, directeur général de Saint-Gobain. [©Saint-Gobain] Le groupe Saint-Gobain peut avoir le sourire. Pour lui, l’année 2022 est celle de tous les records. D’abord, son chiffre d’affaires bondit de 15,9 %, passant de 44,2 à 51,2 Md€. Son Ebitda grimpe de 14,9 %… Quant à son résultat net courant, il passe de 2,82 à 3,34 Md€, soit une hausse de 18,5 %. « Dans un environnement géopolitique, énergétique et macro-économique perturbé en 2022, le groupe Saint-Gobain a su, une nouvelle fois, dégager des résultats records. Au cours des quatre dernières années de transformation, il a été optimisé en profondeur. Un tiers périmètre a changé et plus de 60 % de nos résultats sont désormais réalisés en Amérique du Nord et dans les pays émergents », explique Benoit Bazin, directeur général de Saint-Gobain. Et de poursuivre : « Je suis confiant que 2023 sera une bonne année pour Saint-Gobain […]. Ceci, en nous appuyant sur la force de notre modèle opérationnel, dans un contexte de ralentissement de la construction neuve. Mais d’une bonne résilience de la rénovation. Dans ce contexte, nous visons en 2023 une marge d’exploitation comprise entre 9 % et 11 %. En ligne avec les objectifs de notre plan “Grow & Impact” que nous avons définis pour la période 2021-2025 ». La chimie de la construction fait des étincelles ! Ainsi, s’inscrivant dans ce plan, les années 2021 et 2022 marquent une accélération des résultats. Les solutions durables représentent près de 75 % des ventes du groupe, en forte croissance interne de + 10 % en moyenne annuelle. En parallèle, Saint-Gobain devient un leader mondial dans la chimie de la construction, avec 5,3 Md€ de chiffre d’affaires annuel. Ceci, grâce à une forte dynamique interne et à ses acquisitions récentes. Dans le détail, on retrouve Chryso, GCP Applied Technologies, Brasprefer et Matchem au Brésil, Urumix en Uruguay, Impac au Mexique, IDP Chemicals en Egypte, Choksey Chemicals en Inde et Best Crete en Malaisie. En aparté, Urumix constitue la première implantation de Saint-Gobain en Uruguay. Enfin, le résultat d’exploitation du groupe (5,34 Md€, à + 66 % vs 2021) est désormais bien équilibré entre les trois zones géographiques : 30 % en Amérique du Nord, 32 % en Asie & pays émergents et 38 % en Europe occidentale. Lire aussi : Chryso : Au cœur de la stratégie de Saint-Gobain Plus en détail côté “chimie de la construction”, l’intégration des nouveaux entrants se déroule bien. L’ensemble des synergies est validé ou en cours d’exécution. Dans ce cadre, GCP projette un Ebitda de 170 M$ (160 M€) en 2023, sa première année pleine au sein de Saint-Gobain. Quant à Chryso, il voit une croissance de + 20 % de son chiffre d’affaires, avec maintien de ses marges et l’ouverture d’une 5e usine d’adjuvants en Inde. Siège de Saint-Gobain, à La Défense, près de Paris. [©Gilles Trillard/Saint-Gobain] Une belle économie de CO2 Une excellente tendance de ventes et de résultats tirée aussi par la décarbonation du secteur de la construction. Saint-Gobain a d’ailleurs apporté sa pierre à l’édifice, évitant l’émission d’environ 1,3 Md de t de CO2 durant la vie des solutions vendues sur une année. Et de réussir trois premières mondiales. Tout d’abord, une production zéro carbone de vitrage en France. Idem dans le domaine de la plaque de plâtre en Suède. Enfin, une production très bas carbone (- 93 %) dans la production de laine de verre en Finlande. De quoi entrevoir de belles perspectives pour 2023. Dans un environnement géopolitique et macro-économique incertain, le groupe devrait continuer de surperformer ses marchés. Ceci, grâce à la pertinence de son positionnement stratégique au cœur des enjeux énergétiques et de décarbonation. Durant l’année qui vient, l’attention de Saint-Gobain sera focalisée sur la consolidation de son très bon niveau de performance opérationnelle. Toutefois, il anticipe un ralentissement modéré́ de ses marchés, avec une situation contrastée. Entre baisse de la construction neuve sur certaines zones géographiques et bonne résilience globale de la rénovation. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 105 jours

Dans le tunnel sous la Manche, une route très privée pour les opérations de maintenance

Mais l'idée n'est pas d'aller d'un pays à l'autre. Cette route très privée permet essentiellement d'accéder aux opérations de maintenance du tunnel sous la Manche, pour continuer à faire passer les trains.On ne pénètre dans ce tunnel routier qu'après être passé dans un sas de décompression, ultrasécurisé. "On roule à gauche, mais on reste à l'heure française", décrit Rémi Dezoomer, superviseur travaux chez Eurotunnel (filiale du groupe Getlink), allumant ses feux de détresse et klaxonnant à l'approche d'un véhicule garé sur le bord.Les autos, sans plaque d'immatriculation, n'ont plus de rétroviseur à droite pour pouvoir se croiser sur cette route empruntant le tunnel de service de la "liaison fixe transmanche". "Avant, on avait des Clio qui passaient très bien. Maintenant, le gabarit des voitures est de plus en plus important, ça nous pose problème", précise M. Dezoomer.Les demi-tours sont compliqués. Et gare aux crevaisons à 100 m sous le niveau de la mer !Prudence, donc. La vitesse est de toute façon limitée, remarque M. Dezoomer : 50 km/h quand l'éclairage est éteint et 30 km/h quand il y a de la lumière, ce qui généralement veut dire qu'il y a des gens dans le coin.C'est quand il y a moins de passages de trains entre la France et l'Angleterre que la route est la plus fréquentée. On y croise les véhicules d'Eurotunnel et de ses sous-traitants, des remorques, les pompiers qui font leur ronde... Tout le monde est habillé en orange, casque blanc sur la tête, on ne voit aucune femme.Deux nuits par semaine, le week-end, Eurotunnel ferme --au moins partiellement-- l'un des deux tubes ferroviaires pour y faire des travaux de maintenance. La circulation des trains, elle, ne s'arrête jamais. Elle s'effectue pendant ce temps en alternance sur l'autre voie.Tous les 375 m dans le tunnel de service, des couloirs conduisent à de lourdes portes jaunes. Ouverture solennelle, déclenchée par le centre de contrôle, avec sonnerie et message sonore.Lumière mordoréeCes portes permettent d'accéder aux voies ferrées, situées juste à côté. En cas d'urgence pour évacuer les passagers des trains et, en l'espèce, pour accéder aux chantiers nocturnes."On a 66 chantiers, avec 160 personnes présentes", indique ce jour-là Jeffrey Guy, chef de projet. "C'est une nuit normale."Le gros des troupes --70 personnes-- est occupé à remplacer des rails, dans le cadre d'une grande opération de renouvellement total en trois ans. "Cette nuit, on a cinq heures dix pour remplacer 1,077 km de rails", explique Jean-Louis Merlin, responsable de l'opération chez Eurotunnel.Le ballet est bien réglé. Tandis que les soudeurs soudent, une cohorte d'ouvriers fixent une à une les attaches des rails sur les traverses. Au fond, la voûte du tunnel est illuminée par une lointaine machine. Précis et rapide, car les trains doivent à nouveau circuler dès l'aube."On en est à la quatrième campagne de remplacement des rails depuis l'origine" du tunnel ouvert en 1994, précise M. Merlin. Il faut dire qu'ils sont particulièrement sollicités par le fréquent passage de lourds convois, des trains de marchandises ou des navettes d'Eurotunnel qui transportent des camions, autocars ou voitures.Un peu plus loin, là où les deux tubes ferroviaires se rejoignent, on change les aiguillages d'un "crossover", un ensemble d'appareils permettant aux trains de passer d'une voie à l'autre.Le cadre est assez théâtral. Pendant que les ouvriers s'affairent, des petites lumières sur leur casque, une navette passe de l'autre côté.Il s'agit ailleurs d'injecter de la résine pour éviter les infiltrations, inévitables là où il n'y a pas de craie bleue dans le sous-sol. "L'eau et le 25.000 volts de la caténaire ne sont pas compatibles", pointe Rémi Dezoomer. A un autre endroit, une drôle de machine lave le tunnel, lançant des nuages de gouttelettes dans une lumière mordorée. Effet visuel garanti. La route sous la Manche a aussi son "spot" touristique: à la frontière franco-britannique marquée par deux petits panneaux, les murs sont couverts de graffitis de visiteurs.
Il y a 2 ans et 109 jours

Toitures actives : deux solutions expertes Foamglas isolent le parking du Pôle médical d’Allonzier-la-Caille (74)

Destiné aux aires de stationnement, le système sous enrobé FOAMGLAS® apporte une solution rapide et simple en termes d’exécution. Son incompressibilité et son étanchéité fiabilisent l’ouvrage ainsi que son exploitation.C’est cette solution qui a été retenue pour le parking du Pôle médical d’Allonzier-la-Caille (Haute-Savoie), situé au-dessus d’un supermarché. La toiture du parking est composée d’un complexe isolant + étanchéité + protection et couche de roulement uniquement constituée d’enrobé, reposant sur un élément porteur en dalle béton. Ce complexe intègre une isolation en verre cellulaire FOAMGLAS® d’une fiabilité à toute épreuve. L’isolation thermique FOAMGLAS® READY F est associée à une étanchéité bicouche et deux couches d’enrobé (10 cm d’épaisseur au total). Permettant d’accéder à la rue, la rampe d’accès au parking est dotée d’une pente de 5 %. Cette pente a été réalisée dans la couche isolante avec du FOAMGLAS® READY TAPERED F 5 %.Surmonter les contraintes d’économie et de planning a été un challenge réussi par l’équipe qui a conçu et réalisé l’ouvrage - l’agence AJ architecture (13), la maîtrise d’œuvre AQCIOM (42) et l’entreprise TISSOT Étanchéité (73).Un parking isolé en verre cellulaire, étanché et protégé par 2 couches d’enrobéTrois objectifs maîtrisésLe choix de l’isolation thermique FOAMGLAS® pour la toiture du parking a répondu aux 3 objectifs suivants, définis par une étude préalable :Apporter une solution économique,Assurer une rapidité d’exécution,Minimiser à près de zéro les risques d’infiltration d’eau en intégrant une réflexion sur l’analyse des risques. Un dégât des eaux dans un supermarché n’étant pas envisageableLa solution retenue intègre :Un pare-vapeur (climat de montagne),Une isolation thermique FOAMGLAS® READY F,Une étanchéité bicouche renforcée,Une couche de protection et de roulement constituée de deux couches d’enrobé de 5 cm.Le Cahier de Charges de cette solution « Enrobé FOAMGLAS® » est validé par SOCOTEC.Une solution économique : 10 cm d’enrobé forment la couche de protection et de roulement. Cela est possible grâce à la rigidité exceptionnelle du FOAMGLAS® READY F. Ce complexe isolant + étanchéité + protection est le moins épais et le moins lourd parmi toutes les solutions existantes en toitures terrasses accessibles aux véhicules légers. Ce système permet de supprimer la dalle traditionnelle de protection en béton et le drainage situé en-dessous. L’enrobé joue un triple rôle : couche de protection, couche de roulement et couche de finition. FOAMGLAS® READY F contribue ainsi à alléger les charges permanentes, et à diminuer l’altimétrie des niveaux finis de la surface du parking, des acrotères et des seuils.Une solution rapide en phase exécution. L’un des avantages de l’enrobé dans une telle configuration réside dans le fait que le temps d’attente avant exploitation, après la mise en œuvre de l’enrobé, est nettement plus court que dans le cas d’une dalle béton de protection (temps de séchage important). Après la pose de la première couche et de la seconde le lendemain, les voitures peuvent rouler dès le troisième jour !Réduire à presque zéro le risque d’infiltration afin d’éviter toute fuite dans le supermarché. Le verre cellulaire FOAMGLAS®, isolation 100 % étanche à l’eau et à l’humidité, présente une perméabilité nulle à la vapeur d’eau (EN 12086). Son absorption d’eau par immersion est également nulle (EN 1609 et 12087). Des caractéristiques physiques exceptionnelles pour une isolation thermique.Les joints entre les plaques isolantes sont également étanches. Ils sont constitués de bitume sur toute la hauteur des plaques. En effet, le faible coefficient de dilatation du FOAMGLAS® permet cette technologie de pose : le collage des plaques isolantes entre elles sur toute la surface des toitures. C’est une solution exclusive proposée par Owens Corning.La couche isolante réalisée en verre cellulaire FOAMGLAS® est ainsi étanche dans la masse. Analyse du premier risque : si, par accident, l’eau de pluie s’infiltre sous la membrane d’étanchéité, elle ne peut pas entrer dans le verre cellulaire. Analyse du second risque, très peu probable : si, au même endroit que l’accident sur l’étanchéité, il y a un joint de FOAMGLAS® et qu’il a été mal collé, l’eau pourra entrer à cet endroit dans la couche isolante. Mais, elle sera bloquée par le pare-vapeur spécial « climat de montagne » et ne pourra pas migrer dans la couche isolante qui est étanche. Analyse du troisième risque, d’une infime probabilité : si, également au même endroit, le pare-vapeur est défaillant, l’eau passera alors dans la dalle, mais la fuite sera localisée et facilement repérable par un découpage de l’enrobé, de l’étanchéité et de l’isolation et un recollage d’une isolation, d’une étanchéité et la mise en place d’un nouvel enrobé (réparation aisée que ne permet pas la solution de protection par dalle béton).FOAMGLAS® READY TAPERED F 5% isole et réalise la pente de la rampe d’accès au parking depuis la routeLa résistance à la compression du FOAMGLAS® F est très élevée (Rc= 1 600 kPa - EN 826) et elle est garantie dans le temps. Autre caractéristique unique pour un isolant thermique : le tassement du FOAMGLAS® READY TAPERED F est indépendant de son épaisseur : le verre cellulaire est incompressible jusqu’à sa valeur limite et son tassement est toujours inférieur à 5 mm. Ces données exceptionnelles ont incité la maîtrise d’œuvre à innover et à réaliser la pente de la rampe d’accès au parking avec du FOAMGLAS® READY TAPERED F à pente intégrée de 5 %, en lieu et place d’une forme béton classique.
Il y a 2 ans et 111 jours

OPÉRATION VISSERIE fischer : Une campagne qui donne vie aux différents projets bois

Que ce soit pour la construction en ossature bois (maison en bois, carport, charpente, abri de jardin…), la pose d’une terrasse, l’isolation de surtoiture, l’aménagement extérieur,… les vis fischer couvrent l’ensemble des besoins en matière d’assemblage bois. De grande qualité, elles permettent une fixation propre, sûre, rapide et facile, grâce à la combinaison de plusieurs innovations technologiques.Pour valoriser les performances, la polyvalence et la facilité d’utilisation de ses différentes vis auprès des bricoleurs comme des menuisiers, des charpentiers,… fischer lance au printemps une campagne dédiée à sa gamme visserie. À partir du 1er mars et jusqu’au 30 juin 2023, offres de remboursement, jeu-concours et outils de communication vont être déployés et relayés dans les points de vente partenaires et les réseaux sociaux de la marque pour offrir un maximum de visibilité aux vis terrasse, vis sarking, vis Power-Fast et vis de construction fischer. OPÉRATION VISSERIE – Faites le plein de visLa campagne de fischer se déroulera du 1er mars au 30 juin 2023 et s’adresse aussi bien à ses partenaires-revendeurs qu’à ses utilisateurs finaux. Pour booster les ventes de sa vis terrasse, fischer propose une offre de remboursement couplée à un jeu-concours. Des coupons détachables et des stop-rayons, disponibles dans les linéaires, permettront aux utilisateurs de découvrir l’offre. Pour chaque palier de 1000 vis terrasse fischer achetées, 20 euros TTC seront remboursés.De plus, les personnes ayant participé à l’offre de remboursement seront inscrites automatiquement pour le jeu-concours. Elles auront une chance de gagner par tirage au sort un four à pizza Ooni avec ses accessoires d’une valeur 1150 euros. fischer a également développé différents outils de communication tels que des affiches déclinées sous forme de saga. Didactiques, elles mettent en lumière les principales caractéristiques des vis terrasse, mais aussi des vis de construction, des vis sarking et des vis à bois.  Des outils promotionnels seront également proposés pour démarquer l’offre dans les rayons. Vis terrasse et Accessoires Terradec « 3765 jours plus tard, ma terrasse ne bouge toujours pas »Pour assurer la pérennité de sa terrasse en bois, et ainsi en profiter sur le très long terme, matériaux et mise en œuvre doivent être de grande qualité.  Pour garantir une fixation durable et simplifier la pose de terrasse en bois, fischer propose la vis terrasse FTS-ST A2P et la gamme d’accessoires Terradec.Et grâce à l’opération visserie, tous ceux qui ont un projet terrasse pourront profiter de l’offre de remboursement déployée.– Vis terrasse FTS-ST A2PExposées toute l’année aux aléas climatiques, les terrasses sont soumises à l’acide tannique du bois qui corrode l’acier des vis. En acier inoxydable, la vis terrasse FTS-ST A2P fischer assure une très grande résistance aux intempéries et garantit la durabilité des fixations.De diamètre 5,0 mm et 5,5 mm, elle allie rapidité et précision de mise en œuvre grâce à son filetage spécial et à la pointe tranchante qui évitent tout éclatement de la lame. Le filetage partiel permet de visser facilement mais fermement les lames à la structure, même dans les bois durs et exotiques.La vis de terrasse FTS-ST A2P offre une résistance plus élevée à la torsion et aux variations dimensionnelles du bois. Conforme au D.T.U 51.4, elle est idéale pour le vissage à fleur de la surface car la géométrie fine de la tête permet une finition de surface nette et sans éclats, même avec des fixations proches du bord.  Accessoires de terrasse TerradecAvec la gamme Terradec, fischer propose différents accessoires pour la protection des lambourdes, l’installation et la fixation des lames de terrasse.– Cale de réhausse caoutchouc FTA-UPPlacée entre le sol et la lambourde, la cale de réhausse FTA-UP fischer assure l’écoulement de l’eau, évite une stagnation qui dégradera le bois à moyen terme et assure une bonne isolation phonique. Imputrescible, elle protège le bois contre l’humidité.-Bande adhésive FTA-RT IILa bande de protection adhésive FTA-RT II fischer protège efficacement la lambourde contre l’humidité.Elle est plus résistante au déchirement (avec ses 1 mm d’épaisseur) que les autres produits du marché, mais aussi aux conditions atmosphériques, aux UV et à l’ozone.De 80 mm de largeur, elle adhère facilement aux lambourdes et recouvre la majeure partie de la surface.– Espaceur de lames FTA-SPPour faire face aux variations dimensionnelles du bois liées aux conditions climatiques, il est impératif de respecter un espacement entre les lames.Les espaceurs de lames terrasse FTA-SP fischer apportent un écartement uniforme entre les lames, quelle que soit la physionomie de la terrasse. Ils sont disponibles en 6 positions : de 3 à 8 mm.– Clip invisible FTA-IPWLe clip FTA-IPW fischer assure une installation rapide et invisible des lames car il n’y a pas de vis apparentes. Sa conception prend en compte le comportement de dilatation et de rétractation du bois. Doté d’ergots espaceurs, il convient à tous les types de platelages bois.Réglable de 120 à 150 mm, il s’adapte à toutes les largeurs de lame. Grâce à son effet réhausseur, il ventile la terrasse et assure un écartement automatique des lames. Il est proposé sous forme de kit de 50 clips avec les vis inox.– Espaceur réhausseur de la lame FTA-VL’espaceur réhausseur de la lame FTA-V fischer assure une bonne ventilation de la terrasse, évitant les effets de l’humidité lors du contact lame/lambourde, tout en permettant un écartement automatique entre les lames (ergot espaceur de 7 mm). Il se pose rapidement et sans outils.Découpable par simple pliage, il peut se positionner en 1ère lame contre une fondation pour apporter l’écartement nécessaire.– Foret fraisoir à butée FTA-CDWLe foret fraisoir à butée FTA-CDW permet de pré-percer les lames et d’effectuer un fraisage pour éviter l’éclatement du bois, et garantir un aspect visuel esthétique de la terrasse. Doté d’une butée ajustable, la profondeur de fraisage peut être définie selon le type de tête de vis utilisé.Il est conforme aux recommandations du D.T.U 51.4 « Platelages extérieurs en bois » qui préconise le pré-perçage et le fraisage des lames bois avant vissage.Vis Power-Fast II « 6 heures plus tard, mon cabanon de jardin est déjà installé »La vis à bois Power-Fast II fischer offre une accroche et une pénétration plus faciles et plus rapides, en un minimum d’efforts, grâce à son filetage spécial jusqu’à la pointe. Polyvalente, elle s’attaque à tous les bois (dur, tendre), agglomérés, contreplaqués… et couvre un large champ d’applications : assemblages bois sur bois, métal sur bois ou avec des chevilles nylon.Disposant du marquage CE et bénéficiant de l’Évaluation Technique Européenne (ETE), qui garantit un standard de qualité et des résistances en charge extrêmement élevées, la vis Power-Fast II offre d’excellentes performances et une grande sécurité d’utilisation.La tête de vis a été optimisée et son empreinte est profonde pour diminuer le risque de ripage. Les fraisoirs à facettes réduisent le fendage et n’altèrent pas les pièces métalliques.Grâce à la géométrie brevetée du filetage à angle asymétrique sans vrille de coupe, au moletage,  aux doubles filets sur les premiers pas de vis et au revêtement anti-frottement haute performance, le vissage est nettement plus rapide et sans effort.Par ailleurs, la Power-Fast II est parfaitement compatible avec des chevilles nylon telles que la Duopower.Enfin, son revêtement zingué blanc, sans chrome VI (Cr3) est plus respectueux de l’environnement et des utilisateurs. Vis Power Full ISO « 2 jours plus tard, l’isolation en sarking est déjà réalisée »L’isolation toiture en Sarking nécessite la fixation de l’isolant sur les chevrons. La vis Power Full ISO fischer évite l’écrasement de l’isolant (laine de verre, panneaux éco-isolants, polystyrène…) par la couverture. Elle empêche donc la détérioration de l’isolation et limite les ponts thermiques.Les charges agissant sur la couverture sont transmises par le filetage de la vis et non sur l’isolant.Le bon écartement entre la couverture et la charpente est maintenu par le double filetage de la vis. L’effet de soulèvement par le vent est également transféré sur la vis, qui est particulièrement résistante à l’arrachement.La vis Power Full ISO dispose d’une vrille de coupe sur chaque filet qui assure une bonne pénétration de la vis sans éclatement du bois, quelle que soit l‘essence. La géométrie de la pointe de vis permet un vissage sans pré-perçage.De haute qualité, elle détient une Evaluation Technique Européenne (ETE). Vis de construction « 5 jours plus tard, l’ossature bois est déjà montée »Les vis dédiées à la Construction Ossature Bois fischer sont faciles à visser. Dotées d’un filetage spécial jusqu’à la pointe, elles assurent une accroche rapide dans le bois et ne nécessitent pas de pré-perçage.– Vis de charpentier Power-Fast FPF-STIdéale pour les charpentes bois, elle dispose d’un filetage partiel qui permet de fixer solidement les éléments en bois les uns aux autres. La meule réduit la résistance au vissage, diminue les efforts pour l’utilisateur et protège les batteries. Sa tête autofraisante assure une finition parfaite. Son revêtement est sans chrome VI (Cr3). Elle bénéficie d’une Evaluation Technique Européenne (ETE).– Tirefond Power-Fast FPF-HT ZPPA tête hexagonal avec rondelle intégrée, il est une alternative au tirefond DIN 571. Son empreinte TX assure une transmission des forces maximale avec une grande stabilité de l’embout. Grâce à son filetage partiel, il peut relier solidement les éléments métalliques au bois. Il dispose d’une Evaluation Technique Européenne (ETE). – Vis Power-Fast spéciale connecteurs de charpenteElle remplace les pointes traditionnellement utilisées pour la fixation des connecteurs métalliques dans la construction bois tels que sabots et équerres métalliques. Sa tête cylindrique, avec renfort sous la tête, est adaptée aux perforations standards des connecteurs métalliques. Son empreinte TX permet une transmission des forces maximale et son filetage total offre une plus grande résistance à l’arrachement. Elle est dotée d’une Evaluation Technique Européenne (ETE 11/0027).– Vis de renfort PowerFull IIPour le renforcement des raccordements de poutres, d’entailles et d’appuis en compression, la vis de renfort PowerFull II garantit une mise en œuvre rapide et efficace, avec des reprises de charges très élevée et des distances aux bords et entraxes réduits. Sa géométrie spéciale permet un assemblage invisible et le renforcement des structures, sans avoir recourt à des connecteurs métalliques. La géométrie innovante de la pointe assure une pénétration rapide et sans éclats.Enfin, la PowerFull II dispose d’une Évaluation Technique Européenne ETA 21/0751. www.fischer.fr
Il y a 2 ans et 117 jours

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Il y a 2 ans et 118 jours

Photovoltaïque : le best of des fake news les plus répandues

De nombreux décideurs n’avaient pas vu venir ces progrès et, dans les débats actuels, on constate qu’ils sont encore nombreux à ne pas avoir pris en compte les données réelles du photovoltaïque d’aujourd’hui : on entend encore de nombreux arguments qui n’ont plus lieu d’être au sujet de cette énergie. Il est temps de distinguer le vrai du faux !Au sujet de la fabricationLes modules PV utiliseraient des terres raresFauxLes modules PV utilisés aujourd’hui ne contiennent pas de terres rares. Le composant principal est le silicium : il sert à faire les cellules PV, qui sont prise en sandwich entre 2 plaques de verre. (Le verre est aussi fait avec du silicium !)Mais NB : aucune terre rare dans le photovoltaïque !Il y aurait bientôt pénurie de siliciumFauxLe silicium, le 2ème atome le plus présent sur terre (juste après l’oxygène), et facile d’accès (partout dans la croûte terrestre).Il n’y a pas de pénurie de silicium et il n’y en aura pas. Il n’y a pas de pénurie de matière première. Parfois, en raison de la forte croissance de la demande, il y a des demandes supérieures à la capacité des usines qui purifient le silicium. Cela est temporaire et résolu par l’augmentation de capacité de ces usines.La rareté des matériaux n’est donc pas un frein pour le déploiement du PV à grande échelle.En fait s’il y devait y avoir un point de vigilance ce serait sur l’argent, utilisé comme conducteur entre les cellules… on pourrait avoir à le remplacer par un autre conducteur, si le marché PV continue son ultra croissance.Au sujet de son intérêt économiqueC’est cher et non compétitif Ce n’est plus vrai du tout.C’était vrai il y a 10 ans et encore plus il y a 20 ans. Le prix des panneaux était si élevé que le prix de revient de l’électricité solaire n’était pas compétitif face au réseau électrique. Le photovoltaïque étaient donc utilisé là où il n’y avait pas d’accès possible au réseau (par exemple les réémetteurs en montage.)Mais en 20 ans cela a changé de manière extraordinaire ! En 20 ans le prix des panneaux a été divisé par 100 !Cela a été réussi grâce aux pays qui ont compris, il y a 20 ans, qu’il y avait un énorme potentiel de baisse de prix, à condition de faire grossir les volumes fabriqués.D’abord le Japon, puis l’Allemagne, la Chine, les Etat Unis ont bien identifié ce potentiel : Ils ont subventionné le photovoltaïque pour faire grossir le marché et ainsi faire baisser les prix.Et cela a porté ses fruits :De 2012 à 2022, les prix du PV ont été divisés par 10 (et ils avaient déjà été divisés par 10 dans la décennie précédente. Les prix des panneaux PV ont donc été divisés par 100 en 20 ans !D’autres évolutions ont rendu l’électricité solaire compétitive :Le rendement qui était de 10% dans les années 1970, est de 24% aujourd’hui et se rapprochera des 30% sous peu…La durée de vie est passée de 10 ans dans les années 80, à plus de 40 ans aujourd’hui. Les garanties des constructeurs sont de 30 ou 35 ans, avec moins de ½ % de perte de puissance par an ! Dans 35 ans, un panneau acheté aujourd’hui fonctionnera encore et aura plus de 82% de la Puissance initiale ! Quel autre produit industriel à une telle durée de vie et une telle garantie ?Les onduleurs (qui transforment le courant continue des panneaux en courant alternatif qui peut être injecté dans le réseau électrique ont gagné en rendement, et baissé en prix)Le métier d’exploitation de centrale PV c’est fortement professionnalisé en 20 ans.En conséquence de tous ces progrès, le prix de l’électricité PV a diminué de manière spectaculaire. Le solaire PV est maintenant compétitif par rapport aux autres sources d’énergie électriquel’électricité solaire coûte entre 5 centimes le kWh (50€/MWh) (pour une grande centrale au sol) et 16 centimes kWh (160€/MWh) pour une petite installation en toiture.Le nucléaire des centrales de dernière génération est de plus de 10 centimes/kWh (100€/MWh)L’électricité solaire est donc désormais compétitive, y compris par rapport au nucléaire.Et ce n’est pas fini, la baisse des coûts du solaire va continuer.On dit que cela coûte une fortune en subvention et demande beaucoup d’aides publiquesCe n’est plus vrai du toutDévelopper les énergies renouvelables a coûté de l’argent public, le temps d’aider le marché à décoller, jusqu’à ce que cette énergie soit compétitive.Aujourd’hui les solaire est compétitif ! D’ailleurs, Aujourd’hui, ce sont les énergies renouvelables qui apportent des recettes à l’Etat et non l’inverse.Les montants sont très importants : la CRE (Commission de Régulation de l’Energie) indique, que, dans les conditions actuelles toutes les filières d’énergies renouvelables en métropole continentale représenteront des recettes pour le budget de l’Etat, pour une contribution cumulée, de plus de 30 Md€ au titre de 2022 et 2023 Les filières contributives sont, par ordre d’importance : l’éolien terrestre, le photovoltaïque à hauteur, l’hydroélectricité et le biométhane.Fin 2024, les EnR auront rapporté plus à l’Etat qu’elles n’ont coûté depuis qu’elles sont soutenues !Le PV ne rapporterait rien aux communes ?FauxLa production d’électricité photovoltaïque est soumise à l’IFER, qui est un impôt prélevé au profit des collectivités territoriales. Une partie de cet IFER est reversée directement aux communes sur lesquelles sont installées les centrales photovoltaïques.Ordre de grandeur : une installation au sol de 20MW apporte plus de 60 000 € / an aux collectivité locales (Département et communauté de communes) dont au moins 20% directement à la Commune.Un parc PV sur une commune permet de baisser les impôts locaux ou de financer des projets locaux, sans solliciter les contribuables !Le photovoltaïque ne produit pas par temps couvert et en hiver. En France, ça ne produirait presque pasFauxUn panneau produit plus en été par beau temps qu’en hivers pas temps nuageux, c’est une évidence.Cependant, un panneau PV produit bien de l’électricité toute l’année. Pour preuve : les réémetteurs de télécom en haute montagne sont alimentés par des panneaux solaires, toute l’année. Ils fonctionnement été comme hivers.La quantité d’énergie produite sur l’année est importante.En France, en moyenne 1kWc (soit 5m²) environ 1300 kWh/an (1,3 MWh/an), soit un peu plus de la moitié de la consommation électrique moyenne d’un français (2200 kWh/an).En France, bien que l’on ne soit qu’au début, en 2021, le solaire PV a déjà fourni 3% de l’énergie électrique consommée en France (contre 2,8 % en 2020), (3% = 14,3TWh)Les panneaux solaires ne fonctionneraient que s’ils sont exactement orientés plein SudFauxUn panneau produit le maximum annuel s’il est orienté plein sud. Mais il ne perd que quelques % s’il est orienté sud-est ou sud-ouest. Aujourd’hui les panneaux sont bifaciaux, cela signifie de même la face arrière produit : si elle est orientée vers le sol, est fait de l’électricité grâce à la luminosité réfléchie sur le sol, que l’on appelle l’albédo. L’orientation et l’inclinaison des panneaux est une question d’optimisation de la production, mais on a une véritable souplesse d’installation.Au sujet de la pertinence environnementaleUne installation PV fournit-elle plus d’énergie que ce qui a été consommé pour sa fabrication ?Oui ! Beaucoup beaucoup plus !En France, un système PV utilisant des modules en silicium monocristallin fournit l’énergie qui a été nécessaire pour sa fabrication est de moins de 2 ans depuis des années. Il est même passé en dessous de 1 an avec les dernières générations de panneaux, qui utilisent de moins en moins de matière, pour une puissance de plus en plus forte). Or un panneau dure plus de 40 ans. Un panneau fournit donc 40x plus d’énergie qu’il n’en consomme lors de sa fabrication. Ce ratio est donc excellent et place le photovoltaïque parmi les meilleures énergies.Un panneau PV pollue et ne se recycle pas ?Faux et archi fauxEn masse, près de 95 % d’un module en fin de vie est valorisé. La filière est parfaitement organisée.Aujourd’hui on récupère le silicium (du verre et des cellules) pour en refaire du verre. Le cadre en aluminium (un autre matériau qui se recycle très bien). Le métal argent qui est utilisé pour les connexions électriques. Il ne reste que 5% de matière non recyclée, mais l’amélioration continue.Le recyclage est bien organisé : l’éco-organisme SOREN, se charge de collecter les panneaux usagés, et de les recycler. Faire recycler un panneau ne coûte rien à son propriétaire, quelle que soit la marque et l’origine du panneau, car une éco participation a été payée initialement pour financer la collecte, le tri et le recyclage.La France est l’un de premier opérateur européen de cette activité de recyclage.Bref un panneau solaire se recycle très bien et la filière est bien organisée.Un système PV émettrait beaucoup de CO2FauxLe solaire est l’une des sources d’électricité très faiblement émettrice de CO2 !Une installation PV (sur toiture à base de panneaux en silicium monocristallin) émet en moyenne30 gCO2eq/kWh. (Ce, en intégrant tout le cycle de vie, y compris si le panneau vient de Chine)C’est 16 à 33 x moins que les énergies fossiles. (Les centrales à énergie fossiles (à gaz, charbon ou fioul) émettent 500 à 1000 gCO2eq/kWh.)C’est 8 x moins que la moyenne des énergie électriques du réseau européen (les émissions moyennes du système électrique européen étaient de 231 gCO2eq/kWh en 2020 soit 8 x plus.Non seulement le PV émet peu de CO2, mais, avec la prolongation de la durée de vie d’un panneau, et la perspective de fabrication de panneaux en Europe, les progrès techniques de fabrication font que ce ratio pourra encore s’améliorer en descendant jusqu’à ce ratio pourra encore s’améliorer en tombant à 15g puis 10 CO2eq/kWh !Bref : le photovoltaïque est l’une des meilleures solutions pour produire de l’électricité décarbonéeUne installation PV au sol dégraderait les solsFaux !Les producteurs d’installation PV, à partir de panneaux installés au sol s’engagent à tout démonter à la fin du projet (dans 30 ou 40 ans) s’il n’est pas reconduit pour une nouvelle période (ce qui sera souvent fait en plaçant une nouvelle génération de panneaux). C’est assez simple car les supports sont généralement fixés sur des pieux battus ou vissés dans le sol (sans le moindre béton).NB : soulignons que toute grande installation PV au sol fait l’objet d’une étude d’impact environnemental préalablement à l’obtention de son permis de construire !Le photovoltaïque au sol c’est visuellement hideuxTout est relatif !Ce n’est certes pas invisible, mais c’est souvent très discret : de nombreuses personnes roulent chaque matin à côté d’un champs PV (au sol le long d’une autoroute, sans le savoir, car des haies installées à la périphérie cachent bien le site. En tous cas, ce n’est pas en hauteur, cela ne fait pas de bruit… l’impact visuel est souvent très limité.En tous cas c’est moins visible qu’une centrale au charbon, qu’une centrale nucléaire, etc, etc.NB l’étude d’impact prend en compte l’impact visuel lors de la conception du projet.Au sujet de l'exploitation des centralesLes panneaux solaires, demandent beaucoup l’entretienFauxParmi tous les moyens de production d’électricité, le photovoltaïque est celui qui demande le moins d’entretien : pas de mécanique, aucune pièce en mouvement, pas de carburant à apporter… etc. C’est bien pour cela que nos satellites sont tous électrifiés par panneaux solaires (il n’est pas nécessaire d’envoyer un “astronaute de maintenance” tous les mois !) Mais aussi les balises en mer, les réémetteurs télécom en haute montagne, les refuges alpins, etc. Partout où il est difficile d’envoyer un technicien de maintenance, le photovoltaïque a été choisi avant tout pour sa simplicité d’entretien.C’est aussi cette simplicité qui explique que les panneaux aient une garantie de 35 ans.Cependant, dans une installation PV il y a aussi des onduleurs électroniques. Ils ont en général une durée de vie de 10 à 15 ans. Ils sont généralement contrôlés à distance et remplacés lorsque nécessaire….En bref de l’entretien oui, mais beaucoup moins que les autres moyens de production d’électricité.Un panneau solaire, c’est fragile ?FauxC’est plus solide qu’une fenêtre de toit. C’est équivalent à un pare-brise d’automobile… et plus solide que des tuiles.Bref, ce n’est pas incassable, mais ce n’est pas fragile.Au sujet de la vision à l’échelle nationale, à moyen termeLa France est en retard sur ses objectifsC’est vrai, malheureusementLa programmation pluriannuelle de l’énergie prévoit 20 GW installés en 2023 et entre 35 et 44 GW en 2028. En septembre 2021, 13,2GW étaient raccordés, soit 66% de l’objectif 2023. La Fr est le seul pays de l’UE en retard sur ses engagements. Le rattrapage du retard coûtera 500M€ au Gvt français (et donc au contribuable).La France annonce qu’elle veut accélérer et changer d’échelle et développer plus de « fermes solaires ».Une ferme solaire, c’est du photovoltaïque sur une ferme agricole ?NonCette expression vient d’une traduction littérale de l’anglais « photovoltaïc farm ». Un ferme photovoltaïque est tout simplement une installation de panneaux photovoltaïques, au sol, sur un grand terrain, pour produire de l’électricité. En bon français on devrait dire une « centrale photovoltaïque ».Développer plus de fermes solaires, c’est développer plus d’installations de grande surface…A ce sujet, on dit que les surfaces nécessaires seraient hallucinantesFauxAyons les ordres de grandeur en tête :La France à l’ambition de multiplier par 10 la puissance PV installée d’ici 2050 (annonce rappelée par le Pdt lors de son discours à Belfort en 2022. Multiplier le parc installé par 10 revient à atteindre 100 à 130 GW installés en 2050.=> la production sera alors de 160 TWh/an, soit 25% de la conso totale d’élec (qui sera de 640 Twh/an)Quelle surface faudra-t-il ?Si la moitié est installé sur des toitures, des parkings, l’autre moitié devra être installée au sol (c’est nécessaire pour atteindre l’objectif et pour produire une énergie très compétitive).Il faudrait donc installer 65 GW au sol ? Cela demanderait environ 60 000 ha = soit seulement 0,2% de la SAU, soit 2 millièmes des terres agricoles (* : La SAU totale de la France est de 29 millions d’ha). Et on ferait cela en 22 ans (d’aujourd’hui à 2055), il faudrait donc trouver 2 700 ha/an (60 000 / 22 = env 2727)Pour avoir un point de repère : C’est 10x fois moins que les terres que l’on affecte chaque année à la construction de maisons (27 000 ha par an en moyenne sur 2006-2016)Non la production d’une part importante de notre électricité par énergie solaire ne demande pas des surfaces hallucinantes. Nous n’aurons pas de choix cornélien à faire entre souveraineté énergétique et souveraineté alimentaire !Donc la France a raison de vouloir accélérer !Les énergies renouvelables seraient un risque pour la stabilité du réseau ?FauxPour l’instant on fait de l’ordre de 3% du mix électrique en PV. L’objectif est de monter à 25% d’ici à 2050. Cela ne fera ne fera pas courir de risque sur la stabilité du réseau.Et c’est RTE qui le dit : RTE est le gestionnaire du réseau de transport d’électricité, changé notamment d’assurer la stabilité du réseau à moyen et long terme.Par ailleurs, RTE souligne aussi, qu’il est indispensable d’accélérer le développement des énergies renouvelables pour répondre à la croissance de la demande d’électricité en France (quelle que soit la part qui serait produite par le nucléaire.)Pour aller au-delà de 25%, après 2050, il faudra sans doute continuer d’améliorer nos solutions de flexibilité et de stockage. Des travaux sont déjà en cours, mais il n’y a aucune raison de ne pas accélérer jusqu’en 2050.Les panneaux solaires sont fabriqués en ChineC’est vrai… tout comme votre téléphone portable !C’est vrai et c’est regrettable : avant moratoire des projets industriels étaient en préparation. Les tergiversations françaises les ont fait renoncer… Lorsque nous nous sommes arrêté les Chinois ont accéléré. Ils ont eu raison.Heureusement, ce n’est pas inéluctable : des projets de Giga Usines de production de panneaux solaires en France sont de nouveau à l’étude.C’est économiquement tout à fait possible, car le surcoût d’une main d’œuvre européenne (par rapport à la main d’œuvre chinoise) est compensé par la réduction des coûts de transport.Et on a toutes les compétences pour réussir une industrie PV en FranceUne R&D de haut niveau à l’INESDes champions des semi-conducteur (STM),Des champions de la conversion d’énergie (Schneider)Des industriels du Verre Saint-GobainDe grande compétence en ingénierie industrielle.Plusieurs projets de construction d’usine en France et en Europe sont en cours.Mais alors le PV contribue-t-il à notre indépendance énergétique ?Oui !Il faut bien distinguer l’usine et le carburant !Lorsqu’un panneau est installé, (d’où qu’il vienne) il va produire de l’électricité, là où il est installé, pendant 40 ans, sans que l’on n’ait rien à importer (ni gaz, niche charbon, ni uranium...)Le « carburant » est le rayonnement solaire. Aucun pays ne peut ne couper ce robinet-là. Donc même avec des panneaux importés, le solaire contribue à notre indépendance.Et ce sera encore plus vrai, encore plus satisfaisant, lorsque nous produirons les panneaux en France…Donc oui le PV contribue à notre indépendance énergétique.Ajoutons queLe PV peut se mettre en œuvre très vite si on le souhaite, au cœur des territoiresLe PV contribue aussi la baisse des prix de l’électricité donc au pouvoir d’achat des consommateurs et à la compétitivité de notre économie,Le PV contribue à la décarbonation de notre énergieLe PV peut apporter des services utiles au monde agricoleLe PV contribuera certainement à la réindustrialisation de la FranceIl est urgent d’évacuer les arguments faux ou surannés et les polémiques stériles.Le photovoltaïque est l’une de plus belle raison d’être optimistes face aux défis actuels : Il faut que nous nous y engagions de manière unie, avec enthousiasme…Tribune de Stéphane Maureau, Directeur Général – CEO de UNITe (LinkedIn).
Il y a 2 ans et 121 jours

CBS-CBT, un pionner de la dalle mixte bois-béton

Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Système D-Dalle de CBS-CBT en attente de la mise en œuvre de la dalle de compression en béton. [©CBS-CBT] Dans la mythologie grecque, Dédale est associé au Labyrinthe qu’il a construit à la demande du roi Minos pour y enfermer le Minotaure. Dédale est aussi le père d’Icare qui perdit ses ailes en cire à vouloir voler trop près du soleil. En Suisse, chez CBS-CBT, la légende est tout autre… D-Dalle n’emprisonne personne, mais vise à construire des bâtiments. Utilisant pour cela le meilleur du bois et du béton. La solution imaginée par CBS-CBT n’est pas nouvelle, puisque présente sur le marché depuis une vingtaine d’années ! « D-Dalle est beaucoup utilisée pour la réalisation d’écoles ou de bâtiments de bureaux », indique Hugo Labarrière, ingénieur études de prix chez CBS-CBT. Ceci, du fait des grandes portées importantes et sans appuis intermédiaires offertes par le produit. Cette solution constructive couvre des trames comprises entre 8 m et 18 m. A l’origine, D-Dalle est une extension de la dalle O’portune (assemblage de planches en bois décalées sur la hauteur, connectées avec des vis). La différence avec son aînée est l’incorporation d’une couche de béton sur la partie supérieure, donnant ainsi naissance à une ossature mixte. Compatible avec les bétons bas carbone Plus en détail, les planches utilisées peuvent être de différentes essences (épicéa, sapin, douglas…) et présentent une hauteur de 12 à 26 cm en fonction de la portée attendue. Elles sont décalées verticalement les unes par rapport aux autres et assemblées par vissage, donnant ainsi sa rigidité à l’ensemble.  Dessus et entre les planches s’insèrent des plaques en acier, dont le rôle est d’assurer la connectivité avec le béton à venir. Leur nombre dépend de l’isotropie recherché de la dalle. C’est le bureau d’études intégré de CBS-CBT qui le définit. Si la partie bois de la D-Dalle est préfabriquée en usine, le béton, lui, est coulé sur chantier. De type C25/30, avec une granulométrie limitée à 16 mm, il doit être à faible rapport E/C pour ne pas ramener d’eau libre à l’interface avec le bois. « Dans les faits, les caractéristiques du béton sont décrites dans l’Avis technique dont bénéficie notre D-Dalle », précise Hugo Labarrière. Et qu’en est-il d’une formulation bas carbone ? La D-Dalle n’est, en principe, pas incompatible, mais cet usage impose des tests de mise en œuvre complémentaires et la demande d’une Atex, le cas échéant. Retrouvez le dossier “Bétons et mixité : Le bon matériau, au bon endroit” en cliquant ici Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 123 jours

Parution de la 2e édition du Guide Installations photovoltaïques en toiture et façade du CSTB Editions

Il s’applique aux installations photovoltaïques mises en œuvre en :toitures inclinées en petits éléments de couverture (tuiles ou ardoises) ;toitures inclinées en grands éléments de couverture (plaques nervurées en acier ou aluminium ou plaques ondulées en fibre-ciment ou feuilles métalliques) ;toitures avec étanchéité (toitures-terrasses ou toitures inclinées) ;façades ;verrières, ombrières ou pergolas.Après une description détaillée des types de procédés photovoltaïques, les auteurs présentent les méthodes de dimensionnement et les détails de mise en œuvre avec de nombreux schémas détaillés dans le respect des divers DTU (toitures et façades). Des listes de points de contrôle avant, pendant et après chantier sont aussi proposées.Basé sur la jurisprudence des Avis Techniques et des Appréciations Techniques d’Expérimentation (ATEX), ce guide a été rédigé par deux experts du CSTB : Jean-Charles Corbin, ingénieur études et évaluation de procédés photovoltaïques et David Le Bellac, rapporteur du Groupe Spécialisé n° 21 - Procédés Photovoltaïques.Pour en savoir plus, consulter l’extrait du guide et le commander.Parution : Janvier 2023Edition : 2eNb de pages : 130Format : 16 x 24 cmCouverture : BrochéIntérieur : Quadri
Il y a 2 ans et 123 jours

Recticel Simfocor® reçoit le label d'efficience environnementale Solar Impulse

Ce label est attribué à des produits, services ou procédés alliant des performances environnementales et économiques. Cela signifie également que Simfocor® rejoint la liste de la Fondation Solar Impulse des #1000+ Solutions sélectionnées pour leur contribution à une croissance économique durable.Simfocor® fait partie de la gamme innovante d'isolation « Recticel Silence » qui est actuellement commercialisé en France et en Espagne.Un isolant thermo-acoustique recyclé pour les cloisonsEn France, le coût social des nuisances sonores s'élève à 147 milliards d'euros en 2021, soit près du double du coût relevé en 2016*. Le problème est accentué par une tendance générale vers des logements plus petits et des bâtiments collectifs. Simfocor® relève ce défi avec une solution thermo-acoustique conçue pour les cloisons. Facile à poser soi-même, les panneaux Simfocor® se glissent entre les montants métalliques de la cloison et sont recouverts par une plaque de plâtre d'une épaisseur minimum de 12,5 mm. Ainsi, Simfocor réduit l'intensité sonore d’une pièce à l’autre jusqu'à 84 %, ce qui représente une amélioration de 8 dB ΔRw, tout en offrant de bonnes performances thermiques. Simfocor® est également une innovation respectueuse de l’environnement. Il est composé de mousses PU recyclées provenant d’anciens matelas, leur offrant ainsi une seconde vie en tant que matériau de construction.La Fondation Solar ImpulseLe label Solar Impulse a été initié par l'explorateur visionnaire Bertrand Piccard, qui a réalisé en 2016 le premier tour du monde en avion électrique à énergie solaire. La Fondation cherche à relever les défis du développement durable tout en assurant la viabilité économique.Simfocor® apparaît désormais dans le « Solutions Explorer de la Fondation », un moteur de recherche unique qui présente des solutions climatiques viables.Cette certification reflète la quête continue de Recticel en matière d'innovation durable et son engagement vers un objectif global de zéro émission nette d'ici 2050.*CNB-Ademe sondages publiés en 2021 et 2016
Il y a 2 ans et 125 jours

En France, le vitrail craint d'avoir du plomb dans l'aile

Sous un arc-en-ciel de morceaux de verre colorés, quatorze personnes travaillent dans cet atelier familial du 15e arrondissement de Paris, dont Emmanuelle Andrieux, maître-verrier, tient désormais les rênes.Un temple du vitrail où l'on restaure autant que l'on crée."Du petit au monumental, d'un morceau de verre dans une cage d'escalier à la coupole des Galeries Lafayette", précise-t-elle. Et, comme du temps des bâtisseurs de cathédrales, "toujours dans les règles de l'art".Autant de techniques ancestrales que sont les maquettes à l'aquarelle, la découpe des plaques de verre, la peinture et cuisson à 630°C... et le sertissage des pièces qui consiste à les assembler sur des baguettes de plomb. "Le plomb a des propriétés extraordinaires. Il est à la fois très solide et très flexible, et peut tenir des années, voire des siècles sans se détériorer", indique Emmanuelle Andrieux.Pourtant, son utilisation pourrait à terme être interdite, s'il est intégré parmi les substances dangereuses pour la santé et l'environnement que l'UE souhaite bannir à horizon 2030, listées par le règlement "Reach"."Dommage collatéral"Selon l'OMS, "il n'existe pas de seuil au-dessous duquel l'exposition au plomb n'aurait pas d'effets nocifs". L'intoxication au plomb, le saturnisme, fait chaque année près d'un million de morts dans le monde.Dans le viseur de l'UE: l'industrie des batteries pour véhicules, à laquelle plus des trois quarts du tonnage mondial de plomb est destiné. Mais les métiers du patrimoine, des vitraillistes aux fabricants d'orgues, ne seraient pas épargnés."On nous a clairement dit que nous étions un dommage collatéral", regrette Emmanuelle Andrieux. Ce "manque à gagner énorme" aurait des conséquences "affreuses" pour les quelque 450 ateliers indépendants du vitrail en France, prévient-elle, qui sont déjà soumis à des prises de sang annuelles et portent des protections pour prévenir des maladies professionnelles."Cela signerait la mort de notre métier, notamment pour ceux qui se sont consacrés à la restauration", laquelle ne connaît encore "aucune alternative".De Notre-Dame de Paris à la Sainte-Chapelle, en passant par nombre de monuments historiques, la France abrite la plus grande surface de vitraux au monde, et 60% du patrimoine vitrail européen. Selon Emmanuelle Andrieux, seulement 15 à 20% ont jusqu'ici été restaurés.Dans son atelier, les anciens vitraux abîmés sont minutieusement opérés, dans un silence de cathédrale, sur une table rétro-éclairée qui fait ressortir couleurs et détails. Une rue plus loin, en sous-sol, un stock de 18.000 m2 de panneaux de verre attend de trouver preneur.ExceptionPour la création, il existe bien une autre méthode: la "Tiffany". Dégageant un petit vitrail contemporain bleu aux joints plus fins que d'ordinaire, la maître-verrier de 42 ans indique toutefois que "cette technique est moins solide, moins architecturale, et qu'elle n'est pas étanche".Un ruban de cuivre, une soudure à 60% d'étain... et 40% de plomb. "Passer au 100% étain nous coûterait au moins trois fois plus cher. Comment, ensuite, vendre nos vitraux ?", questionne-t-elle, lorsqu'un client débourse déjà entre 1.000 et 4.500 euros du mètre carré.Depuis plusieurs mois, certains politiques comme Catherine Dumas, présidente du groupe d'études Métiers d'art au Sénat, tentent de "sensibiliser" sur le sujet, auprès du gouvernement comme au Parlement européen.Objectif ? Que les métiers dotés d'un "vrai savoir-faire et d'un fonds patrimonial important bénéficient d'une exemption", soutient la sénatrice LR, qui parle d'une "affaire de mois" avant que la Commission européenne ne rende sa proposition de révision, initialement prévue pour fin 2022."Qu'on nous donne aussi les moyens de faire des recherches pour trouver une alternative", plaide Emmanuelle Andrieux, dont la revendication première est avant tout de "continuer à vivre de (notre) passion".
Il y a 2 ans et 125 jours

Urbanit Jouplast : solution constructive pour les aménagements d'espaces perméables

La maîtrise, voire la désimperméabilisation des sols, devient donc un enjeu capital pour réduire la vulnérabilité des espaces urbains aux effets des changements climatiques en cours et à venir. Elle favorise le cycle de l'eau en réduisant le ruissellement, et contribue à réduire le phénomène d'îlots de chaleur.Pour relever ces défis, JOUPLAST® complète son offre de dalles pour revêtement minéral ou végétal, URBANGRAVEL® et GREENPLAC®, en lançant sur le marché sa nouvelle gamme URBANIT®, une solution pertinente et durable qui assure la perméabilité des sols en milieu urbain.Composée de 3 plaques en polyoléfine 100 % recyclée fabriquées en France, la gamme URBANIT® JOUPLAST® est adaptée aux pavés, graviers ou végétaux (gazon ou sédum). Compatibles entre elles, les plaques s'imbriquent les unes aux autres grâce à un système d'accroche intégré, laissant ainsi la possibilité de créer des espaces urbains multimatériaux : 100% pavés, mixe pavés + graviers ou pavés + végétaux.Plaque stabilisatrice pour pavés URBANIT® JOUPLAST®La plaque stabilisatrice pour pavés URBANIT® JOUPLAST® assure à la fois un parfait maintien des pavés et une résistance remarquable à la compression, autorisant le passage de véhicules légers. En polyoléfine 100 % recyclée, elle permet d'installer durablement une surface stable et perméable.Plaque stabilisatrice pour graviers URBANIT® JOUPLAST®Parfaite pour concevoir des aménagements urbains de qualité et créer une surface gravillonnée d'épaisseur constante, la plaque stabilisatrice pour graviers URBANIT® JOUPLAST® favorise le drainage naturel et optimal des eaux de pluie. En polyoléfine 100% recyclée, elle permet de mettre en œuvre un revêtement drainant et carrossable ne générant ni flaques, ni ruissellement, ni ornières.Plaque stabilisatrice pour végétaux URBANIT® JOUPLAST® L'imperméabilisation massive des sols cause des phénomènes extrêmes comme les inondations ou la surchauffe dans les villes. La plaque stabilisatrice pour végétaux URBANIT® JOUPLAST® simplifie la pose de végétaux en vue de réduire le phénomène d'îlot de chaleur. Destinée à accueillir du gazon, du sédum… elle facilite la création de surfaces végétalisées perméables en milieu urbain.
Il y a 2 ans et 126 jours

Crise énergétique dans la construction : comment le secteur de la brique contribue à apporter des solutions

Celui-ci se doit pourtant de continuer d’évoluer et d’innover, notamment dans le cadre de la directive européenne EPBD*, qui instaure l’obligation pour tout bâtiment neuf construit à partir de 2021 d’être quasiment neutre d’un point de vue énergétique. Du point de vue des consommateurs, cette tendance est la même : 63% des Français souhaitent rénover leur habitat en 2023**. Le secteur doit donc répondre à cette demande, et ce d’une manière durable. Tout le monde sait que les briques sont cuites dans un four, ce qui nécessite évidemment beaucoup d’énergie. Une brique est fabriquée avec des matières premières naturelles (souvent recyclables), et si sa production ne produit pratiquement pas de déchets, elle rejette du CO2. Nous nous efforçons d’optimiser notre consommation d’énergie, par exemple en utilisant la chaleur résiduelle de la cuisson pour sécher également les briques. Mais il ne faut pas la minimaliser pour autant. Nous voulons contribuer à un présent et un avenir durables.La brique au régimeAlors, la brique va-t-elle bientôt entrer en hibernation à cause de la crise énergétique ? Une chose est d’ores et déjà claire : nous ne sommes pas (encore) prêts à abandonner la brique. Mais nous pouvons la mettre au régime. Nous fabriquons des briques minces depuis des années déjà. Aujourd’hui, les façades sont encore souvent recouvertes d’une couche de 10 cm de briques de parement. Cette époque est bientôt révolue. Car nous allons « dématérialiser » la brique. Nous évoluons vers une brique de 7 cm qui présente exactement les mêmes propriétés et avantages. Mais qui nécessite entre 20 et 25% de matières premières en moins - et donc moins d’énergie. Mieux encore, cette nouvelle brique est environ 10% moins chère. Nous produisons déjà des briques minces et nous nous apprêtons à en étendre la production à toutes nos usines. Une cure d’amaigrissement qui va plus loin Cela fait plusieurs années déjà que nous fabriquons des plaquettes de parement de 1,8 cm. Ces plaquettes de parement s’obtiennent en sciant des briques entières en plaquettes. Cependant, en 2017, Vandersanden a été le premier fabricant de briques à passer à la production de plaquettes de parement ECO directement formées dans des moules de 1,8 cm. Cela permettait d’économiser 70% de matières premières et 50% d’énergie par rapport à une brique traditionnelle. L’utilisation de briques plus minces et/ou de plaquettes de parement laisse en outre plus d’espace pour l’isolation dans vos murs.Et comme nous faisons le pari de la dématérialisation dans l’ensemble de nos activités, nous avons également mis les pavés au régime. Le nouveau standard de l’ensemble de la gamme produite sur notre site de Kessel est désormais de 6 cm au lieu de 6,7 cm. Cela représente une réduction de plus de 10%. Nous recherchons également en permanence des moyens de dématérialiser encore plus nos produits, par exemple en utilisant des pavés perforés. Cette solution permet une réduction du volume allant jusqu’à 40%. Ce pavé est particulièrement adapté aux parkings, aux jardins ou aux allées, possède une grande perméabilité à l’eau et son poids allégé facilite la pose.La dématérialisation permet de réduire la consommation de matériaux, et donc non seulement d’économiser de l’énergie et des matières premières, mais aussi de rendre les transports plus durables. Together to zeroIl est clair que le secteur de la brique, et par extension tout le secteur de la construction, est appelé à changer profondément. La brique plus mince ne constitue qu’une évolution parmi bien d’autres. Chez Vandersanden, nous ne réfléchissons pas en années, mais en générations, et nous avons pris le taureau par les cornes pour rendre le secteur de la brique plus durable. Notre objectif est clair : atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050. Ce n’est d’ailleurs pas une ambition, c’est une promesse. Together to Zero est un but que nous entendons concrétiser.Mais nous ne pouvons pas rendre le secteur de la brique profondément durable seuls. Nous ne le voulons pas, d’ailleurs. Nous avons récemment lancé notre programme de développement durable Together to Zero, qui invite nos parties prenantes à relever ensemble le défi qui consiste à effacer entièrement l’empreinte carbone de notre exploitation et notre production à l’avenir. Fidèles à notre philosophie selon laquelle « le plus beau se construit ensemble », nous voulons donner à tous les acteurs de notre secteur la possibilité de rejoindre ce mouvement.Nous avons défini huit domaines pour atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050 : dématérialisation, gestion de l’eau, faible consommation d’énergie sur les sites de production, automatisation intelligente, mobilité sans énergies fossiles, matériaux et applications circulaires, énergies renouvelables et produits à empreinte carbone faible ou nulle. Nous avons déjà de très nombreuses réalisations à notre actif dans ces huit domaines. Ainsi, nous utilisons des fours à briques peu énergivores, nous récupérons la chaleur résiduelle de la cuisson pour sécher les briques, nous possédons plus de 35 000 panneaux solaires et, depuis peu, notre propre éolienne. Et ce n’est pas tout, puisque notre flotte de véhicules (y compris les chariots élévateurs à fourche) va être entièrement électrifiée, tandis que nous déployons un service de reprise des palettes en bois et que nous n’utilisons que des emballages composés d’au moins 30% de matériaux recyclés. Nous sommes d’ailleurs loin d’être seuls pour cela. Nous collaborons en effet avec les communes pour déployer des solutions adaptées au climat, et unissons nos forces à des collègues/concurrents et des fédérations sectorielles pour la dématérialisation des briques. Mais nous ne nous voulons pas nous arrêter en si bon chemin. « Together to Zero » est un mouvement que nous voulons mener et une promesse que nous allons tenir. Nous sommes bien décidés à ne pas attendre et avons déjà bien progressé, et nous encourageons chacun à prendre le train en marche. Joignons nos efforts, en tant qu’industrie, en tant qu’entreprise et en tant que société. Tribune de Nathali Donatz, Group Marketing Director chez Vandersanden (Linkedin)*Energy performance of buidlings directive**Chiffre issu de l’étude SeLoger, dévoilée par le Journal du Dimanche
Il y a 2 ans et 136 jours

Deep Collection de Rehau, l'élégance du coloris mat au sein de la cuisine

Dans ce contexte, REHAU, en tant que marque établie dans l'industrie du meuble et synonyme de solutions bien pensées, qualitatives et fonctionnelles, présente Deep Collection, la nouvelle gamme de coloris RAUVISIO crystal. Une collection qui ajoute un effet de profondeur élégant à l’aspect verre des surfaces RAUVISIO: l'aspect métallique subtile offre une ambiance chatoyante. Cette nouvelle collection Deep apporte une nouvelle dimension de profondeur aux finitions de surface mates.Grâce à la gamme innovante Deep Collection, inspirée des profondeurs de l'océan, le stratifié RAUVISIO crystal offre de nouvelles possibilités en matière de décoration intérieure. La vaste gamme de couleurs disponibles offre aux designers et aux décorateurs d'intérieur des possibilités uniques pour la conception de meubles et d'intérieurs, ainsi que pour réinventer des surfaces unies en y ajoutant un élément original et de qualité. Que vous recherchiez un contraste saisissant ou une élégance discrète en combinaison avec d'autres surfaces, RAUVISIO crystal Deep s'intègre parfaitement aux autres éléments de la pièce.La collection intemporelle comprend sept teintes uniques qui se combinent parfaitement entre elles ainsi qu’avec les autres produits REHAU, et même avec des matériaux naturels comme le bois ou la pierre. La philosophie de l’harmonie du design, qui est présente dans toutes les collections REHAU, est appliquée de manière cohérente lors de tous les lancements de produits. RAUVISIO crystal Deep est disponible comme solution d'espace de rangement sous forme de rideaux d’armoire RAUVOLET crystal-line avec une quantité minimale de commande. Les bandes de chant constituent un autre élément de la collection assortie. Il y a plus de 50 ans, REHAU a développé RAUKANTEX, une solution qui a fait de l'entreprise un partenaire de confiance dans l'industrie du meuble. Avec ses finitions zéro joint, RAUKANTEX pro transforme les panneaux en composants parfaitement intégrés, tant sur le plan de l'apparence que de la fonctionnalité. RAUKANTEX est disponible pour toutes les couleurs et tous les formats de panneaux RAUVISIO crystal Deep pour un aspect harmonieux et uniforme avec des effets de profondeur captivants.En termes de traitement, le RAUVISIO crystal combine l'aspect classique et polyvalent du verre avec les propriétés exceptionnelles du stratifié en polymère, tant dans sa mise en oeuvre que dans son application et son utilisation quotidiennes. La collection RAUVISIO crystal Deep peut être travaillée avec les outils de menuiserie classiques utilisés pour le travail du bois, ce qui signifie une liberté absolue pour les architectes d'intérieur. Dans l'utilisation quotidienne, ce matériau innovant se distingue également par sa grande durabilité : non seulement il est facile à nettoyer, mais il est également extrêmement résistant aux cassures et aux rayures.Afin d'offrir rapidité, fiabilité et qualité, REHAU met en outre à la disposition de ses utilisateurs une série de services et d'outils innovants tels que le configurateur de surface, qui leur permet de commander des panneaux personnalisés avec les bords déjà plaqués en bandes de chant assorties. Il est également possible, avec une quantité minimale de commande, d'adapter les surfaces RAUVISIO crystal aux spécifications individuelles sur la base des couleurs RAL en brillant ou en mate.Dans l'ensemble, REHAU, en tant que spécialiste de la transformation des polymères et fournisseur de composants pour l'industrie du meuble, s'est imposé comme le partenaire le plus compétitif du marché grâce à ses solutions de conception innovantes et de haute qualité qui offrent également des performances élevées.
Il y a 2 ans et 137 jours

Isonat, premier acteur à proposer des solutions sarking composées uniquement d'isolants en fibre de bois, validées par une ETN

De nombreux essais ont permis de valider le bon comportement hygrothermique des différentes configurations, l'étanchéité et la durabilité de l'écran de sous toiture Duoprotect avec ses points singuliers et les conditions d'une mise en oeuvre sans platelage. Suite à ces essais, le bureau de contrôle Alpes Contrôles a étudié et validé le procédé de Sarking Isonat Multisol en climat de plaine < 900 m, et a ainsi délivré l'ETN Alpes Contrôle A27T210Q.Grâce à cette certification, Isonat, déjà premier acteur du secteur de l'isolation biosourcée à bénéficier d'avis techniques, participe activement à la professionnalisation de la filière avec des solutions d'isolation validées par des tierces parties indépendantes.Qu'est-ce qu'une ETN ?Une Enquête de Technique Nouvelle (ETN) est un avis émis par un bureau de contrôle indépendant sur un procédé de construction non traditionnel. L'avis se base sur un cahier de prescription de pose et des rapports d'essais soumis par le tenant de système. L'ETN permet d'apporter aux acteurs de la construction des informations fiables sur la mise en oeuvre et la durabilité du procédé visé, pour offrir plus de sérénité aux usagers.Le Sarking en fibre de bois Isonat : une association vertueuse qui allie confort des occupants et engagement pour la construction durableCes solutions sont très avantageuses à la fois pour l'artisan et pour le client final.Pour l'artisan :Elles peuvent être mises en oeuvre en toute sérénité car elles ont été validées par un bureau de contrôle spécialisé (ETN Alpes Contrôle A27T210Q).Elles permettent à la fois une mise en oeuvre traditionnelle sur platelage mais aussi une pose d'isolan directement sur chevrons, avec un isolant complémentaire entre chevron, afin de faciliter l'obtention d'une isolation thermique et acoustique élevée.Elles incluent tous les accessoires nécessaires à la pose (un nouveau pare-vapeur spécialement conçu appelé Vario® Supraplex, 3 références de vis et des adhésifs et mastics pour parfaire l'étanchéité), avec un cahier de prescription de pose détaillant toutes les étapes de mise en oeuvre.Et pour le client final :Ces solutions procurent un excellent confort thermique, été comme hiver, avec des résistances thermiques allant jusqu'à 10 m².K/W.Elles assurent également un grand confort acoustique vis-à-vis des bruits extérieurs, avec un affaiblissement jusqu'à 48 dB (rapport d'essai CSTB AC22-10623, détaillé dans le tableau en fin de communiqué).Le tout avec des produits fabriqués en France à partir de plaquettes de bois issues de chutes de scierie voisines dans un rayon de 60 km autour de l'usine de Mably.Ces solutions sont particulièrement bien adaptées en neuf à tout type de bâtiment dont on souhaite laisser la charpente apparente, en particulier les chalets des régions de montagne. Ils sont aussi très utiles en rénovation de maisons individuelles dans le but d'économiser de la hauteur sous plafond et de pouvoir ontinuer à habiter les combles lors des travaux.4 solutions pour couvrir les principales situations en climat de plaine < 900 mSarking traditionnel sur platelage avec écran Duoprotect :Sarking traditionnel sur platelage avec écran HPV :Sarking entre et sur chevrons sans platelage :Des solutions complètes, incluant les isolants Isonat et tous les accessoiresLa nouvelle membrane de gestion de vapeur d'eau et d'étanchéité à l'air Vario® Supraplex, conçue pour le SarkingConçue pour une isolation de toiture par l'extérieur en climat de plaine, avec protection temporaire de la toiture jusqu'à 1 mois.Revêtement antidérapant.Sans éblouissement.Traitement anti-UV renforcé.Bord pré-adhésivés.Une membrane hygrorégulante :Protège la toiture de la vapeur d'eau toute l'année.Laisse sécher la paroi en été.Particulièrement adaptée en cas de risque de canicule.Les vis Sarking de fixation des contre-lattesIsonat a validé son ETN en partenariat avec trois fabricants de vis couramment utilisées sur cette application, pour proposer à ses clients le choix entre les vis Würth Assy® 4 Isotop, LR Etanco Starking ou SFS Twin UD.Cette gamme couvre une plage de longueurs de 170 à 500 mm et permet une épaisseur maximale d'isolant sur chevrons de 320 mm.Les accessoires d'étanchéité de l'écran DuoprotectDans le cas des couvertures à faible pente (≤ 30%) ou pour le traitement des points singuliers, l'étanchéité de l'écran sous toiture est validée avec la mise en oeuvre des adhésifs Vario® Multitape ou Vario® Fast Tape après application d'une couche de primaire en spray ou liquide de chez Würth ou Proclima en surface du panneau, ou avec la dépose d'un ruban de mastic de chez Würth ou Sika dans la rainure.Un gros travail a également été effectué pour préciser le traitement de tous les points singuliers dans le cahier de prescription de pose.Une excellente performance acoustique pour une conformité réglementaire même en zone bruyanteLes solutions d'isolation en Sarking Isonat donnent d'excellentes performances d'affaiblissement acoustique vis-à-vis des bruits extérieurs, avec 36 dB dans le cas d'une finition en platelage bois, et 48 dB avec un complémentent d'isolation entre chevrons.La réglementation acoustique pour les bâtiments neufs exige un isolement minimum de 30 dB, ce critère pouvant monter à 45 dB suivant la proximité de sources importantes de bruit (route, voies ferrées, aéroport). Les solutions Isonat permettent ainsi de répondre aux cas les plus sévères de bruits extérieurs.
Il y a 2 ans et 153 jours

Bilan 2022 des activités de la construction métallique

Pour Roger Briand : « Malgré les difficultés d’approvisionnement des premiers mois, l’impossibilité de répercuter sur le prix de vente l’intégralité des hausses des matières premières, ainsi qu’un ralentissement des prises de décisions des maîtres d’ouvrage en cette fin d’exercice, 2022 restera une bonne année pour notre profession. Le chiffre d’affaires réalisé par le secteur est en progression (+ 19%), du fait des très fortes hausses des matières premières et en particulier l’acier (+ 140%) dans un marché national inflationniste. »Ainsi, l’activité 2022 a essentiellement été assurée par l’investissement privé même si les investissements publics s’avèrent en évolution. Les travaux du Grand-Paris, des jeux olympiques et la requalification de centre-ville contribuent au développement d’une commande publique atone ces dernières années. Si la production annuelle devrait atteindre les 768.000 tonnes, soit un résultat proche de celui de 2021, notons que l’évolution des affaires conclues en 2022, est légèrement inférieure vs 2021, avec un regain de dynamisme marqué depuis août.Tendances des carnets de commandeL’évolution des carnets de commandes de la construction métallique française affiche, en moyenne, 6 mois d’activité. Notons, de plus, que le premier semestre 2023 devrait connaître une activité toujours soutenue, avec un horizon pour le second semestre demeurant incertain. Roger Briand de préciser : « Globalement, les dossiers de consultation sont nombreux, avec des disparités selon les régions. »Répartition par type d’activitéSi les bâtiments industriels demeurent l’activité principale des constructeurs métalliques (64% de parts de marché), mentionnons qu’en 2022, les bâtiments de commerces, ainsi que les bâtiments de stockage et les bureaux, connaissent également de fortes hausses. Précisons enfin que la construction de ponts et passerelles reste soutenue, en affichant des carnets de commande de plus de 6 mois.Taux des capacités de productionCe taux des capacités de production est un indicateur très suivi par la profession. Aujourd’hui celui-ci demeure, depuis 2021, très élevé, proche des 80%. Les industriels sont donc enclins à investir fortement, notamment pour la construction de bâtiments industriels. Ces extensions ou nouvelles réalisations sont en grande majorité exécutées par des constructeurs métalliques qui voient ainsi leur activité se développer.Pour Roger Briand : « Les constructeurs métalliques envisagent l’avenir avec sérénité grâce notamment à des carnets de commandent qui se remplissent et à de nombreuses demandes en études et chiffrages de dossiers, en cette fin d’année. Cependant, les alertes des économistes nous obligent à la prudence pour fin 2023. »L’engagement de toute une filière pour des bilans bas carbone et le réemploi des matériauxLes constructeurs métalliques n’ont pas attendu l’application de la RE2020 pour s’engager en faveur d’une construction responsable et répondant aux enjeux environnementaux. L’acier est l’unique matériau de construction à pouvoir être recyclé à l’infini tout en conservant la totalité de ses performances. Spécificité unique pour un matériau de construction, ses propriétés magnétiques facilitent grandement le tri. Fort de toutes ces caractéristiques, l’acier constitue également le matériau le plus recyclé dans le monde, contribuant à la préservation des ressources naturelles, à l’optimisation du cycle de vie et à la vitalité de l’économie circulaire. De plus, précisons que la construction métallique utilise surtout de l’acier recyclé, les déchets métalliques sont en effet revalorisés en quasi-totalité et réintroduits dans le process. Aujourd’hui, afin de toujours améliorer les performances des bilans carbone des constructions, les constructeurs utilisent des aciers bas carbone qui peuvent réduire significativement les émissions de CO2.S’il est généralement avancé que la production d’1 kg d’acier émet 2 kg de CO2, le marché propose des aciers dont les FDES confirment des résultats bien plus performants. Ainsi, Xcarb, acier d’Arcelor, revendique seulement 0,3 kg de CO2 par Kg de construction métallique produite. Par ailleurs, soulignons que les récentes FDES du CTICM affichent également de belles performances. À titre d’exemples, pour des profils du commerce, seulement 1,3 Kg de CO2 sera généré par Kg de construction métallique produit ; pour un profil reconstitué soudé, il ne sera que de 1,4 kg de CO2.Dans la même logique, la généralisation de l’utilisation d’énergie renouvelable dans la fabrication d’ossature acier va contribuer à la réduction de cette emprunte carbone.Par ailleurs, rappelons aussi que les constructions métalliques se prêtent idéalement à la démontabilité et au réemploi, qu’il s’agisse d’un bâtiment dans son ensemble, d’éléments modulaires ou bien encore de pièces détachées. En effet, véritables mécanos géants, les éléments métalliques peuvent aisément se démonter, se transporter et se remonter dans de nouvelles constructions. Une option évitant la démolition et donc une reconstruction impactante en termes d’émissions de CO2.Pour Roger Briand Président du SCMF : « Essentiel dans la réalisation de structure antisismique, incombustible, imputrescible et insensible aux attaques de parasites, l’acier est, par définition, infiniment durable. Dans cette approche, la traçabilité du matériau et des éléments constitutifs est essentielle afin de définir ses réemplois futurs. Une banque de poutrelles, plaques, modules, peut ainsi être répertoriée selon les poids, tailles, capacités structurelles. C’est un marché de l’occasion qui verra prochainement le jour. » Parfaite illustration de cette philosophie verte, Briand va utiliser pour la construction de sa prochaine usine aux Herbiers en 2023, 100 tonnes de poutrelle d’acier provenant de l’ossature des ex-halles Alstom de Nantes dont le démontage s’est achevé en début d’automne.Pour Roger Briand : « L’acier se positionne comme un fantastique matériau circulaire. Il dispose de deux leviers fort de décarbonation. Le premier, son outil de production primaire qui largement se décarbone. Le second réside dans la possibilité d’intégrer une part de réemploi dans une construction, proche d’une émission 0 carbone, renforçant d’autant la décarbonation de l’ensemble de la structure métallique. Les bâtiments métalliques ainsi construits peuvent désormais afficher un niveau de décarbonation atteignant les objectifs futurs de 2030, 2040 ready. L’objectif de 0,5 Kg d’émission CO2 voire moindre par Kg d’acier est un objectif atteignable. »Des besoins en recrutement, en formation, une nécessité : « Faire connaître nos métiers »Alors que la semaine nationale de journées portes ouvertes des constructeurs métalliques s’est déroulée du 10 au 15 octobre 2022. La profession, en présentant ses métiers aux ateliers très automatisés et robotisés, a accueilli de très nombreux collégiens, lycéens et leurs professeurs. Une opération séduction déployée pour la troisième année et qui s’est révélée à nouveau très appréciée des jeunes comme du corps enseignant. Rappelons que les besoins en recrutement des constructeurs métalliques se chiffre à plus de 20.000 emplois sur les 4 ans à venir. Le manque de formations pour ces métiers contraint d’ailleurs les entrepreneurs à concevoir des formations internes comme à multiplier les contrats d’alternance.Enfin, autre initiative marquante de la filière construction métallique : la création des « écoles de production » comme celle mise en place par l’entreprise SERRU de Château Gonthier, accompagnée par les pouvoirs publics. Malgré ces efforts, les constructeurs métalliques attirent l’attention de l’Éducation Nationale et les Régions pour le développement de ses métiers.
Il y a 2 ans et 166 jours

placo r s invite en cuisine avec les plaques de platre habito r et placoflam r

Ayant à cœur de contribuer à créer des intérieurs qui améliorent la qualité de vie et le bien-être au sein du foyer, Placo® développe des plaques de plâtre aux fonctionnalités spécifiques pour répondre aux besoins d’aménagement intérieur de tous les espaces de la maison. Chaque solution apporte ainsi ses atouts et répond aux exigences prioritaires dans l’usage d’une pièce à vivre. Et la cuisine n’échappe pas à la démarche !
Il y a 2 ans et 171 jours

knauf renforce sa relation clients avec toujours plus de services et de digitalisation

Société familiale fondée en 1932, le Groupe Knauf est le premier producteur mondial de plaques de plâtre, avec 40 000 collaborateurs, 304 usines réparties dans plus de 90 pays, pour un chiffre d’affaires de 12,6 milliards d’euros en 2021. En France, le Groupe est présent via sa filiale Knauf France depuis 1984, qui s’impose aujourd’hui comme le leader français du PSE (Polystyrène Expansé) pour le bâtiment mais également comme l’unique producteur tricolore de laine de bois. À travers son Offre Globale - plaques de plâtre, panneaux isolants en polystyrène expansé, polyuréthane, laine de bois et fibres biosourcées - Knauf répond à l’ensemble des besoins des acteurs du bâtiment pour l’aménagement intérieur et l’isolation des bâtiments.
Il y a 2 ans et 171 jours

Veletta, le nouveau radiateur sèche-serviettes astucieux et décoratif

Quand le design rencontre la fonctionnalitéDeux supports magnétiques à l’arrière permettent de suspendre les peignoirs en toute discrétion. Les serviettes peuvent, quant à elles, être accrochées sur la barre avant. Veletta devient ainsi le sèche-serviettes idéal à insérer entre le lavabo et la baignoire ou la douche. Au lieu d’être un objet distinct, il agit comme une partie du mur, créant et donnant de nouvelles fonctions à l’architecture.Un véritable élément de décoration Créé par le designer Davide Diliberto, le modèle Veletta est fabriqué sur une plaque radiante en acier haut de gamme. Il séduit par son élégance et son design épuré. Ce modèle apporte une réelle valeur ajoutée à toutes les salles de bains modernes. Veletta est disponible en blanc sablé, gris quartz, noir foncé ou d’autres coloris du nuancier Brem. Le nouveau radiateur sèche-serviettes Veletta est idéal pour décorer une salle de bain avec modernité, tout en garantissant un confort thermique de qualité. Ce radiateur se décline en deux hauteurs (135 et 175 cm) pour une largeur de 42 ou 50 cm. Il développe des puissances de 660 à 1191 W. Veletta existe en version à eau chaude, électrique ou mixte. Veletta a été élu lauréat 2022 de l'Europeen Product Design Award dans la catégorie produits d’intérieur pour la maison, les accessoires de salle de bain et les appareils ménagers Fiche technique : Designer : Davide DilibertoPuissance (en W) : 660 - 11913 options disponibles : eau chaude, électrique ou mixte80 finitions au nuancier de Brem Trois versions : H 135 et 175 cm, L 42 et 50 cm, P 15, 19 ou 21 cmPrix public indicatif : à partir de 1092 EUR TTC