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Il y a 4 ans et 22 jours

PORTALP RS : la nouvelle génération de portes automatiques piétonnes connectées

Passant presque inaperçues, les portes automatiques piétonnes équipent une grande diversité d’établissements recevant du public (commerces, administrations, centres hospitaliers…). Elles jouent pourtant un rôle essentiel en matière d’accessibilité, de sécurité, et de performance énergétique des bâtiments. Dans le contexte sanitaire actuel, elles contribuent plus que jamais à limiter la propagation des virus. Acteur français reconnu dans ce domaine, Portalp innove avec Portalp RS, une nouvelle génération de portes automatiques piétonnes connectées, polyvalentes et personnalisables pour répondre à tous les usages. Esthétique et modulaire Fabriquée sur-mesure en France, la gamme Portalp RS se distingue par le design compact et épuré de son caisson, d’une hauteur de 120 mm, aux lignes douces et contemporaines. Autorisant des largeurs de passage étroites (à partir de 700 mm) ou très larges (jusqu’à 4500 mm), elle offre une grande liberté de personnalisation pour répondre à toutes les contraintes d’espaces et d’installation grâce à : • 4 solutions de caissons répondant à la configuration et au poids des vantaux (standard 120 x 197 mm, renforcé 120 x 236 mm, télescopique 2 vantaux 120 x 296 mm, télescopique 3 vantaux 120 x 357 mm), • plusieurs configurations d’ouverture (coulissante simple ou double, télescopique à 2 ou 3 vantaux, antipanique), • différents types de vitrages (simple, isolant double ou triple, anti-effraction…), jusqu’à 26 mm d’épaisseur, • un large choix de coloris, finitions et accessoires. Installée en applique, entre-murs ou sur poteaux, la nouvelle génération de portes automatiques connectées piétonnes Portalp RS s’adapte à tous les projets, en neuf comme en rénovation. Une solution connectée Dotée d’une nouvelle technologie, la gamme Portalp RS intègre un module radio. Ce dernier permet à l’installateur comme à l’utilisateur (propriétaire d’un petit commerce, gestionnaire de bâtiment, responsable sécurité…) de paramétrer et contrôler ses portes à distance sur leur smartphone, via une connexion Bluetooth faible consommation (Bluetooth Low Energy). À l’interface graphique intuitive et multilingue, s’ajoutent deux applications mobiles sécurisées, téléchargeables sur plateforme Android, iOS et/ou AppGallery : • Autodoor Master dédiée aux poseurs et techniciens de maintenance. Elle les guide méthodiquement dans toutes les étapes de paramétrage de la porte jusqu’à sa mise en route grâce à la détection automatique des périphériques ou encore le diagnostic de défauts éventuels (uniquement sous Android), • Autodoor Pilot pour les utilisateurs et exploitants. Elle permet de créer des clés virtuelles pour paramétrer jusqu’à 32 utilisateurs par porte ; chacun ayant un profil pour piloter la porte (4 fonctions de commande). Outre le mode verrouillage/déverrouillage, ouverture prioritaire, ouverture automatique, l’application propose un sélecteur 6 modes (ouvert, fermé, automatique, entrée, sortie, libre). Intelligente, elle récolte également l’ensemble des données relatives au fonctionnement de la porte (compteur de cycles, état de la porte, historique des défauts…) ce qui permet, si nécessaire, de notifier une défaillance en temps réel au support technique de Portalp pour une intervention rapide. Innovante et fonctionnelle grâce à cette intelligence embarquée, la gamme Portalp RS est conçue pour s’adapter à chaque application et faciliter l’expérience utilisateur. Une installation rapide et une maintenance facilitée La nouvelle génération de portes automatiques piétonnes connectées Portalp RS est dotée d’une combinaison inédite de technologies au service d’une grande adaptabilité : • une alimentation à découpage (100-230 V) pour une faible consommation. Universelle, elle permet de couvrir tous les territoires avec une mise en œuvre quelle que soit la tension d’entrée, • une motorisation brushless associée à un chemin de roulement garantissant dans le temps un déplacement fluide et silencieux des vantaux, • 2 BUS CAN dissociés pour faciliter le câblage et l’installation des périphériques (détecteur par exemple), la communication de la porte avec l’application et l’identification des défauts, • une batterie de secours qui prend le relais en cas de coupure de courant. Conforme aux normes en vigueur et notamment la EN16005, la gamme Portalp RS inclut enfin un dispositif d’issue de secours intégré, de sécurité usagers sur passage et à l’ouverture. Elle bénéficie d’une garantie 2 ans, étendue à 5 ans en cas de souscription d’un contrat de maintenance auprès de Portalp. http://www.portalp.com
Il y a 4 ans et 23 jours

Les ponts du Val de Loire objets de toutes les attentions

Les ponts du Val de Loire constituent un motif emblématique du paysage exceptionnel du Val de Loire, reconnu au niveau international. Dans le but de mieux connaître, préserver et mettre en valeur ce patrimoine remarquable, la DRAC Pays de Loire pilote une étude typologique menée par le cabinet Paume, en partenariat avec l’École des arts et métiers d’Angers et la Conservation départementale du patrimoine de Maine et Loire. Elle co-organise, avec la Mission val de Loire, un séminaire radio et une exposition programmée pour l’été 2021 à Chalonnes-sur-Loire, en partenariat avec la municipalité, grâce au concours du photographe Thierry Degen. Un podcast de 6 épisodes est prévu autour des notions de connaissance, transmission, transformation, restauration, contemplation…
Il y a 4 ans et 24 jours

Hager et Comelit associent leur expertise du logement connecté

Hager et Comelit associent leur savoir-faire sur le marché français pour déployer une solution intégrée et connectée, simple à mettre en oeuvre, répondant aux attentes des promoteurs et des bailleurs sociaux de faire bénéficier aux futurs résidents de logements collectifs de solutions connectées enrichies. Ce partenariat s’appuie sur les solutions éprouvées des deux marques : le contrôleur domotique connecté coviva de Hager et le vidéophone Maxi avec Android de Comelit. Une expérience de connectivité enrichie La solution proposée permet d’intégrer nativement l’application coviva de Hager dans le moniteur Maxi de Comelit, généralement installé à l’entrée d’un logement. Cette intégration centralise ainsi toutes les fonctionnalités connectées du logement sur un écran ergonomique de 7’’ tactile au design moderne, facilitant leur usage par les résidents, avec un passage intuitif d’une fonction à une autre. Depuis la même dalle tactile, l’utilisateur pilote avec coviva, son éclairage, ses volets et stores électriques, son chauffage et son système d’alarme, son assistant vocal, et avec la platine d’appel extérieur Switch, son système de vidéophonie. Moniteur Maxi 7’ de Comelit intégrant l’application coviva de Hager   L’éco-système coviva Pour accompagner le marché de la maison connectée en pleine croissance, Hager a créé, en 2016, la gamme coviva : une solution radio (sans fils) dotée d’une application mobile. Le contrôleur coviva a depuis vu grandir son éco-système et poursuit son ouverture, avec l’intégration de nombreuses fonctionnalités et de nouvelles solutions de fabricants1. Sa technologie radio sans fil permet une mise en oeuvre très simple, sans travaux, en proposant une solution connectée, en neuf comme en rénovation. Un marché porteur Avec une croissance estimée à 70 % entre 2019 et 20222, le marché du logement connecté est un marché porteur. Dans le secteur du logement collectif, la tendance est aussi à la connectivité, avec des programmes immobiliers incluant de plus en plus régulièrement des offres connectées pour les futurs résidents. Ainsi, en mai 2019, 76% des acquéreurs d’un logement 3 souhaitaient, ou appréciaient, que le promoteur propose une solution connectée en standard et/ou en option. Un partenariat, des valeurs communes Le partenariat entre la marque franco-allemande Hager et la marque italienne Comelit s’est construit autour de valeurs communes. Les deux entreprises familiales et indépendantes disposent toutes deux d’une forte expertise dans les solutions connectées, avec des offres complémentaires sur le marché résidentiel individuel ou collectif.   1 En 2021, Hager et Bubendorff ont lancé Link, une clé pour connecter et piloter facilement la plupart des volets radio Bubendorff avec le contrôleur domotique connecté coviva de Hager. 2 Etude smarthome GFK2017.
Il y a 4 ans et 32 jours

Nouveau radiateur électrique vertical KOLONE : un design contemporain pour un radiateur « gain de place » alliant puissance, compacité et réactivité

KOLONE, le nouveau radiateur électrique vertical à inertie sèche d’ACOVA, se caractérise par un design contemporain et une grande compacité au service de la puissance et du confort de chauffe dans l’habitat. Des atouts qui en font un radiateur « gain de place » par excellence. Un design contemporain « gain de place » Etroits et compacts, les radiateurs KOLONE sont de véritables radiateurs « gain de place » : ils offrent des niveaux de puissances élevés (1300 et 1800 Watts), combinées à leurs faibles largeurs, Kolone étant proposé en 32,7 ou 49,1 cm de large. Le nouveau radiateur électrique KOLONE à inertie sèche d’Acova, est proposé en hauteur de 1m80 et se compose de deux ou trois éléments monoblocs verticaux plats. Grâce à sa faible épaisseur, sa saillie au mur est de 96,5 mm uniquement. Disponible en gris anthracite et en blanc, KOLONE offre un design minimaliste qui s’intègre idéalement dans tous les intérieurs contemporains, dans les séjours, chambres, bureaux, mais aussi les cuisines. L’habillage chromé sur le haut du radiateur participe à la finition parfaite de l’ensemble. Un système de chauffe breveté à inertie sèche pour un rayonnement homogène et un chauffage réactif  Kolone est un radiateur à inertie sèche qui bénéficie d’un système de chauffe breveté. Dans chaque élément vertical, une résistance électrique est moulée dans un bloc de pierre. Cette technologie favorise un chauffage par rayonnement homogène et parfaitement réparti sur toute la surface du radiateur, pour une chaleur douce dans les pièces. Grâce à la faible inertie de l’aluminium, le radiateur KOLONE offre une montée rapide en température. Il est léger (seulement 11,9 et 18,7 kg) pour faciliter la pose, y compris sur des cloisons légères. Des radiateurs faciles à intégrer dans un système domotique Pour permettre la programmation centralisée du chauffage dans l’habitat, ou même l’intégration à un système domotique, le radiateur électrique vertical KOLONE est livré sans régulation intégrée mais avec un récepteur mural à radiofréquence X2/X3D compatible avec des thermostats d’ambiance programmables X2D et X3D, disponibles en accessoires. http://www.acova.fr
Il y a 4 ans et 34 jours

"Il y a vraiment urgence sur les choix de politique énergétique", B. Doroszczuk (ASN)

NUCLÉAIRE. Auditionné par le Sénat alors que le projet de loi Climat et résilience est examiné à l'Assemblée nationale, Bernard Doroszczuk, président de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), est revenu sur les grandes lignes de la politique atomique française : parc nucléaire, réacteurs EPR et SMR, bouquet énergétique, déchets radioactifs... Dans le même temps, le Gouvernement a "mis à jour" le Contrat stratégique de filière nucléaire et annoncé les lauréats de la première phase de l'appel à projets pour moderniser l'industrie atomique.
Il y a 4 ans et 36 jours

DOM met en place une nouvelle organisation commerciale en France

Appartenant au groupe industriel français DOM-Security, DOM réunit trois entités commerciales en France : DOM-Metalux, acteur de référence dans l’univers de la quincaillerie de bâtiment ainsi que DOM-Ronis et DOM-TSS, respectivement fabricant et distributeur de verrouillage pour l’industrie. Ensemble, elles proposent une gamme complète de solutions de verrouillage et de contrôle d’accès électronique. Aujourd’hui, afin de simplifier la lisibilité de son offre, DOM mutualise les forces de vente de ses différentes sociétés commercialisant la marque DOM en France et adopte une nouvelle organisation commerciale.   Le client au cœur de la nouvelle stratégie de l’entreprise Pour répondre aux différentes problématiques rencontrées par leurs clients, les 3 entités de DOM en France, dirigées par Patrick Bouisset, s’appuient sur un réseau commercial désormais organisé en deux pôles : un pôle Distribution & Industrie et un pôle Projets Contrôle d’Accès Electronique. Le pôle Distribution & Industrie dirigé par Bruno Bocquet, s’adresse aux clients historiques de DOM-Metalux, DOM-Ronis et DOM-TSS, à savoir : • le marché de la construction servi par la distribution professionnelle, • les industriels intégrateurs de solutions de verrouillage. Il est composé d’une équipe de 8 commerciaux. L’équipe Distribution, pilotée par Fréderic Rabeuf, a pour mission d’accompagner les distributeurs dans le référencement des produits de stock et la formation de leurs équipes commerciales, ainsi que de les conseiller dans le choix des systèmes et solutions de verrouillages mécaniques et électroniques les mieux adaptés aux chantiers de leurs clients. L’équipe Industrie collabore avec les bureaux d’études des industriels pour développer des solutions de verrouillage sur-mesure à intégrer dans leur chaîne de production. Le Pôle Projets Contrôle d’Accès Electronique dirigé par Isabelle Sipel, suit les projets de contrôle d’accès électronique sur les marchés de l’éducation, de l’administration, de la santé, du divertissement et du tertiaire. Elle s’adresse plus particulièrement aux installateurs, intégrateurs et fabricants de contrôle d’accès. Grâce à cette nouvelle dynamique commerciale axée sur les spécificités de chacun de ses clients, DOM entend bien continuer à nouer des partenariats solides avec tous les acteurs du secteur et concrétiser de plus en plus de projets de verrouillage et de contrôle d’accès mécaniques et électroniques.   La prescription, un axe de développement prioritaire DOM a marié son expertise du verrouillage mécanique avec la culture contrôle d’accès électronique d’Unitecnic, qui a rejoint l’entreprise en 2019, pour structurer son pôle Projets Contrôle d’Accès Electronique autour de trois piliers fondamentaux : • L’accompagnement avant-ventes et ventes Une équipe expérimentée de 3 chargés d’affaires et une assistante commerciale travaillent à identifier les projets en appels d’offres grâce à des outils de veille de marché, ainsi qu’à qualifier les projets potentiels parmi les leads entrants. Ensuite, les solutions DOM les plus adaptées aux besoins de sécurisation des accès sont proposées au client. • L’installation et l’aide à la mise en service 3 collaborateurs pilotés par un coordinateur technique accompagnent ensuite le client pour l’installation et la mise en service. Ils sont également un support interne dans le montage de dossier de projets complexes pour les équipes Distribution & Industrie. • Le support technique après-vente Une hotline dédiée et une assistance technique de développement logiciel pour le système de contrôle d’accès 900 IP (solution 100% radio sans câblage) complètent l’offre DOM à destination de ses clients. Cet accompagnement personnalisé, depuis l’appel d’offres jusqu’à la mise en service, voire la maintenance sur site, contribue à désacraliser les systèmes de contrôle d’accès électronique et ainsi à rassurer le client final.   Avec cette nouvelle organisation commerciale, DOM qui emploie 230 personnes en France, assoit sa position d’acteur majeur de la sécurité dans un secteur au cœur de l’innovation mêlant créativité et rigueur. http://www.dom-europe.com
Il y a 4 ans et 36 jours

Leitz présente une nouvelle gamme de purificateurs d'air intégrant des technologies innovantes

Quatre technologies innovantesLe SensorPod, un outil de télé-detectionPlacé à l’écart du purificateur, le SensorPod™ mesure la qualité de l'air dans toute la pièce. Le SensorPod transmet les informations par radiofréquence et permet au purificateur d'adapter son action aux conditions changeantes de la qualité de l'air.Le filtre HEPA (Haute Efficacité pour les Particules Aérienne)Intégré aux purificateurs TruSens™, il capture les particules microscopiques, les allergènes, les composants organiques volatils et les gaz odorants. Le filtre HEPA permet un flux d’air efficace quelle que soit la position du purificateur dans la pièce.Les deux modèles Z-2000 et Z-3000 ont d'ailleurs obtenu l'accréditation ECARF (Fondation du Centre européen de recheche sur les allergies). La technologie de stérilisation UVPlacée dans le filtre, elle neutralise les germes et les bactéries et réduit la croissance des microbes responsables des odeurs.Le double flux d'air PureDirect™Testé en laboratoires indépendants, le flux d'air bidirectionnel PureDirect™ répartit l’air pur uniformément dans toute la pièce et fournit un air propre rapidement et efficacement.Un produit intuitif et un design soignéLes purificateurs TruSens™ propose un design moderne, récompensé par le prix Reddot Award 2019, et une interface utilisateur digitale intuitive.Un anneau lumineux associé à un code couleur, fournit des informations visuelles sur une qualité d'air bonne, moyenne ou mauvaise. Des indications permettant d’optimiser la distribution d’un air plus purUn écran digital, encadré par l’anneau lumineux, indique la qualité de l’air. La qualité de l'air mesurée par le SensorPod est basée sur l'échelle de l'indice de qualité de l'air (AQI) créée par l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) et affichée sur le purificateurUne gamme destinée aux personnes soucieuses de la qualité de l'air qu'elles respirent Leitz commercialise des purificateurs d'air adaptés à toutes les personnes soucieuses de la qualité de l'air qu'elles respirent. Cette gamme convient particulièrement aux familles avec enfants et animaux, ainsi qu'aux personnes atteintes de maladies respiratoires.
Il y a 4 ans et 38 jours

Wayzz : La numérisation de l’industrie du BPE se densifie

Cet article est à retrouvé dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine 4- Les capteurs Wayzz permettent notamment de géolocaliser les toupies et d’identifier les ajouts d’eau. [©Wayzz] Wayzz évolue sur le marché des services numériques aux entreprises, à commencer par la supervision des flottes de toupies. Pouvez-vous nous en retracer la genèse ? Sandrine Issartel :Spécialisé dans les métiers du béton, Wayzz a été lancé en 2015. L’entité est rattachée à MWSC, sa maison-mère née en 2013. Nous intervenons sur toutes les problématiques liées à la remontée d’information du terrain, spécifiquement dans le domaine du transport. Avec Wayzz Béton Sync, nous proposons une solution IoT ou Internet des objets, destinée au domaine du béton. C’est là notre force : proposer une solution répondant aux besoins spécifiques de ce métier. La dématérialisation des bons de livraison et la supervision des flottes ont aujourd’hui un marché établi. Comment densifiez-vous votre offre de service ?  AlanEtrillard :Aujourd’hui, nous sommes capables de proposer aux industriels du BPE d’avoir une remontée d’information en temps réel, grâce à ces capteurs placés sur les toupies. Et suivies depuis leur sortie de la centrale, jusqu’à leur retour. Temps de trajet, d’attente, de vidange – et depuis peu, les ajouts d’eau -, tout est recueilli en direct. Ces informations sont ensuite “digérées” et dispatchées dans des modules que nous avons définis. Ce qui permet à chaque acteur du BPE de disposer de données essentielles pour la bonne supervision de ses livraisons. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 4 ans et 38 jours

CN Tower : L’élégante en béton

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. En août 1974, commence la construction de la sphère de sept étages qui abritera les galeries d’observations et le restaurant tournant. [©ACPresse] La tour CN, fierté des Canadiens ? Sans aucun doute. Elle impressionne d’autant plus les nombreux touristes étrangers, qui la visitent. Chaque année, ils sont près de 1,5 M à contempler le panorama et à profiter des multiples activités offertes. Bien que gigantesque avec ces quelques 550 m de haut, l’origine de la tour a un caractère très pratique. En effet, dans les années 1960-1970, des gratte-ciel sont construits dans le centre-ville de Toronto, la plus grande ville du Canada, en raison de l’augmentation de la population. Gênant ainsi la propagation des ondes radio. Pour remédier à ce problème, une antenne de diffusion plus haute que ces immeubles doit être érigée. C’est ainsi que la tour CN est née, émergeant au-dessus de tous les autres immeubles. Dotée de récepteurs à micro-ondes à une altitude de 338 m et d’une antenne culminant à 553,33 m, la tour CN résout les problèmes de communications. Ainsi, si le Canadien National (CN) ou Compagnie des chemins de fer nationaux du Canada édifie cette tour, c’est pour démontrer le talent de l’industrie canadienne. Pour mener cet ambitieux projet à son terme, 1 537 personnes y travaillent 24 h/24, 5j/semaine, pendant 40 mois. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Il y a 4 ans et 38 jours

Groupe JPS Granulats : Le bas carbone comme leitmotiv

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Olivier Stocker, président du groupe JPS Granulats : « Dans le béton, c’est le clinker qui est émetteur de CO2, pas l’eau, ni les granulats ». [©ACPresse] Président du groupe JPS Granulats, Olivier Stocker est quelqu’un qui aime faire bouger les lignes. Déjà en 2017, il a fait modifier le référentiel de certification NF Liants hydrauliques1(NF 002). Ceci, pour le mettre en phase avec les Modalités d’application du marquage CE Ciments (CE 002). Une initiative qui a ouvert la porte à la fabrication de ciments en usines de mélange en France.  Par voie de conséquence, Ciments 2170, filiale de JPS Granulats, a pu lancer une production de CEM II/B-LL 42,5 N CE NF et 32,5 R CE NF. Le premier intègre 25 % de fillers calcaire micronisés Adca, fabriqués par JPS Granulats, et 75 % de clinker, fourni par Vicat. Quant au 32,5 R, le taux de substitution grimpe à 30 %. « Notre objectif pour 2022 est de passer 100 % de notre production en CEM II/B-LL 32,5 R », explique Olivier Stocker. Et de poursuivre : « Dans le cadre de notre R&D, nous avons même formulé un ciment avec 40 % de fillers calcaire et réalisé des bétons affichant tous les critères de durabilité et de résistance qu’on doit attendre d’eux ».  L’étape suivante dans le développement de l’offre ciments s’appelle CEM II/C 42,5 et CEM VI. Des solutions bas carbone, toujours réalisées par mélange, mais ternaires. Outre le clinker et le filler micronisé, ils intègrent du laitier. Toutefois, pas de haut fourneau. « En local, nous avons identifié un industriel intervenant dans le recyclage de l’acier,reprend Olivier Stocker. Ce dernier est en mesure de nous fournir un laitier dit de recyclage, apte à la production de ciment». Mais là se pose une nouvelle fois un problème de normalisation, qui n’a pas prévu la possibilité d’utiliser du laitier de recyclage. Il faudra donc faire bouger les lignes, puisque la ressource est là… Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 4 ans et 38 jours

SBM recherche un partenaire français

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. Alexander Kraus est le responsable commercial centrales à béton de SBM. [©SBM] SBM est un industriel autrichien intervenant dans plusieurs domaines. Pouvez-vous nous indiquer vos spécialités ? Pour commencer, SBM est une entreprise avec 70 ans d’expérience, qui se développe autour de deux axes : la production de béton et celle de matériaux de carrière. Nous comptons 165 collaborateurs. Nos marchés principaux sont bien entendu l’Autriche, où est installée notre usine, à Oberweis. Mais aussi l’Allemagne et la Suisse. Sur ces marchés, l’ensemble de notre catalogue est plébiscité, aussi bien nos centrales fixes classiques, mobiles, super mobiles ou conteneurisées. Au total, nous sommes présents dans une trentaine de pays, en particulier avec notre unité super mobile Euromix. Surtout sur les chantiers où il est nécessaire de s’appuyer sur une centrale mobile de forte capacité. Nos solutions conteneurisées sont aussi très bien perçues sur les marchés scandinaves, où les besoins sont très spécifiques. Les centrales mobiles représentent 50 % de notre activité. Les autres 50 % se réalisent autour des projets d’infrastructure majeurs comme les lignes de chemin de fer, les autoroutes ou les ports. Nous concevons et installons des équipements sur mesure qui s’adaptent à ces projets. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Il y a 4 ans et 39 jours

Les pompes nouvelles sont arrivées

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine L’automotrice Sermac 5Z36 retient l’attention : malgré une flèche cinq bras de 36 m, elle reste compacte. [©Sermac] Dossier : Le portrait du pompage du béton en France Le Top Dix du pompage Cemex : « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir » Les nouveaux entrants de la pompe Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy » SoPump veut digitaliser le pompage du béton Le pompage en France, c’est une centaine de sociétés présentes sur l’ensemble du territoire. Ce sont quelque 1 800 machines en service. C’est la mise en place de 25 % du BPE transporté. Et c’est le travail en sécurité comme leitmotiv. Le pompage du béton est un métier de proximité. Si quatre entreprises agissent à l’échelle nationale, l’essentiel des prestations intervient à un niveau plus local. Mais qui occupe le Top Dix du pompage ? Le pompage du béton fait pleinement partie des services proposés par le producteur de BPE Cemex. Une offre présente sur l’ensemble de la zone d’influence de l’industriel. Sur un marché pesant tout juste 70 machines pour l’année 2020, les acteurs de la pompe à béton se bousculent. Aux marques iconiques et historiques viennent s’ajouter de nouveaux entrants A partir de sa base toulousaine, Quali Parts & Services rayonne sur l’ensemble du territoire, proposant ses services d’entretien et de réparation. Mais surtout, l’entreprise assure la distribution exclusive des pompes sud-coréennes Dy. Explications avec Nelson Morgado, président de QPS. SoPump est la petite application qui monte dans le domaine du pompage du béton. La start-up est en action depuis une année maintenant. [Abonnes] La crise sanitaire a, certes, ralenti l’activité, mais pas bridé l’innovation. Le secteur du pompage du béton en profite bien, avec une large offre de nouveautés qui arrivent sur le marché ou ont été lancées il y a peu de temps. Pour ainsi dire, il n’est pas d’industriel qui ne présente pas au moins une nouvelle machine en ce début d’année 2021.   [/abonnes] ACM Equipement : Pour qui sont ces serpents... Distribuer de manière simple et rapide le béton sur chantier, telle est la vocation du Concrete Cobra. Cet outil signé Royal Makine a été développé en partenariat avec ACM Equipement. D’un poids de 250 kg en ordre de marche, il se présente comme un module autonome radio-commandé, alimenté par un moteur thermique Honda et disposant de quatre roues directionnelles. Ce choix permet les demi-tours rapides, dans un espace restreint, mais aussi une marche en crabe. La singularité du Concrete Cobra est de bénéficier d’un bras de distribution orientable sur 360°, mais surtout relevable. De quoi permettre des bétonnages dans un rayon de 2,50 m autour de la machine ou à une hauteur maximale de 4 m. La forme de l’extrémité du bras, en forme de tête de serpent, donne son nom au Concrete Cobra. Le diamètre standard du tuyau équipant la machine est égal à 125 mm. La connexion de tuyaux de diamètres plus petits est possible, par l’intermédiaire de réducteurs. Le Concrete Cobra s’utilise en liaison avec une pompe à béton stationnaire ou automotrice qui, elle, assure le transfert du béton à partir de la toupie. Le Concrete Cobra, le petit module de pompage adapté à tous les chantiers.[©ACPresse] Cifa Zoomlion : Une 47 m bien adaptée à la France Si la pompe automotrice K40H a fait les feux de l’actualité ces derniers temps, Cifa Zoomlion détient une autre machine tout aussi intéressante. Son nom : K47H. Ce “H” final indique la présence de bras en carbone. D’un PTAC de 32 t, montée sur un porteur 8 x 4, cette pompe reste malgré tout compacte, avec un encombrement identique à celui d’une 42 m. « Au moment de choisir, la question de la taille peut se poser... », indique Xavier Jean, directeur général de Cifa Zoomlion France. Il est vrai que cette pompe offre une flèche à cinq sections à pliage en “RZ”, allégée par la présence des deux dernières sections en carbone. Disponible depuis un peu plus de 18 mois en France, cette K47H a déjà conquis trois acheteurs. Ceux-ci peuvent ainsi réaliser des chantiers avec cette machine dédiée à une 42 m. Et ce, avec un confort absolu. Mais surtout disposer de 5 m complémentaires de flèche en cas de besoin. Comme nombre de ses aînées, la K47H reçoit le classique groupe de pompage HP1608EC, installé sur toutes les pompes de la marque de 28 à 47 m. L’équipement offre un débit de 160 m3à une pression maximale de 80 bar. La pompe K47H de Cifa Zoomlion est disponible en France depuis maintenant dix-huit mois.[©Zoomlion] Dy/Quali Parts & Services : Dites “33” Distributeur exclusif pour l’Europe et le Moyen-Orient de la marque de pompes à béton Sud-coréennes Dy, Quali Parts & Services (QPS) annonce l’arrivée de la toute nouvelle 33X-ZZ5. Cette machine se caractérise par la présence d’une flèche de 33 m cinq bras à pliage en “Z”, autorisant un déploiement sous une hauteur de 5,80 m. L’autre plus est une rotation à 360° en continu, offrant ainsi un maximum de polyvalence. Le groupe de pompage permet un débit de 160 m3/h, à une pression de 85 bar. Destinée à être montée sur un porteur 6 x 4, cette pompe affiche un PTAC d’environ 24,5 t. Sa longueur en ordre de marche est de 10,48 m, pour une hauteur de 3,90 m. QPS indique que la première machine de cette série sera livrée dans le courant du mois de juin prochain. La Dy 33X-ZZ5 arrive pré-montée, prête pour son installation sur un porteur européen.[©Quali Parts & Services] Everdigm/Flypump : La 43 m comme vedette Dans le domaine des grandes flèches, Everdigm poursuit sa logique de renouvellement de ces modèles. L’année 2020 a été celle de la pompe ECP 48 CX, qui a remplacé l’ECP 47 CX, tout en s’intégrant sur un châssis identique. En 2021, c’est l’ECP 43 CX qui tient la vedette, en succédant à l’ECP 42 CX. Pour l’utilisateur, le gain est de 1 m de flèche, tout en restant compact sur un châssis identique d’un PTAC de 32 t. Avec ses cinq bras, à pliage “ZR”, cette flèche autorise un déploiement sous une hauteur de 8,30 m. Ce qui permet de travailler en intérieur ou de rentrer efficacement par des accès extérieurs sans difficulté. Le bloc de pompage Everdigm 2116 offre une capacité de 160 m3/h, à 85 bar. Quant à la stabilisation, elle est de type “diagonal télescopique”, de 8 m à l'avant et de 8,50 m à l'arrière, en papillon. La pompe est équipée du système ESS qui avertit le pompiste de la zone de travail autorisée, en fonction des stabilisateurs sortis. Ceci, en ralentissant la rotation puis, en déclenchant une alarme, avant de stopper la rotation de flèche. Enfin, la machine est pourvue d’un compresseur d'air, d’une pompe à eau et d’un nettoyeur haute pression. Elle autorise aussi le transport de tuyaux complémentaires, de colliers, joints et autres équipements sur chacun de ses côtés, suivant le besoin des clients. En France, la marque Everdigm est distribuée en exclusivité par Flypump. Ce dernier vient d’ailleurs de livrer le premier exemplaire français de l’ECP 43 CX à MK Pompage. « Cette entreprise nous fait confiance pour la 5efois et elle n’est pas la seule dans ce cas,conclut Jean-Marc Wattebled, directeur de Flypump. Nous faisons toujours le maximum pour accompagner nos clients, car leur fidélité est notre satisfaction. » L’Everdigm ECP 43 CX tient la vedette, en succédant à l’ECP 42 CX.[©Everdigm] Imer : Des stationnaires pour la fin d’année Aujourd’hui, Imer dispose d’une offre restreinte de pompes à béton. Celle-ci se limite, pour l’heure, aux malaxeurs-pompes Boomix, déclinés en trois longueurs de flèche : 22 m, 24 m et 29 m. Ce qui répond bien à la demande du marché. A cela s’ajoute un unique modèle de pompe automotrice muni d’un bras de 36 m et une petite pompe stationnaire baptisée Booster 15... Mais l’année 2021 s’annonce comme celle de l’évolution et d’un enrichissement de l’offre automotrice, dont les nouveautés seront dévoilées à l’occasion de la Bauma. En attendant, dans les mois qui viennent, cette gamme stationnaire sera élargie avec l’arrivée des Booster 30 et 45, pour des capacités de pompage de 30 et 45 m3/h. Et en fin d’année, Imer devrait mettre sur le marché les modèles Booster 60 et 90. La petite pompe stationnaire Imer Booster 15 verra l’arrivée de quatre sœurs dans le courant de l’année[©Imer] Liebherr Malaxage et Techniques : Une 42 m bien née Pour Liebherr, l’année 2021 constitue une période de positionnement de son offre pompage sur le marché français. D’autant plus que l’industriel met à jour l’ensemble de son offre. Le haut de gamme actuel de la marque n’est autre que la 50 M5 XXT. Mais c’est la pompe automotrice 42 M5 XXT qui retient aujourd’hui l’attention. Montée sur un porteur 8 x 4, cette machine de nouvelle génération affiche un PTAC inférieur à 32 t, tout en offrant une portée verticale de 41,2 m. Et une hauteur de déploiement minimale de 8,60 m. Mais ce qui caractérise le plus cette machine est son groupe de pompage Powerbloc,« qui surprend les pompistes expérimentés par sa douceur de fonctionnement », précise Arnaud Lévy, directeur de Liebherr Malaxage et Techniques. Les à-coups sont beaucoup moins perceptibles, procurant un sentiment de légèreté au pompage, accompagné d’une bien plus grande stabilité de la flèche. Ceci, avec un régime moteur bas sans compromis sur la puissance de pompage. L’équipement est disponible en deux variantes : 140H et 170 H. Soit 144 m3/h ou 167 m3/h, à une pression de 80 bar. La différence se fait au niveau du nombre de cycles : 29 pour le 140H et 34 pour le 170H. Une première 42 m a intégré le parc de l’Alsacien Michel et sillonne activement les routes mosellanes [Lire Béton[s] le Magazine n° 92, p. 54]. Une deuxième machine est en préparation pour rejoindre le Sud de la France... Par ailleurs, Liebherr annonce aussi l’arrivée de la 36 M5 XXT. « Ce sera la nouveauté de l’automne, qui viendra enrichir la gamme actuelle », dévoile en conclusion Arnaud Lévy. La première 42 M5 XXT de Liebherr tourne en Alsace depuis quelques mois.[©Liebherr] Mecbo : Le renouveau des petites tailles Mecbo met en service sa toute nouvelle pompe automotrice 25 RZ, montée sur un porteur 4 x 2, d’un PTAC de 19 t. Le poids réel de la machine, pleins faits, est de 18,5 t. Sa flèche quatre bras autorise le déploiement sous une hauteur de 4,20 m. Repliée, elle permet à la pompe de s’inscrire dans une longueur hors tout de 8,10 m.« Le cahier des charges de la 25 RZ était simple : disposer de la flèche la plus longue possible, avoir un poids réduit et être compacte pour circuler en ville », détaille Antonio Agostinho, président de Mecbo. Cette machine reçoit le groupe de pompage Pulsar 6, d’une capacité de 90 m3/h. L’autre innovation Mecbo est la CityPump, qui voit sa flèche gagner 2 m, passant de 20 m à 22 m. Ceci, avec toujours un élément à pliage en “Z”, divisé en quatre bras. Le groupe de pompage est le Pulsar 4, de 70 m3/h et l’ensemble de la machine est inscrite sur un porteur 4 x 2, d’un PTAC de 19 t. Enfin, Mecbo annonce aussi une petite révision de sa 51 m, qui perd un peu de poids... Mecbo lance sa toute nouvelle pompe automotrice 25 RZ, montée sur un porteur 4 x 2.[©ACPresse] Putzmeister : L’électrique, c’est fantastique Exit le rouge et jaune historiques. Pour la dernière-née de ses pompes automotrices, Putzmeister a choisi une livrée bleue et noire. Répondant au nom de Iontron Hybrid, c’est une gamme électrique qui arrive sur le marché, disponible dans les classes de 20 m, 30 m et 40 m. Ces machines reprennent tous les fondamentaux des pompes automotrices classiques. Pour le pompiste, aucun changement, sauf la présence d’une motorisation électrique de 92 kW, en plus de l’entraînement diesel habituel. Il ne faut pas chercher de batteries non plus : il n’y en a pas. L’Iontron Hybrid utilise le réseau électrique du chantier pour fonctionner. Une puissance de 125 A est nécessaire... Pour ce faire, il suffit de dérouler le câble présent sur la machine et de le brancher. Puis, de basculer sur le Mode-E, en actionnant un simple bouton. Et enfin, de couper le moteur du porteur. Le moteur électrique prend en charge toutes les fonctionnalités de la pompe. Et s’il n’y a pas de courant ? L’Iontron peut profiter de lamotorisation thermique du porteur. Il est même possible de basculer d’un mode à l’autre, y compris durant le pompage. Pour permettrecette hybridation, Putzmeister s’est appuyé sur sa nouvelle technologie de pompe iLS. Ce groupe est proposé sur les machines de classe 30 m et 40 m et offre une capacité de 100 m3/h. Le mode électrique de l’Iontron permet une importante action sur le bruit et le CO2. Ainsi, la pression sonore passe de 115 dB(A) à 107 dB(A), soit un niveau divisé par deux. Quant au gaz carbonique, il n’y en a tout simplement plus : zéro CO2émis et zéro consommation de gasoil, contre 26,53 kg de CO2/h et 10,2 l de gasoil/h pour le moteur thermique diesel. Même si l’Iontron Hybrid constitue une belle innovation dans le domaine du pompage, Putzmeister n’en abandonne pas pour autant les technologies traditionnelles. Et d’annoncer la mise sur le marché de ses nouveaux malaxeurs-pompes Pumi. En fait, l’évolution vient du nouveau groupe de pompage TMP 1007 S, qui équipe à présent l’ensemble de la gamme. Le TMP 1007 S voit sa puissance améliorée et la course de son piston unique augmenté, passant à 1 000 mm. Résultat, un débit pouvant atteindre 92 m3/h. Enfin, l’offre des pompes stationnaires voit l’entrée en lice de la nouvelle série BSA 1000. Les BSA 1005 et 1006 intègrent le Diesel Deutz à 3 cylindres (Stage V), d’une puissance de 55 kW. Ce moteur ne nécessite pas d’additif Ad-Blue. Il actionne la pompe à double piston (course de 1 000 mm), d’un débit de 64 m3/h à 70 bar. Une motorisation électrique de 45 kW est aussi disponible. Enfin, ces deux pompes bénéficient de la commande Ergonic 3, dont l’une des fonctionnalités est de ralentir le régime moteur durant toutes les phases de marche à vide. Avec l’Iontron Hybrid, Putzmeister bouscule l’univers de la pompe automotrice.[©Putzmeister] Sermac/Bonneux : Une 60 m pour atteindre les sommets Le constructeur italien Sermac propose une gamme de pompes, allant de la compacte 4ZR20 à l’imposante 6RZ65. Et c’est du côté des machines haut de gamme qu’il faut aller chercher la nouveauté. Ainsi, en 2021, l’industriel va lancer sur le marché international une pompe à béton inédite : la 6RZ60 Superlight. Cette machine sera dotée d’une flèche six bras de 60 m à pliage en “RZ”, tout à fait adaptés aux grands chantiers, et montée sur un porteur à cinq essieux. D’une manière plus spécifique pour le marché français, l’offre actuelle se concentre autour de plusieurs machines. Telle la petite pompe 4ZR20. Dotée d’une flèche quatre bras de 20 m à pliage en “ZR”, elle se caractérise par un empattement court limité à 3,69 m et une longueur hors tout de 8,10 m. Mais aussi un espace de stabilisation de 3,39 m à l’avant et de 2,95 m à l’arrière. Pour les chantiers urbains, on peut citer aussi la 4Z27. Mais c’est l’automotrice 5Z36 qui retient l’attention. Non seulement, elle bénéficie d’une flèche cinq bras de 36 m, à pliage en “Z”, mais elle reste compacte, ne dépassant pas les 9,88 m de long. De quoi se glisser dans les milieux urbains exigus. Montée sur un porteur 6 x 4, avec un empattement de 3,90 m, elle intègre le groupe de pompage G9, d’une cadence de 158 m3/h, à une pression maximale de 80 bar.A géométrie optimale, la S-valve garantit d’importantes sorties de béton pour une usure réduite au minimum. Quant à la 5Z42, Sermac l’annonce comme la seule pompe du marché à être conçue avec un pliage cinq bras en “Z”. Ce qui lui permet de bénéficier d’une grande rapidité d’ouverture, avec une hauteur de dépliage de 8 m. Enfin, le malaxeur-pompe Twinstar 3Z24 complète l’offre “France”. Dotée d’une flèche de 24 m, il permet tout de même d’atteindre une charge utile de 5 m3de béton. L’automotrice Sermac 5Z36 retient l’attention : malgré une flèche cinq bras de 36 m, elle reste compacte.[©Sermac] Schwing Stetter : Une 43 m automotrice ou une 20 m3 stationnaire ? Une pompe automotrice et une stationnaire font l’actualité Schwing Stetter, côté nouveauté. Ainsi, l’industriel a-t-il mis sur le marché la S47SX dans sa version III. Cette pompe s’articule autour de sa flèche de 47 m cinq bras à pliage en “RZ”, autorisant un déploiement sous une faible hauteur : 9,80 m seulement, ce qui reste très peu pour une machine de cette classe. Quant à la tourelle, elle offre un généreux pivotement de 2 x 365°, laissant une grande liberté de mouvement. De même, pour minimiser les risques de bouchons, la tuyauterie de la S47SX III est proposée avec des coudes à grands rayons de calibre 275 mm. La stabilisation SX avant, en forme d’arc de cercle, permet l’intégration du groupe de pompage P2525, à cylindres de refoulement de 2,50 m. De quoi offrir un débit de 60 m3/h à une cadence de seulement huit coups/mn. Le coût d’usure des pièces en est d’autant réduit. L’autre point fort de cette pompe est son système Esay/Esasyflex de pilotage de la stabilisation. Cette technologie permet de stabiliser la machine d’un seul côté, autorisant le pompage en toute sécurité, même dans des espaces restreints. Montée sur un porteur 8 x 4, la S47SX III présente une longueur de 11,88 m en ordre de marche, pour un PTAC à peine supérieur à 31 t. Pour sa part, la pompe stationnaire s’appelle TP 100. Se présentant sous la forme d’une remorque tractable, elle affiche un poids inférieur à 2 t. S’articulant autour du groupe de pompage P 0615, elle offre un débit de 20 m3/h à une pression maximale de 85 bar. La TP 100 est disponible en trois motorisations : deux Diesel (Stage IIIA ou V de 345 kW) ou un électrique de 30 kW. Pour répondre à chaque configuration de chantier. Schwing Stetter a mis sur le marché la S47SX dans sa version III.[©Schwing Stetter] Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 39 jours

Dossier : Le portrait du pompage du béton en France

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine [©ACPresse] Le Top Dix du pompage Cemex : « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir » Les nouveaux entrants de la pompe Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy » Les pompes nouvelles sont arrivées SoPump veut digitaliser le pompage du béton Le pompage du béton est un métier de proximité. Si quatre entreprises agissent à l’échelle nationale, l’essentiel des prestations intervient à un niveau plus local. Mais qui occupe le Top Dix du pompage ? Le pompage du béton fait pleinement partie des services proposés par le producteur de BPE Cemex. Une offre présente sur l’ensemble de la zone d’influence de l’industriel. Sur un marché pesant tout juste 70 machines pour l’année 2020, les acteurs de la pompe à béton se bousculent. Aux marques iconiques et historiques viennent s’ajouter de nouveaux entrants A partir de sa base toulousaine, Quali Parts & Services rayonne sur l’ensemble du territoire, proposant ses services d’entretien et de réparation. Mais surtout, l’entreprise assure la distribution exclusive des pompes sud-coréennes Dy. Explications avec Nelson Morgado, président de QPS. La crise sanitaire a, certes, ralenti l’activité, mais pas bridé l’innovation. Le secteur du pompage du béton en profite bien, avec une large offre de nouveautés qui arrivent sur le marché ou ont été lancées il y a peu de temps. Pour ainsi dire, il n’est pas d’industriel qui ne présente pas au moins une nouvelle machine en ce début d’année 2021. SoPump est la petite application qui monte dans le domaine du pompage du béton. La start-up est en action depuis une année maintenant. En France, la production de bétons prêts à l’emploi a été d’environ 36,5 Mm3pour l’année 2020. Soit un recul de 9 % comparé à 2019, largement expliqué par la crise sanitaire liée au Covid-19. Aujourd’hui, près de 25 % de ce volume produit est mis en œuvre à la pompe sur site. Ceci, avec des variations régionales. Ainsi, le secteur Provence – Alpes – Côte d’Azur occupe la première marche du podium, avec près de 30 % pompés. A l’autre extrémité se situe la Bretagne, région plus orientée “tapis” pour le transfert du béton. D’une manière générale, une opération de pompage moyenne oscille entre 25 et 30 m3mis en œuvre. Par définition, le pompage est un métier de proximité, car l’acheminement de la pompe entre sa base et le chantier n’est pas comptabilisé. C’est seulement la prestation en tant que telle qui déclenche une facturation. Donc, faire rouler une pompe sur de longues distances n’a pas de sens au plan économique. D’autant plus que la motorisation de ces véhicules est optimisée pour fournir l’énergie nécessaire à l’équipement de pompage et non pour faire du transport… Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } ); Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 93
Il y a 4 ans et 45 jours

ESTP – Bâtiment Louis Vicat : Sous un ruban continu en Bfup

Retrouvez cet article dans le hors-série n° 23 “Bétons et Architectures” Signé Architecture-Studio, le nouveau bâtiment Louis Vicat constitue le nouveau repère de l’Ecole spéciale des travaux publics (ESTP). [©ACPresse] Louis Vicat constitue le nouveau repère de l’Ecole spéciale des travaux publics (ESTP), basé à Cachan, dans les Hauts-de-Seine. Il est visible jusqu’à la plate-forme d’échanges du RER B, avec la future ligne de métro 15 Sud, en cours de réalisation. Louis Vicat est le nom donné au nouveau bâtiment de l’école, celui dédié à l’enseignement des “Nouveaux bétons” et de “L’Efficacité énergétique”.  Les trois principaux acteurs du projet – Architecture-Studio, Ingerop et Léon Grosse, – ont veillé à la cohérence de l’architecture de l’édifice. Le nouveau bâtiment inaugure une dynamique de restauration du patrimoine vieillissant du campus et de l’extension de ses domaines de formation. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. 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Il y a 4 ans et 45 jours

Nouvelles ponceuses de sol Husqvarna

Husqvarna Constructions Products France enrichit sa gamme de ponceuses de sol pour des surfaces en béton PG. [©Husqvarna] Husqvarna Constructions Products France enrichit sa gamme de ponceuses de sol pour des surfaces en béton PG. Et intègre les produits phares HTC. Sept machines se déclinant en 3 tailles de ponçage constituent la nouvelle gamme. Elles s’appuient sur le système breveté Husqvarna Dual Drive Technology. Une technologie à deux moteurs séparés, l’un pour la tête de ponçage et l’autre pour les disques. Ces moteurs fonctionnent de manière indépendante l’un de l’autre. 40 % de productivité supplémentaire La tête et les disques tournent, au choix, en sens contraire ou dans le même sens. Dans ce dernier cas, la rotation garantit des performances supérieures au niveau des arêtes (seulement 13 mm non poncés en raz de mur). Alors que la rotation en sens inverse permet d’obtenir un effet de ponçage plus marqué au centre.  Radio-contrôlées, les ponceuses de sol PG sont équipées d’une fonction d’oscillation pour des sols plus plats et l’élimination des lignes et des crêtes. Mais aussi d’une propulsion stable et précise pour un ponçage au plus près des murs. Et d’un nouveau moteur haut de gamme de 15 kW/20 ch générant une augmentation de la puissance jusqu’à 36 %. En option, des lests permettent de faire varier la pression de ponçage. Enfin, légère et facile à utiliser, la radiocommande est disponible sur certains modèles. Ce qui permet d’offrir jusqu’à 40 % de productivité supplémentaire par rapport à une ponceuse manuelle.
Il y a 4 ans et 66 jours

Ehret lance la motorisation Voletronic io et fait entrer les volets battants dans la maison connectée

Cette nouvelle offre de motorisation, en partenariat avec Somfy, est une innovation majeure qui permet à EHRET de propulser sa gamme de volets battants dans le monde de la maison connectée !EHRET signe l'union du traditionnel et de la modernitéTout à la fois emblème de la tradition, de l’esthétique et de la sécurité, le volet battant est un classique indémodable. Caractère dominant d’une maison, il habille ses façades, leur donne du cachet et valorise l’esthétisme de l’ensemble. Sa robustesse en a toujours fait un atout sécuritaire indéniable, et ses aptitudes thermiques sont connues de tous.Avec la nouvelle motorisation VOLETRONIC io, EHRET propose à ses clients un volet battant traditionnel doté de toute la modernité qu’offre la maison connectée, grâce à un protocole radio domotique bidirectionnel. Une innovation majeure qui intègre toutes les fonctionnalités domotiques et notamment le retour d’information de la part du moteur.C’est-à-dire qu’avec la connectivité le volet peut être actionné (ouverture et/ou fermeture) de n’importe quel lieu et que simultanément, l’utilisateur obtient la confirmation que l’ordre a bien été réalisé ou qu’au contraire il y a eu une anomalie.Côté design, si la question de l’esthétique et du clair de jour est souvent perplexe dans le choix du volet roulant, elle ne se pose pas avec le volet battant. Là encore, EHRET assure esthétique et discrétion. Le clair de jour est optimisé grâce à un carter profilé etune intégration discrète à la façade. Côté coloris, en tout, ce sont plus de 4.000 coloris qui sont proposés à la vente dont un nuancier de 213 coloris RAL et 3 coloris AkzoNobel -2100, 2700 et 2900- disponibles sans plus-value.Des variantes design avec des formes spécifiques (cintre, triangle...) sont également possibles pour répondre à des demandes personnalisées et s’adapter à l’esthétique de la maison.Une utilisation au doigt et à la voixSelon le nombre de vantaux à manipuler, il est possible de concevoir et d’actionner des installations pour des volets battants de 1 à 4 vantaux (de 440 à 2400 mm de largeur).La manipulation est aisée via 3 modes de pilotage (commande murale tactile, télécommande ou smartphone) et le retour d’information en temps réel assure que la commande soit bien réalisée, même à distance.La motorisation VOLETRONIC io d’EHRET offre de nombreux bénéfices en termes de confort. Cette motorisation intègre le protocole radio domotique bidirectionnel io deSomfy, assurant ainsi une compatibilité des volets battants avec la solution domotiqueTahoma.Il est donc possible de créer des scénarios pour prévoir à l’avance les heures d’ouverture ou de fermeture des volets, comme par exemple l’ouverture automatique des volets du lundi au vendredi à 7h30 et une fermeture à 19h. Il est aussi possible de prévoir des horaires décalés lors des congés par exemple, pour simuler une présence à la maison et ainsi décourager des cambrioleurs.À tout moment, l’utilisateur garde la main sur ses volets et peut modifier, compléter ou annuler des ordres préprogrammés. Tahoma étant compatible avec les assistants vocaux, ces différentes actions pourront même être déclenchées par la voix, en le demandant simplement à Alexa, Google ouSiri.Un volet battant intelligentEquipée du protocole io Somfy la motorisation VOLETRONIC io est l’une des plus intelligentes et assure fiabilité et performance en matière de sécurité. Elle est notamment équipée d’une sécurité en cas de gel et est capable de détecter des obstacles afin que le moteur ne force pas, protégeant ainsi tout le système. Chaque bras est doté d’un moteur indépendant réalisant une action coordonnée avec l’autre bras pour une fermeture toute en douceur. La motorisation exécute également une pause avant la fermeture, évitant ainsi tout risque de pincement des doigts.Le système est pourvu d’une protection contre le vent avec un anémomètre et une position de sécurité indépendante pour chaque ventail en cas de vent. Chaque bras est muni d’un système de fusible. Par ailleurs, une autonomie est assurée en cas de coupure de courant (une batterie de secours est disponible en option). Lorsque les volets sont fermés, les moteurs les maintiennent bloqués, ainsi ils favorisent le retard à l’effraction.L’atout connectivité des professionnelsS’il est vrai que le protocole io existait déjà depuis plusieurs années dans le monde du volet roulant ou de la porte de garage, c’est une nouveauté dans le monde du volet battant et un nouvel atout de vente pour les installateurs professionnels. Le nombre de volets motorisés est toujours en croissance mais concerne principalement les volets roulants offrant déjà de la connectivité. Les professionnels peuvent désormais accroître leur offre et proposer à leurs clients des volets battants connectés en neuf comme en rénovation. De quoi susciter un nouvel engouement.Par ailleurs la motorisation VOLETRONIC io d’EHRET s’installe facilement. Dotée d’un moteur à réglage de fin de course automatique, l’installation ne nécessite aucun paramétrage du volet.Il n’est plus nécessaire d’ouvrir le carter pour programmer le moteur, la programmation s’effectue depuis le point de commande. Ainsi tous les paramètres de base pour l’installation sont accessibles depuis la télécommande.Pour finir, l’outil de diagnostic et maintenance connecté, Serv-e-Go®, va permettre à l’installateur de réaliser un diagnostic de l’installation à distance, il pourra également reconfigurer une installation. Un service qui viendra compléter la satisfaction client pour une intervention rapide et efficace.Solution universelle, la motorisation VOLETRONIC io est idéale pour motoriser et connecter des volets battants neufs ou existants. 100 % personnalisable, elle s’adapte à tous les types de pose et est compatible avec tous types de fenêtres, cintrées ou avec feuillures et volets précadre.Alors nul besoin de sortir de sa maison ou d’ouvrir ses fenêtres pour fermer ses volets, avec EHRET il est désormais possible de garder l’esthétique et l’élégance de ses volets battants et de profiter de tout le confort et de la sécurité de la maison connectée.
Il y a 4 ans et 67 jours

La France devrait renouer avec la croissance début 2021, mais l'emploi va se dégrader

Le produit intérieur brut (PIB) devrait croître d'environ 1% au premier trimestre, après sa chute historique de 8,2% en 2020, selon une prévision de l'Insee publiées jeudi, révisant ainsi un peu à la baisse sa précédente prévision de 1,5%.Puis la croissance pourrait atteindre encore 1% au deuxième trimestre, dans l'hypothèse d'une amélioration de la situation sanitaire à partir de la mi-avril, avec la diffusion de la vaccination et la levée de certaines restrictions.La semaine dernière, la Banque de France avait aussi indiqué s'attendre à une "légère hausse" du PIB au premier trimestre, même si l'activité resterait encore inférieure à son niveau d'avant-crise.Selon l'Insee, au premier trimestre, le PIB sera 4% inférieur à son niveau de fin 2019, et l'écart sera encore de 3% au deuxième trimestre.A mi-année, l'acquis de croissance, c'est-à-dire l'augmentation du PIB qui serait enregistrée en 2021 si la croissance était nulle sur la deuxième moitié de l'année, serait d'environ 5,5%, souligne l'Insee.Une évaluation qui donne des raisons d'espérer au gouvernement, qui table sur une croissance de 6% en 2021, contre 5% pour la Banque de France et 5,9% pour l'OCDE. L'Insee n'a pas encore donné de prévision pour l'ensemble de l'année."Les chiffres qui viennent de tomber montrent que l'économie française retrouve des couleurs", s'est réjoui le ministre de l'Economie Bruno Le Maire sur Radio Notre-Dame."Le premier trimestre se caractérise un peu comme un entre-deux ou comme une ligne de crête", sanitaire et économique, "avec tout à la fois des signes de lassitude, mais aussi des signes de résistance", a souligné Julien Pouget, chef du département conjoncture de l'Insee, lors d'une visioconférence de presse.Parmi les signes de résistance, figure notamment l'adaptation de la consommation aux contraintes sanitaires, grâce à la préservation des revenus des ménages. Elle devrait progresser de 1% au premier trimestre.Par ailleurs, la production industrielle est nettement repartie en début d'année et l'investissement a mieux résisté qu'attendu.Enfin, l'environnement international s'annonce plus favorable, avec la reprise qui se dessine au niveau mondial ou encore le massif plan de relance américain.Emploi en baisseA l'inverse, plusieurs facteurs montrent que la partie n'est pas gagnée.D'abord, les perspectives d'emploi sont plutôt défavorables au premier trimestre, en particulier dans les services.L'Insee anticipe une baisse de 91.000 emplois au premier trimestre (dont 77.000 emplois salariés), notamment dans l'hébergement-restauration et les services aux ménages."Ces chiffres de destructions d'emplois dans les secteurs de l'hôtellerie, de la restauration et du tourisme montrent qu'il est indispensable de conserver un soutien fort pour ces secteurs", a réagi Bruno Le Maire.Car à mesure que le temps passe, les entreprises devraient progressivement "renoncer à retenir de la main d'oeuvre dans leurs effectifs, en abaissant notamment l'ampleur de leur recours au chômage partiel", explique l'institut.Il table aussi sur une progression du taux de chômage à 8,5%, après 8% fin 2020, du fait du retour sur le marché du travail de personnes sans emploi et qui avaient cessé d'en chercher.Ces tendances illustrent "les deux économies" qui cohabitent actuellement en France, selon les mots du ministre de l'Economie.D'un côté l'industrie, dont une partie est revenue à son niveau d'avant-crise, et qui pourra bénéficier du plan de relance, et de l'autre les services, ces derniers ayant vu leur situation se dégrader.Ce déséquilibre devrait se poursuivre au deuxième trimestre, avec une poursuite de la reprise dans la quasi totalité de l'industrie, un redressement dans les services aux ménages et les transports, quand l'hébergement-restauration ne comblerait que "la moitié de l'écart le séparant de son niveau d'activité d'octobre" 2020, selon l'Insee.Pour ces secteurs toujours touchés par la crise, le gouvernement a assuré que les mesures de soutien seraient prolongées autant que nécessaire.
Il y a 4 ans et 72 jours

Valoriser le patrimoine culturel à travers la réalité augmentée : quels obstacles juridiques ?

La réalité augmentée (RA) est un outil de développement stratégique qui permet de développer certaines initiatives culturelles et éducatives, et offre nombre d’opportunités commerciales. Le droit d’auteur génère toutefois des obstacles juridiques qui peuvent compromettre la viabilité des initiatives fondées sur la RA. La RA consiste à superposer des éléments calculés par un système informatique à la réalité en temps réel. Cette technologie permet ainsi de voir, à l’aide d’un dispositif – tel qu’un smartphone – des images élaborées par un logiciel dans un contexte réel. Un exemple célèbre est le jeu des Pokemons, où les images en mouvement de ces personnages de fantaisie apparaissent aux joueurs munis d’un smartphone doué d’une application spécifique en des lieux spécifiques. Elle s’applique à différents secteurs, dont le patrimoine culturel. La RA peut jouer un rôle dans l’éducation à l’histoire et à l’art d’une communauté. Ces éléments sont fondamentaux pour mieux développer une identité, aussi bien au niveau individuel que communautaire. À travers la RA, il est possible de valoriser les sites où se trouvent des biens culturels, ainsi que les collections des musées ou des archives qui hébergent ces biens. Ainsi, une RA sur un ou plusieurs tableaux du Louvre pourrait valoriser non seulement le tableau, mais également la collection du musée. À travers des reproductions et représentations d’objets culturels, un public large peut alors accéder non seulement aux objets qui composent actuellement le patrimoine culturel, mais aussi à des informations sur l’histoire de ce bien, les techniques qui ont permis de l’élaborer, ou le contexte historique de sa création. L’expérience de visite devient ainsi plus exhaustive, interactive, enrichissante ; en un mot, plus attrayante. On peut émettre l’hypothèse que tout cela peut avoir des retombées positives sur le développement culturel, ainsi que de façon plus indirecte, sur d’autres éléments, tels que l’évolution du secteur touristique alentour, mais aussi un intérêt croissant des opérateurs du marché qui développent des solutions RA. Les exemples de RA appliquée aux biens culturels se multiplient en France et ailleurs : citons le pont d’Avignon), l’Ara Pacis Augustae à Rome), des pièces du musée d’art Islamique à Berlin), les tableaux du musée Van Gogh à Amsterdam, ainsi que quelques tableaux de la Tate à Londres, ou de la Art Gallery of Ontario à Toronto ; ou encore les dinosaures exposés au musée de Trento. À travers ces exemples, on note que les objets concernés par la RA sont plutôt anciens ; ou bien il s’agit d’objets qui présentent un intérêt scientifique, mais pas artistique. Cette précision factuelle permet de comprendre qu’il est plus simple de développer une application RA sur des objets anciens ou de caractère scientifique que sur des objets à caractère artistique et ce en raison de l’absence de droit d’auteur sur les premiers. S’agissant des biens culturels à caractère artistique, ils incorporent une œuvre de l’esprit, c’est-à-dire la forme expressive d’une idée. C’est le cas pour la sculpture, la peinture, la littérature. Ce type d’œuvre peut faire l’objet d’un droit d’auteur. Ce droit couvre les œuvres originales, c’est-à-dire découlant de l’effort intellectuel d’une personne physique ; ainsi les œuvres générées par une machine, par un logiciel, ne pourraient pas être protégées. La protection concerne les œuvres qui ne sont pas particulièrement anciennes. En France et en UE, ainsi qu’aux États-Unis, les œuvres originales sont protégeables jusqu’à soixante-dix ans après la mort de l’auteur ou du dernier auteur. Ainsi, un bien culturel artistique peut être protégé par le droit d’auteur si son créateur est décédé il y a moins de soixante-dix ans. C’est le cas, par exemple, des tableaux de Jackson Pollock. La protection offerte par le droit d’auteur permet de jouir d’un droit exclusif sur les œuvres de l’esprit, ce qui confère une position sur le marché plutôt forte à son titulaire. En effet, en principe la présence du droit exclusif empêche d’exploiter une œuvre en l’absence du consentement de son titulaire. La protection des bases de données D’autre part, les collections des instituts du patrimoine culturel, c’est-à-dire les musées, bibliothèques, archives et instituts de dépôt légal pour le matériel audiovisuel ou radiophonique peuvent être qualifiés en tant que bases de données, c’est-à-dire comme recueils de données, informations, contenus et autres matériels, organisés de façon méthodologique et systématique et au sein desquels on peut accéder aux éléments individuellement. À certaines conditions, les bases de données dans l’UE peuvent jouir d’une protection qui limite l’extraction et l’exploitation des données les composant : il s’agit du droit sui generis sur les bases de données, une forme de protection juridique supplémentaire par rapport à celle offerte – éventuellement – par le droit d’auteur. En sa présence, il sera nécessaire d’obtenir l’autorisation du titulaire du droit avant de pouvoir copier et coller des éléments de la base de données dans un autre contexte. Cette forme de protection sur les bases de données peut venir se rajouter à celle couvrant les éléments qu’une telle base de données contient. Ainsi, une collection d’archives est une base de données et les documents contenus dans la collection peuvent être des œuvres de l’esprit protégées par le droit d’auteur. À titre d’exemple, la collection du musée George Pompidou peut être qualifiée en tant que base de données et elle est protégeable par le droit d’auteur de façon globale, ainsi que par le droit sui generis sur les bases de données, tout comme les œuvres de Pollock qui y sont contenues et exposées sont protégées par le droit d’auteur. Comment faire si on veut développer une application RA autour des œuvres de Pollock, Koons et d’autres auteurs contemporains ou de l’histoire récente exposés au centre Pompidou ? Il faut alors obtenir l’autorisation d’exploitation des droits d’auteur et sui generis auprès des titulaires, tout en étant attentif au respect de la paternité et de l’intégrité des œuvres exploitées, si l’autorisation est donnée. Globalement, le droit d’auteur peut faire obstacle à des exploitations telles que les reproductions et représentations nécessaires à des applications en RA. En effet, il s’agit d’un droit exclusif, et donc en l’absence d’autorisation l’œuvre ne peut pas être exploitée. Le consentement doit être fourni par le titulaire des droits patrimoniaux, c’est-à-dire des droits qui peuvent faire l’objet d’un contrat et qui couvrent les activités de reproduction et de représentation. Or, en raison des règles d’attribution de ces droits, il n’est pas toujours facile d’identifier qui détient les prérogatives et peut donc contrôler toute reproduction ou représentation. De plus, le créateur de l’œuvre – qui parfois ne détient plus les droits patrimoniaux en raison de la possibilité de les céder pour les monétiser – a toujours le droit d’être reconnu comme « père » de l’œuvre, ainsi que le droit au respect de la forme et de l’esprit de l’œuvre : c’est ce qu’on appelle les droits moraux, qui ne peuvent pas être cédés par contrat et qui durent au-delà des soixante-dix ans après la mort de l’auteur. De même, le droit sur les bases de données étant exclusif et se cumulant à la protection sur les éléments individuels composant la base de données peut vraisemblablement constituer une limite au développement de telles initiatives. Comment procéder alors ? Exceptions au droit d’auteur Les réponses sur la viabilité d’application RA peuvent être cherchées dans certaines exceptions au droit d’auteur, c’est-à-dire dans les règles qui permettent une exploitation des œuvres de l’esprit – ainsi que des bases de données – protégées même en l’absence d’une autorisation. On songe notamment à l’exception de citation, mais également à l’exception pédagogique, ainsi qu’à celles moins mentionnées par la presse et les œuvres de divulgation, telles que les exceptions sur les œuvres orphelines, et, plus récemment, sur les œuvres hors commerce, ou sur le data mining. Les exceptions sont expressément listées par le code de propriété intellectuelle français – à l’art. 122-5 notamment – et par les textes nationaux homologues au sein de l’UE. Une lecture creusée de ces dispositions révélant que seules certaines activités de reproduction et représentation pourraient être justifiées en l’absence du consentement du titulaire des droits, cette solution ne saurait être que partielle. D’autres solutions semblent par ailleurs pouvoir découler des normes exogènes aux droits de propriété littéraires et artistiques. On songe notamment aux règles sur la réutilisation des données publiques, qui peuvent s’appliquer également aux informations gérées par les instituts du patrimoine culturel et par les administrations et établissements publics voués à la gestion du patrimoine culturel. Mais là encore, il ne s’agit que de solutions partielles, puisque les conditions pour que ces normes interviennent ne sont pas toujours remplies. Il est possible que la pratique bien intégrée par le système français des accords collectifs entre les instituts du patrimoine culturel, les administrations gérant les biens culturels et les sociétés de gestion collectives (telle que l’ADAGP par exemple) fournisse, à terme, une solution plus exhaustive et vienne soutenir le développement de la RA. Cristiana Sappa, Professeur associé en droit des affaires, IÉSEG School of Management Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original. Photo : A la Conciergerie, la réalité augmentée permet de découvrir les lieux sous un autre oeil. La Conciergerie, Paris
Il y a 4 ans et 73 jours

Bientôt sans filet nucléaire, l'Allemagne doit accélérer sa mue énergétique

La maison de Wolfgang Mayer, maire jusqu'en 2014 de cette bourgade proprette, offre une vue imprenable sur l'imposant complexe avec ses deux tours de refroidissement de 160 mètres, plus hautes que les flèches de la cathédrale de Cologne.Le dernier bloc en activité produit encore 10 milliards de kWh par an, de quoi couvrir les besoins en électricité de l'agglomération de Munich.La centrale de Gundremmingen sera mise hors service le 31 décembre 2021, tout comme deux autres installations situées au nord de l'Allemagne. Fin 2022, les derniers réacteurs du pays seront débranchés et l'Allemagne aura alors mis en oeuvre la décision historique de sortir du nucléaire, prise par la chancelière Angela Merkel le 30 mai 2011, après la catastrophe de Fukushima.Le revirement était alors total de la part des conservateurs au pouvoir qui avaient quelques mois auparavant accepté de prolonger la durée de vie des plus anciennes centrales.Dans un pays où le puissant mouvement anti-nucléaire s'est d'abord nourri des craintes d'un conflit lié à la guerre froide, puis des accidents comme Tchernobyl, l'annonce avait reçu un large soutien de l'opinion.Elle avait en revanche entraîné un bras de fer avec les opérateurs des centrales qui exigeaient des compensations. Vendredi, Berlin a finalement dévoilé un accord d'indemnisation à hauteur de 2,4 milliards d'euros visant à solder définitivement cette question.Comme l'égliseA Gundremmingen, le changement d'ère a encore du mal à passer.La centrale "faisait partie du village comme l'église" et c'est désormais comme si "quelque chose mourait", se désole Gerlinde Hutter, patronne de l'auberge locale.Il faudra "au minimum 50 ans", assène M. Mayer, pour évacuer tous les résidus radioactifs du démantèlement. Le gouvernement allemand est toujours à la recherche d'un site de stockage national pour les déchets longue durée.Au-delà de la paisible localité, c'est l'ensemble de la première économie européenne, très gourmande en énergie, qui est mise au défi de réussir sa transition.Depuis 2011, le développement des énergies renouvelables a été spectaculaire en Allemagne: leur part dans la production d'électricité a pour la première fois atteint 50% en 2020, selon l'institut de recherche Fraunhofer, contre moins de 25% il y a dix ans.La baisse du poids du nucléaire (12,5% en 2020) "a été surcompensée par l'expansion des seules énergies renouvelables", explique à l'AFP Claudia Kemfert, experte en énergie à l'institut de recherche économique DIW.Les centrales atomiques n'ont donc pas été remplacées par le recours au charbon, même si la part de cette énergie fossile représente encore près d'un quart du mix électrique.Plus de gaz ? Or le vaste chantier d'abandon du nucléaire se double de l'objectif, annoncé en 2019, de fermer les centrales à charbon d'ici 2038 au plus tard.Ce double exit peut sembler une gageure alors que l'Allemagne demeure le principal producteur de lignite au monde.L'exploitation de ce charbon brun, extrêmement polluant, continue d'entraîner la destruction de villages, dans l'ouest du pays, pour agrandir d'immenses mines à ciel ouvert.En sortir implique le développement de toujours plus de renouvelables - éolien, solaire, biomasse et hydroélectrique -, dont la part doit être portée à 65% d'ici 2030.Mais le pays, qui a longtemps été aux avant-postes de l'énergie éolienne en Europe, n'a installé que 1,65 GW de parcs l'année dernière, le plus bas niveau depuis une décennie, relève le lobby européen WindEurope.Pour atteindre ou dépasser les objectifs du gouvernement, il faudrait ajouter annuellement 9,8 GW de photovoltaïque et 5,9 GW d'éolien terrestre, calcule Mme Kemfert.Or l'aménagement de nouvelles surfaces pour la production éolienne ou photovoltaïque est complexe, se heurtant souvent au refus des riverains et au risque d'atteintes aux paysages.Sauf à innover en combinant au mieux le stockage et la distribution, via des centrales électriques dites virtuelles, ces énergies intermittentes n'ont en outre pas la même stabilité que l'énergie thermique ou nucléaire.Pour sécuriser son approvisionnement, l'Allemagne pourrait donc être tentée de multiplier les centrales au gaz, au risque de renforcer sa dépendance à la Russie, comme l'illustre la controverse autour du chantier du gazoduc Nord Stream 2.Une centrale au gaz est d'ailleurs prévue à Leipheim, commune voisine de Gundremmingen.
Il y a 4 ans et 73 jours

Les travaux d'Hercule démarrent au Grand Palais pour rétablir la lumière et l'espace

L'ensemble classé monument historique, formé de trois bâtiments construits pour l'exposition universelle de 1900, rouvrira partiellement au printemps 2024 (pour la nef et les galeries attenantes) et complètement au printemps 2025.Décidé il y a dix ans en raison de profondes dégradations, le chantier a été révisé fin 2020 pour un concept "plus sobre et écologique", à la requête du ministère de la Culture.Abattage de murs et cloisons, sécurité incendie, accessibilité, restauration des toitures engagée depuis 2016 (20.000 m² sur 35.000 m²), climatisation, nouveaux parcours... tout cela doit être fait avec une enveloppe approuvée en 2016: 466 millions d'euros financés par des subventions, un emprunt et du mécénat.Le Grand Palais, c'est 72.000 m², un km de circonférence, 200.000 tonnes de pierre, plus de fer que pour la tour Eiffel, 280 tonnes de verre...Parmi les plus coûteux travaux d'Hercule du plan initial, l'excavation de milliers de mètres carrés sous la nef a été abandonnée. "Il y avait des risques très forts en creusant dans une zone inondable. Le projet précédent cassait beaucoup de choses. En maintenant l'existant, on pouvait garder la même surface", explique Emmanuel Marcovitch, directeur-général délégué de la Réunion des musées nationaux-Grand Palais, affectataire de l'ensemble des bâtiments.Un "Grand Palais éphémère" est édifié par l'architecte Jean-Michel Wilmotte au Champ de Mars, jusqu'à ce que la nef puisse accueillir en 2024 des épreuves des Jeux olympiques, foires et défilés sous la plus grande verrière d'Europe aux élégantes armatures vert réséda.Pour les expositions au Palais d'Antin qui abrite depuis 1937 le Palais de la Découverte, une autre structure éphémère, "les Etincelles", va ouvrir dans le XVe arrondissement.Retrouver une "architecture de lumière"Symbole d'un compartimentage aussi absurde que rudimentaire, une chaîne de vélo verrouillait encore récemment une porte oubliée, séparant les galeries nationales du Grand Palais des espaces du Palais de la découverte, établissement public dépendant d'Universcience. "On pourrait exposer cette vieille chaîne en souvenir", plaisante l'historien d'art belge Chris Dercon, à la tête de la RMN-Grand Palais depuis 2019.Les deux entités muséales subsisteront mais "une plus grande porosité sera établie entre arts et sciences, et leurs publics respectifs", espère François Quéré, directeur-général délégué adjoint d'Universcience.Un espace libre de 5.000 m² reliera Champs-Elysées et bords de Seine: une entrée unique permettra au visiteur de déambuler gratuitement, profitant d'évènements culturels sans acheter de billet."On va enlever tout ce qui n'est pas intéressant. Ce bâtiment avait été cloisonné avec, dans les années 1960, jusqu'à seize occupants" qui y avaient des bureaux, souligne Chris Dercon.Le projet permettra aussi de retrouver son "architecture de lumière", ajoute-t-il.Désignant au journaliste de l'AFP venu sur place les voûtes du palais d'Antin, Christelle Linck, responsable de la communication d'Universcience, montre les usures du temps: "elles sont sous filet, des éléments de maçonnerie tombent. Les parements sont tachés. L'eau s'infiltre par les verrières".Partout, des espaces d'expositions vont être regagnés. Une Galerie des enfants, ludique, sera aménagée sous la Rotonde d'Antin, à l'emplacement de l'ancien manège à chevaux.Autour de la nef, ce sont 3.700 m² de balcons restaurés qui seront rendus au public. Et une dalle thermique et des filtres sous la verrière vont éviter le froid et le chaud excessifs.Une capacité d'accueil augmentée de 60%, grâce à l'aménagement d'issues de secours, c'est ce que gagnera la nef de 13.500 m²: 9.000 personnes pourront s'y croiser contre 5.600 avant la pandémie. Une nécessité en prévision de l'affluence pour les JO de 2024.A l'extérieur aussi, le Grand Palais a engagé son lifting. Les jardins aux abords seront réaménagés. Alors que des statues avaient disparu, volées, et que d'autres tombaient en morceaux au risque de blesser des passants, l'ensemble, sous un filet depuis 2018, sera restauré. Il sera fait appel à des créateurs contemporains pour restaurer celles manquantes.Chris Dercon: rétablir la lumière et l'espace au Grand PalaisLe projet de rénovation du Grand Palais a pour but de pousser les murs intérieurs et de rétablir lumière et espace, souligne l'historien d'art belge Chris Dercon, à la tête de la Réunion des musées nationaux-Grand Palais depuis 2019.Q: Un bâtiment de 120 ans va être rénové. Sera-ce une transformation audacieuse ou une rénovation-mise aux normes classique ?R: On ne va rien réinventer. Tout était là mais il faut tout redécouvrir. Le Grand Palais, c'est un îlot, un quartier... Est-ce qu'il fallait jeter toutes les interventions du passé? Pas du tout! A nous de trouver les moments intéressants, décisifs, à garder.Cloisonné, compartimenté, ce grand palais était de plus en plus petit, c'était devenu une black box !On a suivi son voyage pendant tout le XXe siècle. Ca a été aussi un travail d'archéologie. Parfois des objets de 3 ou 4 centimètres nous ont amenés à dire: non, là il faut trouver d'autres solutions !Pendant le premier confinement, j'ai eu le temps de l'explorer, jour et nuit. On a redécouvert des choses magnifiques, des couches de couleurs disparues, d'anciens graffitis, par exemple un du désigner Jean-Charles de Castelbajac.Certains lieux étaient perdus, espaces mal aimés, parfois introuvables, souvent inutilisables.On va donc enlever ce qui n'est pas intéressant. Ce n'est pas une simple mise aux normes, on est en train de retravailler les idées du début qui étaient complètement perdues.Q: Quelle vision portez-vous pour ce lieu que vous définissez comme un îlot culturel ?R: Raynold Arnould, ce visionnaire, ancien directeur des Galeries nationales du Grand Palais nommé dans les années 1960 par André Malraux, disait qu'il fallait créer une maison de la culture pour le XXe siècle, il voulait aussi créer une bibliothèque pédagogique.Ce furent les idées fondatrices aussi pour le Centre Pompidou: un forum, une piazza...Dès les débuts du Grand Palais il a offert un mix: le salon artistique, des évènements, le salon de l'industrie. On a eu ici bien plus que des expos: par exemple Peer Gynt, de la Comédie Française, les Radio City Rockettes, Prince en concert...On appelle cela le Zeitgeist, l'esprit du temps. Dans les musées du monde entier, on demande de faire tout: des évènements, y compris commerciaux, des expos pas seulement d'arts plastiques, mais aussi de l'architecture, de la danse, de la performance...Une autre dimension est de retrouver la lumière verticale et horizontale. C'est une architecture de lumière: pendant la nuit aussi, la lumière de la ville entre dans le Grand Palais et c'est magnifique. C'est aussi un bâtiment de couleurs qu'il faut retrouver.Q: Comment faire communiquer les galeries d'expositions du Grand Palais et le Palais de la découverte, faire dialoguer l'art et la science ?R: Notre situation est presque unique, depuis l'ouverture du Palais de la découverte en 1937 dans l'aile ouest.C'est une opportunité fantastique car aujourd'hui les deux pôles de la démocratie sont les arts et la science. Et beaucoup d'artistes parlent de leur intérêt pour la science. Chez Arnault et chez Pinault, de plus en plus d'expositions tournent d'ailleurs autour de l'art et de la science. Propos recueillis par Jean-Louis de la Vaissiere
Il y a 4 ans et 80 jours

Nouveaux kits interphones collectifs Urmet

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Il y a 4 ans et 84 jours

Le Mondial du Bâtiment se réinvente pour son édition de 2022

L’édition 2022 du Mondial du Bâtiment marquera le grand retour de l’évènement à Paris, au Parc des expositions de la porte de Versailles. [©ACPresse] Faire table rase du passé pour revenir aux fondamentaux, tout en s’inscrivant dans les tendances actuelles et à venir. C’est exactement ce qu’est en train de faire Reed Expositions France, l’organisateur du Mondial du Bâtiment. Et d’annoncer la tenue de l’évènement, non plus cette année, mais du 3 au 6 octobre 2022. Avec une grande nouvelle : « Le Mondial du Bâtiment revient au Parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris », annonce Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. Et de poursuivre : « Ce retour est plébiscité, puisque 93,6 % des exposants et 97,9 % des visiteurs ont exprimé leur intention de participer à la prochaine édition ».  Le rendez-vous qui réunit les salons Batimat, Idéobain et Interclima s’inscrira donc dans un Parc des expositions rénové. La première nouveauté pour les exposants est le format même des stands : limité à 99 m2 par société. Toutefois, il y aura possibilité d’intégrer un étage…  Des stands de 9 à 99 m2 Dans le détail, les surfaces proposées débuteront à 9 m2, pour échelonner par multiple de 9 : 18 m2, 36 m2, 54 m2 et 99 m2. Autre évolution, les exposants pourront choisir leur emplacement dès l’inscription. Premier arrivé, premier servi… Cette approche globale permet de rendre sa présence sur le salon plus économique. Car un stand plus petit ou limité en taille génère un moindre coût. D’autant plus que la durée de l’évènement ne sera plus que de 4 j. « Nous répondons à la demande des exposants de simplifier la préparation des salons. Tout en améliorant les flux logistiques autour de la porte de Versailles », reprend Guillaume Loizeaud. Octobre 2022 : la date est encore bien lointaine. Aussi, pour animer la communauté des professionnels exposants dès maintenant, le Mondial du Bâtiment a choisi de mettre en place des salons “augmentés”. Ceci, à travers un blog qui complétera les sites Internet dédiés aux salons physiques. Les professionnels pourront y entrer en contact avec les marques, donner leur avis ou leurs appréciations. Il y aura aussi à leur disposition des fiches produits, un annuaire des fournisseurs. Mais aussi des show-rooms virtuels, des vidéos de démonstrations ou des contenus sur les métiers. « Ce blog sera mis en service dès le mois de mai 2021. » Des matinales sur Batiradio « Nous venons de faire le choix de nous engager sur des ambitions prioritaires pour faire du rendez-vous de 2022 une édition exemplaire », affirme Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. [©Reed Expositions France] Toujours en amont des salons physiques, et en parallèle du blog, sont initiés “Les rendez-vous du Mondial du Bâtiment. Et ce, sous la forme d’une matinale diffusée sur Batiradio. Mais aussi disponible en podcasts et en vidéos. « Ces rendez-vous décrypteront les grandes tendances de la construction pour favoriser les échanges entre les professionnels face aux enjeux du secteur », explique Guillaume Loizeaud. Les matinales sont programmées chaque premier vendredi du mois. Et doivent débuter le 2 avril 2021, entre 9 h 00 et 12 h 30. Toutes s’organiseront de la même matière. A savoir, le Rendez-vous France Relance, le Grand dossier du Mondial du Bâtiment, la Rénovation énergétique dans les territoires. Mais aussi, le Décryptage RE 2020, les Métiers, la Construction 4.0, les Tendances et le Design.  Pour l’année 2021, les thématiques du Grand dossier sont déjà en place. Le 2 avril, les débatteurs tenteront de répondre à la question : “En quoi la RE 2020 va-t-elle permettre de construire durable ?” Et au fil des mois, d’autres sujets seront égrenés [lire encadré]. Pour 2022, en revanche, le programme n’est pas encore déterminé. Mais une fois connu, il permettra de tenir jusqu’aux salons physiques. Ceux-ci occuperont six pavillons du Parc de la porte de Versailles, soit quelque 140 000 m2 d’expositions.  Batimat se déploiera sur 4 halls Batimat sera le mastodonte de l’évènement. Le pavillon 1 sera celui du gros œuvre, de la structure et de l’enveloppe. Les thèmes fédérateurs mis en avant par les exposants devraient être ceux du climat et de l’environnement. Construction Tech, le rendez-vous de l’innovation, des start-up et des “smart technologies”, et Interior&Garden, autrement dit les aménagements intérieurs et extérieurs, seront les deux autres points d’entrée de ce hall. Le matériel de chantier et l’outillage retrouveront le pavillon 4. Quant aux pavillons 5 et 6, ils concentreront les menuiseries et les fermetures. De son côté, Interclima, dédié aux équipements techniques pour le bâtiment, c’est au sein du pavillon 3 qu’il prendra ses quartiers. Avec l’entrée en application de la RE 2020, les sujets à balayer seront nombreux. Outre les enseignements de la nouvelle réglementation, les énergies renouvelables, la rénovation des bâtiments tertiaires. Ou encore la qualité de l’air intérieur seront des thèmes omniprésents dans les allées. Tout comme l’amélioration des logements et les solutions éco-responsables de confort d’été.  Réduire l’empreinte carbone du salon Le Mondial du Bâtiment occupera 6 halls du Parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris. [©Reed Expositions France] La préservation de l’environnement et la réduction de l’empreinte carbone constitueront donc un véritable leitmotiv pour les exposants comme pour les visiteurs. Et qu’en sera-t-il de l’organisateur lui-même ? Les cordonniers sont-ils les plus mal chaussés ? Ou bien, charité bien ordonnée commence par soi-même ? Reed Expositions France semble préférer le second dicton populaire. « Notre retour à la porte de Versailles et les nouvelles attentes du public sont l’occasion de lancer une démarche d’amélioration sur les sujets fondamentaux du RSE. Aussi, nous venons de faire le choix de nous engager sur quatre ambitions prioritaires pour faire du rendez-vous de 2022 une édition exemplaire », affirme Guillaume Loizeaud. Ainsi, l’organisateur s’engage, dès maintenant, à réduire son empreinte carbone. Du moins à la mesurer, tout en mettant des actions concrètes pour entamer cette démarche. Au programme : optimisation des process logistiques, accès au site privilégiant les mobilités écologique. Mais aussi éco-conception des aménagements, des zones communes et des stands. Un salon éco-responsable Reed Expositions France améliorera aussi la gestion des déchet. Avec, pour ambition, de les réduire d’au moins 10 % dès l’édition 2022. Par ailleurs, il souhaite accroître la circularité des matériaux utilisés, tout en améliorant le dispositif de tri. Ceci sera accompagné d’achats responsables qui privilégieront les produits, et des services éco-conçus et respectueux de l’environnement. Ou qui seront réalisés auprès du secteur du travail protégé et adapté (STPA). Enfin, la restauration sur place n’est pas oubliée. Là, Reed Expositions France veut mettre en place une offre limitant le gaspillage, gérant mieux les surplus et valorisant les bio-déchets. A la vue de toutes ces explications, l’édition 2022 du Mondial du Bâtiment semble née sous une bonne étoile. Et, à bien y réfléchir, l’organisateur pourrait même réussir à transformer tout le désarroi amené par la crise de la Covid-19 en quelque chose de positif !  Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 88 jours

Concevoir autrement les enceintes de centrales nucléaires

Toujours en construction, l’EPR de Flamanville fait partie des centrales nucléaires dites “de nouvelle génération”. Ici, réalisation de la double enceinte du réacteur, encore avant la pose du dôme de couverture. [©ACPresse] La sécurité des enceintes de centrales nucléaires est un objectif sociétal des plus importants, qui fait l’objet de nombreuses polémiques. De manière très schématique, il existe deux grandes approches dans la conception de ces enceintes :• L’enceinte constituée d’une paroi unique de grande épaisseur en béton armé. Et revêtue sur sa face interne d’une fine paroi métallique (appelée “liner” en anglais) • L’enceinte dite “à double paroi”. L’une, interne, est coulée en béton fortement armé et précontraint dans les deux directions (verticale et horizontale). L’autre, externe, est constituée d’un béton armé classique. Une lame d’air d’une épaisseur de l’ordre de 2 m séparent l’une de l’autre les deux parois . L’espace annulaire séparant les enceintes externe (à gauche) et interne (à droite) présente une épaisseur de l’ordre de 2 m. [©ACPresse] I – Qu’est-ce qu’une enceinte simple paroi munie d’un liner métallique ? Cette conception est la plus ancienne. Elle repose sur une vision très simple du rôle de l’enceinte. La paroi en béton armé est dimensionnée pour reprendre toutes les sollicitations extérieures accidentelles ou non. De son côté, le “liner” métallique assure l’étanchéité de l’enceinte vis-à-vis de gaz radioactifs. Qui susceptibles de s’échapper du cœur du réacteur, en cas d’accident. A priori pertinente et performante, cette conception a malgré tout été remise en cause. Il y a plusieurs dizaines d’années, notamment par l’ingénierie française. La principale critique reposait sur l’utilisation du liner métallique. Les reproches formulés étaient de deux ordres. Tout d’abord, la mise en place du liner était considérée comme longue et coûteuse. Car il fallait exécuter, avec le plus grand soin les soudures des plaques métalliques le constituant.  Dans les centrales nucléaires de nouvelle génération, la paroi intérieure de l’enceinte interne est doublée d’un liner métallique pour assurer une parfaite étanchéité. [©LNG Dunkerque] Ensuite, le risque de corrosion était potentiellement important, en particulier au niveau des soudures (zones propices à ce type de dégradations). Il générait des inspections fréquentes, longues et coûteuses de l’enceinte. Aussi, l’ingénierie française a décidé de développer un autre concept : celui de l’enceinte dite “ double paroi en béton”. II – Qu’est-ce qu’une enceinte à double paroi en béton ?  De conception plus récente, l’enceinte à double paroi repose sur plusieurs idées fortes. En premier lieu, la paroi dite “interne” doit être fortement armée et précontrainte (dans les deux directions). Ce choix a pour objectif d’assurer la résistance de l’enceinte vis-à-vis des pressions internes. Résultant de la rupture accidentelle du circuit primaire de réfrigération du cœur du réacteur (taux d’armatures important). Et l’étanchéité de l’enceinte vis-à-vis des fuites accidentelles de particules radioactives. Dans cette conception, la précontrainte bi-directionnelle est censée refermer toutes les fissures éventuelles générées lors du processus de durcissement du béton.  De son côté, la seconde paroi, dite “externe”, a pour rôle unique d’assurer la résistance de l’enceinte vis-à-vis des sollicitations extérieures (séisme, tempête, explosion, chute d’avion…). Enfin, la lame d’air présente entre les deux parois, aussi appelée espace annulaire. Elle est mise en dépression par un système de ventilation et filtration. Elle est conçue pour confiner, en cas d’accident, les particules radioactives de l’air, puis de permettre leur extraction.   Le diamètre et la densité d’armatures passives nécessaires à la construction des parois des enceintes nucléaires restent très importants… [©ACPresse] Toutefois, un problème subsiste. Un certain nombre d’enceintes conçues de cette façon ont présenté une fissuration traversante (sur toute l’épaisseur de la paroi interne). Cette dernière a été mise en évidence lors des épreuves décennales qui consistent à mettre sous pression gazeuse l’enceinte interne. Cette fissuration devrait être colmatée. Opération coûteuse qui posait, en plus, la question de la fiabilité de ces enceintes nucléaires… En conséquence, l’ingénierie française a pris une décision, pour les centrales à venir, dites “nouvelle génération”. Les enceintes de confinement adopteront “la ceinture et les bretelles” ! C’est-à-dire la double enceinte en béton avec, côté paroi interne, la présence d’un liner métallique. Il va sans dire qu’une telle solution a des conséquences économiques importantes. Avec une augmentation substantielle du coût de ces enceintes. Tout d’abord lié à leur construction (temps de construction accru). Ensuite à leur stratégie de contrôle (il faut suivre avec beaucoup d’attention l’évolution des soudures du liner métallique). Toutefois, cumuler “ceinture et des bretelles” ne s’avère pas si sécure qu’on pourrait le penser. En effet, la fissuration traversante de la paroi interne n’est pas annulée. Et une corrosion des soudures peut toujours survenir. Sans compter que l’acier se comporte assez mal, quand il est soumis à de fortes températures…  III – Y a-t-il de nouvelles solutions ?  Aujourd’hui, il n’est pas déraisonnable de penser que cette solution coûteuse pourrait être concurrencée par d’autres conceptions plus innovantes. Ces dernières passent, principalement, par l’analyse critique de la conception française initiale. C’est-à-dire celle d’une paroi fortement armée et précontrainte bi-directionnelle. En effet, ce choix technique a conduit à l’existence de fissures traversantes. Il est peut-être fondé sur une approche abusive quant à l’utilisation de la précontrainte. D’un point de vue historique, le béton précontraint a été inventée au début du siècle dernier par l’ingénieur Eugène Freyssinet. De manière très schématique, il s’agit d’éliminer les contraintes de traction au sein de la structure. En introduisant une compression (due à la précontrainte) dans la zone tendue d’une structure fléchie (poutre, dalle, voussoir…). Ce sont ces contraintes de traction que le béton n’apprécie guère, car à l’origine des fissures créées. Cette technique permet de construire des structures en béton ayant de grandes portées (la portée est la distance entre deux appuis). En général, la précontrainte remplace toutes les armatures de flexion. Dans le cas d’une précontrainte totale ou une grande partie de ces armatures ou dans le cas d’une précontrainte partielle. Ce qui est peut-être abusif, dans le cas des enceintes de confinement “à la française”, est d’appliquer une précontrainte bidirectionnelle sur un béton déjà fortement armé dans deux directions ! “Le mieux est l’ennemi du bien” dit le dicton. Serait-ce le cas pour les enceintes ? Même en utilisant un béton auto-plaçant, assurer le coulage des parois des enceintes nucléaires est un exercice délicat. Et peut conduire à des faiblesses structurelles. Que l’application de la précontrainte peut transformer en fissures. [©ACPresse] Une structure fortement armée dans deux directions est une structure composite à fort degré d’hétérogénéité mécanique. Le module de Young des aciers est cinq fois supérieur à celui du béton. Lors du durcissement du béton (accompagné de mécanismes physico-chimiques), cette hétérogénéité mécanique induit l’apparition de microfissures dans le voisinage des aciers de renfort. On applique la précontrainte bi-directionnelle sur cette structure hétérogène micro-fissurée. Celle-ci ne va pas refermer les micro-fissures, mais, au contraire, les propager : création de fissures plus longues et plus ouvertes. Ceci, d’autant plus que les câbles de précontrainte ne peuvent pas, être parfaitement alignés, induisent des moments locaux.  Enfin, il est utile de signaler qu’il est toujours difficile de bétonner correctement une structure. Dans laquelle les armatures passives (aciers de béton armé) et actives (précontrainte) s’entremêlent. Même en utilisant un béton auto-plaçant. Cette difficulté peut conduire à des faiblesses que l’application de la précontrainte peut transformer en fissures. Par ailleurs, la mise en pression de l’enceinte. Une pression d’un peu plus de 3 bar peut être appliquée à l’enceinte. Soit un peu plus que dans le pneumatique d’une voiture. Une possible fissuration pourrait générer les macro-fissures traversantes (par propagation des fissures préexistantes.  IV – Et si on abandonnait la précontrainte au profit des fibres métalliques ? Les conceptions innovantes, ou pouvant l’être, reposent sur l’abandon de la précontrainte dans la paroi interne de l’enceinte. Elles s’appuient sur l’acceptation de l’existence potentielle de fissures, qui seront contrôlées de telle manière qu’elles ne seront jamais traversantes. La seule façon d’atteindre cet objectif est d’utiliser des bétons de fibres et, plus particulièrement, des bétons de fibres métalliques. Ceci en combinaison avec les armatures traditionnelles. Les fibres métalliques sont mises en œuvre dans la structure de la même façon que les autres constituants du béton. Elles font partie de la composition du matériau. [©ACPresse] Les bétons de fibres métalliques ont une cinquantaine d’années d’existence. Ils sont aujourd’hui parfaitement connus et maîtrisés du point de vue technico-scientifique. De manière très schématique, les fibres jouent le même rôle que les armatures traditionnelles de béton armé vis-à-vis de la fissuration avec. Cependant, deux différences principales qui les distinguent :  • Les fibres sont mises en œuvre dans la structure de la même façon que les autres constituants du béton. Elles font partie de la composition du matériau ;• Les fibres métalliques sont efficaces vis-à-vis de fissures plus fines que celles contrôlées par les armatures. Ainsi, les fibres métalliques sont plus pertinentes que les armatures. Vis-à-vis des fissures liées au comportement en service de la structure. Les voussoirs des tunnels des lignes du Grand Paris utilisent maintenant des bétons sans armatures, mais additionnés de fibres métalliques. Ces bétons spécifiques ont une cinquantaine d’années d’existence. [©ACPresse] Associer armatures et fibres conduit donc à concevoir une structure à renforcement multi-échelles. En l’occurrence celle des fibres et celle des armatures. Un procédé très efficace vis-à-vis de la maîtrise de la fissuration : depuis les fissures les plus fines jusqu’aux fissures beaucoup plus ouvertes. La littérature internationale montre que le comportement mécanique du béton armé fibré est supérieur à celui du béton armé seul. D’autre part, l’utilisation des fibres (à un pourcentage élevé, nécessaire dans le cas des enceintes de centrales nucléaires) conduit à un réseau de fissures fines très souvent non connectées. Ce constat favorise l’apparition du phénomène de cicatrisation. Dans le temps, des fissures qui n’advient que pour des fissures très fines.  V – L’innovation passera aussi par l’emploi du Bfup La conception et le dimensionnement de la paroi interne de l’enceinte en béton armé fibré en remplacement de celle en béton armé précontraint pourraient constituer une première étape dans l’innovation. Une étape d’innovation n° 2 (qui se cumule à la première étape) serait l’utilisation de “coffrages”. Collaborants en bétons fibrés à ultra hautes performances (Bfup). Ces composites cimentaires sont à la mode et de plus en plus utilisés à l’international depuis plus de 20 ans. Ce sont des bétons de fibres qui ont des propriétés mécaniques. Et une durabilité très accrues par rapport aux bétons de fibres classiques. Un phénomène lié à la très grande compacité de la matrice cimentaire et à l’utilisation d’un pourcentage très important de fibres. Elément fin, durable et hautement résistant, les panneaux en Bfup peuvent constituer un coffrage perdu collaborant, en mesure de remplacer le liner métallique. [©DR] L’idée du coffrage collaborant en Bfup a une triple conséquence positive :– Un gain important de temps de construction, car le coffrage de l’enceinte reste en place ;– Un apport mécanique significatif, du fait d’un coffrage collaboratif aux propriétés mécaniques accrues ;– Un gain important en durabilité de la paroi, car le coffrage constituera une “peau” très étanche vis-à-vis du transfert de substances radioactives. D’une certaine manière, il remplacera en même temps le liner métallique interne.  Bien évidemment, il reste à évaluer la pertinence de ces deux étapes d’innovation possible. Ces dernières constituent un champ de mises en œuvre des connaissances acquises dans le domaine de la recherche et des développements technologiques. Ne pas évaluer leur intérêt pour les enceintes de centrales nucléaires serait dommage du point de vue socio-économique et de la sécurité.   Pierre RossiDirecteur de rechercheDépartement Mast-EMCGU (Matériaux et structures – Expérimentation et modélisation pour le génie civil urbain) et l’Université Gustave Eiffel – Ifsttar
Il y a 4 ans et 108 jours

Pour 2022, les salons Batimat, Idéobain et Interclima se réinventent

En proposant un format AUGMENTÉ grâce au digital, Reed Expositions France, l'Afisb[1] et Uniclima[2] entendent également accompagner les professionnels toute l'année pour les aider à saisir l'ensemble des opportunités du secteur et découvrir les innovations.Plus de convivialité : le Mondial du Bâtiment revient à ParisDepuis 2013, toutes les demandes allaient dans ce sens : faire revenir le Mondial du Bâtiment au cœur de Paris. C'est chose faite pour l'édition 2022 qui réintègre donc le parc d'exposition rénové de la Porte de Versailles. Ce retour est largement plébiscité puisque 93,6% des exposants et 97,9% des visiteurs ont exprimé leur intention de venir à la prochaine édition des salons[3].Programmés du 3 au 6 octobre 2022, les salons Batimat, Idéobain et Interclima occuperont 6 pavillons, soit plus de 140 000 m² d'exposition.En un seul et même lieu, tous les professionnels auront accès aux innovations, conseils et démonstrations pour expérimenter et appréhender toutes les évolutions de leur secteur. Mais audelà de ces 4 jours, le Mondial du Bâtiment souhaite également animer la communauté des professionnels et créer du lien tout au long de l'année grâce à une stratégie qui mise sur la complémentarité du digital et de la présence physique.Plus économiques : les salons apportent un meilleur retour sur investissement pour les exposants Sur les six pavillons qu'occuperont les salons Batimat, Idéobain et Interclima, le nouveau format d'exposition limite la taille des stands à 99 m² par société, avec la possibilité d'inclure un étage. Il simplifie également l'implantation des pavillons avec des modules de stand multiples de 9. Les surfaces prévues pour chaque stand s'échelonnent ainsi de 9 à 99 m² soit 9 m², 18 m², 36 m², 54 m² et 99 m².Cette refonte de l'implantation apporte de multiples avantages aux exposants : choix de l'emplacement dès l'inscription, augmentation significative du retour sur investissement (ROI) par une réduction des coûts d'exposition et du passage à 4 jours pour tous les salons.Par ailleurs, les stands de 9, 18 et 36 m² seront proposés avec une gamme d'aménagement clés en main à personnaliser. Cette nouveauté répond à une demande des exposants de simplifier la préparation des salons, et permettra d'améliorer les flux logistiques autour de la porte de Versailles.Plus hybrides : les salons se digitalisent pour devenir des salons augmentésDepuis plusieurs années, le Mondial du Bâtiment et les salons Batimat, Idéobain et Interclima sont engagés dans une démarche qui vise à animer la communauté des professionnels entre deux éditions et pas uniquement sur 4 jours de présence physique. Cette anticipation a notamment permis d'acquérir une forte expertise en matière de référencement sur les moteurs de recherche comme Google que les professionnels du secteur utilisent de plus en plus.Fort de cet acquis, Reed Expositions France, l'Afisb et Uniclima proposeront à partir de mai 2021, des salons « AUGMENTÉS » grâce à un blog unique. Celui-ci complètera l'usage des sites internet dédiés aux salons physiques en regroupant les univers métiers des 3 salons du Mondial du Bâtiment. Les professionnels pourront y entrer en contact avec les marques, donner leur avis ou leurs appréciations et ils disposeront d'outils adaptés à leurs besoins :Des fiches produits conçues avec les codes du e-commerce ;Un annuaire de fournisseurs, avec les produits/services proposés ;Des show-rooms virtuels ;Des vidéos démos ;Des contenus sur les métiers qu'ils retrouveront sur les salons physiques.Toujours en amont des salons physiques, Batimat, Idéobain et Interclima initient une matinale, « Les rendez-vous du Mondial du Bâtiment ». Diffusée sur Batiradio en podcasts et en format vidéo, elle décryptera les grandes tendances de la construction pour animer les communautés et favoriser les échanges entre professionnels face aux enjeux du secteur.Enfin, durant les 4 jours de l'édition 2022, les salons Batimat, Idéobain et Interclima proposeront une expérience digitale permettant d'assister à distance à une grande partie des contenus des salons physiques.Les rendez-vous du Mondial du BâtimentÀ retrouver une fois par mois, chaque premier vendredi à partir du 2 avril de 9h00 à 12h30. Cette matinée, destinée à toute la communauté des professionnels du bâtiment, décrypte les sujets phares du secteur en présence des plus grands experts. Ces rendez-vous fédérateurs, préparés en partenariat avec l'Afisb, l'ACIM, CCCA-BTP, Construction 21, Hors-Site, Plan Bâtiment Durable, Uniclima.Chaque mois des thématiques récurrentes : Le rendez-vous France Relance ; Le Grand Dossier du Mondial du Bâtiment ; La rénovation énergétique dans les territoires ; Le décryptage RE2020 ; Les métiers ; La Construction 4.0 ; Les Tendances et le Design. Ce programme LIVE s'accompagne de vidéos de pitchs Innovation et d'un programme de replays.Les thématiques 2021 :2 avril : En quoi la RE2020 va-t-elle permettre de construire durable ?7 mai : REP : quels enjeux pour le secteur du bâtiment ?4 juin : Accessibilité : pourquoi le zéro ressaut en salle de bains impacte-t-il tout le bâtiment ?2 juillet : Quelles solutions pour réduire l'empreinte carbone des chantiers ?3 septembre : Énergies renouvelables1er octobre : Rénovation5 novembre : Industrialisation du bâtiment3 décembre : Qualité de l'air.Ce programme est conçu pour répondre aux souhaits des professionnels de disposer d'un rendez-vous périodique et synthétique pour suivre de manière régulière les toutes thématiques fortes de transformation du secteur.Plus engagés : les salons deviennent plus sobresL'arrivée à Porte de Versailles et les nouvelles attentes des visiteurs et des exposants sont aussi l'occasion pour le Mondial du Bâtiment de lancer une démarche d'amélioration sur des sujets RSE fondamentaux. Batimat, Idéobain et Interclima prennent leurs responsabilités et s'engagent sur 4 ambitions prioritaires pour faire de l'édition 2022 une édition exemplaire :Réduire l'empreinte carbone : dès 2022, les organisateurs du Mondial du Bâtiment mesureront l'empreinte carbone des salons et mettront en œuvre une série d'actions concrètes dont l'optimisation des process logistiques et de transport, l'accès au site privilégiant les mobilités écologiques, et l'écoconception des aménagements, des zones communes et des stands packagés.Améliorer la gestion des déchets : avec pour ambition d'atteindre à terme le zéro déchet, les organisateurs du Mondial du Bâtiment ont pour objectif de réduire les déchets des salons d'au moins 10% en 2022, d'accroître la circularité des matériaux utilisés, d'améliorer le dispositif de tri et de mieux gérer les déchets grâce à des systèmes d'analyse, de traçabilité et de pilotage.Mettre en place une offre de restauration responsable en luttant contre le gaspillage et en gérant les surplus, en valorisant les bio déchets et en adoptant des conditionnements et une alimentation responsables.Privilégier les achats responsables en favorisant les achats auprès du secteur du travail protégé et adapté (STPA), en intégrant des critères RSE aux politiques d'achats et notamment dans le choix des fournisseurs et en privilégiant des produits et des services écoconçus et respectueux de l'environnement.« Nous sommes convaincus que le bâtiment, la ville et les territoires seront au centre des transformations sociétales des dix prochaines années. Et nous sommes intimement persuadés que notre rôle est d'une part d'anticiper ces changements et d'autre part d'accompagner les professionnels chaque jour pour les aider à saisir toutes les opportunités qui peuvent s'offrir à eux. C'est avec cette ambition que nous avons repensé le Mondial du Bâtiment et ses 3 salons. »Guillaume Loizeaud, Directeur du Mondial du BâtimentAvec cette stratégie innovante combinant physique et digital, les salons Batimat, Idéobain et Interclima souhaitent fédérer l'ensemble des professionnels du secteur du bâtiment et accroître le nombre d'exposants de 15% pour l'édition 2022.[1] Afisb, Association Française des Industries de la Salle de Bains, propriétaire du salon IDÉOBAIN.[2] Uniclima, Syndicat des industries Thermiques, Aérauliques et Frigorifiques, propriétaire du salon INTERCLIMA.[3] Sondage réalisé entre le 19 et le 26 janvier 2021. Bases contacts 2017 et 2019. Répondants : 141 exposants et 3507.
Il y a 4 ans et 109 jours

Combien coûterait un reconfinement à l'économie et aux finances publiques

Impact sur l'activitéSelon plusieurs économistes interrogés par l'AFP, un confinement d'un mois, avec un niveau de restrictions globalement similaire à celui observé en novembre, amputerait le produit intérieur brut (PIB) d'environ un point, soit un peu plus de 20 milliards d'euros, sur l'année.Sachant que le couvre-feu pénalise déjà l'activité, "le premier trimestre sera certainement un trimestre de récession", avance Ludovic Subran, chef économiste de l'assureur Allianz.Selon le ministère de l'Économie, le confinement pourrait entraîner une perte mensuelle d'activité allant de 10 à 18% par rapport au niveau d'avant la crise. En novembre, l'activité avait baissé de 12% par rapport à son niveau de fin 2019 et en avril, de plus de 30%.Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a aussi reconnu mercredi qu'en cas de nouvelles mesures de restrictions, "bien entendu, nous aurons une croissance qui ne pourrait pas atteindre les 6% en 2021", comme le prévoit pour l'instant le gouvernement.Nouvelles dépenses et pertes de recettesActuellement, avec le couvre-feu à 18H00, "les aides coûtent environ 6 à 7 milliards d'euros par mois à l'État", montant auquel il faut ajouter les pertes de recettes fiscales, ce qui conduit à plus de 10 milliards d'euros, selon le député LREM et rapporteur général du budget à l'Assemblée Laurent Saint-Martin."En confinement, si on est sur le format du mois de novembre dernier, cela va probablement coûter encore plus cher (...) ça peut approcher les 15 milliards d'euros toutes dépenses et non-ressources confondues", a-t-il affirmé sur Radio J dimanche dernier.Les trois principales mesures de soutien mises en place par le gouvernement sont le fonds de solidarité pour les entreprises, la prise en charge du chômage partiel et les exonérations de charges.Pour le mois de novembre par exemple, le gouvernement a dépensé plus de 4 milliards d'euros au titre du fonds de solidarité, et l'addition pourrait encore monter car les entreprises ont jusqu'au 31 janvier pour en faire la demande.Le chômage partiel a concerné 3,1 millions de salariés en novembre pour un montant de 2,3 milliards d'euros, selon les chiffres de la Dares.A cela s'ajoutent de possibles aides supplémentaires pour soutenir les secteurs qui restent très touchés par la crise. Bruno Le Maire a ainsi évoqué mercredi au Sénat la possibilité de convertir certains prêts garantis par l'État en subvention, si Bruxelles donne son feu vert.Comment l'État va financer ces aidesLe gouvernement a été "prévoyant" en 2020, a affirmé à plusieurs reprises Bruno Le Maire. De fait, sur le budget prévu pour financer les aides, 28,8 milliards d'euros n'ont pas été dépensés l'an dernier. Cette enveloppe est donc disponible pour cette année, même si environ 9 milliards sont déjà préemptés pour financer les aides attribuées au titre de 2020, mais qui n'ont pas encore été payées.La semaine dernière, le ministre avait indiqué qu'à situation sanitaire constante, le gouvernement pouvait "tenir 3 mois et demi" sans avoir besoin de réabonder le budget 2021.Mais en cas de reconfinement, il faudra en passer par un projet de loi de finances rectificative.Il pourrait survenir "probablement à la fin du premier trimestre (...) fin mars-début avril, mais cela peut-être accéléré en fonction des besoins", selon Laurent Saint-Martin.
Il y a 4 ans et 111 jours

Enquête autour du béton prêt à l’emploi en France

Lafarge est aujourd’hui le premier producteur de BPE en France, grâce à son réseau de 299 centrales à béton. [©ACPresse] En France, la production globale de béton prêt à l’emploi (BPE) a été de 40,27 Mm3 en 2019. Soit une progression de 0,8 % par rapport à 2018. L’année 2020 s’annonçait sous les meilleurs auspices, mais la pandémie du Covid-19 a mis à terre tous les espoirs. A fin octobre 2020 et malgré les rebonds des mois de juin, août et septembre, le recul était proche des 12 %, soit 30,38 Mm3 produits versus 34,41 Mm3 sur les dix premiers mois de l’année 2019… En ce qui concerne 2021, l’Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem) ne voit pas de réelles améliorations dans les douze mois à venir… C’est ce qu’elle a précisé lors de sa conférence de presse du début du mois de décembre dernier. Au mieux, elle anticipe un encéphalogramme plat, soit une production de BPE plafonnant à 36 Mm3. En France, cette production est réalisée en centrales à béton. Le Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE) confirme la présence sur le territoire métropolitain de 1 850 unités de production, exploitées par quelque 225 sociétés indépendantes. Un tiers des centrales à béton appartient à des groupes dits nationaux. A savoir : Cemex, Colas, Eqiom, LafargeHolcim, Point.P, Unibéton et Vicat (voir tableau plus bas dans cet article).. Article préparé par Frédéric Gluzicki. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Il y a 4 ans et 112 jours

Après une baisse des constructions de 6,9% en 2020, l'avenir s'annonce difficile pour le logement en France

"On voit bien qu'il y a une insuffisance de l'offre dans le logement neuf, qui existait déjà avec la crise et s'accroît actuellement", résume à l'AFP l'économiste Olivier Eluère, spécialiste de l'immobilier au Crédit Agricole.Publiés jeudi, les chiffres officiels du gouvernement confirment ce constat. L'an dernier, 376.700 logements ont été mis en chantier, soit un recul de 6,9%.Cette baisse est relativement limitée, mais elle ne témoigne que des effets immédiats de la crise sanitaire du Covid-19 et des confinements mis en place contre la propagation du virus, en particulier au printemps 2020.Marqué par des restrictions très sévères et des incertitudes sur les activités autorisées, le premier confinement a bloqué de nombreux chantiers, le temps de mettre en place des mesures de sécurité sanitaire. Mais le secteur a ensuite rattrapé une partie de son retard.Finalement, "la baisse est un peu moins forte que ce que l'on pouvait craindre", note M. Eluère, soulignant que le secteur souffre nettement moins que d'autres pans de l'économie plombés par la crise.C'est à plus long terme que l'avenir s'annonce difficile pour le logement. Indicateur de l'évolution à venir, le nombre de permis de construire a chuté de 14,7% à 381.600 logements autorisés.Cela signifie que le recul de la création de logements risque encore de s'accentuer cette année alors même que la crise économique renforce l'urgence d'une offre suffisante en matière d'habitations.Un déclin durable du logement neuf serait préoccupant au-delà de ce seul secteur économique. Une offre suffisante de logements favorise un marché où les prix ne s'envolent pas, ce qui est à son tour un enjeu crucial pour une économie en sortie de crise.Pourquoi ce déclin persistant des permis ? Au-delà des blocages liés à la crise, le secteur du logement évoque régulièrement la timidité de nombre d'élus locaux à autoriser des logements.Des maires "dogmatiques"Le gouvernement, déjà confronté depuis le début du quinquennat d'Emmanuel Macron à une situation mitigée en matière de logement neuf, ne manque donc pas d'en renvoyer la responsabilité à certains maires face auxquels il a durci ses propos ces dernières semaines."Certains maires sont très dogmatiques et disent +J'arrête tout+ comme à Bordeaux, Lyon ou Marseille", déclarait mi-janvier la ministre du Logement, Emmanuelle Wargon, sur Radio Immo."Il faut (...) les mettre face à leurs contradictions", a-t-elle poursuivi. "Arrêter tout, ce n'est pas au bénéfice de leurs habitants."Les grandes villes citées par Mme Wargon ont un point commun: elles ont élu l'an dernier de nouveaux maires écologistes ou, comme à Marseille, ayant le soutien des écologistes.Les professionnels du logement s'inquiètent des conséquences d'un discours écologiste défavorable à la "bétonnisation" d'autant que celui-ci est largement repris par des élus d'autres bords politiques, y compris à droite.Mais le secteur cible aussi l'attitude du gouvernement: s'il a mis en place une incitation financière pour que les maires autorisent plus de logements, il a aussi annoncé récemment de nouvelles règles pour limiter les effets de la construction sur l'environnement.Cette "réglementation environnementale 2020" (RE 2020) prévoit par exemple l'interdiction du chauffage au gaz.Elle est jugée trop stricte par le secteur qui assure qu'elle va encore plus plomber la création de logements en rendant ceux-ci plus chers.Un vaste panel d'organisations, qui va du monde HLM aux fédérations du bâtiment en passant par les promoteurs, a encore réclamé cette semaine le report de son entrée en vigueur, prévue cet été."Le rythme de construction actuel ne suffit pas à satisfaire les besoins en logement", ont insisté dans un communiqué commun ces organisations qui estiment que l'on pourrait "tomber durablement à 300.000 logements mis en chantier annuellement sous l'effet de ces contraintes".
Il y a 4 ans et 112 jours

Après une baisse de 6,9% des constructions en 2020, l'avenir s'annonce difficile pour le logement en France

"On voit bien qu'il y a une insuffisance de l'offre dans le logement neuf, qui existait déjà avec la crise et s'accroît actuellement", résume à l'AFP l'économiste Olivier Eluère, spécialiste de l'immobilier au Crédit Agricole.Publiés jeudi, les chiffres officiels du gouvernement confirment ce constat. L'an dernier, 376.700 logements ont été mis en chantier, soit un recul de 6,9%.Cette baisse est relativement limitée, mais elle ne témoigne que des effets immédiats de la crise sanitaire du Covid-19 et des confinements mis en place contre la propagation du virus, en particulier au printemps 2020.Marqué par des restrictions très sévères et des incertitudes sur les activités autorisées, le premier confinement a bloqué de nombreux chantiers, le temps de mettre en place des mesures de sécurité sanitaire. Mais le secteur a ensuite rattrapé une partie de son retard.Finalement, "la baisse est un peu moins forte que ce que l'on pouvait craindre", note M. Eluère, soulignant que le secteur souffre nettement moins que d'autres pans de l'économie plombés par la crise.C'est à plus long terme que l'avenir s'annonce difficile pour le logement. Indicateur de l'évolution à venir, le nombre de permis de construire a chuté de 14,7% à 381.600 logements autorisés.Cela signifie que le recul de la création de logements risque encore de s'accentuer cette année alors même que la crise économique renforce l'urgence d'une offre suffisante en matière d'habitations.Un déclin durable du logement neuf serait préoccupant au-delà de ce seul secteur économique. Une offre suffisante de logements favorise un marché où les prix ne s'envolent pas, ce qui est à son tour un enjeu crucial pour une économie en sortie de crise.Pourquoi ce déclin persistant des permis ? Au-delà des blocages liés à la crise, le secteur du logement évoque régulièrement la timidité de nombre d'élus locaux à autoriser des logements.Des maires "dogmatiques"Le gouvernement, déjà confronté depuis le début du quinquennat d'Emmanuel Macron à une situation mitigée en matière de logement neuf, ne manque donc pas d'en renvoyer la responsabilité à certains maires face auxquels il a durci ses propos ces dernières semaines."Certains maires sont très dogmatiques et disent +J'arrête tout+ comme à Bordeaux, Lyon ou Marseille", déclarait mi-janvier la ministre du Logement, Emmanuelle Wargon, sur Radio Immo."Il faut (...) les mettre face à leurs contradictions", a-t-elle poursuivi. "Arrêter tout, ce n'est pas au bénéfice de leurs habitants."Les grandes villes citées par Mme Wargon ont un point commun: elles ont élu l'an dernier de nouveaux maires écologistes ou, comme à Marseille, ayant le soutien des écologistes.Les professionnels du logement s'inquiètent des conséquences d'un discours écologiste défavorable à la "bétonnisation" d'autant que celui-ci est largement repris par des élus d'autres bords politiques, y compris à droite.Mais le secteur cible aussi l'attitude du gouvernement: s'il a mis en place une incitation financière pour que les maires autorisent plus de logements, il a aussi annoncé récemment de nouvelles règles pour limiter les effets de la construction sur l'environnement.Cette "réglementation environnementale 2020" (RE 2020) prévoit par exemple l'interdiction du chauffage au gaz.Elle est jugée trop stricte par le secteur qui assure qu'elle va encore plus plomber la création de logements en rendant ceux-ci plus chers.Un vaste panel d'organisations, qui va du monde HLM aux fédérations du bâtiment en passant par les promoteurs, a encore réclamé cette semaine le report de son entrée en vigueur, prévue cet été."Le rythme de construction actuel ne suffit pas à satisfaire les besoins en logement", ont insisté dans un communiqué commun ces organisations qui estiment que l'on pourrait "tomber durablement à 300.000 logements mis en chantier annuellement sous l'effet de ces contraintes".
Il y a 4 ans et 115 jours

Association pour le contrôle à distance des volets

Hager et Bubendorff lancent Link, une clé pour connecter et piloter facilement la plupart des volets radio Bubendorff. Branchée dans le contrôleur coviva, la clé USB Link de Hager et Bubendorff permet le pilotage de chez soi ou à distance. La clé Link offre une connexion d’une large sélection de volets roulants et motorisations radio Bubendorff, en neuf comme en rénovation. La clé permet d’ajouter jusqu’à 30 volets dans l’application Hager coviva et de les intégrer dans des scénarios du quotidien, appelés covigrams. Ceux-ci permettent d’automatiser l’ouverture et la fermeture des volets, ainsi que d’interagir avec d’autres éléments de l’écosystème Hager : éclairage, chauffage, système d’alarme… Pour l’installateur, dix minutes suffisent pour connecter la clé Link dans l’un des deux ports USB de la box coviva afin de reconnaître les volets et de les paramétrer en se laissant guider dans l’application. Photo : © Hager – Bubendorff  
Il y a 4 ans et 115 jours

Hager et Bubendorff lancent Link, la clé pour piloter facilement les volets roulants !

Hager et Bubendorff lancent Link, une clé pour connecter et piloter facilement la plupart des volets radio Bubendorff avec le contrôleur domotique connecté coviva de Hager. Alors que 75% des Français souhaitent intégrer la domotique dans leurs projets de rénovation[1], ce partenariat entre deux acteurs majeurs du marché de l’habitat s’inscrit dans la volonté de fournir aux installateurs des solutions connectées toujours plus accessibles pour leurs clients. [1] Observatoire Promotelec du confort dans l’habitat, “Les Français et la domotique”, novembre 2015 Branchée dans le contrôleur coviva, la clé USB Link de Hager et Bubendorff permet le pilotage des volets Bubendorff, de chez soi ou à distance. La clé Link offre une connexion et un paramétrage ultra-rapide d’une large sélection de volets roulants et motorisations radio Bubendorff, en neuf comme en rénovation. La clé permet d’ajouter jusqu’à 30 volets radio Bubendorff dans l’application Hager coviva et de les intégrer dans des scénarios du quotidien, appelés covigrams. Ceux-ci permettent d’automatiser l’ouverture et la fermeture des volets, ainsi que d’interagir avec d’autres éléments de l’écosystème Hager : éclairage, chauffage, système d’alarme… Installation simple et rapide Pour l’installateur, connecter ses volets Bubendorff n’a jamais été aussi rapide. Dix minutes suffisent pour connecter la clé Link dans l’un des deux ports USB de la box coviva afin de reconnaître les volets et de les paramétrer en se laissant guider dans l’application Hager coviva. L’utilisateur a ensuite tout le loisir de piloter ses produits et de personnaliser ses scénarios selon ses besoins et son mode de vie. Un partenariat, des valeurs communes Toutes deux entreprises familiales, le partenariat entre Hager et Bubendorff s’est formé très naturellement autour de valeurs incarnées et partagées par les deux marques, telles que la performance de produits de haute qualité pour la satisfaction de leurs clients. Cette volonté est renforcée par leur démarche commune visant à élargir la compatibilité de leurs produits pour y intégrer de nouvelles fonctionnalités. L’éco-système coviva enrichi Pour accompagner le marché de la maison connectée en pleine croissance, Hager a créé, en 2016, la gamme coviva : une solution radio (sans fils) dotée d’une application mobile. Le contrôleur coviva a depuis vu grandir son éco-système qui intègre désormais une multitude de fonctionnalités : pilotage de l’éclairage, des volets et stores, des systèmes d’alarmes, de détecteurs de fumée, du chauffage. Depuis 2018, coviva est également compatible avec les assistants vocaux de Google et Amazon. Sa technologie radio sans fil permet une mise en œuvre très simple, sans travaux, en proposant une solution connectée, en neuf comme en rénovation.  Comptabilité avec les volets Bubendorff La solution Link est compatible avec la plupart des volets roulants en motorisation radio Bubendorff, fabriqués depuis 2011. La solution est également compatible avec la motorisation de volets battants de la gamme « Solar by Bubendorff ». Retrouvez la compatibilité de votre installation sur www.bubendorff.com. Disponibilité La clé Link est désormais disponible via le réseau d’installateurs et revendeurs professionnels Bubendorff ou via les distributeurs de matériel électrique de la marque Hager. Données techniques Link Ref. Bubendorff                                                      229038 Ref. Hager :                                                             TKH190B Tension de fonctionnement :                                  5V Consommation énergétique :                                 Tx < 25mA, Rx < 5mA Interface USB :                                                        USB 2.0 Température de fonctionnement :                          -10 °C ➞ + 55 °C Classe de protection :                                             IP20 Fréquence :                                                             868,95MHz Emission de puissance :                                         2,5 mW Portée de transmission radio (champ libre) :         100 m Dimensions (LxHxl) :                                               64,8 x 20,5 x 6,6 mm Catégorie de récepteur :                                         2
Il y a 4 ans et 118 jours

Scepticisme après la proposition d'Elon Musk de construire un tunnel sous Miami en zone inondable

L'une des sociétés du fantasque patron, la Boring Company, travaille sur des tunnels censés révolutionner les transports urbains.Un tel projet est en cours de développement à Las Vegas, dont Elon Musk avait assuré qu'il serait opérationnel en 2020."Les voitures et camions coincés dans les embouteillages génèrent des tonnes de gaz toxiques et de particules, mais les tunnels de la Boring Company sous Miami pourraient régler les problèmes de circulation et être un exemple pour le monde", a-t-il tweeté lundi, ajoutant en avoir discuté avec le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, la semaine précédente.Il répondait à un tweet du maire de Miami, Francis Suarez, qui l'invitait, d'un tweet également, à discuter de "solutions potentielles pour l'avenir"."Si le gouverneur et le maire veulent que ce soit fait, nous le ferons", a ajouté dans son message M. Musk, qui est également le patron de Tesla et SpaceX."Parlons-en", est intervenue la maire du comté de Miami-Dade, Daniella Levine-Cava, tandis que le maire de la ville voisine de Fort Lauderdale a affirmé qu'il "aimerait beaucoup" faire partie de la discussion.Mais beaucoup ont fait entendre leur scepticisme face à l'idée de creuser dans un sol facilement inondable en raison de la montée des eaux, dans cette ville située au bord de l'Atlantique."Cela ne semble pas très malin et ce sera très certainement cher", a commenté, auprès de la chaîne locale de CBS, Kurtis Gurley, professeur de génie civil à l'université de Floride."Aquaman devrait se charger du projet", a plaisanté sur Twitter un journaliste de la radio NPR, en référence au blockbuster américain mettant en scène le roi de la cité sous-marine d'Atlantis.
Il y a 4 ans et 122 jours

L'alliance HQE-GBC édite les résultats du test HQE Performance Économie Circulaire

Inédit, ce test démontre notamment tout l'intérêt de la méthode multicritère d'analyse de cycle de vie (ACV) et du nouvel outil d'analyse des flux de matières (MFA).Un référentiel communEn janvier 2018, l'Alliance HQE-GBC publiait un cadre de définition de l'économie circulaire dans le bâtiment proposant 15 leviers (annexe), pour disposer d'un référentiel commun à tous les acteurs de la profession, des fabricants de produits aux concepteurs de bâtiments, maitres d'ouvrage et aménageurs.Pour en tester la pertinence et la robustesse scientifique, l'Alliance a lancé, en 2019, en partenariat avec Cerqual, Certivéa, le CSTB, EVEA, INIES et le soutien financier de l'ADEME, un test dans le cadre du programme d'innovation collaborative HQE Performance.Objectifs : identifier des indicateurs et tester de nouveaux outils favorisant l'intégration concrète de l'économie circulaire dans le bâtiment.Le Test HQE Performance Économie Circulaire a ainsi permis d'évaluer 23 projets : 7 bâtiments rénovés ou réhabilités et 16 bâtiments neufs. Il a été mené sur différentes typologies de bâtiments : 9 bureaux, 6 résidentiels collectifs, 5 tertiaires et 3 maisons individuelles.Des outils complémentairesLe test s'est articulé autour de différents outils complémentaires, dont certains couramment utilisés par les acteurs de la construction : les Profils économie circulaire des certificateurs, l'Analyse de Cycle de Vie (ACV) avec les Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) et Profils Environnementaux Produits (PEP) issus de la Base INIES.À ceux-là, sont venus s'ajouter une comparaison des scénarios de fin de vie et l'analyse des flux de matières (MFA), permettant d'intégrer de nouveaux indicateurs, plus spécifiques de la démarche d'économie circulaire appliquée au bâtiment.Principales conclusionsLe Test HQE Performance Économie Circulaire montre, d'une part, qu'il est possible de disposer de véritables indicateurs de circularité des produits de construction et équipements, tant en construction neuve qu'en rénovation, sans effort supplémentaire par rapport à l'expérimentation E+C-.D'autre part, le test a validé la complémentarité de deux méthodes :La méthode multicritère de l'ACV, exprimant des indicateurs autres que celui du seul carbone, tels que l'épuisement des ressources, la nature et les impacts des déchets dangereux et non dangereux.La méthode MFA bâtiment, prenant en compte des indicateurs de quantités de matières secondaires valorisées en entrée et de matières secondaires valorisables en sortie (par le réemploi ou la réutilisation et le recyclage).Enfin, le test a également permis de mettre en exergue quelques pistes pour que le bâtiment s'inscrive dans une logique d'économie circulaire :Éviter les produits de construction et équipements superflus : comme pour l'énergie, la meilleure valorisation de matière est celle que nous ne produisons pas ; écoconcevoir, et mutualiser le plus possible en créant des synergies avec son milieu ;Utiliser le moins possible de matières premières rares (indicateurs ACV épuisement des ressources abiotiques non fossiles) ;Réemployer et réutiliser tout en garantissant une performance technique des produits de construction et équipements déjà présents sur les opérations ou à proximité (ACV en rénovation) ;Avoir une production faible de déchets (indicateurs ACV déchets non dangereux, dangereux et radioactifs) ;Valoriser un maximum les déchets produits (scénario de fin de vie) ;Avoir un maximum de matières secondaires en entrée et en sortie tout en veillant à l'équilibre des flux entre les entrées et les sorties (indicateurs MFA) ; avoir une intensité de transport d'approvisionnement (entrée) et vers les exutoires (sortie) la plus faible possible (indicateurs MFA).Un guide et les 23 fiches projets sont disponibles à cette adresse.Focus sur la méthode d'analyse des flux de matières (MFA)L'analyse des flux de matières (MFA) est une méthode quantitative qui permet de déterminer le flux de matière et d'énergie. Elle a été élaborée par le bureau d'études EVEA, en partenariat avec Cerqual, INIES et l'Alliance HQE-GBC.Elle vise à représenter schématiquement les flux de matières en reposant sur le principe de conservation de la matière développé par Lavoisier : la somme des ressources entrantes est égale à la somme des ressources sortantes.Le MFA permet de calculer les indicateurs de circularité sur la vie d'un bâtiment, en s'appuyant sur des indicateurs existants dans les FDES (Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire) et PEP (Profil Environnemental Produit), facilement accessibles aux opérateurs.Outre l'analyse des flux entrants dans le bâtiment (produits de construction et équipements), ainsi que les flux sortants, il permet de définir les matières réemployées, réutilisées et recyclées en entrée et réemployables, réutilisables, recyclables en sortie (les matières secondaires). Le MFA propose également un garde-fou avec un indicateur d'intensité de transport pour définir s'il est pertinent de recycler la matière.Cadre de définition de l'économie circulaire dans le bâtiment : 15 leviers pour agirPour aider les acteurs du secteur du bâtiment et de l'immobilier à mieux appréhender l'économie circulaire et agir, l'Alliance HQE-GBC a publié « le cadre de définition de l'économie circulaire pour le bâtiment ». Ce document, fruit d'une co-construction interprofessionnelle forte et utilisable par tous, a été co-signé par le Ministère de la Transition écologique et solidaire, le Ministère de la cohésion des territoires, l'ADEME, le CSTB et l'Association OREE. Ce cadre de définition fait le lien avec celui de référence du bâtiment durable pour tous.
Il y a 4 ans et 133 jours

Nouvelle gamme de pompes à chaleur Heiwa Pro Essentiel ZEN dédiée au petit tertiaire

Ces performances énergétiques sont dans la continuité des valeurs durables et responsables que défend la marque pour ses pompes à chaleur. Pour accompagner au mieux les professionnels dans leur quotidien, la gamme HEIWA PRO se compose de 3 solutions de chauffage et climatisation à hautes performances avec une fiabilité maximale et qui s’adaptent à toutes les configurations d’espaces.Une gamme entièrement modulable et facile à poser pour l’installateurPour une plus grande flexibilité, les 3 produits de la gamme sont entièrement modulables et compatibles avec une seule gamme de groupes extérieurs. HEIWA a engagé une véritable démarche de recherche et développement sur leur design pour les rendre extrêmement compacts et faciles à transporter pour les installateurs.Pour une plus grande facilité d’installation, la configuration des produits est adaptée aux grandes surfaces, avec une longueur de liaison entre l’unité extérieure et l’unité intérieure qui peut aller jusqu’à 75 m, une longueur idéale pour les petits commerces par exemple.Des pompes à chaleur adaptées aux spécificités du petit tertiaireAfin de répondre aux spécificités du petit tertiaire qui nécessitent des produits endurants et fiables, les solutions de la gamme HEIWA Pro Essentiel ZEN sont toutes équipées du compresseur le plus avancé de la gamme HEIWA. Elles proposent un excellent indice SEER jusqu’à 6,8 en mode froid et peuvent être utilisées sur une large plage de fonctionnement : entre -20° et +48° en mode froid et de -20° à +24° en mode chaud. Très modulable selon la configuration des bureaux ou des locaux commerciaux, la nouvelle gamme HEIWA PRO permet de connecter jusqu’à 4 unités intérieures de la même puissance à l’unité extérieure. Pour simplifier la gestion des locaux commerciaux ou des espaces de travail au quotidien, il est possible de relier l’ensemble des unités intérieures à une gestion technique du bâtiment centralisée type GTB (gestion technique des bâtiments) grâce à la passerelle Modbus en option.Grâce à un contrôleur central à écran tactile associé à la passerelle Modbus il est possible de contrôler entièrement jusqu’à 36 unités intérieures de la gamme Heiwa PRO. Les produits ont été pensés pour faciliter leur maintenance. Les gainables et les cassettes sont équipés d’une pompe de relevage pour faciliter l’évacuation des condensats et permettre plus de souplesse lors de l’installation. Sa hauteur de refoulement jusqu’à 1m assure une grande flexibilité de positionnement dans l’installation. Les codes erreurs s’affichent aussi directement sur l’écran de l’unité intérieure (ou sur la télécommande filaire) ce qui facilite les interventions des installateurs.Du confort pour les usagers des bureaux et des locaux commerciauxLa gamme HEIWA Pro offre de multiples options pour le confort des usagés, parfaitement adaptées aux espaces collectifs. Les produits HEIWA peuvent être 100% connectés pour faciliter leur usage. Autonomes, ils disposent d’un mode automatique qui génère la bascule entre le mode chaud et le mode froid selon la température de consigne (entre 16° et 30°). Les usagers ou les vendeurs, par exemple, n’ont donc plus à se soucier de régler la température intérieure pour le confort de leurs clients ou de leurs collaborateurs. Par ailleurs, grâce à la fonction « SetBack » l’administrateur peut définir une plage de température minimum et maximum ainsi que le mode souhaité (froid ou chaud). Si les usagers le souhaitent, ils peuvent aussi utiliser la fonction verrouillage sur un mode et une température unique. Pour gagner du temps, toute la programmation initialement installée est conservée dans le cas d’une coupure de courant grâce à la fonction redémarrage automatique. Pour plus de facilité dans le contrôle de l’installation, l’ensemble de la gamme peut être connecté au réseau wifi.Les solutions HEIWA sont très adaptées au rythme et à l’usage des locaux commerciaux ou des bureaux. Elles sont équipées d’un mode absence longue durée, idéal pour faire des économies d’énergies lors des périodes de congés ou de fermetures annuelles. Alors que nombreux espaces commerciaux sont dépourvus de fenêtre, et qu’elles peuvent parfois être inaccessibles dans les bureaux, il est peut être compliqué d’aérer. La fonctionnalité « Air Neuf » renouvelle l’air d’une pièce en cas de mauvaises odeurs ou d’un besoin de ventilation. Pour un maximum de confort à destination des clients ou des collaborateurs, la fonction « silence » permet aux systèmes HEIWA de se faire discrets.Le gainable Heiwa PRO Essentiel ZenLe système gainable permet de chauffer efficacement l’intérieur de son entreprise en toute discrétion et en préservant le design des espaces. De 5kW à 12,1kW, la nouvelle gamme gainable Heiwa PRO Essentiel Zen offre un large choix de puissances. Afin de pouvoir s’adapter parfaitement aux différents usages des locaux, la marque Heiwa a développé son propre Zoning sur la solution gainable. L’usager peut alors contrôler la température de manière indépendante dans chaque zone, et jusqu’à 6 zones, grâce à un thermostat radio ou filaire. Chaque composant du zoning HEIWA (plénum de soufflage, plénum de reprise, passerelle de communication et centrale de contrôle zoning) a été étudié pour s’adapter sur mesure aux différentes unités intérieures. L’ensemble du Zoning est entièrement pré- monté et la configuration est extrêmement simple.Le gainable HEIWA Essentiel Zen PRO peut se décliner en deux autres modèles. Le gainable Essentiel Zen 5 Kw SLIM est idéal pour les faux plafonds, les combles ou les encadrements réduits. Son design optimisé permet de réduire le niveau sonore et d’améliorer le rendement du système. Le gainable Essentiel Zen Haute Pression est quant à lui destiné aux espaces plus grands qui nécessitent plus de pression. Un kit d’accessoires d’isolation est inclus lors de l’achat d’un système gainable de la gamme Heiwa PRO quel que soit le modèle.La cassette Heiwa PRO Essentiel ZenLa gamme cassette Heiwa PRO Essentiel Zen permet de répondre aux principaux besoins des espaces commerciaux avec un design élégant et un confort maximal. Sa pose est un véritable gain de temps pour l’installateur grâce à son carton d’emballage conçu pour servir de gabarit. Les capots d’angles escamotables situés aux 4 coins de la façade, permettent d’ajuster facilement la hauteur de l’unité par les trappes d’accès, et ce, même après avoir installé la grille. Pour optimiser le confort des utilisateurs, l’orientation de chaque volet peut être pilotée indépendamment à l’aide de la télécommande filaire.Le plafonnier Heiwa PRO Essentiel ZenLa technologie et l’efficacité au service des gros volumes et des grands espaces du petit tertiaire. Les angles des volets du plafonnier Heiwa PRO Essentiel Zen permettent un balayage spécifique en mode froid comme en mode chaud et améliorent le confort de l’habitat.
Il y a 4 ans et 135 jours

Découverte du corps exceptionnellement conservé d’un abbé du XIIIe siècle

Des fouilles archéologiques menées sur autorisation de l’État (préfet de région) sur le site de l’ancienne abbaye Saint-Médard de Soissons dans l’Aisne, dont la crypte est classée au titre des Monuments historiques depuis 1875 ont permis la découverte du corps d’un abbé. Sous la dalle funéraire de l’abbé Albéric de Braine, décédé le 3 mai 1206, la tombe a été découverte dans un exceptionnel état de conservation. En ouvrant ce caveau, le 28 octobre 2020, l’équipe de fouille a constaté que la hampe de la crosse, le grand manteau brodé qui enveloppait le corps de cet homme d’église et ses chaussures étaient conservés. Un mystère pour les archéologues : le visage était recouvert par une tôle de plomb et la tête reposait sur un oreiller également en plomb. ARC-Nucléart, atelier de recherche et de conservation au Commissariat à l’Énergie Atomique et aux Énergies Alternatives de Grenoble, a réalisé un prélèvement de cette sépulture, son traitement par irradiation gamma et son stockage. Le prélèvement a été réalisé mardi 15 décembre 2020, le transport et le traitement ont été engagés dès le lendemain. En 2021 la phase 2, sera consacrée à la fouille , à l’étude et à la restauration de cet ensemble afin d’identifier précisément cet individu et les rituels funéraires, qui caractérisent cette inhumation. Une analyse ADN et une datation par mesure de radiocarbone seront réalisées. Une étude de l’histoire d’Albéric de Braine et de sa famille, très présente dans le Soissonnais aux XIIe et XIIIe siècles, sera également engagée aux Archives nationales de France. Une grande exposition, du type « de la fouille au musée », est dès à présent envisagée. Pour le financement de cette importante phase 2, il sera fait appel au mécénat. L’association « Abbaye Royale Saint-Médard de Soissons », qui a en charge, aux côtés de la Ville de Soissons, la sauvegarde et la valorisation du site, sera également associée à cette opération. Photo : Drac Hauts-de-France &nbsp;
Il y a 4 ans et 142 jours

Delta Dore crée le pole Smart IoT Solutions, une nouvelle étape dans l’interopérabilité au profit de la smart home

Fort d’un savoir-faire reconnu et de l’écosystème le plus large pour le pilotage des équipements de la maison, Delta Dore passe à la vitesse supérieure. Le groupe structure l’ensemble de ses activités IoT et Smart Home en créant l’entité Smart IoT Solutions. A destination de tous les professionnels de l’habitat, ce nouveau pôle est composé de trois piliers : « Your IoT », « Your services » et « Your interface ». L’objectif ? Accompagner les industriels à chaque étape de la transformation digitale de leurs offres de produits & services pour les logements, de la création, à l’exploitation, en passant par la conception. Delta Dore entend ainsi conforter son expertise et être moteur dans les prochaines grandes étapes de l’écosystème IoT.Avec 38 milliards d’objets connectés à internet dans le monde en 2020 (+ 285% par rapport à 2015 – source : IDC), l’univers IoT fait partie du quotidien, et particulièrement pour la maison qui ne cesse d’évoluer au fil des années. A titre d’exemple, les appareils d’équipement de la maison représentent à eux seuls 57 % des ventes d’objets connectésen 2020.Cette multitude d’équipements et d’écosystèmes soulève un point : comment garantir uneexpérience simple et intuitive autour de la smart home ?Une question qui impacte autant les industriels (concevoir des équipements pilotables à distance) que les utilisateurs finaux (interagir de manière fluide sur une interface unique donnant accès à un grand nombre de solutions).« L'avenir de la maison intelligente nécessitera l'interopérabilité et la collaboration de nombreux écosystèmes, et plus largement une unification de l'expérience utilisateur. Notre ambition est de concevoir des solutions améliorant le confort de chacun, sécurisant l’habitat et participant à la transition énergétique. Nous entendons renforcer nos collaborations avec nos clients et partenaires technologiques. Nous voulons accompagner nos clients industriels dans l’évolution de leurs offres, par exemple en les aidant sur des aspects tels que la connectivité. Cela implique également l’interopérabilité de nos offres avec celles d’autres acteurs du marché, y compris de nosconcurrents » explique Stéphane Lemerle, Directeur du pôle Smart IoT Solutions.Delta Dore, le partenaire de choix dans la transformation digitale de l’habitatAvec une expertise de 50 ans dans la fabrication de solutions et dans la conception de produits en marque blanche, Delta Dore a su s’imposer sur le segment de la smart home avec près de 250 000 box domotique Tydom vendues.2020 : un nouvel ancrage dans l’Internet des objets et la transformation digitale de l’habitatLes attentes des clients et partenaires, l’évolution des usages, combinées à la force de l’écosystème smart home Delta Dore le plus large du marché, a naturellement amené la marque à structurer son expertise avec la création du pôle Smart IoT Solutions.L’équipe est composée de divers profils : ingénieur, architecte IoT, UX designer, chef de projets dédiés, développeur travaillant en mode agile. Sa mission est d’accompagner dans la transformation digitale de leurs offres les gestionnaires immobiliers, les fournisseurs de services d'énergie, les fabricants d'équipements, les constructeurs de maisons, les sociétés de maintenance, les agrégateurs d'énergie, les fournisseurs de services…Smart IoT Solutions : une activité pensée pour chaque étape de la Smart Home« Smart IoT Solutions se met au service de nos clients, leur apportant une expertise et des solutions qui leur permettent d’accélérer tout en conservant l’entière propriété de leurs données et la primauté de leurs contacts clients. Smart IoT Solutions aide à créer de la valeur, pas à en prendre », développe Stéphane Lemerle.Le groupe applique une stratégie claire et sur-mesure au service des professionnels avec comme objectif principal : créer de la valeur auprès de leurs clients.Au travers de trois offres complémentaires, Delta Dore propose ainsi un accompagnement unique sur le marché, allant de la conception de devices, à la proposition de nouveaux services et jusqu’à la création des interfaces.Your IoT : des solutions pour entrer ou évoluer dans le monde de l’IoT, via la création ou laréutilisation de devices, et connecter et piloter facilement ses équipements (connecteurs,box domotiques et digitalisées, modules, logiciels...) via une plateforme IoTYour services : une offre de services accessible via la plateforme IoT de Delta Dore pourapporter une valeur ajoutée aux fonctions à destination des utilisateurs.Your Interface : réalisation d’interfaces et applications smartphones sur-mesure pour unemeilleure expérience client (possibilité de pilotage via des assistants vocaux, large gammede télécommandes et switches connectés...)> ELM LEBLANC : offrir de nouveau services grâce à l’intégration de protocole radioLe système Optibox permet aux bailleurs sociaux et entreprises de maintenance de piloter et superviser, à distance, un parc de chaudières. Il permet aussi de proposer aux utilisateurs finaux, de nouveaux services comme le suivi des consommations.« Notre projet était un challenge technique qui a été relevé grâce à l’expertise radio des équipes Delta Dore et à leur savoir-faire industriel. Nos clients sont satisfaits du service innovant que nous leur apportons. ». Marc Trela, Directeur marketing produits.> SWAO : des fenêtres connectées alliant confort et sécuritéL’objectif était de développer un capteur pour permettre aux clients de connaître l’état(ouvert/fermé/en aération) de leur fenêtre afin de sécuriser leur habitat et réaliser des économies d’énergies.Un capteur qui peut aussi être couplé au système d’alarme pour faire une protection périmétrique et à la gestion du chauffage pour le couper en cas d’ouverture des fenêtres.« Le capteur I-SECURE® s’inscrit dans une démarche « origine France », Delta Dore était donc le partenaire idéal avec ses experts et sa production basée en Bretagne. Notre projet continue d’évoluer grâce aux retours terrain et à l'interactivité avec les équipes qui nous accompagnent au long cours. » Nicolas Robin, Directeur technique fenêtres.> WELL’COM : volets, portes de garage et stores connectés avec l’écosystème TydomLes volets, portes de garage, stores extérieurs ou intérieurs équipés de moteurs Well’com peuvent être pilotés à distance, réagir en fonction d’un scenario prédéfini ou même être contrôlés à la voix. Grâce à une compatibilité totale avec la Smart Home Delta Dore, Well’com permet ainsi aux utilisateurs de sécuriser leur maison, gagner en confort et contribuer à une meilleure performance thermique de leur habitat en hiver comme en été.« Conscients des enjeux qui s’ouvrent pour une maison plus confortable, plus sûre et plus performante, nous avons développé des produits permettant de bénéficier de tous les avantages qu’offre la Smart Home en intégrant nos produits dans l’application Tydom et en nous appuyant sur l’expertise globale de Delta Dore. » Pascal Ischoffen, Responsable de projets Well’com.> ARISTON THERMO s’intègre au logement connecté by Delta DorePour répondre au marché en pleine expansion du logement connecté, le groupe a souhaitérendre les solutions Ariston et Chaffoteaux compatibles avec l’écosystème Delta Dore.« Grâce au développement d'une passerelle nos clients peuvent piloter nos chaudières et pompes à chaleur depuis une interface Delta Dore. Le mode de fonctionnement local permet la régulation modulante et multizone du générateur depuis un boitier d’ambiance Delta Dore ainsi que le relevé de consommations RT2012. En mode connecté, il est également possible de gérer son confort thermique à distance depuis l’Application Smartphone Tydom. » Benjamin d'Erceville, Chef de produit connectivité.La prochaine étape ?Début 2021, Delta Dore ouvre son portail développeurs, un nouveau pas vers l’ouverture avec la mise à disposition des API facilitant ainsi l’intégration des équipements et des services de la Smart Home.
Il y a 4 ans et 153 jours

Cas d’urgence : quand contacter le serrurier ?

Les urgences de serrurerie peuvent malheureusement survenir à n&rsquo;importe quel moment. Bien souvent, un blocage sur un mécanisme se produit au plus mauvais moment. Résultat, une situation problématique, et l&rsquo;on ne sait pas forcément comment y faire face. Les services d&rsquo;un serrurier sont ainsi nécessaires pour débloquer la situation rapidement et efficacement. En tant que serrurier professionnel, vous pouvez ainsi proposer vos services, qu&rsquo;il s&rsquo;agisse d&rsquo;une ouverture de porte, d&rsquo;une réparation ou d&rsquo;un changement de serrure. Service de serrurerie pour une ouverture de porte claquée en urgence N&rsquo;importe quel professionnel peut être touché par une porte claquée. Un employé préoccupé par son travail ayant l&rsquo;esprit ailleurs a omis de prendre les clés avec lui. Malheureusement, il est impossible d&rsquo;ouvrir la porte sans utilisation du trousseau de clés. Même si cette situation se produit pendant un week-end ou en plein milieu de la nuit, les particuliers et les professionnels ont généralement le réflexe de contacter un serrurier en cas d&rsquo;urgence pour résoudre un tel incident. Contrairement à certaines idées reçues, l&rsquo;ouverture d&rsquo;une porte claquée s&rsquo;avère relativement simple et rapide. Si vous faites partie des serruriers disponibles 24 heures sur 24 et sept jours sur sept dans votre ville, les clients feront appel à vos services pour l&rsquo;ouverture d&rsquo;une porte ou une réparation de serrurerie en urgence. Dans ce contexte, vous procéderez aux réparations sans occasionner le moindre dégât. Si un tel résultat est possible, c&rsquo;est grâce à votre savoir-faire et à votre expérience. Avec une radio ou un équipement similaire utilisé entre la portée et le bâti de celle-ci pour actionner le mécanisme, ou toute autre technique professionnelle, vous pourrez assurer l&rsquo;accès au bâtiment dans les meilleurs délais. Concernant la tarification, elle sera définie à l&rsquo;avance à l&rsquo;aide d&rsquo;un devis rédigé par vos soins pour éviter les mauvaises surprises. L&rsquo;expertise d&rsquo;un serrurier pour une serrure défaillante Lorsque la serrure ne fonctionne plus correctement, il faut agir rapidement, car c&rsquo;est la sécurité du bâtiment qui est remise en question. Avec le temps, une serrure peut se détériorer et le cylindre à l&rsquo;intérieur de celle-ci se gripper. Même en ayant la clé à disposition, impossible de faire tourner le barillet. Dans ce contexte, il est impossible d&rsquo;ouvrir ou de fermer la porte. De ce fait, seul un serrurier peut résoudre cette problématique. Ainsi, en tant que serrurier professionnel, vous pourrez sécuriser le bâtiment en effectuant les réparations nécessaires au niveau de la serrure. Peu importe la marque et le modèle de la serrure, en tant que spécialiste, vous saurez identifier exactement les dysfonctions du mécanisme et les gestes à effectuer. Cette fois-ci, il sera peut-être nécessaire d&rsquo;envisager le remplacement de la serrure. Les frais sont certes plus conséquents qu&rsquo;une ouverture de porte claquée, mais si le mécanisme ne fonctionne plus, les occupants ne peuvent rester dans cette situation. D&rsquo;ailleurs, les interventions sur les serrures ne sont pas réalisées uniquement sur les portes extérieures. Les mêmes problématiques sont constatées sur les portes intérieures dont le cylindre ne s&rsquo;actionne pas, occasionnant autant de soucis. Acte de vandalisme : la sécurisation de la serrurerie Malheureusement, des personnes malveillantes peuvent tenter de s&rsquo;introduire dans un bâtiment. Cela peut occasionner de nombreux dégâts au niveau de la serrurerie. Les tentatives d&rsquo;effraction Les commerces, les bureaux ou les locaux professionnels sont malheureusement concernés. Les cambrioleurs vont essayer de s&rsquo;introduire en utilisant souvent la manière forte. Des dégâts importants peuvent être observés sur une porte, une baie vitrée, un portail ou une fenêtre. Lorsque la sécurité est remise en question, vous devez, en tant que professionnel de la serrurerie, vous montrer réactif pour prendre en charge l&rsquo;ensemble de vos demandes. Les réparations s&rsquo;effectueront immédiatement si ce sont des produits et des équipements courants. Si ce n&rsquo;est pas le cas, les clients devront alors passer commande, ce qui nécessitera un temps un peu plus long pour une réparation définitive. Sur ce laps de temps, la sécurité sera retrouvée temporairement. En effet, votre entreprise de serrurerie sera en mesure d&rsquo;effectuer une fermeture provisoire pour sécuriser les lieux. Il convient de noter que ce type d&rsquo;intervention reste très fréquent à n&rsquo;importe quel moment du jour et de la nuit. Vous pourrez également conseiller vos clients sur des équipements à adopter pour prévenir d&rsquo;éventuelles récidives : installation de portes blindées, serrures multipoints… Autres actes de vandalisme Parmi les autres actes de vandalisme, certaines personnes peuvent mettre des objets dans le trou de la serrure. Les occupants du bâtiment sont ainsi automatiquement dans l&rsquo;incapacité de pouvoir utiliser leur trousseau de clés. Il existe toujours des solutions adaptées. Dans une telle situation, vous pourrez indiquer les tarifs de l&rsquo;intervention de serrurerie par téléphone et lorsque vous vous rendrez sur place, les clients auront déjà une estimation claire et précise. Cette démarche est absolument nécessaire pour éviter toute déconvenue ultérieure. En tant que serrurier proactif, et respectueux des délais, vous pourrez aider vos clients à surmonter cette épreuve. Vous fournirez une assistance technique performante et adaptée aux besoins des clients afin de résoudre la problématique le plus rapidement possible. Une intervention de serrurerie sur les équipements professionnels Un commerce possédant une vitrine dispose généralement d&rsquo;un rideau métallique. C&rsquo;est un équipement de protection pour éviter que la vitrine ne subisse des dégradations. Comme pour une serrure, un rideau métallique peut tomber en panne. S&rsquo;il s&rsquo;agit d&rsquo;un rideau manuel, il est possible qu&rsquo;une lame soit sortie de son axe, ce qui empêche le déroulement de l&rsquo;ensemble dans le tablier. Dans d&rsquo;autres circonstances, le rideau électrique peut être motorisé. Une faiblesse électrique sur le moteur engendre une fois de plus un problème d&rsquo;ouverture et de fermeture. Un commerçant qui prépare sa boutique pour les fêtes de Noël ne peut se permettre une immobilisation pendant plusieurs jours à cause d&rsquo;un problème sur un rideau métallique. Dans un tel contexte, vous pouvez également apporter vos services et votre expertise afin de débloquer n&rsquo;importe quel rideau métallique dans des délais très courts. Le commerce pourra ainsi rouvrir ses portes rapidement afin de limiter au maximum l&rsquo;impact financier d&rsquo;une cessation temporaire d&rsquo;activité.
Il y a 4 ans et 156 jours

Poces : Environnement souterrain, et si on parlait béton ?

Une soixantaine de participants scientifiques, maîtres d’ouvrage et d’œuvre, entrepreneurs, fournisseurs et institutionnels ont assisté aux conférences. [©Poces] Inauguré en 2017, le Pôle de compétences en environnement souterrain (Poces) est hébergé à Ecurey (55), au Pôle d&rsquo;Avenir. Il s’est rapidement imposé comme une référence technique et pédagogique auprès de nombreux acteurs du secteur des travaux souterrains. Depuis plus de deux ans, il propose des évènements et des formations professionnelles spécialisées. Le tout avec des mises en pratiques dans les galeries du laboratoire de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra), à Bure (54). Ainsi, douze modules de formation ont été déployés. Ils abordent différents thèmes comme la maîtrise des risques en souterrain, la sécurité incendie. Mais aussi, les risques projets, l’environnement de travail souterrain, la gestion de travaux… Une deuxième édition Intitulées “Durabilité des bétons en milieu souterrain”, les Journées techniques du Pôle de compétences en environnement souterrain (Poces) ont eu lieu cet automne. [©Poces] C’est toujours dans cette même démarche que le Poces a organisé la 2eédition de ses Journées techniques, intitulées “Durabilité des bétons en milieu souterrain”. Organisé à Ecurey (55), cet évènement a constitué un rendez-vous regroupant scientifiques, industriels et institutionnels du secteur. Ces derniers ont partagé leurs expériences, leurs pratiques et leurs progrès. Pour cette 2eédition, le béton et ses innovations étaient au cœur des discussions. Considéré comme un matériau incontournable dans la réalisation d’ouvrages, tels que les galeries et les tunnels. Autour de la durabilité des bétons Ainsi, une soixantaine de participants scientifiques, maîtres d’ouvrage et d’œuvre, entrepreneurs, fournisseurs et institutionnels ont assisté aux conférences. Et participé aux tables rondes. Ces deux journées ont été l’occasion de partager des expériences et de discuter des meilleures pratiques. Ainsi que de s’informer sur les innovations dans&nbsp;le domaine des bétons pour la construction des tunnels de demain. Ces rencontres ont permis de valoriser toute la filière des milieux souterrains. Et de diffuser de la façon la plus large possible les connaissances acquises par des professionnels et des chercheurs. Quatre conférences François Martin, chef de projets travaux souterrains chez BG Ingénieurs Conseils, a abordé la thématique de l’emploi des bétons dans les travaux de réalisation de tunnels et de galeries. [©Poces] Quatre grandes conférences ont ponctué ces Journées techniques. Déjà, l’exposé de François Martin, chef de projets travaux souterrains chez BG Ingénieurs Conseils. Thématique abordée&nbsp;: l’emploi des bétons dans les travaux de réalisation de tunnels et de galeries. François Martin a ainsi démontré que ce matériau était incontournable dans ces ouvrages. Mais aussi, qu’apparemment simple et facile à confectionner, ainsi qu’à mettre en œuvre, le béton était en réalité&nbsp;«&nbsp;prodigieusement compliqué&nbsp;» dans cet&nbsp;environnement. Laurie Lacarrière, enseignante-chercheuse à l’Insa-LMCD Toulouse, a communiqué sur le thème de la durabilité des bétons et de ses constituants. [©Poces] Puis, c’est l’intervention de Laurie Lacarrière, enseignante-chercheuse à l’Insa-LMCD Toulouse, qui a suivi. Avec comme thème&nbsp;: la durabilité des&nbsp;bétons et de ses constituants. L’enseignante-chercheuse a fait la synthèse sur l’état des connaissances. Temps fort&nbsp;: la&nbsp;“prise en compte des couplages thermo-hydro-chemo-mécaniques pour la prédiction de la durabilité des ouvrages enterrés”. Laurie Lacarrière a appréhendé la durée de vie et de service des constructions selon des conditions environnementales. Cette approche académique a été complétée par l’intervention de Frédéric Duprat, enseignant-chercheur à l’Insa-LMCD Toulouse. Celui-ci a transporté les auditeurs dans le monde de la gestion des ouvrages.&nbsp; Des tables rondes, marque de fabrique du PoCes Une troisième conférence menée par Sylvie Geromey (Cetu/Asquapro) et Abdel Mestari (ABCCR/Asquapro) a porté sur les&nbsp;bétons projetés. [©Poces] Une troisième conférence menée par Sylvie Geromey (Cetu/Asquapro) et Abdel Mestari (ABCCR/Asquapro) a porté sur les&nbsp;bétons projetés. Les différentes méthodes de projection avec leurs spécificités ont été ici détaillées. Précisant les avantages et les difficultés de chacune. La présence sur le site d’un simulateur virtuel de&nbsp;projection de béton et des démonstrations encadrées par Yves Girard (Master Builders Solutions) ont permis aux participants de s’initier à cette technique innovante. Interventions des scientifiques de l’Andra avec Odile Azanam. [©Poces] Enfin, il y a eu les interventions des scientifiques de l’Andra avec Odile Azanam, Gilles Armand et Jad Zghondi. Qui ont permis de rendre compte des problématiques liées à l’utilisation et à la durabilité du béton dans la future installation souterraine&nbsp;Cigéo. Cette dernière est implantée dans l’Est de la France, à Bure, à la limite des départements de la Haute-Marne et de la Meuse. Marque de fabrique du Poces, le format des tables rondes a aussi permis de partager des expériences autour de la durabilité des bétons. &nbsp;
Il y a 4 ans et 158 jours

T-Mobile et AGC testent des antennes transparentes en verre

T-Mobile en République tchèque et AGC ont achevé avec succès une série de tests de WAVEATTOCH®, un nouveau type d’antennes pour réseaux mobiles. L’antenne WAVEATTOCH a été conçue pour s’installer directement et aisément sur les façades vitrées. Une fois mise en place, elle contribue à améliorer la qualité de couverture et la capacité des réseaux mobiles, y compris en 5G, en particulier dans les centre villes historiques où l’environnement ne se prête pas à l’installation d’antennes conventionnelles sur les murs des bâtiments. En verre et donc transparente, l’antenne WAVEATTOCH s’insère harmonieusement et en toute discrétion dans le paysage urbain.Répondre aux exigences de capacité des réseaux mobiles actuels et de la technologie 5G à venir, surtout dans les zones denses, constitue un défi majeur pour les opérateurs télécoms. Outre qu’elle représente un investissement coûteux en temps et en argent, l’installation d’antennes conventionnelles sur les murs extérieurs des bâtiments se heurte fréquemment aux règles sévères de protection du patrimoine. C’est pourquoi T-Mobile et AGC ont réuni leurs forces pour tester l’antenne sur vitrage, un développement unique et novateur d’AGC.Les antennes ont été testées en même temps qu’une autre solution originale d’AGC : WAVETHRU®, un double vitrage dont la surface a été traitée de façon à permettre aux signaux radio de pénétrer plus efficacement dans les bâtiments et d’y circuler mieux. WAVETHRU réduit l’atténuation du signal au passage de la couche vitrée par un facteur allant de 10 à 100 (selon la bande de fréquences du signal), tout en conservant ses excellentes propriétés d’isolation thermique. Loin de se limiter au secteur de la construction, cette solution peut s’appliquer aussi pour les trains.« Cette idée d’utiliser des antennes à installer sur les façades vitrées m’a d’emblée séduit; c’est pourquoi j’ai voulu mener cet essai de faisabilité pour bien en comprendre les avantages. Cette technique peut en effet ouvrir de nouvelles possibilités de déploiement réseaux, en premier lieu dans des centres urbains historiques comme celui de Prague. De plus, elle nous permettra d’améliorer la couverture et la capacité du réseau sur des points névralgiques », affirme Thomas Schweinhuber, Responsable de l’International Access Engineering chez T-Mobile République tchèque.« Nous avons adapté notre solution aux besoins de T-Mobile. C’est ainsi que nous avons ajouté les nouvelles fréquences 1,8 et 2,1 GHz aux bandes supérieures déjà existantes (2,6 à 6 GHz). Les observations recueillies lors des tests sont extrêmement fructueuses pour notre expansion en Europe », indique Philipp Jaeger.Les tests ont également inclus l’installation du vitrage WAVETHRU. Les antennes WAVEATTOCH ont été placées à une hauteur d’environ 10 mètres sur les fenêtres du siège de T-Mobile près de la station de métro de Roztyly à Prague. En même temps, le double vitrage existant des fenêtres a été remplacé par un double vitrage WAVETHRU, dont le traitement de surface est destiné à assurer la qualité des communications à l’intérieur du bâtiment. Les essais ont porté sur les bandes des 1.800 MHz et des 2.100 MHz pour les services voix et données, plus spécifiquement sur le réseau 4G. Les antennes panneau MIMO 2x2 utilisées pendant les tests, totalement transparentes et tenant dans un cadre très mince, se remarquent à peine de l’extérieur.Les premiers résultats des tests ont montré la faisabilité de ces deux solutions innovantes et mis en évidence des concepts fonctionnels susceptibles d’aider les opérateurs mobiles et les villes à mieux accompagner la demande croissante d’accès Internet mobile à haut débit. Les essais ont notamment confirmé que le vitrage WAVETHRU a permis d’améliorer la qualité et le niveau du signal aux endroits choisis pour les tests.
Il y a 4 ans et 167 jours

Sécurisation des copropriétés : des outils simples et pragmatiques

Interview de Véronique Lelièvre, Responsable communication d’Urmet France. Pourquoi une copropriété à intérêt à choisir des produits Urmet pour la sécurisation ? “La force de notre groupe c’est de pouvoir vous proposer une suite complète de produits. C’est-à-dire des caméras, des enregistreurs, du contrôle d’accès, des claviers codés, des interphones et dans le logement, du confort d’usage avec la domotique Yokis. Pas besoin pour l’installateur de s’adresser à plusieurs constructeurs, avec Urmet, il a toutes les solutions professionnelles et fiables à proposer aux syndics et aux membres des conseils syndicaux. A l’exception de quelques composants, tous nos produits sont fabriqués dans nos usines en France et c’est un confort pour les installateurs et les utilisateurs car c’est la garantie d’un suivi commercial personnalisé très réactif, d’une plateforme d’assistance technique téléphonique basée à Roissy, de formations régulières et presque sur mesure. Quels sont les choix technologiques à la disposition des syndics et des copropriétaires ? Pour la copropriété, au-delà de l’intégration dont je viens de parler, nous avons une réelle écoute des besoins. Nos gammes nous permettent de donner des choix très ouverts, en fonction des usages quotidiens. Notre particularité c’est que nous n’allons pas vous « obliger » à choisir une technologie car nous les maitrisons toutes, connectées ou non, avec ou sans fil, etc. Par exemple pour les caméras, nous avons des matériels wifi et d’autres IP, de même pour les claviers codés, les boutons, les ventouses. Et particulièrement sur l’interphonie, nous savons vous orienter sur le matériel qui va vraiment correspondre à votre immeuble. S’il y a plutôt des personnes âgées, ou par exemple un cabinet médical, des professions libérales, ou encore des familles, ou bien majoritairement des locataires, les choix en matière de sécurité ne seront pas forcément les mêmes. De même s’il y a déjà des équipements en place ou qu’il faut tout créer. Vous voudrez avoir aussi des investissements financiers plus ou moins importants, suivant le standing souhaité, où les services attendus. Vous aurez besoin plutôt de solutions connectées ou non pour gérer entre autres le renouvellement des noms ou des codes d’accès. Par exemple, pour ces trois prochaines années, si vous achetez des réalisations neuves Nexity ou Icade, vous aurez un interphone Urmet. Ces promoteurs nous ont fait confiance car ils veulent une solution ouverte, polyvalente et fiable. Ils veulent de la tranquillité ! Avec ou sans fil, tout dépend encore une fois des usages ou encore de la force du signal dans les zones concernées. Dans tous cas, vous avez accès à une technologie de pointe que ce soit sur votre smartphone ou les postes audio ou vidéo dans votre appartement. Bref, vous le voyez, nous sommes vraiment l’interlocuteur privilégié des copropriétaires et de leur syndic pour apporter une réponse rapide, adaptée et concrète et ne pas calquer une solution unique qui ne vous donnera pas satisfaction. Quels sont les outils d’information et d’aide à disposition ? Nous développons des app sur smartphone pour garantir aux résidents du confort de la simplicité d’utilisation de nos produits avec là aussi un choix unique ou intégré. Par exemple pour les caméras, on peut les piloter localement ou à distance, via l’app Urmet ou l’app Yokis si on a déjà une installation domotique dans l’appartement. Pas besoin d’installer deux applications différentes.. De même pour l’alarme avec notre système Zeno. Nous avons aussi développé de nouveaux services en ligne sur urmet.fr et yokis.fr pour bien informer les résidents et permettre aux syndics et aux membres du conseil syndical de faire des choix éclairés. Avec le configurateur gratuit Configurmet sur urmet.fr vous avez immédiatement en cinq clics un tarif en €TTC, hors pose, sur toutes nos gammes d’interphones. Notre chaine YouTube regroupe aussi de nombreux petits films très brefs pour expliquer quelques paramétrages simples, l’utilisation des app, et pour nos installateurs des tutos de réparations ou de configurations. Et puis il y a bien sûr l’irremplaçable contact humain, avec la possibilité de demander à votre interlocuteur commercial de venir vous montrer nos produits en réunion de conseil ou en AG. Pour les copropriétaires d’Ile-de-France nous vous accueillons aussi à Roissy et Ivry-sur-Seine où l’on peut tester le matériel fonctionnel et obtenir des devis.“
Il y a 4 ans et 171 jours

Eugène Freyssinet : Magicien du béton

Eugène Freyssinet a consacré la deuxième partie de sa carrière au béton précontraint et à son utilisation. [©Freyssinet International] Louis Vicat découvre en 1817 le “ciment hydraulique”, capable de durcir sous l’eau. Fabriqué industriellement à partir de 1845 et plus connu sous le nom ce “Ciment Artificiel” ou “Ciment Portland”. Il est déjà très utilisé par les grands constructeur de la fin du XIXe et début du XXe. Nommé ingénieur des Ponts et Chaussées à Moulins en 1905, Eugène Freyssinet découvre immédiatement les fantastiques possibilités de ce matériau, sa simplicité de fabrication, son aptitude au moulage et sa résistance mécanique, permettant de supplanter la pierre et d’égaler le métal. Cependant, il a très tôt l’intuition que la physique de ce matériau n’est pas aussi simple, lorsqu’il s’agit de réglementer son utilisation. C’est en 1903, en visitant les consoles de la rue de Rome au-dessus des voies de la gare St Lazare avec son professeur et maître Rabut, qu&rsquo;il pressent certaines insuffisances et pièges de ce matériau. Et dès lors, il n’aura de cesse de tenter d’y remédier ou du moins de s’en accommoder par des dispositions constructives adéquates. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m&#039;inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 4 ans et 189 jours

Urmet à la TV et à la radio !

Comment s’adresser au grand public pour faire savoir qu’Urmet est le leader offrant le choix des interphones avec ou sans fil et de tout le matériel pour le confort et la sécurisation ?  Avec une grande campagne de communication à la télé et la à la radio pendant tout le mois de novembre ! Gagner en notoriété et booster l’activité des installateurs, c’est l’objectif que s’est donné Urmet porté par un message simple et pragmatique : on peut répondre au choix avec un téléphone ou un moniteur, parce que chacun a des modes de vie et des besoins différents. Pour accompagner la campagne, le site urmet.fr propose un lien vers une page spéciale récapitulant toute l’offre. Le #UrmetChallenge vient compléter le dispositif : les photos et vidéos les plus drôles ou originales postées  sur les réseaux sociaux, comme si elles été faites face à un interphone, sont récompensées par des dizaines de cadeaux, dont un smartphone… pour répondre aux visiteurs ! https://www.urmet.fr/page+campagnemedia/urmet
Il y a 4 ans et 190 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE RLE, UNE GAMME DE LUMINAIRES LED INTELLIGENTS PUISSANTS, ÉTANCHES, TRÈS ÉCONOMES EN ÉNERGIE ET RÉSISTANTS AUX TEMPÉRATURES ÉLEVÉES

EAS SOLUTIONS, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, présente RLE, une gamme de luminaires LED connectés et étanches, conçus et fabriqués par DIGITAL LUMENS (an Osram business) pour l’éclairage professionnel intérieur, notamment en environnements difficiles. Très polyvalent avec ses rampes de LED orientables qui peuvent reproduire une optique asymétrique afin de s’éloigner d’une zone très chaude ou pivoter sur elles-mêmes pour réaliser un éclairage indirect, le luminaire LED intelligent RLE fournit une solution d’éclairage LED connecté de forte puissance pour répondre aux multiples besoins de l’éclairage intérieur professionnel, quel que soit l’environnement. La gamme des luminaires LED RLE possède un très haut rendement avec un flux lumineux de 18.364 à 65.224 lumens et une efficacité lumineuse performante allant jusqu’à 160 lm/W. Disponibles en plusieurs versions (2, 3 et 6 rampes de LED avec optique standard étroite et large), puissances (139 W, 207 W, 408 W) et températures de couleur (4000K, 5000K), les luminaires LED intelligents RLE sont étanches (IP66), robustes avec un corps métallique et une vasque en polycarbonate ou en option verre. La grande amplitude de leur température de fonctionnement qui oscille de -40° à +65° leur permet d’être installés dans des environnements difficiles. Ils conviennent ainsi à l’éclairage intérieur professionnel de zones de froid ou de zones de fortes chaleurs, par exemple à proximité de fours de cuisson. Ils sont éligibles aux CEE (avec Cos Phi > 0.9 et taux d’harmoniques < 10%), classés GR1 concernant les risques photo biologiques et  garantis 10 ans. Les luminaires LED intelligents RLE sont équipés de capteurs intégrés (luminosité, présence, Bluetooth Low Energy …) permettant une meilleure gestion du luminaire et une diminution de la consommation d’énergie pouvant aller jusqu’à 90%. Positionnés en hauteur et répartis sur tout un site, les luminaires LED connectés collectent via leurs capteurs, des données opérationnelles qu’ils transmettent à la supervision SiteWorx de DIGITAL LUMENS (an Osram business) en charge de la surveillance des données environnementales ainsi que de celle de tous les paramètres utiles comme la consommation énergétique des machines, la température en divers points du bâtiment, l’humidité, les taux d’occupation, les données de sécurité… Le système de supervision SiteWorx analyse les données en temps réel et met en place les actions correspondantes afin d’optimiser en permanence la consommation d’énergie et améliorer l’efficacité, la productivité et la sécurité du site, transformant ainsi tout bâtiment en bâtiment intelligent de nouvelle génération. Le luminaire LED RLE peut être aussi équipé d’une batterie pour disposer d’un éclairage d’ambiance en cas de coupure d’alimentation. Les tests batteries mensuels et semestriels (courts et longs) sont réalisables à distance par SiteWorx. Il est à noter que le Module capteur/radio/intelligence est très facilement déconnectable permettant ainsi de faire évoluer dans le temps le luminaire avec de nouvelles fonctionnalités. &nbsp; A propos d’EAS Solutions EAS Solutions, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS Solutions sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 4 ans et 195 jours

Proposition de loi en Argentine pour limiter l'usage privé de terres incendiées

"Nous voulons stopper cet écocide et éviter que ces tragédies se reproduisent", a déclaré samedi le député Marcos Cleri de la coalition Frente de todos (gauche), à l'origine de la proposition déposée vendredi devant la chambre basse du Parlement.Le texte prévoit un délai d'interdiction de changement d'usage pour les surfaces incendiées d'une durée de 60 ans pour les forêts naturelles ou plantées, les aires protégées et les zones humides, et d'une durée de 30 ans pour les zones de pâturages et de végétation arbustive."Nous voulons nous attaquer à une des causes des incendies, qui est le marché immobilier. Nous avons vu que dans les années suivant les incendies, il y a une prolifération de quartiers privés et de résidences secondaires", a expliqué à la radio locale AM750 le député Leonardo Grosso, en charge de la Commission sur les ressources naturelles.L'initiative intervient alors que les zones montagneuses de la province de Cordoba (centre) sont durement touchées par des incendies, après huit mois sans pluie."Nous ne voyons pas les montagnes en raison de la fumée. Cette nuit, il y a eu deux départs de feu, mais ils ont été circonscrits. C'est terrible et il n'y a aucun signe de pluie. Tout est sec", se désole auprès de l'AFP Isabel Puente, une habitante de Los Hornillos, une ville de la vallée de Traslasierra, à 850 km au nord de Buenos Aires."Nous savons que 90% des incendies sont intentionnels en raison de l'activité immobilière. C'est incompréhensible", déplore-t-elle, alors qu'en raison de feux qui se rapprochent d'habitations, le gouvernement provincial a placé une partie de la province en alerte rouge.Depuis le début de l'année, quelque 435.000 hectares ont été dévastés par les flammes dans douze provinces argentines, dont 48.500 dans la province de Cordoba, selon des données du Système national de gestion des incendies."95% pour cent des incendies de forêt sont causés par des interventions humaines, telles que la préparation des pâturages, les feux et les mégots mal éteints, ainsi que l'abandon des terres", souligne le ministère de l'Environnement.L'une des zones les plus touchées cette année a été le delta du fleuve Parana, l'un des fleuves les plus puissants et riches en biodiversité au monde, où vivent 700 espèces, avec plus de 165.000 hectares dévastés.
Il y a 4 ans et 198 jours

Nouvelles dates pour Équipbaie-Métalexpo en 2021 et le Mondial du Bâtiment en 2022

BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMACe retour à Paris et ce nouveau calendrier biennal, en année paire, s'accompagnent d'une profonde transformation de l'évènement, avec un concept d'exposition totalement repensé et une offre digitale enrichie.Le vœu des professionnels exaucéGrâce à un travail en collaboration avec Viparis, propriétaire de Paris Expo Porte de Versailles, les organisateurs du Mondial du Bâtiment ont pu saisir l'opportunité de revenir sur le site historique des salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA. Ce retour permet de répondre aux souhaits des professionnels du Bâtiment, de la Construction et de l'Architecture d'un évènement plus convivial et à proximité du centre de Paris et de son offre de tourisme d'affaires.Parmi les conditions pour ce retour à Paris Expo Porte de Versailles, figurait une modification de la date de l'évènement. L'édition 2021 est ainsi reportée à l'automne 2022, ce qui devrait également minimiser les risques de décalages successifs en cas de prolongation de la pandémie actuelle, et faciliter la présence des exposants et visiteurs internationaux. Les trois salons se tiendront dorénavant tous les deux ans au mois d'octobre en année paire, en alternance avec ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, les années impaires.Un évènement plus efficace et plus sobreEn 2022, les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA occuperont les espaces du Hall 1 au Hall 6, représentant une surface d'exposition de plus de 136 000 m². Cette surface étant inférieure à celle disponible au Parc de Paris Nord Villepinte, ce retour s'accompagnera par conséquent d'un chantier d'aménagement de l'offre et de la logistique de l'évènement.Ainsi, les exposants se verront proposer une nouvelle offre d'exposition, organisée autour de modules standards et de tailles de stand limitées. De plus, un projet logistique d'envergure aura pour objectif de réduire les temps de montage/démontage et de fluidifier les flux autour de la Porte de Versailles.Cette refonte de l'offre et de la logistique évènementielle apportera de multiples avantages aux exposants : choix de l'emplacement dès l'inscription, augmentation significative du retour sur investissement (ROI) par une réduction des coûts d'exposition et du passage à 4 jours pour tous les salons.L'autre enjeu est celui de l'évènement lui-même qui va devenir plus sobre et s'inscrire dans une démarche RSE, dans le cadre de la feuille de route que s'est donné Reed Expositions France. Le Mondial du Bâtiment sera le premier grand salon du secteur à mettre en œuvre une politique et des actions d'envergure pour la réduction de ses impacts : réduction et revalorisation des déchets, politique d'achats responsables, écoconception, restauration responsable….Une offre digitale de rupture « 365 jours/365 jours »Pour développer la visibilité des exposants entre deux éditions du Mondial du Bâtiment et leur permettre de préparer une rencontre conviviale et qualitative pendant les 4 jours de salon physique, les organisateurs de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA ont également conçu une offre nouvelle d'outils digitaux. Elle a pour ambition d'augmenter le nombre de contacts et la notoriété des marques des exposants sur une période élargie : la mise en relation et la visibilité, cœur de métier des salons, sont maintenant étendues entre deux éditions grâce au digital.Disponible dès la signature de participation au salon physique, cette offre en rupture avec les pratiques du métier s'articule autour d'un mix de solutions digitales : des contenus multiformes disponibles sur les blogs - livres blancs, articles, nouveautés produits… - des tables rondes en live et en replay, des émissions et podcasts sur Batiradio, des moments interactifs avec des webinars et des conversations en ligne.Bien plus qu'un simple come-back à la Porte de Versailles, c'est la fédération du plus grand nombre d'acteurs du bâtiment que nous promettent la réinvention de l'évènement et son dispositif digital. Rendez-vous début 2021 pour la feuille de route détaillée !Pour Guillaume Loizeaud, Directeur de BATIMAT : « Quel plaisir et quelle belle perspective de pouvoir écrire avec la filière cette nouvelle histoire ! Le retour de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA à Paris en 2022 s'annonce comme un grand moment de convivialité pour tous les professionnels. Complètement repensé sur le format d'exposition, en phase avec les grands enjeux, augmenté dans le temps grâce au digital, le Mondial du Bâtiment réunira le meilleur du salon et du virtuel. »Pour Yves Danielou, Président de l'Afisb : « L'Afisb, ses adhérents et tous les acteurs de la salle de bains ne peuvent que s'enthousiasmer à l'idée du futur Mondial du Bâtiment. Les conditions sont réunies pour en faire un vrai succès. Nous ressentons tous le besoin de moments de convivialité dans notre travail et nos relations professionnelles et Paris expo Porte de Versailles, en grande partie rénovée, les offre dorénavant aux visiteurs comme aux exposants. Ré enchanter ce grand rendez-vous du bâtiment suppose un véritable travail de renouvellement que le nouveau calendrier va permettre de mener. A la demande de nombreux exposants, nous allons ainsi améliorer l'offre commerciale, pour atteindre un meilleur coût/contact. »Pour François Frisquet, Président d'Uniclima : « Notre Profession se réjouit de cette nouvelle dimension que prendra la prochaine édition d'INTERCLIMA en 2022 avec un retour au cœur de Paris, en collaboration avec nos partenaires du Mondial : BATIMAT et IDÉOBAIN. Nous donnons donc rendezvous à tous les acteurs du confort et de l'efficacité énergétique pour découvrir le dynamisme croissant de notre filière. »ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPOFruit du dialogue constant avec les 6 syndicats partenaires (Groupement ACTIBAIE, FFPV, SNFA, UFME, UMB et Union des Métalliers), cette date a été choisie collectivement afin de répondre plus que jamais à l'objectif d'être le rendez-vous incontournable des professionnels de la menuiserie et de la métallerie. Elle en fera également le 1er salon de la reprise pour le secteur de la menuiserie.De nouvelles dates et une ambition renforcéePrévu en novembre 2020, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO a été reporté en raison de la pandémie de la COVID-19 et de ses conséquences sur l'activité économique à la fois des fabricants, des installateurs menuisiers et des métalliers. Il sera désormais programmé en octobre tous les deux ans, les années impaires, en alternance avec le Mondial du Bâtiment, déplacé en octobre les années paires.Initialement placée sous la thématique de « La révolution positive du digital », la prochaine édition d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO (du 21 au 24 septembre 2021) sera d'autant plus tournée vers l'avenir qu'elle incarnera la digitalisation du secteur en proposant aux visiteurs une expérience unique et inédite sur le salon et une offre digitale renforcée.Une plateforme digitale en amont du salonLes organisateurs du salon créent ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL, une plateforme d'information et d'échanges lancée dès novembre 2020. Accessible en continu, rythmée par des rendez-vous mensuels, elle a pour objectif de fidéliser et d'amener la communauté des menuisiers et métalliers à se retrouver sur le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO en septembre 2021. Elle propose aux professionnels, en avant-première et en digital, de découvrir des vidéos de démonstration produits, des vidéos d'experts, des nouveaux produits et services, et des webinars proposés par les exposants du salon, dont une trentaine sont d'ores et déjà engagés sur ce nouvel outil. Autre initiative digitale, les exposants du salon sont également présents dans le tout nouvel annuaire des fournisseurs du Blog, qui vient compléter le site internet du salon.Guillaume Loizeaud commente ce choix : « Nous remercions les exposants d'ÉQUIPBAIEMÉTALEXPO qui nous ont montré leur confiance en nous suivant pendant cette période de réflexion. La rentrée de septembre 2021 devrait voir la filière rassérénée par les effets positifs du plan de relance et prête à se retrouver sur son salon. »Pour Bruno Léger, président du SNFA : « Nous sommes très reconnaissants envers Reed d'avoir négocié pied à pied pour obtenir ce magnifique résultat : le retour de BATIMAT à la porte de Versailles, les années paires, qui permet à ÉQUIPBAIE de se tenir dès l'année prochaine. ÉQUIPBAIE 2021 sera la première occasion pour toute notre profession de se retrouver autour de nos innovations. Je remercie tous nos adhérents exposants d'avoir été patients et de nous avoir fait confiance ».Pour Bruno Cadudal, Président de l'UFME : « Après des mois de crise sanitaire Covid-19, je suis heureux d'annoncer une bonne nouvelle à la profession conjointement avec mes partenaires du Pôle Fenêtre et les équipes de Reed Expo. La confirmation des nouvelles dates de la prochaine édition du salon d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO montre que notre filière, consciente de vivre dans un monde « d'après » Coronavirus, reste optimiste et dynamique afin que la reprise de nos activités soit durable. Les professionnels représentés au sein de l'UFME seront nombreux à se mobiliser pour le 1er salon de la menuiserie. »Pour Franck Perraud, Président de l'Union des Métalliers : « MÉTALEXPO est un des événements majeurs de la métallerie. Maintenir des liens forts avec nos partenaires et nos fournisseurs est essentiel en cette période incertaine. Je me réjouis que toute la famille de la métallerie puisse se retrouver en septembre 2021 »