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Résultats de recherche pour renovation

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Il y a 2 ans et 78 jours

La Capeb publie un livre blanc pour jeunes et artisans

La Capeb a publié un livre blanc “Entreprises artisanales du bâtiment et génération Z, un duo gagnant”. [©Capeb] Pour la Capeb, c’est clair : il faut allier entreprises et génération Z. D’ici la fin de la décennie, cette génération, née entre 1997 et 2010, représentera un tiers de la population active. En ce sens, elle représente une véritable opportunité pour les entreprises du secteur de la construction. D’ici 2030, il y aura plus de 200 000 départs à la retraite et près de 190 000 postes à pourvoir dans la rénovation énergétique. Face à ces constats, la Capeb a publié un livre blanc intitulé “Entreprises artisanales du bâtiment et génération Z, un duo gagnant”. Elle y présente une nouvelle dynamique nécessaire à la rencontre entre ces deux partis. Pour la Capeb, génération Z et artisans du bâtiment doivent allier leurs compétences respectives. Intéresser les jeunes pour relever des défis avec toutes les générations Lire aussi : Capeb : Bilan 2022 et propositions 2023 Aujourd’hui, les jeunes ont plutôt une mauvaise image des petites entreprises artisanales du bâtiment. Ces dernières restent pourtant l’un des premiers employeurs d’apprentis. Le livre blanc de la Capeb espère rassembler ces jeunes et ces entreprises, qui ont mutuellement beaucoup de choses à s’apporter. La transition environnementale, numérique et sociétale est un enjeu majeur des années à venir. Les jeunes travailleurs ont grandi avec ces idées et technologies-là et leur approche peut compléter la vision de leurs ainés. Les artisans du bâtiment travaillent passionnément, en apportant une vraie qualité de vie au quotidien. La génération Z et les artisans du bâtiment, ce sont finalement deux âmes sœurs qui ne se sont pas encore rencontrées. Mais rien n’est encore perdu. Ensemble, ils pourront atteindre de nouveaux sommets. Pour télécharger le livre blanc, cliquez ici ! Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 78 jours

La décentralisation des politiques de l’habitat et la rénovation énergétique au cœur des propositions de la FOPH

Deux mois et demi après le lancement du CNR Logement, ouvert le 28 novembre 2022, l'heure est aux propositions concrètes. La FOPH, qui a pris part aux trois groupes de travail (« Redonner aux Français du pouvoir d’habiter », « Réconcilier les Français avec l’acte de construire », et « Le logement à l’avant-garde de la transition énergétique ») a mis à profit cette grande consultation pour attirer l’attention sur deux sujets cruciaux : la décentralisation des politiques de l’habitat, et la rénovation énergétique.Pour animer cette visioconférence de presse, Marcel Rogemont, président de la Fédération, membre du groupe 2, était accompagné d’Isabelle Rueff, directrice générale d’Alpes Isère Habitat, et d’Anne Voituriez, présidente de Lille Métropole Habitat, vice présidente de la Métropole Européenne de Lille, toutes deux également impliquées dans ces ateliers.Propositions sur la décentralisation des politiques du logementFinancer l’Autorité organisatrice de l’habitat (AOH)Dans le cadre de la loi 3DS, en 2022, la FOPH a promu l’idée de l’Autorité organisatrice de l’habitat comme outil de décentralisation des politiques du logement. La Fédération plaide pour que soit dédié à l’AOH un financement propre, à l’instar de l’autorité organisatrice de la mobilité et son versement transport.Pour Marcel Rogemont : « La FOPH a lancé une étude avec le cabinet 1630 Conseil sur la question d’une participation de la PEEC (1,6 Md€ de collecte par an) pour financer ces AOH. Cette proposition financière ne coûte pas un euro de plus, elle vise seulement à flécher différemment et plus efficacement les flux financiers. »Consulter l’étudeFusionner le PLH et le PLU pour plus d’efficacité des politiques de l’habitatLa FOPH propose de fusionner le programme local de l’habitat (PLH), document de programmation, et le plan local d’urbanisme (PLU), qui accorde les droits à construire, afin d’assurer une vraie cohérence entre ces documents.Pour Anne Voituriez : « Cette fusion donnerait davantage de liberté aux élus, qui sont les acteurs de l’urbanisme, et favoriserait une meilleure efficacité des politiques de l’habitat. Elle est déjà autorisée par les textes mais n’est pas obligatoire, et de ce fait, encore rarement mise en pratique. »Propositions sur le rôle des organismes HLM dans la transition énergétiqueMaPrimeRénov’ HLM pour accélérer les réhabilitations performantes du parc socialPour pouvoir accélérer les réhabilitations, de la même manière que le secteur privé est aidé dans ses rénovations, la FOPH propose MaPrimeRénov’HLM.Pour Marcel Rogemont : « En 2022, 3,4 Mds€ ont été dépensés pour MaPrimeRénov’ ; sachant que les HLM représentent 17% des résidences principales, nous demandons que 17% de ces 3,4 Mds nous soient versés. »Les bailleurs sociaux au service des collectivités et des élus pour répondre aux besoins des territoiresLa FOPH propose de reconnaître que les bailleurs sociaux, qui sont au service des collectivités et des élus, peuvent répondre aux besoins des territoires au-delà de la simple question du logement, et jouer un rôle majeur en matière de conseil, d’aménagement, d’expertise, de développement de services et de diversification (maisons de santé, accession à la propriété, opérations mixtes, aménagement, habitats seniors, etc.).Mettre le savoir-faire des bailleurs sociaux à disposition du parc privé pour massifier la rénovation thermique et atteindre les objectifs 2050La Fédération propose d’impulser des orientations législatives pour permettre aux bailleurs sociaux d’intervenir pour le compte de tout syndicat de copropriétaires dans la réalisation des travaux de rénovations énergétiques, et en tant que tiers financeur. Pour Isabelle Rueff : « Les organismes de logement social ont un savoir-faire et un niveau de performance énergétique très supérieur à celui du parc privé. »Ajouter les établissements publics locaux à la liste des opérateurs pouvant être Accompagnateur RénovMon Accompagnateur Rénov' est un tiers de confiance, pour un particulier, qui permet de réaliser, en confiance, son projet de rénovation énergétique performante ou globale.Développer davantage les Contrats de Performance ÉnergétiquePour Isabelle Rueff : « Cet outil s’avère efficace et permet de fiabiliser les économies d’énergie et de carbone. »Dans le courant du mois de mars, chaque groupe de travail devra sélectionner et présenter 10 propositions, qui seront adressées au cabinet du ministre délégué au Logement, Olivier Klein.
Il y a 2 ans et 78 jours

Le casse-tête des locations de passoires thermiques en montagne

"Il n'y aura plus personne (...) 90% des lits de la station sont dans ce cas de figure", alerte Jean Mounicq, maire d'Aragnouet, bourgade des Hautes-Pyrénées dont dépend la plus haute station de ski du massif.Nichés au pied de falaises à près de 2.000 mètres d'altitude, la plupart des logements du site relèvent des catégories F ou G au diagnostic de performance énergétique (DPE), selon une estimation de la société de conseil en rénovation Heero.Si ces appartements énergivores, presque tous des meublés touristiques, échappent encore à l'interdiction locative progressive instaurée par la loi Climat, ils y seront bientôt soumis, a annoncé en octobre Olivier Klein, ministre délégué à la ville et au logement, sur BFM Business. "Il faut qu'on travaille pour que ce soit les mêmes règles", a-t-il estimé.L'échéance exacte est encore incertaine, mais fait grincer des dents collectivités et professionnels du tourisme, déjà impactés par la raréfaction de la neige et la flambée des coûts de l'énergie.Boom des années 1970-80Construits dans les années 1970-1980 les logements de Piau Engaly, ensembles semi-circulaires de quatre ou cinq étages, se fondent dans le paysage escarpé de la station, bordée par le parc naturel des Pyrénées et la réserve du Néouvielle."Quand vous êtes sur les pistes, vous ne voyez pas les bâtiments", sourit le maire d'Aragnouet, en regardant les skieurs dévaler les pistes, sous le soleil.Ici comme dans la plupart des stations de ski françaises, la problématique énergétique est omniprésente, selon une étude de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim) publiée en janvier.Elle montre que "la part des logements énergivores (étiquettes F ou G) est beaucoup plus importante dans les communes stations de ski (38%) que dans l'ensemble des communes métropolitaines (21%)".Cette prévalence s'explique par l'impact des faibles températures extérieures, et par la mauvaise qualité de construction de ces logements à vocation touristique, massivement bâtis dans les années 1970-80, en plein essor du ski."A l'époque, en trois ou six mois, on sortait un immeuble. Maintenant, il nous faut trois ans, relève le maire. Alors bien sûr, il n'y avait pas les mêmes normes.""Ces résidences ont été construites comme toutes celles de l'époque, elles ne sont pas forcément mal faites", explique Thibaut Vergé, gestionnaire de copropriétés. Mais "ici, il tombe en moyenne quatre mètres de neige par an", pointe-t-il, ce qui plombe leur performance énergétique.Délais intenablesSelon la Fnaim, "plus des 3/4 des logements dans les communes stations de ski" pourraient être interdits à la location d'ici 2034, en fonction de leur catégorie DPE. A Piau, le problème pourrait se poser dès 2025 pour les moins bien classés.Leur interdiction à la location menacerait la survie de la station car, mis à part deux résidences, ils datent tous d'avant les années 1980, selon le maire.Le site étant "assez reculé, en fond de chaîne", l'accès n'y est pas facile et la clientèle vient "de loin", principalement de la côte Atlantique et loge donc sur place et dans les environs, précise le gestionnaire de la station, Colin Dorignac.Or "Piau est une station qui a de l'avenir en terme de potentiel neige. Donc c'est primordial pour nous d'engager des travaux de rénovation", ajoute-t-il.Si certains propriétaires les ont déjà initiés, d'autres "n'ont pas changé, on a encore des radiateurs grille-pain", admet Jean Mounicq, qui a écrit en février à l'ensemble des co-propriétaires pour leur faire part des interdictions à venir."Je suis de ceux qui pensent qu'il faut qu'on le fasse (...) mais on ne peut pas tout d'un coup décider qu'à telle date, dans trois ans tout doit être fait, sinon vous ne pourrez plus louer", tonne-t-il.Selon Loïc Cantin, président de la Fnaim, une telle mesure doit être accompagnée. "Il faut un traitement égalitaire", estime-t-il, regrettant la non éligibilité aux aides des propriétaires de meublés touristiques. "S'il n'y a pas d'aides majeures, déplore le maire, ce sera financièrement impossible !"
Il y a 2 ans et 79 jours

Le CSTB lance une base de données nationale des bâtiments, disponible en ligne

Des "fiches d'identité" contenant les caractéristiques techniques des bâtiments en France ont été regroupées et cartographiées par l’outil afin de planifier les stratégies de rénovation énergétique à l'échelle nationale.
Il y a 2 ans et 79 jours

Holcim France annonce l’acquisition de Chrono Chape, 1ère entreprise indépendante française du marché des chapes fluides en centrales mobiles

Chrono Chape : un acteur innovant à forte croissance et aux opérations “zéro déchet”Créée en 2005 à Longeault-Pluvault, près de Dijon, Chrono Chape a su saisir ces dernières années les opportunités offertes par un marché de la chape extrêmement dynamique pour développer son offre sur une grande partie de la France et atteindre une croissance régulière à deux chiffres.L'entreprise compte aujourd’hui 2 sites de production de premix, 8 stations logistiques et 63 centrales mobiles (camions) capables de desservir plus de la moitié du territoire pour produire les chapes directement sur les chantiers.Ce savoir-faire et cette technologie mobile permettent de maîtriser minutieusement les quantités de matériaux nécessaires pour chaque opération pour un service “zéro déchet”.Chrono Chape est également reconnu pour la qualité de son service aux clients et a su développer une forte expertise digitale.De fortes synergies avec les opérations béton du groupe Holcim en France et avec les dispositifs français de PRB et CantillanaLe dispositif de centrales mobiles de Chrono Chape offre une forte complémentarité avec la gamme Agilia Chape et le réseau fixe de centrales à béton d’Holcim en France.En rejoignant la famille Holcim, Chrono Chape va pouvoir s’appuyer sur le réseau des sites opérationnels du groupe en France (Lafarge, PRB, Cantillana) pour consolider et étendre le champ d’action de ses centrales mobiles et conforter sa dynamique de croissance.Il bénéficiera également du savoir-faire d’un grand groupe disposant du plus important centre de R&D du secteur de la construction dans le monde, basé à Saint-Quentin-Fallavier (dép. 38), pour accélérer le développement de ses produits, notamment pour répondre aux enjeux du marché de la rénovation et pour faire baisser leur poids carbone.Avec cette opération, Lafarge Bétons va également pouvoir renforcer la palette des services proposés à ses clients partenaires et accéder à de nouveaux marchés.François Petry, président Holcim France : " Les synergies avec les autres activités du groupe Holcim en France, Lafarge Bétons, PRB et Cantillana vont permettre à Chrono Chape de poursuivre sa croissance et de contribuer à la décarbonation du bâtiment. Bienvenue dans la famille Holcim, engagée sur la route du Net Zero en accélérant la transition écologique du secteur de la construction.”Jean-Marc Golberg, directeur général de Lafarge Bétons : “ Avec Chrono Chape, nous confortons notre place de leader sur le marché extrêmement dynamique de la chape en proposant une nouvelle palette de services à nos clients partenaires et avec la volonté d’y développer le bas carbone au service de la construction et de la planète”.
Il y a 2 ans et 79 jours

Comment favoriser la surélévation des copropriétés pour financer les rénovations globales?

GUIDE PRATIQUE. L'Anil, l'Anah, l'Ordre des architectes, la Fnaim et d'autres partenaire publient un guide pour tout savoir sur la surélévation des copropriétés : avantages, difficultés à surmonter, implications légales et financières... Afin de massifier la rénovation globale des copropriétés, enjeu majeur des décennies à venir.
Il y a 2 ans et 80 jours

tout pour les pros de la renovation

Hellio s’occupe de tout : de la gestion des démarches administratives au paiement des aides.
Il y a 2 ans et 80 jours

quels travaux et equipements pour atteindre un bon confort thermique sondage

Quels sont les travaux à réaliser en priorité pour atteindre un bon confort thermique ? Quels sont les équipements les plus fréquemment installés ? Y a-t-il une hausse des demandes de travaux de rénovation énergétique dans le contexte de la crise énergétique ? Autant de questions que Batiweb a posé à des professionnels du bâtiment à travers un sondage. Le point sur les enseignements.
Il y a 2 ans et 80 jours

gestion de l energie les 5 grandes tendances 2023 selon eaton

Entre crise énergétique et urgence climatique, les orientations du bâtiment 2023 font la part belle à la gestion de l’énergie. C’est ce que constate le spécialiste Eaton, qui a tenu à dresser la liste de ces grandes tendances, allant du stockage de l’énergie à la rénovation, en passant par la formation.
Il y a 2 ans et 80 jours

Lancement de la Base de données nationale des bâtiments

La BDNB établit une fiche d’identité personnalisée avec plus de 250 informations disponibles. [©BDNB – CSTB] Nadia Bouyer, présidente du programme Profeel, Etienne Crépon, président du CSTB, et Philippe Estingoy, directeur général de l’AQC, ont présenté la Base de données nationale des bâtiments (BDNB). Pour chacun des bâtiments résidentiels et non-résidentiels, localisés en France métropolitaine et Corse, la BDNB établit une fiche d’identité personnalisée avec plus de 250 informations disponibles. Elle constitue une photographie exhaustive de l’état du patrimoine français, à un instant donné. Elle sera actualisée à intervalles réguliers, permettant ainsi de suivre l’évolution du parc. Et d’aider à sa rénovation. Lire aussi : Baromètre Inies : Toujours plus de données  Le programme Go-Rénove Le patrimoine bâti en France métropolitaine représente 38 M de logements et près de 1 Md de m² de locaux tertiaires. Face aux défis du changement climatique et des évolutions sociétales, ce patrimoine devra faire l’objet d’une rénovation d’une ampleur sans précédent. Compte tenu des enjeux techniques et économiques, il est nécessaire que le pays, mais aussi chaque territoire et chaque propriétaire, puisse élaborer sa stratégie de rénovation. Mais aussi suivre son exécution et mesurer ses effets. Pour répondre à ce besoin, les acteurs de la construction regroupés dans le collectif Profeel ont souhaité développer un outil utilisant les avancées du traitement massif de données et de l’intelligence artificielle. A savoir, le programme Go-Rénove, dont le maître d’œuvre est le CSTB. Le projet comportait deux parties : la récupération et la consolidation de toutes les données disponibles sur le bâtiment. Ainsi que la mise en ligne des premiers services applicatifs en soutien à la rénovation pour les particuliers et les bailleurs sociaux. D’une richesse inégalée Pour mener à bien ce projet, le CSTB a agrégé et croisé les données d’une trentaine de bases issues d’organismes publics. Ceci, pour constituer une cartographie fiable du parc immobilier métropolitain. Un algorithme prédit les valeurs probables des données manquantes. Et des modèles physiques simulent les performances de chaque bâtiment, en particulier sa consommation d’énergie. C’est ainsi que le CSTB a constitué une base de données des bâtiments d’une richesse inégalée. En effet, pour chaque bâtiment, la BDNB renseigne son histoire administrative, sa morphologie ou les matériaux utilisés pour sa construction. Mais aussi ses équipements techniques, son mode de chauffage, une estimation de son étiquette DPE, sa valeur verte… La BDNB intègre aussi les consommations énergétiques publiées en open-data. A l’heure actuelle, 3 niveaux d’accès sont prévus :• BDNB Open sur data.gouv.fr : données et téléchargement en libre accès ;• BDNB ayants droit : les propriétaires de données fixent les règles de diffusion ;• BDNB Expert : pour les travaux de recherches et d’expertises du CSTB. Accessible à tous les acteurs et transparente dans les méthodes de calcul utilisées, la BDNB constitue la première base publique et ouverte, de référence. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 80 jours

L'immobilier neuf tombe en panne et fait craindre aux promoteurs une "crise profonde"

Les statistiques, publiées vendredi par le ministère de la Transition écologique, de la commercialisation de logements neufs, ont de quoi inquiéter.Les réservations des particuliers auprès des promoteurs n'ont cessé de décliner au cours de l'année. Au dernier trimestre, avec 22.500 réservations, elles ont été à peine supérieures à leur niveau pendant le confinement du printemps 2020.Au total, les particuliers ont réservé quelque 110.000 logements en 2022, soit 15% de moins qu'en 2021."Ce n'est pas bon du tout, et malheureusement, ce qu'on avait prédit arrive", regrette Grégory Monod, président du Pôle Habitat de la Fédération française du bâtiment, qui représente promoteurs, constructeurs de maisons et aménageurs. "Le logement collectif s'enfonce inexorablement, lentement mais sûrement, dans une crise profonde, et on le voit encore plus au travers des chiffres de la commercialisation", dit-il.Depuis 2020, les professionnels alertaient sur un manque d'offre, pointant la frilosité des maires à signer des permis de construire.Le nombre de mises en vente sur l'année a d'ailleurs baissé lui aussi en 2022, de 6%, à environ 110.000."On a vu nos chiffres de l'offre se casser la figure. Et depuis quelques mois, les chiffres de la demande sont aussi en chute libre", se désole Pascal Boulanger, président de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). Le manque d'offre, souligne-t-il, entraîne mécaniquement une baisse de la demande. "C'est une lapalissade : vous ne pouvez pas vendre ce que vous n'avez pas à vendre !"DésistementsMais ce sont surtout les réservations qui subissent un coup de frein.Comment l'expliquer ?D'abord, les acquéreurs sont pris en tenaille entre des prix de commercialisation élevés et un pouvoir d'achat qui s'effrite. "On a atteint des niveaux de prix qui ont explosé, avec l'augmentation des coûts des matériaux et l'envolée des taux", constate Grégory Monod. Les coûts des matières premières, et donc des chantiers, ont en effet grimpé dans le sillage de la guerre en Ukraine.Les promoteurs doivent donc vendre plus cher pour que leurs opérations restent rentables... mais les particuliers ne peuvent pas suivre."Les arbres ne grimpent pas jusqu'au ciel", grince Pascal Boulanger.La remontée rapide des taux d'intérêt, conjuguée à la réglementation sur le taux d'usure, qui interdit aux banques de prêter au-delà d'un certain taux, a empêché des acquéreurs de décrocher leur crédit.Ce qui explique que les désistements aient été de plus en plus nombreux : au dernier trimestre, les annulations de réservations ont représenté plus de 20% du total, selon les chiffres du ministère.Il y a aussi des acquéreurs, "minoritaires" parmi les désistements, "qui réservent, puis se disent +c'est pas le moment+ et qui annulent sans raison", raconte Pascal Boulanger.Face à ces contraintes, de plus en plus de promoteurs préfèrent reporter le lancement de certaines opérations voire y renoncer ; cela arrive dans près d'un cas sur cinq, selon Pascal Boulanger.Du côté des ventes en bloc, c'est-à-dire des ventes d'immeubles entiers, la situation n'est pas meilleure, avec une chute de 20% des réservations en 2022. Essentiellement du fait des bailleurs sociaux.La hausse des taux d'intérêt a en effet fait gonfler leur dette, et les chantiers de rénovation énergétique accaparent déjà une bonne partie de leurs investissements."On a pas mal d'inquiétudes pour 2023", confie Didier Poussou, directeur général de la Fédération des entreprises sociales pour l'habitat (ESH), les bailleurs sociaux privés.
Il y a 2 ans et 80 jours

Angélique Longeray, Directrice Générale de Somfy France, est élue Vice-Présidente d'IGNES

Angélique Longeray fait ainsi son entrée au Bureau d’IGNES au cours de son deuxième mandat d’administratrice.Pour Angélique Longeray : « Je suis très honorée de rejoindre le Bureau d’IGNES en tant que vice-présidente. IGNES s'est imposé en tant qu'acteur majeur et reconnu de la transformation énergétique et numérique. Le bâtiment connecté, la sobriété énergétique, le maintien à domicile, la réduction des émissions carbone et la sécurité des biens et des personnes seront autant de défis passionnants à relever avec l’ensemble des membres de l’alliance. »Pour faire face à la hausse du prix de l’énergie et aux risques de tensions sur le système électrique, les membres d’IGNES se sont récemment engagés à accompagner le déploiement d’un système de pilotage connecté dans les logements de tous les Français d’ici 2030 pour réduire leur facture sans bouleverser leur quotidien.Mise en avant cet hiver avec l’augmentation des prix de l’électricité et du gaz, la sobriété énergétique doit aussi s’appliquer en été en raison de l’augmentation générale des températures et de l’explosion attendue des épisodes de canicule.Aux côtés des autres industriels membres d’IGNES, Somfy est plus que jamais convaincu que l’adaptation des logements au changement climatique est le chantier du siècle : 80% des bâtiments qui existeront en 2050 sont déjà construits. Le confort d’été, pris en compte dans les bâtiments neufs, n’est pourtant pas considéré dans la politique publique de rénovation. Cette asymétrie risque de renforcer une “fracture du confort thermique” entre des logements neufs et performants en été comme en hiver, et des logements anciens qui ne sont pas adaptés aux vagues de chaleur.Pour Somfy, la motorisation et l’automatisation des protections solaires et des ouvrants sont des solutions simples et de bon sens : elles permettent de réaliser entre -10 et -30%* d’économies d’énergie sur la consommation de chauffage en hiver et de réduire de -4 à -7°C** la température intérieure en été. Couplées à d’autres solutions pilotées, elles peuvent contribuer à renforcer la sobriété énergétique des bâtiments et améliorer le confort et la santé thermique des habitants en toutes saisons.Angélique Longeray n’a pas manqué de souligner son enthousiasme à l’idée de relever ces nombreux défis, aux côtés des autres industriels membres d’IGNES.Le Bureau d’IGNES se compose de : Benoît Coquart, Directeur Général, Legrand – Président d’IGNES Bruno Capdordy, VP Home & Distribution France, Schneider Electric – Vice-Président d’IGNES Daphna Goldstein, Directrice Générale France, Hager – Vice-Présidente d’IGNES Pascal Portelli, Président, Delta Dore – Vice-Président d’IGNES Angélique Longeray, Directrice Générale de Somfy France – Vice-Présidente d’IGNES*Gain obtenu avec des protections solaires automatisées vs manuelles. Moyenne issue de simulations Somfy, validées par Carbone 4, selon la taille du logement, sa localisation, son ancienneté́et l’équipement installé (volet roulant, store ou brise-soleil orientable). ** TBC/FFB : analyse de l’apport énergétique du volet roulant
Il y a 2 ans et 81 jours

[Guide] Adapter le bâti ancien aux enjeux climatiques et réhabilitation en centre bourg

Après avoir été missionnée par la DRAC pour animer le programme « Adapter le bâti ancien aux enjeux climatiques sur le territoire de Bourgogne-Franche-Comté », l’association Ajena en a édité un guide complet disponible gratuitement.    La rénovation des bâtiments en France est un enjeu important pour répondre aux engagements climatiques pris aussi bien au niveau national […]
Il y a 2 ans et 82 jours

Un petit équipement à contre-courant à Tréméven par BRA

A Tréméven (Côtes-d’Armor), se positionnant à contre-courant de la commande initiale de la commune, l’agence rennaise BRA (Timothée  Château et Simon Masson) a préféré proposer la mise en valeur contemporaine et une extension couverte (295 m²) de l’ancienne école pour la reconstruction de la salle polyvalente livrée en 2021. Une rénovation patrimoniale qui laisse entrer […] L’article Un petit équipement à contre-courant à Tréméven par BRA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 83 jours

Le Programme Profeel entame sa deuxième phase avec Restore pour une rénovation globale et performante de la maison individuelle

Projet ambitieux, il a pour objectif de tester, développer et enrichir des solutions techniques intégrées, innovantes et réplicables pour faciliter le déploiement à grande échelle de la rénovation globale performante de maisons individuelles. Les ressources déjà produites pour Renostandard sont mises à la disposition des professionnels de la rénovation sur le site du programme Profeel.De Renostandard à Restore : les travaux du programme Profeel dédiés à la rénovation globaleLe programme PROFEEL, né en 2019 de la mobilisation de 16 organisations professionnelles du Bâtiment, a permis de produire de nombreux outils et ressources innovants à destination des professionnels et des particuliers pour déclencher et sécuriser les travaux de rénovation énergétique des bâtiments. RENOSTANDARD a été l’un des 9 projets de la première phase du programme, et l’un des quatre portés par le CSTB. Il a été mené en collaboration avec 9 groupements de professionnels réunissant des artisans, des architectes, des bureaux d’études, des entreprises du bâtiment, des fabricants ou encore des associations techniques, accompagnés par des experts du CSTB. L’objectif était de concevoir des solutions types de réhabilitation globale, adaptables et réplicables, optimisées pour des maisons de construction similaire présentes en grand nombre sur un ou plusieurs territoires (échelles régionales et nationales). Portant un enjeu fort de massification en matière de rénovation, les travaux de RENOSTANDARD se poursuivent désormais au sein du projet RESTORE, pour la période 2022-2024, se basant sur les ressources et travaux déjà produits, afin d’aider les professionnels à définir et porter des offres techniques structurées et fiables de rénovation performante, en une ou plusieurs étapes.Rénostandard : des solutions intégrées innovantesIsolation thermique préfabriquée, nouveaux matériaux (dont isolants biosourcés ajouter exemple) réorganisation des espaces pour améliorer l’usage…RENOSTANDARD a permis de faire émerger des innovations techniques adaptées aux spécificités (contexte historique, constructif, architectural, etc.), qualités et défauts de plusieurs typologies de maisons standardisées. Il a posé les premières étapes de faisabilité technique de nouvelles solutions, process et outils.Ces travaux ont débouché sur 11 concepts de rénovation globale, associés chacun à une typologie de maison (Pavillon de banlieue d’entre-deux guerres, Longère en milieu rural…), présentés au sein de fiches synthétiques et de courtes interviews vidéo des groupements concepteurs.Chaque projet a proposé une ou plusieurs approches de rénovation globale à l’échelle de la maison et a également intégré des innovations techniques à l’échelle des lots. Ils incluent en particulier de nouvelles solutions préfabriquées hors site pour diminuer les temps de réalisation des chantiers ainsi que des innovations pour le traitement des interfaces.En complément, un rapport rassemble les principaux enseignements sur les solutions innovantes d’isolation thermique développées par les 9 groupements concepteurs. Il regroupe des recommandations de principes formulées par une vingtaine d’experts du CSTB.Des outils numériques ont également été produits dans le cadre du projet et notamment un outil en ligne de diagnostic transverse, à destination des professionnels de l’accompagnement à la rénovation. Disponible en libre accès, il permet aux professionnels en visite chez le propriétaire d’une maison de le sensibiliser aux qualités et défauts de son logement pour l’aider à mieux comprendre l’ensemble des bénéfices d’une rénovation performante, au-delà des seules économies énergie. Ce protocole de diagnostic numérisé est donc, à la fois centré sur l’habitant et ses attentes et besoins, mais aussi sur la conception globale de son logement avec ses avantages et ses contraintes. Cette démarche RENOSTANDARD d’accompagnement des particuliers vers la rénovation globale a été testée par URBANIS auprès d’une centaine de propriétaires, dans 25 départements. Elle a également permis d’initier le développement (toujours en cours) d’un outil de projection pour les propriétaires afin de leur permettre de visualiser l’avant/après de leur projet de rénovation, avec une ambition : encourager la prise de décision d’entamer une démarche de rénovation.Les outils RENOSTANDARD s’adressent donc à une diversité importante de professionnels : artisans, entreprises de travaux, fabricants de nouvelles solutions, maîtres d’œuvre et accompagnateurs à la rénovation. Ils sont mis à disposition sur le site de PROFEEL : Réno Standard, un projet issu du programme PROFEEL.Restore : tester et enrichir les solutions de rénovation globale sur les territoiresAu sein des 8 projets de la 2e phase du programme PROFEEL (2022-2024, 37,7 M€), RESTORE dispose d’un budget de 6,7 millions d’euros.Pour Olivier Greslou, Directeur du Projet RESTORE : « RESTORE est un projet ambitieux qui va nous permettre de poursuivre et enrichir le travail mené sur RENOSTANDARD. L’enjeu est de développer et de fiabiliser à l’épreuve du terrain des offres techniques intégrées, performantes et réplicables à grande échelle, afin de stimuler le déploiement de la rénovation performante de la maison individuelle sur plusieurs territoires. Ces offres permettraient de proposer des rénovations ambitieuses, réalisées par des groupements d’entreprise, sur la base de techniques et process maîtrisés adaptés aux spécificités des maisons. »Le projet se décline en 4 axes opérationnels.Des chantiers pilotes pour tester les solutionsL’un des axes de RESTORE est de tester sur le terrain les solutions de rénovation développées dans RENOSTANDARD et de confirmer leur champ d’application à travers des chantiers pilotes, afin d’évaluer leur performance effective en conditions réelles, leurs contraintes de mise en œuvre et leur potentiel de massification. L’identification des premiers chantiers correspondants à des typologies de maisons individuelles standardisées qui présentent de forts enjeux de rénovation telles que : la « Maison du nord » (Maison de ville en brique, mitoyenne ou semi-mitoyenne), le « Pavillon à fermettes » en Normandie (doté d’une charpente à fermettes industrielles) ou encore la « Maison de première couronne (années 50-60) » (Maison compacte de la Reconstruction avec une toiture à 4 pans) a d’ores et déjà démarré. L’objectif est d’initier la conception des projets au premier semestre 2023 et de pouvoir démarrer les chantiers courant 2023. Au total, une douzaine de chantiers seront lancés entre 2023 et 2024 pour 3 à 5 typologies qui représentent 10% du parc de maisons individuelles en France, soit 2 millions de maisons. Une fois les chantiers effectués, la performance et la durabilité des rénovations réalisées seront évaluées, ainsi que les gains potentiels en termes de coûts, de temps de travaux, de facilité de mise en œuvre et d’amélioration de la qualité de vie des occupants.Explorer de nouvelles pistes pour faciliter la massificationAu-delà du prisme de la typologie des maisons, le projet RESTORE a pour ambition d’élargir la recherche entamée dans RENOSTANDARD de nouvelles solutions techniques et approches multi-lots pour faciliter et promouvoir la performance globale en rénovation de maisons individuelles : la rénovation performante par étapes, les interfaces ou le low-tech, par exemple. Des solutions à imaginer afin de pouvoir couvrir 50% du parc de maisons individuelles (soit environ 10 millions de maisons).Faciliter la structuration de filières locales de rénovation globaleL’un des enjeux du projet RESTORE est de pouvoir diffuser et déployer de nouvelles offres techniques à l’échelle de territoires. Afin qu’un nombre important de professionnels puissent s’approprier ces offres pour concevoir et réaliser de futurs chantiers, PROFEEL souhaite s’appuyer sur plusieurs relais locaux de la démarche : les groupements de professionnels qui ont collaboré au projet RENOSTANDARD ainsi que des collectivités locales partenaires, en interaction avec des réseaux locaux et régionaux. Le développement de partenariats avec ces collectivités, pour les accompagner dans leurs politiques de rénovation, est un axe important pour structurer la rénovation sur leurs territoires. Par exemple, la Métropole de Lille est d’ores et déjà impliquée dans l’expérimentation RESTORE qui sera menée sur plusieurs chantiers pilotes supervisés par La Fabrique des Quartiers dans le courant de l’année 2024.Développer un outil numérique global pour faciliter le diagnostic et la prise de décisionL’un des autres objectifs de RESTORE est de pouvoir, sur la base de l’outil de diagnostic transverse de RENOSTANDARD, développer un outil numérique opérationnel et « clé en main » à destination des professionnels du diagnostic et de l’accompagnement à la rénovation. Ce dernier faciliterait la réalisation d’un diagnostic global de la maison et l’interaction avec le maître d’ouvrage pour définir les principales orientations de son projet de rénovation. Il pourrait être relié à la BDNB (Base de Données Nationale des Bâtiments) afin d’enrichir le diagnostic et l’analyse des performances du logement.
Il y a 2 ans et 83 jours

Le Maire et Klein mettent en place un bouclier financier de soutien aux bailleurs sociaux afin d'amplifier leurs efforts de construction et de rénovation du parc social

Les bailleurs sociaux sont toutefois confrontés à une hausse de leurs charges d’exploitation tirée par la dynamique d’inflation généralisée. C’est ce qui a mené le Gouvernement à modérer la hausse du livret A à 3% au 1er février, afin d’accompagner les bailleurs dans la poursuite de leurs investissements.Le Gouvernement prend des mesures supplémentaires afin de renforcer la capacité d’investissement du secteur HLM tant dans la production que dans la rénovation.Un « bouclier financier » est mis en place pour les opérations nouvelles financées en 2023 : la Banque des territoires remboursera ainsi aux bénéficiaires de ces prêts 100 points de base des intérêts relatifs à leur première échéance. Cette mesure concernera les trois catégories principales de prêts aux bailleurs sociaux : le prêt locatif aidé d’intégration (PLAI), le prêt locatif à usage social (PLUS) et le prêt locatif social (PLS).De plus, l’éco-prêt au logement social, qui finance les travaux de rénovation énergétique, va être renforcé. Son enveloppe atteindra 6 Md€ sur 2023-2027, soit une hausse de 50% par rapport à la précédente enveloppe. Les détails de ce dispositif seront prochainement présentés.Pour Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique : « Malgré cette période d’inflation, il est indispensable de poursuivre l’investissement pour mieux loger nos concitoyens. Le Gouvernement prend toute sa part à cet effort d’investissement dans le logement en assurant un bouclier financier exceptionnel aux bailleurs sociaux, afin qu’ils puissent continuer de soutenir la construction et la rénovation des logements. »Pour Olivier Klein, ministre délégué auprès du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires chargé de la Ville et du Logement : « Dans la période d’inflation, de crise énergétique et d’urgence écologique, les investissements des bailleurs sociaux sont plus que jamais nécessaires, pour produire de nouveaux logements et pour rénover les logements existants. Le bouclier financier accompagne les bailleurs face à l’inflation, et s’ajoutera aux 500 M€ de subventions du Fonds national des aides à la pierre. Nous soutenons également l’effort de financement historique de la Banque des Territoires pour le financement de la transition écologique du logement social, avec une enveloppe inédite de 6 Md€, qui constitue un premier pas du pacte de confiance que nous conclurons avec les bailleurs sociaux pour poursuivre dans la direction d’engagements réciproques. »
Il y a 2 ans et 83 jours

L'Etat reçoit les banques pour les impliquer davantage dans la rénovation énergétique

FINANCEMENT. Pas moins de trois ministres viennent de recevoir des représentants d'établissements bancaires dans le but "d'amplifier les efforts conjoints en faveur de la rénovation énergétique".
Il y a 2 ans et 83 jours

Bruno le maire et Olivier Klein mettent en place un bouclier financier de soutien aux bailleurs sociaux afin d’amplifier leurs efforts de construction et de rénovation du parc social

Les bailleurs sociaux sont appelés à poursuivre leur investissement au cours des prochaines années, afin de financer la construction de nouveaux logements mais également d’accélérer la rénovation du parc de logements et d’être au rendez-vous des objectifs nationaux de transition écologique. Les bailleurs sociaux sont toutefois confrontés à une hausse de leurs charges d’exploitation tirée […]
Il y a 2 ans et 84 jours

le musee archeologique d athenes va faire peau neuve

Le musée archéologique national d’Athènes va faire l’objet d’une rénovation complète qui devrait durer quatre ans. Le plus grand musée de Grèce va voir sa superficie s’agrandir de 20 000 mètres carrés.
Il y a 2 ans et 84 jours

la renovation energetique des batiments publics s invite au senat

Deux jours avant l’entrée en examen du projet de loi visant à faciliter le financement de la rénovation énergétique des bâtiments publics, le ministère de la Transition écologique s’est exprimé.
Il y a 2 ans et 84 jours

ACTIS, une nouvelle organisation commerciale pour toujours mieux servir ses clients

Face à la montée en puissance du marché de l’isolation intérieure dans son activité, ACTIS, acteur historique de l’isolation par l’extérieur, aborde l’année 2023 avec une nouvelle organisation commerciale structurée en 3 pôles (ITI, ITE, Distribution). Objectifs : appréhender au mieux ces différents marchés avec des équipes dédiées pour toujours mieux servir ses différents clients et accélérer sa croissance sur chacun d’eux. ​ Les marchés de l’isolation par l’intérieur et par l’extérieur disposant de leur propres écosystèmes et acteurs (négoces généralistes et spécialisés, plaquistes, aménageurs de combles, couvreurs, bardeurs, …), ACTIS fait évoluer son organisation commerciale et la structure en 3 pôles d’expertise pour se recentrer sur les métiers de ses clients : le pôle « Isolation par l’intérieur », dirigé par Thomas THIERRY ​La création de cette structure a pour but de soutenir la croissance forte de ce segment de marché récent pour le fabricant d’isolants réflecteurs, tant en neuf (maisons individuelles, petit tertiaire) qu’en rénovation avec sa gamme Hybris adaptée à l’isolation des murs, cloisons séparatives et toitures plates. Pour Thomas THIERRY, « l’objectif de cette nouvelle organisation a pour but de se recentrer sur les métiers de nos clients. Ces équipes dédiées vont nous permettre d’avoir une relation durable avec eux grâce à la proximité et au service que nous leur offrons, en plus de la qualité de nos produits ». le pôle « Isolation par l’extérieur », dirigé par Guillaume THIERRY ​Cette entité, constituant le segment de marché historique d’Actis, a pour mission de pérenniser et conquérir de nouveaux clients (négoces, artisans couvreurs, charpentiers et bardeurs), en neuf et rénovation, avec ses solutions d’isolants souples Triso-Toiture, Boost’R Hybrid, Triso-Super 12 et Triso-Laine. « Expert de l’isolation par l’extérieur de la toiture, ce pôle est stratégique pour l’entreprise car 50% du marché de l’isolation est portée par la rénovation qui est très incitative grâce aux aides telles que MaPrimeRénov et les CEE », explique Guillaume THIERRY. le pôle « Distribution », géré par Patrice DAVID Patrice DAVID et son équipe sont en charge des référencements nationaux en négoces spécialisés et généralistes, ainsi que du suivi des grands comptes. Ils accompagneront les pôles ITE / ITI dans les mises en avant des produits et des opérations commerciales. « Pour cela, nous mettons en place un roadshow pour former les plaquistes et les couvreurs dans les négoces spécialisés. Dès le second semestre, il se poursuivra chez les négoces généralistes chez qui nous voulons augmenter notre présence », ajoute Patrice DAVID. Cette nouvelle approche par marché offre une double garantie aux clients d’ACTIS : un service sur-mesure, avec des intervenants spécialistes de leur marché, pour les accompagner avant, pendant et après leur chantier. un maillage territorial optimisé pour toujours plus de proximité. Avec la nouvelle structure de son organisation commerciale, ACTIS entend accélérer sa croissance. https://www.actis-isolation.com/
Il y a 2 ans et 84 jours

NOUVELLE GAMME ONDUTISSÉcrans de sous-toiture, pare-vapeur et pare-pluie pour une protection et une isolation optimale

Suite au rachat de COROTOP®, Onduline devient fabricant des écrans sous-toiture. La gamme ONDUTISS® s’enrichit et regroupe les écrans de sous-toiture, pare-pluie et pare-vapeur destinés à protéger l’isolation des maisons et à apporter plus de confort aux clients. Légères et très rapides à installer, ces solutions offrent une étanchéité et une isolation optimale. ÉCRAN DE SOUS-TOITURE ONDUTISS® AIR HDV RESIST Les écrans de sous-toiture ONDUTISS® AIR HDV RESIST d’Onduline sont constitués d’une feuille en polypropylène, comprise entre deux voiles de polypropylène non-tissé. Certifiés QB par le CSTB (R2/150 gr/m2 et R3/190 gr/m2), ils sont hautement perméables à la vapeur d’eau (HPV) et offrent une respiration continue de la toiture, pour une protection permanente contre l’humidité, le vent et la condensation. Ils peuvent s’installer en neuf comme en rénovation : toitures de maisons, im- meubles, bâtiments publics… L’écran de sous-toiture protège tous les éléments se trouvant sous la couverture contre les intempé- ries, les variations climatiques et les changements de température. Il empêche l’infiltration de la neige et de la pluie et évite le soulèvement des tuiles si le vent souffle trop fort. L’écran de sous-toiture limite également le dépôt des poussières ainsi que des risques d’incendie. De plus, il prévient l’invasion des nuisibles tels que les insectes ou oiseaux et évite ainsi une rapide dégradation des matériaux isolants, de la charpente ainsi que du parement intérieur. La pose de cet équipement est recommandée quel que soit le type de couverture choisie pour prévenir les défauts d’étanchéité qui peuvent survenir au fil des années à cause des conditions climatiques ou de la formation des mousses. ÉCRAN DE SOUS-TOITURE ONDUTISS® AIR REFLEX R3 et R3 TT Hautement réfléchissant (jusqu’à 60% de la chaleur transmise par les rayons infrarouges), les écrans ONDUTISS® AIR REFLEX Onduline sont constitués d’une couche supérieure en aluminium pour abaisser la température dans les combles et améliorer le confort d’été. Fabriquée par collage thermique, cette membrane respirante quatre couches dispose d’une haute résistance méca- nique et elle est très résistante aux déchirures. ÉCRAN DE SOUS-TOITURE ONDUTISS®AIR SOLAR TT Avec sa résistance aux températures élevées allant jusqu’à 120°C, ONDUTISS®AIR SOLAR TT est idéal pour une application sous panneaux photovoltaïques et s’adapte aux conditions climatiques extrêmes. Cette membrane respirante trois couches (200 g/m2) est dotée d’un film TPU hautement perméable à l’eau et d’une double bande adhésive. PARE-VAPEUR ONDUTISS® VAP CONTROL 100 Sd 18 Le pare-vapeur quant à lui est une couche isolante qui limite la pénétration de la vapeur d’eau dans l’isolant thermique évitant ainsi l’accumulation d’humidité. Il protège l’intérieur du toit contre la pénétration de la vapeur d’eau qui pourrait se condenser dans l’isolant thermique et la structure en bois d’un toit. La membrane respirante 3 couches ONDUTISS® VAP CONTROL 100 Sd 18 régule l’humidité et limite la transmission de la vapeur d’eau à travers la paroi (murs et plafonds). Posée en intérieur pour l’étanchéité à l’air en sous-face de l’isolant thermique, elle prévient des dommages liés à la condensation et améliore de l’efficacité énergé- tique du bâtiment. PARE-PLUIE ONDUTISS® FACADE OPEN UV3B Le pare-pluie limite les risques d’humidité et de champignons dans l’isolation thermique et protège la structure en bois de la maison. La vapeur d’eau qui pénètre dans le mur “glisse” le long du pare- pluie dans la cloison sans l’infiltrer. Étanche à l’eau, le pare-pluie ONDUTISS® FACADE OPEN UV3B Onduline préserve la façade des bardages à claire-voie de l’humidité extérieure en l’évacuant de l’intérieur vers l’extérieur du bâtiment. Très résistant aux UV, il protège la structure et l’isolation thermique des murs contre l’eau, la neige et les courants d’air à l’intérieur du bâtiment. https://fr.onduline.com/fr/particuliers
Il y a 2 ans et 84 jours

Rénovation : "Faisons confiance aux artisans", plaide Benoit Bazin (Saint-Gobain)

ÉDITION SPÉCIALE. Invité de l'Édition Spéciale de Batiactu depuis EnerJ-Meeting Paris 2023, le directeur général de Saint-Gobain a formulé des propositions pour que la politique de rénovation énergétique mette les bouchées doubles, avant de détailler la décarbonation des produits commercialisés par son groupe. Retrouvez l'interview en vidéo.
Il y a 2 ans et 84 jours

Moselle : la rénovation de la tour Mireille à Metz s’achève

À Metz (Moselle), les 77 logements de la tour Mireille ont bénéficié d’une amélioration tant au niveau du confort qu’au niveau de la...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 84 jours

PROCIVIS NOUVELLE AQUITAINE, UNE NOUVELLE STRATÉGIE POUR DE L’IMMOBILIER QUI A DU SENS

88 % des Français considèrent l’accès au logement comme un facteur essentiel d’intégration et de cohésion sociale selon une étude de la Fédération des promoteurs immobiliers. En livrant près de 2000 logements par an, la société coopérative PROCIVIS Nouvelle Aquitaine accomplit des missions d’intérêt général pour l’amélioration de l’habitat et réalise, via ses différentes filiales, des projets d’accession sociale (construction de maisons individuelles, promotion, aménagement,…) répondant à tous les besoins et à tous les budgets. En 2023, PROCIVIS Nouvelle Aquitaine adopte une nouvelle stratégie de développement en créant le Pôle Habitat Social qui propose, via l’Office Foncier Solidaire, une nouvelle forme d’accession sécurisée. PROCIVIS NOUVELLE AQUITAINE, OPÉRATEUR LEADER DU LOGEMENT SUR SON TERRITOIRE Acteur régional complet de l’habitat, PROCIVIS NOUVELLE AQUITAINE est présente sur tous les métiers de l’immobilier au travers de ses différents pôles et de ses marques : construction de maisons individuelles, promotion immobilière, aménagement, services immobiliers (transaction, gestion et syndic) et accession sociale. Grâce à un maillage local au plus près des territoires urbains et ruraux, elle couvre les départements de la Charente, Charente-Maritime, Deux-Sèvres, Dordogne, Gironde, Haute-Garonne, Haute-Vienne, Vienne, Landes, Le Gers, Lot, Lot et Garonne et Pyrénées Atlantiques. Véritable trait d’union entre les secteurs public et privé, elle est à la confluence de l’économie sociale et solidaire, du mouvement HLM et de la promotion privée. « Une des SACICAP* constituant le réseau PROCIVIS, PROCIVIS NOUVELLE AQUITAINE se distingue, sur le marché français, par son positionnement et sa gouvernance coopérative » explique M. Philippe PETIOT, Président de la holding immobilière PROCIVIS NOUVELLE AQUITAINE. Contrairement aux acteurs classiques, les activités de ses filiales ne contribuent pas à l’enrichissement d’un actionnaire mais à la réalisation de missions sociales au service des plus modestes : aider les propriétaires à rénover leur logement, favoriser l’accession sociale à la propriété pour tous, et en particulier aux familles modestes, véritable ADN de la SACICAP, participer au financement de la réhabilitation des copropriétés, contribuer à la rénovation énergétique des logements, construire des partenariats au service des politiques de l’habitat, accompagner les collectivités locales et les particuliers dans les PPRT / Plans de Préventions des risques technologiques. PROCIVIS NOUVELLE AQUITAINE s’impose aujourd’hui comme un acteur engagé et répond à la demande aspirationnelle de plus en plus forte des jeunes générations en proposant des programmes innovants respectant l’environnement et la biodiversité,… Des valeurs qui nourrissent par ailleurs sa démarche RSE. En témoigne la nouvelle stratégie adoptée avec la création du Pôle Habitat Social. UNE NOUVELLE STRATÉGIE POUR DE L’IMMOBILIER QUI A DU SENS Initiée courant 2022, la création du Pôle Habitat Social de PROCIVIS NOUVELLE AQUITAINE se compose d’une coopérative HLM – L’Abri Familial – et de l’Office Foncier Solidaire qui a pour but de proposer une nouvelle forme d’accession sécurisée. Par cette démarche, PROCIVIS Nouvelle Aquitaine affirme sa capacité à intervenir en complémentarité des autres structures du Groupe pour apporter des réponses adaptées aux besoins en habitat des territoires (accession libre, accession sociale, location-accession, bail réel solidaire, locatif social, syndic de gestion, …). Chaque territoire étant unique, l’enjeu majeur du pôle Habitat Social de PROCIVIS Nouvelle Aquitaine est d’accompagner les collectivités selon les axes qu’elles ont définis et selon les spécificités locales. Les sociétés du pôle Habitat Social permettent ainsi de proposer et de concevoir des programmes innovants, fonctionnels, en cohérence avec les stratégies de développement des collectivités dans le cadre de la mise en oeuvre de leur politique de l’habitat. Aujourd’hui, le Pôle Habitat Social, c’est plus de 100 logements en cours de montage ou de réalisation et près de 200 logements à l’étude en phase de développement (en locatif social ou location-accession, BRS/Bail Réel Solidaire). Attaché à ce que le prix d’acquisition des logements reste accessible, le pôle Habitat Social, via l’Office Foncier PROCIVIS en Nouvelle Aquitaine, offre désormais une nouvelle forme d’accession sociale à la propriété innovante : le dispositif de Bail Réel Solidaire. Celui-ci repose sur le principe de dissociation du bâti et du foncier. Les accédants acquièrent seulement les murs de leur futur logement et le terrain reste propriété de l’OFS. Les acquéreurs s’acquittent auprès de l’OFS d’une redevance foncière mensuelle correspondant au financement du terrain, aux frais d’occupation du sol et aux frais de gestion par l’organisme et ce, durant toute la détention du bien immobilier. Cet outil permet ainsi à des ménages aux ressources modestes de devenir propriétaire dans des zones tendues (où le prix du foncier est élevé) alors même qu’ils ne l’avaient pas envisagé. Responsable, durable et transmissible, ce procédé profite à tous les acteurs. Pour les collectivités, le Bail Réel Solidaire est un outil leur permettant de pérenniser un parc de logements en accession sociale, puisqu’en cas de revente du bien, le prix de cession est encadré par les plafonds de prix de l’accession sociale et l’éligibilité du nouvel acquéreur est contrôlé par l’Office Foncier Solidaire. « Grâce à ce dispositif innovant, le pôle Habitat Social offre ainsi une solution adaptée à chaque ménage en fonction de la composition familiale, des ressources, des envies de chacun et des besoins des territoires » conclut Franck Valletoux, Président de PROCIVIS NOUVELLE AQUITAINE. Les premiers logements en BRS de l’Office Foncier Solidaire PROCIVIS en Nouvelle Aquitaine sont aujourd’hui en cours de commercialisation, tels que ceux situés sur la commune de Saint Médard-en-Jalles qui seront livrés à l’automne 2023. *Société Anonyme Coopérative d’Intérêt Collectif pour l’Accession à la Propriété https://reseau-procivis-na.fr/
Il y a 2 ans et 84 jours

Dans le domaine de la rénovation énergétique, "le problème du financement reste crucial"

DÉCRYPTAGE. Bien qu'en croissance, les équipements à base d'énergies renouvelables destinés aux usages du logement peinent encore à rivaliser avec les solutions recourant aux énergies fossiles. Les professionnels ont identifié plusieurs leviers d'action et suggèrent quelques pistes pour accélérer le mouvement.
Il y a 2 ans et 84 jours

Le "tiers financement" pour la rénovation des bâtiments publics en discussion au Sénat

"L'objectif est d'avancer sur le chantier de la rénovation énergétique des bâtiments avec un double objectif, celui de réduire notre consommation d'énergie et nos émissions de gaz à effet de serre", a précisé l'entourage du ministre Christophe Béchu, évoquant un "mur d'investissements" à venir pour les collectivités.Le secteur du bâtiment représente 23% des émissions de gaz à effet de serre, dont 30% proviennent des bâtiments publics (écoles, universités, hôpitaux, administrations, équipements sportifs et culturels, etc.) Concrètement le mécanisme, s'il est adopté, modifie le code de la commande publique pour permettre aux collectivités de "lisser le coût de la rénovation en faisant porter par un tiers le paiement immédiat des travaux".Le texte, qui prévoit une expérimentation de l'outil pendant cinq ans, a déjà été adopté par l'Assemblée nationale le 19 janvier, et sera examiné jeudi au Sénat pour être opérationnel "à l'été", selon le ministère.
Il y a 2 ans et 84 jours

Bardage extérieur : plutôt composite aluminium ou composite bois ?

Le choix du bardage pour la façade extérieure doit être fait judicieusement. Pour vous aider dans cette décision, nous vous présentons le bardage en composite aluminium et le bardage en composite bois. En effet, ces matériaux sont idéaux pour la réalisation d’une façade extérieure, mais ils présentent des différences au niveau de leur composition, de leurs performances et de leur apparence. Tout savoir sur le bardage composite aluminium Le bardage en composite aluminium est fabriqué d’une couche de plastique, du polyéthylène, placée entre deux feuilles d’aluminium. Ce matériau est exploité pour la construction ou la rénovation de façades extérieures de bâtiments. Le bardage en composite aluminium est réputé pour sa facilité d’installation, sa facilité d’entretien, sa résistance aux intempéries extérieures, sa résistance dans le temps ainsi que ses possibilités de personnalisation. Ces avantages séduisent notamment les constructeurs et rénovateurs de bâtiments commerciaux et industriels. Toutefois, ce matériau présente un coût plus élevé que les matériaux généralement utilisés pour les façades extérieures, tels que le béton et la brique. De plus, ce type de bardage peut inquiéter en matière de sécurité incendie. Effectivement, en plus de la combustion potentielle du plastique, celle-ci peut entraîner le rejet de fumées toxiques. Tout savoir sur le bardage composite bois Le bardage en composite bois est conçu à partir de fibres de bois mélangées à des résines synthétiques telles que le polyéthylène recyclé. On peut retrouver ce matériau sur les façades extérieures de bâtiments pour lesquelles il est très utilisé. Fréquemment utilisé pour la construction et la rénovation de bâtiments commerciaux et résidentiels, le bardage en composite bois présente un grand nombre d’avantages. En effet, il est apprécié pour son esthétisme naturel et attrayant, sa résistance aux intempéries quotidiennes, sa durabilité, sa facilité d’entretien ainsi que sa capacité à être recyclé. De plus, le bardage en composite bois est généralement plus abordable que le bardage en composite aluminium. Il offre également un aspect naturel et un large panel de personnalisations, notamment au niveau de la couleur. Cependant, le prix des matériaux traditionnels comme le bois, le béton et la brique reste plus attractif que celui du bardage composite bois. De plus, il nécessite un entretien plus important que le bardage en composite aluminium. Effectivement, le bardage composite bois est sensible à la décoloration, aux fissures, aux insectes et à la moisissure. Pour éviter ces risques, il est nécessaire d’avoir recours à un traitement spécial qui va demander du temps et de l’argent. Quel bardage composite pour une façade extérieure ? Pour choisir le bardage composite de sa façade extérieure, il est primordial d’identifier l’environnement du bâtiment, le budget disponible ainsi que le style souhaité. Pour des bâtiments industriels, le bardage composite aluminium est à préférer pour sa résistance, tandis que le bardage composite bois est un choix judicieux pour les bâtiments résidentiels qui recherchent davantage d’esthétisme. Quoi qu’il en soit, les deux matériaux combinent esthétisme et compétences techniques. Néanmoins, ce sont le style du bâtiment et son utilisation qui influenceront le choix final.
Il y a 2 ans et 85 jours

Lorenove célèbre son réseau à l’occasion de sa convention et lance la dynamique 2023

Les 19, 20 et 21 janvier derniers, la ville d’Annecy a accueilli les concessionnaires et agences du réseau LORENOVE à l’occasion de la convention annuelle. Plus de 75 participants se sont retrouvés pour cet évènement qui n’avait pas renoué avec ce format coutumier depuis 2020. Ainsi, entre évolutions, objectifs et ambitions, l’humeur était conviviale et tous ont partagé ces moments chaleureux comme des retrouvailles.Néanmoins, les réunions pleinières ont rythmé ces quelques jours avec notamment la prise de parole de Sonia Mougey, nouvelle Directrice Marketing Groupe et Damien Boucher, Chef de Produit Marketing qui ont détaillé les éléments de marché relatifs à la nouvelle gamme – commercialisée dans quelques mois – ses caractéristiques, atouts majeurs, ainsi qu’un comparatif concurrentiel permettant de la positionner au sein de l’offre existante sur le marché. Un sujet que la marque aura l’occasion de dévoiler plus en détails prochainement. Puis, se sont succédés différents intervenants sur des sujets stratégiques… Plus de 75 participants se sont retrouvés pour la convention du réseau Lorenove. ©Lorenove. 2022, DES CHIFFRES EN PROGRESSION En dépit des pénuries de matériaux, d’un contexte économique difficile et d’une année 2021 exceptionnelle, les chiffres d’affaires des concessions et des agences en 2022 restent en croissance avec respectivement 11, 7 millions et 20 millions d’euros. 2022 vient confirmer une tendance qui se dégage nettement depuis 3 ans : les volumes de menuiseries bois augmentent toujours considérablement avec + 54% cette année. Les volumes de l’aluminium et du PVC restent cependant majeurs, et le PVC plus conséquent en dépit d’un volume décroissant (-13%) cette année. L’ÉVOLUTION DE LA MARQUE 2023 inscrit l’enseigne dans sa 41ème année et c’est à travers une révolution qu’elle célèbre cet anniversaire. Comme annoncé, LORENOVE adopte un nouveau positionnement et propose désormais bien plus que des fenêtres : des solutions pour l’habitat avec tous les autres produits de fermetures et d’aménagement extérieur de la maison.Confort, sécurité, esthétique et bien-être sont les maîtres mots des solutions LORENOVE, qui a l’ambition de devenir l’une des enseignes référentes sur le marché de la rénovation de l’habitat.La convention a donc été le tremplin de communication de l’un des nouveaux partenaires, le fabricant de porte de garage FAME avec qui l’enseigne a noué un partenariat majeur. Outre son offre de porte, le fabricant a conçu spécifiquement pour le réseau, tout un panel d’outils et services.Un catalogue dédié a vu le jour et s’est accompagné d’une campagne promotionnelle inédite nommée « Les Jours Heureux » avec une motorisation offerte pour tout achat d’une porte de garage, entre les 14 et 28 janvier 2023. Marylène Mitrecey, responsable de la communication pour le Groupe Lorillard, et Marion Macchi, chef de projet communication Lorenove, ont présenté au réseau le nouveau plan d’action qui accompagne ce positionnement inédit et les 40 ans de la marque. À la suite de l’évolution du logo et de la mise en place du positionnement, vient le lancement du concept « Bien chez soi comme dans sa vie », à l’appui d’un film publicitaire lancé tout récemment.Le plan d’action des 40 ans s’articule autour de 4 étapes : la création d’une identité visuelle forte dédiée à cet anniversaire, avec les déclinaisons correspondantes pour des relais au national et en local ; la mise en place d’opérations promotionnelles et commerciales pour faire profiter les particuliers de cet anniversaire ; la planification de prises de paroles régulières dans les médias (TV, internet, réseaux sociaux, etc.) ; et pour finir la célébration du réseau et de ses partenaires à l’occasion d’une soirée anniversaire à l’automne.Également, 5 temps forts rythmeront l’année, à travers des campagnes commerciales. 3 seront multiproduits (en mars, juin et septembre) et 2 monoproduits, (dont celle qui a eu lieu en janvier, et une autre en novembre 2023). Le fabricant de portes de garage FAME est venu présenter son offre. ©Lorenove. UNE NOUVELLE DIRECTION DU RÉSEAU Lors du dernier trimestre 2022, la réorganisation de la tête de réseau s’est orchestrée avec la création d’un poste de Directrice Réseau Concessions et d’un poste de Directeur Réseau Agences. Ainsi, Nathalie Careaux a pris la direction des 48 concessions du réseau. Cette ancienne concessionnaire Tryba est entrée chez LORENOVE il y a 3 ans, en qualité d’animatrice de la région Nord.Femme de terrain, elle a sillonné les régions en quête d’un accompagnement sur-mesure pour chaque concessionnaire LORENOVE, dont elle connaît parfaitement le métier et les besoins. Aujourd’hui, elle a à cœur de piloter le réseau de manière optimale. Pour ce faire, elle vient de recruter deux animateurs pour les régions Nord et Sud, ainsi qu’une assistante, à qui elle va confier, dans les prochains mois, un audit auprès des équipes de concessionnaires afin de répondre aux besoins de formations de pose. Nathalie Careaux, Directrice Réseau Lorenove Concessions.©Lorenove. Quant au poste de Directeur Réseau Agences, c’est Aurélien Carteret qui en a pris la direction avec sous sa responsabilité les 8 agences franciliennes du réseau. Ancien animateur pour les agences, il a évolué vers ce poste pour lequel il fixe des objectifs audacieux. Pour y parvenir, il est accompagné d’une équipe d’environ 70 personnes sur qui il peut compter ; notamment sur leur professionnalisme et leur savoir-faire LORENOVE. Il les accompagne et les soutient au quotidien. Il recrute également un responsable technique ainsi que des technico-commerciaux et des poseurs en équipe, pour plusieurs agences. Aurélien Carteret, Directeur Réseau Lorenove Agences. ©Lorenove. Les deux nouveaux directeurs ont rappelé les temps forts de 2022, riche en mouvements avec : des développements internes : Geoffrey Ketterer concessionnaire de Dreux, a ouvert une concession à Cannes, et Grégoire David dans le Loiret a ouvert sa 3ème concession à Villemandeur, après Saran et Pithiviers; des reprises par des salariés : Clément Hurel et Kevin Gueudin ont respectivement repris les concessions d’Etampes et Sainte-Geneviève-des-Bois; des transmissions : Philippe Gautier, concessionnaire dans l’Eure a cédé à son fils, Vincent, les 2 points de vente de Pacy-sur-Eure et Evreux. Et, Fernand Dos Santos, concessionnaire àPontault-Combault a fusionné sa concession avec celle de son fils, Mickaël, situé à Moissy-Cramayel; des améliorations : Jean-Philippe Dias, concessionnaire de Gournay-en-Bray a investi dans un nouveau local de 100 m² avec showroom face à une nationale pour une visibilité maximale.Ce nouveau magasin lui permet également d’accueillir une nouvelle équipe de pose, récemment recrutée ainsi que le futur recrutement d’un commercial.De son côté, Richard Gosselin, concessionnaire à Cherbourg a quitté le centre-ville pour une zone commerciale en périphérie de Cherbourg où il est beaucoup plus visible et qui lui offre la possibilité d’exposer l’offre de stores et protections solaires qu’il propose. Il recrute également un nouveau commercial.Plusieurs concessionnaires ont également mis à jour la charte graphique de leurs façades offrant à leur point de vente une meilleure visibilité. LA FORMATION, AU COEUR DES RÈGLES DE L’ART Joao Alves, animateur technique et commercial du réseau LORENOVE, a présenté l’offre de formations qui s’étoffe de 3 nouvelles sur les 15 existantes. La formation Poseur Lorenove se renforce d’un module adapté à la pose chez le particulier. Sur 2 jours, il dresse un tableau des points clés d’une intervention chez le client occupant : relation client, respect du domicile, protection, PV de réception, solde de chantier, etc. et évoque également les contraintes qui y sont associées. La formation Lorevente s’étoffe désormais d’un suivi de formation (1 an après avoir reçu la formation initiale) qui est pratiqué sur 4 ateliers de 3h 30, à décliner sur 3 mois. Ce suivi de formation a pour vocation de partager les retours d’expériences, de parler de cas concrets, de faire remonter les points positifs et de mener des réflexions de groupe. En distanciel, il s’adresse aux commerciaux et aux dirigeants qui gèrent la partie commerciale. Pour finir, le Pack RH a été développé pour les dirigeants et aborde divers sujets relatifs au recrutement, à la gestion de carrière, aux entretiens individuels et professionnels ou encore à la législation. Développée en visio, en 4 ou 5 ateliers (selon le besoin) de 2h 30, cette formation permet de donner des outils pratiques aux dirigeants pour la partie RH de leur entreprise. Autre outil développé pour et par le réseau, le configurateur de menuiseries « Agile Menuiserie » a été présenté par Emmanuel de Rodellec dans sa nouvelle version, retravaillée de manière plus intuitive et ergonomique. Cette version permettra aux concessionnaires et agences de suivre tout le processus de commande depuis le configurateur, jusqu’à la livraison.Accessible via un Smartphone ou un ordinateur, cet outil est un des axes de développement du projet de digitalisation du Groupe Lorillard et s’adresse également aux entités du diffus Lorebat et Molénat.Actuellement en phase de finalisation, des concessionnaires et agences pilotes le testeront au mois d’avril pour qu’il puisse ensuite être déployé à tous au mois de mai. LOGISTIQUE & SUPPLY CHAIN, L’HARMONIE DES FLUX De la présentation du portail « Agile Menuiserie » découle inévitablement l’intervention du service Supply Chain. Sa Directrice, Delphine Piquard, est à l’initiative de la digitalisation du Groupe – meilleur moyen de maintenir un flux d’informations efficace entre les différents acteurs : fournisseurs, fabricants mais aussi les clients – et d’une approche de proximité avec le client.Dans cette stratégie, elle est allée à la rencontre de concessions et d’agences, à la manière d’un audit, afin de mettre en évidence et comprendre leurs problématiques. Ce process entre dans l’objectif d’amélioration continue que le service Supply Chain déploie.Lors de la convention, un premier bilan a été présenté au réseau ainsi que des axes d’améliorations, dont certains sont déjà en place. D’autres visites en point de vente sont d’ores et déjà prévues pour poursuivre cette démarche interactive. GESTION DURABLE ET VALORISATION DES MENUISERIES Mobilisés pour leurs concessionnaires et agences, LORENOVE et le Groupe Lorillard ont la responsabilité de les accompagner au mieux dans l’application des nouvelles réglementations et dans la mise en valeur des menuiseries fabriquées. La Responsabilité Elargie du Producteur était donc un des sujets notables de cette convention.Et, pour en parler au réseau, LORENOVE a fait appel à Stéphanie Jacob, Responsable de Secteur chez Valobat – éco-organisme du bâtiment auquel le Groupe Lorillard a adhéré pour la gestion de la fin de vie de ses produits. Stéphanie Jacob a délivré de précieuses informations sur ce sujet afin que tous les concessionnaires et agences du réseau puissent s’y préparer au mieux d’ici l’entrée en vigueur du dispositif le 1er mai prochain. Dans la pratique, d’ici quelques mois, une benne ou un chevalet sera mis à disposition de chaque concessionnaire et agence pour la récupération, le transport puis la valorisation des déchets issus de leur activité. La convention s’est achevée par la traditionnelle soirée de clôture, durant laquelle s’est déroulée la remise des Trophées de la Performance avec au palmarès les Trophées du : Meilleur chiffre d’affaires 2022 – catégorie Concessions, remporté par Rémy Thérèse concessionnaire SEVESTRE MENUISERIES à Bourges (18). Meilleur chiffre d’affaires 2022 – catégorie Agences, remporté par Mario Rodrigues responsable de l’agence LORENOVE PARIS OUEST à Gennevilliers (92). Meilleure progression des achats de menuiseries Lorenove 2022, remporté par Vincent Gautier concessionnaire GL2 HABITAT à Pacy sur Eure (27). Meilleure satisfaction clients 2022, remporté par Julien Giraud concessionnaire FENETRES ET FERMETURES DES YVELINES à Coignières (78). Ce prix est évalué sur le nombre d’avis clients et la note obtenue (4,9/5). Dynamisme sur les réseaux sociaux 2022, qui récompense la régularité de diffusion et l’engagement sur les réseaux, remporté par Mickaël dos Santos concessionnaire CREATION FERMETURES à Moissy Cramayel (77). Coup de cœur Service clients 2022, qui récompense l’utilisation assidue et adaptée des outils de gestion de l’activité commerciale mis à disposition du réseau, attribué à Jean-Philippe Dias concessionnaire LES MENUISERIES BRAYONNES à Gournay en Bray (76) ; ainsi qu’à Hugues Gaurier concessionnaire GHm – PVC à Troyes (10). Coup de cœur 2022, qui distingue cette année Grégoire David concessionnaire de FENETRES ET FERMETURES DU CENTRE à Saran (45), ayant développé son activité à un rythme soutenu, à raison de 3 ouvertures de points de vente en 2022 (Saran, Pithiviers et Villemandeur). Temps fort du réseau, la convention sera suivie d’autres évènements et notamment les réunions régionales des concessionnaires en mai et octobre 2023, la réunion nationale à mi année, au mois de juillet ; ainsi que les 3 commissions produit, communication et RH qui sont prévues en mars, juin et novembre 2023.Comme on peut le constater, faire partie du réseau Lorenove, c’est s’adosser à un Groupe industriel majeur qui présente l’avantage d’un accompagnement stratégique et proactif. Rejoindre le réseau LORENOVE c’est aussi adhérer à un collectif et cette convention était une nouvelle occasion pour la marque de le signifier à tous. A travers des activités de team building – cours de cuisine en équipe, blind tests, rallye découverte dans la ville d’Annecy – et des moments privilégiés -soirée de clôture, concert du Groupe Super Sonic – l’enseigne entretient les fondements d’un réseau soudé et familial.
Il y a 2 ans et 85 jours

Rénovation énergétique : une "trajectoire" de prix du carbone de nouveau sur la table

TRANSITION. Dans un projet d'avis soumis au vote ce 15 février, le Conseil économique, social et environnemental a rouvert le dossier d'une trajectoire "crédible" de prix du carbone. L'objectif : dégager des financements pour la stratégie française pour l'énergie et le climat, en réduisant les émissions de gaz à effet de serre de plusieurs secteurs, dont le bâtiment.
Il y a 2 ans et 85 jours

une fiche d identite des batiments pour faciliter leur renovation

Le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) a annoncé, ce 14 février, que les caractéristiques techniques des bâtiments construits en France sont désormais cartographiées dans « une base de données nationale ». Un outil clé qui permettra de mener des stratégies de rénovation énergétique efficaces, à large échelle.
Il y a 2 ans et 85 jours

Rénovation Gare du Nord : procès entre la SNCF et Ceetrus

Pour accueillir les JO 2024, la gare du Nord (Paris) devait faire peau neuve en doublant quasiment sa superficie avec 88 000 m² supplémentaires. Après un litige avec Ceetrus, la compagnie chargée des travaux, la rénovation concernera principalement la signalétique. Un chantier à 55 millions d’euros, loin des 600 millions prévus initialement. Un projet plus ambitieux sera déterminé après l’événement sportif.
Il y a 2 ans et 85 jours

Les Français & les énergies renouvelables : quelles perspectives face à la crise ?

Cette année, Qualit’EnR a souhaité proposer un éclairage spécifique sur la perception de la crise énergétique, les EnR sur le pouvoir d’achat des Français. Plus de 2.800 interviews ont été menées auprès des Français afin de disposer de résultats suffisants pour analyser l’évolution des comportements et opinions concernant la rénovation énergétique de leur foyer, leur confiance dans les solutions EnR de chauffage, d’eau chaude et d’électricité, leur connaissance des réseaux professionnels et labels de qualité. Il en ressort qu’une culture de la sobriété énergétique, de la consommation raisonnée est en train d’émerger chez les Français qui agissent par la force des choses. Cette culture passe par des écogestes et par la volonté d'un mix énergétique intégrant les énergies renouvelables dans les équipements de chauffage, d'eau et d'électricité. Mais les Français souhaitent s’y retrouver financièrement et demeurent pragmatiques.Crise énergétique et pouvoir d'achat : quelle perception des français ?45% des Français sont inquiets de leur capacité à faire face à la hausse des factures de chauffage, d'eau chaude et d'électricité et 11% sont très inquiets de leur capacité à gérer l’augmentation (notamment les foyers avec personnes à charge, la Région Bourgogne-Franche-Comté). À contrario, 55% se déclarent confiants et 12% très confiants dans leur capacité à gérer l’augmentation des factures (notamment les jeunes, les seniors, les hommes, les Régions PACA et Île-de-France).Face à la crise, 55% des Français s’estiment incapables d’estimer la hausse de leur facture énergétique cette année. Sur les 45% qui s’estiment en capacité de l’évaluer, 26% pensent que l’augmentation sera supérieure à 500 € (parmi eux, les jeunes et les seniors, les CSP+ et les inactifs). 14% des Français estiment que les factures n’augmenteront pas (notamment les femmes, les 18-24 ans).Pour faire baisser les factures, les Français se montrent pragmatiques et pratiquent les écogestes : 96% déclarent avoir pris des mesures pour réduire leurs dépenses énergétiques. Ainsi, 92% privilégient les programmes éco, 90% économisent l’eau chaude, 89% diminuent sensiblement la température de leur chauffage (notamment en Bretagne), 89% repoussent la date d’allumage de leur chauffage.Dans ce contexte, 30% des Français se renseignent sur les solutions EnR pour le chauffage, l’électricité ou l’eau chaude et 36% l’envisagent.Crise et pouvoir d'achat : quelles énergies ont la confiance des français ?Pour 82% des Français, l’efficacité énergétique passe par un mix associant EnR et énergies conventionnelles (+2 points / moyenne nationale).Dans ce contexte, 98% des Français soutiennent le développement des filières EnR pour le chauffage, l’eau chaude et l’électricité (+1 point / 2022). Notamment le solaire thermique (86%, +1 point / 2022), l’hydraulique (84%) et les panneaux photovoltaïques (83%, +2 points / 2022). À noter que la filière nucléaire connaît un soutien grandissant (65%, +5 points / 2022).Pour 88% des Français, les énergies renouvelables sont chères. L’aspect économique est essentiel à leurs yeux puisqu’ils affirment dans le même temps que les EnR permettent d’augmenter la valeur d’un bien immobilier (80%, +4 points / 2022) et qu’elles permettent de faire des économies et de gagner en pouvoir d’achat (73%, +2 points / 2022).En outre, les EnR sont respectueuses de l’environnement (84%, +5 points / 2022) et permettent de se sentir bien chez soi (83%, +1 point / 2022).Rénovation énergétique et EnR : quelles solutions de chauffage et eau chaude plébiscitées ?En 2023, 37% des Français ont pris la décision d’effectuer des travaux de rénovation énergétique. La progression est remarquable (+12 points / 2022). Idem pour ceux qui ont maintenu leurs projets de travaux dans ce contexte (26% ; +10 points / 2022). La décision de procéder à des travaux de rénovation énergétique reste conditionnée par l’aspect économique : 30% des consommateurs ayant décidé de ne pas faire de travaux estiment qu’ils sont trop chers (-4 points / 2022).Aujourd’hui, 45% des Français déclarent disposer d’au moins un équipement EnR (+1 point / 2022). En 2023, leur top 3 des solutions EnR et à haute performance énergétique installées talonne les équipements gaz et fioul (16%) : le chauffe-eau thermodynamique (15%, +2 points / 2022), le poêle à bois (14%, -1 point / 2022), la pompe à chaleur (13%, +2 points / 2022). Les panneaux solaires photovoltaïques connaissent une certaine progression (10%, +3 points / 2022). Les équipements électriques restent les plus installés (28%, -1 point / 2022).Rénovation énergétique et EnR : comment les français choisissent leur installateur ?71% des Français ont aujourd’hui confiance dans les installateurs de solutions de chauffage, d’eau-chaude et d’électricité : c’est un record (+2 points / 2022). Parmi les plus confiants, on trouve les catégories populaires (74%), les femmes (73%), les jeunes (80%), et la région des Pays de la Loire.Pour leurs travaux de rénovation énergétique, les Français réclament une installation technique de qualité (56%), une maintenance et un service après-vente de qualité (44%) et souhaitent que les délais d’intervention soient respectés (27%).Pour choisir leur installateur (plombier, chauffagiste, électricien, climaticien), les Français se tournent vers des professionnels disposant d’un label qualité ou d’une qualification (78%), disposant de la mention RGE (77%). Les professionnels de proximité implantés près de chez eux (72%, +25 points en 9 ans) et ceux présentant de bons avis sur internet (57%, +13 points sur 4 ans) progressent fortement.Pour cette édition du baromètre, 2.806 personnes de 18 ans et plus ont été interrogées par questionnaire selon la méthode des quotas et une approche par région.
Il y a 2 ans et 85 jours

Ademe : « Il faudrait doubler les investissements dans la rénovation »

Dans ce numéro spécial économies d’énergie, Boris Ravignon, le nouveau président de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), expose pour les CTB sa vision des enjeux de la transition énergétique en France.
Il y a 2 ans et 85 jours

Le bambou pour des passerelles piétonnes plus durables à Strasbourg

Des milliers de mètres carrés de platelage à entretenir ou à remplacerConnue pour son engagement environnemental, l’Eurométropole de Strasbourg a généralisé l’emploi d’un platelage (plancher) en bois locaux, sur une centaine de passerelles, en lieu et place de bois exotiques. L’intention était bonne – moins de déforestation et moins d’émissions de gaz à effet de serre – mais c’était sans compter sur un vieillissement accéléré que le développement des mobilités actives a amplifié. Trottinettes, vélos et parfois scooters se sont, en effet, ajoutés aux balades pédestres. La trentaine de communes concernées se sont retrouvées avec plusieurs milliers de mètres carrés de platelage à entretenir ou à réparer, à des fréquences et à des coûts plus importants que prévus. Sans ces interventions, la probabilité de risques de chute et d’accident augmentait fortement.L’agence m3O, société spécialisée dans la qualité de séjour des espaces publics et du mobilier urbain, a proposé au service gestionnaire de ces ouvrages d’étudier une solution alternative de platelage à base de bambou MOSO® Bamboo X-treme® de la société Moso International BV. Les arguments en faveur de cette graminée sont nombreux : une ressource écologique illimitée ; une culture bien gérée et un rythme de récoltes maitrisé qui permettent de stimuler la pousse et d’augmenter la qualité des cannes ; une résistance mécanique élevée ; une haute stabilité du matériau dans la durée ; une durabilité éprouvée et une imputrescibilité garantie par la certification EN 152 classe 0 (résistance aux champignons de surface).Une solution durable : les produits MOSO® BambouFort de ses arguments, un premier platelage en bambou a été installé en 2020 sur la passerelle Miro, inaugurée 12 ans plus tôt pour l’usage exclusif des piétons, cyclistes et personnes à mobilité réduite. Les 340 m² de platelage en bois de ce lieu strasbourgeois emblématique, reliant Rivétoile à la médiathèque Malraux, a été remplacé par des lames MOSO® Bamboo X-treme®.Deux ans plus tard, vînt l’heure du bilan. L’Eurométropole alsacienne a relevé plusieurs bénéfices du bambou « made in MOSO® ».« La croissance démographique et les variations climatiques soulèvent d’importants enjeux pour l’urbanisme durable. La résilience passe par l’innovation et le bambou Moso constitue une alternative écologique pertinente » commente Pierre Hermann, responsable du département des Ouvrages d’Art, pour la ville et l’Eurométropole de Strasbourg.Le premier est sa résistance mécanique et sa durabilité. Malgré la fréquentation élevée de la passerelle, les lames sont restées stables : il n’y a pas eu de fentes, pas d’éclatement ni échardes qui auraient nécessité de fréquentes et lourdes opérations de maintenance et de rénovation. Les lames de terrasse Bamboo X-treme® bénéficient en effet, d’une classe d’usage 4 (EN 335) et d’une classe de durabilité biologique 1 (EN 350 /CEN/TS 15083-2 et EN 350 / CEN/TS 15083-1) gages de durabilité.Le second est la sécurité et le confort des usagers renforcés. MOSO® a fourni pour la passerelle Miro des lames équipées d’un dispositif anti-glissance (bande de résine corindon coulée dans une rainure). « Dès lors que la bande de résine corindon est ôtée, le Bamboo X-treme® peut être réemployé pour d’autres applications, telles que le mobilier urbain » ajoute Pierre Hermann.Le troisième bénéfice tient à la praticité du système de fixation Grad, mis au point par la société éponyme. Les lames se « clipsent » tout simplement sur un système de rails en aluminium, prééquipé de clips permettant la préhension des lames.Ce système présente de nombreux atouts :Sa simplicité de pose : comme l’entraxe est automatisé, les lames sont donc parfaitement alignées – sans risque d’erreur - ce qui donne également un rendu esthétique uniforme caractérisé par une belle perspective avec un point de fuite nette. L’absence de vis augmente la qualité esthétique du platelage et son intégrité.Une haute qualité de fixation diminuant significativement les interventions de contrôle et d’entretien.Une très bonne résistance à l’arrachement : avec le système Grad, les lames sont munies de rainures qui sont reliées au système via des clips sur des rails. La résistance à l’arrachement ainsi obtenue est de 240 kg/double clip, soit 960 kg/lame.Le MOSO® Bamboo X-treme® répond donc aux préoccupations actuelles des collectivités territoriales pour certains de leurs équipements, par son aspect écologique (pas de déforestation) et par ses caractéristiques techniques : stabilité, résistance et durabilité. Le complexe de platelage MOSO® Bamboo X-treme® associant le système de fixation Grad augmente le niveau de confort des passerelles piétonnes et améliore leur sécurité pour tous les usagers.
Il y a 2 ans et 85 jours

TERREAL lance une nouvelle tuile de tradition « Plate Origine » pour une rénovation authentique des toitures ancestrales

TERREAL, spécialiste des solutions innovantes en terre cuite pour l’enveloppe du bâtiment, enrichit sa gamme Vieilles Tuiles de Tradition avec le lancement de la tuile « Plate Origine ». Produite à l’usine des Mureaux dans les Yvelines à partir d’argiles géo-sourcées localement, cette nouvelle tuile a été développée pour répondre spécifiquement aux contraintes de la […]
Il y a 2 ans et 86 jours

Rénovation : comment fonctionne l'algorithme qui veut cartographier l'ensemble du parc

FOCUS. La base de données nationale des bâtiments lancée par le Centre scientifique et technique du bâtiment et l'Agence Qualité Construction ambitionne de dresser un état des lieux complet du parc immobilier français. Cette innovation majeure repose notamment sur les nouvelles technologies et pourrait bien rebattre les cartes de la politique de rénovation énergétique.
Il y a 2 ans et 86 jours

Base de Données Nationale des Bâtiments : une fiche d’identité de chaque bâtiment pour suivre l'évolution du parc existant et aider à sa rénovation

Pour chacun des bâtiments résidentiels et non-résidentiels, localisés en France métropolitaine et Corse, la Base de Données Nationale des Bâtiments établit une fiche d’identité personnalisée avec plus de 250 informations disponibles.Elle constitue une photographie exhaustive et « haute définition » de l’état du patrimoine français, à un instant donné. Elle sera actualisée à intervalles réguliers, permettant ainsi de suivre l’évolution du parc.Le patrimoine bâti en France métropolitaine représente 38 millions de logements et près d’1 milliard de m² de locaux tertiaires. Face aux défis du changement climatique et des évolutions sociétales, ce patrimoine devra faire l’objet d’une rénovation d’une ampleur sans précédent.Il est dès lors nécessaire, vu les enjeux techniques et économiques, que le pays, mais aussi chaque territoire et chaque propriétaire, puissent élaborer leur stratégie de rénovation, suivre son exécution et mesurer ses effets.Pour répondre à ce besoin, les acteurs de la construction regroupés dans le collectif Profeel ont souhaité développer un outil utilisant les avancées du traitement massif de données et de l’intelligence artificielle : le programme GO-Rénove, dont le maitre d’œuvre est le CSTB. Le projet comportait deux parties : la récupération et la consolidation de toutes les données disponibles sur le bâtiment, ainsi que la mise en ligne des premiers services applicatifs en soutien à la rénovation pour les particuliers et les bailleurs sociaux.Pour mener à bien ce projet, le CSTB a agrégé et croisé les données d’une trentaine de bases issues d’organismes publics pour constituer une cartographie fiable du parc immobilier métropolitain. Un algorithme prédit les valeurs probables des données manquantes, et des modèles physiques simulent les performances de chaque bâtiment, notamment sa consommation d’énergie. C’est ainsi que le CSTB a constitué une base de données des bâtiments d’une richesse inégalée.En effet, pour chaque bâtiment, la BDNB® renseigne notamment son histoire administrative, sa morphologie, les matériaux utilisés pour sa construction, ses équipements techniques, son mode de chauffage, une estimation de son étiquette DPE (en l’état et après rénovation), sa valeur verte…La BDNB® intègre également les consommations énergétiques publiées en open-data (SDES, données locales de l’énergie).Les règles d’accessibilité aux données de la BDNB® sont établies en plein accord avec les exploitants des bases de données et dans le strict respect du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD).Il existe trois niveaux d’accès à la BDNB® :La BDNB open qui regroupe toutes les données publiques libres d’accès intégrées à la BDNB®. Son téléchargement est en accès libre depuis le portail data.gouv.fr ;La BDNB ayants-droits dont l’accès est conditionné aux règles de diffusion fixées par les propriétaires de certaines données ;La BDNB expert accessible dans le cadre de travaux de recherche et d’expertise conduits avec le CSTB.Largement accessible à tous les acteurs, transparente dans les méthodes de calcul utilisées, la BDNB® constitue, en la matière, la première base publique et ouverte de référence.Les services apportés par la BDNB®Pour l’élaboration de politique publique :Simuler le DPE sur l’ensemble des bâtiments résidentiels du parc, selon la nouvelle méthode 2021.Eclairer l’élaboration de politiques publiques et faciliter leur déploiement (référence : caractérisation du parc de logements localisé dans chaque Quartier Prioritaire de la Ville (QPV) en support à l’ANRU) ;Contribuer aux observatoires publics : en produisant des données complémentaires (référence : Mission « Connaissance », service public de la connaissance territoriale initié par le Ministère de la Transition écologique) - production des DPE resimulés ;en opérant des calculs d’indicateurs à la maille élémentaire du bâtiment (référence : participation au projet TRELO en support au Service des Etudes Statistiques (SDES) et en lien avec l’Observatoire National de la Rénovation Energétique (ONRE)) ;Pour accompagner les territoires, les bailleurs et les propriétaires dans leur stratégie :Constituer le socle de données des services d’aide à la décision de rénovation (références : services publics en ligne Go-rénove Go-rénove-particuliers, Go-rénove-bailleurs, et prochainement Go-rénove collectivité et Go-rénove-tertiaire) ;Caractériser le parc de bâtiments : statistiques (âge, typologie constructive, vecteurs énergétiques, etc…), empreinte énergie/carbone, scores DPE, gisement d’économie d’énergie ... (référence : contribution à la construction d’un cadre stratégique de patrimoine en support au groupe Action Logement).Les services qui pourraient être apportés demain par la BDNB® :Simuler l’impact de scénarios de politiques publiques ; Suivre les évolutions du parc et appréhender ainsi l’impact des actions de politique publique ou le déploiement d’une stratégie patrimoniale ; Identifier et valoriser les aménités d’un parc.
Il y a 2 ans et 86 jours

Commandez un échantillon du nouvel isolant biosourcé Knauf

ThermaSoft® natura est composé de fibres végétales biosourcées, de coton, de lin et de jute. Ce nouvel isolant associe de manière unique performances environnementales, qualités techniques et confort de pose.Les autres avantages : Qualité de l’air remarquable « A+ », le meilleur classement possible. Isolation acoustique naturelle, les fibres végétales isolent les bruits venant de l’extérieur ainsi que ceux venant d’autres pièces. Éligible aux aides à la rénovation, grâce à sa certification Acermi.Répond aux objectifs de la nouvelle règlementation RE2020.Recevez gratuitement un échantillon de ThermaSoft® natura en cliquant sur ce lien.Avec des performances isolantes, acoustiques et feu validées pour les systèmes de cloisons et de contre-cloisons intégrant l’isolant biosourcé et recyclé Knauf ThermaSoft® natura, les concepteurs peuvent répondre aux exigences techniques de différents types de bâtiments, d’ouvrages et de locaux qui les composent avec autant de garanties qu’un isolant traditionnel, en particulier pour la Construction Bois, dans les ERP ou les Logements Individuels ou Collectifs.Les justificatifs Knauf permettent notamment de choisir les systèmes de cloisons et contre-cloisons adaptés pour atteindre les performances acoustiques et feu souhaitées. LE BIOSOURCÉ 100 % GARANTIThermaSoft® natura, un isolant biosourcé sous certification ACERMI Performances incendie et acoustiques validées (Essais feu Efectis, rapport d’essais acoustiques). Mise en œuvre en cloisons et contre-cloisons validée suivant ATec CSTB 20/21-487_V1_E1Pour commander votre échantillon, cliquez ici.
Il y a 2 ans et 86 jours

Le gouvernement met en place un "bouclier financier" pour les organismes HLM

LOGEMENT SOCIAL. Face à l'explosion de la charge de la dette des bailleurs sociaux, le gouvernement met en place plusieurs outils financiers pour les soutenir. Objectif, notamment : amplifier l'effort de construction et de rénovation.
Il y a 2 ans et 86 jours

Avenir Rénovations atteint les 100 franchises signées et s’étend sur l’hexagone

Avenir Rénovations propose un concept unique, d’intégrer le digital dans le secteur du bâtiment. Un concept qui séduit car il permet à la fois de développer son activité sans charge (salariale ou de local) sur le marché porteur de la rénovation tous corps d’état et de bénéficier d’un accompagnement complet d’outils digitaux et humain pour faire prospérer sa franchise rapidement et sereinement.De nouvelles franchises pour les particuliers en forte demande de rénovation de leur habitatSi plus d’1 Français sur 2 souhaite rénover leur logement prochainement [1], cela peut vite relever du parcours du combattant, avec de multiples spécialistes à gérer et des démarches administratives longues et parfois complexes. Alors que 19% des Français ne trouvent pas de prestataires pour rénover le logement [2], Avenir Rénovations propose un service clé en main aux Français : la gestion intégrale des travaux de rénovation avec un interlocuteur référent, le Manager Travaux. Son rôle est d’accompagner les particuliers sur toute la durée de leur projet, de sa conception à son achèvement. Il est également le responsable des délais, de la qualité et de la bonne exécution des travaux.Depuis 2020, année de lancement du réseau en franchise, Avenir Rénovations affiche un développement à grande vitesse avec un déploiement moyen de 2 à 5 agences par mois. Fort de son développement, le premier réseau de franchise à proposer une prise en main complète des travaux compte d’ores et déjà 78 agences ouvertes sur le territoire français, et au total 100 franchises signées.Les 5 dernières franchises Avenir Rénovations ouvertes sont basées à Mulhouse (68), Terrasson-Lavilledieu (24), Agen et Villeneuve-sur-Lot (47) ainsi qu’à Saumur (49). Les particuliers pourront bientôt également retrouver les nouvelles franchises – actuellement signées – dans 17 départements : Loiret (45), Bouche du Rhône (13), Vendée (85), Haute-Vienne (87), Gironde (33) ; Isère (38) ; Essonne (91) ; Oise (60) ; Somme (80) ; Ardèche (07) ; Seine-Maritime (76) ; Calvados (14) ; Aude (11) ; Bas-Rhin (67) ; Tarn-et-Garonne (82), Ille-et-Vilaine (35) et Maine-et-Loire (49).A terme, et afin de devenir le leader français de la rénovation tous corps d’état, Avenir Rénovations ambitionne d’atteindre les 250 agences d’ici 2026. Un chiffre porté à 450 franchises d’ici les 10 prochaines années.Pour Mickaël Di Luca, cofondateur et Directeur Général d’Avenir Rénovations : « Car le métier d’entrepreneur est semé d’embûches, nous avions à cœur de proposer un cadre structurant et bienveillant pour accompagner nos franchisés à construire notre réussite commune. Nous proposons pour chacun des formations, et ce tout au long de notre collaboration. Nous avons également digitalisé le métier afin de les aider à développer leur chiffre d’affaires et surtout leur permettre d’apporter à leurs clients un service clé en main de qualité. »
Il y a 2 ans et 86 jours

Vendée : le stade Jules-Ladoumègue de La Roche-sur-Yon se métamorphosera en 2024

La municipalité de La Roche-sur-Yon (Vendée) investit 2 millions d’euros pour la rénovation du stade...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 86 jours

Haute-Garonne : deuxième phase de rénovation pour la piscine Alex-Jany à Ramonville-Saint-Agne

À Ramonville-Saint-Agne (Haute-Garonne), la piscine Alex-Jany est de nouveau en...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 87 jours

Match entre A+ et D+ pour le renouveau du stade de Furiani

A Furiani (Haute-Corse) les Montpelliérains d’A+ Architecture, associés aux Corses de l’agence D+ Architecture, ont remporté le concours pour la modernisation et rénovation du stade de 16 500 places, à l’initiative de la Cumunità d’Agglumerazione di Bastia. Les 1 526 m² d’espaces créés dans le stade Armand Cesari, dont un musée (12 M€) doivent être […] L’article Match entre A+ et D+ pour le renouveau du stade de Furiani est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.