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Résultats de recherche pour allemand

(2675 résultats)
Il y a 2 ans et 215 jours

Chez SNCF Réseau, un nouveau P-dg prend ses fonctions

CARNET/NOMINATION. Comme annoncé fin septembre 2022, un nouveau président-directeur général, bien connu dans l'entreprise, arrive chez SNCF Réseau, pour remplacer Luc Lallemand.
Il y a 2 ans et 216 jours

Elydan se muscle dans le secteur Plomberie Sanitaire Chauffage-Rafraichissement

ACQUISITIONS. L'industriel spécialisé dans les canalisations en polymères, Elydan, vient de racheter l'entreprise allemande DW Verbundrohr et sa filiale Multitubo France.
Il y a 2 ans et 222 jours

Reims : Des logements collectifs en R+2 imprimés en 3D béton

Le bailleur social Plurial Novilia va édifier un immeuble collectif R+2 de 12 logements et 1 700m de surface habitable, à Bezannes. [©Hobo architecture] Après Viliaprint, le bailleur social Plurial Novilia, filiale du groupe Action Logement, entend repousser une fois encore les limites de la construction. Installé au cœur de la Zac de Bezannes, à Reims (51), ce maître d’ouvrage va édifier un bâtiment d’habitation collectif en R+2 à haute performance énergétique. Douze logements sociaux seront proposés à la location. La particularité de ce nouveau projet, baptisé ViliaSprint2, est de s’appuyer sur l’impression 3D béton de ses voiles porteurs. Une impression sur site  Grâce à l’apport technique du coffreur allemand Peri, les façades de l’immeuble seront imprimées sur site. De marque Cobod, l’imprimante 3D est composée d’un portique mobile et équipée d’une tête d’impression multi-directionnelle Bod2. Elle permet d’empiler les couches de béton les unes sur les autres pour former les murs. Et peut atteindre 1 m/s en vitesse d’impression. « Nous voulons aller encore plus loin, en expérimentant l’impression sur site, déclare Johnny Huat, directeur général de Plurial Novilia. Nous pensons que l’automatisation de la phase de gros œuvre nous permettra de générer une vraie plus-value. Autant en amont sur la conception architecturale qu’en phase opérationnelle sur la productivité, la sécurité et l’ergonomie au travail. »  Avec le célèbre Bod2, imprimante 3D de construction Cobod, le groupe Peri imprime en 3D les murs en béton. [©Peri] Une période charnière  Face à la hausse des matières premières, du coût de l’énergie, ainsi qu’aux enjeux environnementaux, les professionnels de la construction sont à la recherche de nouveautés. « Aujourd’hui, il nous faut prendre le virage de la transition écologique. C’est pourquoi Holcim fournit un béton spécial peu carboné, souligne Bruno Arcadipane, président d’Action Logement. Mais nous devons garder des coûts raisonnables et augmenter la production pour faire face à la demande. Cela doit nous pousser à trouver d’autres manières de construire. Un projet audacieux comme celui de ViliaSprint2 intègre notre vision stratégique, qui est de ne pas subir les crises. Il est essentiel d’imaginer des solutions nouvelles, adaptées à un contexte complexe et fluctuant. » Une architecture qui tire profit du numérique L’apport de l’impression 3D sur ViliaSprint2 se ressent dès la visualisation du concept architectural imaginé par le cabinet bordelais Hobo. « Nous voulons faire de l’impression 3D une solution pour l’architecture bas-carboniste de demain, explique Frédérik Dain, directeur du cabinet Hobo. Pour ViliaSprint2, nous avons cherché l’efficience, l’économie de matière, l’adaptation et la justesse dans une forme de simplicité frugale. Le but est de maximiser le rendement des formes pour offrir la plus grande surface avec le moins de matière. » Avec ses formes arrondies, son recours aux matériaux biosourcés et son orientation pensée pour un ensoleillement optimal, ce projet offre la possibilité d’une bien plus grande créativité architecturale.  Comparer et mesurer 2 méthodes de constructions  En parallèle, un second bâtiment sera édifié sur la même parcelle, mais, cette fois-ci, de manière traditionnelle. Les deux procédés constructifs pourront être comparés. Ils seront mesurés aussi bien en phase de chantier (délais, nuisances, ergonomie/pénibilité pour les équipes…) qu’en phase d’occupation (performances du bâti, coûts…). Les résultats seront partagés avec l’ensemble des bailleurs sociaux réunis au sein d’Action Logement.
Il y a 2 ans et 223 jours

A Nice, face à l'explosion de sa facture de gaz, une copropriété coupe le chauffage

Entre le campus universitaire Valrose et la colline résidentielle de Cimiez, le Parc Lubonis, ancienne cité HLM pour enseignants construite dans les années 50, est un ensemble propret d'une centaine d'appartements et cinq villas individuelles.Dans ces logements, certains avec terrasse et vue mer, la vie coulait tranquillement... jusqu'à la crise énergétique.L'an dernier, d'octobre à mai, avec le fournisseur d'énergie russe Gazprom, la facture de gaz pour la copropriété était montée à 89.100 euros ; mais les devis, consultés par l'AFP, ont explosé pour cette année, entre 684.000 euros pour SEFE Energy (NDLR: ex-filiale allemande de Gazprom) et un million d'euros pour TotalEnergies, juste pour faire fonctionner le chauffage central par le sol sur ces huit mois de 2022-2023."L'an dernier j'ai payé 150 euros par mois pour le chauffage, cette année j'aurais dû débourser plus de 1.000 euros par mois, c'est tout simplement impossible", a confié Philippe Lorenzi, 70 ans, ingénieur à la retraite, qui occupe un T6 avec son épouse: "La seule solution était de couper le chauffage".Et c'est cette proposition que les quelque 95 copropriétaires ont votée mardi soir, en assemblée générale. Plus exactement, ils ont décidé de ne pas allumer le chauffage au 15 octobre, comme prévu initialement, et ce jusqu'en janvier et une prochaine assemblée générale."Nous aurons alors de nouveaux devis et des informations sur le bouclier tarifaire auquel nous avons droit", a ajouté M. Lorenzi.Saluée par des applaudissements, cette décision est "un soulagement", indiquait à la sortie de la réunion Sébastien, en souhaitant rester anonyme: "Accepter des devis si élevés aurait mis en danger la copropriété, trop de gens n'avaient tout simplement pas les moyens de payer"."Soulagé temporairement", Arthur, la trentaine, reste "inquiet", car sa compagne attend leur premier bébé pour décembre: "Même si nous avons acheté quelques radiateurs électriques d'appoint, j'espère qu'il ne fera pas trop froid"."Passoire énergétique"Si la note de gaz flambe, c'est aussi, explique Camille Daubeze, à la tête de Forimmo, le syndic de copropriété, parce que le système de chauffage par le sol est ancien et que la résidence est "une passoire énergétique"."Entre la chaudière centrale et les appartements, la déperdition de chaleur atteint 40%", explique-t-elle: "On pourrait envisager d'installer une pompe à chaleur ou des panneaux solaires, mais le coût est élevé, malgré les aides, et cela prendra du temps".Alors que les logements sont équipés de chauffe-eau individuels pour les sanitaires, certains disposent aussi de climatisations réversibles. Les autres vont devoir se tourner vers "le système D", explique Florence, la quarantaine, qui a acheté deux chauffages à bain d'huile mais s'inquiète pour ses deux adolescentes: "Dans quelles conditions vont-elles faire leurs devoirs ?"Hervé Maestri-Pieri loge ses parents de 90 et 85 ans dans son appartement de 80 m2: "Si on allumait le chauffage, ma facture de gaz serait passée de 80 à 500 ou 600 euros. Comment faire ?" s'interroge-t-il, estimant que "l'on va peut-être vers un arrêt définitif de la chaudière centrale et des solutions individuelles".Dans un courrier à la Première ministre Elisabeth Borne, le député LR niçois Eric Ciotti a dénoncé l'exclusion de certaines copropriétés du bouclier tarifaire. La mairie de Nice a elle indiqué à l'AFP que les services de la métropole en charge du guichet de la rénovation énergétique "ont pris contact avec la copropriété dès septembre"."Quelques mois sans chauffage, on va bien survivre", souriait une copropriétaire retraitée, souhaitant rester anonyme: "Il y a des choses bien plus graves, des gens à la rue et une menace de guerre nucléaire".
Il y a 2 ans et 229 jours

L’hôpital de Voiron signé Nickl & Partner et G+C AUP

En septembre 2021, l’agence allemande Nickl & Partner GmbH et Gautier + Conquet AUP ont livré le nouveau centre hospitalier de Voiron (Isère) après avoir remporté le concours international en 2007. Les 229 lits et plateaux techniques occupent 28 000 m² (55M€). Communiqué. La réalisation de ce centre hospitalier a été jugée nécessaire dès 2002 en […] L’article L’hôpital de Voiron signé Nickl & Partner et G+C AUP est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 237 jours

SNCF Réseau : le P-dg Luc Lallemand poussé hors du train en marche

FERROVIAIRE. Le Gouvernement a officialisé, le 28 septembre 2022, à l'issue d'un conseil d'administration exceptionnel, le départ du P-dg de SNCF Réseau, Luc Lallemand. Si l'exécutif tente de mettre en avant l'entrée dans "une nouvelle étape dans la feuille de route" de l'entreprise ferroviaire pour expliquer ce choix, il semblerait bien plutôt que ce soit d'importantes divergences entre le dirigeant, l'Etat actionnaire et les élus, qui expliquent son éviction.
Il y a 2 ans et 238 jours

Islande : Trois mois pour un nouveau tarmac

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. L’agrandissement du tarmac a été réalisé à partir de 31 bandes individuelles reliées entre elles par des tirants d’ancrage latéraux. [©Wirtgen] A environ 50 km au Sud-Ouest de Reykjavik, la capitale de l’Islande, se situe la ville portuaire de Keflavík. Pourtant, ce n’est pas du côté des navires marchands qu’il faut regarder, mais de celui de l’aéroport. En effet, le tarmac et la zone réservée aux matières dangereuses (dans la partie militaire) viennent de faire l’objet d’un agrandissement. De 6,5 ha, pour le premier, et d’un peu plus de 9 000 m2, pour la seconde. Des travaux exécutés sous l’égide du gouvernement américain, maître d’ouvrage du projet. D’où une référence au système de mesure impérial utilisé aux Etats-Unis, retranscrit ici en données métriques… Mais c’est bien l’entreprise allemande Hib Infra (à travers sa filiale locale Hib Iceland) qui a décroché le contrat de réalisation. En raison des conditions climatiques du pays, le chantier a été planifié de début juillet à fin septembre 2021. La surface à réaliser a été divisée en 31 bandes individuelles de béton, reliées entre elles par des tirants d’ancrage latéraux. Côté matériels, l’entreprise a opté pour la machine à coffrage glissant SP 62i de Wirtgen. Cette dernière a travaillé par couche de 7,62 m de large pour une épaisseur allant de 41 cm à 45 cm. Soit une moyenne de 900 m3 de béton posés par jour. Une planéité supérieure aux exigences Sans nécessité d’essais pratiques, il a été possible de réaliser presque immédiatement les premières bandes pilotes. Tout de suite, celles-ci ont présenté une qualité optimale dans tous les paramètres exigés. A savoir, le compactage du béton, sa résistance à la compression, la rugosité de la surface ou encore son adhérence. Les exigences relatives à la planéité des surfaces aéroportuaires sont aussi très élevées. Sur l’aéroport de Keflavík, l’irrégularité maximale autorisée était de 4 mm sur 4 m. La mesure réalisée selon les prescriptions techniques d’essai de planéité (système allemand TP Eben 2007) a toutefois montré que les écarts étaient nettement plus faibles. Sur l’aéroport de Keflavik, la machine à coffrage glissant SP 62i de Wirtgen a assuré la pose précise de béton en une couche de 7,62 m de large et d’une épaisseur entre 41 cm et 45 cm. [©Wirtgen]Le béton a été posé à l’aide d’une pelle mécanique œuvrant devant la SP 62i, puis régulé de manière homogène avec la lame de répartition de la machine. [©Wirtgen] Des bords verticaux de 90° sont indispensables pour assurer une parfaite liaison avec la bande suivante. [©Wirtgen]« Le secret de notre réussite réside dans le travail d’équipe. C’est pourquoi nous apprécions notre partenariat de longue date avec Wirtgen, qui sait fournir des solutions pour la réussite de nos projets », explique Matthias Neumann, gérant de l’entreprise Hib Infra. [©Wirtgen] Donc la planéité obtenue bien supérieure aux exigences. Idem pour le profil : le dévers était très réduit, de l’ordre de 1 % à Keflavík. Des critères de qualité que seules, une équipe bien rodée et la technologie adaptée permettaient d’atteindre. En effet, le SP 62i intègre un système de nivellement et de direction de haute précision, ainsi qu’un talochage longitudinal automatique. « Sur ce projet, nous avons vécu une excellente collaboration avec l’équipe de Wirtgen. Ainsi, nous avons pu connaître un chantier au déroulement presque sans heurt », explique Hendrik Wendt, chef de chantier et spécialiste du béton de l’entreprise Hib Infra & Co. Un béton d’une classe de résistance C35/45 « Afin de tenir les délais annoncés, nous avons renoncé à la pose préalable de coffrages fixes pour chaque bande », reprend Hendrik Wendt. Aussi, les bords extérieurs de ces bandes ont représenté un véritable défi pour la pose à l’aide d’une machine à coffrage glissant SP 62i. Ils devaient être parfaitement perpendiculaires et avec netteté sur toute la longueur, pour ne pas se désolidariser. C’était là l’unique solution permettant d’évacuer l’eau de pluie correctement pendant l’exploitation. D’une manière générale, un béton est toujours fabriqué à partir de ciment, d’eau et de différents granulats. Pour pouvoir répondre aux exigences découlant des contraintes d’usages auxquelles le nouveau tarmac et la zone réservée aux matières dangereuses seront soumis, des coupures granulaires supplémentaires ont été nécessaires… De même qu’une étude plus approfondie de ces composants. Enfin, les exigences liées à l’agrandissement de l’aéroport de Keflavík imposaient un béton de la classe de résistance C35/45. Une formulation mise en place avec les techniciens d’application de Wirtgen et optimisée pour la pose avec une machine à coffrage glissant. Une démarche tout à fait classique pour atteindre les niveaux de qualité élevée, malgré un délai contraint. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 238 jours

Putzmeister : l’offensive électrique, mais pas que…

Première sortie officielle pour la nouvelle toupie 100 % électrique iOntron eMixer de Putzmeister [©Putzmeister] Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on ne va pas s’ennuyer chez Putzmeister. L’industriel allemand ne vient pas à Munich les mains vides… Déjà, la ligne des pompes iOntron Hybrid profite d’un espace dédié. Pour rappel, ces machines mises sur le marché l’année passée se déclinent en trois tailles : 20 m, 30 m et 40 m. Mais ce qui les caractérise, c’est la présence d’une motorisation électrique de 92 kW, en plus de l’entraînement diesel habituel. Pour autant, il ne faut pas chercher de batteries : il n’y en a pas. L’iOntron Hybrid utilise le réseau électrique du chantier pour fonctionner. Par contre, Bauma constitue la première sortie officielle de la nouvelle toupie 100 % électrique iOntron eMixer. L’équipement est basé sur un châssis 8 x 4 électrique Sany (maison-mère chinoise de Putzmeister). En ordre de marche, l’ensemble porteur + toupie de 9 m3 + charge utile atteint une PTAC de 34 t. L’énergie est fournie par une batterie d’une capacité de 350 kWh, alimentant un moteur électrique de 315 kW, qui permet entre 5 et 6 tours entre deux rechargements.  Qui dit “pompe à béton”, dit “pilotage”. A ce niveau, Putzmeister donne à chacun l’occasion de découvrir la commande Ergonic dans sa version 3. Parmi les nouveautés, deux extensions : Intelligente Boom Control (iBC), qui facilite la commande de la flèche, et Intelligente Setup Control (iSC), qui contrôle la sécurité de la machine, ici 100 % remaniée.  Putzmeister n’oublie pas non plus le monde de la préfabrication. Avec son offre Precast Automation 4.0, l’industriel propose d’adapter toutes ses solutions de pompage aux besoins spécifiques de ce secteur d’activité.  L’univers des mortiers voit l’arrivée de l’EstrichBoy EC 450. Ce transporteur-malaxeur de chapes se décline à présent dans une version 100 %, pourvue d’une motorisation de 37 kW, à 63 A. Cette puissance lui permet de fournir un débit d’air de 4,4 m3/h. L’autre innovation s’appelle Putzmeister SP 20 GHF. Profitant d’un nouveau design, cette pompe à chapes fluides reçoit un moteur thermique de 37 kW et de série, une vis d’alimentation d’un débit de 20 m3/h. Enfin, Putzmeister montre son intérêt pour les chantiers de demain. Et présente sa solution d’impression 3D béton. Son nom : Karlos. A découvrir en fonctionnement sur le stand… Bauma – Hall B6 – Stand 101 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 238 jours

Behnisch Architekten et l’Atelier 2A+ au lycée franco-allemand de Buc

À Buc (Yvelines), les agences Behnisch Architekten et l’Atelier 2A+ ont livré pour le département, la restructuration et l’extension du lycée franco-allemand (16 044 m²). La cité scolaire de 1980 devient un lieu d’apprentissage attrayant pour 1 300 élèves. Communiqué. L’objectif était de moderniser un site scolaire comprenant un lycée bilingue franco-allemand, une école primaire, un […] L’article Behnisch Architekten et l’Atelier 2A+ au lycée franco-allemand de Buc est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 239 jours

Peri : Le balcon sans contrainte

Peri dévoile son nouveau coffrage pour balcons Flexideck. [©Peri Si le grand rendez-vous de l’année pour Peri reste Bauma, le spécialiste allemand du coffrage n’en néglige pas les autres rendez-vous. A commencer par Batimat sur lequel sa filiale française dévoile une grande nouveauté. Son nom : Flexideck. Cette table coffrante pour balcons colisables et à sécurité rabattable apporte la solution attendue depuis longtemps pour la construction des balcons sur chantier. Son autre avantage est la possibilité d’ajuster d’une manière simple et rapide la position des étais vis-à-vis du plateau de la table. Ainsi, l’adaptation de la table aux différents porte-à-faux du niveau d’appui devient sûre et facile. La Flexideck est accompagnée des classiques de la marque : le coffrage manuportable léger Duo et les coffrages de dalles Gridflex et Skymax. Ce dernier s’enrichissant de poutrelles de compensation télescopiques. Batimat – Hall 4 – Stand F12 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 243 jours

Cantillana passe sous giron Holcim

Holcim a complété le rachat de Cantillana. [©Cantillana] Holcim annonce avoir complété l’acquisition du Belge Cantillana, spécialiste des produits de gros œuvre, des enduits de façade et des granulats. Les bénéfices de Cantillana sont estimés à 80 M€ pour 2022. Les 200 employés et les neuf usines de production de la marque passent donc dans le giron d’Holcim. Avec les achats récents de PRB en France, de PTB-Compaktuna en Belgique et d’Izolbet en Pologne, Holcim renforce sa présence sur les marchés allemands, belges, français et hollandais. Les actifs et les solutions de la marque belge rejoignent le catalogue “Solution et Produits” d’Holcim. Lire aussi : Holcim en passe de racheter Cantillana « Je suis heureux d’accueillir tous les employés de Cantillana dans la famille Holcim, déclare Miljan Gutovic, responsable des marchés Europe, Moyen-Orient et Afrique d’Holcim. Cet achat constitue une nouvelle avancée dans l’expansion de notre catalogue “Solutions et Produits”. Et une progression dans notre “Stratégie 2025 -accéléré la croissance verte”. Ainsi, cette acquisition renforce notre présence en Europe. Notamment sur les secteurs de la rénovation, et des solutions d’efficience énergétique. » Cantillana a été fondée en 1875 à Sint-Niklaas, en Belgique. La société avait été acquise en 1982 pour la compagnie Stadsbader Group.
Il y a 2 ans et 244 jours

La révolution du béton magnétique

Les bétons magnétiques doivent permettre de recharger les véhicules électriques par induction lorsqu’ils circulent. [©Magment] On n’arrête plus le progrès ! Du béton magnétique pour recharger des véhicules électriques ! Ainsi, le groupe cimentier Holcim étend sa collaboration avec l’Allemand Magment, spécialisé dans la mise au point de bétons aux propriétés magnétiques. Ce procédé va permettre de recharger les véhicules par induction lorsqu’ils circulent sur des routes équipées d’une telle technologie. Une ambition commune « Holcim et Magment partagent un objectif commun : accélérer la transition de notre monde vers un taux net zéro, grâce à des solutions innovantes et durables, déclare Edelio Bermejo, responsable du Global Innovation Center de Holcim. D’ici 2040, pratiquement toutes les nouvelles voitures vendues seront électriques. Nous sommes ravis d’associer notre béton magnétisable à la technologie de Magment. Cela va permettre aux véhicules de se recharger pendant qu’ils se déplacent. » Électrification des sols industriels Parmi les autres applications en cours de développement, il existe aussi des projets d’électrification des sols industriels. Leur objectif est de recharger en continu les robots des entrepôts et des usines. Forte de ses 120 start-up, Holcim continue d’innover, à travers le monde, en développant de nouvelles technologies pour accélérer la transition vers le zéro carbone.
Il y a 2 ans et 246 jours

Des gants alliant confort – écologie – sécurité signées Würth

Les nouveaux Ecoline E-100 par Würth [©ACPresse] Pour assurer la sécurité des travailleurs, Würth lance ses nouveaux gants Ecoline E-100. Fabriqués à partir de coton recyclé, ces gants allient confort, sécurité et style. Le tissu de renfort et le latex naturel robuste permettent une bonne prise en main. Utilisables dans des environnements aussi bien secs qu’humides, ils sont durables et ne se détériorent pas. Les gants Ecoline E-100 assurent la sécurité du travailleur. Ils protègent même contre une chaleur de 250 °C sur une courte durée. L’alliance du blanc et du vert assure une esthétique efficace qui ne passera pas inaperçue.   Würth, l’appui sur la sécurité Depuis plusieurs années, le groupe allemand Würth s’implique dans la sécurité des travailleurs. L’industriel commercialise notamment des échafaudages sécurisés, des armoires de sécurité ou des rubans de signalisation. Il propose aussi aux professionnels des vêtements haute visibilité et des chaussures de sécurité. Depuis 2020, Würth France forme les professionnels à la sécurité au travail. Ces formations sont données dans leur centre spécialisé : le “Würth training center”. 
Il y a 2 ans et 251 jours

Carbon, l'espoir d'une usine géante de panneaux photovoltaïques en France

"Nous ne pouvons plus être dépendants de la Chine pour un produit aussi stratégique !", lance Pascal Richard, PDG de Carbon, interrogé par l'AFP.Neuf des dix premiers fabricants mondiaux sont chinois et sud-coréens, adossés à leurs immenses marchés intérieurs.Le panneau solaire, de fait, est au cœur des projets énergétiques français et européens.Un projet de loi "d'accélération des énergies renouvelables" doit être présenté mi-septembre en conseil des ministres.Il prévoit la multiplication des possibilités d'implantation des panneaux solaires (obligation d'équipement sur les gros parkings, possibilité d'installation sur les délaissés routiers...) et la simplification de certaines procédures - critiquée d'ailleurs par des ONG environnementales.Pour combler le retard français sur ses partenaires européens, Emmanuel Macron avait annoncé en février vouloir décupler les projets pour atteindre 100 gigawatts (GW) installés en 2050, contre 13 en 2022.Et encore : ces objectifs ont été fixés avant la guerre en Ukraine et la prise de conscience généralisée de la dépendance au gaz russe, qui a aussi conduit en mai la Commission à présenter son plan "REPowerEU" visant à quadrupler la production photovoltaïque dans l'UE d'ici 2030.Carbon entend bien prendre sa part dans ce gâteau de la "souveraineté énergétique européenne", explique M. Richard, ancien directeur France de l'allemand SMA (onduleurs pour le photovoltaïque).D'ici 2025, Carbon prévoit la construction d'une première usine de panneaux dont la capacité installée sera de 5 GW, employant 3.000 personnes, et passerait à 20 GW et 10.000 personnes en 2030. Un énorme effet d'échelle sur les prix, espèrent ses fondateurs. Le site d'implantation - classé Seveso - n'est pas arrêté, mais il faudra 80 hectares.Chasse aux investisseursL'investissement nécessaire pour ce projet totalement intégré doit s'établir à 1,3 milliard d'euros pour la première étape, "5 à 6 milliards" au total.La chasse au investisseurs est lancée, notamment aux subventions françaises et européennes. Une première levée de fonds "de plusieurs dizaines de millions d'euros" est programmée au premier trimestre 2023. Elle servira à "la mise en place des équipes" et "la poursuite des études".Mantra des cinq associés à parts égales, parmi lesquels le fabricant grenoblois de fours destinée à l'industrie photovoltaïque ECM : "toute la chaîne de valeur sera intégrée" une fois la matière première acquise – du polysilicium provenant d'Allemagne ou de Norvège dans un premier temps.Lingots, tranches (wafers), cellules, et donc panneaux finaux seront entièrement "made in France", là où d'autres acteurs du marché européen se contentent d'assembler les composants chinois. "Il n'y a aucun projet de cette envergure" en Europe, assurent les dirigeants de Carbon.Des gros énergéticiens intègrent d'ailleurs déjà les panneaux Carbon dans leur préfiguration de centrales solaires, affirme Laurent Pélissier, PDG d'ECM, "car ils veulent diversifier leurs portefeuilles fournisseurs et ne plus se retrouver dans des situations où il n'y a plus d'approvisionnement, ou avec des prix variant soudainement".C'est le cas de la Compagnie nationale du Rhône (CNR), qui a annoncé en mai un plan "massif" d'investissement dans le photovoltaïque (1 milliard d'euros), via la "solarisation" de toitures ou de terrains dégradés."A prix quasiment identique, ce qui sera un défi, et performance égale, nous aurons bien sûr une préférence" pour Carbon, affirme Julien Marchal, directeur des nouvelles énergies, déplorant avoir "perdu parfois 6 mois sur certains projets en raison des difficultés d'approvisionnements"."Nous réduirions aussi le risque transport, le risque de change et géopolitique, comme lorsque la Chine a brusquement arrêté ses usines pour sa stratégie zéro covid. L'empreinte carbone des panneaux français serait également bien meilleure, d'autant plus si des capacités de recyclage existent sur place", ajoute ce responsable.A ses yeux, Carbon pourrait même devenir "le Verkor du solaire", allusion à cette start-up grenobloise, soutenue notamment par Renault, qui va implanter une usine géante de batteries à Dunkerque.
Il y a 2 ans et 264 jours

Face à la crise énergétique, les pays riverains de la mer Baltique veulent septupler l'éolien d'ici 2030

"Nous nous sommes mis d'accord pour septupler l'énergie éolienne dans la mer Baltique d'ici 2030", a annoncé la Première ministre danoise Mette Frederiksen, qui organisait la rencontre à Copenhague réunissant également l'Allemagne, la Pologne, la Suède, la Finlande, l'Estonie, la Lituanie et la Lettonie."Nous sommes sur la ligne de front de la sécurité énergétique européenne", a-t-elle affirmé. "Dans cette guerre, Poutine utilise l'énergie comme une arme et a mis l'Europe, comme nous le savons tous, au bord d'une crise énergétique avec des prix de l'énergie qui s'envolent".Ces 20 gigawatts, qui devraient selon Copenhague permettre d'alimenter en électricité au moins 20 millions de foyers, "c'est plus que la capacité éolienne offshore actuelle dans l'ensemble de l'UE", a souligné Mme Frederiksen.D'ici 2050, la capacité de l'éolien en mer Baltique pourrait être portée à 93 gigawatts, d'après la déclaration."La tentative de Poutine de nous faire chanter avec les énergies fossiles échoue. Nous accélérons la transition verte. Nous nous débarrassons de la dépendance aux combustibles fossiles russes", s'est félicité la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.La Commission avait affirmé en mars vouloir réduire des deux tiers ses achats de gaz russe dès cette année et en totalité avant 2030.Bruxelles avait alors proposé de rehausser son objectif de part des renouvelables dans le mix énergétique à l'horizon 2030, qui passerait de 40% à 45%.Sur le plan climatique, l'UE vise une baisse des émissions de gaz à effet de serre d'au moins 55% d'ici 2030 et la neutralité carbone en 2050.Lundi, le Danemark a annoncé qu'il va augmenter de 2 à 3 gigawatts sa capacité éolienne au large de l'île de Bornholm en mer Baltique et relier cette production au réseau allemand.En mai, l'Allemagne, le Danemark, les Pays-Bas et la Belgique avaient déjà annoncé un accord similaire prévoyant d'installer pour près de 150 gigawatts d'éoliennes en mer du Nord d'ici 2050, pour en faire la "centrale électrique verte de l'Europe".
Il y a 2 ans et 272 jours

Selfbéton, distributeur exclusif de Beton2Go en France

François Behr, Pdg de Selfbéton, devant un distributeur automatique de BPE de Beton2Go. [©Selfbéton] L’industriel allemand Massfeller vient de confier la distribution exclusive sur la France de ses centrales de BPE en libre-service Beton2Go au Mosellan Selfbéton. Cette décision fait suite au remarquable développement des chiffres de vente de Selfbéton depuis le début de la coopération entamée en 2020… En effet, à ce jour, quelque 54 unités de ce type sont en service sur le territoire national ! C’est en 2018 que le premier distributeur automatique de béton prêt à l’emploi (ou centrale en libre-service) Beton2Go a été installé en France. Massfeller avait lui-même pris en charge ce projet. Avant d’ouvrir une coopération avec, entre autres, Selfbéton. Son Pdg François Behr avait développé le concept Selfbéton à partir d’une des premières installations tests françaises au sein de son ancienne entreprise Silix (aujourd’hui cédée au groupe de négoce en matériaux Busca). L’avènement du béton en libre-service « Nous pensons que le marché français pourrait avoir les mêmes opportunités de développement que le marché allemand, explique Lukas Massfeller, Pdg de Beton2Go. Selfbéton est pour nous un partenaire fiable et engagé. Le professionnalisme de l’entreprise dans les opérations de commercialisation et la gestion des services nous ont convaincus. C’est pourquoi nous avons décidé de confier la distribution de nos installations en France à Selfbéton et sous le nom de Selfbéton. » En d’autres termes, la marque Beton2Go n’apparaîtra plus sur le territoire français…   Aujourd’hui, le principe du distributeur automatique de béton prêt à l’emploi tend à se développer en France. Il constitue une alternative à la centrale à béton classique qui peine à servir les “petits” clients – artisans et particuliers – désireux d’acheter une petite quantité de béton. A travers ses unités, Selfbéton répond à ce besoin spécifique, en offrant un service adapté avec une disponibilité immédiate du matériau. Le distributeur automatique Beton2Go lance la production par le biais d’une carte magnétique ou d’un QR-code. Et délivre en quelques minutes la recette de béton souhaitée.
Il y a 2 ans et 286 jours

Un marchepied allemand pour Colas Rail

Colas Rail annonce l’acquisition d’une PME familiale allemande spécialisée dans les travaux ferroviaires et surtout active au centre de l’Allemagne, de la Hesse à la Saxe. Fort de 70 millions d’euros de chiffre d’affaire et de 300 salariés, le groupe Hasselmann se positionne sur le marché en plein boom des lignes classiques.
Il y a 2 ans et 298 jours

L'économie française se redresse au deuxième trimestre, mais l'inflation menace toujours

La première estimation du produit intérieur brut (PIB) au deuxième trimestre, publiée vendredi par l'Insee, devra certes être confirmée fin août.Mais alors que la croissance au deuxième trimestre était attendue à 0,2% par la Banque de France et à 0,25% par l'Institut national de la statistique, elle s'est finalement établie à 0,5% par rapport au premier trimestre."Le chiffre de croissance pour le deuxième trimestre est une victoire de l'économie française dans des temps difficiles", s'est réjoui le ministre de l'Économie Bruno Le Maire à la sortie du Conseil des ministres."C'est une bonne surprise, mais il faut regarder les détails", a réagi auprès de l'AFP Ana Boata, directrice de la recherche économique chez Allianz Trade."Le fait que la consommation soit encore en baisse malgré une politique de soutien généreuse est révélateur", a appuyé sur Twitter Gilles Moëc, chef économiste du groupe Axa.Malgré les dizaines de milliards de dispositifs d'aides aux entreprises et aux ménages déployés par le gouvernement, le soutien budgétaire "peine à compenser l'érosion des revenus réels et/ou la perte de confiance des consommateurs dans un environnement difficile", a-t-il ajouté.L'indice des prix à la consommation, dont l'Insee a publié vendredi matin une première estimation pour le mois de juillet, vient d'ailleurs de franchir la barre des 6% (+6,1% sur un an après +5,8% en juin).Et l'Insee "considère qu'on n'est pas encore tout à fait au pic" d'inflation, a rappelé vendredi son directeur des études économiques Nicolas Carnot."L'inflation reste notre sujet de préoccupation numéro un. Mais nous anticipons une baisse" en 2023, a tempéré Bruno Le Maire. Commerce extérieurEn dehors de ces points de vigilance, la bonne tenue de l'économie française au deuxième trimestre s'explique par une contribution nettement positive du commerce extérieur à la croissance.Selon cette première estimation des comptes nationaux, les importations ont reculé de 0,6% au deuxième trimestre, tandis que les exportations, tirées notamment par les services de transport et les dépenses des voyageurs étrangers, ont bondi de 0,8%."À l'inverse, les exportations de biens se replient (-0,6% après +1,4%), notamment dans les matériels de transport et l'agroalimentaire", précise l'Insee.Contexte "volatil"Quant à la consommation, traditionnel moteur de l'économie française, elle reste négative pour les achats de biens (-1,3%), mais les achats de services repartent nettement à la hausse (+1,5%). Deux tendances contradictoires qui aboutissent à un recul global de 0,2% de la consommation des ménages au deuxième trimestre."La consommation de biens et services sur le territoire est notamment soutenue par les dépenses des voyageurs étrangers en France", note l'Insee. Avec les chiffres publiés vendredi, l'institut évalue à 2,5% l'acquis de croissance de l'économie française pour l'année 2022.Un chiffre "confortable", estime Ana Boata, et conforme à l'anticipation de croissance annuelle du gouvernement. La Banque de France ou le FMI (+2,3%) sont légèrement moins optimistes.Mais entre la guerre en Ukraine et l'inflation qui atteint des niveaux plus vus depuis les années 1980, le contexte économique promet de rester "volatil" d'ici à la fin de l'année, avertit Ana Boata.Les données de l'Insee sont publiées au lendemain de la parution des chiffres de la croissance américaine au deuxième trimestre (-0,9% en rythme annualisé après -1,6% au 1er trimestre), qui ont techniquement fait entrer le pays en récession.En Europe, l'Espagne (1,1%), l'Italie (1%) ou la zone euro (0,7%) ont comme la France dévoilé vendredi un taux de croissance supérieur aux attentes au deuxième trimestre, mais l'économie allemande a en revanche calé (0%).
Il y a 2 ans et 298 jours

Le Conseil des architectes d’Europe manifeste son soutien aux Ukrainiens

Fondatrice du bureau Viceversa Architektur+Medien à Stuttgart en 2006, l’architecte allemande Ruth Schagemann a pris les ...More about Cet article Le Conseil des architectes d’Europe manifeste son soutien aux Ukrainiens est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 301 jours

KSB et Leistritz nouent un partenariat international dans le domaine du service

Une portée internationale Après une phase pilote réussie en France, ce partenariat de service va s’étendre progressivement à d’autres pays. En effet, avec plus de 190 centres de service et près de 3.500 collaborateurs de service, KSB – dont le siège social se trouve en Allemagne - propose à ses clients dans le monde entier des prestations d’inspection, de maintenance et de remise en état. Pour continuer à développer sa marque haut de gamme KSB SupremeServ, l’entreprise a décidé de coopérer avec la société allemande Leistritz Pumpen GmbH. Pour Markus Schwarte, porte-parole de la direction de Leistritz Pumpen GmbH : « La prochaine étape consistera à intégrer nos clients situés à Singapour, en Thaïlande et en Indonésie. » Une qualité de service maximale « Ensemble, nous sommes encore plus rapides, et nous disposons d’une grande disponibilité pour répondre aux besoins de nos clients en temps utile, et ce 24 h/24, 7j/7, tout au long de l’année. Un service classique, personnalisé, sur le terrain et interconnecté à l’échelle mondiale » précise Dirk Kollmar, responsable du secteur Service Operations chez KSB, au sujet de la suite de la planification, avant de rajouter « Ensemble, nous proposons à nos clients une multitude de services sur-mesure pour toutes les applications, tout en développant progressivement notre présence mondiale commune dans le secteur du service. » Les formations actuellement dispensées au personnel technique assureront une qualité de service maximale. Les offres de services synchronisées pourront être consultées sur les sites Web de KSB et Leistritz.
Il y a 2 ans et 307 jours

7 Français sur 10 souffrent de la chaleur dans leur logement

La souffrance thermique, un enjeu majeur en France69% des Français déclarent souffrir des températures trop élevées dans leur logement lors de périodes de forte chaleur. Ils sont notamment 30% à en souffrir de plus en plus souvent. Un problème qui, selon les prévisions de Météo France, va s’accentuer. Force est de constater que les épisodes caniculaires se sont multipliés dans le pays ces dernières années. Sur les 43 vagues de chaleur observées depuis 1947, seules 9 ont eu lieu avant 1989. En seulement onze ans, entre 2010 et 2021, 19 ont touché l’Hexagone (source : Météo France).9 français sur 10 (88%) considèrent qu’il est important de trouver une solution pour réduire la température dans les logements, dont près de la moitié (46%) à très court terme. Un constat partagé par Hervé Lamy, Délégué Général du Groupement Actibaie, syndicat membre de la FFB (Fédération Française du Bâtiment) : « Les problématiques de chaleur ne sont pas l’apanage des passoires thermiques, qui totalisent déjà 5 millions de logements. Même les logements très performants sur la thermique d’hiver peuvent être très inconfortables lors de période de fortes chaleurs. Il est temps que les pouvoirs publics prennent à bras le corps ce sujet pour les logements existants, comme ils l’ont fait dans le neuf avec la RE 2020. »Une solution durable : les stores et voletsFermer les stores et/ou volets est de loin la première action mise en place pour rafraîchir le logement pour 82% des Français, suivi par aérer les pièces la nuit (77%), fermer les fenêtres en période d’ensoleillement (62%) utiliser un ventilateur (41%) et enfin un climatiseur (21%).Pour Hervé Lamy, des solutions durables pour réduire la température existent. « Les stores et volets sont en effet très efficaces pour réduire la température intérieure. En maison individuelle, l’indicateur d’inconfort (DH) peut être réduit de 40% en installant des volets et des stores manuels. S’ils sont automatisés, cet indicateur peut encore être abaissé de 20% supplémentaires. Des mesures dans une école récemment rénovée ont montré que l’écart peut être de 10°C entre l’extérieur et l’intérieur uniquement grâce aux protections solaires. »Ces solutions sont d’autant plus prisées que près de la moitié des propriétaires se disent prêts à équiper ou rénover leur logement pour l’installation ou l’automatisation de stores et volets si une aide financière de l’Etat était proposée. « Aujourd’hui les dispositifs d’aides à la rénovation énergétique n’intègrent pas la problématique du confort d’été. Les stores et volets sont totalement exclus. Sur ce sujet, la France est à la traîne comparée à nos voisins allemands ou italiens qui ont sauté le pas. C’est un non-sens social et écologique, incompatible avec les objectifs environnementaux fixés par l’État. »Limiter le recours à la climatisationSi aujourd’hui 21% des Français ont recours à la climatisation, près d’un cinquième (19%) des non-utilisateurs déclare avoir l’intention d’acheter un climatiseur, ce qui porterait le taux d’équipement des foyers français à 40%.Selon un rapport de l'Ademe publié en juin 2021, la climatisation est aujourd'hui responsable de près de 5% des émissions d'équivalent CO2 du secteur du bâtiment en France. « Il est urgent de rénover les logements pour limiter le recours à la climatisation, trop énergivore. Il faut penser impact environnemental et sobriété énergétique... C’est devenu une nécessité dans le contexte géopolitique actuel, mais aussi et surtout, pour faire face à l’aggravation du réchauffement climatique. »
Il y a 2 ans et 312 jours

Aux Pays-Bas, à la recherche d'espace pour l'énergie solaire

Aux Pays-Bas, et en Europe en général, c'est le grand sujet pour l'industrie solaire, promise à un déploiement massif au vu des objectifs énergétiques et climatiques des Etats: où trouver l'espace pour s'implanter, et se faire accepter ?"On regarde partout", répond Maarten De Groot, du groupe GroenLeven, filiale de l'allemand BayWa, qui mise sur ces espaces où les installations peuvent faire "double usage".Ainsi Piet Albers accueille-t-il, en guise de serre, des toits en panneaux photovoltaïques, posés à trois mètres du sol au-dessus de ses précieuses framboises."Je voyais les étés s'allonger, et ces fruits de la forêt brûler sous les serres. Il fallait les protéger", raconte-t-il.L'agriculteur, qui produit, en monoculture, plus de 200 tonnes de framboises par an, n'engrange pas de loyer de la part de l'énergéticien, mais tire d'autres avantages depuis trois ans: des températures plus constantes, 25% d'arrosage en moins, une protection contre les grêlons, du plastique de serre économisé...Un large sourire fend son visage buriné, alors que 37°C s'annoncent cette semaine dans sa région : "Sous serre, j'aurais dû jeter 10 à 20% des fruits".BayWa en revanche a des surcoûts à assumer: panneaux non standard et moins productifs (semi-transparents pour filtrer la lumière), maintenance plus compliquée, énumère Maarten De Groot, pour qui "l'essor des projets à +double usage+ dépendra du soutien de l'Etat".Un projet "agrivoltaïque" peut induire une perte de 15-25% de revenu par rapport aux parcs solaires au sol. Ces derniers, moins chers et plus productifs, resteront de ce fait nécessaires, estime le secteur.A chaque projet, ses riverainsCependant toutes les solutions émergentes ne sont pas forcément très coûteuses, souligne BayWa. A 50 km de chez M. Albers, l'entreprise a installé un parc flottant sur un lac de carrière.Cette cavité de 30 m de fond, formée par des années d'extraction du sable et remise en eau, accueille désormais 17 hectares de panneaux solaires à perte de vue, sur la moitié de sa superficie."Les flotteurs sont une technologie éprouvée, pas du tout high tech", assemblés comme des pontons, montre Hugo Parant, chef de projets chez BayWa r.e. France. L'investissement est plus important qu'au sol, mais la construction rapide, la maintenance simple, et l'eau, en évitant toute surchauffe, accroît le rendement.Sur l'eau eux aussi, une douzaine de transformateurs envoient au poste à terre 20.000 volts par un énorme câble, à destination d'environ 10.000 foyers.Ici, l'énergéticien verse un loyer à la carrière, mais souvent il vend à l'industriel une électricité décarbonée et à prix stable.Ce parc d'Uivermeertjes est avec 29,8 mégawatts (MW) selon BayWa, le 2e plus grand parc flottant d'Europe. Le premier est aussi au Pays-Bas.L'idée ne fait pas que des heureux, comme William Peters, qui y pêche carpes et tanches. "Les poissons grossissent, mais est-ce que cela continuera ?", demande-t-il aux représentants de l'industriel, qui tentent de le rassurer : une étude sur un autre plan d'eau a montré un faible écart de températures."Nous sommes un petit pays. Dès que vous avez un projet, vous trouvez un riverain, il faut vraiment réfléchir au partage de l'espace", note Maarten De Groot.Dans le pays le plus densément peuplé d'Europe, le déploiement des énergies renouvelables a commencé avec l'éolien, dans le nord, moins habité. Il s'y trouve aujourd'hui limité par les capacités du réseau électrique, tandis que le sud est très urbanisé, et les toits déjà très équipés.Or le défi est là: les Pays-Bas, qui visent la neutralité carbone en 2050, tirent des renouvelables moins de 12% de leur consommation d'énergie finale.Mondialement, le constat est similaire: 2021 a vu un déploiement inédit des capacités solaires et éoliennes, mais il faudrait en installer chaque année quatre fois plus pour garder le réchauffement planétaire à 1,5°C, souligne l'Agence internationale de l'énergie.
Il y a 2 ans et 312 jours

« Viessmann prendra sa part de responsabilité dans la transition de l’Europe », Maximilian Viessmann

A l’occasion d’un déplacement le 13 juillet dans son usine de Faulquemont (Moselle), Maximilian Viessmann, PDG du groupe allemand éponyme, a expliqué vouloir développer des systèmes capables de renforcer l’autonomie énergétique en Europe. Le fabricant allemand d'équipements de chauffage et de réfrigération estime que les batteries fabriquées en Moselle pourraient générer à termes 100 millions d’euros de chiffre d’affaires.
Il y a 2 ans et 315 jours

Paris-2024 : l'Adidas Arena validée malgré l'opposition des alliés d'Hidalgo

Le débat autour de ce "naming" a illustré la fracture sur cette pratique entre les socialistes, qui y sont favorables, et leurs alliés de gauche avec lesquels ils dirigent la ville.L'adjoint (PS et apparentés) aux Sports et aux JO, Pierre Rabadan, n'a vu son projet adopté que grâce à l'abstention de l'opposition de droite et du centre (33 voix pour, 17 contre et 26 abstentions).La future enceinte de 7.800 places située porte de La Chapelle, dans le 18e arrondissement, accueillera les épreuves de badminton et de gymnastique pendant les JO de 2024 et portera donc le nom "Adidas Arena" pour cinq ans aux termes du contrat conclu avec la firme allemande et renouvelable pour sept années supplémentaires.En échange, la marque aux trois bandes versera à la ville près de 2,8 millions d'euros par an, dont 180.000 iront à des projets sportifs liés à ce quartier populaire du nord de Paris."Nous devons tous les jours faire les moins mauvais choix", a défendu l'élue socialiste de l'arrondissement Maya Akkari, pour qui les "recettes engrangées par ce +naming+ permettront d'améliorer notre action publique au service des Parisiens en général, et des habitants du quartier".Emmanuel Coblence, autre élu PS, a souligné le "montant sans équivalent en France, ni même en Europe" de ce contrat.Un argumentaire qui n'a pas convaincu les communistes, qui réclamaient depuis des années que le futur équipement porte le nom d'Alice Milliat, une pionnière du sport féminin à qui la ville attribuera en compensation le nom du parvis de l'Arena."Aujourd'hui, plus un bout de terrain ne doit échapper au sceau d'une marque", a déploré Nicolas Bonnet-Oulaldj (PCF), pour qui la Ville passe "à côté de l'Histoire" avec ce naming "sorti tout droit des pratiques du libéralisme".Autre poil à gratter de l'exécutif d'Anne Hidalgo, Emile Meunier (EELV) a regretté cette "publicité massive à une grande marque" à qui la ville "déroule le tapis rouge".Le groupe LR et apparentés, qui a hésité à faire capoter le projet, s'est finalement abstenu en raison notamment de "l'état catastrophique des finances de la ville", a expliqué Rudolph Granier, autre élu du 18e arrondissement.
Il y a 2 ans et 315 jours

Une nouvelle usine de semi-conducteurs sera construite près de Grenoble, un projet à 5,7 milliards d'euros

"C'est le plus grand investissement industriel des dernières décennies hors nucléaire et un grand pas pour notre souveraineté industrielle : c'est 1.000 emplois à la clé", a commenté le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, sur Twitter.Les projets d'investissements industriels, qui seront présentés lundi après-midi à Versailles (6,7 milliards d'euros d'investissements, "plus de 4.000 emplois créés"), tombent à point nommé pour le gouvernement, pressé par l'inflation qui pèse sur le pouvoir d'achat. La future usine de semi-conducteurs bénéficiera d'un "soutien financier important de l'Etat français", ont précisé le groupe franco-italien STMicroelectronics et l'américain GlobalFoundries.Elle s'inscrit dans le cadre du "Chips Act", le programme de l'Union européenne pour retrouver une place aux côtés de l'Asie et de l'Amérique dans la production mondiale de semi-conducteurs. Marquée par la pénurie de ces précieux composants, à la suite de la crise du Covid-19, l'Europe veut remonter sa part à 20% de la production mondiale, contre moins de 10% aujourd'hui.Les semi-conducteurs produits à Crolles, près de Grenoble, serviront notamment des marchés finaux "tels que l'automobile, l'industriel, l'internet des objets et les infrastructures de communication".Les premières productions devraient être lancées à partir de la fin 2023, avec une montée en charge progressive jusqu'à 2025/2026, selon l'Elysée. La production sera pour environ 58% destinée à GlobalFoundries, le reste étant pour STMicroelectronics, ont indiqué les deux entreprises.M. Macron se rendra mardi sur place pour présenter ce projet d'usine, qui sera à terme "le plus important site de production de puces français et l'un des plus importants d'Europe".Ces annonces surviennent dans un climat tendu, après des révélations dimanche soir par le journal Le Monde des liens qui ont uni Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie (2014-2016), et la société Uber. S'appuyant sur différents témoignages et documents, ces "Uber Files" concluent à l'existence d'un "deal" secret, visant à aider la plateforme à consolider ses positions en France, ce qu'ont vivement dénoncé des élus de gauche.AttractivitéPour l'Elysée, la participation record de patrons étrangers à "Choose France" - ils étaient 120 à 130 lors des précédentes éditions - montre un "très fort intérêt des patrons étrangers, suite à la réélection du président".Malgré la perte de la majorité absolue par le gouvernement, "il n'y a pas d'inquiétude des grands patrons" sur la poursuite d'un programme favorable aux investissements industriels en France, assure l'entourage du chef de l'Etat.Les dirigeants de Coca-Cola, Disney, Siemens, Merck Allemagne, des banques américaines Citi, JP Morgan, Morgan Stanley, du conglomérat chinois Fosun ou du groupe australien de services financiers Macquarie se retrouveront sous les ors de Versailles.M. Macron rencontrera aussi les "grands fonds souverains", comme ceux des Emirats, d'Arabie saoudite, du Koweït, du Qatar et de Corée, ainsi que des fonds canadiens.Parmi les autres projets annoncés dans le cadre de "Choose France", le spécialiste des colis express FedEx va créer 1.000 emplois permanents à Roissy (Val-d'Oise). L'espagnol Amadeus (gestion de réservations touristiques) 800 emplois, notamment à Sophia-Antipolis (Alpes-Maritimes), le cabinet de conseil Accenture 500 en Bretagne et le vietnamien Vinfast (automobile) 350 à 400 dans des showrooms et ateliers, selon l'Elysée.Le géant britannique du médicament GlaxoSmithKline (GSK) va investir dans des essais cliniques, l'américain Collins Aerospace (avionique, systèmes d'information - groupe Raytheon) dans la recherche-développement et l'allemand Vorwerk se doter d'une deuxième usine Thermomix, en Eure-et-Loir.Le groupe néerlandais de travail temporaire Randstad va recruter par ailleurs 7.000 collaborateurs en CDI intérimaire d'ici la fin 2022. La France s'enorgueillit d'être le pays le plus attractif en Europe pour les investisseurs étrangers par le nombre de projets - 1.222 en 2021 -, leur taille étant en revanche généralement plus petite, selon le baromètre du cabinet EY.Près de 80 projets d'investissements, représentant 12 milliards d'euros et 21.000 emplois, ont été annoncés dans le cadre des sommets "Choose France" depuis 2018 : 25 ont été réalisés, 50 sont en cours et cinq ont été abandonnés ou reportés.
Il y a 2 ans et 321 jours

Wolf France, spécialiste de systèmes de chauffage, climatisation et ventilation, dresse un bilan positif de 2021

Une marque de confiance, pionnière dans le confort intérieurSpécialiste de systèmes de chauffage, de climatisation et de ventilation, WOLF se donne chaque année pour mission de répondre aux besoins les plus essentiels de chacun en termes d’eau, d’air et de chaleur pour un confort de vie au quotidien. Cet objectif s’est affirmé grâce à une large gamme de produits conçus avec des technologies ultra-modernes et dont la qualité et les hautes performances sont hors pair. De plus, tous les appareils de la marque se coordonnent parfaitement et peuvent être combinés ensemble, pour une gestion totale et globale du confort intérieur en résidentiel comme en tertiaire.Les distributeurs eux-mêmes sont conquis« La maintenance sur vos produits est vraiment facile, et rapide. La conception de vos produits est ingénieuse; vous vous mettez bien à la place des installateurs On voit bien que vous avez travaillé sur plein de détails qui nous facilitent la vie… La Wolf App est d’une simplicité exemplaire; on y trouve facilement toutes les pièces, avec les vues éclatées; et votre «inspecteur erreur» donnent bien les réponses attendues. Bravo pour votre service technique ; surtout n’en changez pas ! Vos techniciens à la hotline décrochent vite, et sont compétents. Félicitations pour votre logistique; la livraison à J+1, pour toute commande avant 12h30, marche parfaitement bien et est plus qu’appréciable. Les collaborateurs Wolf sont vraiment réactifs; on sent bien le sens du service, c’est très appréciable. WOLF en France, c’est un peu une grande famille; on connaît les gens par le prénom. Et on voit bien qu’ils se décarcassent pour nous. Quand je vois vos produits, je dis chapeau la qualité! Je peux proposer ça en toute tranquillité à mes clients. » La qualité PREMIUM comme ligne directriceLa qualité des produits WOLF n’est plus à prouver. WOLF veille à améliorer en continu ses technologies afin de proposer de nouvelles solutions toujours plus adaptées aux besoins futurs de la population et avec une qualité irréprochable « Made in Germany ».L’ensemble des produits WOLF chauffage sont PREMIUM et sont imaginés, créés et fabriqués dans leur usine à Mainburg en Bavière. 5 ans de garantie sont valables pour toutes les chaudières à condensation de 2e génération, pompes à chaleur et ventilations résidentielles. Outre la qualité que WOLF se fixe dans la fabrication de ses produits, l’entreprise a maintenu des délais de production courts en pleine crise de Covid-19 pour suivre l’exigence qu’elle s’est donnée. En pleine pandémie, WOLF est fière d’avoir continué à livrer ses clients dans les plus brefs délais, réel défi alors que les matières premières venaient à manquer.Le « Made in Germany » aspire aux quatre coins du monde à une image de qualité, de haut de gamme et de fiabilité reconnus depuis des décennies. Le label allemand est l’une des indications de provenance les plus réputées au monde, voire la plus prestigieuse.Les chiffres clés de l’année 2021Le C.A a connu une progression exceptionnelle de 50%Le C.A de WOLF Europe est de 500M€Toutes les familles de produits ont progressé : + 36% sur le gaz, + 183% sur les pompes-à-chaleurDes ambitions fortes pour l’année 2022Une entreprise pérenne qui recruteAvec plus de 3.000 employés à son actif, WOLF développe ses équipes d’année en année. En 2021, la structure a accru sa force commerciale (itinérante et sédentaire) pour accompagner son développement. 4 commerciaux ont rejoint l’équipe chauffage, basée à Lyon, et un chef de produit a également intégré les équipes pour superviser le lancement de la nouvelle gamme de pompes à chaleur FHA.Focus sur les produits phares de 2022WOLF développe son offre et va proposer une nouvelle gamme complète de pompes-à-chaleur monoblocs attendue pour l’automne 2022. Le segment des pompes-à-chaleur Air-Eau monoblocs est celui qui connaît la plus forte croissance (+ 82% en France en 2021). Ces produits, plus faciles à installer que les bi-blocs, répondaient à une demande constante de la part des clients. Les installateurs en rêvaient, WOLF l’a fait.La satisfaction client comme priorité continuePour cette nouvelle année, WOLF souhaite consolider ses liens personnels avec ses clients. Pour ce faire, les équipes ont pour projet de réaliser des présentations produits par le biais de quatre camions de démonstration qui parcourent la France. WOLF souhaite ainsi renforcer sa présence dans des départements français.Les équipes sont également mobilisées afin de réaliser des formations dans leur 4 centres de formation et comptent créer des événements destinés à leurs clients. En 2022, le positionnement de WOLF sur le marché de la pompe à chaleur sera confirmé grâce à la commercialisation d’une toute nouvelle gamme inédite, qui vient asseoir le statut d’expert de la marque sur son marché.
Il y a 2 ans et 321 jours

Yvelines : une nouvelle apparence pour l’ancien lycée franco-allemand de Buc

Les locaux de l’ancien lycée franco-allemand de Buc (Yvelines) sont désormais prêts à accueillir des élèves.
Il y a 2 ans et 327 jours

L'Association des maires de France (AMF) s'engage pour la reconstruction d'Irpin en Ukraine

"Nous annonçons aujourd'hui (mardi) une volonté forte de participer à l'échelle des collectivités locales à la reconstruction de l'Ukraine", a dit le président de l'AMF David Lisnard au côté du maire d'Irpin, ville de la banlieue de Kiev dévastée dans les premières semaines de l'invasion russe qu'il a présentée comme une "ville martyre et héroïque" pour avoir "stoppé l'attaque" sur la capitale ukrainienne."L'idée est que les collectivités françaises, les communes de France et les intercommunalités participent (à la reconstruction) par de l'ingénierie juridique, administrative, technique, ainsi que par la mobilisation de moyens financiers et celle des entreprises de nos territoires", a ajouté le maire LR de Cannes, qui s'est rendu en Ukraine dès le début de la guerre. "La ville d'Irpin a gagné, mais le prix a été très lourd", a reconnu M. Markouchine qui a insisté sur le besoin de reconstruire "avant l'hiver" certaines infrastructures de la ville où s'est rendu il y a deux semaines le président Emmanuel Macron, accompagné du Premier ministre italien Mario Draghi, le chancelier allemand Olaf Scholz et le président roumain Klaus Iohannis."L'un de nos plus grands problèmes, c'est l'infrastructure sociale, les écoles, les jardins d'enfants. Si on ne les reconstruit pas les enfants ne peuvent pas être scolarisés et les habitants ne peuvent revenir", a affirmé le maire qui a estimé à 50 millions de dollars les besoins les plus urgents.Selon l'AMF, 75% de la ville ont été endommagés, "avec plus de 12.000 bâtiments touchés et 885 bâtiments complètement détruits".
Il y a 2 ans et 329 jours

Le rêve de la recharge solaire pour les voitures électriques

Sous le soleil brûlant du nord de l'Espagne, la "0", premier modèle de série de la start-up Lightyear, engrange assez d'énergie solaire pour parcourir chaque jour plus de 70 kilomètres gratis. Son capot avant et son long toit sont couverts de cinq mètres carrés de panneaux solaires.Ses fondateurs, de jeunes ingénieurs hollandais, ont gagné plusieurs courses à l'énergie solaire dans le désert australien. Profitant de la baisse des prix des panneaux photovoltaïques et des batteries, ils tentent d'appliquer cette technologie aux voitures de tous les jours.La carrosserie très aérodynamique de la "0" et ses moteurs intégrés aux roues lui permettent de consommer moins d'énergie que les SUV électriques qui dominent le marché et d'afficher une autonomie de 625 kilomètres pour une charge. En roulant peu, on pourrait ainsi ne la brancher que l'hiver, promet la marque."L'heure tourne: nous devons rouler durable dès que possible", souligne l'un de ses fondateurs, Lex Hoefsloot, à l'AFP. "Les bornes de recharge restent un obstacle majeur. Si nous n'en avons pas besoin, nous pourrons changer d'échelle bien plus vite."Lightyear a placé la barre très haut avec ce premier modèle construit à moins de 1.000 exemplaires et affichant un tarif de Bentley, à 250.000 euros. Une version abordable, autour de 30.000 euros, est annoncée pour 2024-2025.Trajets quotidiensAlors que le marché des voitures électriques explose, plusieurs modèles dotés de panneaux solaires sont attendus dans les prochains mois. Toyota proposait déjà des panneaux sur son hybride Prius (en option) et sur sa toute première voiture 100% électrique, la BZ4X. Idem pour le prototype de pick-up de Tesla, prévu pour 2023.Mercedes a équipé de cellules photovoltaïques le toit son luxueux prototype EQXX qui, avec le même profil effilé que la Lightyear, promet 1.000 kilomètres d'autonomie.Selon le chercheur américain Gregory Nemet, "les panneaux photovoltaïques sont devenus si bon marché que, même dans des zones peu ensoleillées, ça vaut le coup d'en mettre"."Même si un toit de voiture ne peut pas charger entièrement la batterie en un jour, il peut engranger assez d'énergie pour vous ramener de votre travail à votre domicile", signale ce spécialiste de l'énergie à l'université du Wisconsin.Avec quelques centaines d'euros supplémentaires par voiture, l'énergie solaire pourrait au minimum compenser l'usage de la climatisation, analyse Gautham Ram Chandra Mouli, spécialiste de la mobilité électrique à l'université de Delft (Pays-Bas).Attention cependant à l'endroit où l'on se gare, prévient l'expert: la voiture ne se recharge évidemment que si elle est à l'extérieur, et beaucoup moins l'hiver. En outre, elle se recharge bien mieux près de l'Equateur qu'en Europe du Nord.Sous le soleil de Californie, la start-up Aptera affiche de son côté 25.000 précommandes pour son premier modèle prévu pour la fin de l'année, une petite voiture à trois roues et deux places. Selon les versions, facturées entre 26.000 et 46.000 dollars, elle affiche entre 400 et 1.600 kilomètres d'autonomie.Un autre modèle solaire bien plus classique, mais aussi abordable et ambitieux, est attendu en Allemagne fin 2022: la Sion. Cette compacte dotée de cinq places est cubique et toute noire, car intégralement couverte de panneaux solaires."Nous avons développé une technologie qui permet de couvrir toute la voiture", explique Jona Christians, codirecteur de la grosse start-up allemande qui l'a imaginée, Sono Motors. Avec 18.000 précommandes enregistrées, ils prévoient de produire 260.000 voitures d'ici à 2030.La Sion intègre le système "Vehicule-to-Grid", qui permet à sa batterie chargée de restituer de l'électricité au réseau quand le soleil ne brille plus.Le petit constructeur compte aussi vendre sa technologie solaire à d'autres, comme le groupe français de remorques frigorifiques Chéreau.Une autre marque hollandaise, Squad Mobility, compte lancer des voitures solaires sans permis en 2023.Son patron Robert Hoevers, un ancien de Lightyear, voit dans le soleil l'avenir des voitures: "Les panneaux deviendront encore moins chers, les moteurs électriques plus efficaces: tôt ou tard, on roulera tous les jours à l'énergie solaire."
Il y a 2 ans et 331 jours

Al-Moutanabi, mythique rue des bouquinistes à Bagdad, s'offre un lifting

Inaugurée en 1932 par le roi Fayçal I, la rue Al-Moutanabi a été baptisée du nom du célèbre poète Aboul Taïeb al-Moutanabi (915-965), né sous l'empire Abbasside dans ce qui était amené à devenir l'Irak.Elle est traditionnellement très fréquentée le vendredi par les étudiants et les groupes de jeunes, mais aussi pas les artistes et les intellectuels de la vieille génération.Samedi 25 décembre, pour célébrer la fin des travaux lancés en août et financés notamment par des banques du secteur privé, la mairie de Bagdad a organisé un carnaval sous haute sécurité, les participants entrant au compte-goutte."Depuis les années soixante, chaque semaine je suis là, pour regarder les livres sur les étals au sol, rencontrer des amis", confie à l'AFP Zoheir al-Jazairi, écrivain et ancien journaliste qui ne tarit pas d'éloges au sujet de la rénovation.Des guirlandes lumineuses décoraient les façades en brique et les balcons en fer forgé nettoyés, a constaté un journaliste de l'AFP. Les visiteurs se promenaient téléphone à la main dans la rue fraîchement pavée où presque toutes les boutiques étaient fermées."C'est un îlot de beauté au coeur de Bagdad. On prend conscience de la différence avec le reste de la ville", se désole M. Jazairi dans une capitale où le patrimoine est souvent délaissé.Longue de moins d'un kilomètre, la rue débouche d'un côté sur le fleuve Tigre, sur lequel veille une haute statue du poète, et se termine de l'autre par une arche ornée d'une des citations de Moutanabi.Le visiteur peut d'ordinaire trouver les derniers bestsellers américains en arabe aux côtés de manuels universitaires. Il y a des livres en français, en anglais, en allemand et en fouillant, on peut tomber sur des pépites.Mais cet Irak des livres n'a pas toujours été à l'abri de la tragique réalité. Comme le 5 mars 2007, lorsqu'un kamikaze a fait exploser un camion piégé dans la rue, tuant 30 personnes et en blessant 60.Mohamed Adnan, 28 ans, a repris la librairie de son père, mort dans l'attentat."Il a été tué, nos voisins aussi et plusieurs de ceux qui nous sont chers", confie ce diplômé en histoire, heureux toutefois de la restauration."J'aurais souhaité que ceux qui sont partis soient vivants pour voir comment la rue s'est transformée," ajoute-t-il tandis que sur les bords du fleuve, un chanteur fredonne des balades traditionnelles sous les feux d'artifice.
Il y a 2 ans et 333 jours

Éolien en mer du Nord : TenneT annonce un appel d'offres "à grande échelle"

Alors que l'annonce d'un recours accru au charbon en Allemagne et aux Pays-Bas suscite l'inquiétude de la Commission européenne, TenneT a indiqué dans un communiqué qu'il produira 40 gigawatts d'électricité en mer du Nord d'ici à 2030.Atteindre cet objectif "nécessite une nouvelle approche d'appel d'offres", selon TenneT, qui évalue sa capacité actuelle de connexion offshore à environ 7,2 gigawatts en mer du Nord allemande et environ 2,5 gigawatts en mer du Nord néerlandaise.Alors que les projets individuels ont "toujours fait l'objet d'appels d'offres consécutifs", ce vaste appel d'offres comprendra "une prévision de 15 à 20 systèmes de connexion au réseau offshore", selon TenneT, qui estime que le volume total des commandes pourrait aller jusqu'à 30 milliards d'euros.Le gestionnaire conclura un accord de coopération avec des partenaires clés du marché pour "une période pouvant aller jusqu'à huit ans", couvrant "les plates-formes offshore et les stations terrestres, ainsi que les convertisseurs".L'Allemagne, le Danemark, les Pays-Bas et la Belgique ont annoncé en mai vouloir installer pour près de 150 gigawatts d'éoliennes en mer du Nord d'ici à 2050, pour en faire la "centrale électrique verte de l'Europe" et se passer d'hydrocarbures russes. Un objectif intermédiaire de 65 gigawatts a lui été fixé pour 2030.Une puissance de 150 gigawatts dans l'éolien marin permet de fournir l'électricité nécessaire à 230 millions de foyers, selon les quatre pays.Alors que la Russie réduit progressivement ses flux de gaz vers l'Europe, les Pays-Bas ont annoncé en début de semaine la levée des restrictions de production électrique au charbon.L'Allemagne a activé jeudi le "niveau d'alerte" sur son approvisionnement en gaz, qui rapproche le pays de mesures de rationnement après la baisse drastique des livraisons de Moscou via le gazoduc Nord Stream.
Il y a 2 ans et 333 jours

SPIE participe à la réalisation de la plus grande centrale solaire d’Alsace

Dans un contexte marqué par le développement des énergies renouvelables et la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, le groupe allemand Krannich a remporté le marché pour la réalisation de la centrale solaire « Mine Amélie » située sur la commune de Wittelsheim. Ce marché est attribué par la Commission de Régulation de l’Electricité (CRE). Cette nouvelle centrale solaire répond aux objectifs de croissance de la filière photovoltaïque, fixés par les Programmations Pluriannuelles de l’Energie (PPE) dans le cadre de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte.Située sur le site des anciennes Mines de potasse d’Alsace, la centrale de Wittelsheim déploie 68.508 panneaux photovoltaïques sur une superficie de 27 hectares, pour une puissance de plus de 26 MWc ; ce qui la place parmi les plus gros projets de centrales photovoltaïques français. Elle répond ainsi à une demande de production d’énergie décarbonée, sans causer d’artificialisation des sols. Une solution technique unique de raccordement Grâce à une solution clé-en-main et une relation de confiance avec le client, la division Industrie de SPIE Industrie & Tertiaire s’est vu confier la conception et la réalisation du poste d’évacuation connecté au réseau 63 kV, le réseau secondaire HTA 20 KV, le branchement des 173 onduleurs photovoltaïques ainsi que le contrôle-commande de l’ensemble. Un lot hautement technique, puisque la forte puissance de la centrale ne permettait pas de la raccorder directement au réseau de distribution. Cela a nécessité la mobilisation des équipes de la division Industrie pour challenger le client et proposer une solution innovante afin de raccorder la centrale au réseau public de transport de l’électricité (RTE). La direction Solutions & Expertises de la division Industrie a accompagné le groupe Krannich dès les études préliminaires afin de définir le raccordement au réseau public (RTE), de réaliser le design ainsi que le dimensionnement électrique de l’ensemble de l’installation. L’ingénierie d’ensemble, conduite dès la phase amont, a ainsi permis de garantir le respect des caractéristiques constructives et fonctionnelles de l’installation imposées par RTE au groupe Krannich. Cette solution, dont la maitrise du savoir-faire est rare, démontre la capacité de la division Industrie à résoudre des problématiques complexes et à créer des solutions sur mesure.« Le marché de l’énergie est un marché stratégique pour la division Industrie. La réalisation de cette centrale solaire nous permet ainsi d’asseoir notre positionnement d’expert sur le marché des énergies renouvelables et plus particulièrement sur celui du photovoltaïque. C’est également l’opportunité de démontrer notre capacité à maitriser le contrôle-commande d’un réseau électrique et à superviser la production d’électricité » déclare Benjamin Hamard, chef de département au sein de la division Industrie de SPIE Industrie & Tertiaire.Une offre globale et intégrée Afin d’intervenir sur l’ensemble de la chaîne de valeur (de la conception à la mise en service jusqu’au contrôle des performances et la mise en exploitation du réseau HTB/HTA) et de se positionner en tant qu’interlocuteur unique auprès du groupe Krannich, la division Industrie s’est appuyée sur les expertises de deux filiales de SPIE France. Les équipes de SPIE CityNetworks ont ainsi réalisé les terrassements tandis que celles de SPIE Thépault, filiale de SPIE Nucléaire, avaient en charge la réalisation du poste HTB/HTA.« L’accompagnement des équipes de la division Industrie de SPIE Industrie & Tertiaire dès les phases préliminaires, leur connaissance de nos enjeux et leur savoir-faire technique ont joué un grand rôle dans l’attribution de ce marché. De plus, la possibilité d’avoir un interlocuteur unique dans une approche de conception et de réalisation fait figure d’exception », déclare Zakaria Diddou, directeur général de Krannich Solar Projekt.La centrale solaire de Wittelsheim entre désormais dans sa phase de mise en service.
Il y a 2 ans et 335 jours

Eiffage remporte un nouveau marché dans l'éolien offshore en mer du Nord

CONTRAT. Le groupe Eiffage, via la filiale belge de sa branche Métal, Smulders, réalisera les pièces de transition pour un parc éolien en mer allemand.
Il y a 2 ans et 335 jours

Eiffage Métal construira les pièces de transition d'un futur parc éolien offshore en mer du Nord

La filiale belge d’Eiffage Métal, Smulders, a remporté, en groupement avec l’entreprise néerlandaise Sif, le contrat attribué par l'énergéticien allemand EnBW pour la fabrication des 64 pièces de transition du futur parc éolien offshore de 900 MW, EnBW He Dreiht.
Il y a 2 ans et 335 jours

Elcia présentera sur Fensterbau une version de MyPricer 100% adaptée pour le marché allemand

Pour Johannes SALM, Business Developper Allemagne : « Chaque marché a ses propres besoins et ses particularités. Notre stratégie est d’adapter parfaitement MyPricer aux spécificités de chaque pays, aujourd’hui l’Allemagne, demain bien d’autres. Nous franchissons un cap avec MyPricer version Allemagne et nous nous réjouissons de la reprise des salons pour présenter ses nouvelles fonctionnalités. Rendez-vous à FENSTERBAU ! »La nouveauté à découvrir sur FENSTERBAU 2022 : La version allemande de MyPricer, la solution 100% web de chiffrage et commandeBien au-delà d’une simple traduction du français vers l’allemand, MyPricer a été repensé pour donner naissance à une nouvelle version totalement adaptée aux spécificités et besoins du marché Menuiserie, Store et Fermeture allemand. L’objectif : avoir un nouveau produit spécifiquement pensé et destiné pour une utilisation en Allemagne !Les nouvelles fonctionnalités de MyPricer version AllemagnePriorité aux champs pertinents et indispensablesA l’image des mentions RGE ou QUALIBAT ou encore des numéros de SIREN, indispensables sur le marché français mais qui n’existent pas en Allemagne, seuls les champs pertinents et utiles pour l’utilisation des professionnels allemands ont été conservés.L’ajout des mentions légales du paysA l’instar des champs personnalisables, les mentions légales devant figurer sur les documents fournis par une entreprise de Menuiserie, Store, Fermeture allemande ont été revues. Ainsi, les modèles de documents édités avec MyPricer version Allemagne (devis, commande) ont été repensés pour être automatiquement en conformité avec la législation allemande.Une nouvelle interfaceL’interface de MyPricer Allemagne a bénéficié des récentes évolutions de la version française pour une meilleure ergonomie et un plus grand confort d’utilisation.Le + : une équipe germanophone à dispositionOutre des nouveautés technologiques, le Groupe ELCIA s’appuie également sur une équipe International germanophone intervenant au niveau de la vente, du marketing, de l’intégration ou encore de l’accompagnement client. Pour cela, un bureau de liaison a été créé à Sarrebruck afin d’établir un point de contact avec les clients et partenaires.
Il y a 2 ans et 337 jours

Avec Chryso et GCP, Saint-Gobain veut devenir numéro 2 mondial de la chimie de construction

"40% des émissions de gaz à effet de serre mondiales viennent de la construction, et on peut répondre à ces problèmes avec la chimie du bâtiment, un secteur en pleine croissance", a déclaré mardi à la presse David Molho, directeur général des Solutions hautes performances de Saint-Gobain lors d'une visite de presse du principal centre de recherche et site de production de Chryso, à Sermaises dans le Loiret.La chimie de la construction basée sur des adjuvants et des additifs permet à l'industrie du bâtiment d'imperméabiliser, de fixer, protéger, renforcer ou isoler aussi bien les façades que les fondations ou les enduits et mortiers, et de décarboner les ciments et bétons, très émetteurs de gaz à effet de serre.Sur un marché mondial estimé entre 80 et 90 milliards d'euros, en croissance de 6 à 8% par an, Saint-Gobain espère peser "environ 4 milliards d'euros" dans ces activités une fois intégré GCP, a indiqué M. Molho, contre près de 3 milliards actuellement.Soit derrière le numéro un mondial, le suisse Sika, qui vient lui de racheter l'ancien numéro deux, l'allemand Master Builders Solutions, en novembre 2021, pesant quelque 10 milliards d'euros au total."Il y a une incroyable consolidation dans le secteur", a commenté Thierry Bernard, directeur général de Chryso, créé il y a 80 ans, et passé dans le giron de Saint-Gobain en septembre 2021."Nous avions besoin d'investissements massifs à cause des thématiques de durabilité et j'ai considéré que c'était le moment de rejoindre un grand groupe", a dit M. Bernard qui dirigeait Chryso depuis 10 ans lors de la reprise, et est resté aux commandes opérationnelles.Dans les laboratoires Chryso, on teste toutes sortes de combinaisons de bétons, de ciments, auxquels sont ajoutés des adjuvants à base de polymères synthétisés industriellement sur place dans d'immenses réacteurs chauffés.Ces produits, ajoutés au béton frais, garantissent au client sa texture, son étalement, sa fluidité et permettent son transport en camion toupie jusqu'au chantier. Chryso en produit 60.000 tonnes par an.Béton durableLe groupe vient de participer à un essai grandeur nature après plus de deux ans de recherche et développement, d'un béton d'argile décarboné n'utilisant aucun clinker - l'élément du ciment dont la fabrication émet le plus de gaz à effet de serre - en lien avec la start-up Hoffmann Green et le groupe Bouygues construction.Les adjuvants de béton faits par Chryso, qui représentaient 76% de ses ventes en 2021, sont utilisés par les bétonniers mondiaux comme Holcim, Cemex ou USConcrete, ou constructeurs comme Bouygues, Heidelberg ou Vinci. Et se retrouvent aussi bien sur la route du littoral de l'île de la Réunion que sur les travaux du Grand Paris Express, ou le pont 1915 récemment inauguré en Turquie."Pendant 30 ans, on a surtout parlé amélioration de la performance (mécanique, chimique etc.) des matériaux et de leur productivité, en permettant de construire plus vite notamment", dit M. Bernard. "Maintenant il y a un troisième axe qui est en train de tout bousculer, le grand sujet c'est la réduction de l'empreinte carbone du ciment et du béton".En France, l'entrée en vigueur de la nouvelle réglementation RE2020 depuis le début de l'année, qui impose une limite de kilogrammes de CO2 par mètre carré construit, "pousse tout le secteur à bouger" ajoute M. Bernard, même si pour l'instant les grands acteurs sont encore en train d'affûter leur stratégie.Saint-Gobain compte sur Chryso pour faire évoluer l'ensemble des matériaux vers plus de "sustainability", le terme maison qui désigne durée de vie, bilan carbone et rentabilité. Saint-Gobain et Chryso prévoient notamment l'ouverture d'une nouvelle usine d'adjuvants en Inde fin 2023, et d'une en Côte d'Ivoire.Restera ensuite à décarboner la production elle-même des polymères utilisés comme additifs, pour l'instant largement issus du pétrole, alors que l'énergie des chaudières vient du gaz. "On est en train de regarder pour du chauffage électrique", indique Jean-Claude Maesano, directeur industriel de Chryso France.
Il y a 2 ans et 340 jours

En France, les acteurs de l'éolien en mer attendent "l'accélération" promise

Au salon professionnel Seanergy du Havre, tous les grands développeurs du continent sont là: le marché français attire, 2e gisement européen par sa façade maritime et ses régimes de vents.Les chiffres auraient pourtant pu faire réfléchir les potentiels investisseurs: il faut aujourd'hui 10 ans en France pour mettre un site en service, cinq en Allemagne, six au Royaume-Uni... Sept parcs (3,6 gigawatts au total) ont à ce jour été attribués à des opérateurs, mais l'Hexagone vient juste de produire ses premiers électrons, avec son parc de Saint-Nazaire en cours d'achèvement.Or selon toutes les projections, pour atteindre en 2050 la neutralité carbone nécessaire et éviter les pires effets du réchauffement, la France devra massivement déployer l'éolien offshore, qu'elle relance le nucléaire ou pas. Pour RTE, le gestionnaire du réseau haute tension, il en faudra 22 à 62 GW, selon le bouquet choisi.Mais le pays pourra-t-il y arriver?"Le rythme des projets devra être plus soutenu et ce dès cette décennie", souligne Vincent Balès, DG France de l'énergéticien allemand wpd, appelant comme le reste du secteur à une planification, plutôt qu'au lancement de projets "au coup par coup".L'horizon de 40 GW (environ 50 parcs) évoqué pour 2050 par Emmanuel Macron "a donné une perspective à la filière, mais quelle sera la mise en oeuvre?", dit-il. "En Europe, les planifications qui ont marché identifient des zones propices. En France, nous sommes échaudés par les planifications par façade, qui définissent surtout des zones d'exclusion. Il y a une inquiétude de la filière sur la méthode".Dans les travées du salon, on cite l'Allemagne et sa cartographie "assez fine", aux zonages pour le court et le long terme."Trou d'air""La planification au niveau national, ce n'est pas le choix qu'on a fait en France, car il faut un dialogue avec les acteurs et les territoires", a répondu au Havre Eric Banel, directeur général des Affaires maritimes au secrétariat d'Etat chargé de la Mer, annonçant devant le Syndicat des énergies renouvelables (SER) la "relance d'un cycle de planification" par façade.Pour le SER, cela risque d'être beaucoup trop tard. L'association demande à l'Etat de prépositionner de grandes zones potentielles, avant de lancer les débats sur zones pour affiner. Au risque sinon d'un "trou d'air" après 2023, date des derniers appels d'offres prévus à ce jour, délétère pour le secteur, ses usines et ses sous-traitants.Elodie Martinie-Cousty, qui a participé pour France Nature Environnement (FNE) à tous les débats publics de l'éolien offshore, ne cache pas non plus sa frustration: l'Etat devra changer de méthode, sauf à générer de nouveaux recours et contestations, dit-elle.Cette vice-présidente du Conseil économique social et environnemental (Cese) lui reproche de ne pas considérer l'état global - "désastreux" - de la mer, notamment de ne pas mettre à plat aussi les impacts des activités traditionnelles, pêche et transports."L'éolien est nécessaire, il faut donner aux opérateurs une visibilité pour qu'ils puissent investir. Mais on ne peut planifier l'entrée d'une nouvelle activité industrielle massive sans avoir mesuré les impacts des activités +historiques+. On demande à l'Etat de faire son travail d'Etat stratège. En un an on peut faire cette planification si tout le monde se met autour de la table".Le SER, comme FNE, demandent aussi plus de moyens humains pour mettre les services de l'Etat "à la hauteur de l'enjeu": les agents chargés d'instruire les dossiers sont cinq fois moins nombreux qu'aux Pays-Bas, déplore le SER.Le secteur a malgré tout déjà bénéficié de simplifications, notamment avec la loi "Essoc" de 2018 et la prise en charge par l'Etat des concertations publiques, désormais organisées avant désignation des développeurs.Dans le contexte de la guerre en Ukraine, le gouvernement doit encore présenter d'ici fin juillet au conseil des ministres un "projet de loi d'accélération" des renouvelables. Mais ce texte ne concernera qu'à la marge l'éolien en mer.
Il y a 2 ans et 341 jours

L'Allemagne va imposer des éoliennes aux régions

"Nous faisons avancer le déploiement de l'énergie éolienne (...) L'objectif de l'Allemagne est de couvrir 2% de son territoire", a déclaré mercredi, lors d'une conférence de presse, le ministre de l'Economie et du Climat Robert Habeck.Face à l'urgence climatique et à la dépendance au gaz russe, ce populaire ministre écologiste souhaite réduire au minimum les procédures administratives et simplifier une législation trop coercitive afin d'encourager les investissementsPour atteindre cet objectif, le gouvernement va "obliger les Länders à consacrer une part de 1,8% à 2,2%" de leur territoire à cette énergie, en fonction des situations locales et de la taille du territoire, a détaillé Robert Habeck.Les éoliennes couvrent actuellement 0,8% du territoire allemand. Cette part doit passer à 1,4% en 2026, puis 2% à la "fin 2032".Les Etats régionaux, qui disposent pour le moment d'une grande latitude sur le sujet, devraient donc être beaucoup plus contraints.Le ministre a dit s'attendre à ce que ces décisions "suscitent des inquiétudes, des résistances ou des craintes dans de nombreuses régions". Il faut les prendre au sérieux, mais elles ne doivent pas bloquer l'objectif de développement des énergies renouvelables, indispensable pour la transition énergétique, a-t-il observé.Si les régions n'atteignent pas leur objectif, l'Etat fédéral pourra en effet supprimer certaines règles locales, comme les distances minimales entre éoliennes et habitations.Seules les "zones de protections spéciales" et les "réserves naturelles" - les territoires bénéficiant du plus haut niveau de protection - ne pourront pas, in fine, être aménagées.Les Etats qui voudront faire moins que leur objectif pourront néanmoins transférer une partie de leurs obligations à d'autres régions, via un marché, et contre une compensation financière.Enfin, Berlin simplifiera et unifiera au niveau fédéral les règles concernant la protection de la biodiversité.Le gouvernement indique qu'il renforcera par ailleurs la "participation des citoyens" dans la mise en place des projets éoliennes.La coalition allemande, dirigée par le social-démocrate Olaf Scholz, avec les Verts et les Libéraux, a fixé l'ambitieux objectif de 80% d'énergies renouvelables dès 2030 dans la consommation d'électricité.Or, si elle a considérablement progressé ces dernières années, doublant en une décennie, la part d'électricité d'origine renouvelable a diminué l'an dernier en Allemagne, une première depuis 1997. Elle a représenté 42% du mix énergétique, après 45,3% en 2020.
Il y a 2 ans et 341 jours

Edilteco® Lauréat de la 15ème édition des Trophées du Négoce, avec la technologie de béton bas carbone : CarbonCure Technologies

Organisés par INFOPRO, les Trophées du Négoce récompensent les meilleures initiatives et innovations de la distribution du bâtiment. Voici 3 années consécutives qu’EDILTECO® participe aux Trophées du Négoce. Les éditions 2020 et 2021 ont respectivement décerné des Trophées au mortier léger « La Chape XXs® » et à l’entrevous « EDIL-Voutain + CI ». Cette 15ème édition a dévoilé le palmarès 2022 des meilleures innovations des distributeurs et industriels en bâtiment, ce mercredi 15 juin. EDILTECO® avec la technologie CarbonCure, pour un béton bas carbone, est lauréate des Trophées du Négoce 2022 dans la catégorie Environnement & Ressources Naturelles. Consacré à la conception et la construction bas carbone et aux usages et exploitations bas carbone, la technologie CarbonCure offre la possibilité aux fabricants de béton de concevoir un béton écologique et plus solide. LA TECHNOLOGIE CARBONCURE La technologie CarbonCure contribue fortement au développement durable. Cette technologie permet aux producteurs de béton (centrales à béton et préfabricateurs) de proposer le même béton de haute qualité mais avec une empreinte carbone réduite. Le principe du procédé est d’injecter du dioxyde de carbone (CO2) capturé dans le béton frais lorsqu’il est malaxé. Une fois injecté, le CO2 se transforme instantanément au contact du ciment en CaCO3 (carbonate de calcium) ; ces nanomatériaux sont incrustés en permanence et ne seront jamais rejetés dans l’atmosphère. Cette minéralisation du CO2 améliore également significativement la résistance à la compression du béton et permet de réduire en toute sécurité la teneur en ciment de chaque mélange. CarbonCure est détentrice d’un agrément technique délivré par le DIBT (Institut Allemand des Techniques du Bâtiment). La technologie CarbonCure est en totale conformité avec la norme NF EN 206. Ainsi, tout en respectant les dosages, avec l’ajout de CO2, il est possible de réduire de 4 à 6 % la quantité de ciment et en outre de conserver les mêmes performances techniques et mécaniques. En considérant que 6 % de ciment peuvent être économisés, cela équivaut à environ 15 kg/m3. Si l’on prend l’exemple d’une centrale à béton moyenne en France, consommant 40 000 m3 de béton par an, l’économie annuelle de ciment pour cette centrale est de 60 tonnes. EN PRATIQUE Chaque installation CarbonCure comprend 2 boitiers. Le premier (unité de contrôle) calcule précisément la quantité de CO2 à injecter selon la formulation de béton. Il est en relation avec le logiciel de la centrale (s’adapte à tous les logiciels des centrales) et en lien direct avec CarbonCure à qui il communique, en temps réel, toutes les données collectées pour le calcul de la consommation de CO2 injecté dans le béton. CarbonCure collecte les consommations exactes de CO2 de chaque centrale à béton. La méthodologie de CarbonCure a été vérifiée par l’organisme VERRA (Verra.org) pour l’obtention de certificats blancs mutualisés entre chaque acteur. L’autre boitier (le bloc vanne) est installé sur la cuve de CO2 et gère l’ajout de la dose. La cuve sous pression (20 bar) envoie le CO2 à l’état liquide dans le béton en cours de malaxage. C’est cette pression qui injecte et transforme le CO2 sous forme de neige dans le malaxeur, où le CO2 se transforme immédiatement en CaCO3 au contact du mélange. La centrale à béton est libre de choisir son fournisseur de CO2. EDILTECO® France s’occupe de l’installation des boitiers et leur programmation se fait automatiquement à distance. Une équipe de techniciens EDILTECO® a été spécialement formée pour assurer l’installation, la maintenance et le SAV des boitiers. La technologie CarbonCure offre une solution innovante et éprouvée pour la réduction de l’empreinte carbone dans la construction. CarbonCure donne la possibilité aux fabricants de béton de concevoir un béton écologique, avec la qualité habituelle, mais avec une empreinte carbone réduite. De leur côté, les architectes, ingénieurs et entrepreneurs obtiennent le même produit de construction fiable et de haute qualité, mais avec une empreinte carbone plus faible.
Il y a 2 ans et 344 jours

A Strasbourg, un rendez-vous franco-allemand pour le bâtiment face au changement climatique

Un colloque organisé le 21 juin rassemblera des exemples des deux pays pour faire face aux risques climatiques dans la construction.
Il y a 2 ans et 347 jours

BHS-Sonthofen rachète Eurostar Concrete Technology

BHS-Sonthofen rachète l’Italien Eurostar Concrete Technology. [©BHS-Sonthofen] Le spécialiste allemand du malaxeur à doubles arbres horizontaux BHS-Sonthofen vient d’annoncer le rachat de l’industriel italien Eurostar Concrete Technology. Effective depuis le 18 mars dernier, l’opération fait suite au choix de Mario Zaccaron, Pdg d’Eurostar, de céder son entreprise… Ceci, à un constructeur de machines renommé, afin de garantir son développement dans le futur. Pour BHS-Sonthofen, cette acquisition constitue une formidable opportunité d’élargir son propre portefeuille d’équipements, en y ajoutant des malaxeurs planétaires. Pouvant traiter des gâchées jusqu’à 6 m3. A partir de maintenant, ces technologies de malaxage complémentaires offrent aux clients des deux entreprises une plus grande flexibilité, en termes d’équipements et de services. Une nouvelle offre de malaxeurs planétaires Les malaxeurs planétaires sont souvent utilisés pour la production de bétons pour la préfabrication et de bétons spéciaux en BPE. L’acquisition d’Eurostar Concrete Technology correspond à la volonté de BHS-Sonthofen de consolider, à long terme, sa position de partenaire compétent dans le domaine des malaxeurs de haute qualité. « La combinaison de malaxeurs discontinus à doubles arbres horizontaux et de malaxeurs planétaires va nous permettre de réagir d’une manière plus spécifique aux exigences de nos clients », souligne Dennis Kemmann, Pdg de BHS-Sonthofen. Ces attentes comprennent, d’une part, des options flexibles pour les applications les plus diverses et, d’autre part, un réseau de services après-vente vaste et fiable. Grâce à cette fusion, les clients d’Eurostar bénéficient de sites supplémentaires de SAV, à savoir ceux de BHS-Sonthofen. Mais aussi d’une gestion globale et complète des pièces de rechange, dans le monde entier. « Pour les constructeurs d’unités de production du béton et les partenaires commerciaux, cette extension signifie un portefeuille de produits encore plus attractif, d’un niveau technique élevé et doté d’une technique d’entraînement robuste », poursuit Dennis Kemmann. Comme les malaxeurs à doubles arbres horizontaux de BHS-Sonthofen, ceux d’Eurostar Concrete Technology disposent d’entraînements conçus sur mesure. La marque Eurostar est maintenue Par ailleurs, les modèles commerciaux des deux industriels se complètent, tous deux étant fabricants d’équipements destinés à des clients finaux, à des constructeurs d’installations et à des revendeurs. « Ce n’est qu’une des nombreuses raisons qui font que BHS-Sonthofen est notre partenaire idéal, confie Mario Zaccaron. Eurostar Concrete Technology et BHS-Sonthofen profiteront toutes les deux de cette acquisition. Grâce à l’expérience et au vaste réseau de BHS-Sonthofen, nous pourrons encore améliorer l’efficacité de notre production et aussi conquérir de nouveaux marchés. » A l’issue de cette fusion, la marque Eurostar Concrete Technology est conservée et Mario Zaccaron, confirmé à son poste de président. De même, la continuité des activités commerciales est assurée sur le site d’Eurostar, près d’Udine, en Italie. L’objectif final est de pérenniser la position de l’industriel sur ces marchés, tout en poursuivant le développement de l’offre de malaxeurs. BHS-Sonthfen confirme vouloir continuer à travailler avec le réseau habituel existant mis en place par Eurostar. Ainsi qu’avec les personnes déjà en charge du développement technique et commercial.
Il y a 2 ans et 351 jours

Le Voyage à Nantes de Michael Beutler

Pour sa onzième édition, le Voyage à Nantes (Loire-Atlantique) a invité l’artiste allemand Michael Beutler à réagir à l’histoire et à l’architecture de béton de la HAB Galerie par une installation créée in-situ. Jusqu’au 2 octobre. Le Voyage à Nantes a choisi d’investir des sites inédits et explore ainsi de nouveaux quartiers de la ville […] L’article Le Voyage à Nantes de Michael Beutler est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 361 jours

Bas-Rhin : Schwing Stetter, acteur au cœur de son territoire

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine Dans le Bas-Rhin, Schwing Stetter est au cœur de l’un de ses principaux marchés. [©Schwing Stetter] Début avril, Schwing Stetter a livré à la société Kroely, installée en Alsace, un malaxeur-pompe de 24 m, assemblé dans les ateliers de Souffelweyersheim. « Notre atelier d’assemblage fournit l’ensemble des commandes pour les pays francophones, explique Pierre Bach, directeur général de Schwing Stetter. L’ensemble des pièces sont produites dans nos usines allemandes. Nous réalisons, dans nos murs, le carrossage et la mise aux normes pour les différentes réglementations françaises. Nous nous occupons de créer une machine sur mesure pour nos clients, en installant les options spécifiques à leur cahier des charges, ainsi que la peinture. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Grand-Est Dans l’atelier de 3 500 m2, une vingtaine de personnes œuvrent chaque année pour carrosser environ 350 à 400 machines sur les différentes lignes d’assemblage. « Bien entendu, nous avons les monteurs et les soudeurs. Ainsi que les équipes de soutien logistique et technique. Dans le même espace, il y a aussi celles du SAV, ce qui nous permet d’avoir une synergie et des échanges de compétence. Ce site constitue aussi notre siège social pour la France. Sur place, il y a donc les équipes de direction et commerciales. » Dans le Bas-Rhin, Schwing Stetter est au cœur de l’un de ses principaux marchés. « Ce n’est sans doute pas le bassin le plus actif, puisque nous travaillons beaucoup en Ile-de-France, mais le Grand Est, et l’Alsace en particulier, reste l’un de nos bassins d’activité privilégié. C’est aussi un laboratoire, car nous avons des liens étroits avec des clients historiques de la région, avec qui nous développons et testons des solutions. » Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 0 jours

Viessmann Faulquemont : 50 ans d’expertise et d’innovation

Entreprise familiale allemande, le Groupe Viessmann a été fondé en 1917 à Allendorf. Principal fournisseur de solutions de confort thermique pour tous les espaces de vie, le Groupe Viessmann compte aujourd’hui près de 13 000 collaborateurs dans le monde, 120 agences commerciales, 22 sociétés de production pour un chiffre d’affaires de 3,4 milliards d’euros en […]