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Il y a 4 ans et 91 jours

Portalp, une entreprise qui défie la crise

Aboutissement d’une politique soutenue d’investissements et de croissance externe, Portalp dispose aujourd’hui d’une offre globale de produits et services pour l’ouverture et la mise en sécurité des bâtiments. Malgré un contexte économique tendu, le groupe Portalp défie la crise et continue de se développer grâce à l’obtention de nouveaux marchés d’envergure.PORTALP, une ETI familiale française dynamiqueLa société Portalp fabrique, sur son site historique de production près de Grenoble en Isère, des gammes de portes automatiques piétonnes. Par différentes acquisitions d’entreprises complémentaires à son activité, Portalp dispose d’une expertise dans de nombreux domaines en lien avec son cœur de métier. Cette synergie lui permet de proposer une offre globale de solutions et systèmes destinés à faciliter l’accès et la sécurité de tous les bâtiments (commerces, tertiaire, hôtellerie, restauration, industrie, santé, transport, logistique) et d’intervenir depuis l’étude d’un projet jusqu’à sa maintenance. Afin d’être au plus proche de ses clients, Portalp s’est dotée d’un réseau français de 26 agences régionales, complété depuis 2007 par 6 filiales dans le monde (USA, Luxembourg, Belgique, Italie, Espagne et Autriche).Chacune de ces agences assure l’installation et la maintenance de tous types d’automatismes, quelle que soit la marque. Inscrite dans l’ADN de l’entreprise, cette volonté de proximité et de services s’appuie également sur un maillage international de distributeurs partenaires couvrant de nombreux pays en Europe, Afrique, Moyen-Orient, Asie, Amérique du Nord et Amérique Latine.Aujourd’hui, le groupe Portalp, qui compte 900 collaborateurs en France et à l’international, réalise un chiffre d’affaires de 100 millions d’euros (2019). Avec plus de 450 000 installations dans le monde et 78 000 équipements en maintenance, Portalp continue de se développer en 2020 malgré un marché français en baisse.Des projets d’envergure, accélérateurs de croissanceAvec l’appui de son réseau d’agences, de filiales et de partenaires, Portalp a remporté des projets prestigieux en France et à l’étranger (CHU de Grenoble, Aéroport de Saint-Domingue, partenariats avec les plus grands réseaux d’agences bancaires...). Son expertise depuis plus de 20 ans dans les portes palières de quais s’est également illustrée dès 2019 en remportant trois contrats d’une ampleur sans précédent, en groupement avec ENGIE Solutions :L’obtention du marché des façades de quai des cinq stations de la nouvelle ligne U5 du métro de Vienne (Autriche), comprenant la fourniture de 1.300 mètres linéaires de façades dont 180 portes palières ainsi que la maintenance sur 25 ans. Ce contrat a ainsi donné lieu à la création de Portalp Autriche.L’attribution de deux marchés liés au GrandParis Express. D’une part, la Société du Grand Paris a confié au groupement ENGIE Solutions-Portalp l’équipement de seize gares des lignes 16 et 17, soit 1728 mètres linéaires de façades dont288 portes palières. D’autre part, la RATP lui a également ouvert les portes du métro automatisé du prolongement de la ligne 14 pour laquelle Portalp fabriquera 1920 mètres linéaires de façades dont 384 portes de huit stations. Pour répondre à tous ces grands projets en cours et à venir, qui contribuent à la pérennité et au développement de l’entreprise, Portalp a lancé des investissements stratégiques, gages de réussite :La construction, toujours près de Grenoble, d’une usine à Saint-Égrève. A la pointe de la modernité, ce nouvel outil industriel, d’une surface de production de 6 500 m2, doit permettre à l’entreprise d’augmenter sa capacité d’au moins 50 % en 2021.Un nouveau plan de recrutement (ingénieurs, techniciens de pose et maintenance, commerciaux...), alors que l’effectif de l’entreprise est déjà passé de 750 à 900 collaborateurs en un an.Autant de moyens que Portalp se donne pour continuer à placer l’innovation produit au cœur de sa croissance.Une politique d’innovation constantePortalp a construit sa force et sa notoriété sur l’innovation et l’expertise en développant des gammes nourries par les besoins et attentes de ses clients autant que par une vision d’avenir.L’entreprise propose ainsi :Des familles de portes automatiques piétonnes pour répondre à toutes les configurations (cintrées, coulissantes, battantes, coupe-feu, sur-mesure...) qui intègrent la plateforme PORTALP RS, nouvelle génération de portes connectées, lancées en 2020Des solutions pour sécuriser les accès des bâtimentsDes portes et façades de quai comprenant le module RS Métro. Utilisées dans les transports publics, elles sont conçues pour optimiser la sécurité des passagers et faciliter la maintenanceDes réalisations spéciales sur-mesure pour équiper des téléphériques, funiculaires et grandes roues.Certifiées et conformes aux normes nationales et internationales en vigueur, toutes ces gammes répondent aux plus hautes exigences de qualité et de sécurité. Conçues et fabriquées sur le territoire national, elles témoignent de l’attachement de Portalp à ses racines. Cette production Made in France se traduit par une politique d’approvisionnement favorisant les circuits courts et par l’obtention, en septembre 2020, du label Origine France Garantie. En France, cette offre globale s’accompagne d’un réseau intégré de plus de 300 techniciens, répartis sur l’ensemble du territoire pour être au plus proche des clients, qui assurent la maintenance 7j/7 et 24h/24.Une entreprise tournée vers l’avenirPortée par l’enthousiasme de son vice-président Maxime Duponchel, qui reprend progressivement le flambeau, l’entreprise familiale Portalp entend bien maintenir le cap et poursuivre en 2021 cette trajectoire du succès.« Portalp a mis en œuvre un plan de croissance particulièrement volontaire, qui a porté ses fruits avec l’ouverture de nouveaux marchés à fort potentiel, en parallèle de la consolidation de nos activités historiques. En 2020, nous nous sommes donnés les moyens de transformer et de moderniser nos outils de production mais également de développer nos ressources R&D. Durant cette même année, nos effectifs ont connu une croissance de 25 %. Ces axes stratégiques contribuent à affirmer notre développement technologique et notre savoir-faire "Made in France" sur le plan international. Pour 2021, de nouveaux défis nous attendent. Résolument tournés vers l’avenir, nous sommes déterminés à poursuivre notre développement autour de deux axes majeurs : la satisfaction de nos clients et l’innovation. Croyez-moi, nous sommes une vraie fourmilière, regorgeant de créativité, de talents et de projets ambitieux ! L’histoire ne fait que commencer... »Maxime DuponchelPortalp en bref :Près de 60 ans d’existence100 millions de CA en 2019900 collaborateurs10.000 portes automatiques piétonnes fabriquées par anUn centre de formation intégréUn centre d’appel et d’assistance technique, basé en France, accessible 7j/7 et 24h/24
Il y a 4 ans et 91 jours

Mercedes-Benz nomme un nouveau responsable de l’activité “occasion”

fBenoit Marchadier devient le nouveau responsable de l’activité véhicule d’occasion et a pris ses fonctions le 1er mars. [©Mercedes-Benz] Le 1er mars 2021, Benoit Marchadier (41 ans) est devenu le responsable de l’activité véhicules d’occasion au sein de Mercedes-Benz Trucks France. Il aura la responsabilité des deux centres Truckstore nationaux, à Gonesse (93) et à Genas (69). Ces centres sont en charge de la recommercialisation des véhicules de seconde main du groupe. Benoit Marchadier remplace à ce poste Jacques Rouquette, qui, lui, a été nommé directeur commercial de Mercedes-Benz-Trucks Belgique et Luxembourg.  Son parcours Benoit Marchadier est diplômé des Arts & Métiers et débute sa carrière, en 2004, au sein du groupe Daimler. Il intègre ensuite l’entité Evobus France, filiale de Mercedes-Benz, qui est en charge de la commercialisation des bus et cars de la marque. En 2008, il prend la direction du Services Center de Paris, toujours au sein de la même entité. En 2019, Benoit Marchadier est chargé de l’intégration du groupe Reva au sein d’Evobus France. Il s’agit d’une entreprise spécialisée dans la réparation du réseau français. 
Il y a 4 ans et 107 jours

A Middelkerke (Belgique), ancrage architectural signé ZJA

En septembre 2020, le projet de casino de l’agence néerlandaise ZJA est déclaré lauréat du concours lancé par la commune de Middelkerke. Un casino et un hôtel pour un ouvrage énigmatique. Communiqué. La commune belge de Middelkerke s’enrichira prochainement d’un casino emblématique. Le nouveau casino ne sera pas logé dans un bâtiment dédié mais sera […] L’article A Middelkerke (Belgique), ancrage architectural signé ZJA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 108 jours

Meva prend les rênes de la PME Acropol

Les responsables de l’entreprise Acropol (à gauche) transmettent les rênes à Meva. [©Meva] Composée de Nadine Bonnast et de Bernard Bron, la famille dirigeante d’Acropol a passé les rênes de sa PME à l’Allemand Meva, dans le cadre d’une cession d’entreprise. Le rachat a eu lieu le 21 janvier dernier. Avec 25 employés à Landen, en Belgique et à Rodange, au Luxembourg, Acropol s’est fait un nom dans la location de coffrages de voiles et de dalles. Ainsi que dans celle de systèmes d’étaiement et de soutènement destinés à la construction résidentielle. Cette entreprise est très ancrée dans le tissu économique local. Meva va donc étendre sa présence au Benelux.  Le coffreur Meva se lance en Belgique et au Luxembourg Pour ce fabricant de coffrages basé en Forêt Noire, à Haiterbach (Bade-Wurtemberg), ce rachat ouvre de nouvelles possibilités. Ceci, afin de poursuivre le développement de ses activités dans les pays voisins. Ainsi, les clients du Benelux pourront non seulement profiter de la large palette de produits. Mais aussi bénéficier de l’accompagnement et des services de Meva. Les entreprises de construction du Nord-Est de la France et de l’Ouest de l’Allemagne disposeront, de par un approvisionnement plus rapide, de la proximité des nouveaux sites.  De plus, de nouvelles prestations vont venir étoffer l’offre Meva. Outre la location, l’accent va être mis sur la vente de coffrages et de prestations de services, telles que le suivi de projet, la réalisation des plans de coffrage et d’exécution en 3D. Ainsi que la statique, les coffrages spéciaux et le savoir-faire en matière de béton apparent.  Le nouveau site de Meva, à Landen, dispose d’un hall de 3 000 m², de bureaux modernes, de salles de formation et d’exposition. Ainsi que de 20 000 m² extérieurs, destinés à la préparation des coffrages, à la logistique et à l’agrandissement du parc de matériels. 
Il y a 4 ans et 111 jours

Le groupe KP1 nomme un nouveau président

Portrait de Vincent Linchet, nouveau président du groupe KP1. [©Groupe KP1] Le 29 janvier dernier, Vincent Linchet a été nommé président du groupe KP1. Il succède ainsi à Bruno Roqueplo qui a quitté le groupe afin de donner une nouvelle orientation à sa carrière. Fabricant de systèmes constructifs en béton pour les planchers, structures et ossatures de bâtiments, KP1 possède 39 sites en France. Créée en 1959 à Avignon, l’industriel emploie plus de 1 700 personnes. A la suite de sa nomination, Vincent Linchet a annoncé être « ravi de rejoindre le groupe KP1 qui est sans aucun doute l’une des entreprises de taille intermédiaire  industrielles les plus remarquables de France. Elle est dotée d’une capacité d’innovation et de production impressionnantes, développées depuis plus de 60 ans par des équipes robustes et déterminées ». Le parcours de Vincent Linchet Diplômé de physique nucléaire, Vincent Linchet détient aussi un Master of Business Administration (MBA) obtenu à la Louvain School of Management, en Belgique. Après une expérience de plusieurs années au sein d’Ariston Thermo Group, comme directeur commercial et marketing, il rejoint le groupe Saint-Gobain. Cette fois-ci en tant que directeur général de division pour Pum Plastiques puis, Cédéo-Brossettes. En 2018, il intègre Abrisud, fabricant européen de piscines. Il agit en qualité de président et directeur général. En seulement deux ans, Vincent Linchet réussi le pari de relancer le groupe. Aujourd’hui, un nouveau pari s’offre à lui. En effet, à la tête du groupe KP1, nul doute que Vincent Linchet aura de nombreux défis à relever….
Il y a 4 ans et 118 jours

HomeServe s'implante en Belgique et s'intéresse à Carglass Maison

DEPANNAGE. HomeServe spécialiste des réparations, des travaux et de l'entretien de la Maison, a signé un partenariat avec le fournisseur d'énergie Eneco afin de proposer ses services aux foyers belges.
Il y a 4 ans et 119 jours

Les lauréats du Trophée Béton Ecoles sont…

Ce premier prix met en avant la réappropriation du Barrage de Vezins. [©Arthur Dalloni] Depuis 2012, l’association Bétocib organise le Trophée Béton Ecoles. En partenariat avec Cimbéton et la fondation Ecole française du béton (EFB), sous le parrainage du ministère de la Culture. En effet, ce trophée a pour objectif de révéler les jeunes talents des écoles d’architecture et de leur offrir une visibilité. Le concours se décline en deux catégories.  La première récompense les jeunes diplômés et leur projet de fin d’études. Celui-ci se base sur la valorisation des qualités esthétiques, environnementales et des techniques du béton. La seconde catégorie, dite “Studio”, prend en compte les étudiants de première et de deuxième année. Cette catégorie les invite à réinterpréter une œuvre architecturale en béton. Parmi les inscrits, onze projets ont été retenus. Afin de respecter les mesures de sécurité, les candidats retenus ont défendu leur projet en visio-conférence. Ainsi, les résultats ont été proclamés au terme des délibérations.  Outre la distinction du Trophée, les lauréats vont bénéficier d’une gratification non négligeable de 5 000 € pour le 1er prix, 4 000 € pour le 2e et 3 000 € pour le 3e. Quant à la catégorie “Studio”, elle permet d’obtenir une récompense de 2 000 €. Les onze projets retenus seront publiés dans les revues des associations, ainsi que dans le mensuel AMC.  La cérémonie de remise des prix La cérémonie de remise des prix s’est déroulée, le 14 janvier dernier, en comité restreint… Mais elle était retransmise en direct sur Internet et sur les réseaux sociaux. Les noms des gagnants ont donc été annoncés pendant cette soirée :  La tour Dallée met en avant les difficultés de logements dans les grandes villes urbaines. [©Myriem Rhmari Tlemcani] 1er prix : Arthur Dalloni, étudiant de l’Insa Strasbourg, avec la réappropriation du barrage de Vezins, en Normandie.  2e prix : Yannick Sürmely et Olena Dziuna, étudiants à l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Strasbourg, avec la reconversion de sites industriels, notamment celui de Charleroi, en Belgique.  3e prix : Tanguy Guyot, étudiant à l’Ecole nationale d’architecture de Clermont-Ferrand, avec une maison de santé augmentée à Manchester, au Royaume-Uni.  Catégorie “Studio” : Myriem Rhmari Tlemcani, étudiante à l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Paris-Malaquais, avec la tour Dallée (création originale inspiré d’une création de Félix Candela Outeriño), autour du logement collectif. 
Il y a 4 ans et 120 jours

Ghent Aggregates : « Notre développement s’inscrit dans le durable »

Jonathan Kesteleyn est le directeur général de Ghent Aggregates. [©Ghent Aggregates] Ghent Aggregates a été créée en 2014. Aujourd’hui, de quelles infrastructures disposez-vous ? Nous disposons de deux sites. Le premier où nous avons commencé avec quelque 6 500 m² et un nouveau terrain de 9 900 m². Nous sommes situés dans le port maritime de Gand, en Belgique. Avec un embranchement direct sur les principaux axes routiers, fluviaux et maritimes. Quels sont les marchés sur lesquels vous intervenez ? Les produits sont spécifiques par domaine d’activité et secteurs géographiques. Nous livrons à la fois des centrales BPE pour les bétons esthétiques et les postes d’enrobés pour les enrobés de couleur. Mais aussi des usines qui cherchent des minéraux spécifiques contenant de la CaCO3, de l’aluminium ou des teneurs en SiO2 élevées. Au niveau géographique, notre marché couvre la Belgique, la France, le Luxembourg, les Pays-Bas et le Royaume-Uni. Nous avons noué nos premiers contacts en Lituanie. Et nous avons déjà exporté vers La Réunion et Israël. Pouvez-vous nous résumer les gammes de granulats que vous proposez ? Granulats calcaires de toutes les couleurs, porphyres, grès, mais aussi granulats siliceux, silico-calcaires, pouzzolanes, granites, dolomies… Nous couvrons une très grande gamme de productions européennes et internationales. Depuis les enrochements jusqu’aux granulats fins. Par quel biais vos produits sont-ils distribués en France ? Dans le domaine des aménagements extérieurs, nous avons des négociants avec qui nous travaillons déjà.  Mais nous souhaitons encore nous développer. Dans le secteur des bétons, les liens sont directs avec les producteurs et les services qualité. Afin de cibler au mieux les besoins et d’y répondre au plus juste, aussi bien sur les aspects qualitatifs que logistique. Nous avions déjà échangé autour du chantier du centre culturel De Spil, à Rœselare. Vous aviez alors été force de proposition dans la constitution des formulations. Est-ce que l’aide au choix et à la composition des formules de béton est au cœur de votre stratégie commerciale ? Le fait de bien appréhender les besoins du client, tout comme le produit fini et d’avoir une connaissance approfondie des matériaux nous permet de répondre au mieux. Formulation et composition, mais aussi recomposition des matériaux sur différentes couleurs ou granulométries, nous veillons à tous ces aspects. Notre dernier investissement, un crible à deux niveaux, nous permet de corriger et d’améliorer des produits à la demande. Par exemple, une production n’offre que la granulométrie 8/16, le client souhaite du 12/16, c’est désormais possible. Nous trouvons des solutions en fonction des besoins. Le Royaume-Uni est l’un de vos marchés. Redoutez-vous le Brexit ? Comme le Brexit vient à peine d’être défini et que les douanes s’organisent encore, c’est assez pénible. Dans un premier temps, il faudra trouver les bonnes procédures pour reprendre de manière rapide les exportations. De plus, nous nous organisons déjà pour devenir déclarant douanier agréé, pour gagner du temps. Et pour mieux se positionner sur le marché, en épargnant les tracasseries administratives à nos clients. Quelles sont vos pistes de développement pour le futur ? Est-il possible de continuer d’innover lorsque l’on produit des granulats ?  Certainement ! Aujourd’hui, nous nous retrouvons avec une vieille industrie, à l’image plutôt négative. Notre développement s’inscrit dans le durable : transport par voie d’eau, stockage intermédiaire, optimisation de la logistique.  Mais aussi développement de produits finis, avec nos granulats, qui contribueront à l’amélioration des problèmes environnementaux. Notre deuxième phase d’extension commence dès 2021.
Il y a 4 ans et 127 jours

Mecaroanne s’attaque au marché belge

Unité de broyage ciblage signée Mecaroanne. [©Mecaroanne] Spécialiste français dans la fabrication de broyeurs industriels, Mecaroanne commence très bien l’année 2021. En effet, l’industriel vient de signer un contrat de représentation commerciale en Belgique. C’est l’activité “broyeurs, émotteurs et concasseurs” qui sera ainsi beaucoup plus accessible de l’autre côté de l’Escaut… « La Belgique est en partie francophone, ce qui facilite les échanges, explique Fabien Burnichon, responsable technique et commercial de Mecaroanne. Mais ce pays est avant tout notre voisin, il est donc très facile et rapide de s’y déplacer pour accompagner techniquement notre représentant. » Cette implantation fait suite aux sollicitations régulières pour des projets en Belgique. Le fait d’y prendre un “pied-à-terre” devrait permettre de fluidifier et de simplifier les prises de commandes.  La Belgique constitue le second amarrage en dehors des frontières nationales pour l’industriel originaire du département de la Loire. En effet, début 2018, Mecaroanne avait signé un contrat de représentation commerciale au Maghreb. 
Il y a 4 ans et 132 jours

L'activité de Pierre et Vacances divisée par deux au 1er trimestre avec la crise du Covid-19

Sur la période octobre-décembre 2020 le chiffre d'affaires s'est établi à 141,7 millions d'euros, contre 334,5 millions d'euros pour les mêmes trois mois un an plus tôt, selon un communiqué publié mercredi.En excluant l'incidence des nouvelles normes comptables IFRS 11 et 16, entrées en vigueur depuis l'an dernier, Pierre et Vacances fait état d'un chiffre d'affaires --selon lui "plus représentatif de son activité"-- de 167,2 millions d'euros, en recul de 55,4%."Les mesures de restriction prises par les différents gouvernements européens pour faire face à la deuxième vague de la pandémie ont lourdement affecté l'activité du groupe au premier trimestre de l'exercice", commente le groupe.Au cours du premier trimestre, Pierre et Vacances-Center Parcs a vu son chiffre d'affaires "touristique" chuter de 63,6% à 102,7 millions d'euros tandis que le chiffre d'affaires "hébergement" reculait de 30,8% à 64,4 millions d'euros."En octobre, après une dynamique positive dans la lignée du quatrième trimestre de l'exercice précédent, la mise en place des couvre-feu, les restrictions de rassemblement et la perspective d'un reconfinement ont considérablement ralenti les réservations, notamment pour les vacances de la Toussaint".Puis du 2 novembre à la mi-décembre, le groupe qui compte 26 sites Center Parcs en Europe, a dû fermer "la quasi-totalité de ses sites". "Seuls les Domaines Center Parcs néerlandais sont restés ouverts, mais avec une offre réduite", précise-t-il.Enfin sur la deuxième quinzaine de décembre, malgré de bonnes performances des sites situés au bord de la mer, "principalement aux Antilles, l''activité est en retrait de près de 80%, pénalisée par le maintien de la fermeture des Domaines Center Parcs en Allemagne et en Belgique", et "une offre dégradée" sur les sites exploités.En outre, seules 9 résidences montagne, soit 15% de l'offre du groupe sur cette destination, ont fonctionné, en raison de la fermeture des remontées mécaniques, tandis que la moitié des aparthotels Adagio restaient fermés. "Compte tenu de cette absence d'activité et de visibilité liée à l'aggravation de la situation sanitaire avec l'apparition de nouveaux variants du Covid-19 et de l'inconnue de date de réouverture des sites", le groupe "intensifie ses mesures de préservation de la trésorerie" et son recours à l'activité partielle, dit-il.Fin décembre le groupe avait averti qu'un retour à la rentabilité n'était pas en vue pour l'exercice 2020-21.
Il y a 4 ans et 134 jours

Engie se dit en bonne voie pour atteindre ses objectifs en production d'énergies renouvelables

"Il s'agit d'une performance au regard du contexte difficile pour le secteur en 2020", a souligné la toute nouvelle directrice générale du groupe Catherine MacGregor, citée dans un communiqué."Elle nous place en bonne voie pour atteindre notre objectif de 9 GW de capacités additionnelles entre 2019 et 2021 et, au-delà, pour accélérer encore notre rythme de croissance dans les énergies vertes", a-t-elle ajouté.Sur les 3 GW mis en service en 2020, 70% sont de l'éolien terrestre, 21% du solaire photovoltaïque et, pour la première fois, environ 9% de l'éolien en mer, avec la mise en service de la première tranche du parc éolien en mer fixe en Belgique ("Seamade Mermaid", 235 MW).Géographiquement, c'est en grande majorité en Amérique du Nord que les nouvelles capacités ont été implantées.A la fin de l'an dernier, Engie exploitait au total 31 GW d'actifs renouvelables, soit 5 GW de plus sur un an. Outre les 3 GW mis en service, le groupe a en effet racheté 2 GW d'actifs en opération, notamment avec une grosse acquisition au Portugal.Les renouvelables sont l'une des priorités stratégiques de l'ancien GDF Suez, qui veut recentrer son activité en renforçant leur développement et en donnant également la priorité aux infrastructures.
Il y a 4 ans et 134 jours

Nouvelle stratégie et nouvelle direction commerciale France pour WND

En peu de temps, elle est devenue l'un des fabricants de menuiserie à la croissance la plus dynamique d'Europe, et ses produits se trouvent, entre autres, en Allemagne, en Italie, en Belgique et en France. Aujourd'hui, en tant qu'entreprise possédant un certain bagage d'expérience, elle présente une approche totalement nouvelle à ses clients pour garantir une coopération à long terme.Qu'est-ce qui a changé pour la marque WnD et pourquoi cela vaut-il la peine de travailler avec elle ?Au cours des dernières années, WnD a mûri et changé. La nouvelle stratégie de communication et la nouvelle image de marque ont mis davantage l'accent sur la qualité des produits et les relations avec les partenaires. WnD s’est ouverte à différents marchés, allemand, français, italien. Quant au nouveau modèle de vente de WnD, il met principalement l'accent sur les valeurs de l'entreprise : qualité, économie et commodité - tant pour les partenaires commerciaux qui coopèrent avec l'entreprise que pour les clients finaux qui achètent des fenêtres et des portes. L'entreprise a basé sa nouvelle stratégie de marketing sur ces valeurs. Tout cela pour construire un réseau de partenaires commerciaux solide et efficace. De cette manière, l'entreprise renforcera progressivement sa position sur le marché et fournira aux clients non seulement des produits de haute qualité, mais aussi le meilleur service.Qu'est-ce qui va changer dans cette nouvelle approche ?Tout d'abord, les représentants de la marque WnD se concentrent sur les relations de partenariat avec les partenaires commerciaux et la mise en avant des produits de haute qualité de la gamme. L'entreprise souhaite instaurer un dialogue commercial et une coopération durable. Les processus de production, de commerce et de réclamation ont changé. Pour cela, l'entreprise a pris un virage à 360° en mettent en place un tout nouveau processus digital au sein de l'organisation. Les contacts avec les partenaires commerciaux se retrouvent ainsi facilités grâce à une toute nouvelle interface CRM dédiée avec le portail partenaire myWnD. Grâce à cet outil, ils peuvent suivre leurs commandes, transmettre leurs réclamations, télécharger les outils marketing et accéder aux documents indispensables (notices, certificats, catalogues techniques...).Dans un souci permanent de qualité, les normes de contrôle de la qualité logistique ont été revues à la hausse afin de garantir une protection maximale de la marchandise lors du transport. Permettant ainsi au partenaire commercial d’avoir une totale satisfaction lors de ses livraisons.Pourquoi cela vaut-il la peine de devenir un partenaire commercial WnD ?La coopération avec WnD est avant tout une relation de partenariat entre le revendeur et le fabricant. L'entreprise aide ses partenaires commerciaux à gagner de l'argent en leur fournissant des produits de haute qualité et en bénéficiant de conditions commerciales intéressantes. Le processus logistiquerestructuré assure une livraison rapide et de qualité des commandes. L'entreprise investit actuellement dans de nouveaux supports marketing, la refonte de son site internet et de nombreux autres outils qui contribueront à augmenter la visibilité et les ventes de la marque. Le revendeur WnD peut également compter sur le soutien des équipes commerciales et techniques France.Une équipe solide et nouvelle direction commerciale pour WnD FranceL’équipe WnD France s’est fortement agrandie et consolidée au cours de l’année 2020. Elle comprend aujourd’hui 6 commerciaux sur le territoire national, avec deux nouveaux arrivants : Monsieur Stéphane VANHELDER en tant que responsable régional sur le Nord et Monsieur Bruno MIGINIAC en tant que responsable régional sur le secteur Rhône Alpes. L’équipe technique compte également deux techniciens deviseurs, avec la nouvelle arrivée de Monsieur Florent STAUDER. Enfin, Monsieur Jean Luc SCHLOSSER a été nommé Directeur Commercial WnD en cette rentrée de janvier 2021. En poste au sein du groupe Oknoplast depuis 2009 en tant que responsable régional sur la région Est, Jean-Luc SCHLOSSER a fortement contribué à l’implantation de la marque Oknoplast et WnD en France depuis plus de 10 ans. C’est donc tout naturellement qu’il a repris la direction commerciale de la marque WnD en ce début d’année.À qui s'adressent les nouvelles activités de WnD ?L'entreprise souhaite atteindre des représentants commerciaux potentiels - des personnes servant d'intermédiaires dans la vente de fenêtres, de menuiserie et de matériaux de construction.Pour ceux qui souhaitent devenir revendeur WnD, il est possible de transmettre une demande directement en ligne via le site WnD : https://wnd.fr/devenir-revendeur/
Il y a 4 ans et 135 jours

Nouveau catalogue 2021 des solutions Aménagement Extérieur Alkern

Sur 140 pages richement illustrées pour se projeter aisément, chacun y trouvera, à coup sûr, les réponses à ses souhaits parmi la largeur de gamme proposée (plus de 2.500 références). Au programme, des réponses harmonieuses quels que soient ses goûts en décoration comme de personnalisation, en dalles, pavés, margelles, bordures ou encore piliers et parements. Une diversité de choix et de solutions qui permet de répondre à toutes les envies comme tous les besoins pour aménager son jardin, intégrer une terrasse ou réussir ses abords de piscine.Jouant tour à tour l’esprit « campagne » ou bien la carte du «contemporain», cette nouvelle édition regorge de réponses esthétiques pour créer facilement son ambiance extérieure et l’embellir dans les moindres détails avec des références à 95% fabriquées en France (et 5% en Belgique)...Outre le crédo de l’esthétique, citons également les performances induites par le matériau béton ou pierre reconstituée qui finissent de convaincre : absence de glissance (de par leur texture ou par des essais validés par la marque NF), grande diversité des formes et des coloris, ingelivité, durabilité, facilité d’entretien, sans compter sur une recyclabilité à 100 %...Gamme sélection d'ALKERN : l'apport d'un caractère authentique et précieuxPour apporter un caractère exceptionnel à son environnement extérieur, on pourra aussi trouver inspiration dans la nouvelle Gamme Sélection ALKERN 2021. Cette offre propose en effet des matériaux authentiques qui font se rencontrer l’art et la matière, à l’image de MOSAIC, une réinterprétation des carreaux de ciment d’antan. Comptant 8 dalles différentes et leurs diverses déclinaisons coloristiques, 4 références en pavés (dans diverses teintes et un aspect de surface vieilli particulièrement réussi), ALKERN Sélection se caractérise aussi par un design original, des formes épurées et travaillées pour des sols au cachet unique.L'aménagement autour des piscines, l'expertise historique d'ALKERNBénéficiant d’une légitimité reconnue auprès des professionnels de la piscine depuis des années, ALKERN, insuffle là-encore tout son savoir-faire pour sublimer l’écrin de ce bassin, qu’il s’agisse des plages comme des margelles avec là-aussi un large éventail de solutions esthétiques en formes, aspects et coloris. Logique pour le 1er fabricant français de produits préfabriqués en béton, que de proposer ses réponses haute couture à un marché d’ailleurs très en vogue chez nos compatriotes depuis quelques années (estimé à 2,5 millions de bassins, soit 15 % des foyers français).
Il y a 4 ans et 135 jours

SITES, groupe d’ingénierie spécialisé dans la durabilité des actifs structurels acquiert la société technologique Cornis, leader dans l’inspection des éoliennes et des solutions d’intelligence artificielle.

Spécialisée dans le suivi du vieillissement des éoliennes via des méthodes et outils d’expertise utilisant l’Intelligence Artificielle, Cornis accompagne depuis 10 ans les principaux constructeurs et exploitants mondiaux d’éoliennes pour l’inspection et l’expertise des pales. L’entreprise intervient dans plus de 40 pays (+ de 20.000 éoliennes inspectées) et réalise un chiffre d’affaires de 2M€ dont 75% à l’export. Avec cette acquisition, SITES, acteur pionnier de la surveillance de santé structurelle depuis 1984, renforce sa position dans le secteur des énergies décarbonées. Leader indépendant de la surveillance des structures des installations nucléaires et hydrauliques, aux côtés des infrastructures de transport et des structures complexes en général, cette opération élargit ses activités dans le domaine de l’éolien et plus généralement celui des EnR (Énergies Renouvelables). Par ailleurs, cette union entre pépites françaises vise à accélérer la conquête de marchés internationaux (Royaume-Uni, Allemagne, Belgique, Danemark, les marchés éoliens qui se trouvent en Europe du Nord mais aussi la Chine et l’Afrique du Sud, pays où SITES est présent via ses filiales) et les développements technologiques pour la surveillance de structures. Un savoir-faire technologique complémentaire et « Made in France » Au delà d’un parfait alignement sur les enjeux de la surveillance préventive des structures et de l’asset integrity management, le rapprochement entre SITES et Cornis repose sur une approche commune combinant une connaissance fine des ouvrages et de leur dynamique de vieillissement, des expertises fortes d’inspection et la mise en oeuvre des meilleurs technologies disponibles en lien avec l’imagerie, le traitement du signal, la data science et l’Intelligence Artificielle. Les outils Cornis d’inspection de pales ainsi que la plateforme de reporting en ligne sont utilisés sur plus de 20.000 éoliennes dont 40% offshore. Ces outils créent des synergies avec les solutions déployées par SITES dans le domaine du HD Mapping et du Structural Health Monitoring. Depuis leur création, les deux entités partagent des valeurs communes, une déontologie basée sur l’indépendance, une fierté d’exporter le savoir-faire français et la volonté de participer au développement durable en prenant soin au quotidien des infrastructures d’énergie et de transport. « Avec Cornis, nous sommes très heureux de placer SITES en leader indépendant de la surveillance préventive des infrastructures de production d’énergies décarbonées, d’accélérer la digitalisation des métiers et de l’expertise du monitoring structurel et d’intégrer une équipe qui partagent nos valeurs. » commente Hervé LANÇON, co-Directeur Général de SITES. Thibaut GOUACHE, co-Fondateur de Cornis, ajoute : « Nous ancrons Cornis dans une histoire longue et durable, celle de SITES et ces 35 années d’expérience. Pour nos clients, grâce à SITES, nous élargissons les compétences de nos équipes, pour veiller non seulement sur les pales d’éoliennes, mais aussi les mâts et les fondations bétons. Pour les fondateurs et tous les salariés de Cornis, cette fusion est une excellente opportunité de continuer de croître et d’adresser de nouveaux défis dans et en dehors de l’éolien. C’est une belle réussite collective. » Cette opération consolide sur le sol français un acteur indépendant capable de proposer sur l’ensemble du cycle de surveillance structurelle en France et à l’international, des expertises de pointe et un savoir-faire complet en matière d’innovation métier et technologique. L’intégration des activités de Cornis dans celles de SITES sera réalisée au travers d’une business unit dédiée aux EnR qui assurera une continuité complète de service pour les clients de Cornis. À date, le Groupe SITES compte plus de 450 salariés. SITES | Ingénierie, Instrumentation, monitoring et inspection Cornis – Artificial Intelligence for Operations and Maintenance
Il y a 4 ans et 142 jours

Korian noue un partenariat de développement avec Aedifica aux Pays-Bas

Création de la première co-entreprise liant une foncière et un opérateur aux Pays-BasDétention des actifs à 50/50Premier portefeuille d’actifs à développer pour une valeur de 75m €Une structure permettant de soutenir l’accélération du développement de Korian aux Pays-BasCe partenariat prend la forme d’une co-entreprise (« maatschap »), détenue à parts égales par les deux partenaires, qui investira dans le développement de projets immobiliers neufs aux Pays-Bas.Ces établissements, qui seront opérés par Korian, sont destinés à l’accueil et aux soins de personnes fragiles et âgées. Korian exploite déjà à ce jour 36 villas, appartements thérapeutiques et cliniques aux Pays-Bas, et mettra en service 9 établissements supplémentaires d’ici 2021, soit une capacité totale de 1 300 lits.Parmi les nouveaux établissements en construction, 3 sont portées par la co-entreprise, la première de ce type créée avec Aedifica.Des projets supplémentaires seront annoncés dans les prochaines semaines.Une attention particulière sera portée à la qualité énergétique et aux normes environnementales des futurs bâtiments, en ligne avec la norme dite « GPR » aux Pays-Bas.A terme, ce partenariat vise à développer un portefeuille d’actifs d’environ 75 millions d’euros dont une partie significative devrait être sécurisée rapidement en 2021. L’association dans une structure juridique commune permet à Korian de bénéficier de la création de valeur associée au parc qu’il exploite aux Pays-Bas, tout en augmentant son taux de détention immobilière.Aedifica est un partenaire historique de Korian, en Belgique où il est propriétaire des murs de 28 des 120 établissements gérés par Korian, ainsi qu’aux Pays-Bas, où il détient 10 établissements opérés par Korian.Dominiek Beelen, directeur général de Korian Benelux a commenté : « Aedifica est un partenaire de longue date de Korian en Belgique, où il possède les bâtiments de 28 de nos 120 établissements, et récemment également aux Pays-Bas où elle possède dix villas de soins exploitées. Nous sommes heureux d'annoncer cette joint-venture qui nous permettra de poursuivre notre politique de croissance organique aux Pays-Bas en exploitant l'expérience des deux groupes. Ensemble, nous prévoyons de développer de nouvelles villas de soins innovantes et écologiquement responsables pour les personnes âgées, axées sur une approche de soins personnalisés à petite échelle dans un environnement familial. Il existe un besoin croissant d'établissements de soins résidentiels où nous pouvons mettre notre approche positive des soins au service de nos personnes âgées, not attendons d’ailleurs à avoir plus de 45 établissements au Pays Bas à fin 2021 ».De son côté, Stefaan Gielens, directeur général d’Aedifica a ajouté : « Aedifica et Korian s'associent dans une entreprise commune pour investir ensemble dans le développement de biens immobiliers à l'épreuve du temps dans le secteur des soins de santé aux Pays-Bas. En joignant nos forces à celles de Korian, nous créons une nouvelle opportunité de croissance continue sur le marché néerlandais. En outre, cette transaction renforcera notre collaboration de longue date avec l'un des principaux opérateurs européens de maisons de soins. Grâce à l'expérience combinée d'Aedifica et de Korian, encore plus de personnes âgées aux Pays-Bas pourront bénéficier de concepts de soins durables et innovants qui mettent les résidents au centre des préoccupations et leur donnent l'espace nécessaire pour recevoir des soins de la manière qu'ils préfèrent ».Cette collaboration s’inscrit dans la stratégie « Asset Smart » mise en place par Korian en 2016 qui intègre notamment des partenariats équilibrés avec des foncières de renom et qui permettra au Groupe de capter une partie de la valeur long-terme de l’immobilier qu’il opère.Korian a effectivement mis en place depuis trois ans, un certain nombre d’autres partenariats immobiliers en co-détention :Une co-entreprise en 2020 avec Konrad incluant sept maisons de retraite, une résidence service en Belgique, un projet d’extension sécurisé et un pipeline de deux projets futurs. Korian détient 52% de l’ensemble et Konrad, 48%. Les baux de Korian sur ces actifs ont une durée de 12 ans.En mai 2019, Korian s’est associé à la Banque des Territoires et Crédit Agricole Assurances, pour accompagner le déploiement sur le territoire français, des maisons Ages & Vie, solution alternative d’habitat partagé pour les personnes âgées. A fin 2020,la foncière ainsi créée détiendra 69 des 150 implantations nouvelles annoncées à horizon 2024, l’ensemble des bâtiments étant construits selon la norme NF Habitat HQE.Korian poursuit le développement de son parc immobilier afin de soutenir ses opérations, en ligne avec sa stratégie et dans le respect de ses engagements RSE auprès de ses parties prenantes.
Il y a 4 ans et 146 jours

Oknoplast rachète le plus grand fabricant espagnol de menuiserie en PVC

Le groupe OKNOPLAST est une entreprise qui a plus de 26 ans d'expérience. Depuis sa création, elle a enregistré une augmentation permanente de ses ventes, d'embauches et de sa capacité de production. En 2019, la société a enregistré un chiffre d'affaires de 770 millions de PLN (plus de 172 millions d'Euros), dont 72% à l'exportation. Les principaux marchés de l'entreprise, outre la Pologne, sont la France, l'Italie, l'Allemagne et la Belgique. L'entreprise emploie plus de 1850 personnes et dispose d'un réseau de plus de 3000 distributeurs.Le groupe OKNOPLAST est déjà l'un des leaders de l'industrie de la menuiserie en PVC en Europe. Il est présent dans 13 pays en Europe. Son objectif est de devenir l'un des leaders sur chacun des marchés d'exportation grâce à la création d'une marque forte et d'un réseau de vente dédié. Aujourd'hui, le groupe OKNOPLAST rachète le leader espagnol des fenêtres en PVC, avec la société Ampuero, et espère bien se faire un nom sur la péninsule ibérique.« Le groupe OKNOPLAST a toujours été considéré comme un leader de l'innovation dans l'industrie en Europe. Il a notamment mis au point des produits, des solutions commerciales et des actions marketing. Nous avons été les premiers en Europe à introduire plusieurs dizaines d'innovations de produits, établissant ainsi des normes pour cette industrie. Nous avons également été les premiers à prendre des engagements audacieux en sponsorisant des clubs tels que l'Inter Milan, le Borussia Dortmund ou l'Olympique Lyonnais. Aujourd'hui, en tant que précurseur et première entreprise polonaise dans le secteur des fenêtres en PVC, nous avons fait quelque chose qu'aucune de nos entreprises nationales n'a encore fait. Nous entrons sur le marché espagnol, avec cette opération de rachat, ce qui est une approche encore une fois innovante pour nous. Cela se concrétise avec le rachat de l'entreprise Ampuero, le plus grand producteur de fenêtres en PVC en Espagne », déclare Mikołaj Placek, président du groupe OKNOPLAST.Ampuero est une entreprise familiale espagnole dotée de 45 années d'expérience et d'un chiffre d'affaires de 36 millions d'euros. Elle dispose de son propre réseau de distribution avec 300 magasins et détient une part de marché de 10%.Ampeuro a de grandes ambitions. Bien qu'elle soit leader dans le secteur de la menuiserie en PVC en Espagne, elle dispose encore d'un grand potentiel de développement. L'entreprise a la volonté de conquérir encore plus de parts de marché et le groupe OKNOPLAST compte bien l'y aider.
Il y a 4 ans et 148 jours

Patrimoine archéologique pillé : une saisie douanière record

Une enquête menée en coopération avec les autorités belges, les services déconcentrés du ministère de la culture et la douane, a permis la saisie de 27 400 objets classés biens culturels. Cette saisie de pièces archéologiques pillées est à ce jour une des plus importantes jamais réalisée en France. En septembre 2019, un résident français en Belgique déclare la découverte fortuite sur son terrain d’un trésor monétaire composé de 14 154 pièces de l’époque romaine. L’examen de ces pièces conduit les autorités belges à remettre en cause la véracité de ce récit et à partager leurs soupçons avec la Drac de la Région Grand Est. Celle-ci se tourne alors vers la direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED), en charge de la lutte contre les trafics de biens culturels. C’est lors d’une visite domiciliaire que les enquêteurs des douanes, accompagnés d’archéologues de la DRAC Grand-Est découvrent un ensemble de pièces archéologiques d’une qualité exceptionnelle. Parmi les objets saisis, figurent des bracelets et torques (colliers) datant de l’âge du Bronze et de l’âge du Fer, un dodécaèdre romain dont il n’existe qu’une centaine d’exemplaires connus et dont l’utilisation demeure une énigme archéologique, mais également des fibules romaines, des boucles de ceintures mérovingiennes, médiévales et de la Renaissance, des éléments de statues, des monnaies romaines et gauloises pillées dans des ateliers de fabrication référencés comme sites archéologiques. Au total, 13 246 objets sont saisis. Les enquêteurs obtiennent à cette occasion confirmation que le trésor monétaire à l’origine de leurs soupçons est bien issu de divers pillages en France. Photo : Drac de la Région Grand Est  
Il y a 4 ans et 149 jours

Une nouvelle présidente pour le groupe BMI France, leader des solutions de toitures

Après une carrière qui l'a amenée à opérer chez Hewlett Packard et Philips Lighting, Viola Ferrario a rejoint il y 4 ans Ariston Thermo Group, acteur du confort thermique et de l'efficacité énergétique avec des marques mondiales, une référence dans le secteur du bâtiment. En 2018 elle a été promue Directrice Générale pour la France et de la Belgique, poste basé à Paris et a ainsi eu la responsabilité de développer, avec succès, le plus grand marché d'Ariston Thermo.Forte de son background commercial et marketing, la nouvelle Présidente de BMI France a pour mission de renforcer le groupe dans sa position de acteur des solutions de couverture et d'étanchéité.Il s'agit pour Viola Ferrario d'incarner au quotidien la philosophie de BMI « Bien plus qu'un toit ».« L'ambition de BMI Group est de révéler le potentiel de chaque toit. C'est véritablement une nouvelle approche de la cinquième façade qui est proposée à travers un vaste choix de produits et systèmes. Le bâtiment et l'architecture connaissent une évolution remarquable avec notamment de nouvelles fonctionnalités pour les toitures : esthétiques, conviviales, responsables, techniques ; le champ des possibles s'élargit avec de nouveaux enjeux de développement et de communication. Au-delà des solutions produits, chez BMI nous avons à cœur de constamment développer de nouveaux services pour accompagner nos clients. »déclare Viola Ferrario.Très appréciée pour ses qualités humaines et sa capacité à manager des équipes pluridisciplinaires, Viola Ferrario a été séduite par la dimension relationnelle propre au groupe.« Chez BMI, les orientations se prennent à partir des retours terrain des clients et d'une réflexion de fond menée de manière collégiale. Les équipes sont soudées et très expérimentées sur leur secteur. C'est d'ailleurs un point fort que nous remontent nos clients B2B. » commente la nouvelle Présidente.D'origine italienne, Viola Ferrario vit à Paris depuis trois ans avec sa famille. Elle est mère de deux enfants. Trilingue, elle parle couramment italien, anglais et français.
Il y a 4 ans et 163 jours

Stonepanel® Premium, une nouvelle collection de parements extérieurs et intérieurs

En complément de la gamme existante, Stonepanel® Premium offre une solution innovante mêlant design et innovation technologique pour habiller les murs extérieurs et intérieurs de pierres naturelles. Du « made in Europe » exclusivement pour cette nouvelle gamme.Sobre, rythmé de douces singularités, le parement mural en pierre qui donne du relief est une excellente alternative aux revêtements utilisés habituellement, pour des décors rustiques voire contemporains et naturels ! Impossible de ne pas y trouver son bonheur.Vers un approvisionnement de plus en plus européen« Nous importons de la pierre des quatre coins du monde en complément de nos carrières mais la pandémie a fait apparaître des failles au niveau de l’approvisionnement et des délais de transports trop longs» explique Frédéric Morisseau, Directeur général de Cupa Stone France tout en poursuivant « nous essayons de plus en plus de privilégier une provenance de France, Belgique, etc. Cette nouvelle gamme est un grand pas vers cette démarche ».La gamme Stonepanel® premium : des décors 100% naturel pour l'extérieur ou l'intérieur de la maisonLes parements extérieurs qui permettent d’habiller avec brio des murs sans cachet apportent aux intérieurs une sensation d’intemporalité exceptionnelle et une décoration originale. Avec cette gamme Premium qui offre une sélection des meilleurs produits Stonepanel® en combinant à la perfection esthétique et performances, Cupa Stone répond à une clientèle exigeante et à un nouvel art de vivre en osmose avec la nature. Zoom sur les 3 nouveautés et les 2 références existantes Infercoa et Saint Yriex :Stonepanel® SabbiaPierre calcaire de couleur crème aux nuances marron et aux sillons dorés. C’est le modèle le plus clair et le plus lumineux de la gamme.Format standard : 60 x 20 cm x 4 cmEpaisseurs : 3,5 à 5 cmPrix public indicatif TTC : 133,20 €/m² hors poseStonepanel® SalvoraArdoise marron rougeâtre dont les nuances varient du clair au plus foncé pour doter les intérieurs et les extérieurs d’originalité.Format standard : 60 x 20 cm x 4 cmEpaisseurs : 3,5 à 5 cmPrix public indicatif TTC : 203,71 €/m² hors poseStonepanel® DoréQuartzite dorée, aux tonalités marron, beige et gris clair, apporte à la fois élégance et luminosité.Format standard : 60 x 20 cm x 4 cmEpaisseurs : 3,5 à 5 cmPrix public indicatif TTC : 151,20 €/m² hors poseStonepanel® InfercoaPierre naturelle avec des nuances grises et bleues. Le relief de la finition vieillie adoucie est bien adapté pour l’intérieur.Format standard : 60 x 20 cm x 4 cmEpaisseurs : 3,5 à 5 cmPrix public indicatif TTC : 118,80 €/m² hors poseStonepanel® Saint YrieixRoche de couleur brun-orangée et d’aspect brillant. Elle présente un litage marqué alternant de fines couches de couleur claire et de plus épaisses de couleur plus sombre.Format standard : 60 x 20 cm x 5 cmEpaisseurs : 3,5 à 5 cmPrix public indicatif TTC : 297,00 €/m² hors poseLes + Produit pour intégrer une démarche RSEFabrication européenne.Avis Technique.Délais de livraison réduits.Impact environnemental limité sur les trajets : diminution de l’impact du transport routier des marchandises sur l’environnement en privilégiant la proximité.Stonepanel® Sabbia Stonepanel® Salvora Stonepanel® DoréStonepanel® InfercoaStonepanel® Saint YrieixLe panneau Stonepanel® Premium ne nécessite aucun travaux de nettoyage pendant au moins une dizaine d’années ; l’aspect visuel du parement reste Impeccable dans la durée.Composé de pierres naturelles montées sur une base de ciment renforcée (3 cm d’épaisseur) par une armature en fibre de verre qui garantit la tenue des pierres, ce système qui possède les certificats allemand et britannique vient d’obtenir l’Avis technique n°13/17-1375_V3.Tous les produits en pierre naturelle sont disponibles exclusivement dans les 11 agences du réseau Cupa Stone en France.
Il y a 4 ans et 170 jours

Lidl se lance dans la maison connectée

OBJET CONNECTE. L'enseigne de distribution allemande, Lidl, propose depuis peu en Belgique et en Suisse une offre dédiée à la maison intelligente ainsi que de nombreux objets connectés pour le logement.
Il y a 4 ans et 171 jours

LafargeHolcim : un nouveau four pour Martres-Tolosane

Avec nos remerciements à LafargeHolcim. Un mouchoir de poche. Ainsi peut être décrite l’emprise du chantier de construction du nouveau four de la cimenterie LafargeHolcim de Martres-Tolosane, en Haute-Garonne (31). Conséquent, l’équipement doit s’insérer entre les deux fours existants, en service jusqu’à la fin des travaux, et un silo de stockage. « C’est une opération d’un montant de plus de 100 M€. Soit l’investissement le plus important réalisé par le groupe en France depuis 40 ans », souligne François Pétry, directeur général de LafargeHolcim France et Belgique. En fait, ces travaux s’inscrivent dans un plan global plus large de 300 M€ d’investissements sur l’ensemble des sites répartis sur le territoire national.  La nouvelle ligne de cuisson (four et tour de pré-chauffage) doit s’inscrire dans la zone comprise entre les fours en service et le silo en béton qu’on devine à gauche. [©ACPresse] A travers ce programme, LafargeHolcim cherche, en premier lieu, à pérenniser son unité de production, tout en l’inscrivant dans les préoccupations environnementales actuelles et futures. « Les anciens fours ont respectivement été mis en service en 1956 et en 1966 », rappelle Jean-Louis Sibioude, directeur de l’usine. Ils ont fait plus que leur temps. « Le nouveau four doit permettre de diminuer la consommation d’énergie électrique et thermique de la cimenterie de près de 20 %, donc son empreinte carbone. Ceci, en rendant possible la valorisation d’une part beaucoup plus importante des déchets. » En cours de construction, la future tour de pré-chauffage culminera à près de 100 m de haut. [©ACPresse] Le chantier de construction s’inscrit dans un véritable mouchoir de poche. [©ACPresse] Une haute technologie à basse émission de CO2 Dans sa future configuration, le site devrait tripler son taux d’utilisation de combustibles de substitution. Ici, l’industriel s’inscrit encore plus dans l’économie circulaire. En proposant un exutoire pour nombre de matériaux pouvant se substituer aux combustibles fossiles. « Grâce à ce nouveau dispositif, nous allons passer de 20 à 80 % de substitution », confirme Jean-Louis Sibioude. Un taux qui devrait être atteint à terme. C’est-à-dire dans les 12 à 18 mois après l’entrée en fonctionnement de la cimenterie “version 2020”.  Elément central de l’usine, le nouveau four dit “MK3” présente une longueur de 64 m pour 4,30 m de diamètre. Il s’agit d’un four dit de “haute technologie à basse émission de CO2”. Il est alimenté en énergie par une tuyère Pillard. Ce four remplacera les deux existants – qui seront démantelés -, pour offrir une capacité de production en hausse de 20 %. Ainsi, il sera en mesure de fabriquer environ 550 000 t de clinker par an. Soit plus de 770 000 t de ciments, contre 650 000 t aujourd’hui. Elément clef de l’investissement de 120 M€ destiné à moderniser l’ensemble de la ligne de production de la cimenterie, le montage du four s’est déroulé du 23 au 26 novembre dernier. Les 6 éléments (viroles) ont pu être assemblés grâce à d’importants moyens de levag. A savoir, trois grues mobiles de 250 t, 450 t et 500 t, ainsi qu’une grue à tour parmi les plus grandes en Europe (140 m). Opération de bétonnage de la superstructure de la tour de pré-chauffage. [ACPresse]L’ensemble des bétons représente un volume de l’ordre de 11 000 m3. [©ACPresse] Enfin une tour de pré-chauffage Mais la véritable nouveauté du site sera la tour de pré-chauffage. Culminant à près de 100 m de haut, elle abritera le dispositif de pré-calcination, conçu et fourni par CBM. Celui-ci verra se croiser les gaz chauds sortant du four et la farine crue qui donnera naissance au clinker. « La température dans la zone de pré-calcination oscille entre 300 °C en haut et 900 °C en entrée de four, détaille Jean-Louis Sibioude. Cette technologie assure environ 50 % de la cuisson de la farine. » Surtout, cette tour de pré-chauffage est le point d’entrée privilégié de l’essentiel des combustibles de substitution : pneus déchiquetés, combustibles solides de récupération (CSR) et autres copeaux de bois. « Il y a des discussions avec d’autres industriels locaux, cherchant des déchets à valoriser en combustibles », reprend François Pétry. Et Jean-Louis Sibioude, de compléter : « Tous les combustibles alternatifs proposés sont testés de manière très précise. Afin de connaître leur composition chimique, pour ne pas dégrader la qualité de notre clinker, donc des ciments produits ». En d’autres termes, LafargeHolcim – ni aucun cimentier d’ailleurs – ne brûle pas n’importe quoi dans ses fours… Ces massifs constituent les supports du futur four MK3 de la cimenterie de Martres-Tolosane. En arrière-plan, les deux fours actuels. [©ACPresse] Les segments du nouveau four attendent d’être installés et assemblés entre eux pour former un ensemble de 64 m de long pour 4,30 m de diamètre. [©ACPresse] Des pneumatiques entiers Un des points singuliers de la cimenterie de Martres-Tolosane est la mise en place d’une installation d’introduction de pneumatiques entiers, directement dans le four1. Cette approche permet d’éviter la phase préalable de déchiquetage. L’atelier a été mis en service en 2016, dans le cadre d’une précédente phase de travaux. Mais entrant dans le projet global de modernisation. Il a nécessité un investissement de 2,1 M€, dont 400 000 € financés par l’Ademe. Et a été construit sur mesure par ATS Walter. Pour assurer l’approvisionnement en pneumatiques, LafargeHolcim s’est rapproché d’un collecteur. Qui travaille avec des garagistes auprès desquels les pneumatiques sont récupérés. Celui-ci les trie et les lave avant de les livrer à la cimenterie. La collecte est opérée en local, dans le cadre de contrats pluriannuels avec engagement de fourniture des volumes minimaux. La capacité de traitement de l’atelier atteint 8 000 t/an de pneumatiques. Ce qui représente 15 % de l’apport thermique d’un des deux fours actuels de l’usine.  « Les pneumatiques n’ont pas d’impacts négatifs sur la qualité de la production, ni sur l’environnement de l’usine », rappelle Jean-Louis Sibioule. Bien au contraire, même. La fraction minérale, pour l’essentiel constituée de la trame en acier du pneumatique, assure l’apport en fer. Supprimant ainsi les besoins de compléments extérieurs. Ceci, en plus de l’apport énergétique… Assemblage de la partie inférieure du broyeur Loesche. [©ACPresse] Partie supérieure du broyeur, en cours de pré-assemblage. [©ACPresse] Pour la durée des travaux, l’atelier “pneumatiques” a été déplacé de l’autre côté des fours. [©ACPresse] Près de 11 000 m3 de béton Pour les besoins de la construction du nouveau four, l’atelier “pneumatiques” – du moins, la zone de stockage, de tri et de préparation – a été déplacé de l’autre côté des fours. En effet, la position initiale de cet atelier tombait au droit des massifs supports en béton du nouveau four. Outre la cuisson, les travaux de rénovation de la cimenterie de Martres-Tolosane se concentrent aussi sur le broyage amont. Qui permet l’obtention de la farine crue, et sur son acheminement en direction du pré-calcinateur. En aval, un nouveau refroidisseur IKN à grille pendulaire. Il vient se connecter sur le processus de fabrication et de stockage des ciments.  Le broyeur cru constitue le dernier élément imposant de la nouvelle ligne de production. De type vertical, il s’agit du modèle LM3000 2+2 de Loesche. Par rapport à l’ancienne installation, il devrait permettre de diviser par deux la consommation énergétique.  Bien que les équipements industriels occupent le devant de la scène, l’opération de transformation de l’usine n’en est pas moins consommatrice de béton. Ainsi, à l’image de Boccard, qui pilote le pré-assemblage des équipements, l’entreprise de BTP Eiffage Génie Civil assure la construction de la superstructure non métallique. Si les bétons restent classiques, ils représentent tout de même 11 000 m3, à mettre en regard des 4 000 t d’équipements et des 3 000 t de charpentes métalliques. « Des bétons fournis par LafargeHolcim, à partir d’une centrale à béton proche de l’usine », indique en conclusion Didier Michel, directeur du projet de modernisation pour LafargeHolcim.  Les deux fours originels de la cimenterie de Martres-Tolosane ont été mis en service en 1956 et en 1966. Ils seront démantelés après 2020. [©ACPresse] En jaune, toutes les parties conservées de l’usine. En gris et bleu, les parties nouvelles. [©LafargeHolcim] 1Lire CBPC 930, supplément de BLM n° 67, de novembre/décembre 2016. Un nouveau terminal ferroviaire Excentrée par rapport à l’actuelle zone de travaux de la cimenterie de Martres-Tolosane, une toute nouvelle unité de chargement de clinker est en service depuis quelques mois sur le site. Elle se substitue à un poste de chargement manuel (à l’aide d’une chargeuse sur pneumatiques). Cette installation permet à l’usine une expédition en direction de la station de broyage d’Angoulême, en Charente (16), distante de 400 km. Il s’agit de la seule partie de l’ex-cimenterie de La Couronne, qui soit restée en service, suite à l’arrêt de la production de clinker, du fait de la fermeture de sa carrière mitoyenne, dont le gisement était épuisé. Confiés à Chovet-DB2i (groupe Demathieu & Bard), les travaux ont nécessité un investissement de 4,4 M€. La pièce principale du dispositif est une trémie d’une capacité de 1 000 t, soit les deux tiers d’un train complet d’une vingtaine de wagons. De fait, cette trémie a un peu le rôle d’un stock-tampon. Elle présente un diamètre de 10 m, pour une hauteur utile (sans le cône) de 11 m. L’ensemble de la superstructure culmine à 24 m. Elle bénéficie de deux sorties : la principale, réservée au chargement des trains, et l’optionnelle, dédiée en remplissage de citernes sur semi-remorques. La reconfiguration de la zone a imposé de dévier la voie ferrée existante pour l’axer sous la trémie et, en même temps, répondre aux contraintes relatives au gabarit réglementaire des wagons. Afin de s’inscrire dans la charte environnementale du groupe LafargeHolcim, tout un système anti-poussière d’extraction, de transfert et de vidange du clinker dans les wagons a été mis au point par Chovet-DB2i. Grâce à cette nouvelle installation, le remplissage d’un wagon de 66 t se fait dorénavant en 10 mn et celui d’un train complet de 1 500 t, en 6 h. Grâce à sa nouvelle installation, la cimenterie LafargeHolcim de Martres-Tolosane peut remplir de clinker un train complet de 1 500 t en 6 h.[©LafargeHolcim]
Il y a 4 ans et 177 jours

Picard Serrures livre un retour d'expérience sur MyPrycer et la commande dématérialisée

L'objectif : leur offrir une solution de chiffrage 100% Web clé en main pour leurs devis, et simplifier le passage et le traitement des commandes. Mise en place, accompagnement, bénéfices: rencontre avec Julien MALIAR, Animateur Réseaux Installateurs agréés PICARD en France, Belgique et Suisse.Julien, voilà un peu moins d'un an que Picard Serrures a déployé MyPricer et l'EDI auprès de ses clients. Comment sont nés ces projets ?Cette décision est liée à la forte évolution des commandes de portes. Il y a 10 ans, nous recevions une cinquantaine de commandes de portes par mois pour la France. Aujourd'hui, rien que sur le mois de juin 2020, nous avons enregistré 650 commandes de portes! Il fallait trouver une solution simplifiant le passage de commandes de nos clients, tout en nous permettant d'optimiser le traitement de ces commandes en interne. Avant MyPricer et l'EDI, nos clients nous transmettaient leurs commandes de portes par fax ou par e-mail. En interne, un traitement manuel était nécessaire pour enregistrer la commande sur le plan commercial, enregistrer et valider avec le client les données techniques de porte sur-mesure et enfin recevoir la confirmation de commande signée par le client. Tous ces échanges retardaient la mise en fabrication de plusieurs jours. Nous et nos clients pouvions perdre une semaine! Avec MyPricer, notre objectif était d'accélérer ce process et de simplifier cette méthodologie pour éviter un goulot d'étranglement en interne. Pourquoi avoir choisi MyPricer et l'EDI ?Régis DIDIA, Chef de produit porte chez Picard Serrures, travaillait déjà avec ProDevis pour nos clients Menuisiers. Il a donc proposé ELCIA et sa solution MyPricer. La présentation de la solution de chiffrage nous a convaincu. Simple, pratique, qui puisse s'utiliser de partout: c'était vraiment la solution adaptée à notre cible de clientèle !Justement, vous avez décidé de déployer MyPricer seulement auprès de certains de vos clients...Il faut savoir que nous avons trois grandes typologies de clients: notre réseau Installateurs Agréés PICARD (IAP), les Menuisiers et enfin les serruriers. Les Menuisiers utilisent déjà majoritairement ProDevis pour leur chiffrage. MyPricer s'adresse à tous nos clients mais principalement à notre réseau Installateurs Agréés Picard(IAP). Ils possèdent leur propre magasin sous enseigne Picard Serrures, nos serrures et produits sont présentés dans leur showroom, et certains produits Picard Serrures leur sont réservés. En tant que Responsable duréseau IAP, mon rôle est de m'assurer que leurs magasins fonctionnent bien, les aider à avancer tout en les formant. Les équiper de MyPricer entre dans cette logique.Est ensuite venu le moment de mettre en place MyPricer. Comment vous y êtes-vous pris ?Il y a d'abord eu un gros travail de la part de nos commerciaux. Aujourd'hui encore, beaucoup de nos clients nous passent commande par fax. Il a donc fallu les sensibiliser, leur faire comprendre que MyPricer est un outil pratique qui leur permet de gagner du temps, de faire leurs devis directement sur leur téléphone, d'être réactifs. Il y a ensuite eu une deuxième phase avec le Service Customer Success d'ELCIA. En novembre 2019, nous avons organisé un tour de France, avec trois rassemblements sur Marseille, Bordeaux et à Lyon, dans les locaux d'ELCIA. Marie-Anne FOSSIER, Customer Success Manager à ELCIA, était présente pour présenter MyPricer et faire des démonstrations en direct. Un vrai plus !En complément de ces rendez-vous physiques, vous avez également mis en place un accompagnement de vos clients à distance...Oui, et la période de confinement a d'ailleurs été propice pour cela ! Nous en avons profité pour accélérer sur la formation à distance, en organisant notamment des webinars. Pas besoin de se déplacer, nous pouvions prendre le contrôle de leur PC à distance et leur expliquer clairement. Ensemble, nous avons créé leur compte sur MyPricer et simuler leur première commande de portes. L'idée était de leur montrer concrètement la simplicité d'utilisation de MyPricer. Certains de nos clients chiffrent des portes complexes. Ils ne trouvaient pas comment passer leur commande. Mais une fois la formation faite, ils ont reconnu que c'était très simple et pratique. C'est très important de prendre ces quelques minutes avec nos clients, car au final, cela leur permet de gagner un temps précieux.Avez-vous rencontré des freins du côté de vos clients ?Certains de nos clients ne maîtrisent pas bien l'outil informatique. Nos installateurs sont des professionnels, excellents techniquement, qui maîtrisent leur métier à la perfection. Mais, à l'inverse, qui sont aussi capables de faire des devis et des factures à la main. Or, aujourd'hui, quand un client particulier achète une porte, il veut que tout soit professionnel. Il ne fera pas forcément confiance à quelqu'un qui lui envoie un devis fait à la main sur un bout de papier. Un devis précis, bien organisé, détaillé sera plus vendeur ! En plus, il permet de rappeler point par point toutes les caractéristiques du produit, les notions importantes, les couleurs... et ainsi éviter les oublis. Pour pallier à ce manque de connaissance informatique, les formations personnalisées étaient nécessaires. En complément, nous leur avons également envoyé un book de formation. Une petite bible dans laquelle ils peuvent trouver les réponses à leurs besoins.Quels sont les bénéfices de MyPricer pour vos clients ?La facilité de chiffrage. Avec MyPricer, ils peuvent faire leurs devis de n'importe où, sans avoir besoin de retourner à leur bureau ou d'appeler leur secrétaire. Ils peuvent dupliquer leurs devis de manière très facile, personnaliser leurs documents avec leurs logos ou certifications. MyPricer, c'est vraiment un outil utile et pratique pour eux, nécessaire pour leur développement. Le côté 100% Web de la solution aussi ! Ils ont une solution accessible via une URL, sans installation nécessaire. C'est un avantage conséquent pour nos clients pas tous informatisés : même en 3G ou en données partagées, ils peuvent facilement utiliser leur solution et chiffrer depuis leur téléphone ou leur tablette. Enfin, la simplification de leurs commandes. Ils n'ont plus besoin d'aller vérifier leur commande dans leurs e-mails, de l'imprimer, de la tamponner et de nous renvoyer la fiche de validation pour mise en fabrication. Avec MyPricer et l'EDI, ils n'ont plus rien à faire, c'est un gros gain de temps et de simplicité !Et du côté de vos équipes internes ?L'EDI nous permet d'éviter la ressaisie manuelle des commandes de nos clients. Nous avons gagné en praticité et en réactivité dans le traitement des commandes de nos clients. Une fois qu'un client nous a passé sa commande, cette dernière part en fabrication en moins de 24h. C'est un temps précieux qui est gagné au niveau de la fabrication, et donc pour nos clients.S'il fallait résumer MyPricer et l'EDI en quelques mots ?C'est vraiment la simplicité de l'outil pour nos clients ! Avec MyPricer et l'EDI, cinq minutes leur suffisent pour passer leur commande. Autre point important: ils vont avoir accès en direct à toutes les informations importantes. Par exemple, beaucoup de nos clients appellent notre bureau technique pour connaître la perte de passage lorsqu'ils commandent une porte en rénovation. Avec MyPricer, ils remplissent directement les dimensions et obtiennent instantanément leur compte-rendu, avec notamment cette notion de passage. Cela peut sembler pas grand-chose, mais ce sont des informations très précieuses et utiles pour nos serruriers. Même s'il est 18h un samedi, que notre bureau d'étude est fermé, que leur commercial n'est pas joignable, le client a tout de suite son information sur MyPricer. Il n'a pas à attendre et peut répondre directement à son client particulier ou prendre une décision sur son chantier. Cette réactivité est très importante !Maintenant que la mise en place et la prise en main de vos clients sont lancées, quels sont vos objectifs ?Début 2020, 19% de nos commandes de portes ont été passées via MyPricer. Depuis que nous avons décidé d'accélérer le passage de commandevia MyPricer, nous sommes passés à 36%. C'est une belle évolution ! Il faut continuer à promouvoir la solution auprès de nos clients, en poursuivant les formations, notamment sur le réseau IAP. L'objectif est d'avoir au moins 1 porte sur 2 commandées via MyPricer d'ici fin 2020, et 3 portes sur 4 d'ici 2021.
Il y a 4 ans et 177 jours

Picard Serrures livre un retour d'expérience sur MyPricer et la commande dématérialisée

L'objectif : leur offrir une solution de chiffrage 100% Web clé en main pour leurs devis, et simplifier le passage et le traitement des commandes. Mise en place, accompagnement, bénéfices: rencontre avec Julien MALIAR, Animateur Réseaux Installateurs agréés PICARD en France, Belgique et Suisse.Julien, voilà un peu moins d'un an que Picard Serrures a déployé MyPricer et l'EDI auprès de ses clients. Comment sont nés ces projets ?Cette décision est liée à la forte évolution des commandes de portes. Il y a 10 ans, nous recevions une cinquantaine de commandes de portes par mois pour la France. Aujourd'hui, rien que sur le mois de juin 2020, nous avons enregistré 650 commandes de portes! Il fallait trouver une solution simplifiant le passage de commandes de nos clients, tout en nous permettant d'optimiser le traitement de ces commandes en interne. Avant MyPricer et l'EDI, nos clients nous transmettaient leurs commandes de portes par fax ou par e-mail. En interne, un traitement manuel était nécessaire pour enregistrer la commande sur le plan commercial, enregistrer et valider avec le client les données techniques de porte sur-mesure et enfin recevoir la confirmation de commande signée par le client. Tous ces échanges retardaient la mise en fabrication de plusieurs jours. Nous et nos clients pouvions perdre une semaine! Avec MyPricer, notre objectif était d'accélérer ce process et de simplifier cette méthodologie pour éviter un goulot d'étranglement en interne. Pourquoi avoir choisi MyPricer et l'EDI ?Régis DIDIA, Chef de produit porte chez Picard Serrures, travaillait déjà avec ProDevis pour nos clients Menuisiers. Il a donc proposé ELCIA et sa solution MyPricer. La présentation de la solution de chiffrage nous a convaincu. Simple, pratique, qui puisse s'utiliser de partout: c'était vraiment la solution adaptée à notre cible de clientèle !Justement, vous avez décidé de déployer MyPricer seulement auprès de certains de vos clients...Il faut savoir que nous avons trois grandes typologies de clients: notre réseau Installateurs Agréés PICARD (IAP), les Menuisiers et enfin les serruriers. Les Menuisiers utilisent déjà majoritairement ProDevis pour leur chiffrage. MyPricer s'adresse à tous nos clients mais principalement à notre réseau Installateurs Agréés Picard(IAP). Ils possèdent leur propre magasin sous enseigne Picard Serrures, nos serrures et produits sont présentés dans leur showroom, et certains produits Picard Serrures leur sont réservés. En tant que Responsable duréseau IAP, mon rôle est de m'assurer que leurs magasins fonctionnent bien, les aider à avancer tout en les formant. Les équiper de MyPricer entre dans cette logique.Est ensuite venu le moment de mettre en place MyPricer. Comment vous y êtes-vous pris ?Il y a d'abord eu un gros travail de la part de nos commerciaux. Aujourd'hui encore, beaucoup de nos clients nous passent commande par fax. Il a donc fallu les sensibiliser, leur faire comprendre que MyPricer est un outil pratique qui leur permet de gagner du temps, de faire leurs devis directement sur leur téléphone, d'être réactifs. Il y a ensuite eu une deuxième phase avec le Service Customer Success d'ELCIA. En novembre 2019, nous avons organisé un tour de France, avec trois rassemblements sur Marseille, Bordeaux et à Lyon, dans les locaux d'ELCIA. Marie-Anne FOSSIER, Customer Success Manager à ELCIA, était présente pour présenter MyPricer et faire des démonstrations en direct. Un vrai plus !En complément de ces rendez-vous physiques, vous avez également mis en place un accompagnement de vos clients à distance...Oui, et la période de confinement a d'ailleurs été propice pour cela ! Nous en avons profité pour accélérer sur la formation à distance, en organisant notamment des webinars. Pas besoin de se déplacer, nous pouvions prendre le contrôle de leur PC à distance et leur expliquer clairement. Ensemble, nous avons créé leur compte sur MyPricer et simuler leur première commande de portes. L'idée était de leur montrer concrètement la simplicité d'utilisation de MyPricer. Certains de nos clients chiffrent des portes complexes. Ils ne trouvaient pas comment passer leur commande. Mais une fois la formation faite, ils ont reconnu que c'était très simple et pratique. C'est très important de prendre ces quelques minutes avec nos clients, car au final, cela leur permet de gagner un temps précieux.Avez-vous rencontré des freins du côté de vos clients ?Certains de nos clients ne maîtrisent pas bien l'outil informatique. Nos installateurs sont des professionnels, excellents techniquement, qui maîtrisent leur métier à la perfection. Mais, à l'inverse, qui sont aussi capables de faire des devis et des factures à la main. Or, aujourd'hui, quand un client particulier achète une porte, il veut que tout soit professionnel. Il ne fera pas forcément confiance à quelqu'un qui lui envoie un devis fait à la main sur un bout de papier. Un devis précis, bien organisé, détaillé sera plus vendeur ! En plus, il permet de rappeler point par point toutes les caractéristiques du produit, les notions importantes, les couleurs... et ainsi éviter les oublis. Pour pallier à ce manque de connaissance informatique, les formations personnalisées étaient nécessaires. En complément, nous leur avons également envoyé un book de formation. Une petite bible dans laquelle ils peuvent trouver les réponses à leurs besoins.Quels sont les bénéfices de MyPricer pour vos clients ?La facilité de chiffrage. Avec MyPricer, ils peuvent faire leurs devis de n'importe où, sans avoir besoin de retourner à leur bureau ou d'appeler leur secrétaire. Ils peuvent dupliquer leurs devis de manière très facile, personnaliser leurs documents avec leurs logos ou certifications. MyPricer, c'est vraiment un outil utile et pratique pour eux, nécessaire pour leur développement. Le côté 100% Web de la solution aussi ! Ils ont une solution accessible via une URL, sans installation nécessaire. C'est un avantage conséquent pour nos clients pas tous informatisés : même en 3G ou en données partagées, ils peuvent facilement utiliser leur solution et chiffrer depuis leur téléphone ou leur tablette. Enfin, la simplification de leurs commandes. Ils n'ont plus besoin d'aller vérifier leur commande dans leurs e-mails, de l'imprimer, de la tamponner et de nous renvoyer la fiche de validation pour mise en fabrication. Avec MyPricer et l'EDI, ils n'ont plus rien à faire, c'est un gros gain de temps et de simplicité !Et du côté de vos équipes internes ?L'EDI nous permet d'éviter la ressaisie manuelle des commandes de nos clients. Nous avons gagné en praticité et en réactivité dans le traitement des commandes de nos clients. Une fois qu'un client nous a passé sa commande, cette dernière part en fabrication en moins de 24h. C'est un temps précieux qui est gagné au niveau de la fabrication, et donc pour nos clients.S'il fallait résumer MyPricer et l'EDI en quelques mots ?C'est vraiment la simplicité de l'outil pour nos clients ! Avec MyPricer et l'EDI, cinq minutes leur suffisent pour passer leur commande. Autre point important: ils vont avoir accès en direct à toutes les informations importantes. Par exemple, beaucoup de nos clients appellent notre bureau technique pour connaître la perte de passage lorsqu'ils commandent une porte en rénovation. Avec MyPricer, ils remplissent directement les dimensions et obtiennent instantanément leur compte-rendu, avec notamment cette notion de passage. Cela peut sembler pas grand-chose, mais ce sont des informations très précieuses et utiles pour nos serruriers. Même s'il est 18h un samedi, que notre bureau d'étude est fermé, que leur commercial n'est pas joignable, le client a tout de suite son information sur MyPricer. Il n'a pas à attendre et peut répondre directement à son client particulier ou prendre une décision sur son chantier. Cette réactivité est très importante !Maintenant que la mise en place et la prise en main de vos clients sont lancées, quels sont vos objectifs ?Début 2020, 19% de nos commandes de portes ont été passées via MyPricer. Depuis que nous avons décidé d'accélérer le passage de commandevia MyPricer, nous sommes passés à 36%. C'est une belle évolution ! Il faut continuer à promouvoir la solution auprès de nos clients, en poursuivant les formations, notamment sur le réseau IAP. L'objectif est d'avoir au moins 1 porte sur 2 commandées via MyPricer d'ici fin 2020, et 3 portes sur 4 d'ici 2021.
Il y a 4 ans et 182 jours

Consolis va-t-il céder ses activités ferroviaires à TowerBrook ?

Consolis a annoncé avoir reçu une offre ferme pour sa division ferroviaire de la part de TowerBrook. [©Consolis] Consolis a annoncé avoir reçu une offre ferme pour sa division ferroviaire de la part de TowerBrook Capital Partners L.P. Cette dernière est une société internationale de gestion d’investissements. Pour sa part, Consolis est un spécialiste des structures en béton préfabriqué pour les secteurs des transports, des services publics et du bâtiment. En 2019, sa division “Rail” a réalisé un chiffre d’affaires de 190 M€. Elle compte 1 000 collaborateurs et 16 usines réparties dans 10 pays d’Europe. Cette division occupe la première place en Estonie, en Finlande, en France, en Lituanie, en Norvège, au Portugal, en Suède. Et la troisième en Allemagne, en Belgique (desservie depuis la France), en Pologne et au Royaume-Uni. Une affaire à suivre… « La division “Rail” est constituée de sociétés leaders sur leurs marchés locaux, aux marques fortes,peut-on lire dans le communiqué de presse. Qui conçoivent et fabriquent des traverses et autres produits en béton préfabriqué pour les chemins de fer depuis près de 100 ans. » Benoît Cattin-Martel, qui dirige à l’heure actuelle ce division de Consolis, devrait devenir le Pdg du nouvel ensemble une fois cédé. Il a déclaré : « Nous disposons des équipes et du maillage industriel adéquats dans 10 pays européens. Ceci, pour devenir le meilleur fournisseur de traverses ferroviaires en béton, à la fois dans nos zones géographiques actuelles et au-delà. En tant que “pure player”, nous pourrons saisir d’importantes opportunités de croissance organique, tout en étant prêts pour de futures acquisitions. Nous continuerons à encourager l’innovation pour servir au mieux nos clients ».  Conditionné à l’avis des partenaires sociaux et soumis aux règles anti-trust habituelles et aux autorisations réglementaires, ce projet devrait aboutir dans le courant du premier semestre 2021. Jusqu’à la conclusion de la transaction, Consolis continuera d’exploiter cette activité ferroviaire. A suivre…
Il y a 4 ans et 183 jours

Kingfisher rachète la plateforme de services NeedHelp

Kingfisher, propriétaire en France des enseignes Castorama et Brico Dépôt, précise dans un communiqué détenir 80% du capital de la start-up française, tandis que son fondateur, Guillaume de Kergariou, conserve 20% des parts.La plateforme NeedHelp permet, "en ligne ou directement en magasin", de mettre en relation des clients ayant besoin d'aide pour réaliser leurs travaux avec des experts du bricolage, artisans professionnels ou simples particuliers."Avec cette opération, Kingfisher étend son offre de service et accélère sa transformation digitale. Cette prise de participation est un pas en avant significatif dans la concrétisation d'une des priorités majeures de la nouvelle stratégie du groupe, +Powered by Kingfisher+, qui vise à proposer une expérience-client résolument tournée vers le mobile et les services", est-il indiqué.Fondée en 2014, NeedHelp est présente majoritairement en France, mais également en Suisse, Allemagne, Belgique, Autriche et Pays-Bas. La plateforme "propose déjà ses services aux clients de plus de 500 magasins, incluant notamment les enseignes Castorama et Brico Dépôt du groupe Kingfisher en France", détaille le communiqué."Les plateformes de services en ligne ont un rôle clef à jouer dans la définition du futur de notre secteur. Pour toujours mieux servir nos clients, nous devons être résolument tournés vers le digital et développer les services que nous leur proposons, tout en continuant à nous appuyer sur l'actif que constituent nos magasins", a commenté Thierry Garnier, directeur général de Kingfisher, cité dans le communiqué."Dans les mois à venir, nous allons rapidement développer l'activité de NeedHelp au Royaume-Uni et en Pologne en capitalisant sur notre large réseau de magasins et sur les différentes identités de nos enseignes, qui s'adressent aussi bien aux particuliers qu'aux professionnels", a-t-il indiqué.
Il y a 4 ans et 183 jours

« Avec MyPricer et l’EDI, la commande de nos clients part en fabrication en moins de 24h »

En novembre 2019, Picard Serrures, fabricant français de serrures et de portes blindées, a fait le choix de s’appuyer sur ELCIA pour déployer MyPricer et la commande dématérialisée (EDI) auprès de ses clients, pour gagner en efficacité et être plus réactif. L’objectif : leur offrir une solution de chiffrage 100% Web clé en main pour leurs devis, et simplifier le passage et le traitement des commandes. Mise en place, accompagnement, bénéfices : rencontre avec Julien MALIAR, Animateur Réseaux Installateurs agréés PICARD en France, Belgique et Suisse. Julien, voilà un peu moins d’un an que Picard Serrures a déployé MyPricer et l’EDI auprès de ses clients. Comment sont nés ces projets ? Cette décision est liée à la forte évolution des commandes de portes. Il y a 10 ans, nous recevions une cinquantaine de commandes de portes par mois pour la France. Aujourd’hui, rien que sur le mois de juin 2020, nous avons enregistré 650 commandes de portes ! Il fallait trouver une solution simplifiant le passage de commandes de nos clients, tout en nous permettant d’optimiser le traitement de ces commandes en interne. Avant MyPricer et l’EDI, nos clients nous transmettaient leurs commandes de portes par fax ou par e-mail. En interne, un traitement manuel était nécessaire pour enregistrer la commande sur le plan commercial, enregistrer et valider avec le client les données techniques de porte sur-mesure et enfin recevoir la confirmation de commande signée par le client. Tous ces échanges retardaient la mise en fabrication de plusieurs jours. Nous et nos clients pouvions perdre une semaine ! Avec MyPricer, notre objectif était d’accélérer ce process et de simplifier cette méthodologie pour éviter un goulot d’étranglement en interne. Pourquoi avoir choisi MyPricer et l’EDI ? Régis DIDIA, Chef de produit porte chez Picard Serrures, travaillait déjà avec ProDevis pour nos clients Menuisiers. Il a donc proposé ELCIA et sa solution MyPricer. La présentation de la solution de chiffrage nous a convaincu. Simple, pratique, qui puisse s’utiliser de partout : c’était vraiment la solution adaptée à notre cible de clientèle ! Justement, vous avez décidé de déployer MyPricer seulement auprès de certains de vos clients… Il faut savoir que nous avons trois grandes typologies de clients : notre réseau Installateurs Agréés PICARD (IAP), les Menuisiers et enfin les serruriers. Les Menuisiers utilisent déjà majoritairement ProDevis pour leur chiffrage. MyPricer s’adresse à tous nos clients mais principalement à notre réseau Installateurs Agréés Picard (IAP). Ils possèdent leur propre magasin sous enseigne Picard Serrures, nos serrures et produits sont présentés dans leur showroom, et certains produits Picard Serrures leur sont réservés. En tant que Responsable du réseau IAP, mon rôle est de m’assurer que leurs magasins fonctionnent bien, les aider à avancer tout en les formant. Les équiper de MyPricer entre dans cette logique. Est ensuite venu le moment de mettre en place MyPricer. Comment vous y êtes-vous pris ? Il y a d’abord eu un gros travail de la part de nos commerciaux. Aujourd’hui encore, beaucoup de nos clients nous passent commande par fax. Il a donc fallu les sensibiliser, leur faire comprendre que MyPricer est un outil pratique qui leur permet de gagner du temps, de faire leurs devis directement sur leur téléphone, d’être réactifs. Il y a ensuite eu une deuxième phase avec le Service Customer Success d’ELCIA. En novembre 2019, nous avons organisé un tour de France, avec trois rassemblements sur Marseille, Bordeaux et à Lyon, dans les locaux d’ELCIA. Marie-Anne FOSSIER, Customer Success Manager à ELCIA, était présente pour présenter MyPricer et faire des démonstrations en direct. Un vrai plus ! En complément de ces rendez-vous physiques, vous avez également mis en place un accompagnement de vos clients à distance… Oui, et la période de confinement a d’ailleurs été propice pour cela ! Nous en avons profité pour accélérer sur la formation à distance, en organisant notamment des webinars. Pas besoin de se déplacer, nous pouvions prendre le contrôle de leur PC à distance et leur expliquer clairement. Ensemble, nous avons créé leur compte sur MyPricer et simuler leur première commande de portes. L’idée était de leur montrer concrètement la simplicité d’utilisation de MyPricer. Certains de nos clients chiffrent des portes complexes. Ils ne trouvaient pas comment passer leur commande. Mais une fois la formation faite, ils ont reconnu que c’était très simple et pratique. C’est très important de prendre ces quelques minutes avec nos clients, car au final, cela leur permet de gagner un temps précieux. « Même s’il est 18h un samedi, que notre bureau d’étude est fermé et que le commercial n’est pas joignable, notre client a tout de suite ses informations sur MyPricer. Il n’attend pas et peut répondre à son client particulier ou prendre une décision sur son chantier » Avez-vous rencontré des freins du côté de vos clients ? Certains de nos clients ne maîtrisent pas bien l’outil informatique. Nos installateurs sont des professionnels, excellents techniquement, qui maîtrisent leur métier à la perfection. Mais, à l’inverse, qui sont aussi capables de faire des devis et des factures à la main. Or, aujourd’hui, quand un client particulier achète une porte, il veut que tout soit professionnel. Il ne fera pas forcément confiance à quelqu’un qui lui envoie un devis fait à la main sur un bout de papier. Un devis précis, bien organisé, détaillé sera plus vendeur ! En plus, il permet de rappeler point par point toutes les caractéristiques du produit, les notions importantes, les couleurs… et ainsi éviter les oublis. Pour pallier à ce manque de connaissance informatique, les formations personnalisées étaient nécessaires. En complément, nous leur avons également envoyé un book de formation. Une petite bible dans laquelle ils peuvent trouver les réponses à leurs besoins. Quels sont les bénéfices de MyPricer pour vos clients ? La facilité de chiffrage. Avec MyPricer, ils peuvent faire leurs devis de n’importe où, sans avoir besoin de retourner à leur bureau ou d’appeler leur secrétaire. Ils peuvent dupliquer leurs devis de manière très facile, personnaliser leurs documents avec leurs logos ou certifications. MyPricer, c’est vraiment un outil utile et pratique pour eux, nécessaire pour leur développement. Le côté 100% Web de la solution aussi ! Ils ont une solution accessible via une URL, sans installation nécessaire. C’est un avantage conséquent pour nos clients pas tous informatisés : même en 3G ou en données partagées, ils peuvent facilement utiliser leur solution et chiffrer depuis leur téléphone ou leur tablette. Enfin, la simplification de leurs commandes. Ils n’ont plus besoin d’aller vérifier leur commande dans leurs e-mails, de l’imprimer, de la tamponner et de nous renvoyer la fiche de validation pour mise en fabrication. Avec MyPricer et l’EDI, ils n’ont plus rien à faire, c’est un gros gain de temps et de simplicité ! Et du côté de vos équipes internes ? L’EDI nous permet d’éviter la ressaisie manuelle des commandes de nos clients. Nous avons gagné en praticité et en réactivité dans le traitement des commandes de nos clients. Une fois qu’un client nous a passé sa commande, cette dernière part en fabrication en moins de 24h. C’est un temps précieux qui est gagné au niveau de la fabrication, et donc pour nos clients. S’il fallait résumer MyPricer et l’EDI en quelques mots ? C’est vraiment la simplicité de l’outil pour nos clients ! Avec MyPricer et l’EDI, cinq minutes leur suffisent pour passer leur commande. Autre point important : ils vont avoir accès en direct à toutes les informations importantes. Par exemple, beaucoup de nos clients appellent notre bureau technique pour connaître la perte de passage lorsqu’ils commandent une porte en rénovation. Avec MyPricer, ils remplissent directement les dimensions et obtiennent instantanément leur compte-rendu, avec notamment cette notion de passage. Cela peut sembler pas grand-chose, mais ce sont des informations très précieuses et utiles pour nos serruriers. Même s’il est 18h un samedi, que notre bureau d’étude est fermé, que leur commercial n’est pas joignable, le client a tout de suite son information sur MyPricer. Il n’a pas à attendre et peut répondre directement à son client particulier ou prendre une décision sur son chantier. Cette réactivité est très importante ! Maintenant que la mise en place et la prise en main de vos clients sont lancées, quels sont vos objectifs ? Début 2020, 19% de nos commandes de portes ont été passées via MyPricer. Depuis que nous avons décidé d’accélérer le passage de commande via MyPricer, nous sommes passés à 36%. C’est une belle évolution ! Il faut continuer à promouvoir la solution auprès de nos clients, en poursuivant les formations, notamment sur le réseau IAP. L’objectif est d’avoir au moins 1 porte sur 2 commandées via MyPricer d’ici fin 2020, et 3 portes sur 4 d’ici 2021. MyPricer, la solution 100% web pour les devis et les commandes Destiné aux Industriels du secteur Menuiserie, Store et Fermeture, MyPricer leur permet de mettre à disposition de leurs clients Artisans non équipés, une solution « clé en main » pour créer leurs devis et passer leurs commandes. 100% Web, la solution est accessible grâce à une simple connexion Internet, depuis n’importe quel support (PC, tablette, Smartphone). Intuitif, MyPricer ne nécessite aucune installation ni formation. En rendant ses clients totalement autonomes dans leur chiffrage et le passage de commandes, l’Industriel gagne un temps considérable au quotidien, qu’il peut consacrer à son Service Clients et au développement de ses ventes. En plus de posséder un formidable outil de conquête et de fidélisation, l’Industriel bénéficie de la traduction en 7 langues (français, anglais, allemand, néerlandais, polonais, italien et espagnol) de MyPricer pour s’ouvrir à d’autres marchés internationaux. En savoir plus sur MyPricer : www.elcia.com/mypricer  
Il y a 4 ans et 190 jours

ManoMano Pro disponible en Espagne et en Italie

Le site ManoMano Pro regroupe des produits destinés aux professionnels. [©DR] Lancée en 2019 en France, ManoMano Pro est l’offre 100 % Pro de ManoMano. Elle est réservée aux artisans et aux professionnels du bâtiment. Cette plate-forme digitale regroupe des produits du marché grand public, avec plus de 5 millions de références. Et d’autres, de marque, destinés aux professionnels. Elle permet la livraison à domicile ou sur chantier des produits commandés. Des conseillers sont présents pour accompagner les professionnels dans leurs projets. Et les aider depuis la création du compte jusqu’à la livraison.  Lancement en Espagne et… Pour le lancement de ManoMano Pro en Espagne, 150 professionnels de la construction ont été mis à contribution. Le but était de comprendre les attentes des acteurs et leurs besoins. La digitalisation des services liés au secteur de la construction est aujourd’hui une des préoccupations majeures. ManoMano Pro prend donc les devants et offre une multitude de produits, ainsi que des services adaptés aux entreprises espagnoles.  « Nous sommes fiers de lancer notre service à destination des professionnels en Espagne et aussi en Italie. Pays où le BTP est un secteur à fort potentiel et dont la croissance augmente au fil du temps », témoigne, Christian Raisson, président  de ManoMano. …en Italie Pour accompagner les débuts de ManoMano Pro en Italie, Mano Fulfillement a été lancé le 9 novembre dernier. Déjà disponible en France et en Espagne, cette entité propose un service de logistique et d’après-vente aux professionnels partenaires de la plate-forme. Les artisans se concentrent sur le cœur de métier et laissent les équipes de Mano Fulfillement s’en charger pour eux. Avec l’appui d’entreprises comme Katoen Natie, GLS et Poste Italiane, le service est assuré dans les meilleures conditions. « En adaptant Mano Fulfilement au marché italien, nous permettons à tout l’éco-système local d’accélérer sa digitalisation et de renforcer sa présence européenne », poursuit Christian Raisson. On se demande quel sera le prochain pays à accueillir l’expertise de ManoMano. Rappelons que l’entreprise est présente en Allemagne, en Belgique et au Royaume-Uni… 
Il y a 4 ans et 192 jours

Fastned remporte l'appel d'offres pour des stations de recharge ultrarapides sur les autoroutes françaises

Fastned est spécialiste du développement et de l'exploitation d'infrastructures de recharge ultrarapides où les conducteurs peuvent charger leur véhicule électrique pour gagner 300 km de distance d'autonomie en 15 minutes avant de reprendre leur trajet. Basée à Amsterdam, la compagnie hollandaise a construit 129 stations de recharge ultrarapides à travers les Pays-Bas, l'Allemagne, le Royaume-Uni et la Belgique depuis sa création en 2012. Fastned est coté en bourse chez Euronext Amsterdam.Le contrat avec l'APRR permettra à Fastned de développer un réseau de stations de recharge ultrarapides sur 9 sites desservant directement l'autoroute de Paris à Lyon, la route vers la Suisse ainsi qu'autour de Dijon, s'assurant que les chauffeurs de véhicules électriques peuvent voyager sans difficulté sur l'Autoroute du Soleil, de la capitale de la France jusqu'à Lyon. C'est la première fois que Fastned remporte un appel d'offres pour une infrastructure de recharge en France et c'est la première fois que l'APRR fait un appel d'offres public pour une infrastructure de recharge pour véhicule électrique.La construction des stations de recharge est prévue pour 2021 après quoi Fastned sera capable de les exploiter durant 14 ans. Sur chacun des sites, Fastned prévoit de construire une vaste station de recharge permettant de charger jusqu'à 16 véhicules simultanément. Cela permettra à des centaines de voitures par jour de recharger sur chaque site. Les stations comprendront un toit composé de cellules photovoltaïques sur une structure de bois certifié FSC, et délivreront une énergie 100% renouvelable dérivée d'un mélange d'énergie éolienne et solaire.Michiel Langezaal, PDG de Fastned : « Nous sommes ravis d'avoir été sélectionnés par l'APRR pour réaliser et exploiter des prestations de services sur les recharges ultrarapides de neuf aires de service. Ces sites assurent une entrée solide de Fastned sur le territoire français. De plus, cela prouve la transparence des procédures publiques pour émettre des contrats d'exploitation pour accélérer la réalisation d'infrastructures de recharge. Nous avons hâte de travailler en étroite collaboration avec APRR pour construire une meilleure infrastructure pour les conducteurs de véhicules électriques et jouer notre rôle à la hauteur des ambitions de la France pour le climat. »La vente des batteries de véhicules électriques (cela exclut les hybrides) dans l'UE a augmenté de 191% au cours des trois dernières années, mais le nombre de points de recharge n'a augmenté que de 58% (restant sous les 200 000), selon l'Association des constructeurs européens d'automobiles (rapport de l'ACEA). Les constructeurs automobiles et les responsables politiques craignent que le manque d'infrastructures de recharge limite l'adoption des véhicules électriques, même quand des gouvernements comme celui du Royaume-Uni cherchent à bannir les ventes de véhicules essence et diesel d'ici 2030.Caractéristiques des stations : Dans les stations électriques Fastned, les conducteurs et conductrices ajoutent 300 kilomètres d'autonomie à leur véhicule en seulement 15 minutes Chaque station a une capacité de chargement de centaines de voitures par jour Fastned distribue uniquement de l'énergie renouvelable qu'elle soit éolienne ou solaire
Il y a 4 ans et 205 jours

Ursa modernise ses usines

Après une 1ère phase concentrée sur l’usine de Saint-Avold en Moselle, une nouvelle étape est aujourd’hui franchie avec la fin des travaux engagés au printemps dernier sur le site de Desselgem en Belgique.
Il y a 4 ans et 225 jours

Après son site en Moselle, Ursa optimise son usine de production en Belgique

USINE. Après avoir amélioré son site de Saint-Avold en Moselle, le spécialiste de l'isolation, Ursa, annonce avoir achevé des travaux d'optimisation sur son usine belge de Desselgem.
Il y a 4 ans et 244 jours

Un nouvelle directrice des marchés France et Belgique pour Hager

CARNET-NOMINATION. Le fournisseur de solutions électriques, Hager Group, a nommé Daphna Goldstein, managing director Zone Continental West, en charge du développement commercial des marchés France et Belgique.
Il y a 4 ans et 245 jours

Daphna Goldstein nouvelle Directrice pour les marchés France et Belgique Hager Group

Daphna Goldstein est nommée Managing Director Zone Continental West, en charge du développement commercial des marchés France et Belgique pour Hager Group. Agée de 38 ans, diplômée d’HEC Paris et titulaire d’un Bachelor of Sciences en Chimie obtenu à l’University College de Londres, Daphna Goldstein possède la double nationalité allemande et belge. Elle débute sa carrière chez Lafarge, l’un des leaders mondiaux des matériaux de construction. Au cours d’une décennie, elle occupe différents postes de direction commerciale, marketing et stratégie, en Australie, en Serbie puis en France. Elle dirige ensuite les marchés émergents au sein du groupe Consolis, leader européen du béton préfabriqué. Elle rejoint Hager Group en 2019, en tant que Secrétaire Général du Directoire du groupe. Ses quinze ans d’expérience de direction commerciale, stratégique et de gestion d’entreprise permettront à Daphna Goldstein de servir au mieux les ambitions de croissance des marques Hager, Daitem, Diagral et Iboco, sur les marchés français et belge. Rattachée à Jacob Schambye, Senior Vice President Region Europe Sales & Marketing, elle succède à Stephan Kreutzer.
Il y a 4 ans et 245 jours

Hager Group a une nouvelle directrice pour les marchés France et Belgique

Daphna Goldstein vient d’être nommée Managing Director Zone Continental West, en charge du développement commercial des marchés France et Belgique. Elle remplace Stephan Kreutzer, parti prendre la tête des marchés européens et russe de Viega.
Il y a 4 ans et 246 jours

Le Groupe Léon Grosse prend des participations dans Kyotec, acteur de la façade architecturale

2019, une année synonyme de retour à l'équilibre financier pour Léon GrosseAprès deux années difficiles, le Groupe Léon Grosse qui soufflera l'an prochain ses 140 ans d'existence, a su redresser la situation. Avec un carnet de commande de qualité proche du milliard d'euros, l'année 2019 a marqué le retour à un résultat d'exploitation positif. Cette performance est le fruit de la mobilisation des 2.100 collaborateurs du groupe.En 2020, la crise du Covid-19 est venue impacter cette dynamique. Face à cette situation totalement inédite, le Groupe Léon Grosse s'adapte et trouve des solutions pour en diminuer les impacts, et ce malgré l'annulation inattendue de certains contrats signés en 2019. Les perspectives économiques pour 2020 restent encourageantes et permettent au Groupe de poursuivre sa stratégie de développement.Un accord stratégique conclu avec Kyotec, reflet d'une vision partagéeCréé en 2008 par Thierry Foucart et basé au Luxembourg, Kyotec est également implanté en France, en Belgique, au Royaume-Uni, au Portugal et en Pologne. Le Groupe de 175 collaborateurs a réalisé un chiffre d'affaires de 35 M€ en 2019.Spécialisé dans la conception, l'ingénierie et la gestion de projets de façades architecturales complexes dans les secteurs résidentiel et tertiaire, le Groupe dispose d'un savoir-faire reconnu à l'international. Avec plus de 50 réalisations à son actif depuis 2008, Kyotec se concentre sur des projets alliant innovation technologique, prestige et performance énergétique. Parmi les dernières réalisations : la rénovation de la Tour Aurore à Paris, l'installation du mur rideau sur les tours Mobius à Bruxelles ainsi que de la façade “exosquelette” en acier et verre sur le complexe hôtelier City of Dreams à Macau. De la conception à la réalisation, les équipes assurent le pilotage de l'ensemble de la chaîne de valeur.Ce rapprochement s'inscrit dans la stratégie de développement de Léon Grosse et illustre la volonté du Groupe de diversifier son activité. Cet accord permet à Léon Grosse d'accompagner la croissance de Kyotec et de se renforcer sur un métier du secteur de la construction à haute valeur ajoutée et porteur d'une image forte. Ce rapprochement permettra également à moyen terme de développer des synergies créatrices de valeur pour les 2 entreprises, notamment en proposant de nouvelles offres autour de structures architecturales complexes basées sur les expertises techniques complémentaires de Léon Grosse et Kyotec, en France et à l'International.Le Groupe Léon Grosse accompagnera également la mise sur le marché de la technologie brevetée ModulAir, un système de traitement de l'air intégré dans les façades pour le neuf ou la rénovation et développé dans l'atelier de test et de prototypage de Kyotec (Le LuxLab). Ce système permet à la fois de maximiser les hauteurs libres disponibles en assurant une qualité d'air ambiant dans les constructions.« Nous sommes ravis de ce rapprochement. Les compétences éprouvées de Kyotec en matière de façades techniques se veulent le prolongement naturel de l'expertise de Léon Grosse. De plus, notre culture d'entreprise fondée sur les hommes, l'esprit d'entreprenariat et l'agilité est parfaitement compatible avec celle de Kyotec. La création de synergies et le partage des meilleures pratiques permettront à Léon Grosse d'élargir significativement et qualitativement son offre auprès de ses clients, en France et à l'International. »-Lionel Christolomme – Président du Directoire de Léon Grosse« Ce rapprochement stratégique va nous permettre de conserver notre position forte dans le domaine des façades techniques ainsi que notre autonomie tout en ayant l'assurance de pouvoir nous appuyer à tout moment sur les ressources et l'expertise de Léon Grosse. De notre point de vue, Léon Grosse et Kyotec se complètent parfaitement : nous nourrissons un engagement commun en faveur de l'excellence technique et de l'innovation au service du client. »-Thierry Foucart – Président de Kyotec* Une façade architecturale complexe (panneaux en verre et profilé alu) se définit par une géométrie spécifique pouvant nécessiter le développement d'un profil structurel spécifique non référencé par des fournisseurs traditionnels
Il y a 4 ans et 247 jours

Léon Grosse prend le contrôle de Kyotec

Léon Grosse vient de reprendre Kytoec. City of Dreams, Macao, en Chine. [©Ivan Dupont] Le groupe de BTP Léon Grosse a annoncé avoir pris une participation majoritaire dans l’entreprise luxembourgeoise Kyotec. Créée en 2008, cette dernière est spécialisée dans la conception, l’ingénierie et la gestion de projets de façades architecturales complexes. Ceci, dans les secteurs résidentiels et tertiaires. Basée au Luxembourg, elle est aussi implantée en Belgique, en France, en Pologne, au Portugal et au Royaume-Uni. Enfin en 2019, Kyotec comptait 175 collaborateurs et réalisait un chiffre d’affaires de 35 M€.  Ce rapprochement illustre la volonté du groupe Léon Grosse de diversifier son activité. En même temps, cet accord lui permet d’accompagner la croissance de Kyotec. Et de se renforcer sur le secteur de la construction à haute valeur ajoutée. A moyen terme, ce rapprochement aboutira au développement de synergies créatrices de valeur pour les deux entreprises. Développer les compétences en façades techniques En parallèle, le groupe Léon Grosse accompagnera la mise sur le marché de la technologie brevetée ModulAir. Il s’agit d’un système de traitement de l’air intégré dans les façades. Celui-ci est aussi bien destiné aux travaux neufs qu’à la rénovation. LuxLab, l’atelier de test et de prototypage de Kyotec, l’a développé.  « Les compétences éprouvées de Kyotec en matière de façades techniques se veulent le prolongement naturel de l’expertise de Léon Grosse. En effet, ce rapprochement permettra à Léon Grosse d’élargir de manière significative et qualitative son offre auprès de ses clients, en France et à l’international », résume Lionel Christolomme, président du directoire de Léon Grosse. Et Thierry Foucart, président de Kyotec, de conclure : « Ce rapprochement stratégique va nous permettre de conserver notre position forte dans le domaine des façades techniques. De notre point de vue, Léon Grosse et Kyotec se complètent. Nous nourrissons un engagement commun en faveur de l’excellence technique et de l’innovation au service du client ».
Il y a 4 ans et 248 jours

L’addition, s’il vous plaît !

Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine Pour apporter une nouvelle propriété, donner une nouvelle couleur, les additions sont nombreuses. [©Surchistes] Cendres volantes, fillers calcaires ou siliceux, fumées de silice, laitiers de hauts fourneaux, métakaolins, pigments et pouzzolanes… Autant de matériaux qui entrent dans la famille des additions pour béton et lui confèrent des propriétés particulières, en suivant la norme NF EN 206/CN. Point sur l’offre actuelle des industriels. Argéco : Pour tous types de matériaux cimentaires Le métakaolin flash d’Argéco participe à l’amélioration des performances mécaniques des bétons.[©Argéco] Argéco est une filiale du groupe Colas. Implanté à Fumel (47), l’industriel est spécialisé dans la calcination flash d’argiles, et dans la conception et la commercialisation de liants prêts à l’emploi. Le métakaolin flash d’Argéco participe à l’améliorer des performances mécaniques des bétons. Il peut ainsi s’utiliser pour la formulation de béton de types BHP, BTHP, Bfup.« Il permet aussi d’augmenter la longévité des bétons, de les rendre plus durables face aux agressions extérieures etde réduire leur bilan carbone, explique Pierre Drelon, responsable technico-commercial. En effet, nos métakaolins flash génèrent un bilan CO26 à 7 fois inférieur à celui du clinker. C’est-à-dire, 139 kg éqCO2/t produite, contre 870 kg éqCO2pour le CEM I, selon l’Ademe. C’est la seule addition réactive du marché à ne pas être un co-produit dépendant d’une industrie “mère”. » Le métakaolin s’utilise dans tous types de matériaux cimentaires. « Il est activé par la portlandite – chaux - libérée par l’hydratation du clinker. Donc, dès qu’il y a du ciment ou de la chaux, le métakaolin est efficace et renforce la structure via la création d’hydrates supplémentaires. » Si elle s’adapte à tous les domaines, aujourd’hui, cette addition est davantage mise en œuvre dans le domaine du BPE et du génie civil. Condensil : De la formulation à la pratique Chantier de Nouvelle Route du Littoral à La Réunion.[©ACPresse] Condensil commercialise de la fumée de silice sous différentes formes, qui est produite en France dans les usines de Ferropem. « Nous accompagnons nos clients sur les aspects techniques d’utilisation de la fumée de silice, explique Franck Besse, directeur de Condensil. De la formulation théorique à l’étude pratique, en partenariat avec le laboratoire Sigma Béton et sur les aspects logistiques avec SATM Transport. » Sur béton frais, ce matériau optimise la maniabilité, la consistance dans le temps. Ou encore la pompabilité sur de grandes distances. « Il permet aussi la réduction de la ségrégation, de la chaleur d’hydratation et de l’exsudation. Sur le béton à l’état durci, la fumée de silice améliore les résistances mécaniques. Mais aussi, la résistance aux attaques chimiques, aux sulfates et aux chlorures, à la corrosion des armatures, aux cycles gel-dégel, aux chocs et à l’abrasion. »Les additions de Condensil peuvent s’utiliser dans différents cas de figure. « Elles sont couramment utilisées dans les Bfup, BTHP et BHP. » La fumée de silice s’adapte aussi à la formulation des bétons projetés, aux bétons d’ouvrages d’art ou exposés à des agressions chimiques. « Son incorporation pour la valorisation de sédiments marins contaminés, comme vu récemment dans le cadre de l’aménagement de la plate-forme de Bessain-Huppain, offre des solutions innovantes et de nouveaux débouchés à cette addition. » GCP Applied Technologies : Toujours dans la tendance Chantier de logements situés à Massy (91).[©GCP Applied Technologies] L’esthétique des bétons est une thématique importante dans l’activité de GCP Applied Technologies. C’est tout naturellement que l’industriel propose des pigments. Si le choix de teintes est vaste, « La gamme standard évolue en fonction des demandes, explique Benoît Baulande, directeur commercial et technique. Elle est le reflet d’un nouvel état d’esprit général. »En effet, les pigments aussi se mettent au vert. Non en termes de couleur, mais dans la démarche écologique, environnementale et de bien-être dans la ville. « Les teintes claires, beige à l’image du Kaolor PF1930 ou ocre/jaune comme le Kaolor PP100 et PP121 font partie de nos best-sellers, alors qu’il y a 10 ans, nous étions sur des bases noires, grises et rouges. Il y a une vraie attente des architectes et des maîtres d’ouvrage autour de la minéralité, du local avec des couleurs de roches régionales. Et la volonté de créer des îlots de fraîcheur à base de Kaolor, contenant des pigments blancs comme le PP 900. »GCP Applied Technologies propose aussi des prémix composés de pigments purs et de métakaolins (gammes PF et PM).« Nous n’utilisons que des métakaolins très clairs, les plus blancs possible. Ils apportent durabilité et réduction des risques d’efflorescence du béton. La part peut aller de 25 à 90 %, selon la demande. »Enfin, il y a un an, GCP a mis à disposition des architectes l’application Pieri. Elle permet non seulement de choisir et de découvrir le nuancier de teintes de l’industriel, mais aussi, de photographier des pierres ou roches et de trouver la couleur disponible la plus proche. Mapei : Des teintes sur mesure Réalisation des zones de parking et de circulation des voiturettes et vélos au Center Parks du Bois aux daims, à Morton (86).[©ATB-Mapei] La spécialisation de Mapei oscille entre les matériaux de construction et la chimie. L’industriel propose une large gamme de produits pour le monde du béton. Optimisation de formules, adjuvantation… Autant de solutions accompagnant les producteurs de matériaux. Parmi ses différents produits, Mapei bénéficie d’une ligne de colorants pour le béton et son esthétique. Sous la marque Mapecolor Pigment, l’industriel propose près de dix teintes standards et une infinité de couleurs sur mesure. En effet, Mapei fournit à ses clients BPE ou préfabricants privilégiés un appui marketing personnalisé. Comme les nuanciers réalisés à partir de leurs matériaux (ciment, additions, granulats).Le conditionnement peut aussi se faire à la demande : big bag, sac papier ou sachet hydrosoluble. Les solutions Mapecolor Pigment peuvent être livrées, en conditionnement standard, entre 48 h et 72 h. D’ailleurs, dans le cadre de sa démarche de développement durable, Mapei s’est engagé dans le programme Fret 21, afin de réduire les émissions de CO2de ses activités de transport. Omya : 136 ans dans le calcaire Omya est spécialisé dans la production de charges calcaires micronisées.[©Omya] Depuis près de 136 ans, Omya est spécialisé dans la production de charges calcaires micronisées. Dans le domaine du béton, l’industriel a développé des additions calcaires sous les marques Betocarb et Betoflow D. « Ces matériaux permettent d’optimiser la compacité des bétons et mortiers. Et d’améliorer la résistance à la ségrégation des compositions, explique Pascal Gonnon, responsable des applications ciment, mortier et béton. Mais aussi, de formuler des liants équivalents, de participer au développement de la résistance mécanique des bétons et de réaliser des mélanges ternaires à faible empreinte carbone. » Les solutions d’Omya peuvent être utilisées pour faire plusieurs types de bétons. « L’évolution des calcaires micronisés industriels et de leurs applications est à corréler avec le développement des bétons innovants, tels que les bétons auto-plaçants depuis les années 2000. »Ces matériaux sont aussi adaptés aux bétons à hautes et à très hautes performances, ainsi qu’à l’impression 3D. « Ces innovations se réalisent dans l’industrie de la préfabrication, des bétons de chantier et prêts à l’emploi. »En ce moment, Omya planche avec l’Afnor sur la mise à jour de la norme NF 18-508 addition calcaire, datant de 1995. « Nous travaillons aussi sur un projet de norme européenne », conclut Pascal Gonnon. Pouzzolanes des Dômes : Léger et isolant Les caractéristiques intrinsèques de la pouzzolane (poreuse et légère) sont des atouts pour les bétons.[©Pouzzolanes des Dômes] La société Pouzzolanes des Dômes exploite et gère une carrière de pouzzolane, située au cœur du Parc régional des volcans d'Auvergne. L’industriel produit près de 120 000 t/an de matériaux utilisés dans de nombreuses applications dont les bétons spéciaux et techniques. Les caractéristiques intrinsèques de la roche (poreuse et légère) sont des atouts pour les bétons. « La pouzzolane apporte de la légèreté et des propriétés isolantes », explique Sébastien Masclet, directeur. La granulométrie choisie est importante dans la confection des bétons réalisés. « Il faut veiller à conserver les bulles d’air naturelles de la roche si l’on veut garantir le caractère isolant. » Ici, les marchés touchés sont à la fois la rénovation et la réhabilitation de bâtiments anciens, pour le côté “béton léger”. Mais aussi, la construction neuve et la maison individuelle pour les “blocs isolants”. L’addition de pouzzolane dans la formulation permet aussi une bonne résistance au gel et aux acides faibles. Côté environnement, la société s’est engagée dans différentes démarches (charte environnement de l’Unicem, “Marque Parc”, relation privilégiée avec le Comité environnemental de l’Impluvium des eaux de Volvic et intervention d’un botaniste sur le site), afin de s’inscrire dans une politique de développement durable en lien avec les enjeux du territoire. Sibelco : Une gamme de plus en plus éco-responsable Le site de Sibelco, en Belgique, dispose désormais d’éoliennes pour ses besoins énergétiques.[©Sibelco] Avec ses 130 sites et ses 5 500 collaborateurs partout dans le monde, le Belge Sibelco est un acteur majeur du traitement des minéraux. Dans la catégorie “additions pour béton”, l’industriel propose différentes formes de sable de silice. « Pour le béton prêt à l’emploi sur chantier ou préfabriqué, nous nous adaptons à la demande, explique Quentin Schotte, responsable marketing construction et fonderie. La granulométrie diffère. Nous avons plusieurs qualités et teintes de sables, qui permettent de jouer sur l’esthétique et de diminuer la part de ciment dans le béton. Et ainsi, de réduire son impact environnemental. »Cette dernière notion est importante pour Sibelco, qui compte bien l’incorporer dans son offre et sa production. « La question de la préservation des matières premières et celle touchant aux émissions de carbone concernent tous les domaines de la construction. Nous travaillons de plus en plus sur des gammes de fillers, de produits pouzzolaniques ou de granulats issus du recyclage. Mais aussi, sur notre façon de produire. Sur notre site en Belgique, nous avons fait implanter des éoliennes pour nos besoins énergétiques et nous mettons en place des parcs de panneaux photovoltaïques flottants sur des lacs de carrières en fin de vie en France et en Belgique. » Sika : Le règne des pigments Sika propose plusieurs gammes et teintes de pigments pour béton.[©Sika] Sika dispose de plusieurs gammes de pigments pour béton. La ligne Sika ColorCrete se présente sous la forme de granulés. Et ce, pour un écoulement fluide, sans dégagement de poussière. Elle est particulièrement adaptée aux bétons architectoniques, à la préfabrication légère, à l’image des pavés, tuiles ou encore bordures… et à la préfabrication lourde. Si Sika propose un large choix de teintes, la version Sika Colocrete Mix permet un service sur mesure.De son côté, le SikaCem Color est un colorant en poudre constitué d’oxydes minéraux. Il convient aux matériaux à base de ciment, de chaux ou de plâtre. La solution de l’industriel suisse se met en œuvre pour la coloration dans la masse des bétons et des mortiers à base de ciment : chapes, jointements, dalles béton ou bétons esthétiques. Le SikaCem Color bénéficie d’une bonne tenue aux UV et n’impacte pas le temps de prise. Il existe en différentes couleurs, telles que le jaune, l’ocre, le bleu, le noir, le rouge ou encore le vert. Et d’autres… Ce “tableau” du marché des additions n’est pas exhaustif. Il existe de nombreux acteurs dans le domaine, à l’image d’Additives, Chryso, Ecocem, Eurotex, Huntsman, Lanxess ou encore Surschiste… Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 252 jours

Le Groupe Léon Grosse annonce le rapprochement avec Kyotec, acteur européen de la façade architecturale

Porté par un chiffre d’affaires record de 826 M€ en 2019 en ligne avec ses objectifs et malgré le contexte difficile de l’année 2020, le Groupe Léon Grosse, ETI du BTP, annonce ce jour une prise de participation majoritaire dans le groupe Kyotec. Créé en 2008 par Thierry Foucart et basé au Luxembourg, Kyotec est également implanté en France, en Belgique, au Royaume-Uni, au Portugal et en Pologne. Le Groupe de 175 collaborateurs a réalisé un chiffre d’affaires de 35 M€ en 2019. Spécialisé dans la conception, l’ingénierie et la gestion de projets de façades architecturales complexes dans les secteurs résidentiel et tertiaire, le Groupe dispose d’un savoir-faire reconnu à l’international. Avec plus de 50 réalisations à son actif depuis 2008, Kyotec se concentre sur des projets alliant innovation technologique, prestige et performance énergétique. Parmi les dernières réalisations : la rénovation de la Tour Aurore à Paris, l’installation du mur rideau sur les tours Mobius à Bruxelles ainsi que de la façade “exosquelette” en acier et verre sur le complexe hôtelier City of Dreams à Macau. Ce rapprochement s’inscrit dans la stratégie de développement de Léon Grosse et illustre la volonté du Groupe de diversifier son activité. Cet accord permet à Léon Grosse d’accompagner la croissance de Kyotec et de se renforcer sur un métier du secteur de la construction à haute valeur ajoutée et porteur d’une image forte. Ce rapprochement permettra également à moyen terme de développer des synergies créatrices de valeur pour les 2 entreprises, notamment en proposant de nouvelles offres autour de structures architecturales complexes basées sur les expertises techniques complémentaires de Léon Grosse et Kyotec, en France et à l’International. Le Groupe Léon Grosse accompagnera également la mise sur le marché de la technologie brevetée ModulAir, un système de traitement de l’air intégré dans les façades pour le neuf ou la rénovation et développé dans l’atelier de test et de prototypage de Kyotec (Le LuxLab). Ce système permet à la fois de maximiser les hauteurs libres disponibles en assurant une qualité d’air ambiant dans les constructions. Photo : Ivan Dupont
Il y a 4 ans et 260 jours

Assurance construction : la liquidation d'un assureur étranger entraîne la résiliation de 60.000 contrats français

"Le 15 septembre 2020, les administrateurs de la compagnie (...) ont prononcé la résiliation et la cessation des effets de tous les contrats d'assurance construction souscrits par les assurés français auprès d'Elite Insurance Company LTD", a fait savoir dans un communiqué l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), nom de ce superviseur.Dans le détail, cette décision porte à la fois sur les contrats d'assurance dommages ouvrage, responsabilité civile décennale, responsabilité civile professionnelle, constructeur non réalisateur, tout risque chantier, constructeur de maison individuelle et garanties financières d'achèvement.En février, le cabinet PWC, chargé de l'administration de la société, affirmait qu'Elite Insurance comptait en France quelque 60.000 assurés, ayant principalement des polices d'assurance construction qui ont une période d'exposition de dix ans.En ce qui concerne l'état des indemnisations, les administrateurs ont indiqué à l'ACPR que les sinistres survenus qui ont fait l'objet d'un accord mais n'ont pas été payés avant le 15 septembre 2020 restent éligibles à une indemnisation.Néanmoins, pour ces sinistres comme pour tous ceux qui n'auraient pas été réglés avant le 15 septembre 2020, les administrateurs anticipent des difficultés de paiement en raison de la situation financière d'Elite Insurance.Les sinistres qui surviendraient après le 15 septembre 2020 ne pourront quant à eux "pas faire l'objet d'une indemnisation du fait de la cessation des contrats", relate le communiqué de l'ACPR.Établie à Gibraltar en 2004, Elite Insurance s'est développée en proposant des produits d'assurance à la fois pour les professionnels et les particuliers en Europe.À partir de fin 2018, la société a toutefois subi une détérioration continue de ses réserves dans un certain nombre de lignes commerciales ainsi que des problèmes avec les recouvrements de certaines bases des actifs.Placée sous administration judiciaire en décembre 2019 et déclarée insolvable par les autorités financières de Gibraltar, la société exerçait ses activités en Belgique, en France, en Allemagne, en Grèce, en Irlande, au Luxembourg, à Malte, aux Pays-Bas, en Norvege, au Portugal, en Roumanie, en Espagne et au Royaume-Uni.
Il y a 4 ans et 268 jours

Une nouvelle direction pour Panasonic chauffage et refroidissement en France et en Belgique

Thierry Ronat remplace José Alves, appelé à d'autres fonctions au sein du groupe.
Il y a 4 ans et 276 jours

Stairs Design Awards : Cérémonie de remise des prix en live

La cérémonie virtuelle de remise des prix du concours Stairs Design Awards a lieu le 3 septembre.Rendez-vous à 19 h sur la page Facebook : www.facebook.com/stairsdesignawards. [©PBM Groupe] PBM Groupe a choisi d’adapter le format de la cérémonie de remise des prix de la 2e édition de son concours Stairs Design Awards. Prévue le 2 avril dernier, elle sera 100 % live le jeudi 3 septembre, à 19 h 00, en direct sur les réseaux sociaux. L’occasion de découvrir les 5 projets lauréats.  Rappelons que Stairs Design Awards est un concours dédié aux étudiants en école d’architecture, en Allemagne, en Belgique, en France. Mais aussi au Luxembourg, au Royaume-Uni et en Suisse. Les participants sont invités à imaginer un escalier innovant en béton. Leurs projets sont soumis à l’évaluation d’un jury. Les 10 finalistes sont désignés pour défendre leurs projets, présentés dans une vidéo de 3 mn maximum. Suivez l’évènement ici. Revivez les meilleurs moments du live ici.
Il y a 4 ans et 289 jours

Zoom sur : Atelier Musset

C’est à l’occasion de la dernière foire COLLECTIBLE de Bruxelles (Belgique) que nous avons découvert l'œuvre de l’artisan et compagnon charpentier Timothée Musset, qui façonne des bois anciens pour créer des meubles contemporains. Fort de son expérience en tant que charpentier, Timothée Musset a lancé l’Atelier Musset pour offrir une seconde vie à des vieux bois de charpente. Installé dans une ancienne grange à Videlles (91), l’Atelier Musset fait de l’ébénisterie d’art, et promeut une approche responsable du design et des matériaux. Grâce à son expérience de compagnon charpentier et sa passion pour les beaux bois, Timothée Musset met l’accent sur la matérialité du bois à travers différents projets et collaborations. Entre douceur et brutalité, les pièces résolument contemporaines de l’Atelier Musset font la part belle aux bois ancestraux. Pour en savoir plus, visitez le site de l’Atelier Musset.Photographies : © Atelier MussetLa Rédaction
Il y a 4 ans et 300 jours

Beepiz, le dispositif d'alarme pour travailleurs isolés (DATI) dépasse les 15.000 téléchargements

Ils permettent d'aviser les secours lorsqu'un salarié fait face à un danger (agression, chute, immobilité prolongée, perte de verticalité…). Ces derniers mois, le confinement et le chômage partiel ont vidé les locaux des entreprises et généré une forte hausse des sollicitations pour Beepiz. Son application a franchi le cap des 15 000 téléchargements.La protection des travailleurs isolés : une obligation légale pour les entreprises Selon l'article R 4543-19 du Code du travail, « un travailleur isolé doit pouvoir signaler toute situation de détresse et être secouru dans les meilleurs délais. »Cette disposition concerne, en France, plus de 3 millions d'employés qui travaillent hors de vue et de voix : ouvriers, techniciens, personnel d'entretien, agents de maintenance, de sécurité, chauffeurs routiers… Pourtant, ce ont seulement de 5% à 10% de ces collaborateurs qui sont équipés d'unDispositif d'Alarme pour les Travailleurs Isolés (DATI). En cause : le coût lié aux équipements et la difficile appropriation d'un appareil encombrant par les salariés.En 2017, Beepiz se positionne en précurseur avec la première application qui transforme le smartphone en dispositif d'alerteL'application comporte 5 modes d'alerte : 2 modes manuels (SOS & Agression) et 3 modes automatiques (détection de chute, d'immobilité prolongée ou de perte de verticalité). En cas de danger, une alerte enrichie comportant les informations nécessaires aux secours (identité, heure, date, type de danger, localisation extérieure, localisation intérieure…) est envoyée aux personnes préalablement définies. Les encadrants disposent quant à eux d'un portail web en ligne leur permettant de gérer et superviser les applications DATI. Ils peuvent ainsi paramétrer les alertes, la localisation intérieure ou vérifier que tous les collaborateurs se portent bien. Une nette croissance des sollicitations durant la crise sanitaireDisponible en version gratuite, standard ou premium, Beepiz a été développée pour répondre aux besoins de clients de taille et d'univers très différents (usines, services à la personne, entretien, sociétés de services, collectivités territoriales, BTP, Établissements de santé…)Cette flexibilité, inhérente à la solution, a été le mot d'ordre de son éditeur dans le contexte particulier de la crise sanitaire. Objectif : accompagner au mieux les entreprises durant cette période inédite.Julien Rousseau, dirigeant de Beepiz indique :« Pour faire face au Covid-19, les entreprises ont dû se réorganiser dans l'urgence. Nous avons ainsi connu une forte hausse des sollicitations. Beaucoup de structures devaient en effet sécuriser les collaborateurs qui continuaient de se rendre sur les sites parfois presque vides du fait du recours prioritaire au télétravail et du chômage partiel. Au regard du contexte et pour accompagner au mieux ces dernières ainsi que leurs salariés, nous nous sommes engagés sur un déploiement accéléré : activation de la licence sous 2h et formation à la prise en main sous 6h.Sur la période, nous avons enregistré 76 nouveaux clients, soit + 150 % par rapport à l'année précédente, (et même 850% d'augmentation de licences vendues sur les 6 premiers mois 2020 par rapport à la même période en 2019) et plus de 2300 téléchargements de l'application avec des pics à 100 téléchargements par jour. Notre leitmotiv est de gagner du temps pour sauver des vies et nous sommes particulièrement fiers d'avoir pu mettre notre savoir-faire au service de ceux qui n'avaient pas la possibilité de rester chez eux. »Forte de cette expérience et convaincue de sa capacité d'adaptation, Beepiz - qui a réalisé une progression de 90 % de ses ventes entre 2018 et 2019 - se projette désormais sur son déploiement en France mais aussi à l'international, en ciblant, dans un premier temps, la Belgique, la Suisse et l'Italie. L'entreprise compte ainsi se renforcer avec l'intégration d'un Business Developer International et l'ouverture de 13 postes de commerciaux, de techniciens et de développeurs à pourvoir sur la période fin août/début septembre.
Il y a 4 ans et 307 jours

Rector Lesage : « Saisir les opportunités s’inscrit dans notre stratégie »

Retrouvez cet article dans le numéro 89 de Béton[s] le Magazine. Rémi Lesage, président, et Ronan Blanchard, nouveau directeur général du groupe Rector Lesage. [©Rector Lesage] Rector Lesage vient d’opérer un changement de direction générale : départ à la retraite de Pierre Laplante. Cela va-t-il entraîner une modification de la stratégie d’entreprise ? Ronan Blanchard : La stratégie d’une entreprise ne dépend pas d’une seule personne. Mon arrivée pour prendre la suite de Pierre Laplante n’a donc pas remis en cause les choix opérés dans le cadre du plan à moyen terme déjà en place. Je considère d’ailleurs ce dernier comme pertinent. Toutefois, des adaptations ou des simplifications peuvent toujours y être apportées… L’outil industriel doit aussi être mis au cœur de notre stratégie, car c’est lui qui garantit la qualité des produits proposés par Rector. Rémi Lesage : En revanche, la crise du coronavirus va Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne avoir des répercussions sur le marché. Malgré le rebond lié au déconfinement, qui va s’opérer dans les mois qui viennent, l’année 2021 sera sans doute assez compliquée… Cette situation a aussi fragilisé des entreprises et des opportunités vont se présenter, sans doute plus tôt que prévu. Rector a plutôt bien traversé cette période et reste à l’écoute du marché.  Quelles sont les orientations actuelles de Rector en matière de produits ? R. L. : Rector reste leader dans le domaine de la poutrelle précontrainte et est très bien positionné sur celui de la prédalle. Quant au mur coffrage intégré, il est le complément naturel des solutions constructives horizontales. Dans l’avenir, ces produits continueront à être au cœur de notre activité. R. B. : Toutefois, Rector a de nombreux projets en développement… Si des diversifications sont bien programmées à moyen terme et en fonction des opportunités que nous apportera le marché, les champs de recherche sont plutôt centrés sur les optimisations de coûts, de services ou de formulations des bétons. A ce niveau, notre R&D est aujourd’hui pilotée par André de Chefdebien et Emmanuel Boichon, rejoints depuis un an par Eric Stora. Bétons bas carbone et matières premières biosourcées font partie de nos réflexions prioritaires. Enfin, s’il doit y avoir une rupture, ce sera plus dans la manière d’utiliser les solutions constructives et pas forcément sur les produits eux-mêmes. Rector reste-t-il toujours centré sur le bâtiment ? Ou bien l’acquisition de LB7 lui a-t-il ouvert de plus grandes perspectives en génie civil et en travaux publics ? A l’image des poutrelles précontraintes, les produits destinés au bâtiment constituent le cœur de métier du groupe Rector Lesage. [©Rector Lesage] R. B. : Le bâtiment, au sens large du terme, est dans l’ADN de Rector. Et nous avons encore beaucoup de choses à y écrire. Les bâtiments moins énergivores ou reconfigurables se présentent comme des défis que nous avons l’ambition de relever justement. Il est aussi difficile de concevoir que Rector soit un acteur peu présent dans le vertical. Notre mur coffrage intégré devra donc occuper une place plus importante sur le marché. Par contre, il est peu probable que nous devenions un acteur du bloc béton. Et encore moins dans le domaine du béton prêt à l’emploi ! R. L. : Même si nous savons faire des produits pour d’autres domaines, les activités “non bâtiments” occuperont encore une place minoritaire dans notre éco-système, car un développement tous azimuts n’est ni souhaitable, ni sans risque pour une entreprise… Vous avez créé la marque Neo Planchers et Murs Réinventés sur la façade Atlantique en 2015. Pourquoi ce choix ? R. B. : Il n’est pas exceptionnel qu’un industriel, dont la marque est connue crée une marque secondaire. Néo P&MR s’inscrit dans cette logique pour répondre à des besoins particuliers : celui d’un meilleur maillage local, celui d’une typologie de clients différents de ceux de Rector, celui d’une structure plus légère, plus réactive. Et cette entité peut aussi être le réceptacle de quelques intégrations secondaires, si l’opportunité se présente. Néo P&MR a permis de fusionner en une entité unique les marques Planchers Fabre, présentes surtout sur le Sud-Ouest de la France et LB7, basée dans les Deux-Sèvres. Il est vrai que ces deux sociétés ont une grande complémentarité géographique. Vous avez dit que l’outil industriel devait être au cœur de la stratégie de Rector. L’extension de l’usine de Tournefeuille, en Haute-Garonne en est donc la parfaite illustration ? R. B. : L’usine est magnifique ! Un investissement de 20 M€ pour Rector… Le nouveau hall est dédié à la production de murs à coffrage intégré, solution qui manquait dans le Sud-Ouest. Jusqu’à présent, ces éléments devaient être acheminés depuis notre usine de Nantes ou de Marseille. L’outil de Tournefeuille va nous permettre de gagner des parts de marché sur ce produit. Il est aujourd’hui en cours de test avec la production de prédalles. Son démarrage effectif interviendra au cours du dernier trimestre de cette année. Rector est aussi présent à l’international, en Belgique et en Europe centrale. Où en sont les développements de ce côté-là ? Rector Lesage vient d’investir 20 M€ dans l’extension de l’usine de préfabrication de Tournefeuille, en Haute-Garonne. Dès la fin de cette année, l’unité assurera la production locale de murs à coffrage intégré. [©Rector Lesage] R. B. : Après Chrzanow, dans le Sud de la Pologne, nous sommes en train de finaliser la construction et l’aménagement de notre 2e usine, implantée à proximité de Varsovie. Elle devrait être opérationnelle à la rentrée. Les deux unités de production ont la même typologie : production de poutrelles précontraintes et de prélinteaux pour l’essentiel. La Pologne est un pays qui nous a surpris par sa résilience. La crise du coronavirus l’a certes touché, mais il est depuis reparti très vite… Nous continuons aussi à livrer nos produits en Tchéquie et en Slovaquie… Par contre, malgré un bon démarrage, la Russie n’a pas tenu ses promesses, ce qui nous oblige à quitter ce marché aujourd’hui, avec la fermeture définitive du bureau de Moscou au 31 décembre prochain. Il y a quelques années qu’existe l’espace Campus. Quel est son objectif ? R. L. : Il s’agit de notre pôle de formation interne, créée par Jean-Paul Beckert il y a une vingtaine d’années, quand il occupait le poste de directeur général. Notre volonté a toujours été d’embaucher un minimum d’apprentis. Mais il n’y a pas de formation spécifique d’opérateur en préfabrication au sein de l’Education nationale. Cette dernière ne peut pas tout faire. Nous avons donc appliqué le proverbe “Aide-toi et le ciel t’aidera”, en fondant notre propre école. Le Campus Rector constitue aussi la pépinière de talents interne de l’entreprise. Propos recueillis par Frédéric Gluzicki Ronan Blanchard, de la chimie à l’industrie du béton Ronan Blanchard, 46 ans, a pris les fonctions de directeur général de Rector Lesage depuis le mois de janvier 2020. Il a ainsi succédé à Pierre Laplante, qui a fait valoir ses droits à la retraite, après 10 ans passés à piloter le groupe au quotidien. Ronan Blanchard a pris ses fonctions dans des circonstances particulières, alors même que la crise du coronavirus montait en puissance... Bien connaître l’industrie et le secteur de la préfabrication fut donc un atout majeur pour assurer cette transition. Ingénieur en génie des procédés de formation, diplômé de l’Ecole nationale supérieure des industries chimiques, Ronan Blanchard a débuté sa carrière dans ce domaine d’activité. C’est seulement en 2007 qu’il rejoint le monde du béton, en intégrant le groupe breton Quéguiner. En qualité de directeur industriel, puis de directeur général de Celtys, branche préfabrication de l’entreprise. Ceci, avant d’accéder à la direction générale du groupe, poste qu’il gardera jusqu’en 2016. Ensuite, Ronan Blanchard a choisi une nouvelle orientation, en rejoignant SFA, pour y prendre, là encore la direction générale France des entités Kinedo et Watermatic. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 307 jours

Daf Ready to go : Des véhicules carrossés disponibles rapidement

Le nouveau service Ready to go de Daf propose des toupies disponibles très vite. [©Daf] De tout nouveaux produits, tels qu’une toupie, une benne, une superstructure bâchée ou d’autres porteurs prêts à l’emploi disponibles immédiatement. Avec l’introduction de Daf Ready to go, chaque opérateur ayant besoin très vite de véhicules carrossés spécifiques. Peut compter sur la meilleure sélection d’équipements pré-configurés et carrossés. Disponibilité immédiate d’environ 100 véhicules Pour les camions porteurs les plus courants, comme les toupies, les bennes et les fourgons bâchés. Daf a créé un stock adapté de véhicules industriels prêts à l’emploi. Dans les pays où le service Ready to go est déjà disponible, il est possible de parcourir l’ensemble du stock européen. Via une fonction de recherche intuitive sur le site national Daf Trucks. Il s’agit là de passer commande auprès du distributeur local, quel que soit l’endroit en Europe où se trouve le camion. Après vérification des spécifications, la livraison a lieu dans les plus brefs délais. Tous les porteurs pré-configurés prêts à l’emploi en stock sont équipés d’une carrosserie spécifique à leur secteur d’activité. Ainsi, le programme Read to go  démarre avec la disponibilité immédiate d’environ 100 véhicules. Ce nombre augmentera à mesure que le programme se développera dans toute l’Europe. Pour le moment, ce service  est disponible en Allemagne, en Belgique, en France, en Italie, aux Pays-Bas, en Pologne, en République tchèque et en Slovaquie. D’autres pays européens suivront au cours de l’année.