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Résultats de recherche pour biennale

(671 résultats)
Il y a 7 ans et 3 jours

Andrew D. Berman : Chapelle

Pour la première fois de son histoire la cité-état du Vatican fait son entrée dans la prestigieuse Biennale de Venise (Italie). Une présence célébrée par dix architectes venus du monde entier, réinterprétant chacun à leur manière le thème de la chapelle sur l'Île de San Giorgio Maggiore. Un exercice de style qui dépoussière quelque peu l'image du siège de l'Église catholique. Il aura donc fallu attendre plus d'un siècle avant que le Vatican ne fasse participe à la très réputée Biennale d'architecture de Venise, manifestation artistique de renommée mondiale, créée en 1895.Parmi les dix personnalités choisies par l'historien de l'architecture Francesco Dal Co, mandaté par la cité-état, pour imaginer l'église de demain : Eva Prats & Ricardo Flores (Espagne), Eduardo Souto de Moura (Portugal), Francesco Cellini (Italie), Norman Foster (Royaume-Uni), Smiljan Radic (Chili), Carla Juaçaba (Brésil), Javier Corvalán (Paraguay), Sean Godsell (Australie), Teronobu Fujimori (Japon), et Andrew D. Berman (États-Unis). Tous les pavillons sont démontables afin de pouvoir être installés par la suite dans des contrées dépourvues de lieux de culte. C'est sur l'église made in USA que notre attention se portera.Andrew D. Berman est un architecte américain installé à New York depuis 1995, dont le travail a été salué par une pluie de récompenses. C'est à lui qu'on doit par exemple le pavillon d'entrée du MoMa/PS1 de New York ou la Bibliothèque Stapleton, située dans le même état.À Venise, le maître d'"uvre propose un plan triangulaire fermé par d'épais murs sur deux de ses côtés et entièrement ouvert aux éléments et aux vues sur le troisième. L'espace ainsi créé, recouvert du sol au plafond de panneaux de contreplaqué peints en noir, contraste avec son bardage extérieur en polycarbonate blanc, aussi bien utilisé verticalement pour l'habillage des parois que pour sa toiture à un pan. Une simplicité de conception qui laisse place à l'essentiel : un banc, tout de blanc vêtu, qui trône fièrement au-dessus des deux marches occupant la largeur de l'entrée. Ces trois volumes constituent les seuls reliefs de la pièce imaginée par Andrew D. Berman. Une réinterprétation en négatif de l'église conçue dans les années 1920 à Stockholm par le Suédois Gunnar Asplund, elle aussi triangulaire mais blanche à l'intérieur et noire à l'extérieur, qui a servi de référence pour la commande du Vatican. Ici, le visiteur est donc invité à s'assoir pour observer ce qui l'entoure. Et plus si affinité... Biennale d'architecture de Venise, Venise (Italie), jusqu'au 25 novembre 2018 Pour en savoir plus, visitez le site de Andrew D. Berman Photographies : Alessandra Chemollo
Il y a 7 ans et 9 jours

Le pavillon nordique de la Biennale d'architecture de Venise présente "Another Generosity"

Le pavillon nordique de la Biennale d’architecture de Venise présente "Another Generosity"  une exposition remplie d’immenses bulles gonflables qui se dilatent et se contractent lentement… Cet article Le pavillon nordique de la Biennale d’architecture de Venise présente "Another Generosity" est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 9 jours

Cap sur la biennale d'architecture de Venise

Cette année, la Biennale d’architecture de Venise qui a été inaugurée le 26 mai 2018, a pour thème « Freespace » et dont les deux architectes Yvonne Farrell et Shelley McNamarade de l’agence irlandaise Grafton Architects sont les commissaires, se démarque par une architecture humaniste qui octroie l’attention à un contexte naturel et social. 
Il y a 7 ans et 10 jours

A Venise, liberté bien ordonnée (freespace) commence par soi-même

La 16e biennale d'architecture de Venise a ouvert ses portes au public le samedi 26 mai 2018, les commissaires présentant l'événement en avant-première aux professionnels les jours précédents. Chroniques d'architecture y était. Récit. Succédant à Alejandro Aravena ou Rem Koolhaas, […] L'article A Venise, liberté bien ordonnée (freespace) commence par soi-même est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 10 jours

Isoropia, le pavillon danois de Venise à l'épreuve des balles

Pour son pavillon intitulé Isoropia présenté à la Biennale de Venise 2018, le Danemark s'en est remis à une approche pluridisciplinaire et industrielle en s'appuyant sur un textile architectural dont des acteurs locaux sont les inventeurs. Pour l'architecture ? L’Académie […] L'article Isoropia, le pavillon danois de Venise à l'épreuve des balles est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 10 jours

Young Architects in Latin America " Les lauréats

A l'occasion de la Biennale de Venise et du vernissage de l'exposition Young Architects in Latin America à la CA'ASI, Architecture-Studio a dévoilé le 25 mai 2018 les noms des trois lauréats du concours. Les projets récompensés* témoignent d'une démarche […] L'article Young Architects in Latin America – Les lauréats est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 10 jours

Peter Zumthor présente un atelier de maquettes à la Biennale de Venise

Peter Zumthor a installé un atelier de ses maquettes à l’intérieur du pavillon central des Giardini lors de la Biennale d’architecture… Cet article Peter Zumthor présente un atelier de maquettes à la Biennale de Venise est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 11 jours

Encore Heureux et ses dix lieux infinis à la Biennale de Venise

Encore Heureux, l'agence parisienne de Nicola Delon, Julien Choppin et Sébastien Eymard, représente la France à la biennale internationale d'architecture… Cet article Encore Heureux et ses dix lieux infinis à la Biennale de Venise est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 11 jours

Eduardo Souto de Moura et la Suisse remportent les Golden Lions à la Biennale d'architecture de Venise

L’architecte portugais Eduardo Souto de Moura a reçu le Lion d’Or du meilleur projet présenté à la Biennale d’Architecture de Venise , tandis que… Cet article Eduardo Souto de Moura et la Suisse remportent les Golden Lions à la Biennale d’architecture de Venise est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 12 jours

Biennale d'architecture 2018 : éventail de choses vues à Venise [diaporama]

La 16e édition de l'exposition internationale d'architecture de Venise, en Italie, a ouvert au public le 26 mai et durera jusqu'au 25 novembre. Auparavant, les professionnels et la presse avaient pu profiter de trois journées de visite en avant-première. Un temps d'inauguration, de discussions et de récompenses. Le pavillon de la Suisse a ainsi reçu le Lion d'or de la meilleure participation nationale.
Il y a 7 ans et 14 jours

Découvrez le Pavillon français inauguré à la 16e exposition internationale d'architecture de Venise

Jean-Yves Le Drian, ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, et Françoise Nyssen, ministre de la Culture, saluent l'inauguration, ce vendredi 25 mai 2018, du Pavillon français de la 16e Exposition internationale d'architecture - La Biennale di Venezia.
Il y a 7 ans et 14 jours

Encore Heureux : Lieux Infinis

Ça y est ! La 16e Biennale d'Architecture de Venise vient d'être inaugurée et avec elle le Pavillon français. Imaginé par le collectif parisien Encore Heureux, rois de la récup' et de la bonne idée, l'installation intitulée Lieux Infinis est une ode à l'architecture sociale, responsable et inventive de l'Hexagone. Un vent de fraîcheur dont la discipline avait bien besoin ! Le choix des commissaires d'exposition du Pavillon français avait de quoi faire grincer les dents les plus conservateurs. Et pour cause, les membres du collectif Encore Heureux sont caractérisés par leur amour du recyclage, de la débrouille ainsi que par leurs opinions politiques bien affirmées. Un fil d'Ariane que l'on retrouve dans une grande partie de leurs réalisations, que ce soit le Pavillon Circulaire conçu avec des éléments de récupération, installé en 2015 sur le parvis de l'Hôtel de Ville de Paris (3e arrondissement) à l'occasion de la COP 21 ; ou encore le Passage Miroir prenant place sous le périphérique de la Porte de Montmartre (18e arrondissement) depuis 2017 pour accueillir le marché des Biffins. Des ouvrages aux matériaux " souvent du bois ", et aux formes simples, porteuses d'un message social.Leurs prises de position ne s'arrêtent pas là. En avril dernier, Julien Choppin et Nicola Delon, chargés de l'aménagement du prestigieux pavillon français, défendaient les qualités architecturales des installations zadistes de Notre-Dame-des-Landes. Un décor bien différent de celui du célèbre évènement vénitien ! Le thème de la seizième édition de la manifestation, choisi par les architectes irlandaises Yvonne Farrell et Shelley McNamara, était " Freespace ". Une notion vague évoquant la liberté et le partage, qui permet aux différents pays de laisser libre court à leur imagination. Des concepts centraux dans les travaux d'Encore Heureux, qui présente ici dix bâtiments français exemplaires répondant au sujet. " Nous présentons ici un choix subjectif de dix lieux issus de rencontres. Ce ne sont pas des modèles mais des signaux faibles qui ouvrent des perspectives protéiformes et subversives. Ils existent par leur volonté d'expérimenter, presque toujours à partir d'un bâtiment hors d'usage, d'un site délaissé. " Julien Choppin, Nicola Delon et Sébastien Eymard, architectes chez Encore Heureux et commissaires du pavillon français On retrouve ainsi, dans cette sélection, des endroits bien connus des artistes et noctambules parisiens tels que le Centquatre (19e arrondissement), établissement public culturel installé dans d'anciennes pompes funèbres où les danseurs évoluent parmi des expositions artistiques inventives, ou les Grands Voisins (5e arrondissement), ancien hôpital accueillant aussi bien des résidences, des ateliers créatifs, des marchés que des concerts et soirées. Le 6B, immeuble tertiaire désaffecté de Saint-Denis (93) abritant une résidence d'artiste et des espaces de fête, ainsi que La Ferme du Bonheur, une association explorant les pratiques alternatives artistiques, gastronomiques, scientifiques et agricoles, installée dans le campus de l'Université Paris-Nanterre (92) ou encore Les Ateliers Médicis à Clichy-sous-Bois Montfermeil (93), laboratoire de création artistique viennent représenter la banlieue. Pas d'inquiétude, la province est également exposée. À Colombelles (14), une usine métallurgique abandonnée abrite désormais un centre de réemploi tandis qu'à Rennes (35), l'Hôtel Pasteur recueille les Bretons en quête de liberté créative. Dans le sud, la commune de Midi-Pyrénées (32), Auch fait d'un ancien couvent le fief de l'habitat partagé auto-construit et écologique et Marseille (13) bénéficie d'un nouvel espace culturel appelé La Friche de la Belle de Mai. Enfin, le Tri Postal à Avignon (84) est une friche ferroviaire réhabilitée en centre d'accueil destiné aux plus démunis. Une sélection rafraîchissante qui prouve qu'une architecture intelligente n'est pas nécessairement synonyme de gros moyens. Pour en savoir plus, visitez le site d'Encore Heureux Photographies : Alexa Brunet
Il y a 7 ans et 15 jours

Le visage humain de l'architecture à la Biennale de Venise

La 16ème édition de la Biennale d'art de Venise ouvre ses portes samedi en mettant en vedette des projets simples et concrets, reflets d'une discipline divisée entre éthique et esthétique.
Il y a 7 ans et 17 jours

"Nous sommes tout à fait juge et partie", Julien Choppin, Nicola Delon et Sébastien Eymard, architectes

Alors qu'à Venise, la 16e Biennale d'architecture ouvrira au public le 26 mai, les trois commissaires du pavillon de la France décrivent les 10 " Lieux infinis " qu'ils ont choisis de montrer. Autant de sites emblématiques d'une autre manière de faire la ville, plus engagée politiquement, socialement ou sur le terrain de l'écologie.
Il y a 7 ans et 21 jours

Événement : Akari, Sculpture by Other Means et Akari Unfolded

Si le nom Akari ne vous dit rien, vous ne pouvez pourtant pas être passé à côté de ces illustres luminaires. Inspirées des lanternes japonaises, ces suspensions iconiques font l'objet de deux expositions au Noguchi Museum de New York (USA) jusqu'à janvier 2019. Autant d'occasions de découvrir l'histoire et les déclinaisons de ce qui est plus qu'un simple abat-jour en papier... Dans un premier temps, " Akari, Sculpture by Other Means " retrace l'histoire de l'élément d'éclairage aux multiples déclinaisons, rendu célèbre par le sculpteur américano-japonais Isamu Noguchi dans les années 1950 : un clin d'"il à un rite nippon " la pêche de nuit sur la rivière Nagara éclairée par des veilleuses ", qui a aujourd'hui intégré la culture populaire mondiale. Faites de bambou et de washi " papier fabriqué à la main à partir d'écorce de mûrier ", ces sculptures lumineuses sont une parfaite combinaison d'inspiration orientale, de technologie " puisque cette technique ancestrale est ici combinée à l'électricité ", et d'art contemporain. Un mélange si détonnant qu'il sera mis à l'honneur en 1986 durant la Biennale d'Art Contemporain de Venise où il a été demandé au plasticien d'orner le pavillon américain de ses créations inédites aux silhouettes variées. Dans la continuité de ce premier événement, l'exhibition " Akari Unfolded: A collection by Ymer & Malta " présente une sélection de 26 déclinaisons du studio de design français Ymer & Malta, en collaboration avec six autres confrères " nendo, Sebastian Bergne, Stephen Burks, Océane Delain, Benjamin Graindorge et Sylvain Rieu-Piquet. Toujours en gardant en tête l'alliance entre artisanat traditionnel et réalisations contemporaines, les créateurs proposent ici des lampes toutes plus originales les unes que les autres, constituant l'héritage de l'Akari d'Isamu Noguchi. Un duo d'événements complémentaires, liant passé et avenir, à l'image des réalisations de l'artiste auxquelles il rend hommage. Pour en savoir plus, visitez le site du musée Isamu Noguchi Photographies : DR
Il y a 7 ans et 25 jours

" Faire battre le c"ur des villes " à la biennale d'architecture de Caen

In situ 2018, cinquième biennale d'architecture et d'urbanisme de Caen, se déroulera du 10 au 21 octobre 2018?
Il y a 7 ans et 37 jours

Peter Pichler Architecture : Future Space

Sur la pelouse de la cour d'honneur de l'Université de Milan (Italie), l'installation Future Space de l'agence Peter Pichler Architecture, pavillon complexe composée de plus de 1 600 poutres de bois, a fait parler d'elle ! Exposée à l'occasion du Salone del Mobile, elle proposait aux visiteurs une expérience sensorielle unique. C'est un OVNI de 130 mètres carrés qui semble s'être déposé au centre du péristyle néoclassique de l'Université de Milan. Trois parois courbes inclinées s'y rejoignent " sans se toucher ", pour former une enceinte pyramidale avec, en son sommet, un puits de lumière. Chacune est composée d'un maillage de poutres en bois simplement empilées à angle droit, dont la réalisation a été permise grâce aux calculs et aux savoir-faire du spécialiste de la construction bois Domus Gaia. Du reste, c'est un édifice autoportant de douze tonnes qui ne doit sa stabilité qu'à la pose des planches le composant, tantôt sur le plat tantôt sur le chant des planches. Leurs murs de forme concave permettent trois entrées : une principale par laquelle les visiteurs circulent, ainsi que deux secondaires dirigées vers d'autres réalisations. À l'intérieur, le promeneur découvrait alors symétrie, proportion et géométrie : éléments fondamentaux de l'architecture de la Renaissance. C'est là toute la force du projet. Devant l'imposante colonnade de pierre de l'Université de Milan, Future Space s'impose comme la démonstration que le bois peut être tout aussi grandiose que la roche, et sera peut-être le matériau de construction demain. " Je pense que notre installation reflète notre façon de travailler et ce qui est important pour nous : la beauté, la durabilité, l'impact de la lumière et de l'ombre, et l'expérience spatiale. " Peter Pichler , architecte Future Space est la première d'une série de structures temporaires construites dans le cadre de " House in Motion ", un projet lancé par le magazine italien Interni ayant pour but de créer des "uvres qui " regardent vers le futur ". Et pour l'architecte Peter Pichler l'avenir se trouve dans le bois : " Le bois tiendra un rôle de plus en plus important dans le monde architectural ". Une création temporaire à retrouver à partir du 26 mai 2018 à la Biennale d'architecture de Venise ! Pour en savoir plus, visitez le site de Peter Pichler Architecture Photographies : Oskar Dariz
Il y a 7 ans et 38 jours

Des Zadistes à Venise !

De la ZAD à la Biennale d’architecture 2018, pour le collectif Encore Heureux, il ne se sera passé qu'à peine deux mois. Ces rois de la bricole vont donc représenter la France dans le grand raout bisannuel de l’architecture, aux […] L'article Des Zadistes à Venise ! est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 45 jours

Master Class du grand prix national de l'architecture à Venise : appel à candidature

Le ministère de la Culture vient de lancer un appel à candidature pour un master class destiné aux étudiants d'architecture en deuxième cycle. Workshop d'une semaine à Venise à l'occasion de la Biennale en juillet suivi d'un compte-rendu en décembre à la Cité du Patrimoine, cet événement veut engager une réflexion estudiantine autour de la formation, de la recherche et des métiers de l'architecture. Les étudiants ont jusqu'au 12 mai pour déposer leur dossier de candidature....
Il y a 7 ans et 45 jours

Pour le Prix W 2018, 132 jeunes architectes ont pris d'assaut le fort de Villiers [diaporama]

Pour sa 8e édition, le concours d'idées organisé par la Fondation Wilmotte incitait étudiants et jeunes diplômés à sortir une ancienne emprise militaire de Noisy-le-Grand de sa torpeur. Le jury a choisi trois projets lauréats et en a mentionné cinq autres. Une exposition se tiendra à la galerie de la Fondation à Venise, dans le cadre de la Biennale internationale d'architecture.
Il y a 7 ans et 51 jours

Kenneth Frampton rugit à Venise

Architecte, historien, critique d'architecture et enseignant, le britannique Kenneth Frampton reçoit le Lion d'Or de la Biennale de Venise pour l'ensemble de sa carrière...
Il y a 7 ans et 52 jours

Événement : Freeing Architecture

Jusqu'au 10 juin 2018, la Fondation Cartier pour l'art contemporain de Paris (14e) offre à ses visiteurs un voyage au c"ur de l'"uvre de l'architecte japonais Junya Ishigami. Une quarantaine de maquettes conçues spécialement pour l'occasion, accompagnées de films et de dessins, composent ainsi une promenade poétique intitulée " Freeing Architecture ". Pensée elle-même comme un projet d'architecture, l'exposition répond à l'un des enjeux majeurs de l'artiste : considérer le contexte comme partie intégrante de la réalisation. En effet, Junya Ishigami perçoit le premier art comme un phénomène naturel. C'est pourquoi des formes telles que la forêt, le rocher ou les animaux dessinent son imaginaire onirique, tout en effaçant la frontière entre le dehors et le dedans. Autour de maquettes façonnées à la main pendant près d'un an, de croquis et de documents techniques, l'on observe la construction d'"uvres phares de ce lauréat du Lion d'or 2010 de la Biennale de Venise. Parmi elles, la salle d'études de l'Institut de Technologie Kanagawa (Japon), espace de plus de 2 000 mètres carrés de plain-pied habillé de verre uniquement composé de 305 fines colonnettes, de sections variées, entre lesquelles se trouvent des zones de travail : menuiserie, administration, impression, etc. Une multiplicité de fins potelets, qui n'est pas sans évoquer une forêt de bambous. " J'aime penser librement, avoir une vision la plus souple, la plus ouverte, la plus subtile possible, pour dépasser les idées reçues sur l'architecture. " Junya Ishigami, architecte Bien plus qu'une source d'inspiration ou un obstacle, la nature est la réalité même de la réalisation. Le bâtiment devient alors un élément à inscrire dans le paysage, qu'il doit non pas supplanter mais magnifier. Junya Ishigami, reconnu dans le monde entier pour la délicatesse de ses constructions, esquisse sa vision d'une architecture qui ne cherche pas à dominer son environnement, seulement à le servir. En superposant différents environnements, l'architecte a su faire d'un jardin de plus de 16 600 m² à Tochigi (Japon) un lieu surnaturel où des arbres provenant du site de construction de l'hôtel limitrophe se mêlent à une myriade d'étangs irrigués par l'ancienne vanne de la rizière existante. Plus féérique encore, la Maison de la Paix à Copenhague (Danemark), nuage monumental de 17 mètres de hauteur sous lequel une centaine de visiteurs peut naviguer à bord de barques circulaires. Ou encore une maison/restaurant réalisée en béton moulé directement sur des monticules de terre, excavés par la suite afin de laisser place à des espaces de vie. Tout au long de l'exposition, Junya Ishigami nous dévoile un univers presqu'enfantin, dans lequel il semble s'affranchir de toute contrainte technique... et pourtant ses édifices ne sont pas des chimères. Une flânerie contemplative hors du temps qui ravira les plus grands rêveurs. Junya Ishigami, Freeing Architecture jusqu'au 10 juin 2018 à la Fondation Cartier pour l'art contemporain, Paris (14e). Pour en savoir plus, visitez le site de la Fondation Cartier. Photographies : Luc Boegly
Il y a 7 ans et 60 jours

Collectif Parenthèse : Makein Mouchkil

À l'occasion de la première édition marocaine de la biennale d'architecture Agora, axée sur " l'entre-deux " séparant Rabat et de Salé, le jeune collectif français Parenthèse s'associe à l'École d'Architecture de l'Université Internationale de Rabat (UIR) pour proposer un ensemble de structures en bois aussi ludiques que pédagogiques. Par le biais de trois incursions urbaines, le workshop Makein Mouchkil questionne les habitants sur leur perception de leur environnement, leur rapport à la terre et à l'eau, ainsi que sur les liens existants entre ces deux villes du Maroc, situées sur les deux rives du fleuve Bouregreg. Côté Rabat, la première installation, placée en surplomb du cours d'eau, consiste en un espace de repos en bois composé de sièges inclinés coiffés par une clairevoie en tasseaux filtrant la lumière du soleil. Un lieu dédié à la relaxation, qui crée par ailleurs une avancée symbolique de la ville vers sa voisine Salé. Il permet également d'admirer une seconde intervention du Collectif Parenthèse : un oeuvre composée de simples baguettes en bois disposées en éventail sur des plots fluviaux en béton. Mais le clou du spectacle réside dans une structure composée d'échafaudages et d'une scène en bois, installée sous le pont reliant les deux cités. L'ensemble, nommé à juste titre " Traits d'Unions ", est dédié à l'accueil de différentes manifestations : conférences, ateliers, débats, etc. Un espace de rencontres sobre et convivial, à l'image des réalisations du collectif parisien. Une première édition d'Agora Maroc prometteuse. Pour en savoir plus, visitez le site de Collectif Parenthèse Photographies : DR
Il y a 7 ans et 72 jours

Le Vatican fera son entrée à la Biennale de Venise avec dix chapelles imaginées par dix architectes

C’est une année très spéciale pour la Biennale d’architecture de Venise. Pour la première fois la cité du Vatican présentera sa… Cet article Le Vatican fera son entrée à la Biennale de Venise avec dix chapelles imaginées par dix architectes est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 74 jours

Junya Ishigami, Freeing Architecture

La Fondation Cartier pour l'art contemporain présente Freeing Architecture, la première grande exposition personnelle de Junya Ishigami. Jusqu'au 10 juin 2018. Figure majeure et singulière de la jeune scène architecturale japonaise, Lion d'or à la Biennale d'architecture de Venise en […] L'article Junya Ishigami, Freeing Architecture est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 74 jours

L'hommage de l'Atelier de l'ours aux jardiniers inventeurs

Les hommes rivalisent d'astuces pour irriguer leurs jardins. Mi-mars à la biennale Nature et Paysage de Blois, consacrée cette année à l'eau, les paysagistes et designers de l'Atelier de l'ours ont rendu justice à l'ingéniosité des jardiniers et inventeurs anonymes, à travers trois prestations : une exposition à l'Institut national des sciences appliquées, hôte de l'événement, des installations dans la ville et un livre édité pour l'occasion par Actes Sud.
Il y a 7 ans et 78 jours

Le Vatican va faire ses débuts à la biennale de Venise avec dix chapelles

Le Vatican a annoncé mardi qu'il participerait pour la première fois à la biennale d'architecture de Venise (26 mai-25 novembre), avec un projet de dix chapelles réalisées par des architectes célèbres, dont le Britannique Norman Foster.
Il y a 7 ans et 79 jours

Un morceau de cité déplacé de Londres à Venise

Le V&A présentera Robin Hood Gardens: A Ruin In Reverse à la 16e Exposition internationale d'architecture, en collaboration avec La Biennale de Venise. Un film commandé à l'artiste coréen Do Ho Suh documentera l'architecture et les intérieurs de la cité brutaliste londonienne actuellement en cours de démolition.
Il y a 7 ans et 80 jours

Grand prix 2018 des Architectes français à l'export (Afex) : les dix finalistes

La liste des dix finalistes du palmarès du Grand prix Afex 2018 a été dévoilée le 14 mars 2018 à Cannes, dans le cadre du MIPIM. Le lauréat du Grand prix sera annoncé lors de la prochaine biennale de Venise? […] L'article Grand prix 2018 des Architectes français à l'export (Afex) : les dix finalistes est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 80 jours

Découvrez les 10 lauréats du prix Afex 2018

PALMARÈS. C'est lors du Mipim, à Cannes, qu'ont été annoncés les dix projets lauréats 2018 de l'association des Architectes français à l'export (Afex). Le grand prix sera connu en mai lors de la Biennale de Venise.
Il y a 7 ans et 85 jours

Wutopia Lab : His House and Her House

Décidemment, la Biennale de Shenzhen regorge de projets plus intéressants les uns que les autres ! Après le Dom-Ino Pavilion et le Zhulang Huagai, c'est sur l'installation His House and Her House du Wutopia Lab que se porte notre attention. Un dytique hétérosexué rose et bleu qui exacerbe des clichés au sein du foyer. Cette installation conceptuelle de 226 mètres carrés est le résultat de la rénovation de deux petits bâtiments dans le bidonville urbain de Shenzhen (Chine), répondant aux consignes données par les responsables de la Biennale : réinterpréter la cuisine comme lieu de convivialité. Un thème qui a amené les créateurs à se questionner sur les rôles " normés " des hommes et des femmes en ce lieu si spécial. Le projet permet également de s'interroger sur les moyens à déployer pour contribuer à l'amélioration nécessaire des zones précaires de la région de Shenzhen. En effet, le parti pris de l'événement était d'intégrer tous les pavillons et espaces d'exposition dans des quartiers délaissés et de sélectionner des interventions qui pourraient contribuer à leur amélioration, et par la même occasion de celle de la vie de leur population composée de travailleurs immigrés et des nouveaux arrivants peu aisés. Pour ce faire, Wutopia Lab imaginent deux demeures distinctes : une aux traits " masculins " et l'autre à l'allure " féminine ". Un choix qui se traduit par l'usage de revêtements monochromes bleu et rose. Pour His House, les architectes construisent un ensemble massif et géométrique composé de trois pièces et de toilettes publiques. L'une de ses salles est blanche, en référence au sel, l'un des premiers conservateurs alimentaires utilisés par l'être humain. Côté testostérone : l'on retrouve par exemple dans les parois composées de culots de bouteilles de bière ou dans les suspensions en tranches de bacon, un clin d'"il au soi-disant goût plus prononcé des hommes pour la viande rouge, qui s'inscrit dans une liste de clichés humoristiques. Pour ce qui est de la maison voisine, la " force " de la première demeure laisse ici place à une structure plus " raffinée " et ouverte sur l'extérieur. La présence de garde-corps aux motifs gracieux et alambiqués, combinée à la légèreté des persiennes dissimulant de larges baies vitrées appuient la volonté du collectif de créer un bâtiment inspiré de l'image stéréotypée de la femme : fragile et élégante. Comptant dix pièces partiellement meublées sans réelles fonctions, cette construction contraste fortement avec son pendant " viril ". Et à aucun moment les deux bâtisses ne se touchent, comme pour appuyer un peu plus les oppositions hommes/femmes. Un concept qui peut paraître simpliste mais dont les couleurs vives attirent les regards sur cette zone urbaine laissée à l'abandon. En effet, le désir des maîtres d'"uvre était, à travers ces représentations ironiques, de montrer que des forces complémentaires sont nécessaires au remaniement des dizaines de quartiers comme celui-ci à travers la Chine. Le bleu devient alors la couleur de la survie et de la force, quand le rose est assimilé à la douceur et à la patiente. Des vertus complémentaires dont le rajeunissement urbain ne peut se passer. Un ying et un yang revisité, au message plus profond qu'il n'y paraît. Pour en savoir plus, visitez le site de la Biennale de Shenzhen Photographies : Al Qing
Il y a 7 ans et 86 jours

Architectes français à l'export (Afex) dévoile au Mipim le palmarès de son Grand prix 2018

Le palmarès du Grand prix Afex 2018 a été proclamé le 14 mars au soir à Cannes, dans le cadre du Mipim. C'est dans cette shortlist de dix réalisations que sera choisi le lauréat dont le nom sera dévoilé lors de la prochaine biennale de Venise?
Il y a 7 ans et 91 jours

NADAAA et Cooper Union : Zhulang Huagai: A Figure for the Nantou Urban Village

Dans le cadre de la Biennale d'Urbanisme et d'Architecture de Shenzhen (Chine), l'agence américaine NADAAA s'est associée avec les étudiants de la célèbre école d'architecture et d'art Cooper Union pour réaliser dans le village de Nantou une structure ayant pour vocation de réunir et rapprocher les gens. Conçue comme une place publique ombragée, l'installation était à l'origine pensée comme un échafaudage que, faute de moyens financiers, les maîtres d'"uvre l'ont décliné en composition linéaire. Ainsi, NADAAA et les élèves de la Cooper Union ont-ils imaginé un couloir couvert, de 110 mètres carrés au sol, composé d'une série de portiques triangulaires en acier semblant être en torsion, et qui sont recouverts d'un voile opalescent au-dessus de la tête des passants. Établi sur un parvis peu animé, l'ensemble est prévu pour accueillir des marchés, des évènements culturels et sociaux, ou simplement pour abriter les passants et leur permettre de se rencontrer. La Biennale de Shenzhen compte également parmi ses nombreuses structures le Dom-Ino Pavilion inspiré du système constructif éponyme inventé par Le Corbusier en 1915, ou encore le pavillon (W)ego, imaginé par l'agence néerlandaise MVRDV. Une manifestation d'autant plus essentielle qu'elle permet à une région comme celle de Shenzhen et au village de Nantou d'être mis en avant. Une réalisation sobre mais dont la simplicité n'enlève rien à l'aspect fédérateur. Pour en savoir plus, visitez le site de NADAAA et de la Cooper Union Photographies : Nader Tehrani
Il y a 7 ans et 92 jours

Dix "Lieux infinis" représenteront la France à la Biennale d'architecture de Venise

Du Centquatre à Paris au Tri Postal à Avignon : dix lieux collaboratifs, écologiques ou solidaires, pensés dans des zones un temps délaissées, représenteront la France à la 16e Biennale d'architecture de Venise 2018.
Il y a 7 ans et 93 jours

" Slow architecture ", le slogan de la Biennale de Venise 2018

Prendre le temps de regarder l'espace. Une invitation lancée le 3 mars depuis Paris par Yvonne Farrel et Shelley McNamara, commissaires de la 16e Mostra internationale d'architecture.
Il y a 7 ans et 101 jours

A Venise, Encore Heureux, Etc.

Françoise Nyssen, ministre de la Culture, a présenté le 22 février 2018 le projet " Lieux infinis " du Pavillon français de la 16ème édition de la Biennale internationale d'architecture de Venise. Retenue par la ministre de la Culture, le […] L'article A Venise, Encore Heureux, Etc. est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 103 jours

Dix "Lieux infinis" français pour la Biennale d'architecture de Venise

Du Centquatre à Paris au Tri Postal à Avignon : dix lieux collaboratifs, écologiques ou solidaires, pensés dans des zones un temps délaissées, représenteront la France à la 16e Biennale d'architecture de Venise 2018.
Il y a 7 ans et 105 jours

Biennale d'architecture de Venise : ces dix lieux qui représenteront la France

EN IMAGES. Les ministères de la Culture, des Affaires étrangères et l'Institut français ont dévoilé les dix lieux sélectionnés pour représenter la France lors de la 16e Biennale d'architecture de Venise. Découvrez-les.
Il y a 7 ans et 106 jours

Biennale de Venise : 10 lieux pour représenter la France

Le projet " Lieux Infinis " de l'équipe d'architectes Encore Heureux représentera la France lors de la 16e Biennale internationale d'architecture de Venise qui aura lieu du 26 mai au 25 novembre 2018. A trois mois de l'événement, Françoise Nyssen, ministre de la Culture, revient sur cette proposition " originale et inventive " qui valorise dix lieux à travers le territoire français.
Il y a 7 ans et 106 jours

A la Biennale de Venise, La France sera branchée sur un courant alternatif de l'architecture

A l'occasion de la 16e exposition internationale d'architecture de Venise, qui débutera le 26 mai 2018, l'agence Encore Heureux, chargée du commissariat du Pavillon français, présentera dix " Lieux infinis ", des sites d'occupation temporaire, de construction collaborative et autres expérimentations urbaines dans l'air du temps.
Il y a 7 ans et 109 jours

Exposition Freeing Architecture de Junya Ishigami

Du 30 mars au 10 juin 2018, la Fondation Cartier pour l'art contemporain présente Freeing Architecture, la première grande exposition personnelle de Junya Ishigami. Figure majeure et singulière de la jeune scène architecturale japonaise, Lion d'or à la Biennale d'architecture de Venise en 2010, Junya Ishigami est l'auteur d'une "uvre conceptuelle et poétique dans laquelle le paysage tient une place prépondérante.
Il y a 7 ans et 134 jours

Benyuan Design and Research Center : Dom-Ino Pavilion

En 1915, le système constructif " Dom-ino ", inventé par Le Corbusier, révolutionnait la conception architecturale, notamment par l'introduction de la façade et du plan libres. Cent ans plus tard, une demeure abandonnée reprenant cette structure poteaux-dalles en béton est retrouvée dans un petit village chinois. Abandonnée, elle ne le restera pas longtemps puisqu'elle est rénovée par le Benyuan Design and Research Center, et devient l'une des têtes d'affiche de la Biennale d'Urbanisme et d'Architecture de Shenzhen (Chine). Bien avant sa rénovation, cette maison de 303 mètres carrés au sol composée de deux dalles carréees superposées détonnait déjà dans l'architecture vernaculaire du petit village de Shangwei (Chine) où elle se trouve. Le coup de jeune opéré par le Benyuan Design and Research Center, institution consacrée à la recherche et à l'enseignement aussi bien dans la médecine, que dans l'urbanisme ou l'architecture, lui a rendu ses lettres de noblesse. Dénué de murs, le Dom-Ino Pavilion est doté de 24 grandes portes en fer perforé, dont 16 avec axe de rotation central, offrant la possibilité de créer de nombreux agencements spatiaux. En fonction de leur position ouverte ou fermée, ces dernières peuvent ainsi, à la guise des organisateurs, délimiter une terrasse en partie extérieure d'un des deux plateaux ou devenir une parois à l'intérieur. Dénuée de sa fonction domestique première, l'endroit a pour vocation de devenir une plateforme modulable capable d'accueillir aussi bien des expositions, que des spectacles, des conférences ou des réunions. Le rez-de-chaussée modulaire comprend, en plus de sa partie publique, un studio qui peut aisément être transformé en bureau ou même en galerie, tandis que le second niveau est entièrement dédié à la réception d'évènements. Pour compléter ces dispositifs de rencontre et d'échange, une terrasse sur le toit délimitée par une installation circulaire en tiges métalliques permet de recevoir les convives au grand air. Grâce aux motifs circulaires percés dans les ouvrants métalliques, la lumière est filtrée à la manière d'un moucharabieh. La nuit, les éclairages sont imaginés de façon à ce que les ombres forment le visage du Corbusier, architecte et théoricien à l'origine de ce modèle de construction. Un lieu unique qui redonne vie à un prototype de 100 ans, qui n'a pourtant pas pris une ride ! Photographies : Chao Zhang
Il y a 7 ans et 150 jours

Prix d'architecture de la fondation Wilmotte : la 8e édition est lancée

CONCOURS. Etudiants et jeunes architectes, ce concours est pour vous. La fondation d'entreprise Wilmotte vient de lancer la 8e édition du Prix W. A la clé, des prix allant jusqu'à 7.000 euros et une exposition pendant la biennale de Venise.
Il y a 7 ans et 155 jours

Appel à projets pour le Grand Prix Afex 2018 de l'architecture dans le monde

Architectes français à l'export (Afex) a lancé un appel à projets pour la prochaine édition du Grand Prix de l'architecture française dans le monde qui sera remis lors de la Biennale de Venise 2018...