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(1064 résultats)
Il y a 3 ans et 3 jours

Les professionnels du BTP, parmi les populations les plus exposées au risque de développer un cancer de la peau

Car, si tout le monde est susceptible de développer un mélanome, nous ne sommes pas égaux face au soleil ! Certaines personnes sont plus exposées aux rayonnements UV dans le cadre de leur profession. Le dimanche 12 juin, en ouverture de cette 24ème édition, une course à pied de 5 kilomètres dans Paris sera organisée par et pour les dermatologues, pour sensibiliser le grand public et les professionnels aux risques d’expositions non voulues.Sauver sa peau… Au travail aussi !Agriculteurs, saisonniers, métiers du sport, BTP… Certains professionnels, dont le travail donne lieu à des expositions solaires intenses et non voulues, du fait d’une activité principalement en extérieur, sont particulièrement concernés par les risques de cancers cutanés et présentent un risque supérieur à la moyenne de la population (78,1% contre 65,5%*).En France, 80 000 nouveaux cas de cancers cutanés, provoquant 1 800 décès par an, sont diagnostiqués chaque année (source INCA). Ces chiffres sont en augmentation constante depuis 50 ans, il est alors essentiel de sensibiliser le public, notamment avec l’arrivée de l’été et des indices UV plus élevés qui atteignent en général 7 ou 8 en bord de mer, et qui augmentent de 10% par 1 000 mètres d’altitude.Bien que davantage exposés, les professionnels exerçant en extérieur sont souvent mal informés sur les risques qu’ils encourent. Les ouvriers du BTP sont par exemple plus difficiles à atteindre en raison du caractère éclaté de la structure de leurs entreprises. À l'inverse, les agriculteurs ou les marins sont plus facilement sensibilisés grâce aux approches de leursmutuelles spécialisées ou de la médecine du travail, mais pour autant, ils n’appliquent pas toujours les bons gestes de protection.Et pourtant, comme les enfants, les personnes à peau claire, aux cheveux roux, aux yeux bleus, ou encore comme celles sensibles aux coups de soleil, ces professionnels ou ceux pratiquant des activités en extérieur peuvent développer plus facilement des mélanomes ou carcinomes, notamment au niveau des joues, du nez, des oreilles et sur le haut du crâne.Les gestes qui sauventLa prévention des maladies professionnelles relève de la responsabilité des employeurs. Cependant, le Syndicat National des Dermatologues et Vénéréologues rappelle l’importance du respect des gestes à adopter pour les métiers et activités extérieurs (mais aussi pour tous les publics) :Les gestes à adopterÉviter l’exposition au soleil entre 12 et 16h.Préférer les zones d’ombre.Protéger sa peau par des vêtements et se munir d’un chapeau et de lunettes de soleil.Renouveler régulièrement l’application de crème solaire anti UVA et UVB, surtout sur les parties non couvertes. Privilégier les crèmes solaires à filtre minéral.Surveiller régulièrement sa peau (autoexamen).Ne pas pratiquer l’exposition en cabines UV.Les signes qui doivent alerterPratiquer l’auto-examen et repérer les grains de beauté différents des autres.Être vigilant à tout changement ou nouvelle tâche.Pratiquer la méthode ABCDE pour reconnaitre les signes suspects et demander un avis médical : Asymétrie dans la forme et la couleur du grain de beautéBords irréguliers ou mal délimitésCouleur non homogène avec des zones dépigmentées ou des taches sur le grain de beautéDiamètre avec une taille de grain de beauté supérieure à la moyenne de 6mmÉvolution ou changement rapide de taille, forme, couleur ou épaisseur.Pour les publics à risques, le SNDV conseille vivement l’examen régulier de la peau par un médecin ou dermatologue, y compris sur les zones habituellement cachées sous les vêtements, d’autant plus lors de tache suspecte ou de grain de beauté ayant changé d’aspect. Pris à un stade précoce, 90% des mélanomes peuvent être guéris.La 24ème édition de la Semaine de prévention et de sensibilisation au dépistage ciblé des cancers de la peau aura lieu du 12 au 17 juin 2022. À cette occasion, une campagne de santé publique 100% digitale sera portée par des médecins, dermatologues, oncologues, patients et influenceurs qui prendront la parole sur les réseaux sociaux pour sensibiliser sur la prévention et inciter au dépistage pour les publics à risques.Une thématique sera mise à l’honneur : une semaine pour sauver sa peau, toute sa vie pour en prendre soin. Elle sera illustrée par une journée spéciale consacrée aux professionnels, mais aussi par une journée consacrée à la prévention des hommes, des enfants et une journée dédiée aux nouvelles solutions de dépistage.
Il y a 3 ans et 5 jours

Pas de plomb, plus de vitraux

Depuis que la Suède a demandé l’interdiction du plomb au sein de l’Union européenne. Le sujet a fait l’objet d’une consultation publique lancée en février 2022. Les professionnels du vitrail sont vent debout contre une interdiction qui signerait la fin de leur métier et la disparition du patrimoine verrier qu’on ne pourrait plus restaurer. Les propriétés du plomb, dense, mou et malléable en font un élément irremplaçable malgré des tentatives de recherches de matériaux de substitution. La Chambre Syndicale Nationale qui travaille depuis 5 ans sur la problématique du plomb et du règlement REACH, qui recense voire interdit les matières dangereuses, s’est regroupée avec la Fédération du Crystal, du Verre et du Vitrail et d’autres partenaires associatifs et institutionnels pour répondre dans un premier temps à la consultation. Plusieurs maîtres verriers se sont exprimés dans les médias. « Bien que le plomb soit omniprésent dans notre activité professionnelle, il ne présente pas un obstacle majeur à la pratique de notre métier. En effet les risques ont été intégrés dans les process mis en œuvre dans les ateliers et de nombreuses mesures de prévention adaptées ont été prises au sein de nos entreprises. De plus, nos ateliers participent activement depuis toujours à la collecte et au tri des plombs usagés évitant ainsi leur dispersion dans la nature ou les ordures ménagères. » Une pétition est accessible en ligne   Photo : Patrick Cadet – Centre des monuments nationaux – La Force du Verbe, médaillon d’un vitrail de la Sainte-Chapelle
Il y a 3 ans et 11 jours

Oise : le nouveau centre de secours de La Chapelle-en-Serval inauguré

La ville de La Chapelle-en-Serval vient de se doter d’un nouveau centre de secours au 249, route de Plailly.
Il y a 3 ans et 19 jours

Une chapelle joue à cache-cache à Lyon la Part-Dieu

PROGRAMME IMMOBILIER. Livré en janvier 2022, le programme immobilier Emergence Lafayette, situé en plein coeur du quartier de la Parti-Dieu à Lyon, accueille des logements, des bureaux, et une résidence sociale pour jeunes actifs. Originalité du projet : une petite chapelle vient se nicher au milieu de ces bâtiments. Découverte en images.
Il y a 3 ans et 21 jours

Accédez aux données produits des fabricants CVC de BIM&CO depuis FISA

Fabricants, bureaux d’études et installateurs en génie climatique, n’attendez plus pour débloquer la valeur des données produits ! Accédez maintenant aux produits fabricants BIM&CO directement dans le logiciel métiers Fisa. Découvrez au travers de ce webinar le partenariat BIM&CO Fisa présenté par Vincent Berlioz de BIM&CO et Marc Chaperon de FISA, le 19 mai à 11h.
Il y a 3 ans et 27 jours

Arcadis enjambe les voies de la Gare d’Austerlitz

Arcadis, société internationale d’ingénierie et de conseil, dévoile le pont de franchissement du faisceau ferré de la gare d’Austerlitz, visant à désenclaver le quartier de la Gare d’Austerlitz. Ce tablier en acier de 2 100 tonnes a été poussé, pour la seconde fois, au-dessus des voies ferrées avec une vitesse moyenne de 2m à l’heure entre samedi 16 et dimanche 17 avril. Par sécurité, le trafic ferroviaire a été complètement interrompu sur 7 voies. « Lancer le pont au-dessus des voies avec un seul point d’appui intermédiaire est à la fois une grande prouesse technique et une opération emblématique qui vient concrétiser le travail de plusieurs années. » déclare Arnaud NAËL, Directeur de projet chez Arcadis. Les équipes Arcadis ont dû faire face à des contraintes fortes liées aux infrastructures existantes (voies ferrées, ligne 10 du métro, hôpital de la Salpêtrière…) sans en impacter le fonctionnement quotidien. Au-delà de la complexité structurelle liée à l’architecture du pont, l’autre défi de taille était d’insérer harmonieusement la nouvelle liaison dans un contexte architectural très divers : de nombreux bâtiments historiques dont la chapelle Saint-Louis de la Salpêtrière côté boulevard de l’Hôpital et des nouveaux bâtiments dont le siège du groupe Le Monde côté avenue Pierre Mendès-France. Enfin, des obstacles climatiques ont donné du fil à retordre aux équipes : la crue du Rhin en juillet 2021 a ralenti le transport par voie fluviale de la charpente métallique, préassemblée dans l’usine de Lauterbourg en Alsace et acheminée sur site pour y être finalisée.D’une longueur de 87 mètres et d’une largeur variable de 19 à 32 mètres, le pont a été pensé comme une place publique visant à créer un nouveau lien piéton, cycliste et routier entre deux quartiers de Paris Rive Gauche en franchissant l’obstacle du faisceau ferroviaire de la gare d’Austerlitz. En tant que maître d’œuvre (mandataire), Arcadis a remporté, aux côtés de Wilkinson Eyre Architects et Arpentère (paysagiste), le concours lancé en 2016 par la SEMAPA (aménageur de la ZAC Paris Rive Gauche) et la Ville de Paris, pour la réalisation du pont reliant les deux secteurs du quartier Austerlitz de part et d’autre des voies ferrées. « Avec le pont Mère-Teresa qui franchit le faisceau Saint-Lazare, nous sommes les concepteurs des deux derniers ponts enjambant des faisceaux ferrés parisiens : des opérations complexes et peu courantes dans un environnement bâti extrêmement dense. Notre maîtrise de l’opération dans son ensemble et notre expérience éprouvée avec le pont Mère-Teresa nous ont permis d’accompagner la SEMAPA dans ce projet emblématique qui constitue un défi à la fois technique, architectural et urbain, dont nous sommes très fiers. » déclare Claire RAVETTI, Cheffe de projet chez Arcadis. Le chantier, qui a démarré en juin 2020, devrait prendre fin courant 2023 avec les travaux d’accostage et d’aménagement de surface. En attendant l’ouverture du pont au public à l’issue des travaux du secteur Austerlitz, la SEMAPA a salué cette dernière grande opération de lançage. « Relier les berges de Seine aux quartiers existants du XIIIème arrondissement de Paris en franchissant l’obstacle du faisceau ferroviaire de la gare d’Austerlitz est une véritable prouesse technique et offre une ouverture du quartier Austerlitz-Gare. Une fois mis en service, le nouveau pont devrait permettre aux piétons de gagner 15 minutes de marche ! » conclut la SEMAPA.Arcadis possède une expertise reconnue dans la conception d’ouvrages d’art et les projets d’ingénierie civile complexes avec des réalisations majeures comme le Viaduc de Millau, la couverture du périphérique à Porte de Vanves ou en encore les bâtiments-ponts tels que la Tour de la Biodiversité dans le 13ème arrondissement de Paris et l’ensemble immobilier « Les Vergers » à Cergy-Pontoise.
Il y a 3 ans et 28 jours

Airina, un nouveau purificateur d'air professionnel autonome et silencieux 100% Made in France

Les chiffres sont éloquents. Alors que nous passons près de 90% du temps dans des espaces clos (maison, travail, transports en commun...), l'air intérieur est 8 fois plus pollué que l'air extérieur. Une situation qui n'est pas sans conséquence sur notre organisme : 20 000 décès prématurés chaque année sont causés par les polluants présents dans l'air intérieur, qui provoque aussi 28% des AVC, 17% de cancers et de nombreuses pathologies (asthme, allergies respiratoires, fatigue, vertiges, maux de tête...). C'est pour cela que l'Anses considère aujourd'hui qu'il s'agit d'un véritable enjeu de santé publique (source) et que certains ERP ont l'obligation de surveiller la qualité de l'air intérieur (QAI). Oui mais... en pratique comment faire pour garantir un air pur et sain lorsque les surfaces sont importantes ? Les appareils actuels sont complexes à utiliser, souvent bruyants et fabriqués à l'autre bout de la planète. D'où l'innovation apportée par Airina, un purificateur d’air professionnel développé et produit en France, qui améliore en continu la qualité de l’air intérieur sur de larges superficies en détectant et filtrant 99.995% des particules fines, virus & bactéries, germes & moisissures, COV, allergènes & odeurs. Un concentré d'innovation pour purifier vite et bien jusqu'à 200m² Airina est le fruit de plus de 40 années d'expérience dans le traitement de l'air. Ce purificateur d'air "nouvelle génération" est d'ailleurs né bien avant la pandémie : il a été conçu à l'origine pour répondre à la réglementation édictée par le décret 2015 – 1000, relatif aux modalités de surveillance de la qualité de l'air intérieur dans certains établissements recevant du public (en priorité les crèches, écoles maternelles et primaires). Le gouvernement souhaite en effet limiter les concentrations de polluants et impose aux ERP certains seuils à ne pas dépasser pour le Formaldéhyde, le Benzène et le CO2. Mais au-delà de cette obligation, offrir aux usagers, clients et collaborateurs une bonne qualité de l'intérieur doit être une priorité pour toutes les organisations, notamment dans le cadre de leur démarche RSE. Toutes les études montrent en effet un impact positif sur la santé et la réduction des maladies, le bien-être, l'attention et par conséquent sur le taux d'absentéisme. Aujourd'hui, Airina accompagne les écoles/lycées, restaurants, lieux de culture, entreprises, collectivités et établissement disposant de salles d'attentes et/ou de réception en leur permettant de les informer sur la qualité de l'air intérieur et de le purifier efficacement sur de grands espaces. "Airina peut réaliser jusqu'à 5 renouvellements d’air complets par heure (en lien avec la recommandation de la haute autorité de la santé) et donc 200 m2, ce qui en fait un purificateur à haute performance." Un appareil "plug & work" qui sait se faire discret Pour utiliser Airina, rien de plus simple : il suffit de le placer dans la zone à traiter, de le brancher et de l'allumer. Et c'est tout ! Grâce à sa petite taille (67 cm longueur, 69.1 cm largeur et 112.8 cm hauteur) et à ses roulettes, le purificateur est mobile et il se positionne sans problème à l'endroit souhaité. Avec une garantie de résultats : le renouvellement intégral de l'air est effectué en 15 minutes à peine, pour éliminer plus de 99,99% des virus et bactéries en mode "zéro prise de tête". Car Airina se fait facilement oublier. Ultra-silencieux (47 dB(A) à 1 m), il peut aussi être totalement personnalisé (couleurs, motifs, etc.) pour se fondre dans le décor. Un must pour ne pas perturber la concentration des équipes ou altérer le confort de la clientèle, ni nuire au design des lieux. Une utilisation intuitive qui simplifie le quotidien La troisième et dernière version d'Airina a été spécialement conçue pour mettre le meilleur de la technologie au service des utilisateurs. En quelques clics sur son interface tactile, il est ainsi possible de :Visualiser rapidement tous les indices de la qualité de l'air (indicateur visuel - selon ATMO)Mesurer la qualité de l'air intérieur : taux de CO2 en temps réel, informations sur les particules fines, quantité d'air traitée, évolution détaillée de la QAI sur 12h ;Contrôler le purificateur, en adaptant notamment sa vitesse de purification ;Sélectionner le mode auto pour que sa vitesse s'adapte à la qualité de l'air environnant ;Programmer les horaires de fonctionnement de l'appareil ;Choisir de recevoir des alertes SMS (maintenance & qualité de l'air) ; Airina, une marque française du groupe NEU-JKF Delta NEU Le purificateur d'air Airina est conçu et fabriqué en France, à La Chapelle-D'armentières, juste à côté de Lille. Cette marque dynamique appartient au groupe NEU-JKF Delta NEU, expert dans le captage et le traitement de l'air en milieu industriel depuis plus de 60 ans. "Airina est née de notre solide expérience industrielle à destination de tous les professionnels recevant du public et souhaitant les protéger." Le groupe représente aujourd'hui plus de 650 collaborateurs, 10 filiales dans le monde, 1 centre de formation, 1 station d’essai et accompagne plus de 35 000 clients. Il est membre de la French Lab qui regroupe les acteurs industriels français défendant le savoir-faire français et la fabrication française.
Il y a 3 ans et 30 jours

Succès du 11e Forum International Bois Construction

Avec pour objectif d’être une nouvelle fois au plus près de l’actualité constructive de la filière bois et biosourcée, et des enjeux environnementaux, la 11e édition du Forum International Bois Construction, qui s’est déroulée du 6 au 8 avril 2022 à Epinal et à Nancy, a été un véritable succès. Ce rendez-vous annuel de la filière bois a rassemblé plus de 4000 participants, doublant ainsi la fréquentation de sa dernière édition du Grand Est, en 2019. Pendant 3 jours, le Forum a été rythmé par plus de 160 conférences, 4 expositions majeures et un salon qui a réuni plus de 150 exposants, répartis dans les 3 halls du Centre Prouvé de Nancy. Grâce au soutien de l’ADEME, le Forum Bois Construction s’affirme comme le premier Forum éco-conçu de par sa scénographie en bois de France, sa table de replantation et la réduction continue de ses émissions de carbone. Le 11e Forum Bois Construction a réussi à réduire son empreinte carbone par rapport à celle de l’édition parisienne de 2021, atteignant ainsi 49 teq CO2. Les émissions incompressibles seront quant à elles neutralisées par le financement de la plantation de 2 000 arbres sur la parcelle de La Chapelle-aux-Bois, située dans la forêt d’exception de Darney-la-Vôge près d’Epinal et qui a été dévastée par les scolytes. Retrouvez toutes les vidéos tournées par l’équipe Batijournal TV lors de l’événement… Photo : Jad Sylla – FBC Cet article Succès du 11e Forum International Bois Construction est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 39 jours

Trois ans après l'incendie, Notre-Dame de Paris retrouve progressivement sa beauté

"Le dépoussiérage et le nettoyage intérieurs des voûtes, des murs et du sol" qui devrait s'achever sous peu, tout comme la préparation des voûtes à leur reconstruction, "ont redonné à la cathédrale sa blancheur originelle", se félicite l'établissement public chargé du chantier de restauration, à quelques jours du 3e anniversaire de l'incendie qui aura lieu vendredi.Avant l'incendie, la cathédrale accueillait près de 12 millions de visiteurs, 2.400 offices et 150 concerts par an.Le 15 avril 2019, un gigantesque incendie a ravagé ce chef d’œuvre de l'art gothique, provoquant l'effondrement de sa charpente, de sa fameuse flèche, de son horloge et d'une partie de sa voûte, ravagées par les flammes, sous le regard médusé de millions de personnes à travers le monde.Le trou béant laissé dans l'édifice a fait place à une forêt d'échafaudages qui recouvrent aussi ses flancs.Le chantier titanesque a commencé dès avril 2019 par la "sécurisation" de l'édifice (cintrage des 28 arcs-boutants, démontage de l'échafaudage qui entourait la flèche, déblaiement des gravats, dépollution des 450 tonnes de plomb partiellement vaporisé dans l'atmosphère...). Une "étape majeure" sous haute sécurité qui s'est achevée à l'été 2021, pour un coût global de 151 millions d'euros.La catastrophe avait suscité un élan de générosité sans précédent, avec près de 844 millions d'euros de dons recueillis auprès de 340.000 donateurs de 150 pays à ce jour, selon l'établissement public chargé du chantier de restauration.Parallèlement aux travaux en cours dans la cathédrale, des travaux de restauration se poursuivent dans des ateliers de métiers d'art partout en France.Surprises archéologiquesLe grand orgue, datant de 1733 et le plus grand de France, a été épargné par le feu mais recouvert de poussière de plomb. Il a été démonté à l'instar des vitraux, et est en cours de nettoyage comme 22 tableaux grand format des XVII et XVIIIe siècles, tandis que plusieurs statues, déjà restaurées, sont exposées à la cité de l'architecture et du patrimoine à Paris.Il faudra encore attendre un peu pour le lancement des travaux de reconstruction de la charpente médiévale de la nef et du chœur et de la flèche de Viollet-le-Duc, à l'ossature en bois de chêne massif, qui devrait poindre dans le ciel de Paris à partir du printemps 2023, selon l'établissement public.Un millier de chênes issus de forêts publiques et privées ont déjà été sciés en prévision.Une autre étape clé du chantier doit démarrer mercredi : l'extraction des pierres qui permettront de reconstruire les voûtes détruites ou endommagées.Deux chantiers tests ont été menés entre septembre 2020 et avril 2021 dans les chapelles intérieures de la cathédrale, 24 en tout, pour définir les techniques qui permettront de leur redonner leurs couleurs d'origine.Début mars, des fouilles préventives ont réservé une surprise de taille au cœur du chantier: la découverte d'un sarcophage de plomb et les vestiges de l'ancien jubé de la cathédrale datant du XIVe siècle, une tribune en pierre qui séparait le chœur liturgique de la nef et des fidèles.Le diocèse entend profiter de la restauration de Notre-Dame pour offrir une nouvelle jeunesse à son aménagement intérieur en intégrant de l'art contemporain aux maîtres anciens tels les frères Le Nain ou Charles Le Brun, de la lumière à hauteur de visage, des bancs mobiles pour remplacer les chaises séculaires et des phrases bibliques projetées sur les murs.La crypte, située sous la cathédrale, doit aussi servir d'espace de stockage avec un accès facilité par l'installation d'un élévateur.Lorsqu'ils retrouveront la célèbre cathédrale en 2024, touristes et fidèles entreront désormais par la grande porte centrale et non plus par les portes latérales. Ils bénéficieront d'un parcours épuré autour d'un axe central allant de la nef au chœur.
Il y a 3 ans et 41 jours

Le ponçage de béton : quel intérêt ?

Le béton est apprécié pour sa résistance et sa longévité. Vu sa texture et sa qualité, il requiert des techniques spécifiques aussi bien pour le travailler que pour l’entretenir. On peut notamment poncer du béton pour améliorer certaines de ses caractéristiques. Découvrez l’intérêt du ponçage de béton ! Augmenter l’adhérence du revêtement L’adhérence fait référence à la capacité d’une surface à en accepter une autre. Avec les revêtements, cette propriété devient la capacité à solliciter des forces avec l’objet en contact. L’adhérence d’un revêtement dépend directement de la nature et de l’état de surface des matériaux en contact. Les sols en béton récemment posés ont généralement des surfaces micro rugueuses. Poncer du béton permet ainsi de le rendre lisse et étanche. Ce traitement permet également de se passer d’une chape avant de poser un revêtement. Par ailleurs, poncer du beton permet d’en augmenter l’adhérence. Les conditions pour le recouvrir d’un revêtement sont ainsi plus souples. Ces travaux sont généralement réalisés pour des chantiers de construction neuve ou de rénovation. Les étapes à suivre pour réussir un ponçage de béton Le ponçage de béton se réalise avec des équipements spécifiques. Le choix de l’outil de ponçage tient compte de critères tels que la surface à couvrir, le budget disponible, les compétences nécessaires pour les travaux et la main-d’œuvre disponible. Une fois en possession des équipements, il est nécessaire de préparer l’endroit où l’on doit travailler. Poncer le béton engendre énormément de poussière. Il est donc conseillé de prendre certaines précautions comme : Revêtir des équipements de sécurité : lunettes, gants, masques, etc. ; Protéger les meubles et les autres pièces ; Aérer la zone en ouvrant toutes les fenêtres et autres ouvertures. Un spécialiste conduit au mieux de telles opérations. Lorsque toutes les mesures de sécurité sont prises, il est temps de commencer le ponçage du béton. Il est recommandé de débuter par le centre la pièce en effectuant des mouvements linéaires. Il faut passer de nombreuses fois au même endroit pour obtenir un résultat convenable. Environ 10 cm d’espace doivent être laissés à partir des murs pour éviter de trop se rapprocher de ces derniers. Ce n’est qu’une fois le sol bien poncé que l’on s’occupe des bordures de la pièce avec une ponceuse de taille adaptée. Lorsque les travaux sont terminés, il est conseillé d’aspirer la poussière et de nettoyer toute la surface afin d’y poser le revêtement. Bon à savoir Deux méthodes de ponçage sont distinguées : sec et humide. La réalisation du ponçage humide requiert l’utilisation de l’eau tandis que celle à sec n’en a pas besoin. Ce processus humide est plus efficace puisqu’il permet de contenir la poussière au niveau du sol. Il suffit de nettoyer la boue d’eau et de poussière générée plus tard. À grande échelle, le ponçage à sec n’est quant à lui pas du tout recommandé. Pour poncer du béton en toute sécurité, il est essentiel de respecter une réglementation. Une vérification du bon état du câble d’alimentation doit ainsi être faite avant de le brancher. Il est aussi primordial de protéger les voies respiratoires et d’utiliser un système d’aspiration.
Il y a 3 ans et 49 jours

KP1 dévoile son plancher Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant

Nouveau plancher Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant de KP1, un système “3-en-1”. [©KP1] KP1 poursuit le développement de son offre préfabriquée Milliwatt, en lançant son plancher Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant. Cette nouvelle génération de solutions planchers en toute saison s’inscrit en adéquation avec les exigences de la RE 2020. Ce plancher peut être installé sur tous les niveaux (bas sur vide sanitaire, intermédiaire et haut de garage ou haut de sous-sol). Ceci, en logements individuels comme collectifs. La rapidité comme maître-mot Son atout premier ? Traiter trois fonctions en un unique système : la structure avec la dalle de compression la plus fine du marché (56 mm),l’isolation performante du plancher assurée par la large gamme d’entrevous et de rupteurs thermiques,le chauffage et le rafraîchissement des pièces à vivre, grâce à un kit composé de trames de tubes hydrauliques préformés, d’un grillage, d’accessoires et d’un plan d’installation spécifique au chantier. Ce système préfabriqué complet offre une mise en œuvre rapide. En une demi-journée, une équipe de deux professionnels réalise en moyenne la pose de 120 m2 de planchers. Pas d’étape de séchage de chape ! Un gain de temps entre 5 à 8 semaines pour les constructeurs de maisons individuelles et les particuliers. Ceci, en comparaison d’un système sans chape ou d’un plancher chauffant/rafraîchissant basse température traditionnel.
Il y a 3 ans et 49 jours

Un pavillon métal-bambou entre les tours métal-béton de la Défense

Logé entre la chape béton du CNIT et le mur-rideau vitré des 4 temps, le Pavillon éphémère Aqua Mater détone. C’est une réalisation neuve de l’architecte colombien Simón Vélez, identique à celle qu’il a construite à Arles en 2018. Cette fois-ci, le pavillon met en avant le côté intime de sa nef de bambou et d’acier. En deçà sont exposés des tirages en grand format noir et blanc du photographe brésilien Sebastião Salgado, sur la thématique de l’eau. L’ambiance intérieure,...
Il y a 3 ans et 53 jours

Vaucluse : la cathédrale d’Orange restaure ses façades et ses chapelles intérieures

Le chantier de rénovation des façades et des chapelles intérieures de la cathédrale d’Orange va durer dix-neuf mois.
Il y a 3 ans et 54 jours

Ecocem travaille déjà sur les liants bas carbone de demain

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Rory McNeill est le directeur commercial et développement de marché d’Ecocem France. [©Ecocem] Ecocem France est né en 2007. Mais qui se cache derrière cette filiale ? Rory McNeill : Ecocem France est une filiale d’Ecocem Materials, qui détient 51 % des parts et d’ArcelorMittal. Ceci, dans le cadre d’un joint-venture. L’entité produit chaque année 1,5 Mt de liants à destination du marché français, à partir de ses deux usines de Dunkerque et de Fos-sur-Mer. En tant que tel, outre la France, le groupe est présent en Irlande, avec son usine historique de Dublin, et aux Pays-Bas où il a inauguré un site de production dès 2002. Enfin, en 2013, ce sont deux silos de stockage qui ont vu le jour au Royaume-Uni, un premier sur la côte Ouest près de Manchester et un second sur la côte Est, à proximité de Londres. A l’origine, Ecocem était seulement fournisseur de laitiers moulus de hauts fourneaux. Mais l’offre s’est bien étoffée depuis… Dès le départ, Ecocem proposait des laitiers de classe A, caractérisés par une finesse Blaine de 4 500. Depuis l’offre s’est élargie, en particulier vers les ciments bas carbone, car s’inscrivant dans le sens de notre stratégie. En 2018, nous avons mis sur le marché un CEM III/C, marqué NF et CE. Ce produit est le fruit des travaux de notre R&D centrale, mise en service à partir de 2013, et caractérisé par l’ouverture, en 2021, de notre laboratoire à Champlan, en Essonne. Aujourd’hui, cette cellule travaille sur les liants bas carbone de demain… Des offres qui devraient arriver peu à peu sur le marché à partir de 2022/23. A ce propos, Breakthrough Energy Venture, un fonds d’investissement fondé par Bill Gates, est entré au capital d’Ecocem Materials, à hauteur de 10 %. Son objectif est de lutter contre le réchauffement climatique et d’apporter un aide à la recherche de solutions bas carbone. En effet, il est temps d’aller au-delà des techniques du clinker. Mais aussi de faire bouger les ciments vis-à-vis de la normalisation et aussi de faire évoluer les normes… Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 3 ans et 54 jours

Bang Hai Ja crée quatre nouveaux vitraux pour la cathédrale de Chartres

La Conservation régionale des monuments historiques Centre-Val de Loire a engagé en 2017 la restauration extérieure de la chapelle Saint-Piat de la cathédrale Notre-Dame de Chartres, dans le but de livrer un monument apte à recevoir le futur Trésor. Elle a également mené un projet de réaménagement du lieu, en cours de finalisation, en utilisant les deux niveaux de la chapelle, reliés par une circulation aménagée dans la tourelle sud. Ce projet est placé sous la maîtrise d’oeuvre de Mme Marie-Suzanne de Ponthaud, architecte en chef des monuments historiques. La salle capitulaire, sans aucune modification de l’accès au caveau des évêques, sera dévolue à la présentation du lapidaire avec, en particulier, les éléments sculptés du jubé du XIIIe siècle démonté à partir de 1763 et les statues colonnes déposées du Portail Royal. La chapelle Saint-Piat, accessible directement par un escalier droit depuis le déambulatoire du chœur de la cathédrale pour les visiteurs valides, recevra une série de vitrines principalement dédiées à l’orfèvrerie et aux textiles. Ses 7 verrières révisées dans les années 1950, ont été complètement restaurées avec suppression de la plupart des plombs de casse. Elles ont reçu des verrières de doublage extérieures pour assurer leur protection selon le principe de ce qui a été retenu depuis plusieurs années à la cathédrale. Pour les baies de la salle capitulaire qui disposaient de simples vitraux losangés modernes, le principe d’une création de verrières contemporaines a été retenu. En mars 2018, un jury dédié a retenu le projet artistique de Bang Ai Ja, calligraphe et peintre d’origine coréenne. Les vitraux ont été réalisés à l’atelier de maîtres-verriers Peters (Paderborn, Allemagne). Les quatre créations sont sous les thèmes de la lumière, de la vie, de l’amour et de la paix.
Il y a 3 ans et 54 jours

Seine-Maritime : Deuxième centrale pour RévoBéton

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine RévoBéton a ouvert une deuxième centrale à BPE à Saint-Etienne-du-Rouvray. [©Lhotellier] Un an après le lancement de sa première centrale à béton, à Alizay, dans l’Eure, RévoBéton poursuit son essor dans le bassin rouennais, en choisissant d’installer son deuxième unité de production à Saint-Etienne-du-Rouvray. En 2021, la centrale d’Alizay a produit 13 500 m3 de bétonn qui ont généré un chiffre d’affaires de 1,5 M€. En parallèle, la filiale du groupe Lhotellier, créée en 2020 [Lire article p. 20], a investi 100 000€ dans un laboratoire, qui permet aujourd’hui de bénéficier d’un panel de 160 formules différentes. Avec ces infrastructures, RévoBéton peut répondre à tous types d’ouvrages : travaux routiers, béton décoratifs, chapes fluides… Retrouvez l’actualité des entreprises en région Normandie « Pour cette seconde centrale, le choix de la localisation a été mûrement réfléchi, indique Guillaume David, directeur de RévoBeton. Nous avons de réels besoins sur la métropole rouennaise. Afin de poursuivre notre engagement de respect de l’environnement, il est évident pour nous d’installer nos centrales au plus proche de la demande et de poursuivre le recyclage des matériaux provenant des chantiers et des plates-formes de recyclage des filiales du groupe Lhotellier. » RévoBéton bénéficie ainsi de la synergie des autres métiers du groupe. L’entreprise intègre dans ses formulations des granulats valorisés issus de RDE, une autre filiale de Lhotellier, spécialisée dans le recyclage des matériaux de la déconstruction de chantiers, située à Oissel, toujours en Seine-Maritime. RévoBéton réutilise aussi des matériaux alternatifs provenant de Lhotellier Dépollution, encore une autre filiale qui traite des terres polluées grâce à une station de lavage spécialisée. En 2021, ce sont quelque 432 t de CO2 que RévoBéton a économisé grâce à l’utilisation de ces liants recomposés, sur la centrale d’Alizay. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 55 jours

Sothoferm sur les chapeaux de roues

Le numéro un du volet battant en France a clôturé son exercice 2021 avec une hausse de son chiffre d’affaires de +25%.
Il y a 3 ans et 56 jours

BHS-Sonthofen : Une centrale à béton, 1 000 m sous terre

BHS-Sonthofen a installé une centrale à béton au fond de la mine de Schachtbau Nordhausen, en Allemagne. [©BHS-Sonthofen] Que faire lorsqu’il n’existe pas de données empiriques pour des conditions de production spécifiques ? Que faire encore lorsque le chantier n’est pas simple d’accès pour un malaxeur ? Tels étaient les postulats de départ pour BHS-Sonthofen dans le cadre du projet du groupe ETS Schachtanlage Konrad, à Salzgitter-Bleckenstedt, en Allemagne. Celui-ci prévoyait la conception d’un malaxeur discontinu à doubles arbres horizontaux et la livraison d’une centrale à béton spéciale… Cette dernière devait permettre d’obtenir un produit final optimal. A savoir, un béton projeté par voie mouillée, d’une granulométrie 0/4 mm, obtenu à partir d’un prémix sec. Le tout, au fond d’une mine, à 1 000 m sous terre ! « Lorsque nous ne disposons pas d’exemples concrets pour certaines exigences, nous commençons par utiliser notre malaxeur de laboratoire de type DKX 0,06 S », explique Eckhard Rössner, responsable du service extérieur “Machines pour matériaux de construction” de BHS-Sonthofen. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. 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Il y a 3 ans et 56 jours

Béton Solutions Mobiles : Le BPE le plus imposant de France

La nouvelle unité de production de BPE de Béton Solutions Mobiles s’inscrit dans un bâtiment fermé de 8 500 m2. [©ACPresse] Avec un chiffre d’affaires de l’ordre de 150 M€ pour l’année 2021, la présence de quelque 185 collaborateurs et une production de béton supérieure à 1 Mm3/an, Béton Solutions Mobiles poursuit son développement d’une manière plus que soutenue. « A l’heure actuelle, nous disposons d’un réseau de 31 centrales à béton, dont 12 mobiles », indique Philippe Tibère-Inglesse, président de BSM. Et de dévoiler : « 7 permis de construire sont déposés ou en cours de dépôt pour l’installation d’autant d’unités fixes supplémentaires ». Une stratégie qui va permettre à la marque de devenir le 1er acteur régional du BPE, devant Edycem et ses 33 centrales, dès la fin du 2e trimestre 2022. A l’échelle nationale, BSM arrivera à la 7e place des fournisseurs, derrière Colas qui est à la tête d’environ 67 unités de production. Belle performance pour une entreprise créée il y a tout juste de 8 ans. Dans le détail, BSM a prévu l’ouverture de 3 nouvelles centrales en Normandie et de 2 dans l’Oise, dont une en cours de montage à Beauvais. A cela s’ajouteront 2 unités en Ile-de-France : une au Sud et une à l’Est, à Lognes, siège de l’entreprise. « Cette dernière centrale sera une mobile que nous allons sédentariser, explique Maureen Pontié, responsable travaux neufs de BSM. Elle sera dédiée à la production exclusive de chapes fluides. » En effet, c’est une activité nouvelle que l’industriel a choisi de développer d’une manière importante. « Aujourd’hui, nous travaillons avec trois fournisseurs, reprend Philippe Tibère-Inglesse. A savoir, Bostik et sa Technis-R, Chryso Cemexa et ses Cemfloor, et Sika, avec ses Levelchape et ses Viscochape. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 61 jours

Le rapport des Français à leur immeuble d’habitation fortement marqué par la crise sanitaire et des aspirations environnementales

Les résultats révèlent ainsi que les habitants d’immeuble aspirent à un environnement « cocon », plus protecteur, plus serviciel, où les déplacements et les échanges sont fluides. Pour leur futur, les Français se projettent avant tout dans un immeuble plus éco-responsable et voient en la technologie un levier pour rendre leur lieu de vie plus économe en ressources, intelligent et coopératif. A l’aune de ces enseignements, KONE, leader de la mobilité dans les villes, exprime la nécessité d’accélérer les innovations et la coopération entre les acteurs de l’immobilier, au service du bâtiment durable et intelligent.Chiffres-clés de l’étude YouGov / KONE en un coup d’œil :Les trois priorités des Français habitant dans un immeuble 95% des répondants estiment que l’hygiène et la propreté est un élément important (dont 61% très important) : c’est la préoccupation n°1 des Français vivant dans un immeuble94% citent le bon fonctionnement des équipements comme un critère important, à égalité avec la sécurité (accès à l’immeuble et aux parties communes)87% des répondants estiment qu’une bonne information sur la vie de l'immeuble est importanteLes attentes en termes de services et de nouvelles technologies78% estiment que l'accessibilité pour tous (situation de handicap, personnes âgées) est importante : 43% des répondants habitant en immeuble ont un ascenseur et l’utilisent57% des habitants d’immeuble aimeraient disposer d’au moins un service ou espace partagé dans leur résidence, à l’instar de casiers pour les livraisons à domicile (30%), d’un jardin sur le toit (29%), d’une salle de sport (24%), ou encore d’une conciergerie (19%)Plus d’1 répondant sur 2 (55%) souhaite au moins une nouvelle technologie au sein de son immeuble : des matériaux antimicrobiens (31%), un écran d’information connecté (23%), un robot nettoyeur (20%)L’immeuble idéal de demain pour les FrançaisPour leur futur, les Français se projettent dans un immeuble éco-responsable à 41% (maîtrise des consommations d’eau et d’énergie, compost, projets d’agriculture urbaine, etc.)22% des répondants se projettent dans un immeuble proposant des services à la carte, à la fois plus connecté, plus éco-responsable et plus coopératifHygiène, sécurité et convivialité : des priorités qui portent la marque de deux années de crise sanitaireSelon l’étude YouGov / KONE sur les Français et leur immeuble, l'hygiène et la propreté sont les premières préoccupations des personnes vivant en logement collectif. Ménage effectué régulièrement, respect des mesures barrières sont choisis par 95% des répondants – parmi sept options de réponse – comme des critères importants au bien-vivre au sein de la copropriété. Parmi eux, 61% jugent même ce critère comme « très important ». Probablement exacerbée par la crise sanitaire, cette préoccupation existe plus particulièrement pour les plus de 55 ans qui déclarent à 98% prêter attention à l’hygiène et à la propreté.Les répondants placent la sécurité en 2e position de leurs préoccupations, s’agissant de l’accès à l’immeuble et aux parties communes : au total, 94% des répondants la considèrent comme importante, dont 64% très importante. Ce sont surtout chez les femmes et les plus de 55 ans que ce critère fait forte impression : dans ces deux catégories, 69% le qualifient de « très important ». Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France et spécialiste du segment résidentiel : « Confinements successifs, distanciation sociale, consignes sanitaires, semblent avoir marqué les Français dans leur rapport à leur immeuble : ils recherchent avant tout un environnement de vie sécurisé et protecteur. On peut parler d’immeuble « cocon », d’autant que bon nombre de répondants aspirent aussi à plus de convivialité. Au-delà de la conjoncture, ces attentes sont devenues structurelles et doivent être prises en compte dans la manière dont nous, professionnels du bâtiment, concevons et équipons les immeubles de logement. »Pour 79% des habitants d’immeuble, l’organisation d’animations et la bonne entente avec le voisinage au sein de l’immeuble sont importants. Ce besoin de convivialité s’exprime en priorité chez les plus de 55 ans (85%) par rapport aux 18-24 ans (61%).Accessibilité, bon fonctionnement des équipements et information : la fluidité, essentielle pour faciliter le bien-vivre ensemble ?Si l’hygiène et la sécurité constituent le socle des attentes des Français, d’autres critères apparaissent comme nécessaires pour faciliter le quotidien et le bien-vivre ensemble. C’est le cas du bon fonctionnement et de l’entretien des équipements, à l’instar des ascenseurs, du chauffage ou de l’interphonie. 94% des personnes habitant un immeuble considèrent ce critère comme « important » (dont 63% « très important »). Par ailleurs, la bonne information sur la vie de leur immeuble est au cœur des attentes des Français résidant en logement collectif. Ainsi, 87% des répondants estiment qu’être bien informé sur tout ce qui concerne leur immeuble est important : dates des travaux et des réunions, événements particuliers comme une coupure d’eau, etc.Enfin, l’accessibilité pour tous est plébiscitée par 78% des répondants. Cette préoccupation est d’autant plus grande pour les plus de 55 ans, qui la considèrent comme « très importante » à 89%. Sur cette question, l’ascenseur apparaît comme un équipement essentiel et nécessaire pour permettre la mobilité de tous au sein de l’immeuble. Ainsi, selon l’étude, 43% des répondants habitant en immeuble ont et utilisent un ascenseur, chiffre encore plus élevé pour les retraités (52%). A l’inverse, le nombre d’habitants ayant un ascenseur mais qui ne l’utilisent pas est faible en comparaison (10%), et concerne majoritairement les jeunes (17%).Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France : « L’étude montre que tout ce qui permet des déplacements et des échanges fluides au sein des immeubles est déterminant pour les habitants. Cet enseignement m’intéresse particulièrement, car les flux au sein des bâtiments, c’est notre cœur de métier chez KONE. Ceux-ci s’organisent en effet bien souvent autour de l’ascenseur, qui est la colonne vertébrale de la mobilité au sein de l’immeuble, permettant à toutes et tous de se déplacer. Il est essentiel qu’il fonctionne de manière optimale, c’est le but d’un entretien régulier, si possible prédictif, mais il est aussi un « passage obligé », propice à l’information des habitants. »Nouvelles technologies et nouveaux services dans les immeubles : plus d’1 Français sur 2 s’y intéresse, en particulier les jeunes générationsEn échos à ces priorités, plus d’un répondant sur deux (55%) souhaiterait que son immeuble bénéficie d’une innovation technologique. Parmi celles proposées, l’utilisation de matériaux antimicrobiens est souhaitée par près d’un répondant sur trois (31%), assez logiquement au vu des attentes liées à l’hygiène, tout comme la mise à disposition de robots nettoyeurs pour les parties communes, qui intéresse 20% d’entre eux. Cette innovation technologique a notamment été placée en première position par les 25-34 ans. « Un écran d’information en temps réel dans le hall ou l’ascenseur, avec notification sur mon smartphone » intéresse par ailleurs près d’un quart des habitants d’immeuble (23%) : périodes de travaux, réunions, animations, horaires des transports en commun autour de mon immeuble, etc. C’est l’innovation qui séduit le plus la génération Z : 35% des 18-24 ans la choisissent.Au-delà de l’amélioration du fonctionnel, un Français sur deux se déclare intéressé par le déploiement d’au moins un service ou nouvel espace partagé au sein de son immeuble. Choisis par 30% des répondants, ce sont les casiers pour la livraison des achats en ligne qui se positionnent en tête. Ils sont suivis par un jardin sur le toit (29%), une salle de sport (24%), une conciergerie (19%) ou encore la présence d’un magasin au sein de l’immeuble (16%).Quelques disparités dans les attentes en fonction des profils des répondants sont à noter. En moyenne, les plus de 55 ans se montrent moins intéressés que les autres tranches d’âge par les services et les nouvelles technologies. Autre exemple, si la mise à disposition d’un espace de coworking ne séduit que 7% des répondants, on remarque que ceux-ci sont majoritairement des jeunes (56% de 18-34 ans), urbains (52% d’habitants de grandes villes) et issus des catégories sociales supérieures (51% de CSP+).Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France : « L’immeuble connecté et serviciel a le vent en poupe, en particulier auprès des nouvelles générations. Avec le développement du télétravail, la plupart des Français ont passé beaucoup plus de temps chez eux depuis deux ans. Qu’ils aient plus d’attentes quant à leur résidence en termes de confort, de services de proximité et pourquoi pas de nouveaux espaces de type jardin partagé ou coworking, est finalement très logique. Et bonne nouvelle, beaucoup de choses sont déjà possibles aujourd’hui grâce à la connectivité des équipements. Le robot capable de se déplacer dans les étages pour livrer ou faire le ménage, ce n’est pas de la science-fiction ! Pour aller plus loin nous devons encore renforcer la coopération entre acteurs du bâtiment et travailler à l’ouverture des systèmes technologiques et des données. »Immeuble de demain : un logement connecté, éco-responsable et coopératifAu-delà des personnes résidant en logement collectif, l’étude YouGov / KONE s’est également penchée sur les attentes de tous les Français concernant l’immeuble du futur. Lorsqu’ils imaginent l’immeuble dans lequel ils aimeraient habiter, les Français privilégient un modèle d’immeuble éco-responsable (41%), devant l’immeuble intelligent et connecté (11%) et l’immeuble coopératif (10%). Cependant, 22% des répondants souhaitent un immeuble combinant les trois dimensions, avec la possibilité de choisir des services à la carte. A noter, les nouvelles générations montrent davantage d’appétence pour les nouvelles technologies : les 18-24 ans sont 18% à préférer ce modèle d’immeuble, soit 7 points de plus que la moyenne des répondants.Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France : « Le modèle d’un immeuble éco-responsable est celui dans lequel se projette la majorité des Français, devant l’immeuble connecté et l’immeuble coopératif. L’écoresponsabilité et la coopération correspondent à des valeurs et à des modes de vie très en phase avec les préoccupations des Français et les nouveaux usages. Le numérique et la technologie sont quant à eux davantage des outils à notre disposition. Plus qu’une finalité, l’immeuble connecté est surtout considéré comme un moyen d’atteindre un mode de vie plus responsable et plus coopératif. »Cap sur le smart building résidentielPour KONE, les enseignements de l’étude plaident en faveur d’une accélération du smart building pour le marché du logement. Ceci implique notamment une meilleure coopération entre professionnels de l’immobilier pour parvenir à faire exister cet immeuble auxquels les Français aspirent : plus fonctionnel, plus serviciel, plus durable.Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation KONE France : « C’est finalement un enjeu de maîtrise au sein des immeubles que souligne les résultats de l’étude YouGov / KONE : maîtrise des besoins, des équipements, des flux, des consommations… Pour y parvenir, les différents systèmes qui font fonctionner l’immeuble doivent être connectés entre eux, et les équipementiers doivent travailler ensemble pour y parvenir. A un autre niveau, c’est aussi par une meilleure coopération que l’on pourra améliorer le bilan carbone des chantiers de rénovation, en mettant en place des filières de réemploi des matériaux. »Depuis un an, la technologie DX de KONE permet de faire de n’importe quel ascenseur un objet connecté, et ainsi, de le faire communiquer avec les autres équipements du bâtiment dès lors que ceux-ci le permettent également. Cette ouverture permet de déployer une véritable plateforme de services, activables en fonction des besoins au sein de la copropriété. Par exemple, l’ascenseur peut être connecté à une intelligence artificielle et bénéficier d’un service de maintenance prédictive, qui permet d’anticiper les incidents et d’éviter jusqu’à une panne sur deux. Autre exemple, il est possible de connecter l’ascenseur à un robot afin qu’il puisse se déplacer dans l’immeuble. Il peut également être connecté à une application de gestion des portes et accès pour renforcer la sécurité, ou d’appel de l’ascenseur à distance, sans contact, pour lever certaines craintes en matière de propreté.
Il y a 3 ans et 67 jours

Coup de chapeau à Structurae

Le site Structurae référence plus de 75 000 ouvrages de BTP, dont les constructions ukrainiennes. [©Structurae] Les bonnes initiatives méritent d’être mises en lumière. Bien rares sont les personnes qui ignorent encore ce qui se passe en Ukraine. La sale guerre de Poutine – on ne peut pas l’appeler autrement – engendre une immense souffrance humaine. C’est bien là, la chose la plus dramatique. Mais elle détruit aussi, peu à peu, un grand pays, à l’histoire millénaire. Infrastructures et constructions disparaissent au fil des bombardements. Afin de permettre à chacun de se faire une idée de la richesse et de la diversité de l’architecture du pays, le site d’informations Structurae a décidé de la mettre en avant dans sa dernière newsletter. Un choix volontaire de Nicolas Janberg, pour apporter, à son niveau, soutien et solidarité à l’Ukraine. Béton[s] le Magazine se joint à cette initiative en relayant cette information. A vos clics.
Il y a 3 ans et 68 jours

Le Rollmix de Mecbo pompe sa première chape fluide

Le Rollmix est le premier malaxeur-pompe à chapes signé Mecbo. [©ACPresse] Annoncé en avant-première en fin d’année dernière, le tout nouveau malaxeur-pompe à chapes de Mecbo est aujourd’hui opérationnel. Son nom définitif : Rollmix. Ces caractéristiques techniques correspondent en tout point à la fiche technique présentée il y a quelques mois à peine. Ainsi, l’équipement s’articule autour d’une pompe à pistons Getto P2-800, d’un débit de 15 m3/h (soit 250 l/mn), pour une pression de 85 bar au maximum. « C’est la plus petite des pompes de la gamme Pulsar, précise Antonio Agostinho, président de Mecbo. Elle est tout à fait adaptée à ce besoin et à cet usage. Et nous restons dans une gamme standard et éprouvée. » Disposant d’une trémie destinée à recevoir directement la chape fluide transportée dans la cuve, cette pompe est montée en position transversale à l’arrière du porteur. Bien entendu, une autre toupie peut venir déverser son chargement dans cette trémie. Il suffit de dérouler… L’autre équipement central du Rollmix – et c’est ce qui en fait un matériel unique – est le dérouleur/enrouleur de tuyaux souples. Positionné entre la cuve de transport et la cabine du porteur, il est relié à la pompe Getto, via une conduite métallique de 50 mm Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 3 ans et 73 jours

Paris : consultation pour 5.000 m² de logements ultra bas-carbone sur Evangile

RENOUVELLEMENT URBAIN. Sur la Zac Chapelle Charbon, sur une friche ferroviaire de la gare du Nord, la Ville de Paris Paris & Métropole Aménagement, organisent une consultation pour la construction d'un ensemble répondant aux niveaux les plus élevés du label BBCA.
Il y a 3 ans et 74 jours

Quelles sont les énergies de chauffage les plus utilisées en maison neuve ?

Mené en partenariat avec le cabinet d’études spécialisé sur le marché de la maison individuelle, Caron Marketing, cette nouvelle édition confirme à nouveau la prédominance de la PAC – Pompe à Chaleur, utilisée dans plus d’1 maison sur 2, en France et en Île-de-France. Elle est suivie du gaz pour la région francilienne et de l’électricité associée à des panneaux rayonnants sur le territoire national. Focus sur les résultats.Lorsqu’un particulier lance un projet de construction de maison neuve, il est accompagné, tout au long du projet, par le constructeur qu’il a choisi au préalable. Celui-ci le conseille et le guide notamment sur le choix des matériaux, le type de toiture, mais aussi sur le type d’énergie de chauffage le plus adapté à son projet. C’est d’ailleurs cette thématique que Domexpo, en partenariat avec Caron Marketing, a choisi d’analyser pour son nouveau Baromètre dédié aux énergies de chauffage les plus utilisées dans les maisons livrées en 2020. 107.000 autorisations ont été délivrées pour la construction d’une maison individuelle en 2020 (dont près de 5.000 en Île-de-France). Globalement, les tendances restent les mêmes que l’année dernière dans la répartition des énergies de chauffage, avec notamment : La PAC – Pompe à chaleur, qui confirme son leadership : il s’agit aujourd’hui de l’équipement pour le chauffage le plus plébiscité en France et Île-de-France, avec respectivement 59% et 67% des maisons individuelles neuves qui en sont équipées (vs 49% et 56% l’année dernière). Le gaz, avec 17% de part de marché, baisse en Île-de-France mais conserve toujours sa deuxième position, alors que l’électricité associée à des panneaux rayonnants devient l’outsider en France.Pour Daniel Lair-Lachapelle, Président de Domexpo : « La PAC reste la solution de chauffage la plus plébiscitée en maison neuve. Il faut dire qu’elle présente de nombreux avantages : elle est facile d’utilisation et d’entretien (elle ne nécessite par exemple qu’un seul abonnement électrique et un seul raccordement) mais elle est aussi plus respectueuse de l’environnement et moins chère en consommation immédiate. En Île-de-France, c’est principalement la PAC Air/Air qui est privilégiée. Dans cette région, le prix du terrain dans le budget global est important : les particuliers privilégient donc plutôt des équipements peu onéreux. Faisons aussi un focus sur le gaz qui reste toujours une énergie très appréciée des particuliers mais on remarque que sa part tend à reculer, en France et en Île-de-France : les moteurs de calcul de la RE2020 ont depuis 2 ans, privilégié l’utilisation de la PAC, au détriment du gaz, afin d’anticiper les futures réglementations liées à la RE2020. On pourrait donc s’attendre à une nouvelle baisse dans les prochains mois, mais tout peut encore changer : la Commission européenne de Bruxelles vient en effet d’accorder un label « vert » au gaz notamment… A suivre donc pour que nous puissions, à l’avenir orienter et conseiller au mieux les clients Domexpo… »
Il y a 3 ans et 74 jours

Un manifeste commun pour le patrimoine

Le G7 Patrimoine réunit les 7 grandes associations du patrimoine, reconnues d’utilité publique et agréées au titre de l’environnement. Poursuivant chacune un objet large, elles sont unies par une même vision du développement durable et de la valeur éducative du patrimoine. À l’occasion des élections présidentielles de 2022, elles publient un manifeste commun dont les revendications précises pourraient permettre aux différents candidats d’appréhender les principaux enjeux patrimoniaux des cinq prochaines années. Renouveler la gouvernance du patrimoine Engagement n° 1 : Une protection renforcée La protection du patrimoine recevra une reconnaissance constitutionnelle, comme en Italie. La Charte de l’Environnement, déclinée dans une loi organique du patrimoine, en sera le modèle. La priorité attachée à la protection du patrimoine sera garantie par une loi-programme. Les architectes des bâtiments de France retrouveront le pouvoir d’autorisation qui était le leur avant l’intervention de la loi ELAN. Engagement n° 2 : Une société civile mieux associée Redonner vie aux consultations de la société civile d’une manière générale, ratifier sans délai la Convention de Faro, renforcer l’indépendance des commissions départementales de la nature, des paysages et des sites prouveront la volonté réelle d’associer la société civile. Engagement n° 3 : Des droits de recours pleinement restaurés Quelle que soit la date de leur création, les associations doivent pouvoir agir en justice pour défendre le patrimoine. Ecorné par des restrictions récentes, ce droit fondamental sera restauré et renforcé par l’institution d’un référé protection du patrimoine, sur le modèle du référé-liberté. Assurer la protection effective du patrimoine Engagement n° 4 : Un moratoire national de l’éolien pendant 2 ans La transition écologique qui s’impose à tous ne peut se faire contre les populations. Répondant aux votes de nombreuses collectivités, un moratoire national de l’éolien d’une durée de deux ans sera décrété. Il permettra de refonder la transition écologique sur des bases transparentes. Nulle installation ne pourra être décidée en passant outre l’avis majoritaire des populations et de leurs élus. Sur terre, la distance minimale des installations aux habitations sera égale à 10 fois leur hauteur ; l’avis des ABF et des inspecteurs des sites s’imposera pour toute installation projetée dans un rayon de 10 kms autour d’un monument ou d’un site protégé. En mer, l’avis rendu en juin 2021 par la Commission supérieure des sites, perspectives et paysages servira de guide aux futures installations1 : ainsi, l’éolien flottant à grande distance sera privilégié. Le bilan économique des installations en projet intégrera tous les coûts ainsi que l’impact sur le bien- être des populations. Les subventions au prix d’achat du kWh éolien seront supprimées pour toutes les installations. Le contentieux éolien sera désormais soumis aux règles de droit commun. Engagement n° 5 : La reconnaissance de la valeur du patrimoine de proximité Insuffisamment reconnu en dépit de sa richesse, le patrimoine de proximité sera inventorié, en vue d’être labellisé puis protégé autant que de besoin. Les communes et les intercommunalités auront l’obligation de le répertorier dans les documents d’urbanisme (PLU et PLUI). En matière de logement, le réemploi et la restauration de ce patrimoine seront privilégiés. Engagement n° 6 : Priorité à l’éducation et à la formation L’éducation au patrimoine bâti et paysager dans chaque école donnera une leçon d’histoire concrète et favorisera l’insertion de la jeunesse ainsi que la citoyenneté. Dans les programmes scolaires, les actions d’éducation au patrimoine seront systématisées. Dans les classes primaires, une demi-journée par mois sera consacrée à découvrir le patrimoine de proximité. Les collaborations entre culture et éducation seront renforcées. 10 % des lycées professionnels, à comparer à 3 % actuellement, proposeront une formation à la restauration du bâti ancien. Protéger le patrimoine dans la durée Engagement n° 7 : Stabiliser les moyens budgétaires sur le temps long Entretenir régulièrement le patrimoine est la meilleure manière de le préserver : les bonnes dépenses d’entretien éviteront demain de coûteux sauvetages. L’entretien sera une priorité durable au sein d’une enveloppe budgétaire globale, consolidée au niveau actuel. La part du patrimoine monumental privé dans les crédits de restauration sera portée à 20 %. Pérennisé, le Loto du Patrimoine privilégiera le patrimoine rural. L’assistance à maîtrise d’ouvrage sera généralisée. Engagement n° 8 : Accompagner la transition énergétique du patrimoine ancien Plus vite encore que les ravages du temps, une rénovation thermique inadaptée peut saper le patrimoine ancien. Respecter les matériaux anciens, former les accompagnateurs rénovation au bâti ancien, doter les DRAC de référents transition énergétique, mobiliser des moyens dédiés éviteront cette erreur en servant pleinement la cause du développement durable. Engagement n°9 : Conforter le modèle économique du patrimoine protégé Une révision des valeurs locatives, aux effets mal évalués, pourrait ruiner les efforts d’une fiscalité des monuments historiques qui a fait ses preuves par sa pérennité : les taux esquissés pour 2026, déconnectés de la réalité économique, devront être abaissés. La protection du patrimoine mobilier sera mieux assurée tandis que la notion d’ouverture au public s’adaptera aux pratiques actuelles. De nouvelles incitations faciliteront la transmission et la sauvegarde des monuments historiques.     Les associations qui composent le G7 Patrimoine : La Demeure Historique. Association nationale fondée en 1924, reconnue d’utilité publique en 1965. Comptant 3 000 adhérents, propriétaires gestionnaires, elle se consacre à la sauvegarde du patrimoine historique privé. Les 3 000 monuments et jardins protégés qu’elle accompagne et conseille accueillent chaque année 9 millions de visiteurs. Maisons paysannes de France. Association nationale créée en 1965, reconnue d’utilité publique en 1985. Comptant 7 000 adhérents, elle œuvre à la préservation du patrimoine culturel rural et des paysages ruraux en accompagnant, par le partage de son savoir-faire, la restauration du bâti ancien13 non protégé. Son centre de formation au bâti ancien, certifié qualiopi, propose un programme adaptable à la demande des acteurs du patrimoine. Patrimoine-Environnement. Fédération nationale née en 2013 de la fusion de la Ligue urbaine et rurale (1928) et de la FNASSEM (1967). Reconnue d’utilité publique en 201314 et agréée pour la protection de l’environnement. Regroupant 200 associations et 600 membres, elle représente 40 000 adhérents indirects (hors membres du G7). Elle se consacre à la défense juridique du patrimoine et à la sauvegarde du patrimoine de proximité. Sauvegarde de l’Art français. Née en 1921 sous forme d’association nationale, reconnue d’utilité publique en 1925 et transformée en fondation en 2019, elle se consacre à la sauvegarde du patrimoine religieux (églises et chapelles rurales notamment) ainsi qu’à la restauration des œuvres d’art du patrimoine français. Sites & Monuments (SPPEF). Association nationale créée en 1901, reconnue d’utilité publique en 1936 et agréée pour la protection de l’environnement. Elle mène devant les tribunaux, les enceintes politiques et médiatiques le combat pour la préservation du patrimoine naturel, bâti et mobilier. Union Rempart. Union nationale d’associations locales et régionales. Créée en 1966, reconnue d’utilité publique en 1982. Réunissant près de 200 associations, 10 000 citoyens engagés, 4 000 bénévoles et 20 000 jeunes scolaires, elle promeut la sauvegarde et la transmission du patrimoine par l’éducation populaire. VMF Patrimoine (Vieilles Maisons Françaises). Association nationale fondée en 1958, reconnue d’utilité publique en 1961. Comptant 17 000 adhérents propriétaires ou passionnés, elle se mobilise pour faire connaître, sauvegarder et mettre en valeur le patrimoine bâti et paysager.
Il y a 3 ans et 77 jours

Face au réchauffement climatique, la protection solaire devrait être la première solution pour lutter contre la surchauffe des bâtiments

L’utilisation de protections solaires pourrait réduire la consommation d'énergie pour le refroidissement des locaux dans les bâtiments européens jusqu'à 60 % d'ici 2050. Elle permettrait d'éviter l'émission de 100 millions de tonnes de CO2 et d'économiser 285 milliards d'euros. Telles sont les conclusions de l’étude scientifique menée par Guidehouse, la première à comparer l'impact de la protection solaire avec l'utilisation de la climatisation dans les bâtiments. Selon ES-SO, l'organisation qui chapeaute l'industrie européenne de la protection solaire, l'étude prouve qu'il existe un besoin urgent de protection solaire automatisée pour rendre les bâtiments plus résilients face au climat et plus efficaces sur le plan énergétique. ES-SO souhaite donc que la directive européenne sur la performance énergétique des bâtiments (EPBD) en tienne compte. Un constat partagé par le Groupement Actibaie, syndicat professionnel en France des protections solaires, qui milite pour une intégration des stores et volets aux dispositifs d’aides à la rénovation énergétique.Combattre la surchauffe dans les bâtimentsEn tant qu'organisation, ES-SO est convaincue que la protection solaire automatisée est la meilleure défense contre le changement climatique et pourrait faire partie de la solution structurelle. Sur la base des résultats de l'étude Guidehouse, ES-SO demande instamment aux décideurs politiques de l'UE de rendre la protection solaire obligatoire dans le cadre de la directive EPBD, en tant que première solution - avant l'utilisation du refroidissement actif, tel que la climatisation - dans la lutte contre la surchauffe.Pour Anders Hall, président d’ES-SO : "De nos jours, les bâtiments sont les plus gros consommateurs d'énergie en Europe. Ils consomment 40 % de notre énergie et sont responsables de 36 % des émissions de gaz à effet de serre. Les résultats de l'étude Guidehouse sont impressionnants, car ils démontrent une économie d'énergie potentielle de 60% sur le refroidissement des bâtiments d'ici 2050. Cette étude montre qu'il ne faut plus attendre et que la protection solaire doit être la première solution pour lutter contre la surchauffe des bâtiments. Nous nous projetons déjà dans un futur dans lequel les bâtiments devront être plus résilients face au climat et moins gourmands en énergie." Étude : Protection solaire vs. ClimatisationLe changement climatique va de pair avec des températures plus élevées et des canicules plus longues et plus intenses. On estime que les bâtiments nécessitant une climatisation vont augmenter de 60 %. Dans son étude, Guidehouse, qui conseille les marchés publics et commerciaux du monde entier, a analysé l'impact de la protection solaire par rapport à l'utilisation de la climatisation dans les bâtiments. Les simulations et les différents scénarios sont assez clairs : si la protection solaire est utilisée comme première mesure avant le refroidissement actif (scénario préféré), nous devrions être en mesure d'arrêter la croissance des bâtiments nécessitant une climatisation d'ici 2050. Impact positif de la protection solaire Les résultats de l'étude Guidehouse montrent que la protection solaire automatisée a un impact positif certain, et ce non seulement sur la planète, mais aussi sur la société et les personnes. La planète : Une stratégie de réduction du CO2Entre aujourd'hui et 2050, environ 100 millions de tonnes d'émissions de gaz à effet de serre (*) peuvent être évitées dans le scénario de protection solaire préféré de l'étude Guidehouse. Cette réduction de 100 millions de tonnes d'émissions de CO2 est équivalente aux émissions annuelles de CO2 de 22 millions de voitures.(*) Les facteurs de CO2 sont conformes à l'évaluation d'impact de la directive EPBD 2021 et basés sur le Plan d'objectifs climatiques 2030 de la Commission européenne. Société : une stratégie axée sur les économies d'énergieDans le scénario privilégié, la protection solaire peut réduire de 60 % l'énergie utilisée dans le parc immobilier de l'UE pour le refroidissement des locaux. Selon l'étude du Guidehouse, cette économie d'énergie (d'environ 870 térawattheures d'électricité) est à peu près équivalente à la consommation finale d'énergie de l'Espagne, qui compte 47 millions d'habitants. Les personnes : une stratégie rentableL'étude montre que la protection solaire est un investissement beaucoup plus rentable que le refroidissement actif des espaces, comme la climatisation, étant donné que cette solution pourrait permettre d'économiser jusqu'à 285 milliards d'euros d'ici à 2050. Ce montant est similaire au PIB de pays comme la Finlande et le Luxembourg réunis. Shady Attia, professeur en architecture durable et en technologie du bâtiment à l'université de Liège (Belgique), affirme que la protection solaire pourrait potentiellement apporter une énorme contribution au Green Deal européen. "Aujourd'hui, moins de 50% des bâtiments sont équipés de protections solaires, et une grande partie de celles-ci ne sont pas automatisées. Les résultats de l'étude Guidehouse confirment ma conviction que la protection solaire est une bien meilleure solution que la climatisation pour notre planète, et que nous devons de toute urgence envisager l'utilisation de protections solaires automatisées pour rendre les bâtiments plus résilients face au climat et plus efficaces sur le plan énergétique."
Il y a 3 ans et 82 jours

La chapelle du château royal d'Amboise rajeunie grâce à une rénovation d'ampleur

DIAPORAMA. La chapelle Saint-Hubert du château royal d'Amboise bénéficie d'une restauration exceptionnelle. Charpente, sculptures, vitraux, plomberie, presque tout est à refaire. Visite de ce chantier grandiose...
Il y a 3 ans et 89 jours

Rhône : rénovation de la chapelle Saint-Bonnet à Montmelas-Saint-Sorlin

La chapelle Saint-Bonnet à Montmelas-Saint-Sorlin est au centre d’un projet de rénovation porté par la Fondation du patrimoine.
Il y a 3 ans et 95 jours

Ascenseurs et RE 2020 : « La France est un peu un laboratoire pour KONE », Cédric de la Chapelle, directeur modernisation

Pour être en phase avec la nouvelle réglementation environnementale, l’ascensoriste finlandais publie ses fiches Profil Environnemental Produit (PEP) pour sa gamme monospace 300 DX et 500 DX, disponibles dans la base Inies. Le directeur modernisation de KONE France explique la démarche.
Il y a 3 ans et 98 jours

Edycem BPE dévoile la nouvelle chape Kalkiss Premium

En témoigne le lancement de la version KALKISS® PREMIUM, sous DTA depuis décembre dernier (13/21-1492-V1).Destinée aux espaces de grande surface, jusqu’à 80 m2 avec plancher chauffant et jusqu’à 100 m2 hors plancher chauffant, elle est la première chape du marché français :à doubler la surface de fractionnement entre les joints,à bénéficier d’une cure interne sans pellicule de surface,tout en étant connectée SmartCEM®.Cette extension de gamme est le résultat de nouveaux travaux de recherche menés durant deux ans en collaboration avec Centrale Nantes. Elle s’appuie sur une technologie innovante qui combine les atouts d’une chape anhydrite et d’une chape ciment : une base ciment, un séchage et une pose de revêtement rapides. Des avantages qui ne modifient pas la durée des travaux et qui respectent les délais de livraison.L’innovation au service de nouveaux marchés et du confort de l'usagerLa chape KALKISS® PREMIUM permet à l’architecte de concevoir librement et en toute sérénité des pièces spacieuses. Grâce à l’espacement important entre les joints de fractionnement, il est désormais possible de poser, sans risque de fêlures, des carrelages tels que les grands formats ou les finitions effets bois qui sont au cœur des tendances. Elle devient ainsi une solution idéale pour les grandes cuisines ouvertes sur salon ou encore les rénovations de lofts. Avec sa haute résistance à la compression, KALKISS® PREMIUM convient également aux locaux d’activités tertiaires type P4 où circulent de façon usuelle, des engins de manutention de charges lourdes ou des engins d'entretien lourds. La mise en œuvre de la chape constitue pour les chapistes un véritable gain de temps. Fini l’application laborieuse du produit de surface et les allers-retours sur le chantier pour poncer !
Il y a 3 ans et 101 jours

Ille-et-Vilaine : réaménagement de la mairie de La Chapelle-Erbrée

Le chantier de restructuration de la mairie de La Chapelle-Erbrée durera huit mois
Il y a 3 ans et 104 jours

Nouveau Webinar by Tramico : « Tramichape – Réussir une isolation acoustique performante sous chape »

Participez au webinar pour connaître les bonnes pratiques de mise en œuvre du TRAMICHAPE et les préconisations des experts TRAMICO pour garantir une isolation acoustique performante sous chape. Ce webinar sera co-animé par Antoine Fréville, Responsable Projet Développement et Thomas Olivier, Responsable Commercial Ile de France. Rappel des infos du Webinar :Thème : « TRAMICHAPE – Réussir une isolation acoustique performante sous chape » Réglementation acoustique, isolation aux bruits d'impact et règles de mise en œuvre : les solutions des experts TRAMICO.Dates & horaires du webinar : (durée du webinar 30min)Vendredi 11 février 2022 – 13h00Mardi 15 février 2022 – 17h30N’attendez plus et inscrivez-vous à la date et l’heure qui vous conviennent le mieux à cette adresse.Tramico, fabricant français, propose un vaste choix de solutions techniques pour le bâtiment dans les domaines de l’isolation acoustique et de l’étanchéité (à l’air et à l’eau).Au fil des années, TRAMICHAPE est devenu une marque forte sur le secteur de la chape et a su s’imposer auprès des professionnels qui apprécient notamment leur haut niveau de technicité et de qualité.
Il y a 3 ans et 108 jours

Béton Pratique : Comment identifier une armature de qualité ?

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Les usines doivent utiliser des aciers certificiés NF Afcab. [©Snaam] Essentielles au béton armé, noyées donc invisibles, les armatures n’en restent pas moins une partie structurante et technique du processus de construction. De leur qualité de production et de pose dépend aussi la réussite d’un chantier. 1 – Qu’est-ce qu’une armature ? Une armature est un élément en acier incorporé dans le béton. Elle est obtenue à partir d’aciers pour béton armé (barres, couronnes, treillis soudés) utilisés en l’état ou après diverses opérations, telles que le dressage, le façonnage ou le soudage. Intimement intégrées dans le béton qui résiste bien à la compression, mais mal à la traction et au cisaillement, les armatures reprennent ces derniers efforts, conférant au matériau ses caractéristiques si particulières. Avant de devenir armatures, les aciers peuvent subir à la fois un dressage, lorsqu’ils proviennent de couronnes, des coupes à longueur, du façonnage, afin de leur donner la forme prévue au plan. Ces opérations peuvent être complétées par un assemblage ou un formage, et par l’ajout de dispositifs spéciaux, tels que ceux de raboutage ou d’ancrage (coupleurs). Le marché de la construction définit trois grandes familles d’armatures : les armatures sur catalogue, qui sont fabriquées par les armaturiers pour assurer une fonction déterminée (chaînage, poteau, semelle, linteau…). Elles doivent être validées par un bureau de contrôles techniques. Elles sont présentées dans un catalogue, vendues sur stock et destinées surtout à la maison individuelle ;les armatures sur plans ou “traditionnelles”, qui peuvent être : – “coupées-façonnées” à partir d’éléments fabriqués suivant les plans du client et posées sur chantier (surtout en travaux publics) ; – “coupées-façonnées-assemblées”. Dans ce cas, l’armaturier livre sur chantier des produits tridimensionnels prêts à poser. Ce qui permet, en particulier dans le bâtiment, de gagner en productivité et en qualité de réalisation. les armatures spéciales comprenant des dispositifs spéciaux (en général, des coupleurs) ou encore constituées d’aciers particuliers (galvanisés ou inoxydables). 2 – Comment reconnaître une armature de qualité ? Quels sont les critères déterminants ? Les armatures peuvent être “coupées-façonnées” ou “coupées-façonnées-assemblées”. [©Snaam] Dans les faits, une armature de qualité répond aux exigences implicites et explicites d’un client. Pour rappel, la production d’une armature passe d’abord par les calculs du bureau d’études béton qui fournit un plan établi par logiciel. Le calcul de sections d’acier se faisant en respectant les Eurocodes. Dès réception des plans par l’armaturier, les “décortiqueurs” se chargent de les traduire en éléments fabricables, transportables et permettant une mise en œuvre simple et rapide. Lors de cette étape, il est fondamental pour le bureau d’études béton et le client final de pouvoir s’appuyer sur l’expérience et la technicité de l’armaturier. Ceci, afin de définir ensemble une armature optimisée, conforme et répondant parfaitement aux besoins du chantier. Dans ce cadre, les décortiqueurs peuvent proposer de décomposer les armatures en sous-éléments pour simplifier leur mise en place ou d’ajouter des accessoires de type “boîtes d’attente”, “coupleurs” et “goujons”, afin de faciliter leur utilisation. Dans tous les cas, la décision finale revient au bureau d’études béton. Une armature de qualité doit avant tout être fabriquée avec un acier de qualité. Pour cela, les armaturiers doivent choisir un acier certifié NF Afcab2. Mais de façon volontaire, ils peuvent pousser l’exigence plus loin, en choisissant de manière systématique un acier B 500 B (obligatoire pour les zones soumises à réglementation sismique) et de préférence laminé à chaud, qui offre plus de ductilité qu’un acier laminé à froid. De son côté, la RE 2020 est venue apporter une nouvelle exigence, celle des productions bas carbone détaillées par les Fdes. Pour assurer une empreinte carbone la plus basse possible, les armatures doivent être fabriquées à partir d’un acier français et local issu de la filière électrique. De plus, pour participer à la baisse de l’impact carbone, il est préférable de se fournir auprès d’une usine de production d’armatures à proximité du chantier. Ceci, pour optimiser le transport et bénéficier d’une plus grande réactivité de l’armaturier. Dans le même ordre d’idées, la pratique qui consiste à remplacer le diamètre 6 mm par un diamètre 8 mm est à proscrire, puisqu’elle augmente le tonnage d’armatures (jusqu’à + 10 %) et les coûts en proportion. En plus, elle pénalise, de fait, le bilan carbone. 3 – Existe-t-il d’autres agréments ou certifications ? Qu’apportent-ils en plus par rapport à la normalisation ? La RE 2020 est venue apporter une nouvelle exigence, celle des productions bas carbone détaillées par les Fdes. [©Snaam] En France, nous disposons de la certification NF Afcab, qui s’appuie sur un référentiel précis et deux audits par an et par usines. Cette certification permet aux clients de s’assurer du scrupuleux respect de la norme NF A 35-027. Il s’agit d’une certification volontaire, mais qui est exigée dans la plupart des chantiers de génie civil (Fascicule 65). Toutefois, elle reste encore trop peu exigée dans les cahiers des charges des chantiers de bâtiment. Depuis près de 30 ans, une norme européenne pour les aciers pour béton armé est en discussion… En 2005, la norme NF EN 10080 a été publiée, mais n’étant plus harmonisée, elle ne permet pas encore le passage au marquage CE, demandé par le Règlement des produits de la construction. Pour l’heure, les travaux de la Commission européenne de normalisation continuent… 4 – Quelles sont les normes qui régissent les armatures ? Sont-elles d’application obligatoire ? Les armatures sont surtout chapeautées par la norme NF A 35-027 – Armatures, qui regroupe les armatures sur catalogue, les armatures sur plans (dressage, coupe, façonnage, assemblage par soudage) et les armatures spéciales (armatures mettant en œuvre des dispositifs de raboutage ou d’ancrage, des boîtes d’attente, des aciers inoxydables). Les aciers pour la fabrication des armatures sont, eux, définis par différentes normes :   La plus importante est la NF A 35-080–1 – Aciers pour béton armé – Aciers soudables (Partie 1 – Barres et couronnes), qui couvre la très grande majorité des aciers utilisés type B 500 A et B 500 B ;Cette norme est complétée par la NF A 35-080-2 – Aciers pour béton armé – Aciers soudables (Partie 2 – Treillis soudés). Il faut optimiser les distances de transport entre le chantier et l’usine pour réduire l’empreinte carbone. [©Snaam] Ces deux normes décrivent notamment les classes techniques des aciers utilisables pour fabriquer des armatures : – B 500 A : acier de limite d’élasticité Re ≥ 500 MPa et d’Agt (allongement sous charge maximale) de 2,5 % mini ; – B 500 B : acier de limite d’élasticité Re ≥ 500 MPa et d’Agt de 5 % mini. Pour d’autres types de produits ou applications particulières, on peut citer les normes : NF A 35-014 – Aciers pour béton armé – Aciers inoxydables soudables – Barres et couronnes ;NF A 35-025 – Aciers pour béton armé – Barres et couronnes pour béton armé galvanisées à chaud ;NF A 35 020 – Dispositifs de raboutage et dispositifs d’ancrage d’aciers pour béton armé à verrous ou à empreintes; Sujet réalisé en collaboration avec le groupe Snaam : Jean-Michel Sohm, conseiller technique de la direction générale, et Marc Abadias, vice-président de l’APA1 et directeur de site. 1Association professionnelle des armaturiers. 2Association française de certification des armatures du béton. A propos de la Snaam Fort de 90 ans d'expérience, le groupe Snaam est le leader français des solutions pour le béton armé. Basé à Lyon, il compte 30 sites de production répartis dans toute la France. Et animés par plus de 1 000 collaborateurs partageant les mêmes valeurs : technicité, proximité, convivialité. Le groupe Snaam s’est donné pour mission d’optimiser la performance de tous les chantiers, du génie civil à la maison individuelle. Ceci, grâce à ses solutions innovantes et son expertise dans la production d’armatures sur mesure ou sur catalogue. Et enfin, grâce à la mise à disposition d’une gamme complète de produits techniques pour les chantiers (boîtes d’attente, de réservation, coupleurs, distanciers, goujons…). Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 108 jours

Rhône : Structuration des gammes béton pour SEBM

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine SEBM vient de structurer son offre de bétons prêts à l’emploi. [©Martel] Filiale de Martel Groupe, SEBM aura passé son année 2021 à travailler sur la structuration de son offre. « Ces dernières années, la transformation du marché de la construction nous a poussés à apporter une vision claire sur nos offres de produits, afin de répondre aux besoins de nos clients, explique Amandine Noailly, responsable technique et développement béton du groupe. Nous avons donc regroupé nos bétons usuels pour bâtiment sous la gamme Tradi. Quant à la gamme Techni, elle rassemble les bétons plus performantiels, afin de répondre aux chantiers plus techniques. Enfin, le secteur des travaux publics sera régi par notre gamme Voiri. » De son côté, la gamme Speci regroupe les bétons nécessitant des exigences spécifiques, telles que les chapes fluides ciment. La gamme Lhya est dédiée aux bétons d’aménagements décoratifs. « Elle est déclinée en trois sous-familles : Lhya Minéra, pour les bétons désactivés, sablés, Lhya Surfa, pour les bétons imprimés ou balayés, et enfin, Lhya Perméa, pour les bétons drainants et stabilisés. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes Dans le même temps, Martel Groupe réaffirme sa volonté de placer le développement durable au cœur de ses activités. « L’internalisation de la chaîne de valeur nous permet de mettre en avant une économie circulaire associée à la fabrication du béton grâce à notre carrière de la Picardière – SEEM, ainsi qu’à la réutilisation de nos retours bétons pour la fabrication de granulats recyclés. » Afin de répondre aux enjeux de la RE 2020, SEBM lance ainsi le marquage CO2 Score, qui signale des réductions des émissions de CO2/m3, pouvant atteindre plus de 50 %. Celui-ci est applicable à l’ensemble des produits de la marque. Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 109 jours

Edycem BPE lance une version Premium de sa chape Kalkiss

Edycem lance la chape Kalkiss Premium. [©Edycem BPE] Edycem BPE continue d’enrichir sa gamme de chapes ciment Kalkiss. Afin de proposer une offre complète couvrant les besoins du plus large spectre d’applications. C’est dans ce cadre que la marque a lancé la version Kalkiss Premium de sa chape principale. Elle est sous DTA depuis décembre dernier (13/21-1492-V1). Et est destinée aux espaces de grandes surfaces, jusqu’à 80 m2 avec plancher chauffant et jusqu’à 100 m2 hors plancher chauffant. Elle permet de doubler la surface de fractionnements entre les joints. Et de bénéficier d’une cure interne sans pellicule de surface, tout en étant connectée SmartCem. Lire aussi : Edycem dévoile ses bétons bas carbone Vitaliss Cette extension de gamme est le résultat de nouveaux travaux de recherche menés durant deux ans en collaboration avec Centrale Nantes. Elle s’appuie sur une technologie qui combine les atouts d’une chape anhydrite et d’une chape ciment : une base ciment, un séchage et une pose de revêtement rapides. Pour carrelages de grands formats Grâce à l’espacement important entre les joints de fractionnement, il est désormais possible de poser, sans risque de fêlures, des carrelages, tels que les grands formats ou les finitions effets bois qui sont au cœur des tendances. Kalkiss Premium offre aussi une solution idéale pour les grandes cuisines ouvertes sur salon ou encore les rénovations de lofts. Lire aussi : Edycem poursuit le développement de son offre chapes Avec sa haute résistance à la compression, cette chape convient de plus aux locaux d’activités tertiaires type P4. Où circulent, de façon usuelle, des engins de manutention de charges lourdes ou des engins d’entretien lourds.
Il y a 3 ans et 117 jours

Edilteco France renouvèle l'avis technique des mortiers de remplissage Politerm 200 et 300

Le Groupe spécialisé n° 13 « Procédés pour la mise en œuvre des revêtements » de la Commission du CTSB a formulé un nouvel Avis Technique N° 13/16 – 1320_V1 pour les formules Politerm 200 et Politerm 300. Composées de ciment et d’agrégats en billes de PSE expansé, traitées, les formules Politerm 200 et Politerm 300 permettent la réalisation de remplissages allégés en construction neuve ou en rénovation pour des bâtiments courants.Cette version annule et remplace le précédent Avis Technique 13/16-1320 et intègre également une modification avec l’ajout d’un nouveau site de production des billes de polystyrène.En effet, depuis le mois de juin 2021, l’usine Edilteco France du Pontet (84) accueille une ligne de production et d’enrobage pour l’agrégat Politerm.Cette nouvelle ligne permet d’accroître la fabrication du procédé et de répondre à une demande croissante mais également d’amoindrir le bilan carbone de l’entreprise en produisant au plus près des clients et ainsi réduire les coûts de transport et les émissions de GES.Un agrégat de PSE pour un allègement des structuresL’agrégat léger Politerm, bille de polystyrène vierge expansé, à granulométrie contrôlée, enrobée de l’adjuvant breveté E.I.A, (conçu et développé dans les laboratoires d’Edilteco) permet d’alléger les structures grâce à un gain de poids.Ce gain est obtenu par la réduction d’agrégats traditionnels, au profit de l’adjonction de Politerm, qui permet d’atteindre des cœfficients de conductivité thermique à partir de 0,066 W/mK (Politerm 200) et 0,082 W/mK (Politerm 300). Les formules Politerm 200 et Politerm 300, sont donc des mortiers légers dont les masses volumiques, variant 200 kg/m3 et 300 kg/m3, s’avèrent inférieures à celle du béton traditionnel. Les gains de poids volumiques respectifs de 90 % et 88 % offrent un allègement considérable des structures. Et cet allègement qui ne se fait pas au détriment de la robustesse, est permis par un process de fabrication de qualité contrôlée. Les agrégats Politerm sont des billes de polystyrène à cellules fermées, fabriquées par la société Edilteco France et enrobées de l’adjuvant E.I.A. Ils ne proviennent en aucun cas de broyage de panneaux ou de matières recyclées. L’expansion des grains de polystyrène est obtenue par traitement à la vapeur d’eau. Les billes sont alors hydrophobes, imputrescibles et insensibles aux réactions alcalines. Elles sont stockées dans un silo pendant minimum 24 heures, ce qui assure leur stabilisation, avant d’être enrobées par l’adjuvant E.I.A. Ce traitement permet d’éviter toute ségrégation entre billes et liants hydrauliques et garantit l’homogénéité du mélange. Un procédé décliné et éprouvéCe procédé d’agrégat isolant est donc idéal pour élaborer une multiplicité de formules de chapes, de mortiers et bétons légers thermo-acoustiques.Il permet d’isoler et de traiter thermiquement et acoustiquement différents types de supports existant, aussi bien dans les immeubles collectifs que les maisons individuelles : supports en maçonnerie, bois, bacs aciers, revêtements de sol et anciens revêtements, chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolations thermiques et acoustiques aux bruits de chocs, remplissages divers, etc.Il s’adapte aussi bien aux travaux neufs qu’aux travaux de rénovation.Mise en œuvre simplifiée et rapideLes remplissages allégés Politerm 200 et Politerm 300 sont destinés à réaliser une couche de remplissage non armée servant à niveler le support en une forme qui recevra une couche supérieure.Ce procédé rattrape donc irrégularités, déformations, changements brusques de niveaux, et permet de noyer les canalisations de plomberie, tuyauteries, câbles, fourreaux, gaines électriques etc.Le Politerm 200 s’emploie donc aussi bien pour des opérations de remplissage pour une remise à niveau des pentes, que de ravoirage, ravoirage isolant et d’isolation thermique.De même, le Politerm 300 s’emploie pour du ravoirage, de l’isolation thermique, de l’isolation acoustique aux bruits de chocs et pour une remise à niveau de plancher.Parfaitement pompable sur de longues distances et à grande hauteur, les mortiers légers Politerm 200 et Politerm 300 se mettent en œuvre facilement.Lors des mises à niveau et de la confection de supports de revêtement, l’application est simplifiée et rendue plus efficace par sa consistance mousseuse.Dès lors, l’obtention d’un nouvel A.T. des formulations Politerm 200 et Politerm 300, confirme le caractère exclusif et technique d’allègement des structures sans déperdition thermique et avec une amélioration de l’isolation acoustique ; ainsi que l’engagement d’Edilteco France dans une démarche de contrôle qualité certifiée répondant aux exigences de chantiers multiples.
Il y a 3 ans et 124 jours

Toulouse : cure de jouvence pour le dôme de la chapelle Saint-Joseph-de-la-Grave

La restauration du dôme de la chapelle Saint-Joseph-de-la-Grave prendra fin en mars prochain.
Il y a 3 ans et 128 jours

A Orly, atterrissage en douceur pour la salle des fêtes de Graal

En juin 2021, l’agence parisienne Graal (Carlo Grispello et Nadine Lebeau) a livré à la ville d’Orly (Val-de-Marne), maître d’ouvrage, pour un budget de 1,2 M€ HT, une salle des fêtes de 630 m² pour trois salles modulables. Un volume capable simple, chapeauté par une toiture pliée en huit pans. Communiqué. Le territoire d’Orly, connu […] L’article A Orly, atterrissage en douceur pour la salle des fêtes de Graal est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 131 jours

Lancement d'un guichet unique pour la rénovation énergétique des logements

"C'est le lancement d'un service public de la rénovation", a affirmé Emmanuelle Wargon en visioconférence de presse. "Je pense que c'est indispensable qu'on ait une marque claire, lisible par les Français", a-t-elle ajouté."La simplification est en route, et maintenant, dans cette simplification, les aides nationales et les aides des collectivités sont toutes sous la bannière France Rénov'", a déclaré la ministre.Pilotés par l'Agence nationale de l'habitat (Anah), 450 guichets uniques -certains chapeautant plusieurs sites- ont ouvert, employant 1.000 conseillers jusqu'ici dédiés au dispositif MaPrimeRénov'.En 2021, ce dispositif d'aides à la rénovation a reçu quelque 764.000 demandes, dont près de 658.000 ont été acceptées et 380.000 payées.Le président de l'Anah, Thierry Repentin, a dit espérer "engager plus de 800.000 dossiers pour l'année 2022".Les aides à la rénovation seront complétées par un prêt bancaire, garanti par l'Etat ("prêt avance rénovation"), dont seuls les intérêts seront à rembourser immédiatement.Le reste à charge sera à rembourser uniquement au moment de la revente du bien ou de la succession. Deux banques, le Crédit mutuel et la Banque postale, se sont engagées à le financer.France Rénov' a également pour objectif de développer l'accompagnement personnalisé des projets des particuliers, avec des accompagnateurs dédiés qui se rendent à leur domicile.A partir de 2023, d'autres professionnels pourront devenir accompagnateurs.Les métiers englobés seront définis au cours d'une concertation mais "pour les architectes, on est dans l'idée que c'est assez naturel", a expliqué la ministre.
Il y a 3 ans et 135 jours

En 2022, Hidalgo veut "poursuivre l'embellissement de Paris" alors que ses habitants dénoncent un saccage de la capitale

La maire socialiste a déclaré dans ses vœux diffusés en ligne, en lieu et place d'une cérémonie annulée en raison de la nouvelle vague de contaminations due au variant Omicron, qu'alors que « le compte à rebours des Jeux olympiques et paralympiques de 2024 va s'accélérer », « nous continuerons à redonner à Paris toute sa splendeur : je pense au grand site Tour Eiffel (...) et au lancement du réaménagement des abords de Notre-Dame ».Alors que 2021 a été une année riche en contestations des décisions prises par la mairie parisienne, notamment avec le mouvement #SaccageParis, qui dénonçait les choix d'aménagement de voirie, la manque de propreté des rues ou le mobilier urbain entre autre, la mairie de Paris s'est engagée en décembre dernier à revenir sur certains points de son projet de réaménagement autour de la Tour Eiffel pour tenir compte des critiques mises en lumière lors d'une concertation publique menée à l'automne.Tandis que la mairie veut piétonniser et végétaliser l'axe Trocadéro-Champ-de-Mars, pour un budget de 107 millions d'euros, elle a annoncé « étudier un nouveau mobilier » pour le pont d'Iéna, où la perspective de bacs végétalisés a été « largement remise en question » par les contributions.Les abords de Notre-Dame-de-Paris sont également concernés : le « dialogue compétitif » en cours entre les quatre finalistes doit toucher au but fin juin à la désignation du lauréat. En revanche, les travaux, d'un montant de 50 millions d'euros, ne démarreront qu'après les Jeux olympiques de 2024."Nous poursuivrons l'embellissement de Paris", a encore déclaré la candidate PS à la présidentielle, "en portant une attention particulière aux portes qui nous relient à la métropole: la Porte de la Chapelle", où l'Arena 2 (salle multifonctionnelle d'environ 8.000 places) est en cours de construction, "et la Porte de Montreuil", où le projet de halle pour abriter les commerçants des puces suscite la méfiance de ces derniers."Nous investirons cette année 1,65 milliard d'euros pour transformer notre ville et lutter contre les inégalités", a rappelé Anne Hidalgo en annonçant la création de 6 nouvelles cours-oasis et d'une "trentaine" de nouvelles "rues aux écoles".Ces « rues aux écoles » ont été créée suite au premier confinement dans le but de favoriser la distanciation physique des élèves et d'éloigner les voitures. Ces rues partiellement ou totalement piétonisées vont être au nombre de 169 d'ici les prochaines semaines selon un décompte de la mairie. L'aménagement de 21 nouvelles rues aux écoles sont prévues pour un coût de 9 millions d'euros.
Il y a 3 ans et 137 jours

Transmanut : La Toupie-Pompe pour une livraison en direct

La nouvelle Toupie-pompe de chez Transmanut. [©Transmanut] Présent sur le marché des solutions mobiles pour l’approvisionnement en chapes avec la Mobil’Chape, Transmanut propose désormais la Toupie-Pompe. « Tout est parti de la demande de l’un de nos clients historiques, explique Florent Coude, chargé d’affaires. Nous avonspris comme base d’une toupie classique sur laquelle nous avons adapté nos trémie, pompe et nettoyeur haute pression. La chape coule de la cuve de toupie dans la trémie et est directement pompée. » L’installation intègre un réservoir hydraulique avec réfrigérant et prise-pompe. La trémie de pompage est dotée d’une sonde de niveaux. Le niveau haut arrête la rotatation de la toupie et le niveau bas stoppe le pompage. Une radiocommande gère la pompe à distance et augmente plus ou moins le flux. L’ensemble tourne à un débit de 18 m3/h. Avec une capacité de refoulement de 80 m à l’horizontale et de 10 étages à la verticale. « La première Toupie-Pompe a été livrée début décembre 2021. Et nous avons déjà plusieurs projets en cours. Nous avons un objectif d’une dizaine de machines par an à la vente. A la réception de la toupie, nous avons un mois de travail dessus, avant livraison. » Alors que le marché des chapes est parfois limité par la disponibilité des matériaux, la livraison in situ par ce type de solutions devient une option des plus crédible.
Il y a 3 ans et 166 jours

Fabemi Terrasse & Jardin -Un nouveau showroom d’exception pour travaux d’aménagement extérieur

Il est souvent plus facile d’appréhender son projet d’aménagement extérieur en voyant les matériaux mis en œuvre plutôt que sur un catalogue. Pour présenter son savoir-faire, Fabemi a investi dans un showroom d’exception sur son site de Donzère, dans la Drôme provençale. Ce nouvel espace d’exposition invite le visiteur à une véritable immersion dans l’univers de Fabemi, et propose neuf zones différentes, réparties sur plus de 1 200 m², mettant en scène l’ensemble des produits Terrasse & Jardin du Groupe. Pour permettre à chacun, et notamment ceux qui ne peuvent pas se déplacer sur le showroom, de découvrir visuellement les produits et d’en apprécier les finitions et les couleurs, Fabemi Terrasse & Jardin propose également un service en ligne de demande d’échantillons. Parfaitement complémentaires, le nouveau showroom et la mise à disposition d’échantillons ont pour vocation d’accompagner les clients dans la définition de leurs projets. Une installation en deux phases Les nombreuses mises en scène paysagères du showroom Fabemi utilisent tous les produits dédiés à l’aménagement extérieur. Les visiteurs peuvent ainsi apprécier au mieux la qualité des dalles, pavés, margelles, murets… dans des décors végétalisés. L’ensemble sera ouvert au grand public, aux professionnels (paysagistes et distributeurs)et, bien sûr, aux écoles début 2022. Les travaux ont été effectués sous la direction du paysagiste Florent Masclaux de l’entreprise Blason paysage à Grâne (26). La première tranche, qui s’est déroulée de juin à fin septembre 2021, comprend : -un espace utilisant les produits Manoir (dallage, cercle, marche, caniveau), -des murs et des jardinières en blocs et couronnements Hadrien, -des jardinières en blocs et couronnements Schistone, -un bassin pour poissons avec des margelles Manoir, – deux terrasses en pavés vieillis et bruts, – un patio en pavés Bastide. La deuxième tranche de travaux a débuté le 8 novembre et devrait se terminer en janvier 2022, avec : – trois terrasses en dallages Jouques, Nashira et Calypso, -trois petites piscines avec les margelles Nashira, Jouques et Calypso, -une fontaine en blocs Hadrien. Un espace sera également dédié aux échantillons, avec tous les produits, formats et coloris des gammes Fabemi Terrasse & Jardin. L’ensemble des installations est végétalisé afin de donner un maximum de réalisme à chaque aménagement. Les visiteurs comme les salariés du Groupe Fabemi apprécieront également les détails agrémentant les espaces : tonnelles, bancs, tables, éclairage… Formation revendeurs et paysagistes Le nouveau showroom sera intégré dans le cycle des formations destinées aux partenaires de Fabemi. De la visite d’usine à la mise en œuvre des produits, les professionnels pourront se faire une idée précise sur les aménagements extérieurs qu’ils sont appelés à proposer à leur clientèle à travers des espaces et ambiances uniques. Commander des échantillons gratuits sur www.fabemi.fr Pour permettre aux clients d’avoir un véritable aperçu de ses produits Terrasse & Jardin et faire le bon choix, Fabemi leur propose de commander gratuitement des échantillons en ligne. Quelques clics sur www.fabemi.fr suffisent pour recevoir un échantillon de dallage, margelle, pavé ou chaperon de mur, afin de comparer les aspects et les coloris et donner vie au projet. Le choix en matières, formats et coloris est vaste parmi les nombreuses gammes de produits Terrasse & Jardin proposées en échantillons : dalles et margelles en Béton, en Pierre naturelle ou en Céramique, pavés de tous formats, bruts ou vieillis martelés. Enfin, différents modèles de chaperons de mur sont également disponibles, des accessoires indispensables pour protéger les murs et leur donner une belle finition. Une procédure simple et rapide En page d’ouverture du site www.fabemi.fr, il suffit de cliquer sur le petit onglet rouge «ECH–Demander un échantillon Terrasse & Jardin». Une nouvelle page s’ouvre alors, qui indique la marche à suivre en fonction de la typologie du client – particulier ou professionnel – et de son département. Il suffit ensuite de sélectionner les produits et coloris souhaités parmi les échantillons disponibles et de renseigner ses coordonnées. Le particulier, le professionnel, ou même le point de vente pour l’un de ses clients, peuvent demander les échantillons (délai d’expédition 3 à 5 jours).
Il y a 3 ans et 172 jours

Alphi : La maison du “prendre soin”

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine. De gauche à droite, Alexandre et Philippe Souvignet, respectivement Pdg et directeur général d’Alphi. [©ACPresse] “Prendre soin”. Pour Alexandre Souvignet, Pdg de la société Alphi, ces deux mots constituent une véritable philosophie d’entreprise. Ils en sont même à l’origine. « Quand mon père, Edmond, a fondé Alphi, en 1995, il avait une idée très précise en tête. Il voulait créer des outils qui protègent les compagnons sur les chantiers. » C’est-à-dire des coffrages pour dalles, dont le poids reste acceptable, sans pénibilité dans leur mise en œuvre, qui ne provoquent pas de TMS sur le long terme… Mais aussi des coffrages fabriqués en France, avec une matière première française. Si Pechiney, le champion national de l’aluminium, a disparu depuis cette époque, la doctrine n’a pas bougé. Le “prendre soin” – ou “Care Management”, en anglais – continue à guider Alphi dans ses choix comme dans ses décisions stratégiques.  Inauguré mi-octobre dernier, le tout nouveau siège de l’entreprise en est une parfaite illustration. « Nous commencions à être quelque peu à l’étroit dans nos anciens bureaux,reprend Alexandre Souvignet. Nous avions besoin de locaux plus spacieux, très identifiables, en adéquation avec notre développement et nos ambitions. »Le cahier des charges a été défini sur cette base. S’y est ajoutée une volonté d’être en phase avec son temps, d’où une réalisation HQE.  Comment bien vivre ensemble ? Si la conception avançait bon train, un petit grain de sable faisait grincer les rouages.« Quelque chose me gênait, manquait à ce projet… »Une réalisation, aussi belle soit-elle, ne peut pas être une fin en soi. « Nous nous sommes posé une question simple : comment – bien – vivre ensemble dans ce bâtiment ? » Alphi existe par et pour ses clients. Mais aussi à travers ses collaborateurs. « Nous avons alors associé l’ensemble du personnel à ce projet. Ceux qui travailleront au siège comme ceux basés sur nos autres sites. »Des visites ont été organisées au sein d’entreprises innovantes, pour voir comme y est appliquée la notion du “vivre ensemble”. Les collaborateurs ont beaucoup échangé, imaginé des choses, donné leurs avis, leurs idées…  Lire aussi : Alphi inaugure son futur Pour Alphi, le résultat – son nouveau siège – est opérationnel depuis quelques mois, implanté sur la commune de Méry, juste à côté d’Aix-les-Bains, en Savoie. « La localisation du nouveau siège de l’entreprise est très proche de l’ancienne adresse, insiste Alexandre Souvignet. Il était important que nos collaborateurs ne perdent pas en confort et en habitudes d’accès. »Le “prendre soin”, toujours, qui permet de garder intact la motivation de chacun. Une coach est même présente dans les locaux, à mi-temps. Elle aide les collaborateurs à exprimer leur potentiel, à développer leur talent. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Adresse*Code postal*Ville*Pays*Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. 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