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Résultats de recherche pour conformite

(679 résultats)
Il y a 3 ans et 250 jours

Nouvelle technologie contre le calcaire

Depuis plus de 30 ans, EXPERTIMA Technologies, basée à Martigues (Bouches-du-Rhône), travaille sur le traitement physique de l'eau. Après 20 ans de R&D, son fondateur et ses ingénieurs ont conçu et développé une nouvelle technologie contre l'entartrage : le Procédé NT, breveté en 2006 et le Procédé NT-F breveté en 2019.Produits depuis 15 ans en Provence, ces équipements confirment leurs qualités : performances, aucun entretien, respect de l'environnement et de la qualité sanitaire des eaux.Un nouveau brevet déposé en Octobre 2019, après 3 années d'analyse des données SAV et de recherches, permet de traiter une palette encore plus large de qualités d'eau, avec des variations de TH et de pH qui influencent fortement l'entartrage des installations, et avec des performances encore plus élevées.Cette nouvelle technologie sans zinc permet au fabricant de s'affranchir des remarques soulevées par le rapport de l'ANSES (de Janvier 2019) sur les procédés comportant des anodes ou des catalyseurs en zinc.Toutes les unités anticalcaire conçues par EXPERTIMA Technologies disposent d'une attestation de conformité sanitaire (ACS), renouvelée tous les 5 ans.Aujourd'hui, EXPERTIMA Technologies possède une expérience acquise sur un parc de plus de 20.000 appareils suivis et en fonctionnement. Ils équipent intégralement la tour CMA CGM, à Marseille, et sont utilisés dans de nombreux bâtiments hospitaliers et de santé, en industrie, en marine et en habitat collectif.EXPERTIMA Technologies s'engage pendant 5 ans renouvelables sur l'efficacité de ses produits, de la petite à la grande installation.Assistance Technique en Ingénierie de l'eau, Ingénierie sanitaire et process thermo-hydrauliquesEXPERTIMA Technologies propose une gamme complète d'appareils de 0,2 m3/h à 500 m3/h pour maintenir des installations pérennes.EXPERTIMA Technologies accompagne les ingénieurs (hydrauliciens, thermiciens) et techniciens, des BE et des entreprises de pose et d'exploitation pour protéger efficacement leurs installations, partout en France, et à l'international.Forte de son expérience en bâtiments collectifs et sur les grands sites tertiaires et industriels, EXPERTIMA Technologies développe sa gamme domestique sous une marque spécifique pour le logement individuel : CALCÉO.
Il y a 3 ans et 250 jours

La tour Emblem entièrement rénovée

Petit, filiale de VINCI Construction France, a livré en juillet 2021 à RedTree Capital et Invesco la rénovation de la tour Emblem à La Défense, IGH de 29 étages construit en 1998 et situé sur la commune de Courbevoie. L’opération développée par JLL dont les travaux ont été conduits par les équipes de Petit a porté sur la restructuration lourde de la tour de 29 000 m2 afin d’offrir aux utilisateurs 24 plateaux de 89 postes de travail, un espace multiservice, un food court d’une capacité de 1140 repas par jour, ainsi qu’un rooftop de plus de 400 m2. Cette entière rénovation confère à la tour un nouveau visage avec les façades en granit, qui se déploient sur 103 m de hauteur, remplacées par 1 455 panneaux de BFUHP (Béton Fibré à Ultra Haute Performance) de 450 Kg chacun, qui incluent désormais un éclairage LED et font l’objet d’une procédure d’ATEx. Ce procédé a permis de mettre en conformité la tour avec les nouvelles réglementations thermiques et les normes vis-à-vis du feu.   Photo : Shoootin  
Il y a 3 ans et 251 jours

Petit, filiale de Vinci Construction France, livre la tour Emblem dans le quartier d’affaires de Paris La Défense (92)

L'opération développée par JLL dont les travaux ont été conduits par les équipes de Petit a porté sur la restructuration lourde de l'IGH de 29 000 m² afin d'offrir aux utilisateurs 24 plateaux de 89 postes de travail, un espace multiservice, un food court d'une capacité de 1140 repas par jour, ainsi qu'un rooftop de plus de 400 m².Cette entière rénovation confère à la tour un nouveau visage avec les façades en granit, qui se déploient sur 103 m de hauteur, remplacées par 1 455 panneaux de BFUHP (Béton Fibré à Ultra Haute Performance) de 450 Kg chacun, qui incluent désormais un éclairage LED et font l'objet d'une procédure d'ATEx (Appréciation Technique d'Expérimentation). Ce procédé a permis de mettre en conformité la tour avec les nouvelles réglementations thermiques et les normes vis-à-vis du feu.Au rez-de-chaussée, le hall d'accueil a été agrandi et réaménagé et de grandes baies vitrées en double hauteur ont été installées.L'intégralité de l'intérieur de la tour a été réhabilité.Enfin, au dernier étage, un rooftop a été aménagé grâce à la création d'une surdalle pour supporter les surcharges d'exploitation.24 mois de travaux auront été nécessaires pour la réhabilitation de cette tour anciennement nommée Tour Cèdre, désormais baptisée Tour Emblem.Le bâtiment bénéficie désormais du label WiredScore, qui est le standard le plus abouti pour définir la bonne connectivité d'un immeuble.
Il y a 3 ans et 252 jours

La fin de la dépollution d'AZF se fait toujours attendre vingt ans après l'explosion

Certaines parties de l'ancien site de 70 hectares dans le sud de Toulouse sont aujourd'hui ouvertes au public, à commencer par le mémorial en souvenir des victimes de la plus grave catastrophe industrielle en France depuis 1945.A quelques mètres de ce monument évoquant le "cratère" laissé par l'explosion accidentelle qui a fait 31 morts et des milliers d'autres victimes, le 21 septembre 2001, des piétons se promènent au soleil sur une piste cyclable.Vers le nord, on se rapproche de l'endroit où les 300 tonnes de nitrate d'ammonium, une substance servant à faire des engrais, ont vraiment explosé. Mais, avant d'y arriver, on trouve porte close: les vestiges du "cratère" de 50 mètres de diamètre se trouvent sur un terrain vague clôturé et interdit d'accès."Sous scellés judiciaires"Contrairement au reste du site, ce terrain n'a pas été dépollué car il est encore sous scellés judiciaires, ont indiqué à l'AFP Toulouse Métropole et TotalEnergies, ex Total, dont la filiale Grande Paroisse était la propriétaire du site en 2001.Seulement après cette dépollution, une "réflexion" sur son avenir pourra être enclenchée, précise Toulouse Métropole.En suivant la même piste cyclable vers le sud, le long d'un grillage qui entoure la zone en bord de Garonne remplie de panneaux solaires, on aperçoit l'Oncopole.Ce centre de recherche pour le cancer, construit à cheval sur l'ancien site d'AZF et celui d'une ancienne poudrerie de l'armée, compte plusieurs bâtiments comme celui, avec de grandes surfaces vitrées, des laboratoires Pierre Fabre.Avant la construction de l'Oncopole et de la centrale photovoltaïque, Total a "réhabilité" l'ancien site d'AZF."Les travaux de remise en état" réalisés entre 2002 et 2007 ont coûté 100 millions d'euros, selon TotalEnergies, qui souligne leur conformité avec les exigences des autorités.Cependant, des défenseurs de l'environnement relativisent la portée de la dépollution."On a enlevé quelques poches de pollution, soit d'arsenic, soit de plomb, soit de mercure, parce que c'était vraiment trop flagrant", a expliqué à l'AFP Rose Frayssinet, des Amis de la Terre, qui a suivi de près la "réhabilitation" du site.Les seuils de polluants admis sont d'ailleurs différents selon l'usage des parcelles. Ainsi, ils sont plus exigeants pour la partie Oncopole que pour la partie des panneaux solaires, fermée au public."Dépollution pas totale"Dans tous les cas, "si on avait voulu construire des habitations, il aurait fallu aller beaucoup plus loin dans la dépollution", selon Rose Frayssinet.Un point de vue partagé par Antoine Maurice, tête de liste EELV battu de justesse aux municipales à Toulouse en 2020."La dépollution n'est pas totale. Par exemple, on ne peut pas cultiver. Il peut y avoir des remontées de substances toxiques", déclare à l'AFP M. Maurice. "La dépollution réelle prendra des centaines d'années", ajoute-t-il.Des défenseurs de l'environnement dénoncent aussi la présence à proximité du site d'une "poubelle externe" où Total avait entreposé des déchets d'AZF.TotalEnergies affirme que ce "terril" a également fait l'objet de travaux de réaménagement, en conformité avec les exigences des autorités et qu'il est régulièrement surveillé.Enfin, également à proximité de l'ancienne usine, se trouvent depuis 1917, dans des petits lacs artificiels nommés "ballastières" (carrières d'où on extrait le ballast), 5.000 tonnes de nitrocellulose, un explosif à la puissance équivalente au TNT qui est provisoirement inactivé par l'eau.Régulièrement, élus et défenseurs de l'environnement demandent la dépollution de ces ballastières.La reconversion du site d'AZF répond à une volonté de limiter la place de l'industrie chimique dans le sud de Toulouse, après l'accident de 2001.La chimie n'a cependant pas totalement quitté la zone : depuis le mémorial, on aperçoit aussi, derrière les panneaux solaires, sur une île proche, l'usine de fabrication de carburant de la fusée Ariane.
Il y a 3 ans et 252 jours

Sylvania réduit l’impact environnemental de ses produits grâce à de nouveaux packagings 100% éco-responsables

Applicables au 1er septembre 2021, la nouvelle réglementation sur l’éclairage ainsi que celle sur l’étiquetage énergétique placent l’environnement et la durabilité des produits au cœur de leurs exigences. En proposant des solutions LED alternatives performantes, Sylvania avait déjà anticipé l’élimination progressive de certaines technologies traditionnelles jugées énergivores. En témoigne le lancement dès 2020 de sa nouvelle génération de tubes LED retrofit ToLEDoTM T8 Universal en remplacement des tubes fluorescents T8 voués à disparaître en 2023. Souhaitant réduire toujours plus son empreinte environnementale, Sylvania saisit aujourd’hui l’opportunité offerte par l’entrée en vigueur de la nouvelle étiquette énergétique. Cette volonté passe par une refonte complète de ses packagings, désormais 100% éco-responsables et encore plus didactiques. 100% carton + 0 plastique = plus écologique S’inscrivant dans le cadre de la politique environnementale de Sylvania, les nouveaux packagings des lampes et tubes de la marque ne contiennent plus aucune matière plastique. Grâce à une conception ingénieuse en carton, ils conservent néanmoins tous les avantages des anciennes versions en utilisant uniquement des matériaux 100% recyclables. Plus écologique, cette solution s’accompagne de l’abandon des emballages sous blister. Illustrant l’engagement de Sylvania en faveur d’un monde plus respectueux de la planète, cette initiative permet au fabricant de diminuer de 25% son empreinte carbone. Elle entraîne également une réduction annuelle de plus d’une tonne de déchets d’emballage plastique. De quoi abaisser d’autant plus son impact environnemental dans les années à venir ! Un graphisme plus didactique Outre une conception éco-responsable (https://www.sylvania-lighting.com/fr-fr/news/items/sylvania-construit-un-avenir-plus-durable/) les nouveaux packagings lampes et tubes de Sylvania adoptent un graphisme plus convivial et plus lisible, en conformité avec l’esprit de la nouvelle réglementation sur l’étiquetage énergétique visant à faciliter l’accès aux informations sur les produits dans les points de vente. Toutes les caractéristiques essentielles sont ainsi affichées de façon claire et précise en différents endroits. Flux lumineux, puissance, classe énergétique, température de couleur, fonction de gradation (dimmable ou non), dimensions, durée de vie… sont autant d’indications accessibles en un coup d’œil, grâce auxquelles le consommateur a l’assurance de trouver et choisir rapidement le bon produit. Offrant une meilleure visibilité de la lampe et de ses spécificités techniques, l’emballage 100% carton affiche bien sûr la nouvelle étiquette énergétique dotée des 7 niveaux de classes d’efficacité allant de A à G. https://www.sylvania-lighting.com/fr-fr/
Il y a 3 ans et 252 jours

5 choses à savoir sur le raccordement au gaz pour les professionnels

Il n’y a pas que dans les résidences que le raccordement au gaz est nécessaire. Pour le confort de votre entreprise, il faudra également en passer par là. Et, afin de garantir la rapidité et la réussite des démarches, l’intervention d’experts en la matière est indispensable. D’ailleurs, les fournisseurs de gaz et d‘électricité proposent des formules spéciales pour les professionnels de nos jours. Voici donc les bons plans à savoir sur cette prestation. Qu’est-ce que le raccordement au gaz pour les professionnels ? Pour le dire simplement, le raccordement au gaz pour les professionnels est la réalisation des travaux d’installation au gaz au sein d’un siège d’entreprise. L’objectif étant de permettre au bâti de se raccorder au réseau de distribution de gaz local et de garantir la conformité des installations avec les normes en question. C’est une étape obligatoire avant de demander à un fournisseur de gaz de vous pourvoir en gaz naturel et ainsi assurer le bon fonctionnement de votre établissement. C’est donc une démarche tout à fait distincte que de contracter un forfait de gaz auprès d’entreprises spécialisées. Et vous devez savoir que les travaux peuvent dans ce cas prendre plusieurs semaines. Pourquoi faire un raccordement au gaz dans votre entreprise ? Le raccordement au gaz pour une entreprise est avant tout une question de confort. C’est une étape nécessaire pour le chauffage des lieux et le bon fonctionnement de certains appareils. Comme c’est le cas d’ailleurs dans les autres biens immobiliers. Cela peut également impacter sur le bon fonctionnement de votre entreprise. Il se peut que vous ayez besoin d’un raccordement au gaz pour le bon fonctionnement de certains de vos appareils de production. C’est une démarche obligatoire avant l’installation et/ou le déménagement de votre entreprise. Vous aurez en effet besoin du certificat de conformité qui dépendra de la réalisation des travaux de branchement pour pouvoir souscrire à une offre de gaz de la part des fournisseurs d’énergies de votre région. À qui s’adresser pour un raccordement au gaz pro ? Un raccordement au gaz pro se fait uniquement sur demande. Vous pouvez notamment le faire par téléphone ou via le site du professionnel. Il y a quelques travaux à prévoir avant la souscription à une offre de gaz pour professionnel. Pour ce projet, vous devez généralement vous adresser à la GRDF ou le gestionnaire du réseau de gaz basse pression. En fonction de la disponibilité ou non de ce genre de prestataire dans votre région, vous pouvez vous adresser directement à des fournisseurs de gaz professionnel pour ce faire. Attention toutefois, les devis peuvent ne pas être les mêmes. Il est possible de profiter d’une réduction de taxe lors de la réalisation des travaux. Néanmoins, dans ce cas, vous devez remplir et déposer un formulaire cerfa n°13948 lors de votre demande à la GRDF. Peu importe la manière que vous utilisez pour réaliser votre demande, elle sera prise en compte rapidement. Le devis pour un raccordement au gaz professionnel Le raccordement au gaz professionnel se fait en plusieurs étapes. Il y a énormément de travaux à faire dans certains cas. Ce qui peut impacter le prix de la prestation. Il faudra notamment commencer par une première évaluation des lieux afin d’en connaître l’état pour pouvoir proposer des solutions et un devis sur mesure. Il se peut que le simple branchement ne suffise pas. Il faudra peut-être réaliser une viabilisation du terrain. Le devis du raccordement peut également être influencé par vos besoins et votre profil d’utilisateur. Vous aurez le choix entre 3 forfaits allant de 986,74 euros TTC à 1 455,65 euros TTC. Tout dépend de si vous avez besoin d’eau chaude et que vous utilisez des appareils de cuisson à gaz ou que vous avez besoin d’un débit plus important pour la production. Le maximum dans ce cas sera de 650 Nm3/h. Comment réaliser les démarches ? Sachez qu’il n’y a pas de délai obligatoire à respecter pour réaliser les démarches de demande de raccordement de gaz professionnel. Néanmoins, il importe de souligner que la réalisation des travaux peut mettre un certain temps. Aussi, prenez-vous-y aussi tôt que possible. En cas de déménagement d’entreprise, il est possible de demander le raccordement dans votre futur siège dans les 2 mois avant le jour J. Ceci vous permettra de garantir le confort de votre équipe une fois sur place. Comme susmentionnée, pour le raccordement de gaz pro, vous pouvez faire une demande par téléphone ou par écrit. Mais attention, ces travaux ne suffisent pas. Vous devez encore vous assurer obtenir le certificat de conformité des travaux. Chose que vos installateurs vous fourniront. Puis, vous pourriez souscrire à une offre auprès des fournisseurs de gaz locaux.
Il y a 3 ans et 257 jours

Les premières fiches pratiques PROFEEL pour l'autocontrôle des travaux de rénovation énergétique disponibles gratuitement

Cinq premières fiches disponiblesCes cinq premières fiches d’autocontrôle disponibles gratuitement sur le site du programme PROFEEL couvrent les solutions techniques d’isolation par l’intérieur et d’isolation par l’extérieur. Pour chaque solution technique, une fiche dédiée :Fiche d’autocontrôle PROFEEL : ITI par doublageFiche d’autocontrôle PROFEEL : ITI sur ossatureFiche d’autocontrôle PROFEEL : ITI par enduit en mortier de chanvreFiche d’autocontrôle PROFEEL : ITE avec enduit sur isolantFiche d’autocontrôle PROFEEL : ITE avec isolant sous bardageDes fiches utiles à chaque étape du chantierL’autocontrôle se fait sur toutes les étapes du chantier. Les artisans et entreprises du bâtiment retrouveront ainsi pour chaque typologie de travaux les principaux points de contrôle à vérifier pour réaliser une bonne conception, pour bien préparer son chantier puis, lors des travaux, pour garantir une mise en oeuvre de qualité. Sur chaque fiche, les points d’autocontrôle listés n’ont pas vocation à être exhaustifs.Les points-clés identifiés permettent cependant à l’artisan ou entreprise de s’assurer avec sérénité que la mise en oeuvre de l’ouvrage est conforme aux règles de l’art. Les non conformités majeures et mineures des grilles RGE sont identifiées afin de permettre aux professionnels de mieux préparer les audits.Ces fiches ont été élaborées de manière concertée avec les organisations professionnelles du bâtiment (CAPEB et FFB) sous le pilotage de l’Agence Qualité Construction (AQC).Un service numérique et une collection complète à la rentrée 2021Au total, 49 fiches pratiques d’autocontrôle seront mises à disposition des professionnels du bâtiment d’ici la fin du mois de septembre 2021. Elles couvrent l’ensemble des lots de travaux éligibles aux aides à la rénovation énergétique.L’ensemble de ces fiches seront alors également accessibles depuis l’application numérique Chek’Réno. Cet outil gratuit permettra aux artisans et entreprises du bâtiment une gestion dématérialisée de leurs pratiques d’autocontrôle tout au long de leurs chantiers.Un service numérique et une collection complète à la rentrée 2021Au total, 49 fiches pratiques d’autocontrôle seront mises à disposition des professionnels du bâtiment d’ici la fin du mois de septembre 2021. Elles couvrent l’ensemble des lots de travaux éligibles aux aides à la rénovation énergétique.L’ensemble de ces fiches seront alors également accessibles depuis l’application numérique Chek’Réno. Cet outil gratuit permettra aux artisans et entreprises du bâtiment une gestion dématérialisée de leurs pratiques d’autocontrôle tout au long de leurs chantiers.
Il y a 3 ans et 267 jours

Expoprotection sécurité 2021 : le village start-up 100% innovation

A découvrir au Village Start-up :AVANT DE CLIQUER - CyberpréventionSolution complète et autonome de sensibilisation à la cybersécurité phishingAvant de Cliquer développe une culture de cybersécurité avec un programme autonome, accessible à tous, immédiatement opérationnel et inter services. Solutions Saas développant des alogrithmes intelligents associant audit de vulnérabilité, plateforme de e-learning, envoi de mails d’apprentissage et process d’alerte cyber pour les SI.AVEKIA - Protection incendieApplication pour la maintenance préventive des SSIUne application innovante et dédiée aux acteurs de la maintenance incendie permettant de gérer et de rédiger les comptes-rendus des visites de maintenance préventive des systèmes de sécurité incendie (SSI). L’application permet d’allier « qualité » et « productivité ». Elle assure la conformité des rapports avec les normes françaises et autres réglementations.CYBER4U - CyberpréventionCentre de cybersécurité dédié aux organismes et ETICyber4U est le 1er centre de cybersécurité dédié aux organismes et ETI. Ils proposent des offres de service packagées et managées ainsi qu’un accompagnent personnalisé avec des experts sécurité à temps parta­gé : RSSI, DPO, architectes, analystes SOC, etc. Tous les métiers de la sécurité sont réunis en une offre de confiance accessible à tous dans leur centre disponible 24/24 et 7/7.LiNA - Contrôle d’accèsSolution de contrôle d’accès basée sur la technologie Li-FiLiKEY est une solution de contrôle d’accès impiratable et compatible sur 100 % des smartphones, basée sur la technologie Li-Fi. Brevetée au niveau européen, LiKEY est unique : la plus sécurisée, la plus simple et la plus adaptée à nos usages actuels.Hoverseen - DronesDrones automatiques pour la surveillance et l’inspection des sites industrielsHoverseen développe des systèmes de drones automatiques pour la surveillance et l’inspection des sites industriels. Légers, au positionnement prix adapté au marché de la vidéosurveillance, ils sont reconnus par les VMS comme une caméra IP. Ils ont déjà reçu l’autorisation de vol sans télépilote.
Il y a 3 ans et 271 jours

Les solutions Rector en Maisons Individuelles pour des planchers RE2020

Applicable dès janvier 2022, la RE2020 a pour but de diminuer l’empreinte carbone des bâtiments neufs et d’en améliorer leurs performances thermiques. Cette nouvelle réglementation va engager une transformation profonde dans la manière de produire, de concevoir et de construire les bâtiments. Spécialiste de la fabrication d’éléments de plancher en béton précontraint et béton armé, RECTOR s’engage aux côtés de ses clients dans la réduction de l’impact environnemental en proposant, dès à présent, des solutions pensées pour répondre aux exigences de la RE2020. Ces dernières seront présentées sur le stand de RECTOR au salon ARTIBAT qui se tiendra à Rennes du 13 au 15 octobre 2021. Des solutions concrètes pour répondre aux principaux enjeux de la RE2020 en maisons individuelles Partenaire privilégié des Cmistes (Constructeurs de Maisons Individuelles) et leader sur ce marché depuis près de 70 ans, Rector propose la gamme la plus complète de solutions préfabriquées innovantes et optimisées, du soubassement aux toitures terrasse. Grâce à la pertinence de ses systèmes préfabriqués, Rector répond d’ores et déjà aux trois principaux enjeux de la RE2020 : • Isolation et traitement des ponts thermiques pour chaque niveau de la maison Avec sa gamme de planchers Equatio avec entrevous isolants (vide sanitaire, sous-sol, étage, toitures terrasses) associée à ses Box de rupteurs de ponts thermiques et leurs accessoires, Rector est l’un des seuls industriels à être capable de traiter l’ensemble des ponts thermiques du plancher en isolation 100% intégrée. Pour le vide sanitaire, Rector propose des combinaisons (planchers Equatio VS et entrevous isolants Rectosten) pour être au plus juste du PSI conforme à la réglementation RE2020, quelle que soit la zone climatique. Le département Recherche et Développement Rector a ainsi revu l’ensemble des calculs pour ajuster les performances des planchers aux nouvelles exigences de Bbio et proposer une gamme élargie d’entrevous à languette allant de l’up 40 à l’up 11. Les systèmes de planchers bas et à étage Rector avec isolation intégrée sont à privilégier par rapport à ceux avec isolation rapportée. En effet, en plus du gain de temps et de surface, ce type d’isolation permet l’application d’un revêtement directement sur la table de compression ou encore l’intégration d’un plancher chauffant/rafraîchissant directement sans chape. « Parce que nous avons pris en compte toutes les zones climatiques de France lors de nos études, nous sommes en capacité d’apporter des solutions pertinentes et standardisées, et d’accompagner tous nos clients lors de leur mise en œuvre pour des maisons conformes. Grâce à l’ajustement de nos solutions calculées au juste psi, l’atteinte des performances thermiques des planchers selon les seuils envisagés de la RE2020 est beaucoup plus simple », explique Côme Lesage, Responsable Marketing Stratégique. • Maîtrise du bilan carbone Nécessitant moins de béton pour leur fabrication et moins de transport pour les livrer sur les chantiers, les planchers préfabriqués Rector sont naturellement plus sobres en matière et bénéficient d’un impact environnemental réduit. Ils sont, en plus, dotés d’une durée de vie quasi-illimitée. Pour obtenir un bon bilan carbone, un plancher constitué de poutrelles précontraintes et d’hourdis Rector est une solution optimisée comparée à d’autres solutions telles que le dallage porté ou la dalle sur terre-plein. Enfin, Rector commercialise une gamme d’entrevous légers, en plastique 100% recyclé, en bois, pour le vide sanitaire ou les planchers en étage dont les formulations ont été pensées pour réduire l’impact carbone sur les chantiers. « Nous proposons à nos clients des solutions adaptées pour décarboner les planchers : Rectoplast Recyclé, Primolight et Rectolight ainsi que des montages mis au point pour chaque chantier », ajoute Côme Lesage. Au-delà de la composition de ses produits, Rector met au cœur de sa démarche l’économie circulaire, l’optimisation des transports, la gestion des ressources et des déchets en usine comme sur les chantiers de ses clients. Enfin, toutes les solutions de planchers préfabriqués Rector font l’objet de Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) pour assurer aux constructeurs et bureaux d’étude la qualité et les performances de systèmes. • Prise en compte du confort d’été Rector lance une nouvelle gamme de plancher Equatio® chauffant rafraîchissant, issue de son partenariat avec Rehau. Tout en préservant l’inertie thermique du plancher, ce système, intégré dans la dalle, permet aux constructeurs de maisons individuelles d’offrir le confort à leurs clients, été comme hiver, tout en répondant à la RE2020. Avec l’ensemble de toutes ces solutions durables de planchers préfabriqués Rector, les professionnels de la maison individuelle ont l’assurance de faire le choix de la performance à coûts maîtrisés et de la conformité à la nouvelle réglementation. http://www.rector.fr
Il y a 3 ans et 271 jours

Kinedo met le cap sur la croissance made in France

Si le site de La Ciotat (13) se spécialise, avec 150 personnes sur 16.000 m² couverts, dans la fabrication de solutions douche/bain, balnéo, spas et coques de baignoires, Aquaproduction, avec ses deux unités implantées à Chaumes en Retz (44), s’impose comme le centre de compétence Kinedo pour la production de douches et de solutions de remplacement de baignoires et d’accessoires.Deux sites à Chaumes en Retz pour une même dynamique et un unique credo, la qualitéHistoriquement spécialisés en cabines et parois, les deux sites de Loire-Atlantique (sur 32.000 m² couverts pour 230 personnes avec une répartition femmes/hommes 40/60), au-delà d’accroître leurs capacités annuelles, se sont largement diversifiés. Ils comptent désormais de nouvelles productions en conception et fabrication (en biocryl ou biotec) de receveurs, vasques et panneaux muraux, avec une véritable expertise en découpe, perçage, cintrage et encollage des profilés aluminium pour les cabines et parois.Parfaitement maîtrisées et testées puisque Aquaproduction dispose de son propre laboratoire d’essais pour évaluer la conformité des produits (achetés en externe ou fabriqués sur site) aux normes en vigueur. Une exigence qualité poussée à l’extrême puisque Aquaproduction réalise même une batterie de tests non imposés par la réglementation.La démarche qualité s’avère omniprésente tout au long du process. Aquaproduction revendique, en effet, une véritable culture d’entreprise orientée satisfaction client qui s’incarne tant dans la conception (évaluation du produit à chaque stade), que dans la production (autocontrôle à chaque poste) ou bien encore en sortie de chaîne de production avec des audits réguliers sur la qualité des produits finis.Ainsi, 3 techniciens disposent d’un espace dédié de 350 m² et équipé de 6 automates, 9 bancs d’essais pour mener plus de 50 tests, allant de l’endurance sur receveur avec charge dynamique à 100 kg, à la résistance à la glissance, au frottement de surface, à la résistance aux chocs thermiques, en passant par la résistance aux rayures (pointe de diamant) ou encore résistance aux produits chimiques…Les techniciens Aquaproduction éprouvent également les parois verre avec le test d’impact d’un sac de 50 kg simulant une chute ou l’usure de porte avec 30.000 cycles d’ouverture/fermeture. Perfectionnistes, les validations Aquaproduction vont même jusqu’à tester les matériels en simulant leurs conditions de transport (vibration, chute)…Une politique qualité reconnue et appréciée tant des clients BtoB Aquaproduction, qu’il s’agisse des réseaux grossistes professionnels (Algorel, Comafranc, Richardson…), des GSB (Grandes surfaces de bricolage Lapeyre, Leroy-Merlin, Castorama,…) ou encore industriels (fabricants de mobilhomes ou de modules de salles de bains) que ces consommateurs BtoC qui apprécient les références de la marque Kinedo…Coté industriel, le site n°1 se spécialise dans la fabrication des receveurs de douche kinesurf et kinestart réalisés en Biotec (plaque abs/PMMA Thermoformé, renfort acier et renfort biotec) et celle des receveurs en Biolith (plaque ABS/PMMA thermo, résine PU + fibres et renfort Biolith) ainsi que le montage des colonnes et panneaux des cabines hydromassantes.Quant à la seconde unité, elle affiche une expertise pour la transformation du verre (coupage, usinage, trempe thermique et traitement anticalcaire), l’usinage et équipement des profilés aluminium ainsi que le montage et l’emballage des parois et fonds de cabines.Précisons que la partie logistique dispose d’une surface dévolue de quelque 8.500 m² pour 8.800 emplacements de palettes. L’assurance d’un stock conséquent pour toujours plus de disponibilités et de délais courts, exigés par le marché.Côté chiffres, notons que si les sites de Chaumes-en-Retz expédient annuellement aux alentours de 300.000 produits, des investissements réguliers leurs assurent une capacité encore supérieure permettant d’anticiper les croissances à venir.Coté SAV, même exigence de qualité et Service client puisque, outre une hotline en support technique, Kinedo assure un envoi rapide de la pièce adaptée et propose une intervention possible d’un technicien chez le client. D’ailleurs, le Service client peut se prévaloir d’un taux de livraison de 92 % livrés dans le délais annoncé et 85 % livrés dans les 3 jours ouvrés.Les derniers investissements industriels, d’un montant total représentant 2,50 % du CA net prévu pour 2021 ont concerné tant les chaînes de fabrication de parois de douche que celles de receveurs avec notamment une 4ème ligne utilisant un tout nouveau procédé de fabrication qui accroit de plus de la moitié la capacité de production annuelle de la ligne receveurs.Depuis plus de 2 ans, une salle de formation a vu le jour au cœur même du site 2, permettant ainsi d’accueillir les clients professionnels installateurs ou vendeurs Cette clientèle après la visite du site de production peut ainsi bénéficier d’une formation technique animée par une équipe de formateurs-monteurs dédiée.Enfin, soulignons le dernier investissement, d’un montant de 200.000 euros, qui dote le site d’un show-room Kinedo de 400 m² proposant un superbe écrin, digne reflet du savoir-faire, de l‘esprit d’innovation et de design chers à l’industriel français pour une quarantaine de solutions présentées in situ.Une découverte de toutes les possibilités Kinedo, allant des receveurs aux parois, en passant par les cabines ou encore les panneaux muraux. Et aussi une belle mise en avant de l’innovation comme l’incarne le concept Modulo, qui permet d’intégrer rapidement et sans gros travaux une salle d’eau complète n’importe où dans la maison.À défaut de pouvoir profiter pleinement de ce showroom à cause du contexte sanitaire actuel, une version virtuelle en ligne est proposée sur kinedo.com. Kinedo.com qui propose au passage de plus en plus d’expériences interactives comme par exemple le configurateur Kocoon qui offre à l’utilisateur la possibilité de définir lui-même en ligne son espace douche personnalisé en quelques clics (soit plusieurs milliers de combinaisons de parois, receveurs ou panneaux muraux possibles).
Il y a 3 ans et 272 jours

L'OPPBTP met à jour son Guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la rentrée

Cette évolution intègre notamment l'application du pass sanitaire dans le cadre d'interventions dans un établissement recevant du public. La nouvelle version du guide comprend donc, en conformité avec les recommandations du Haut Conseil de Santé Publique et de l'État, les modifications suivantes :Port du masque : dans les établissements recevant du public, le port du masque reste applicable pour les professionnels y intervenant jusqu'au 30 août. À partir de cette date, ils auront l'obligation de détenir un pass sanitaire et seront dispensés de l'obligation du port du masque, sauf si le préfet, l'exploitant ou l'organisateur l'impose.Pass sanitaire : À compter du 30 août 2021 (et du 30 septembre pour les jeunes travailleurs de moins de 18 ans tels que les apprentis), le pass sanitaire sera obligatoire pour intervenir dans un établissement recevant du public : administrations, hôpitaux, restaurants, etc., sauf si l'intervention a lieu hors des espaces accessibles au public, en dehors des horaires d'ouverture au public ou s'il s'agit d'une intervention urgente.Personnes présentant des symptômes sur le lieu de travail : elles sont invitées à quitter le travail pour rejoindre leur domicile et surtout aller se faire dépister et s'isoler dans l'attente des résultats. Le protocole de prise en charge des personnes symptomatiques prévoit par ailleurs la possibilité de faire réaliser un test antigénique par un professionnel autorisé et portant des équipements de protection adaptés, au sein de l'entreprise.Autorisation d'absence pour se rendre aux rendez-vous liés aux vaccinations contre la Covid-19 : élargissement de l'autorisation d'absence pour se rendre aux rendez-vous liés aux vaccinations contre la Covid-19 pour les salariés et les stagiaires. Ces absences n'entraînent aucune diminution de la rémunération et sont assimilées à une période de travail effectif pour la détermination de la durée des congés payés ainsi que pour les droits légaux ou conventionnels acquis par les intéressés au titre de leur ancienneté. Le salarié est invité à se rapprocher de son employeur afin de déterminer la meilleure manière d'organiser cette absence. La loi prévoit également que cette autorisation est accordée au salarié qui souhaite accompagner un mineur ou un majeur protégé dont il a la charge pour se faire vacciner.Pas d'obligation vaccinale pour les personnes chargées de tâches ponctuelles au sein des établissements de soins, médicaux sociaux et sociaux.Activité partielle : à compter du 15 septembre 2021, les salariés à risques de forme grave de Covid-19 pouvant être placés en activité partielle devront présenter un nouveau certificat d'isolement même s'ils en ont déjà bénéficié précédemment. Les situations ouvrant droit au bénéficie de l'activité partielle évoluent à cette même date.Le guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction en période d'épidémie de coronavirus SARS-Cov-2 est disponible sur le site internet de preventionbtp.fr.Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l'OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu'à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 est à votre disposition sur le site.Pour télécharger la dernière édition du Guide de préconisation de sécurité sanitaire, cliquez ici.
Il y a 3 ans et 273 jours

L’OPPBTP met à jour le Guide de préconisations sanitaires face au Covid-19

Le Guide de préconisations sanitaires face au Covid-19 est disponible en téléchargement sur le site de l’OPPBTP. [©OPPBTP] En avril dernier, l’OPPBTP publiait le Guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction en période d’épidémie de Covid-19. Réalisé par les experts de l’OPPBTP, avec le soutien de médecins du travail et de préventeurs, ce guide évolue en fonction de la situation et notamment du déconfinement. Celui-ci liste les mesures urgentes et spécifiques à mettre en place. Ceci, pour assurer les conditions sanitaires nécessaires. Et s’adresse aux personnels appelés à travailler en bureaux, en ateliers, en dépôts ou sur chantiers. Il vient aussi en complément de toutes les mesures sanitaires édictées par les pouvoirs publics. Malgré tout, dans ce contexte de crise sanitaire, l’OPPBTP insiste sur l’extrême nécessité pour tous les acteurs du BTP de suivre les consignes pour assurer une reprise rapide des chantiers. Le guide formule donc des mesures exigeantes : la priorité doit être absolue pour la prévention de la contagion. En tout premier lieu, il faut respecter les gestes barrières : • distance minimale de 1 m entre les personnes, • lavage fréquent des mains, • limitation des contacts. De nouvelles dispositions Pour nombre d’activités de travaux, des actions simples et de bon sens permettent de se conformer à ces mesures. L’information et l’association des salariés aux mesures sont essentielles pour y arriver. Mais des aménagements spécifiques pourront être nécessaires pour faciliter la vie de tous les jours. Ainsi, le port du masque est obligatoire dans trois situations de travail : • à moins de 1 m d’un autre compagnon (sans autre solution opératoire possible),• en intervention chez des particuliers malades,• en intervention chez des personnes à la santé fragile. Dans les autres cas, le port du masque n’est pas obligatoire, selon les directives gouvernementales. En dehors des ajustements liés à la fin du confinement et aux autorisations de déplacement au-delà de 100 km, la dernière mise à jour comprend : • La fin de la recommandation d’interdiction des chantiers pour les apprentis mineurs.• L’introduction des écrans faciaux comme mesure alternative aux lunettes de protection.• La mise à jour des directives pour les personnes à risques de santé élevés.• Des précisions sur les mesures de prise de température à l’entrée des locaux et des chantiers. Elles ne sont toujours pas recommandées par le Haut Conseil de santé publique. Mais peuvent être admises par les entreprises. • La simplification des procédures de nettoyage. • La prise en compte du port du masque et des écrans étanches dans les véhicules en cas de besoin.•Enfin, la possibilité de réemploi des cartouches de masques.. « Ces mesures viennent compléter et préciser celles déjà présentes dans la version précédente du guide. Qui ont globalement été remarquablement bien mises en place jusqu’ici au sein des entreprises. Notamment grâce au travail des référents Covid-19, explique Paul Duphil, secrétaire général de l’OPPBTP. Les chefs d’entreprise du BTP ont compris les responsabilités. Qui sont les leurs concernant cette épidémie. Ainsi que la nécessité d’avoir du personnel affecté à temps plein à la supervision et l’application de ces mesures sanitaires. » Téléchargeable depuis le site de l’OPPBTP De nombreux outils pratiques (affiches, fiches pratiques, checklists…) sont disponibles en complément du guide sur le site preventionbtp.fr. L’OPPBTP a déjà diffusé à l’ensemble de ses adhérents son nouveau Guide de préconisations de sécurité sanitaire. Les acteurs de la branche construction ont aussi assuré sa diffusion. Toutefois, ce document peut être téléchargé en suivant ce lien. Enfin, l’OPPBTP indique que ce guide fera l’objet de mises à jour régulières en fonction de l’évolution de la situation sanitaire. La version en ligne sur le site preventionbtp.fr sera donc la seule à toujours faire référence. Dernière mise à jour L’épidémie de Covid-19 est sous contrôle en France, ce qui permet au gouvernement de poursuivre l’allègement progressif des mesures barrières. La connaissance de la maladie et de ses modes de transmission permet aussi de mieux ajuster les mesures de prévention. A la suite de l’annonce des nouvelles règles sanitaires applicables à compter du 24 juin pour les entreprises et au lancement d’une nouvelle phase de déconfinement, les recommandations ont évolué pour permettre à tous les secteurs de reprendre progressivement leurs activités tout en protégeant la santé de leurs collaborateurs. Au terme de nombreux échanges avec les représentants de la profession et des pouvoirs publics, l’OPPBTP publie une nouvelle révision du guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction, conforme aux préconisations des pouvoirs publics. Mise à jour du 16 octobre Le Protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise face à l’épidémie de Covid-19 a été mis à jour par le ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion le 16 octobre dernier. L’OPPBTP fait donc évoluer son Guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction, en conformité avec ce nouveau protocole et avec les recommandations du Haut conseil de la santé publique. Mise à jour du 16 décembre A l’annonce du gouvernement de la fin du confinement et de la mise en place d’un couvre-feu entre 20 h et 6 h, l’OPPBTP met de nouveau à jour son guide. Cette évolution intègre aussi les dernières évolutions, concernant les personnes le plus vulnérables.  Retrouvez l’intégralité du communiqué de presse en pièce jointe. Le guide mis à jour est disponible en téléchargement sur le site. Mise à jour du 9 août A la suite de la publication, le 9 août dernier, d’une nouvelle version du protocole Covid par le ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion, l’OPPBTP publie une mise à jour de son guide de préconisations de sécurité sanitaire. Cette évolution intègre l’application du pass sanitaire dans le cadre d’interventions dans un établissement recevant du public. La nouvelle version du guide comprend :  • Port du masque : Dans les établissements recevant du public, le port du masque reste applicable pour les professionnels y intervenant jusqu’au 30 août. A partir de cette date, ils auront l’obligation de détenir un pass sanitaire et seront dispensés de l’obligation du port du masque. Sauf si le préfet, l’exploitant ou l’organisateur l’impose. • Pass sanitaire : A compter du 30 août 2021 (et du 30 septembre pour les jeunes travailleurs de moins de 18 ans, tels que les apprentis), le pass sanitaire sera obligatoire pour intervenir dans un établissement recevant du public. Sauf si l’intervention a lieu hors des espaces accessibles au public, en dehors des horaires d’ouverture au public ou s’il s’agit d’une intervention urgente.  • Personnes présentant des symptômes sur le lieu de travail : Elles sont invitées à quitter le travail pour rejoindre leur domicile et surtout aller se faire dépister et s’isoler dans l’attente des résultats. Le protocole de prise en charge des personnes symptomatiques prévoit par ailleurs la possibilité de faire réaliser un test antigénique par un professionnel autorisé et portant des équipements de protection adaptés, au sein de l’entreprise. • Autorisation d’absence pour se rendre aux rendez-vous liés aux vaccinations contre la Covid-19 : Elargissement de l’autorisation d’absence pour se rendre aux rendez-vous liés aux vaccinations contre la Covid-19 pour les salariés et les stagiaires. Ces absences n’entraînent aucune diminution de la rémunération et sont assimilées à une période de travail effectif pour la détermination de la durée des congés payés. Ainsi que pour les droits légaux ou conventionnels acquis par les intéressés au titre de leur ancienneté. Le salarié est invité à se rapprocher de son employeur, afin de déterminer la meilleure manière d’organiser cette absence. La loi prévoit aussi que cette autorisation est accordée au salarié qui souhaite accompagner un mineur ou un majeur protégé, dont il a la charge pour se faire vacciner. • Pas d’obligation vaccinale pour les personnes chargées de tâches ponctuelles au sein des établissements de soins, médicaux-sociaux et sociaux. • Activité partielle : A compter du 15 septembre 2021, les salariés à risques de forme grave de Covid-19 pouvant être placés en activité partielle devront présenter un nouveau certificat d’isolement même s’ils en ont déjà bénéficié précédemment. Les situations ouvrant droit au bénéficie de l’activité partielle évoluent à cette même date. Pour mémoire, dans sa boîte à outils Covid-19, l’OPPBTP propose un choix d’affiches, afin de faciliter le respect des bons gestes sanitaires. La dernière mise à jour du guide, ainsi que la fiche conseils concernant le contact-tracing dernièrement mise à jour y sont disponibles.Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu’à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 y est disponible.
Il y a 3 ans et 278 jours

TPF Industrie, unique fabricant de polyols sur le territoire

Pour créer cette usine, MGH a investi 3,5 millions d’euros permettant le montage du site de production, la R&D et son laboratoire qualité. Le site dispose d’une capacité de stockage de 250 tonnes et produits 125 tonnes de polyols formulés chaque semaine pour ses clients, professionnels dans l’isolation intérieure et extérieure en polyuréthane projeté des sols, des murs et des toitures pour le tertiaire, l’industrie, le collectif et la maison individuelle.Les Polyols pour systèmes à cellules fermées et à cellules ouvertes : de la performance thermique à la performance acoustiqueLa nouvelle usine TPF Industrie est le seul formulateur français de polyols destinés à la projection de polyuréthane pour le Bâtiment. Elle fabrique et livre du polyol pour des applications de polyuréthane à cellules ouvertes et à cellules fermées. Une fois livrés, les clients de TPF industrie fabriquent directement sur chantier le matériau isolant en mélangeant les polyols avec un agent réactif. La gamme des procédés ainsi mis en œuvre est destinée à l’isolation thermique et acoustique de toutes les faces d’un bâtiment. Ce qui mobilise actuellement 85 % de la production, ce sont les formules à cellules fermées. Elles ont le meilleur rapport : faible épaisseur / performance thermique et vont bénéficier de caractéristiques d’incompressibilité record pour isoler tous types de sols en béton ou en bois. La couche isolante peut recevoir tous types de chapes et de revêtements. L’isolation des murs périphériques maçonnés peuvent être isolés en polyuréthane à cellules fermées pour un gain de surface habitable et assurer dans le même temps l’étanchéité à l’air imposée par les règlementations thermiques. Si les ossatures sont en bois, on préférera une isolation en cellules ouvertes des murs. Ces procédés isolants sont plus épais mais moins denses que les précédents, ils permettent ainsi une amélioration de l’ambiance sonore du logement. Enfin, pour isoler thermiquement les toitures, tout en préservant les occupants des nuisances sonores extérieures en cas de fortes pluies ou d’environnement bruyant, la solution idéale est la mise en oeuvre de formules à cellules ouvertes. Elles sont déclinées en plusieurs plages de densité, selon les supports ou les usages particuliers, à chaque paroi, sa solution d’isolation « sur-mesure ».Le lambda (λ) vieilli : la performance thermique retenue d’un isolant à cellules ferméesLe λ est l’unité de mesure de la conductivité thermique, plus sa valeur est faible, meilleure est la performance isolante. Le polyuréthane à cellules fermées s’expanse grâce à un agent gonflant pour améliorer la performance thermique et avoir une bonne tenue volumétrique dans le temps. Si le matériau dispose d’un λ de 0,020 lors de son application, celui-ci évolue au cours de la première année. L’agent gonflant qu’elle contient reste en majeure partie prisonnier des cellules et agit à l’identique de l’argon dans un double vitrage. La conductivité thermique retenue, ou lambda vieilli, sera atteinte 12 mois après l’application de l’isolant. Il varie en moyenne de 5 mW (milliwatt) par rapport à l’initial, un λ vieilli de 0,025 est le standard de ce type de formule. Tout au long de l’année, TPF Industrie teste dans son laboratoire les isolants à cellules fermées de ses clients applicateurs afin de vérifier leur conformité aux certifications dont ils dépendent. Ces contrôles attestent aussi des bons réglages de l’unité de projection et de la qualité linéaire de l’isolant qu’elle fabrique.Des polyols plus vertueuxTPF Industrie a inauguré son site de production en développant une formulation plus vertueuse que ce qui se fabriquait jusqu’alors en Europe. Les polyols dédiés au polyuréthane à cellules fermées sont désormais expansés avec un agent gonflant au HFO (HydroFluoro-Oléfines), au lieu du HFC (HydroFluoro-Carbures) qui sera interdit en 2023 dans toute industrie en Europe. TPF Industrie a ainsi anticipé la réglementation et propose des formules ne générant quasiment aucun gaz à effet de serre lors de la mise en oeuvre. Mais TPF Industrie ne s’arrête pas là. Son objectif est de proposer un isolant à impact zéro sur l’environnement, la société a investi plus d’1 million d’euros supplémentaire pour mener ses recherches. Le pôle R&D de la nouvelle usine travaille d’ores et déjà sur de nouvelles formules qui seront composées de matières premières bio-sourcées et aussi de déchets de ponçage de polyuréthane recyclés afin de proposer, d’ici dix-huit mois, des polyols totalement vertueux.Un laboratoire QualitéOutre son pôle R&D, TPF Industrie dispose également d’un laboratoire qualité. Les propriétés mécaniques et thermiques de chaque fabrication sont contrôlées (masse volumique, conductivité thermique, résistance à la compression et stabilité dimensionnelle) avant chaque livraison afin de permettre à ses clients de fabriquer un polyuréthane de qualité constante en accord avec les exigences des certifications qui encadrent les procédés. Par ailleurs, TPF Industrie s’est également équipée d’une cabine de projection ventilée permettant d’éprouver en conditions réelles les propriétés des formulations de polyols et contrôler les caractéristiques une fois mélangé à un agent réactif.TPF ambitionne 20% du marché français de l’isolation des sols en 2024L’isolation projetée représente 15% du marché de l’isolation des sols en France. Grâce à la qualité de ses polyols, TPF Industrie a su s’imposer en distribuant près la moitié du marché. A l’horizon 2024, TPF Industrie ambitionne de doubler sa pénétration de marché en se substituant peu à peu aux solutions traditionnelles en rouleaux ou en plaques. En outre, TPF Industrie est également présent sur le marché à l’export à hauteur de 2%. Cette autre ambition accompagnera l’obtention des agréments et certifications spécifiques en vigueur chez nos voisins européens.Une capacité de stockage conséquenteLa nouvelle usine de production de TPF Industrie dispose d’un espace de production et de stockage de 1.000 m² sur un site qui compte 3.000 m² de surface totale. Ce vaste espace extérieur permet aux semi-remorques de ses clients de manœuvrer autour du bâtiment. L’usine dispose d’une capacité de stockage de 250 tonnes (deux semaines de stock), elle produit et livre la moitié de sa production de polyols (125 tonnes) chaque semaine à ses clients.L’isolation des sols : une technique 2 en 1L’isolation des dalles béton et des planchers bois en polyuréthane projeté de TPF Industrie offre l’avantage de faire office de ravoirage enrobant les gaines techniques et d’une isolation thermique. Cette technique 2 en 1 permet ainsi de réduire la réservation nécessaire, plus conséquente, lorsque qu’une isolation en plaques vient se rapporter sur un ravoirage classique en béton. On s’affranchit ainsi des défauts de planéité de la dalle support, on économise financièrement et en délais de séchage et on allège énormément l’ouvrage.Des clients variés et des partenariats au service de l’innovationLa clientèle de TPF Industrie se compose d’entreprises et de réseaux d’applicateurs qui commercialisent aux professionnels (architectes, maitres d’œuvres, Cmistes...) et aux clients particuliers. Les principaux sont SYNERIS et OSEO, réseaux d’applicateurs spécialisés dans le polyuréthane projeté, BATICONFORM, constructeur national et fabricant de maisons d’architecte à ossature métallique et THERMIMUR, fabricant de systèmes constructifs à isolation intégrée. S’agissant de ce dernier, TPF Industrie a mis au point un polyuréthane coulé à cellules fermées à la demande de son client afin de mettre au point un bloc-béton isolé. Actuellement, THERMIMUR dispose d’un site de production pilote de blocs-bétons isolés.Ces parpaings permettront de construire et d’isoler, en une seule étape, une maison avec une résistance thermique R = 5 et un λ vieilli de 0,025. Véritables pionniers en la matière, TPF Industrie et THERMIMUR collaborent depuis plus d’un an sur ce projet actuellement en phase finale et fournira, à terme, un volume de 8.000 tonnes de polyol nécessaire pour la réalisation de l’âme isolante des éléments constructifs nouvelle génération de THERMIMUR.Enfin, TPF Industrie propose à son partenaire THERMIMUR, une colle polyuréthane à hautes performances d’adhésion destinée au scellement de ses blocs bétons éliminant tout pont thermique pour une maison parfaitement isolée et construite plus proprement et plus rapidement en préservant les efforts des maçons...
Il y a 3 ans et 288 jours

Première rénovation thermique d’une maison en PSE Knauf NEXTherm® ITEX très bas carbone en France

Il s’agit là d’une pertinente réponse préconisée et mise en œuvre par la société Bonglet, pionnière dans les métiers du second-œuvre avec 65 ans d’expérience dans l’isolation, la rénovation et la décoration. Aujourd’hui forte de 500 salariés, certifiée QualiBat RGE, Iso 14001 et Ecovadis Bronze, Bonglet rayonne avec 16 agences en Franche-Comté, Bourgogne, Rhône-Alpes et Auvergne.Les travaux réalisés par la société Bonglet ont porté sur l’isolation de l’enveloppe du pavillon (combles, planchers et murs) avec le choix d’une isolation thermique par l’extérieur (ITE) des murs. Résultats visés : la consommation énergétique annuelle du bien, établie à 2.500 euros avant sa rénovation sera diminuée de moitié, à 1.121 euros. Une économie conséquente qui se double également d’une réelle valorisation esthétique et financière du bien immobilier. Facteur supplémentaire, l’ITE favorise également un air intérieur plus sain.Knauf NEXTherm®, un isolant PSE issu de la biomasseFabriqué à partir de bio-naphta et de bio-gaz issus de la valorisation de ressources renouvelables biomasse, Knauf NEXTherm® réduit encore l’impact environnemental des PSE Knauf, notamment en termes d’émission de carbone, et inscrit durablement cet isolant dans les modes constructifs actuels, notamment la rénovation et leurs évolutions prochaines, avec la RE2020.Knauf NEXTherm® ITEx, hautes performances techniques et très bas carbone pour les chantiers de façade les plus exigeantsAvec la gamme Knauf NEXTherm® ITEx, tous les atouts des isolants PSE Knauf pour l’isolation par l’extérieur sous enduits sont conservés : performances thermiques, mise en œuvre éprouvée, conformité justifiée, une empreinte carbone diminuée en plus.L’isolation thermique par l’extérieur avec Knauf NEXTherm® : un atout pour les projets de rénovationFace au vieillissement esthétique du parc immobilier et aux faibles performances thermiques de ces bâtiments, l’isolation thermique par l’extérieur constitue une solution à gains multiples : elle garantit le confort thermique de l’habitat, grâce à une isolation homogène et de qualité du bâti ; elle embellit le patrimoine, grâce à la reprise des façades ; elle améliore le confort de vie des occupants, grâce à la suppression des ponts thermiques et l’amélioration de la qualité de l’air intérieur.Avec Knauf NEXTherm® ITEx, elle améliore l’impact environnemental global de la rénovation en réduisant l’empreinte carbone de l’isolation, FDES à l’appui. Un choix responsable qui allie nouvelles performances environnementales et hautes technicités du PSE.Et pour un chantier de rénovation propre, les chutes des panneaux mis en œuvre sont collectées sur chantier par le service Knauf Circular® et recyclées en de nouveaux produits d’isolation.
Il y a 3 ans et 294 jours

Comment réussir les travaux d’installation électrique?

L’électricité fait partie des aménagements essentiels dans un projet de construction, notamment pour assurer votre confort au quotidien. Par conséquent, les travaux d’installation électrique restent une étape incontournable dans la réalisation de tout type de bâtiment, que ce soit professionnel ou particulier. En effet, ce dispositif risque de provoquer des dangers lorsque son déploiement ne respecte pas les normes. Le cas échéant, vous serez dans l’obligation de refaire des remises en conformité qui peuvent s’avérer assez onéreuses. C’est la raison pour laquelle, il est recommandé de faire appel à un électricien professionnel pour écarter tous les risques. Travaux d’installation électrique : les précautions essentielles Il est important de noter que la loi est devenue de plus en plus pointue sur les travaux d’installation électrique. En effet, il a été constaté que des malfaçons dans ce domaine ont causé de fréquents accidents domestiques. C’est la raison pour laquelle il est primordial de faire appel à un électricien, car les préventions à prendre pour la sécurisation des lieux changent en fonction de sa configuration. Grâce à ses compétences, ce professionnel saura considérer les différents éléments indispensables, afin de paramétrer votre réseau de distribution selon vos besoins. De la même manière, il ne manquera pas de prévoir le futur développement de votre installation. Pour ce faire, il mettra en place un système simple à manipuler pour réussir à l’adapter facilement à l’évolution de votre construction. Autrement dit, ces interventions sont personnalisées en fonction des spécificités de chaque bâtiment. Travaux d’installation électrique : les normes à respecter Les travaux d’installation électrique doivent suivre des normes, à l’instar des projets de construction ou de rénovation. De ce fait, recourir au service d’un bricoleur amateur peut avoir de lourdes conséquences sur la qualité de votre dispositif. Ainsi, il est plus que recommandé de faire appel à un électricien qui maitrise parfaitement les règles en vigueur. Il s’agit entre autres de la norme NCF-15-100 qui a subi récemment des modifications en particulier par rapport au tableau électrique. En effet, ses composants et son mode fonctionnement ont complètement évolué. Pareillement, avec les changements climatiques et les dégradations de l’environnement, l’État est en train de mettre en place des mesures plus écologiques. Dans cette optique, pour encourager les particuliers à s’investir dans cette lutte contre le gaspillage de l’énergie, des aides financières ont été déployées. Cependant, pour être éligible, vous devez remplir certaines conditions et suivre les formalités indispensables. A savoir, l’engagement d’un professionnel qui vous offrira également l’opportunité de bénéficier de ses précieux conseils sur le choix des matériels selon les critères exigés. Pour ce faire, il connait effectivement toutes les marques disponibles sur le marché et qui proposent des produits d’excellente qualité, tout en restant économiques et écologiques. Pour résumer, avec l’évolution de la technologie, les nouveaux dispositifs en travaux d’installation électrique sont beaucoup plus efficaces, afin d’éviter les risques d’accident. Autrement, l’État incite les particuliers à remplacer leurs anciens circuits qui représentent un gouffre en matière de consommation. Ainsi, vous aurez l’avantage de réaliser une économie non négligeable, tout en contribuant la réduction de votre gaspillage en énergie. Dans cette optique, la meilleure solution est de faire appel à un électricien confirmé.
Il y a 3 ans et 300 jours

L'accélération des contrôles est nécessaire en 5ème période des CEE

La fraude et les malfaçons sont souvent mises en avant dans le cadre du dispositif des CEE. Ce n'est pourtant pas intrinsèque au dispositif : nous pouvons collectivement lutter contre afin de garantir des opérations de qualité. La 5ème période attaque ainsi de front cette problématique. L'objectif est double : garantir la qualité des travaux pour les bénéficiaires (ménages, entreprises, collectivités...) et pérenniser le dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie. Élargissement et renforcement des contrôlesMis en place initialement pour les opérations bonifiées, les contrôles permettent de lutter contre la fraude et les malfaçons en vérifiant que les travaux ont été effectivement réalisés et en s'assurant du respect des règles de l'art grâce à des bureaux de contrôles agréés et indépendants. La 5ème période va voir se développer les mécanismes de contrôles des opérations réalisées dans le cadre du dispositif des CEE : ils seront étendus aux opérations standardisées fréquemment utilisées dans différents secteurs (résidentiel, tertiaire, industrie...). Cet élargissement du périmètre des contrôles obligatoires est essentiel pour garantir des travaux de qualité dans tous les secteurs. Une filière également responsableSi l'administration développe les contrôles en renforçant la réglementation, elle n'est pas la seule à pouvoir et devoir agir pour améliorer la qualité des travaux réalisés dans le cadre du dispositif. La filière a également un rôle à jouer pour développer de bonnes pratiques. Il y a dans un premier temps une action à mettre en place afin d'anticiper l'augmentation du nombre de contrôles. Si nous voulons accélérer, il faut avoir une offre suffisante pour contrôler les opérations réalisées dans le cadre du dispositif. Cela passera nécessairement par un accompagnement des contrôleurs afin de monter en compétences sur des opérations jusqu'ici peu ou pas contrôlées. Les acteurs du dispositif des CEE, notamment les obligés et délégataires, ont aussi une responsabilité pour réduire le nombre de non-conformité. Plusieurs actions peuvent être mises en place en fonction des process et activités de chacun des acteurs. CertiNergy & Solutions a, par exemple, développé des contrôles intermédiaires sur les travaux d'isolation des murs afin de garantir la qualité des travaux et de réduire le nombre de non-conformité contrôlées à la fin des travaux. Ces contrôles intermédiaires, réalisés en partenariat avec un bureau de contrôles externe, sont un exemple de ce que chacun peut mettre en place pour faire de la qualité une priorité en 5ème période.
Il y a 3 ans et 321 jours

Chantier Zac le Square : L’économie circulaire comme feuille de route

La Saedel est en charge de l’opération de la Zac le Square. Un éco-quartier sur près de 50 000 m2. [©Agyre] Dossier : Penser circulaire Interview : Ecima Découverte : Le label E2C Rencontre : Ipsiis Actualité : Naissance de Valobat La notion d’économie circulaire s’applique de plus en plus à l’ensemble des secteurs d’activité. Dans le bâtiment, toutes les typologies d’acteurs sont impactées et s’organisent dans ce sens. L’Ecima, association européenne des fabricants de ouate de cellulose, représente les producteurs implantés sur le marché français. Rencontre avec son président Jean-Michel Bœuf. Depuis janvier 2021, le Cerema pilote un nouveau label : E2C. Ce dernier valide et accompagne les porteurs de projets dans la mise en place d’initiatives d’économie circulaire. Comment mêler efficacité énergétique et économie circulaire ? Avec son procédé innovant, Ipsiis tente de répondre à cette question. Rencontre avec le fondateur, Yves le Corfec. Quelque 26 entreprises de fabrication de matériaux de construction ont annoncé la naissance d'un éco-organisme, baptisé Valobat. A Dreux (28), la Saedel1 est en charge de l’opération de la Zac le Square. Ici, l’aménageur crée un éco-quartier sur près de 50 000 m2. Il comprendra à terme, un îlot vert d’un ha, une parcelle pour la construction d’un groupe scolaire, une clinique ophtalmique et environ 400 logements répartis en 8 îlots. Pour ce chantier d’aménagement, la Saedel a voulu s’ancrer dans une démarche approfondie d’économie circulaire. « Nous avons déjà mis en place une logique d’économie circulaire sur plusieurs de nos chantiers, mais nous ne l’avons pas fait de manière structurée et à cette échelle, explique Nicolas Moreau, Dg de Saedel. Nous sommes portés par nos convictions. Et nous voulons faire en sorte d’avancer vers plus de responsabilités environnementales. D’autant plus que la thématique de la ressource en matériau est un sujet important pour nous. » Afin de passer à l’étape supérieure, pour non seulement mettre en place des actions concrètes, mais aussi créer des process applicables à d’autres opérations, la Saedel a fait appel à Agyre. Identifier les besoins et y répondre Pour Agyre, le but est de rencontrer tous les intervenants, afin de dégager les contraintes, et les besoins techniques et logistiques. Le hub s’occupe de la mise en relation entre les maîtres d’œuvre, les entreprises et les acteurs de l’économie circulaire identifiés. « Nous avons réalisé une analyse du territoire pour identifier les acteurs de l’économie circulaire, détaille Jean-Baptiste Le Menn, chef de projet chez Agyre. Nous avons ainsi échangé avec des professionnels du Centre – Val-de-Loire sans aller au-delà de 50 km. Sinon, il n’y a pas de sens environnemental et financier. » Plan de la future Zac le Square. [©La Fabrique Urbaine/Agence Ter /Soderef/Atelier d’architecture Tequi] Retrouvez l’ensemble du dossier par –> ici Et Nicolas Moreau de reprendre : « C’est une façon pour les entreprises de monter en compétence. D’associer ces principes et ingénieries dans les modalités de chantier pour que cela devienne une habitude. » Agyre s’est aussi occupé de l’élaboration de la feuille de route “économie circulaire”. Cette dernière se base sur des propositions de schémas opérationnels : accompagnement pour la déconstruction, identification des lieux de stockage, planning de disponibilité des gisements. Ou encore, l’analyse des méthodes et solutions techniques, la conformité des chiffrages, les éco-matériaux à privilégier et les pistes de valorisation… Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 328 jours

Utilisez BatiIMMO pour identifier et gérer vos obligations réglementaires

Avec BatiIMMO, identifiez et gérez les obligations réglementaires de votre établissement, avec la garantie de ne rien oublier grâce à un système d’alerte performant. Planifiez vos contrôles et vérifications périodiques obligatoires en toute simplicité, gagnez en productivité et sérénité.Près de 150 équipements et plus de 1 000 obligations sont répertoriés dans BatiIMMO.Solution-métier bénéficiant de l’expertise du CSTB en matière de veille et analyse de l’environnement réglementaire et assurantiel du bâtiment et de ses installations, BatiIMMO permet, une fois renseigné :D’identifier les obligations réglementaires et APSAD, adaptées à la destination et au contexte de votre(s) site(s) / bâtiment(s) et équipementsDe planifier les contrôles et vérifications périodiques à effectuer, et ainsi en réduire le coût direct ou indirect, en évitant par exemple l’immobilisation ou la perturbation du bon fonctionnement du siteD’assurer le suivi / pilotage des actions à conduire pour lever les réserves et non-conformités formulées lors des contrôlesDe rester informé, au quotidien, de l’évolution de la réglementation, pour anticiper et intégrer les nouvelles obligations qui concerneront votre bâtiment et vos équipements à court et moyen terme4 raisons de choisir BatiIMMO :1. Assurer le bon fonctionnement des équipements installés et la continuité de l’activité2. Préserver la santé et la sécurité des occupants du bâtiment3. Sécuriser le chef d’établissement, responsable technique, bailleur, propriétaire, au regard de l’engagement de sa responsabilité juridique, civile ou pénale, en cas de non-respect ou de non-conformité avec la réglementation, par méconnaissance ou par négligence4. Conserver la traçabilité des contrôles effectués et des actions réalisées pour maintenir la conformité de votre bâtiment et de ses équipementsPour en savoir plus : Consultez le Leaflet BatiIMMODécouvrez les 5 étapes clés
Il y a 3 ans et 329 jours

Partir sereinement en vacances : Quelques conseils pratiques pour bien protéger son habitat

Les points clés de vigilance dans le choix d’un système d’alarmeUn système d’alarme est composé de plusieurs éléments auxquels peuvent s’ajouter des services de maintenance et de télésurveillance : une centrale commandant l’activation et la désactivation des détecteurs et constituant le coeur du système, des détecteurs de mouvements, des détecteurs d’ouverture, un ou plusieurs sirènes (intérieur/extérieur), des caméras et un transmetteur (radio ou filaire).Certaines caractéristiques d’une alarme performante sont clés pour dissuader toute tentative d’intrusion et bien protéger une habitation. L’alarme doit être résistante à toute tentative de dégradation de son système - brouillage des ondes, arrachement, désactivation ou destruction. Plus elle sera dotée de fonctionnalités répulsives – brouillard, fumée, sirène, flash lumineux, détection en approche…-, plus elle fera fuir les cambrioleurs.Par ailleurs, grâce à la domotique, les systèmes d’alarme sont pilotables à distance avec un smartphone et capables d’agir intelligemment en cas de potentielles intrusions ; ils peuvent simuler une présence avec l’allumage des lumières de l’habitat, en cas d’absence inhabituelle de l’utilisateur, ou encore déclencher une fermeture des volets roulants motorisés.Un réflexe simple : faire confiance à la certificationPour être sûr de choisir un système d’alarme performant, il suffit de vérifier si le produit est certifié. Tout produit certifié fait en effet l’objet de vérifications (essais en laboratoire, audit des sites de fabrication, contrôles périodiques…) et atteste la performance du produit.La certification « NF2AP » garantit une résistance aux tentatives d’arrachements, de destruction, de désactivation ou encore de brouillage et possède trois niveaux de protection (1 à 3 boucliers) et est délivrée par le CNPP (Centre national de prévention et de protection).Complémentaire, la certification des alarmes « CSPN » (Certification de Sécurité de Premier Niveau) et la certification « @ » attestent que le produit garantit un niveau élevé de robustesse face aux cyberattaques. Délivrées respectivement par l’ANSSI (l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information) et par le CNPP, elles reposent sur une analyse de conformité et des tests d’intrusion numérique.Faire installer son alarme par un professionnel vs DIY (Do It Yourself) ?Le consommateur peut faire appel à un installateur professionnel (électricien ou spécialiste), avec lequel il entretient une relation de confiance et de proximité, et qui travaille en partenariat avec des entreprises industrielles. Il peut aussi préférer souscrire un abonnement auprès d’une société de prestation de service. Il arrive aussi qu’il décide d’installer son système d’alarme de son propre chef. Chacune de ces possibilités présente des atouts.Gain de tempsUn installateur professionnel ou un technicien rattaché à une société de prestation de service fera preuve d’efficacité et saura réagir en cas de problème avec la configuration du logement ou avec le produit. Le dispositif d’alarme sera installé aux endroits stratégiques en un temps limité, tout en ayant la certitude d’un matériel de qualité.Si le consommateur fait le choix d’installer seul son système d’alarme, il devra être bricoleur pour ne pas perdre trop de temps. Certaines étapes peuvent être délicates, comme l’analyse de risques par exemple ; par conséquent, il se doit d’être vigilant dans le choix du produit, d’installer le dispositif de manière à capter un maximum de réseau, et de vérifier si le dispositif fonctionne après son installation.MaintenanceLes sociétés de prestation de service ainsi que certains installateurs professionnels proposent un abonnement pour vérifier la performance du système d’alarme, et assurer sa maintenance. Si le client installe lui-même son alarme, il économise le prix de l’installation et de l’abonnement, mais devra se charger de l’entretien de son équipement.
Il y a 3 ans et 329 jours

Guide pour bien choisir votre sommier et tête de lit

Dormir paisiblement nécessite l’utilisation de certains éléments adéquats. Ainsi, tout comme le matelas, le sommier et la tête de lit participent à la qualité du sommeil. Ce sont donc des éléments qui ne doivent pas être choisis à la légère. Vous avez certainement besoin d’un guide pour vous orienter afin de faire un bon choix. Comment bien choisir votre sommier ? La combinaison sommier tete de lit est déterminante pour un sommeil paisible. Il faut alors prendre en compte plusieurs facteurs pour choisir le sommier. Choisir en fonction du type En règle générale, il existe deux types de sommiers. D’une part, vous pouvez rencontrer le sommier tapissier et d’autres, celui à lattes. Chacun d’eux détient ses avantages. Pendant que le premier permet une bonne aération du matelas pour une hygiène optimale, le second est composé de pans de bois, ce qui garantit un bon maintien du matelas. Il est d’ailleurs le type le plus demandé sur le marché. En dehors de ces deux principaux, il y a d’autres types tels que : Le sommier à plots, Le sommier à ressorts, Le sommier de relaxation. Par ailleurs, le choix à faire dépend de vos goûts esthétiques et vos attentes en fonction du résultat attendu de la part du sommeil.  Choisir en fonction de la matière de fabrication Quel que soit le type de sommier auquel vous avez opté, vous devez veiller à ce qu’il soit fabriqué à partir d’une bonne matière. Pour le choix à faire, il est recommandé de préférer les matières naturelles, comme le bois massif. Cette option est plus conséquente parce qu’un sommier fait avec des éléments en plastique ou en bois mélaminé est plus sensible et peu résistant. Vous pouvez par conséquent choisir comme bois massif : le hêtre ou l’épicéa. Par ailleurs, vous pouvez miser sur les textiles naturels comme le coton ou le lien, pour le tissu qui entoure le sommier. Choisir en fonction de la taille D’abord, la taille du sommier doit être proportionnelle à celle du matelas. Ainsi, veillez à ce que la longueur de votre sommier soit supérieure de 20 cm à la taille totale du ou des occupants(s). En ce qui concerne la largeur, si vous êtes peu corpulents, vous pouvez choisir un modèle allant de 70 à 80 cm. Si en revanche, vous êtes enveloppés, il faut opter pour un sommier de 90 à 120 cm. Par ailleurs, pour les couples, les dimensions sont généralement 180 sur 200 cm. Comment bien choisir votre tête de lit ? À l’instar du sommier, pour choisir une tête de lit vous devez vous baser sur certains aspects. Le style de tête de lit Il existe généralement deux grandes familles de styles de têtes de lit : classique et moderne. D’un côté, le style classique est légèrement arrondi, plus ou moins haut et se marie avec toutes les décorations. Quant au style moderne, généralement sobre, il est assez adapté aux chambres épurées. Il offre également des rangements, des ports USB, des lumières LED et des appuie-tête. Le revêtement de la tête de lit Le revêtement se doit d’être en conformité à l’orientation de votre chambre et sa configuration. De ce fait, si votre lit est exposé aux rayons solaires, misez sur des matières qui peuvent résister à la décoloration, à l’image du velours, le simili cuir ou le bois. Si vous avez pour habitude de demeurer assis un long moment sur votre lit, il est recommandé de choisir une tête de lit rembourré. Puisque moelleuse, cette dernière sera plus confortable comme point d’appui. La taille de la tête de lit En matière de largeur, votre tête de lit doit être débordante pour valoriser votre literie. Il est conseillé de la choisir entre 0 à 10 cm de plus que le sommier en largeur. En ce qui concerne, la hauteur, il y a deux facteurs à retenir. Premièrement, pour votre confort, votre tête doit dépasser un minimum de 35 cm la hauteur du matelas. Deuxièmement, pour l’esthétique, il doit y avoir une proportion entre la largeur de la literie et la hauteur de la tête de lit.
Il y a 3 ans et 350 jours

Edilteco France : L’entrevous Deltivoutain+CI sous Avis technique

Le Deltivoutain+CI &#8211; pour correcteur Intégré &#8211; est un entrevous permettant de limiter les ponts thermiques. [©Edilteco France] Le Deltivoutain+CI &#8211; pour correcteur intégré &#8211; est un entrevous permettant de limiter les ponts thermiques. Efficace, mais surtout très fonctionnel, il intègre dès sa fabrication un correcteur de ponts thermiques sécable (Up < 0,27 W/m².K) en sous face. Conçu en polystyrène (PSE), ce rupteur se casse facilement à la main. Une fois mis en œuvre, il réduit le pont thermique de la liaison entre le plancher et le mur. Ceci, dans le cas d’une isolation par l’intérieur (ITI). Sous Avis technique du CSTB Brevetée, cette solution bénéficie aujourd’hui d’un Avis technique du CSTB. Celui-ci est délivré par le Groupe spécialisé n° 20 “Produits et procédés spéciaux d’isolation” et le Groupe spécialisé n° 3.1 “Planchers et accessoires de plancher”. Cet Avis technique certifie la bonne conception de l’entrevous, sa conformité aux exigences de chaque chantier. Et garantit la durabilité, ainsi que l’efficacité du correcteur de pont thermique. De leur côté, les professionnels du BTP ont plébiscité cette innovation par le biais de la 9eédition du concours Sageret, qui vise à élire les meilleurs produits du BTP. Ils ont décerné à Edilteco France le label “Elu innovation par les professionnels du BTP”, dans la catégorie “Structure, Façade, Maçonnerie”.&nbsp;
Il y a 3 ans et 351 jours

L’OPPBTP met une nouvelle fois à jour le Guide de préconisations de sécurité sanitaire

En effet, au vu des données sanitaires, de nouvelles étapes peuvent être franchies dans la reprise des activités tout en assurant la protection des salariés. La nouvelle version du guide intègre donc, en conformité avec les recommandations du Haut Conseil de Santé Publique et de l’Etat, les modifications suivantes :Le télétravail : ce sont les entreprises qui fixent, pour toutes les activités qui le permettent, un nombre minimal de jours de télétravail par semaine, dans le cadre du dialogue social de proximité. Chaque fois que nécessaire, l’ensemble des acteurs des opérations de construction doivent pouvoir se rendre sur chantier.Pauses repas : une vigilance particulière doit être respectée dans les espaces de restauration. Il est préconisé de déjeuner seul ou en groupe de maximum 6 personnes, afin de limiter le nombre de contacts et de garder une distance minimale de deux mètres entre les tables occupées, sauf si une paroi assure une séparation de l’espace.Moments de convivialité dans le cadre professionnel : les moments de convivialité se tiennent de préférence dans des espaces extérieurs et ne réunissent pas plus de 25 personnes avec respect des gestes barrière : port du masque, mesures d’aération/ventilation et règles de distanciation.L’importance de l’aération des locaux par une ventilation naturelle ou mécanique (portes et/ou fenêtres ouvertes autant que possible) est rappelée. La fiche proposée dans le guide a été mise à jour.Il est à noter qu’une nouvelle adaptation des règles sanitaires est annoncée par le gouvernement pour le 30 juin, en raison de l’amélioration de la situation épidémique attendue d’ici la fin du mois.Dans sa boîte à outils Covid-19, l’OPPBTP propose un choix d’affiches pour faciliter le respect des bons gestes sanitaires.Le guide de préconisations sanitaires est disponible sur le site internet de préventionbtp.fr.Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu’à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 y est disponible.Pour télécharger la 13e édition du Guide de préconisation de sécurité sanitaire, cliquez ici.
Il y a 3 ans et 351 jours

Le guide de préconisations de sécurité sanitaire s’adapte à l’amélioration du contexte

A la suite de la publication d’une nouvelle version du protocole Covid par le ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion, applicable à compter du 9 juin prochain, l’OPPBTP publie une mise à jour de son guide de préconisations de sécurité sanitaire. De nouvelles étapes peuvent être franchies dans la reprise des activités tout en assurant la protection des salariés. La nouvelle version intègre, en conformité avec les recommandations du Haut Conseil de Santé Publique et de l’Etat, les modifications suivantes : &#8211; Le télétravail : ce sont les entreprises qui fixent, pour toutes les activités qui le permettent, un nombre minimal de jours de télétravail par semaine, dans le cadre du dialogue social de proximité. Chaque fois que nécessaire, l’ensemble des acteurs des opérations de construction doivent pouvoir se rendre sur chantier. &#8211; Pauses repas : une vigilance particulière doit être respectée dans les espaces de restauration. Il est préconisé de déjeuner seul ou en groupe de maximum 6 personnes, afin de limiter le nombre de contacts et de garder une distance minimale de deux mètres entre les tables occupées, sauf si une paroi assure une séparation de l’espace. &#8211; Moments de convivialité dans le cadre professionnel : les moments de convivialité se tiennent de préférence dans des espaces extérieurs et ne réunissent pas plus de 25 personnes avec respect des gestes barrière : port du masque, mesures d’aération/ventilation et règles de distanciation. &#8211; L’importance de l’aération des locaux par une ventilation naturelle ou mécanique (portes et/ou fenêtres ouvertes autant que possible) est rappelée. La fiche proposée dans le guide a été mise à jour. Il est à noter qu’une nouvelle adaptation des règles sanitaires est annoncée par le gouvernement pour le 30 juin, en raison de l’amélioration de la situation épidémique attendue d’ici la fin du mois.
Il y a 3 ans et 357 jours

Watts protège les réseaux d’eaux intérieurs de la Tour Pacific à La Défense

Construite en 1992, la Tour Pacific est idéalement située dans le secteur Valmy au cœur du quartier d’affaires de Paris La Défense. Conformément au Code de la Santé Publique et au Règlement Sanitaire Départemental, l’immeuble tertiaire a été équipé, lors de sa conception, de dispositifs de protection afin de prévenir tout risque de pollution des réseaux d’eau intérieurs. Près de 30 ans après leur installation, le gestionnaire du bâtiment vient de remplacer l’intégralité des appareils avec des disconnecteurs hydrauliques Watts. &nbsp; Un vaste maillage de canalisations D’une surface totale de plus de 55.000 m2, la Tour Pacific se compose de deux ailes (Est et Ouest) reliées entre elles par un pont. Haute chacune de 25 étages, elles abritent des espaces de bureaux et offrent de nombreux aménagements tels qu’un espace lounge, un centre de conférence ainsi qu’un restaurant avec terrasse situé au 23ème étage. A l’intérieur, le réseau de distribution d’eau est organisé selon trois utilisations : • l’alimentation en eau chaude /eau froide sanitaire de l’ensemble du gratte-ciel, • le circuit de sécurité incendie qui dessert les sprinklers présents dans les deux ailes du bâtiment, • l’usage technique et d’agrément comprenant le système d’arrosage automatique et le miroir d’eau du roof-top. &nbsp; Tel que défini par le bureau d’étude d’hydraulique dès la conception de l’immeuble, chaque niveau, composé d’un vaste maillage de canalisations, est équipé de dispositifs de protection antipollution. Placés à différents points du réseau, ils évitent toute contamination de l’eau potable distribuée dans l’installation par des phénomènes de retour d’eau. &nbsp; Fin 2020, l’entreprise habilitée à effectuer le contrôle annuel obligatoire des disconnecteurs, procédure destinée à vérifier le bon fonctionnement du dispositif antipollution, a constaté que certains appareils vieillissants nécessitaient une remise en conformité. Afin de simplifier le suivi de l’installation, en particulier la maintenance, Monsieur Derouiche d’OA7 Energy, chargé d’affaires travaux sur le site, a alors proposé au propriétaire du bâtiment d’uniformiser les produits en choisissant des solutions de la gamme antipollution de Watts. &nbsp; Les disconnecteurs hydrauliques Watts au service d’une protection optimale des réseaux Après avoir réalisé des prises de mesure sur site et effectué une pré-sélection des modèles, OA7 Energy a pu compter sur le soutien technique de Watts. Comme l’explique Monsieur Derouiche : « Watts m’a conforté dans mon choix en m’assurant, d’une part que les disconnecteurs retenus correspondaient bien à l’installation de la Tour Pacific et d’autre part, que leur encombrement serait le même afin d’éviter d’importants travaux d’adaptation ». &nbsp; Conformes à la norme EN12729, 8 nouveaux disconnecteurs hydrauliques à zone de pression réduite contrôlable de type BA ont ainsi été mis en œuvre pour protéger les réseaux d’eau intérieurs à raison de : • 2 disconnecteurs en diamètre 200 mm pour le circuit de sécurité incendie, • 2 disconnecteurs en diamètre 100 mm pour l’alimentation principale en eau froide/eau chaude sanitaire des 800 points d’eau répartis dans les 2 ailes de l’édifice, • 2 disconnecteurs en diamètre 65 mm et 25 mm pour l’alimentation en eau adoucie du bar, de la cuisine et de la laverie, • 2 disconnecteurs en diamètre 50 mm et 25 mm pour l’alimentation du circuit d’arrosage automatique et celle du miroir d’eau actuellement en cours de réalisation au niveau de la terrasse. &nbsp; Grâce à l’accompagnement personnalisé du responsable technico-commercial de Watts, l’installation des nouveaux disconnecteurs a été réalisée sans encombre en février dernier. « Elle a nécessité l’intervention d’une équipe de 4 personnes pendant 4 jours et l’utilisation de matériel de levage pour manipuler notamment les plus gros modèles dont le poids avoisine les 140 kg », conclut Monsieur Derouiche. http://www.wattswater.fr
Il y a 3 ans et 358 jours

AGC Glass Europe et Schüco, partenaires pour Fineo

En construction, les exigences sans cesse plus rigoureuses en matière de durabilité et de viabilité future suscitent une demande accrue de technologies et de matériaux intelligents et novateurs. Parmi les réponses, il y a notamment le recours au vitrage isolant sous vide pour les systèmes de fenêtres ou de façades.Karl Stefan Dewald, responsable de l’activité Façades de Schüco, déclare à propos de cette coopération stratégique : « AGC Glass Europe est pour nous un partenaire idéal, en qui nous trouverons un soutien pour répondre aux futures demandes du marché et des consommateurs. »Serge Martin, CEO de FINEO® Glass, confirme : « Nous sommes ravis et honorés d’engager ce partenariat avec Schüco, un acteur de premier plan du vitrage de qualité et un leader de son marché. Travailler ensemble sur un produit innovant comme FINEO représente une opportunité pour tous deux. Nous avons la conviction d’être en mesure de proposer ensemble des solutions d’exception, combinant performances, durabilité et une grande qualité de design. »Résultat d’une technologie de pointe, le vitrage isolant sous vide FINEO d’AGC Glass Europe est un vitrage ultra-mince (épaisseur totale à partir de 6 mm), associant des performances thermiques et acoustiques inégalées, ainsi qu’une exceptionnelle transmission lumineuse.À la pointe des techniques, le Groupe Schüco poursuit les normes de qualité les plus élevées et entend proposer en toutes circonstances des solutions de toute première qualité. Schüco et FINEO® ne pouvaient que se rencontrer, leurs exigences communes faisant de ce fabricant un partenaire idéal pour AGC Glass Europe. Outre les atouts de confort et de conformité aux exigences des concepteurs et architectes en matière de minceur et de faible poids en construction, les systèmes de façades et fenêtres de Schüco faisant appel au vitrage isolant sous vide FINEO® répondent à toutes les exigences actuelles en matière de durabilité et d’économies d’énergie – grâce notamment aux performances optimales d’isolation thermique de FINEO® et à sa totale recyclabilité.
Il y a 3 ans et 361 jours

BatiIMMO, nouveau service du CSTB, disponible sur le portail Batipédia

Disponible sur BATIPÉDIA, portail d’informations et de services technico-réglementaires du CSTB, BatiIMMO permet ainsi à tout responsable, qu’il soit responsable technique, exploitation- maintenance..., d’établissements de type ERP, de locaux de travail ou d’immeubles d’habitation, de s’assurer de la conformité réglementaire du site dont il a la charge et de garantir la sécurité des usagers.Conformité réglementaire et assurantielle des bâtiments : responsabilités & obligationsEtablissements Recevant du Public, locaux de travail, immeubles d’habitation... : les bâtiments sont soumis à de nombreuses obligations réglementaires et assurantielles (APSAD), évoluant régulièrement. Il revient aux chefs d’établissements, bailleurs sociaux, administrateurs et propriétaires d’immeubles, etc., avec leurs équipes techniques notamment, de connaître et maitriser l’ensemble de ces obligations, de s’assurer de la réalisation, en temps et en heure, des contrôles et vérifications associés, et ainsi, de la bonne conformité du site dont ils ont la charge.En cas d’incident, si ces obligations réglementaires n’ont pas été respectées, leur responsabilité pourra en effet être recherchée et/ou les garanties assurantielles remises en cause. L’enjeu est donc potentiellement lourd humainement et économiquement.Pour aider les acteurs à répondre à cette préoccupation, le CSTB lance BatiIMMO, nouveau service de suivi de la conformité réglementaire et assurantielle.BatiIMMO : un service dédiéSolution-métier bénéficiant de l’expertise du CSTB en matière de veille et analyse continues de l’environnement réglementaire et assurantiel, dans le domaine de la construction, BatiIMMO permet, une fois renseigné :D’identifier les obligations réglementaires et APSAD, adaptées à la destination et au contexte de leur(s) site(s) / bâtiment(s) et équipements ;De planifier les contrôles et interventions périodiques à effectuer, et ainsi en réduire le coût direct ou indirect, en évitant par exemple l’immobilisation ou la perturbation du bon fonctionnement du site ;D’assurer le suivi / pilotage des actions à conduire pour répondre aux observations et réserves formulées lors des contrôles ;De rester informé, au quotidien, de l’évolution de la réglementation, pour anticiper et intégrer les nouvelles obligations de contrôles, dès leur publication.Des fonctionnalités essentielles pour :Assurer le bon fonctionnement des équipements installés ;Garantir la sécurité des usagers ;Sécuriser le chef d’établissement, bailleur, propriétaire ... au regard de l’engagement de sa responsabilité en cas de non-respect ou de non-conformité avec la réglementation, par méconnaissance ou par négligence.BatiIMMO : un outil simpleDisponible via licences annuelles, mono ou multisites, BatiIMMO s’utilise, pour chaque site à suivre, en 2 phases :1. Description du patrimoine :Description des principales caractéristiques du bâtiment (type, adresse, nombre d’occupants, date du permis de construire...) ;Inventaire et description (caractéristiques, date d’installation et des derniers contrôles effectués...) des équipements immobiliers installés, sélectionnés dans une bibliothèque organisée autour de différentes catégories¹ : Santé – Diagnostics – EnvironnementSécurité des locaux Sécurité incendieCirculation ÉlectricitéPlomberie – Réseaux d’eau intérieursChauffage – Ventilation – ClimatisationÉquipements Sous Pression (ESP) VRD – Espaces verts – Aménagements Jeux - SportsCette 1ère phase permet de générer un plan de surveillance réglementaire adapté au contexte du bâtiment suivi. C’est sur ce plan de surveillance que s’appuiera la 2ème phase, dédiée au pilotage & à la planification.2. Pilotage & planification :Via un tableau de bord synthétique, des alertespersonnalisées et une navigation fluide, l’utilisateur peutfacilement :Suivre les obligations afférentes à son site / bâtiment /équipements ;Planifier les contrôles et vérifications associés, les actions et travaux à réaliser en conséquence ;Renseigner au fur et à mesure les interventions effectuées ;Archiver des données pour conserver la mémoire numérique de la conformité réglementaire du bâtiment ;Etc.Le regard du CSTB :« Nul n’est censé ignorer la loi ». Mais de fait, il est souvent difficile, pour un chef d’établissement, un bailleur, un propriétaire... de connaitre et maîtriser parfaitement l’ensemble du cadre réglementaire qui concerne spécifiquement le parc, le bâtiment et les équipements immobiliers dont ils ont la charge. BatiIMMO les accompagne dans cette mission, les sécurisant ainsi face à leur responsabilité en matière de conformité règlementaire du site » - Patrick Morand – Directeur Éditions – Formations CSTBBatiIMMO sera disponible dès le 8 juin, sur le site de BATIPÉDIA :(www.batipedia.com)¹ Près de 150 équipements et plus de 1 000 obligations répertoriés- Possibilité d’ajouter un équipement ou une obligation manquante
Il y a 3 ans et 364 jours

Le CSTB lance un nouveau service pour piloter la conformité réglementaire des bâtiments

SOLUTION. Le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB) vient de lancer un nouveau service, baptisé BatiImmo, pour piloter les contrôles et vérifications réglementaires et assurantielles obligatoires, à l'échelle d'un parc immobilier, d'un site ou d'un bâtiment.
Il y a 3 ans et 364 jours

Delphine Piquard nommée nouvelle Directrice Supply Chain du Groupe Lorillard

Arrivée en juillet 2020 au sein du Groupe Lorillard, Delphine Piquard est la nouvelle Directrice Supply Chain au niveau groupe. Diplômée de l’Ecole des Mines de Nancy, Delphine Piquard a débuté sa carrière en tant qu’ingénieure logistique sur un site d’Arcelor Mittal dans le Doubs, pour évoluer vers la division automobile, en tant que responsable de la planification et des affectations des volumes sur les différentes usines du groupe. 7 ans plus tard, elle quitte l’entreprise pour rejoindre Tarkett, en août 2010, où elle pilotera la mise en place du département Prévision et Planification de la division européenne. Puis en février 2017, elle prend le poste de Directrice Supply Chain de l’usine Sophartex, une création de poste qui lui permet de concevoir la mise en place de sa fonction avec une dimension service client. 3 ans et demi passés, elle choisit le challenge Lorillard – un poste de Directeur Supply Chain au niveau Groupe avec une gestion de flux plus complexes entre les différents sites, des entités commerciales aux besoins variés et la nécessité d’harmoniser et d’homogénéiser les offres de service pour chacune. LE CLIENT AU CENTRE DE LA LOGISTIQUE… Delphine Piquard en a fait une notion indissociable, le client est au centre de toute réflexion logistique. Un aspect prioritairement intégré dans l’approche logistique qu’elle a pensée pour les différents sites du Groupe Lorillard. L’un de ses premiers objectifs – en accord avec le Directeur Industriel, Hubert Marti – a été l’uniformisation de l’offre produit sur les différents sites du Groupe, afin de produire au plus près du client. C’est donc dans une optique de proximité qu’une approche régionale a été pensée, tout en tenant compte des contraintes d’équilibrage des charges de travail entre les différentes usines. Pour ce faire, un circuit de distribution converge entre les différents sites, notamment les 4 sites de PVC (Bourges, Pralong, Chartres, Bayonne). Ainsi, chaque client bénéficie d’un point d’ancrage grâce à des navettes qui approvisionnent des menuiseries entre chaque site en région, tenant lieu de plateforme de proximité pour les clients régionaux. Et pour mieux évaluer et maîtriser ce process de proximité, un travail avec le service HSE a permis de mettre en place des indicateurs mesurant le nombre moyen de kilomètres parcourus par les camions par rapport au nombre de menuiseries expédiées. Ainsi le service logistique est en capacité de gérer précisément les affrètements de camions pour réaliser des tournées. « Dans cette même vision de proximité, pour les livraisons dans les grandes villes, un projet est en cours de réflexion à horizon 2022 », explique Delphine Piquard, « Les transporteurs rencontrent de nombreuses contraintes de livraisons liées à la circulation, aux accès difficiles aux chantiers, etc. Notre objectif c’est de mettre en place une plateforme logistique en petite couronne ; un endroit de stockage plus proche des clients finaux pour des livraison plus fréquentes. La région parisienne, notamment le quart Nord-Est entre Gennevilliers, Pantin et Montreuil, sera notre plateforme prototype avec une flotte de véhicules électriques ou au gaz naturel, nous permettant de réaliser des plus petites livraisons et plus fréquemment ». Ces plateformes serviront également de bureaux pour les conducteurs de travaux et accueilleront un stock avancé de quincaillerie. … ET DE LA TRANSFORMATION DIGITALE « La nécessité d’une stratégie de management de la chaîne logistique dans l’entreprise a depuis longtemps été intégrée par les dirigeants. Mais la transformation digitale a façonné un environnement logistique de plus en plus exigeant pour les entreprises, à tel point que l’on parle aujourd’hui de l’agilité de la supply chain » constate Delphine Piquard. Au-delà de permettre au Groupe Lorillard de gagner en performance, délais et production, la transformation digitale est, pour Delphine Piquard, un moyen de maintenir un flux d’information efficace entre les différents acteurs : fournisseurs, fabricants mais aussi les clients. C’est l’une de ses missions qu’elle s’attache à déployer depuis son arrivée au sein du Groupe en juillet 2020. Cette transformation digitale a débuté par la définition du processus et des modes opératoires communs pour tous les clients du Groupe (concessions, agences, artisans, etc.) afin d’harmoniser toutes les pratiques. « Pour ce faire, le principe réside en la mise en place d’une bonne communication entre les différents interlocuteurs. On établit des flux d’information et des notifications en temps réel. On définit des alertes pour déterminer les expéditions livrées ou retardées. Une communication efficace entre toutes les parties impliquées est impérative afin que le client puisse vivre une expérience positive » explique Delphine Piquard. En relation avec les entités commerciales, dans le cadre de la rédaction des cahiers des charges, et le service informatique, pour le développement des process informatiques, le service logistique a automatisé et informatisé la gestion des délais. « Désormais quand la commande est passée, le client reçoit un accusé de réception avec date. Et depuis mars dernier, si l’on rencontre un retard, un processus automatique d’email permet d’alerter le service Administration des Ventes qui prend contact avec le client ou le conducteur de travaux pour le prévenir. La prochaine étape consistera à avoir de la visibilité sur le suivi de la commande et de la livraison. Nous travaillons ce développement avec les transporteurs afin que ce flux d’information soit efficient d’ici 2022 ». Toutes ces évolutions induisent un changement dans les méthodes de travail mais l’automatisation des processus simplifie tout. L’un des exemples les plus parlant c’est la mise en place d’un QR code sur l’ensemble des menuiseries produites dans le Groupe. Effectif depuis mars 2021, ce QR Code simplifie les flux d’informations et permet tout à la fois de recommander un vitrage s’il est cassé, d’avoir accès aux données de la menuiserie ou encore d’ouvrir directement une demande de refabrication dans le cadre d’une non-conformité. Dernier projet pour fin 2021 : le process de gestion des travaux pour les conducteurs leur permettra, selon l’avancement du chantier, de demander la livraison des menuiseries, via leur Smartphone, quand ils en ont besoin grâce à un nouvel outil de planification. Cet outil permettra d’absorber la complexité de la gestion des différents sites ; les conducteurs de travaux des différentes entités du Groupe travaillant dans toute la France. Ils se sentiront également moins isolés et auront accès directement et temps réel aux informations de planification et de suivi de leur livraison. Opérer la transformation digitale d’un Groupe multi site est un challenge que Delphine Piquard et son équipe concrétisent. Au quotidien, ils occupent un rôle à la fois transversal et central au sein du Groupe. Leur travail implique l’encadrement, la coordination et l’animation des équipes logistiques sur chaque site. Et pour s’assurer de la satisfaction client, ils doivent en interne optimiser les processus afin de réduire les temps de production, maîtriser les délais et favoriser une gestion fluide des informations. A Chartres, aux côtés de Delphine Piquard, une équipe logistique de 15 personnes est à l’œuvre. Des recrutements sont en cours pour embaucher 2 ingénieurs supply chain qui seront en charge de la bonne mise en œuvre de tous les processus, en amont et en aval, sur les différents sites du Groupe. Plus d’information sur ces recrutements via le site Internet : http://www.lorillard.fr/recrutement/offres-d-emploi Partager la publication « DELPHINE PIQUARD, nommée nouvelle Directrice Supply Chain du Groupe Lorillard » &nbsp;
Il y a 4 ans et 4 jours

Le SNBVI contribue au Groupe de Travail Qualité de l'Enveloppe

Conformément aux annonces des Ministres de la Transition écologique et du Logement, le renforcement de l’enveloppe des bâtiments doit prévaloir car la « meilleure énergie est celle que l’on ne dépense pas ». Pour y parvenir, la RE2020 entend diminuer l’impact carbone de la construction des bâtiments et donner la priorité à la sobriété énergétique.Afin de valoriser les bâtiments qui anticiperont les étapes de la RE2020 ainsi que la prise en compte de critères nouveaux dans la préfiguration des bâtiments de demain, l’Etat a souhaité la mise en œuvre d’un Label de manière conjointe à la RE2020. Il n’est pas évident de se positionner sur l’architecture et le contenu d’un label accompagnant la RE2002 alors que les textes de loi de la réglementation ne sont pas encore publiés. Cependant le GTQE souhaite rappeler les points de vigilance à prendre en compte dans l’élaboration du Label afin que celui-ci puisse être un signe de soutien à l’innovation, à l’exemplarité des acteurs et surtout synonyme d’une enveloppe de qualité. Le Groupe de Travail Qualité de l’Enveloppe, animé par le Pôle Fibres-Energivie, est engagé en faveur de trois points principaux à prendre en compte dans l’élaboration d’un label ambitieux :1) Un BBio renforcéDans le cadre de l’élaboration de la RE2020, les derniers arbitrages gouvernementaux adoptés – sans unanimité – par le CSCEE en avril 2021 sur l’indicateur Bbio ont réduit les exigences de performance énergétique des petits collectifs et des maisons individuelles sans apporter de compensation pour les grands bâtiments. Il est, par conséquent, impératif de relever les ambitions dans le cadre du Label. A ce titre, le Groupe de Travail Qualité de l’Enveloppe soutient un renforcement généralisé de l’indicateur Bbio à RT2012-40%.Un indicateur Bbio ambitieux bénéficie au renforcement de l’enveloppe si et seulement si les points singuliers de l’enveloppe dont les ponts thermiques sont systématiquement traités via un maintien des garde-fous. L’article 31 de l’arrêté Exigences de la RE2020, relatif au traitement des ponts thermiques, révèle un manque d’ambition et ce, alors que les solutions techniques ont largement évolué durant la période d’application de la RT2012 et sont désormais compatibles avec l’ensemble des modes constructifs à un prix optimisé.Le Groupe de Travail Qualité de l’Enveloppe soutient l’instauration une valeur Psi L9 strictement inférieure à 0,4 W/ml-°K dans le cadre du Label.De plus, dans sa rédaction actuelle, l’article 31 présente des imprécisions concernant la notion de « conditions hivernales » qui pourraient porter atteinte à l’intégrité de l’enveloppe des bâtiments et à la santé des occupants. En effet, suivant l’hypothèse des températures extérieures et intérieures considérées dans certaines zones climatiques, cet article pourrait avoir comme conséquence le non-traitement des ponts thermiques des bâtiments et aboutir à des solutions constructives moins performantes que la RT2012. A ce titre le Groupe de Travail Qualité de l’Enveloppe recommande dans le cadre du label une température d’air de référence extérieure à -7°C, et une température d’air intérieure à +20°C, seule manière d’assurer la cohérence des exigences.2) Une méthode de suivi de la qualité des études à la réalisationLe CEREMA (Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement) a publié en avril 2021 les résultats d’une étude intitulée « Bâtiments démonstrateurs à basse consommation d’énergie – Enseignements opérationnels Evaluations 2012-2019 ». Cette étude présente un retour d’expérience national portant sur 166 bâtiments à basse consommation. L’enseignement principal mis en avant est que les performances attendues à la conception ne sont pas atteintes en exploitation. L’étude note l’enseignement suivant sur les parois opaques : « Parois opaques : Maîtriser les points singuliers en particulier les ponts thermiques pour limiter les déperditions. Optimiser la mise en œuvre de l'isolation et de l'étanchéité à l'air »Le CEREMA met en avant que la seule solution est de penser la performance à toutes les étapes et d’intégrer la notion de « coût global ».Le GTQE est en accord avec cette position et promeut depuis plusieurs années la mise en œuvre d’une méthode de suivi de la qualité telle que le commissioning.Extrait du Livre Blanc du GTQE - 2018 : « Le commissioning fixe simplement un cadre afin d’identifier les causes d’erreurs possibles et mettre en cohérence les actions […]. Pour être efficace, le commissioning doit être intégré dès la passation des marchés ».Extrait du Communiqué de Presse du GTQE - Novembre 2020 : « Le commissioning d’un bâtiment peut être compris comme une démarche de qualité globale qui a pour objectif de garantir la conformité des performances du bâtiment avec les documents contractuels ». LE GTQE recommande la mise en place d’un suivi de la performance énergétique par une procédure de commissioning obligatoire dans le cadre du label. Si cette proposition apparaissait trop ambitieuse, le commissioning serait rendu obligatoire à minima pour les typologies de bâtiments suivants : petite enfance, EHPAD, santé, enseignement. Il recommande également de mettre à jour les bibliothèques de bases de données de ponts thermiques à partir des configurations et des méthodes constructives actuelles.3) Contrôle de l’application de la RE2020Le GTQE soutient également un contrôle indépendant de l’application de la RE2020 afin que la réglementation soit réellement efficace et qu’aucun moyen ne permette de s’en échapper. Cette méthode doit être définie précisément, articulée avec le suivi de la qualité (commissioning) et adoptée sur tous les projets soumis à la RE2020.Le GTQE recommande de mettre en place une méthode de contrôle de l’application de la RE2020 que ce soit en déclaratif de calculs ou en performances réelles par les services de l’urbanisme des collectivités locales.Alors que l'État français a récemment été condamné pour son inaction climatique, il est nécessaire que le Label RE2020 se montre ambitieux et techniquement irréprochable. Il convient de rappeler que les bâtiments construits à partir de 2020 représenteront 30% du parc immobilier français en 2050. Par conséquent, sans des exigences strictes et renforcées, ils ne pourront pas respecter les ambitions de la Stratégie Nationale Bas Carbone et il sera impossible de sortir de la spirale des rénovations coûteuses des logements.
Il y a 4 ans et 4 jours

L'OPPBTP met à jour le Guide de préconisations de sécurité sanitaire

A l'heure où le déconfinement progressif du pays est en cours et où le risque épidémique reste élevé, l'enjeu principal est de faire en sorte que les entreprises et tous les salariés restent mobilisés sur l'absolue nécessité de se protéger contre la Covid-19. Cela passe notamment par la vaccination, encouragée dans le cadre de la stratégie vaccinale des autorités sanitaires, la possibilité de réaliser des autotests, et l'importance de la ventilation comme mesure essentielle de prévention.Ainsi, cette nouvelle version du guide intègre, en conformité avec les recommandations de l'État, les modifications suivantes :La vaccination des salariés et des employeurs est encouragée, dans le cadre de la stratégie vaccinale des autorités sanitaires. Cette vaccination repose sur le volontariat et le secret médical. Elle peut être réalisée par les services de santé au travail ; dans ce cas le salarié peut s'absenter sur ses heures de travail après avoir informé son employeur de son absence pour visite médicale, sans avoir à en préciser le motif. Les salariés en situation d'affection de longue durée bénéficient d'une autorisation d'absence pour cette vaccination. Dans tous les autres cas, les employeurs sont incités à faciliter l'accès des salariés à la vaccination. Le salarié est invité à se rapprocher de son employeur afin de déterminer par le dialogue la meilleure manière de s'organiser.Les entreprises peuvent mettre à disposition de leurs salariés, si elles le souhaitent, des autotests dans le respect des règles de volontariat et de secret médical et avec une information du salarié par un professionnel de santé.L'aération est une mesure essentielle de prévention. Il est donc fortement recommandé d'aérer par une ventilation naturelle ou mécanique en état de marche (portes et/ou fenêtres ouvertes autant que possible, idéalement en permanence si les conditions le permettent et au minimum 5 minutes toutes les heures). Une ventilation de la pièce par deux points distincts (porte et fenêtre par exemple) est à privilégier. Sinon, il faut s'assurer d'un apport d'air neuf adéquat par le système de ventilation fonctionnant correctement.L'OPPBTP rappelle l'importance de maintenir les gestes barrières, y compris le lavage des mains.« Notre vigilance collective sera le gage de réussite des différentes étapes de déconfinement. Des étapes qui devraient se traduire par de nouvelles versions du protocole sanitaire et du guide de l'OPPBTP les 9 et 30 juin prochains, incluant des assouplissements attendus des consignes sanitaires. » ajoute Paul Duphil, Secrétaire général de l'OPPBTP.Pour mémoire dans sa boîte à outils Covid-19, l'OPPBTP propose un choix d'affiches pour faciliter le respect des bons gestes sanitaires.Le guide de préconisations sanitaires est disponible sur le site internet de preventionbtp.fr.Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l'OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu'à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 y est disponible.
Il y a 4 ans et 5 jours

Changement de culture industrielle au SIAAP : DuPont Sustainable Solutions guide le site de Seine Aval vers l’excellence

Paris, le 19 mai 2021 – DuPont Sustainable Solutions (DSS), cabinet de conseil international leader dans la sécurité et la performance opérationnelle accompagne le SIAAP dans un projet de transformation majeure de sa culture industrielle, de son pilotage et de sa performance sécurité sur 3 ans. Organisme créé en 1970, le SIAAP / Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne transporte et dépollue chaque jour les eaux pluviales et industrielles ainsi que les eaux usées de 9 millions de franciliens de 4 départements (Paris, Seine Saint-Denis, Val de Marne et Hauts de Seine). Le SIAAP emploie 1700 agents de la fonction publique dans les 6 usines de dépollution de la région parisienne dont la plus importante d’Europe, Seine Aval dans les Yvelines. Sur 800 hectares, ce site historique du SIAAP, inauguré en 1940, fonctionne sur le principe des boues activées et fabrique du biogaz par méthanisation des boues. Malgré une modernisation récente de l’usine, le site de Seine Aval a connu quelques incidents industriels. Le dernier en date, un incendie dans l’unité de clarifloculation en juillet 2019, a conduit M. Jacques Olivier, Directeur Général du SIAAP, sous l’impulsion de la Secrétaire d’Etat, à lancer un appel d’offres pour réaliser un audit de sécurité industrielle indépendant. Remporté par DuPont Sustainable Solutions, ce dernier vise à maîtriser les risques liés à l’activité de l’usine afin d’assurer la continuité et la qualité de service de Seine Aval. &nbsp; Seine Aval, un site industriel sensible Compte-tenu de l’évolution de ses process de fabrication, le site de Seine Aval, basé à Achères (78), a été classé Seveso Seuil haut en 2010. Outre les dangers classiques de toute industrie, cette décision a été motivée par deux raisons essentielles : • la présence de biogaz susceptible de créer des atmosphères explosives, • et l’utilisation de réactifs chimiques qui, mélangés, génère parfois un nuage de chlore pouvant se disperser jusqu’à 2 kilomètres depuis son point de départ. « Disposant déjà d’une culture sécurité professionnelle, nous nous sommes efforcés d’améliorer notre sécurité industrielle suite à ce passage en Seveso seuil haut » souligne Jacques Olivier, Directeur Général du SIAAP. Le SIAAP a ainsi déployé à l’échelle du site une politique sécurité renforcée, encadrée par un plan particulier d’intervention protégeant les populations et l’environnement. Grâce à cette première démarche, des progrès ont été constatés mais ceux-ci n’étant pas suffisants, un audit de sécurité industrielle a été engagé. &nbsp; Un audit de sécurité industrielle mené par DSS autour de 5 thèmes majeurs Afin de cibler les risques et dimensionner les actions correctives, l’audit de sécurité industrielle mené par DuPont Sustainable Solutions a été décomposé en cinq thèmes majeurs qui ont fait l’objet de diagnostics approfondis : 1. prévention des risques d’incendie et d’explosion (ATEX /atmosphère explosive), 2. canalisations et capacités de fluides dangereux, 3. sécurité des installations électriques, 4. sécurité fonctionnelle, 5. gestion des interventions. « Pour nous permettre de définir les causes mais surtout d’engager les actions nécessaires pour progresser et se mettre à un niveau qui garantisse la sécurité de nos agents et des riverains de l’installation, nous avons décidé de changer de braquet » explique Jacques Olivier, Directeur Général SIAAP. « Nous voulions nous comparer aux meilleures pratiques industrielles et existantes dans le monde et l’offre de DSS nous a paru la plus pertinente » ajoute également Pierre Hodot, Directeur de la Sécurité SIAAP. Fondée sur l’héritage industriel de DuPont, l’approche de DSS s’appuie sur plus de 200 ans d’activité qui ont été codifiées sous forme de bonnes pratiques. Indépendant depuis un an, DSS met ainsi son savoir-faire au service de ses clients pour les aider à améliorer la sécurité des personnes au travail et viser l’excellence opérationnelle tout en s’adaptant à leurs besoins. Son approche intègre l’audit, le diagnostic, la formation, l’accompagnement et le coaching. « Nous créons, avec nos clients, de la résilience industrielle : moins d’accidents, plus de sécurité, et amélioration des performances opérationnelles par un meilleur management des actifs et des unités. Nous les conduisons vers un changement et des résultats durables à l’image de notre mission auprès du SIAAP, engagé dans cette dynamique » détaille Mathieu Leduc, Directeur DSS Europe. &nbsp; Un audit mené en toute transparence Malgré les conditions spécifiques dues à la crise sanitaire sur l’année 2020, l’audit s’est déroulé dans le planning initialement prévu en trois phases ; la première répondant aux objectifs du SIAAP à court terme et les suivantes présentant les actions à mener ultérieurement : • identifier les opportunités d’amélioration, s’aligner et s’engager sur la feuille de route sécurité développée par DSS, • la mettre en œuvre et renforcer le management de la sécurité industrielle pour un impact rapide, • maîtriser et ancrer les nouvelles pratiques pour garantir un changement durable. DSS a réalisé sur site plus de 150 interviews, sans compter l’analyse documentaire, la production des synthèses et des rapports. « L’audit s’est déroulé par une série d’interviews, de rencontres sur le terrain, d’observation de tâches, d’examens d’un certain nombre de documents au cours de comités de pilotage et de projets. Des ateliers de restitution par thématique étaient également organisés » précise Yann Bourbon, Directeur Seine Aval, SIAAP. De l’avis unanime de toutes les personnes impliquées à tous les niveaux de la hiérarchie de Seine Aval et de DSS, l’audit s’est déroulé dans un climat de confiance et de partage essentiel à sa réussite. « Choisir un partenaire bénéficiant d’une reconnaissance internationale a d’ailleurs facilité l’accueil des auditeurs par les agents de Seine Aval qui ont bien compris notre volonté d’obtenir, par tous les moyens, une lecture la plus objective possible de notre niveau de culture sécurité » estime Jacques Olivier, Directeur Général SIAAP. Grâce à un audit aussi approfondi, le SIAAP a pu prendre conscience de sa situation actuelle et des leviers sur lesquels il allait devoir travailler. &nbsp; Une prise de conscience collective qui ouvre la voie à un programme de transformation tourné vers l’excellence Véritable révélation pour l’ensemble des équipes de Seine Aval, cet audit a permis une prise de conscience collective et d’inscrire la sécurité au cœur de toutes les instances de pilotage. Le SIAAP a ainsi décidé d’initier avec son partenaire DuPont Sustainable Solutions une transformation couvrant à la fois le renforcement de la sécurité industrielle et la mise en oeuvre des recommandations issues de l’audit, et conduisant à une évolution profonde de sa culture managériale industrielle. Ce projet de transformation se déroulera sur 3 ans, adressera principalement le site de Seine Aval et certaines fonctions support au siège, et couvrira les axes suivants : • le développement de l’excellence industrielle via la refonte du Système de Gestion Opérationnelle du Site et de toutes ses interfaces, • le renforcement du Plan de Continuité de Service du SIAAP, adressant les causes majeures d’arrêt d’activité et leurs scénarios d’anticipation, de prévention et de reprise d’activité, • La mise en œuvre de changements organisationnels visant à renforcer le pilotage industriel des activités de Seine Aval et de toutes ses interfaces, • l’amélioration de la conscience des risques industriels de l’ensemble du personnel de Seine Aval, en s’appuyant sur les dernières recherches en neuro sciences relatives notamment à la prise de décision, • le développement de la culture managériale industrielle de l’ensemble des encadrants du Site et de ses interfaces, • l’amélioration de la gestion des risques et de la performance sécurité du site, en renforçant notamment la conformité de certains équipements techniques, processus et procédures sécurité associées « Les conclusions de l’audit sont à la hauteur du travail effectué conjointement par le SIAAP et DuPont Sustainable Solutions. Nous avons désormais un socle solide pour parvenir à l’excellence en matière de gestion des risques et de sécurité. Nous comptons atteindre cet objectif rapidement pour pouvoir renforcer la sécurité des salariés et des riverains du site. Ainsi, nous affichons clairement notre engagement de ce que le SIAAP doit être en tant qu’industriel responsable vis-à-vis de toutes les parties prenantes, à commencer par les franciliens. Renforcer le pilotage industriel, développer la conscience des risques, décliner de façon opérationnelle le Plan de Continuité de Service, améliorer la gestion des risques, voilà autant de défis qui vont prendre forme notamment au travers d’un changement de culture sécurité ainsi que d’une évolution managériale industrielle significative au sein du site de Seine Aval » déclarent Jacques Olivier, Directeur Général du SIAAP et Philippe Leininger, Directeur DSS France. Pour lire le cas détaillé de l’audit industriel et écouter le témoignage des dirigeants du SIAAP, veuillez consulter le site www.consultdss.fr
Il y a 4 ans et 11 jours

OpenBlue Healthy Buildings rend les bâtiments plus sûrs pour les salariés qui réintègrent leur lieu de travail

Combinant 135 ans d'expertise dans les solutions pour le bâtiment avec une technologie de pointe, ces solutions protègent et donnent confiance aux occupants et aux visiteurs des bâtiments, minimisent les perturbations en cas de test COVID-19 positif et accélèrent la ré-occupation des bâtiments en automatisant et en rationalisant les protocoles de sécurité. En outre, les clients pourront maximiser les objectifs d'occupation tout en maintenant le niveau de sécurité, comprendre comment leurs espaces sont utilisés et les réorganiser facilement sur la base de données informatiques, et aider les employés à être plus productifs lorsqu'ils sont au bureau.Les solutions OpenBlue Healthy Buildings, qui se présentent comme une suite intégrée mais peuvent également être déployées de manière modulaire, comprennent une combinaison de matériels et de logiciels - tels que des équipements intelligents, des capteurs numériques, des systèmes de sécurité, des caméras, des moniteurs, des outils d'analyses et des tableaux de bord, des dispositifs de contrôle des infections et d'autres dispositifs connectés - ainsi qu'une application mobile pour gérer les espaces et les expériences des occupants. La suite Healthy Buildings est développée en utilisant les principes de « Privacy by Design »** et prend en charge la protection des données par défaut.Les solutions pour réintégrer, se réapproprier et réinventer comprennent :Traçabilité des contacts. Les capacités de recherche automatisée des contacts constituent l'élément fondamental de cette suite de solutions et alimentent d'autres applications. De manière générale, ces solutions permettent aux responsables des bâtiments et aux employeurs de comprendre les risques d'exposition des occupants de ceux-ci. En cas de test positif d'un occupant, le système peut tracer rétroactivement les contacts de personne à personne et de personne à espace pour fournir un support presque immédiat aux équipes des ressources humaines et des services généraux afin de joindre les travailleurs à risque, de s'occuper des zones potentiellement touchées et de prendre des mesures préventives pour minimiser la propagation. En outre, la traçabilité des contacts assure la tranquillité d'esprit des employés dans le cas où une personne a été testée positive.Suivi de la distanciation sociale. OpenBlue Healthy Buildings surveillera la distanciation sociale en temps réel, en envoyant des alertes de violation si les occupants sont trop proches les uns des autres ou si les espaces sont trop occupés, ce qui permettra de faire des rapports de conformité détaillés et de modifier les comportements en temps réel pour prévenir la propagation de l'infection.Caméras thermiques. Afin d'assurer une approche holistique de la sécurité, OpenBlue Healthy Buildings comprend une solution technologique de contrôle de la température qui prend des mesures pendant qu'un individu marche pour permettre des entrées et des sorties fluides et sans contact, et participer à éviter la propagation des infections. Planification de scénarios. La solution détermine de manière proactive les liens entre les personnes et les espaces, prédisant les impacts d'éventuels événements négatifs et permettant d'intervenir avant toute perturbation et de réduire les risques.Contrôle des infections. OpenBlue Healthy Buildings crée une approche par couches pour la connectivité entre les différents systèmes qui participent au contrôle des infections. Ces systèmes comprennent, entre autres, des systèmes qui réduisent les pathogènes intérieurs et aéroportés en augmentant la ventilation de l'air extérieur, en désinfectant l'éclairage aux ultraviolets C (UV-C) et en surveillant à distance la pressurisation des pièces, les taux de renouvellement d'air, l'humidité et la température pour créer un air plus sain.Cartographie et surveillance de l'utilisation de l'espace. L'application mobile OpenBlue fournit des vues cartographiques en direct de l'état de la désinfection, des données d'occupation et des recommandations pour naviguer dans le bâtiment en toute sécurité afin de maximiser et de surveiller l'utilisation des espaces. Le système est indépendant de la plateforme et fonctionne de manière transparente avec les systèmes de gestion des bâtiments existants pour soutenir des activités telles que la réservation de salles de conférence ou de postes de travail individuels avec indication de l'état d'assainissement.Amélioration de la communication et des expériences. L'application mobile permet de faire participer les employés et les occupants en temps réel en fournissant des mises à jour sur les espaces partagés et les nouvelles politiques, le parcours recommandé pour éviter les zones encombrées, la disponibilité des espaces et les détails de sécurité, le téléphone comme accès au badge, la réponse aux appels d'urgence, le support des horaires de rotation, l'attestation de santé et les options d'auto-déclaration, et bien plus encore. Ces éléments augmentent les synergies entre la gestion des bâtiments, les ressources humaines et les employés afin de fournir des informations en temps réel et une plus grande transparence, tout en favorisant la productivité et les fonctions d'expérience, telles que l'intégration du calendrier et le contrôle du confort."Alors que de plus en plus de bâtiments accueillent à nouveau leurs employés, il est essentiel que nous déployions une technologie de pointe associée à notre expertise en matière de bâtiments pour créer les espaces et les lieux les plus intelligents et les plus sûrs pour les occupants et les visiteurs. Nous innovons avec nos partenaires et nos clients pour créer des technologies qui transformeront les bâtiments et les espaces, des caméras thermiques aux capacités de traçage des contacts : OpenBlue est une solution intégrale."Mike Ellis, vice-président exécutif, directeur du digital et de la clientèle, Johnson ControlsLa plateforme OpenBlue de Johnson Controls - lancée en juillet 2020 - a été conçue dans un souci d'agilité, de flexibilité et d'évolutivité, pour permettre aux bâtiments de devenir des espaces dynamiques. En exploitant la plateforme, les clients pourront gérer les opérations de manière plus systématique, en fournissant des bâtiments qui ont de la mémoire, de l'intelligence et une identité unique. Pour en savoir plus sur OpenBlue Healthy Buildings, vous pouvez consulter ce site.
Il y a 4 ans et 14 jours

Proposition de loi LREM à l'Assemblée mardi concernant la parité et les quotas en entreprise

Réécrit en commission au Palais Bourbon, l'article 7 de ce texte appelle les entreprises de plus de 1.000 salariés à une proportion d'au moins 30% de femmes chez les "cadres dirigeants et membres des instances dirigeantes" en 2027, et de 40% en 2030.Ces entreprises moyennes ou grandes devront dans un premier temps publier "chaque année les écarts éventuels de représentation entre les femmes et les hommes parmi les cadres dirigeants".En 2030, "dans un délai" maximum "de deux ans", elles devront se mettre en conformité avec la règle de 40% de cadres dirigeantes, sous peine de se voir "appliquer une pénalité financière", plafonnée à 1% de la masse salariale. Le montant, jugé "disproportionné" par le "marcheur" Jean-René Cazeneuve, fait débat.Avant une éventuelle sanction, l'inspection du travail tiendra toutefois compte du volontarisme des entreprises et de leurs secteurs d'activité, certains comme BTP et ingénierie étant particulièrement masculinisés.Porté par la députée Marie-Pierre Rixain (LREM), présidente de la délégation aux droits des femmes à l'Assemblée, ce texte est débattu dix ans après l'adoption de la loi Copé-Zimmermann, qui imposait 40% de femmes dans les conseils d'administration des entreprises.La loi a permis aux femmes d'occuper en 2019 43,6% des sièges d'administrateurs au sein des 120 plus grandes sociétés cotées en Bourse, contre un peu plus de 26% en 2013.L'attention se porte désormais sur leur place, encore faible, dans les comités exécutifs et de direction. "Il faut des quotas pour renverser la table" car "on ne peut pas se contenter d'avoir 20% de femmes dans les postes de cadres dirigeants", avait martelé Elisabeth Moreno, ministre chargée de l'Egalité entre les femmes et les hommes, en mars.Au Medef, le président de l'organisation patronale, Geoffroy Roux de Bézieux, avait déploré le manque de femmes dans ces instances dirigeantes, sans réclamer l'élargissement de la loi de 2011. Pour des postes sans rotation automatique, "il faut que les gens démissionnent ou qu'ils soient licenciés. Si on licencie des hommes pour faire de la place aux femmes, il y a un problème de discrimination" et de "légalité", a-t-il argué."C'est un faux argument, car le tempo est long et permet aux entreprises de revoir leur dynamique de recrutement et de promotion", répond Marie-Pierre Rixain à l'AFP."Ruissellement"En commission, certains élus, notamment à gauche, ont plaidé pour que les mesures s'appliquent aux entreprises dès 250 ou 500 salariés, ou que le quota de femmes soit relevé à 50%. Mais les LREM ne veulent pas mettre sous pression les petites entreprises et espèrent un effet de "ruissellement" des grandes sur les autres, selon la députée Carole Grandjean.La majorité mise sur une adoption avant la fin de l'année d'un texte poussé par le patron des députés "marcheurs" Christophe Castaner.Outre les quotas, il comprend des "objectifs de mixité" dans le soutien aux entreprises de la banque publique BpiFrance, alors que les femmes ont "30% de chances en moins" que les hommes d'obtenir des financements.Il vise en outre à "lutter contre les biais de genre" dans les choix professionnels, quand les femmes ne sont que 26% en écoles d'ingénieur, grâce à un "index de l'égalité" dans les établissements du supérieur et plus de mixité des jurys.Il prévoit "l'obligation" de verser salaire ou prestations sociales sur un compte bancaire "dont le salarié est le détenteur ou le codétenteur".Ce n'est que le 13 juillet 1965 que le Parlement a voté une loi autorisant les femmes à ouvrir un compte en banque à leur nom et à travailler sans le consentement de leur mari, rappelle la députée Rixain, qui entend par son texte "faire des femmes un acteur économique à part entière".La proposition de loi s'adresse aussi aux 85% de femmes à la tête de familles monoparentales, via formation et places en crèche réservées.Enfin, les députés ont prévu de faciliter l'accès au télétravail des femmes en fin de grossesse.
Il y a 4 ans et 18 jours

L'entrevous Deltivoutain + CI d'Edilteco® France reçoit un avis technique du CSTB

Cet Avis Technique, document de référence pour les professionnels de la construction, certifie la bonne conception de l’entrevous, sa conformité aux exigences de chaque chantier, et garantit la durabilité ainsi que l’efficacité du correcteur de pont thermique.Un système ingénieuxHabituellement, les rupteurs sont des éléments indépendants, des pièces supplémentaires aux entrevous que les professionnels ajoutent à leur stock. Pour simplifier cela, DELTIVOUTAIN + CI a été conçu avec un rupteur intégré en sous face et sécable, de manière à faciliter la gestion des stocks et la préparation des chantiers. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN+ CI intègre dès sa fabrication un correcteur de pont thermique sécable (UP 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main.Parfaitement découpé à la forme de chaque entrevous, le rupteur vient ensuite se fixer sur la partie supérieure du hourdis.Conçu en polystyrène (PSE), une fois mis en œuvre, le rupteur va réduire le pont thermique de la liaison entre le plancher et le mur dans le cas d’une isolation par l’intérieur.Le rupteur sécable sur chaque entrevous corrige le pont thermique créé notamment par la continuité des éléments en béton de la dalle vers le chaînage du mur. Il sépare la partie courante du plancher avec celle du chaînage périphérique et l’interruption locale de la dalle de répartition sur tout ou partie de son épaisseur.Si l’utilisation du rupteur n’est pas nécessaire, la partie sécable reste en place et ne gêne pas la mise en œuvre de l’entrevous. Ce concept innovant de produit « 2 en 1 » permet aux artisans de ne pas avoir à gérer de stock de rupteurs sur leur chantier et génère beaucoup moins de déchets.Une mise en oeuvre rapide et pratiqueLa mise en œuvre de DELTIVOUTAIN + CI est similaire à celle des entrevous en polystyrène classiques, mais plus économique car elle ne nécessite pas de poutrelles périphériques et ne requiert pas de faux entraxe.En effet, l’entrevous de départ est un entrevous complet, non découpé, qui se pose en rive de plancher. Le rupteur sécable va venir se positionner au-dessus de l’entrevous de manière à épouser le chanfrein et assurer une parfaite correction du pont thermique dans le sens longitudinal, en rive du plancher. Il n’est donc pas nécessaire de poser une poutrelle en périphérie du plancher comme lors de l’utilisation de rupteurs longitudinaux « traditionnels ».Dans le sens transversal, de façon identique, le rupteur sécable sera recoupé pour être adapté à la largeur de l’entrevous, afin de juste le recouvrir. Il sera positionné sur la face supérieure afin d’assurer une correction du pont thermique en about de plancher.Afin de garantir le maintien des performances mécaniques, les entrevous ont une épaisseur de corps suffisante. En finalité, une seule découpe sera nécessaire pour la pose de l’entrevous d’arrivée, qui comme celui de départ, sera posé en rive de plancher, sans ajout de poutrelle.L’utilisation d’ancres plastiques sera nécessaire pour assurer le blocage des correcteurs de ponts thermiques lors du coulage du béton de la dalle.La livraison des poutrelles est systématiquement accompagnée d’un plan de préconisation de pose qui fournit les informations nécessaires à la mise en place des rupteurs.Caractéristiques techniquesLargeur du rupteur en partie haute : 50 mmUp 0.27 à 0,15Epaisseur des planchers compatibles : 17 – 20 - 25mm (hauteurs coffrantes intégrant 5 mm de béton)Entraxe des poutrelles des planchers compatibles :600 - 630/640 -700 mmLongueur des pièces CI : 1250 mm à recouper sur chantierPSE Certifié ACERMIDestiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d'assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l'isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en oeuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation.Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d'une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l'économie d'éléments structurels devenus inutiles
Il y a 4 ans et 20 jours

Karinne Bidaud, première femme franchisée de FHV, traverse la crise sanitaire

Portrait de Karinne Bidaud, première femme franchisée de FHVDe formation commerciale, Karinne a travaillé pendant de longues années dans le commerce, en grande distribution puis dans le secteur de l’animalerie. Elle a toujours été attirée par les métiers du bâtiment, un secteur qui ne compte que 12,4% de femmes selon les chiffres de 2019 de la Fédération Française du Bâtiment.Élue à la CCI et membre d’une association de chefs d’entreprise, Karinne décide de se lancer. Pour elle, le choix de la ventilation, un métier peu connu, s’est imposé comme une évidence : « Au cours de ma carrière, j'ai été amenée à réfléchir sur la démarche RSE des entreprises, sur leur impact écologique, sur le bien-être au travail et sur les problématiques liées aux économies d’énergie ».Séduite par le professionnalisme de l’enseigne et les valeurs de son fondateur, Karine se forme au siège de FHV et ouvre l’agence de Niort en 2020.Une agence de proximité dynamiqueTenace, organisée et enthousiaste, Karinne a mis les bouchées doubles pour démarrer son activité en pleine crise sanitaire. Elle s’est entourée d’opérateurs pouvant intervenir seuls ou en binôme dans les Deux-Sèvres et la Vienne.L’agence compte déjà de nombreux clients : des restaurateurs, industriels, collectivités, syndics de copropriété, petites et grandes entreprises de tous secteurs d’activité. Ainsi que des particuliers, qui font de plus en plus appel à FHV pour purifier leur air intérieur. L’agence FHV de Niort est située au 451, avenue de Paris.La surveillance de la qualité d’air intérieur : focus sur les nouveaux services de FHVEn 2013, les ministères de l’Environnement et de la Santé ont lancé le Plan d’actions sur la qualité de l’air intérieur. FHV accompagne les ERP dans l’application de ce plan qui vise à améliorer la qualité de l’air dans les espaces clos avec ses nouveaux services de surveillance de la qualité de l’air intérieur.Les agences de France Hygiène Ventilation ont ainsi mis en place un service d’accompagnement en trois étapes :Évaluation des moyens d’aération. Le technicien FHV vérifie les installations de ventilation naturelle et mécanique en prenant en compte la date de construction du bâtiment, les travaux de rénovation effectués et les caractéristiques des ouvrants.Remise d’un rapport détaillé. Après la visite, l’intervenant remet un rapport détaillé au chef d’établissement, en lui expliquant les diverses données recueillies et ses observations. Il présente ensuite une série d’actions à mettre en place pour mettre l’établissement en conformité avec la loi Grenelle II. Ces actions peuvent être, par exemple, l’application de gestes quotidiens, le remplacement des produits d’entretien ou le nettoyage complet des systèmes de VMC.Formation au guide pratique et aux fiches d’autodiagnostic. FHV met à la disposition de ses clients un guide et des fiches qui facilitent l’application du Plan d’actions sur la qualité de l’air intérieur. Pour orienter ses clients, FHV propose un accompagnement sur mesure à l’utilisation de ces documents essentiels.Les équipes de FHV peuvent en outre effectuer un suivi personnalisé grâce à des capteurs connectés, développés par FHV, qui mesurent le taux de pollution dans l’air intérieur de l’établissement. Une fois le mois d’audit écoulé, elles remettent un rapport détaillé et proposent des conseils et des solutions pour améliorer la qualité de l’air.La purification de l’air intérieur, une priorité sanitaireLes équipes de FHV assurent également un service d’assainissement de l’air intérieur qui participe activement à l’élimination des composés organiques volatils, bactéries, germes, moisissures, odeurs et particules.FHV propose des purificateurs d’air nouvelle génération ultra-performants qui purifient naturellement l’air ambiant et évitent la propagation de micro-organisme. Les agences offrent un service clé en main qui comprend la mise en service de l’appareil et sa maintenance tout au long de l’année.
Il y a 4 ans et 24 jours

RESISTO de Sylvania : une gamme complète de luminaires étanches tout simplement irrésistible

Dans les parkings, zones de stockage, entrepôts et sites industriels, les solutions d’éclairage sont soumises à rude épreuve de par leur exposition aux chocs et à la poussière. Pour s’adapter à ces environnements, Sylvania lance RESISTO, une gamme complète de luminaires étanches développée en Allemagne. Riche de plus de 45 références, elle allie hautes performances et facilité d’installation. RESISTO, une offre irrésistiblement riche Avec plus de 45 références, la gamme RESISTO se décline dans de nombreuses versions pour répondre à tous les besoins : • trois dimensions (600, 1200 et 1500 mm), • trois températures de couleur (3000, 4000 et 6500 K) dont l’une (3000 K) permet d’être en conformité avec l’arrêté du 27 décembre 2018 relatif à la prévention, à la réduction et à la limitation des nuisances lumineuses dans les applications de type parkings semi-couverts, • une offre de flux lumineux allant de 1.600 à 9.700 lm, • et toujours la possibilité de proposer un produit sur-mesure adapté à une demande spécifique. RESISTO, à chaque besoin une solution de gestion d&rsquo;éclairage Pour une performance énergétique optimale, et s’adapter à toutes les exigences, Sylvania propose les luminaires étanches RESISTO avec 3 systèmes de gestion d’éclairage, de la solution la plus simple à la plus avancée : . avec détection à hyperfréquence, RESISTO MW s’allume uniquement lorsqu’il détecte un mouvement. Il peut également prendre en compte le niveau d’éclairage naturel pour ne s’allumer que si ce dernier est insuffisant. Autre atout, grâce à une installation possible en « maître – esclave », un luminaire équipé du capteur MW peut en contrôler jusqu’à 2 autres sans capteur. . en version SylSmart Standalone pour une gestion complète en Bluetooth via une application mobile dédiée (création de groupes de luminaires, temporisations, horaires d’allumage, niveaux d’intensité &#8230;). . en version SylSmart Standalone PIR à laquelle s’ajoute, en plus de tous les avantages offerts par SylSmart Standalone, la détection de mouvement et la prise en compte de la lumière naturelle. De quoi garantir un éclairage fiable et éco-énergétique en toutes circonstances ! RESISTO, des luminaires irrésistiblement faciles à poser La platine LED et la vasque sont fixées ensemble et permettent ainsi un accès rapide et direct au système de connexion. Grâce à des étriers inox coulissants, des clips de fixations et un connecteur rapide et repiquable LiLo (Loop-in Loop-out), l’installation est simple et facile, assurant ainsi un véritable gain de temps sur les chantiers. RESISTO, une gamme irrésistiblement performante Spécialement développés en Allemagne par le centre R&D de Sylvania d’Erlangen, les luminaires LED étanches de la gamme RESISTO bénéficient d’une conception d’une grande robustesse. Leur corps en polycarbonate et leur diffuseur en polycarbonate traité anti-UV leur confèrent une protection IP66 et IK08. Pouvant fonctionner sur des plages de température entre -20° et +40°C, RESISTO offre une durée de vie de 69.000 heures (L80B20). Dans sa version haute performance, il atteint une efficacité lumineuse jusqu’à 161 lm/W pour fournir un éclairage agréable et homogène (SDCM
Il y a 4 ans et 26 jours

Quels sont les frais liés à la micro station d’épuration?

Lorsque que vous décidez d’effectuer un investissement relativement conséquent comme c’est le cas avec une micro station d’épuration, un certain nombre de questions vous viennent à l’esprit. Parmi les questions fréquentes lors de ce type d’achat il y a l’interrogation sur les frais liés à la micro station d’épuration. Dans cet article nous allons vous indiquer les divers types de frais liés à cet équipement. Ils se divisent en quatre grandes parties. Les frais d’achat Dans un premier temps, le montant le plus élevé concernant la micro station d’épuration est bien évidemment le prix d’achat du produit. Ce tarif est variable, il dépend notamment de la taille de la micro station (il existe actuellement 3 différents modèles, les prix varient entre 5 000€ et 9 000€ environ), de la marque proposée (il en existe une petite dizaine sur le marché français à l’heure actuelle) et du type de micro station (fonctionnement à culture fixée, à lit fluidisé ou à réacteur biologique séquentiel). Les frais de pose Dans la majeure partie des cas, les frais d’installation sont compris dans le prix d’achat. En effet, la pose nécessite les compétences d’un professionnel. Néanmoins, concernant la préparation du terrain, peu de frais sont à prévoir, il est parfois nécessaire d’effectuer un épandage du terrain mais cela n’est pas obligatoire. Vous trouverez sur ce guide un comparatif des travaux à effectuer entre la fosse toutes-eaux classique (l’ancienne appellation étant la « fosse septique ») et la micro station : https://fosses-septiques.fr/micro-station . Vous verrez qu’il y a 18 types de travaux pour la première et seulement 5 pour la seconde. L’investissement de départ qui peut paraître plus élevé, à savoir l’achat de l’équipement, est largement compensé par la simplicité de l’installation. Les frais d’entretien et de maintenance Il est important de prendre conscience des frais d’entretien et de maintenance du dispositif de traitement des eaux. Une vidange annuelle doit être réalisée tous les 6 mois à an selon le type de machine et il est nécessaire que cette vidange soit réalisée par un professionnel. Cette opération engendre donc des frais supplémentaires. Les tarifs liés à cette intervention dépendent du prestataire il faudra compter en moyenne 400€ pour une vidange complète. A noter néanmoins que plus votre cuve sera de grande dimension, moins la vidange sera fréquente. Concernant le risque de panne, bien que peu élevé, il est à prendre en compte ainsi que le coût des pièces à renouveler si cela est nécessaire. Une micro station d’épuration fonctionne grâce à l’électricité, la consommation énergétique de ce dispositif n’est que très peu élevé puisqu’il correspond à une trentaine d’euros à débourser par an. Les frais de certification du produit par la SPANC La SPANC (Service Public d’Assainissement Non Collectif) intervient dans un premier temps lors de l’installation de la micro station d’épuration. L’objectif de cette intervention est de permettre à la SPANC de certifier votre dispositif (il en résultera la délivrance d’un certificat de conformité), cette étape obligatoire est facturée à l’acquéreur, il faudra compter environ 180€. A noter également que la SPANC intervient aussi tous les 4 ans afin de vérifier si le dispositif de traitement de l’eau est toujours fonctionnel, cet opération est également payante et à la charge du propriétaire, dans ce cas de figure il faudra compter environ 150€. &nbsp;
Il y a 4 ans et 27 jours

Réforme RGE : quel impact sur l'offre de qualification de Qualifelec ?

Nouvelles catégories de travaux, nouveaux référentielsDès janvier 2021, les nouvelles catégories de travaux ont été mises à jour sur les certificats RGE des entreprises qualifiées. Une communication personnalisée leur a été adressée. Les nouvelles catégories de travaux couvertes par nos qualifications sont les suivantes :Radiateurs électriques, dont régulationVentilation mécaniquePompe à chaleur : chauffageChauffe-eau thermodynamiqueNotre nomenclature reprend les intitulés de travaux de l'Ademe, afin de garantir un positionnement pertinent des entreprises et une meilleure lisibilité des certificats de qualification par la maîtrise d'ouvrage.Dans la perspective du renforcement des contrôles (voir plus bas), les catégories de travaux « Radiateurs électriques, dont régulation » et « Ventilation mécanique » sont considérées comme « non-critiques » alors que « Pompe à chaleur : chauffage » et « Chauffe-eau thermodynamique » sont réputées « critiques ». Afin de faciliter les démarches de toute entreprise désireuse d'obtenir la mention RGE, Qualifelec a conçu deux référentiels distincts :un référentiel RGE pour les catégories de travaux non-critiques (« Radiateurs électriques, dont régulation » et « Ventilation mécanique »)un référentiel RGE pour les catégories de travaux critiques (« Pompe à chaleur : chauffage » et « Chauffe-eau thermodynamique »)Renforcement de contrôlesL'un des objectifs de la réforme RGE est de s'assurer de la qualité des travaux à travers le renforcement des contrôles qui s'appuie sur deux nouveaux principes : la sélection aléatoire des chantiers audités (pour toutes les entreprises) et l'organisation de deux audits au lieu d'un seul (seulement pour les catégories de travaux critiques).Concernant la sélection aléatoire des chantiers audités, en tant qu'organisme de qualification nous devons constituer un répertoire de cinq chantiers RGE par entreprise pour réaliser ces audits aléatoires. Dans cette perspective, nous pouvons demander la transmission des données des chantiers déclarés auprès des administrations de l'Etat, l'ANAH, et la SGFGAS. Les deux audits pour les catégories de travaux critiques sont réalisés au cours du cycle de qualification, le premier audit dans les 24 mois qui suivent l'attribution du label RGE. Les catégories de travaux non critiques restent soumises à un seul audit. En cas de non-conformité majeure, telle que définie dans les grilles d'audit, un nouvel audit pourra être déclenché par l'organisme de qualification. Un complément de formation de l'entreprise pourra également être exigé.Par ailleurs, la réforme RGE prévoit également que l'organisme de qualification puisse agir en cas de signalement d'une entreprise ou de réclamation d'un tiers. Les modalités d'actions de l'organisme de qualification sont graduelles et peuvent aller jusqu'au retrait de la qualification.Élargissement de l'offre de qualificationAfin d'être aligné avec les nouveautés induites par la réforme RGE, Qualifelec a élargi son offre de qualifications permettant d'obtenir le label :La mention RGE avec la catégorie de travaux « Radiateurs électriques, dont régulation » peut être obtenue avec les qualifications Chauffage Electrique, Installations Electriques Logement Commerce Petit Tertiaire et Moyen Gros Tertiaire Industrie, Maintenance des Installations Electriques, Courants Faibles Electriques Logement Commerce Petit Tertiaire et Moyen Gros Tertiaire Industrie (avec le domaine Gestion Technique)La mention RGE avec la catégorie de travaux « Ventilation mécanique » peut être obtenue avec les qualifications Ventilation, Installations Electriques Logement Commerce Petit Tertiaire et Moyen Gros Tertiaire Industrie, Maintenance des Installations Electriques, Courants Faibles Electriques Logement Commerce Petit Tertiaire et Moyen Gros Tertiaire Industrie (avec le domaine Gestion Technique)La mention RGE avec la catégorie de travaux « Pompe à chaleur : chauffage » peut être obtenue avec la qualification Pompe À ChaleurLa mention RGE avec la catégorie de travaux « Chauffe-eau thermodynamique » peut être obtenue avec les qualifications Pompe À Chaleur et Chauffe-Eau Thermodynamique
Il y a 4 ans et 35 jours

L’entrevous « Deltivoutain + CI » d’EDILTECO® France reçoit un avis technique du CSTB et la reconnaissance des professionnels du btp avec le label Sageret

« DELTIVOUTAIN + CI » – pour Correcteur Intégré – est un entrevous avec un rupteur intégré permettant de limiter les ponts thermiques. Brevetée, cette solution bénéficie aujourd’hui d’un Avis Technique du CSTB délivré par le Groupe Spécialisé n° 20 « Produits et procédés spéciaux d’isolation » et le Groupe Spécialisé n° 3.1« Planchers et accessoires de plancher » qui ont examiné respectivement ce procédé. Cet Avis Technique, document de référence pour les professionnels de la construction, certifie la bonne conception de l’entrevous, sa conformité aux exigences de chaque chantier, et garantit la durabilité ainsi que l’efficacité du correcteur de pont thermique. De leur côté les professionnels du BTP ont plébiscité cette innovation par le biais de la 9ème édition du concours Sageret, qui vise à élire les meilleurs produits du BTP. Les professionnels ont décerné à EDILTECO® France le label « Élu innovation par les professionnels du BTP », dans la catégorie « Structure, Façade, Maçonnerie », pour le DELTIVOUTAIN + CI. Ce concours qui distingue et récompense les produits et les matériels les plus innovants dans les secteurs du bâtiment et des travaux publics, est, pour EDILTECO®, un véritable gage de reconnaissance de la qualité et des performances de ses produits par ses pairs. C’est également une distinction qui salue la force novatrice de l’entreprise en matière technique et technologique. UN SYSTEME INGENIEUX Habituellement, les rupteurs sont des éléments indépendants, des pièces supplémentaires aux entrevous que les professionnels ajoutent à leur stock. Pour simplifier cela, DELTIVOUTAIN + CI a été conçu avec un rupteur intégré en sous face et sécable, de manière à faciliter la gestion des stocks et la préparation des chantiers. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN + CI intègre dès sa fabrication un correcteur de pont thermique sécable (UP < 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main. Parfaitement découpé à la forme de chaque entrevous, le rupteur vient ensuite se fixer sur la partie supérieure du hourdis. Conçu en polystyrène (PSE), une fois mis en œuvre, le rupteur va réduire le pont thermique de la liaison entre le plancher et le mur dans le cas d’une isolation par l’intérieur. Le rupteur sécable sur chaque entrevous corrige le pont thermique créé notamment par la continuité des éléments en béton de la dalle vers le chaînage du mur. Il sépare la partie courante du plancher avec celle du chaînage périphérique et l’interruption locale de la dalle de répartition sur tout ou partie de son épaisseur. Si l’utilisation du rupteur n’est pas nécessaire, la partie sécable reste en place et ne gêne pas la mise en œuvre de l’entrevous. Ce concept innovant de produit « 2 en 1 » permet aux artisans de ne pas avoir à gérer de stock de rupteurs sur leur chantier et génère beaucoup moins de déchets. &nbsp; UNE MISE EN OEUVRE RAPIDE ET PRATIQUE La mise en œuvre de DELTIVOUTAIN + CI est similaire à celle des entrevous en polystyrène classiques, mais plus économique car elle ne nécessite pas de poutrelles périphériques et ne requiert pas de faux entraxe. En effet, l’entrevous de départ est un entrevous complet, non découpé, qui se pose en rive de plancher. Le rupteur sécable va venir se positionner au-dessus de l’entrevous de manière à épouser le chanfrein et assurer une parfaite correction du pont thermique dans le sens longitudinal, en rive du plancher. Il n’est donc pas nécessaire de poser une poutrelle en périphérie du plancher comme lors de l’utilisation de rupteurs longitudinaux « traditionnels ». Dans le sens transversal, de façon identique, le rupteur sécable sera recoupé pour être adapté à la largeur de l’entrevous, afin de juste le recouvrir. Il sera positionné sur la face supérieure afin d’assurer une correction du pont thermique en about de plancher. Afin de garantir le maintien des performances mécaniques, les entrevous ont une épaisseur de corps suffisante. En finalité, une seule découpe sera nécessaire pour la pose de l’entrevous d’arrivée, qui comme celui de départ, sera posé en rive de plancher, sans ajout de poutrelle. L’utilisation d’ancres plastiques sera nécessaire pour assurer le blocage des correcteurs de ponts thermiques lors du coulage du béton de la dalle. La livraison des poutrelles est systématiquement accompagnée d’un plan de préconisation de pose qui fournit les informations nécessaires à la mise en place des rupteurs. &nbsp; CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES – Largeur du rupteur en partie haute : 50 mm – Up 0.27 à 0,15 – Epaisseur des planchers compatibles : 17 – 20 – 25 mm (hauteurs coffrantes intégrant 5 mm de béton) – Entraxe des poutrelles des planchers compatibles : 600 – 630/640 -700 mm – Longueur des pièces CI : 1250 mm à recouper sur chantier – PSE Certifié ACERMI Destiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d’assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l’isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en œuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation. Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d’une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l’économie d’éléments structurels devenus inutiles.
Il y a 4 ans et 39 jours

Travaux de rénovation de maison : quelles sont les précautions indispensables?

Si vous venez d’acquérir une nouvelle propriété ou tout simplement changer le style de votre architecture, vous pouvez lancer des travaux de renovation maison. Dans cette optique, il est indispensable de faire appel à une entreprise de rénovation de maison pour bénéficier de ses savoir-faire dans ce domaine. A la base, il s’agit effectivement d’un projet de grandes envergures qui nécessite l’intervention de plusieurs corps de métier. Par conséquent, vous devez vous organiser au mieux pour réussir à superviser ces multiples prestations, afin d’écarter d’éventuels problèmes. Gérer les priorités En principe, les travaux de renovation maison consistent à rafraichir votre décoration partiellement ou dans son intégralité. Dans cette optique, les interventions peuvent se résumer en un simple coup de peinture ou s’étendre vers de multiples réparations (plomberie, électricité…). De la même manière, vous pourrez être amené jusqu’à la mise en conformité de votre propriété, afin d’optimiser sa sécurisation. A ce stade, il est nécessaire de mettre en avant la protection des occupants, ainsi que de l’ensemble de vos équipements. Autrement, faire appel à une entreprise de rénovation de maison, vous laissera l’opportunité de respecter les règlements relatifs l’énergie renouvelable. Ainsi, vous aurez l’avantage de bénéficier de ses précieux conseils en conséquence pour le choix des dispositifs appropriés. Il peut s’agir entre autres de : poêles à granuler, pompes à chaleur, ou autres, selon votre besoin. De plus, ces matériels vous permettront de réaliser de l’économie en diminuant vos consommations énergétiques et réduire votre facture. Optimiser la performance de la maison Parmi l’une des priorités durant les travaux de rénovation de maison, les réparations et l’optimisation énergétique font parties des incontournables. Dans cette optique, faire appel à une entreprise de renovation de maison comme sur ce site vous permettra de bénéficier d’une intervention de qualité. A savoir : Evaluation de la performance de votre isolation de toiture et des combles. En effet, la déperdition thermique de votre couverture représente l’une des causes de surconsommation d’énergie domestique. En d’autres termes, une structure présentant un défaut d’étachéité augmentera votre besoin en chauffage de 30 %. Vérification de l’état des murs, des ouvertures et des sols. Après, la charpente, il est essentiel effectivement d’assurer l’isolation de ces parties, afin d’optimiser votre confort et vous permettre de rester bien au sec. Toutefois, il est à noter qu’avec ce type de chantier, l’opération peut nécessiter des travaux conséquents. Mise en place d’un système énergétique, en conformité avec les exigences législatives qui recommandent le changement des anciens chauffages. Planifier les opérations rapides Durant les travaux de rénovation de maison, des petites interventions sont parfois nécessaires pour leur efficacité, afin d’assurer son esthétique et sa performance. Ainsi, faire appel à une entreprise de rénovation maison vous permettra de bénéficier de précieux conseils pour illuminer encore plus vos pièces. Dans cette optique, ce spécialiste vous recommandera de changer ou de poser de nouveaux luminaires. En principe, ces travaux ne demandent pas beaucoup de main-d’œuvre et seront confiés à un électricien qualifié. Toutefois, si vous souhaitez gagner plus d’éclairage naturel, il vaut mieux placer de fenêtres. Pour ce faire, l’artisan effectuera un examen de l’endroit où elle sera installée. A ce titre, une opération sur une vieille maison sera certainement plus onéreuse qu’une intervention sur une demeure moderne.
Il y a 4 ans et 41 jours

Groupe Cheval : « La RSE est inscrite dans nos gènes »

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. Jean-Pierre Cheval est le président du groupe de BTP régional qui porte son nom. [©Groupe Cheval] Le groupe régional Cheval vient de devenir une “entreprise à mission”&nbsp;? De quoi s’agit-il&nbsp;? Pourquoi cette démarche&nbsp;? Jean-Pierre Cheval&nbsp;: Le cadre juridique d’entreprise à mission a été introduit par la loi Pacte. Il permet d’inscrire dans nos statuts notre politique RSE globale. Nous en avons toujours fait l’élément central de notre développement, autour de trois axes principaux. Tout d’abord, le pôle humain. Le monde de l’entreprise est un lieu de vie, d’échange. Nous nous devons d’être bienveillants vis-à-vis de nos collaborateurs. Cela va d’une rémunération juste et motivante, à la mise en place d’une politique de renouvellement récurrent des matériels. Chacun doit pouvoir travailler avec un équipement moderne et ergonomique. La formation est aussi omniprésente, y compris en alternance, pour 10 % des effectifs. Il est important de pouvoir transmettre les savoir-faire. La protection de l’environnement constitue le deuxième axe. Depuis plus de 30 ans, nous organisons nos méthodes de travail pour en limiter les impacts, tout en favorisant le recyclage. Il faut toujours pouvoir donner une seconde vie aux choses. Quand nous intervenons sur site, nous limitons nos emprises de chantier. En interne, nous avons même une structure dédiée à l’environnement. Ainsi, Valorsol Environnement travaille à la collecte, au recyclage et à la valorisation de matériaux issus du BTP et de l’industrie. Enfin, le groupe Cheval a un rôle sociétal. Nos activités restent très liées à la commande publique. Aussi, nous cherchons toujours à “rendre” aux territoires ce qu’ils nous ont donné. Par des actions de mécénat, de sponsoring. Nous accompagnons une équipe de rugby, qui est une “école de la vie”. Nous essayons de travailler en circuit court. Toutefois, il ne faut pas occulter qu’une entreprise intègre un aspect économique important. L’entreprise est le premier contributeur de la collectivité. Et se doit de gagner de l’argent pour assurer ce rôle. Des acteurs du secteur financier viennent d’entrer au capital du groupe. Quel en est le but&nbsp;? Nous sommes en phase de croissance. Jusqu’à présent, nous avons auto-financé notre essor. Cette entrée au capital, à un pourcentage qui reste faible, va aider et sans doute accélérer nos développements futurs&#8230; Ceci, en conformité avec notre stratégie et nos priorités. Courant 2019, vous avez acquis l’entreprise Migma. Pourquoi cette intégration&nbsp;? Migma est une entreprise spécialiste des aménagements extérieurs et des bétons décoratifs. Nous travaillions déjà avec elle. Aujourd’hui, son intégration permet d’élargir tant l’offre globale proposée à nos clients que notre implantation géographique. Ainsi, nous sommes maintenant présents sur une zone allant de Lyon à Aix-en-Provence, d’un côté, et à Montpellier, de l’autre. Cheval est aussi actionnaire de l’entreprise de BPE Drôme Béton&nbsp;? A vrai dire, nous sommes à l’origine de la création de Drôme Béton, avec quelques autres partenaires. L’idée était de disposer d’un débouché naturel pour les granulats normalisés issus de nos carrières. Aujourd’hui, nous avons signé sa réintégration à 100 % au sein du groupe. Ce qui lui permettra de mieux profiter de la R&D du groupe, pour faire ainsi progresser son offre béton. D’une manière générale, que représente le groupe Cheval&nbsp;? Quels sont ses domaines de compétences&nbsp;? Le groupe Cheval réalise une moyenne de 100 M€ par an. Il compte quelque 650 collaborateurs et 16 filiales. Historiquement, nous sommes des intervenants du domaine des travaux publics. Nous sommes des spécialistes du terrassement, de la route, du VRD. Mais, au fil des ans, nous avons élargi nos compétences aux métiers de la déconstruction, du recyclage ou encore de l’aménagement paysager. Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 93&nbsp;
Il y a 4 ans et 41 jours

Juridique : La gestion environnementale des chantiers

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine. Les produits destinés au réemploi ne prennent pas le statut de déchet&#8230; [©ACPresse] La Loi Agec a réformé les diagnostics “déchets des bâtiments”, en créant le diagnostic Produits Matériaux Déchets (PMD). Selon cette loi,“les produits et équipements destinés au réemploi ne prennent pas le statut de déchet1”. A cette fin, le diagnostic PMD doit être établi avant tout chantier de destruction ou de réhabilitation significative. Et ce, afin de maximiser le taux de réemploi. Il doit fournir la nature, la quantité et la localisation des matériaux, produits de construction et équipements. Ainsi qu’une estimation de leur état et les possibilités de réemploi sur le site de l’opération ou sur un autre site. Déjà applicable, le diagnostic PMD ne sera obligatoire qu’à compter du 1er juillet 2021. Evacuation et élimination des déchets Si le maître d’ouvrage est responsable à titre principal des déchets générés, une obligation de nettoyage et de remise en état des lieux pèse sur le maître d’œuvre. Ceci, en raison de son obligation de livraison en parfait état. Ce qui suppose l’évacuation des déchets générés. Mais les déchets, même non dangereux, ne s’abandonnent pas simplement dans la nature. Leur transport et leur élimination, voire leur valorisation et leur gestion, sont très encadrés. Le producteur des déchets est tenu d’en faire assurer leur élimination dans des conditions sans effets néfastes pour l’homme ou la nature2. Et leur collecte comme leur transport ne peuvent être assurés que par une entreprise y ayant été autorisée par l’administration3. Bien entendu, ceci n’est le cas qu’à défaut de réemploi. En tout état de cause, des registres doivent être tenus, comme le bordereau de suivi des déchets. Enfin, le déboisement ou l’exploitation de carrières peut être soumis à des autorisations environnementales de la direction régionale de l&rsquo;Environnement, de l&rsquo;Aménagement et du Logement (Dreal). Celles-ci font en général partie de l’obtention de permis de travaux. Et sont parfois couplées à des obligations de compensation (reforestation, capture et déplacement des animaux concernés, réintroduction d’espèces protégées&#8230;). Performances du bien livré Les intervenants à l’acte de construire ont une obligation de résultat qui englobe la mise en conformité aux exigences réglementaires environnementales. [©ACPresse] Il est exigé du maître de l’ouvrage qu’il justifie, lors de la réalisation d’un bâtiment neuf, de la satisfaction aux performances énergétiques et environnementales déterminées par la réglementation thermique. L’application de la RE 2020, qui a vocation à remplacer la RT 2012, a été reportée au 1er janvier 2022. Cette nouvelle réglementation ne contrôle plus seulement la consommation énergétique des bâtiments neufs, mais aussi leur bilan carbone. Tout en incluant l’analyse du cycle de vie des matériaux et des équipements employés. La RT Existant4, globale ou par élément en fonction de l’ampleur des travaux, est son équivalent pour les opérations de rénovation.Une performance énergétique supérieure aux prescriptions est, quant à elle, récompensée par l’octroi d’un bonus de Coefficient d’occupation des sols (COS)5.Enfin, il existe toute une gamme de labels réglementaires (HQE&#8230;) et d’engagements environnementaux volontaires, qui sont intégrés dans les documents contractuels et lient ainsi leurs parties. Le fondement des actions en responsabilité avant réception pour non-respect des exigences réglementaires, tout comme des engagements contractuels environnementaux, est la responsabilité contractuelle de droit commun. En effet, les intervenants matériels comme intellectuels à l’acte de construire sont tenus, avant réception, d’une obligation de résultat qui englobe la mise en conformité du projet constructif aux exigences réglementaires environnementales. Pierre LacoinAvocat à la CourCabinet 1792 Avocats 1L. 541-4-4 Code de la construction et de l’habitation. 2L. 541-2 Code de l’environnement.3L. 541-8 Code de l’environnement.4R. 131-25 et s. Code de la construction et de l’habitation.5R. 111-21 Code de la construction et de l’habitation. Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 48 jours

BTP Consultants accroit sa présence en France

Le bureau de contrôle technique construction BTP Consultants prend en charge le contrôle et de vérification de la conformité des projets de construction avec la réglementation en vigueur. L’enseigne étend son maillage territorial en ouvrant sa 25e agence à Lorient.
Il y a 4 ans et 49 jours

Lancement d'Artizen, un outil archi-simple de gestion de l'administratif au service des artisans du bâtiment

Naissance de l’idéeArtizen est né d’une expérience banale. Foucauld avait une fenêtre à changer dans son appartement. L’artisan a parfaitement effectué les travaux prévus mais tout l’à-côté (l’administratif) a été laborieux. Il y a eu des incompréhensions dans la prise de rendez-vous, des difficultés dans la transmission des factures et un contretemps sur le paiement. Concrètement la réparation a pris une journée mais les échanges ont pris plusieurs mois jusqu’au paiement de la facture. Construction d’ArtizenSuite à cette expérience, Foucauld a décidé de passer du temps avec des artisans pour comprendre comment ils travaillaient, très vite rejoint par François. Le duo a alors passé du temps devant les magasins de fournitures de chantier puis en discutant simplement avec des artisans dans la rue devant leurs camionnettes. Ils ont aussi partagé un questionnaire envoyé à plus de 50 plombiers et électriciens et ont constitué un petit groupe de travail pour s’assurer de bien comprendre toutes les subtilités du métier et de l’organisation. C’est après plus de 6 mois d’échanges, d’écoute et d’observations qu'ils ont commencé à concevoir Artizen. Tout au long de la conception, ils n'ont cessé d’interagir avec des artisans, et en particulier le petit groupe de travail formé, pour s’assurer de répondre exactement à leurs besoins. Ces artisans, apportaient la connaissance du terrain et le duo la connaissance de l’organisation. Ils ont ensuite retranscrit fidèlement toutes ces discussions dans l’outil Artizen.Ce lien avec le terrain et avec les artisans est essentiel dans ce projet car il est la source de tout le développement. Il ne se passe pas un jour sans discussion avec un ou plusieurs artisans.Les trois constats d'ArtizenArtizen répond à trois constats simples :L’administratif, ce n’est pas le métier des artisans, ils ont l’impression de perdre du temps, c’est compliqué et ça ne rapporte pas d’argent ;Les artisans ont la pression de leurs clients, du législateur et de leur expert-comptable pour dématérialiser la gestion de leurs factures (encore plus durant cette période de covid) ;Les logiciels disponibles sur le marché sont complets, sophistiqués mais complexes à l’utilisation pour une population largement non technophile.Les fonctionnalités :Agenda avec toutes les informations du client et les raccourcis de contact et GPS. Stockage et échanges de photos du chantier ;Editeur devis et factures avec catalogue de tâches préenregistrés et envoi du document au client par SMS. Possibilité d’extraire les factures et envoi automatique au comptable ;Suivi de paiement avec possibilité de donner un statut payé ou non payé à la facture et d’extraire un rapport sur l’état de paiement des factures.Les six promesses d’ArtizenArtizen fait 6 promesses aux artisans :Vous réduirez le temps consacré à la gestion de l’administratif pour vous concentrer sur vos interventionsQuand vous rentrez chez vous, vous profitez de votre famille et de vos amis, plus besoin de rallumer l’ordinateurVous réduisez drastiquement vos impayés grâce à un suivi des paiements simple et rigoureuxVous êtes en conformité avec la loi et les règles comptables. Vous anticipez l’obligation de dématérialisation des factures qui arriventVous gagnez du temps dans vos échanges avec votre comptable grâce à l’envoi automatique des documentsVous améliorez votre image de marque auprès de vos clientsDifférence entre Artizen et les autres solutionsL’ADN d’Artizen se résume en un mot : simplicité.Un seul objectif : rendre simple les tâches qui semblent compliquées et peu intéressantes pour les artisans.Ainsi, Artizen n’est pas un logiciel parmi tant d’autres à plusieurs titres :Il est tout d’abord simple : toute personne non technophile sait s’en servir en 3 minutesIl est efficace et va droit au butIl est complet car il regroupe un agenda, un éditeur de devis et factures, un catalogue de prestations, un outil de suivi des paiements, un extracteur de facture, un système d’envoi des documents aux clients et au comptableCe positionnement clair et simple est un choix fondateur d’Artizen qui est l’exact contraire de la plupart des concurrents. La majorité des acteurs du marché offrent aux artisans des solutions très sophistiquées, très poussées techniquement, avec de multiples fonctionnalités mais extrêmement complexes et lourdes à l’utilisation. Artizen fait le pari inverse : lancer une solution archi simple pour que tous les artisans y accèdent facilement.Utilisation :Artizen propose une période d’essai gratuite pour tester les différentes fonctionnalités sans pression.Pour cela, il suffit de créer son espace en deux étapes :Renseigner une adresse mail et d’un mot de passeRenseigner un SIREN afin de pouvoir obtenir toutes les informations légales obligatoires sur les facturesA la fin de votre période d’essai, c’est-à-dire le premier jour du mois suivant votre inscription, Artizen vous proposera deux formules d’abonnement avec des prix transparents et fixes sans aucune surprise :Une formule d’abonnement annuel sur 12 mois de 35€ HT / moisUne formule d’abonnement mensuel sans engagement de 50€ HT / moisLe tarif est fixe sans aucun frais de mise à jour ou autre et avec un accès illimité au service client qui sera heureux de guider les artisans dans leurs premiers pas.