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Résultats de recherche pour grand prix architecture

(429 résultats)
Il y a 6 ans et 196 jours

L'architecte Pierre-Louis Faloci récompensé pour son "uvre exemplaire

Jean Willerval, Claude Vasconi, Christian de Portzamparc, Rudy Ricciotti? La longue liste des lauréats du Grand Prix national de l'architecture a accueilli, ce 19 octobre, un nouveau nom : Pierre-Louis Faloci. À 69 ans, ce dernier est à l'origine de nombreuses réalisations, qui se distinguent par un style unique, droit et contemporain. Retour sur un parcours édifiant.
Il y a 6 ans et 199 jours

Événement : Journées nationales de l'Architecture

Demain débute la troisième édition des Journées nationales de l'Architecture organisée par le Ministère de la Culture. Au programme : trois jours d'événements, de rencontres et autres portes ouvertes, qui sauront ravir les amateurs comme les professionnels... " L'architecture aide notre société à construire son avenir. Elle est un puissant levier de développement culturel, économique, social et environnemental ", rappelle le Ministère de la Culture dans son communiqué publié à l'occasion de cette nouvelle édition des Journées nationales de l'Architecture. Mais comme des actes valent mieux que des mots, ce sont plus de 1 700 activités qui sont prévues du 19 au 21 octobre dans tout l'Hexagone pour souligner l'importance de la discipline. (Re)découverte de réalisations iconiques, conférences, débats, parcours urbains, films et expositions : avec un programme aussi riche, pas le temps de s'ennuyer ! Parmi les temps forts de la manifestation, la journée nationale de l'architecture pour les classes, organisée ce vendredi pour sensibiliser le public scolaire ; les Architectes Ouvrent leurs Portes, qui offriront à tout un chacun de découvrir les coulisses des agences ; enfin, l'annonce du lauréat du Grand Prix national d'Architecture 2018. Parmi les nominés : Pierre-Louis Faloci, Dominique Lyon, Philippe Madec, Philippe Prost, Bernard Quirot et Corinne Vezzoni. Rendez-vous demain pour découvrir le grand gagnant et débuter, sous les meilleurs auspices, un long weekend de réjouissances architecturales... Pour en savoir plus, visitez le site des Journées nationales de l'Architecture Illustrations : Ministère de la Culture
Il y a 6 ans et 208 jours

Tadao Ando " Le défi

Le Centre Pompidou consacre une importante exposition rétrospective à l'architecte japonais Tadao Ando, grande figure de l'architecture contemporaine, lauréat du prestigieux prix Pritzker d'architecture. Jusqu'au 31 décembre 2018. Articulée autour de quatre grands thèmes – la forme primitive de l'espace, […] L'article Tadao Ando – Le défi est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 6 ans et 213 jours

Trophées Eiffel et Acier 2018 : les lauréats

Plus de 500 invités ont assisté à la 4e édition de la Steel.in 2018, la grande cérémonie de remise des prix de l'architecture acier.
Il y a 6 ans et 222 jours

Les jurys de courtoisie, trop polis pour être sincères

Les défauts des jurys de courtoisie, tels qu'ils sont pratiqués, sont connus. C'est ce dont témoignent notamment la circonspection, voire l'ironie, qui entourent la dernière sélection pour le Grand Prix National d'Architecture (GPNA), le plus prestigieux en France pour un […] L'article Les jurys de courtoisie, trop polis pour être sincères est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 6 ans et 229 jours

Le Grand Prix National d'Architecture auquel vous avez échappé

Selon nos informations, le jury de l'édition 2018 du Grand Prix National de l'architecture, réuni le 12 septembre dernier sous l'égide de Françoise Nyssen, ministre de la Culture, avait retenu une liste de sept nommés à la distinction. Dont Patrick […] L'article Le Grand Prix National d'Architecture auquel vous avez échappé est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 6 ans et 229 jours

Le Grand Prix National d'Architecture auquel vous n'échapperez pas

Après la suppression du nom de Patrick Bouchain de la sélection, les nommés pour le Grand Prix National d'Architecture (GPNA) 2018 sont, par ordre alphabétique : Pierre-Louis Faloci ; Dominique Lyon ; Philippe Madec ; Philippe Prost ; Bernard Quirot […] L'article Le Grand Prix National d'Architecture auquel vous n'échapperez pas est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 6 ans et 233 jours

Six architectes retenus pour le Grand Prix national de l'architecture 2018

SELECTION. Le jury de l'édition 2018 du Grand Prix national de l'architecture a retenu six candidats, suite à un appel à propositions adressé à plus de 3.000 personnalités. Le lauréat sera désigné le 19 octobre prochain.
Il y a 6 ans et 241 jours

COBE : Our Urban Living Room

Vous avez jusqu'au 30 novembre pour découvrir l'exposition " Our Urban Living Room ", à Helsinki (Finlande) et son ouvrage éponyme, qui retrace le développement de Copenhague (Pays-Bas) à travers 10 ans de pratique de l'agence COBE. Au-delà de la rétrospective, l'événement porte un regard critique sur la production architecturale danoise. Plusieurs fois récompensée par des grands prix nationaux et internationaux, dont le Lion D'Or 2006 à la Biennale d'Architecture de Venise, l'agence COBE, fondée par Dan Stubbergaard en 2005 à Copenhague, poursuit son essor. Avec plus de 130 employés, elle mène une réflexion à mi-chemin entre l'architecture et l'urbanisme, illustrée par des réalisations telles que la gare de Norreport (Pays-Bas) " actuellement la plus fréquentée de Copenhague ", le port du Nord de Copenhague, ou le siège social de Adidas en Allemagne. Un succès qui lui a notamment permis de collaborer avec l'agence internationale BIG (Bjarke Ingels Group), pour la conception de Waterfall, un centre aquatique ; une expérience retranscrite dans l'interview de Bjarke Ingels, publiée dans le catalogue. Sensible au devenir de la capitale danoise, COBE soutient une approche humaine dans ses projets, tout en prenant en compte l'aspect historique du site. Une attitude qui encourage l'usager à s'approprier avec enthousiasme son lieu de vie. Le but ? Créer une connexion fluide entre espace privé et public, ce qui n'était pas le cas plusieurs années auparavant dans la Capitale danoise. En effet, Copenhague est passée d'une ville portuaire, industrielle et populaire, à une destination touristique et culturelle. Une évolution due aux importants travaux de rénovation urbaine commencés dans les années 1980, dans le but de favoriser une plus grande diversité sociale. Une restructuration qui s'inscrit par ailleurs dans un programme de développement plus large, visant à relier la partie est du Danemark au sud de la Suède, avec le pont de Malmö, inauguré en 2000. Une exposition de 350 mètres carrés, qui permet de faire découvrir l'histoire locale au travers d'outils numériques, photographies mais aussi de maquettes illustrant les réflexions de l'agence COBE. Le tout est mis en scène dans une structure quadrillée en tasseaux de bois. Le cotenu est quant à lui compilé dans un ouvrage largement illustré, comprenant en plus des détails techniques, interviews et dessins. Un événement prônant l'échange pour penser la ville de demain. Quoi de mieux pour une agence d'architecture en plein boum ? Our Urban Living Room, COBE Architects, éditions Arvinius + Orfeus Publishing AB, 2016, 352 pages, 21 x 26 cm Pour en savoir plus, visitez le site de COBE Photographies : RASMUS HJORTSHÖJ/COBE Architects
Il y a 6 ans et 241 jours

COBE : Our Urban Living Room

Vous avez jusqu'au 30 novembre pour découvrir l'exposition " Our Urban Living Room ", à Helsinki (Finlande) et son ouvrage éponyme, qui retrace le développement de Copenhague (Pays-Bas) à travers 10 ans de pratique de l'agence COBE. Au-delà de la rétrospective, l'événement porte un regard critique sur la production architecturale danoise. Plusieurs fois récompensée par des grands prix nationaux et internationaux, dont le Lion D'Or 2006 à la Biennale d'Architecture de Venise, l'agence COBE, fondée par Dan Stubbergaard en 2005 à Copenhague, poursuit son essor. Avec plus de 130 employés, elle mène une réflexion à mi-chemin entre l'architecture et l'urbanisme, illustrée par des réalisations telles que la gare de Norreport (Pays-Bas) " actuellement la plus fréquentée de Copenhague ", le port du Nord de Copenhague, ou le siège social de Adidas en Allemagne. Un succès qui lui a notamment permis de collaborer avec l'agence internationale BIG (Bjarke Ingels Group), pour la conception de Waterfall, un centre aquatique ; une expérience retranscrite dans l'interview de Bjarke Ingels, publiée dans le catalogue. Sensible au devenir de la capitale danoise, COBE soutient une approche humaine dans ses projets, tout en prenant en compte l'aspect historique du site. Une attitude qui encourage l'usager à s'approprier avec enthousiasme son lieu de vie. Le but ? Créer une connexion fluide entre espace privé et public, ce qui n'était pas le cas plusieurs années auparavant dans la Capitale danoise. En effet, Copenhague est passée d'une ville portuaire, industrielle et populaire, à une destination touristique et culturelle. Une évolution due aux importants travaux de rénovation urbaine commencés dans les années 1980, dans le but de favoriser une plus grande diversité sociale. Une restructuration qui s'inscrit par ailleurs dans un programme de développement plus large, visant à relier la partie est du Danemark au sud de la Suède, avec le pont de Malmö, inauguré en 2000. Une exposition de 350 mètres carrés, qui permet de faire découvrir l'histoire locale au travers d'outils numériques, photographies mais aussi de maquettes illustrant les réflexions de l'agence COBE. Le tout est mis en scène dans une structure quadrillée en tasseaux de bois. Le cotenu est quant à lui compilé dans un ouvrage largement illustré, comprenant en plus des détails techniques, interviews et dessins. Un événement prônant l'échange pour penser la ville de demain. Quoi de mieux pour une agence d'architecture en plein boum ? Our Urban Living Room, COBE Architects, éditions Arvinius + Orfeus Publishing AB, 2016, 352 pages, 21 x 26 cm Pour en savoir plus, visitez le site de COBE Photographies : RASMUS HJORTSHÖJ/COBE Architects
Il y a 6 ans et 283 jours

Jeunes talents : Tremplin du Côté de Chez Vous 2018

Il y a un an, nous vous présentions les résultats des premiers Tremplin du Côté de Chez Vous qui avaient distingué quatre jeunes pousses du design français. Après cette édition prometteuse, ce " label de créativité " créé par l'enseigne de bricolage Leroy Merlin dédié à l'univers de la maison remet le couvert, distinguant cette fois trois lauréats. Après le thème " Jeux de (dé)construction " en 2017, les participants au Tremplin " designers, étudiants, artisans ou simples passionnés ", se sont penchés cette année sur la création d'une parenthèse dans l'habitat. Un choix qui s'inscrit dans des problématiques plus qu'actuelles quand on sait qu'" En 7 ans, les habitats français ont perdu en moyenne près de cinq mètres carrés selon l'étude de l'Observatoire de l'Habitat 2017. Il était donc important de valoriser des créations qui aident les habitants à recréer de l'intimité et à s'accorder des "pauses" au sein de leurs logements ", expliquent les équipes de Du Côté de Chez Vous. Il a alors incombé au jury la lourde tâche de choisir parmi les 230 dossiers reçus dix équipes finalistes, qui ont chacune réalisé le prototype de leur projet en dix semaines, tout en tenant compte des remarques du comité de sélection et des conseils des équipes expertes du label. Les candidats devaient concevoir leur projet en open source, permettant leur libre appropriation et leur diffusion. Grand Prix  Magari de William Le Bouquin, École Européenne Supérieure d'Art de Bretagne de Brest. Magari, un nom ? Un prénom ? Non, tout simplement " pli " en japonais. Un mot repris dans une table carrée de 1,2 mètre de côté en contreplaqué de 15 millimètres d'épaisseur, subdivisible en quatre parties grâce à un système de paravents en feutrine qui peuvent être rabattus sur le plateau du meuble, à la manière d'un éventail. Prix Étudiant Peacock d'Aloïs Gromard, étudiant en architecture à Bruxelles. Peacock est un paravent mobile, modulable et personnalisable. Positionnés sur un piétement métallique, les cinq cercles recouverts de feutre qui le composent peuvent être bougés et assemblés selon le bon vouloir de son utilisateur, afin de procurer le degré d'intimité souhaité.   Prix du Public  Abri de Thibault Malavieille, étudiant à l'ESDMAA (École Supérieur de Design et de Métiers d'Arts d'Auvergne). Cette pièce de mobilier extérieure en tissu et métal consiste à la fois en une tonnelle et un lit d'appoint. Ces prototypes ont eu le privilège d'être exposés lors de la Design Parade Hyères, dans les jardins de la Villa Noailles. Une reconnaissance pour ceux qui feront peut-être le design de demain. Pour en savoir plus, visitez le site des Tremplin du Côté de Chez Vous    Photographies :02) Magari par William Le Bouquin. Photo © Du Côté de Chez Vous03) Peacock d'Aloïs Gromard. Photo © Du Côté de Chez Vous04) Abri de Thibault Malavieille. Photo © Du Côté de Chez Vous
Il y a 6 ans et 317 jours

Retour de la F1 au Castellet : le circuit s'est refait une beauté

GRAND PRIX DE FRANCE. Longtemps cantonné au rôle de piste d'essais hivernaux, le circuit Paul Ricard connaît de nouveau l'excitation d'un weekend de course avec le retour de la Formule 1 en France. Le cabinet Architecture 54, qui participe à ses rénovations depuis 2008, a remodelé le tracé et adapté les tribunes. Découverte.
Il y a 6 ans et 317 jours

Évènement : Design Parade Hyères et Toulon 2018

Depuis 2006, la Design Parade Hyères, à l'initiative de la Villa Noailles, sensibilise le public au design et permet à de jeunes espoirs de la discipline d'être mis en avant. Une distinction complétée il y a deux ans par une nouvelle manifestation, tournée cette fois vers l'architecture d'intérieur et la ville voisine : la Design Parade Toulon. Direction le Var donc, où, dès le 28 juin prochain, vous pourrez découvrir ce que ces nouvelles éditions nous réservent ! Tous les étés commencent de la même manière. Les jours rallongent, les manteaux retournent au placard. Dans la douce région Provence-Alpes-Côte d'Azur, ce rituel est complété par le festival annuel organisé par la Villa Noailles. C'est donc au rythme du chant des cigales que les villes d'Hyères et de Toulon offrent aux vacanciers et aux autochtones de découvrir le patrimoine d'une partie du Var sous un tout nouvel angle : celui des arts décoratifs. Place également à la jeunesse avec un concours organisé par discipline, dans le but de promouvoir la nouvelle génération de créateurs, comme le faisaient en leur temps les propriétaires de la demeure édifiée de 1923 à 1925, Marie-Laure et Charles Noailles, qui recevaient en ces murs Jean Cocteau, Man Ray et bien entendu l'architecte des lieux : le moderne Robert Mallet-Stevens. Une histoire perpétuée aujourd'hui car depuis 2003, la villa Noailles est un centre d'art et de design qui tente de promouvoir la création avant-gardiste et les talents de demain. À Hyères, capitale française du design pour l'occasion, c'est un jury présidé par le designer Philippe Malouin qui a nommé les dix finalistes du Grand prix Design Parade Hyères parmi plus de 200 candidatures. Des jeunes talents " dont les réalisations seront exposées durant la manifestation ", qui aspirent tous à décrocher la première place du podium, et ainsi bénéficier d'un séjour de recherche d'un an à la Cité de la céramique de Sèvres et au Centre International de Recherche sur le Verre et les Arts plastiques de Marseille (CIRVA). L'heureux lauréat deviendra à son tour l'un des membres du jury de la prochaine édition du festival et profitera d'un workshop offert par l'éditeur de meubles Vitra au Domaine de Boisbuchet (Belgique).Deux autres récompenses sont également prévues au programme. Tout d'abord, le prix SAMMODE, qui offre au vainqueur une bourse de recherche et de création d'un montant de 5 000 euro axée sur la lumière, ainsi qu'un support technique des équipes de la marque. Par ailleurs, la Mention spéciale " Eyes on Talents x Frame " récompensera l'un des participants pour l'excellence du design et l'innovation de son projet en lui faisant bénéficier d'une communication auprès des marques membres de la communauté éponyme, ainsi que dans le magazine Frame.La sélection s'annonce rude avec des réalisations toutes plus intéressantes les unes que les autres ! On y retrouve ainsi la créatrice portugaise Sara de Campos, partie prenante de l'installation collaborative Workbays Village organisée par l'ECAL et la marque de meuble Vitra, qui revisite cette année la hotte du vendangeur, ou encore le vainqueur du Prix du Jury Rado Star Prize 2017, le designer niçois Julien Manaira qui présente la même étagère qui avait tant plu lors de ce précédent prix. Assises, textiles ou encore luminaires, c'est un panel complet des formes que peuvent prendre le design qui est ici présenté. Bien que le concours soit au c"ur de la manifestation hyéroise, celle-ci est également accompagnée d'un marché de pièces de design et de plusieurs expositions présentant d'une part les travaux de Philippe Malouin, d'Arthur Hoffner (Prix du public Design Parade 2017) et de Carolien Niebling (Grand Prix Design Parade 2017), et d'autre part les talents d'ébénistes de François Passolunghi. Enfin, les 14 chambres de l'Hôtel local mythique La Reine Jane seront également investies et revisitées par 14 designers dont François Azambourg et Constance Guisset, pour ne citer qu'eux. Établi sur le même modèle, le concours d'architecture d'intérieur de la Design Parade Toulon était présidé par le maître d'"uvre Pierre Yovanovitch qui avait la lourde tâche de départager les 60 dossiers présélectionnés autour du thème " Une pièce à vivre dans une villa en bord de Méditerranée ". " Mes choix ont été influencés par la diversité des propositions et leur souffle, du plus abstrait au plus figuratif. " Pierre Yovanovitch, architecte De ce choix résulte un ensemble de dix projets, tous plus originaux et inventifs, parmi lesquels ceux du duo diplômé de l'école Camondo, Kim Haddou & Florent Dufourcq, ou encore du sortant de l'ESAD d'Orléans, Antoine Chauvin. Chacun de ces jeunes concepteurs a présenté sa vision du sujet donné à l'Ancien Evêché de Toulon afin d'obtenir, peut-être, le Grand prix Design parade Toulon Van Cleef & Arpels. Un sésame qui comprend une bourse de 5 000 euros offerte par Van Cleef & Arpels, une exposition personnelle à Toulon dans le même lieu historique, une participation au jury de la Design Parade 2019 ainsi que la possibilité d'une exposition au MAD de Paris. Peuvent s'ajouter à cela d'éventuelles collaborations avec le Nouveau Musée National de Monaco et l'éditeur de luminaire Blackbody. Mais ce n'est pas tout ! Les concourants peuvent également remporter la Mention spéciale " Eyes on Talents x Frame " qui offre les mêmes avantages que celle remise à l'occasion du concours de design d'Hyères. Toujours dans un esprit de cohérence et d'harmonie entre les deux festivals, la Design Parade Toulon comprend également diverses expositions, parmi lesquelles l'une est consacrée au travail de Pierre Yovanovitch mais également de la maison Lesage intérieurs ou d'Alexandre-Benjamin Navet, Grand Prix 2017. Tout un programme qui sera inauguré dès le jeudi 28 juin et ce jusqu'au 1er juillet . Et si vous avez déjà prévu autre chose pour le weekend prochain, pas de panique : les expositions restent accessibles jusqu'au 30 septembre 2018 ! Que la Design Parade commence ! Pour en savoir plus, visitez le site de la Design Parade Photographies : DR
Il y a 6 ans et 321 jours

Marc Barani obtient le grand prix de l'académie d'architecture

DISTINCTION. L'académie d'architecture vient de dévoiler les lauréats de ses médailles d'or et d'honneur pour l'année 2018. Marc Barani obtient la première, et Renée Gailhoustet la seconde.
Il y a 7 ans et 11 jours

Master Class du grand prix national de l'architecture à Venise : appel à candidature

Le ministère de la Culture vient de lancer un appel à candidature pour un master class destiné aux étudiants d'architecture en deuxième cycle. Workshop d'une semaine à Venise à l'occasion de la Biennale en juillet suivi d'un compte-rendu en décembre à la Cité du Patrimoine, cet événement veut engager une réflexion estudiantine autour de la formation, de la recherche et des métiers de l'architecture. Les étudiants ont jusqu'au 12 mai pour déposer leur dossier de candidature....
Il y a 7 ans et 11 jours

Architecture : Ibos et Vitart en Master Class à Venise

Le ministère de la Culture a confié à Jean-Marc Ibos et Myrto Vitart, lauréats 2016 du Grand prix national de l'architecture, l'organisation d'une Master Class dans la Sérénissime?
Il y a 7 ans et 16 jours

Événement : Soirée Design Cream à Materials & Light

Design Cream ? Quèsaco ? Un événement présentant le travail de la crème de la crème des designers et des architectes, pardi ! Et qui dit casting prestigieux, dit format de choix. Le jeudi 26 mars, à 19h, les dix créateurs réunis à l'occasion du salon Materials & Light nous feront ainsi découvrir de manière atypique leurs créations, inspirations et projets en 20 images, projetées à 20 secondes d'intervalle. Les soirées Design Cream, créées par le touche-à-tout Benjamin Girard de l'agence Design Project, visent à offrir une scène à la crème de la crème des créateurs afin qu'ils présentent leurs projets à un large public, dans un format spécifique, rythmé et concis, et dans une ambiance décontractée. De quoi assurer un succès planétaire à ces rassemblements ! Tout tient dans le format, nommé Pecha Kucha : les invités disposent de 20 diapositives, montrées durant 20 secondes chacune, et qui défilent automatiquement ; soit 6 minutes et 40 secondes pour chacun d'eux. Pas de bla-bla : les différents intervenants exposent ici l'essence même de leurs réalisations. Cette Design Cream exceptionnelle sera également l'occasion de créer des rencontres et confronter les idées, durant le cocktail qui aura lieu après la présentation, en clôture du salon Materials & Light organisé au Carreau du Temple à Paris (3e) par le magazine d'a en partenariat avec Muuuz : deux jours d'expositions, de workshops et de rencontres sur le thème des matériaux de l'architecture et du design. Pour tous les intéressés, s'inscrire ici. Venez nombreux ! . Margaux KellerAprès cinq ans d'études en design à l'école ENSAAMA Olivier de Serres puis à l'école Boulle, elle obtient en 2010 un diplôme de design et d'architecture intérieure avec les félicitations du jury pour le projet "Design (sans) vergogne". Elle se forme par la suite sur les bancs de l'agence Philippe Starck, aux côtés d' Eugeni Quitllet. En 2011, elle est sélectionnée pour faire partie de l'équipe de design de la Fabrica, centre de recherche en communication du groupe Benetton. En 2012, Margaux Keller retourne dans sa ville d'origine et de coeur, Marseille, pour fonder sa propre agence de design global. Elle y développe des partenariats très variés : Yves Saint Laurent Beauté, Roche Bobois, Cartier, Made.com, La Redoute Intérieurs, Habitat, SIA Home Fashion, CFOC concept store, Vista Alegre, KparK, La Monnaie de Paris, etc. .   Samuel AccoceberryDiplômé de l'Ecole Nationale Supérieure d'Art de Nancy et de l'école Raymond Loewy en Esthétique industrielle. Samuel a collaboré pendant 10 ans pour de prestigieuses agences de design en France et en Italie, tel que : Arik Levy, Antonio Citterio, et Rodolpho Dordoni. En 2010, il lance son propre studio et travaille avec différentes sociétés en tant que designer et directeur artistique. Il a été honoré en 2013 par le Grand Prix de la Création de la Ville de Paris pour l'ensemble de ses créations ainsi que pour son travail. Il a reçu également différents prix internationaux, dont 3 Red Dot Design Awards et un German Design Award ; et été exposé au Musée d'Art Moderne et au Musée des Arts Décoratifs de Paris, au Musée de la Céramique de Vallauris, à la Triennale Design Museum de Milan et au Design Museum de Holon. .   Elise FouinDans son cabinet curieux, Elise Fouin est toujours prête à faire des démonstrations concrètes. Comment a-t-elle pétri toutes ses sources d'inspiration pour cristalliser un travail si singulier ? Elle vient de la région Franche-Comté où elle a grandit dans un ancien monastère. Elle se forme à l'Ecole Boulle à Paris, d'abord à l'orfèvrerie, puis elle passe de la fabrication à la conception, en se tournant vers le design de mobilier. Une formation double, comme une balance, pour trouver son point d'équilibre. Pour son diplôme en 2003, elle fait encore un pas de côté, s'aventure avec succès vers la mise en "uvre du papier, en designer qui se donne la liberté de l'artiste. Car c'est avec ses mains d'abord que cette designer apprivoise la matière. Friande d'imprévus, à l'écoute du comportement des matériaux, elle parie sur une mise en forme inattendue. Les usines sont un de ses terrains de jeu favoris, où elle traque chutes et rebuts.  .   Desormeaux/Carrette StudioLe Studio Désormeaux/Carrette est un studio de design créé par Nathanaël Désormeaux et Damien Carrette en janvier 2014. Studio de design industriel, sa vocation est de créer des objets reproductibles en série. Le studio accompagne aujourd'hui des clients allant de la startup aux grandes marques des secteurs de l'ameublement et de l'objet de grande consommation. La passion des matériaux et une sensibilité pour la narration de l'objet sont les fondements de leur démarche créative. La déconstruction est au centre de la méthodologie. C'est en décomposant et en repensant de manière holistique l'objet qu'ils en dégagent le c"ur technique. Leur travail consiste alors à sublimer la technicité pour ne pas seulement l'intégrer mais la transcender afin qu'elle devienne c"ur esthétique de l'objet. .   Charlotte JuillardCharlotte Juillard est une jeune designer et directrice artistique française. Après des études d'architecture d'intérieur à l'Ecole Camondo à Paris (14e), ainsi qu'un échange d'un an et demi en Italie à la Fabrica (centre de recherche et de Communication du groupe Benetton - Treviso) elle décide de monter en 2014 son propre studio de création allant du design d'objet à la scénographie. Elle croit au retour à la valeur du travail manuel où la gestuelle de l'artisan devient le centre d'un projet. Ses pièces s'inscrivent dans une volonté de pérennité où textures et formes, douceur et féminité s'allient au profit d'une même ambition, offrir une évidence à l'objet. Cherchant à mettre l'échange au centre de ses recherches, elle crée un espace de réflexion ouvert qui lui permet d'aborder les projets avec une ambition et une poétique nouvelle. Elle travaille actuellement pour de nombreux clients tels que Molteni, ligne Roset, Monoprix ou encore Christian Lacroix. .   Didier VersavelArchitecte d'intérieur, designer et graphiste, Didier Versavel fait partie de cette nouvelle génération de French talents " touche à tout ". Issu de l'Ecole Boulle, il intègre ensuite une agence reconnue dans le design mobilier. Là, il apprend que le designer doit être polyvalent pour s'impliquer autant sur la création de produits que sur leur communication. En 2006, il crée son propre studio et déploie son talent tous azimuts. Ses nombreuses collaborations l'emmènent à s'exprimer, par exemple, dans le domaine du design de mobilier manufacturé avec Désio ou les 3 Suisses ; dans le secteur de l'objet industriel avec des créations de portes surprenantes pour Drakkar ; ou encore en architecture intérieure avec le Groupe ACCOR qui lui commande des concepts d'espaces hotelliers. Il entretient des partenariats fructueux aussi bien avec la grande distribution, des éditeurs, qu'avec des artisans d'art comme les Compagnons du Devoir. .   Antoine PhelouzatAntoine Phelouzat est un designer cosmopolite, il grandit à Los Angeles et se forme au design en Angleterre. À Londres il collabore avec Tom Dixon et Michael Young, à Paris il collabore avec Arik Levy et Noé Duchaufour-Lawrence. Aujourd'hui il vit et travaille à Paris, il est naturellement tourné vers l'international et entretient des collaborations de longue date avec l'Inde et l'Amérique du Nord. Son savoir-faire s'exprime à toutes les échelles, du petit objet artisanal de galerie à l'architecture commerciale aéroportuaire, en passant par le produit de grande série. C'est cette amplitude d'action que lui offre une approche globale du design qu'il affectionne particulièrement. Les matières, processus de fabrications et le bon sens sont autant d'ingrédients qu'il utilise et détourne mais toujours en essayant de surprendre, d'interpeller l'utilisateur, d'échanger avec lui, ses travaux nous apparaissent alors familiers et surprenant. .   Yoonseux ArchitectesL'agence est dirigée par les architectes franco-coréens Kyunglan Yoon et Philippe Seux. L'association de deux cultures occupe une place déterminante dans la définition des projets, notamment au travers de la relation des espaces intérieurs et extérieurs, de la captation de lumière, de la dimension sensible et tactile des différents espaces, des matériaux. Comme un appareil de tactilité, le corps est entièrement sollicité dans une expérience sensorielle avec les différents états de surface de matière et de lumière. La recherche et l'activité de l'agence se développe à l'occasion de concours nationaux et internationaux dont de très grands projets tels que le Satellite 3 de l'Aéroport Charles de Gaulle, la Mairie de Nice. Sous l'impulsion de ces projets, l'approche architecturale de l'agence se synthétise autour des thèmes de la structure et de la lumière. Kyunglan Yoon et Philippe Seux accordent une grande importance au système constructif, à la compacité du bâti, aux matières brutes, mais encore et surtout à l'expérimentation sensorielle de la lumière. .   Jules LevasseurJules Levasseur est designer plasticien, diplômé de l'ESAD de Reims en 2013, actuellement en résidence aux Ateliers de Paris. Il démarre son activité indépendante en poursuivant son projet de diplôme, alors en collaboration avec la Tuilerie Royer et la Métallerie Barras. Ainsi, il rencontre l'industriel GEWISS en 2013 qui lui permet de démarrer une collaboration de longue durée. Ses rencontres avec les artisans Renaud Marin et Agir Céramique lui offrent l'opportunité de s'initier à la tapisserie et à la Céramique. Lauréat du Grand Prix de la Création de la ville de Paris en 2014, il obtient une place au sein de la Chaire IDIS, nouvelle structure de recherche de l'ESAD de Reims, dans laquelle il réalisera son projet Folie Végétale, Prix de l'Innovation à Jardins, Jardin en 2016. Sa collaboration avec l'entreprise PETRUS en 2015, primée par le RADO STAR PRIZE la même année, démontre bien son implication auprès des métiers de l'artisanat ouvrier, à travers lesquels la démarche design trouve un sens particulièrement contemporain. En 2017 il fonde le Studio Marin-Levasseur en s'associant avec Renaud Marin.  .   Leonard KadidAujourd'hui designer à temps plein, Léonard Kadid se destinait pourtant à une carrière d'architecte. En effet, ses différentes expériences professionnelles et sa sensibilité particulière aux détails le poussent rapidement vers la création de mobilier. Zoom sur une jeune pousse du design prometteuse.À à peine trente ans, et après avoir fait ses armes dans des agences de renom, telles que Dominique Perrault Architecture ou Herzog & de Meuron, Léonard Kadid, diplômé l'École Polytechnique de Lausanne (Suisse) et de l'École d'Architecture de la Ville et des Territoires de Marne-la-Vallée, compte déjà de beaux projets à son actif. C'est dans ces studios qu'il s'initie à la pratique du design, à laquelle il a décidé de se consacrer intégralement en début d'année. En résultent des ouvrages raffinés, aux formes proches de l'abstraction, dont la grande sobriété s'adapte à tous les intérieurs. . Soirée Design Cream, Materials & Light, au Carreau du Temple à Paris (3e), le 26 avril à 19h Pour en savoir plus, visitez le site de Materials & Light et de l'agence Design Project Photographies : DR
Il y a 7 ans et 23 jours

Kader Attia : Les Racines poussent aussi dans le Béton

" L'architecture actuelle [...] laisse tomber les palais. Voilà un signe des temps ", disait Le Corbusier. S'il voyait l'avenir dans le logement collectif et abordable, Kader Attia fait de ce principe une exposition spectaculaire à découvrir au MAC VAL de Vitry-sur-Seine (94). Entre politique et poésie, le plasticien s'interroge, au travers des grands ensembles de banlieue, sur les effets du post-colonialisme et sur la place de cette culture dans l'Histoire Française. Édifiant. Paris. Ses avenues pavées, bordées d'immeubles haussmanniens, ses boutiques de luxe, ses boulangeries et ses restaurants gastronomiques. " La ville lumière " ; " La cité de l'amour "... Les périphrases ne manquent pas pour définir notre chère Capitale. Pourtant Paris, c'est aussi sa périphérie, son passé colonial et migratoire, sa culture et sa mixité sociale. Des aspects rarement valorisés dans le récit national, qui font pourtant partie intégrante de la mémoire de notre pays, que le plasticien Kader Attia, lauréat du prix Marcel Duchamp en 2016, a voulu exposer dans l'incroyable espace de 1 300 mètres carrés du MAC VAL, Musée d'Art Contemporain du Val de Seine. Une façon d'amener une partie de la population au-delà du périphérique afin de découvrir le travail de la star montante de la discipline. " On entend parler de Paris à l'étranger avec des images de cartes postales. Jamais l'architecture de banlieue n'a fait partie de cette dialectique française. Le visiteur, le touriste, ne se figure Paris qu'à travers ces images et ne voit finalement même pas les étrangers, ni l'histoire coloniale. Même lorsqu'ils sont à Gare du Nord, ils ne voient pas les subsahariens, les nord africains. "  Kader Attia, artiste contemporain Français, d'origine algérienne, ayant grandi entre Garges-Lès-Gonesse/Sarcelles (95) et Bab El Oued (Algérie), Kader Attia incarne parfaitement cette génération postcoloniale, parquée dans de massifs ensemble de logements sociaux, qui y a spontanément développé ses propres codes et sa culture. Une génération qui a encore du mal à trouver sa place dans la France d'après-guerre. " Ce déni de la périphérie dans le grand récit national français est aussi le déni de toute une subculture. C'est le déni du hiphop, d'une littérature, d'un militantisme, d'une culture olfactive, de la mémoire, etc. qui existe et qui perdure, mais qui est tue. Seulement, on ne peut pas enfermer les idées. " Kader Attia, artiste contemporain En effet, on ne peut pas enfermer les idées. Surtout pas celles de l'artiste de 47 ans qui livre ici une exposition monumentale conçue à la manière d'un opéra en trois actes. Celle-ci débute sur un corridor sombre dont les parois ornées de collages représentent l'âme de la périphérie : grands ensembles, styles vestimentaires, influences ethniques... Le tout est articulé autour de la figure de Jean Gabin, monument du cinéma français qui a tourné pas moins de 8 films en banlieue parisienne, dans le Val d'Oise, mettant ainsi en scène les larges façades des logements sociaux de Sarcelles dans Pépé le Moko (1937) ou Mélodie en sous-sol (1963), et non pas les habituels Tour Eiffel et Sacré C"ur. Cet espace se conclue par une installation au sol : un disque en semoule représentant le plan de la ville de Ghardaia (Algérie) qui aurait fasciné et inspiré Le Corbusier pour la Cité Radieuse de Marseille (13). Plus on avance dans le lieu, plus le lien avec l'architecture sociale devient de moins en moins évident et sert à exprimer des problèmes sociaux, à désaliéner les populations. Des poutres en bois aux fissures " réparées " par Kader Attia où les blessures demeurent apparentes ; une réplique de la skyline new-yorkaise réalisée à partir de frigos de différentes tailles, agrémentés de petits miroirs ; des barrières de sécurité lacérées et détruites à coups de pierre ; une "uvre diffusant une odeur nostalgique de clou de girofle ; des photographies portant sur la question des genres, de la sexualité et de la notion du couples ; des installations vidéos aux sujets sociaux divers, comme l'affaire Théo ; le marché du pétrole comme substitut au commerce triangulaire, etc. En bref des moyens détournés de faire réfléchir. L'art de Kader Attia n'a rien de contemplatif : à chaque pas, à chaque "uvre que l'on découvre, une question se pose. Pour clore l'événement : un épilogue aussi simple que complexe. Un diptyque photographique confrontant une photographie d'un puit à Ghardaia, dont le système hydraulique est désormais " made in China ", et un site Volkswagen de l'Allemagne de l'Est où, en effet, les racines poussent aussi dans le béton. Un parcours immersif puissant et engagé plus que nécessaire. Les racines poussent aussi dans le béton, du 14 avril au 16 septembre 2018 au MAC VAL (94). Pour en savoir plus, visitez le site de Kader Attia Photographies : MAC VAL
Il y a 7 ans et 46 jours

Grand prix 2018 des Architectes français à l'export (Afex) : les dix finalistes

La liste des dix finalistes du palmarès du Grand prix Afex 2018 a été dévoilée le 14 mars 2018 à Cannes, dans le cadre du MIPIM. Le lauréat du Grand prix sera annoncé lors de la prochaine biennale de Venise? […] L'article Grand prix 2018 des Architectes français à l'export (Afex) : les dix finalistes est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 54 jours

ArchiDesignclub Awards : Les lauréats 2019

 Pour la sixième année consécutive, le magazine Muuuz organise les ADC Awards qui priment les réalisations architecturales les plus remarquables de l'année 2018. Suite à la pondération des votes des lecteurs et d'un jury composé de professionnels du secteur, dix-huit lauréats ont été récompensés le jeudi 21 février, à l'occasion d'un dîner organisé au Grand Hôtel Intercontinental Opéra, auquel étaient conviées les équipes des projets sélectionnés et les partenaires de l'évènement. Découvrez les lauréats de l'édition 2019 ! Catégorie "Tertiaire" Prix "Tertiaire - Bâtiment neuf" : Hôtel d'entreprise Binet, Paris (18e) - AZC   Prix "Tertiaire - Réhabilitation" : Phobos, Paris (2e) - Studio Vincent Eschalier    Catégorie "Culture" Prix "Culture - Musée/espace d'exposition" : Musée Lodève, Lodève (34) - Projectiles   Prix "Culture - Espace/centre culturel" : Scène nationale Espace des Arts, Chalon-sur-Saône (71) - Atelier d'Architecture Pierre Hebbelinck et HBAAT   Catégorie "Loisirs"  Prix "Loisirs" : Parc aquatique Aqualagon, Marne-la-Vallée (77) -Jacques Ferrier Architecture   Catégorie "Équipement"  Prix "Équipement" : Gare TGV, Montpellier (34) - Marc Mimram   Catégorie "Enseignement" Prix "Enseignement - Maternelle / primaire / secondaire" : Lycée Joliot-Curie, Nanterre (92) - Vincent Cornu Architecture   Prix "Enseignement - Supérieur" : Institut des Sciences Moléculaires d'Orsay (ISMO), Orsay (91) - KAAN Architecten et FRES architectes . Catégorie "Logement" Prix "Logement - Maison": Maison Séchoir, Romestaing (47) - Christophe Hutin Architecture Prix "Logement - Centre urbain" : 16 logements rue Pajol, Paris (18e) - Armand Nouvet Architecture et Urbanisme   Prix "Logement - péri-urbain" : 34 logements sociaux, Ville-d'Avray (92) - Jean & Aline Harari Architectes   Prix "Logement - résidence universitaire " : Institut de la mer, Villefranche-sur-Mer (06) - CAB Architectes   Catégorie "IGH" Prix "IGH" : Allure, Paris (17e) - FRESH Architectures et ITAR Architectures   Catégorie "Programme mixte" Prix "Programme mixte" : Diamant Noir, Lille (59) - Atelier Pranlas Descours   Catégorie "Sport" Prix "Sport" : Centre sportif des Droits de l'Homme, Strasbourg (67) - Dominique Coulon & Associés   Catégorie "Santé" Prix "Santé" : Extension d'un EHPAD, Vaucouleurs (55) - Christophe Aubertin et Eléonore Nicolas - Collectif Studiolada   Catégorie "Architecture & paysage" Prix "Architecture & paysage" : Maison de la réserve, Congis-sur-Thérouanne (77) - Charles-Henri Tachon Architecture & Paysage, et Territoires, paysagistes   Catégorie "Prix du public"  Prix du public : Site Fiduciaire de la banque de France, La Courneuve (93) - Jean-Paul Viguier et Associés    
Il y a 7 ans et 54 jours

ArchiDesignclub Awards : Les lauréats 2018

Pour la cinquième année consécutive, le magazine Muuuz organise les ArchiDesignClub Awards qui priment les réalisations architecturales les plus remarquables de l'année 2017. Suite à la pondération des votes des lecteurs et d'un jury composé de professionnels du secteur, dix-huit lauréats ont été récompensés le mardi 20 mars, à l'occasion d'un dîner organisé au Grand Hôtel Intercontinental Opéra, auquel étaient conviées les équipes des projets sélectionnés et les partenaires de l'évènement. Découvrez les dix-huit lauréats de l'édition 2018 ! Catégorie "Tertiaire"   Prix "Tertiaire - Bâtiment neuf" : Java, Paris (17) - ChartierDalix et Brenac & Gonzalez et Associés   Prix "Tertiaire - Réhabilitation" : Grande Halle Gerland, Lyon (7e) - Reichen & Robert et Associés et D3 Architectes . Catégorie "Culture"   Prix "Culture - Musée/espace d'exposition" : Poissy Galore, Carrières-sous-Poissy (78) - AWP et HHF Architects   Prix "Culture - Espace/centre culturel" : Médiathèque des Capucins, Brest (29) - Canal Architecture . Catégorie "Équipement"  Prix "Équipement" : Centre éducatif fermé, Marseille (13e) - COMBAS Architectes . Catégorie "Enseignement" Prix "Enseignement - Maternelle / primaire / secondaire" : Lycée Germaine Tillion, Castelnaudary (11e) - Cusy Maraval Architectes et Hamerman Rouby Architectes   Prix "Enseignement - Supérieur" : ENSAE ParisTech, Palaiseau (91) - CAB ARCHITECTES    Prix "Enseignement - Résidence universitaire" : Résidence Olympe de Gouges, Toulouse (31) - PPA, scalene architectes et AFA . Catégorie "Logement" Prix "Logement - Maison": Chemin du Calvaire, Notre-Dame-de-Bliquetuit (76) - Antonin Ziegler Architectes   Prix "Logement - Petit collectif" : 26 logements participatifs, Montreuil (93) - NZI ARCHITECTES   Prix "Logement - Grand collectif" : ONE - Les Jardins de l'Arche, Nanterre (92) - Farshid Moussavi Architecture et Richez Associés . Catégorie "Programme mixte" Prix "Programme mixte" : Groupe scolaire Simone Veil et Gymnase Colette Besson, Lingolsheim (67) - Richter architectes & associés et aubry lieutier architectes . Catégorie "Sport" Prix "Sport" : Arena du Pays d'Aix, Aix-en-Provence (13) - Auer Weber et Christophe Gulizzi Architecte . Catégorie "Santé" Prix "Santé" : Centre médico-social et résidence mixte Bon-Secours, Paris (14e) - Atelier Zündel Cristea . Catégorie "Prix spéciaux" Prix spécial "Innovation - Matériaux" : Siège de la Métropole de Rouen-Normandie, Rouen (76) - Jacques Ferrier Architecture   Prix spécial "Architecture et Paysage" : Parking-Jardin, Vitré (35) - TETRARC   Prix spécial de la rédaction : Tribunal de Grande Instance, Paris (17e) - Renzo Piano Building Workshop   Prix spécial du jury : Lab City, Gif-sur-Yvette (91) - OMA   Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards
Il y a 7 ans et 58 jours

Évènement : Women in Architecture Award 2018

Alors que les débats sur l'égalité homme-femme font rage, le prix Women in Architecture Award récompense pour la cinquième année consécutive les architectes féminines ayant marqué l'année 2017. Un concept contestable qui permet cependant de découvrir le travail de femmes talentueuses à travers le monde. Divisé en deux grandes récompenses " Prix de l'architecte de l'année et Prix Moira Gemmill pour l'Architecture émergente ", l'événement initié par le magazine britannique Architects' Journal a décerné ses honneurs à deux personnalités sud-américaines, une première dans l'histoire de la manifestation. En effet, la conceptrice Sandra Barclay, originaire du Pérou, a été sélectionnée parmi trois autres finalistes " Biba Dow (Royaume-Unis), Angela Garcia de Paredes (Espagne) et Stephanie MacDonald (Royaume-Unis) ", pour son projet du Museo de Sitio de Paracas, situé dans son pays natal. Le travail de la co-fondatrice du studio Barclay & Crousse sur le site complexe du désert de Paracas (Pérou) a été valorisé pour sa simplicité maîtrisée et ses réponses audacieuses aux contraintes dues à l'environnement hostile dans lequel l'établissement prend place. Remplaçant la structure originelle de l'édifice, détruite lors d'un tremblement de terre, le musée archéologique de 1 170 mètres carrés a été salué pour son " design robuste et simple, mais puissant dans son imperfection artificielle [qui] ajoute de la valeur au bâtiment ", par un jury d'exception composé notamment d'Emily Booth, rédactrice en chef d'AJ ou encore de Cindy Walters (Walters et Cohen), ancienne lauréate. Gloria Cabral, associée de l'agence basée au Paraguay Gabinete de Arquitectura, a quant à elle reçu le prix Moira Gemmill pour l'Architecture émergeante. Du haut de ses 35 ans, la jeune femme est une star montante de la discipline, déjà encensée par certains de ses confrères comme Peter Zumthor pour son rapport délicat à la matérialité. Très attachée à la brique paraguayenne, c'est l'utilisation poétique qu'elle en fait qui est ici récompensée. Le jury " composé d'Ilze Wolf (Wolff Architects), d'Anna Puigjaner et Maria Charneco (MAIO) ainsi que de Sook Hee Chun (WISE Architecture) ", l'a félicitée pour " sa passion contagieuse " et son " engagement extraordinaire envers l'architecture ". " Gloria Cabral a une telle énergie dans son travail " et cela rayonne. De sa compréhension sensible des matériaux à sa vision créative, elle est la lauréate la plus méritante du Prix Moira Gemmell pour l'architecture émergente. "  Emily Booth, rédactrice en chef d'Architects' Journal Un événement qui met en valeur la création architecturale féminine mais qui, par le critère même de sélection, bien que prétendant lutter contre leur exclusion du secteur, les met à l'écart de leurs confrères masculins. Une initiative à saluer avec réserve donc. Cependant, nous ne pouvons qu'applaudir la sélection 2018 qui met en lumière la profession sud-américaine, encore trop peu exposée. Un évènement à double tranchant qui permet tout de même d'accroître la visibilité de ses brillantes lauréates. Pour en savoir plus, visitez le site de Women in Architecture Award Photographies :1) 3) 4) 5) 6) Sandra Barclay - Cristobal Palma2) 7) 8) 9) 10) Gloria Cabral - Frederico Cairoli
Il y a 7 ans et 59 jours

Le nouveau Tribunal de Grande Instance de Paris deux fois primé

Le Tribunal de Grande Instance de Paris, qui ouvrira ses portes au printemps 2018, a été récompensé par le Grand prix national de l'Ingénierie et l'Équerre d'argent 2017. Il est également certifié HQE Bâtiment Tertiaire par Certivéa. La conception de ce bâtiment moderne exemplaire a mobilisé l'expertise du CSTB en aérodynamique et éclairage, et son intervention dans l'évaluation de procédés innovants. La stabilité au vent de l'édifice 160 mètres de haut, 38 étages construits sur 3 blocs au-dessus d'un socle : le Tribunal de Grande Instance (TGI) est le deuxième plus haut bâtiment à Paris. Son architecture atypique, très large dans un sens et étroite dans l'autre, a été dessinée par l'agence d'architecture Renzo Piano Building Workshop pour optimiser l'espace au sol. Cette forme effilée expose fortement la structure aux vents. Le rôle du CSTB a consisté à mesurer la résistance au vent de l'édifice, au travers d'essais en soufflerie sur une maquette du projet à l'échelle 1/250e. Son étude aérodynamique a contribué à orienter la conception de l'ouvrage autour de 3 noyaux de béton, qui forment sa colonne vertébrale (structure principale). Par ailleurs, sur les plus hauts étages de ses 3 blocs, l'édifice intègre des panneaux photovoltaïques destinés à couvrir une partie de ses besoins en énergie. Mesurer les efforts de ces panneaux photovoltaïques en façade, soumis au vent, est important pour garantir leur stabilité. Dans cet objectif, des tests en soufflerie atmosphérique ont été réalisés par le CSTB sur une maquette au 1/75e des panneaux. Le confort des usagers Autre enjeu de conception : le confort des 9 000 personnes qui vont chaque jour fréquenter le Tribunal de Grande Instance de Paris. Paré de verre en façade, le TGI ouvre ses portes, à l'intérieur, sur un atrium haut et lumineux : la salle des pas perdus. Les experts du CSTB ont été sollicités pour l'étude et l'optimisation de l'éclairage naturel de cet espace de plus de 5 000 m². Façade vitrée, verrière ou puits de lumière ? Avec quels vitrages ? Et quelle forme pour les puits de lumière ? C'est à ces questions que le CSTB s'est attelé, en s'appuyant sur un modèle 3D complet du TGI et son logiciel de photo-simulation Phanie. Le CSTB a comparé l'apport de chaque type d'ouverture pour différentes configurations d'aménagement et diverses conditions lumineuses extérieures (ciel couvert, ciel serein?). Ses simulations d'éclairage ont guidé les choix architecturaux de l'atrium. Celui-ci se pare ainsi aujourd'hui d'une façade vitrée et de nombreux puits de lumière, orientés sud pour un rendement optimisé. Par ailleurs, le CSTB a accompagné la conception des trois grandes terrasses végétalisées du TGI. Situées à plus de 30 mètres au-dessus du sol, dans un environnement de faible hauteur, celles-ci sont très exposées au vent. Afin de les rendre confortables aux usagers, le projet a intégré des garde-corps de protection. Le CSTB, sollicité pour évaluer et optimiser cette installation, a montré l'intérêt d'adapter localement la taille et la porosité de ces écrans. C'est le cas par exemple sur certaines zones proches des tours, exposées aux vents d'ouest dominants. Le CSTB a appuyé ses recommandations sur les résultats d'essais menés en soufflerie atmosphérique. Après avoir reproduit sur maquette au 1/250ème l'aménagement des terrasses végétalisées, il a testé et analysé différentes configurations pour améliorer leur confort au vent. Enfin, le bien-être des occupants du TGI a été renforcé par le choix d'une façade double peau. Concrètement, une lame d'air sépare la peau extérieure et la peau intérieure, toutes deux en verre. La seconde est dotée d'ouvrants, ce qui contribue à la bonne ventilation des lieux. Le CSTB est intervenu dans l'évaluation (ATEx de type b) du procédé de collage (mastic VEC) qui maintient la peau extérieure sur l'ossature du bâtiment. Dans ce cadre, il a réalisé des essais à échelle 1 pour le façadier Permasteelisa. Le procédé a été testé en chambre climatique pour vérifier qu'en toutes circonstances, il n'y avait pas d'embuage. En savoir plus : L'expertise du CSTB au service des Grands Ouvrages Évaluation (ATEx) par le CSTB des procédés innovants Film sur l'ingénierie du Tribunal de Grande Instance de Paris (Setec TPi) Grand Prix national de l'Ingénierie 2017 : lauréats Équerre d'Argent 2017 : palmarès des lauréats
Il y a 7 ans et 59 jours

Le nouveau Tribunal de Grande Instance de Paris deux fois primé

Le Tribunal de Grande Instance de Paris, qui ouvrira ses portes au printemps 2018, a été récompensé par le Grand prix national de l'Ingénierie et l'Équerre d'argent 2017. Il est également certifié HQE Bâtiment Tertiaire par Certivéa. La conception de ce bâtiment moderne exemplaire a mobilisé l'expertise du CSTB en aérodynamique et éclairage, et son intervention dans l'évaluation de procédés innovants. La stabilité au vent de l'édifice 160 mètres de haut, 38 étages construits sur 3 blocs au-dessus d'un socle : le Tribunal de Grande Instance (TGI) est le deuxième plus haut bâtiment à Paris. Son architecture atypique, très large dans un sens et étroite dans l'autre, a été dessinée par l'agence d'architecture Renzo Piano Building Workshop pour optimiser l'espace au sol. Cette forme effilée expose fortement la structure aux vents. Le rôle du CSTB a consisté à mesurer la résistance au vent de l'édifice, au travers d'essais en soufflerie sur une maquette du projet à l'échelle 1/250e. Son étude aérodynamique a contribué à orienter la conception de l'ouvrage autour de 3 noyaux de béton, qui forment sa colonne vertébrale (structure principale). Par ailleurs, sur les plus hauts étages de ses 3 blocs, l'édifice intègre des panneaux photovoltaïques destinés à couvrir une partie de ses besoins en énergie. Mesurer les efforts de ces panneaux photovoltaïques en façade, soumis au vent, est important pour garantir leur stabilité. Dans cet objectif, des tests en soufflerie atmosphérique ont été réalisés par le CSTB sur une maquette au 1/75e des panneaux. Le confort des usagers Autre enjeu de conception : le confort des 9 000 personnes qui vont chaque jour fréquenter le Tribunal de Grande Instance de Paris. Paré de verre en façade, le TGI ouvre ses portes, à l'intérieur, sur un atrium haut et lumineux : la salle des pas perdus. Les experts du CSTB ont été sollicités pour l'étude et l'optimisation de l'éclairage naturel de cet espace de plus de 5 000 m². Façade vitrée, verrière ou puits de lumière ? Avec quels vitrages ? Et quelle forme pour les puits de lumière ? C'est à ces questions que le CSTB s'est attelé, en s'appuyant sur un modèle 3D complet du TGI et son logiciel de photo-simulation Phanie. Le CSTB a comparé l'apport de chaque type d'ouverture pour différentes configurations d'aménagement et diverses conditions lumineuses extérieures (ciel couvert, ciel serein?). Ses simulations d'éclairage ont guidé les choix architecturaux de l'atrium. Celui-ci se pare ainsi aujourd'hui d'une façade vitrée et de nombreux puits de lumière, orientés sud pour un rendement optimisé. Par ailleurs, le CSTB a accompagné la conception des trois grandes terrasses végétalisées du TGI. Situées à plus de 30 mètres au-dessus du sol, dans un environnement de faible hauteur, celles-ci sont très exposées au vent. Afin de les rendre confortables aux usagers, le projet a intégré des garde-corps de protection. Le CSTB, sollicité pour évaluer et optimiser cette installation, a montré l'intérêt d'adapter localement la taille et la porosité de ces écrans. C'est le cas par exemple sur certaines zones proches des tours, exposées aux vents d'ouest dominants. Le CSTB a appuyé ses recommandations sur les résultats d'essais menés en soufflerie atmosphérique. Après avoir reproduit sur maquette au 1/250ème l'aménagement des terrasses végétalisées, il a testé et analysé différentes configurations pour améliorer leur confort au vent. Enfin, le bien-être des occupants du TGI a été renforcé par le choix d'une façade double peau. Concrètement, une lame d'air sépare la peau extérieure et la peau intérieure, toutes deux en verre. La seconde est dotée d'ouvrants, ce qui contribue à la bonne ventilation des lieux. Le CSTB est intervenu dans l'évaluation (ATEx de type b) du procédé de collage (mastic VEC) qui maintient la peau extérieure sur l'ossature du bâtiment. Dans ce cadre, il a réalisé des essais à échelle 1 pour le façadier Permasteelisa. Le procédé a été testé en chambre climatique pour vérifier qu'en toutes circonstances, il n'y avait pas d'embuage. En savoir plus : L'expertise du CSTB au service des Grands Ouvrages Évaluation (ATEx) par le CSTB des procédés innovants Film sur l'ingénierie du Tribunal de Grande Instance de Paris (Setec TPi) Grand Prix national de l'Ingénierie 2017 : lauréats Équerre d'Argent 2017 : palmarès des lauréats
Il y a 7 ans et 73 jours

Événement : Tile of Spain Awards

Durant le Cevisama, salon de la céramique organisé chaque année à Valence (Espagne), a eu lieu la seizième cérémonie des Tile of Spain Awards organisée par l'ASCER " Association Espagnole des Fabricants de Tuiles et de Pavage en Céramique ", afin de promouvoir l'utilisation de cette matière dans la construction. Une occasion de mettre en avant l'exceptionnelle production architecturale de la péninsule ibérique. Prix Architecture : domaine viticole du Mont-Ras, Jorge Vidal et Víctor Rahola Pour la construction de ce Chai de 570 mètres carrés les architectes ont choisi des matériaux simples et minéraux : la brique de terre crue pour les murs périphériques constitués de dix demi-cylindres verticaux, et tuile en céramique rouge en parament de cloison à l'intérieur. Un projet qui a charmé le jury par son esthétique rustique et industrielle, entrant parfaitement en écho avec son environnement campagnard, mais aussi par la modularité du système constructif, permettant d'agrandir l'ensemble selon les besoins.. Mention spéciale Architecture, première place : extension et rénovation des ateliers Gon-Gar, NUA arquitectures Edifiés il y a plus de 50 ans, les ateliers de réparation Gon-Gar consistent en un groupement d'entrepôts disposés en U autour d'une cour centrale. Le défi des maîtres d'"uvre consistait à ajouter à l'est, à l'angle de deux rues, un nouveau bâtiment comprenant bureaux et showrooms, qui soit en accord avec son environnement industriel. Pour cela, ils ont imaginé un ouvrage coiffé de sheds, dont la façade est en partie vêtue de brique de terre crue. À l'intérieur, les doubles hauteurs et les percées créées entre les bâtiments révèlent les faïences ocres et les tuiles de grès de l'édifice d'origine, générant une atmosphère manufacturière mais chaleureuse.. Mention spéciale Architecture, seconde place : hôtel Santacreu de l'île de Tabarca, Diego López Fuster + SUBARQUITECTURA Au c"ur du seul et unique village de la minuscule péninsule de Tabarca, au sud-est de l'Espagne, les architectes intègrent entre deux maisons typiquement méditerranéennes, un monolithe de béton paré à l'intérieur comme à l'extérieur de céramique, hébergeant dix confortables chambres de 18 mètres carrés chacune. Le revêtement en tuile couleur sable issue de terres calcaires et ses joints ne font qu'un.. Prix Intérieur : trois stations de métro à Barcelone, Garcés - de Seta - Bonet Arquitectes Pour la construction des trois nouvelles stations de la Ligne 9 du métro de Barcelone " Mercabarna, Parc Logístic et Europa Fira ", l'agence Garcés - de Seta - Bonet Arquitectes a pris le parti d'un aménagement minimaliste et fonctionnel. Les gaines techniques sont laissées apparentes, à l'image des murs et de la structure porteuse en béton brute de décoffrage. Seul le sol a fait l'objet d'un traitement de finition plus abouti, par le recours à un revêtement en porcelaine gris mat, facile à entretenir, qui unifie l'ensemble. . Mention spéciale Intérieur, première place : Can Picafort, Ted'A arquitectes Dans cette maison de trois étages hébergeant des appartements pour vacanciers, un aménagement éclectique et estival a été imaginé. Parterre comme sur les murs, textures et motifs se mêlent. Trois types de céramique on été utilisés : des carreaux de forme carrée et de couleur ocre séparés par de larges gros joints au sol, des azulejos rosés et zébrés sur les cloisons et des tuiles oranges longitudinales pour les espaces de services " cuisine et salle d'eau. Le résultat ? Une ambiance chaleureuse et pleine de vie.. Mention spéciale Intérieur, seconde place : rénovation d'une maison, ARQUITECTURA-G Afin de mettre en valeur les généreux espaces de vie qu'offre cette demeure située dans un village de la campagne du nord du pays, les architectes ont habillé l'intégralité des surfaces horizontales " le sol, les bancs, les marches, les plans de travail ", de faïences carrées rouges. Cette utilisation simple et élégante de la céramique a séduit le jury par le contraste fort qu'elle offre avec la blancheur immaculée des murs et du plafond, permettant alors de créer un lien visuel entre toutes les pièces de la maison... Prix Étudiant : un jardin-paysage, Rafael López-Toribio Moreno Actuellement élève en dernière année à l'École Technique Supérieure d'Architecture de Grenade, Rafael López-Toribio Moreno imagine au c"ur de la ville, dans un terrain en pente, un jardin public composé de deux terrasses successives précédant un centre d'information touristique. Le chemin piéton reliant le haut et le bas de la parcelle est constitué d'un assemblage de morceaux de céramique irréguliers liés par un mortier. Il rend ainsi hommage aux nombreuses constructions en terre de la cité andalouse tout en faisant écho à sa culture sociale éclectique. Pour en savoir plus, visitez le site de Tile of Spain Awards Photographies :1) Luis Díaz Díaz2) José Hevia3) Adriá Goula4) Jesús Granada5) Adrià Goula6) Luis Díaz Díaz7) José Hevia8) Rafael López-Toribio Moreno  
Il y a 7 ans et 81 jours

Lancement de la 4ème édition du concours "La tuile terre cuite Architendance"

Tous les deux ans, la Fédération Française des Tuiles et Briques organise le Grand Prix "La Tuile Terre Cuite Architendance" en partenariat avec le rma, Réseau des Maisons de l''Architecture.
Il y a 7 ans et 81 jours

4ème édition du concours La tuile terre cuite

Tous les deux ans, la Fédération Française des Tuiles et Briques organise le Grand Prix La Tuile Terre Cuite Architendance en partenariat avec le RMA, Réseau des Maisons de l'Architecture. Jusqu'au 30 juin 2018. Ouvert à tous les architectes exerçant […] L'article 4ème édition du concours La tuile terre cuite est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 86 jours

Le concours " La Tuile Terre Cuite Architendance " revient pour une 4ème édition

L'édition 2018 du Grand Prix " La Tuile Terre Cuite Architendance " vient d'être lancée ! Organisé tous les deux ans par la Fédération Française Tuiles et Briques, en partenariat avec le Réseau des Maisons de l'Architecture (RMA), le concours récompense des projets qui utilisent la tuile terre cuite dans des réalisations " innovantes et inattendus ". Trois catégories concourent : Logement individuel, Habitat collectif et Equipement / Bâtiment tertiaire.
Il y a 7 ans et 121 jours

Appel à projets pour le Grand Prix Afex 2018 de l'architecture dans le monde

Architectes français à l'export (Afex) a lancé un appel à projets pour la prochaine édition du Grand Prix de l'architecture française dans le monde qui sera remis lors de la Biennale de Venise 2018...
Il y a 7 ans et 134 jours

Braderie de Noël au Pavillon de l'Arsenal

Une grande sélection d'ouvrages de référence édités ou co-édités : Guide d'architecture, catalogues d'expositions, monographies, ainsi que des ouvrages internationaux sur l'architecture, l'urbanisme, le paysage, à petits prix. A découvrir également, un grand choix d'objets design et cadeaux inédits liés à l'architecture.
Il y a 7 ans et 139 jours

Bibliothèques de produits BTP online : Quelle offre pour les fabricants ?

Préambule À la fois sources d'informations pour les prescripteurs et outils de communication pour les industriels, les bibliothèques de produits et matériaux gagnent du terrain dans la sphère virtuelle du BTP. C'est pourquoi CIMBAT vous propose un petit tour d'horizon des principales bibliothèques de produits BTP online.   Par soucis de clarté, nous les classerons en 3 catégories dans cet article : 1- Les bibliothèques des grands médias web BTP2- Les autres bibliothèques BTP généralistes3- Les bibliothèques spécialisées   CIMBAT vous présentera également keeBAT, la solution de veille digitale du BTP, qui permet d'être informé de toutes les nouveautés ajoutées dans les différentes bibliothèques de produits (de façon ciblée, par rapport à son secteur/ses concurrents). Remarques et conseils : ·         La mise en ligne de vos produits est quasi toujours payante. Mais attention, la seule présence ne suffit pas. En caricaturant, on pourrait même dire que la présence passive de produits sert surtout au média. Sauf s'il est assorti de push ! Le push est un moyen utilisé par le média pour propulser la notoriété du produit. Il s'agit généralement de newsletter d'actualités ou de newsletter thématiques. Privilégiez donc des offres assorties de push. ·         Attention au duplicate. Ne copiez/collez pas les descriptions de produits que vous avez déjà sur vos sites, cela pénaliserait vos sites web. Réécrivez donc la description de vos produits. ·         Pensez à la mise à jour de vos produits. Certaines informations publiées sur les médias deviennent vite obsolètes. Ou alors, veillez à ne pas publier trop d'éléments susceptibles d'être modifiés. ·         Attention : en cas d'arrêt de contrat, les médias ont tendance à ne pas vouloir forcément supprimer vos produits de leur base, car ils génèrent du trafic en référencement naturel. Veillez, si vos produits sont conservés, à ce qu'ils ne servent pas de " lièvre " à vos concurrents ! Nous avons régulièrement des retours sur ce genre de pratiques douteuses qui consistent à se servir d'un produit phare pour générer des contacts pour le produit concurrent qui lui, a payé ! Faites régulièrement des tests de contact sur vos propres produits et si vous ne recevez rien, exigez leur suppression. ·         Surveillez vos concurrents sur ces médias et regardez la place qu'ils occupent et les nouveaux entrants. KeeBAT, l'application de veille digitale propose un service de surveillance de produits.  Les bibliothèques des grands médias web BTP Les 4 plus grands médias d'actualités BTP proposent chacun leur propre bibliothèque de produits. Nous les présenterons dans l'ordre de leur classement ACPM/OJD (Alliance pour les chiffres de la presse et des médias). La produithèque Batiactu La bibliothèque de produits et matériaux de Batiactu annonce plus de 10 000 fabricants et prestataires référencés avec une mise à jour continue des données. Comme toutes les autres bibliothèques de produits, elle propose deux modes de recherches : guidée via des catégories/sous-catégories ou par mots-clés. Chaque page produit propose des liens directs vers les sites internet des industriels/prestataires et un formulaire de contact. Disposant d'une base de 395 000 professionnels abonnés, Batiactu propose chaque semaine dans sa newsletter un dossier " Produits " thématique (isolation, menuiserie, développement durable, aménagement urbain, etc.), soit plus de 50 dossiers par an. produits.batiactu.com Batiproduits (LeMoniteur) Créée en 2001, la bibliothèque du Moniteur offre un grand choix de produits avec plus de 30 000 références/5 000 fabricants répartis en plus de 2 000 catégories. Cette imposante collection de produits rencontre un vrai succès auprès des prescripteurs puisque le site assure près de 200 000 mises en relation par an. Un succès notamment dû à la présence d'une sélection de produits dans la lettre du Moniteur, 1ère newsletter auprès des Architectes et des Artisans (selon les enquêtes CAPEB-CNOA datant de Septembre 2016). www.batiproduits.com Batiweb Le numéro 3 de l'info Bâtiment en ligne affiche lui plus de 55 000 produits et 6 000 fabricants. Dotée d'un moteur de recherche pertinent, la bibliothèque propose des fiches-produits à la présentation classique, mais efficace, avec également un lien vers formulaire de contact et un autre vers le site du fabricant. La bibliothèque de produits Batiweb est quotidiennement mise en avant par la newsletter du média qui compte près de 250 000 abonnés. http://www.batiweb.com/produit-btp.html Batirama Nous concluons ce premier tour des bibliothèques de produits des poids lourds de l'info BTP online avec celle de Batirama, qui est riche de plus de 25 000 références (3 400 fabricants) et 1 500 rubriques. Poussée chaque semaine par 3 newsletters d'actualités proposant 12 modules produits et 1 newsletter thématique comprenant 6 à 16 modules produits, la bibliothèque Batirama annonce à, ce jour, 737 000 affichages de fiches produits sur le site et 13 500 demandes de renseignements depuis le 1er janvier 2017. www.batirama.com/rubrique-produit/0-principale-page-1.html Les autres bibliothèques BTP généralistes ArchiExpo ArchiExpo se présente comme " l'outil de sourcing idéal pour les architectes, les designers d'intérieur, les fabricants ? " en proposant plus de 511 000 produits et 98 000 catalogues/documentations techniques. D'un point de vue pratique, cette bibliothèque de produits est ergonomique et il est aisé d'accéder à l'information produit souhaitée en quelques clics (notamment grâce à la barre de recherche orientant au choix vers les produits, les catalogues, les projets ou les actualités). De qualité, les fiches produits peuvent proposer plusieurs photos, des vidéos, un lien vers les documentations et les catalogues dont ils sont issus ainsi que la possibilité de trouver le point de vente le plus proche, le site de l'industriel ou encore le traditionnel formulaire de contact. Fonctionnalité sympathique, il est possible de consulter d'autres fiches produits présentes dans les suggestions en bas de page, sans quitter la page actuellement consultée. Chaque mois, ArchiExpo met en avant une sélection de produits dans sa newsletter dédiée aux nouveaux projets architecturaux et design. http://www.archiexpo.fr Batinfo   Anciennement connu sous le nom de Batidoc, Batinfo revient le 1er novembre avec une toute nouvelle plate-forme référençant les produits et matériaux du BTP. Adaptée à la navigation depuis smartphone/tablette et disposant d'un graphisme moderne et agréable, la bibliothèque Batinfo dispose de vrais atouts pour séduire les industriels : - Dédoublonnage : Batinfo propose une synthèse en temps réel avec un historique des interactions entre le contact et les différents produits du fabricant.  - Fiches personnalisables : documentation générale et technique, objet BIM/CAO, vidéos, liens web. - Abonnement avec assurance d'un certain nombre de contacts : Si à la fin de la durée d'abonnement (1 an), l'industriel n'a pas obtenu autant de contact que prévu, l'abonnement est prolongé gratuitement jusqu'à ce que l'objectif soit atteint.  Côté prescripteurs, plus besoin de remplir des tas de formulaires. Batinfo propose un système de compte. Une fois identifié, le prescripteur peut facilement contacter autant d'industriel qu'il le souhaite.   www.batinfo.com  Archi-Material Archi-Material est une bibliothèque de produits et matériaux aux allures de réseau social puisqu'elle est assortie d'outils de gestion et de partage offrant la possibilité d'enrichir les contenus des fiches-produits proposées, d'ajouter des commentaires à ses produits favoris ou encore de créer des listes de produits par projets et de les partager. Elle permet également aux prescripteurs d'associer des contacts à son compte et offre un suivi statistique poussé aux industriels. Archi-Material référence actuellement près de 1 200 industriels, 5 000 produits détaillés et 15 000 fichiers à télécharger. www.archi-material.com Les bibliothèques spécialisées Batiguide        Batiguide regroupe un ensemble de marketplaces étant chacune dédié à un domaine particulier de l'Aménagement . Construction. On retrouve ainsi une place de marché BTP, une place consacrée au Génie-Climatique, mais aussi d'autres qui sont spécialisées : Décoration, Menuiserie-Fermeture, Environnement et Protection. Batiguide propose également aux industriels de mettre en ligne différents types de contenus : vidéos-reportages, offres d'emplois, annonces, communiqués de presse, présentation de l'entreprise, catalogues produits, etc. www.batiguide.fr/marketplace Génie Climatique Génie Climatique est une revue papier professionnelle (créée par Pyc Édition, groupe de presse professionnelle indépendant) qui, comme son nom l'indique, est spécialisée sur la thématique chauffage, ventilation, climatisation, fumisterie. Le site internet de la revue propose sa propre bibliothèque de produits dédiée à cet univers. On y retrouve plus de 600 références réparties en près de 100 catégories. www.genieclimatique.fr Xpair Xpair est un portail thématique et une bibliothèque de produits sur la performance énergétique : chauffage, énergies renouvelables, climatisation, isolation, piscine, plomberie, hydraulique, etc. Faisant partie du groupe Batiactu, le site mise sur ses statistiques de fréquentation qu'il publie chaque mois en toute transparence pour convaincre les industriels. C'est ainsi qu'il compte 180 000 visites pour plus de 328 600 pages vues en septembre. www.xpair.com Tamzag E-catalogue du génie électrique et climatique (chauffage, sanitaire, énergies renouvelables, outillage, etc.), Tamzag est une base de données recensant 2 000 000 de produits issus de 400 fabricants/distributeurs et répartis en près de 3 000 familles Pouvant être intégré aux logiciels de devis, il fait également bénéficier aux industriels d'un moteur de recherche efficace et de prix actualisés en permanence. www.tamzag.com   keeBAT, l'outil de veille incontournable du Bâtiment et de l'Architecture keeBAT n'est pas une bibliothèque de produits, mais un outil de veille digitale approfondie pour les domaines du Bâtiment et de l'Architecture. Si nous avons décidé d'en parler dans cet article, c'est qu'il intègre, parmi ses nombreuses fonctionnalités, la possibilité d'effectuer une veille ciblée sur l'ensemble des bibliothèques de produits. Les avantages de cette solution pour les professionnels (industriels, prescripteurs, négoces) : - Être informé des derniers produits et matériaux ajoutés dans les bibliothèques de produits - Grâce à un système de mots-clés, le professionnel ne reçoit que les informations qui l'intéressent réellement : les nouveautés des marchés qui l'intéressent, ainsi que celles de ses concurrents. - Toutes ces informations sont réunies dans un unique flux pour gagner du temps (possibilité de trier les informations, les mettre en favoris, etc.) Si vous souhaitez en savoir plus, nous vous invitons à consulter l'article que nous avions consacré à cet outil ou à visiter directement : www.keebat.fr
Il y a 7 ans et 145 jours

Appel à projets pour le Grand Prix Afex 2018 de l'architecture dans le monde

Architectes français à l'export (Afex), lance son appel à projets pour la prochaine édition du Grand Prix de l'architecture française dans le monde qui sera remis lors de la Biennale de Venise 2018...
Il y a 7 ans et 155 jours

BigMat International Architecture Award 2017 : un palmarès éclectique

CONCOURS. L'enseigne de distribution des matériaux et produits de construction BigMat a révélé les lauréats de la 3e édition de son Grand Prix International d'Architecture. Parmi les 900 projets présentés, quinze ont été récompensés par un jury européen, présidé par l'Espagnol Jesus Aparicio. Pas moins de trois réalisations françaises ont été distinguées. Découvrez lesquelles.
Il y a 7 ans et 155 jours

Des bâtiments remarquables

  BigMat, 1ère enseigne internationale de distributeurs indépendants de matériaux et produits pour la rénovation et la construction, a dévoilé les lauréats de la 3ème édition de son Grand Prix International d’Architecture.
Il y a 7 ans et 221 jours

Les Trophées Placo dévoilent leurs lauréats 2017

Au terme d'une compétition acharnée, la 15ème édition des Trophées Placo s'est achevée vendredi dernier à l'occasion d'une grande soirée de remise de prix au Grand Palais, à Paris. Six entreprises ont ainsi été récompensées pour leurs projets innovants qui mêlent haute technicité, architecture remarquable et performances exemplaires. Retour sur le palmarès.
Il y a 7 ans et 221 jours

Appel à projets pour le Grand Prix Afex 2018 de l'architecture française dans le monde

Architectes français à l'export (Afex), lance l'appel à projets pour son l'édition 2018 de son Grand Prix?
Il y a 7 ans et 222 jours

Grand Prix AFEX 2018 : l'appel à projets est lancé

L'association des architectes français à l'export (AFEX), vient de lancer l'appel à projets du Grand Prix AFEX 2018 de l'architecture française dans le monde. Seront examinées des réalisations livrées hors de France entre le 1er janvier 2016 et le 31 décembre 2017.
Il y a 7 ans et 290 jours

Retour Sur : Festival des Architectures Vives 2017

Cette année, le Festival des Architectures Vives de Montpellier (34) présentait 12 installations artistiques et un pavillon réalisé par le studio local ØNA Architecture. Avec ses 16 000 visiteurs, l'évènement mêlant architecture et patrimoine vernaculaire permet au grand public de découvrir les travaux de jeunes artistes prometteurs. Retour sur cet événement, dont les réalisations abordent le thème des émotions. Pavillon du FAV 2017 : Émotion Verticale, ØNA ArchitecturePoint de départ du festival, le pavillon d'accueil et d'information est essentiel au bon déroulement de l'évènement. Placé au c"ur de la cours de la CCI de Montpellier, en plein centre-ville, il présente en outre une rétrospectives des travaux les plus marquants du FAV. C'est également ici que le public se réunit pour élire la meilleure installation du festival.Cette année, cette lourde tâche a été confiée aux Montpelliérains de l'agence ØNA Architecture qui réalisent Émotion Verticale, une structure composée d'une multitude de poteaux blancs en acier de hauteurs diverses, rappelant les célèbres colonnes de Buren. À travers cet ouvrage, les concepteurs ont voulu réinterpréter les pilastres en pierre de la CCI datant de 1704. Prix du Jury : Paper Cloud, Studio 3ALe Studio 3A est le fruit de la rencontre hétéroclite de trois pays aux antipodes les uns des autres : le Japon, l'Allemagne et le Mexique. Cette mixité se ressent dans ses travaux, dont le but est de comprendre les différents contextes et cultures dans lesquels ils s'inscrivent. Avec Paper Cloud, le collectif imagine une structure cubique inachevée en papier immaculé, composée d'éléments tubulaires superposés et encastrés. Laissant filtrer la lumière du jour, l'oeuvre nébuleuse contraste avec le site en pierre sur lequel elle est placée : statique et massif. Lorsque le visiteur pénètre au sein de l'"uvre, la lumière s'atténue et le laisse pensif, seul avec lui-même. Prix du Public : Immersion, Lucia Martinez Pluchino, Raquel Duran PuentePour ce projet, le duo bordelais a souhaité pousser les limites de l'immersion au maximum en remplissant la cour de ballons rouges. Un procédé simple mais vecteur d'émotions : les baudruches colorées, symboles de l'enfance procurant un certain sentiment de nostalgie, filtrent la lumière et diffuse leur teinte carmin à la manière de projecteurs. Le lieu de passage dans lequel cette réalisation prend place obstrue le parcours habituel du visiteur mais lui permet de laisser libre cours à son imagination : il peut aussi bien s'agacer et frapper les balles pour passer, ou s'en amuser et retomber en enfance. Mention spéciale : La Madeleine, Atelier MicromegaMicromega, un collectif lyonnais composé de cinq jeunes diplômés en architecture, conçoit des ouvrages créatifs, ludiques et engagés. Cette fraîcheur se retrouve dans La Madeleine, dont le nom n'est pas sans évoquer la madeleine de Proust et donc, le rapport à l'enfance. Cet ouvrage évolutif se matérialise par de grands blocs de construction colorés que le passant est invité à imbriquer les uns dans les autres au gré de ses envies pour créer sa cabane, comme lorsqu'il était petit. À travers, Concentrico 03Réalisée par le collectif espagnol Concentrico 03, ce travail s'établie au c"ur de la cour d'un hôtel particulier de Montpellier isolant l'"uvre de l'effervescence de la ville. La présence d'un puits central inspire au studio À travers, une structure labyrinthique en bois aux parois courbes. Plusieurs chemins mènent à la cavité, vestige d'un autre temps et permettent au spectateur de prendre le temps de flâner pour appréhender différemment l'histoire du lieu. AAA, ODDIssues de cultures différentes " la première est écossaise, la suivante est espagnole et australienne et la dernière, franco-belge ", les trois architectes diplômées de l'ENSAM sont rassemblées par la même sensibilité créatrice sous la bannière ODD. Placé dans la cour de l'Hôtel de Griffy, AAA intrigue par sa forme et sa couleur. Lorsque le promeneur se balade dans la cour, il se retrouve effectivement confronté à un grand mur noir comprenant une entrée qui le mène dans un corridor sinueux et sombre, peu rassurant. Le nom de l'oeuvre provient des différents stades émotifs par lesquels elle fait passer le spectateur : anticipation, appréhension et angoisse. El Dorado, Collectif Pourquoi Pas ?!Pour cette structure, le collectif lyonnais Pourquoi Pas ?! s'inspire des mythes, épopées et chasses au trésor présents dans l'imaginaire collectif comme la quête de Perceval ou celle de Sir Walter Raleigh en Guyane. En partant des schémas narratifs, les concepteurs d'El Dorado traduisent de façon architecturale les différentes phases émotives par lesquelles passe le protagoniste : le doute, la résignation, la joie " lorsque s'achève la quête ", à travers une "uvre verticale, faite de tiges en acier posées sur un socle en cuivre agrémenté d'écrous que le spectateur est invité à faire glisser sur les baguettes. L'ouvrage s'accompagne d'un dispositif sonore hypnotique, plongeant le visiteur dans une atmosphère unique, presque mystique. Forme Sauvage, Lilit SarkisianAvec ce projet, l'architecte russe issue du collectif parisien Silteplait, Lilit Sarkisian, fait jouer l'imagination des spectateurs, leur laissant le libre choix d'interpréter les formes en plastique rose translucide assoupli par une thermo-formation qui composent Forme Sauvage. Surmontées d'un diffuseur de brume parfumée, l'ensemble déforme l'espace dans lequel il est positionné. Si l'on lève la tête, l'architecture apparaît comme distordue lorsqu'on la regarde à travers les éléments transparents tandis que si l'on baisse les yeux, des ombres colorées dansent au sol. Tous les sens sont mis à l'épreuve et le flâneur se retrouve happé dans un univers irréel, comme dans un rêve. I Love Montpellier, PistachOfficeL'oeuvre imaginée par le collectif néerlandais PistachOffice se base autour d'une unique émotion, un seul sentiment : l'amour. Pour cela, il a pris le parti de faire de Montpellier, le temps de l'événement, la capitale de la passion, de la tendresse, de l'échange, du désir... I Love Montpellier est un banc circulaire carmin dont l'ergonomie est inspirée des positions du baiser, de la séduction ou de la trahison. La partie vide que dessine sa forme est remplie de ballons en forme de c"ur rouge, à la fois kitch et symbole universel de ce sentiment régissant nos vies. Tomber dans le ciel, École d'Architecture de Saint-Sébastien (Espagne)Tomber dans le ciel est un ensemble imaginé par les étudiants de 5e année de l'École d'Architecture de Saint-Sébastien, questionnant les limites de l'espace privé à travers la sensation de vertige. Pour accéder à la cour de l'Hôtel des Trésoriers de la Bourse où la composition est positionnée, le visiteur doit passer par une porte rouge placée dans une structure en bois. Une fois passé ce seuil, il se retrouve sur le point de tomber... dans le ciel. En effet, au sol, une mosaïque de miroirs carrés reflète et déforme les cieux, comme une brèche nous plongeant dans un univers parallèle. Ces éléments réfléchissant agrandissent également, par jeu d'optique, l'espace étroit du patio, accentuant ainsi l'aspect vide de la parcelle. Souvenir Particulier, Collectif CommunLe thème de l'émotion évoque au Collectif Commun l'enfance et la nostalgie, qu'il retraduit par une structure courbe immaculée à travers laquelle, par de petits trous, le spectateur peut observer des éléments de sa jeunesse. Ces volumes internes sont des interprétations en trois dimensions de dessins puérils, que nous avons tous exécuté un jour où l'autre. En les dissimulant au sein de la structure massive, les concepteurs poussent le visiteur à se baisser, à prendre la taille qu'il avait lorsqu'il était petit et, enfin, à prendre du recul sur le bambin qu'il était autrefois. The Curtain, Maria Anton Barco, Maria Salan et Maria RamosImaginé par Maria Salan et Maria Ramos, membres talentueuses du programme Interior Design à ESNE Madrid, et par la directrice de cette plateforme, Maria Anton Barco, The Curtain est un rideau positionné à l'entrée d'une cour, floutant les frontières entre paysage réel et artificiel. Cette cascade de feuilles automnales taillées dans du plexiglas laisse transparaître les différentes nuances du jour produisant ainsi des ombres plus que vraisemblables au sol, à la manière d'un site bucolique. Placée au milieu d'une réalisation architecturale pérenne, elle apporte un peu de nature au sein de un espace minéral et procure aux promeneurs un sentiment de calme et de satisfaction apporté par un cadre pittoresque en plein automne. TR-24, Ben-DaoLe parcours se termine par un agencement sobre et minimaliste, uniquement composé de tourniquets aux portes opaques. Ici, rien n'est imposé : le flâneur se déplace à sa guise. Pour TR-24, le collectif parisien Ben-Dao questionne la nature même d'une cour, c'est-à-dire un lieu de passage, et pousse cette fonction à son paroxysme. La répétition de ce module circulaire simple permet au passager de se rendre compte du chemin qu'il effectue et de prendre une certaine distance avec le chemin qu'il parcourt habituellement sans s'en rendre compte. Pour en savoir plus, visitez le site du FAV Photographies : Photo Architecture
Il y a 7 ans et 297 jours

IPhone Photography Awards : Catégorie Architecture

Depuis 10 ans, la marque Apple organise un concours de photographie amateur, avec pour seules contraintes de réaliser des clichés à partir d'un iPhone, et de ne pas poster son "uvre sur les réseaux sociaux au préalable. La firme américaine récompense ainsi chaque année les meilleures prises de vue et leur auteur, au travers de trois grands prix et de mentions honorables. L'édition de cette année a été marquée par l'arrivée de l'iPhone 7 et les douze méga pixels de son objectif. L'évènement s'est également illustré par la participation du réalisateur Michel Gondry avec son très poétique Détour, un court-métrage tourné uniquement à partir dudit téléphone. La catégorie qui nous intéresse ici est celle de l'architecture, qui réserve beaucoup de surprises et à de quoi laisser pantois certains professionnels de la photographie de par la beauté des résultats. Parmi les captations les plus remarquées, les deux premiers lauréats du palmarès : le Taïwanais Paddy Chao et sa superbe image d'un puits à degrés, en Inde, baptisé Chand Baor ; et Naian Feng, qui immortalise la Cité Interdite de Pékin (Chine). " Cette photographie a été prise quand je voyageais à travers l'Inde. Chand Baori est composé de 3 500 marches étroites réparties sur 13 étages. Il s'enfonce sur environ 30 mètres dans le sol, ce qui en fait l'un des plus profonds dans tout le pays. J'ai été émerveillé par ses escaliers élégants et les ombres qu'ils produisaient. J'ai immédiatement sorti mon téléphone et j'ai capturé cette belle scène avant qu'elle ne disparaisse. " Paddy Chao, lauréat du premier prix dans la catégorie Architecture Une façon pour la marque de montrer l'évolution qualitative de ses smartphones et de communiquer de manière originale et innovante sur ses produits. L'appel à candidature 2018 est d'ores et déjà lancé : à vos portables ! Pour en savoir plus, visitez le site d'Ippawards  Photographies : 1) Cocu Liu2) Paddy Chao, 1ère place3) Naian Feng, 2e place4) Anna Kochergina5) C-Shen6) Greg Arment 7) Jessica Dyer8) Jonathan Rapoport 9) Kuanglong Zhang10) Marion Gaillardet 11) Mathieu Cornelus12) Xiaoyang Wang
Il y a 7 ans et 298 jours

Villa Noailles Hyères : Design Parade

Pour la deuxième année consécutive, la villa Noailles organise la Design Parade, un festival mettant à l'honneur le design et l'architecture, à Hyères (83) et à Toulon (83). À travers deux concours, les organisateurs de l'évènement souhaitent promouvoir la jeune création et les talents de demain. À cette occasion, quatre prix ont été décernés. Grand Prix Design Parade Toulon Van Cleef & Arpels : Imajaghan, par Paul Brissonnet et Alexandre Benjamin NavetRespectivement diplômés de l'École de Design de Nantes-Atlantique et de l'ENSCI - Les Ateliers de Paris, Paul et Alexandre imaginent un environnement modifiant le logement afin de stimuler l'imagination de ses occupants. Inspiré du mode de vie des nomades, Imajaghan " signifiant " guerrier " en berbère ", reprend les codes de l'appartement haussmannien, tels qu'une cheminée surmontée d'un trumeau, en leur ajoutant des reliefs au sol, et une multitude de coffres contenant des éléments de la vie de tous les jours, comme de la vaisselles, des livres, de l'électroménager ou de la nourriture. Ces choses ancrées dans notre quotidien deviennent ainsi des petits trésors.   Prix spécial du Jury : La plage abandonnée, Mathilde Vallantin et Victor LevaiLes deux designers parisiens " elle est diplômée de l'École Duperré, lui des Beaux-Arts de Paris ", réalisent une chambre à la manière d'une cabane au bord de l'eau. Au sol, des motifs de galets et d'ondes nous amènent vers un rocher en plâtre, pièce centrale de la composition. Cette sculpture dissimule un espace de nuit douillet, conçu comme un nid, avec des volumes en osier apportent un sentiment de protection à cet espace de couchage parré de taies d'oreillers évoquant le mouvement des vagues. Autour du roc central se trouve également un point d'eau pensé comme un espace de détente qui abritera lectures et moments de repos des résidents de cette pièce aux effluves de vacances. Mention spéciale Eyes on Talents x Frame : Tool One, Martial MarquetMartial Marquet, formé au South Californian Institute for Architecture de Los Angeles (USA) et diplômé de l'ENSCI - les Ateliers ainsi que de l'École Spéciale d'Architecture de Paris, imagine une salle à manger modulable et chaleureuse. À l'opposé des espaces aseptisés, ce réfectoire reprend les codes primaires du partage de la nourriture, à savoir l'interaction et la convivialité. Ici, l'environnement évolue selon les envies de chacun et les invités assemblent eux-mêmes les différents éléments qui composent leur mobilier " les tabourets, les pieds de tables, ou les supports de lampes "à l'aide de modules rouges, comprenant aussi bien des panneaux en MDF prépercés que des tubes en acier ou des ampoules. Prix du Public de la Ville de Toulon : La chambre sur l'eau, d'Emmanuelle SimonOrganisée autour d'un lit disposé en îlot central sur un empilement de quatre tapis, la chambre imaginée par Emmanuelle Simon, diplômée de L'École Camondo Paris, se compose de matières naturelles et confortables comme le lin ou la laine. Le couchage repose sur une plateforme en bouleau, inspirée d'une barque, et est surmonté d'une structure en grandes arches tressées qui enveloppe son propriétaire ensommeillé. La lumière est filtrée grâce à des voilages translucides rappelant les voiles d'un navire, invitant à un voyage marin. Grand Prix Design Parade Hyère : Future sausage, par Carolien NieblingLe travail de Carolien Niebling, diplômée de l'Université des Arts Artez à Arnheim (Pays-Bas) et de l'ÉCAL de Lausanne (Suisse), où elle vit et travaille aujourd'hui, reprend et questionne les codes d'un élément, pas des plus glamours, de la gastronomie européenne : la saucisse. À travers Future sausage, le designer valorise ainsi son procédé de fabrication " une enveloppe comestible, un stockage facile, une consommation directe et une production de déchets minimale ", tout en remettant en question ses valeurs nutritives, écologiques et hygiéniques. Elle imagine alors une gamme design comestible combinant ingrédients diététiques et esthétiques. Le tout est également accompagné d'un livre illustré présentant de façon scientifique, ludique et plastique l'entièreté du potentiel d'un élément phare de la charcuterie.   Prix spécial du Jury : Hale Bopp, par Léa BardinÀ travers un projet ludique, Léa Bardin, diplômée de l'ENSCI - Les Ateliers, rend la robotique poétique. Elle réalise ici un projet fait de formes imaginaires et sonores , à mille lieux des figurines reprenant des corps humains parfaits et présupposant des scénarios, altérant ainsi l'imagination des plus jeunes. Ainsi, l'oiseau de sa gamme chante si on le place à hauteur de l'"il , mais émet des échos aquatiques lorsqu'il est abaissé au niveau du sol et des bruits évoquant l'espace lorsqu'on l'élève vers le plafond. Le designer fabrique ici une collection ludique et magique, dont le nom s'inspire de la comète Hale Bopp qui frôla la Terre en 1997, lorsqu'elle-même était petite fille.   Mention spéciale Eyes on Talents x Frame : Main d'"uvre, par Ragna RagnarsdottirRagna Ragnarsdottir est une islandaise diplômée de l'ENSCI " Les Atelier qui vit et travaille désormais à Reykjavik (Islande). Elle imagine une collection réalisée grâce à un processus artisanal unique. Le piètement de ces récipients " vases ou bols " est toujours le même, fait de disques en MDF noir superposés et teintés dans la masse, surplombé d'un contenant dont les dimensions varient. La designer y insère ensuite un moule souple fait d'une membrane en latex doublée à l'intérieur d'une contre-forme en polystyrène qu'elle remplit de plusieurs couches de résines aqueuses colorées. Une fois secs et libérés de leur carcan de latex, les différents objets se parent de paysages imaginaires et aléatoires.   Prix du Public de la Ville d'Hyères : Être ou ne paraître, par Arthur HoffnerLe parisien Arthur Hoffner, diplômé de l'École Boule et de l'ENSCI - Les Ateliers, s'intéresse à la thématique de la fontaine et tente de réhabiliter cet objet désuet, un brin kitch en s'inspirant de l'univers de l'électroménager. Partant alors du matériel de plomberie et utilisant ses composants, aux qualités aussi pratiques que plastiques, il réalise des ensembles décoratifs suspendus ou posés en équilibre sur des surfaces du quotidien. On retrouve alors dans ses formes la fonction contemplative et hypnotique des fontaines, placées cette fois-ci dans des intérieurs contemporains. Design Parade Toulon et Hyères, jusqu'au 24 septembre 2017 Pour en savoir plus, visitez le site de la Villa Noailles Hyères Photographies : Emile Kirsh
Il y a 7 ans et 360 jours

Rencontre avec : Patrick Jouin

Il y a 20 ans commençait la carrière " en solo " du designer Patrick Jouin, propulsé sur le devant de la scène par sa participation au Salone de Milan. Retour sur les débuts de cette ancienne jeune pousse du design, dont le talent n'est aujourd'hui plus à prouver et qui, pourtant, se réinvente à chaque collaboration. Muuuz : Il y a vingt ans vous obteniez votre premier stand au Salone del Mobile de Milan. Quel souvenir gardez-vous de vos débuts en tant que designer indépendant ?Patrick Jouin : Avant le Salone, il y a d'abord eu un premier tremplin dans ma carrière qui a été le VIA (Valorisation de l'Innovation dans l'Ameublement) en 1996, qui m'avait attribué sa bourse appelée " appel permanent ". J'avais alors réalisé une petite chaise pour Fermob. La marque est ainsi devenue mon premier éditeur, alors que j'étais encore designer chez Starck à l'époque. Puis le VIA m'a attribué sa Carte blanche, qui n'existe plus maintenant, aux côtés des frères Bourroulec.Par la suite, c'est ma cons"ur Matali Crasset qui m'a parlé du SaloneSatellite [l'une des premières plateformes de lancement de jeunes designers, ndrl] du Salone del Mobile de Milan, auquel elle participait. C'était les tout débuts de l'événement, ce n'était pas du tout ce que c'est maintenant ! À l'époque il avait lieu dans la ville, sur un site qui a depuis été rasé. J'ai alors réservé le dernier stand disponible. " J'ai rassemblé mes travaux dans ma Fiat Punto et dépensé tout mon argent dans la réalisation de prototypes et dans le voyage jusqu'à Milan. Je prenais concrètement mon envol. Je n'ai jamais été aussi fatigué de ma vie mais j'étais empreint d'une excitation phénoménale ! " Je n'avais préparé que 50 cartes de visite et quelques diapositives pour montrer mes réalisations. Elles sont parties en une journée et je ne savais même pas à qui je les avais données. Les éditeurs comme Cappellini ou Flos se sont tous montrés très curieux de ma démarche et j'ai immédiatement été publié. C'est à ce moment que j'ai quitté le studio de Philippe Starck. Que représente pour vous cette plateforme de lancement qu'est le SaloneSatellite ?Il s'agit d'un endroit très excitant, où se réunissent une série de créateurs et leurs " visions ", qui matérialisent un ou deux ans de travail. Il y a là des échecs, des envies, des passions. On y voit de la compétition, des égos... c'est un côté qui peut faire peur. On peut se dire " jamais je ne rencontrerai les éditeurs ".... Mais cela peut se produire, à condition de travailler pour. C'est comme l'amour ou le mariage : on ne peut pas savoir au préalable quand et comment cela va se dérouler ! De fortes histoires se nouent, d'autres se délitent, et il y a aussi parfois des divorces. Quelles sont les nouveautés que vous exposez cette année au Salone ?En tout, je propose sept projets conçus avec cinq éditeurs, utilisant des techniques et matériaux différents. Comme cette année célèbre les 20 ans du SaloneSatellite, l'organisme a demandé aux éditeurs de montrer des pièces spéciales : Fermob a ainsi présenté la chaise Facto réalisée à mes débuts et éditée depuis 20 ans.J'ai également révélé le complément de la gamme Ester, initiée il y a deux ans avec la marque Pedrali, à laquelle nous avons ajouté une barre en aluminium injecté, léger et résistant particulièrement adapté aux fonctions et usages des restaurants. Pour la même marque, nous avons développé le canapé outdoor Reva de 1,5 et 3 places. Son cadre, réalisé dans le même matériau, sur lequel est tendu de la toile Batyline [tissu technique, ndrl], lui permet de sécher rapidement s'il est mouillé. Cela crée une sorte de cage où l'on pose des coussins. À l'attention de Kartell, j'ai réalisé un prototype de lampe/bougeoir en plastique, Candy candle, détournement du bougeoir traditionnel ; et pour Cassina la table Lebeau, allégorie de l'arbre. Concernant la marque Fiam j'ai manipulé le verre cuit. On vient à rebours en recuisant une dalle de verre à laquelle on applique un moule texturé. Quelque part garde la trace du feu. De produit fini à produit artisanal. Avec Porada et la chaise Ella, je me suis penché sur l'utilisation du bois massif en France qui avait en effet quasiment disparue car la matière coûte chère, mais surtout sa mise en "uvre. Certaines grandes maisons le travaillaient toujours, mais la révolution digitale et celle de l'usinage ont vraiment changé la donne, et ont permis de réinvestir le matériau. Ici, chacune des 17 pièces de noyer a ainsi nécessité un réel travail d'ébénisterie. Il s'agit d'un des matériaux qu'on peut utiliser à l'infini. Cela me fascine. Afin de faire la promotion de cette collection, nous avons réalisé une série de photographies de la chaise devant un arbre de la forêt de Fontainebleau, dont les spécimens ont 50 ou 100 ans, parfois 200. Une partie de cette zone est encore utilisée pour la récolte. C'est extraordinaire : afin que les plants ne soient pas tordus par le vent ou mangés par les sangliers ou par les cerfs, ou qu'ils ne souffrent pas de sécheresse, on les protège durant 30 ans. C'est le travail de toute une vie d'un forestier, qui sera récupéré par un autre, puis un autre, qui pourrait être son petit-fils ! Comment choisissez-vous vos collaborations ?Elles sont font naturellement, car je traite avec gens que je connais au sein des grandes maisons d'édition. Je les connaissais déjà un peu à mes débuts grâce à mon travail chez Philippe Starck, qui m'avait mis le pied à l'étrier. Vous avez travaillé plusieurs années pour Philippe Starck, vous semblez pourtant très différents..." En effet, je suis presque l'opposé de Philippe Starck ! On ne peut pas tricher. Par exemple, jouer la star, ce ne serait pas moi. Lui il ne triche pas et le copier serait une catastrophe. " Cela ne sert à rien de regarder avec envie ce qu'on ne peut pas être. Le design est parfois une société de spectacle, certains se déguisent en " super-moi " pour être repérés, alors qu'il y a plein de manières d'y arriver. D'autant plus que tous les éditeurs ne sont pas à l'aise avec ce genre de postures. En définitive, le design est un monde qui reflète plein de manières d'être. C'est une folie de croire qu'on a besoin d'être imbuvable ! Depuis vos premières aventures milanaises, vous revenez souvent dans cette terre du design. Quel est votre attachement à cette zone ?Non loin de Milan, la province de la Brianza, spécialisée dans l'industrie du meuble, est des endroits les plus riches d'Europe. Elle est fondée sur une manière de travailler ensemble dans la compétition mais aussi dans l'entre-aide. Il y a un décalage avec l'Hexagone. Chez nous, on essaie à tout prix de contrôler le savoir-faire à la française, de tout pouvoir faire, du coup nous n'avons pas toujours les meilleures machines. En Italie, c'est différent : chacun est spécialiste d'une technologie. Il y a donc un assemblage des meilleurs savoir-faire pour mener à bien un projet. Finalement, combien de projets traitez-vous simultanément à l'agence ?Environ 45, traités par deux entités distinctes, deux " marques " : il y a Jouin Manku, qui se charge des projets d'architecture et d'architecture d'intérieur ; et Patrick Jouin ID, pour Industrial designer, nom trouvé par l'auteur Pierre Doze. Pourtant aucun de tous vos projets ne se ressemble ! Y a-t-il un " Style Jouin " ?J'essaie d'éviter de faire la même chose. J'ai l'obsession du confort, de la sensualité.On passe longtemps à dessiner les choses, à les utiliser. L'impact visuel ne représente qu'une petite partie. Si au bout 3 heures on est mal sur une chaise : c'est non pour nous !Il s'agit là de mon savoir-faire. Photographies :1) Patrick Jouin, © Benoit Linero2) Reva, Pedrali3) Ella, Porada4) Facto, Fermob5) Reva, Pedrali6) Ester, Pedrali7) Candy Candle, Kartell, © Kartell8) Lebeau Wood, Cassina9) Magma, Fiam10) Ella, Porada11) Louis, Porada Pour en savoir plus, visitez le site de Patrick Jouin
Il y a 7 ans et 360 jours

Rencontre avec : Patrick Jouin

Il y a 20 ans commençait la carrière " en solo " du designer Patrick Jouin, propulsé sur le devant de la scène par sa participation au Salone de Milan. Retour sur les débuts de cette ancienne jeune pousse du design, dont le talent n'est aujourd'hui plus à prouver et qui, pourtant, se réinvente à chaque collaboration. Muuuz : Il y a vingt ans vous obteniez votre premier stand au Salone del Mobile de Milan. Quel souvenir gardez-vous de vos débuts en tant que designer indépendant ?Patrick Jouin : Avant le Salone, il y a d'abord eu un premier tremplin dans ma carrière qui a été le VIA (Valorisation de l'Innovation dans l'Ameublement) en 1996, qui m'avait attribué sa bourse appelée " appel permanent ". J'avais alors réalisé une petite chaise pour Fermob. La marque est ainsi devenue mon premier éditeur, alors que j'étais encore designer chez Starck à l'époque. Puis le VIA m'a attribué sa Carte blanche, qui n'existe plus maintenant, aux côtés des frères Bourroulec.Par la suite, c'est ma cons"ur Matali Crasset qui m'a parlé du SaloneSatellite [l'une des premières plateformes de lancement de jeunes designers, ndrl] du Salone del Mobile de Milan, auquel elle participait. C'était les tout débuts de l'événement, ce n'était pas du tout ce que c'est maintenant ! À l'époque il avait lieu dans la ville, sur un site qui a depuis été rasé. J'ai alors réservé le dernier stand disponible. " J'ai rassemblé mes travaux dans ma Fiat Punto et dépensé tout mon argent dans la réalisation de prototypes et dans le voyage jusqu'à Milan. Je prenais concrètement mon envol. Je n'ai jamais été aussi fatigué de ma vie mais j'étais empreint d'une excitation phénoménale ! " Je n'avais préparé que 50 cartes de visite et quelques diapositives pour montrer mes réalisations. Elles sont parties en une journée et je ne savais même pas à qui je les avais données. Les éditeurs comme Cappellini ou Flos se sont tous montrés très curieux de ma démarche et j'ai immédiatement été publié. C'est à ce moment que j'ai quitté le studio de Philippe Starck. Que représente pour vous cette plateforme de lancement qu'est le SaloneSatellite ?Il s'agit d'un endroit très excitant, où se réunissent une série de créateurs et leurs " visions ", qui matérialisent un ou deux ans de travail. Il y a là des échecs, des envies, des passions. On y voit de la compétition, des égos... c'est un côté qui peut faire peur. On peut se dire " jamais je ne rencontrerai les éditeurs ".... Mais cela peut se produire, à condition de travailler pour. C'est comme l'amour ou le mariage : on ne peut pas savoir au préalable quand et comment cela va se dérouler ! De fortes histoires se nouent, d'autres se délitent, et il y a aussi parfois des divorces. Quelles sont les nouveautés que vous exposez cette année au Salone ?En tout, je propose sept projets conçus avec cinq éditeurs, utilisant des techniques et matériaux différents. Comme cette année célèbre les 20 ans du SaloneSatellite, l'organisme a demandé aux éditeurs de montrer des pièces spéciales : Fermob a ainsi présenté la chaise Facto réalisée à mes débuts et éditée depuis 20 ans.J'ai également révélé le complément de la gamme Ester, initiée il y a deux ans avec la marque Pedrali, à laquelle nous avons ajouté une barre en aluminium injecté, léger et résistant particulièrement adapté aux fonctions et usages des restaurants. Pour la même marque, nous avons développé le canapé outdoor Reva de 1,5 et 3 places. Son cadre, réalisé dans le même matériau, sur lequel est tendu de la toile Batyline [tissu technique, ndrl], lui permet de sécher rapidement s'il est mouillé. Cela crée une sorte de cage où l'on pose des coussins. À l'attention de Kartell, j'ai réalisé un prototype de lampe/bougeoir en plastique, Candy candle, détournement du bougeoir traditionnel ; et pour Cassina la table Lebeau, allégorie de l'arbre. Concernant la marque Fiam j'ai manipulé le verre cuit. On vient à rebours en recuisant une dalle de verre à laquelle on applique un moule texturé. Quelque part garde la trace du feu. De produit fini à produit artisanal. Avec Porada et la chaise Ella, je me suis penché sur l'utilisation du bois massif en France qui avait en effet quasiment disparue car la matière coûte chère, mais surtout sa mise en "uvre. Certaines grandes maisons le travaillaient toujours, mais la révolution digitale et celle de l'usinage ont vraiment changé la donne, et ont permis de réinvestir le matériau. Ici, chacune des 17 pièces de noyer a ainsi nécessité un réel travail d'ébénisterie. Il s'agit d'un des matériaux qu'on peut utiliser à l'infini. Cela me fascine. Afin de faire la promotion de cette collection, nous avons réalisé une série de photographies de la chaise devant un arbre de la forêt de Fontainebleau, dont les spécimens ont 50 ou 100 ans, parfois 200. Une partie de cette zone est encore utilisée pour la récolte. C'est extraordinaire : afin que les plants ne soient pas tordus par le vent ou mangés par les sangliers ou par les cerfs, ou qu'ils ne souffrent pas de sécheresse, on les protège durant 30 ans. C'est le travail de toute une vie d'un forestier, qui sera récupéré par un autre, puis un autre, qui pourrait être son petit-fils ! Comment choisissez-vous vos collaborations ?Elles sont font naturellement, car je traite avec gens que je connais au sein des grandes maisons d'édition. Je les connaissais déjà un peu à mes débuts grâce à mon travail chez Philippe Starck, qui m'avait mis le pied à l'étrier. Vous avez travaillé plusieurs années pour Philippe Starck, vous semblez pourtant très différents..." En effet, je suis presque l'opposé de Philippe Starck ! On ne peut pas tricher. Par exemple, jouer la star, ce ne serait pas moi. Lui il ne triche pas et le copier serait une catastrophe. " Cela ne sert à rien de regarder avec envie ce qu'on ne peut pas être. Le design est parfois une société de spectacle, certains se déguisent en " super-moi " pour être repérés, alors qu'il y a plein de manières d'y arriver. D'autant plus que tous les éditeurs ne sont pas à l'aise avec ce genre de postures. En définitive, le design est un monde qui reflète plein de manières d'être. C'est une folie de croire qu'on a besoin d'être imbuvable ! Depuis vos premières aventures milanaises, vous revenez souvent dans cette terre du design. Quel est votre attachement à cette zone ?Non loin de Milan, la province de la Brianza, spécialisée dans l'industrie du meuble, est des endroits les plus riches d'Europe. Elle est fondée sur une manière de travailler ensemble dans la compétition mais aussi dans l'entre-aide. Il y a un décalage avec l'Hexagone. Chez nous, on essaie à tout prix de contrôler le savoir-faire à la française, de tout pouvoir faire, du coup nous n'avons pas toujours les meilleures machines. En Italie, c'est différent : chacun est spécialiste d'une technologie. Il y a donc un assemblage des meilleurs savoir-faire pour mener à bien un projet. Finalement, combien de projets traitez-vous simultanément à l'agence ?Environ 45, traités par deux entités distinctes, deux " marques " : il y a Jouin Manku, qui se charge des projets d'architecture et d'architecture d'intérieur ; et Patrick Jouin ID, pour Industrial designer, nom trouvé par l'auteur Pierre Doze. Pourtant aucun de tous vos projets ne se ressemble ! Y a-t-il un " Style Jouin " ?J'essaie d'éviter de faire la même chose. J'ai l'obsession du confort, de la sensualité.On passe longtemps à dessiner les choses, à les utiliser. L'impact visuel ne représente qu'une petite partie. Si au bout 3 heures on est mal sur une chaise : c'est non pour nous !Il s'agit là de mon savoir-faire. Photographies :1) Patrick Jouin, © Benoit Linero2) Reva, Pedrali3) Ella, Porada4) Facto, Fermob5) Reva, Pedrali6) Ester, Pedrali7) Candy Candle, Kartell, © Kartell8) Lebeau Wood, Cassina9) Magma, Fiam10) Ella, Porada11) Louis, Porada Pour en savoir plus, visitez le site de Patrick Jouin
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