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Résultats de recherche pour londres

(1287 résultats)
Il y a 5 ans et 46 jours

Nouvelle fenêtre à translation

WICONA élargit son offre avec la commercialisation de la fenêtre à translation : WICSLIDE 150 PS (Pull & Slide), en version gamme. Elle se caractérise par une large surface vitrée, une surface habitable préservée, une très bonne isolation acoustique et thermique, une forte étanchéité à l’air et à l’eau en complément d’une commande facile et fonctionnelle. Ce système est tiré de créations spéciales imaginées, par les équipes R&D de WICONA, pour deux projets de tours à Londres (Newfounland Tower et Wardian Tower). Cette fenêtre à translation se compose de deux vitres dont l’une est fixe. Son système permet au vantail mobile, qui est équipé d’une poignée, de se relever légèrement. Concrètement, en actionnant la poignée à 180°, le vantail mobile effectue d’abord un déboîtement latéral de 6 mm vers l’intérieur pour se dégager du dormant (pull) puis il coulisse devant le vantail fixe sans être en contact avec les joints d’étanchéité (slide), ce qui assure un fonctionnement sans friction et silencieux. Elle peut par ailleurs être équipée d’un seuil encastré pour faciliter le passage des personnes à mobilité réduite. Au-delà de son ouverture à translation latérale déportée, la fenêtre WICSLIDE 150 PS propose une ouverture intermédiaire qui permet de bloquer le vantail en position micro-ventilation pour une aération naturelle.
Il y a 5 ans et 47 jours

Coronavirus : à Londres, le chantier Crossrail s’arrête

La construction de cette nouvelle ligne de métro dans la capitale est suspendue car la pandémie entraîne surcoût et retard. La ligne de train à grande vitesse HS2 pourrait connaitre le même sort.
Il y a 5 ans et 68 jours

Événement : COLLECTIBLE 2020

Du 5 au 8 mars 2020, Bruxelles accueillera pour la troisième année consécutive la foire internationale dédiée au design contemporain : COLLECTIBLE. En fondant cet événement, les deux consultantes en art, Clélie Debehault  et Liv Vaisberg, ont fait de la capitale belge un haut lieu du design, une grande parmi les grandes, aux côtés de Miami, Milan, Londres ou Paris. Zoom sur une jeune foire qui prend de l’ampleur. En 2020, la foire prend à nouveau place dans le spectaculaire Espace Vanderborght et expose durant quatre jours les nouveautés du design contemporain de collectif dans cet édifice moderniste de 6 000 mètres carrés. COLLECTIBLE présente, à l’occasion de sa troisième édition, 21 pays et plus de cent exposants internationaux : des galeries émergentes ou établies, des studios de design et des jeunes, ainsi que des commissaires d’exposition, des institutions ou des fondations, reconnus à l’international, qui ont élaboré pour l’occasion des projets curatorials inédits. La particularité de COLLECTIBLE ? A la différence des autres foires de design, COLLECTIBLE ne présente que des pièces du XXIème siècle, en édition unique ou limitée, sélectionnées cette année par un comité composé de professionnels du monde du design, notamment Brent Dzekciorius, fondateur de Dzek à Londres, Olivier Gabet, directeur du MAD – Musée des Arts Décoratifs à Paris, Alexis Georgacopoulos, directeur de l’École Cantonale d’Art de Lausanne (ECAL),  Annalisa Rosso, rédactrice en chef du magazine Icon Design, et Dieter Vander Velpen, fondateur de Dieter Vander Velpen Architects à Anvers.  Lors de cette troisième édition, l’événement se distingue une fois de plus des autres foires de même type en offrant une grande visibilité aux talents émergents. Sous le commissariat de Brent Dzekciorius, la CURATED SECTION expose plus de trente designers et studios de design internationaux indépendants dans un espace scénographie signé Döppel. Les objets « Teşekkül » réalisés en mycélium de champignons et matériaux naturels par la créatrice stambouliote Dahlia Subasi et les meubles colorés fabriqués à partir de déchets industriels par la designer britannique Charlotte Kidger ont particulièrement attiré notre attention, car ils témoignent à la fois du développement récent de l’éco-design et de la volonté de la foire de donner une voix à ces créateurs qui pensent le design de demain en menant une réflexion active sur la place de la conscience écologique des designers/euses dans la création contemporaine. La toute nouvelle section ESPOKE fait la part belle à des designers et studios établis. Les exposants de cet espace dévoilent des pièces d’art et de design produites dans le cadre de commandes d’exception. Parmi eux figurent Isabelle de Borchgrave (Belgique), Llewelyn Chupin (France), Studio Erik Olovsson (Suède), Emilianova Studio (Rome) ou encore Nadja Zerunian (Autriche). A l’occasion de COLLECTIBLE, la pépinière créative de Lionel Jadot – les Zaventem Ateliers – présente les dernières pièces réalisées par les résidents et organise une soirée le samedi 7 mars dans ses locaux, tandis que la galerie ELEVEN STEENS propose de découvrir le travail du designer Johan Viladrich dans une exposition monographique. Malgré sa jeunesse, COLLECTIBLE a été propulsé en seulement trois ans sur le devant de la scène internationale et s’impose aujourd’hui comme un des rendez-vous incontournable du design. Une foire récente et audacieuse, mais déjà immanquable ! Léa Pagnier Pour en savoir plus, visitez le site de COLLECTIBLE Photographies : 1) Emelianova Studio, Distortion Series Object 1, Emilianova Studio 2019 Marble, Silver Plated Brass, Courtesy of Ksenia Emelianova, Emelianova Studio 2) Nina Edwards, "Anker Sofa Twist", 2019 Courtesy of Galerie Philia 3) Supertoys Supertoys, Cosmic Flower Table, © Pim Top, Courtesy of Supertoys Supertoys 4) Teşekkül, Dahlia Subasi, 2019, Mycelium and hemp © Dahlia Subasi 5) Charlotte Kidger, Corrugated Side Table, 2020, PU foam dust, resin, Courtesy of Charlotte Kidger 6) Isabelle de Borchgrave, Bronze Chair, 2019, bronze © Speltdoorn, Courtesy of Isabelle de Borchgrave 7) Courtesy of Llewellyn Chupin 8) Emilianova Studio, Distortion Series Object 1, 2019, Marble, Silver Plated Brass, Courtesy of Ksenia Emelianova, Emelianova Studio 9) Studio EO, "Amorphous Solids", 2019, 3D printed silica sand © Photo Gustav Almestål, Courtesy of Studio Erik Olovsson 10) Johan Viladrich, Arke Double Console, 2019, Brushed stainless steel, anodized aluminium Courtesy of ELEVEN STEENS
Il y a 5 ans et 73 jours

La justice britannique n'autorise pas l'extension de l'aéroport de Londres

DÉCISION. Ce 27 février 2020, la Cour d'appel d'Angleterre a décidé de ne pas autoriser l'extension de l'aéroport de Londres-Heathrow, donnant ainsi raison aux écologistes mobilisés contre la construction d'une troisième piste sur la plateforme aéroportuaire la plus fréquentée d'Europe.
Il y a 5 ans et 76 jours

Tous présumés coupables ! Sus aux hérétiques !

Nous sommes désormais à portée de fusil d’un algorithme retors. En témoigne l’inquiétante mésaventure vécue par Eyal Weizman, fondateur à Londres de Forensic Architecture, que l’on traduirait, mal, par Architecture légale, comme il en est de la médecine légale. Légale […] L’article Tous présumés coupables ! Sus aux hérétiques ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 76 jours

Un architecte censuré par les Etats-Unis

Le 19 février 2020, The Architect’s newspaper, un média londonien, a révélé qu’Eyal Weizman, fondateur du collectif de recherche Forensic Architecture (FA) de l’Université de Londres, a été interdit de séjour aux Etats-Unis, le jour même où s’ouvrait ‘True to […] L’article Un architecte censuré par les Etats-Unis est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 84 jours

Immobilier d'entreprise : record d'investissements en France en 2019

CONJONCTURE. Avec 41 milliards d'euros investis en France, l'immobilier d'entreprise a connu un "record historique" en 2019, selon BNP Paribas Real Estate, qui publie, le 17 février, les chiffres de l'année. Paris dépasse Londres et devient le premier marché européen pour les investisseurs étrangers.
Il y a 5 ans et 98 jours

Villani veut transférer les trafics Eurostar et Thalys à Saint-Denis

Le candidat dissident LREM aux municipales à Paris, Cédric Villani, souhaite déplacer "le trafic des trains Eurostar et Thalys", qui desservent Londres et Bruxelles, à Saint-Denis .
Il y a 5 ans et 124 jours

TMPL : Un design minimaliste

Dans la lignée de l’artiste et théoricien américain Donald Judd, le studio de design britannique TMPL conçoit des pièces de mobilier à l’épure formelle. Des volumes géométriques et monochromes qui rappellent les préceptes esthétiques du minimalisme américain. Fondé par le designer Dale Stephens, TMPL est un studio de design basé à Londres qui développe un vocabulaire formel nourri par une étude approfondie des objets et des modes de production industriels. Peu de temps après sa création en 2018, TMPL se fait remarquer pour ses meubles minimalistes réalisés avec des matériaux bruts : CLMN, CH4, BNCH et TWR. . CLMNLa table basse en acier CLMN s’inspire des structures portantes de l’architecture et explore les techniques de fabrication industrielles. Ajourée, la surface en tôle d'acier poudré de noir confronte le poids du matériau à la légèreté visuelle de l’objet. . CH4Avec sa forme géométrique et ses lignes simples, la chaise en acier C4 est composée de tôles d’acier rectangulaires assemblées. Sans ornements, ni fioritures, l’assise n’est pas sans rappeler les « objets spécifiques » du chef de file de l’art minimaliste Donald Judd, notamment les chaises Half Divided Chair (1984) et Side Recessed Plywood Chair (1991). . BNCH Fabriqué en acier enduit de peinture rouge ou en acier galvanisé, BNCH est banc minimaliste aussi épuré qu’inconfortable, destiné à agrémenter un extérieur ou un intérieur. Sa forme sculpturale alternant vides et pleins semble relever davantage de l’art que du design. . TWR TWR est une étagère en bois de pin jaune composée de dix modules rectangulaires évidés. Conçu pour accueillir des livres et des magazines d'art, le meuble est fonctionnel et modulable, pouvant aussi bien servir comme rangement que comme séparateur de pièce. Un mobilier épuré et simple à l’inspiration minimaliste assumée. Pour en savoir plus, visitez le site du studio TMPL Photographies : TMPL Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 125 jours

La LGV britannique au cœur d'une nouvelle polémique

Un rapport publié le 5 janvier dénonce le coût de la ligne à grande vitesse entre Londres et Birmingham et son impact environnemental. L’avenir du projet reste incertain.
Il y a 5 ans et 168 jours

Événement : Vincenzo De Cotiis à la Carpenters Workshop Gallery

C’est dans le vaste espace de la Carpenters Workshop Gallery (4ème arrondissement) que l’architecte-designer italien Vincenzo De Cotiis s’expose pour la première fois en France. A l’occasion de cet accrochage monographique, il présente des pièces d’exception, à la fois brutes et sensuelles, qui témoignent de l'évolution de sa pratique du design vers l'art. Zoom sur une collection inédite à la matérialité marquée et aux formes contemporaines. Architecte et designer à la renommée internationale, Vincenzo De Cotiis – à qui l’on doit la décoration de l’Hôtel Straf de Milan – signe des intérieurs contemporains et des pièces sculpturales. L’exposition « Éternel », à visiter jusqu’au 21 décembre à la Carpenters Workshop Gallery, présente ses dernières créations, du mobilier brut et virtuose, dans un intérieur entièrement repensé par le créateur sexagénaire. En résulte un accrochage immersif qui nous transporte dans l’univers très poétique de Vincenzo De Cotiis. Dans sa toute nouvelle collection d’objets iridescents présentée à Paris, le designer milanais se plaît à multiplier les matériaux et les références. Inspirés à la fois par le Japon et la nature sauvage, Vincenzo De Cotiis réalise des objets composites – bancs, chaises, luminaires, tables, tabourets – mariant métal, roche et verre de Murano soufflé. En résultent des œuvres sculpturales conjuguant des matériaux bruts avec des lignes contemporaines. Tandis que les suspensions lunaires revisitent les lanternes nippones traditionnelles, les plateaux polis des tables en aluminium et laiton s’apparentent à aux eaux miroitantes des mers. Après les expositions « En plein air » à Londres en 2018, « Neo Baroque Design » au Mexique en 2019, ou encore « Dysfunctional » à la 58ème Biennale de Venise, « Éternel » ouvre un nouveau chapitre dans la carrière de l’architecte-designer. Une collection déroutante qui altère notre perception. Pour en savoir plus, visitez le site de Vincenzo De Cotiis et de la Carpenters Workshop Gallery Photographies : Carpenters Workshop Gallery Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 186 jours

Grenfell : le rapport officiel explique la propagation des flammes

ANALYSE. Un premier rapport officiel a récemment été rendu public concernant l'incendie de la tour Grenfell, qui s'est produit en juin 2017, à Londres. Il étudie notamment le rôle joué par certains matériaux dans le déploiement rapide du sinistre, et assure que le système de façade n'était pas réglementaire.
Il y a 5 ans et 188 jours

Bruno Pillon, président des activités France d’HeidelbergCement

Bruno Pillon, président des activités France d’HeidelbergCement. [©HeidelbergCement] HeidelbergCement vient de nommer Bruno Pillon président des activités France. Et ce, pour ses filiales Ciments Calcia, Unibéton, GSM, Socli et Tratel. Bruno Pillon, 55 ans, accède à ses nouvelles fonctions, en s’appuyant sur une maîtrise des missions et une connaissance du groupe qu’il intègre en 2013, en tant que directeur Supply Chain France Belgique, puis directeur commercial, marketing & communication à compter de 2016.  Ingénieur génie civil et titulaire d’un DESS de commerce extérieur obtenu en 1988 à Panthéon-Sorbonne, Bruno Pillon a démarré sa carrière au ministère des Affaires étrangères où il était responsable des travaux et de la maintenance du parc immobilier français au Royaume-Uni. Dès 1990, il incoprore Glauser International, entreprise générale du bâtiment, qui lui a rapidement confié des postes à hautes responsabilités : directeur de travaux à Londres, puis au Pakistan. Ensuite, directeur commercial et développeur d’affaires à Paris. De 2001 à 2013, il est Pdg de BravoSolution France, entreprise financée par le cimentier italien Italcementi, qui divise son activité entre la vente de progiciels supply chain (licences et mode SaaS) et le conseil stratégique et opérationnel en optimisation des coûts. C’est grâce à cette expertise qu’il entrera ensuite chez Ciments Calcia, à l’époque aussi filiale d’Italcementi, avant d’être acquise par HeidelbergCement. 
Il y a 5 ans et 189 jours

Dossier : Cinq jeunes designers français

Deux filles, trois garçons. Thomas Ballouhey, Fabien Cappello, Elise Fouin, Léonard Kadid et Hélène Labadie incarnent la crème de la crème des jeunes designers français. Une génération qui voyage, s'expose, crée librement. Zoom sur les cinq créateurs français du moment à suivre de très prés. Thomas BallouheyDiplômé de la Design Academy d'Eindhoven (Pays-Bas), Thomas Ballouhey a récemment installé son atelier dans la ville néerlandaise. Tel un archéologue du présent, le designer s'intéresse aux matériaux et aux modes de production. Dans sa série « Ways of Altering » [Manières d'altérer], par exemple, il associe des objets industriels – bancs, tabourets, tréteaux, entre autres – à des matériaux divers – carton, élastiques, polystyrène – et enduit le tout d'époxy et de sable pour produire des meubles hétéroclites dont l'aspect rudimentaire les fait s'apparenter à des trésors passés. Un résultat saisissant qui questionne les moyens de production de masse actuels. En octobre dernier, il participait à la cinquième édition de la Biennale Émergences à Pantin (93), puis à l'exposition collective « La Totale » au Studio Orta – Les Moulins (77). . Fabien CappelloAprès des études de design à l'ECAL (Suisse) et au Royal College of Art (Royaume-Uni), le jeune Français fonde son studio éponyme en 2010 à Londres. Il se fait rapidement connaître pour son utilisation créative de la fabrication et des ressources locales, ce qui lui vaut de partir en résidences en Corée, au Portugal et en Italie. De son apprentissage auprès des artisans locaux il construit sa propre approche du design et se tourne vers des modes de production sériels. Depuis 2015, il a installé son studio dans le centre historique de Mexico (Mexique), une métropole dynamique qui l'inspire quotidiennement. . Elise FouinElise Fouin étudie l'orfèvrerie à l'Ecole Boulle (Paris), avant de se former au design de mobilier. Une double formation qui la conduit à développer un style singulier bien à elle. Pour le Salone del Mobile (Milan) de 2016, la designer française réalise ainsi une scénographie immersive faite de textiles multicolores baptisée Sunbrellacanapy. Egalement textile, son luminaire Saika réalisé en collaboration avec le maître artisan nippon Yoshishige Tanaka est une création contemplative unique qui met en valeur les savoir-faire ancestraux, le hyogu – art de traiter le papier washi –, et le kakejiku – peinture sur papier ou sur soie enroulée sur un bâton. Une pièce qui a fait une forte impression en 2018 au salon parisien Maison & Objet. . Léonard KadidAujourd'hui concepteur de produits, Léonard Kadid s'est d'abord formé à l'architecture. Sur les bancs de l'université d'une part, à Ecole Polytechnique de Lausanne (Suisse) et à l'Ecole d'Architecture de la Ville et des Territoires Paris-Est. Auprès des grands noms de l'architecture d'autre part, Muoto, Dominique Perrault et Cigüe, Herzog & de Meuron. Son studio basé à Paris se concentre donc sur des projets divers, de l'architecture à la conception d'objet. En résulte des pièces travaillées telles que le système de table TAL conçu pour la scénographie de l'exposition « Réinventer la Seine » au Pavillon de l'Arsenal (4ème arrondissement) en 2017. . Hélène LabadieDéjà quatre ans que la jeune Française a obtenu son master design d'objet à L'ESAD de Reims avec les félicitations du jury. Comme projet de fin d'études, elle a imaginé des fontaines d'apparat en verre. Un coup de maître pour un premier projet. Depuis, Hélène Labadie se donne une liberté d'artiste et signe des pièces créatives inspirées du septième art. Exposée au Bon Marché Rive Gauche en 2018, sa série de contenants « Les Noirs » dévoile la dimension anthropomorphique de son travail. Sa sensibilité artistique la pousse désormais vers la création de pièces sculpturales. . Photographies : 1) Thomas Ballouhey, Ways of Altering © Ronald Smits, Design Academy Eindhoven2) Fabien Cappello, Chambre With a view, Hôtel Dos Casas, 20173) Elise Fouin et Yoshishige Tanaka, Saika, 20184) Léonard Kadid, Tal table, 20175) Hélène Labadie, Les Noirs, 2018 Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 190 jours

Grand Central Saint-Lazare de Ferrier Marchetti Studio : impressionniste !

Rue d’Amsterdam et de Londres, à Paris (IXe), Ferrier Marchetti Studio a livré en octobre 2019 Grand Central Saint-Lazare, un programme de bureaux, commerces et espaces publics d’une superficie de 23 600 m². Comme à Rouen, un nouvel hommage de […] L’article Grand Central Saint-Lazare de Ferrier Marchetti Studio : impressionniste ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 193 jours

Les revenus de Vinci bondissent, gonflés par de nouveaux aéroports

Vinci, géant français du BTP et des concessions, a vu son chiffre d'affaires bondir au troisième trimestre, a-t-il annoncé, bénéficiant notamment de l'acquisition de plusieurs aéroports, dont celui de Gatwick à Londres.
Il y a 5 ans et 195 jours

Tour Grenfell : un rapport pointe les pompiers et la rénovation du bâtiment

INCENDIE. Ce rapport officiel, qui doit être publié mercredi 30 octobre mais que des médias anglo-saxons ont pu se procurer, souligne une préparation de la brigade des sapeurs-pompiers de Londres "très insuffisante", selon le site internet du Guardian.
Il y a 5 ans et 196 jours

Les revenus de Vinci bondissent au 3e trimestre, gonflés par de nouveaux aéroports

Vinci, géant français du BTP et des concessions, a vu son chiffre d'affaires bondir au troisième trimestre, a-t-il annoncé, bénéficiant notamment de l'acquisition de plusieurs aéroports, en particulier celui de Gatwick à Londres.
Il y a 5 ans et 202 jours

Studio KO : Beau regard à Saint-Germain-des-Prés

Fusion de l'iconique cinéma Art et Essai Etoile Saint-Germain et du bistrot parisien historique mitoyen le Petit Zinc, Beau Regard est le nouveau lieu culturel et gastronomique du 6ème arrondissement. Installé rue Guillaume-Apollinaire, ce complexe chic et atypique réalisé par le Studio KO réunit bar à cocktails, cinéma et restaurant. De quoi ravir les bons vivants amoureux du septième art. Formé par le binôme français Olivier Marty et Karl Fournier, le Studio KO – à qui l'on doit notamment le musée Yves Saint Laurent de Marrakech (Maroc) – diffuse un style spectaculaire sur tous les continents. Implanté à Paris et à Marrakech, ce binôme discret multiplie les projets prestigieux comme l'hôtel Chiltern Firehouse de Londres, la boutique Balmain de New York ou encore le concept Beau Regard à Paris. Mêlant inspiration Art déco et inspiration seventies, le restaurant dégage une atmosphère aussi festive que feutrée. Digne d'un décor de film, l'intérieur invite à la confidence et au divertissement. Les murs et le bar se parent de nattes de bois enveloppantes, tandis que la moquette signée Pierre Frey déploie des motifs végétaux colorés. Le mobilier Thonet allié à des assises en cuir brillant confère à la brasserie son identité purement parisienne. Le chef étoilé Mathieu Pacaud – pour qui « la cuisine est un art total » – signe une carte aussi alléchante qu'audacieuse. A l'image du lieu, le menu revisite subtilement les classiques de la cuisine française, des asperges blanches accompagnées de mousseline maltaise et orange au bar en croûte de sel à l'huile d'agrumes. Au bar, les cocktails continue d'enivrer nos papilles. Cet hiver, le lieu se dotera aussi d'un club très Rive Gauche. Côté cinéma, la programmation pointilleuse séduit les germanopratins les plus cinéphiles. Films d'auteurs et films indépendants sont projetés tous les jours. Quand la gastronomie rencontre le septième art ! Pour en savoir plus, visitez le site de Studio KO Photographies : Yann Deret
Il y a 5 ans et 215 jours

Mikhail Riches : Le logement social Goldsmith Street remporte le prix RIBA Stirling 2019

On l'attendait, c'est désormais chose faite : le nom du vainqueur du prix RIBA Stirling a été dévoilé hier soir. Et le lauréat de la prestigieuse distinction britannique n'est autre que le studio londonien Mikhail Riches qui a récemment doté le conseil municipal de Norwich de 105 maisons à basse consommation d'énergie. Retour sur le projet qui a su séduire la célèbre institution. Lors de la cérémonie de la remise de prix hier soir à Londres (Royaume-Uni), le jury du prix RIBA Stirling 2019 a salué l'ensemble social Goldsmith Street, qu'il a décrit comme« un projet novateur offrant une contribution remarquable à l'architecture britannique ». Rien que ça ! La genèse du projet remonte à 2008 alors que les équipes de Mikhail Riches remportent le concours lancé par la ville de Norwich souhaitant la réalisation d'une centaine de logements sociaux comprenant aussi bien des maisons individuelles que des appartements. Le quartier dans lequel s'inscrivent les logements imaginés par le cabinet londonien est largement dominé par la présence d'immeubles typiques du XXème siècle, un cadre bien évidemment pris en compte par les maîtres d'œuvre. Comprenant sept blocs en terrasses disposés en quatre lignes séparés par de larges rues et organisé autour d'un parc, l'ensemble constitué de 45 maisons et de 60 appartements tente de reproduire un modèle urbain datant du XIXème siècle, afin de ne pas rompre avec l'identité du quartier. Si le projet d'origine semble un brin trop rigoureux, le soin accordé aux façades vient adoucir le tout. Le choix d'une brique crème partiellement percée à la manière de moucharabieh ainsi que des cadres de fenêtre épurés allongent et atténuent l'aspect sévère de la réalisation. « Face à une urgence climatique mondiale, à la pire crise du logement pour les générations et aux coupures budgétaires paralysantes, Goldsmith Street est un symbole d'espoir. » Alan Jones, président du RIBA Car le véritable atout du projet réside dans son respect du label Passivhaus. En effet, l'éclairage et le chauffage naturel (partiel) sont garantis grâce à la hauteur réduite des constructions, à leur orientation face sud ainsi qu'à leurs toitures à l'inclinaison asymétrique. Derrière ces façades attirantes, des logements durables et détaillés à faible consommation d'énergie accueillent désormais de nouveaux habitants de la ville de Norwich. Un chef d'œuvre modeste. Pour en savoir plus, visite le site de Mikhail Riches Photographies : Tim Crocker
Il y a 5 ans et 216 jours

Le Rennais Legendre poursuit son développement à l’international

Après s’être implanté à Londres et Jersey, le groupe familial de BTP vient d’ouvrir une agence à Lisbonne, au Portugal.
Il y a 5 ans et 220 jours

Événement : PAD London 2019

Le PAD London revient en 2019 pour sa treizième édition. Après le London Design Festival et la London Design Fair en septembre, ce salon est le troisième rendez-vous design de la rentée à Londres. Au programme : une très belle sélection d'antiquités, d'objets d'exception, d'œuvres d'art, de pièces design modernes et contemporaines. Du 30 septembre au 06 octobre, le Pavillon des Arts et du Design de Londres se tiendra au Berkely Square dans le quartier chic de Mayfair. Plus de soixante-huit exposants, dont les illustres galeries de design Fumi, Kreo ou Nilufar, représenteront quatorze pays et dévoileront leurs plus belles pièces afin de captiver un public de visiteurs curieux et de collectionneurs avertis. Cette année, le PAD London rend hommage à l'authenticité, au savoir-faire et à la créativité. Le pavillon donne carte blanche studio new-yorkais Todd Merrill. Ce dernier crée pour l'occasion un décor immersif composé notamment de pièces signées Marc Fish, d'un coffret en métal texturé de Jean-Luc Le Mounier et d'une composition conçue par le jeune designer Brecht Wright Gander.Pour sa troisième participation au PAD, la galerie parisienne Mouvements Modernes propose de son côté un bureau de collectionneur aux murs tapissés du papier peint de François Mascarello. Le mobilier fantasque Rodéo du duo Garouste et Bonetti côtoie les pièces les plus remarquables de sa collection, des œuvres de l'artiste Daniela Busarello au travail sculptural de Jeremy Maxwell Wintrebert. La 88 Gallery présente quant à elle des pièces design incontournables comme un fauteuil de Joseph André Motte édité par Artifort.La jeune galerie parisienne Wa Design, qui représente des créateurs japonais et français de l'épure, réunit arts nippons, modernisme occidental et création contemporaine. Parmi les œuvres notoires figurent les productions du britannique Harry Morgan, mention spéciale 2019 du prestigieux Loewe Craft Prize, ainsi que le célèbre fauteuil en bambou d'Ubunji Kidokoro. Un événement incontournable ! Pour en savoir plus, visitez le site du PAD London Photographies : 1) Courtesy of Side Gallery2) Jean Luc Le Mounier, Courtesy of Todd Merrill3) Courtesy of Todd Merrill4) Courtesy of WA Design5) Garoute & Bonetti, Cabinet de Sèvres, 1989, Courtesy of Mouvements Modernes6) Ubunji Kidokoro Chair, Courtesy of WA Design7) Light Object, Ane Lykke, Courtesy of Maria Wettergen
Il y a 5 ans et 221 jours

Banksy : Gross Domestic Product

Lorsque l'on entend le nom de Banksy, nul ne sait ce qui va suivre. Installations urbaines, conception d'hôtel ou de parcs d'attraction, aucun médium ne lui résiste. S'ajoute aujourd'hui à cette liste l'ouverture d'une drôle de boutique à Londres (Royaume-Uni) baptisée « Gross Domestic Product » et regroupant des œuvres phares de l'artiste à la manière de produits dérivés. Alors, coup de pub ou expo ? C'est soit la pire, soit la meilleure raison de faire une exposition. Alors qu'un vendeur de cartes de vœux tente de prendre possession du nom de Banksy pour écouler de fausses marchandises, l'artiste (supposé) britannique décide de prendre son usurpateur à son propre jeu et d'ouvrir sa propre enseigne, à mi-chemin entre boutique de souvenirs et exposition contemporaine kitsch. « Je pense qu'ils [la société de carte de vœux] misent sur l'idée que je ne me présenterai pas devant un tribunal pour me défendre » confie l'artiste. Mais c'était sans compter sur son sens inné du retournement de situation. Car, dans ce genre de litige, il suffit au titulaire de la marque de... l'utiliser pour vendre ! Ni une, ni deux, Banksy investit un ancien magasin de tapis du quartier de Croydon (Londres) et le transforme en pop-store d'un nouveau genre. Y sont présentées certaines de ses œuvres iconiques comme le Lanceur de fleurs – ici encadré et présenté sous la forme d'un triptyque – ou son gilet pare-balle décoré du drapeau anglais, mais également des objets inédits comme des paillassons cousus à la main par des femmes détenues dans des camps en Grèce, des disco-ball fabriquées à partir de casques anti-émeutes ou encore un tapis reprenant l'image de la marque de céréales Frostie's. Aussi taquines que politiques, ces œuvres sont disponibles à la vente sur internet, à partir de 10 livres, deux semaines après la fermeture du magasin. Une partie des fonds récoltés servira à fournir un nouveau canot de sauvetage aux migrants, remplaçant ainsi celui confisqué par les autorités italiennes, quand le bénéfice des tapis tissés reviendra de droit à leurs créatrices. On avait jamais vu de problèmes juridiques se régler avec autant de prestance ! Pour en savoir plus, visite le site de Banksy Photographies : Banksy
Il y a 5 ans et 223 jours

Ideal Standard – Nouveaux bâti-supports et plaques de commandes de toilettes

Ideal Standard International lance une nouvelle gamme complète et polyvalente de bâti-supports, économiques en eau jusqu’à 63 litres par semaine, soit une réduction de 12 % sur la facture d’eau. Ideal Standard International se positionne depuis plus de 100 ans parmi les leaders mondiaux des fabricants de solutions complètes pour salles de bains destinées aux particuliers, aux entreprises et aux collectivités. En 2019, le groupe lance ProSys, une gamme complète de bâti-supports destinés au résidentiel et au collectif, commercialisés en France sous la marque Porcher. Des bâti-supports adaptés à toutes les configurations Déclinés dans trois gammes, les bâti-supports ProSys constituent une solution complète d’installation pour tous les éléments de la salle de bains (toilettes, bidet, lavabo, urinoir et douche), ce qui en fait l’option idéale pour une grande variété de projets, avec : • la gamme ProSys 80, adaptée aux petites surfaces grâce à son réservoir de 80 mm de profondeur, • la gamme ProSys 120, dotée d’un réservoir de 120 mm, pour une installation simple, rapide et une maintenance facile, • la gamme ProSys 150, au réservoir de 150 mm, permettant un actionnement frontal ou par le haut. Autoportants ou muraux, les bâti-supports ProSys s’installent sur des murs porteurs ou non et même entre cloisons. Ils répondent à des configurations multiples grâce à : • deux hauteurs (82 ou 110 cm), • des pieds réglables, • une chasse d’eau à activation pneumatique, mécanique ou électronique. La gamme ProSys est également composée du bâti-support ProSys Comfort, réglable en hauteur, qui peut être piloté par télécommande pour les personnes à mobilité réduite ou les enfants en bas âge, ainsi que du module WC NeoX. Cette solution universelle est idéale pour rénover la salle de bains de manière simple et rapide : elle évite de casser le mur et se branche sur les raccordements d’eau existants. A la pointe, certains bâti-supports ProSys sont équipés de la technologie exclusive SmartFlush qui distribue, à chaque chasse, de l’eau mêlée à du détergeant pour une meilleure hygiène et un entretien plus facile. Esthétiques, ils s’adaptent à la perfection aux collections de céramique et de robinetterie d’Ideal Standard et Porcher. Une installation facile La gamme ProSys a été conçue pour être simple à poser grâce à : • un système de fixation murale simple et rapide, comprenant seulement 2 pièces, • des pieds livrés dans la position d’installation et faciles à régler en hauteur sur 20 cm, • une pipe d’évacuation réglable en profondeur pour plus de flexibilité, • un ajustement du volume à double chasse via la vanne de sortie. Son entretien est également plus simple et moins coûteux grâce à un accès sans outil aux réservoirs ProSys. Favoriser les économies d’eau et d’énergie Performants, les réservoirs de la gamme ProSys sont dotés de technologies innovantes développées par le groupe Ideal Standard pour économiser l’eau et l’énergie : • SmartValve, qui permet d’économiser jusqu’à 63 litres d’eau par semaine grâce à un remplissage différé, réduisant ainsi la consommation d’eau et contribuant à améliorer la durabilité de l’ensemble, • SmartForce, pour relier le réservoir à une plaque de commande sensitive sans installation électrique, économisant ainsi l’énergie. La technologie SmartForce utilise la force dynamique de l’eau en mouvement pour générer de l’énergie capable de déclencher un cycle de chasse. Pour davantage de fiabilité, de pérennité et de tranquillité d’esprit, tous les produits de la gamme ProSys sont conçus pour durer, avec des structures anticorrosion qui répondent aux normes les plus exigeantes en matière de réduction des nuisances sonores, de stabilité et de résistance à la corrosion. Le cadre du bâti-support est garanti 10 ans et les pièces détachées sont disponibles pendant 25 ans. Un des modèles de la gamme ProSys bénéficie de la certification NF. Ideal Standard International collabore avec des studios de design de renommée mondiale pour concevoir de nouvelles gammes innovantes de plaques de commande de toilettes. Grâce à une collaboration étroite avec les studios de design de renommé mondiale Palomba Serafini Associati (Milan) et Levien (Londres), Ideal Standard International enrichit en 2019 son offre dans le domaine des plaques de commande de toilettes. Ces collections, commercialisées en France sous les marques Ideal Standard et Porcher, témoignent de la capacité de l’entreprise à proposer des produits parfaitement adaptés aux besoins des acheteurs, des installateurs, des propriétaires et des gestionnaires de biens, mais aussi des utilisateurs. Tous les modèles des nouvelles gammes sont dotés de fonctionnalités avancées qui assurent un niveau maximal de durabilité, de confort et d’hygiène, sans le moindre compromis sur le plan stylistique. Les plaques de commande s’adaptent à des environnements variés grâce à un vaste choix dans les styles, les couleurs et les modes d’actionnement (mécanique, pneumatique ou électronique). Elles combinent performance et design. Un design soigné et une technologie de pointe Les nouvelles gammes Altes et Symfo d’Ideal Standard ont été conçues par Roberto et Ludovica Palomba dans le nouveau Design Center de l’entreprise à Milan. La gamme Altes comporte des plaques de commande élégantes en céramique, au fini satiné incomparable. Disponibles en noir et en blanc, elles se fondent parfaitement à tous les décors. La gamme Symfo est, quant à elle, composée de plaques en verre trempé au design minimaliste sans encadrement, dont les reflets apportent une touche de modernité à la salle de bains. Lors de la conception, une attention particulière a été apportée aux qualités esthétiques des produits. La fonctionnalité et la capacité à répondre aux besoins des utilisateurs ne sont pas en reste. Les gammes Altes et Symfo sont dotées des dernières technologies sans contact. Des capteurs présents dans la céramique ou le verre détectent les mouvements à une distance de 20 mm. Aucun contact n’est donc requis pour déclencher la chasse d’eau : c’est simple d’utilisation et extrêmement hygiénique. Élégance soignée et design intégré La troisième gamme Oleas, disponible en comptoirs et showrooms, a été conçue dans le cadre d’une collaboration longue et fructueuse entre Ideal Standard International et le Studio Levien. Elle comporte quatre modèles minimalistes hautement fonctionnels, à actionnement mécanique et pneumatique. Les versions mécaniques sont compatibles avec la technologie SmartFlush qui distribue, à chaque chasse, de l’eau mêlée à du détergeant pour une meilleure hygiène. Le mouvement à l’actionnement a fait l’objet d’une attention particulière, notamment en ce qui concerne la résistance et le « retour en arrière » des boutons. Les nouvelles plaques à affleurer Oleas, à l’apparence élégante, s’intègrent parfaitement dans toutes les salles de bains. Enfin, Ideal Standard International a créé les plaques de commande Solea, disponibles en comptoirs et showrooms, aux formes classiques. A activation pneumatique, elles sont dotées d’une double-commande pour favoriser les économies d’eau. Cette nouvelle gamme se décline dans deux modèles : Solea P1, aux formes courbes et minimalistes et Solea P2, au look droit (activation pneumatique). La gamme Solea est disponible dans quatre finitions (blanc, chromé, chromé mat et noir soft-touch) selon les modèles. Toutes les nouvelles plaques de commande du groupe Ideal Standard International viennent parfaitement compléter la nouvelle gamme de plaques à fleur de paroi ProSys de la marque Porcher. Efficacité et sécurité Pour les sanitaires exposés à des risques de dégradations (toilettes publiques, stations services…), les plaques de commande anti-vandalisme pour WC et urinoirs Septa Pro de la marque Porcher sont dotées d’un système de sécurité qui empêche leur ouverture trop facile. Certains produits de la gamme sont également équipés de capteurs infrarouges qui permettent de déclencher le rinçage du WC sans contact direct avec la plaque de commande, de manière à assurer une hygiène maximale. Tous les produits des marques Ideal Standard et Porcher répondent aux normes européennes les plus exigeantes et font l’objet de contrôles rigoureux qui garantissent leur durabilité et leur fiabilité et qui assurent la tranquillité de l’utilisateur. www.idealstandard.fr
Il y a 5 ans et 234 jours

Camille Walala : Walala Lounge

A l'occasion du London Design Festival, la designer française Camille Walala habille les rues de la capitale britannique d'éléments de mobilier urbain hauts en couleur. Bancs, drapeaux et jardinières ornés de motifs multicolores transforment ainsi le quartier de South Molton Street en un salon extérieur pop et confortable. Une expérience immersive qui fait perdurer l'été. Diplômée de l'Université de Brighton en design textile, la Française Camille Walala crée sa marque en 2009 à Londres, où elle est toujours basée aujourd'hui. Reconnu à dans le monde entier, son style explosif s'expose sur tous les continents, comme sur l'Île Maurice, à travers le projet Salt of Palmar. L'alliance de motifs graphiques, de volumes géométriques et de couleurs expressives est devenue sa marque de fabrique, qu'elle décline à l'infini, aussi bien pour des projets d'aménagement intérieur que dans la création de mobilier. C'est aujourd'hui au sein de sa ville d'adoption que Camille Walala nous invite à suivre son optimisme à toute épreuve. Imaginé pour le Groupe Grosvenor et installé pour un an, l'ensemble d'équipements publics bigarrés conçu par l'artiste comprend dix bancs, des jardinières cubiques autoportantes ou intégrées aux assises, et des drapeaux suspendus. Issues de sa collaboration avec Julia Jomaa, directrice artistique, les pièces ont été conçues en lien étroit avec le site lequel elles s'inscrivent. Chaque banc réalisé en acier brossé et en MDF présente une forme géométrique qui lui est propre. Finalement, seuls les motifs et les tons vifs créent l'harmonie de cet ensemble hétéroclite. L'installation immersive a ainsi pour vocation de susciter le sourire des passants et d'apporter de la gaité dans le quotidien des Londoniens. Une manière ludique de se démarquer du mobilier urbain traditionnel. Pour en savoir plus, visitez le site de Camille Walala Photographies : Camille Walala / Studio Stagg
Il y a 5 ans et 236 jours

HS2 : le contrat à 1 Md£ de Vinci pour la nouvelle gare de Londres est signé

Le groupement Balfour Beatty Vinci Systra a annoncé le 17 septembre la signature du contrat pour la construction et la livraison de la gare Old Oak Common de la Ligne à Grande Vitesse britannique, pour 1 milliard de livres.
Il y a 5 ans et 241 jours

Trophée Béton Ecoles – Blackfriars station

Le PFE Blackfriars station, projet lauréat et 4ème prix de l’édition 2018–2019 du Trophée Béton Ecoles, conçu par Steve Meyer (INSA Strasbourg), sous la direction d’Hugues Klein, est un pôle d’échanges multimodal au cœur de Londres (U.K.). Au cœur de […] L’article Trophée Béton Ecoles – Blackfriars station est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 255 jours

Cubitts : Redux

L'opticien britannique allie style et éthique dans une gamme de lunettes entièrement réalisée à partir de déchets recyclés. Pots de yaourts, pommes de terre ou encore vieux CD, tant de matériaux étonnants qui constitue pourtant la collection de 10 montures originales et tendances. Comme quoi, c'est dans les vieux pots qu'on fait... les meilleures lunettes ! Si la marque basée à Londres (Royaume-Unis) fabrique habituellement ses cadres en acétate de cellulose – un plastique semi-synthétique dérivé de la pâte de bois associé à du coton –, elle prend aujourd'hui un tournant écologique en proposant des modèles excentriques et authentiques fabriqués à partir d'éléments recyclés. Un vrai pas en avant pour les fabricants qui réfléchissent à la technicité de ces nouveaux matériaux pas comme les autres : « Tout matériau utilisé dans la fabrication de lunettes doit être très polyvalent, avec une large gamme de propriétés », explique d'ailleurs le fondateur de Cubitts, Tom Broughton. Grâce à de nombreuses associations avec diverses entreprises spécialisées, Cubitts réussit à recréer des propriétés similaires à celles de l'acétate de cellulose. La société Chips Board – produisant des matériaux à partir de déchets fournis par McCain – a notamment contribué à la création d'une monture à la texture proche du bois, rendue possible grâce à l'ajout de café moulu, de farine de pin et de copeaux de chêne. Des cheveux humains (généreusement donnés par le personnel de l'entreprise et leurs amis) ont été utilisé dans l'élaboration d'une paire aux tonalités sombres quand la firme galloise Smile Plastics permet de créer plusieurs cadres à partir de bouteilles de lait, de yaourt ou d'emballages alimentaires.Des CDs, des champignons, du maïs ou encore des planches à découper complètent cette liste aussi singulière que les modèles proposés par Cubitts. Rien que pour vos beaux yeux on vous dit ! Pour en savoir plus, visitez le site de Cubitts Photographies : Cubitts
Il y a 5 ans et 256 jours

Wizzcad s'implante à Lyon

WIZZCAD, premier éditeur de solutions Saas BIM-Native pour la construction, la réhabilitation et la maintenance des ouvrages, ouvre des bureaux à Lyon. Après Paris et Londres, cette nouvelle implantation permet à WIZZCAD d'accélérer son développement en région.
Il y a 5 ans et 259 jours

Anissa Kermiche : Céramiques

Liberté, égalité, féminité : voilà la devise prônée par la joaillière Anissa Kermiche qui dévoile ses créations sculpturales en céramique sur son compte Instagram et disponibles sur sa boutique en ligne. Une ode à la femme réussie ! Après avoir brillé aux mains et aux cous des belles sur les tapis-rouge et premiers-rangs des fashion week parisiennes, ses bustes féminins d'inspiration antique ainsi que ses paires de jambes longilignes incrustées de pierres précieuses – déclinées en pendentifs et en boucles d'oreilles – exposent désormais leur volupté sous forme de vases. Des bustes de femmes relevant un bras sur la hanche. Des épaules dénudées ainsi qu'un début de poitrine pointant fièrement le bout de leurs seins. Des tailles de guêpe aux « pot-potins » généreux... Les silhouettes sensuelles modelées à la main par la créatrice franco-algérienne vivant entre Paris et Londres n'ont pas à rougir de leurs courbes bien assumées. De toutes tailles et de coloris divers, ces réalisations arborent différentes finitions. Certaines ont même été travaillées afin de suggérer la présence de cellulite, aujourd'hui encore trop souvent vue comme disgracieuse. Autant de modèles pensés comme une ode à la féminité à l'ère de l'empowerment que l'on utiliserait aussi bien pour leur fonction première qu'en objet de décoration à part entière. Cherchez la femme ! Pour en savoir plus, visitez le site de Anissa Kermiche  Photographies : DR
Il y a 5 ans et 263 jours

Grande Bretagne: le projet HS2 toujours sur les rails ?

INFRASTRUCTURES. Le ministre britannique des Transports a annoncé le 21 août 2019 l'ouverture d'un réexamen complet du projet de ligne à grande vitesse "High Speed 2" censée relier Londres à Birmingham. Trois fleurons français du BTP doivent y intervenir.
Il y a 5 ans et 264 jours

Soo Burnell : Poolside

Bien que l'été touche à sa fin, la photographe écossaise Soo Burnell prolonge la période estivale grâce à sa série « Poolside », une ode aux piscines historiques européennes. Un ensemble de photographies qui rend hommage à la géométrie marquée et aux proportions spectaculaires de ces édifices sportifs. Des nageurs élégants, comme sortis d'un autre temps, posant dans un cadre tout aussi fantasque : voilà la description des compositions photographiques de Soo Brunell. À travers une esthétique cinématographique, à mi-chemin entre Baz Luhrman et Wes Anderson, l'artiste capture les conceptions architecturales graphiques aux tonalités pastelles des grandes piscines du Royaume-Unis et de la France, telles que Molitor (16ème arrondissement) ou les Western Baths de Glasgow (Écosse). La série débute avec la volonté de photographier les piscines de la ville natale de Brunell et de les extraire de la période contemporaine dans laquelle elles s'inscrivent désormais. Depuis, l'artiste a ajouté à sa série des édifices similaires situés à Londres, Manchester, Glasgow et Paris, les agrémentant de silhouettes humaines vêtues de maillots de bain unis et de bonnets d'époque. Des protagonistes qui permettent également de rendre compte de l'échelle de ces bâtiments sportifs. « Nous sommes très chanceux de pouvoir utiliser ces magnifiques piscines dans notre ville et peut-être que les photographies rappelleront à la population à quel point elles sont belles. » Soo Brunell, photographe Si « Poolside » permet de redécouvrir les piscines d'exception qui peuplent ces grandes villes – et qui accueillent toujours de nombreux nageurs –, la série agit également comme une machine à remonter le temps, une bulle rétro. « Beaucoup de gens qui voient mon travail ont des histoires sur les piscines, que ce soit pour apprendre à nager ou tout simplement pour de beaux souvenirs d'enfance », confie d'ailleurs l'artiste. Un bel hommage au charme d'antan de ces espaces d'exception. Pour en savoir plus, visitez le site de Soo Burnell Photographies : Soo Burnell
Il y a 5 ans et 284 jours

Le géant des centres commerciaux URW gagne en confiance pour 2019 malgré des difficultés à Londres

Paradoxe pour URW, géant des centres commerciaux: il s'est implanté dans le monde anglo-saxon au prix d'une opération gigantesque, mais c'est là qu'il rencontre des difficultés, en particulier à Londres, alors même que de bonnes performances d'ensemble l'aident à relever ses prévisions.
Il y a 5 ans et 315 jours

Événement : Prix de l’artisanat LOEWE 2019

Pour la troisième édition de son prix de l'artisanat, le plasticien japonais Genta Ishizuka reçoit les honneurs de la Fondation LOEWE pour sa sculpture façonnée à partir des techniques de laquage ancestrales nippones, Surface Tactility #11. Et de trois ! A l'occasion de l'édition 2019, la fondation LOEWE vient de nommer le lauréat de son prix de l'artisanat annuel. Parmi les vingt-neuf finalistes, le japonais Genta Ishizuka sort du lot et remporte le graal de la grande maison madrilène avec sa création Surface Tactility #11. Si cette sculpture brille d'une apparente simplicité, elle n'en est pas moins le fruit d'un savoir-faire ancestral japonais datant du VIIIe siècle : le kanshitsu. Sa forme organique – inspirée d'un sac d'oranges – a été façonnée à partir de boules de polystyrène emmaillotées dans des chutes de lin, puis recouvertes de couches de laques végétales successives lui conférant cette brillance si particulière. Son créateur – passé par le Royal College of Art de Londres – n'en est pas à son premier coup d'éclat. Et pour cause, ses réalisations ovoïdales ont trôné dans les galeries du Victoria and Albert Musuem de Londres (Royaume-Unis) ainsi que dans celles du Minneapolis Institute of Art (Etats-Unis). "L'oeuvre d'Ishizuka prouve que l'artisanat peut être ouvert, et qu'il révèle une liberté de la création. Son usage de la technique ancienne de la laque dans une forme contemporaine brise les conventions et présente une nouvelle vision sculpturale de l'artisanat. " Jonathan Anderson, directeur artistique de LOEWE. S'il remporte aujourd'hui le premier prix avec maestria, deux autres talents ont été également récompensés. L'anglais Harry Morgan avec Untiltled, une sculpture rocheuse totémique et le japonais Kazuhito Takadoi, pour Kado (Angle), une œuvre murale confectionnée à partir de branches et de végétaux. Pour en savoir plus, visitez le site de la FONDATION LOEWE Photographies : DR
Il y a 5 ans et 321 jours

Coque blanche pour le 54 Londres d’Axel Schoenert

L’agence parisienne Axel Schoenert Architectes est lauréate du prix Spécial du Jury des premiers Awards Façades pour l’opération Shift 54 Londres dans le VIIIe arrondissement de Paris, un bâtiment de 4 758m² entièrement réhabilité sur sept étages (+ 85 places […] L’article Coque blanche pour le 54 Londres d’Axel Schoenert est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 321 jours

Mathieu Lehanneur : Inverted Gravity

Le créateur français Mathieu Lehanneur part de nouveau à la conquête du monde du design avec sa série de mobilier inédite, Inverted Gravity, présentée lors du salon Art Basel – Design Miami (USA). Une collection sculpturale composée de blocs de marbre disposés sur des bulles de verre soufflé qui nous ferait presque tomber à la renverse ! Atterrissage en douceur pour la collection Inverted Gravity signée du designer français Mathieu Lehanneur. Présenté de l'autre côté de l'Atlantique lors de la dernière édition de Art Basel – Design Miami, cet ensemble comprenant cabinet, table, console, chevet et banc, est inspiré des récits et vidéos de la vie à bord de la Station spatiale internationale (ISS), un vaisseau en orbite autour de la terre mis au point par la Nasa, permettant à ses futurs explorateurs de voyager la tête dans les étoiles. « J'ai rêvé d'un monde sans gravité, comme un état flottant de la matière où les notions de lourd et de léger n'auraient plus de significations. », Mathieu Lehanneur, designer. La série, comme flottant en apesanteur, semble s'affranchir des lois de la gravité. Chaque pièce est constituée d'un bloc de marbre et d'onyx massif reposant sur de délicates bulles de verres soufflées supportant jusqu'à 250 kilos. Leur créateur – connu notamment pour avoir imprimé les mouvements de l'eau à la surface de blocs de roches exposés au Victoria et Albert Museum à Londres en septembre 2016 – repousse ici une fois de plus les prouesses techniques de pointe avec un subtil jeu d'équilibre entre les matières. Une collection minimaliste, emprunte de poésie disponible sur commande en édition limitée. Pour en savoir plus, visitez le site de Mathieu Lehanneur Photographies : DR
Il y a 5 ans et 326 jours

Double déferlante sur la Serpentine Gallery

Une vague d’ardoise, de la main de l’architecte japonais Junya Ishigami, couvre les Kensigton Gardens à Londres depuis hier, pour la 19e édition du pavillon de la Serpentine Gallery. Une seconde déferlante, faite d’accusations s’abat sur la direction de l’institution qui serait impliquée  dans des affaires douteuses. Cette année 2019 marquerait-t-elle un tournant décisif dans l’histoire de la Serpentine Gallery, et signerait-elle la fin des fameux pavillons ? Junya Ishigami...
Il y a 5 ans et 327 jours

Autodesk: " Nous misons sur la construction avec des solutions adaptées aux chantiers"

Jim Lynch, vice-président et directeur général d'Autodesk pour les solutions pour la construction, fait le point à l’occasion de l’Autodesk University (AU) qui se déroule à Londres jusqu’au 20 juin. Depuis qu'un nouveau PDG est arrivé à la tête du groupe, l'éditeur américain de logiciels oriente toutes ses activités vers le secteur de la construction.
Il y a 5 ans et 327 jours

A Londres, l'aéroport d'Heathrow en piste pour une colossale extension

Un projet faramineux en quatre phases inclut la construction d’une troisième piste à horizon 2026. L’espagnol Ferrovial, qui gère l’aéroport, tablerait sur une enveloppe globale de plus de 33 milliards d’euros. Il vise l’accueil de 130 millions de passagers par an à terme.
Il y a 5 ans et 333 jours

Le Royaume-Uni s'engage à atteindre la neutralité carbone d'ici 2050

Londres a revu mercredi à la hausse son objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre, comptant atteindre la neutralité carbone d'ici 2050, un grand pas en avant selon Greenpeace mais trop petit pour Extinction Rebellion.
Il y a 5 ans et 334 jours

Incendie de la tour Grenfell : trois industriels attaqués, dont un français

JUSTICE. Des familles de victimes de l'incendie de la tour Grenfell, qui s'est produit en juin 2017, à Londres, ont porté plainte contre trois industriels, dont un français. Détails.
Il y a 5 ans et 336 jours

Une nouvelle image pour Selfridges

Sur Oxford Street, à Londres, Selfridges a ouvert ses portes en 1909 dans un bâtiment à l’écriture flamboyante, très Beaux-Arts. À la fin des années 1930, une extension a vu le jour dans un bâtiment plus sobre, de style Art déco. Jusqu’alors, les deux entités étaient (...)$##$ reliées par une construction en béton en retrait des façades, valorisant peu le patrimoine architectural que constitue cet ensemble. Selfridges a demandé à David Chipperfield de repenser entièrement cet...
Il y a 5 ans et 339 jours

L'intelligence artificielle débarque sur les routes

Numérique - A Londres, elle a permis le diagnostic de 400 km de voies à partir de vidéos, sans intervention humaine.