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Il y a 2 ans et 157 jours

Tout sur la préfabrication au centre de design de l’Uqam

Production par lots. Procédé Camus de construction pour panneaux en béton armé, 1954. [©Courtesy of US National Archives] Le Centre de design l’université du Québec à Montréal (Uqam) présente “Architectures en production. Visées de la préfabrication, un regard historique et analytique”. Une exposition qui porte sur la préfabrication architecturale à travers le temps et ses différentes typologies de construction. Elle propose des maquettes, des photographies, des illustrations de systèmes constructifs. Et pour les non-initiés, un glossaire des termes de la préfabrication. A travers 200 ans d’histoire et plus de 700 réalisations conçues dans une cinquantaine de pays, des projets historiques et contemporains y sont mis en perspective. Afin de comprendre les liens entre l’évolution de nos sociétés et leurs modes de construction. Lire aussi : Raymond Camus : Pape de la préfabrication lourde La préfabrication tout au long du XXe siècle Mécanisation du chantier. Tournalayer : Méthode de transports et de coffrages mobiles pour structures en béton armé, 1952. [©LeTourneau University Archives] L’exposition montre la diversité et l’abondance de l’expérimentation depuis le début de l’industrialisation. Elle met en place une chronologie graphique de propositions, qui révèle comment les méthodologies de fabrication ont dicté la trajectoire de la préfabrication tout au long du XXe siècle. Et continuent de façonner les stratégies contemporaines. Une analyse comparative de projets clefs met aussi en lumière la relation conceptuelle entre “l’ancienne” et la “nouvelle” préfabrication. Enfin, quatre prototypes présentés sous forme de maquettes illustrent des approches récurrentes, couvrant les vastes possibilités de la préfabrication. Lire aussi : La préfabrication à la mode du bas carbone De la simple préfabrication d’éléments aux systèmes de construction industrialisés très complexes, en passant par la construction hors site, l’architecture d’aujourd’hui est stimulée par la numérisation avancée. Tous ces concepts pointent vers la même idée : la préparation de sous-ensembles reproductibles dans un environnement contrôlé, avant d’être utilisés dans la réalisation d’un bâtiment. L’attrait de la préfabrication réside dans sa capacité à accroître la productivité et la qualité, tout en condensant les échéanciers et en réduisant les coûts. La préfabrication idéalisée par les architectes a produit certaines des visions les plus passionnantes, puissantes et ambitieuses de la discipline. Aujourd’hui, l’application de la fabrication additive et numérique renouvelle la quête de fabrication de l’avenir. Avancées avec le Modernisme Maison des jours meilleurs : Maison prototype avec noyau central sur socle en béton, 1956. [©CNAC/MNAM, Dist. RMN-Grand Palais] Parfois critiquée pour ses modèles standardisés et répétitifs, la préfabrication a alimenté le désir de nouveauté architecturale du Modernisme. Fabricants, inventeurs, designers industriels, architectes, constructeurs et artisans spécialisés ont tous développé des attitudes spécifiques à l’égard de la construction hors site. Si certains y voyaient un potentiel pour résoudre des problèmes, tels que les crises du logement et la stagnation de la productivité du secteur de la construction. D’autres ont perçu une menace pour la créativité et le caractère distinctif de l’architecture. Jusqu’au 22 janvier 2023Centre de design de l’Uqam1440 rue SanguinetMontréalEntrée libre Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 158 jours

Le 1er outil numérique de modélisation acoustique de la fenêtre bientôt disponible

L’UFME ambitionnait de mettre à la disposition de la profession les informations scientifiques et techniques permettant d’évaluer, avant sa fabrication, les performances acoustiques des fenêtres fabriquées en France. Trois ans plus tard, la thèse aboutit au développement, en cours, du premier logiciel de simulation et modélisation acoustique de la fenêtre.Mesurer les performances acoustiques sur la table de dessin : une économie environnementale et financièrePlus qu’une avancée scientifique pour la filière, il s’agit de la concrétisation d’une recherche qui fera prochainement de la fenêtre le premier élément de l’enveloppe du bâtiment à disposer d’une modélisation acoustique intrinsèque. S’inspirant des domaines automobiles et aéronautiques, le logiciel permettra aux industriels de bénéficier d’une estimation de l’affaiblissement acoustique atteinte par une fenêtre dès sa phase de conception, quelle que soit sa composition (dimensions et vitrage). Cette simulation minimisera au maximum l’éventuel écart d’affaiblissement acoustique estimé par rapport à l’essai en laboratoire.Cet outil numérique constituera un gage de gain de temps et d’économies pour les fabricants de fenêtres en bois qui :éviteront la fabrication d’un prototype qui, après des essais coûteux, ne correspondrait pas aux exigences d’affaiblissement acoustique recherchées,réduiront leur impact environnemental en termes de matières pour la fabrication du prototype et de transports en réduisant les allers-retours vers les centres d’essais.Il permettra aussi aux prescripteurs, bureaux d’études d’intégrer le confort acoustique dans leurs projets de construction ou de rénovation des bâtiments grâce à l’estimation de l’affaiblissement acoustique des fenêtres.Une première version disponible fin 2023L’outil, financé par le CODIFAB, à la demande de l’UFME, l’UMB-FFB et la CAPEB, est réalisé par Arnaud Combes, gérant de la société I.NOV, mandaté en 2021 pour travailler sur ce projet de digitalisation du calcul d’affaiblissement acoustique des fenêtres bois. Ce logiciel devrait voir le jour au dernier trimestre 2023 avec la mise en ligne d’une application dédiée à la fenêtre bois, la plus complexe à calculer de par ses variations structurelles, ainsi que sur des modèles XXL. Elle sera ensuite déployée sur les fenêtres PVC, aluminium et mixtes bois-PVC/Aluminium, ainsi que sur les ensembles complexes. Si le développement de cet outil numérique reste ardu, il est indispensable que l’interface soit simple et claire pour l’industriel utilisateur.« L’outil est en phase de réglages et de tests afin d’offrir aux industriels l’outil le plus ergonomique. Nous effectuons des expériences acoustiques pour modéliser la fenêtre en 3D et nous permettre de paramétrer le plus précisément possible. Il suffira ensuite à l’utilisateur de renseigner le type de modèle, les dimensions, l’épaisseur du dormant, la largeur, le type de vitrage… pour découvrir quel niveau d’affaiblissement acoustique sera atteint. Cette simulation pourra venir compléter celle sur la partie thermique afin d’ouvrir la voie au développement d’un nouveau produit en toute sérénité. » - Arnaud Combes, gérant de la société I.NOV.Arnaud Combes, I.NOVUn expert choisi par l’UFME pour ses connaissances solides dans l’univers de la menuiserie et en matière de développement de logiciels de calculs. Diplômé de l’école d’ingénieurs ESME Sudria et de l’université Panthéon-Assas (Master Management et Nouvelles Technologies), il a par exemple :géré une équipe de développeurs sur différentes applications dans le domaine de la fenêtre et du vitrage (Groupe Saint-Gobain en 2013),créé son entreprise I.NOV SARL, au sein de laquelle il a développé l’application « Fenêtre sur Mesure ». Commercialisée depuis 2018, elle est destinée aux installateurs de fenêtres pour les aider à la prise de côtes sur chantier. Depuis plus d’un an, il continue à l’améliorer et la personnaliser,travaillé au sein de l’entreprise familiale Menuiseries Combes pour les accompagner dans l’évolution du système d’information et la transformation digitale.* L’UFME (Union des Fabricants de MEnuiseries) représente la filière des portes et des fenêtres. Comptant 154 adhérents répartis sur l’ensemble du territoire national, elle a pour vocation d’accompagner et de défendre les intérêts des concepteurs, fabricants et installateurs de menuiseries, ainsi que les professions complémentaires à ces métiers. Composée de trois commissions (technique, sociale & formation et communication), l’UFME s’attache à représenter les intérêts des professionnels de la menuiserie en encourageant la promotion de menuiseries françaises de qualité, en proposant une offre de formations étoffée et en s’impliquant dans le suivi actif des grandes thématiques techniques. Par son dynamisme et l’expertise de ses membres, l’UFME participe aux débats d’actualité autour du secteur de la construction et de la rénovation des logements. www.ufme.fr – www.choisirmafenetre.fr** Thèse effectuée au sein du LMSSC (Laboratoire de Mécanique des Structures et des Systèmes Couplés) du CNAM, par la doctorante Chaïma SOUSSI, avec le soutien financier du CODIFAB.Résultats de la thèse accessibles sur le site du CODIFAB : https://www.codifab.fr/actions-collectives/developpement-de-modeles-numeriques-pour-levaluation-des-performances-vibro-acoustiques-de-fenetres-2837.*** Le CODIFAB, Comité Professionnel de Développement des Industries Françaises de l’Ameublement et du Bois, a pour mission de conduire et financer, par le produit de la Taxe Affectée, des actions d’intérêt général en faveur des fabricants français de l’ameublement (meubles et aménagements) et du bois (menuiseries, charpentes, panneaux, bois lamellé, CLT, ossature bois, …). Le CODIFAB fédère et rassemble 4 200 PME/ETI et plus de 15 000 artisans, représentés par leurs organisations professionnelles : Ameublement Français, UFME, UICB, UIPC, UIPP, UMB-FFB, UNACMA-CAPEB, UNAMA. Les actions collectives ont pour objectif d’accompagner les entreprises de création, de production et de commercialisation par : une meilleure diffusion de l’innovation et des nouvelles technologies, l’adaptation aux besoins du marché et aux normes environnementales, la promotion, le développement international, la formation, et par toute étude ou initiative présentant un intérêt pour l’ensemble de la profession. www.codifab.fr
Il y a 2 ans et 162 jours

Plus de 4 millions de travailleurs indépendants à fin 2021 selon un décompte des Urssaf

Ainsi, le nombre de travailleurs indépendants a augmenté de 8,6% en 2021 (après +8,1% en 2020), porté par la croissance soutenue des auto-entrepreneurs (+15,3% en 2021, après +17,6% en 2020), tandis que le statut de TI classique a enregistré une hausse de 1,6%. Les auto-entrepreneurs (AE) représentent désormais 54,2% des travailleurs indépendants. Parmi eux, la proportion ayant déclaré un chiffre d’affaires positif ‒ les AE dits économiquement actifs ‒ augmente (70,9% en 2021, soit 1,5 point de plus qu’en 2020) tout en restant inférieure à son niveau de 2019 (72,4%).La hausse du nombre de travailleurs indépendants concerne la quasi-totalité des activités exercées par les AE et la plupart de celles exercées par les TI classiques.Les femmes sont moins représentées parmi les indépendants, quel que soit le statut. Elles sont 38% parmi les TI classiques et 40% parmi les AE. Néanmoins, quand elles sont en auto-entreprise, elles sont proportionnellement davantage économiquement actives que les hommes (75,6% contre 67,8%). Les auto-entrepreneurs sont plus jeunes que les TI classiques. Près de trois-quarts de ces derniers sont âgés de plus de 40 ans, tandis que plus de la moitié des auto-entrepreneurs ont moins de 40 ans.Fin 2021, près de 23% des auto-entrepreneurs cumulent leur activité individuelle avec un emploi salarié dans le privé. Dans la population des TI classiques, la part de polyactifs est inférieure à 7%. Ces proportions diffèrent selon les secteurs.Au titre de 2020, les travailleurs indépendants classiques ont déclaré un revenu moyen de 41 258 euros, en baisse de 3,2% par rapport à 2019, en raison de la crise sanitaire. Celle-ci a particulièrement affecté le secteur des taxis-VTC, de l’hébergement, du commerce de détail sur les marchés, des arts, spectacles et autres activités récréatives, de la restauration et débits de boissons mais aussi de la coiffure et soins du corps.En 2021, les revenus des auto-entrepreneurs rattrapent leur niveau moyen d’avant crise (6 254 euros en 2021, et 6 117 euros en 2019). Celui-ci avait baissé de 9,9% en 2020 (5 514 euros). Seuls les secteurs des taxis-VTC et des activités sportives n’ont pas retrouvé leur niveau de revenu moyen de 2019.Le BTP, un secteur représentatif des TI employeurs Les activités du BTP sont très représentées parmi les travailleurs indépendants avec 449,6 milliers de comptes (10,9% des inscrits) : 4,4% pour les travaux de finition, 3,5% pour les travaux de gros oeuvre et 3,0% pour les travaux d’installation. Elles concernent les deux statuts : 11,6% des TI classiques et 10,4% des auto-entrepreneurs.En 2021, les travailleurs indépendants employeurs sont nombreux dans quelques secteurs du commerce et de l’artisanat : 10,8% des employeurs exercent dans la restauration et débits de boissons (contre 3,5% des TI nonemployeurs, graphique B), 6,0% dans le commerce de détail non alimentaire (contre 3,4%), 5,4% dans les métiers de bouche (contre 1,7%), 4,4% dans la coiffure et le soin du corps (contre 2,4%) et 3,7% dans la réparation d’automobiles (contre 1,5%). Dans chacun de ces secteurs, la part d’employeurs dépasse 50%.De même, dans le secteur du BTP, près de la moitié des travailleurs indépendants sont employeurs. Ainsi, 6,2% des TI employeurs exercent dans le gros-oeuvre du BTP (contre 2,8% des non-employeurs), 5,3% dans les travaux de finition (contre 3,4%) et 4,2% dans les travaux d’installation (contre 2,9%). Les TI sont en outre majoritairement employeurs dans la pratique dentaire, le commerce de produits pharmaceutique et orthopédique, l’action sociale et le transport de fret et déménagement.Enfin, 17,2% des travailleurs indépendants sont employeurs en 2021 (706 000 indépendants). 36,4% des travailleurs indépendants classiques ont des salariés contre 0,9% des auto-entrepreneurs.
Il y a 2 ans et 162 jours

Z'Tower, le tout nouvel échafaudage roulant télescopique pour le bâtiment et l'industrie

Garantir plus de sécurité et répondre aux besoins des utilisateurs : les axes de développement majeurs pour TUBESCA-COMABITubesca-Comabi travaille sur l'amélioration continue de ses gammes, toujours à l'écoute des distributeurs et utilisateurs. De nouvelles technologies sont constamment mises en oeuvre afin de concevoir de nouvelles solutions et le Z'TOWER en est le résultat.Substitut du NANO'TOWER, il offre 7 niveaux de plancher (de 0,30 m à 1,80 m), soit 7 réglages de hauteur possibles tous les 25 cm, au lieu des 4 réglages précédemment et permet de travailler à une hauteur de travail maxi de 1,80 m contre 1 m. Comme le précise David Flour, Chef de projets BE de Tubesca-Comabi : "Il fallait faire un produit plus haut que le NANO'TOWER, tout en apportant des améliorations conséquentes. Il fallait un produit compact qui puisse s'utiliser à plusieurs hauteurs de travail." Facile à manipuler grâce à sa légèreté (50 kg - hors plinthes), il peut être déplacé facilement par une seule personne, permettant ainsi un gain de temps et de productivité considérable. Il a été ainsi pensé comme le compagnon de tous les chantiers.Conforme au décret 2004-924, relatif à l'utilisation des équipements de travail mis à disposition pour des travaux temporaires en hauteur, il est également conforme à la norme en 1004-1. Équipé d'un plancher anti-dérapant intégré, de garde-corps et de stabilisateurs rétractables, proposant un montage rapide et facile depuis le sol sans outil, il garantit un travail conforme aux exigences du MDS (Montage et Démontage en Sécurité).La parole à Richard Perrin, responsable marketing de Tubesca-ComabiRetour sur les atouts du Z'TOWER :Conception "monobloc" : pas de perte ni d'oubli d'éléments sur les chantiersMontage facile et rapide en 2 minutes seulement !Sans vis ni outils, par une seule personne7 réglages de hauteur possibles : de 30 cm à 1,80 m plancherExcellente compacité : se transporte dans un petit utilitaireStabilisateurs rétractables pour franchir aisément les portesUltra mobile : roues à frein orientables à 360° anti-trace Ø125 mmDimensions repliées : 0,69 x 0,95 x 1,65Conforme aux réglementations Décret FR et EN 1004-1Conçu et fabriqué en FranceToutes les pièces de rechange sont disponibles en cas de besoin et peuvent être directement commandées en ligne : https://boutique.tubesca-comabi.com
Il y a 2 ans et 163 jours

A Roland-Garros, le court Philippe Chatrier doté d’une couverture mobile signée DVVD

La couverture mobile du court Philippe Chatrier du stade Roland-Garros à Paris, un projet signé DVVD Architectes et Atelier Didier Girardet réalisé pour la Fédération française de Tennis, est le projet lauréat des Trophées Eiffel 2022 dans la Catégorie « Dynamique ». Le toit mobile du Court Central permet au tournoi de Roland-Garros la poursuite […] L’article A Roland-Garros, le court Philippe Chatrier doté d’une couverture mobile signée DVVD est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 163 jours

À Bordeaux, un projet de téléphérique pour désengorger le trafic

"Il nous faut décongestionner Bordeaux, limiter les embouteillages et la pollution automobile et pour cela, il n'y a pas de solution unique. Le projet de télécabine constitue une alternative supplémentaire pour franchir la Garonne (...) dans un délai raisonnable", a déclaré jeudi le maire de Bordeaux, Pierre Hurmic, lors d'une conférence de presse.Neuf tracés possibles ont été définis dans le projet ouvert au débat. Il relierait les communes de Cenon et Lormont avec le nord de Bordeaux. Pour les élus, les avantages d'un transport décarboné par câble, pouvant accueillir "entre 9.000 et 18.000 voyageurs par jour" selon les options, sont nombreux. "Ce projet qui permet un franchissement du fleuve entre 7 et 10 minutes au maximum représente une avancée extrêmement concrète", a indiqué Jean Touzeau, maire de Lormont et vice-président de Bordeaux Métropole chargé du dossier. Pour son homologue et maire de Cenon, Jean François Egron, relier les deux rives permettrait aux habitants de ces deux villes, situées sur la rive droite, d'avoir un meilleur accès à l'emploi, concentré à "70%" sur la rive gauche."Par conséquent on est obligé de franchir la Garonne pour aller travailler", a souligné le maire. Ce qui engorge le trafic routier. "Les habitants sont très motivés, ils sont en attente de solutions qui deviennent urgentes."Le budget de l'opération se situe "autour de 50 millions d'euros", selon Jean Touzeau. Un bilan de la concertation sera rendu en mars et la métropole décidera "de poursuivre ou non le projet" courant mai.Avant Bordeaux, Grenoble puis Brest, Saint-Denis-de-la-Réunion et Toulouse ont opté pour ce type de transport en commun. D'autres projets ont été lancés à Ajaccio, Grenoble, Créteil et Nice mais en mari dernier, Lyon a dû abandonner le sien face à l'opposition des riverains.Dans le monde, après l'Amérique Latine où le modèle s'est imposé à Rio de Janeiro, La Paz et Medellin, d'autres lignes ont également vu le jour à New York, Ankara, Singapour ou Porto.
Il y a 2 ans et 164 jours

Permis de construire au-dessus du périphérique : la mairie de Paris se pourvoit en cassation

Deux mois après l'annulation par la cour administrative d'appel de Paris des permis de construire des projets "La Ville multistrates" et "Mille arbres" délivrés par la mairie de Paris, cette dernière "a décidé de se pourvoir en cassation auprès du Conseil d'État", a-t-elle indiqué à l'AFP lundi soir.Ces deux projets d'immeubles de bureaux, de commerces, d'habitation, incluant même une crèche pour le second, étaient prévus sur des dalles recouvrant le boulevard périphérique dans le XVIIe arrondissement (nord-ouest), à proximité de la porte Maillot.Les deux permis avaient été annulés par deux jugements du tribunal administratif de Paris du 2 juillet 2021, à la suite de recours émanant notamment d'associations de protection de l'environnement. Le tribunal avait jugé ces permis illégaux, compte tenu du risque pour la salubrité publique lié à la pollution atmosphérique.Début octobre, la cour administrative d'appel avait rejeté l'appel de la Ville et des deux constructeurs, estimant que "le déplacement des polluants issus de la circulation automobile à l'entrée et à la sortie des tunnels créés par les projets entraînera, en particulier, une augmentation de la concentration de dioxyde d'azote aux alentours".Cette décision "ne prenait pas en compte les impacts positifs des politiques de réduction des pollutions à la source mises en oeuvre par la Ville", a expliqué l'entourage de l'adjoint à l'urbanisme Emmanuel Grégoire lundi soir à l'AFP.Parmi ces mesures anti-pollution, la même source cite "l'évolution du périphérique en boulevard urbain et végétal, l'interdiction des véhicules diesel à Paris et sur le territoire de la Métropole en 2024 via la Zone à faibles émissions (ZFE), ou encore la réduction de la place de la voiture en ville".Les élus écologistes, alliés de la maire PS Anne Hidalgo mais en désaccord avec elle sur ses grands projets urbains, notamment sur la manière de transformer le périphérique, ont réagi en demandant à l'exécutif de renoncer à ce pourvoi."Comment peut-on contester une décision de justice qui sauve des vies ?", s'est ému l'élu EELV Emile Meunier auprès de l'AFP."La ville insiste pour mettre en danger la santé de nouvelles populations en construisant des sites pollués", a aussi fustigé Christine Nedelec, présidente de France Nature Environnement (FNE) Paris, l'une des associations à l'origine des recours.
Il y a 2 ans et 164 jours

Locken Smart Access un logiciel pour paramétrer et gérer l’ensemble des accès

Spécialisée depuis près de 20 ans dans le développement de solutions de gestion des accès personnalisés et de services à valeur ajoutée, LOCKEN a notamment mis en avant sa solution LSA (Locken Smart Access) particulièrement adaptée aux grandes infrastructures et aux entreprises composées de sites dispersées. En effet, le logiciel Locken Smart Access (LSA) est le cœur des solutions de contrôle d’accès développées par Locken. Simple et sécurisé, il gère, à partir d’une même interface, l’ensemble des solutions proposées par Locken : clés électroniques, mécaniques, solutions smartphones, badges, …Multi-technologies & multi-environnements, le logiciel LSA permet de renforcer la chaîne de valeur des entreprises, de paramétrer et gérer l’ensemble des accès. Le logiciel LSA peut être utilisé tel quel, mais aussi s’intégrer au système d’information de l’entreprise. Il reprendra alors automatiquement des informations comme le statut contractuel des intervenants, la prévention des risques au travail, ou les consignes à transmettre en cas d’incident. Dans certaines entreprises, cette solution de gestion des accès contribuera à l’amélioration du niveau de service en s’intégrant aux données préexistantes, celles par exemple des Responsables Sécurité ou des Ressources Humaines.Un logiciel sécurisé et personnalisableLe logiciel de contrôle LSA permet de configurer les accès sur mesure. Dans sa version « Plug & play », il couvre la totalité des besoins des utilisateurs. Sur mesure, il répond aux attentes spécifiques de chaque entreprise. Le logiciel LSA peut alors s’interfacer avec le système d’information de chaque client et intégrer des fonctionnalités avancées comme la visualisation graphique ou la validation instantanée des demandes d’accès. Ainsi, avec l’appui des experts Locken, chaque entreprise peut disposer d’une solution entièrement adaptée à ses besoins.Un logiciel de gestion des accès convivialLe logiciel LSA, est un logiciel de gestion des accès de nouvelle génération qui bénéficie des dernières avancées en matière d’ergonomie et d’affichage. La cartographie – ou mapping – est l’une des fonctionnalités phare de la solution : les points d’accès positionnés sur une carte Google facilitent la visualisation et le suivi des activités. Interactifs et liés, ils permettent au gestionnaire de naviguer et d’ouvrir de nouvelles pages donnant accès à davantage d’informations. Entièrement personnalisable, la représentation graphique peut se conformer à l’univers visuel et aux besoins de chaque entreprise.Focus : les composantes de la solution Locken La solution de contrôle d’accès développée par LOCKEN repose sur les éléments suivants : Un logiciel de gestion LSA - Locken Smart Access -Une application mobile MyLOCKEN Une gamme de produits incluant une clé électronique à induction sans contact certifiée ATEX et une gamme complète de cylindres et de cadenas électroniques. Des services additionnels standards ou personnalisés.
Il y a 2 ans et 168 jours

TomTom et Webfleet Solutions lancent une solution mobile intégrée

Les deux entreprises ont combiné leur expertise pour créer une application unique dédiée aux gestionnaires de flotte et aux conducteurs leur permettant de relever les défis auxquels ils sont confrontés quotidiennement, notamment la conformité des itinéraires, le respect des délais de livraison et les problématiques de sécurité.WEBFLEET Work App permet aux conducteurs professionnels de réaliser leur travail facilement et efficacement grâce à leurs appareils mobiles Android uniquement. Les gestionnaires de flotte et leurs conducteurs, ont accès à un large éventail de fonctionnalités de gestion de la main-d'œuvre sans avoir besoin de matériel supplémentaire. Cette application comprend la localisation des véhicules, l'enregistrement des temps de travail, l’identification des conducteurs, la gestion des missions et des plannings et une communication bidirectionnelle avec le back-office. L'application TomTom GO Fleet y est parfaitement intégrée, et permet aux conducteurs de toujours disposer des cartes les plus à jour, ainsi que les infos trafic et la navigation dans un outil unique. Ils peuvent démarrer automatiquement leur itinéraire vers la destination de leur choix depuis WEBFLEET Work App, et les gestionnaires de flotte bénéficient d'une visibilité en temps réel sur les heures d’arrivée estimées et la destination en cours. La combinaison de WEBFLEET Work App et TomTom GO Fleet, permettent aux conducteurs de bénéficier d'une navigation professionnelle pour tous les types de véhicules. Une navigation dédiée aux poids lourds est également disponible en fonction des caractéristiques du véhicule, du type de cargaison, des réglementations locales et des caractéristiques de la route empruntée. De plus, TomTom GO Fleet assiste les chauffeurs routiers en localisant des points d'intérêt (POIs) dédiés aux poids lourds tels que les parkings et les stations-service, et offre les cartes les plus à jour, même en l'absence de connectivité. L'application propose également les heures d'arrivée estimées fiables et des informations sur le trafic en temps réel, ce qui permet aux conducteurs de respecter aisément les délais et de réduire les coûts de carburant en empruntant les meilleurs itinéraires.Pour Paul Verheijen, Vice President Product Management chez Bridgestone Mobility Solutions : « WEBFLEET Work App est la solution idéale pour les entreprises et les conducteurs qui souhaitent profiter de leurs appareils mobiles existants pour gérer efficacement les tâches quotidiennes. La configuration et l'intégration sont rapides et faciles à réaliser, avec une interface utilisateur intuitive, ce qui en fait une combinaison parfaite avec l'application TomTom GO Fleet. Ensemble, nous pouvons offrir encore plus de valeur à nos clients en leur fournissant une solution intégrée. »Pour Mike Schoofs, Vice President Product Management chez TomTom Enterprise : « Simplifier la technologie de localisation et aider à résoudre les problèmes des conducteurs ont toujours été au cœur des priorités de TomTom. C'est enrichissant de travailler avec des partenaires comme Webfleet Solutions, qui ont les mêmes objectifs que nous. Cette collaboration permet aux deux entreprises d'intégrer ce qu'elles font le mieux dans une seule solution dédiée aux conducteurs professionnels. » WEBFLEET Work App est désormais disponible pour tous les clients Webfleet Solutions disposant d'un dispositif de suivi LINK 740/710/530/510/410 installé. L'option de suivi mobile - sans aucune installation matérielle nécessaire - sera disponible dans les mois à venir.
Il y a 2 ans et 170 jours

Avec le visiophone connecté Hi), CDVI revient sur le marché de l’interphonie

Les objets connectés rencontrent un succès croissant chaque année. Une tendance qui s’est même accentuée lors de la période du confinement pour atteindre 37% de français équipés en 2020. Si la domotisation des logements est en marche, les équipements jugés utiles répondent principalement à des enjeux de protection des biens et des personnes (alarme, vidéosurveillance…). En tant que spécialiste dans ce domaine, c’est tout naturellement que CDVI lance aujourd’hui Hi), son visiophone connecté qui allie simplicité, sécurité et confort d’utilisation. Hi) simple comme « bonjour » Doté d’une caméra haute résolution et fonctionnant en 4G, le visiophone connecté Hi) de CDVI permet d’accueillir des visiteurs à distance à partir d’un smartphone et de surveiller l’accès à son domicile partout et à tout moment. Conçu et fabriqué en France, il se présente sous la forme d’un kit complet prêt à poser (système plug and play) qui comprend : une platine de rue extrêmement simple à câbler. Certifiée IP54, elle résiste à toutes les conditions météorologiques, deux contacts qui permettent de connecter jusqu’à deux serrures (portail, portillon…) pour déclencher leur ouverture, une carte SIM à insérer dans la platine pour bénéficier de la connexion à Internet en 4G pendant 1 an (partenariat avec SFR ou Orange avec plus-value), renouvelable à expiration (forfait Serenity ou Premium au choix). Une fois l’ensemble installé et activé, il ne reste plus qu’à l’utilisateur de télécharger gratuitement l’application mobile associée (App Store, Google Play Store) pour profiter des multiples fonctionnalités du visiophone connecté. Allier sérénité et sécurité Polyvalent, le visiophone connecté Hi) offre la possibilité : d’accueillir avec son smartphone les visiteurs qui sonnent à son domicile, même en cas d’absence, de les voir et de dialoguer avec eux. Grâce au nombre d’utilisateurs illimités, la notification envoyée par Hi) bascule automatiquement vers les personnes habilitées. Pratique, pour ne plus rater aucune livraison ! de surveiller à distance ce qui se passe devant la porte à l’aide du monitoring vidéo, accessible via l’application, et de la détection automatique de mouvement. En cas d’activité devant la platine, Hi) envoie immédiatement une alerte sur le téléphone et permet d’activer, si besoin, son alarme intégrée (92 dB). De quoi dissuader les rôdeurs mal intentionnés ! d’autoriser les accès de façon temporaire ou permanente en générant des clés virtuelles sous forme de QR codes sécurisés à présenter devant la platine de rue. Exclusivité de CDVI sur une solution d’interphonie, cette fonctionnalité pratique n’en reste pas moins sûre puisque l’utilisateur peut, dans la seconde, modifier les horaires d’accès ou désactiver le QR code. Idéal aussi bien en résidentiel qu’en petit tertiaire par la richesse de ses fonctionnalités, le visiophone connecté Hi) de CDVI s’impose comme le système d’interphonie équipé d’une caméra le plus intelligent de sa génération.  Réseaux de vente : distribution professionnelle Prix public indicatif HT : 950€ incluant le kit et un forfait Premium d’1 an prépayé  cdvi.com
Il y a 2 ans et 170 jours

L’OPPBTP “check” les chantiers

L’OPPBTP souhaite améliorer la sécurité des ouvriers avec son Check chantier. [©OPPBTP] La digitalisation permet à l’OPPBTP de viser un accompagnement massif des entreprises et des salariés du BTP, en mettant à leur disposition des outils simples, efficaces et accessibles. Dans cette optique, l’organisme a lancé l’application mobile “Check Chantier” à la rentrée 2022 où sont mises à disposition de nombreuses solutions permettant de répondre aux besoins des professionnels. Bien avant la crise sanitaire, l’OPPBTP a pris conscience de l’importance du digital. Et y a décelé un fort potentiel, en particulier pour permettre d’engager facilement les actions de prévention et offrir aux professionnels un accompagnement personnalisé. D’où le lancement de cette nouvelle application. Une large palette d’outils digitaux de l’OPPBTP Grâce à elle, l’OPPBTP entend accompagner l’utilisateur, qu’il soit chef de chantier, chef d’équipe, préventeur ou opérateur. En apportant des réponses instantanées, tout en lui rappelant les bonnes pratiques de prévention. “Check Chantier” a ainsi vocation à renforcer la large palette d’outils digitaux déjà à disposition des professionnels. Avec une dimension ludique, innovante et profitant des technologies embarquées du smartphone. En somme, une application ergonomique munie de solutions et d’outils consultables en tous lieux. Des outils pour les professionnels sur le terrain L’application rassemble différents outils pratiques pour accompagner le professionnel sur le terrain : · Des modules de vérification pour les échafaudages. Le contrôle des matériels joue un rôle primordial pour assurer la sécurité des opérateurs sur le chantier. Celui des échafaudages de pied et roulants est même obligatoire et doit être réalisé régulièrement. · Des modules de vérification pour les engins. Grâce à des check-lists personnalisables, l’utilisateur est guidé pas à pas dans cette procédure, et peut générer et imprimer les rapports correspondants. Cette vérification permet de déceler de potentielles détériorations et d’assurer la sécurité des collaborateurs. · Un accès vers l’OPPBTP en ligne avec la possibilité de rentrer à tout moment en contact avec l’équipe de conseillers en ligne par chat, appel audio. Et d’accéder à la base de questions/réponses pour obtenir des informations complémentaires. Ou avec la possibilité de joindre un conseiller par chat ou visio-conférence en cas de besoin. Lire aussi : l’OPPBTP en mode formation · Le module “accueil” accompagne le nouveau collaborateur dès son arrivée dans l’entreprise, avant de l’affecter à son poste de travail. Cet outil permet de formaliser l’accueil du nouvel arrivant, rappelant la conduite à tenir en cas d’urgence ou d’accident. · Un module “urgence” met à disposition toutes les informations pour réagir et avertir les secours le plus vite possible. Avec notamment, la possibilité de pré-enregistrer son adresse et sa localisation GPS. Des consignes pour agir dans l’attente des secours sont aussi disponibles. · Des outils pratiques pour mieux s’approprier le chantier et ses environs. L’application propose la météo du jour pour se préparer à d’éventuels aléas, la localisation de sanitaires à proximité, mais aussi des applications suggérées comme un capteur de bruit et un luxmètre pour mesurer la lumière sur le chantier. · La mise à disposition de documentations et de passerelles vers le site de préventionbtp.fr pour répondre à toutes les problématiques. Et renforcer la culture prévention des professionnels du BTP avec des fiches métiers, des packs animation et des pastilles vidéo.
Il y a 2 ans et 172 jours

Des servantes Würth hautes en couleur

Nous sommes tous supporters et solidaires de notre culture et de notre nation. Cela n’empêche que l’appel des horizons lointains se manifeste parfois. En Europe, ou bien ailleurs dans le monde. Chaque pays est riche de sa culture, sa gastronomie, sa langue, son drapeau. Le monde est haut en couleurs. Et si on mettait aussi de la couleur dans nos ateliers ? Quoi de mieux pour apporter le sourire dans sa journée de travail et pour voyager dans notre atelier qu’une servante personnalisée ? France, Espagne, Brésil… Vous n’avez plus qu’à choisir ! Würth propose une gamme de 9 servantes aux couleurs des pays du monde. Robustes, mobiles et adaptées à tous les corps de métiers, les servantes Basic 8.4. sont totalement personnalisées : France, Portugal, Allemagne, Angleterre, Hollande, Belgique, Espagne, Brésil et Argentine. Il suffit de choisir son pays favori pour en profiter et donner des couleurs à son atelier. De fabrication européenne dans les usines du Groupe Würth, cette nouvelle servante est gage de qualité et de robustesse.Servante Basic 8.4 CollectorArt. N° 0962 641 100 à 110459 € H.T. l’unitéCaractéristiques : 4 roues dont 1 à frein.Capacité de charge maximum : 250 kg.Capacité de charge du tiroir : 25 kg.Travail à une hauteur de 96,4 cm.Dimensions extérieures de la servante : l x p x h : 665 x 393 x 964 mm.La servante Basic 8.4 peut-être équipée en outillage grâce au jeu de 6 alvéoles Würth.Jeu de 6 alvéolesArt. N° 0965 905 111459 € H.T. l’unitéCaractéristiques : Compatibles avec les servantes et les coffrets SYSKO.Cliquets et douilles ¼" et ½" du 4 au 32 mm.Clés mixtes du 6 au 22 mm.Outils de frappe.Pinces + pinces circlips + clés mâles 6 pans et torx.Tournevis Fente + PH.Tournevis TX10 à TX40.Nouvelle protection carbone haute résistance sur les alvéoles, permet une longue durée de vie et un nettoyage facile.Marquage des dimensions sur les alvéoles pour un repérage facile et un choix rapide des outils.Boutique en ligne : eshop.wurth.fr
Il y a 2 ans et 174 jours

Bruno Catalano : Le Voyageur subaquatique

Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine. Le Voyageur de Bruno Catalano a pris place dans le Musée subaquatique de Marseille.[©Guillaume Ruoppolo] Depuis deux ans, le Musée subaquatique de Marseille partage son activité entre biodiversité marine, protection de l’environnement et art immergé. Ainsi, il y a peu, une 10e œuvre est venue compléter sa collection sous-marine. L’artiste Bruno Catalano dans son atelier ou il crée ses voyageurs.[©Guillaume Ruoppolo]Dixième œuvre immergée dans les profondeurs du Musée subaquatique de Marseille, le Voyageur de Bruno Catalano est en ciment Naturel Prompt signé Vicat.[©Guillaume Ruoppolo]Mise en place du voyageur dans les profondeurs du MSM. [©Guillaume Ruoppolo]Mise en place du voyageur dans les profondeurs du MSM. [©Guillaume Ruoppolo]Mise en place du voyageur dans les profondeurs du MSM. [©Guillaume Ruoppolo] Signé Bruno Catalano, le Voyageur est visible depuis la surface. Mais surtout en snorkeling et en plongée : elle est immergée, à 5 m de profondeur, à environ 100 m au large de la plage des Catalans. Cette sculpture a été réalisée en ciment Naturel Prompt signé Vicat. Au regard du style unique qui caractérise le travail de Bruno Catalano, Mathias Souverbie, en charge de l’ensemble des réalisations du Musée, a dû réfléchir à adapter l’œuvre au cahier des charges en milieux aquatique. Exceptionnellement, et contrairement aux autres, elle a reçu un treillis en acier inoxydable pour souder l’ensemble et résister aux flux marins… Le Voyageur rejoint ainsi rejoint les œuvres de Michel Audiard, de Christophe Charbonnel, de Benoît de Souza, de Davide Galbiati, d’Evelyne Galinski, d’Herrel, de Mathias Souverbie, de Thierry Trives et de Daniel Zanca. C’est l’histoire de Bruno Catalano Dixième œuvre immergée dans les profondeurs du Musée subaquatique de Marseille, le Voyageur de Bruno Catalano est en ciment Naturel Prompt signé Vicat.[©Guillaume Ruoppolo]Dixième œuvre immergée dans les profondeurs du Musée subaquatique de Marseille, le Voyageur de Bruno Catalano est en ciment Naturel Prompt signé Vicat.[©Guillaume Ruoppolo]Dixième œuvre immergée dans les profondeurs du Musée subaquatique de Marseille, le Voyageur de Bruno Catalano est en ciment Naturel Prompt signé Vicat.[©Guillaume Ruoppolo]Dixième œuvre immergée dans les profondeurs du Musée subaquatique de Marseille, le Voyageur de Bruno Catalano est en ciment Naturel Prompt signé Vicat.[©Guillaume Ruoppolo]Dixième œuvre immergée dans les profondeurs du Musée subaquatique de Marseille, le Voyageur de Bruno Catalano est en ciment Naturel Prompt signé Vicat.[©Guillaume Ruoppolo]Dixième œuvre immergée dans les profondeurs du Musée subaquatique de Marseille, le Voyageur de Bruno Catalano est en ciment Naturel Prompt signé Vicat.[©Guillaume Ruoppolo] Depuis près de trente ans, la famille des Voyageurs de Bruno Catalano n’a cessé de prendre de nouveaux visages. Une simple erreur de coulée de métal ouvre une brèche dans le corps de l’une de ses sculptures. Et dans les habitudes de l’artiste. Il se saisit de cet accident et fait de cette déchirure l’élément central dans sa production. Ces Voyageurs portant des valises illustrent, entre autres, des sujets d’actualité comme les flux migratoires… Des thématiques qui évoquent le parcours du sculpteur. « C’est mon histoire. Je suis arrivé à Marseille avec mes parents et une valise. Le vide, on peut tout interpréter : des choses qu’on laisse, des choses qu’on perd, mais qui sont propres au voyage et à la vie des gens », explique Bruno Catalano. Ces Voyageurs sont des hommes abandonnés à eux-mêmes, des hommes propulsés dans l’infini du temps et de l’espace. Leurs maisons ne sont plus qu’une valise. Hommes défragmentés, déstabilisés, dépouillés de leurs repères, ils marchent, immobiles pourtant, vers un ailleurs inconnu. Les silhouettes s’ouvrent en grand, fendues, déchirées en leur milieu. Leurs bustes flottent au-dessus de leurs jambes comme par un miracle. Seule, la valise fait le lien entre la tête qui pense et les pieds qui marchent… M. C. Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 175 jours

Renault signe un énorme contrat d'électricité solaire avec Voltalia

Ce contrat d'approvisionnement en électricité solaire, valable 15 ans, devrait permettre à Renault de couvrir à terme la moitié de la consommation électrique de ses usines françaises, avec une puissance de 100 mégawatts à partir de 2025 qui passera à 350 mégawatts en 2027. Voltalia estime qu'il s'agit du plus grand contrat d'approvisionnement en électricité renouvelable jamais signé en France entre un producteur d'électricité et une entreprise cliente. "Aujourd'hui, nous franchissons une étape stratégique dans notre objectif d'atteindre la neutralité carbone dans nos usines", a déclaré le directeur général de Renault, Luca de Meo, dans un communiqué. L'objectif pour Renault, c'est notamment d'atteindre ce que le groupe appelle la neutralité carbone d'ici à 2025 dans son pôle ElectriCity (Hauts-de-France), un engagement qui couvre les émissions directes du site, à l'exclusion des émissions indirectes. Les trois usines de ce pôle doivent produire 500.000 véhicules électriques par an, dont les futures Renault 4 et 5. Pour y parvenir, le groupe a également signé un contrat avec Engie pour alimenter son site de Douai (Nord) en géothermie. A la fin 2023, l'énergéticien entamera des travaux de forage afin de puiser de l'eau chaude (à 130-140°C) à 4.000 mètres de profondeur, pour chauffer l'usine et les machines et remplacer le gaz à 70%, ou produire de l'électricité. Dans le cadre d'un troisième contrat, la filiale d'EDF Dalkia va installer une chaudière biomasse et des systèmes de récupération de chaleur dans l'usine Renault de Maubeuge (Nord). D'une puissance de 15 mégawatts, cette chaudière devrait couvrir 65% des besoins de l'usine en gaz d'ici à 2025. Renault veut diviser par deux les émissions carbone de ses sites dans le monde d'ici à 2030, par rapport à 2019. Le groupe a déjà signé en 2021 un accord avec Iberdrola en Espagne, pour y alimenter ses sites en énergies renouvelables à 100%. La grande majorité (98%) des émissions d'un constructeur automobile relèvent d'émissions indirectes appelées "Scope 3", c'est-à-dire essentiellement de l'utilisation des voitures, selon les calculs de l'ONG Transport & Environment. Mais ces émissions baissent fortement pour les voitures électriques: la fabrication de la batterie représente le tiers de l'empreinte carbone d'un véhicule électrique.
Il y a 2 ans et 176 jours

MODULE CARRÉ, fournisseur officiel pour les équipements de proximité de la Fédération Française de Hockey.

La Fédération Française de Hockey (FFH) et MODULE CARRÉ : des ambitions communes pour faire rayonner le Street Hockey. La Fédération Française de Hockey (FFH) et MODULE CARRÉ, spécialiste des revêtements de sols modulaires haute performance, ont signé un accord de partenariat d’une durée de 3 ans dans le cadre du développement du Street Hockey. Cathelijne Rockall, Vice-Présidente élue Communication & Marketing : « La FFH est heureuse d’accueillir son nouveau partenaire Module Carré pour faire vivre à sa communauté, une nouvelle expérience de Street Hockey sur sol souple. C’est un partenariat important pour notre développement territorial et la mise en place du Plan Équipement Hockey sur Gazon de proximité 2022-2024. Module Carré nous apportera son retour d’expérience d’autres pratiques sportives et son regard sur les attentes des collectivités pour les années à venir. Notre ambition commune et de mettre en place une tournée nationale pour promouvoir la pratique sur dalles modulaires.». En tant que fournisseur officiel de sols sportifs avec son offre Patmos Master, MODULE CARRÉ s’engage à assurer le déploiement d’infrastructures de Street Hockey de proximité, discipline en pleine expansion. Ainsi, ce n’est pas moins de 13 zones de jeux qui vont être installées au niveau national ainsi qu’à la Réunion. De quoi faire naître de nouvelles vocations et améliorer les conditions d’accès au sport. Patmos Master, un sol sportif clipsable adapté à la pratique du sport outdoor. Spécialement conçu pour améliorer la pratique des sports en plein air, offrir un confort d’utilisation optimal, accroître la performance et la sécurité des athlètes, Patmos Master est le seul revêtement de sols sportifs d’extérieur avec système d’absorption des chocs par coussin d’air et capacité d’évacuation de l’eau intégrée. Patmos Master incorpore une sous-couche biométrique brevetée de 6,5 mm. Ce système innovant, en caoutchouc ondulé, crée un effet coussin d’air amortissant qui permet une absorption verticale et latérale des chocs encore plus grande, plus confortable et plus sûr pour les athlètes. Intégrée dans chaque dalle, cette technologie de pointe supprime également les irrégularités et inégalités du support et améliore l’isolation phonique en réduisant considérablement le bruit provoqué par l’activité sportive et le rebond de la balle. La surface continue et micro texturée du revêtement garantit une forte adhérence, évite l’abrasion lors des chutes et limite le risque de glissade. Les dalles se clipsent facilement les unes aux autres comme un puzzle. Assemblées entre elles au moyen de 7 points de fixation qui assurent à l’ensemble un maximum de stabilité et une haute résistance mécanique. La robustesse du système est renforcée par le format compact des dalles de 25x25x1,5cm. Le recouvrement sur d’autres sols permet de rénover des espaces de jeux existants pour les transformer en terrain de Street Hockey ou tout autre discipline sportive. Parfaitement amovible, le revêtement se monte et se démonte facilement et rapidement. De ce fait, Patmos Master est parfaitement indiqué pour l’installation de terrains mobiles. Qui plus est, Patmos Master offre aux aménageurs une grande liberté de composition dans le choix des teintes et des marquages de lignes. Personnalisable, il permet également de faire de la publicité directement sur le revêtement.
Il y a 2 ans et 176 jours

À Paris, un ancien garage automobile devient un espace de bureaux

EN IMAGES. L'agence d'architecture Pseudonyme s'est vue confier la réalisation de bureaux sur le site d'un ancien garage. Elle a souhaité apporter plus de lumière naturelle et de fluidité aux espaces.
Il y a 2 ans et 176 jours

Eiffage Construction installe une grue à tour au 26e étage de la Tour Hopen à Paris-La Défense

Celle-ci a été installée sur la terrasse du 26e étage de la Tour à l'aide d'une grue mobile de 750 tonnes équipée d'une flèche à volée variable de 84 mètres, elle-même mise en place grâce à trois autres grues mobiles. Cette opération vient d'être réalisée avec succès pour le chantier démarré cet été pour le compte de différents investisseurs représentés par Primonial REIM France.Imaginé par le cabinet d'architecture Ateliers 2/3/4, accompagné d'Orfeo Développement en tant que maître d'ouvrage délégué, le projet a pour ambition de contribuer à donner une dynamique nouvelle au plus important quartier d'affaires de France. L'immeuble tertiaire, construit en 2002 et classé IGH, a ainsi été repensé pour en faire une tour à usage mixte emblématique du quartier d'affaires.Les travaux, réalisés par Eiffage Construction et Goyer aux côtés des entreprises Phibor et Lefort-Francheteau, consistent en la restructuration et la surélévation de la Tour qui culmine à 218.00 NGF. Rehaussée de trois niveaux et dotée d'une extension latérale sur 26 niveaux en structure métallique, sa surface de plancher va passer de 61 000 m² à près de 66 000 m² et pourra accueillir 7 400 personnes.Afin de répondre aux meilleurs standards internationaux, ce projet qui aura recours au réemploi d'éléments issus du curage de la tour existante, vise plusieurs certifications et labels : HQE bâtiment durable et BREEAM niveau Excellent, Well Gold, Well HSR et Ready to Osmoz.D'une durée de 25 mois, les travaux s'achèveront au cours du troisième trimestre 2024.Ce marché a été remporté en groupement en mai 2022 à la suite d'une consultation lancée en 2021 et une phase de travail en exclusivité.Eiffage Construction est intervenu à plusieurs reprises ces dernières années dans le quartier d'affaires de Paris - La Défense tant en neuf avec la construction de la Tour Majunga qu'en rénovation avec l'ensemble Carré Michelet, l'immeuble Window, les Tours Pascal ou encore la Grande Arche de La Défense.
Il y a 2 ans et 176 jours

Programme d’investissements d’avenir (PIA3) : Alkern lauréat de l’appel à projets « Innov Avenir Filière »

Ce projet vise à structurer la filière miscanthus autour d’une nouvelle usine capable de fabriquer de nouveaux produits biosourcés et bas carbone pour le marché du bâtiment. D’un montant estimé à plus de 8 millions d’euros, il sera accompagné à parts égales par l’État et la Région à hauteur de 1 million d’euros, soit 2 millions d’euros au total, dont la moitié sous forme de subventions et la moitié sous forme d’avances récupérables.Pour M. BABRE, Préfet de l’Eure : « Ce projet s'inscrit parfaitement dans le cadre des enjeux nationaux rappelés par le président de la République en matière de neutralité carbone pour 2050 et d'émergence de nouveaux savoir faire, de rupture technologique. L'industrialisation d'un nouveau procédé permettant de produire des blocs de béton bas carbone à base de granulats de miscanthus produits localement offrira de nouvelles solutions pour la construction associant performance énergétique et faible empreinte environnementale, tout en favorisant le développement d'une filière d'avenir et d'un éco-système économique local. Pour toutes ces raisons, l'Etat est heureux d'accompagner financièrement ce projet de première industrialisation après avoir accompagné la phase amont d’ingénierie du projet. »Pour mémoire, le PIA3 régionalisé filière se distingue en permettant la conduite d’actions territorialisées financées à parts égales par la Région Normandie et l’Etat. Lancé en 2018, l’appel à projets (AAP) « Innov’ Avenir Filières » vise à financer des projets de structuration de filière, en permettant à des entreprises la composant, le recours à des moyens de production ou des infrastructures de recherche partagés, l’échange de données et d’informations, le partage des visions technologiques et de marché ainsi que l’initiation de démarches commerciales partagées.À l’issue du comité de sélection régional qui s’est tenu en juillet 2022, la candidature portée par la société ALKERN, fabriquant de solutions durables d’aménagement du territoire à base de produits en béton préfabriqué, a été désignée lauréate de cet appel à projets.Au cours d’un événement organisé sur le site industriel ce jour pour célébrer cette première étape importante, les différents participants ont pu partager tous ensemble les objectifs poursuivis du projet. La construction de cette nouvelle usine (située sur la commune des 3 Lacs) équipée d’un process inédit en France permettra de fabriquer des nouveaux matériaux de construction biosourcés s’inscrivant dans la trajectoire zéro émission nette de gaz à effet de serre 2050 de la France. Il s’agit également de poser la première pierre d’une nouvelle filière à base de miscanthus qui permettra d’ancrer, avec la communauté agricole, une activité industrielle s’appuyant sur les ressources naturelles et renouvelables de la région.Grâce à ce projet, Alkern va ainsi pérenniser ainsi 22 emplois directs (dont 7 nouveaux) avec une capacité de fournir la réalisation de l’équivalent de 3000 maisons individuelles par an soit 4800 emplois indirects.Pour l’ensemble des territoires à proximité de l’usine, c’est une solution supplémentaire pour leurs futurs besoins d’éco-construction et répondant déjà aux futures évolutions réglementaires de la RE2020.En effet, grâce à une réduction d’au moins 40% du bilan carbone des blocs fabriqués dans cette nouvelle usine, l’économie annuelle s’élèvera entre 2000 et 3000 tonnes de CO2. Il convient de plus d’ajouter la diminution de 90% de la consommation en eau sur les chantiers et une mise en œuvre plus rapide pour mesurer les bénéfices d’un tel projet. Le développement de produits isolants apportera non seulement une baisse de la consommation énergétique des bâtiments mais également un confort été comme hiver à ses occupants.De plus, afin d’accompagner la transition vers une construction plus vertueuse, l’usine a été conçue pour alterner facilement entre la production de blocs géo-sourcés ou de blocs biosourcés. Alkern pourra ainsi offrir à ses clients une mixité de solutions constructives (murs porteurs ou non porteurs) répondant aux enjeux propres de chaque projet.La création de cette filière servira également à résoudre des sujets clés pour les autres débouchés notamment un modèle économique de référence et une réponse à la gestion du stockage de miscanthus (nécessaire pour permettre de mettre en adéquation une ressource annuelle et un besoin de production régulier).Enfin, ce projet permettra de mettre en avant cette agro-ressource comme réponse pertinente aux zones à enjeux (AAC) grâce à ses très faibles besoins en entrants ; une solution pour concilier diversité agronomique, bas carbone et maîtrise de la qualité de l’eau sur ce territoire. Le projet Alkern va ainsi plus globalement permettre un effet de levier vers le développement plus large d’une filière à base de cette agro-ressource au travers d’autres applications industrielles aujourd’hui émergentes (automobile, cosmétique, chimie verte et biosourcée…). Il offrira ainsi aux agriculteurs un débouché économique supplémentaire pour diversifier leur production et leur clientèle.Pour M. Morin, Président de la Région Normandie : « La Normandie bénéficie de secteurs économiques à fort potentiel, d’activités fortement créatives et novatrices avec des produits emblématiques et des filières de haute technologie, pour la plupart adossées à des pôles de recherche d’envergure internationale. Cet appel à projets remporté par Alkern témoigne du dynamisme des entreprises normandes en matière d’innovation. Il va en plus permettre de développer une toute nouvelle filière pour le secteur agricole. Dans une économie en perpétuel mouvement, marquée par les innovations et les nouveaux usages, la capacité d’un territoire à innover et expérimenter est déterminante. Ce Programme d’Investissements d’Avenir territorialisé est un véritable enjeu pour les Normands ! »
Il y a 2 ans et 177 jours

DOM-Metalux lance DOM Roq, sa nouvelle solution de verrouillage intelligent développée en partenariat avec Somfy

A l’échelle européenne, la maison intelligente s’inscrit de plus en plus dans les usages des consommateurs. Le marché devrait même compter 100 millions de smart home à l’horizon 2026. Pourtant en matière de sécurité, un grand nombre de particuliers reste frileux à l’idée d’installer une serrure connectée. Pour répondre à ces inquiétudes, DOM, leader européen sur le marché des systèmes de sécurité et du contrôle d’accès, associe son expertise à celle de Somfy, pionnier de la maison connectée, et lance DOM Roq : une nouvelle solution de verrouillage intelligent à la fiabilité maximale. DOM Roq : l’alliance innovante du Safe au Smart Au design sobre tout en un, DOM Roq est une serrure intelligente qui s’installe sur de nombreux modèles de portes, côté intérieur. Un configurateur permet de vérifier facilement la compatibilité de DOM Roq avec sa porte. DOM Roq associe : une motorisation connectée puissante pour cylindre et serrure DOM Roq, dotée de détecteurs de verrouillage et de tentative d’intrusion qui surveillent la porte en permanence et détectent toute vibration anormale. Avec sa batterie amovible rechargeable aisément via un câble USB-C, DOM Roq bénéficie d’une autonomie optimale (3000 cycles d’ouvertures/fermetures), un cylindre de haute sécurité à profil européen DOM, à choisir parmi 4 modèles en fonction des caractéristiques techniques de la porte et du niveau de sécurité souhaité. A cela s’ajoute la passerelle internet à brancher sur une prise électrique pour connecter DOM Roq au réseau Wi-Fi et ainsi piloter et contrôler à distance les accès à son domicile via l’application mobile dédiée. Grâce au chiffrement de bout en bout, de la box à la serrure, afin d’assurer une véritable confidentialité des données, l’ensemble garantit à la fois un haut niveau de sécurité mécanique et électronique. Dès lors, différentes options de verrouillage/déverrouillage sont possibles : clé digitale via smartphone, clé mécanique côté extérieur, bouton côté intérieur, badge ou code à l’aide d’un lecteur mural proposé en option. Application DOM Roq : garder le contrôle 24 h/24 pour une véritable tranquillité d’esprit Une fois l’application DOM Roq téléchargée gratuitement (iOS et Android), la mise en service de la serrure intelligente et sa configuration s’effectue de façon simple et intuitive. L’utilisateur peut alors à tout moment, et à distance : vérifier l’état de sa porte et s’assurer qu’elle a bien été fermée en partant, et si tel n’est pas le cas la verrouiller à distance. Pour les plus distraits, il est même possible de programmer un verrouillage automatique, recevoir des notifications en temps réel en cas d’ouverture/ fermeture et de tentative d’effraction, gérer jusqu’à 30 utilisateurs en leur délivrant des clés digitales (à ouverture unique ou multiples), des badges ou un code. Les invités recevront alors sur leur smartphone par SMS ou e-mail leur autorisation d’accès. Pratique, une configuration spécifique du bouton de DOM Roq empêche les jeunes enfants de déverrouiller la porte facilement. De même, un mode nuit désactive les signaux sonores et diminue le nombre de cycle moteur pour un fonctionnement plus silencieux. De quoi dormir sur ses deux oreilles, que quelqu’un soit présent à la maison ou non ! 100% compatible avec les solutions Somfy Pour une expérience unique et enrichie de la maison intelligente, DOM Roq est compatible avec l’écosystème de produits Somfy notamment : Somfy Protect, pour bénéficier de fonctions telles que l’activation automatique de l’alarme lorsque DOM Roq détecte des vibrations sur la porte et sa désactivation quand celle-ci est déverrouillée par l’utilisateur, TaHoma® pour piloter à distance tous les équipements connectés de la maison (éclairage, volets roulants, portails, chauffage) y compris la porte d’entrée grâce à DOM Roq. Connecté à la box TaHoma® et associé aux assistants vocaux intelligents Google Home ou Alexa Amazon, DOM Roq repousse encore plus les limites de la connectivité. Il suffit d’une simple phrase au moment d’aller se coucher pour que la maison s’exécute en toute autonomie : la porte d’entrée se verrouille sans bouger de son canapé ! Produit fiable et connecté, DOM Roq de DOM-Metalux offre le plus haut niveau de sécurité et de tranquillité. Tout pour rassurer les particuliers qui n’auront plus désormais à se poser cette éternelle question « est-ce que j’ai bien fermé la porte à clé ? ». Points de vente : chez les points de vente participantsPrix public indicatif TTC : 448 € (cylindre compatible à choisir en sus). Plus d’informations sur www.dom-roq.com
Il y a 2 ans et 179 jours

Chez Mapei, la palette se met au vert !

Mapei a fait le choix des palettes éco-conçues, consignées et réutilisables. [©Mapei] Mapei s’associe à PGS Reverse et met à disposition de ses clients des palettes vertes consignées Eco PGS. Ces dernières sont ensuite récupérées et remises dans le circuit par PGS Reverse avec un système de collecte sur site ou via des points de dépôt. De dimensions Europe (80 x 120 cm), ces produits s’appuient sur une fabrication 100 % certifiée PEFC1. Ils sont issus des forêts françaises et européennes durablement gérées. De plus, étant éco-conçues, ces palettes utilisent moins de matière première. D’une durée de vie allongée, elles sont aussi 10 % moins lourdes que des palettes traditionnelles. Grâce à cette gamme, 2 037 m3 de bois sont épargnés chaque année. Ce qui équivaut à 4 000 arbres sauvés et 2 000 t de CO2 économisées. Avec cette méthode, Mapei privilégie l’économie circulaire et accentue son engagement pour limiter l’impact de son activité sur l’environnement. 1Programme de reconnaissance des certifications forestières.
Il y a 2 ans et 179 jours

Elcia recycle son stand Batimat : l’équivalent en CO2 de 10 allers-retours Paris/Madrid en avion économisé

Un stand réemployé pour 4 tonnes d’émissions de CO2 économiséesLa seconde vie du stand 100% éco-conçu ELCIA s’est ouverte dès la fermeture des portes du salon BATIMAT. Présentes lors du démontage, les équipes de MUTO EVENT ont récupéré 98% de ses matériaux (les 2% de pertes correspondant aux chutes et éléments souillés et donc inutilisables après dépose), soit plus de 1.941 kilos !En étant réemployés et non jetés, c’est l’équivalent de 3.955 kilos d’émissions de CO2 qui ont été évités (voir méthode de calcul ci-après).4 tonnes d’émissions de CO2, cela représente :10 allers-retours Paris/Madrid en avion1 tour du monde en voiture diesel559 mois passés en visioconférence212 jours de chauffage au gaz d’un foyer françaisPour Vincent RAIMBAULT, Fondateur et Directeur Général de MUTO EVENT : « Notre objectif est de transformer tous les déchets de l’événementiel en ressources pour l’ESS (Economie Sociale et Solidaire). »Que sont devenus les matériaux du stand d'Elcia ?Quelques exemples (entre autres) :#1 Des cloisons et du mobilier avec notre DropPaperLes DropPaper (papier léger) qui ornaient le stand ont été en grande partie récupérés par PROCÉDÉS CHÉNEL, une entreprise spécialisée dans la création de cloisons, plafonds, luminaires et mobiliers pour les concepteurs d’expositions, de l’événementiel ou encore de l’architecture intérieure.#2 Le mélaminé des armoires au cœur de lieux collectifs, de foyers ou encore de cours de récréationLes armoires qui ont servi de rangement lors du salon ont été données à LA FACTO, qui accompagne associations, coopératives et habitants dans leur projet de construction, de fabrication de mobilier, d’aménagement de parcelles ou de locaux. Quelques exemples de réalisation : lieux collectifs, cours de récréation d’écoles, chapiteaux mobiles pour des théâtres ou encore foyers sociaux.#3 Le bois contreplaqué du bar va s’installer dans le quotidien de particuliersAu centre du stand, le bar en bois était un lieu de rencontres et de sourires. Une convivialité qui perdurera puisque le bois contreplaqué a été donné aux ATELIERS CHUTES LIBRES. Cet atelier parisien collecte le bois afin de permettre à des particuliers de construire lampes, jardinières, bancs ou encore tables basses.Comment est calculée l’équivalence en émissions de CO2 ?MUTO EVENT s’appuie sur la méthodologie de référence QuantiGES de l’ADEME. Cette méthode précise les règles de calcul des émissions évitées, permises par l’activité d’une entreprise ou par une action spécifique (en l’occurrence pour MUTO EVENT : le réemploi d’un matériau).Pour calculer le nombre total d’émissions de CO2 évitées, l’étude retient la différence entre les émissions qui auraient été émises si les matériaux n’avaient pas été réemployés, et celles réellement émises lorsque MUTO EVENT réemploie ces matériaux.Les gains sont doubles grâce à l’action de réemploi : on économise à la fois sur le coût écologique du déchet évité, mais également sur celui du matériau neuf qui n’est pas acheté en remplacement !Qui est MUTO EVENT ?Chaque année, des milliers de tonnes de bois, plastiques, moquettes et textiles événementiels sont consommées et jetées en vrac après seulement quelques heures d’utilisation... Ce constat, dramatique pour l’environnement, Vincent RAIMBAULT y a assisté en première ligne, étant lui-même issu du secteur événementiel. C’est convaincu de l’énorme potentiel du réemploi qu’il a créé MUTO EVENT, Société à Mission engagée contre l’événementiel à usage unique. Leur devise : « Faire pour re-faire, pas pour défaire ». Pour cela, MUTO EVENT accompagne les entreprises engagées écologiquement avec des solutions 100% clés-en-main dédiées au réemploi des aménagement événementiels.
Il y a 2 ans et 179 jours

Profitez de la Black Week Würth du 21 au 25 novembre

Outillage, machines, systèmes de rangement, c’est l’occasion de se faire plaisir avant les fêtes de fin d’année. Retrouvez par exemple :La servante d’atelier Collector « Black Edition » 8.4. Art. N° 5581 613 700 399 € H.T.Très pratique pour une utilisation mobile, cette servante d’atelier en tôle d’acier possède 7 tiroirs à extraction totale montés sur roulements à billes pour un fonctionnement précis, silencieux et stable. Cette servante est adaptée aux systèmes de dimensions Sysko Würth.Ensemble de 4 alvéoles noires Art. N° 5988 905 111 369 € H.T.Retrouvez les 106 outils les plus courants dans 4 alvéoles compatibles avec tous les produits SYSKO.Caisse 88 outils pour électriciensArt. N° 0965 93 087259 € H.T.Une valise avec tous les outils isolés nécessaires aux électriciens : tournevis, pinces… Très pratique, elle se transporte facilement sur les chantiers.Lampe portative LED à batterie Ergopower Pen+Art. N° 0827 940 11745 € H.T.Elle combine la fonction lampe torche et projecteur. Son puissant aimant situé en dessous de la lampe permet de l’accrocher à une surface magnétique.Ces offres exceptionnelles seront disponibles dans la limite des stocks auprès des conseillers commerciaux Würth, dans ses 195 PROXI Shops ou sur l'e-shop wurth.fr du 21/11/2022 au 25/11/2022.
Il y a 2 ans et 182 jours

Les commissaires de justice alertent les pros du BTP sur les constats sans valeur en cas de litige

La Chambre nationale des commissaires de justice tire la sonnette d'alarme et tient à alerter le secteur de la construction, du bâtiment et des travaux publics sur la multiplication des illusions de constats travaux, n’ayant aucune valeur probante et susceptibles de causer d’importantes difficultés financières à l'ensemble du secteur du BTP, de l’artisan aux grandes entreprises des TP.Une matérialisation de la preuve par officier public et ministériel. Le seul acte ayant une valeur probante solideDe par son statut d'Officier public et ministériel, le commissaire de justice dresse des constats qui attestent de la réalité d'un fait, de façon neutre et impartiale, dans un acte authentique qu’il est très difficile de remettre en cause au cours d’un procès.Pour établir un constat, le commissaire de justice se déplace et procède à des constatations matérielles objectives. Grâce à leur maillage territorial, les commissaires de justice (3.700 sur tout le territoire) peuvent intervenir très rapidement, dans l'heure, sur les lieux, avant que la preuve ne disparaisse. Une fois sur place, le commissaire de justice prend des photographies, filme la scène, éventuellement par drone, réalise des prélèvements et mesures... avant de consigner le tout de façon localisée, dimensionnée, précise et quantifiée de manière certaine et indiscutable dans son procès verbal.Pour Benoit Santoire, Président de la CNCJ : « Le constat par commissaire de justice est l’acte le plus abouti pour matérialiser une preuve. Pour que ce constat soit valide, le commissaire de justice doit être présent sur les lieux. ce qui n'est donc possible avec l’utilisation d'applications mobiles ou de simples prises de photos par un ouvrier présent sur place par exemple. »La solidité de la preuve par constat du commissaire de justice permet de se prémunir d'un litige à naître, établissant la réalité d'une situation à un moment et en un lieu précis, coupant court à toute interprétation, supposition ou accusation non fondée. Elle permet souvent d’éviter une procédure judiciaire car la simple présence de cette preuve permet de déboucher vers une médiation. Enfin, si la procédure se poursuit jusqu'au procès, le constat constitue l'un des modes de preuves les plus déterminants devant la justice : la loi confère au constat par commissaire de justice une valeur probante forte et il comprend des mentions constituant un acte authentique.Un large panel de constats pour protéger les acteurs du BTPIl est vivement recommandé à tous les professionnels du BTP, quelle que soit la taille de leur entreprise, de faire appel aux constats par commissaire de justice afin de protéger leur activité, et ce, durant toutes les phases du chantier :Le constat avant travauxAvant que l'entreprise ne débute son chantier, le commissaire de justice intervient pour constater l'état de la voirie, des murs des immeubles ou maisons voisines, l'état des trottoirs, barrières, etc. Ce constat à but préventif permet à l'entrepreneur de se dégager de toute responsabilité si, une fois le chantier terminé, il se retrouve accusé d'avoir créé des dommages collatéraux (fissures sur les immeubles voisins, voie endommagée, etc.).Pour Maître Jean-Luc Bourdiec, commissaire de justice à Gien : « Ce constat devrait presque être systématique car bon nombre d'entreprises une fois leurs chantiers terminés se voient accusées de tous les dommages alentours. Or, n'ayant aucun moyen de prouver qu'elles n'en sont pas responsables et que les dommages étaient présents avant leur intervention, elles se retrouvent contraintes de réparer, mobilisant des moyens humains et financiers pour lesquels elles ne seront pas payées. »Le constat durant le chantierPour prouver un retard : Dans le BTP, les différents corps d'état interviennent successivement. Aussi, dès que l'un d'entre eux prend du retard, ce retard se répercute sur le chantier suivant et ainsi de suite. Afin de ne pas être tenu pour responsable du retard à la livraison (et par conséquent tenu de payer les pénalités), l'entreprise peut faire constater par commissaire de justice son impossibilité de travailler dans les temps, le chantier n'étant pas prêt.Pour Jean-Luc Bourdiec : « Par exemple, un peintre fera constater que le chantier n'étant ni hors d'eau ni hors d'air, il ne peut commencer son travail, et encore moins l'achever dans les temps. Du côté des grands acteurs du secteur ce constat est essentiel compte tenu des sommes engendrées. Un fournisseur d'énergie, par exemple, qui ne pourra pas exploiter des panneaux solaires (car l'entreprise en charge de la pose n'a pas tenu les délais) se prémunira de pénalités de l'ordre de 100.000 euros par semaine de retard. »Pour prouver une malfaçon, un vice-caché : Une fois le chantier lancé, le professionnel n'est pas à l'abri de découvrir des « imprévus ». Il est possible de découvrir des matières dangereuses ou des enfouissements clandestins. Le ponçage peut révéler la présence d’insectes xylophages ou de salpêtre. Ces situations courantes vont engendrer des délais et des coûts supplémentaires de remise en état. Ici le constat par commissaire de justice permettra de prouver la présence de ces « vice-cachés » et de dégager la responsabilité de l’entrepreneur.« Cela prend également tout son sens lorsque l'on sait que la justice met des années à statuer. Par exemple, une entreprise chargée de creuser des tranchées pour faire passer la fibre tombe sur des lignes haute tension. En intervenant dans l'heure pour prouver que ces lignes auraient dû être enterrées à 80 cm et qu'elles ne le sont qu'à 40cm, le commissaire de justice dégage la responsabilité de l'entreprise ayant creusé, lui évitant non seulement les sommes colossales pour réparer mais aussi lui permettant de se protéger lors du futur procès grâce à un constat qui a établi la preuve à un moment précis, authentifiée par officier public et ministériel et qui sera indiscutable même 4 ans après devant le juge. »Le constat lors de la remise des clés / fin chantierPermettant de figer une situation à un moment donnée, le constat par commissaire de justice protégera l'entreprise ayant réalisé et livré le chantier en évitant que puissent lui être reprochés de futurs dommages liés à l'usage et l'usure et non à son travail. L'ensemble des constats étant conservés durant 25 ans, cette précaution s'avère précieuse...Bientôt un constat immersif à 360°...Pour aller plus loin dans la précision de ces constats, avant, pendant et après travaux, la CNCJ annoncera, à l’ensemble de la profession lors de son Congrès national (les 8 et 9 décembre prochains à Paris), le lancement d’un nouvel outil : le constat immersif à 360°.A partir d’une caméra, le commissaire de justice pourra réaliser une vidéo à 360° de l’objet de son constat (rue, façade, pièce...) dans sa globalité. Ce constat immersif verra le jour courant 2023 et la profession sera formée à son utilisation.Pour trouver le commissaire de justice le plus proche : commissaire-justice.fr
Il y a 2 ans et 183 jours

Bouygues confirme ses objectifs de croissance et accueille Equans

Le géant français des BTP, des médias et des télécoms a vu ses revenus croître de 8% pour ces neuf premiers mois, à 29,677 milliards d'euros, selon ses résultats publiés mercredi.Son bénéfice net s'établit à 537 millions d'euros, soit -33% comparé à une base favorable en 2021 qui intégrait des plus-values de cessions de data centers et des cessions d'actions d'Alstom. En revanche son résultat opérationnel courant est en amélioration de 66 millions d'euros, à 1,207 milliard.La quasi totalité des métiers du groupe montrent une hausse de l'activité (toujours réalisée pour les trois quarts par la construction et les services, à 22,4 milliards d'euros sur neuf mois).En particulier Colas, la branche infrastructures de transport, est à +18%. Principaux facteurs, l'apport de Destia (leader du marché finlandais), le dynamisme des contrats routiers notamment en Amérique du nord et en Europe, un contrat ferroviaire important (le tramway de Birmingham, pour 192 millions d'euros), mais aussi l'impact des prix (énergie, bitume).Ce renchérissement des coûts pénalise aussi la rentabilité de Colas, mais le groupe se veut rassurant, et évoque des "mécanismes de protection" pour préserver sa marge.Pour Bouygues Immobilier, pas d'inquiétude outre mesure quant à l'inflation, "compensée" par la hausse des prix à la vente, a indiqué à des journalistes Pascal Grangé, le directeur financier. En revanche, le carnet de commandes est en repli de 16% par rapport à fin septembre 2021, le contexte inflationniste allongeant les délais de négociation des appels d'offres dans le résidentiel et le marché du tertiaire restant "attentiste".TF1 voit quant à lui son chiffre d'affaires croître de 5%, à 1,74 milliard d'euros, avec au troisième trimestre un repli du bénéfice net en raison d'une baisse des recettes publicitaires.Quant à Bouygues Telecom, le chiffre d'affaires facturé aux clients ressort à 4,2 milliards d'euros, en hausse de 6%, avec l'essor de la clientèle mobile et fixe. Le directeur financier du groupe d'électricité jusqu'en 2024.Plus gros rachat de son histoirePour la suite, le groupe Bouygues, présent dans plus de 80 pays et riche de 200.000 collaborateurs, observe une "dynamique commerciale solide dans les télécoms et un carnet de commande dans la construction et les services offrant une bonne visibilité sur l'activité". Il confirme ainsi ses objectifs pour 2022, en l'occurrence "une nouvelle augmentation de son chiffre d'affaires et de son résultat opérationnel courant".Pour autant, il "reste très vigilant quant aux évolutions macroéconomiques et à leurs répercussions sur les activités et les résultats". Qu'il s'agisse de crise sanitaire, d'inflation, de mouvements des taux d'intérêt... "tous ces sujets sont facteurs d'incertitude", souligne Pascal Grangé. Géographiquement, les régions les plus incertaines sont "peut-être les pays jouxtant l'Ukraine", où les taux d'inflation dépassent 20%, dit-il, ajoutant que Colas n'y réalise "que" 600 millions d'euros de revenus annuels.Mercredi à la Bourse de Paris, le titre reculait de 4,63% à 29,06 euros l'action peu après 11H00, dans un marché en baisse de 0,46%. Une note d'analystes d'Oddo évoque notamment "les perspectives dégradées des marges (chez Colas)".Pour le dernier trimestre 2022, Bouygues aura intégré dans ses comptes Equans, dont il a finalisé début octobre l'acquisition auprès d'Engie, plus grosse opération de rachat jamais réalisée par le groupe créé en 1952. Ce rachat à 6,5 milliards d'euros doit lui permettre d'accélérer sur les services de la transition énergétique et numérique.Equans "va participer à la résilience du groupe", souligne Pascal Grangé, grâce à "une tendance naturelle à la croissance de ces activités, à une très forte dispersion des contrats en nombre et en géographies, et avec des clients assez fidèles. C'est aussi un métier ne nécessitant pas de grands cycles d'investissement".Le nouvel ensemble, qui intègrera en janvier le pôle Energies & Services de Bouygues, représentera environ 17 milliards d'euros de chiffre d'affaires.
Il y a 2 ans et 184 jours

Flir One Edge Pro, la première caméra infrarouge mobile véritablement sans fil

Contrairement aux modèles précédents, la FLIR ONE Edge Pro nouvelle version n'a pas besoin d'être matériellement connectée à l'appareil mobile auquel elle est associée, et ne se décline pas en plusieurs modèles selon les divers systèmes d'exploitation, ce qui lui confère une flexibilité maximale pour les inspections thermiques.« La FLIR ONE Edge Pro est la caméra mobile thermique-visible la plus polyvalente et la plus sophistiquée à ce jour, grâce à son format amovible, conçu pour offrir une prise en main des plus confortables. Elle offre une flexibilité nettement supérieure en rendant inutile l'emploi de ports de connexion ou de systèmes d'exploitation spécifiques », déclare Chris Bainter, vice-président du marketing et du développement commercial chez Teledyne FLIR. « En plus de la nouvelle conception matérielle, Teledyne FLIR fournit plus d'outils logiciels pour permettre aux utilisateurs novices et non formés d'effectuer des inspections thermographiques, de traiter les images obtenues et de créer des rapports. Parmi les utilisations courantes de la caméra figurent notamment l'inspection des bâtiments, la réparation automobile et les applications de maintenance industrielle. »Conception flexible et cependant robusteConforme à la norme « RESNET » et à la certification IP54, la FLIR ONE Edge Pro dispose d'un système d'attache à ressort conçu pour permettre aux opérateurs de fixer la caméra sur de nombreux modèles de téléphones mobiles et de tablettes. Grâce à la connexion Bluetooth et Wi-Fi combinée, les utilisateurs peuvent utiliser l'Edge Pro jusqu'à 30 mètres de distance de leur appareil mobile, ce qui leur permet d'inspecter efficacement les endroits difficiles d'accès ou de conserver, selon les situations, un périmètre d'intervention sécurisé.Dotée d'une caméra thermique Lepton® radiométrique d'une résolution de 160 × 120 associée à une caméra à lumière visible, la FLIR ONE Edge Pro offre une qualité d'image et des capacités de traitement garantissant d'excellents résultats. Outre VividIR, un système de traitement qui associe plusieurs images pour générer une image finale d'une plus grande netteté, MSX® permet de combiner les caméras entre elles. La fonction brevetée MSX d'amélioration de l'image superpose le détail des contours (fournis par la caméra visible) sur l'image thermique sans sacrifier les données thermiques, et optimise ainsi la netteté et le rendu de l'environnement pour faciliter la prise de décision.La FLIR ONE Edge Pro possède également une batterie d'une autonomie supérieure à celle des générations précédentes de la FLIR ONE et un témoin de charge clairement visible, ce qui la rend parfaite pour les inspections un peu plus longues (restaurations après sinistre, inspections d'habitations, audits énergétiques et diagnostic des équipements industriels).Un plus grand nombre d'images et de rapportsPour le stockage dans le cloud, le traitement des images et la création de rapports, la FLIR ONE Edge Pro dispose d'un vaste ensemble de logiciels Teledyne FLIR, parmi lesquels Tools Mobile, Ignite cloud et le logiciel de bureau FLIR Thermal Studio. Les utilisateurs peuvent ainsi partager facilement les photos thermiques Edge avec les clients et les intégrer de manière fluide dans les rapports professionnels.De plus, les développeurs d'applications ont accès au kit de développement logiciel (SDK) FLIR ONE pour créer des applications personnalisées, exclusivement utilisables avec la FLIR ONE Edge Pro.La caméra est disponible sur commande au niveau mondial depuis le 10 novembre.
Il y a 2 ans et 185 jours

Le cahier des solutions

Bati Média & Planète Bâtiment présentent : Le Cahier des Solutions. Weber / Gamme Tradical et béton de chanvreUne offre enrichie Depuis le 1er mai 2022, suite à un accord signé avec le groupe belge Lhoist, Weber commercialise, en exclusivité sur le territoire français, les produits Tradical à base de chaux aérienne. Entre ces produits qui viennent enrichir la gamme Georges Weber et l’offre « bétons de chanvre » que le fabricant entend développer, ce dernier assoit davantage son expertise en restauration patrimoniale. Mélange de chanvre, de chaux et d’eau, le béton de chanvre, biosourcé, présente des propriétés isolantes et peut être utilisé en neuf comme en rénovation, y compris en préfabrication. Matériau de remplissage, il s’utilise notamment dans les systèmes constructifs poteaux-poutres, qu’ils soient en bois ou en béton. L’occasion pour Weber de se positionner sur l’enveloppe avec une solution durable et légère ! Avec le couple Tradical Thermo + Chanvribat, conforme aux règles professionnelles, il ajoute à sa gamme une solution béton de chanvre de hautes performances (temps de prise, lambda, etc.) reposant sur une formule brevetée. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Weber Photo : Isonat Isonat /DuoprotectIsolant rigide en fibres de bois Sous forme de panneau rigide, l’isolant Duoprotect est composé de fibres de bois issues de plaquettes des scieries du massif forestier du Beaujolais, situées à proximité immédiate des usines de production. Biosourcé, le produit présente la résistance mécanique la plus élevée de la gamme rigide d’Isonat, tout en offrant des performances thermiques intéressantes. Pour exemple, sa conductivité thermique est de 0,046 W/(m.K). En outre, il assure une bonne isolation acoustique, notamment aux impacts de pluie, ce qui le rend pertinent en isolation de toitures inclinées par l’extérieur. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Schöck / Rupteurs Rutherma Impact carbone minimum, performances maximum Assurant les liaisons structurelles dalle/façade, dalle/balcon, dalle/loggia, dalle/éléments saillants de l’enveloppe et refend/façade, les rupteurs Rutherma, types DFi, DFi/ VM, Ki, DB, D et RF, développés par Schöck sont désormais couverts par une nouvelle Fiche de déclaration  environnementale et sanitaire (FDES), valide jusqu’en avril 2027. Une pole position pour cette gamme qui affiche le meilleur impact carbone du marché des rupteurs de ponts thermiques linéiques, avec une valeur de 12,2 kg.eq.CO2/UF. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Forbo Flooring Systems Photo : Schöck Rutherma DFI Forbo Flooring Systems / Marmoleum MarbledEloge de l’écoconception Dès son élaboration, la collection de revêtements de sol Marmoleum Marbled de Forbo est, comme tous ceux de la famille Marmoleum, un hymne à la nature. Elle se compose, en effet, de matières premières naturelles, renouvelables pour la plupart – huile de lin, résine de pin, farine de bois (certifiée PEFC et issue de forêts gérées durablement), pigments et charges  minérales –, sur un support en toile de jute. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com VisionAIR / Ciment CalciaDes ciments moins carbonés Grâce à des formulations variant la proportion de clinker et d’ajouts, Ciments Calcia propose VisionAIR, une gamme de ciments à l’empreinte carbone moindre (jusqu’à – 40 % de CO2). Des solutions moins carbonées pour une performance optimale des produits mis en œuvre, garantissant ainsi qualité et pérennité des ouvrages. À disposition, quatre produits livrés en sacs : Baticia, un ciment pour béton destiné à tous les usages du bâtiment ; Forcia, un ciment pour béton adapté aux milieux agressifs ; Flexia, un ciment pour mortier de montage avec air entraîné ; Poncia, un mortier de montage à base de pierre ponce pour blocs béton et briques, qui permet de supprimer la quasi-totalité des ponts thermiques. Autres choix durables du fabricant, des sacs en papier kraft sans traitement de blanchiment, des encres à l’eau avec des pigments de grade alimentaire et des colles à base d’amidon. En outre, VisionAIR décline des solutions dédiées aux applications BPE de type fondation, voile, plancher, et Préfa pour les bétons précontraints avec démoulage immédiat ou différé. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Calcia Photo : Hörmann Hörmann et Tubauto Engagement environnemental Leader européen dans la fabrication des portes, blocs-portes, huisseries et motorisations pour l’industrie, le tertiaire et l’habitat, le groupe Hörmann s’est engagé, depuis des années, dans la sauvegarde du climat et de l’environnement. À l’heure de la RE 2020 et de la réduction des émissions de carbone, il est déjà opérationnel avec des solutions neutres en carbone sur ses portes d’intérieur et dans son offre promotionnelle Europa Promotion. L’usine de production Tubauto, propriété du groupe allemand depuis 1991, lui emboîte le pas, opérant elle aussi sa transition environnementale. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com   Knauf Lightboard Horizon 4Plaque de plâtre allégée… comme son empreinte carbone Knauf innove avec Knauf Lightboard Horizon 4, première plaque de plâtre à quatre bords amincis pour plafonds, plus légère et plus facile à poser qu’une plaque standard. La formulation de son cœur de gypse permet, en effet, un gain de poids de près de 25 % – de quoi faciliter les chantiers au quotidien. Cette solution, unique sur le marché français (sous Atex du CSTB), est adaptée à la réalisation d’ouvrages de plafonds et rampants intérieurs, dans tous types de bâtiments (hors locaux humides). Autre argument fort, son empreinte environnementale allégée, qui séduira à coup sûr les maîtres d’ouvrages et maîtres d’œuvre. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Knauf Photo : Seigneurerie Seigneurerie/PhylopurPeinture biosourcée Composée d’alkyde d’origine végétale en phase aqueuse à 97 %, cette peinture biosourcée permet de répondre à tous les chantiers engagés dans une démarche environnementale. Dénommée Phylopur, elle propose aux professionnels des performances d’esthétique et d’application en positionnement haut de gamme. Déclinée en impression et finition mate et soie, elle est blanche de base et peut se teinter dans toutes les teintes pastel. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Viessmann / Vitodens SEChaudière auto-adaptative gaz à condensation Dévolue aux ménages modestes et d’une qualité éprouvée, la nouvelle chaudière auto-adaptative gaz à condensation Vitodens SE, signée Viessmann, garantit un haut confort en chauffage comme en production d’eau chaude sanitaire. Adaptée aussi bien à la construction neuve qu’à la rénovation, cette chaudière, avec échangeur de chaleur instantané intégré, est dotée d’une étiquette énergétique A. Elle couvre une plage de puissances allant de 3,2 à 25/29 kW (double service, chauffage et production d’eau chaude sanitaire à micro-accumulation : 15,4 l/min selon EN 13203). Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Viessmann Photo : Alkern Alkern et RE2020 Cap sur la performance environnementale L’engagement d’Alkern pour améliorer l’impact carbone de ses solutions constructives reste une priorité. Ainsi en 2020, 2 millions d’euros ont été investis sur les sites d’Izeaux (38) et de Mouy (77) : d’une part dans une rectifieuse pour la fabrication de blocs à joints minces, d’autre part dans une ligne de fabrication de blocs intégrant la mousse 100 % minérale Airium, soit des blocs 100 % recyclables, sans étape de tri. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Veka / Veka RecycleEn avance sur le recyclage L’innovation passe par l’environnement et, en la matière, Veka anticipe régulièrement les réglementations. Pour preuve, le groupe affiche aujourd’hui une moyenne de 26 % de matière recyclée utilisée dans ses profilés, un pourcentage à comparer à la moyenne nationale située à 8 %, ou encore aux objectifs de la profession fixés à 20 % à l’horizon 2025. En 2022, l’industriel va encore plus loin avec la solution Veka REcycle. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Veka Photo : Kemica Coatings Kemica Coatings / Souplethane 5Résine d’étanchéité biosourcée Cette PME française développe des résines d’étanchéité et de revêtements de sols biosourcées et innovantes, destinées aux secteurs de la construction et du génie civil. Ainsi sa gamme de résines vertes et durables Souplethane 5, qui couvre une quinzaine d’applications dans le secteur du bâtiment et bénéficie des qualifications du CSTB. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Xella Ytong / Compact 20Construire malin avec le béton cellulaire Dédié à la construction de maisons individuelles, qu’elles soient de plain-pied ou à étages, le bloc Ytong Compact 20 permet d’alléger l’isolation du bâti en parois verticales, voire de plancher bas, et de gagner en Shab par rapport à d’autres matériaux de construction. Il se positionne donc comme la solution la plus économique, tout en respectant les différents indicateurs de la RE 2020. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Xella Ytong Photo : Onduline Onduline FlexoutuileUn matériau fiable et respectueux de l’environnement Les plaques de sous-toiture Onduline Flexoutuile contiennent environ 50 % de matières premières recyclées. En outre, leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l’environnement. Sans oublier les émissions de CO2 réduites grâce au poids allégé des matériaux, ce qui limite l’impact du transport. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Saint-Gobain Glass Première gamme de verre bas carbone C’est une étape essentielle pour la construction durable que Saint-Gobain Glass franchit avec cette gamme de verres présentant la plus faible empreinte carbone du marché. Une première dans l’industrie, obtenue grâce à une production qui associe un contenu élevé en verre recyclé (environ 70 % de calcin), l’utilisation d’énergie renouvelable ainsi qu’un effort important en recherche et développement. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com   Photo : Saint-Gobain Glass Photo : Cem’In’Eu Cem’In’EuCiment bas carbone Cem’In’Eu investit pour produire un ciment à base de pouzzolane, une matière première naturelle extraite localement. Son utilisation permet de réduire fortement le pourcentage de clinker et représente donc un effet de levier considérable pour la baisse de l’empreinte carbone globale des ciments produits, en vrac comme en sac. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Sika / Sikadur -31+Adhésif structural « Développement Durable » Dernier arrivé dans la gamme des solutions « Développement Durable » développée par le spécialiste de la chimie de la construction, l’adhésif structural Sikadur -31+ offre de meilleures performances, tout en affichant une technologie et un mode d’application plus vertueux. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Sika Photo : Milliken Milliken & Company / Revêtement de solsEn route vers la neutralité carbone « Notre programme M/PACT prouve que les revêtements de sol peuvent satisfaire les attentes de design et de performance, tout en tenant compte des enjeux environnementaux », souligne Jim McCallum, vice-président exécutif de Milliken & Company. Plus concrètement, les matériaux non essentiels sont éliminés des produits, tandis que ceux issus du recyclage sont privilégiés. Privilégiés également, l’approvisionnement régional et la production locale, afin de limiter l’impact du transport. De même, l’industriel s’efforce de réduire sa dépendance au pétrole. Les revêtements de sol présentent une traçabilité intégrale des produits. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Solar-Paint / SolarcoatLa peinture de toit qui rafraîchit PME toulousaine, Solar-Paint a mis au point, en partenariat avec son fournisseur ariégeois Maestria, la solution Solarcoat, une peinture à l’eau qui intègre des ingrédients naturels et des matières recyclées, telle la brisure de verre. Simple, peu coûteuse et durable, cette peinture de toit blanche présente un taux de réflexion solaire supérieur à 92 %, ce qui permet d’abaisser de 5 °C en moyenne la température intérieure des bâtiments. Et donc de limiter le recours à la climatisation en période estivale. À la clé, des économies d’énergie ainsi qu’une amélioration du confort et du bien-être des occupants. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Solar-Paint Photo : Kompozite Deep Tech / KompozitePlateforme d’aide à la conception bas carbone Destinée aux architectes, bureaux d’études, constructeurs et maîtrises d’ouvrage, la plateforme Kompozite, développée par la startup Deep Tech, leur permet de prendre rapidement et efficacement des décisions complexes en termes de construction durable. La solution applique au secteur du BTP, des techniques de design génératif, bien connues dans les secteurs de l’aéronautique ou de l’automobile. Plus clairement, le logiciel compile les données pour générer des solutions constructives optimisées en fonction des contraintes spécifiques de chaque projet, que ce soit en construction neuve ou en rénovation thermique. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Immoblade / Vitrages de protection solaireEconomies d’énergie toute l’année Réduire l’empreinte carbone des bâtiments en diminuant leurs consommations d’énergie liées à la climatisation et au chauffage. Telle est l’ambition d’Immoblade, qui conçoit, fabrique et commercialise des vitrages de protection solaire uniques sur le marché. Efficaces toute l’année, ces derniers ne nécessitent aucune maintenance. Leur dimension innovante réside également dans leur capacité à laisser passer les apports solaires en hiver et à les bloquer l’été. Et ce, sans nuire à la visibilité des occupants ni à l’aspect architectural des bâtiments. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Immoblade Photo : Rector Rector / Box Rupteurs EquatioUne gamme réduite mais performante Dans le cadre de sa démarche RSE, Rector, fabricant d’éléments en béton précontraint et béton armé, a ajusté le contenu de ses Box, afin de réduire les pertes et déchets sur les chantiers. À disposition : Box vide sanitaire, Box étage & toit terrasse et Box sous-sol & toit-terrasse. De même, les cartons utilisés sont recyclés et recyclables. Moins de références à stocker, un design revu, un code couleur pour une meilleure lisibilité sur le parc de stockage : le fabricant a également pensé à ses clients distributeurs. Complète, compacte et pratique, la nouvelle gamme de Box de rupteurs Equatio illustre sa volonté de proposer aux professionnels de la construction des solutions adaptées à leurs besoins. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Knauf Ceiling Solutions / Plafonds AdagioPerformance acoustique et graphique Réflexion de la lumière, confort acoustique, durabilité et flexibilité de design… La nouvelle gamme minérale de plafonds acoustiques Adagio, de Knauf Ceiling Solutions, répond aux plus hautes exigences. Certifiée Cradle to Cradle Silver et Gold pour la qualité de l’air, la gamme se décline en quatre solutions : Adagio Acoustic+, Adagio Alpha+, Adagio Db+ et Adagio HD+ (disponibles en 19, 30 et 35 mm). Chacune peut se poser seule ou être combinée selon les effets recherchés, soit un large éventail de performances acoustiques selon les besoins de l’espace. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Knauf Ceiling Solutions Photo : LG LG / ERV résidentielleConfort intérieur et économies d’énergie Complète, la nouvelle solution de ventilation (ERV) résidentielle est équipée d’une filtration en plusieurs étapes, pour un air purifié et un environnement agréable. Elle est, en outre, compatible avec l’application LG ThinQ™. L’expérience utilisateur s’avère confortable, avec une surveillance en temps réel des niveaux de poussières fines et de dioxyde de carbone, ainsi qu’une commande à distance intuitive. Grâce à l’échangeur de chaleur de LG, cette solution garantit une circulation de l’air efficace, tout en réduisant de manière significative le gaspillage énergétique. En effet, elle permet de récupérer jusqu’à 85 % de l’énergie du chauffage en hiver et 83 % de l’énergie du refroidissement en été. Soit une consommation minime en fonctionnement, ce qui réduit d’autant les factures d’électricité de l’utilisateur, tout en gardant un environnement de vie plaisant. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com  Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Le cahier des solutions est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 185 jours

Protections solaires : le juste équilibre

Avec l’énergie et le carbone, le confort d’été dans les bâtiments neufs est un point clé de la RE 2020. Ce qui implique de s’intéresser à la conception architecturale (Bbio) mais aussi aux protections solaires de façon à bénéficier des apports du soleil sans en subir les désagréments. Bien gérés, les apports solaires assureront plus de 50 % du chauffage et de l’éclairage dans le bâtiment. Il convient donc de contrôler le niveau d’énergie et de lumière pénétrant via les baies vitrées, et ce, en fonction des saisons. Car si la lumière naturelle est bénéfique aux occupants et contribue aux économies d’énergie, elle ne doit pas devenir, elle-même, source d’inconfort, de surchauffe ou d’éblouissement. C’est là qu’interviennent les systèmes d’ombrage et de contrôle solaire. À ne pas confondre avec l’occultation, qui consiste à empêcher, par obturation, la lumière de pénétrer dans le bâtiment. Ici, l’objectif est bien de la laisser passer, tout en réduisant les effets négatifs du soleil. Plus concrètement, la lumière rentrera là où on le souhaite, au moment où les occupants en auront l’utilité, et sans éblouissement.  Maîtriser les apports solaires impose, avant tout, de connaître parfaitement un ensemble de critères tels que la performance de la baie, la zone climatique, l’exposition, l’usage du bâtiment, le type de store ou de brise-soleil. Photo : Terreal Bioclimatisme et ombrage Ainsi, jamais le concept de bioclimatisme n’aura eu autant de sens puisque celui-ci permet de contrôler l’ensoleillement par le toit et les façades en favorisant les apports solaires lorsqu’ils sont nécessaires et en les atténuant lorsqu’il y a risque d’inconfort. Il repose sur deux éléments intimement liés : primo, l’architecture du bâtiment qui va tenir compte de la zone climatique, de l’orientation ; secundo, les dispositifs spécifiques d’ombrage, pensés en fonction des saisons et de la course du soleil. Et pour une conception bioclimatique réussie, les outils informatiques, particulièrement ceux de simulation, s’avèrent d’une grande utilité. Confort d’été : que dit la RE 2020 ? La RE 2020 introduit deux évolutions majeures par rapport à la RT2012. 1. La TIC (température intérieure conventionnelle), indicateur réglementaire de la RT 2012, est supprimée car insuffisamment significative pour mesurer l’inconfort perçu par les occupants. Elle est remplacée par une nouvelle exigence : les degrés-heures d’inconfort (DH). Cette méthode de calcul prend en compte les effets du changement climatique sur les bâtiments : évolution future des températures, vagues de chaleur plus fréquentes, plus intenses et plus longues. Ce calcul est réalisé à partir de données météorologiques, sur la base de la canicule d’août 2003 et en fonction des zones géographiques. Concrètement, elle définit deux seuils à partir desquels le bâtiment est considéré comme inconfortable pour ses occupants : 26° C la nuit et entre 26° C et 28° C la journée (entre 7 et 22 h l’été). Elle introduit aussi deux seuils d’inconfort basés sur l’indicateur DH : un seuil maximal DH_Max à ne pas dépasser et un seuil bas de 350° C.h. D’où trois options possibles pour un bâtiment donné : Indicateur DH inférieur à 350° C.h : le bâtiment est déclaré conforme et n’engendre pas normalement d’inconfort en été. Indicateur DH supérieur au DH_Max : le bâtiment est déclaré non réglementaire et présente un taux d’inconfort d’été trop important. Indicateur DH compris entre 350° C.h et le DH_Max : le bâtiment est considéré comme réglementaire, mais présente un risque d’inconfort pour ses occupants en cas de canicule. Dans ce cas, il faudra prendre en compte les consommations de refroidissement et agir pour se rapprocher du seuil bas d’inconfort. 2. L’inconfort d’été est désormais pris en compte via le Bbio, lequel a été renforcé de 30 % par rapport à la RT 2012. L’objectif est de consolider la performance énergétique statique des bâtiments par une conception plus réfléchie. À savoir, une isolation renforcée mais qui tient compte de l’inertie, une meilleure protection de l’ensoleillement direct par des écrans, des stores, ou encore une végétalisation. Nouveauté par rapport à la RT 2012, les besoins de froid sont désormais calculés dans le nouveau coefficient réglementaire Bbio. À ce titre, la RE 2020 renforce les exigences en matières de protections solaires, étendant celles-ci à l’ensemble des baies, et non plus uniquement à celles des chambres. Quant à la climatisation, elle n’est pas interdite, mais elle ne peut s’envisager sans une conception du bâti optimisée – notamment en termes bioclimatiques. Solution 1 Contrôle par les vitrages Les vitrages, notamment ceux à couches (VIR), ont une action directe sur le rayonnement. Leurs caractéristiques ne se limitent pas à leur qualité thermique pour le confort d’hiver (faible émissivité). Ils jouent également un rôle de plus en plus important dans le confort d’été, en réduisant les apports énergétiques excédentaires. Il existe des VIR dotés de couches de protection solaire – dans ce cas, la transmission lumineuse est de l’ordre de 70 à 75 % –, ou des produits colorés qui ne laissent pénétrer que 40 à 50 % de lumière. Leur utilisation convient à toutes les situations où l’apport excessif d’énergie solaire peut poser problème : grandes baies vitrées, vérandas, verrières, façades. À disposition également, des vitrages à contrôle solaire dynamique, appelés aussi électrochromes. Ces derniers ont la capacité de réguler le rayonnement solaire en s’obscurcissant plus ou moins, à la demande ou automatiquement. Cette technologie permet de préserver toutes les qualités du vitrage sans les inconvénients majeurs que sont l’éblouissement et la surchauffe. Et ce, quelles que soient l’orientation des façades du bâtiment et la saison.  Sous l’action d’un faible courant électrique, les vitrages électrochromes adaptent la transmission lumineuse et calorifique à l’ensoleillement et à la température ambiante du bâtiment. Photo : Sage Glass Solution 2 Systèmes d’ombrage Indissociables d’un vitrage performant, les dispositifs d’ombrage regroupent un très grand nombre de produits : stores intérieurs ou extérieurs, volets roulants et battants, brise-soleil fixes ou mobiles déclinés dans une large palette de formes et de matières (métal, terre cuite, béton, bois, matériaux composites), films de protection… Utilisés pour limiter les apports de chaleur ou de lumière en été ou, pour certains d’entre eux, pour préserver la chaleur du bâtiment pendant la nuit (hiver), ils ont également pour fonction de préserver l’intimité. À noter également leur dimension esthétique. Au choix, une grande diversité de produits et, par ricochet, une multitude d’acteurs – storistes, menuisiers, façadiers, métalliers… – qui, intervenant sur ce marché, doivent intégrer, chacun dans sa spécialité, la problématique de l’ombrage. Et aussi bien sûr les moyens techniques pour y répondre, lesquels incluront de plus en plus les automatismes. Car le mode de commande des protections mobiles est capital. Pour ce faire, un gros travail au niveau des scénarios de gestion doit être réalisé de manière à les définir précisément en fonction des cas de figure (type de protection, de bâtiment et de gestion). Connectées à la GTB dans le secteur tertiaire, automatisées ou reliées à un système de domotique dans le résidentiel, les protections seront modulées, via des capteurs intégrés, en fonction de la position du soleil et des ombres portées.  La mise en œuvre de procédés d’ombrage en façade et en couverture impose une étude de conception sérieuse. Sachant qu’il y a des contraintes importantes en termes de portée et de prise au vent avec des éléments parfois en porte-à-faux. Photo : Tellier brise-soleil Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Protections solaires : le juste équilibre est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 186 jours

JCB lance un ravitailleur a hydrogène mobile

Un système rapide et facile pour se ravitailler en hydrogène sur siteJCB a investi 100 millions de livres sterling dans un projet destiné à produire des moteurs à hydrogène performants. L’entreprise a d’ailleurs déjà présenté des prototypes fonctionnels d'une chargeuse-pelleteuse et d'un chariot télescopique alimentés à l'hydrogène.Aujourd'hui, la société annonce une autre première mondiale : un ravitailleur à d'hydrogène mobile monté sur un FASTRAC JCB, qui offre aux clients un moyen rapide et facile de ravitailler leurs machines sur site. 97 % environ des engins de chantiers sont approvisionnés en carburant lorsqu'ils travaillent sur site. Les clients sont donc déjà habitués à un carburant transportable, permettant de faire le plein en quelques minutes.Lord Bamford, président de JCB, qui dirige le projet hydrogène de JCB, a déclaré : « Depuis que nous sommes devenus la première entreprise d’engins de construction à dévoiler des machines alimentées à l'hydrogène, nombreux sont ceux qui ont demandé comment les ravitailler.Aujourd'hui, nous avons une réponse avec notre nouveau système mobile de ravitaillement en hydrogène. L’hydrogène est délivré grâce à une cuve mobile qui alimente les engins directement sur le chantier.Ce n'est pas différent de ce qui est pratiqué aujourd'hui lorsque le diesel est transporté dans des camions-citernes pour ravitailler les engins.Les combustibles fossiles ne sont pas l'avenir. L'hydrogène est la solution pratique pour alimenter nos machines dans les décennies à venir. Nos ingénieurs britanniques font un travail fantastique pour développer cette technologie et de nombreux autres développements passionnants sont à venir. »Une technologie présentée en 2020Une équipe de 100 ingénieurs travaille sur ce développement. La première machine fonctionnant à l'hydrogène dévoilée était une chargeuse-pelleteuse JCB suivie, il y a un an, par un chargeur télescopique JCB. La technologie a ensuite été présentée en 2021 dans la « Zone Verte » de la COP26 à Glasgow, alors que les dirigeants du monde entier débattaient des mesures à prendre pour réduire de manière drastique les émissions de gaz à effet de serre.Pour mémo, JCB fabrique des moteurs depuis 2004, dans ses usines situées dans le Derbyshire (Grande-Bretagne) et à Delhi, en Inde. L'année passée, JCB a célébré une étape importante avec la production de son 750 000ème moteur.
Il y a 2 ans et 190 jours

La découpe mobile automatisée arrive en France

La découpe mobile automatisée arrive en France chez NOMAD ROBOTICS pour libérer les employés du travail fastidieux et épuisant de la coupe des carreaux La découpe mobile automatisée arrive sur le marché français. Nomad Robotics propose assurément la solution plus performante d’entre elles : le Cut’nMove. Autonome, intuitif et adaptatif sont les principaux caractères de cette solution. Elle propose un système entièrement équipé qui permet de s’adapter à vos besoins. En bref, le Cut’nMove c’est : Un système entièrement équipé Un Software intuitif Une augmentation de la productivité Une découpe adaptative Nomad Robotics, expert et distributeur en solution robotiques, à destination de la construction, lance cette solution robotique. Le Cut’nMove est la solution robotique mobile révolutionnaire de découpe mobile automatisée, elle vient révolutionner le quotidien de nombreux projet de construction en accélérant considérablement les tâches compliquées et supprimant des tâches répétitives voir dangereuses pour les salariés. Pourquoi le Cut’nMove plutôt qu’un autre ? Cut’nMove est une plateforme technologique révolutionnaire qui amène les robots directement sur le chantier de construction. Alors que la plupart des projets de construction nécessitent l’aide humaine, le Cut’nMove vient automatiser les découpes de pavés, qui sont des tâches compliquées lorsqu’on utilise la méthode traditionnelle.  Avec sa petite taille, son boîtier pour remorque de voiture et ses commandes faciles sur iPad, Cut’nMove est le robot coupeur de carreaux agile et mobile qui va révolutionner le pavage et le jardinage paysager. Cette solution est en réalité un système complet permettant de s’adapter à une multitude de situation grâce à sa technologie révolutionnaire. Sa plateforme robotisée de coupe de carreaux est hébergée dans le châssis d’une remorque de voiture, le Cut’nMove est mobile et se transporte facilement d’un chantier à un autre. Le système est équipé d’un robot 6 axes connecté au cloud pour une liberté de coupe totale. Le robot est monté avec une lame diamantée, qui peut typiquement couper des carreaux de béton, céramique, granite, brique, marbre, pierre naturelle et bien d’autres. La taille de l’objet peut aller de 10 x 10 cm à 60 x 80 cm et de 4 à 16 cm d’épaisseur. Un générateur embarqué est présent sur la solution, cela augmente sa capacité d’automatisation et prouve encore une fois que le Cut’nMove est autonome grâce à l’alimentation électrique autonome. L’aspirateur complète le système afin de gérer les découpes de carreaux lourds en diminuant considérablement les particules de poussières. De plus, la solution est équipée de la mise à niveau automatique qui permet le déploiement de celle-ci sur des terrains irréguliers. L’ensemble du système est commandé par une interface iPad facile à utiliser. Vous n’avez plus besoin de former vos salariés pendant de longues périodes, l’IPad est un outil de la vie de tous les jours. Pour utiliser le Cut’nMove, il vous suffit de l’accrocher à votre voiture, de le déployer et de couper, il n’a jamais été aussi facile d’effectuer ces tâches compliquées. Une utilisation simplifiée, au service de besoins changeants Cut’nMove décharge le travail de coupe des carreaux et permet de se concentrer sur l’artisanat du pavage. En automatisant le processus de coupe, il peut être réalisé en toute sécurité par une seule personne alors qu’un travail de pavage nécessite deux personnes avec la méthode traditionnelle. Cette solution permet donc de doubler votre productivité. Grâce à l’interface IPad, l’environnement de travail de vos salariés sera plus ergonomique, changeant ainsi l’image entière des chantiers. Cut’nMove vous permet de créer facilement des conceptions avancées, accélérant ainsi considérablement les tâches compliquées. Enfin, c’est un procédé sûr et silencieux qui encapsule la poussière, l’eau et les particules dans son environnement fermé, augmentant la sécurité du travail à des niveaux sans précédent, réduisant le niveau de bruit au travail et éliminant les particules de poussière provenant de la coupe processus. Pourquoi a-t-il été créé ? Cut’nMove est une solution robotique mobile révolutionnaire, la première en son genre, pour la découpe adaptative sur site de tuiles de construction. Nous avons créé Cut’nMove pour libérer les paveurs du travail fastidieux et éprouvant de la coupe de carreaux et permettre la création de motifs de carrelage avancés en appuyant simplement sur un bouton.  Il fonctionne en synchronisation avec un processus de pavage conventionnel, automatise le processus de coupe et vous permet de doubler la quantité et qualité de travail dans le même temps. Comparaison de la méthode traditionnelle au Cut’nMove Avec la méthode traditionnelle, les risques étaient nombreux : Nombre de particules de poussière élevé (14,4 mg/m3 en moyenne) Niveaux sonores élevés > 110 dB  Inconvénients pour les citoyens  Mauvaise ergonomie  Risque de blessures liées au travail Avec le Cut’nMove, les risques sont considérablement réduits : Moins de particules de poussière provenant de la coupe, en moyenne 0,212 mg/m3 Faibles niveaux sonores
Il y a 2 ans et 191 jours

L’OPPBTP lance « Check Chantier », une application mobile pour accompagner les professionnels du BTP en prévention sur les chantiers

La digitalisation en particulier, permet à l’Organisme de viser un accompagnement massif des entreprises et des salariés du BTP en mettant à leur disposition des outils simples, efficaces et accessibles à tous. Dans cette optique, l’OPPBTP lance l’application mobile « Check Chantier » pour cette rentrée 2022 où seront mises à disposition de nombreuses solutions permettant de répondre aux besoins des professionnels.La digitalisation, priorité renouvelée avec le plan @Horizon2025 de l’OPPBTPBien avant la crise sanitaire, l’OPPBTP a pris conscience de l’importance du digital et y a décelé un fort potentiel, notamment pour permettre d’engager facilement les actions de prévention et offrir aux professionnels un accompagnement personnalisé. Dès 2015, en faisant du digital l’un des cinq programmes prioritaires de son plan stratégique quinquennal, l’OPPBTP a pris le sujet à bras le corps. Depuis, l’Organisme développe un écosystème digital complet au service de la prévention. Il propose à l’ensemble des professionnels du BTP des solutions personnalisées. Après avoir lancé de nouveaux services digitaux à destination des TPE et développé les formations en e-learning, l’OPPBTP a entièrement réinventé son site internet en 2021 pour permettre aux professionnels d’améliorer leur culture prévention et les inciter à passer à l’action.Afin de poursuivre sur cette lancée, l’OPPBTP lance une toute nouvelle application ambitieuse et intuitive pour les professionnels du BTP : « Check Chantier ».« Check Chantier » : l’application pour agir au quotidien en sécurité sur les chantiers Cette nouvelle application répond à un enjeu majeur pour l’OPPBTP : assurer la continuité de sa mission en diffusant, via ce nouvel outil, les bonnes pratiques de prévention dans le quotidien des TPE et PME du BTP. Grâce à elle, l’OPPBTP entend accompagner l’utilisateur, qu’il soit chef de chantier, chef d’équipe, préventeur ou opérateur, en apportant des réponses instantanées, tout en lui rappelant les bonnes pratiques de prévention.« Check Chantier » a ainsi vocation de renforcer la large palette d’outils digitaux déjà à disposition des professionnels, avec une dimension ludique, innovante et profitant des technologies embarquées du smartphone. En somme, une application ergonomique munie de solutions et d’outils consultables en tous lieux.Des fonctionnalités concrètes pour répondre aux besoins quotidiens sur le chantierL’application rassemble différents outils pratiques pour accompagner le professionnel sur le terrain :Des modules de vérification pour les échafaudages. La vérification des matériels joue un rôle primordial pour assurer la sécurité des opérateurs sur le chantier. Le contrôle des échafaudages de pied et roulant est même obligatoire et doit être réalisé régulièrement.Des modules de vérification pour les engins. Grâce à des check-lists personnalisables, l’utilisateur est guidé pas à pas dans cette procédure et peut générer et imprimer les rapports correspondants. Cette vérification permet de déceler de potentielles détériorations et d’assurer la sécurité des collaborateurs.Un accès vers l’agence en ligne avec la possibilité de rentrer à tout moment en contact avec l’équipe de conseillers en ligne par chat, appel audio et d’accéder à la base de Q/R pour obtenir des informations complémentaires par le biais de questions/réponses ou avec la possibilité de joindre un conseiller par chat ou visioconférence en cas de besoin.Le module accueil accompagne le nouveau collaborateur dès son arrivée avant de l’affecter à son poste de travail. Cet outil permet de formaliser l’accueil du nouvel arrivant rappelant la conduite à tenir en cas d’urgence ou d’accident.Un module d’urgence qui met à disposition toutes les informations pour réagir et avertir les secours le plus vite possible, avec notamment la possibilité de préenregistrer son adresse et sa localisation GPS. Des consignes pour agir dans l’attente des secours sont également disponibles.Des outils pratiques pour mieux s’approprier le chantier et ses environs. L’application propose notamment la météo du jour pour se préparer à d’éventuels aléas, la localisation de sanitaires à proximité mais aussi de applications suggérées comme un capteur de bruit et luxmètre pour mesurer la lumière sur le chantier.La mise à disposition de documentations et de passerelles vers le site de préventionbtp.fr pour répondre à toutes les problématiques et renforcer la culture prévention des professionnels du BTP avec notamment des fiches métiers, des packs animation et des pastilles vidéo.Pour Paul DUPHIL, Secrétaire Général de l’OPPBTP : « Check Chantier est la concrétisation de tout ce que les outils digitaux peuvent apporter au secteur du BTP en matière de prévention : plus de proximité, de réactivité et d’accompagnement personnalisé. Une application qui a pour objectif d’accompagner les professionnels au quotidien, en direct du chantier, avec des outils immédiatement disponibles dans la poche. L’utilisateur dispose d’une palette de fonctionnalités variées où toutes ses demandes peuvent trouver une réponse, de la plus élémentaire, comme la météo du jour, à la plus exigeante avec la vérification d’échafaudage ou d’engin. »
Il y a 2 ans et 192 jours

EAS Solutions présente Panama, un linéaire LED intelligent et peu énergivore

A cela s’ajoute une pénurie de composants qui entraîne des difficultés d’approvisionnement en LED prévues pour durer au minimum jusqu’à la fin de l’année prochaine. En s’équipant dès à présent avec des solutions LED intelligentes performantes, les professionnels évitent de se retrouver en rupture de tubes, sans éclairage, et remplacent avantageusement leur installation obsolète et énergivore par un éclairage qualitatif, sobre, qui, instantanément, diminue très fortement leur facture énergétique. Avec un flux lumineux allant jusqu’à 6686 lumens, la gamme de linéaires LED PANAMA est disponible en plusieurs dimensions (650 mm, 1220 mm, 1560 mm) et puissances (20W, 34W, 45W, 65W). Elle possède une température de couleur de 4000 K, une température de fonctionnement allant de -20° à +35° et un driver intégré. Étanche avec un indice de protection IP66, elle est conçue en polycarbonate et adaptée à l’éclairage intérieur et extérieur des bâtiments industriels, logistiques et tertiaires comme les espaces de circulation et d’infrastructures des gares, les plateformes, les passerelles, les parkings... Equipés de la technologie Smart Facility d’EAS SOLUTIONS, les linéaires LED PANAMA sont pourvus d’un contrôleur avec détecteur de présence à trois niveaux de puissance, variables selon les détections, qui optimise la gestion des luminaires et leur consommation d’énergie. Positionnés en hauteur, les linéaires LED connectés apportent un éclairage efficace qui se module automatiquement. En communiquant par le maillage radio des luminaires, le système Smart Facility constitue un réseau indépendant et parallèle qui ne perturbe pas les réseaux en place. Les données qu’il collecte sont analysées en temps réel afin d’économiser jusqu’à 90% d’énergie tout en améliorant la sécurité, l’efficacité et la productivité du site équipé.Thermolaquage 21, spécialiste de la finition de pièces métalliques pour le secteur médical, l’industrie, l’automobile et le bâtiment, a équipé cette année son site de production d’un nouvel éclairage LED intelligent composé de 27 linéaires LED PANAMA, 8 luminaires LED RELIANT et 2 luminaires LED LUMAZ à haut rendement, tous connectés avec la technologie Smart Facility d’EAS SOLUTIONS. Ce relamping du site permet d’éclairer uniquement les zones d’activité et de régler l’intensité lumineuse en fonction de la luminosité naturelle. Il diminue très fortement les consommations en énergie et apporte un confort visuel accru qui contribue à améliorer et à sécuriser les conditions de travail des collaborateurs.
Il y a 2 ans et 196 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE PANAMA, UN LINÉAIRE LED INTELLIGENT ÉTANCHE POUR PALLIER L’ENVOLÉE DU PRIX DU KWH ET LA FIN DES TUBES FLUORESCENTS EN 2023

Facebook Twitter EAS SOLUTIONS, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, présente la gamme de luminaires linéaires LED PANAMA dotés de la technologie Smart Facility en réponse à la double problématique à laquelle les entreprise sont confrontées, à savoir : la hausse vertigineuse du prix de l’électricité, multiplié par 10 pour certains, et la fin programmée des tubes fluorescents en 2023. A cela s’ajoute une pénurie de composants qui entraîne des difficultés d’approvisionnement en LED prévues pour durer au minimum jusqu’à la fin de l’année prochaine. En s’équipant dès à présent avec des solutions LED intelligentes performantes, les professionnels évitent de se retrouver en rupture de tubes, sans éclairage, et remplacent avantageusement leur installation obsolète et énergivore par un éclairage qualitatif, sobre, qui, instantanément, diminue très fortement leur facture énergétique. Avec un flux lumineux allant jusqu’à 6686 lumens, la gamme de linéaires LED PANAMA est disponible en plusieurs dimensions (650 mm, 1220 mm, 1560 mm) et puissances (20W, 34W, 45W, 65W). Elle possède une température de couleur de 4000 K, une température de fonctionnement allant de -20° à +35° et un driver intégré. Étanche avec un indice de protection IP66, elle est conçue en polycarbonate et adaptée à l’éclairage intérieur et extérieur des bâtiments industriels, logistiques et tertiaires comme les espaces de circulation et d’infrastructures des gares, les plateformes, les passerelles, les parkings… Equipés de la technologie Smart Facility d’EAS SOLUTIONS, les linéaires LED PANAMA sont pourvus d’un contrôleur avec détecteur de présence à trois niveaux de puissance, variables selon les détections, qui optimise la gestion des luminaires et leur consommation d’énergie. Positionnés en hauteur, les linéaires LED connectés apportent un éclairage efficace qui se module automatiquement. En communiquant par le maillage radio des luminaires, le système Smart Facility constitue un réseau indépendant et parallèle qui ne perturbe pas les réseaux en place. Les données qu’il collecte sont analysées en temps réel afin d’économiser jusqu’à 90% d’énergie tout en améliorant la sécurité, l’efficacité et la productivité du site équipé. Application : Equipement du site industriel Thermolaquage 21 Thermolaquage 21, spécialiste de la finition de pièces métalliques pour le secteur médical, l’industrie, l’automobile et le bâtiment, a équipé cette année son site de production d’un nouvel éclairage LED intelligent composé de 27 linéaires LED PANAMA, 8 luminaires LED RELIANT et 2 luminaires LED LUMAZ à haut rendement, tous connectés avec la technologie Smart Facility d’EAS SOLUTIONS. Ce relamping du site permet d’éclairer uniquement les zones d’activité et de régler l’intensité lumineuse en fonction de la luminosité naturelle. Il diminue très fortement les consommations en énergie et apporte un confort visuel accru qui contribue à améliorer et à sécuriser les conditions de travail des collaborateurs. A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe de plus de 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr  EAS Solutions a obtenu le label AFE que l’Agence France Électricité délivre aux entreprises qui s’engagent pour le climat et qui prennent en compte les objectifs environnementaux de l’accord de Paris. www.agence-france-electricite.fr
Il y a 2 ans et 198 jours

Il faut assurer une transition énergétique responsable pour en maximiser les avantages

Alors que l'Europe étudie la meilleure façon de répondre à ses besoins énergétiques dans les mois et années à venir, les énergies renouvelables sont au cœur des débats. Déjà largement considérés comme des piliers essentiels aux projets de décarbonation, des actifs tels que les panneaux solaires continuent de prendre de l’importance. De nombreuses collectivités ont déjà commencé à élaborer des stratégies de décarbonation afin d’atténuer le changement climatique et réfléchissent ainsi naturellement à des moyens de générer une partie de leur propre énergie. Néanmoins, les organisations n’ont pas forcément conscience qu’il est également facile de gaspiller l’énergie renouvelable si l’on n’adopte pas une approche de maximisation des avantages.Travailler l’énergie disponible autant que possibleLa taille des structures est un des facteurs pouvant avoir un impact immédiat sur la transition énergétique. Les panneaux solaires sont de plus en plus courants sur les bâtiments tertiaires et ces équipements font déjà la différence en réduisant les coûts énergétiques quotidiens et en offrant une certaine indépendance énergétique vis-à-vis du réseau électrique. Par exemple, le projet SDE04, en charge du déploiement du réseau de bornes publiques de recharge de véhicules électriques dans le département des Alpes de Haute Provence a mis en place un dispositif pilote dans lequel une installation solaire alimente des bornes de recharge électrique et également un bâtiment public en autoconsommation. L’impact est positif sur les bâtiments produisant déjà de l’énergie renouvelable sur leurs sites et les incitent à tirer le meilleur profit de cette énergie au regard des actions des grands fournisseurs d'énergie pour intensifier la production renouvelable à plus grande échelle.Les systèmes de stockage d’énergie sont donc importants, mais l’utilisation stratégique de cette énergie l’est tout autant. Recharger les véhicules électriques grâce à un mix d’énergie renouvelable stockée et d’énergie du réseau électrique lors des heures creuses en est un bon exemple. Les collectivités pourraient ainsi tirer le meilleur parti des tarifs basés sur le temps et la durée d’utilisation qui pourraient émerger à mesure que les compagnies énergétiques cherchent à améliorer la gestion des réseaux électriques nationaux.Les investissements dans les véhicules électriques ont de la valeurLes véhicules électriques ne font pas que se déplacer d’un point A à un point B. Leurs batteries stockent d’importantes quantités d’énergie, ce qui signifie qu’elles peuvent faire partie intégrante d’un système de gestion d’énergie sur site, même si le site génère ou non une partie de sa propre énergie.Les VE peuvent contribuer à une meilleure utilisation de l'énergie renouvelable, et ce rien qu’en la stockant au moment où elle est la plus disponible. Au lieu de faire le plein en cas de besoin, les conducteurs de VE et les gestionnaires de parcs automobiles électriques peuvent choisir des régimes tels que la recharge de nuit, lorsque la demande sur le réseau est moindre et que la disponibilité de l'énergie renouvelable tend à être plus importante et moins coûteuse.La production d’énergie sur site multiplie les avantages. Les bâtiments qui génèrent leur propre énergie à partir d’équipements tels que des panneaux solaires ou des éoliennes, mais ne disposant pas d’une capacité de stockage suffisante lors d’un pic de vent ou d’ensoleillement, peuvent voir dans les VE utilisés par les habitants un bon moyen d’éviter le gaspillage d’énergie. Il s’agit ultimement de stratégie et de systèmes assurant une gestion intelligente de l’énergie.Des interactions aux marges du réseau électriqueLa recharge des VE représente la voie vers la transition énergétique pour de nombreux propriétaires de bâtiments, mais l’électrification se poursuivra bien au-delà. Les bâtiments sont voués à devenir des hubs énergétiques assurant la gestion de l’électricité d’une manière très différente. L'interaction aux marges du réseau électrique : le point où les entreprises et collectivités et les foyers se connectent au réseau - a peu changé depuis de nombreuses années, mais les énergies renouvelables faisant évoluer les choses, le rythme de ce changement pourrait s'accélérer.Préparer les bâtiments à la transition énergétique implique d'analyser les besoins en matière de gestion de l'énergie et de distribution électrique afin de définir une approche les transformant en hubs énergétiques. Néanmoins, il est important pour les entreprises de ne pas se précipiter dans la production d'énergie renouvelable sur site, dans le but d'atténuer les hausses de prix et de renforcer rapidement l'indépendance énergétique. Le système de gestion d'énergie du bâtiment ou du site doit être étalonné pour intégrer efficacement les nouvelles charges et sources d'énergie. L’interaction aux marges du réseau électrique largement gérée par les compagnies d'électricité avec l'aide des régulateurs, évolue rapidement et de manière simultanée.Ne pas négliger cybersécuritéL’accélération des investissements liés à la production d’énergie renouvelable est notamment causée par le changement climatique. Les énergies renouvelables constituent donc sans aucun doute un bon complément au mix énergétique européen. Mais l’intégration d’équipements tels que les panneaux solaires, les systèmes de stockage d’énergie ou les chargeurs VE peut s'avérer plus complexe que leur simple assemblage sur l'installation électrique existante des bâtiments, et l'aspect numérique peut exposer les entreprises à des risques de sécurité inhabituels.La sécurité physique est un point important dans la gestion de l’électricité, tout comme la cybersécurité, qui est un aspect moins connu mais tout aussi essentiel.L'électrification progresse rapidement, et les organisations peuvent contribuer à en accélérer le rythme. Suivre l'évolution de la réglementation et déterminer l'aide nécessaire, leur permettra de répondre aux circonstances actuelles et de se préparer en même temps à un avenir climatiquement neutre.Tribune de Jérôme Chaffard, Directeur général Eaton France & Péninsule Ibérique (Linkedin).
Il y a 2 ans et 198 jours

Kronimus lance City Linea Verde

Kronimus propose un pavé avec 51 % d’ouverture, pour des voies carrossables plus vertes. [©Kronimus] Le fabricant de produits en béton manufacturés Kronimus ajoute un nouveau produit à sa gamme de pavés écologiques : City Linea Verde. Ces derniers permettent de réaliser des surfaces engazonnées. Avec 51 % d’ouverture et de perméabilité, ces dernières intègrent non seulement un aspect environnemental, parce qu’elles permettent à l’eau de s’infiltrer. Mais en plus, elles peuvent être recouvertes à plus de 51 % par des végétaux. Cette performance est possible grâce à la conception du produit, avec ses évidements et joints longitudinaux, respectivement de 5,5 cm et 3,3 cm de large. City Linea Verde : Un pavé ultra drainant « City Linea Verde est né de notre envie de continuer à développer notre gamme vers des produits plus aptes à répondre aux défis environnementaux. Nous avons investi du temps dans le développement de ce pavé, pour concevoir un produit résistant qui permet de rendre les voies plus vertes », explique Martin Kronimus, directeur du groupe éponyme. Tout comme les autres produits de la gamme, City Linea Verde est muni de saillies d’emboîtement qui garantissent la caractéristique auto-bloquante du pavage et ainsi sa stabilité. Par ailleurs, son épaisseur atteint 12 cm. Le nouveau pavé s’adresse donc en priorité aux projets d’aménagement qui concernent l’espace public. City Linea Verde convient bien aux zones de stationnement automobile et aux voies d’accès pompiers. Parmi les autres avantages du pavé : une pose facilitée. En effet, le format 30 cm x 18 cm pour un poids inférieur à 9 kg est à la fois manuportable et adapté à la pose mécanique.
Il y a 2 ans et 199 jours

Franciaflex présente Qwidi, un nouveau service connecté dédié aux installateurs

Une utilisation simple et sécuriséeLa mise en service de Qwidi est simple et rapide, elle s'effectue sans branchement grâce à une application mobile et un boîtier de connexion. L'installateur peut télécharger gratuitement l'application Qwidi sur l'App Store ou Google Play.Une fois le boîtier sous tension, Qwidi se connecte automatiquement à l'application via Bluetooth. Les échanges avec le produit Well'com se font alors de manière entièrement sécurisée.Un outil très précis et opérationnelIntuitif, ce service connecté est conçu pour faciliter le travail des installateurs et leur faire gagner du temps sur leurs chantiers.Qwidi est équipé de nombreuses fonctionnalités permettant de réaliser toutes les opérations de réglage et de dépannage des volets et stores motorisés Well'Com. Parmi les fonctionnalités proposées, un « pas à pas » indiquant au professionnel les actions à effectuer ainsi qu'une fonction exclusive de diagnostics qui alerte en cas de problème. Celle-ci permet de déterminer l'origine du dysfonctionnement et gagner du temps pour effectuer les réparations nécessaires. Pratique, le boîtier Qwidi n'est pas encombrant, une fois la connexion établie, l'installateur peut fixer l'appareil à sa ceinture à l'aide de la pince située à l'arrière du boitier.
Il y a 2 ans et 205 jours

Amiante : audience le 9 mars avant un éventuel procès pénal à Paris

Au cours d'une audience intermédiaire, les avocats de la défense ont demandé mercredi à ce que soient examinés lors d'une audience séparée les exceptions de nullité qu'ils entendent soulever sur la citation directe visant leurs clients.La citation directe permet à la victime d'une infraction ou au procureur de la République de saisir directement un tribunal pénal. Dans ce genre de procédure, il n'y a pas d'investigations menées par des magistrats. Charge aux plaignants de collecter les éléments de preuve et de désigner les suspects.Celle-ci a été adressée à quatorze anciens représentants de ministères, des dirigeants d'entreprises ou des médecins, âgés de 62 à 84 ans, qui auraient cherché à retarder l'interdiction de la fibre cancérigène, intervenue en 1997. Les plaignants souhaitent qu'ils répondent de leurs liens avec le Comité permanent amiante (CPA), décrit dans un rapport sénatorial de 2005 comme un "lobby" pro-amiante actif entre 1982 et 1995, alors que toutes les variétés d'amiante étaient classées cancérigènes par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) depuis 1977."Les faits ont plus de trente ans, certaines personnes citées ont bénéficié d'un non-lieu pour des faits similaires", a pointé Me Benoît Chabert, avocat de la défense, tout en reconnaissant la "douleur légitime" des plaignants. La procureure et cheffe du pôle santé publique Laëtitia Costantini s'est également prononcée en faveur d'une audience consacrée à la recevabilité, notamment parce qu'il y a parallèlement encore de nombreux dossiers en cours d'instruction."C'est un dossier hors normes, qui pose des difficultés matérielles, d'organisation pour accueillir" les 1.800 plaignants "s'ils le souhaitent", a relevé la présidente du tribunal, Sylvie Moysan qui a accepté cette demande d'audience préliminaire.Les avocats des victimes ont au contraire estimé qu'il n'y avait pas "d'impossibilité absolue" justifiant de déroger à la règle d'examiner la recevabilité avec le fond, lors d'un seul procès. Une vingtaine de plaignants comptent témoigner à la barre."Certains sont décédés récemment, ou ont développé récemment une maladie. Pour les victimes, ce ne sont pas des faits d'il y a trente ans", a souligné Me Virginie Lemarié-Faure.La plupart des cancers liés à l'amiante, fibre utilisée notamment dans le bâtiment, l'automobile et le textile jusqu'à son interdiction, concernent le tissu pulmonaire, les bronches ou la plèvre, et se déclarent généralement de nombreuses années après y avoir été exposé.
Il y a 2 ans et 205 jours

Oise : Les travaux dans le parc automobile d’Avrigny ont pris fin.

La ville d’Avrigny (Oise) dispose d’une nouvelle centrale...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 205 jours

Kiloutou teste Ellectramobilys, un camion-benne 100% électrique

À l’occasion du Mondial de l’Automobile 2022, Ellectramobilys présente sa solution Muses dans sa version camion-benne, actuellement testée par Kiloutou.Au sein du parc de matériel de location actuel de Kiloutou, les camion-bennes sont les engins les plus émetteurs de CO2. Kiloutou explore ainsi des solutions qui pourraient réduire leur impact. Muses d’Ellectramobilys est un véhicule utilitaire à motorisation électrique qui pourrait répondre à cette problématique, notamment rencontrée par les majors du BTP, les artisans, collectivités ou même particuliers opérant déplacements et chargements de matériels et matériaux légers en zones urbaines.Muses, un véhicule électrique agile et performant qui ouvre un champ prometteur de co-développement avec KiloutouLe véhicule Muses dispose d’une autonomie allant de 138 à 260 km selon la puissance de batterie utilisée et d’une charge utile de 670 kg. Son format compact et son faible niveau d’émissions sonores (75 dB) en font un véhicule performant et agile.Le modèle testé par Kiloutou possède, à ce stade, de nombreux atouts dont :une benne triverse (un service complet, autorisant indifféremment les déchargements par l’arrière, par la droite ou la gauche),un seuil de chargement très bas ainsi qu’un poste de conduite central qui en fait aussi un allié de prévention et de sécurité pour ses utilisateurs.Sa très grande modularité ouvre aussi un terrain de co-développement en matière de carrosserie ou de solution de recharge, des perfectionnements aussi intéressants qu’indispensables pour Kiloutou dont l’objectif est d’accélérer le développement d’une solution particulièrement adaptée aux besoins de ses clients.Ellectramobilys, un fournisseur qui va au-delà de la charte fournisseur responsable définie par KiloutouKiloutou a fait le choix de se rapprocher d’Ellectramobilys pour la qualité de sa solution, notamment sur le plan environnemental : sa conception innovante avec 40% de matière en moins nécessaire à sa fabrication, dont deux fois moins de matière (lithium, cobalt et manganèse) dans sa batterie, réduit considérablement son impact sur les ressources naturelles en comparaison avec un véhicule électrique concurrent. Il en va de même de sa consommation d’énergie en utilisation, divisée par deux par rapport aux autres véhicules utilitaires électriques. Le véhicule Muses est un levier de réduction de l’impact environnemental des chantiers et interventions urbaines.Enfin, Muses est actuellement assemblé en France et sera intégralement produit à partir de 2023 en France.Pour Audrey Miclard, Directrice Développement Durable de Kiloutou : « Notre accélération en R&D s’appuie notamment sur le développement de collaborations étroites avec de nouveaux acteurs engagés comme Ellectramobilys, dont les solutions prometteuses peuvent être testées au sein de notre Centre d’Essai. Parmi les nombreux atouts de Muses, il y a la possibilité de remplacer une batterie vide par une batterie chargée en moins de 3 minutes. Cela favorise la recharge longue, moins gourmande en énergie et protectrice des batteries, sans interrompre l’utilisation du matériel. Ces simplifications d’utilisation sont des points-clés de nos ambitions en matière de R&D. Nous innovons au service de nos clients et pour une filière des matériels durables. »Pour Damien Biro, Président de Muses Europe : « Aujourd’hui, nous présentons un véhicule dédié à un usage utilitaire bien spécifique, qui maîtrise à la fois la masse, l’équation économique et l’équation environnementale. Nous sommes ravis de pouvoir co-développer cette solution avec un acteur comme Kiloutou, aussi engagé pour l'environnement et au réseau solide. »
Il y a 2 ans et 211 jours

Quand allumer le chauffage ? Dans les copropriétés, le froid tend les débats

A la mi-octobre, Lucie (prénom modifié à sa demande), 52 ans, a déjà sorti chauffage d'appoint, vêtements chauds et chaussons rembourrés, et entrouvre le four après le repas pour chauffer son deux pièces acquis il y a deux ans à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine)."Cela ne dépasse pas les 18°C", déplore cette cadre dans la publicité, en consultant depuis son téléphone les mesures de son thermostat connecté. Et ce malgré la présence de double vitrage et un diagnostic de performance énergique (DPE) classé C sur une échelle allant de A à G."L'un des murs porteurs du salon donne sur le local poubelle et sur une coursive non isolée", explique la résidente. Dans la même pièce, les fenêtres sont orientées plein nord.Dès le 30 septembre, elle a envoyé un email à son syndic pour demander la mise en route du chauffage collectif dans l'immeuble, équipé de six chaudières à gaz de 100 kW chacune.En 2021, le chauffage s'était allumé une semaine après la première requête. Pas cette année. "Quand on me parle d'un lancement en novembre, cela me fait tout de suite moins marrer", avance-t-elle.La résidence bénéficie d'un contrat de fourniture à prix fixe, signé avec Engie. Sur l'année 2021-2022, le poste de dépense "chauffage" s'est élevé à 49.200 euros, contre 50.600 euros l'année précédente."La différence s'explique simplement par une période de chauffe moins longue l'année dernière", interprète le syndic."Payer pour les autres"Trois étages plus haut, le thermomètre grimpe à 24°C dans la cuisine de Claude (prénom modifié), 75 ans, propriétaire d'un appartement de 80 mètres carrés.Il n'a pas encore tourné le thermostat mais il explique avoir entamé des travaux de rénovation il y a treize ans, pour environ 13.500 euros. "J'ai aussi procédé à une isolation totale des ouvertures", raconte ce technicien dans l'automobile à la retraite, en désignant l'une de ses portes-fenêtres, orientée au sud.Membre du conseil syndical de la copropriété, il s'oppose à l'allumage du chauffage collectif et conseille à ses voisins qui ont froid "d'installer un radiateur électrique.""Parce que j'ai une grande surface, en raison de la répartition des frais, je vais payer pour les autres", justifie-t-il.Purger les chaudièresMais le syndic bénévole de la résidence qui compte 126 appartements, Dominique Sevray, préfère attendre. "Je souhaite qu'une majorité soit d'accord", dit-il.C'est lui qui endosse la responsabilité de décider de la date d'allumage du chauffage, question ô combien sensible en cette année de flambée des prix de l'énergie. Et ce, faute d'un règlement clair."Les gens ne savent pas vraiment qui décide de l'allumage des radiateurs car moins de 10% des copropriétés en France ont un règlement qui fixe des dates de chauffe", explique Emile Hagège, directeur général de l'Association des responsables de copropriétés (ARC).Dans ce cas de figure, il appartient généralement au syndic, autrement dit au mandataire, d'avoir le dernier mot. "Mais le bon usage veut que cela se fasse en concertation avec le conseil syndical, qui a une mission de contrôle et d'assistance, et qui est formé de gens qui habitent dans l'immeuble", ajoute-t-il.Résultat: avec les recommandations de sobriété pour pallier les coûts faramineux de l'énergie, les syndics et les conseils se retrouvent tiraillés entre les occupants frileux et les plus sobres.Dans ce "panier de crabes", il faut trancher vers le plus cohérent. "On a tout intérêt à limiter la consommation de gaz et à repousser aux maximum l'ouverture des vannes, et profiter de ce laps de temps pour désembuer les réseaux, procéder à la purge des chaudières et des radiateurs, tout en régulant les débits", selon Emile Hagège. "Ainsi, chaque appartement pourrait être chauffé à 19°C et économiserait entre 15 à 20% de sa consommation d'énergie, ce qui aurait un impact très positif sur la facture", résume le directeur général de l'ARC.
Il y a 2 ans et 211 jours

ZFE : les politiques s'emparent de la question du renouvellement des utilitaires

TRANSITION ÉCOLOGIQUE. En visite au Mondial de l'automobile à Paris, Emmanuel Macron a annoncé que 150 millions d'euros seraient consacrés à l'accompagnement de la mise en place des zones à faibles émissions polluantes (ZFE) dans les agglomérations. Le sujet inquiète l'artisanat du bâtiment qui redoute que cette disposition ne chasse les professionnels des centres urbains.
Il y a 2 ans et 213 jours

14 acteurs du bâtiment demandent à l’État d'agir pour lutter contre la surchauffe des bâtiments

La problématique de la surchauffe des bâtiments n’étant pas suffisamment prise en compte dans les politiques publiques, ces acteurs alertent les décideurs sur l’urgence de mettre en place des mesures rapidement, afin d’anticiper des étés à venir de plus en plus chaud, menaçant la santé des plus fragiles en période caniculaire.« Madame la Première ministre,La chaleur est tout aussi redoutable que le froid : l’été est devenu synonyme de souffrance thermique pour de nombreux Français. En effet, ils sont 69% à souffrir des températures trop élevées dans leur logement [1]. Une situation qui ne manquera pas de s’aggraver avec le réchauffement climatique et de s’étendre à des périodes autrefois plus clémentes. Rappelons qu’en 2022, la première canicule a eu lieu au printemps. Or, aucune mesure politique n’est prise aujourd’hui pour limiter durablement, efficacement et sans surconsommation excessive d’énergie la surchauffe des logements. Nous, acteurs de la construction, avons des solutions à apporter en adéquation avec les enjeux climatiques et sociétaux. À vous, acteurs politiques, de vous en saisir pour répondre aux attentes des Français en matière de pouvoir d’achat, d’écologie et de santé publique.Atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050 est un objectif ambitieux et nous ne pouvons que le saluer. D’aucuns diront cependant qu’il est inaccessible au regard des récentes trajectoires de réduction. Or, il s’agit d’une condition sine qua non pour espérer contenir le réchauffement climatique à +1,5°C, selon le Giec. Malheureusement, l’action climatique de la France est insuffisante. Les experts du Haut Conseil pour le Climat l’ont encore rappelé récemment : la dynamique tricolore reste insuffisante pour tenir les objectifs du Pacte Vert et impose un sursaut de l’action climatique [2].Ne négligez pas le potentiel de rénovation énergétique liée au réchauffement des bâtimentsLa France doit accélérer sa mutation écologique. Si la lutte contre le réchauffement climatique se joue sur tous les fronts, la décarbonisation du secteur du bâtiment constitue un levier essentiel. Responsable de 17% [3] des émissions de gaz à effet de serre en France, le bâtiment (résidentiel et tertiaire) est le plus gros consommateur d’énergie [4]. Rénover l’existant se positionne comme une piste indispensable, si tant est qu’elle soit envisagée dans sa globalité. Le sujet du chauffage a en effet tendance à éclipser les enjeux estivaux. Or, la hausse des températures et les vagues de chaleur, qui se font plus régulières et plus extrêmes, contribuent à l’accroissement de l’inconfort thermique et des inégalités sociales. Le confort d’été, expression communément utilisée dans la réglementation thermique, n’apparaît plus adapté à la situation ; il serait plus juste de parler de souffrance thermique, au vu de l’impact sanitaire que les canicules peuvent avoir sur les Français.Neuf Français sur dix estiment qu’il est capital de trouver des solutions pour réduire le réchauffement de leur habitation [1]. Pour faire baisser la température, les Français ferment les stores et volets (82%), aèrent les pièces la nuit (77%), ferment les fenêtres (62%), utilisent un ventilateur (41%) et/ou un climatiseur (21%). Et près d’un Français sur cinq qui n’en dispose pas déjà à l’intention d’investir dans un système de rafraichissement bien souvent sans avoir recours à un professionnel qui saura l’aiguiller vers des solutions appropriées et efficaces.Le recours à la climatisation doit être raisonné et adaptéEn France, la consommation associée au refroidissement des bâtiments s’élevait en 2020 à 4,9 TWh dans le secteur résidentiel et à 10,6 TWh pour le secteur tertiaire [5].Le recours à la climatisation dans les logements a augmenté de 78% entre 2016 et 2020. Cette technologie est aujourd’hui la source de près de 5% des émissions d’équivalent CO2 du secteur du bâtiment [5].Selon le Giec, la hausse de consommation d’énergie liée au refroidissement dans les bâtiments est estimée de 31 à 73% en Europe du Nord d’ici 2050 et de 165 à 323% d’ici 2100 par rapport à 1996-2005 [6].Un recours non raisonné à la climatisation contribue à alimenter un cercle vicieux : plus il fait chaud, plus la climatisation est utilisée, plus les émissions de gaz à effet de serre augmentent, plus il faut chaud, etc. Les systèmes les moins performants – par exemple les équipements mobiles – participent directement au réchauffement des villes. À titre d’exemple, si la chaleur émise par les climatiseurs double d’ici à 2030, la température pourrait augmenter de 2°C dans Paris [7].Il est urgent d’associer sobriété énergétique et confort des ménages…Dans un contexte de tension énergétique et de contraction du pouvoir d’achat, rappelons que l’énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu’on ne consomme pas. La sobriété énergétique impose que toutes les pistes soient prises en compte. Si le recours à des systèmes de rafraîchissement actif est un besoin légitime auquel il est important de répondre, celui-ci doit être fait en utilisant des technologies performantes, de manière raisonnée et en combinaison avec les mesures passives, non consommatrices d'énergie, qui permettent d’en limiter l’impact énergétique. La consommation liée au refroidissement en sera ainsi réduite au strict nécessaire. Il est également essentiel de faire appel à un professionnel pour le bon dimensionnement et la bonne installation de l’équipement de rafraichissement.La sobriété énergétique est un objectif accessible grâce aux mesures passivesTout comme une bonne isolation permet de limiter les consommations de chauffage, de nombreuses solutions existent pour réduire la surchauffe des bâtiments de manière durable. Peu ou pas consommateurs en énergie, ces équipements et solutions techniques permettent de réconcilier habitabilité des bâtiments en période de fortes chaleurs et sobriété énergétique lorsque des systèmes de rafraîchissement sont présents.Installer des protections solaires motorisées ou automatiséesLimiter la hausse de la température intérieure de 2°C à 5°C en été est possible simplement en s’équipant de stores ou volets. Quant au pilotage automatique des protections solaires, il est loin d’être un gadget de confort : il permet une gestion optimale de ces équipements en fonction des températures et du rayonnement solaire, y compris en l’absence d’occupants.L’utilisation de protections solaires pourrait réduire la consommation d'énergie liée au refroidissement des locaux jusqu'à 60% d'ici 2050. Elle permettrait d'éviter l'émission de 100 millions de tonnes de CO2 et d'économiser 285 milliards d'euros en Europe [8].Un exemple concret avec la ville de Poissy : elle va équiper 15 établissements scolaires de protections solaires. Sur les 6 groupements scolaires déjà rénovés, les résultats sont très encourageants : en période caniculaire, la température intérieure enregistrée est inférieure de 10°C par rapport à l’extérieur et de 5°C par rapport à la même salle de classe non équipée de stores. Une installation qui permettra d’économiser environ 300.000 kWh/an, soit l’équivalent d’une facture d’électricité annuelle de 50.000 €.Améliorer l’inertie thermique des bâtimentsL'inertie thermique correspond à la capacité des matériaux des murs, toitures et isolants à absorber la chaleur ou le froid, puis à restituer le flux thermique en phase de déphasage. Plus un bâtiment a une inertie élevée, plus il sera confortable en période caniculaire. La température intérieure dans le bâtiment peut ainsi être réduite jusqu’à 3°C [9].Par ailleurs, une isolation adaptée de l’enveloppe extérieure du bâtiment contribue également, non seulement à l’efficacité en hiver, mais également à une protection en été.Automatiser l’ouverture des fenêtresComme les volets et les stores, l’ouverture des ouvrants peut être automatisée afin de rafraîchir son habitation au moment où les températures extérieures sont les plus fraîches, en soirée ou la nuit. Le potentiel de rafraichissement activable par le pilotage intelligent de l’ouverture des fenêtres en période estivale a ainsi été mesuré entre 4°C et 5°C [10], [11].D’une manière générale, une attention toute particulière doit être portée à la ventilation du bâtiment afin d’assurer la qualité de l’air intérieur.Végétaliser les bâtimentsLa végétalisation du bâti, toitures et façades végétalisées, participe doublement à l'adaptation contre le réchauffement climatique. Elle permet d’une part d'apporter de la fraîcheur à l'échelle du quartier grâce à l'évapotranspiration des végétaux qui permet de diminuer jusqu'à 3 °C la température ambiante. Ainsi, sur un toit-terrasse non végétalisé, la température de surface, sous l’effet du rayonnement solaire, peut atteindre 60°C ou 70 °C. Elle sera de 35°C voire de 32 °C s'il est végétalisé. Pour les façades, le phénomène est équivalent, avec des réductions de température mesurées de 3 à 10°C. La nuit, la végétalisation du bâti limite les effets d’ilots de chaleur [12].D’autre part, la végétalisation des toitures et façades permet davantage de confort thermique au sein même du bâtiment, notamment pour les locaux intérieurs sous-jacents.Mettre en œuvre de revêtements d’étanchéité réfléchissants sur les toitures terrassesLes revêtements d’étanchéité de couleur claire disposent d’un fort pouvoir de réflectivité et d’émissivité. Ils permettent de réfléchir le rayonnement solaire incident sans augmenter significativement la température de surface. Celle-ci dépassant rarement les 40 °C, ces revêtements contribuent à lutter contre les îlots de chaleur urbains et peuvent améliorer le confort thermique dans les lieux de vie sous la toiture [13].Valorisez (enfin) les solutions passives peu consommatrices d’énergie dans les politiques d’incitation à la rénovationPourquoi ces solutions sont-elles les grandes absentes des politiques publiques françaises de rénovation énergétique ? Pourquoi ne pas étendre les dispositifs de soutien actuellement limités à l’audit et à la réduction de consommation de chauffage ?Pour atteindre la neutralité carbone d’ici 30 ans, la France n’a pas le luxe de se priver de leviers efficaces qui sont à sa portée. D’autres pays, comme l’Italie et l’Allemagne, l’ont compris et intègre déjà des dispositifs de soutien pour l’installation de volets et stores par exemple. Des mesures fortes doivent être prises au plus vite pour adapter notre pays aux enjeux climatiques.Or, une fenêtre de tir idéale se présente devant nous pour que nous nous donnions les moyens de nos ambitions avec l’adoption avant le 1er semestre 2023 de la 1re loi de programmation quinquennale sur l'énergie et le climat (LPEC), puis avec, l’année suivante, la 3e Programmation pluriannuelle de l’énergie, de la 3e Stratégie nationale bas-carbone et du 3e plan national d’adaptation au changement climatique. Les deux ans à venir vont être décisifs : vous allez dessiner les contours précis de la Stratégie française sur l'énergie et le climat (SFEC) et engager notre pays et les générations futures pour les prochaines décennies.Ces législations doivent être le vecteur d’espoirs et de solutions pour les Français qui souffrent de la surchauffe de leur logement. Nous vous demandons donc d’intégrer au plus vite les moyens passifs d’amélioration de la performance thermique d’été dans les dispositifs d’aides à la rénovation.L’occasion est historique d’être à la hauteur du plus grand défi de l'histoire de l'Humanité. Ne la ratons pas ! » Signataires :Yannick Michon, Président du Groupement ActibaieMohamed Abdelmoumene, Président du comité technique AICVF (Association des Ingénieurs et Techniciens en Climatique, Ventilation et Froid)Jean-Pascal Roche, Président d’ICO (Ingénierie du Confort Objectif 2050)Jean-Luc Buchou, Délégué Général du Cercle Promodul INEF4Damien Racle, Président de CINOV (Fédération des syndicats des métiers de la prestation intellectuelle du conseil, de l'ingénierie et du numérique),Pascal Bresso, Président de la Fédération Française de la Construction PassiveAnne-Sophie Perrissin-Fabert, Déléguée Générale de IGNESPascal Coppens, Président du SFJF (Syndicat Français de Joints et Façades)Bruno Léger, Président du SNFAChristophe Bieber, Elu de l’UMB-FFB (Union des Métiers du Bois)Pascal Housset, Président de l’UMGCCP (Union des Métiers du Génie Climatique, de la Couverture et de la Plomberie)Yannick Hervé, Président de l’UMPI-FFB (Union des Métiers du Plâtre et de l’Isolation)Yannik Beix , Président d’ADVIVET (Association des Toitures et Façades Végétales)Gérald FAURE, Président de la CSFE (Chambre Syndicale Française de l’Etanchéité) [1] Source : étude Ifop pour le Groupement Actibaie – juillet 2022[2] Source : Haut Conseil pour le Climat. Communiqué de presse – Rapport Annuel 2022 diffusé le 29 juin 2022 [3] Source : Citepa [4] Source : SDES, Bilan énergétique de la France [5] Source : Etude Ademe « La climatisation de confort dans les bâtiments résidentiels et tertiaires » - juin 2021 [6] Source : Rapport GIEC - 2022 [7] Source : Centre national de recherches météorologiques [8] Source : étude menée par Guidehouse pour le syndicat européen ES-SO - 2022 [9] Source : Cercle Promodul / INEF4 [10] Source : étude Armines ParisTech, janvier 2013 [11] Source : Rapport Technique DTS/RT/2016/ COMEPOS VELUX [12] Source : "Aménager avec la nature en ville" - Ademe - 2018, "Etude VEgDUD - Rôle du végétal dans le développement urbain durable - Impacts du végétal en ville" - Plante&Cité - 2014, Bouchie - "Rapport d'étude du CSTB pour la RT 2012" – 2011[13] Source : CWA 17890 « Guide to the implementation of cool surfaces for buildings’ envelope to mitigate the Urban Heat Island effects »
Il y a 2 ans et 213 jours

12 acteurs du bâtiment demandent à l’État d'agir pour lutter contre la surchauffe des bâtiments

La problématique de la surchauffe des bâtiments n’étant pas suffisamment prise en compte dans les politiques publiques, ces acteurs alertent les décideurs sur l’urgence de mettre en place des mesures rapidement, afin d’anticiper des étés à venir de plus en plus chaud, menaçant la santé des plus fragiles en période caniculaire.« Madame la Première ministre,La chaleur est tout aussi redoutable que le froid : l’été est devenu synonyme de souffrance thermique pour de nombreux Français. En effet, ils sont 69% à souffrir des températures trop élevées dans leur logement [1]. Une situation qui ne manquera pas de s’aggraver avec le réchauffement climatique et de s’étendre à des périodes autrefois plus clémentes. Rappelons qu’en 2022, la première canicule a eu lieu au printemps. Or, aucune mesure politique n’est prise aujourd’hui pour limiter durablement, efficacement et sans surconsommation excessive d’énergie la surchauffe des logements. Nous, acteurs de la construction, avons des solutions à apporter en adéquation avec les enjeux climatiques et sociétaux. À vous, acteurs politiques, de vous en saisir pour répondre aux attentes des Français en matière de pouvoir d’achat, d’écologie et de santé publique.Atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050 est un objectif ambitieux et nous ne pouvons que le saluer. D’aucuns diront cependant qu’il est inaccessible au regard des récentes trajectoires de réduction. Or, il s’agit d’une condition sine qua non pour espérer contenir le réchauffement climatique à +1,5°C, selon le Giec. Malheureusement, l’action climatique de la France est insuffisante. Les experts du Haut Conseil pour le Climat l’ont encore rappelé récemment : la dynamique tricolore reste insuffisante pour tenir les objectifs du Pacte Vert et impose un sursaut de l’action climatique [2].Ne négligez pas le potentiel de rénovation énergétique liée au réchauffement des bâtimentsLa France doit accélérer sa mutation écologique. Si la lutte contre le réchauffement climatique se joue sur tous les fronts, la décarbonisation du secteur du bâtiment constitue un levier essentiel. Responsable de 17% [3] des émissions de gaz à effet de serre en France, le bâtiment (résidentiel et tertiaire) est le plus gros consommateur d’énergie [4]. Rénover l’existant se positionne comme une piste indispensable, si tant est qu’elle soit envisagée dans sa globalité. Le sujet du chauffage a en effet tendance à éclipser les enjeux estivaux. Or, la hausse des températures et les vagues de chaleur, qui se font plus régulières et plus extrêmes, contribuent à l’accroissement de l’inconfort thermique et des inégalités sociales. Le confort d’été, expression communément utilisée dans la réglementation thermique, n’apparaît plus adapté à la situation ; il serait plus juste de parler de souffrance thermique, au vu de l’impact sanitaire que les canicules peuvent avoir sur les Français.Neuf Français sur dix estiment qu’il est capital de trouver des solutions pour réduire le réchauffement de leur habitation [1]. Pour faire baisser la température, les Français ferment les stores et volets (82%), aèrent les pièces la nuit (77%), ferment les fenêtres (62%), utilisent un ventilateur (41%) et/ou un climatiseur (21%). Et près d’un Français sur cinq qui n’en dispose pas déjà à l’intention d’investir dans un système de rafraichissement bien souvent sans avoir recours à un professionnel qui saura l’aiguiller vers des solutions appropriées et efficaces.Le recours à la climatisation doit être raisonné et adaptéEn France, la consommation associée au refroidissement des bâtiments s’élevait en 2020 à 4,9 TWh dans le secteur résidentiel et à 10,6 TWh pour le secteur tertiaire [5].Le recours à la climatisation dans les logements a augmenté de 78% entre 2016 et 2020. Cette technologie est aujourd’hui la source de près de 5% des émissions d’équivalent CO2 du secteur du bâtiment [5].Selon le Giec, la hausse de consommation d’énergie liée au refroidissement dans les bâtiments est estimée de 31 à 73% en Europe du Nord d’ici 2050 et de 165 à 323% d’ici 2100 par rapport à 1996-2005 [6].Un recours non raisonné à la climatisation contribue à alimenter un cercle vicieux : plus il fait chaud, plus la climatisation est utilisée, plus les émissions de gaz à effet de serre augmentent, plus il faut chaud, etc. Les systèmes les moins performants – par exemple les équipements mobiles – participent directement au réchauffement des villes. À titre d’exemple, si la chaleur émise par les climatiseurs double d’ici à 2030, la température pourrait augmenter de 2°C dans Paris [7].Il est urgent d’associer sobriété énergétique et confort des ménages…Dans un contexte de tension énergétique et de contraction du pouvoir d’achat, rappelons que l’énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu’on ne consomme pas. La sobriété énergétique impose que toutes les pistes soient prises en compte. Si le recours à des systèmes de rafraîchissement actif est un besoin légitime auquel il est important de répondre, celui-ci doit être fait en utilisant des technologies performantes, de manière raisonnée et en combinaison avec les mesures passives, non consommatrices d'énergie, qui permettent d’en limiter l’impact énergétique. La consommation liée au refroidissement en sera ainsi réduite au strict nécessaire. Il est également essentiel de faire appel à un professionnel pour le bon dimensionnement et la bonne installation de l’équipement de rafraichissement.La sobriété énergétique est un objectif accessible grâce aux mesures passivesTout comme une bonne isolation permet de limiter les consommations de chauffage, de nombreuses solutions existent pour réduire la surchauffe des bâtiments de manière durable. Peu ou pas consommateurs en énergie, ces équipements et solutions techniques permettent de réconcilier habitabilité des bâtiments en période de fortes chaleurs et sobriété énergétique lorsque des systèmes de rafraîchissement sont présents.Installer des protections solaires motorisées ou automatiséesLimiter la hausse de la température intérieure de 2°C à 5°C en été est possible simplement en s’équipant de stores ou volets. Quant au pilotage automatique des protections solaires, il est loin d’être un gadget de confort : il permet une gestion optimale de ces équipements en fonction des températures et du rayonnement solaire, y compris en l’absence d’occupants.L’utilisation de protections solaires pourrait réduire la consommation d'énergie liée au refroidissement des locaux jusqu'à 60% d'ici 2050. Elle permettrait d'éviter l'émission de 100 millions de tonnes de CO2 et d'économiser 285 milliards d'euros en Europe [8].Un exemple concret avec la ville de Poissy : elle va équiper 15 établissements scolaires de protections solaires. Sur les 6 groupements scolaires déjà rénovés, les résultats sont très encourageants : en période caniculaire, la température intérieure enregistrée est inférieure de 10°C par rapport à l’extérieur et de 5°C par rapport à la même salle de classe non équipée de stores. Une installation qui permettra d’économiser environ 300.000 kWh/an, soit l’équivalent d’une facture d’électricité annuelle de 50.000 €.Améliorer l’inertie thermique des bâtimentsL'inertie thermique correspond à la capacité des matériaux des murs, toitures et isolants à absorber la chaleur ou le froid, puis à restituer le flux thermique en phase de déphasage. Plus un bâtiment a une inertie élevée, plus il sera confortable en période caniculaire. La température intérieure dans le bâtiment peut ainsi être réduite jusqu’à 3°C [9].Par ailleurs, une isolation adaptée de l’enveloppe extérieure du bâtiment contribue également, non seulement à l’efficacité en hiver, mais également à une protection en été.Automatiser l’ouverture des fenêtresComme les volets et les stores, l’ouverture des ouvrants peut être automatisée afin de rafraîchir son habitation au moment où les températures extérieures sont les plus fraîches, en soirée ou la nuit. Le potentiel de rafraichissement activable par le pilotage intelligent de l’ouverture des fenêtres en période estivale a ainsi été mesuré entre 4°C et 5°C [10], [11].D’une manière générale, une attention toute particulière doit être portée à la ventilation du bâtiment afin d’assurer la qualité de l’air intérieur.Végétaliser les bâtimentsLa végétalisation du bâti, toitures et façades végétalisées, participe doublement à l'adaptation contre le réchauffement climatique. Elle permet d’une part d'apporter de la fraîcheur à l'échelle du quartier grâce à l'évapotranspiration des végétaux qui permet de diminuer jusqu'à 3 °C la température ambiante. Ainsi, sur un toit-terrasse non végétalisé, la température de surface, sous l’effet du rayonnement solaire, peut atteindre 60°C ou 70 °C. Elle sera de 35°C voire de 32 °C s'il est végétalisé. Pour les façades, le phénomène est équivalent, avec des réductions de température mesurées de 3 à 10°C. La nuit, la végétalisation du bâti limite les effets d’ilots de chaleur [12].D’autre part, la végétalisation des toitures et façades permet davantage de confort thermique au sein même du bâtiment, notamment pour les locaux intérieurs sous-jacents.Mettre en œuvre de revêtements d’étanchéité réfléchissants sur les toitures terrassesLes revêtements d’étanchéité de couleur claire disposent d’un fort pouvoir de réflectivité et d’émissivité. Ils permettent de réfléchir le rayonnement solaire incident sans augmenter significativement la température de surface. Celle-ci dépassant rarement les 40 °C, ces revêtements contribuent à lutter contre les îlots de chaleur urbains et peuvent améliorer le confort thermique dans les lieux de vie sous la toiture [13].Valorisez (enfin) les solutions passives peu consommatrices d’énergie dans les politiques d’incitation à la rénovationPourquoi ces solutions sont-elles les grandes absentes des politiques publiques françaises de rénovation énergétique ? Pourquoi ne pas étendre les dispositifs de soutien actuellement limités à l’audit et à la réduction de consommation de chauffage ?Pour atteindre la neutralité carbone d’ici 30 ans, la France n’a pas le luxe de se priver de leviers efficaces qui sont à sa portée. D’autres pays, comme l’Italie et l’Allemagne, l’ont compris et intègre déjà des dispositifs de soutien pour l’installation de volets et stores par exemple. Des mesures fortes doivent être prises au plus vite pour adapter notre pays aux enjeux climatiques.Or, une fenêtre de tir idéale se présente devant nous pour que nous nous donnions les moyens de nos ambitions avec l’adoption avant le 1er semestre 2023 de la 1re loi de programmation quinquennale sur l'énergie et le climat (LPEC), puis avec, l’année suivante, la 3e Programmation pluriannuelle de l’énergie, de la 3e Stratégie nationale bas-carbone et du 3e plan national d’adaptation au changement climatique. Les deux ans à venir vont être décisifs : vous allez dessiner les contours précis de la Stratégie française sur l'énergie et le climat (SFEC) et engager notre pays et les générations futures pour les prochaines décennies.Ces législations doivent être le vecteur d’espoirs et de solutions pour les Français qui souffrent de la surchauffe de leur logement. Nous vous demandons donc d’intégrer au plus vite les moyens passifs d’amélioration de la performance thermique d’été dans les dispositifs d’aides à la rénovation.L’occasion est historique d’être à la hauteur du plus grand défi de l'histoire de l'Humanité. Ne la ratons pas ! » Signataires :Yannick Michon, Président du Groupement ActibaieMohamed Abdelmoumene, Président du comité technique AICVF (Association des Ingénieurs et Techniciens en Climatique, Ventilation et Froid)Jean-Pascal Roche, Président d’ICO (Ingénierie du Confort Objectif 2050)Jean-Luc Buchou, Délégué Général du Cercle Promodul INEF4Damien Racle, Président de CINOV (Fédération des syndicats des métiers de la prestation intellectuelle du conseil, de l'ingénierie et du numérique),Pascal Bresso, Président de la Fédération Française de la Construction PassiveAnne-Sophie Perrissin-Fabert, Déléguée Générale de IGNESPascal Coppens, Président du SFJF (Syndicat Français de Joints et Façades)Bruno Léger, Président du SNFAChristophe Bieber, Elu de l’UMB-FFB (Union des Métiers du Bois)Pascal Housset, Président de l’UMGCCP (Union des Métiers du Génie Climatique, de la Couverture et de la Plomberie)Yannick Hervé, Président de l’UMPI-FFB (Union des Métiers du Plâtre et de l’Isolation). [1] Source : étude Ifop pour le Groupement Actibaie – juillet 2022[2] Source : Haut Conseil pour le Climat. Communiqué de presse – Rapport Annuel 2022 diffusé le 29 juin 2022 [3] Source : Citepa [4] Source : SDES, Bilan énergétique de la France [5] Source : Etude Ademe « La climatisation de confort dans les bâtiments résidentiels et tertiaires » - juin 2021 [6] Source : Rapport GIEC - 2022 [7] Source : Centre national de recherches météorologiques [8] Source : étude menée par Guidehouse pour le syndicat européen ES-SO - 2022 [9] Source : Cercle Promodul / INEF4 [10] Source : étude Armines ParisTech, janvier 2013 [11] Source : Rapport Technique DTS/RT/2016/ COMEPOS VELUX [12] Source : "Aménager avec la nature en ville" - Ademe - 2018, "Etude VEgDUD - Rôle du végétal dans le développement urbain durable - Impacts du végétal en ville" - Plante&Cité - 2014, Bouchie - "Rapport d'étude du CSTB pour la RT 2012" – 2011[13] Source : CWA 17890 « Guide to the implementation of cool surfaces for buildings’ envelope to mitigate the Urban Heat Island effects »
Il y a 2 ans et 214 jours

Avec 8.950 défaillances enregistrées au troisième trimestre 2022, la barre des 38.000 défaillances sur 12 mois est franchie

Avec 8.950 procédures collectives ouvertes entre le 1er juillet et le 30 septembre, le niveau des défaillances augmente de 69% comparé à l’été 2021, un taux jamais observé depuis 25 ans. Sur 12 mois glissés, la barre des 38.000 défauts a été franchie. Avec 10.000 procédures de plus sur un an (+34%), la France renoue avec les niveaux de défaillances de l’été 2020, mais reste encore loin des 53.500 procédures observées fin septembre 2019.Dans le détail des secteurs, les activités B2C (commerce de détail, restauration, services à la personne) sont toujours durement fragilisées. Des signaux préoccupants émergent dans le bâtiment (second œuvre, fabrication et négoce de matériaux). Du côté des régions, si tous les territoires sont dans le rouge, la région PACA semble le mieux résister. A l’inverse, les Hauts-de-France - où les défauts ont doublé durant l’été - retrouvent une situation équivalente à 2019. Enfin, la hausse de la sinistralité chez les PME de moins de 50 salariés fait flamber le nombre d’emplois menacés, qui approche désormais 33.000.Pour Thierry Millon, directeur des études Altares : « Le nombre des défaillances d’entreprises augmente très vite. Les difficultés, qui se concentraient ces derniers mois sur les activités B2C se propagent et n’épargnent plus les PME. Le contexte économique très tendu mine la confiance des acheteurs et la montée des risques fait trembler les directions financières. Les mauvais chiffres du mois d’août (+ 98% vs. Août 2021), période pourtant traditionnellement plus calme, témoignent de l’urgence de certaines situations. Nous sommes encore loin des 50.000 procédures annuelles mais l’accélération très forte de ces derniers mois pourrait impacter les fournisseurs qui peineraient à gérer la démultiplication soudaine des défauts de clients, a fortiori de PME. 10.000 défaillances de plus sur un an, ce sont aussi de nombreuses factures qui resteront impayées. »Le nombre de défaillances en hausse de 69%, un taux jamais observé en plus de 25 ansLes records se suivent d’une année à l’autre, mais pour des raisons diamétralement opposées. Avec moins de 5500 défaillances, le niveau de sinistralité du 3ème trimestre 2021 était le plus bas jamais observé en 25 ans. Cet été 2022, 8950 entreprises ont défailli entre le 1er juillet et le 30 septembre 2022, c’est 68,5% de plus qu’un an plus tôt. Une hausse record, jamais observée jusqu’à aujourd’hui. Si l’on ne franchit pas encore le seuil des 10.000 procédures de l’été 2019, le retour aux standards d’avant Covid s’accélère.A titre de référence, au cours des 25 dernières années, des hausses de plus de 20% n’ont été observées qu’à trois autres reprises : lors de la crise financière de 2008 (+ 22% au 4ème trimestre 2008 et au 1er trimestre 2009) et au 1er trimestre 2002 (+25%) en comparaison d’un 1er trimestre 2001 perturbé par la grève des juges des tribunaux de commerce.Sur 12 mois glissés, la barre des 38.000 ouvertures de procédure collective est dépassée pour la première fois depuis l’été 2020. Une augmentation de 10.000 défaillances sur un an, qui ne ramène pas pour autant la France à ses niveaux de défauts de septembre 2019 (53.500).Les procédures de sauvegarde restent toujours peu nombreuses (229) au regard de l’ensemble des ouvertures mais en ce 3e trimestre 2022, leur nombre dépasse les seuils d’avant crise. C’est même la valeur estivale la plus haute depuis 2016.Les procédures de redressement judiciaire (RJ) sont en hausse rapide de 63,2% avec 2109 jugements prononcés. Elles représentent toujours moins d’un jugement sur quatre (24%), un taux inférieur aux 30% relevés avant Covid.Les liquidations judiciaires directes (LJ), concentrent encore près des trois quarts (74%) des jugements d’ouverture. Ce taux est nettement supérieur à celui constaté avant la crise sanitaire (68%). Elles ont concerné 6612 entreprises, soit une augmentation de 71,3%.Les entreprises les plus jeunes de plus en plus vulnérablesLes entreprises âgées de zéro à cinq ans concentrent 45% de l’ensemble des ouvertures de procédure. Parmi elles, celles de moins de trois ans, nées avec la crise sanitaire sont durement impactées (+70,6%), un phénomène encore plus marqué chez les entreprises de trois à cinq ans (+81,6%). L’essentiel (86%) des jeunes entreprises défaillantes sont des sociétés commerciales créées sous le statut de SARL ou, de plus en plus, de SAS (dont SASU) peu capitalisées (capital social médian de 2000 euros). Les défaillances de PME accélèrent et retrouvent les seuils de 2019 Les trois quarts des procédures concernent des TPE de moins de trois salariés (6720 sur un total de 8950). Les TPE de trois à neuf salariés comptent 1500 défaillances. Ce sont donc elles qui donnent la tendance trimestrielle. La situation se complique pour les PME de moins de cinquante salariés. 439 PME de dix à dix-neuf salariés ont défailli cet été, c’est 77% de plus qu’il y a un an et désormais plus qu’à l’été 2019 (381). Les PME de vingt à quarante-neuf salariés font face à une accélération encore plus marquée. Ce trimestre, le nombre de défauts a plus que doublé (+111%) pour atteindre 186 ouvertures, soit un niveau approchant celui de l’été 2019 (193). Ces PME défaillantes se situent dans de nombreux secteurs, en particulier le BTP, le transport, la restauration, l’industrie ou le commerce automobile. La plus forte vulnérabilité de ces PME fait flamber le nombre d’emplois menacés, qui approche désormais 33.000. A l’opposé, les sociétés défaillantes de plus de cinquante salariés sont relativement peu nombreuses (55) et tentent de résister (+22%). Les défaillances en hausse dans tous les secteursToutes les régions « dans le rouge » : la PACA résiste mieux, les Hauts de France à la peineLes Hauts de France, seule région à retrouver la sinistralité de 2019 La région enregistre son douzième mois consécutif de hausse du nombre de défaillances d’entreprises et les mois de cet été n’ont pas donné de signes d’amélioration. Les ouvertures de procédure ont plus que doublé (+116%) et dépassent désormais le niveau du 3e trimestre 2019 (875 vs 828).La Corse accuse la plus forte augmentation du nombre de défautsLa région compte 54 entreprises en défaillance ce 3e trimestre contre 21 un an plus tôt soit une augmentation de +157%. Aucune autre région ne présente une dégradation aussi rapide.Dans quatre autres régions, l’augmentation des défaillances d’entreprises dépasse + 80%En Occitanie, les ouvertures de procédure sont en hausse continue depuis neuf mois. L’été marque même une accélération avec un bond de plus de 130% en août. Sur le trimestre ; la région enregistre 814 défauts (+91%).En Auvergne-Rhône-Alpes, la hausse des défaillances, ininterrompue depuis novembre 2021, est plus forte encore cet été 2022 (+87%). La région compte 1050 ouvertures de procédures.En Pays de la Loire, les défauts ont explosé de 314% en août. Sur trois mois la hausse est de 87% (360 procédures).La Normandie a enregistré un mois de juillet très dégradé (+138%) qui a pesé sur la tendance trimestrielle (82%).Trois régions enregistrent une dégradation comprise entre +60% et +80%La Bretagne a enregistré une augmentation de 103% du nombre de défaillances d’entreprises en juillet et 206% en août. A la faveur d’un bien meilleur mois de septembre, la région limite la hausse trimestrielle à +77% ;Le Centre Val de Loire a stabilisé les ouvertures de procédures en septembre mais sur le trimestre l’augmentation reste sensible (+71%).La Bourgogne-Franche-Comté fait à peine mieux que la moyenne nationale (+64%).Trois régions passent juste sous 60% En Nouvelle-Aquitaine, Ile-de-France et Grand Est, l’évolution du nombre de défaillances est comprise entre 58 et 59%.Provence-Alpes-Côte d’Azur, la meilleure performance régionale La région a contenu la hausse des défauts à 31% en août et sous les 5% en septembre. Dans ces conditions, sur trois mois, la région Provence-Alpes-Côte d’Azur contient l’augmentation à « seulement » 37%. Pour Thierry Millon : « L’hypothèse d’un volume de défaillances d’entreprises contenu sous la barre symbolique des 40.000 en 2022 reste à ce stade plausible mais compromise. Le risque de pénurie d’énergie et l’envolée des prix complexifient fortement l’équation budgétaire des prochains mois pour de très nombreuses entreprises, quelle que soit leur taille ou leur secteur d’activité. D’autant qu’au-delà des factures qui flambent, s’ajoute la problématique du remboursement des dettes (classiques et/ou PGE) ou auprès des Urssaf. Ces dernières ont joué un rôle tampon durant la crise mais, à l’instar du reste de l’économie, le retour à la normale prévaut et avec lui les échéances de règlement qu’il va falloir tenir. Par conséquent, en début d’année prochaine, les tribunaux pourraient retrouver davantage d’assignations déposées par l’organisme en action en recouvrement. La remontée des défaillances d’entreprises qui semble donc bien irréversible se poursuivra en 2023. Anticipation et prévention, resteront les mots d’ordre. »
Il y a 2 ans et 218 jours

Reims : Des logements collectifs en R+2 imprimés en 3D béton

Le bailleur social Plurial Novilia va édifier un immeuble collectif R+2 de 12 logements et 1 700m de surface habitable, à Bezannes. [©Hobo architecture] Après Viliaprint, le bailleur social Plurial Novilia, filiale du groupe Action Logement, entend repousser une fois encore les limites de la construction. Installé au cœur de la Zac de Bezannes, à Reims (51), ce maître d’ouvrage va édifier un bâtiment d’habitation collectif en R+2 à haute performance énergétique. Douze logements sociaux seront proposés à la location. La particularité de ce nouveau projet, baptisé ViliaSprint2, est de s’appuyer sur l’impression 3D béton de ses voiles porteurs. Une impression sur site  Grâce à l’apport technique du coffreur allemand Peri, les façades de l’immeuble seront imprimées sur site. De marque Cobod, l’imprimante 3D est composée d’un portique mobile et équipée d’une tête d’impression multi-directionnelle Bod2. Elle permet d’empiler les couches de béton les unes sur les autres pour former les murs. Et peut atteindre 1 m/s en vitesse d’impression. « Nous voulons aller encore plus loin, en expérimentant l’impression sur site, déclare Johnny Huat, directeur général de Plurial Novilia. Nous pensons que l’automatisation de la phase de gros œuvre nous permettra de générer une vraie plus-value. Autant en amont sur la conception architecturale qu’en phase opérationnelle sur la productivité, la sécurité et l’ergonomie au travail. »  Avec le célèbre Bod2, imprimante 3D de construction Cobod, le groupe Peri imprime en 3D les murs en béton. [©Peri] Une période charnière  Face à la hausse des matières premières, du coût de l’énergie, ainsi qu’aux enjeux environnementaux, les professionnels de la construction sont à la recherche de nouveautés. « Aujourd’hui, il nous faut prendre le virage de la transition écologique. C’est pourquoi Holcim fournit un béton spécial peu carboné, souligne Bruno Arcadipane, président d’Action Logement. Mais nous devons garder des coûts raisonnables et augmenter la production pour faire face à la demande. Cela doit nous pousser à trouver d’autres manières de construire. Un projet audacieux comme celui de ViliaSprint2 intègre notre vision stratégique, qui est de ne pas subir les crises. Il est essentiel d’imaginer des solutions nouvelles, adaptées à un contexte complexe et fluctuant. » Une architecture qui tire profit du numérique L’apport de l’impression 3D sur ViliaSprint2 se ressent dès la visualisation du concept architectural imaginé par le cabinet bordelais Hobo. « Nous voulons faire de l’impression 3D une solution pour l’architecture bas-carboniste de demain, explique Frédérik Dain, directeur du cabinet Hobo. Pour ViliaSprint2, nous avons cherché l’efficience, l’économie de matière, l’adaptation et la justesse dans une forme de simplicité frugale. Le but est de maximiser le rendement des formes pour offrir la plus grande surface avec le moins de matière. » Avec ses formes arrondies, son recours aux matériaux biosourcés et son orientation pensée pour un ensoleillement optimal, ce projet offre la possibilité d’une bien plus grande créativité architecturale.  Comparer et mesurer 2 méthodes de constructions  En parallèle, un second bâtiment sera édifié sur la même parcelle, mais, cette fois-ci, de manière traditionnelle. Les deux procédés constructifs pourront être comparés. Ils seront mesurés aussi bien en phase de chantier (délais, nuisances, ergonomie/pénibilité pour les équipes…) qu’en phase d’occupation (performances du bâti, coûts…). Les résultats seront partagés avec l’ensemble des bailleurs sociaux réunis au sein d’Action Logement.