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Résultats de recherche pour new york

(947 résultats)
Il y a 6 ans et 18 jours

Ieoh Ming Pei, père de la pyramide du Louvre, s'est éteint à 102 ans

DISPARITION. L'architecte sino-américain Ieoh Ming Pei est décédé ce jeudi 16 mai 2019 à New York à l'âge de 102 ans. Concepteur de la fameuse pyramide en verre du Palais du Louvre, l'homme a également signé de nombreuses réalisations de par le monde et a notamment reçu le prix Pritzker. Portrait.
Il y a 6 ans et 33 jours

IKEA : Collection Art Event 2019

Déjà cinq ans que la marque de mobilier suédoise IKEA s'associe à des artistes contemporains pour imprégner ses collections de l'âme des créateurs. Considérée comme une façon de démocratiser l'art contemporain, la collection permet à huit créateurs de s'offrir une place dans tous les intérieurs. Entre avant-garde et pop culture, voilà un beau clin d'œil fait aux amateurs d'art contemporain. Un tapis est un véritable investissement financier et esthétique. Plus qu'un objet fonctionnel, il offre, sous la bienveillance des maisons d'éditions, une valeur ajoutée aux intérieurs, leur conférant allure et confort. La firme IKEA a décidé de faire de ces objets traditionnels de décoration un terrain d'exploration artistique menée par huit plasticiens internationaux. Une affaire d'arts !Avec Art Event 2018, la collection en édition limitée offre une chance à tous les budgets de s'approprier des objets symboliques qui donneront un caractère affirmé aux murs et planchers. « Que vous les piétiniez ou les accrochiez à un mur, ces tapis deviendront des points d'exclamation dans la maison ! » Henrik Most, Directeur de création IKEA Virgil Abloh, architecte de formation, designer New-Yorkais, revisite les tapis persans à travers 5 modèles quand le duo étasunien Chiaozza revisite les scènes printanières des déserts américains qui ont bercé leur enfance. Craig Green, designer de mode londonien, propose une esthétique issue de la culture populaire et de l'univers manga, tandis que Misaki Kawai, originaire du Japon, s'inspire des animaux dans sa création loufoque. Les tapis difformes ont aussi toute leur place dans cette collection : Noah Lyon, avec sa création illustrée en noir et blanc, et Supakitch, un artiste français rompu de l'univers du tatouage. Enfin, Seulgi Lee (Corée) et Filip Pagowski (Pologne) privilégient quant à eux des formes minimalistes mais tout aussi marquées. Un tour du monde en édition limitée. Pour en savoir plus, visitez le site de IKEA Photographies : DR
Il y a 6 ans et 33 jours

Triode : Le design américain

Avec le verre, tout est affaire de lumière. Le showroom parisien de l'éditeur Triode nous le prouve en rassemblant une série de luminaires de designers américains qui apportent une fraîcheur nouvelle à nos intérieurs. Un style singulier avec des créations mécaniques ou immatérielles, notamment représenté par deux de leurs partenaires, Lindsey Adelman et John Pomp. Et que la lumière soit ! La marque design française Triode nous offre un petit extrait de ce qui se fait aux USA en matière de luminaires dans son célèbre showroom de la rue Jacob (6ème arrondissement). Spécialistes des designers du pentagone, la firme fondée par Jacques Barret choisit des personnalités singulières pour incarner l'âme de la marque, au plus grand plaisir des amateurs et des curieux. Lindsey Adelman, créatrice new-yorkaise, est spécialisée dans le design de luminaires depuis 1996, et fonde son studio en 2006. Issue d'un parcours en design industriel, elle se sert d'une esthétique mécanique dans des objets qui trouvent l'équilibre entre légèreté et solidité. Technicienne du métal, du verre et du marbre, elle travaille avec une équipe de quarante personnes pour faire incarner son travail artistique et graphique dans la substance immatérielle de ses projets. C'est le cas de la série de lampes BB, qui déploie un bras mécanique le long duquel s'embranchent des bulbes de verre teintés.Sa réalisation Kingdom Drape, conçue en partenariat avec le designer Karl Zahn, visible à l'entrée du showroom de Triode, évoque une grappe de raisins qui plient leurs branches en métal. Dans sa série SC.01, on trouve une applique en porcelaine qui filtre la lumière laiteuse derrière un disque, et un luminaire en verre blanc soufflé qui se joue de la résistance et de la souplesse de la matière. Quand le design devient synonyme de poésie. L'autre designer qui a attiré notre regard propose un mobilier tout aussi aérien. John Pomp, qui surfe sur la vague du verre depuis plus de vingt ans, transmet son amour de la matière dans une suspension mobile, la Calla Mobile, qui articule de légers chapeaux de cristal autour d'un lustre massif en laiton. Et pour ceux qui auraient le vague à l'âme, ils peuvent aussi se diriger vers une sculpture en verre soufflé à la main, l'Infinity Pendant, une série d'éclairages suspendus, en verre clair, topaze ou encore sépia, et qui célèbre la souplesse et les reflets du matériau sculpté à la main. Et pour s'en faire une meilleure idée, rendez-vous dans le showroom parisien, rue Jacob, qui expose ces différents modèles dans une expérience en réalité virtuelle. Un voyage éclairé ! Pour en savoir plus, visitez le site de Triode, de Lindsey Adelman et de John Pomp Photographies : DR
Il y a 6 ans et 35 jours

Steven Bukowski x Hannah Bigeleisen : Sight Unseen Offiste

En collaboration avec la plasticienne américaine Hannah Bigeleisen, le designer Steven Bukowski réalise, dans le cadre du Sight Unseen Offsite, l'hôtel idéal selon lui. Résultat ? Un hommage vibrant au mouvement Memphis où graphisme et couleurs primaires s'accordent avec rythme. Pop ! Organisé à l'occasion de la New York Design Week, le Sight Unseen Offsite rend compte de la production florissante des jeunes designers et architectes d'intérieur au sein de la Grosse Pomme. Avec la prochaine édition approchant à grands pas – à partir du 17 mai –, la rédaction de Muuuz revient sur l'une des réalisations qui a marqué l'événement au printemps dernier : une suite conceptuelle de 10 mètres carrés imaginé par Steven Bukowski, designer, et Hannah Bigeleisen, artiste, en partenariat avec l'application de réservation HotelTonight.Une collaboration qui fait sens puisque les deux créateurs avaient déjà travaillé à quatre mains dans l'élaboration de mobilier l'année dernière. De plus, si HotelTonight nous aide à trouver une chambre pour passer les vacances, le site nous propose surtout une sélection de pénates avec le design comme maître mot. L'idée de cette suite conceptuelle était d'allier plusieurs fonctions dans un espace restreint. Loin des chambres stériles conçues pour passer la nuit, et rien d'autre, le projet de Bukowski et Bigeleisen est pensé comme un lieu de vie à part entière où chaque centimètre se doit d'être stimulant pour l'esprit et la créativité du résident. Dans une palette de texture et de coloris rendant hommage au mouvement Memphis, le mobilier conçu par le duo est monochrome, tantôt jaune, tantôt bleu et parfois rouge et s'inscrit dans un environnement alternant rayures noires et blanches. Un traitement malin qui, en plus de donner un caractère unique au lieu, permet, par des jeux d'optique et de perspective, d'en augmenter le volume. De quoi nous faire patienter jusqu'à la prochaine édition ! Pour en savoir plus, visitez le site de Steven Bukowski, Hannah Bigeleisen et Sight Unseen Offiste Photographies : Charlie Schuck
Il y a 6 ans et 35 jours

Le "Shed", centre culturel à vocation populaire au cœur de Manhattan

Déjà riche en institutions culturelles, New York inaugure un centre artistique qui se veut un modèle d'ouverture à un large public, malgré son installation au cœur d'un complexe immobilier haut de gamme.
Il y a 6 ans et 46 jours

New York vote une ambitieuse loi de réduction des émissions de gaz à effet de serre des bâtiments

Le conseil municipal de New York a adopté jeudi un texte qui obligera les gratte-ciel et grands bâtiments à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre de 40% d'ici 2030, une loi qui se veut pionnière dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Il y a 6 ans et 46 jours

Etats-Unis : New York déclare la guerre aux bâtiments polluants

TRANSITION ENERGETIQUE. Ce jeudi 18 avril 2019, le conseil municipal de New York a ratifié un texte contraignant les bâtiments de l'agglomération à réduire de 40% leurs émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030. Ce "Climate Mobilization Act" pourrait engendrer une facture de 4 milliards de dollars pour les propriétaires new-yorkais.
Il y a 6 ans et 50 jours

Diller Scofidio + Renfro : The Shed

The Shed pourrait héberger un feu d'artifices que la ville n'en saurait rien. Le spectaculaire nouveau centre d'évènements de New-York (USA) vient d'ouvrir ses portes le 5 avril 2019. Conçu par les trois architectes Diller Scofidio + Renfro, the Shed forme un immense hangar que les artistes ont dans la peau. The Shed est un lieu de production et d'exposition d'arts imaginé par les trois architectes de l'agence d'architecture expérimentale Diller Scofido + Renfro, basée à Manhattan.L'édifice de 2 300 mètre carrés répartis sur 8 niveaux - dont deux entièrement dévoués aux galeries - abrite des bureaux, un théâtre, un espace de détente, un laboratoire de création, et un espace évènementiel bénéficiant d'un puit de lumière. Camouflé derrière une membrane translucide, l'édifice fait glisser sa seconde peau le long de rails disposés sur la place adjacente pour faire doubler sa capacité d'accueil lors d'évènements, de performances ou d'installations de plus grande ampleur. The Shed, une fois déployé, couvre 1 600 mètres carrés de hall isolé de la température, la lumière et du bruit par sa membrane télescopique gonflée, prêt à recevoir jusqu'à 2 700 personnes. La structure de l'enveloppe en ETFE - un polymère plastique de haute qualité - lui permet de répondre à d'imposantes demandes d'ergonomie et de résistance. Sa membrane est formée de 148 coussins d'air constitués de trois à quatre couches fines d'ETFE (300 microns d'épaisseur), qui couvrent 4 110 mètres carrés de surface et protège le bâtiment exposé aux vents forts des vibrations et des radiations solaires. Les 4 unités d'approvisionnement en air de plus d'un mètre de large, nécessaires au remplissage des coussins, sont disposées sur les toits. L'apparence homogène de la coquille a été travaillée pour qu'elle forme une toile gonflée uniforme, constituée pour sa plus grande partie (71%) du matériau translucide. Elle s'active la nuit grâce aux ampoules LED insérées, et forme une toile de fond interactive qui anime la place.Pour isoler les espaces intérieurs d'une trop forte luminosité, selon les besoins, le Shed est également équipé d'une membrane interne en tissu montée à l'intérieur de la structure de support en acier. Un hangar sous son voile d'air, à l'abri des tempêtes festives qui s'annoncent. Pour en savoir plus, visitez le site de Diller Scofidio + Renfro Photographies : Timothy Schenck
Il y a 6 ans et 54 jours

Matthew Day Jackson x Made by Choice : Kolho

Si le Formica vous renvoie à la cuisine de votre grand-mère, le designer new-yorkais Matthew Day Jackson risque de vous étonner ! En collaboration avec le fabricant scandinave Made by Choice – et le groupe Formica –, le créateur imagine une collection de tables et de chaises aux courbes voluptueuses résolument contemporaines. Les années 1970 font définitivement un come-back dans le monde du design ! Matériau oublié associé aux mobiliers des années 1960 et 1970, le Formica est plus souvent entouré de tapisserie à fleurs aux couleurs douteuses que de mobilier épuré et tendance. Et pourtant ! Inspiré par ce défi, Matthew Day Jackson combine assise d'inspiration nordique et piètements et accoudoirs sinueux. L'artiste, connu pour ses peintures florales, s'est rendu dans la ville de Kolho (Finlande) où il a pu visiter l'usine Formica installée dans la commune depuis près de 70 ans. Un événement déclencheur duquel résultera une collection établie en partenariat avec Made by Choice qui comprend quatre variétés différentes de tables et de chaises. Outre la silhouette unique du mobilier dessiné par Matthew Day Jackson, cette collection se démarque par différents traitements, colorés, bruns, lisses, mat... Un en particulier reproduit la surface de la lune. Une inspiration astrale rendue possible grâce à un stratifié spécialement conçu pour l'occasion, appelé MDJ Kuu, « kuu » signifiant « lune » en finnois. Ce procédé est mis en place à partir de plaques de pression en acier réalisées sur mesure, créant ainsi une surface texturée de 0,8 millimètres, qui est une représentation à l'échelle de la face cachée de la lune. En prenant le parti de faire revivre cette marque oubliée, le designer souhaite établir un « nouvel âge d'or du design finlandais », associant innovation et artisanat, célébrant le matériau avant tout. La collection, aussi fascinante que le cosmos, est un bel hommage à la ville de Kolho et à son patrimoine industriel et est en ce moment présentée à Milan (Italie). De quoi être assis... la tête dans les étoiles ! Pour en savoir plus, visitez le site de Made by Choice Photographies : Felicia Honkasalo
Il y a 6 ans et 78 jours

Les Hudson Yards, laboratoire mondial d'urbanisme et de controverse à New York

Plus grand projet immobilier privé jamais réalisé aux Etats-Unis, le quartier des Hudson Yards, nouvelle terre d'innovation urbanistique et de controverse dans un New York en pleine ébullition immobilière, a été inauguré le 15 mars 2019 à Manhattan.
Il y a 6 ans et 81 jours

New York investit 500 millions de dollars pour protéger Manhattan des inondations

New York va investir 500 millions de dollars pour protéger la pointe de Manhattan des risques d'inondations dues au changement climatique, a indiqué jeudi la municipalité.
Il y a 6 ans et 89 jours

Diller Scofidio + Renfro pour le musée des transports de Budapest

Les new-yorkais Diller Scofidio + Renfro et leurs partenaires hongrois de l'agence Teampannon dessineront le nouveau musée hongrois des transports, un des plus populaires du pays, selon le maire de Budapest. 12 équipes hongroises et étrangères participaient à cette compétition internationale. L'équipe composée des agences Reichen et Robert, Ralph Appelbaum Associates et de l'agence hongroise Péter Kis est arrivée en deuxième position de la compétition, l'agence hongroise...
Il y a 6 ans et 95 jours

Des patrons et élus demandent à Amazon de revenir à New York

Plusieurs grands patrons, des élus et des personnalités du monde associatif demandent au PDG d'Amazon, Jeff Bezos, de revenir sur la décision du géant en ligne de ne pas implanter de nouveau siège à New York, dans une lettre ouverte à paraître vendredi dans le New York Times.
Il y a 6 ans et 116 jours

Le musée MoMA de New York va fermer quatre mois pour travaux

Le Museum of Modern Art de New York va fermer ses portes durant quatre mois de mi-juin à fin octobre, le temps de réaliser la dernière phase de travaux d'agrandissement, selon un communiqué.
Il y a 6 ans et 117 jours

Reutov Design : Appartement à New York

Apporter un peu de la chaleur du sud en plein c"ur de la Grosse Pomme, une gageure ? C'est en tout cas le défi relevé avec brio par le designer et architecte d'intérieur Dmitry Reutov qui décline les couleurs vives des rues de Mexico (Mexique) en un mobilier contemporain, offrant aux résidents d'un appartement new-yorkais un peu de répit dans leur quotidien de citadins. Situé au sud de Manhattan (USA), un deux pièces de 55 mètres carrés subit un traitement haut en couleur ! Lassés de vivre dans un foyer aussi gris que l'environnement urbain dans lequel il s'inscrit, ses propriétaires ont donné une seule directive au studio russe Reutov Design : modifier sans concession leur espace vital à condition de ne pas utiliser le blanc. Une contrainte qui n'a, semble-t-il, pas suffit à réfréner la créativité de Dmitry Reutov, fondateur de l'agence éponyme en charge de cette mission. Largement inspiré par les tonalités éclatantes définissant les rues de la capitale mexicaine, le concepteur transforme un logement traditionnel en un écrin de couleurs hors du temps, actuel et régressif à la fois. Non sans rappeler les réalisations de l'architecte sud-américain Luis Barragán, l'ensemble invite au voyage, faisant instantanément oublier à ses résidents la grisaille et le bruit de la métropole une fois le palier franchi. Les parois du salon sont entièrement repeintes en rose, nuance équilibrée par le sol en ciment teinté en vert menthe. Une palette forte que l'on retrouve également dans le mobilier d'inspiration années 1970 aux silhouettes circulaires. La large présence de terrazzo et de cactus de grandes tailles renvoient à un paysage du sud plus traditionnel, comme un clin d'"il aux références de Reutov Design. Délimités par des cylindres en polyuréthanes, les différents espaces de la pièce de vie communiquent visuellement grâce à la présence d'une fenêtre ronde en plastique orange placée entre le hall d'entrée et la cuisine. Si la pièce principale détonne par sa colorimétrie affirmée, la chambre à coucher est quant à elle plus sobre, renvoyant plus frontalement à l'architecture vernaculaire mexicaine, notamment grâce à la présence d'une structure en échelle recouverte de plâtre puis teinte en rose reproduisant ainsi la texture de la pierre colorée des édifices de la Ville de l'Espérance. Au mur, un papier peint artisanal reproduit les couchers de soleil de l'Amérique centrale, pour un dépaysement des plus total. Comme quoi, less is " not always " more ! Pour en savoir plus, visitez le site de Reutov Design Photographies : DR
Il y a 6 ans et 131 jours

Vente de l'appartement le plus cher des États-Unis pour 209 M€

IMMOBILIER. Un quadruplex de plus de 2.100 m² a été vendu pour la somme de 209 M€ à New-York. L'appartement, situé dans un tour en cours d'achèvement en lisière de Central Park, est désormais le plus cher du pays.
Il y a 6 ans et 140 jours

Studio Cadena : Masa

Masa, le nouveau concept imaginé par le studio new-yorkais Cadena, dynamise un quartier résidentiel du nord de Bogota (Colombie). Avec son enveloppe sobre et graphique, l'ensemble accueille un espace de réception, une boulangerie et un restaurant, offrant aux habitants de la région un lieu de retrouvailles convivial. Le bâtiment de 700 mètres carrés, divisé en trois volumes cubiques en béton d'échelles différentes, repose sur un socle en terre cuite, faisant écho aux matériaux typiques des logements de Bogota. Chacun des programmes, bien que situés dans des espaces distincts, sont connectés entre eux, à l'exception d'une boutique. Avec la géométrie comme mot d'ordre, l'identité visuelle de l'ouvrage repose sur des découpes triangulaires sur les façades assurant un lien avec l'extérieur et baignant également les différentes salles d'une lumière diffuse et agréable. Ces fenêtres forment également la lettre M, en référence au nom du restaurant : Masa. Si l'extérieur est organisé autour de lignes et d'angles, l'intérieur, quant à lui, est plus doux et plus propice à la détente. Plutôt que de continuer à interpréter la forme du triangle, les concepteurs choisissent de décliner le cercle : sur les revêtements de sol en béton coulé sur place agrémenté d'éléments en terrazzo ou dans le mobilier conçus par le studio Cadena: la silhouette du bar, les appliques murales, les jardinières en béton cylindriques ou encore les suspensions lumineuses. La chaleur du lieu est rehaussée par la large présence du bois dans l'ameublement. Un traitement à la fois épuré et contemporain pour un lieu accueillant où il fait bon de se retrouver. Pour en savoir plus, visitez le site du Studio Cadena Photographies : Ambiente Familiar
Il y a 6 ans et 145 jours

Le Chrysler Building, gratte-ciel emblématique de Manhattan est à vendre

PATRIMOINE. Une merveille de l'Art Déco new-yorkais cherche un repreneur : le Chrysler Building, célèbre pour sa flèche en acier inoxydable, va changer de propriétaire. La transaction pourrait atteindre les 775 M€.
Il y a 6 ans et 147 jours

Quinze mois de cauchemar évités sur une ligne très fréquentée du métro de New York

Un plan de dernière minute va éviter la fermeture d'un tronçon d'une ligne très fréquentée du métro de New York, qui s'annonçait comme un cauchemar de quinze mois pour des centaines de milliers d'usagers.
Il y a 6 ans et 169 jours

Google s'offre un nouveau campus à New York

Google a officialisé ce jour un investissement de plus d'un milliard de dollars visant à s'offrir un nouveau campus à New York (USA).
Il y a 6 ans et 183 jours

À New York, une tour "française" s'élèvera bientôt dans le ciel de Manhattan

SUPERSTRUCTURE. Le prestigieux quartier new-yorkais de Manhattan comptera prochainement une nouvelle tour de logements. D'une hauteur de 90 m pour une superficie totale de 21.000 m², elle est signée par une équipe française : l'architecte Loci Anima a conçu l'extérieur de l'édifice, Sébastien Segers a signé l'architecture intérieure et le paysagiste Patrick Blanc s'est notamment chargé des jardins.
Il y a 6 ans et 187 jours

Alireza Razavi, l'architecte sans frontières

Du design d’une table à la conception d’un immeuble, de l’étude d’un projet aux plans d’exécution, de Paris à New York en passant par Londres, tout ce qui porte la griffe d’Alireza Razavi souffle l’excellence. Rencontre avec un architecte en marge et pourtant bien impliqué dans son temps.
Il y a 6 ans et 189 jours

Greenwich West : une tour "française" à Manhattan

Sébastien Segers signe l'architecture intérieure d'une nouvelle tour de logements de 90 mètres à New-York. Le chantier de la superstructure ?Greenwich West' a débuté à l'automne 2018. Une tour signée par une équipe française : Loci Anima, Sébastien Segers architecte […] L'article Greenwich West : une tour "française" à Manhattan est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.
Il y a 6 ans et 194 jours

Une tour française à New York

  Le chantier de la tour Greenwich West à New-York a démarré. Cette superstructure comprenant 170 appartements sur 90 mètres de hauteur est le fruit d'une collaboration française, avec Loci Anima, Sébastien Segers architecte et le botaniste Patrick Blanc.
Il y a 6 ans et 195 jours

Une tour française à Manhattan

L'architecte français Sébastien Segers signe l'architecture intérieure d'une nouvelle tour de logements de 30 étages sur la presqu'île de Manhattan, à New York City (USA).
Il y a 6 ans et 204 jours

Exposition : L'Art du Chantier

Assommant l'univers du chantier ? Rien n'est moins certain, à en croire la Cité de l'Architecture et du Patrimoine qui organise jusqu'au 11 mars 2019 une exposition non pas sur le chantier lui-même, mais sur ses représentations, qu'elles soient réalisées par des artistes, des organisations politiques, des architectes ou des ouvriers. De quoi changer d'opinion sur ce monde de bruits, d'outils et de gravats... Si le mot " chantier " ne vous évoque que vacarme de marteau-piqueur, camion en plein milieu de la rue, poussière et autres désagréments, rendez-vous vite à la Cité de l'Architecture et du Patrimoine (16e) pour découvrir l'exposition L'Art du Chantier, construire et démolir du 16e au 21e siècle. Imaginé par les commissaires Valérie Nègre et Marie-Hélène Contal, cet événement qui n'a pas pour ambition de raconter ce qu'est " ou était " un chantier, mais d'explorer les façons dont il a pu être représenté par les artistes comme par les entreprises ou même les artisans, modifiera à coup sûr votre perception de cet univers si singulier... SI le corpus ultra-riche composé de 433 "uvres présenté entre les murs de la Cité Chaillot vaut le détour, c'est pour plusieurs raisons. La première, et non des moindres, consiste à rappeler que ce moment si particulier dans la vie d'un projet constitue une source d'inspiration pour les artistes. Perçu comme un " spectacle de rue ", il fascine autant qu'il exaspère, faisant l'objet de portraits tantôt laudatifs, tantôt critiques. Mais plus intéressant encore, l'exposition révèle surtout en quoi la représentation du chantier " et par extension la communication qui l'entoure " est affaire de pouvoir. Valorisation du savoir-faire des artisans ; démonstration de force pour une entreprise visant à démontrer sa capacité à construire une tour de plusieurs dizaines d'étages en un temps record ; outil de revendications sociales pour les ouvriers ; objet de propagande instrumentalisé par certains partis ; média destiné à valoriser " si ce n'est faire accepter " une politique d'aménagement du territoire... Nombreux sont les exemples présentés démontrant à quel point le chantier représente, pour celui qui en dresse le tableau, un moyen efficace de défendre son propos. Au-delà de cette dimension méta-politique, l'événement est aussi l'occasion pour le visiteur de découvrir certains aspects méconnus du chantier si souvent " interdit au public " : de comprendre qu'il est pour les ingénieurs et les entreprises un lieu d'expérimentation, pour les architectes en herbe un moment d'apprentissage, et, pour certains visiteurs inopinés " enfants, errants, prostitués, etc. " un point de rendez-vous ! Quoi qu'appréciable, ce petit plus est aussi le petit moins de l'exposition, donnant l'impression que celle-ci perd de vue son propre sujet, glissant de la représentation du chantier à sa réalité. Mais ce désagrément reste minime... Alors n'hésitez plus, enfilez vos bottes, votre casque et filez à la Cité de l'Architecture et du Patrimoine découvrir L'Art du Chantier ! Pour en savoir plus, visitez le site de la Cité de l'Architecture et du Patrimoine  Photographie et illustrations : 1) Eugène de Salignac, Peintres suspendus aux câbles du pont de Brooklyn, 7-10-1914© New York City Municipal Archives2) Knickerbocker Photo Service, L'Empire State Building en construction, 1930© Avery Architectural&Fine Arts Library, Columbia University3) Alphonse Terpereau, Le viaduc de Gabarit, état des travaux le 6 avril 1884 7© Musée d'Orsay, Dist. RMN-GP Alexis Brandt4) Bureau de John Soane, Vue de la salle de l'infirmerie de l'Hôpital Royal de Chelsea en construction, 1809© Sir John Soane's MuseumPh. Geremy Butler5) Fernand Léger, Les Constructeurs à l'aloès, 1951. Tapisserie tissée par les ateliers Pinton Frères© RMN-GP (musée F. Léger)-G.Blot - Adagp, Paris, 20186) Henri Rivière, Ouvrier plombier sur la tour. Les Trente-six vues de la Tour Eiffel, entre 1888 et 1902© RMN-GP (musée d'Orsay)-R-G Ojéda - Adagp, Paris, 20187) Lewis Wickes Hine, Icare, tout en haut de l'Empire State, 1931© The New York Public Library8) B. Descamps, Badauds regardant par le trou d'une palissade du chantier du forum des Halles, devant la fontaine des Innocents, 1979© BHVP-Parisienne de Photo9) Michel Delaporte, Le replatrage dans La caricature morale, politique et littéraire10) Achille Beltrame, Mussolini lance le chantier de la via dei Fori11) Tu es syndiqué. Pourquoi n'est-tu pas coopérateur, vers 193512) Mise en charge d'une dalle-champignon en ciment© Felix Candela architectural records and papers, 1950-1984, Avery Architectural & Fine Arts Library, Columbia University13) Alain Bublex, Plug-in City, Expérience monumentale, 2003 © C. Pompidou MNAM-CCI Dist. RMN-GP© Adagp, Paris, 201814) " En remerciement à Notre-Dame-de-Laghet. 17.12.26 Menardo Geoffroy ", 192715) " Ex voto. Ma. Sig. Staudo dentro nel cortile successo il 18 aprile venerdi santo 1851. Paolo Tibaud. Malero Modesto. Fortune Viegi ", 1851
Il y a 6 ans et 208 jours

Michael Malapert : Cin Cin

Nouvelle adresse à tester d'urgence, Cin Cin a ouvert ses portes récemment sur les Grands Boulevards (9e). Ici, le propriétaire propose des plats italiens mijotés avec soin, dans un local rénové par l'architecte d'intérieur Michael Malapert. Un rendu qui rappelle une cantinetta new-yorkaise des quartiers de Little Italy, mélange d'esthétique américaine des années 1970 aux couleurs de la Riviera italienne et de la Dolce Vita. Une popote multiculturelle à laquelle le concepteur n'a pas manqué d'ajouter sa touche parisienne. À peine le visiteur a-t-il posé le pied sur le trottoir du 9, Boulevard Poissonnière, pour dîner au Cin Cin, que le ton lui est donné. Il faut dire que l'architecte d'intérieur en charge de la rénovation de ce local de 200 mètres carrés qui accueillait autrefois une pizzeria, Michael Malapert, n'a pas eu froid aux yeux en imaginant une façade bariolée, dont les couleurs pastel ont l'air de sortir tout droit sortir d'un film de Wes Anderson. À l'intérieur aussi, l'espace semble provenir d'une recherche cinématographique. Excentrique au possible, il est un imbroglio maîtrisé de formes géométriques acidulées évoquant des influences variées " italiennes, américaines, françaises ", lesquelles se manifestent dans les assises aux formes multiples, dans les tables en marbre de Carrare, ou encore dans le calepinage de la faïence qui habille le comptoir. Autrefois situé au fond du volume, ce bar trouve désormais place à l'avant du restaurant, pour permettre à l'équipe d'Hugues Courage, le propriétaire, d'accueillir directement ses clients. Derrière, des alcôves abritent bouteilles d'alcool et autre boissons caféinées. Enfin, le petit mobilier " luminaires, chaises, etc. " soigneusement choisi parachève l'esthétique pop et sucrée de cette adresse aussi piquante qu'un bonbon. Un écrin amusant pour savourer les bons petits plats italiens en partageant un verre de lambrusco. Tchin ! Pour en savoir plus, visitez le site de Michael Malapert  Photographies : Hervé Goluza  
Il y a 6 ans et 210 jours

Avec les simulateurs de CM Labs, les opérateurs se forment toute l'année

Les membres de l'IUOE (union internationale des opérateurs d'engins de construction) d'Albany (Etat de New-York) ont désormais la possibilité de se former toute l'année, même en saison hivernale grâce à l'acquisition d'un simulateur Vortex.
Il y a 6 ans et 224 jours

Événement : Design City 2018

Le vendredi 19 octobre dernier, les Luxembourgeois étaient en émoi : le Musée d'Art Moderne Grand-Duc Jean " de son petit nom Mudam " célébrait l'ouverture de l'édition 2018 du festival Design City, biennale consacrée au design et organisée en collaboration étroite avec la ville. Une manifestation foisonnante, planifiée sur un mois entier, qui prouve que ce petit pays sait se faire très grand dès lors qu'il est question d'art, qu'il soit appliqué ou non... Avril 2010, le Mudam réveillait gentiment le Luxembourg en organisant la première édition " à l'époque hésitante " de la biennale Design City. Huit ans plus tard, l'événement a bien grandi et gagné en assurance, porté notamment par l'enthousiasme et la fougue de sa commissaire Anna Loporcaro. Une évolution dont témoigne le programme riche proposé pour la trentaine de jours que doit durer la manifestation, placée cette année sous le thème de la relation qui existe entre le design, l'artisanat et l'industrie. Au menu " délicieusement copieux " l'on trouvera donc : des expositions indoor, telles que Beyond the New par Hella Jongerius et Louise Schouwenberg à découvrir dans l'enceinte du Mudam, ou encore la géniale Minute Papillon par Florence Doléac ; des installations en plein air, disséminées dans toute la capitale luxembourgeoise, à l'image de l'inauguration de nouveaux bancs publics en Corian® dessinés par Max Steffen en collaboration avec Modulor ou encore de Dune, un champ de fleurs luminescentes signé par le Néerlandais Daan Roosegaarde ; des événements enfin, comme des rencontres avec des designers locaux invités à discuter de leur pratique autour d'une bière... En bref, un rendez-vous incontournable pour les experts comme les amateurs de design, et une raison supplémentaire de sauter dans un train pour découvrir ce pays, aussi beau que sous-estimé, qu'est le Luxembourg... Pour en savoir plus, visitez le site de Design City Photographies et illustrations :1) © georges(s)2) Hella Jongerius & Louise Schouwenberg, A Search Behind Appearances " ¿why design for a world of plenty?, 2016 © Labadie Van Tour3) Boijiot.Renauld, The New York Crossing, 2015 © Clément Martin4) Daan Roosegaarde, Dune, 2016 © Studio Roosegaarde5) Florence Doléac, La chambre des rêves, 2017 © Aurélien Mole6) Lorenzo Palmeri, Navel, 2018 © Max Rommel7) Martinho Pita, GOTA, 2016, © David Vidal, courtesy de la Show Me gallery8) Max Steffen, en collaboration avec Modulor menuiserie, LUC - Luxembourg City Bench, 2018 © Max Steffen
Il y a 6 ans et 238 jours

Vers une utopie concrète: l'architecture en Yougoslavie, 1948-1980

Au Museum of Modern Art (MOMA) à New York, l'exposition exceptionnelle d'une production architecturale portée par l'utopie d'une aventure politique et humaine unique. Jusqu'au 13 janvier 2019. Situés entre l'Ouest capitaliste et l'Est socialiste, les architectes de la Yougoslavie ont […] L'article Vers une utopie concrète: l’architecture en Yougoslavie, 1948-1980 est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 6 ans et 251 jours

La seule nacelle Bronto Skylift XR de New York

Début 2017, la société new yorkaise Skyway Window Cleaning a fait l'acquisition d'une nacelle sur porteur Bronto Skylift S70XR, la première XR à fouler le sol des Etats-Unis.
Il y a 6 ans et 251 jours

La seule nacelle Bronto Skylift XR de New York

Début 2017, la société new yorkaise Skyway Window Cleaning a fait l'acquisition d'une nacelle sur porteur Bronto Skylift S70XR, la première XR à fouler le sol des Etats-Unis.
Il y a 6 ans et 286 jours

Snarkitecture : Bounce

Après avoir fait retomber en enfance les visiteurs du Musée des Arts Décoratifs de Paris (1er) avec une piscine à balles géante, le studio de design new-yorkais Snarkitecture récidive. Il voit même cette fois encore plus grand, avec la création d'une aire de jeux à Hong-Kong remplie de plusieurs centaines d'immenses boules en plastique. Place aux balles géantes donc, installées sur le port de Hong-Kong, sur un terrain de jeux entouré d'une cage métallique partiellement ombragée par une toile blanche. Des sphères de 1 mètre de diamètre remplies d'air " 300 fois plus imposantes que les classiques du genre ", entourées d'un revêtement doux, identique à celui des ballons de beach-volley. Une manière de creuser encore un peu plus le thème de la sphère, une forme souvent boudée en architecture que l'agence Snarkitecture a à c"ur d'étudier. Une "uvre immersive permettant en outre de sonder les limites entre art et architecture, sujet de prédilection des trois associés du studio, diplômés des prestigieuses universités new-yorkaises Columbia et Cooper Union. " Les sphères sont un signal immédiat de jeu. Les visiteurs savent qu'ils sont invités à jouer à l'intérieur de Bounce. "  Olivia Colson, directrice d'atelier de Snarkitecture Une recherche qui fait par ailleurs écho au nom du studio, puisant son inspiration dans un poème de Lewis Carroll, The Hunting of The Snark, qui décrit " l'impossible voyage d'une équipe improbable pour trouver une inconcevable créature ". Nous n'espérons qu'une chose : que la quête de Snarkitecture se poursuive et continue de régaler notre âme d'enfant. Pour en savoir plus, visitez le site de Snarkitecture Photographies : DR
Il y a 6 ans et 314 jours

Neolith habille le 570 Broome à New-York

Le 570 Broome bénéficie grâce au Neolith, d'une façade hautement résistante à la pluie, la neige la poussière, ou encore… Cet article Neolith habille le 570 Broome à New-York est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 6 ans et 314 jours

Alexis Christodoulou : Imagined Architectural Spaces

En quelques années, Instagram, application mobile destinée au relais de photos, est devenue un lieu de création à part entière. Des artistes se sont alors mis à créer des "uvres spécifiquement pour ce support 2.0 au format carré, à l'image du Sud-Africain Alexis Christodoulou et de sa série d'images 3D " Imagined Architectural Spaces ". Il y a deux mois, nous vous parlions du travail de Wally Koval, directeur de marché new yorkais qui s'était lancé dans une collection de clichés reprenant l'univers de Wes Anderson, dans un compte Instagram sobrement intitulé Accidentally Wes Anderson. L'audacieux comptabilise aujourd'hui 409 000 abonnés et vient de monter le site éponyme.  Parmi ces stars involontaires des réseaux sociaux, Alexis Christodoulou, qui n'en revient toujours pas du succès remporté par ses modélisations 3D. Une réussite pour un autodidacte, copyrighter dans une agence de pub, qui a appris à manier les outils nécessaires sur internet, grâce à des tutoriels Youtube. Quelques années de pratique plus tard et à peine un an et demi après la création de son compte Instagram, pas moins de 40 000 personnes se sont mises à suivre ses récits infographiques, si réalistes que son profil précise " Pas des photos. Juste des rendus 3D " !Des architectures oniriques, tout en courbes et en droites, qui ne sont pas sans rappeler l'univers et les peintures de Salvador Dalí.Une évocation qui ne fait que confirmer un statut d'artiste mérité pour Alexis Christodoulou. Pour en savoir plus, visitez le site d'Alexis Christodoulou  Illustrations : Alexis Christodoulou
Il y a 6 ans et 321 jours

Collection New York Bradstone : Magie des grandeurs

Remarquable par sa simplicité dans l'air du temps, la dalle New York, de la ligne Pierre Reconstituée BRADSTONE, répond à la tendance du moment qui privilégie les grandes dimensions.
Il y a 6 ans et 328 jours

Audrey Faugloire : DEEP Coffee Roasters

Un coffee shop à la new-yorkaise en plein centre historique de Marseille (1er) ? Vous ne rêvez pas. Tony Collins vous accueille au DEEP Coffee Roasters conçu par l'architecte Audrey Faugloire, une boutique prête à vous envoûter de ses cafés torréfiés sur place ! Nul besoin d'investir dans des billets d'avion, c'est à Marseille qu'il faut aller ! Réhabilité en coffee shop, cet ancien bar à hôtesse situé dans le quartier de l'Opéra saura vous faire aimer le café. Le DEEP est ainsi une boutique et un atelier de torréfaction imaginé par le passionné Tony Collins et ses trois associés Davin, Adrien et Guillaume, le tout divinement décoré par Audrey Faugloire. Malgré un budget serré, l'architecte marseillaise conçoit un cadre sophistiqué et confortable où l'or noir se transforme derrière un comptoir plaqué bois et plan de travail en terrazzo. Derrière celui-ci : une étagère toute hauteur qui le sépare de l'atelier de torréfaction. C'est d'ailleurs dans cet espace qu'ont été retrouvés des vestiges d'anciens arsenaux du XVIIe siècle lors du chantier. Un patrimoine qu'Audrey Faugloire décide de mettre en valeur en conservant la calade et les arcades en pierres qui participent à ce décor brut. Rien d'ostentatoire donc. Une façade simple et efficace avec un cadre, des portes et un banc en bois ainsi qu'une large vitre sur laquelle est écrit en lettres majuscules DEEP, laissant transparaître trois tables rondes blanches et chaises vert sapin agencées pour la dégustation. Sol en béton brut et plafond peint en bleu d'eau et poutres apparentes blanches. L'un des pans de mur latéraux est consacré à la vente à emporter avec des étagères en bois d'Orme d'Amérique soutenues par des tiges en laiton, et en face à lui un mur gris clair avec large miroir servant de carte des cafés. Que l'on soit expresso, moka ou macchiato, boire son café ici où il est fraîchement moulu, c'est plutôt agréable. Pour en savoir plus, visitez le site d'Audrey Faugloire Photographies et illustrations : 01-08) Florence Vesval09) Audrey Faugloire Architecture
Il y a 6 ans et 328 jours

Audrey Faugloire : DEEP Coffee Roasters

Un coffee shop à la new-yorkaise en plein centre historique de Marseille (1er) ? Vous ne rêvez pas. Tony Collins vous accueille au DEEP Coffee Roasters conçu par l'architecte Audrey Faugloire, une boutique prête à vous envoûter de ses cafés torréfiés sur place ! Nul besoin d'investir dans des billets d'avion, c'est à Marseille qu'il faut aller ! Réhabilité en coffee shop, cet ancien bar à hôtesse situé dans le quartier de l'Opéra saura vous faire aimer le café. Le DEEP est ainsi une boutique et un atelier de torréfaction imaginé par le passionné Tony Collins et ses trois associés Davin, Adrien et Guillaume, le tout divinement décoré par Audrey Faugloire. Malgré un budget serré, l'architecte marseillaise conçoit un cadre sophistiqué et confortable où l'or noir se transforme derrière un comptoir plaqué bois et plan de travail en terrazzo. Derrière celui-ci : une étagère toute hauteur qui le sépare de l'atelier de torréfaction. C'est d'ailleurs dans cet espace qu'ont été retrouvés des vestiges d'anciens arsenaux du XVIIe siècle lors du chantier. Un patrimoine qu'Audrey Faugloire décide de mettre en valeur en conservant la calade et les arcades en pierres qui participent à ce décor brut. Rien d'ostentatoire donc. Une façade simple et efficace avec un cadre, des portes et un banc en bois ainsi qu'une large vitre sur laquelle est écrit en lettres majuscules DEEP, laissant transparaître trois tables rondes blanches et chaises vert sapin agencées pour la dégustation. Sol en béton brut et plafond peint en bleu d'eau et poutres apparentes blanches. L'un des pans de mur latéraux est consacré à la vente à emporter avec des étagères en bois d'Orme d'Amérique soutenues par des tiges en laiton, et en face à lui un mur gris clair avec large miroir servant de carte des cafés. Que l'on soit expresso, moka ou macchiato, boire son café ici où il est fraîchement moulu, c'est plutôt agréable. Pour en savoir plus, visitez le site d'Audrey Faugloire Photographies et illustrations : 01-08) Florence Vesval09) Audrey Faugloire Architecture
Il y a 6 ans et 330 jours

FreelandBuck : Urban Cabin 2018

Après Milan, Londres, New-York, Shanghai, ou encore Bruxelles, la firme automobile MINI poursuit son questionnement sur l'avenir de la vie en ville et le cas de Los Angeles (États-Unis), avec le prototype d'habitat Urban Cabin 2018. Aux manettes, le studio américain FreelandBuck et son logement modulaire ouvert sur l'espace public ! Face à la forte croissance de la population, l'augmentation des prix du loyer et le manque de place en milieu citadin, MINI, filiale anglaise du groupe automobile BMW s'intéresse à la façon dont l'architecture pourrait offrir une réponse flexible et en phase avec le monde d'aujourd'hui . Dans le même élan que ses voitures compactes citadines, elle propose donc divers prototypes de lieux de vie lors d'évènements internationaux : les Urban Cabins. À l'instar de ses prédécesseurs créés en 2016 par Asif Khan et par Sam Jacob en 2017, l'Urban Cabin 2018 se contente de peu d'espace pour offrir un maximum d'usages : structure en aluminium de plain-pied et de 15 mètres carrés installée sur le toit d'un ancien bâtiment industriel du XXe siècle dédié au co-working, à l'art et aux loisirs en plein air, elle ajoute cependant un espace public à la cabine afin de prolonger l'expérience de l'occupant.Elle se compose de deux boîtes blanches " dont l'une est surmontée d'un toit-terrasse " bardées en métal perforé, entre lesquelles se trouve un hall cubique semi-ouvert en polycarbonate translucide teinté. D'un côté se trouvent les pièces d'eau " cuisine et salle de bain ", et de l'autre la chambre à coucher avec ouverture zénithale si l'occupant souhaite passer une nuit à la belle étoile. L'intérieur est intégralement recouvert de panneaux de contreplaqué perforés de petites formes géométriques, permettant de laisser passer les rayons de soleil et d'installer un système d'étagères modulaires. Pour procurer d'avantage de lumière naturelle, deux ouvertures pivotantes ont été réalisées dans le mur de la cuisine, dont l'une se transforme en table à manger. Urban Cabin 2018 s'ajoute ainsi au panel de MINI Living, qui en est déjà à son troisième coup d'essai. Petit mais efficace ! Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Freelandbuck Photographies : Laurian Ghinitoiu
Il y a 6 ans et 330 jours

FreelandBuck : Urban Cabin 2018

Après Milan, Londres, New-York, Shanghai, ou encore Bruxelles, la firme automobile MINI poursuit son questionnement sur l'avenir de l'habitat en ville et le cas de Los Angeles (États-Unis), avec le prototype Urban Cabin 2018. Aux manettes, le studio américain FreelandBuck et son logement modulaire à la fois intimiste et ouvert sur l'espace public ! Face à la forte croissance de la population, l'augmentation des prix du loyer et le manque de place en milieu citadin, MINI, filiale anglaise du groupe automobile BMW, s'intéresse à la façon dont un module de micro-habitation peut s'adapter à différents environnements. Dans le même élan que ses voitures, compactes et citadines, elle propose donc divers prototypes de lieux de vie lors d'évènements internationaux : les Urban Cabins. À l'instar de ses prédécesseurs créés en 2016 par Asif Khan et par Sam Jacob en 2017, l'Urban Cabin 2018 se contente de peu d'espace pour offrir un maximum d'usages : structure en aluminium de plain-pied et de 15 mètres carrés installée sur le toit d'un ancien bâtiment industriel du XXe siècle dédié au co-working, à l'art et aux loisirs en plein air, elle ajoute cependant un espace public à la cabine afin de prolonger l'expérience de l'occupant.Elle se compose de deux boîtes blanches " dont l'une est surmontée d'un toit-terrasse " bardées en métal perforé, entre lesquelles se trouve un hall cubique semi-ouvert en polycarbonate translucide teinté. D'un côté se trouvent les pièces d'eau " cuisine et salle de bain ", et de l'autre la chambre à coucher avec ouverture zénithale si l'occupant souhaite passer une nuit à la belle étoile. L'intérieur est intégralement recouvert de panneaux de contreplaqué perforés de petites formes géométriques, permettant de laisser passer les rayons de soleil et d'installer un système d'étagères modulaires. Pour procurer d'avantage de lumière naturelle, deux ouvertures pivotantes ont été réalisées dans le mur de la cuisine, dont l'une se transforme en table à manger. Urban Cabin 2018 s'ajoute ainsi au panel de MINI Living, qui en est déjà à son troisième coup d'essai. Petit mais efficace ! Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Freelandbuck Photographies : Laurian Ghinitoiu
Il y a 6 ans et 344 jours

Bette : BetteLoft & BetteLoft Ornament

L'entreprise Bette, leader dans l'univers de la salle de bain de luxe, fidèle à sa ligne de conduite, propose d'embellir vos espaces d'eau avec ses nouvelles gammes BetteLoft et Bette Loft Ornament. Deux collections composées d'une baignoire et d'une vasque dont les lignes épurées et raffinées puisent leur inspiration dans l'esthétique des lofts newyorkais. " Deux salles, deux ambiances ". Une expression que la marque allemande et le bureau de design français Tesseraux & Partenaires semblent avoir pris au pied de la lettre pour la conception de BetteLoft & BetteLoft Ornamement. La première gamme comprend une baignoire à encastrer classique et une vasque, également à encastrer, assortie. Disponible en trois dimensions (170 x 80 centimètres ; 180 x 80 centimètres et 190 x 90 centimètres), celle-ci est réalisée en acier titane vitrifié, lui conférant un aspect minimaliste raffiné. Agrémentée d'une vasque de 80 centimètres de large, l'ensemble a de quoi ravir les amateurs de design et d'intérieurs haut de gamme. " BetteLoft et BetteLoft Ornament contribuent au renouveau architectural de la salle de bains. Ils sont une source d'inspiration pour des aménagements originaux et passionnants. " Bette Bette Loft Ornament s'organise quant à elle autour d'une baignoire en îlot de 181 par 81 centimètres également réalisée en acier titane vitrifié, dotée en sus d'un tablier géométrique composé de six bandes en reliefs intégrées sans aucun joint apparent. Une seconde peau facettée originale qui dynamise sans effort une salle de bain, et qui s'accompagne d'une vasque murale tout aussi graphique conçue dans les mêmes matériaux. Tout en finesse en simplicité, le mobilier se décline à l'infini grâce de nombreuses possibilités de personnalisation. Des silhouettes novatrices dans lesquelles on rêve de se faire couler un bon bain chaud. Plus d'informations sur le site de Bette À propos de BetteBette est une entreprise familiale allemande fondée en 1952, spécialisée dans les composants de salle de bains haut de gamme en alliage acier-titane émaillé. La marque cherche sans cesse l'innovation et a ainsi par exemple conçu, la première baignoire sans fil indépendante et la première douche encastrée au sol. BetteLoft et BetteLoft Ornement sont lauréates des MIAW 2018 dans la catégorie Salles de bain et sanitaires / Baignoire.Pour en savoir plus, visitez le site des MIAW Le choix de la rédactionLe design épuré et le minimalisme raffiné des produits BetteLoft et BetteLoft Ornement confèrent à ces gammes une allure sans égal, plus que jamais dans l'air du temps. Des raisons qui n'ont pas laissé la rédaction de Muuuz insensible, et qui les récompense de ce fait d'un Muuuz International Award dans la catégorie Salles de bain et sanitaires / Baignoire.
Il y a 6 ans et 348 jours

Nendo : Watercolour Collection

À l'occasion de la Design Miami / Basel 2018, foire internationale d'art biannuelle, le studio japonais nendo a présenté sa collection Watercolour, inspirée de dessins à l'aquarelle. Un ensemble de 18 pièces de mobilier en métal réalisé pour la galerie new-yorkaise Friedman Benda, qui surprend par sa finesse et sa délicatesse. Terminé il y a quelques jours, le Design Miami / Basel 2018 qui s'est déroulé à Bâle (Suisse), a accueilli une exposition consacrée à la toute nouvelle collection de l'agence nendo intitulée Watercolour. Les 18 meubles  de cette micro-collection " chacun disponibles en trois exemplaires ", sont à l'image d'une feuille que l'on aurait découpée, pliée et colorée d'une goutte d'encre bleue. Canapés avec table basse, sièges agrémentés d'un grand panneau en saillie, tables traversées par de minces pieds tubulaires créant de multiples niveaux, étagères, consoles... mais que sont ces meubles ? Une confusion des genres à la limite du rêve éveillé. Pour atteindre un aspect aqueux, le studio a choisi l'acier travaillé avec minutie et peint à la main. " Afin de créer une fondation qui ressemble à du papier et de flouter facilement la peinture à l'encre sur les objets, les cadres et les surfaces métalliques ont été constamment poncés, recouverts d'un apprêt avant de recevoir de la peinture blanche mate. " Oki Sato, designer L'effet trompe-l'"il est obtenu grâce à un mélange de deux tons d'encre bleue diluée, appliquée par dégradé, superposition de différentes intensités, taches et halos. Un travail zone par zone créé en tamponnant le surplus de pigments avec de la pâte à papier. Le tout est ensuite protégé par une couche transparente matte qui en accentue l'apparence plane. Une collection onirique dont la légèreté fait douter de son existence. Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence nendo Photographies : Akihiro Yoshida
Il y a 6 ans et 351 jours

Quelles sont les 10 villes où construire coûte le plus cher ?

IMMOBILIER. Le groupe Arcadis publie son rapport annuel intitulé " International Construction Costs 2018 ", lequel compare les coûts de construction dans 50 métropoles de par le monde. Paris n'occupe que la 18ème place de ce classement, dominé par des villes américaines telles que San Francisco ou New York.
Il y a 6 ans et 361 jours

Giuseppe Gallo : Syntax Posters

Inspiré par les projets de l'agence d'architecture Bjarke Ingels Group (BIG), le designer italien Giuseppe Gallo a réalisé une série de neuf affiches représentant de manière stylisée autant de bâtiments construits par le célèbre cabinet danois. Un graphisme au plus près de la construction. Neuf posters à la géométrie palpable font désormais honneur au travail de l'agence danoise fondée par Bjark Ingels en 2006, dont la réputation n'est plus à faire. Lignes blanches sur fond coloré, le designer Giuseppe Gallo simplifie les formes de chaque édifice pour n'en garder que la substance. Ainsi, le Serpentine Pavilion 2016, le Kistefos Museum, The Spiral, la Wilson Secondary School, le Kimball Art Center et les 1 200 Intrepid forment ici le thème de cette série d'illustrations, mettant en avant le rôle des outils numériques qui permettent à présent d'imaginer de nouveaux concepts de construction, et donc de nouvelles formes. " Les projets et la philosophie de BIG ont connu un grand succès ces dernières années. Travailler sur ces posters m'a permis de comprendre leur impact sur l'architecture finie et en particulier sur leur syntaxe. " Giuseppe Gallo, designer BIG génère en effet à travers ses projets un nouveau langage architectural qui lui est propre : ligne, hauteur, toiture ou encore façade sont revisitées à chaque nouvelle création. Giuseppe Gallo se concentre donc sur le plus important, l'essence même de ces structures, pour en extraire le plus percutant. Que ce soit la bande Moebius du Kistefos Museum (Norvège) ou le pic triangulaire de la Via 57 West à New York (États-Unis), une affiche incarne une force architecturale. Un jeu d'ombre et de lumière, collage de trames et de motifs ou encore une perspective, le tout sur un aplat de couleur vive, qui donne l'impression d'une figure simple alors qu'elle fait référence à des objets bâtis complexes. Un exercice de style non loin de déplaire à l'agence scandinave qui s'est empressée de le partager sur les réseaux sociaux. Pour en savoir plus, visitez le site de Giuseppe Gallo Illustrations : Mirabilia 01) Amager Resource Center " Copenhagen, Danemark02) Kistefos Museum " Scandinavia03) Vm Houses " Copenhagen, Danemark (avec JDS Architects)04) Via 57 West " New York, USA05) The Spiral " New York, USA06) Wilson Secondary School " Arlington, USA07) Kimball Art Center " Park City, USA08) 1 200 Intrepid " Philadelphia, USA09) Serpentine Pavilion 2016 " London, Royaume-Uni