Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour pente

(1584 résultats)
Il y a 2 ans et 303 jours

Un Grand Palais plus lumineux et ouvert à tous pour accueillir les JO

"Nous sommes dans les temps pour une livraison de la grande nef (13.500 m2 sur 200 mètres de long et 17.500 m2 de verrière) au printemps 2024", a assuré lundi à l'AFP Daniel Sancho, directeur du projet de restauration au sein de l'établissement public de la Réunion des musées nationaux (RMN) – Grand Palais, qui gère l'édifice.Un travail de mise aux normes et d'accessibilité est prévu avec des améliorations techniques majeures. La restauration de la nef et de ses balcons permettra d'augmenter la jauge de 5.600 à 9.000 personnes, selon M. Sancho. Le chantier, qui a débuté en mars 2021, vise à "éclairer l'ouvrage et sa construction" en retrouvant l'effet de transparence qui avait habité le lieu à son origine, avant d'être "cloisonné" et "assombri" par la peinture de certaines parois de verre en noir, a expliqué François Châtillon, architecte en chef des monuments historiques, en présentant l'avancement des travaux à la presse.La rénovation prévoit l'ouverture d'un axe central reliant le Palais de la découverte et son planétarium à la nef qui accueillait avant sa fermeture toutes sortes d'événements artistiques et culturels, comme des foires d'art, des défilés de mode et même des épreuves équestres.Les visiteurs des deux endroits entreront à l'avenir aux expositions par une seule entrée et pourront accéder à une vaste promenade centrale intérieure en accès libre.L'ancien manège aux chevaux, situé dans les soubassements du bâtiment, accueillera une "Galerie des enfants" qui présentera chaque année une exposition, avec une approche "Art et Sciences" ainsi que des ateliers.Les nombreuses mosaïques et la statuaire de l'édifice, très dégradées, seront complètement restaurées.Le Grand Palais rénové doit accueillir les épreuves d'escrime et de taekwondo des Jeux olympiques et paralympiques dans la nef en 2024. L'ensemble des espaces muséaux seront ensuite rouverts progressivement jusqu'en octobre 2025.Un Grand Palais éphémère, sur le Champ-de-Mars, accueille depuis 2021 les événements qui se tenaient habituellement sous la nef.Ce chantier présente un budget de 466 millions d'euros pour un bâtiment de 77.000 mètres carrés et 42.000 mètres carrés de toitures, qui n'a jamais été rénové dans son ensemble depuis 1900.Dans les années 2000, l'édifice s'était affaissé de 13 cm en raison de l'usure des pieux en chêne portant les fondations, par l'eau de la nappe phréatique. Ils ont été remplacés par des parois moulées en béton et la charpente a également fait l'objet d'une consolidation importante.
Il y a 2 ans et 304 jours

L’usine Lafarge La Malle passe à la biomasse

Dans la poursuite de sa stratégie de réduction de ses émissions de carbone, la cimenterie Lafarge de La Malle a investi près de 1 M€ supplémentaire dans ses équipements. [©Lafarge] Après avoir investi 10 M€ au cours des deux dernières années pour améliorer sa performance environnementale, l’usine de La Malle, implantée à Bouc-Bel-Air (13), poursuit sa stratégie de réduction de ses émissions de carbone. Pour cela, elle investit près de 1 M€ supplémentaire dans ses équipements. Objectif : accueillir la fine de bois, un nouveau combustible non soufré issu de l’économie circulaire. Ainsi que de baisser de 10 % les émissions de soufre grâce à l’utilisation de combustibles plus vertueux. L’exploitation des déchets de bois provenant du bâtiment – et en particulier la fine de bois, inutilisable pour d’autres usages – dans le processus cimentier a été lancée en 2018. Il y a encore quelques années, entre 3 et 4 Mt/an de déchets de bois étaient enfouis sans valorisation. En 2021, la cimenterie a utilisé 41 % de combustibles alternatifs. L’objectif, d’ici à 2030 est de parvenir à des processus de combustion intégrant 65 % de déchets. Une valorisation vertueuse Cette valorisation est vertueuse à plusieurs égards : réduction de l’élimination des déchets ou de leur mise en décharge ;limitation des quantités de bois enfouies et, en conséquence, des émissions de méthane liées à leur décomposition ;baisse du recours au coke de pétrole, énergie fossile non renouvelable ;renforcement de l’économie circulaire. Ces déchets abondants se situant souvent à proximité des cimenteries, ils n’entraînent pas de trafic et de transport importants Travaux en cours La cimenterie Lafarge de La Malle s’est engagée, le 29 avril dernier, à exploiter son site sans dérogation administrative “SO2” en 2023. Impliquant de facto une baisse de ses émissions de soufre venant des argiles transformées sur le site. Mais aussi des combustibles utilisés pour chauffer le four de la cimenterie. L’usine La Malle s’est entourée d’entreprises régionales pour la conception et la réalisation de l’ensemble du génie civil, afin de pouvoir transporter, doser, sécuriser et injecter ce produit dans le four n° 1. La charpente est déjà en cours de construction pour une mise en service des injections de bois dans le mix combustible fin août 2022. Le four n° 2 de l’usine étant, quant à lui, déjà passé en phase d’essai. Puis, de développement à un système permettant d’utiliser ce nouveau combustible. 20 000 t/an de fines bois Avec une consommation prévisionnelle de l’ordre de 20 000 t/an de fines bois, la cimenterie apporte une solution circulaire pour le traitement final de déchets qui étaient auparavant non valorisés. Pour Pascal Baudoin, directeur de la cimenterie : « La Malle s’affirme comme un maillon clef de l’économie circulaire industrielle du territoire. Dans le cadre de notre feuille de route environnementale et de notre objectif de neutralité carbone, nous avons investi dans ce levier d’avenir. Qu’est la valorisation des déchets de bois du bâtiment, dans leurs fractions les plus fines qui restaient jusqu’à aujourd’hui difficiles à valoriser ».
Il y a 2 ans et 305 jours

Le futur parvis de Notre-Dame sera conçu comme une clairière

Parmi les quatre finalistes de cet appel à projet, c'est le bureau d'architecture Bas Smets, avec l'agence d'architecte et d'urbaniste GRAU et l'agence d'architecture Neufville-Gayet qui a été choisi par le jury présidé par la Maire de Paris, avec les représentants de l'Etablissement public chargé de Notre-Dame (EPRNDP) et du Diocèse de Paris.Le projet prévoit de longs couloirs arborés aux abords de la cathédrale pour offrir de l'ombre aux visiteurs en temps de grande chaleur, un parvis tel une clairière entourée d'arbres.La façade et ses vitraux resteront dégagés et ainsi mis en valeur.Derrière la cathédrale, l'espace entre le chevet et la Seine aujourd'hui divisé par des haies et clôtures, devient un square fait de pelouse, donnant une vue sur les arc-boutants et les vitraux de l'édifice gothique."Un lien est réalisé tout en finesse entre le parvis et la Seine, c'était un grand attendu", a indiqué Ariel Weil, maire de Paris Centre.L'enjeu de cet réaménagement sera également de renforcer la végétalisation des abords de l'édifice pour faire face aux changements climatiques et aux fortes chaleurs. Un dispositif technique facilitant le ruissellement de l'eau sur le parvis offrira même un îlot de fraîcheur aux visiteurs.En sous-sol, le parking souterrain devient le centre d'accueil des visiteurs et offrira une promenade intérieure donnant accès à la crypte archéologique et à une ouverture sur la Seine.La ville de Paris, qui prend complètement en charge le projet, débloque une enveloppe de 50 millions d'euros. Avec ce budget, les abords seront de nouveau accessibles aux visiteurs et aux fidèles au deuxième semestre de 2024. En même temps que la fin de chantier de la cathédrale. La totalité du projet sera définitivement livrée en 2027.Dans son domaine (architecture/aménagement de jardins en ville) Bas Smets est une étoile montante, déjà connu notamment pour la parc des Ateliers autour de la tour Luma à Arles et comme futur réaménageur du centre de Bruxelles.Le 15 avril 2019, un spectaculaire incendie s'est déclaré dans la cathédrale, provoquant l'effondrement de sa charpente, de sa flèche, de son horloge et d'une partie de sa voûte, ravagées par les flammes sous le regard catastrophé de millions de personnes à travers le monde.Emmanuel Macron a donné pour objectif la réouverture en 2024 de ce chef-d’œuvre de l'art gothique, même si certains travaux pourront se poursuivre après. Le monument doit notamment être rendu au culte pour "l'anniversaire" de l'incendie, en avril 2024.Avant 2019, l'édifice accueillait près de 12 millions de visiteurs, 2.400 offices et 150 concerts par an.Découvrez dans cette vidéo le projet porté par le bureau Bas Smets.
Il y a 2 ans et 305 jours

Canalisations eaux vannes-eaux usées et interfaces avec la VRD

Les difficultés permanentes d'écoulement d'un réseau extérieur finissent par provoquer une obstruction complète du système d'évacuation avec débordement dans les parties habitables. De nombreuses causes peuvent occasionner ces difficultés d'écoulement : Les défauts de pente et les ovalisations de conduite sont les problèmes les plus fréquents. Les défauts de pente provoquent une réduction de la vitesse d'écoulement avec parfois des stagnations et une sédimentation des effluents. Les ovalisations provoquent une réduction de la section de passage dans les tuyaux et leur fissuration, voire leur rupture ; Les connections entre conduites tout comme le fond des regards peuvent présenter des défauts de profilage hydraulique ; La classe de résistance des tuyaux est souvent mal adaptée à la situation des ouvrages ; Le dimensionnement des conduites n'est pas toujours adapté aux besoins ; Les réseaux sont parfois difficiles voire impossibles à entretenir (nombre insuffisant de dispositifs visitables, absence d'un plan de réseau). Le NF DTU 60.11 traite des installations de plomberie sanitaire et d'eaux pluviales, des collecteurs enterrés et donne les directives de dimensionnement des réseaux : Le DTU fixe une pente minimale de 1cm/m pour les collecteurs enterrés d'eaux usées ; Le diamètre des conduites enterrées ne sera jamais inférieur à 100 mm ; Prévoir des regards de visite en nombre suffisant, à savoir aménager un regard de visite à chaque changement de direction et en cas de grande longueur (longueur supérieure à 30 m environ) ; Soigner le profilage hydraulique des ouvrages. Il est préférable par exemple d'utiliser 2 coudes à 45° séparés par un bout droit au lieu d'un coude à 90°. Le regroupement des branches de réseau doit être réalisé de préférence dans des regards avec des Y. Les connexions en T sont à proscrire ; Le remblaiement des tranchées reste un point délicat, souvent réalisé à l'économie dans les parties privatives. Il est fortement conseillé de réaliser un lit de sable et un remblaiement en sable au moins jusqu'à mi-hauteur du tuyau environ pour les tuyaux rigides (fonte, grès, béton…) et jusqu'au haut du tuyau pour les tuyaux flexibles (PVC, PE…), afin de pouvoir procurer une bonne assise aux reins de la canalisation. Pour en savoir plus : Fiches pathologie bâtiment - Fondations et infrastructures - Pathologies des canalisations eaux vannes – eaux usées et interfaces avec la VRD Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 306 jours

Le constructeur des Maisons Phénix au bord de l'abîme

"Phénix, pour que chacun ait sa maison." Ce slogan publicitaire, matraqué tout au long des années 70, a fait de cette entreprise un symbole de l'accession de masse à la maison individuelle.Aujourd'hui, son modèle économique, fragilisé, s'est vu asséner le coup de grâce par les soubresauts du marché du fait de la crise sanitaire et de la guerre en Ukraine.Aucun repreneur viable ne s'est manifesté pour reprendre l'ensemble de son activité, mettant en danger les plus de 1.100 salariés du groupe."Faute de repreneur à date, la liquidation judiciaire prononcée à la fin du mois est désormais à craindre", écrivent, dans une lettre ouverte à l'Elysée et au ministère de l'Economie, dirigeants et représentants des salariés du groupe.Faute d'avoir accès aux financements bancaires, après de premières difficultés à la fin des années 2000, la direction a frappé à la porte du ministère de l'Economie pour lui réclamer une rallonge de quelque 70 millions d'euros. Elle s'est vu opposer une fin de non-recevoir."L'Etat ne peut pas financer seul les pertes passées et futures, sans aucun actionnaire. Il peut soutenir un repreneur mais ne peut pas se substituer à un actionnaire", tranche-t-on à Bercy. "L'absence de repreneur est bien le signal des difficultés structurelles de l'entreprise".AffaiblissementCar le modèle économique de Geoxia, basé sur ses fameuses maisons Phénix à bas coût, semble à bout de souffle.Elle fabrique en effet dans ses propres usines leur ossature, des charpentes métalliques qu'elle apporte toutes faites sur les chantiers.Une structure de fonctionnement plus lourde que la plupart des constructeurs, qui aujourd'hui font appel à des sous-traitants locaux, et bâtissent dans des matériaux plus classiques, parpaings ou briques.Et ses usines, indissociables de sa production, deviennent un fardeau économique en période de vaches maigres, de quoi décourager des repreneurs potentiels.Autre écueil : la hausse des prix de l'immobilier et l'assèchement des aides à l'achat ont découragé les ménages modestes, coeur de cible des maisons Phénix."Avec les contraintes de construction qui se sont ajoutées année après année, l'envolée des prix des matériaux et l'augmentation des prix des terrains, le client moyen qui achète une maison aujourd'hui, il est sensiblement différent de celui qui achetait il y a cinq ou six ans", résume Damien Hereng, président de la Fédération française des constructeurs de maisons individuelles.Et Geoxia n'a pas su monter en gamme à temps.Amertume"Aujourd'hui les gens avec un bas revenu ou un salaire normal n'auront plus accès au rêve français qui est d'avoir une maison individuelle", lâche Fernando Cabete Neves, délégué syndical CFTC chez Geoxia. "L'état d'esprit, c'est un état d'esprit d'amertume, de gâchis. On est en train de mettre sur le carreau 1.195 salariés, on va sacrifier tous ces gens-là", regrette-t-il."C'est triste parce que c'est une marque avec une notoriété énorme, j'espère pour eux que l'histoire n'est pas tout à fait terminée", confie Damien Hereng.Du côté de la profession, on s'inquiète pour les quelque 1.600 clients toujours en attente d'être livrés, et pour qui les délais risquent de s'allonger.Mais pas de risques sur le reste des constructeurs, a voulu rassurer le président du pôle Habitat de la Fédération française du bâtiment, Grégory Monod. "Geoxia ne représente pas le marché", a-t-il déclaré jeudi à la presse.La maison individuelle, décriée pour son impact environnemental et la dépendance à la voiture qu'elle induit, continue d'être plébiscitée par les Français, surtout depuis le confinement du printemps 2020, avec des prix en constante progression.
Il y a 2 ans et 306 jours

La robe en zinc Quartz-Zinc de VMZINC enveloppe les bureaux de la maison Rémy Martin à Merpins (16)

Ce bâtiment de 5.000 m2 connecte les chais de vieillissement d’un côté et le site d’embouteillage de l’autre. Il accueille, depuis juin 2021, les 130 collaborateurs, qui travaillaient jusqu’alors dans le centre-ville de Cognac.INCA Architectes et AIA Life Designers ont imaginé un grand parc paysager dans lequel le nouvel édifice, rappelant les chais historiques, est venu s’insérer. Ce bâtiment-promenade se distingue par deux parties longilignes reliées entre elles par des passerelles. Elles abritent toutes les fonctions et dessinent un véritable lieu de vie : accueil, bureaux, salles de réunions, restaurant, salle de sport, locaux du personnel. Des parvis, patios et jardins créent une transition douce entre le dedans et le dehors. Le paysage, la lumière, la nature et l’histoire ont été de précieuses sources d’inspiration pour donner du sens à ce programme dans le respect des valeurs de la Maison Rémy Martin.La matérialité de la pierre de Charente est réinterprétée en façade de manière contemporaine et se marie harmonieusement au zinc VMZINC qui habille la toiture. Cette couverture élégante et légère dans l’expression retranscrit avec soin du détail la conception architecturale. Le bureau d’études de l’entreprise Alain COUTANT Couverture et celui de VMZINC ont collaboré étroitement afin de s’assurer que les systèmes VMZINC puissent techniquement répondre aux attentes esthétiques. Au total, 7.000 m2 de solutions zinc ont été mises en œuvre, soit environ 60 tonnes : Joint Debout en couverture ; Profil à Emboîtement pour les sous-face et agrafage sur-mesure sur les rives et pignons.Un seul aspect de surface, le QUARTZ-ZINC, a été retenu. Ce zinc, qui se patinera avec le temps, joue avec la lumière, une composante essentielle du projet. Au fil de la journée et selon la météo, il se nuance et crée des reflets. Les matériaux sélectionnés ; le zinc, la pierre et l’aluminium ; se distinguent par leur noblesse, leur intemporalité et leur durabilité.Détails minimalistesLes lignes épurées de la toiture en zinc ont requis une grande technicité à l’image des rives au niveau des casquettes avec débords de toit en rez-de-chaussée et au premier étage. Travaillées le plus finement possible, ces pointes effilées passent de 34 cm à quasiment 0 cm d’épaisseur sur une longueur d’1,90 m.Pour Mathias COUTANT, Gérant de l’entreprise Alain COUTANT Couverture: « Une ossature secondaire en bois a été conçue pour venir vêtir le squelette d’acier. Des flasques métalliques, doublées de bois, font la jonction avec cette ossature secondaire afin de dessiner gracieusement cette pointe si fine qui borde le bâtiment. »Toutes les couvertures (hors casquettes) sont traitées en complexe de toiture chaude Toiture VMZINC : bac acier/pare-vapeur/isolant 240 mm en double couche/écran pare-pluie/ QUARTZ-ZINC PLUS.Des chéneaux ont été intégrés en milieu de versant afin de récupérer les eaux pluviales de la partie supérieure. Encaissés, ils disparaissent du regard et permettent d’assurer la continuité esthétique de la ligne des toitures.Logistique menée d'une main de maîtreLe bureau d’études de l’entreprise Alain COUTANT Couverture a réalisé les plans à partir d’une maquette 3D afin d’intégrer les éléments zinc à la charpente métallique et aux menuiseries aluminium. Il a calculé et défini ses besoins en zinc avant d’effectuer les commandes de bobines auprès de VMZINC. Pour respecter le rythme des meneaux en pierre et garantir un alignement visuel des différentes joints, VMZINC a produit ces bobines dans des dimensions sur-mesure. Elles ont été refendues (largeurs 530 mm et 467 mm) selon le pas de pose défini par les différentes solutions. L’objectif étant de faire coïncider les joints creux de la sous-face avec le joint debout des bacs de la couverture.Lors de la phase chantier, un groupement d’entreprises a été constitué (Alain COUTANT Couverture, BOUCHET Couverture et SMAC) assurant la livraison de l’ouvrage en un an après le démarrage des travaux.
Il y a 2 ans et 310 jours

Intervention sur les élévations de l’Eglise de Villemaur-sur-Vanne

Après des travaux d’assainissement, le chantier de restauration des façades Est et Sud de l’église Saint-Jean de Villemaur (Aube), qui bénéficie du soutien du Plan de relance de l’économie mis en œuvre par l’Etat, se poursuit sur la restauration des élévations et la reprise des éléments de structure défaillants. La dégradation du pignon haut de la façade Sud et du parement intérieur (quais intégralement gelé) découvert sous l’enduit plâtre a confirmé l’urgence de l’intervention. L’état de dégradation avancée a nécessité l’intervention d’une entreprise de charpente et une commande supplémentaire de pierres. L’entreprise Léon Noël propose de remplacer la pierre de Chauvigny par de la Tervoux bancs 4 ou 5 car celle-ci est plus dure que la Tervoux de parement. Les fiches techniques de la pierre de Chauvigny et de la pierre de Tervoux B4 et B5 seront communiquées par l’entreprise. Dans un souci de pérennité, la pierre des glacis retenue sera de la pierre de Rocheville. Il a été décidé de conserver un grand nombre de parements calcaire très érodés pour limiter la quantité de pierres à changer et maintenir le plus d’éléments anciens en place. Des échantillons de vieillissements pour l’harmonisation de la façade sont réalisés. Les enduits plâtre ont été complètement purgés, ce qui a permis de constater l’altération d’une grande partie du parement de l’élévation, notamment au niveau des baies où l’intégralité des pierres est à changer. Un surcout total de 92 000 €, nécessaire pour la reprise du pan de bois, le remplacement de l’entrait et de la restauration du mur intérieur Sud. Ce surcoût fera l’objet d’un soutien financier de la DRAC pour soutenir la commune dans cette opération, à hauteur de 40%. Sur la charpente, au niveau du bras-sud du transept, la sablière filante sous le chéneau (faisant jonction entre le comble de l’église et le clocher) est entièrement pourrie ainsi que les pieds de chevrons et le poinçon, du à d’anciennes fuites non traitées en entretien. Suite à la découverte de la dégradation de l’entrait de la ferme de pignon, l’entreprise de charpente Didier Glais doit intervenir notamment pour la réalisation du pan de bois. Visuel : Drac Grand-Est  
Il y a 2 ans et 310 jours

Schindler pose les premiers escaliers mécaniques dans la future gare Villejuif Institut Gustave-Roussy du Grand Paris Express

Schindler, l’un des leaders ascensoristes depuis plus de 150 ans, annonce ce jour la pose d’un premier escalier mécanique dans la future gare emblématique Villejuif Institut Gustave-Roussy (IGR) de la ligne 15 Sud du Grand Paris Express. La gare sera desservie par la ligne 14 (mise en service en 2024) et la ligne 15 (mise en service fin 2025) et prévoit d’accueillir quotidiennement 100.000 voyageurs. A chaque gare son design, approche artistique et culturelle La Société du Grand Paris (SGP) a voulu insuffler un vent artistique différent à chaque gare (68) pour lui créer une identité singulière. Ainsi des tandems architecte/artistes contemporains ont été formés pour habiller les futures gares du métro. Chaque œuvre vient s’intégrer à l’architecture de chaque gare. Quant à la future gare Villejuif IGR, l’architecture a été imaginée par Dominique Perrault en forme de cylindre de 70 mètres de diamètre, et a été pensée comme un connecteur du monde du dessous au monde du dessus, et vice-versa. Un espace de 30 mètres évidé à l’intérieur du cylindre, entouré de galeries en balcons, accueillera début 2023 4 grands escaliers monumentaux signés Schindler. Par leur design, construction et longueur, ces derniers épouseront parfaitement les profondeurs de la gare. Pour dialoguer avec le travail de Dominique, l’artiste chilien Ivàn Navarro intègrera une œuvre en illusion d’optique (un jeu de lumières et de miroirs). Les escaliers Schindler : la mobilité axée sur la sécurité et le respect de l’environnement181 escaliers mécaniques signés Schindler permettront le transport vertical des usagers dans 8 gares du tronçon sud de la ligne 15. Concernant la gare IGR, les équipes Schindler ont travaillé, dès la phase d’appel d’offre, à la définition des charges et des reprises d’efforts sur les appareils monumentaux. Après que la Société Grand Paris (SGP) a demandé un ajout de divers éléments qui augmentent la charge sur les escaliers mécaniques (habillages latéraux, antichute en verre, sonorisations et éclairages), un calcul structurel complexe de ces derniers était nécessaire. Schindler a fourni les notes de calcul nécessaires bien en amont du marché, afin que les travaux de génie civil puissent débuter sereinement.Tout au long du projet, la sécurité et le respect de l’environnement ont été les maîtres mots. Sécurité : Pour permettre à la Société du Grand Paris d’assurer la sécurité de son réseau, les escaliers mécaniques sont conçus pour garder leur stabilité dans une gare en cas d’incendie. Les analyses de tenue au feu des structures ont permis à la SGP de mieux appréhender ces besoins en protection de charpente contre le feu, tout en conservant l’esthétique des escaliers mécanique voulue par le designer.Les études d’évacuation ont aussi permis de proposer un fonctionnement de redémarrage automatique des escaliers mécaniques dans le sens de la sortie, incluant les préconisations relatives à l’entretien et la maintenance de ces équipements.Enfin, Schindler est précurseur depuis 2014 dans la mise en place de plaques podotactiles aux abords des escaliers mécaniques. Ce dispositif a été très apprécié et explicitement demandé par le designer de ce grand projet pour la sécurité des usagers.L’environnement : Soucieux de proposer des produits de qualité tout en veillant à la préservation de l’environnement, tous les escaliers mécaniques que Schindler va installer sur le projet du Grand Paris Express sont totalement recyclables et/ou valorisables et de nombreux composants sont fabriqués à partir de produits recyclés, tels que l’aluminium ou l’acier. Tous les escaliers mécaniques que Schindler va installer sur le projet du Grand Paris Express sont issus de leur usine de production moderne, implantée à Dunajska Streda en Slovaquie, avec un approvisionnement de composants européens à plus de 75%.Cette proximité, au sein de l’Union Européenne, assure un maintien de l’emploi et de la production au sein de l’Europe, une grande flexibilité dans le circuit de livraison sur site et un bilan carbone très favorable.
Il y a 2 ans et 312 jours

SPECIAL BOIS

Atteindre la neutralité carbone d'ici à 2050 avec le Bois https://www.urbaindesbois.fr/ https://www.savare-eiffage.fr/ https://www.samse.fr/ https://www.groupe-isb.fr/ https://www.isover.fr/ https://pathpromotion.com/ https://graamarchitecture.fr/ https://www.horizons-bois.com/ https://www.uicb.pro/ https://www.charpentes-bois.com/
Il y a 2 ans et 316 jours

L'activité des matériaux de construction enregistre un net repli en Avril

Le rythme de l’activité dans la filière construction semble désormais assujetti à la disponibilité des inputs et surtout à leur prix. Attisée par un contexte géopolitique tendu, la flambée des coûts de l’énergie et des céréales se diffuse au reste des biens et services, bousculant les équilibres financiers du côté de l’offre (entreprises) comme du côté de la demande (ménages et collectivités). Dans le BTP, l’équation qui consiste à assurer la réalisation des chantiers avec des process productifs sous tension et de plus en plus coûteux reste difficile à résoudre tandis que, côté TP, les carnets qui peinaient déjà à se regarnir depuis la crise sanitaire paient le prix d’un sursaut d’attentisme de la part des collectivités.Accentuation du recul des productions en avrilAprès un premier repli en mars, l’activité dans le secteur des matériaux de construction a de nouveau baissé en avril, selon les résultats encore provisoires de notre enquête mensuelle. Ainsi, côté granulats, la production affiche une contraction de -8,8% entre mars et avril, laissant les volumes -8,5% en dessous de ceux d’avril 2021 (données CVS-CJO). Au cours des trois derniers mois, l’activité se stabilise quasiment à son niveau des trois mois précédents (+0,4%) mais fléchit au regard de la même période de février à avril 2021 (-1,1%). En cumul sur les quatre premiers mois de l’année 2022, la production de granulats baisse de -0,9% sur un an, tandis qu’elle revient presque à son niveau d’un an plus tôt s’agissant du cumul sur douze mois (-0,4%).Si ce repli trouve sans doute son origine dans le fléchissement de l’activité constructive lié aux difficultés d’offre et d’approvisionnement des chantiers, il doit aussi être nuancé : le mois d’avril 2021 avait été particulièrement dynamique et, comparé à un mois d’avril moyen (calculé sur ces dix dernières années), le recul apparaît trois fois moins marqué. S’agissant du BPE, la tendance est comparable. Entre mars et avril, les livraisons se sont contractées de -7,2% (données CVS-CJO) et chutent de -10,1% au regard d’avril 2021 qui, lui aussi, avait été particulièrement vigoureux pour le BPE puisque +10% au-dessus d’un mois d’avril « normal ».Au cours des trois derniers mois, l’activité du béton cède -1,6% par rapport aux trois mois précédents et -2,6% comparé à la même période de l’an passé. En cumul sur les quatre premiers mois de 2022, la production de BPE se contracte de -1,8% sur un an et de -1,9% en cumul sur les douze derniers mois.Notre indicateur matériaux indique lui aussi un nouveau fléchissement en avril, plus appuyé que celui de mars (-8,7% après -2,9% en données CJO et provisoires). Tous les matériaux sont concernés par ce repli, ce qui laisse désormais la tendance des quatre premiers mois de l’année sur une pente négative de -1,9% en glissement annuel.Bâtiment : un appareil productif toujours sous tensionsEn mai 2022, le climat des affaires se serait légèrement détérioré dans l’industrie du bâtiment selon la dernière enquête menée par l’INSEE. En effet, les professionnels se sont montrés moins positifs sur leur activité passée mais affichent plus d’optimisme que le mois précédent pour leur activité future. En dépit d’un léger repli, l’indicateur de climat des affaires se situe donc encore à un haut niveau. D’ailleurs, dans le gros oeuvre, le jugement des professionnels sur leurs carnets de commandes se redresse un peu, de même que le volume de ces carnets qui rejoint sa moyenne du second semestre 2021 à 9,9 mois. La demande reste donc vigoureuse, sans doute en partie alimentée par les difficultés de l’offre productive à y répondre dans les délais initialement convenus.Les indicateurs disponibles montrent en effet que l’appareil de production demeure fortement bridé par les contraintes d’approvisionnement. En mai, encore plus d’un entrepreneur sur deux (soit 57%, contre un sur trois en moyenne de long terme) se déclare dans l’incapacité de produire plus en cas de commandes supplémentaires. Même si cette proportion tend à baisser depuis le point haut de janvier (61,7%), elle illustre bien les fortes tensions sur l’offre qui se couplent désormais de pressions sur les coûts. En témoigne la forte hausse des prix de vente prévus par les chefs d’entreprise ces prochains mois, solde qui enregistre un plus haut jamais atteint depuis fin 1979 début 1980.Du côté de l’activité constructive, le secteur non résidentiel continue de se redresser avec une progression des locaux commencés de +19,6% sur un an au cours des trois mois de février à avril, ce qui laisse la tendance à +11,6% en cumul sur douze mois, certains segments se montrant très dynamiques (entrepôts et bâtiments industriels affichent respectivement +50,8% et +46,3% sur les trois derniers mois). Ces hausses ne permettent cependant pas de renouer avec le niveau des mises en chantier atteint avant la crise sanitaire.Côté logement, en revanche, ce niveau a été dépassé depuis plusieurs mois. A fin avril et sur douze mois, 392 600 logements étaient commencés (+4,1% sur un an), une tendance toutefois ralentie sur les trois derniers mois, sans doute en raison des difficultés d’approvisionnement (-1,4% sur un an). La dynamique des dépôts de permis, quant à elle, ne se dément pas : à fin avril, en cumul sur douze mois, on enregistrait 500 400 autorisations, soit +20,7% sur un an, un rythme encore plus soutenu sur les trois derniers mois (+24,4% sur un an), que ce soit dans le segment de l’individuel (+21,4%) ou du collectif (+25,6%). L’entrée en vigueur des nouvelles normes et réglementations, les perspectives de hausses de coûts et de taux d’intérêt expliquent sans doute ce rebond qui va continuer d’alimenter l’activité constructive de ces prochains mois mais aussi les tensions. Dans le même temps, le marché de l’immobilier neuf décroche : au premier trimestre, les ventes ont chuté de -8,5% sur un an, le contexte économique, politique et bancaire freinant probablement les velléités d’investissement des ménages. Le niveau des prix de vente moyens continue de grimper (+3,7% sur un an pour le m² d’appartement et +7,1% pour une maison), une tendance appelée à se poursuivre avec l’inflation des coûts de construction et la rareté de l’offre des promoteurs (mises en ventes en repli de -8,8% sur un an au premier trimestre).TP : attentisme et inflation des coûtsTout comme pour les matériaux, le recul d’activité en mars dans les travaux publics s’est confirmé en avril, le volume des travaux réalisés accusant une baisse de -18,3% (CVS-CJO) par rapport à avril 2021, un mois également très dynamique dans ce secteur. Certes, depuis janvier, le chiffre d’affaires enregistre une légère progression (+0,7%), mais compte tenu de la hausse des coûts de production, mesurée par l’index TP01 de l’INSEE, l’activité en volume ressort sur une tendance négative (-7,7%). Et l’atonie des prises de commandes ne suggère pas d’amélioration à court terme. Sur les trois derniers mois, les marchés conclus ont perdu -9%, laissant le cumul depuis janvier 2022 sur un recul de -7,4% en glissement annuel selon la FNTP. Le réveil des projets des collectivités locales, espéré avec le retour de la phase favorable du cycle électoral, se fait toujours attendre…
Il y a 2 ans et 318 jours

Yanis Ourabah : Alors on danse…

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine « J’ai pris quelque 700 photos pour 80 retenues. Le lieu était sombre, il fallait bien cela pour bien rendre parfaitement le mouvement de la danse. » [©Yanis Ourabah] Photographe professionnel à Lyon, Yanis Ourabah officie surtout dans la construction, l’architecture et l’industrie. Et plus précisément sur le chantier du prolongement du métro B de Lyon depuis 3 ans, pour le compte de Demathieu Bard. Il participe à immortaliser les suivis des chantiers à destination des architectes et des promoteurs immobiliers. « Je suis l’évolution du chantier depuis ses débuts et ça tombe bien, j’ai grandi dans le coin et je suis fasciné par ce chantier ! » A côté de cela, « en 2012, j’ai créé un projet qui s’appelle “Dance in Lyon”. Et qui a pour but de sortir la danse classique et contemporaine des studios et de faire découvrir la ville de Lyon grâce à cet art. Demathieu Bard a été enchanté par l’idée de réaliser une séance dans le tunnel du prolongement du métro B ! » Pleins-feux sur le chantier Ouverte en 1978, la ligne B dessert l’agglomération lyonnaise sur 8 km entre Villeurbanne et Oullins. Jusqu’alors doté de dix stations, le parcours a été prolongé de presque 2,5 km avec la construction en sous-sol de deux nouvelles stations : Oullins Centre et le terminus Saint-Genis-Laval – Hôpitaux Sud. Les travaux de génie civil ont comporté la réalisation d’un tunnel de 2,4 km et la construction de deux gares. Mais aussi, la création d’un puits d’attaque au niveau des hôpitaux Lyon Sud, un rameau de raccordement au puits du Grand Revoyet. Et enfin, l’adaptation du puits Orsel existant, situé derrière l’ancien terminus d’Oullins, pour évacuer le tunnelier et, en phase d’exploitation, ventiler les espaces souterrains. De la danse en sous-sol… Yanis Ourabah sublime le prolongement de la ligne B du métro de Lyon. [©Yanis Ourabah]Ses différentes séries ont aussi pour ambition de dévoiler la ville de Lyon à travers un œil unique, celui d’un amoureux du mouvement et de la grâce. [©Yanis Ourabah]Le photographe Yanis Ourabah suit l’évolution du chantier du prolongement du métro B de Lyon depuis ses débuts. [©Yanis Ourabah]« J’aime rechercher des lieux insolites à Lyon. Je me balade souvent seul en vélo. » [©Yanis Ourabah]« J’aime le contraste saisissant entre la dureté du béton, son graphisme épuré et la grâce de la danse. » [©Yanis Ourabah] « J’aime le contraste saisissant entre la dureté du béton, son graphisme épuré et la grâce de la danse. Ce tunnel était parfait pour cela… Mon objectif est d’amener de la légèreté et de l’élégance dans un environnement dur, froid, industriel et bétonné ! Montrer qu’un chantier peut être photogénique. Avec les deux danseuses et le danseur professionnels, nous sommes restés dans cet environnement poussiéreux et bruyant pendant 3 h. J’ai pris quelque 700 photos pour 80 retenues. Le lieu était sombre, il fallait bien cela pour bien rendre parfaitement le mouvement de la danse. » Yanis Ourabah sublime ainsi ce prolongement de la ligne B du métro de Lyon. Une démarche artistique double Ses différentes séries ont aussi pour ambition de dévoiler la ville de Lyon à travers un œil unique, celui d’un amoureux du mouvement et de la grâce. « J’aime rechercher des lieux insolites à Lyon. Je me balade souvent seul en vélo. J’arpente les rues, je repère des monuments…Si j’amène la danse hors de studios, je la mets en scène dans des hôtels 5* comme l’Intercontinental, dans des rooftop d’une clinique par exemple, dans des musées, ceux de Confluence ou le musée gallo-romain… Je fais à la fois découvrir la danse, mais aussi d’autres visages architecturaux de Lyon aux Lyonnais et aux touristes. Je me promène tel un globetrotter d’endroits en endroits toujours plus étonnants, comme les petites ruelles du quartier de La Guillotière, dans les IIIe et VIIe arrondissements… Je m’intéresse aux quartiers qui ont bougé ces dernières années comme La Confluence ou La Guillotière. » Yanis Ourabah vient de la photographie des sports extrêmes. En 2012, il a un déclic avec une série de photos sur une jeune danseuse. L’aventure avec ce médium commence : « Cette photographie est un substitut à celle de sports extrêmes. C’est une photo d’action. Il faut composer avec la lumière naturelle et l’environnement. Et surtout transmettre et retranscrire le style des artistes qui posent ». Une belle réussite… Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 323 jours

Que faut-il retenir sur les travaux de zinguerie?

La zinguerie rassemble toutes les pièces métalliques servant à étancher la toiture. Cela concerne donc les chéneaux, les faîtages et les gouttières. Mais il y a aussi les solins. Traditionnellement fabriqués en zinc, ces éléments peuvent actuellement être faits à partir d’autres matériaux comme le cuivre ou l’acier. Certains artisans utilisent même de l’inox ou de l’aluminium. Sans oublier le PVC et les matières composites qui sont très appréciés par les professionnels. D’ailleurs, les matériaux de zinguerie sont en constante évolution et les tâches s’amplifient. Découvrez ci-après les différents travaux pouvant être confiés à un zingueur. Poser les éléments de zinguerie Pour mettre en place les éléments de zinguerie de votre toiture, l’intervention d’un professionnel est requise. A savoir que chaque composant est indispensable pour garantir la mise hors eau du toit. Alors, n’hésitez pas à vous rendre sur ce blog sur le couvreur zingueur pour trouver un artisan qualifié. Cet expert procèdera à différents types d’opération. Les chéneaux Il existe principalement deux méthodes d’installation de chéneaux. En effet, ils peuvent être installés sur un support solide en respectant la structure du toit ou entre deux pans et un mur. Ces éléments sont fabriqués sur mesure et leurs tailles sont adaptées à celles des surfaces à traiter. Par ailleurs, ils sont invisibles depuis l’extérieur de la maison, parce qu’ils sont intégrés aux gros-œuvres. Leur mission est de guider les eaux de pluie aux gouttières. Concernant leur capacité d’évacuation, elle dépend essentiellement de leur profondeur. Mais elle est tributaire de leur largeur, leur forme ainsi que leur développé. Les gouttières Elles sont mises en place aux extrémités des pentes de la toiture pour recevoir et guider les eaux de pluie vers les égouts. On a le choix entre deux types de pose : rampant ou pendant. Des gouttières pendantes sont fixées soit sur la planche de rive soit sur le versant avec des crochets. D’ailleurs, elles existent sous différentes formes. Vous pouvez donc choisir des gouttières demi-rondes, carrées, moulurées, lyonnaises ou à l’anglaise. Les modèles rampants quant à eux sont directement posés sur la corniche avec des crochets. Ce style d’installation convient plus aux toitures avec une inclinaison importante. Discrets, ils sont généralement plus chers que les structures pendantes. Les solins Ils sont installés sur les parties de raccordement du toit comme la cheminée, les jonctions au mur ou les colonnes d’évent. Ils y sont posés avec des chevilles à frapper. Pour boucher les écartements, le zingueur y ajoute du joint mastic. Sachez que les solins servent à faciliter l’écoulement des eaux pluviales sur la toiture. Les faîtages Ils sont installés le long des joints des versants. L’installation varie en fonction du matériau utilisé. Pour les structures en tuile, ils doivent être scellés au mortier ou emboîtés. Quant aux faîtages en zinc, en suivant leur longueur, pliez-les en deux  et fixez-les avec des clous. Leur rôle est d’empêcher les infiltrations et de ventiler la toiture. Les entretiens et la rénovation La zinguerie sert à protéger les infiltrations d’eaux qui pourraient abîmer les couvertures, les armatures, les plafonds, les murs, etc. Pour la maintenir en bon état, les techniciens proposent des prestations d’entretien et de rénovation. Un contrôle tous les 10 ans est aussi requis. Alors, pour trouver un professionnel de la zinguerie, vous pouvez visiter ce blog sur le couvreur-zingueur. Vous y trouverez des artisans qui interviennent pour des rénovations partielles ou intégrales.
Il y a 2 ans et 323 jours

Viliaprint, un projet d’impression 3D en béton

Le projet Viliaprint présente cinq habitations fabriquées grâce au procédé de l’impression 3D. [©AC Presse] Il y a quatre ans, Plurial Novilia dévoilait “Viliaprint”. Un projet comptant un ensemble de cinq maisons avec des murs en béton imprimé en 3D et des éléments préfabriqués hors site. Il est situé au cœur de l’éco-quartier Réma’vert à Reims (51). En janvier 2020, le bailleur social obtient le permis de construire et se lance dans la fabrication en avril 2021. Et puis, le 2 juin 2022, “Viliaprint” est livré et prêt à vivre. « Nous sommes très heureux du rendu final de notre projet, déclare Jérôme Florentin, directeur de la maîtrise d’ouvrage de Plurial Novilia. En un peu plus d’un an, nous avons réussi à concevoir, avec la technologie de l’impression 3D, cinq maisons familiales de plain-pied, du T3 au T5. Ces dernières sont à la fois une première en France, une prouesse technologique, mais aussi un modèle environnemental. » L’équipe derrière Viliaprint Pour la réalisation, Plurial Novilia a travaillé en partenariat avec plusieurs acteurs du bâtiment. Parmi eux, le cimentier Vicat a fourni un mortier formulé spécialement pour ce procédé d’impression. « Nous avons conçu une encre cimentière très particulière, explique Olivier Martinage, ingénieur R&D pour l’impression 3D chez Vicat. Une fois appliquée, elle durcit presque instantanément pour accueillir une autre couche par-dessus. » Par ailleurs, XtreeE, industriel spécialisé dans l’impression 3D, a joué un rôle majeur dans l’élaboration de “Viliaprint”. Lire aussi : Un récif artificiel en impression 3D béton signé XtreeE En effet, ce dernier a imprimé les murs en béton dans son usine située à Rungis (94). Leur procédé a d’ailleurs reçu la certification Appréciation technique d’expérimentation (Atex) de la part du Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB). « L’avantage de notre technologie, c’est de construire des éléments rapidement, et de qualité », souligne Alain Guillen, directeur général de XtreeE. Enfin, l’entreprise Demathieu Bard a procédé à l’assemblage sur le chantier des pièces fabriquées hors site. En tout, “Viliaprint” regroupe 470 m2 d’espaces habitables, dont la plus grande maison se développe sur 117 m2. En ce qui concerne la structure, 35 murs ont été imprimés en 3D béton. L’impression 3D au service de l’environnement La particularité des maisons de “Viliaprint” se remarque visuellement avec ses formes arrondies qui sortent de l’ordinaire. Mais ces habitations se distinguent aussi par leur faible impact environnemental. En effet, grâce au procédé d’impression 3D, l’empreinte carbone des maisons est fortement diminuée. « Cette technologie permet d’économiser entre 50 et 60 % de béton utilisé pour réaliser une structure, reprend Olivier Martinage. Cela évite donc le surplus de déchet et la surexploitation de matières premières. De plus, les murs sont composés à plus de 50 % de vide. La consommation de béton est ainsi réduite de moitié en comparaison à une construction traditionnelle. L’impact environnemental du matériau en lui-même se voit donc diminuer considérablement. » Du côté de l’isolation intérieure, elle a été traitée avec de la laine de roche. En outre, les membres du projet “Viliaprint” ont privilégié des matériaux bas carbone comme le bois, qui constitue la charpente et le bardage. Pour le moment, le surcoût est de l’ordre de 25 % en comparaison à une maison classique équivalente. Mais dans les années à venir, « nous voulons que ce projet soit le précurseur d’une nouvelle ère dans le bâtiment. Une ère où l’on construit vite, de qualité, avec un bon bilan environnemental et moins cher », conclut Jérôme Florentin.
Il y a 2 ans et 327 jours

Bois de France : des marchés en forte croissance – Carrefour International du Bois 2022

Avec Jérome Martinez, Responsable – Bois de France Céline Laurence, Déléguée Générale – Fibois Ile-de-France Florian Lefévre, Directeur Général – Cruard Charpente
Il y a 2 ans et 329 jours

Comment effectuer des travaux d’agrandissement de la toiture?

Si vous avez envie d’agrandir votre surface habitable, il existe effectivement différentes alternatives en travaux de toiture, en fonction de la configuration de votre maison. Dans cette optique, le mieux est de faire appel à un couvreur confirmé pour vous aider à concrétiser votre rêve et réfléchir à la meilleure façon d’aménager vos combles. En effet, un tel projet requiert des connaissances spécifiques dans ce domaine et la maîtrise des normes règlementaires, pour garantir la solidité de votre construction. Aussi, vous ne pouvez pas faire l’impasse sur ces points cruciaux si vous souhaitez mener à bien la réalisation d’un nouvel espace répondant aux exigences du métier. Découvrir l’étendue des alternatives envisageables Pour ce faire, vous devez effectivement vous conformer aux dispositions légales en vigueur dans votre localité et tenir en considération la configuration de votre bâti. Ce sera seulement à partir de ces facteurs et en prenant en compte vos attentes spécifiques que le couvreur professionnel sera en mesure de vous soumettre la solution idéale. A savoir : Rehausse de toiture, pour les degrés d’inclinaison inférieurs à 30 °. Dans cette optique, votre façade sera décalée vers le haut et les murs seront remontés en moyenne de 0,80 m à 1 m. Aménagement des combles, si votre pente est supérieure à 30 °. En effet, si vos combles ont une hauteur suffisante, vous n’aurez pas besoin de surélever votre structure. Il vous suffira de planifier des travaux d’aménagement, en fonction de la distribution des différents espaces que vous souhaitez créer. Surélévation de toiture, c’est la solution classique en remontant vos murs à la hauteur standard. Elle est réservée aux pentes inférieures à 30 ° et en misant sur cette option, vous ne pouvez pas apporter des modifications à l’inclinaison de votre structure. Changement de pente, c’est une alternative réalisable si vous disposez d’une pente inférieure à 30 ° et vous permet de gagner plus de hauteur sous plafond. Appréhender les démarches indispensables Avant de lancer vos travaux d’agrandissement, vous devez effectivement réfléchir au préalable à l’anticipation de vos besoins futurs, afin d’éviter recommencer d’autres chantiers plus tard. Ainsi, vous estimez que l’aménagement d’une deuxième salle de bain vous sera utile prochainement, autant l’inclure dans votre projet actuel. Autrement, le concours d’un professionnel spécialisé vous permettra des meilleurs conseils pour connaître toutes les obligations légales que vous devez remplir, avant d’avoir l’autorisation de commencer votre chantier. De la même manière, il vous indiquera quelles sont les contraintes techniques à respecter pour garantir la solidité de votre construction et être à l’abri des risques d’effondrement. Dans cette optique, il mettra en œuvre toutes les actions indispensables pour veiller à ce que toutes les étapes inhérentes au bon déroulement de votre chantier soient conformes aux règlementations. Bref, votre rêve d’agrandissement n’est pas inaccessible, seulement il faut prévoir les travaux de toiture qui s’imposent en conséquence, afin de concrétiser votre plan. Cependant, vous devez faire appel à un couvreur professionnel comme sur ce site : https://www.couvreur-34.fr/ pour avoir la sérénité que l’aménagement espéré sera exécuté à la hauteur de vos attentes. De plus, vous aurez également la tranquillité d’esprit que votre qualité de finition répondra aux normes en vigueur dans le métier.
Il y a 2 ans et 330 jours

A Viroflay, le centre aquatique Les Bertisettes s’habille en WICONA

Contexte : reconstruire et valoriser Avec près de 40 % de sa surface couverte de forêts, Viroflay est l’une des communes les plus boisées de la proche couronne parisienne, partie intégrante de la communauté d’agglomération Versailles Grand Parc. C’est précisément à l’entrée de ville et en lisière de la forêt domaniale de Meudon que se situe le nouveau Centre Aquatique des Bertisettes (CAB). Un emplacement historique, occupé dès 1966 par l’ancienne piscine. Comment, sur cette parcelle contrainte, pentue et en forme de triangle aigu, reconstruire un équipement adapté aux attentes d’aujourd’hui et tirant parti de cet environnement ? Porté par Opalia, concessionnaire, et par le promoteur- constructeur GCC, le projet de l’Atelier Po & Po répond par un bâtiment compact en forme de proue. Sur 4 600 m2 en R+1, il accueille de plain-pied le hall, les vestiaires et trois bassins pour la compétition, l’apprentissage et le loisir ; au premier niveau : l’espace balnéo-détente, ainsi que des zones réservées au personnel. Le solarium et son jardin en toitures terrasses, les sheds vitrés de la halle bassins et, d’une manière générale, les volumes dialoguent avec l’urbain et les bois.  Enjeux : confort et lumière Le bâtiment s’ouvre aux paysages et à la lumière naturelle tout en maximisant son économie (isolation thermique renforcée, capteurs solaires en toiture, systèmes de récupération d’énergie, etc.) et en préservant le confort comme l’intimité des usagers. Par- delà les spécificités techniques, « le vrai luxe des équipements que l’on conçoit, c’est la lumière », souligne Jean-Luc Calligaro, architecte associé de l’Atelier Po & Po. Les fonctions et les vues dictent le choix des ouvertures : façades vitrées sur le hall d’accueil, grands ensembles composés à l’étage de l’espace détente, percées prolongées d’un garde-corps en toiture, sans oublier les verrières d’une toiture complexe… « Un traitement spécial est accordé à la façade vitrée de la halle bassins (sur rue), avec des ventelles métalliques posées à la verticale. L’enveloppe du rez-de-chaussée devient pleine sur la place de la fête, intégrant les ouvertures des bureaux du personnel, et se retourne sur la route du pavé de Meudon, où elle devient presque totalement opaque, intégrant là encore des ventelles métalliques au droit du vitrage de la halle bassins. » Conséquences pour le lot menuiseries extérieures : une variété inhabituelle de formes, de dimensions et de poses, assurée par les solutions aluminium Wicona et l’expertise de l’entreprise E2MK. Solutions WICONA : performances et adaptabilité Aux Bertisettes, la solution de façade MECANO mérite bien son nom. Elle se décline sur de nombreux murs-rideaux. L’un d’eux se déploie sur toute la façade nord, éclairant d’abord le hall d’accueil sur 40 m de long par 3,40 m de haut, puis les bassins, sur 30 m par 2,20 m, posé sur une allège maçonnée devant des ventelles métalliques. Un autre, en surplomb de la halle bassins, se compose de trapèzes de dimensions différentes, posés sur 35 m de long, inclinés en applique extérieure sur les poutres de Vierendeel de la charpente mixte bois-métal. La même solution MECANO sert aux larges ouvertures en étage mais celles des espaces détentes (8 m de long par 2,70 m), encadrées d’un bardage métallique, sont réalisées en châssis WICLINE 65 HI (haute isolation), dotées chacune d’un ouvrant à la Française. La même solution WICLINE 65 HI compose les ensembles donnant sur les terrasses et intégrant des portes WICSTYLE 65, ainsi que les ouvrants hauts et étroits (2 m par 80 cm) des bureaux de la façade ouest. Enfin, le système WICSTYLE 77 FP coupe-feu 30 minutes (EI30) a permis de réaliser les deux cloisons, dont une avec porte, séparant le hall d’accueil et la halle bassins. Un résultat fidèle aux promesses du concours « Les contraintes logistiques et techniques étaient nombreuses sur ce projet, mais la plus inattendue a été la Covid-19 », se souvient Victor Gros-Colas, directeur de projet de l’opération pour GCC Travaux. En dépit de cela, « la relation de confiance nouée dès la conception s’est poursuivie tout au long du chantier. Grâce à ce vrai partenariat, malgré les deux mois d’arrêt du printemps 2020, le résultat est fidèle au concours et le centre a ouvert dans les délais, en juin 2021 ». Copyright photo : Franck Deletang
Il y a 2 ans et 335 jours

Alain et Jean-Louis Albizati : « La construction en béton perdurera »

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine [©Albizzati Pères & Fils] Si vous étiez une construction en béton ? La Fondation Jérôme Seydoux – Pathé conçue par RPBW dans le XIIIe de Paris. C’est une construction fonctionnelle, discrète, imaginée pour s’adapter à son environnement. Et faisant appel au meilleur de la technologie. Cette réalisation a été le fruit de tout le savoir-faire séculaire de notre entreprise. Nous avons réalisé la coque du bâtiment suivant une technique innovante de béton projeté sur une charpente métallique. Si vous étiez une œuvre du patrimoine mondial ? Sans hésiter, le binôme de la colline Notre-Dame-du-Haut de Ronchamp : la chapelle de Le Corbusier et le monastère Sainte-Claire de Renzo Piano. Notre entreprise a eu la chance d’intervenir sur la construction du monastère et maintenant sur la rénovation complète de la chapelle. Ce sont des monuments chers à notre culture locale de bâtisseurs. Comment voyez-vous le futur de l’architecture en béton ? La construction en béton perdurera, mais devra se réinventer tant dans sa conception que dans la composition des matériaux. Ceci, pour rester en adéquation avec les aspirations de notre société. Nous vivons l’une des périodes les plus captivantes de l’histoire de la construction où naissent une multitude de pistes de réflexions et d’expérimentions. Si vous étiez une rubrique de Béton[s] le Magazine ? Une rubrique… Des rubriques. Nous lisons déjà “Béton d’antan” qui nous rappelle à notre savoir-faire ancestral et nous permettra d’être bons dans nos “Fondamentaux”, afin d’être armés pour intégrer toutes les pistes d’avenir développées par le reste du magazine. Retrouvez l’ensemble du dossier événement
Il y a 2 ans et 336 jours

Somme : Capremib crée une forêt de poteaux pour un entrepôt

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine Daylicer France fait construire son nouveau site de stockage à partir d’éléments préfabriqués de Capremib. [©Capremib] A Faverolles, une installation industrielle en remplace une autre. Souhaitant rapprocher son site de stockage de produits finis de son unité de fabrication, Daylicer France reconvertit la friche industrielle de l’ancienne usine Nutrimaine/Banania. Pour mener ce projet à bien, le maître d’ouvrage a confié à AConstruct la mission de réaliser un bâtiment de stockage de grande capacité (pour 41 000 palettes). Ce dernier est constitué de deux cellules attenantes de 4 230 m2, auxquelles s’ajoutent une cellule de transition transtockeur/expédition, appelée Buffer, haute de 26,40 m et se développant sur 1 650 m2. Mais aussi un bâtiment quais/expédition/bureau, haut de 11,80 m, pour de 955 m2 et un local technique, culminant à 11,80 m, d’une superficie de 420 m2. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Hauts-de-France D’une hauteur unitaire de 34,15 m, les poteaux sont constitués de deux éléments superposés : une partie basse de 12,50 m, rehaussée d’un segment de 23 m. L’ensemble est liaisonné à l’aide du système Bolda de Peikko, aussi utilisé pour fixer les poteaux sur les massifs de fondation. La hauteur plus faible de la cellule Buffer a permis à Capremib de réaliser des poteaux de 27,50 m (33 t) d’un seul tenant. Pour les parties verticales, c’est un béton armé C50/C60 qui a été mis en œuvre. Au total, la structure verticale du transtockeur compte 95 poteaux de 56 t chacun, en béton armé bas carbone. Cette ossature est complétée par des éléments de remplissage coupe-feu (2 h ou 4 h) en béton préfabriqués par TechniPrefa. En partie haute, une charpente béton (C6075 précontraint), toujours signée Capremib, supporte la couverture des bâtiments. Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 337 jours

Dossier détails : parements tuiles

    La prescription de la tuile dans l'architecture moderne s'est faite de plus en plus rare, à mesure que les toits devenaient des terrasses, parfois accessibles, et s'imposaient sous cette forme comme archétype sommital des bâtiments. Aujourd'hui, les concepteurs redessinent volontiers des toitures en pente et la tuile retrouve droit de cité, […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 338 jours

A Amiens, Institut Faire Faces signé Architecturestudio,

Architecturestudio a livré en 2022 à Amiens (Somme), pour le CHU maître d’ouvrage, le nouvel Institut Faire Faces, premier centre de recherche dévolu à la défiguration. L’ouvrage de 3 400 m² (Coût : 8,5 M€) s’intègre minutieusement dans la pente et s’ouvre sur le grand paysage. Communiqué. L’Institut Faire Faces occupe une place stratégique à […] L’article A Amiens, Institut Faire Faces signé Architecturestudio, est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 339 jours

Eurobois Awards : le concours qui valorise les innovations et l’ensemble des acteurs de la filière bois

28 innovations en lice pour devenir lauréate de l’édition 2022Cette année, le concours évolue ! Afin d’offrir une meilleure visibilité aux innovations et aux acteurs de la filière, les entreprises pourront présenter leur candidature à travers un pitch sur le plateau TV Eurobois. Autre nouveauté 2022 : la création d’un jury étudiant, qui décernera le prix « Coup de cœur des étudiants ». Autant d’éléments qui font de cet événement un rendez-vous incontournable du salon pour les professionnels de la filière.Qu’est-ce que les Eurobois Awards ?Plateforme de lancement de produits, les Eurobois Awards récompensent le caractère innovant d’un produit ou d’un service, mais aussi son design, sa performance, la démarche RSE de l’entreprise, la qualité environnementale du produit/service, sa certification, son usage pour les professionnels, et enfin sa maîtrise des coûts.Cette année, le processus d’inscription, ouvert à tous les exposants, a été simplifié pour faciliter la participation des entreprises. Participer au concours offrira aux candidats une visibilité accrue auprès des professionnels de la filière en amont et pendant le salon, avec la présentation de l’ensemble des innovations sur le site web, les réseaux sociaux du salon ainsi que sur l’application Eurobois Connect.Sur le salon, les visiteurs pourront facilement identifier les innovations grâce à une signalétique dédiée.Rendez-vous le 15 juin en fin de journée sur le plateau TV pour la remise des prix.Des pitch et visites des stands pour promouvoir les innovations et défendre les projetsPour valoriser leur candidature, les entreprises auront l’opportunité de présenter leur innovation à travers un pitch de 5 minutes, sur le plateau TV du salon, le mardi 14 juin matin, à partir de 10h. Cette présentation permettra à la fois aux entreprises de rencontrer leur public, mais également de séduire le jury en démontrant leur capacité à défendre leur innovation.Le lendemain, au 2ème jour du salon, le jury se rendra sur les stands des innovations présélectionnées. Ses membres pourront ainsi échanger avec les candidats et découvrir en détail les nouveautés.Les lauréats élus par un jury de professionnels et d’étudiantsComme chaque année, le jury est composé de professionnels de la filière bois (ébénistes, agenceurs, menuisiers, charpentiers…). Dans le but de représenter au mieux tous les publics, la grande nouveauté cette année réside dans la création d’un jury étudiant composé de jeunes en école d’architecture, menuiserie, agencement ou ingénieur.La création de ce jury étudiant permet une appréciation différente et nouvelle des innovations en compétition. C’est également l’occasion pour Eurobois d’intégrer les générations futures dans la filière, qui seront les professionnels de demain. Cette immersion dans le monde professionnel est tout aussi bénéfique aux étudiants, dont la présence sur le salon constitue une première mise en réseau avec les acteurs de la filière. Ce jury remettra un prix spécifique à une entreprise qui sera élue « Coup de cœur des étudiants ».Membres du jury professionnel : Président du jury professionnel : ARNAUD GODEVIN, Directeur de l’ESB – Ecole Supérieure du Bois Membres du jury professionnel : Jérôme CARRAZ Responsable de l'Institut de la Charpente et Construction bois - COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FranceVincent CHARROIN Président - SAS CHARROIN TOITURES, Président de la Chambre Professionnelle « Charpente Toiture » de BTP RHONE – FFBJean-Denis FORTERRE Responsable du service Technique à la CAPEB Auvergne-Rhône-AlpesRaphael HOUSSET Gérant - ATELIER RAPHAELMathieu HUGON Responsable de l'institut européen de la menuiserie, l'agencement et l'ébénisterie - COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FranceLaurent JACQUET Créateur de contenu vidéo, web/Domaine bâtiment, bricolage, maison - BICHON PRODUCTIONJean-François JAILLET Gérant, Jaillet Menuiserie – Membre de la Chambre Française de l‘AgencementXavier LUGINBUHL Directeur Général - Groupe HASAP • Herve MARECHAL Dirigeant agenceur - APPORT ANSELes membres du jury étudiant :Diana ALMERI, en formation « Décorateur » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurAnge CHARPENTIER, en 2ème année de cycle ingénieur de l’ENSTIB - École nationale supérieure des technologies et industries du boisMathilde DE COURCY, en formation « Architecte d’intérieur designer global » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurAmandine FONTAINE, en formation « Décorateur » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurFantine KOCH, en 2ème année à l’ENSTIB - École nationale supérieure des technologies et industries du boisCécile SOULIER, en formation « Architecte d’intérieur designer global » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurGéraldine VINCENT, en formation « Architecte d’intérieur designer global de niveau 7 » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurEUROBOIS, sensible à l’avenir de la filière bois Le salon est particulièrement engagé auprès des jeunes générations car elles représentent les professionnels de demain. Conscient que la problématique de l’emploi et la formation est centrale pour la filière bois, le salon accueille le Campus Eurobois. Il s’agit d’un espace ouvert à tous les professionnels, sur lequel les visiteurs pourront rencontrer de potentiels recruteurs et professionnels du secteur. Plus largement, le salon abordera la thématique de l’emploi et de la formation à travers des conférences sur le plateau TV.Zoom sur les innovations présentées cette année Les entreprises candidates ainsi que leurs innovations pour les EUROBOIS AWARDS 2022 sont :PAPERSTONEPremier matériau composite à être fabriqué à partir de papier et de carton 100% recyclés certifiés FSC et imprégnés d’une résine appelée PetroFree. Celle-ci est obtenue en pressant des coquilles de noix de cajou et ne contient donc aucun composé chimique dérivé du pétrole.HI-MACS ASKA BUGATOOL PAPERSTO – Stand : 6L62THERMOFORMING STATION DUO CROSSLOW La station de thermoformage Duo cross-flow de Global est une solution novatrice « Tout-en- un » pour le préchauffage, le thermoformage et les applications de travail du bois. La machine combine une presse sous vide à membrane et un four de préchauffage dans un seul appareil. GLOBAL VACUUM PRESSES – Stand : 6K88MAXIPRESS M Système de piston avec filetage protégé. Le seul serre-joint de marqueterie au monde utilisant ce système Manche ergonomique interchangeable et multiposition Surface de pression avec rainure en V pour tubes et profils Recommandé pour travaux de soudure, plâtre, etc.INDUSTRIAS PIQUERAS SA - Stand : 6G29CLOUEUR AUTONOME PKT Cloueur autonome sans fil pour des pointes jusqu'à 100mm. ALSAFIX - Stand : 6E41STATION D'ENERGIE MOBILE SYS-POWERSTATION La station d'énergie mobile SYS-PowerStation fournit du courant en permanence et en tout lieu. Elle permet d'alimenter tous les outils filaires, toutes marques confondues.FESTOOL France - Stand : 6E51LAMEO Le profilé hybride BRISEO combine l'aspect du bois composite LAMEO renforcé par un insert aluminium. Mixant toutes les caractéristiques de la formulation LAMEO, ses applications sont exponentielles : habillage décoratif de façade, claire-voie, brise-soleil, mobilier urbain, cache bloc technique... BRISEO - Stand : 6J54ELEVATEUR POUR ETAU D'ETABLI ELV ET ELVP Remplace la base tournante grâce à sa rotation possible sur 360 ° - Permet un ajustement de la hauteur de l’étau pour adapter la hauteur de celui-ci à la taille de l’utilisateur - Lutte contre les Troubles Musculo-Squelettiques et évite tout problème de dos dans le cadre d’une utilisation prolongée. VP DOLEX – Stand : 6E60EXEDRA 2 Très innovant et performant, Exedra2 est une évolution du système pour portes escamotables Exedra qui, grâce à une solution de mouvement novatrice, permet l’ouverture simultanée de deux portes jointes. Le système permet ainsi de fermer des espaces de largeur jusqu'à 3m sans rail bas. SALICE France - Stand : 6H44SAFEDETECT Système de capteurs sans contact pour la sécurité de l'opérateur - présenté pour la première fois au public lors de l'EUROBOIS 2022 WEINIG - Stand : 5A14 PLAN DE TRAVAIL VISE LED Solution LED unique pour le positionnement des ventouses - présentée au public pour la première fois à EUROBOIS 2022 WEINIG - Stand : 5A14 PROFIMAT 50 Le moment est venu pour la génération suivante. La nouvelle Profimat : Rabotage et profilage avec la qualité WEINIG. WEINIG – Stand : 5A14 MAXIPRESS E INDUSTRIAS PIQUERAS SA – Stand : 6G29 TEVA 3D Plateforme web de visualisation et validation 3D pour les agenceurs, les cuisinistes et les menuisiers. CABINET VISION France - Stand : 6G12 ASSISTANT PRODUCTION DE WEBCAB L'ASSISTANT PRODUCTION de WEB CAB est un MES consistant à garantir l'exécution effective des opérations de fabrication et à améliorer le rendement de la production.CABINET VISION France - Stand : 6G12 LE TIROIR AVANTECH YOU AVEC SIGNATURE LUMINEUSE Le tiroir AvanTech YOU donne au meuble sa propre signature lumineuse à LED. La mégatendance de personnalisation qui ne cesse de progresser renforce le souhait d’une liberté d’agencement individuelle des meubles de cuisine et des meubles de salon en général. HETTICH France - Stand : 6G60 SECHAGE SOUS ATMOSPHERE CO2 Cette technologie disruptive de séchage permet de sécher avec du CO2 tout type d’essence de bois en quelques jours, en respectant la structure du matériau tout en augmentant significativement sa durabilité. Le bois sera de meilleure qualité, stable et séquestrera naturellement des quantités de CO2. WAYS INDUSTRIE - Stand : 5F44 CRENO CLT-ONE : MACHINE D'USINAGE DE PANNEAUX CLT La CRENO CLT-ONE est dédiée à l'usinage des panneaux CLT, avec une productivité inégalée : en moyenne 30min pour un plancher et 45min pour un mur. Elle permet d'usiner les 6 faces grâce à une architecture innovante combinant tête 5axes, agrégats additionnels et posages flexibles automatisés. LE CRENEAU INDUSTRIEL - Stand : 6B96 BROYEUR DE FEUILLARDS Présentation du programme 3R inventé par La Croix Noble ! LA CROIX NOBLE - Stand : 6F83 DUAL MIXTE OC Le système DUAL MIXTE OC permet la réalisation de menuiseries mixtes bois - aluminium à ouvrant caché au design épuré et avec un vitrage déporté sur l’extérieur. La gamme de tapées compatibles facilite la pose et permet d’augmenter l’apport solaire.JOINT DUAL – Stand : 6E88 OPTICORE AI Un scanner prend une image de la planche à l'aide de caméras, analyse la planche informatiquement et une fois la planche analysée, la solution de découpe la plus profitable pour le client est décidée. C'est pendant la phase d'analyse de la planche que l'IA va rentrer en jeu. WEINIG - Stand : 5A14 ARTEMIS - FRAISES MONOLÈVRES Fraises de haute technicité à destination des enseignistes, menuiseries et des professionnels de la PLV. PRACARTIS GROUPE - Stand : 5F46 COLLECTION CRYSTAL Allier l’élégance du Crystal et le rangement d’intérieur avec notre collection Crystal. Elle mêle nos panneaux de surface RAUVISIO crystal, nos bandes de chants RAUKANTEX et nos systèmes de rideaux d'armoire RAUVOLET crystalline pour créer un design unique.REHAU - Stand : 6H72 LAMES DE SCIES ACCUCUT AccuCut désigne des lames de scie spéciales à largeur de coupe réduite et disposant des développements les plus récents en termes de matériaux de coupe. Ces innovations offrent une durée de vie accrue des batteries des machines électroportatives sans fil. LEITZ France – Stand : 5C20 VIKING ARM Le viking Arm est une troisième main idéale pour le levage, l'abaissement et le serrage d'objets lourds. SCAB - Stand : 6B113 MERIVOBOX Avec MERIVOBOX, il n’a jamais été aussi facile d’offrir de la diversité. Fabriquer des meubles plus facilement et offrir tout de même de la diversité, tel est l’objectif de la plateforme de tiroir métallique MERIVOBOX ! BLUM France – Stand : 6K72 HNC 47.82 Une créativité sans fin et une précision CNC professionnelle pour les amateurs, les bricoleurs, les petites entreprises, les modélistes et les écoles. FELDER GROUP – Stand : 6C114 SUPERFICI MINI P Superfici mini p est un système de pulvérisation à brancher et prêt à l'utilisation (machine plug&play) qui peut être positionné au sein d'une ligne ou utilisé en tant que machine seule. SCM GROUP France – Stand : 5F22 STEFANI X Industrial edgebander designed to offer the highest edgebanding quality on any type of panel and material and to fully meet the needs of a digital, connected and integrated factory. SCM GROUP France - Stand : 5F22
Il y a 2 ans et 339 jours

Référence : Henri Gaudin et la faculté des sciences d'Amiens

    La prescription de la tuile dans l'architecture moderne s'est faite de plus en plus rare, à mesure que les toits devenaient des terrasses, parfois accessibles, et s'imposaient sous cette forme comme archétype sommital des bâtiments. Aujourd'hui, les concepteurs redessinent volontiers des toitures en pente et la tuile retrouve droit de cité, […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 340 jours

Nouvelles pompes de relevage Wilo-Rexa MINI3-S, FIT-S et PRO-S pour habitations individuelles et collectives

Des pompes de relevage adaptées pour toutes les applications Wilo propose des solutions fiables pour les habitations individuelles et collectives afin d'évacuer en toute sécurité les eaux chargées domestiques et d'assurer le relevage des habitations. En plus des pompes et systèmes de pompage qui évacuent les eaux chargées en utilisant la pente naturelle, il existe des solutions de raccords d'évacuation des eaux usées à installer plus en profondeur dans les sous-sols où subsiste un risque de refoulement et d'inondation. Même dans les cas extrêmes de trop-plein dû à une montée des eaux, Wilo dispose de solutions de pompage transportables et fiables qui se raccordent très rapidement sur place afin de limiter les dégâts.Relevage sous pression efficace grâce aux propriétés hydrauliques du dilacérateur :Dilacérateur robuste en acier inoxydable trempé spécifique (1.4528 – 59HRC)Dilacérateur radial avec double effet de cisaillementUn résultat de dilacération optimal de 10 mm en moyenne en fonction du débit et du type de solidesLe nouveau dilacérateur à double effet de cisaillement déplace les eaux usées à une vitesse de coupe de 90 km/h (à l’extérieur)Combinaison hydraulique/dilacérateur optimisée pour une hauteur de refoulement maximale avec une consommation d’énergie réduite.Wilo-Rexa MINI3-S | Wilo : une pompe efficace pour le relevage des maisons individuelles et collectives Légère et anti-colmatage, elle est disponible avec une puissance nominale de 0,75 kW et, de cette façon, peut être facilement connectée à une prise de courant domestique existante. Des installations électriques supplémentaires ne sont pas nécessaires. Grâce au dilacérateur radial à double effet de cisaillement, l’assainissement de la maison est assuré de manière fiable.Les forces de la gamme Wilo-Rexa MINI3-S : Excellente fiabilité anti-colmatage grâce au dilacérateur radial avec double effet de cisaillementCombinaison hydraulique/dilacérateur optimisée pour une large couverture de hauteurs de refoulement à faible puissance adaptées aux installations électriques domestiquesFaibles coûts d’installation grâce à l’utilisation de tuyauterie de petite tailleFacile à utiliser dans les applications domestiques grâce à son faible poidsLongue durée de vie grâce à un moteur de haute qualité avec double étanchéitéHaute résistance à la corrosion, même lorsque le moteur n’est pas immergé, grâce au carter moteur en acier inoxydable.Wilo-Rexa FIT-S | Wilo : une solution de relevage idéal pour les bâtiments commerciaux La Wilo-Rexa FIT-S assure un relevage sous pression fiable dans les bâtiments commerciaux grâce au dilacérateur radial à double effet de cisaillement. L’hydraulique optimisée offre un haut rendement ainsi qu’une hauteur de refoulement maximale. D’autre part, elle peut être raccordée à des tuyauteries de petite taille. Ainsi, les coûts globaux d’installation et de fonctionnement sont considérablement minimisés.Les forces de la gamme Wilo-Rexa FIT-S : Excellente fiabilité anti-colmatage grâce au dilacérateur radial avec double effet de cisaillementCombinaison hydraulique/dilacérateur optimisée pour une large couverture de hauteurs de refoulementFaibles coûts d’installation globaux grâce à l’utilisation de tuyauterie de petite tailleConçue pour une sélection facile couvrant les besoins de différents types de bâtimentsLongue durée de vie grâce à un moteur de haute qualité avec deux garnitures mécaniques et une surveillance optionnelle de la chambre d’étanchéitéHaute résistance à la corrosion, même avec un moteur non immergé, grâce au carter moteur en acier inoxydable.Wilo-Rexa PRO-S | Wilo : une pompe parfaitement adaptée aux applications commerciales ou municipales La Wilo-Rexa PRO-S efficace et anti-colmatage est homologuée ATEX en standard, ce qui en fait le choix numéro un pour les applications municipales. Les hauteurs de refoulement élevées garantissent un relevage sous pression efficace pour les installations avec une hauteur de refoulement statique élevée. Le dilacérateur radial avec un double effet de cisaillement et des rendements élevés assurent un fonctionnement continu rentable.Les forces de la gamme Wilo-Rexa PRO-S : Excellente fiabilité anti-colmatage grâce au dilacérateur radial avec double effet de cisaillementCombinaison hydraulique/dilacérateur optimisée pour une hauteur de refoulement maximale avec une efficacité optimaleFaibles coûts d’installation globaux grâce à l’utilisation de tuyauterie de petite tailleConçue pour une sélection facile dans les applications les plus exigeantesLongue durée de vie grâce à un moteur de haute qualité avec deux garnitures mécaniques et une surveillance optionnelle de la chambre d’étanchéité
Il y a 2 ans et 341 jours

Nouveau plateau TV Bati-Journal au Carrefour International du Bois

À l’occasion du Carrefour International du Bois qui se tiendra à Nantes du 1er au 3 juin prochain, les équipes de Bati-Journal seront présentes avec une nouvelle édition de son plateau TV. Cet événement est organisé par Wood Surfer et le Carrefour International du Bois, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt. Ce plateau sera animé par Stéphane Miget (rédacteur en chef des magazines Planète Bâtiment et 5façades) Programme du mercredi 1er juin : 10h15 – Observatoire filière forêt-bois : chiffres clés, marchés et actualité, avec Eric Toppan (Coordinateur de l’Observatoire Économique de France Bois Forêt) 12h30 – Le bois français dans la restauration du patrimoine avec François Auger (Architecte du Patrimoine), Henry de Revel (Responsable des programmes – France Bois Forêt) et Bernard Lechevalier (Rédacteur en chef d’Atrium, patrimoine & restauration) 14h00 – Les bardages bois : enjeux et opportunités avec Manel Chéour (Responsable marketing et innovation – Groupe ISB), Arnaud Hétroit (Directeur – Le Commerce du Bois), Eva Cojean (Chargée de mission seconde transformation – Fédération Nationale du Bois) et Gwénolé Lees (Chef de marché construction bois – Piveteau Bois) 14h45 – JO 2024 : bois & impact carbone avec Georges-Henri Florentin (Président – France Bois 2024) et Benoît Jobbé-Duval (Directeur Général – ATIBT) et Eva Cojean (Chargée de mission seconde transformation – Fédération Nationale du Bois) 16h00 – Traçabilité : aide au choix responsable avec Dominique Cottineau (Délégué Général de l’Union des Industriels et Constructeurs Bois), Jérôme Martinez (Responsable Bois de France), Alessandra Negri (Responsable marchés et environnement – Le Commerce du Bois) et Sabine Boury (Déléguée Générale de l’Union des Industries du Panneau Contreplaqué) Programme du jeudi 2 juin :  09h30 – Retours d’expériences bois biosourcés avec Margaux Petillon (Architecte – Can-Ia) et Jihen Jallouli (Responsable innovation durable – CRR Ecritures Architecturales) 10h30 – Marchés mondiaux et flux de matériaux avec Thibaud Le Moign (French Timber) 11h30 – Groupe ISB : actualités Structure et Biosourcés avec Laureline Roy (Chef de produit structure – Groupe ISB) et François Bonnaud (Responsable commercial région Ouest – Groupe ISB) 12h00 – Signature de La Wood Tech & FCBA 12h30 – Présentation des start’up de la Wood Tech avec François Vulser (Responsable de la Wood Tech) 13h15 – La parole à Eco-Mobilier avec Dominique Mignon (présidente d’Eco-Mobilier) 14h00 – Configurateurs avec Ambre Le Ferrec (Responsable du pôle seconde transformation – Fédération Nationale du Bois) 15h00 – Les terrasses bois : enjeux et opportunités avec Arnaud Hétroit (Directeur – Le Commerce du Bois), Eva Cojean (Chargée de mission seconde transformation – Fédération Nationale du Bois), Claudie Maindron (Responsable commercial – Protac France) et Catherine Ducerf (Responsable marketing et communication – Groupe Ducerf) 16h00 – L’Union des Artisans du Bois, nouvelles infrastructures et projet d’investissements avec Alban Viaud (Président de l’Union des Artisans du Bois) 17h00 – Aménagement urbain en bois avec Jérémie Kœmpgen (Architecte – Jérémie Kœmpgen Architecte) et Benjamin Verger (Cofondateur – 100Détours) 18h15 – La parole à SwissKrono avec Vincent Adam (Président – SwissKrono) et Joao Da Rocha (Directeur commercial et marketing – SwissKrono) 18h30 – La parole à Jean-Michel Servant, président de l’Interprofession nationale France Bois Forêt Programme du Vendredi 3 juin  09h15 – Rénover avec le bois avec Bruno Trovalet (Architecte Associé-Urbanmakers) 10h30 – Construire en bois en respectant la RE 2020 : outils et solutions avec Jean-Marc Pauget (Expert construction bois – CNDB) 11h00 – Notre-Dame de Paris : comment la filière forêt bois participe à sa reconstruction, genèse d’une aventure humaine et forestière ? avec Michel Druilhe (France Bois Forêt) et Aymeric Albert (Directeur commercial – ONF) 12h00 – Certification PEFC et construction bois : contrainte ou opportunité ? avec Geoffroy D’Hainault (Directeur des Opérations – REI Habitat), Karine Bouhier (Directrice – LCA), Céline Laurens (Déléguée Générale – Fibois France) et Paul-Emmanuel Huet (Directeur exécutif – PEFC France) 14h00 – Bois de France : des marchés en forte croissance avec Jérôme Martinez (Responsable Bois de France), Florian Lefèvre (Directeur Général Cruard Charpente) et Céline Laurence (Déléguée Générale – Fibois France) Toutes les vidéos seront à retrouver dès le 1er juin sur bati-journal.com, woodsurfer.com et sur le site de franceboisforet.fr  Retrouvez l’intégralité du programme des conférences de l’espace Techniques & Solutions bois sur le site du Carrefour du bois.
Il y a 2 ans et 344 jours

NOUVEAU ONDULINE EASYFIX® COMPACT – Des plaques compactes, faciles à manipuler et à installer

En résidentiel, les travaux d’amélioration de l’habitat sont multiples : création d’abris, de carports, de garages, de cabanes d’enfants, d’ateliers, de refuges pour animaux… Pour offrir à ces structures annexes une couverture esthétique, durable et facile à poser, ONDULINE, expert en toitures et sous-toitures légères, lance une nouvelle plaque bitumée légère et compacte qui simplifie l’installation grâce à son format malin : ONDULINE EASYFIX® COMPACT. Au plus près des attentes des bricoleurs, les nouvelles plaques ONDULINE EASYFIX® COMPACT – composées à 50 % de matière recyclée – sont d’ores et déjà disponibles en 3 couleurs (rouge, noir et vert) et 3 autres couleurs (brun, orange et gris anthracite) seront commercialisées dès 2023 pour s’intégrer à la perfection aux différents aménagements, en neuf comme en rénovation. Mesurant 1 x 0,82 m et pesant seulement 1,7 kg, elles sont facilement transportables dans le coffre d’une voiture et offrent une mise en œuvre aisée. En effet, la pose ne requiert aucun équipement spécifique : leurs petites dimensions permettent une installation très facile et sur mesure.   Légère, souple, facile à manipuler, à installer et garantie 10 ans, ONDULINE EASYFIX® COMPACT offre une couverture durable et respectueuse de l’environnement. NOUVEAU ONDULINE EASYFIX® COMPACT Une toiture simple d’installation Légères et souples, les nouvelles plaques ONDULINE EASYFIX® COMPACT ne pèsent que 2,8 kg/m2 ce qui les rend très faciles à manipuler lors de l’installation et évite d’avoir recours à un équipement de levage pour poser les plaques. Utilisées seules ou en complément des plaques ONDULINE EASYFIX® standard (2 x 0,82 m), elles évitent les découpes ou gâchis de matière et peuvent ainsi servir de plaques de complément pour les toitures. Ces nouveautés ONDULINE sont dotées d’un système de marquage et guide de recouvrement innovant sur les plaques qui simplifient la pose et assurent une étanchéité parfaite. Le bricoleur n’a pas besoin de gros outils pour la coupe : les plaques se découpent très facilement au cutter ou à la scie. Un mètre, un marteau, une visseuse, des pointes et des vis conçues pour la gamme ONDULINE EASYFIX® COMPACT suffisent pour poser et fixer simplement ces nouvelles plaques bitumées. Un support de 21 mm d’épaisseur minimum est recommandé pour la pose. Les plaques ONDULINE EASYFIX® COMPACT peuvent être montées sur un support plein ou discontinu avec des chevrons espacés au maximum 28 cm sur une pente de 15 % minimum. Outre le format intéressant qui en fait l’alliée des bricoleurs, ONDULINE EASYFIX® COMPACT bénéficie de la marque CE et affiche une résistance à toute épreuve et une imperméabilité parfaite. Pour répondre à toutes les attentes, les plaques de toiture ONDULINE EASYFIX® COMPACT et leurs accessoires seront disponibles en six couleurs (rouge, noir, vert, brun, orange et gris anthracite) et offrent une finition harmonieuse et contemporaine des abris de jardin, des maisons de jeu pour enfants, des pergolas… Un matériau fiable et respectueux de l’environnement Les plaques ONDULINE EASYFIX® COMPACT contiennent environ 50 % de matières premières recyclées et leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l’environnement forte et visible. De plus, les émissions de CO2 sont considérablement réduites grâce au poids allégé des matériaux qui limite l’impact lors du transport.
Il y a 2 ans et 345 jours

La couverture, interface clé entre les éléments extérieurs et le bâtiment

Photo : ShutterStockLa couverture est la partie visible de la toiture qui recouvre la charpente et l'isolation du toit. Elle protège le bâtiment et ses occupants contre les agressions climatiques : la pluie, le soleil, la chaleur, la neige et le vent. Afin de remplir cette fonction, elle doit présenter des caractéristiques telles que l'imperméabilité et la résistance au poids et aux chocs. Pour s'assurer de l'efficacité du système, le choix d'éléments de couverture de qualité est essentiel. Il doit être déterminé en fonction des performances attendues des produits dans la durée, au regard du climat, des règles d'urbanisme et, idéalement, de l'utilisation des ressources locales. Les couvertures en tuiles sont les plus répandues dans l'Hexagone, devant celles en ardoises et les éléments en zinc, mais les bacs acier, les plaques en fibres-ciment ou, dans une moindre mesure, les bardeaux bitumés sont également utilisés pour certains types de bâtiments, industriels et agricoles notamment. Dans un contexte de fluctuations importantes des prix et de raréfaction de certains gisements comme ceux de zinc, on assiste à l'émergence de nouvelles applications pour certains matériaux de couverture - l'aluminium et l'acier notamment. La RE2020, nouvelle règlementation environnementale entrée en vigueur le 1er janvier 2022, met à ce titre l'accent sur la nécessaire optimisation de l'utilisation des matériaux et procédés, ainsi que sur leur durabilité, leur potentiel de circularité et de réemploi - facilité de réparation et de remplacement -, attributs décisifs pour réduire l'empreinte carbone de la couverture sur l'ensemble de son cycle de vie. La RE2020 a également stimulé l'innovation portée par les industriels du secteur. Ceux-ci proposent aujourd'hui des solutions améliorant significativement les performances énergétiques et thermiques des bâtiments, tout en procurant à leurs usagers davantage de confort, en hiver comme en été. Le sarking, par exemple, technique d'isolation de la toiture par l'extérieur, protège ainsi les bâtiments du froid en hiver et permet de limiter les apports de chaleur en été, sans occasionner de perte d'espace dans les combles, devenus de vraies pièces de vie dans de nombreux foyers. On observe également le développement et la démocratisation des écrans de sous-toiture, toujours plus performants, qui bien que non obligatoires dans les DTU, sont très fortement recommandés, car ils permettent de protéger les combles contre les fines particules : poussières, pollens et surtout neige poudreuse. Ils sont d'ailleurs systématiquement proposés par les tenants d'Avis Techniques de procédés de tuiles de terre cuite à pente abaissée, tendance forte portée par le marché et les architectes. Les innovations des fabricants concernent par ailleurs de nouvelles fonctionnalités de la couverture, qui répondent elles aussi aux exigences de la RE2020. Ainsi, la production d'énergie renouvelable au moyen de panneaux photovoltaïques intégrés à la couverture ou surimposés peut couvrir tout ou partie des besoins énergétiques de fonctionnement d'un bâtiment et de ses usagers, mais génère de nouveaux défis de conservation du niveau d'étanchéité de la couverture dans le temps. Dans cette optique, on constate une tendance forte du marché en faveur de la pose de modules photovoltaïques de plus grande dimension. Ces innovations supposent de nouvelles modalités de mise en œuvre, qui doivent être compatibles avec la sécurisation des chantiers de couverture, pour lesquels des guides de sécurité et de prévention sont disponibles. Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 345 jours

Couverture - Actualités réglementaires

Photo : CSTBMéthode simplifiée pour la détermination de l'action du vent selon l'Eurocode 1 P1-4 sur couvertures en bacs métalliques autoportants à joints sertis ou à emboîtement Édité en septembre 2019 et révisé en octobre 2021, le cahier 3 804_V2 du CSTB présente une méthode simplifiée, adaptée à la couverture, pour la détermination de l'action du vent selon la partie I-4 de l'Eurocode 1, qui donne les bases pour l'évaluation de l'action du vent sur les structures des bâtiments. Cette méthode de calcul simplifiée est appliquée aux couvertures en bacs métalliques autoportants à joints sertis ou à emboîtement sous Document Technique d'Application (DTA), pour les configurations de toitures les plus courantes, en France métropolitaine et dans les départements et régions d'outre-mer (DROM). Le document donne notamment des tableaux de valeurs précalculées de dépression de vent “Eurocode”, dans le cas de couvertures de bâtiments courants prismatiques à base rectangulaire et à versant plans ou courbes, en fonction des hauteurs de bâtiment, de la zone de couverture et de la catégorie de terrain (rugosité). La famille concernée fait l'objet de nombreux DTA, principalement pour des procédés de bacs aluminium autoportants. Ces procédés peuvent viser des longueurs de bacs et de rampants de couverture jusqu'à 100 m de long sans joint transversal, et des formes de couverture cintrées complexes à un ou plusieurs rayons de giration. Ils sont notamment utilisés sur des projets d'envergure, à fort impact architectural.  » Lien Cahier 3 804_V2 Révision du NF DTU 40.24 relatif aux couvertures en tuiles en béton à glissement et à emboîtement longitudinal La norme NF DTU 40.24, qui donne les spécifications de mise en œuvre des couvertures réalisées à l'aide de tuiles en béton à glissement et à emboîtement longitudinal, aptes à couvrir tous types de bâtiments à versants plans, en France métropolitaine et climat de plaine, est en cours de révision. La nouvelle version du DTU 40.24 introduit notamment un abaissement des pentes minimales de couverture lorsqu'il est fait usage d'un écran de sous-toiture. Celles-ci pourront ainsi descendre jusqu'à 25 % avec un recouvrement minimal des tuiles adapté à la pente, toujours compris entre 7,5 et 12,5 cm. Il existait auparavant des Avis Techniques (ATec) pour pouvoir viser des pentes plus basses que celles admises par l'ancien DTU 40.24. Ces procédés ayant fait leurs preuves depuis de nombreuses années, la Commission Chargée de Formuler les Avis Techniques (CCFAT) a décidé, en octobre 2019, de sortir du domaine d'application de la procédure d'ATec toute cette famille de procédés. En parallèle des travaux de révision du DTU 40.24, la CCFAT a donc progressivement cessé de recevoir les demandes d'ATec, puis, depuis octobre 2021, annulé tous les ATec existants de cette famille. Le nouveau DTU 40.24 révisé, intégrant les abaissements de pente, est actuellement finalisé et est en cours de mise à l'enquête publique. La sortie du document est prévue en 2023.  » La décision CCFAT Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 345 jours

Les infiltrations sur toiture en tôle d'acier

Photo : GIE - Socabat Sur une extension de maison individuelle, la toiture présente une pente de 3 %, nettement inférieure aux 7 % requis par les règles de l'art. Elle présente de nombreux recouvrements transversaux entre bacs acier. Cette rubrique concerne les couvertures réalisées avec des plaques nervurées issues de tôles d'acier galvanisé, dites sèches, en l'absence de recouvrement par un isolant et une étanchéité. Les défauts d'étanchéité entre les différents éléments composant la toiture peuvent survenir entre plaques elles-mêmes, entre plaques métalliques et plaques PRV (Polyester Renforcé de Verre), entre partie courante de la toiture et chéneaux, et, enfin, entre partie courante et émergences (pénétration). Les causes d'infiltration sont multiples : une incompatibilité entre différents éléments assemblés, notamment le rythme des ondes ; un défaut d'entretien des chéneaux engorgés par des déchets végétaux, l'accumulation de ceux-ci pouvant entraîner des débordements après obturation des écoulements ; une pente insuffisante des chéneaux favorisant la rétention des écoulements. La stagnation de l'eau peut provoquer la corrosion du métal jusqu'au percement ; un défaut de pose des éléments d'étanchéité au pourtour des pénétrations, lanterneaux. Cela vise également l'étanchéité au droit des fixations de plaques par des vis autotaraudeuses ; un défaut d'étanchéité aux recouvrements de plaques. La conception de la toiture doit prendre en compte les paramètres d'exposition (pluie, neige, vent, ensoleillement) et des solutions techniques ciblées mises en œuvre, notamment : le choix des épaisseurs et des portées des plaques nervurées doit être en relation avec les efforts appliqués sur la couverture ; la présence de closoirs en rives, faîtages... des recouvrements et éventuels compléments éventuels d'étanchéité entre les éléments courants et les raccordements au pourtour des pénétrations ; la réalisation de pentes suffisantes des chéneaux et le nettoyage régulier afin d'éviter la stagnation de l'eau et les risques de corrosion associés ; la mise en œuvre de rondelles d'étanchéité en soignant la qualité de serrage... En savoir plus : Fiches pathologie bâtiment - Fuite de couverture de grands éléments : toiture sèche AQC - Agence Qualité Construction Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 345 jours

Anne Jeannolin - La parole aux professionnels

La parole aux professionnels Anne Jeannolin, dirigeante, entreprise de couverture Jeannolin, et conseillère professionnelle, UNA CPC CAPEB Quel est votre rôle au sein de la CAPEB ? Je suis vice-présidente de la CAPEB Savoie et conseillère professionnelle pour les couvreurs au sein de l'Union Nationale des Couvreurs Plombiers Chauffagistes de la CAPEB nationale. À ce titre, je participe aux rénovations réglementaires ainsi qu'à différentes missions. Forte de ses 59 300 adhérents, la CAPEB représente 557 000 entreprises artisanales dans le bâtiment, 651 000 salariés et forme 56 000 apprentis. Par ailleurs, je dirige, depuis 1999, une entreprise savoyarde de charpente, couverture et zinguerie avec mon mari. Quelle est votre relation avec le CSTB ? Je suis membre du GS5.1 Produits et procédés de couvertures pour le CSTB, ce qui me permet de donner un avis de « terrain » et de professionnelle sur les Documents Techniques d'Application avant validation. En quoi les certifications QB17, QB25, QB35 et NF249 constituent-elles une valeur ajoutée pour les artisans ? Les certifications sont un gage de qualité et de confiance. Elles attestent de la performance des produits mis en œuvre puisqu'ils répondent, à minima, aux CGM des DTU. En cela, elles facilitent grandement le choix des produits aux artisans et entreprises du bâtiment. On assiste au développement du sarking. Quels sont ses avantages ? Procédé d'isolation que seuls les métiers de la couverture peuvent proposer, le sarking permet d'optimiser les surfaces habitables, tout en évitant les ponts thermiques lors d'une interface avec l'isolation des murs par l'extérieur. Il n'existe malheureusement que très peu de procédés sous Avis Technique et DTA, notamment en climat de montagne. Les modules photovoltaïques de grande dimension sont de plus en plus répandus. Existe-il une différence majeure entre la pose de panneaux intégrés à la couverture et de panneaux surimposés ? Pour nous, couvreurs, il n'y a aucune différence en termes d'étanchéité, car c'est notre cœur de métier. Cependant, les panneaux en surimposés permettent, selon les configurations, de ne pas être soumis aux problèmes de ventilation minimale demandée en intégré, notamment dans les cas où la réfection de la toiture n'est pas prévue dans son intégralité. Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 345 jours

Innovations – Nouveaux Avis Techniques

Photo : PREFADéveloppement de nouveaux matériaux pour les couvertures métalliques à joint debout Avec la raréfaction de certains minerais et les fluctuations sur les prix des matériaux, des alternatives aux métaux traditionnels ont émergé ces dernières années pour la réalisation de couvertures en feuilles métalliques à joint debout serti, posées sur platelage bois continu (voliges). Ainsi, pour remplacer les matériaux historiques comme le zinc, le cuivre, l'acier inoxydable et le plomb, qui disposent de règles de l'art approuvées et éprouvées, des solutions utilisent de l'acier galvanisé “souple” prélaqué ou de l'aluminium prélaqué. Leur mise en œuvre, si elle est très proche des règles appliquées aux matériaux traditionnels, nécessite quelques précautions liées aux spécificités de ces produits et à leur comportement mécanique et physique. Dans les deux cas, la prise en main par le couvreur et la souplesse du matériau ne sont pas exactement les mêmes, et la résistance au vent du procédé doit être réévaluée. Les soudures sont également plus complexes et techniques sur l'acier prélaqué (décapage, peinture de retouche...) ou l'aluminium (soudure TIG-MIG) que sur le zinc. Ainsi, le traitement des points singuliers nécessite une vigilance accrue et des particularités propres à chaque procédé, avec notamment l'utilisation d'accessoires spécifiques préfabriqués en usine. Enfin, l'acier prélaqué n'est pas résistant par nature à la corrosion sans son revêtement. Un vrai travail sur la souplesse des revêtements prélaqués a ainsi été réalisé pour parvenir à des revêtements capables de résister aux contraintes de pliage très sévères lors du sertissage du joint debout. Toutes les exigences spécifiques à ces produits sont détaillées dans leur Document Technique d'Application. Des surfaces de plus en plus étendues pour le photovoltaïque En matière de photovoltaïque, l'innovation concerne principalement l'augmentation de la taille des modules, qui génère de nouveaux défis pour dimensionner les systèmes de montage. Cette innovation pose donc deux problèmes techniques majeurs. Les reprises de charge sont plus importantes, notamment lorsque les modules sont couverts de neige. Il y a donc un enjeu de dimensionnement des tôles d'acier qui constituent l'élément porteur sous le complexe d'étanchéité servant de support aux modules. Par ailleurs, des modules de grande dimension sont beaucoup plus sensibles aux effets du vent et donc au risque d'arrachement. Ce type d'installation concerne principalement les bâtiments commerciaux et logistiques supérieurs à 1 000 m² qui ont généralement des structures porteuses dimensionnées au plus juste, ne permettant pas de compenser les sollicitations potentielles par des ancrages dans des systèmes massifs. Des systèmes surimposés au-dessus d'une couverture en tuiles ou en ardoises se développent également. Ils nécessitent que les modules photovoltaïques soient fixés sur une ossature, elle-même fixée sur un système qui traverse la couverture pour s'appuyer sur la charpente. L'enjeu est alors que ce système de fixation complexe ne dégrade pas l'étanchéité de la toiture et soit en capacité de résister aux charges de neige et de vent. En savoir plus : DTA Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 347 jours

AER Architectes accompagne la projection vers l'avenir du site de Rochexpo

Résultat d’un partenariat entre la mairie de La Roche-sur-Foron, le Conseil Départemental, la Région Auvergne-Rhône-Alpes et Rochexpo, la conception et la réalisation de la nouvelle halle du site Rochexpo à haute-performance énergétique ont été confiées à l’agence AER Architectes. Les études ont débuté en 2018 et le chantier a démarré en juillet 2020. L’inauguration a eu lieu le 18 février dernier en présence du Président de la région Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez, du Président du département de la Haute-Savoie Martial Saddier et Président de Rochexpo Philippe Carrier.Il résulte de l’alliance entre modernité, la multifonctionnalité, la qualité d’accueil et de réception ainsi qu’une identification forte au territoire.Restructuration spatiale ambitieuseLe programme audacieux s’articule autour de la création de 3 halls d’exposition, d’espaces de conférences et séminaires, d’espaces traiteur et l’embellissement d’un bâtiment « Forum » existant; les bâtiments existants exigus ne répondant plus aux objectifs fonctionnels et thermiques.La halle forme un continuum spatial dans lequel se sous-divisent trois espaces de réception. Le plus grand permet l’organisation de conférences et événements exceptionnels profitant de tribunes télescopiques d’une capacité de 1000 places et d’un traitement acoustique.Le hall d’exposition est en charpente bois-métal tridimensionnelle de grande dimensions : une portée de 54m qui a permis la création d’un espace de 6000m2 sans un seul poteau. La structure symétrique trellis avec des poteaux en force traction. La force ainsi descendante permet aux poteaux d’être fins et de jouer avec les lignes : une prouesse et signature architecturale du bâtiment.Un chantier éco-responsableLe projet a une dimension éco-responsable forte pour répondre aux nouvelles normes environnementales et sociétales.La réduction de l’empreinte carbone et de la consommation énergétique du bâtiment a été rendue possible par l’optimisation de l’ensemble de ses infrastructures notamment par : la végétalisation des accès et intégration dans le paysage et ses spécificités, l’utilisation des structures bois pour la charpente et les murs, le renforcement de l’isolation thermique, la réduction de -50% des consommations en eau, le travail sur l’éclairement naturel avec des bandeaux vitrés toutes façades et des éclairements en toiture (autonomie 50%) et le travail des matériaux recyclés, solution innovante dans les techniques d’architecture et d’urbanisme.Les bois sont issus de forêts labellisées FSC ou PEFC, de marque CE, dans une démarche préférentielle «Bois des Alpes» : bois massifs en résineux de pays (sapin, épicéa, pin...).Ré-emploi des matériaux existants : 2 000m3 sur les 5 200m3 issus des travaux de terrassement ont été criblés sur place pour être réutilisés et éviter ainsi le maximum de déchets éliminés en décharge. L’ancien enrobé a été raboté sur site pour être réutilisé par l’entreprise. et les anciennes fermes en lamellé collé ont été ponctuellement réutilisées en mobilier.Identité régionale ancréeFaire de l’architecture du bâtiment une ode au patrimoine naturel haut-savoyard et participer à son rayonnement national et international.Le travail de façade écrit la qualité architecturale et fonctionnelle symbolique pour une transformation durable de l’image du site : l’implantation aléatoire de poteaux fait référence à la forêt avoisinante et répond au relief de deux volumes blancs en écho aux montagnes et aux glaciers. L’accès au parvis haut de la halle a été sécurisé et embelli par un terrassement minéral agrémenté de «séracs» et la création de jardins «alpins». Son envergure et son architecture hors-norme en font sa signature et porte haut les couleurs régionales.
Il y a 2 ans et 351 jours

Depuis les Ardennes, la Screb déploie les hangars métalliques en kit

La PME familiale de 50 salariés s’est faite spécialiste nationale de la charpente métallique modulaire pour hangars agricoles et industriels. Elle va investir pour conforter ses places fortes sur ces marchés.
Il y a 2 ans et 353 jours

Dispano lance une gamme de poutres contrecollées 100% bois français

L’enseigne répond ainsi à une demande croissante de ses clients charpentiers qui souhaitent favoriser une consommation locale. Elle anticipe par ailleurs d’éventuelles pénuries en garantissant la disponibilité d’un produit conçu entièrement en France. Un engagement éthique et responsableDispano a toujours privilégié l’usage de bois issus de forêts gérées de manière durable et a fait certifier l’ensemble de sa chaine de contrôle par l’organisme certificateur Bureau Veritas. Pour les bois non certifiés, qui figure pour une part minime à son catalogue, l’enseigne s’impose également une exigence forte. Les bois sont refusés par ses spécialistes dès lors qu’il est impossible d’obtenir la preuve de leur légalité. Cette démarche s’inscrit dans le cadre du plan d’action FLEGT (Forest Low Enforcement Governace and Trade[1]). Dispano est donc titulaire de la double certification FSC® et PEFC™.Avec cette gamme 100% bois français, Dispano franchit un pas de plus dans ses engagements. Une gamme 100 % bois français pour une parfaite traçabilitéLa gamme de poutres contrecollées proposée par Dispano provient de forêts jurassiennes, certifiées PEFC (Programme de reconnaissance des certifications forestières). Les poutres sont assemblées dans une usine française. Il s’agit de sapin-épicéa, intervenant dans la composition d’un grand nombre de produits. La gamme 100 % bois français distribuée aujourd’hui par Dispano est utilisée pour le bois de charpente ainsi que pour des maisons à ossatures bois, dans un cadre intérieur uniquement puisque le bois n’est pas traité.L’enseigne dispose de 6 références de poutres de tailles différentes, disponibles dans les 40 agences Dispano sous un délai d’une dizaine de jours.Avec cette gamme, Dispano bénéficie d’une vision totale sur la traçabilité du produit et sur toute la chaîne de production, de la forêt au produit fini. L’enseigne peut ainsi garantir à ses clients une disponibilité des produits et s’engager sur des délais fiables, évitant ainsi tout risque d’interruption de chantiers. Elle répond aussi à une véritable tendance de fond qui tend à privilégier de plus en plus de produits locaux dont la production est parfaitement maîtrisée.[1] Application des règlementations forestières, gouvernance et commerce. Le FLEGT vise à :Dans les pays producteurs de bois : contrôler l’exploitation des forêts pour combattre l’illégalité par la mise en place d’Accords de Partenariat Volontaires (APV) entre les pays producteurs et les pays de l’UE.Dans les pays de l’UE : supprimer le commerce de bois illégal grâce au RBUE (Règlement sur le Bois de l’Union Européenne) qui fixe les obligations pour les opérateurs qui mettent du bois et des produits dérivés sur le marché européen. Il s’applique depuis le 3 mars 2013.
Il y a 2 ans et 353 jours

Ôm2c et Chablais Habitat lancent « Les Balcons du Lyaud » : un programme de 40 logements sur les hauteurs de Thonon-les-Bains

Située au cœur du village Le Lyaud – à deux pas de la mairie, de l’église, de la micro crèche, du cabinet médical et de l’école primaire – la résidence compte 40 logements (du T2 au T4) organisés en 2 bâtiments qui s’élèvent sur 3 étages pour une surface habitable totale de 2.805 m². Mitoyenne, mais sans vis-à-vis de la résidence Odelia pour seniors, que le Groupe em2c a livrée en 2021, elle bénéficie de la sérénité de son emplacement et tire parti d’un cadre naturel et d’une orientation favorable à un réel confort.La grande majorité des logements ont des vues dégagées soit sur les champs voisins soit sur le Lac Léman au lointain, ainsi que sur les collines environnantes. De larges ouvertures dans toutes les pièces permettent à la lumière naturelle d’irradier les intérieurs pour le bien-être des occupants. Ces espaces se prolongent tous sur des Rez-de jardin, des terrasses ou des balcons généreux.L’architecture, signée par Yohann Forel du cabinet Thononais 58 bis, est simple et traditionnelle dans le respect des codes architecturaux de la région. Les constructions sont couvertes de vastes toits en pente avec des débords qui protègent tant les balcons que les pieds de façade. Durables et d’entretien facile, les matériaux sélectionnés renforcent le caractère recherché et l’intégration de la résidence dans son environnement.Les extérieurs comptent une part importante d’espaces végétalisés, qu’ils soient des jardins privatifs ou des espaces communs à la résidence. Tous participent à la qualité visuelle générale du lieu mais aussi à la qualité de l’air et à la réduction des surchauffes estivales. Les prestations sont soignées, en termes d’esthétique, de confort thermique et d’usage. Chaque appartement offre des volumes fonctionnels et généreux où chaque m² est valorisé. Les équipements ont quant à eux et rigoureusement sélectionnés pour un quotidien confortable et facilité (volets roulants électriques, double vitrage, revêtement stratifié dans les chambres et carrelage dans les pièces de vie, serrure sécurisée des portes palières. Les stationnements sont en sous-sol (certains boxés).La commercialisation des logements vient de commencer. Cette opération est menée en co-promotion avec Chablais Habitat (promoteur à Thonon-les-Bains). Les travaux sont programmés en juin 2022 pour une livraison envisagée au 1er trimestre 2024.Avec Les Balcons du Lyaud, ôm2c propose un nouveau programme accessible et en phase avec les attentes et les nouveaux usages des familles en matière de logement. öm2c poursuit sa progression sur le marché de l’immobilier résidentiel.
Il y a 2 ans et 355 jours

Dans le Morbihan, des sans-abri construisent des "tiny houses" pour y habiter

Pascal, 52 ans, n'est pas peu fier. Il va désormais habiter une "tiny" qu'il a lui même en partie aménagée. "C'est parfait. J'ai déjà habité en caravane. Là c'est mieux", dit-il de sa voix timide en dévoilant sa nouvelle "maison" d'une vingtaine de m2, avec douche, toilettes, cuisine, mezzanine et table dépliante, où l'on sent les effluves du bois de hêtre. "C'est un changement total. Ici, on est plus libre (que dans un immeuble), on sort tout de suite dehors".A l'origine de cette initiative, un appel à projet de la Délégation interministérielle à l'hébergement et à l'accès au logement (Dihal) fin 2020. L'objectif est de proposer "une forme d'habitat pour des personnes très désocialisées et en grande marginalité", explique Simon Robitaille, qui pilote le projet des "tiny" à l'Amisep, association bretonne de lutte contre la précarité. "L'idée a été de combiner le logement et une activité sur site. On est ainsi parti sur cette idée originale de faire de l'auto-construction de tiny house".En cette journée de printemps, non loin de l'hippodrome et face à une rangée de maisons aux haies bien taillées, une poignée d'hommes s'activent sous le hangar appartenant à l'Amisep, où est accroché un drapeau de Bob Marley. Du lundi au vendredi, de 8H30 à 16H30, ils peuvent venir travailler bénévolement à la construction d'une tiny, avec l'objectif d'en construire huit en trois ans.Le cadre est volontairement souple et accueillant, avec repas offert le midi. "Certains sont tous les jours là tandis que d'autres arrivent tout feu tout flamme et ne reviennent pas. C'est un dispositif qui doit permettre d'accueillir des gens qui ne trouvent leur place nulle part", rappelle M. Robitaille.Alors qu'un vieux transistor crache du Dire Straits, ils sont plusieurs à couper des panneaux de bois et à les plaquer en dessous de la charpente, sous le regard de Bastien, l'éducateur technique. "J'essaye d'évaluer chaque personne et de répartir les tâches selon les capacités de chacun", explique-t-il."Une reconstruction"La tiny, déjà bien avancée, devrait être habitable début juillet, après quatre mois de travaux, pour un coût avoisinant les 25.000 euros.Une facture défiant toute concurrence dans une région prisée où "le foncier est en tension", note Frédéric Le Poul, directeur du pôle précarité à l'Amisep. "C'est à la fois une construction mais aussi une reconstruction pour eux", analyse-t-il.Ainsi certains, emballés par ces adorables petites maisons mobiles, ont retrouvé l'envie de se lever. "J'ai eu une phase difficile et une addiction... Les tiny m'ont permis de me remettre dans le bain physiquement et mentalement", analyse Benoit, qui a même obtenu un contrat d'insertion.Alister, visage marqué par les épreuves de la vie, se sent à l'aise dans cette ambiance. "Je préfère être ici et participer à ce projet et ça me fait des horaires. Pendant ce temps je fais pas de bêtise...Sinon je serais à Vannes en train de zoner", admet-il.Certes, d'autres n'ont pas souhaité s'investir dans le projet, rechignant à travailler bénévolement et sans avoir l'assurance d'occuper la "tiny". Car le choix de l'heureux locataire, qui devra s'acquitter d'une participation financière modique, sera fait in fine par le Service intégré d'accueil et d'orientation (SIAO) de Vannes. Conditions sine qua non: avoir participé au chantier et ne pas trouver de solution d'hébergement "classique". Benoit la contemple déjà avec envie et fera une demande pour l'occuper. "Car je l'aime bien, elle a un côté un peu cabane sauvage, j'espère que l'une des huit sera pour moi!", glisse-t-il, soulignant que ce type d'habitat correspondait au profil de gens comme lui.
Il y a 2 ans et 355 jours

Le Conseil d’administration a élu un nouveau Bureau autour du Président de la CAPEB

La composition du nouveau Bureau confédéral Corine Postel a été réélue au poste de 1ère Vice-Présidente en charge des questions sociales.Christophe Bellanger est élu au poste de Trésorier confédéral. Laure Vial est élue au poste de Secrétaire confédéral et Thierry Ravon a été réélu au poste de Secrétaire adjoint.Bio express des nouveaux élus au Bureau et au Conseil d'administrationLaure VIALLaure Vial intègre le Bureau confédéral au poste de Secrétaire. Entrée au Conseil d'administration en 2020 en tant que membre individuel, elle est devenue cheffe de file des questions Compétences et formation en 2021 et conduit à ce titre les négociations sur ce champ au nom de la CAPEB. Elle gère une entreprise de plomberie chauffage avec son fils dans les Alpes de Haute-Provence. Son entreprise familiale adhère à la CAPEB depuis 1986. Elle a présidé la CAPEB de son département de 2011 à 2020 et en est vice-présidente tout comme à l’Union régionale CAPEB PACA Corse. Elle a également assuré la présidence de la Chambre de Métiers des Alpes de Haute-Provence de 2016 à 2021.Hervé PRUVOTHervé Pruvot est élu au sein du Conseil d'administration en tant que délégué de la 2ème circonscription élective qui regroupe les départements des Hauts-de-France et de Normandie. Plombier chauffagiste, il est chef d’entreprise depuis 2002 et s’est installé à Aisonville et Bernoville dans l’Aisne. Il emploie 4 salariés. Hervé Pruvot adhère à la CAPEB de son département en 2003 où il prend les responsabilités de trésorier adjoint. Il siège au service de santé au travail du BTP, à la commission départementale de Qualibat, au CPSTI et il est membre de la commission territoriale de la Chambre de Métiers des Hauts-de-France.Christelle ROZIERChristelle Rozier est élue au sein du Conseil d'administration au titre de la 8ème circonscription élective qui couvre tous les départements de la région Auvergne Rhône-Alpes. Gestionnaire d’une entreprise artisanale de maçonnerie spécialisée dans la restauration du bâti ancien et installée à Claveyson dans la Drôme, elle assure la comptabilité, le secrétariat et des missions de géomètre-topographe pour son entreprise qui emploie 3 salariés et 1 apprenti en Taille de Pierre. Elle est inscrite à la CAPEB depuis 1992 et conjointe associée depuis 2006. Christelle Rozier est 1ère vice-présidente de la CAPEB Drôme. Dans la région AURA, elle est Présidente de la commission emploi formation et de la CPREF, Trésorière d’ACORA BTP et membre du CREFOP et a assuré la présidence du BTP CFA de 2019 à 2022.Gilles MAILETGilles Mailet est élu au Conseil d’administration Confédéral au titre de Président de l’UNA Équipement Électrique et Électro-Domotique. Électricien à Doué la Fontaine, spécialisé dans les Énergies Renouvelables, l’électricité, l’éclairage et la domotique, il emploie 14 salariés. En 2000, il reprend une entreprise qui était adhérente à la CAPEB depuis 1970. Conseiller professionnel de l’UNA Equipement Électrique et Électro-Domotique depuis avril 2014, il siège notamment à Promotelec où il apporte ses astuces métier et des propositions d’articles. Il est administrateur du Crédit Agricole de Montreuil Bellay où il siège au comité des prêts professionnels et de la vie locale.Maurice KAROTSCHMaurice Karostch entre au Conseil d'administration confédéral en tant que membre individuel. Il a repris en 1984 l'entreprise familiale créée en 1870 pour la 5ème génération. Il la dirige avec le soutien de ses 2 filles et une vingtaine de collaborateurs pour effectuer tous les travaux intérieurs et extérieurs en peinture et isolation. Chef d’entreprise depuis 2002, il est adhérent depuis 2006. Président de la CAPEB Bas-Rhin et de la CAPEB Grand Est, il est également élu à la Chambre de Métiers Alsace et 1er vice-président de l’U2P du Grand Est. Il est, depuis 2017, conseiller technique au sein de l’UNIEP (Union internationale des entrepreneurs en peinture) et en a intégré le comité exécutif en 2018 pour prolonger son engagement à l’échelon européen.Liste alphabétique complète du Conseil d’Administration après renouvellement du tiers de ses membres lors de l’Assemblée Générale des 21 et 22 avril 2022BEAUDONNAT Cécile > Puy-de-Dôme (63210 Vernines)Conjoint collaborateur : Charpente CouverturePrésidente de la CNFA - RéélueBELLANGER Christophe > Maine et Loire (49000 Angers)ÉlectricienTrésorierDélégué de la 3ème circonscription élective (Bretagne - Pays-de-la-Loire) - éluBERGERE Nathalie > Mayenne (53000 Laval)Co-gérante entreprise de plomberie-chauffage-électricitéMembre individuelBOUNHOL Patrick > Aveyron (12120 Arvieu)Couvreur-ZingueurDélégué de la 5ème circonscription élective (Occitanie) - RééluCHATRAS Gilles > Puy-de-Dôme (63830 Nohanent)Plâtrier Peintre DécorateurVice-Président en charge du RéseauDEJOIE Vincent > Côte d’Armor (22490 Pleslin Trigavou)PeintreMembre individuelFORNES Sylvain > Rhône (69250 Montanay)PeintrePrésident de l’UNA Peinture-Vitrerie-RevêtementsGASPAR Dominique > Meuse (55800 Revigny-sur-Ornain)MenuisierDélégué de la 6ème circonscription élective (Grand Est)GAUTHIER Benoit > Ardèche (07340 Saint Desirat)MaçonMembre individuelHADJIPANAYOTOU Antony > Hauts-de-Seine (92140 Clamart)Plombier ChauffagisteDélégué de la 1ère circonscription élective (Ile-de-France)HATTON Bruno > Sarthe (72650 Trange)Serrurier MétallierPrésident de l’UNA Serrurerie-MétallerieKAROTSCH Maurice > Bas-Rhin (67230 Benfeld)PeintreMembre individuel - EluLABAT Jean-Yves > Landes (40180 Saugnac et Cambran)PlâtrierPrésident de l’UNA Métiers et Techniques du Plâtre et de l’Isolation - RééluLE DEVEHAT Éric > Ille-et-Vilaine (35600 Redon)Tailleur de pierrePrésident de l’UNA Métiers de la PierreMAILET Gilles > Maine et Loire (49260 VAUDELNAY)ÉlectricienPrésident de l’UNA Equipement Électrique et Électro-Domotique - EluMARMONIER Laurent > Isère (38140 Poliénas)MaçonMembre individuelMARTIN Jean-Michel > Maine et Loire (49310 Montilliers)Charpentier MenuisierPrésident de l’UNA Charpente-Menuiserie-AgencementMATHIEU Francis > Creuse (23300 St Agnant de Versillat)Couvreur Charpentier ZingueurTrésorier adjointMORALES David > Haute-Garonne (31160 Encausse les Thermes)Plaquiste PlâtrierVice-Président en charge des questions économiquesPOSTEL Corine > Yvelines (78270 Chaufour les Bonnières)Conjointe collaboratrice (Couvreur)1ere Vice-Présidente en charge des questions sociales - RééluePRUVOT Hervé > Aisne (Saint Quentin)Plombier ChauffagisteDélégué de la 2ème circonscription élective (Hauts-de-France et Normandie) - EluRANCUREL Jean-Claude > Vaucluse (84150 Violes)Plombier-ChauffagistePrésident de l’UNA Couverture-Plomberie-Chauffage - RééluRAVON Thierry > Charente (16430 Balzac)CarreleurMembre individuelREPON Jean-Christophe > Var (83000 Toulon)ÉlectricienPrésident confédéralRICHARD Jean-Pierre > Yonne (89470 Moneteau)ÉlectricienDélégué de la 7ème circonscription élective (Bourgogne Franche-Comté)ROZIER Christelle > Drôme (26240 CLAVEYSON)Gestionnaire d'une entreprise de maçonnerie restauration du bâti ancienDéléguée de la 8ème circonscription élective (Auvergne - Rhône-Alpes) - ElueTOFFOLI Thierry > Haute-Garonne (31840 Aussonne)CarreleurPrésident de l’UNA Maçonnerie CarrelageVIAL Laure > Alpes de Haute-Provence (04300 Mane)Gestionnaire d'une entreprise de plomberie-chauffageMembre individuel
Il y a 2 ans et 355 jours

WICONA met à jour INERTIE V4, son logiciel de dimensionnement et de vérification des ouvrages aluminium

Le logiciel INERTIE V4 permet la réalisation d’études de dimensionnement et vérification complète des éléments composant un ouvrage aluminium selon l’ensemble des normes Eurocodes et ce, quel que soit le niveau de complexité de la structure concernée. Avec INERTIE V4, WICONA propose à ses clients une nouvelle version de l’outil simple et profondément axé sur l’expérience utilisateur, pour une prise en main intuitive. Dimensionner et vérifier ses ouvrages aluminium INERTIE V4 convient aussi bien à la vérification de structures simples comme celle de constructions aluminium complexes. Le logiciel embarque différents types d’ouvrages prédéfinis qui permettent de dimensionner et vérifier les menuiseries aluminium en toute simplicité. Cela inclut notamment les ouvrants, ossatures composées, façades, verrières, toitures ainsi que des éléments divers comme les poutres. Le logiciel permet ensuite d’éditer et communiquer des notes de calculs à tous les professionnels concernés, des bureaux d’études aux architectes, en passant par les organismes de contrôle. Conformité Avec le logiciel INERTIE V4, le dimensionnement s’effectue en fonction des normes en vigueur applicables aux différents types de structures traitées : Charges climatiques calculées selon les règlements Eurocode 1 – NF EN 1991-1-4 : 2005 (actions sur les structures : action du vent) Combinaisons des charges conformes aux règles AL76 (règles de conception et de calcul des charpentes en alliages d’aluminium) Inerties nécessaires déterminées à partir des règles AL76 et normes XP P 28-004 (performances de l’ouvrage fini) Définition du calage du vitrage selon DTU39 (travaux de vitrerie-miroiterie)  Simplicité Comme tout projet engagé par WICONA, INERTIE V4 s’appuie sur une vision globale. Il est intuitif et permet une prise en main rapide grâce à : Prédétermination de 7 types d’ouvrages (façades et menuiseries) Aide à la conception Visualisation de la déformation des profilés en trois dimensions. Ouverture En plus de la base des profilés WICONA intégrés, INERTIE V4 autorise l’enrichissement de la base de données via les propres séries de profilés en aluminium ou en acier du client. Sécurité INERTIE V4 détermine l’inertie réglementaire minimum de chaque type d’éléments (montant, traverse, etc..) composant un ouvrage aluminium. La géométrie et les charges appliquées interviennent dans le dimensionnement. Pour cela, il suffit de choisir le profilé adapté par type d’élément, le logiciel se charge ensuite de le vérifier pour une expérience utilisateur facilitée.
Il y a 2 ans et 355 jours

Exposition : Hellisheiði par Luc Boegly

Islande. À 30 km de Reykjavik, Hellisheiði est un col venteux. Sur ses pentes, la terre, ...More about Cet article Exposition : Hellisheiði par Luc Boegly est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 355 jours

Bluetek propose le kit Adiaplay, une nouvelle solution de rafraichissement d'air à pose rapide

Un rafraichissement 100% naturelBLUETEK propose le Kit Adiaplay, nouveau système complet pour le rafraichissement 100% naturel de l’air intérieur. En neuf comme en rénovation (locaux commerciaux, bâtiments de stockage, magasins, ERP, etc.), le Kit Adiaplay de BLUETEK a été imaginé pour minimiser les coûts d’installation par sa facilité de pose.Une pose en seulement deux heuresLes éléments du système autorisant un assemblage aisé, le Kit Adiaplay se pose en seulement deux heures (hors manutention) sans l’intervention d’une nacelle. Celui-ci se compose d’un module adiabatique - disposant d’un poids allégé de 59 kg -, d’une costière, d’un support - non fourni - à poser sur un toit plat ou jusqu’à une pente inférieure ou égale à 10%, d’un diffuseur intérieur hémisphérique et d’une commande déportée avec afficheur digital également pilotable à l’aide de sa télécommande. Une fois installé, le système assure le rafraichissement d’une surface allant jusqu’à 250 m2 (avec un diffuseur placé à 4 mètres de hauteur). Pour une parfaite efficience de la solution, des ouvertures en toiture doivent être présentes pour évacuer l’air chaud intérieur qui se trouve au-dessus du diffuseur. Enfin, l’entretien du système du Kit Adiaplay est simplifié.Principe et avantage de l’adiabatiqueLe rafraichissement par évaporation, ou l’adiabatique, est un principe 100% naturel qui consiste à faire passer de l’air chaud à travers un échangeur humide pour le refroidir. L’air extérieur pénètre dans le module placé sur la toiture et se refroidit en provoquant l’évaporation de l’eau contenue dans l’échangeur. L’air ainsi rafraichi, est insufflé dans le bâtiment à l’aide d’un ventilateur intégré au diffuseur intérieur.Les rafraichisseurs d’air ont l’avantage de diffuser de l’air sain (aucun risque de diffusion de légionellose) et leur fonctionnement est simplifié. Ne nécessitant pas de compresseur, ni de circuit frigorifique, leur exploitation ainsi que leur coût de fonctionnement se voient allégés. Seules une alimentation électrique, une arrivée d’eau et une électrovanne raccordée sur cette dernière, une pompe de circulation et une vanne de vidange sont nécessaires au fonctionnement des rafraichisseurs d’air.Enfin, l’adiabatique assure un rafraichissement de l’air ambiant intérieur quelle que soit la température extérieure. Plus l’air extérieur est chaud et plus l’efficacité des rafraichisseurs adiabatique augmente avec une différence de température de 7°C à l’intérieur du bâtiment.
Il y a 2 ans et 358 jours

Equipez tous vos chantiers grâce aux essentiels construction Würth

De l’outillage aux produits chimiques, en passant par les équipements de la protection individuelle (EPI) ou encore les équipements d’atelier … découvrez nos produits et outils essentiels qui répondent aux besoins de tous les professionnels de la construction.La sécurité avant tout !Pour garantir la sécurité de vos ouvriers (ou de vous-même !) sur tous vos chantiers, nous proposons des équipements de protection individuelle (EPI) complets, pratiques, conformes aux dernières normes en vigueur et surtout ergonomiques et confortables. Nos équipements de protection individuelle protègent la totalité du corps des ouvriers contre les risques d’accidents du travail et protègent ainsi leur santé et leur sécurité. Travaux de préparation, travaux de peinture, pose de papier peint, prévention des risques liés au travail en hauteur … à chaque application sa solution. Voici un aperçu de nos nombreux produits pour assurer votre sécurité de la tête aux pieds :Des protections corporelles : gants de protection, gilet haute visibilité, combinaison de peinture, chaussures de sécurité, genouillères … nous proposons également des combinaisons intégrales pour protéger l’ensemble du corps. Des équipements et protections anti-chute : harnais de sécurité, ligne de vie, points d’ancrage, mousquetons, longe … Würth réuni pour les professionnels exigeants et rigoureux des systèmes anti-chute composés de divers éléments pour augmenter la sécurité des travailleurs sur leurs sites de travail.Des protections du haut du corps : lunettes et masques de protection, bouchons d’oreilles pour protection auditives, casques de chantier … de nombreux produits pour prévenir des risques résiduels aux postes de travail et protéger les professionnels lors de l’exercice de leur activité. Les machines sans fil pour faciliter votre quotidien Visser, couper, clouer, fixer, huiler … à chaque application son outil mono ou multifonctions adapté aux besoins de tous les professionnels de la construction.Nos machines à batterie sans fil sont puissantes, légères et ergonomiques. Ces machines ont été conçues pour apporter sécurité, confort et efficacité à tous les professionnels. Il est possible de classer les machines autonomes selon leur utilisation principale :Pour couper, meuler, percer : les meuleuses d’angle (disqueuses), les marteaux perforateurs, les scies (sabres, sauteuses, circulaires), les cloueurs, les visseuses classiques ou à percussion, etc.Pour fixer : les tournevis électroniques, les pistolets à mastic et colles, les clés à chocs, les cloueurs, les riveteuses, ou encore les visseuses classiques ou à percussion. Leur concentré de technologie vous permettra :De gagner en confort de travail : la conception compacte et ergonomique des machines vous permettra un travail agréable et sans fatigue. De plus, mes machines sans fil offrent une liberté de mouvement totale !De gagner un temps précieux grâce à leur système de batterie interchangeable.D’avoir des performances maximales grâce à leur puissance constance et leur robustesse pour garantir une résistance élevée aux chocs.Une durabilité de chaque outil avec un entretien réduit. Les consommables et produits chimiques pour gagner en productivitéAuge de maçon, bac pour matériaux de construction, paroi anti-poussière, piquets de sécurité, film d’étanchéité … nombreux sont les outils et équipements spécifiques qui sont nécessaires pour des finitions réussies. Équipez-vous du sol au plafond grâce à nos produits d’étanchéité pour sols et murs (comme le frein-vapeur DB 20 qui assure l'étanchéité à l'air et limite la transmission de la vapeur d'eau), qui sont faits pour être simples d’utilisation et faciles à appliquer. Découvrez également nos nombreux matériaux et éléments de fixation adaptés à la charpente, comme le WÜTOP ROLL-PLUS, un closoir ventilé pour tuiles en béton et en terre cuite.La gamme de produits chimiques Würth permet de réaliser aussi bien des travaux d’assemblages de divers matériaux que des travaux d’étanchéité de surfaces ou de joints. Vous retrouverez parmi nos nombreux produits chimiques : du mastic silicone, acrylique, polymère et PU, mais encore de la mousse polyuréthane, de la colle cyanoacrylate, de la colle de montage, du stop-filet, de l’étanche-tube …Découvrez encore plus de produits dans notre Univers 100% Construction !
Il y a 2 ans et 361 jours

En Scandinavie, les immeubles en bois poussent de plus en plus haut

"Les piliers avec la charpente, dans leur interaction avec l'acier et le bois, c'est ce qui porte les 20 étages de l'hôtel", explique à l'AFP Therese Kreisel, responsable de la planification urbaine de Skellefteå.Regroupant un centre municipal et un hôtel, le gratte-ciel a ouvert en fin d'année dernière dans cette ville d'environ 35.000 habitants du nord de la Suède."Même les cages d'ascenseur sont entièrement en bois. Il n'y a pas de plâtre, pas de joints ou d'isolation sur le bois. Ce qui est unique pour un bâtiment en bois de 20 étages", dit Mme Kreisel en faisant visiter les lieux.Dans cette moitié septentrionale du pays, la forêt est partout, et construire les maisons en bois est une tradition bien ancrée. Mais ici, comme ailleurs dans les pays nordiques, ce sont des chantiers d'immeubles et de tours qui se multiplient, à la faveur des progrès techniques.Grâce à des ressources forestières majeures et une expertise traditionnelle dans le domaine, les architectes suédois veulent être les pionniers et faire évoluer le secteur vers des méthodes plus responsables.La réalisation de la Sara Kulturhus "prouve qu'il est possible de construire en bois quelque chose d'aussi grand et de complexe", estime Robert Schmitz, un des deux architectes de la tour."Et quand vous avez ça comme référence dans vos discussions, vous pouvez toujours dire: +on a fait cela, comment pouvez-vous dire que ce n'est pas possible?+".Le centre culturel Sara dispute à une tour de 85 mètres construite récemment à Brummundal dans le sud-est de la Norvège et à une autre de 84 mètres à Vienne en Autriche, le titre de plus haut immeuble en bois du monde - certains comptent les mètres, d'autres avancent les étages. Une tour en construction à Milwaukee aux États-Unis, avec un peu plus de 86 mètres, devrait venir leur chiper le trophée d'ici quelques mois."Lego empilés""Il y a eu beaucoup plus de défis à relever parce que c'était du bois, mais cela nous a aussi permis d'ouvrir des portes et de réfléchir d'une nouvelle façon", assure l'autre architecte des lieux, Oscar Norelius.Les chambres de l'hôtel ont ainsi été préfabriquées, puis "empilées comme des pièces de Lego", explique-t-il.Pour Anders Berensson, un autre architecte basé à Stockholm qui place le bois au cœur de ses projets, il y a aussi des avantages à utiliser ce matériau."Si quelque chose a été manqué au moment de la découpe, il suffit de prendre le couteau et la scie et d'ajuster ça directement sur site. C'est high-tech et artisanal à la fois", dit-il.Mais le principal avantage du bois de construction, plaident ses promoteurs, est climatique.Le ciment - et donc le béton - et l'acier, deux matériaux parmi les plus courants du BTP, sont très émetteurs en CO2.Le bois, lui, en émet peu lors de sa fabrication et séquestre encore une grande partie du CO2 absorbé par l'arbre, même dans le bâtiment. Plus léger, le matériau nécessite aussi moins de fondations.Selon le dernier rapport des experts du Giec, le bois comme matériau de construction peut être jusqu'à 30 fois moins intensif en CO2 que le béton, et des centaines à milliers de fois moins que l'acier.Les efforts mondiaux pour réduire les émissions font que les immeubles de bois suscitent désormais un intérêt accru, selon Jessica Becker, coordinatrice de Trästad ("ville de bois"), une organisation qui fait la promotion du bois de construction.A Stockholm, un complexe d'immeubles en bois en fin de chantier, Cederhusen, a remporté le titre de construction de l'année décerné par le magazine spécialisé Byggindustrin."Je crois qu'on a vraiment vu les choses virer de bord ces quelques dernières années... On voit un énorme changement à présent, c'est un peu le moment clé. Et j'espère que d'autres pays vont s'engager sur ce chemin, on voit par exemple l'Angleterre, le Canada et d'autres endroits dans le monde", explique-t-elle.
Il y a 2 ans et 361 jours

JDM Expert présente Hydroway®, le premier revêtement perméable

Soucieux des enjeux environnementaux, Denis Joandel, fondateur de JDM Expert a développé la solution HYDROWAY®, un revêtement d’extérieur 100% perméable et facile d’entretien. Grâce à ce procédé novateur, l’eau n’est donc plus en stagnation sur le sol mais elle rejoint directement les nappes phréatiques, une réponse écologique permettant d’être plus respectueuse de l’environnement et du cycle naturel de l’eau.En 2008, JDM Expert a déposé un brevet pour sa solution HYDROWAY® et celle-ci répond fièrement à la Loi Climat et Résilience de 2021 qui prévoit la division par deux du rythme de la bétonisation d’ici 2030.Un revêtement de sols extérieur respectueux de l’environnement, c’est possibleDans une logique environnementale et pour le bien commun, il n’est plus question de favoriser l’imperméabilisation des sols, les collectivités et particuliers sont à la recherche d’une réponse au plus près des enjeux environnementaux. Depuis plusieurs années, nous assistons à une multiplication des revêtements imperméables, les eaux de pluie ne pénètrent donc pas dans le sol et reste en surface. Une quantité d’eau considérable doit être ainsi évacuée, nécessitant l’installation de réseaux d’égouttage et provoquant bien souvent l’inondation des rivières, des rues et des habitations mais aussi la pollution des eaux par le ruissellement.HYDROWAY® répond aux enjeux environnementaux par sa réduction de son empreinte carbone réduite, 5 fois moins élevée qu’un béton. Mais aussi, grâce à sa perméabilité qui laisse presque instantanément passer l’eau évitant ainsi la pollution des eaux par ruissellement et l’alimentation des nappes phréatiques. Enfin, ses coloris clairs évite l’accumulation de chaleur en journée limitant ainsi les îlots de chaleur.HYDROWAY® : une innovation responsable et simplePour la pose de l’HYDROWAY®, JDM Expert fait appel à un réseau d’applicateurs formés et agréés dans toute la France métropolitaine, les DOPM TOM, la suisse et la Belgique. Les professionnels du bâtiment s’occupent étape par étape de la pose du revêtement. HYDROWAY® se présente sous forme d’une structure perméable et offre une excellente résistance aux intempéries et aux charges comme les engins motorisés.Cette solution répond parfaitement aux cahiers des charges de la Loi Climat et Résilience de 2021 en réalimentant directement les réserves des nappes phréatiques. HYDROWAY® évite les flaques stagnantes et la prolifération des plantes aquatiques comme les algues et les mousses. La conception perméable de l’HYDROWAY® est basée sur le calcul du débit d’eau pouvant être infiltré, lors d’une forte pluie ou d’averses faibles, mais continues. HYDROWAY® en bref :Un sol esthétique et responsable : fabriqué en France et composé de plus de 90% d’éléments naturels, le revêtement unique est créé par un alliage de granulats et d'un liant adapté permettant un rendu naturel.Un sol perméable : sa structure innovante permet une infiltration de l'eau jusqu'à 1 litre par m2 et par secondes. Grâce à cela le revêtement ne nécessite aucune pente pour être posé en plus d'éviter ruissellements et flaques. Cela permet de faire une véritable une économie sur les VRD (grille, réseaux d’égouts…)Une solution résistante : idéal pour les cours d’écoles, allées et chemins, plages de piscines, voire aires de stationnement, la portabilité du revêtement supporte des poids lourds jusqu’à 26 tonnes.Un sol antidérapant et carrossable : le rendu reste confortable tout évitant les dérapages et en permettant aux véhicules de rouler dessus.Facilité d’entretien : possibilité de le nettoyer très facilement avec un balai, un souffleur à feuilles, un nettoyeur à haute pression.
Il y a 3 ans et 1 jours

La gamme Usystem Roof s’élargit avec deux nouveaux panneaux de toiture en fibre de bois pour une isolation éco-responsable

Pour qu’isolation thermique, confort d’été et construction durable ne fassent qu’un, Unilin Insulation étoffe sa gamme de panneaux de toiture Usystem Roof avec de la fibre de bois. Deux nouveaux produits voient ainsi le jour : Usystem Roof OS Comfort Natural et Usystem Roof DS Natural Wool.Des matériaux durables au service de l’efficacitéLes nouveaux panneaux Usystem Roof d’Unilin Insulation conviennent particulièrement à l’isolation par l’extérieur des rampants de toiture en bio-construction, en neuf comme en rénovation.Ils offrent tous les avantages de deux matériaux durables (fibre de bois et polyuréthane pour Usystem Roof OS Comfort Natural et fibre de bois pour Usystem Roof DS Natural Wool) caractérisés par des cycles de vie étendus et une réduction des émissions de gaz à effet de serre des bâtiments.USYSTEM Roof OS Comfort NaturalUsystem Roof OS Comfort Natural est un panneau de toiture bi-matière 3 en 1 assurant à la fois le support de couverture, l’isolation thermique et la finition intérieure du plafond.Il permet de traiter toutes les configurations de manière traditionnelle : découpes noues et arêtiers, débords de toiture, fenêtres de toit, passage de cheminées, ...Composé de mousse de polyuréthane, de fibre de bois (60 mm) et d’un écran de sous-toiture HPV intégré, Usystem Roof OS Comfort Natural offre une isolation thermique performante, tout en préservant le toit des risques d’humidité, pour un confort en toute saison : gain de chaleur en hiver et maintien de la fraîcheur en été !L’écran de sous-toiture permet un jointement parfait sans bande ni manipulation complémentaire grâce aux recouvrements adhésifs intégrés pour un temps de pose réduit et une sécurité optimale des couvreurs.USYSTEM Roof DS Natural WoolPanneau sandwich chevronné à base de fibre de bois (densité de 50 kg/m3) et pare-vapeur intégré, Usystem Roof DS Natural Wool est une solution constructive bio-sourcée assurant l’isolation thermique et acoustique, le confort d’été et la ventilation du bâtiment.Autorisant de grands entraxes entre pannes, il convient à toutes les formes de toiture en pente et il est aussi facile à mettre en œuvre que le caisson chevronné Usystem Roof OS Comfort Natural. Il existe en version non lattée pour la pose parallèle à l’égout.Des finitions intérieures pour tous les goûtsPour répondre à toutes les envies en matière de décoration intérieure, les solutions Usystem Roof avec fibre de bois d’Unilin Insulation sont proposées dans une large gamme de finitions pour les plafonds, de la finition semi-finie à la finition complète :jusqu’à 12 finitions semi-finies personnalisables,2 décors synthétiques texturés pour une esthétique contemporaine (Deco White etDeco Beige),4 finitions bois véritable, brut, flotté, cérusé pour un intérieur authentique.Moins carbonés, les nouveaux panneaux de toiture avec fibre de bois Usystem Roof répondent aux exigences de la réglementation RE2020, contribuant à la réduction des émissions sur le cycle de vie du bâtiment. Ils sont par ailleurs éligibles à MaPrimeRénov'. Enfin, ils sont certifiés ACERMI, gage de qualité.
Il y a 3 ans et 2 jours

Neuf morts dans un glissement de terrain à Bukavu en République démocratique du Congo

"A ce bilan s'ajoutent neuf blessés graves, cinq maisons complètement détruites et quatre véhicules endommagés", a précisé Bienfait Ngolombe, chargé de communication à la mairie de la ville.Selon lui, parmi les neuf morts figurent un bébé de huit mois, un jeune de 19 ans et une femme enceinte, dont "les maisons se sont effondrées et ont été englouties par la terre".Le bilan en fin de nuit était de deux morts, mais d'autres corps ont été retirés des décombres dans la journée de mardi.L'accident a eu lieu sur l'avenue Kadurhu, dans la commune de Kadutu de Bukavu, une ville dont les constructions s'étagent sur des collines, à la pointe sud du lac Kivu. Le lieu du sinistre, situé sur une forte pente exposée à l'érosion, est jugé impropre à la construction."Le danger est permanent, presque toutes les maisons proches du lieu du sinistre ont des fissures et les risques de glissement sont perceptibles dans presque toutes les parcelles", a déploré le chef de quartier, Faustin Buroko.M. Buroko."La population doit prendre conscience des risques auxquels elle s'expose en construisant sur de tels sites et le gouvernement devrait prendre des mesures", a-t-il ajouté, estimant à plus de 60 le nombre de ménages nécessitant une "relocalisation".Le gouverneur de province, Théo Ngwabidje Kasi, qui s'est rendu sur les lieux du sinistre, a dit avoir demandé au bourgmestre de Kadutu "d'identifier toutes les personnes qui ont construit à cet endroit". "Un délai leur sera accordé" avant que les autorités provinciales ne fassent procéder à la démolition des maisons, a-t-il déclaré.