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Résultats de recherche pour reglementation

(3552 résultats)
Il y a 1 ans et 118 jours

« Une organisation déconcentrée pour améliorer nos délais de paiement », Chantal Bonno, directrice des finances au conseil départemental du Val-de-Marne

A l'heure où le BTP s'inquiète d'une dégradation des délais de paiement des collectivités territoriales, certaines d'entre elles demeurent...-Réglementation
Il y a 1 ans et 124 jours

Réglementation : ce qui a changé le 1er janvier

Des aides pour des rénovations globales, un PTZ et un éco-PTZ reconduits, de nouveaux seuils pour la commande publique…Tour d'horizon...-Vie du BTP
Il y a 1 ans et 125 jours

Comportements vibratoires et acoustiques des bâtiments en bois

© ShutterstockEntretien avec Catherine Guigou, PhD., ingénieure recherche et expertise à la direction Santé-Confort et Manuel Manthey, PhD., ingénieur expertise structures à la direction Sécurité, Structures, Feu. En quoi le comportement du bois est-il spécifique sur les plans acoustique et vibratoire ? Catherine Guigou : Les bruits se propagent aisément dans l’air et dans tous types de matériaux par mise en vibration de ceux-ci. Quels que soient les modes constructifs, les bruits peuvent ainsi se transmettre dans les éléments structurels (poteaux, poutres, planchers, voiles). La construction bois présente des difficultés particulières du point de vue acoustique et vibratoire. La structuration fibreuse des éléments en bois induit en effet une conduction efficace des vibrations issues des chocs et confère aux structures une souplesse qui peut affecter le confort de marche. L’atténuation de ces effets suppose un dimensionnement en conséquence avec, notamment, des épaisseurs de plancher assez importantes. Une méthodologie a été développée afin d’améliorer la performance acoustique aux bruits aériens, dont les moyennes et hautes fréquences génèrent de l’inconfort pour les occupants. Cette méthodologie a été appliquée aux solutions poteaux-poutres en bois apparent. Par ailleurs, le ressenti, exprimé à travers des enquêtes menées sur l’occupation des bâtiments en bois (projet AcouBois), a permis d’identifier que la réglementation était insuffisamment exigeante au regard de la gêne induite par les bruits de choc, notamment pour les basses fréquences. Aussi, les solutions acoustiques proposées pour les bâtiments en bois doivent-elles prendre en compte ces contraintes dans un souci de confort en exploitation compatible avec les attentes des usagers. Quelles sont les différentes méthodes de prévision conçues par le CSTB ? Dès le début des années 2000, le CSTB a travaillé sur les performances acoustiques des constructions légères en bois. Le projet français Acoubois (2009-2014), mené en collaboration avec FCBA et Qualitel, a permis de franchir un grand pas en proposant une méthodologie d’évaluation de la performance acoustique et vibratoire du bâtiment, intégrée dans les normes EN ISO 12354-1 et -2 en 2017. Pour l’évaluation des transmissions latérales, les caractérisations des jonctions effectuées par le CSTB ont servi de base à la proposition d’une classification aujourd’hui reconnue. Les travaux de thèse de Corentin Coguenanff (2014-2016) sur la « Conception robuste aux incertitudes des systèmes légers bois en vibro-acoustique linéaire » ont permis la mise au point d’un logiciel de prévision pour les parois sur ossatures complétant l’outil commercialisé AcouSYS. Plus récemment, le CSTB a mené des travaux sur les bâtiments en panneaux CLT (Cross Laminated Timber), notamment dans le cadre d’Adivbois. Ces recherches ont proposé des mesures en laboratoire sur diverses configurations de plancher et sur un bâtiment démonstrateur construit sur le site du FCBA. Le CSTB a effectué la caractérisation des jonctions et les prévisions de performance incluant la comparaison avec les mesurages réalisés. À l’échelle du bâtiment, mais aussi du produit (plancher notamment), les vibrations causées par le vent ainsi que par les trafics ferroviaire et routier peuvent être source d’inconfort pour les usagers. Quels travaux ont été initiés pour répondre à cette problématique ? Manuel Manthey : Il y a quelques années, le CSTB et la RATP ont mis en évidence les contributions multidirectionnelles des vibrations ferroviaires dans le cadre d’un projet de recherche. Le besoin de modéliser la transmission des vibrations dans des structures poteaux-poutres, en bois pour le CSTB et de type haussmannien pour la RATP, a conduit à un partenariat scientifique associant l’université de Compiègne. Les premiers travaux sont basés sur une approche hydride (éléments finis 3D pour les jonctions et analytique pour les poteaux et poutres) dans laquelle la présence des parois (planchers et refends) est prise en compte, afin de caractériser plus particulièrement le couplage sol-structure pour une excitation ferroviaire multidirectionnelle. L’intégration de dispositifs de remédiation pour limiter la propagation des vibrations au niveau du bâtiment sera simulée, en vue d’apporter des solutions opérationnelles de réduction des nuisances dans la perspective du développement des Systèmes Express Régionaux Métropolitains. Par ailleurs, le comportement dynamique des constructions bois de grande hauteur sous sollicitations vibratoires et/ou aérodynamiques reste un sujet mal caractérisé. Plus légères que leurs alter-ego en béton, leur ratio poids-rigidité est, pour des hauteurs comparables, plus défavorable que les constructions béton ou métalliques et peut entraîner, sous certaines conditions de vent, des oscillations basses fréquences gênantes pour les occupants (syndrome de mal de mer). Un programme de recherche européen, DynaTTB (Dynamic Response of Tall Timber Buildings under Service Load), a été mené entre 2019 et 2023 avec plusieurs partenaires académiques et industriels pour mieux comprendre la réponse dynamique des constructions bois de grande hauteur. Dans ce cadre, neuf bâtiments ont fait l’objet de mesures in-situ avec, pour partie d’entre eux, l’utilisation de masse en tête allant jusqu’à 500 kg, permettant de les solliciter de manière contrôlée, et de mesurer, via des capteurs, les déplacements induits. Ces essais, couplés à des modélisations numériques paramétriques, permettent de mieux appréhender les facteurs clés pilotant cette réponse dynamique pour aider les concepteurs à prévoir la répartition des masses (quantité de matériau bois au bon endroit), afin de garantir le confort des occupants lors de ces épisodes de vent violent, qui seront plus fréquents du fait du changement climatique. CONTACT - N° 6 : Qualité des Environnements Intérieurs Les sujets de l’environnement intérieur et de la qualité de celui-ci ne sont pas nouveaux. Le bon sens, que l’on qualifierait aujourd’hui d’approche hygiéniste, a fait que, depuis des siècles, ils ont été abordés par les différentes sociétés et ont directement et indirectement contribué à façonner l’architecture des bâtiments tant extérieure qu’intérieure, dans une réponse objective aux enjeux sensoriels. PDF 6 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 1 ans et 125 jours

Construction et application des indices de Qualité des Environnements Intérieurs

© ShutterstockEntretien avec Wenjuan Wei, PhD., ingénieure recherche et expertise à la direction Santé-Confort, et Olivier Ramalho, PhD., ingénieur études et recherche à la direction Santé-Confort, CSTB. Qu’appelle-t-on indices QEI et à quoi servent-ils ? Olivier Ramalho : Un indice de Qualité des Environnements Intérieurs (QEI) est une formulation objective et synthétique d’un ensemble de paramètres physiques de notre environnement (confort thermique, qualité de l’air, éclairage et acoustique notamment). Ces paramètres peuvent être très variés et complexes à interpréter dans leur ensemble. L’expression de l’agrégation de ces données multiples en une réponse simple peut se décliner en un score, un code couleur ou une alerte sonore. Au-delà de la connaissance qu’il peut apporter sur l’état de la QEI à un instant donné, un indice QEI est construit pour répondre à un besoin qui peut varier selon les utilisateurs (pouvoirs publics, superviseur d’un parc de bâtiments, gestionnaire d'un bâtiment, propriétaires, locataires, simples visiteurs, etc.). Il est systématiquement associé à des recommandations d’actions à entreprendre pour revenir à un niveau de QEI plus satisfaisant. C’est un outil d’aide à la décision. Chaque besoin a son propre indice, sachant que les besoins peuvent être variés : « Le bâtiment que j’occupe est-il propice au travail en ce moment ? », « Je souhaite piloter mon système de ventilation en tenant compte de la QEI », « Je souhaite construire un nouveau bâtiment en cherchant à avoir une QEI exemplaire », etc. Chaque besoin va orienter les différents indicateurs à considérer dans la construction de l’indice qui cherche à y répondre. L’une des principales difficultés est d’ailleurs de pouvoir identifier et exprimer précisément le besoin de chaque utilisateur autour de la QEI. La construction d’un indice se fait généralement en trois étapes, une fois le besoin et l’utilisateur identifiés : définir les champs de la QEI à prendre en compte et, au sein de chacun d’entre eux, déterminer les indicateurs les plus pertinents à suivre et les différentes valeurs seuils de référence associées ; formuler les règles d’agrégation des différents indicateurs au sein du même champ QEI et les règles d’association entre les différents champs de la QEI ; proposer un mode de restitution / visualisation du résultat de l’indice avec les différentes recommandations associées. Comment est-on passé de la QAI à la QEI ? Le besoin d’information sur la qualité de l’air intérieur (QAI) relève d’une préoccupation sur la qualité sanitaire de l’ambiance dans laquelle évoluent les usagers, principalement au regard de ce qu'ils respirent. La QEI élargit cette démarche à d’autres dimensions du confort (thermique, acoustique, éclairage, olfactif) pour qualifier le bien-être dans le bâtiment. Les campagnes nationales menées par l’Observatoire de la Qualité de l’Air Intérieur (OQAI) dans différents parcs de bâtiment se sont focalisées en priorité sur la QAI, avec l’intégration parfois de quelques indicateurs acoustiques ou d’éclairage très simplifiés. Au 1er janvier 2024, l’OQAI devient l’OQEI en mettant davantage l’accent sur la mesure d’indicateurs pertinents de QEI dans les campagnes nationales, lesquels alimenteront la réflexion sur la construction d’indices QEI à destination des pouvoirs publics principalement. Cette réflexion se fait également en synergie avec le projet CAP 2030 qui vise à identifier les domaines qui pourraient être intégrés dans la règlementation qui succédera à la RE2020. La QEI fait partie de ces sujets. Il appartiendra au gouvernement de définir ses orientations et priorités et donc les domaines qu’il souhaite retenir. Pouvez-vous présenter l’indice TAIL qui permet d’évaluer la QEI dans les bâtiments tertiaires (bureaux, hôtels, écoles) ? Wenjuan Wei : Fondé sur 12 paramètres de QEI mesurables/calculables, l’indice TAIL a été initialement développé dans le cadre d'un projet européen (ALDREN - Alliance for Deep RENovation in buildings) pour évaluer la qualité globale de l’environnement intérieur dans les bureaux et les hôtels. Cet indice repose sur la qualification de quatre piliers : l'environnement thermique, l'environnement acoustique, la qualité de l'air intérieur et l'environnement lumineux. Ces travaux ont été suivis d’une recherche dont l'objectif est de développer un indice pour évaluer la QEI dans les écoles, basé sur la méthodologie TAIL. Cet indice quantitatif, composé de quatre niveaux de qualité (I, II, III et IV), permet d'identifier des pistes d'amélioration pour garantir la santé, le bien-être et les conditions d’apprentissage des enfants dans les écoles. Il est en effet désormais prouvé que ces dernières, qui résultent directement de la capacité de concentration ou, à l’inverse, de la fatigue, sont étroitement liées aux conditions d’ambiance des locaux que constituent la température, l’humidité, le taux de CO2, ou l’environnement acoustique et lumineux. Appliqué à la base de données QEI des écoles françaises (2013-2017) acquise par l’OQAI, l'indice TAIL révèle que plus de 97% des écoles présentent de bons niveaux de qualité (I et II) pour l’exposition au benzène, au formaldéhyde et aux moisissures. Cependant, plus de 75% des écoles montrent des niveaux de qualité moyens ou mauvais (III et IV) concernant la température, le dioxyde de carbone, les particules PM2,5, et la lumière artificielle. Les niveaux d’humidité relative, de dioxyde d’azote et de bruit de fond nécessitent également des interventions pour l’amélioration dans certains établissements. Exemple d'agrégation via l'indice TAIL : CONTACT - N° 6 : Qualité des Environnements Intérieurs Les sujets de l’environnement intérieur et de la qualité de celui-ci ne sont pas nouveaux. Le bon sens, que l’on qualifierait aujourd’hui d’approche hygiéniste, a fait que, depuis des siècles, ils ont été abordés par les différentes sociétés et ont directement et indirectement contribué à façonner l’architecture des bâtiments tant extérieure qu’intérieure, dans une réponse objective aux enjeux sensoriels. PDF 6 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 1 ans et 125 jours

ELCIA publie son guide « Les incontournables de 2024 pour le secteur Menuiserie, Store et Fermeture »

Activité du neuf et de la rénovation, nouvelles aides de l’État, réglementation, événements : l’année 2024 s’annonce riche pour le secteur Menuiserie, Store, Fermeture ! Pour synthétiser cette actualité et ces nouveautés, ELCIA publie un nouveau guide de 30 pages, téléchargeable gratuitement, à disposition de tous les professionnels du secteur. Une aide […] L’article ELCIA publie son guide « Les incontournables de 2024 pour le secteur Menuiserie, Store et Fermeture » est apparu en premier sur Batipresse.
Il y a 1 ans et 126 jours

Qu'est-ce que l'éco-contribution PMCB ?

Au premier avril 2023, les entreprises du bâtiment ont vu apparaître une nouvelle réglementation : L'éco-contribution sur les Produits et Matériaux de la Construction du Bâtiment.
Il y a 1 ans et 126 jours

Inondations : le curage des cours d'eau, "une fausse bonne idée", fait débat

Curer les cours d'eau pour prévenir le risque d'inondation ? Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique, a annoncé un changement de réglementation prochain pour "faciliter le curage", lors d'une visite jeudi 4 janvier dans le Pas-de-Calais après les crues hors normes qui ont frappé la zone.
Il y a 1 ans et 131 jours

s curit incendie les solutions vmzinc valid es par 3 appr ciations de laboratoire apl

L’arrêté du 7 août 2019 change l’appréciation de la conformité des façades au regard de la sécurité incendie. Ne sont désormais conformes à cette réglementation que les systèmes de façades disposant d’une appréciation de laboratoire obtenue par un essai au feu répondant aux questions relatives à la propagation du feu par l’extérieur, en termes de propagation verticale et latérale ainsi qu’aux chutes d’objets.
Il y a 1 ans et 131 jours

MaPrimeRénov', Smic, aide à l'embauche... ce qui a changé au 1er janvier 2024

ÉVOLUTIONS. De nombreux dispositifs financiers et plusieurs réglementations évoluent cette année. Batiactu vous propose une sélection des changements clés à retenir.
Il y a 1 ans et 131 jours

Xella : 100 ans du béton cellulaire

En 2023, le béton cellulaire célèbre ses 100 ans d’existence ! Ce matériau 100% minéral compte toujours parmi les solutions constructives d’avenir. Léger, naturel, sain, écologique et bénéficiant d’excellentes performances thermiques, il est une alternative certaine pour répondre aux enjeux de la nouvelle réglementation RE2020.
Il y a 1 ans et 132 jours

Droit social & vie des entreprises : ce qui a changé au 1er janvier 2024

Taux d'intérêt légal, Smic, cotisations OPPBTP et AT/MP... Les valeurs clés à connaître en ce début...-Réglementation
Il y a 1 ans et 132 jours

Ce qui a changé au 1er janvier 2024

De nombreuses mesures législatives et réglementaires entrent en vigueur ce 1er janvier. Certaines sont prévues de longue date, d'autres ont...-Réglementation
Il y a 1 ans et 134 jours

Top 10 des vidéos les plus vues sur Batinfo en 2023

Cette année encore, vous avez pu suivre quotidiennement sur Batinfo l'actualité du bâtiment : construction, logement, réglementation, environnement... Nous vous proposons de découvrir le palmarès des 10 vidéos les plus vues en 2023 sur les 900 publiées.
Il y a 1 ans et 134 jours

Top 10 des actualités les plus lues sur Batinfo en 2023

Cette année encore, vous avez pu suivre quotidiennement sur Batinfo l'actualité du bâtiment : construction, logement, réglementation, environnement... Nous vous proposons de découvrir le palmarès des 10 actualités les plus lues en 2023 sur plus de 2.800 publiées.
Il y a 1 ans et 147 jours

Construction : 2023 a préparé la récession de 2024

Le bilan de l’année 2023 est très contrasté : développement des ENR, fort ralentissement des demandes de permis de construire, climat chahuté, aller-retour des réglementations, etc. Nous sommes fin décembre, c’est le moment de récapituler les principales tendances de 2023. Doc. PP Commençons par le climat Selon Météo France, en moyenne sur la France, l’année 2023 […]
Il y a 1 ans et 150 jours

Délais de paiement des collectivités : le BTP s'inquiète d'une hausse des retards

Le secteur de la construction constate actuellement une certaine tendance des délais de paiement des collectivités territoriales à déraper. En...-Réglementation
Il y a 1 ans et 151 jours

100 ans du b ton cellulaire

En 2023, le béton cellulaire célèbre ses 100 ans d’existence ! Ce matériau 100 % minéral compte toujours parmi les solutions constructives d’avenir. Léger, naturel, sain, écologique et bénéficiant d’excellentes performances thermiques, il est une alternative certaine pour répondre aux enjeux de la nouvelle réglementation RE2020.
Il y a 1 ans et 153 jours

Marchés publics : les TP font face à davantage de retards de paiement

Les retards de paiement en hausse dans le secteur public ? C'est le constat dressé par la FNTP, qui s'inquiète d'une situation qui se serait...-Réglementation
Il y a 1 ans et 157 jours

Une mission pour évaluer les coûts de l’enchevêtrement des compétences et des normes applicables aux collectivités

Cette lourde tâche est confiée par l'exécutif à Catherine Vautrin, présidente du Grand Reims, membre du bureau de l’AMF et présidente...-Réglementation
Il y a 1 ans et 159 jours

Eaux pluviales: "Pour développer les usages, la réglementation doit être comprise de tous"

3 QUESTIONS À. Le syndicat des Industriels français de l'eau de pluie, l'Ifep, a déposé un recours devant le conseil d'Etat contre un décret du 29 août 2023. L'objectif : alerter contre une interprétation concernant les usages des eaux pluviales qui irait à l'encontre de ce qui est actuellement permis et des objectifs du plan Eau. Une démarche qui a permis d'engager des discussions avec les pouvoirs publics, selon le président de l'organisation professionnelle, Thomas Contentin, même si des éclairages sont encore attendus.
Il y a 1 ans et 161 jours

Les bardages Max Exterior de Fundermax : des solutions de façade biosourcées et conformes à la réglementation incendie

Éligibles pour 90 % des constructions françaises Je vous transmets la dernière communication chez Fundermax France, qui revient sur ses solutions de façades biosourcées, conformes à la réglementation incendie des bâtiments. Afin de répondre favorablement à l’IT 249 et valider le comportement au feu de nos systèmes de façade réalisés avec des parements composés à […]
Il y a 1 ans et 164 jours

XELLA : 100 ans du béton cellulaire ! Il y a un siècle, une solution constructive d’avenir révolutionnait le secteur du bâtiment

En 2023, le béton cellulaire célèbre ses 100 ans d’existence ! Ce matériau 100 % minéral compte toujours parmi les solutions constructives d’avenir. Léger, naturel, sain, écologique et bénéficiant d’excellentes performances thermiques, il est une alternative certaine pour répondre aux enjeux de la nouvelle réglementation RE2020. Le groupe Xella, plus […] L’article XELLA : 100 ans du béton cellulaire ! Il y a un siècle, une solution constructive d’avenir révolutionnait le secteur du bâtiment est apparu en premier sur Batipresse.
Il y a 1 ans et 165 jours

Elisabeth Borne ne veut pas de la réduction du délai de paiement à trente jours comme le prévoit le futur règlement européen

Bruxelles a présenté le 12 septembre une proposition de règlement sur les retards de paiement, dont la mesure phare consisterait à fixer un...-Réglementation
Il y a 1 ans et 167 jours

Un projet d'arrêté modifie le contenu de l'audit énergétique obligatoire

RÉGLEMENTATION. Un projet d'arrêté modifiant le contenu de l'audit énergétique obligatoire lors de la vente d'une passoire thermique a été mis en consultation publique jusqu'au 17 décembre 2023.
Il y a 1 ans et 171 jours

L’accession à la propriété partagée biosourcée

Malgré la concurrence frontale du béton et les incertitudes de la réglementation incendie, le marché du logement neuf non social en bois se développe et stimule une nouvelle approche du vivre ensemble.
Il y a 1 ans et 172 jours

Des douches « zéro ressaut » en faveur de l’accessibilité

© ShutterstockLe CSTB a publié une version actualisée du guide pour la mise en œuvre des douches accessibles « zéro ressaut » dans les salles d’eau à usage individuel en travaux neufs sur supports béton. Il présente les solutions techniques existantes et les produits adaptés à la conception de ce type d’ouvrage. La réglementation accessibilité prévoit désormais que les douches doivent être parfaitement accessibles. Jusqu’alors autorisé, le ressaut maximal de deux centimètres entre le sol de la salle d’eau et l’espace douche est aujourd’hui interdit dans les bâtiments d’habitation neufs collectifs et individuels. On parle désormais de douches « zéro ressaut » dont l'objectif est de permettre l’accessibilité à l’espace douche à toutes les populations restreintes dans leurs déplacements, les seniors comme celles souffrant d’un handicap. Cette nouvelle disposition favorise notamment le maintien à domicile des personnes âgées. Ainsi, la Direction de l’Habitat, de l’Urbanisme et des Paysages (DHUP) a sollicité le CSTB pour réviser le Guide pour la mise en œuvre d’une douche de plain-pied dans les salles d’eau à usage individuel en travaux neufs, rédigé en 2012. Contraintes techniques Ce guide, conçu par le CSTB en 2022, et dont le titre et le contenu ont évolué pour correspondre à cette réglementation, précise les conditions générales de réalisation des douches accessibles « zéro ressaut » en travaux neufs dans les salles d’eau à usage individuel sur supports béton et présente les solutions de réalisation connues et évaluées techniquement à ce jour. Un espace de douche « zéro ressaut » étant un ouvrage techniquement complexe à réaliser, il est nécessaire de prendre en compte différentes contraintes telles que l’écoulement de l’eau vers le dispositif d’évacuation, l’étanchéité du support, la résistance à la glissance de l’espace douche, l’acoustique et les exigences réglementaires électriques. Pour respecter le caractère accessible, des dimensions minimales sont également attendues pour l’espace douche (120 x 90 cm) et les zones adjacentes (espace d’usage et espace de manœuvre). Pour aboutir à ce guide révisé, un groupe de travail, composé de différents acteurs de l’acte de construire (parmi les 80 participants fortement investis : des promoteurs, des entreprises, des industriels, des contrôleurs techniques, des assureurs et des experts), s'est réuni pendant plusieurs mois. L’enjeu était d’identifier les solutions techniques existantes et validées à ce jour, mais aussi de déterminer les difficultés techniques à résoudre et les produits à développer pour multiplier les solutions disponibles. Plusieurs solutions de réalisation évaluées techniquement Trois façons de réaliser une douche « zéro ressaut » ont ainsi été identifiées pour les deux configurations possibles que sont les espaces de douche ouverts et les espaces de douche cloisonnés : les espaces de douche maçonnés, les receveurs de douche prêts à revêtir et les receveurs de douche finis. Pour autant, ce guide n’exonère pas les acteurs de justifier de l’aptitude à l’usage ouvrage par ouvrage, en respectant les DTU, ATec ou ATEx, d’autant que certaines combinaisons de produits ne bénéficient pas encore toutes d’un retour d’expérience en France. Ce guide, qui a pour vocation d’alerter les concepteurs sur les dispositions à prendre selon la configuration de mise en œuvre retenue, est une version actualisée (novembre 2023) qui sera complétée avec d’autres solutions techniques dès lors qu’elles bénéficieront d’évaluations techniques. Que ce soit par l’évaluation de solutions innovantes ou la certification, le CSTB accompagne l’ensemble des filières professionnelles dans cette évolution. Des douches « zéro ressaut » également compatibles avec des supports bois Dans la continuité de cette nouvelle réglementation, et dans le cadre de la conception du Village des Athlètes, le CSTB et la Société de livraison des ouvrages olympiques (SOLIDEO) ont également élaboré un guide de mise en œuvre de douches accessibles « zéro ressaut » dans les salles d’eau à usage individuel en travaux neufs sur supports bois. Ce guide, paru début 2023, précise les conditions générales de réalisation des douches accessibles « zéro ressaut » avec revêtement de sol céramique ou assimilé, pierres naturelles sur plancher bois. Il est le fruit d’une démarche collective menée avec les acteurs de la filière bois : ADIVbois, France Bois 2024, l’institut technologique FCBA, le Comité de développement des industries françaises de l’ameublement et du bois (CODIFAB) et France Bois Forêt, s’appuyant sur les différents acteurs de l’acte de construire au sein d’un groupe de travail. Il a été conçu pour favoriser l’accessibilité aux sportifs à mobilité réduite pendant la tenue des Jeux à Paris en 2024, mais aussi dans la perspective de la reconversion du Village en quartier d’habitation (logements, chambres d’hôtels, résidences dédiées aux seniors et aux étudiants) à horizon 2025. En savoir plus : Douches « zéro ressaut » : un guide de mise en œuvre conçu par le CSTB Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2022 Dans la continuité de ses précédents rapports RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2022 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 1 ans et 172 jours

la fili re biosourc s ambitionne de doubler sa production d ici 2025

À la faveur des nouvelles normes et réglementations, et notamment avec l’entrée en vigueur de la Réglementation Environnementale 2020 (RE2020), les matériaux biosourcés enregistrent une forte croissance ces dernières années. Leur part de marché a presque doublé entre 2016 et 2021, et la filière ambitionne désormais de doubler ses capacités de production pour atteindre 60 millions de m2 par an d’ici deux ans.
Il y a 1 ans et 175 jours

La filière des matériaux biosourcés est prête pour la décarbonation du bâtiment

En accord avec les objectifs de décarbonation du bâtiment fixés par les nouvelles réglementations carbone, RE2020 et décret tertiaire en tête, la filière des matériaux biosourcés est déjà prête à répondre aux demandes croissantes des professionnels de la construction. Avec 11% de part de marché pour les isolants biosourcés en 2021, la filière continue d’investir pour doubler ses capacités annuelles de production d’ici 2025.
Il y a 1 ans et 178 jours

Marché global de performance énergétique à paiement différé : Fin Infra détaille la méthode

Fin Infra publie ce vendredi 17 novembre le dossier d'accompagnement relatif au MGPE à paiement différé (ou à tiers-financement). Très...-Réglementation
Il y a 1 ans et 179 jours

Urbanisme : « Le PLU est avant tout un projet humain, coconstruit pour et avec les habitants »

Entretien avec Catherine Charlot-Valdieu et Philippe Outrequin, économistes et consultants en développement...-Réglementation
Il y a 1 ans et 179 jours

une garantie int grale et gratuite de 25 ans pour les toitures actives

Encouragés par les réglementations énergétiques, et compte tenu du prix du foncier, les maîtres d’ouvrage, architectes et constructeurs privilégient de plus en plus les toitures ‘actives’ à haute performance thermique : toiture accessible, toiture végétalisée, toiture solaire, toiture technique fortement sollicitée... Mais réparer de telles toitures en cas de fuite coûte très cher.
Il y a 1 ans et 186 jours

Les Soulèvements de la Terre sauvés par le Conseil d'Etat

Si la Haute juridiction reconnaît que le mouvement écologiste s’est bien livré à des provocations à la violence contre les biens, leurs...-Réglementation
Il y a 1 ans et 187 jours

La technologie Purform® Sika, l'alternative à l'obligation Reach 2023

Une nouvelle obligation règlementaire est entrée en vigueur le 24 Aout 2023 au regard de la règlementation Européenne REACH. Elle concerne les produits contenant + de 0,1% de monomères diisocyanates. Pour manipuler ces produits une formation est nécessaire. Elle est personnelle et sa durée de vie est de 5 ans.
Il y a 1 ans et 188 jours

"Je n'ai jamais vu un marché immobilier autant sclérosé" (J-M. Camizon, Clameur)

CONJONCTURE. Le marché locatif privé est totalement à l'arrêt, alerte l'Observatoire des loyers. Le parc lui-même est en décroissance, une tendance aggravée par la réglementation sur les passoires thermiques.
Il y a 1 ans et 188 jours

Le déploiement de la facturation électronique obligatoire entre entreprises débutera en septembre 2026

Un amendement gouvernemental au projet de loi de finances pour 2024 fixe le nouveau calendrier de la facturation...-Réglementation
Il y a 1 ans et 189 jours

Maquette numérique de bâtiment et réglementation

La faisabilité de la numérisation des règles (accessibilité, sécurité incendie) a été démontrée au travers de plusieurs initiatives. Ainsi, il est possible de vérifier la conformité d’une maquette numérique de bâtiment par rapport à un référentiel réglementaire ou d’obtenir des listes de produits conformes pour une maquette donnée en fonction de son environnement. Les pistes de développement sont multiples, notamment dans le cadre du concept de jumeau numérique. La numérisation des règles professionnelles n’est pas une histoire récente, les premiers systèmes experts datant des années 60. « Le principe a déjà été pensé, par des certificateurs notamment. Le problème de ces approches est le coût de la maintenance, qui est exorbitant. D’autant que les règles et les normes sont évolutives et qu’il faut alors tout mettre à jour », introduit Bruno Fies, ingénieur recherche et expertise à la direction Technologies de l’information du CSTB. Néanmoins, depuis l’avènement des technologies dites « sémantiques », la maintenance de tels systèmes peut enfin être envisagée avec des coûts plus raisonnables. Les premiers travaux ont justement consisté à s’assurer de la faisabilité du projet et à développer une méthode et une architecture qui puissent permettre de modifier certains paramètres sans remettre en cause toute la genèse. « Nous n’avons pas codé en dur dans le même endroit. Il est possible de faire des modifications sans changer les règles, via des mécanismes de gestion de la donnée », enchaîne Fadi Lahlou, chef de projet développement au sein de la direction Technique du CSTB. Les premiers pas de la transition numérique dans le bâtiment Selon la direction Technologies de l’information du CSTB, les travaux les plus notables dans ce domaine datent du Plan de transition numérique dans le bâtiment (2016), puis du plan BIM 2022 (2019). Il s’agissait de transcrire des contraintes réglementaires, exprimées initialement en langage naturel, en un langage numérique afin de les rendre interprétables par des machines, puis de les confronter aux maquettes numériques de bâtiments. L’idée était d’offrir aux utilisateurs, dès la phase de conception, un service pouvant aider au contrôle de la conformité de leurs maquettes Building Information Modeling (BIM) au regard de la réglementation. Les premières numérisations ont été menées sur l’accessibilité du bâtiment et la sécurité incendie, deux secteurs identifiés parce que les opportunités de marché sont importantes. Preuve de concept (POC), l’outil a été mis à disposition sur Kroqi, plateforme de travail collaboratif en BIM des professionnels de la construction. Au-delà du contrôle de maquette numérique, cette démarche et ces technologies s’appliquent quasi à l’identique pour des services de prescription de produits. Il est ainsi possible de numériser des documents techniques unifiés (DTU) et de proposer des services de prescription de produits adaptés à une maquette BIM, présentée en entrée du système. Le concepteur pourra choisir des matériaux ou des solutions en fonction des contraintes réglementaires, contrôler dès la phase conception la conformité du projet en fonction de son environnement, voire effectuer un suivi lors du chantier. Un véritable outil d’aide à la conception. Une maquette numérique du bâtiment évolutive Parmi les pistes de développement, les ingénieurs de la direction Technologies de l’information souhaitent rattacher la numérisation des règles au concept de jumeau numérique, ce qui permettrait de suivre la construction du projet lors du chantier et même au-delà, lors de l’exploitation maintenance et rénovation. Cela est d’autant plus intéressant que la question de la réversibilité des bâtiments et les changements d’usage sont au cœur des enjeux. « Il serait alors possible d’envisager de passer en revue les éléments de la maquette et d’adapter le bâtiment en fonction de son nouvel usage, de faire évoluer les règles en fonction de l’utilisation du bâtiment », souligne Fadi Lahlou. Reste à trouver aujourd’hui un environnement qui puisse héberger ces règles numérisées et les mettre en valeur. La question n’est cependant pas uniquement technologique. En effet, le verrou principal de la numérisation des règles reste l’élaboration d’un langage commun, compréhensible par tous. « Un exemple concret est celui du cheminement nécessaire pour la prise en compte de l’accessibilité. Or, la notion de cheminement n’existe pas dans la maquette numérique et n’est pas transposable telle quelle. Il a donc fallu établir des passerelles entre tous ces vocabulaires afin d’aboutir à un lexique commun », explique Bruno Fies. Cela passe par la création d’un collège, composé notamment d’architectes, d’ingénieurs chargés de la maquette numérique, de fabricants de produits et de certificateurs. Ce collège aura vocation à enrichir et à maintenir cette base de connaissances, constituée à la fois de règles numérisées et d’un lexique universel et transversal, le CSTB souhaitant rester le pilote de ce chantier. Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2022 Dans la continuité de ses précédents rapports RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2022 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 1 ans et 192 jours

Qu'est ce que la nouvelle obligation Reach 2023 ?

Une nouvelle obligation règlementaire rentre en vigueur le 24 Aout 2023 au regard de la réglementation Européenne REACH. Elle concerne les produits contenant + de 0,1% de monomères diisocyanates.
Il y a 1 ans et 193 jours

Configurateur FDES robinetterie : un outil gagnant-gagnant

Pour répondre à l’intensification de la demande de FDES et de PEP, le CSTB met en place un configurateur FDES consacré à la robinetterie sanitaire et aux accessoires associés (vidages, douches, etc.). Il pourrait aussi s’appliquer, à terme, à la robinetterie du bâtiment, aux canalisations et s’étendre aux autres produits de construction. Les maîtres d’ouvrage et les maîtres d’œuvre demandent toujours davantage de précisions sur les performances environnementales des produits et systèmes constructifs. Aussi, les industriels sont de plus en plus demandeurs de fiches de déclaration environnementale et sanitaire (FDES) individuelles et de profils environnementaux produits (PEP). Face à cet afflux de demandes, les délais ne font qu’augmenter. « Cet engouement s’explique par l’entrée en vigueur de la RE2020, mais aussi parce que les fabricants ont bien compris que, d’une part, les valeurs par défaut sont vouées à disparaître et que, d’autre part, les FDES collectives, bien que très utiles, ne mettent pas en avant les efforts individuels des industriels », indique Florence Wagner, ingénieure recherche et expertise au sein de la direction Énergie-Environnement du CSTB et cheffe de projet technique de cet outil. Autant de raisons pour lesquelles le CSTB a conçu ce configurateur, pour l’heure uniquement réservé à la robinetterie sanitaire, qui permet aux industriels de réaliser eux-mêmes, et plus facilement, leurs FDES individuelles. Simplifier les demandes de FDES Ce configurateur FDES a été paramétré afin d’intégrer tous les matériaux, composants, processus nécessaires à la fabrication de la robinetterie : laitons, cartouches, becs corps, énergie, modes de transport, traitement des déchets. Les scénarios de fin de vie de chaque élément ont été modélisés à partir d’informations issues de bases de données environnementales reconnues. Une fois connecté, le fabricant accède ainsi à une bibliothèque déjà préremplie et à un formulaire mentionnant les valeurs correspondant à ses propres produits. « Nous avons conçu un véritable squelette de FDES qui permet aux industriels de remplir les champs en toute simplicité », ajoute Florence Wagner. Une fois les données intégrées, la fiche est traitée par des outils experts d’analyse du cycle de vie (ACV) afin de calculer l’ensemble des impacts demandés par les normes et réglementations. L’industriel reçoit ensuite le résultat de calcul et la FDES. Configurateur FDES : une économie de temps et d’argent Pour le fabricant, une demande de FDES ne requiert pas plus d’une demi-journée. La réalisation d’une fiche de la part d’un expert ACV exige de s’appuyer sur une base normative et réglementaire estimée à un millier de pages, d’étudier les informations fournies par l’industriel, de les convertir en données environnementales, puis de rédiger un rapport d’accompagnement de l’analyse de cycle de vie nécessaire à la rédaction de la FDES. « Un travail conséquent et dont le processus doit être refait depuis le début pour chaque nouvelle fiche, précise Florence Wagner. Le configurateur permet de simplifier cette étape, un gain en efficacité pour les experts ACV et de temps considérable pour l’industriel, puisqu’il faut aujourd’hui un an pour obtenir une FDES. » La procédure de vérification est simplifiée par rapport à une demande réalisée de manière classique. Le temps de traitement est ainsi divisé par six. Au niveau du coût, l’économie est non négligeable pour les industriels : 500 euros pour la vérification via le configurateur contre 3 500 euros via le parcours classique. Le configurateur permet d’être toujours à jour et de se rendre indépendant de la variation des normes : « Les modifications des méthodes en novembre 2022 ont par exemple été intégrées », ajoute Florence Wagner. Il constitue aussi et surtout une aide à l’optimisation environnementale des produits des industriels puisqu’ils peuvent simuler l’impact d’un changement de fournisseur ou de matériaux. « Si un fabricant souhaite réduire la quantité de laiton et augmenter celle du plastique, il peut avoir une simulation de FDES et retravailler ensuite sa conception », précise Laurent Rousseau, responsable de la division Équipements Sanitaires et du Bâtiment au sein de la direction de l’Eau du CSTB. Une démarche collaborative Ce configurateur est, pour l’instant, limité à la robinetterie. « La direction de l’Eau a en effet été pilote sur ce projet parce que la demande du marché en FDES est importante, les fabricants sont nombreux et le potentiel est réel. Les composants pour la fabrication de robinets se ressemblent, ce qui facilite le remplissage des champs via un formulaire type, commente Laurent Rousseau. D’ailleurs, ce projet a été lancé à la demande des fabricants, qui ont exprimé le besoin d’accompagnement. Le configurateur a été créé avec la participation de onze fabricants de petites, moyennes et grandes entreprises. Bien que concurrentes, elles se sont toutes mises autour de la table pour lister les bibliothèques de produits, valider le squelette, attester le calcul et produire leurs FDES individuelles à partir du configurateur. » « Le succès de cet outil, fruit d’un an de travail, est lié à la participation conjointe des fabricants, des spécialistes produits et des spécialistes ACV du CSTB », ajoute Florence Wagner. Le configurateur sera présenté en septembre 2023 aux fabricants et mis en service au premier trimestre 2024. Il pourra alors être développé pour d’autres secteurs du bâtiment. D’autres configurateurs sont déjà en cours d’étude, notamment pour les canalisations et la robinetterie industrielle. Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2022 Dans la continuité de ses précédents rapports RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2022 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 1 ans et 196 jours

que pensent les architectes de la re2020 appliqu e au tertiaire

La RE2020 a chamboulé certaines habitudes. C’est à cette réglementation que nous devons, entre autres, la propagation de la conception bioclimatique des bâtiments et l’utilisation des matériaux biosourcés faiblement carbonés. Les architectes, conscients de leur rôle dans la mise en application de la RE2020, font leur possible pour trouver le bon équilibre entre la ventilation, le chauffage, l’éclairage et les matériaux. Batiweb a rencontré quelques professionnels qui nous livrent leurs impressions.
Il y a 1 ans et 196 jours

pr s de deux ans apr s l entr e en vigueur de la re2020 les premiers retours se font entendre

La RE2020 est entrée en vigueur en janvier 2022 pour les logements. Cela fait bientôt deux ans que cette réglementation, qui a pour objectif de diminuer l’empreinte carbone des bâtiments et d’améliorer leurs performances thermiques, est appliquée en France. Petit tour d’horizon des premiers retours des principaux concernés.
Il y a 1 ans et 196 jours

re2020 face aux premi res limites identifi es aller plus loin avec cap 2030

Entrée en vigueur depuis le 1er janvier 2022 pour les logements, soit il y a bientôt deux ans, la Réglementation Environnementale 2020 (RE2020) a remplacé la Réglementation Thermique 2012 (RT2012). Mais quels sont les premiers retours d’expérience ? Y a-t-il des limites identifiées ? En quoi consiste Cap 2030, qui vise à anticiper la prochaine réglementation ? Le point avec Philippe Pelletier, président du Plan Bâtiment Durable, Christophe Rodriguez, directeur de l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment (IFPEB), et Angélique Sage, responsable technique chez Effinergie.
Il y a 1 ans et 207 jours

MaPrimeRénov' : les fabricants demandent d'adapter les critères d'éligibilité des fenêtres

RÉNOVATION. Dans l'optique de massifier les rénovations globales et performantes, l'Union des fabricants de menuiseries propose d'adapter les critères d'éligibilité MaPrimeRénov' des fenêtres au parc résidentiel existant. La réglementation actuelle limite le remplacement aux parois en simple vitrage.
Il y a 1 ans et 210 jours

Règlement européen sur les retards de paiement : "La conjoncture paraît compliquée pour instaurer le délai à 30 jours", Marie Arnout, FDMC

La Commission européenne a proposé le 12 septembre un nouveau règlement concernant la lutte contre les retards de paiement, qui viendrait...-Réglementation
Il y a 1 ans et 215 jours

la recherche d une largeur d ouverture la hauteur de vos projets de r novation

Que ce soit dans l’habitat collectif où dans d’autres secteurs, les portes font partie des éléments constructifs qui souffrent le plus. En cause : l’usage intensif auquel elles sont soumises. À cela s’ajoute le respect des différentes réglementations, les attentes portant sur la sécurité, mais aussi sur le confort. Aujourd’hui, il est nécessaire d’apporter aux professionnels (bailleurs sociaux, artisans, maîtres d’œuvre …) des solutions qui répondent à l’ensemble de ces enjeux pour la réussite de leurs projets de rénovation.