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Il y a 2 ans et 212 jours

Hérault : modernisation du stade Philippidès avec l’installation d’une piste connectée

À Montpellier (Hérault), le stade Philippidès a été équipé d’une nouvelle piste d’athlétisme...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 213 jours

Chantiers au Qatar : une filiale de Vinci convoquée par la justice française "en vue d'une éventuelle mise en examen"

Le journal Le Parisien avait rapporté dimanche qu'une telle convocation aurait lieu mercredi par un juge d'instruction de Nanterre. Le groupe écrit regretter que "sa filiale fasse l'objet d'une mise en examen", en anticipant une décision qui appartient au juge mercredi. L'entreprise française dit réfuter les accusations, notamment de "travail forcé" et de "traite d'êtres humains", à deux semaines de l'ouverture du Mondial-2022.Le dossier remonte à 2015, et une première plainte a été classée sans suite en 2018. Mais des plaintes émanant des associations Sherpa et Comité contre l'esclavage moderne (CCEM), ainsi que de sept ex-employés indiens et népalais de ces chantiers, ont entraîné l'ouverture d'une enquête par un juge d'instruction en novembre 2019.Trois chantiers sont décriés par ces plaignants: celui du "métro léger" ralliant Doha à Lusail, ville nouvelle qui accueillera la finale de la Coupe du monde de football ; celui des parkings souterrains de Lusail; ainsi que ceux du chantier de l'hôtel de luxe Sheraton, au coeur de Doha.Les plaignants accusent Vinci, Vinci Construction Grands Projets (VCGP), sa filiale Qatari Diar Vinci Construction (QDVC) et leurs représentants, de "réduction en servitude, traite des êtres humains, travail incompatible avec la dignité humaine, mise en danger délibérée, blessures involontaires et recel" notamment, selon la plainte consultée par l'AFP en 2020.Vinci "n'a cessé de réfuter vigoureusement les allégations portées à son encontre concernant des chantiers au Qatar menés par l'entreprise QDVC" et "continuera de collaborer avec la justice", explique le groupe lundi dans son communiqué.Travailleurs migrantsPour organiser la compétition de football, le Qatar a confié la concrétisation de gigantesques travaux de construction (stades, routes, hôtels...) à une armée de travailleurs migrants. Dès les premiers coups de pioches, des ONG ont dénoncé les conditions de travail imposées à ces ouvriers.Selon les témoignages recueillis à l'époque par l'ONG Sherpa, les employés immigrés de Vinci sur certains chantiers ont dit avoir travaillé, passeport confisqué, entre 66 et 77 heures par semaine. Et ils auraient été entassés dans des chambres exiguës aux sanitaires insuffisants, percevant des rémunérations sans rapport avec le travail fourni, menacés de licenciement ou de renvoi dans leur pays en cas de revendications."Aucun des projets attribués à QDVC n'est lié à la Coupe du Monde de football 2022 au Qatar" et ils ont été "attribués (...) avant que l'organisation de cette compétition ait été attribuée" (en 2010) à ce riche émirat du Golfe, affirme de son côté Vinci. Il rappelle que les projets ont porté "à l'essentiel sur des infrastructures de transport".Un audit réalisé en janvier 2019 par plusieurs organisations syndicales (CGT, CFDT et CFE-CGC) au sein des activités qataries de Vinci a néanmoins conclu à l'existence de bonnes pratiques sur place en matière d'emploi."Nous avons vainement tenté de convaincre le magistrat qu'il n'était pas spécialement opportun après sept ans et demi d'enquête d'envisager une mise en examen dans la quinzaine d'ouverture de la Coupe du Monde de football", a réagi lundi auprès de l'AFP l'avocat de Vinci Jean-Pierre Versini-Campinchi, qui craint "un tumulte médiatique"."Si une mise en examen était prononcée contre Vinci, cela confirmerait que les multinationales ont de plus en plus de mal à se cacher derrière les chaînes de valeur, le fait qu'il serait +trop compliqué+ d'agir, et rappellerait que juridiquement, des mesures volontaires d'amélioration ne permettent pas d'échapper au risque de sanction pénale en cas de suspicion d'infraction", retient pour sa part l'ONG Sherpa.
Il y a 2 ans et 213 jours

Indisponibilités nucléaires : EDF prié de débrider barrages et éoliennes

Dans un courrier au PDG d'EDF daté de vendredi, la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher lui demande "de tout mettre en œuvre pour dégager de nouvelles marges de manœuvre pour le passage de l'hiver", ce qui "passe, notamment, par la maximisation de la production renouvelable de l'entreprise". Cela signifie augmenter "de manière anticipée la puissance des concessions hydroélectriques", écrit-elle.Le recours accru aux barrages était jusqu'ici limité notamment par l'existence d'une redevance s'appliquant aux exploitants en cas d'augmentation de puissance. Mais cette taxe doit disparaître à la faveur de la nouvelle loi de finances.C'est aussi "la maximisation de la production renouvelable d'origine éolienne, qui nécessite pour EDF une expertise site par site des possibilités de débridage, en lien avec les services déconcentrés de l'Etat, qui ont la consigne d'instruire les éventuelles demandes de manière prioritaire", ajoute la lettre adressée à Jean-Bernard Lévy.Cette demande concerne, outre EDF, tous les exploitants, a-t-on précisé au ministère.Le bridage des éoliennes est paramétré à l'avance, selon leur exposition, les seuils de vent... afin aussi de limiter certains impacts, sonores notamment. Le débridage et ses modalités seront décidés site par site, chaque parc ayant ses caractéristiques.L'effort "passe enfin par l'accélération des projets renouvelables en cours de construction portés par EDF", ajoute la ministre, en invitant à lui "signaler toutes les difficultés éventuelles dans ces projets".Pour EDF, cette lettre "s'inscrit dans une continuité d'échanges" avec le gouvernement en vue de l'hiver, et la question de l'augmentation de la production renouvelable "était déjà en cours d'instruction", sans que l'on puisse encore à ce stade évaluer le volume d'électricité supplémentaire espéré là."On va apporter une réponse dans les meilleurs délais", ajoute le groupe.A ce jour, 26 réacteurs nucléaires sont à l'arrêt, pour maintenance mais aussi problèmes de corrosion, sur un parc de 56.L'électricien national a annoncé jeudi un nouveau report de la date de reconnexion de quatre d'entre eux, et revu à la baisse son estimation de production nucléaire pour 2022, dans un contexte d'approvisionnement électrique et gazier déjà tendu.Sur le front des renouvelables, le gouvernement compte aussi sur l'entrée en service complet du tout premier parc éolien offshore de France, face à Saint-Nazaire.En outre, "les travaux portant sur la fiabilisation de notre capacité d'importation d'électricité, notamment d'Allemagne, devraient trouver une issue favorable très prochainement", ajoute Mme Pannier-Runacher dans sa lettre.Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz s'étaient accordés début septembre pour que la France livre davantage de gaz à l'Allemagne, celle-ci pouvant en retour fournir, si besoin, de l'électricité à son voisin.
Il y a 2 ans et 213 jours

Wilo inaugure un nouveau site en Italie

Un site plus grand, plus moderne Le traitement et la distribution de l’eau potable deviennent de plus en plus importants en raison du changement climatique. Nos systèmes et pompes permettent à de nombreuses personnes dans le monde d’avoir accès à de l’eau potable.La perturbation des chaînes d’approvisionnement causée par la pandémie a montré qu’il est important de produire plus localement et de réduire les flux transcontinentaux de marchandises. Au plus fort de la pandémie, nous, en tant que fabricant de pompes, étions l’une des rares entreprises industrielles et de services capables de maintenir la production.Cette tendance a conduit à la décision de poursuivre l’intégration des productions de pièces en acier inoxydable avec toutes ses étapes importantes : emboutissage, soudure, etc. Pour cela, le 07 octobre dernier, Georg Weber (membre de l’Executive Board & CTO), Dr. Mahmud Mustafa (SPV Group Operations), Olivier Minaud (Président de Stemma et VP Operations), Philippe Marjollet (Président Wilo France) et Simone Stopazzola (Plant Manager) ont inauguré le nouveau bâtiment de notre filiale Stemma, une société qui a rejoint le Groupe Wilo en 2005.Stemma est l’un des sites de production du Groupe Wilo dans le monde. Stemma, située à Cornedo Vicentino dans le nord-est de l’Italie et employant 25 collègues, produit des composants en acier inoxydable pour nos pompes Helix et Medana. « La région de Vénétie est réputée pour sa productivité élevée et ses grandes connaissances et compétences en formage d’acier inoxydable », a déclaré Georg Weber. Dr Mahmud Mustafa ajoute : « L’Italie est tout à fait unique en ce sens, elle possède le savoir-faire nécessaire pour dessiner et souder des géométries 3D complexes ».La décision de déménager vers un site plus grand et plus moderne contribue au développement de notre stratégie de sécurisation des approvisionnements et nous aide à mieux répondre aux crises de ces dernières années. Georg Weber a souligné : « Notre stratégie est une réponse aux tendances de régionalisation de nombreux pays dans le monde à ce stade. C’est aussi une réponse au stress dans les chaînes d’approvisionnement mondiales qui ne disparaîtra évidemment plus. Stemma est un exemple important de cette stratégie d’internalisation avec une croissance significative des investissements et de l’activité ». L’approche stratégique se concentre également sur l’intégration verticale, c’est-à-dire l’investissement dans la technologie qui nous donne un avantage concurrentiel. En outre, c’est une excellente occasion d’améliorer la production en suivant la stratégie de produits d’entreprise de Wilo dans le cadre du développement continu de l'activité Eau froide. Le nouveau bâtiment moderne s'inscrit également dans la stratégie de développement durable de notre groupe - puisqu'il est recouvert de panneaux solaires - et d'autres initiatives sont à venir dans ce domaine.Touche finale de l’inauguration : Direction, employés, parties prenantes, fournisseurs et partenaires se sont réunis autour d’un cocktail afin d’échanger et de renforcer les liens avec les partenaires locaux.
Il y a 2 ans et 225 jours

Kiloutou teste Ellectramobilys, un camion-benne 100% électrique

À l’occasion du Mondial de l’Automobile 2022, Ellectramobilys présente sa solution Muses dans sa version camion-benne, actuellement testée par Kiloutou.Au sein du parc de matériel de location actuel de Kiloutou, les camion-bennes sont les engins les plus émetteurs de CO2. Kiloutou explore ainsi des solutions qui pourraient réduire leur impact. Muses d’Ellectramobilys est un véhicule utilitaire à motorisation électrique qui pourrait répondre à cette problématique, notamment rencontrée par les majors du BTP, les artisans, collectivités ou même particuliers opérant déplacements et chargements de matériels et matériaux légers en zones urbaines.Muses, un véhicule électrique agile et performant qui ouvre un champ prometteur de co-développement avec KiloutouLe véhicule Muses dispose d’une autonomie allant de 138 à 260 km selon la puissance de batterie utilisée et d’une charge utile de 670 kg. Son format compact et son faible niveau d’émissions sonores (75 dB) en font un véhicule performant et agile.Le modèle testé par Kiloutou possède, à ce stade, de nombreux atouts dont :une benne triverse (un service complet, autorisant indifféremment les déchargements par l’arrière, par la droite ou la gauche),un seuil de chargement très bas ainsi qu’un poste de conduite central qui en fait aussi un allié de prévention et de sécurité pour ses utilisateurs.Sa très grande modularité ouvre aussi un terrain de co-développement en matière de carrosserie ou de solution de recharge, des perfectionnements aussi intéressants qu’indispensables pour Kiloutou dont l’objectif est d’accélérer le développement d’une solution particulièrement adaptée aux besoins de ses clients.Ellectramobilys, un fournisseur qui va au-delà de la charte fournisseur responsable définie par KiloutouKiloutou a fait le choix de se rapprocher d’Ellectramobilys pour la qualité de sa solution, notamment sur le plan environnemental : sa conception innovante avec 40% de matière en moins nécessaire à sa fabrication, dont deux fois moins de matière (lithium, cobalt et manganèse) dans sa batterie, réduit considérablement son impact sur les ressources naturelles en comparaison avec un véhicule électrique concurrent. Il en va de même de sa consommation d’énergie en utilisation, divisée par deux par rapport aux autres véhicules utilitaires électriques. Le véhicule Muses est un levier de réduction de l’impact environnemental des chantiers et interventions urbaines.Enfin, Muses est actuellement assemblé en France et sera intégralement produit à partir de 2023 en France.Pour Audrey Miclard, Directrice Développement Durable de Kiloutou : « Notre accélération en R&D s’appuie notamment sur le développement de collaborations étroites avec de nouveaux acteurs engagés comme Ellectramobilys, dont les solutions prometteuses peuvent être testées au sein de notre Centre d’Essai. Parmi les nombreux atouts de Muses, il y a la possibilité de remplacer une batterie vide par une batterie chargée en moins de 3 minutes. Cela favorise la recharge longue, moins gourmande en énergie et protectrice des batteries, sans interrompre l’utilisation du matériel. Ces simplifications d’utilisation sont des points-clés de nos ambitions en matière de R&D. Nous innovons au service de nos clients et pour une filière des matériels durables. »Pour Damien Biro, Président de Muses Europe : « Aujourd’hui, nous présentons un véhicule dédié à un usage utilitaire bien spécifique, qui maîtrise à la fois la masse, l’équation économique et l’équation environnementale. Nous sommes ravis de pouvoir co-développer cette solution avec un acteur comme Kiloutou, aussi engagé pour l'environnement et au réseau solide. »
Il y a 2 ans et 229 jours

Le Qatar, géant du gaz, annonce deux nouveaux grands projets de centrales solaires

Ces nouvelles centrales, à Mesaieed Industrial City (Sud) et Ras Laffan Industrial City (Nord), porteront la production photovoltaïque de l'émirat à 1,675 gigawatts (GW) d'ici fin 2024, a précisé la compagnie nationale Qatar Energy.Leur construction sera supervisée par le conglomérat sud-coréen Samsung, pour un investissement initial de plus de 600 millions de dollars (600 millions d'euros).Mesaieed et Ras Laffan sont des lieux clés pour la production de gaz naturel au Qatar, en pleine expansion.La première centrale solaire de très grande envergure du pays (800 mégawatts), Al Kharsaa, à l'ouest de Doha, a commencé à alimenter le réseau national en juillet, selon des sources du secteur. Elle devrait être pleinement opérationnelle avant le début de la Coupe du monde de football le 20 novembre.D'après les organisateurs du tournoi, qui promettent qu'il s'agira du premier Mondial à atteindre la neutralité carbone, cette centrale alimentera les huit stades en électricité.Sur les deux millions de cellules photovoltaïques d'Al Kharsaa, le sable et la poussière du désert sont nettoyés chaque jour par des robots. Qatar Energy a fait savoir que le même système serait utilisé dans les deux nouvelles fermes.Le ministre de l'Energie Saad Sherida al-Kaabi a salué une étape majeure dans les efforts de l'Etat du Golfe pour "accroître le recours aux énergies renouvelables à haut rendement".Le Qatar, qui entend produire 5 GW d'énergie solaire d'ici 2035, est en retard sur ses voisins du Golfe. L'Arabie saoudite a annoncé cette année son intention d'augmenter sa production à plus de 5 GW d'ici 2030 et des centrales solaires existent aux Émirats arabes unis depuis près d'une décennie.
Il y a 2 ans et 231 jours

Le Qatar inaugure sa première centrale solaire avec TotalEnergies

Située à Al Kharsaah, à l'ouest de Doha, cette ferme solaire de plus 1,8 million de panneaux solaires s'étend sur 10 km2, ce qui en fait l'une "des plus grandes de la région", selon le ministre de l'Energie et président de Qatar Energy, Saad Sherida al-Kaabi.D'une capacité de 800 mégawatts, le projet lancé en 2016 et opérationnel depuis juin vise à couvrir 10% de la consommation du pays en électricité.D'après les organisateurs du Mondial-2022 au Qatar, qui promettent un tournoi neutre en carbone, la centrale alimentera les stades en électricité. Lors d'une conférence de presse, M. Al-Kaabi a toutefois indiqué ne pas disposer d'information sur ce point.Outre TotalEnergies (19,6%), l'entreprise japonaise Marubeni (20,4%) est partenaire de la centrale d'Al Kharsaah.Le géant gazier et pétrolier français a par ailleurs signé cette année deux importants contrats avec le Qatar pour le développement du plus grand champ de gaz naturel au monde, le North Field."Le fait que TotalEnergies soit devenu récemment le premier partenaire international du Qatar est un signe fort", a commenté le PDG Patrick Pouyanné, interrogé par l'AFP."C'est le résultat de beaucoup de travail depuis plusieurs années, mais je pense que ça tombe bien au moment où la question de la sécurité d'approvisionnement de l'Europe se pose à nous tous", a-t-il ajouté."On dirait que c'est la seule entreprise qui travaille au Qatar!", s'est pour sa part amusé Al-Kaabi. "Nous avons la même mentalité: être à la pointe de la technologie, essayer d'aller dans des zones d'exploration reculées et aussi vers les énergies renouvelables", a-t-il expliqué."Je pense que notre partenariat va encore se solidifier mais ça ne veut pas dire qu'on n'a pas d'autres partenaires très importants et, bientôt, vous nous verrez signer avec d'autres", a glissé le ministre, alors que le pays doit encore dévoiler le nom d'autres entreprises étrangères engagées sur le North Field.Le Qatar, qui vise une capacité de 5 gigawatts d'énergie solaire d'ici 2035, a annoncé fin août deux autres grands projets de centrales photovoltaïques devant lui permettre de plus que doubler sa production d'ici deux ans.La ferme solaire d'Al Kharsaah, elle, devrait être "étendue" d'ici 2035, a précisé le ministre.L'émirat est toutefois en retard sur ses voisins du Golfe. L'Arabie saoudite a annoncé cette année son intention de dépasser le seuil des 5 GW d'ici 2030, et des centrales solaires existent aux Emirats arabes unis depuis près d'une décennie.
Il y a 2 ans et 231 jours

Val-d’Oise : le stade de Méry-sur-Oise a fait peau neuve

Équipé d’une nouvelle piste d’athlétisme, le stade de Méry-sur-Oise (Val-d’Oise) est rebaptisé « stade Bernard-Gambier...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 233 jours

Quatre hommes mis en examen pour escroquerie aux énergies renouvelables dans le Nord

La police judiciaire du Nord a interpellé le 12 octobre les dirigeants des sociétés "France Confort Habitat", "Renovio", Home Innova" et "Eco Renouv" dans le cadre d'une information judiciaire pour "escroquerie en bande organisée commises dans le cadre d'une activité commerciale sur les énergies renouvelables", a précisé le parquet dans un communiqué.Ils sont soupçonnés d'avoir usé de "manoeuvres frauduleuses" pour convaincre des particuliers de souscrire "des contrats de rénovation, d'isolation, de fourniture d'équipements de chauffage (...) ou encore de réfection de toiture", en "prétendant faussement qu'ils étaient éligibles à l'obtention d'aides de l'Etat".Les faits ont débuté en mars 2014, indique le parquet, précisant que 74 plaignants ont été identifiés "au stade actuel des investigations". Certaines de ces sociétés sont déjà fermées.Selon la police judiciaire, le préjudice s'élève à 1,4 million d'euros pour ces 74 victimes."Les enquêteurs ont mis au jour un système élaboré de fraudes au préjudice de personnes vulnérables contraintes à souscrire des prêts auprès d'établissements de crédits pour financer des travaux qui n'étaient jamais réalisés ou mal exécutés", selon la PJ.Deux des dirigeants mis en examen ont été placés en détention provisoire, les deux autres sous contrôle judiciaire.Ils encourent 10 ans d'emprisonnement et un million d'euros d'amende.
Il y a 2 ans et 233 jours

Himacs apporte une finition luxueuse et fonctionnelle à l'intérieur du nouvel hôtel Brooklyn de Leicester

Pour le designer Oliver Redfern : « Squid.inc a une fois de plus été honorée d'être retenue pour concevoir les espaces intérieurs de cette enseigne branchée et de son nouveau site de Leicester, adjacent au stade Welford Road, qui accueille la célèbre équipe de rugby des Leicester Tigers. L'esthétique superpose des décors provenant de périodes et de sources différentes ; une sensibilité anti-slick et anti-entreprise palpable - un lieu où la créativité et la collaboration ont libre cours pour construire une histoire qui apporte le meilleur de Brooklyn à Leicester. »Le résultat est une destination confortable, accueillante avec le charme d’un plateau de tournage.Le bar, le restaurant et le lobby réunis s’appellent Le Lair, un véritable lieu de convivialité ouvert à tous. Au centre de cet espace, la façade du bar est fabriquée en HIMACS Dark Night et présente des lignes diagonales tracées représentant les motifs formés par les câbles de suspension en acier du pont de Brooklyn. Faisant partie de la collection Solids d'HIMACS, le même matériau a également été choisi pour les comptoirs de la réception de l'hôtel.À l'étage, les 191 chambres élégantes de l'hôtel disposent chacune d'une salle de bains dont les plans de toilette sont en HIMACS Alpine White. Tous les éléments HIMACS ont été fournis par Whitehall Fabrications, tandis que le bar et les bureaux de la réception ont été fabriqués par Deanhouse Interiors.Grâce à sa flexibilité et à ses caractéristiques particulières, HIMACS est l'application idéale pour les hôtels et les restaurants. Il crée un impact instantané dans les bars, les salles de réceptions et les clubs les plus branchés, en créant un effet d'ambiance à l'esthétique unique. HIMACS est également ultra-pratique et sûr, car il est robuste et résistant au feu, incroyablement hygiénique et résistant à l'usure, aux taches et aux rayons UV. De plus, sa surface non poreuse rend le matériau complètement imperméable et extrêmement facile à nettoyer. Les propriétés thermoformables d'HIMACS lui permettent également d'être moulé dans n'importe quelle forme et taille, ce qui en fait le matériau parfait pour créer des bars et des zones de réception, ainsi que des plans de toilette pour les salles de bains et les sanitaires.L'absence de joints visibles garantit également un aspect lisse qui empêche la saleté, les bactéries et les virus de s'accumuler sur la surface. Cela fait d'HIMACS un matériau aux propriétés hygiéniques imbattables, garanties par des certifications conformes aux normes internationales LGA et NSF.
Il y a 2 ans et 234 jours

Avec 8.950 défaillances enregistrées au troisième trimestre 2022, la barre des 38.000 défaillances sur 12 mois est franchie

Avec 8.950 procédures collectives ouvertes entre le 1er juillet et le 30 septembre, le niveau des défaillances augmente de 69% comparé à l’été 2021, un taux jamais observé depuis 25 ans. Sur 12 mois glissés, la barre des 38.000 défauts a été franchie. Avec 10.000 procédures de plus sur un an (+34%), la France renoue avec les niveaux de défaillances de l’été 2020, mais reste encore loin des 53.500 procédures observées fin septembre 2019.Dans le détail des secteurs, les activités B2C (commerce de détail, restauration, services à la personne) sont toujours durement fragilisées. Des signaux préoccupants émergent dans le bâtiment (second œuvre, fabrication et négoce de matériaux). Du côté des régions, si tous les territoires sont dans le rouge, la région PACA semble le mieux résister. A l’inverse, les Hauts-de-France - où les défauts ont doublé durant l’été - retrouvent une situation équivalente à 2019. Enfin, la hausse de la sinistralité chez les PME de moins de 50 salariés fait flamber le nombre d’emplois menacés, qui approche désormais 33.000.Pour Thierry Millon, directeur des études Altares : « Le nombre des défaillances d’entreprises augmente très vite. Les difficultés, qui se concentraient ces derniers mois sur les activités B2C se propagent et n’épargnent plus les PME. Le contexte économique très tendu mine la confiance des acheteurs et la montée des risques fait trembler les directions financières. Les mauvais chiffres du mois d’août (+ 98% vs. Août 2021), période pourtant traditionnellement plus calme, témoignent de l’urgence de certaines situations. Nous sommes encore loin des 50.000 procédures annuelles mais l’accélération très forte de ces derniers mois pourrait impacter les fournisseurs qui peineraient à gérer la démultiplication soudaine des défauts de clients, a fortiori de PME. 10.000 défaillances de plus sur un an, ce sont aussi de nombreuses factures qui resteront impayées. »Le nombre de défaillances en hausse de 69%, un taux jamais observé en plus de 25 ansLes records se suivent d’une année à l’autre, mais pour des raisons diamétralement opposées. Avec moins de 5500 défaillances, le niveau de sinistralité du 3ème trimestre 2021 était le plus bas jamais observé en 25 ans. Cet été 2022, 8950 entreprises ont défailli entre le 1er juillet et le 30 septembre 2022, c’est 68,5% de plus qu’un an plus tôt. Une hausse record, jamais observée jusqu’à aujourd’hui. Si l’on ne franchit pas encore le seuil des 10.000 procédures de l’été 2019, le retour aux standards d’avant Covid s’accélère.A titre de référence, au cours des 25 dernières années, des hausses de plus de 20% n’ont été observées qu’à trois autres reprises : lors de la crise financière de 2008 (+ 22% au 4ème trimestre 2008 et au 1er trimestre 2009) et au 1er trimestre 2002 (+25%) en comparaison d’un 1er trimestre 2001 perturbé par la grève des juges des tribunaux de commerce.Sur 12 mois glissés, la barre des 38.000 ouvertures de procédure collective est dépassée pour la première fois depuis l’été 2020. Une augmentation de 10.000 défaillances sur un an, qui ne ramène pas pour autant la France à ses niveaux de défauts de septembre 2019 (53.500).Les procédures de sauvegarde restent toujours peu nombreuses (229) au regard de l’ensemble des ouvertures mais en ce 3e trimestre 2022, leur nombre dépasse les seuils d’avant crise. C’est même la valeur estivale la plus haute depuis 2016.Les procédures de redressement judiciaire (RJ) sont en hausse rapide de 63,2% avec 2109 jugements prononcés. Elles représentent toujours moins d’un jugement sur quatre (24%), un taux inférieur aux 30% relevés avant Covid.Les liquidations judiciaires directes (LJ), concentrent encore près des trois quarts (74%) des jugements d’ouverture. Ce taux est nettement supérieur à celui constaté avant la crise sanitaire (68%). Elles ont concerné 6612 entreprises, soit une augmentation de 71,3%.Les entreprises les plus jeunes de plus en plus vulnérablesLes entreprises âgées de zéro à cinq ans concentrent 45% de l’ensemble des ouvertures de procédure. Parmi elles, celles de moins de trois ans, nées avec la crise sanitaire sont durement impactées (+70,6%), un phénomène encore plus marqué chez les entreprises de trois à cinq ans (+81,6%). L’essentiel (86%) des jeunes entreprises défaillantes sont des sociétés commerciales créées sous le statut de SARL ou, de plus en plus, de SAS (dont SASU) peu capitalisées (capital social médian de 2000 euros). Les défaillances de PME accélèrent et retrouvent les seuils de 2019 Les trois quarts des procédures concernent des TPE de moins de trois salariés (6720 sur un total de 8950). Les TPE de trois à neuf salariés comptent 1500 défaillances. Ce sont donc elles qui donnent la tendance trimestrielle. La situation se complique pour les PME de moins de cinquante salariés. 439 PME de dix à dix-neuf salariés ont défailli cet été, c’est 77% de plus qu’il y a un an et désormais plus qu’à l’été 2019 (381). Les PME de vingt à quarante-neuf salariés font face à une accélération encore plus marquée. Ce trimestre, le nombre de défauts a plus que doublé (+111%) pour atteindre 186 ouvertures, soit un niveau approchant celui de l’été 2019 (193). Ces PME défaillantes se situent dans de nombreux secteurs, en particulier le BTP, le transport, la restauration, l’industrie ou le commerce automobile. La plus forte vulnérabilité de ces PME fait flamber le nombre d’emplois menacés, qui approche désormais 33.000. A l’opposé, les sociétés défaillantes de plus de cinquante salariés sont relativement peu nombreuses (55) et tentent de résister (+22%). Les défaillances en hausse dans tous les secteursToutes les régions « dans le rouge » : la PACA résiste mieux, les Hauts de France à la peineLes Hauts de France, seule région à retrouver la sinistralité de 2019 La région enregistre son douzième mois consécutif de hausse du nombre de défaillances d’entreprises et les mois de cet été n’ont pas donné de signes d’amélioration. Les ouvertures de procédure ont plus que doublé (+116%) et dépassent désormais le niveau du 3e trimestre 2019 (875 vs 828).La Corse accuse la plus forte augmentation du nombre de défautsLa région compte 54 entreprises en défaillance ce 3e trimestre contre 21 un an plus tôt soit une augmentation de +157%. Aucune autre région ne présente une dégradation aussi rapide.Dans quatre autres régions, l’augmentation des défaillances d’entreprises dépasse + 80%En Occitanie, les ouvertures de procédure sont en hausse continue depuis neuf mois. L’été marque même une accélération avec un bond de plus de 130% en août. Sur le trimestre ; la région enregistre 814 défauts (+91%).En Auvergne-Rhône-Alpes, la hausse des défaillances, ininterrompue depuis novembre 2021, est plus forte encore cet été 2022 (+87%). La région compte 1050 ouvertures de procédures.En Pays de la Loire, les défauts ont explosé de 314% en août. Sur trois mois la hausse est de 87% (360 procédures).La Normandie a enregistré un mois de juillet très dégradé (+138%) qui a pesé sur la tendance trimestrielle (82%).Trois régions enregistrent une dégradation comprise entre +60% et +80%La Bretagne a enregistré une augmentation de 103% du nombre de défaillances d’entreprises en juillet et 206% en août. A la faveur d’un bien meilleur mois de septembre, la région limite la hausse trimestrielle à +77% ;Le Centre Val de Loire a stabilisé les ouvertures de procédures en septembre mais sur le trimestre l’augmentation reste sensible (+71%).La Bourgogne-Franche-Comté fait à peine mieux que la moyenne nationale (+64%).Trois régions passent juste sous 60% En Nouvelle-Aquitaine, Ile-de-France et Grand Est, l’évolution du nombre de défaillances est comprise entre 58 et 59%.Provence-Alpes-Côte d’Azur, la meilleure performance régionale La région a contenu la hausse des défauts à 31% en août et sous les 5% en septembre. Dans ces conditions, sur trois mois, la région Provence-Alpes-Côte d’Azur contient l’augmentation à « seulement » 37%. Pour Thierry Millon : « L’hypothèse d’un volume de défaillances d’entreprises contenu sous la barre symbolique des 40.000 en 2022 reste à ce stade plausible mais compromise. Le risque de pénurie d’énergie et l’envolée des prix complexifient fortement l’équation budgétaire des prochains mois pour de très nombreuses entreprises, quelle que soit leur taille ou leur secteur d’activité. D’autant qu’au-delà des factures qui flambent, s’ajoute la problématique du remboursement des dettes (classiques et/ou PGE) ou auprès des Urssaf. Ces dernières ont joué un rôle tampon durant la crise mais, à l’instar du reste de l’économie, le retour à la normale prévaut et avec lui les échéances de règlement qu’il va falloir tenir. Par conséquent, en début d’année prochaine, les tribunaux pourraient retrouver davantage d’assignations déposées par l’organisme en action en recouvrement. La remontée des défaillances d’entreprises qui semble donc bien irréversible se poursuivra en 2023. Anticipation et prévention, resteront les mots d’ordre. »
Il y a 2 ans et 238 jours

Hérault : les vestiaires du stade Casalta baptisés sous le nom de « Benjamin Taormine ».

À Bessan, dans le département de l’Hérault, le stade Casalta est équipé de nouveaux...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 239 jours

Le gouvernement prêt à élargir le compte pénibilité dans la réforme des retraites

Le gouvernement a dévoilé ses premières "pistes de réflexion" à la CFTC, l'U2P et la CFDT, qui ont ouvert le bal des consultations bilatérales sur les thèmes de "l'emploi des seniors et la prévention de l'usure professionnelle".C'est justement sur ce second volet que l'exécutif a ouvert la porte à une revendication portée par plusieurs organisations de salariés, CFDT en tête. Le document, dont l'AFP a obtenu copie, envisage en effet d'"adapter le C2P pour mieux prendre en compte l'évolution des risques".Actuellement, les salariés exposés à certains risques (travail de nuit, bruit, températures extrêmes...) accumulent des points - 100 au maximum – qui sont le plus souvent utilisés pour partir en retraite plus tôt - 2 ans maximum. Le ministère a cependant évoqué la possibilité de "supprimer le plafond d'acquisition de points" et de permettre à ceux qui sont exposés à plusieurs risques simultanés d'"acquérir davantage de points".L'idée d'un nouveau "congé de reconversion" pour utiliser le C2P (qui peut aussi servir à payer une formation ou un passage à temps partiel) a également été abordée.Mais la CFDT attend encore "une forme de reprise des critères supprimés" de l'ex-compte pénibilité il y a cinq ans (port de charges lourdes, postures pénibles, vibrations mécaniques, agents chimiques dangereux), indique son négociateur Yvan Ricordeau.Sans "avancée majeure" sur ce point, le syndicat n'entend pas revoir le dispositif "carrières longues", qui permet un départ à 60, voire 58 ans pour ceux qui ont commencé à travailler avant 20 ans, et que le gouvernement propose de "moderniser", sans préciser ses intentions à ce stade."S'il s'agit d'affiner les critères tout en protégeant les artisans, ça nous convient", explique le vice-président de l'U2P, Jean-Christophe Repon, plus inquiet du risque de "stigmatiser certains métiers" à travers le compte pénibilité.Le ministère a paru "plus sur la ligne +mieux vaut prévenir que guérir+, ce qui nous va bien", retient la vice-présidente de la CFTC, Pascale Coton.
Il y a 2 ans et 246 jours

Le retard de l'éolien en France s'accentue

Deuxième source d'électricité renouvelable en France après l'hydraulique, l'éolien a fourni 36,8 térawattheures (TWh) en 2021, soit 7,7% de la consommation française, indique l'Observatoire de l'éolien, produit chaque année par France énergie éolienne (FEE) avec CapGemini.En 2021, 1.200 mégawatts (MW), soit 418 éoliennes, ont été installés, et en 2022 ce sera environ 1.350 MW: loin des 1.900 MW annuels qu'il faudrait en moyenne pour tenir l'objectif, voté par le Parlement, de 34 gigawatts (GW) en 2028. A ce jour, la France affiche une capacité d'un peu plus de 20 GW (environ 9.000 éoliennes).L'année 2022 aura pourtant été marquée par l'ouverture du premier parc éolien en mer, face à Saint-Nazaire, soit 480 MW pour alimenter environ 700.000 personnes, l'équivalent d'un peu moins de la moitié d'un des réacteurs nucléaires les plus récents. Deux autres parcs marins devraient entrer en production, en 2023 et fin 2023-début 2024."A un moment où la France manque d'électricité et doit en importer, il est impératif d'accélérer", souligne Michel Gioria, délégué général de FEE, relevant que seuls l'éolien terrestre, le photovoltaïque et le biogaz seront à même de produire plus d'énergie à très court terme, avant 2025.En 2022 et 2023, le secteur éolien devrait en outre, par contrat, reverser quelque 7,6 milliards d'euros sur les deux années à l'Etat, du fait des prix élevés du marché. Si la tendance se poursuit, il aura ainsi remboursé toutes les aides reçues depuis 2001, note FEE.Sur fond de crise énergétique inédite, le gouvernement a publié fin septembre une circulaire aux préfets leur demandant d'accélérer le traitement des dossiers d'énergies renouvelables, et un projet de loi visant à soutenir le déploiement de ces infrastructures.Pour l'instant, l'effet de la circulaire ne se mesure pas encore pour les 4,5 GW de projets en fin d'instruction et en attente d'autorisation, note FEE. Le secteur souligne aussi le "déficit structurel de moyens humains dans les services de l'Etat pour instruire des projets", qui souvent font plus de 2.000 pages.A ce stade, le projet de budget 2023 prévoit le financement de 15 agents, quand il en faudrait une centaine, souligne M. Gioria, pour qui "ce n'est pas anecdotique: la France est forte pour définir des objectifs, mais la mise en oeuvre souffre d'un manque de moyens".
Il y a 2 ans et 247 jours

Les Coulisses du Bâtiment, les 13 et 14 octobre 2022

D’habitude interdits au public, les sites de toutes sortes et de toutes tailles (hôpitaux, maisons de retraite, musées, lycées, stades, immeuble de bureaux...) dévoileront leurs coulisses à différentes étapes d’avancement des travaux.Les Coulisses du Bâtiment ?Chaque année, la FFB organise Les Coulisses du bâtiment, une opération portes ouvertes de chantiers, ateliers et CFA. C’est une occasion unique de :découvrir le secteur du bâtiment de façon concrète, en visitant des chantiers et ateliers «en vrai» ;rencontrer des hommes et femmes bâtisseurs et fiers de l’être ;s’informer sur des métiers porteurs, aussi bien pour les hommes que pour les femmes.Depuis 2003, l’ambition des Coulisses du bâtiment est, d’une part de faire découvrir aux jeunes et au grand public ce qui se cache derrière les palissades de chantier. En d’autres termes, révéler les techniques de construction à travers les métiers du secteur. D’autre part, la FFB souhaite susciter des vocations auprès des jeunes et attirer des professionnels en reconversion. Chaque site propose ainsi un circuit de visite, une présentation des différents métiers, des informations sur l’ouvrage en construction, des perspectives de carrières et des adresses utiles.Les Coulisses du bâtiment en chiffres :Près de 1.480.000 visiteurs sur 4.500 sites depuis 2003Un live pour visiter un chantier comme si vous y étiez!L’an dernier, près de 100.000 élèves ont participé aux Coulisses du Bâtiment en se rendant sur un chantier grâce à un live sur YouTube.Forte de ce succès, la FFB propose à nouveau de suivre, le 13 octobre à partir de 10h, une version digitale des Coulisses du Bâtiment en direct sur YouTube mais aussi sur LinkedIn.D’une durée de 45 minutes, ce dispositif comprendra une visite de chantier et des ateliers de démonstration afin de partir à la découverte des métiers et également des nouvelles technologies.Les Coulisses du bâtiment sont à retrouver dès à présent sur les réseaux sociaux :Un site Internet dédiéLa page dédiée à cette opération sur le site www.lebatiment.fr indique en temps réel les sites ouverts dans chaque département avec les informations essentielles comme le type d’ouvrage présenté, les corps de métiers représentés, l’adresse, les jours et horaires d’ouverture.Elle permet également d’avoir une présentation détaillée du secteur, des Coulisses du bâtiment et des métiers.Information pratiquesOù sont les sites à visiterLa page https://lebatiment.fr/nos-evenements/coulisses-du-batiment donne tous les détails sur les chantiers, atelier et CFA à visiter.Quelle tenue porter ? Une tenue pratique et des chaussures plates sont vivement conseillées. L’équipe organisatrice remet à chaque visiteur un casque (obligatoire) à son arrivée. Il faut éviter les chaussures à talons, les tongs, les robes, peu adaptées aux visites. Et oui, les chantiers et ateliers sont des lieux de travail où des règles de sécurité doivent être respectées !Et les règles de sécurité ?Les visites seront organisées dans le strict respect des consignes de sécurité et de prévention en vigueur et appliquées en étroite collaboration avec l’OPPBTP (Organisme de prévention du bâtiment et des travaux publics).Les visites sont-elles payantes ?Non, l’accès aux visites est totalement gratuit.
Il y a 2 ans et 250 jours

A Illkirch-Graffenstaden, Studio Montazami a livré un campus tertiaire

En novembre 2020, le Studio Montazami (Orash Montazami) a achevé pour GA Smart Building le chantier d’un ensemble tertiaire (7 300 m²) à Illkirch-Graffenstaden (Bas-Rhin). Le nouvel ensemble est constitué d’un bâtiment de bureaux et d’un bâtiment de services. Communiqué. L’ensemble immobilier s’inscrit dans le plan directeur du parc d’innovation d’Illkirch qui comporte aujourd’hui plus de […] L’article A Illkirch-Graffenstaden, Studio Montazami a livré un campus tertiaire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 252 jours

L'exécutif temporise mais veut une réforme des retraites "avant la fin de l'hiver"

Il n'y aura donc pas de passage en force sur ce sujet hautement inflammable, comme cela était redouté au sein même de la majorité alors qu'est organisée jeudi une journée de grèves et de manifestations concernant les salaires mais également les retraites.A l'issue d'un dîner à l'Elysée autour d'Emmanuel Macron mercredi soir réunissant les cadres de la macronie, "le choix du dialogue et de la concertation" a prévalu, a déclaré la Première ministre, en détaillant un calendrier relativement souple, mais aussi cramponné à la promesse présidentielle d'une application de la réforme à l'été 2023.La cheffe du gouvernement souhaite présenter "un bilan" de ces discussions avec les partenaires sociaux et forces politiques "avant Noël", laissant ainsi quasiment trois mois de pourparlers potentiels autour d'une réforme déjà en gestation lors du précédent quinquennat, avant d'être interrompue par la pandémie de Covid-19.Dans cette perspective, Mme Borne a demandé au ministre du Travail Olivier Dussopt "d'engager dès la semaine prochaine" des négociations avec les organisations patronales et syndicales, ainsi qu'avec les "groupes parlementaires" pour discuter carrières longues, pénibilité, usure au travail, ou encore emploi des seniors, régimes spéciaux, et petites retraites."Convergence"Cette décision, qui repose sur une "convergence totale entre les différentes composantes de la majorité", selon Mme Borne, dont l'allié récalcitrant du MoDem, met fin à plusieurs jours d'atermoiements sur la façon d'engager cette réforme des retraites, qui prévoit de reporter progressivement l'âge de départ à 65 ans.Trois pistes étaient en débat: un simple amendement au projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) examiné en octobre, hypothèse la plus controversée, un PLFSS rectificatif en janvier, et un projet de loi ad hoc.Cette dernière option semble donc privilégiée à ce stade par l'exécutif... à condition de parvenir à ouvrir les concertations, alors que syndicats et une grande partie des oppositions politiques sont vent debout contre le fond même de cette réforme.Un projet de loi dédié présente cependant un risque pour l'exécutif, qui ne dispose que d'une majorité relative à l'Assemblée: il pourrait l'obliger à dégainer l'article 49.3 de la Constitution, qui permet l'adoption d'un texte sans vote sauf motion de censure, mais n'est utilisable qu'une fois par session parlementaire.En revanche le gouvernement peut utiliser le 49.3 à volonté sur les textes budgétaires tels que les PLFSS."On se place dans une hypothèse où l'on peut mener une concertation", a souligné Mme Borne, sans écarter la possibilité d'un amendement au PLFSS."Intimidations"Comme pour faire pression sur LR, favorable à une réforme mais hostile à la voie d'un amendement, tout comme l'allié MoDem, le président Emmanuel Macron n'a pas exclu à ce dîner de dissoudre l'Assemblée nationale si les oppositions "se coalisaient pour adopter une motion de censure et faire tomber le gouvernement", a rapporté M. Dussopt.Un cadre de la majorité proche du Modem a jugé "positive" la relance des discussions.Pour Olivier Marleix, chef de file des députés LR, relancer des concertations est "un progrès" mais "il ne peut pas y avoir de réforme sans un minimum de confiance" et il est "hors de question de donner un chèque en blanc".Sur la menace d'une dissolution pour éviter la "chienlit", selon des propos rapportés d'Emmanuel Macron, il a estimé que "celui qui met le feu aux poudres en disant +on va faire la réforme en trois jours+ c'est lui".Signe d'ouverture, le président du Sénat Gérard Larcher (LR) a jugé cette réforme "indispensable", et estimé que "l'inspiration (de l'exécutif) n'est pas très éloignée de celle" du Sénat, dominé par la droite, qui chaque année dépose un amendement réformant les retraites."Chiche" à la dissolution, a lancé Marine Le Pen, à la tête d'un groupe inédit de 89 députés."Sa petite entreprise (à Marine Le Pen) se nourrit du blocage. Nous, nous faisons le pari du meilleur : la concertation pour avancer", a rétorqué le ministre des Relations avec le parlement Franck Riester, qui participera aux concertations politiques."Nous ne céderons pas aux intimidations puériles", a réagi à gauche le patron du PS Olivier Faure."C'est moins pire qu'un amendement, (..) mais trois mois, c'est court, on va se battre, projet contre projet", a prévenu le patron du PCF Fabien Roussel. "Ce gouvernement minoritaire (...) veut attaquer les travailleurs", a réagi le député LFI Alexis Corbière.Le patron des patrons Geoffroy Roux de Bézieux a lui jugé "raisonnable" la concertation prévue, à laquelle le Medef "évidemment" participera.
Il y a 2 ans et 252 jours

Les Coulisses du bâtiment 2022

Chaque année, la FFB organise Les Coulisses du bâtiment, une opération portes ouvertes de chantiers, ateliers et CFA. Les 13 et 14 octobre prochain, près de 170 chantiers, ateliers et CFA seront exceptionnellement ouverts dans toute la France. Les scolaires et leurs enseignants vont pouvoir découvrir l’envers du décor d’un chantier ou assister aux démonstrations des professionnels dans les ateliers. Ils partageront le quotidien d’hommes et de femmes passionnés. D’habitude interdits au public, les sites de toutes sortes et de toutes tailles (hôpitaux, maisons de retraite, musées, lycées, stades, immeuble de bureaux…) dévoileront leurs coulisses à différentes étapes d’avancement des travaux. https://www.lebatiment.fr/nos-evenements/coulisses-du-batiment  
Il y a 2 ans et 253 jours

Un budget 2023 optimiste selon le Syndicat des Indépendants et des TPE

La confirmation d’un bouclier énergétique à destination des petites structures entrepreneuriales sous contrat à tarif réglementé mérite cependant d’être saluée. Pour autant, la hausse des tarifs de 15% annoncée réduira un peu plus la trésorerie de ces entreprises, déjà sous le coup d’une baisse de la consommation des ménages ainsi que des hausses des charges d’exploitation courante, salaires et matières premières notamment. Dans ce contexte, ce sont une nouvelle fois les rémunérations des dirigeants qui seront revues à la baisse alors que plus des deux tiers vivent à ce jour avec moins d’un SMIC par mois, chiffre en augmentation de 18 points comparé à l’année 2019.La baisse des impôts de production, en l’occurrence de la CVAE, ne viendra en aucune manière atténuer ces constats au niveau des TPE puisqu’elles n’en sont pas redevables. A cet égard, l’arbitrage fiscal est à destination exclusive des moyennes et grandes entreprises. L’équité fiscale aurait voulu que la CFE, en sa qualité d’impôt de production acquitté par les TPE, bénéficie du même dispositif de suppression, même étalé sur deux années.Sans évolution des PLF et PLFSS, les TPE resteront les laissées pour compte du Budget 2023 alors qu’une année économique difficile voire très difficile se profile.Le SDI entend tenir compte d’une situation budgétaire d’une France « à l’euro près » et poussera ses propositions neutres pour le Budget mais essentielles pour la trésorerie des TPE, tant auprès du gouvernement que des parlementaires :Un prolongement de deux années du remboursement du PGE.Un renouvellement du dispositif d’étalement de paiement des charges URSSAF sur 12 à 36 mois.L’interdiction de mise à la charge des locataires commerciaux de la taxe foncière due par leurs bailleurs.L’extension du plafonnement à 3,5% de l’indexation des loyers pour l’ensemble des bâtiments commerciaux, artisanaux et libéraux. A ce jour en effet, le plafonnement n’est prévu que pour un seul indice, à savoir l’ILC (Indice des Loyers Commerciaux). Or, deux autres indices ne sont pas couverts à ce stade : l’ICC (Indice du Coût de la Construction) et l’ILAT (Indice des Loyers des Activités Tertiaires).En dernier lieu, le SDI propose à titre transitoire et afin de pallier la pénurie de main d’œuvre de certains secteurs d’activité, une défiscalisation et désocialisation intégrale des heures supplémentaires. »Retrouvez l'étude complète ici.
Il y a 2 ans et 256 jours

Nicolas Esquillan : Grand ingénieur du béton

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine Après avoir remporté le concours du Cnit, devant Nervi et Freyssinet, il réalise, en 1955, la voûte du palais qui détient toujours le record mondial de portée, de même que celui de la plus grande surface supportée point par appui. [©ACPresse] A la différence de ses aînés qui font leur carrière comme ingénieur-conseil et donc sous leur propre nom, Nicolas Esquillan (1902-1989) a fait toute la sienne aux Entreprises Boussiron. Il reste donc méconnu, les ouvrages qu’il a conçus étant signés… Boussiron. A cela s’ajoute une réserve naturelle. « Sa bienveillance et même sa chaleur se lisaient plutôt dans l’attention qu’il portait à son interlocuteur que dans des démonstrations qui n’étaient pas dans sa nature », résume Bernard Marrey, auteur de “Nicolas Esquillan, un ingénieur d’entreprise”. Le Cnit à Paris La Défense est son œuvre la plus célèbre, même si l’on oublie souvent de lui en reconnaître la paternité, voire même de le citer ! Les Entreprises Boussiron Nicolas Esquillan entre aux Arts-et-Métiers, à Châlons-sur-Marne, en 1919. Et en sort 4e de sa promotion avec une médaille d’argent. Il restera proche du milieu Gadzarts1, dans sa vie professionnelle et dans sa vie privée. Après son service militaire qu’il termine comme sous-lieutenant artilleur, il est indécis sur son orientation. Après son service militaire, le hasard lui fait rencontrer un Gadzarts1, ami de Simon Boussiron. Lequel a orienté sa société vers le béton armé. La rencontre entre les deux hommes est concluante et il rejoint la société en 1923. A la différence de ses aînés qui font leur carrière comme ingénieur-conseil et donc sous leur propre nom, Nicolas Esquillan a fait toute la sienne aux Entreprises Boussiron. [©DR] Il devait y consacrer sa vie. Il a alors 21 ans, Simon Boussiron en a 50. « En bon chef d’entreprise, ce dernier avait peut-être flairé les qualités de son futur chef d’études. » La publication en 1899 par Simon Boussiron de formules servant à calculer la résistance du béton armé est donc d’autant plus importante que les travaux théoriques étaient encore rares. Mis à part Matthias Koenen et Gustav Adolf Wayss qui, à partir du brevet de Joseph Monier, avaient publié des notes de calcul en 1886, en Allemagne, il n’y avait que Napoléon de Tesdesco qui, en France, avait publié avec Edmond Coignet en 1894 : “Du calcul des ouvrages en ciment avec ossature métallique”. Dans les années 1930, le jeune Esquillan se voit confier des responsabilités plus grandes au bureau d’études. Simon Boussiron reçoit alors la commande d’un nouveau pont à construire sur la Seine à La Roche-Guyon (95). A 31 ans, Nicolas Esquillan a la responsabilité d’un ouvrage entier. « Pour le jeune ingénieur, c’est un coup de maître. » Avec une longueur totale de 202 m et une portée de 161 m entre les naissances des arcs, il ravit au pont Saint-Pierre-du-Vauvray (27) le record mondial des ponts en béton armé à tablier suspendu détenu par Eugène Freyssinet. Les années 1930 Dans les années 1930, le jeune Esquillan reçoit chez Boussiron la commande d’un nouveau pont à construire sur la Seine à La Roche-Guyon (95). [©Carte postale vers 1864] En ces années où la circulation routière s’intensifie, les ponts suspendus datant des années 1830 et 1840 ne sont plus capables de répondre aux besoins du trafic. En 1935, c’est le département du Lot-et-Garonne qui met au concours la reconstruction du pont de Clairac sur le Lot pour remplacer le pont suspendu de 1833. S’en suivent le pont de Saint-Sylvestre (07) et celui de La Coudette (49). Avec cette réalisation, Nicolas Esquillan remporte le record mondial des ponts-routes en bow-string en béton armé. En 1936, il est nommé chef d’études des ouvrages d’art des Entreprises Boussiron. Il en devient le directeur technique en 1941 et le restera jusqu’en 1971, année du rachat de la société Boussiron. De 1936 à 1941, il conçoit et construit une halle de marché pour Fontainebleau, sa ville natale (ouvrage démoli en 2013). Caractérisée par la minceur de sa voûte et de ses piliers en béton, ou encore par l’élégance de ses formes et de ses pavés de verre Saint-Gobain, elle est considérée par l’historien Alexandre Gady, comme un « exploit technique » et un « chef-d’œuvre méconnu » d’Esquillan. La reconstruction A la fin de la guerre, il faut rebâtir. A côté d’ouvrages entièrement détruits, il y en a de nombreux autres, plus ou moins touchés, pour lesquels une remise en état est possible. « C’était un travail ingrat, souvent obscur, qui demandait de l’ingéniosité, d’autant plus que les matériaux manquaient, l’argent aussi, et qu’il fallait aller vite. » C’est ainsi qu’en 1950, Nicolas Esquillan achève la reconstruction du pont-route de Conflans-Fin d’Oise, puis le viaduc de chemin de fer de la Méditerranée sur le Rhône. Avec 124 m de portée, ce dernier remporte le record mondial des ponts-rails en béton armé à doubles voies suspendues. Puis, il construit, en 1951, le hangar à deux nefs de l’aéroport de Marignane. Et de 1952 à 1955, il entreprend le premier grand pont-rail français en béton précontraint à La Voulte-sur-Rhône. Qui, avec ses 300 m, est alors le plus long pont du monde sous voie ferrée normale en béton précontraint. Il gagne en 1954, notamment devant Riccardo Morandi (celui du pont de Gênes…), le concours du pont d’Abidjan. De 1936 à 1941, il conçoit et construit une halle de marché pour Fontainebleau, sa ville natale (ouvrage démoli en 2013). [©Daniel Villafruela] Après avoir remporté le concours du Cnit en partenariat avec Bernard Zehrfuss et Marcel Breuer, devant Nervi et Freyssinet, il réalise, en 1955, la voûte du palais qui détient toujours le record mondial de portée, de même que celui de la plus grande surface supportée point par appui. En 1957, il réalise les pylônes du pont de Tancarville, qui remportent le record mondial de hauteur des piles de pont suspendu en béton armé. Il officie en 1961 en tant qu’ingénieur-conseil du Palais des expositions de Turin et réalise le deuxième pont d’Abidjan en 1967, ainsi que le château d’eau de La Duchère. Pour les Jeux olympiques d’hiver à Grenoble, il construit en 1968 le Stade olympique de glace, considéré comme sa dernière grande œuvre. « Dans ma conception des ouvrages, ma première recherche, essentielle, a toujours été de déterminer les points d’appui les plus judicieux, soit verticaux, soit horizontaux, et d’organiser la structure pour y conduire les forces le plus rationnellement possible, et en tous cas le plus économiquement. […] L’art de dresser un projet ne consiste pas tant à résoudre un système d’équations par le calcul, que de bien les poser après avoir imaginé toutes les hypothèses plausibles. Si une culture mathématique sérieuse est utile et nécessaire pour formuler les résultats de l’expérience, il ne faut jamais oublier que l’on n’a aucune chance de retrouver à la fin d’un calcul ce que l’on aura oublié d’introduire initialement. En d’autres termes, si le projeteur a omis un effort ou une déformation en un point donné d’une structure, le calcul ne les lui fera pas retrouver », explique Nicolas Esquillan lors d’une conférence sur l’art de construire prononcée lors de sa réception comme docteur honoris causa à l’université de Stuttgart en 1965. 1Diplômé des Arts et Métiers. M. C. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 258 jours

Le club de l'Olympique de Marseille voit son loyer augmenté d'1,5 million d'euros pour le stade Vélodrome

Il s'agit de "la plus forte augmentation de l'histoire" du stade, selon la mairie de la deuxième ville de France.Avec le déclenchement de la part variable (en fonction de l'affluence au stade), la mairie espère que le loyer versé par le club de Ligue 1, actuellement en phase de poules de la Ligue des champions, "pourrait atteindre en tout neuf millions d'euros", a écrit la municipalité à l'AFP, confirmant une information du quotidien la Provence."C'est l'un de mes tous premiers combats politiques qui se concrétise", a réagi le maire socialiste Benoît Payan, qui a longtemps dénoncé un loyer insuffisant, dans un communiqué."Le président du club (Pablo Longoria, ndlr), qui aime la ville, a compris que l'OM avait aussi un rôle à jouer face aux défis qui sont devant nous", a estimé Benoît Payan.L'OM n'a pas commenté cette annonce de la mairie de Marseille. Selon un rapport de la Chambre régionale des comptes de novembre 2020, ce loyer devrait être de huit millions d'euros par an.La convention d'un an renouvelable établie entre l'OM et la Ville de Marseille sera présentée au conseil municipal du 30 septembre.Interrogé également par la Provence sur la vente du stade, ce qu'il ambitionne depuis toujours, Benoît Payan répond jeudi qu'il y reste favorable "mais uniquement si c'est à l'OM", évoquant "un patrimoine commun".Cette opération qu'il évalue à un milliard d'euros n'est pas imminente selon lui : "L'OM ne les a pas. Si un jour il les a, on verra".Le maire a toujours dénoncé le partenariat public-privé noué avec le groupe de BTP Arema par son prédécesseur, le LR Jean-Claude Gaudin, comme "une gabegie financière".Ce PPP lie la ville et Arema, une filiale de Bouygues, depuis 2015 et jusqu'en 2045, à la suite des travaux de rénovation du stade pour l'Euro-2016.Selon la Provence, chaque année, et jusqu'en 2045, la Ville de Marseille verse 12 millions d'euros de redevance à Arema en vertu du partenariat public-privé signé il y a presque dix ans. Dans le quotidien régional, le maire de Marseille calcule qu'ainsi, "à neuf millions d'euros, il n'en manquerait +plus que+ trois pour effacer l'ardoise" annuelle.
Il y a 2 ans et 258 jours

Le club de l'Olympique de Marseille voit son loyer augmenté d'1,5 million d'euros pour le stade Vélodrome

Il s'agit de "la plus forte augmentation de l'histoire" du stade, selon la mairie de la deuxième ville de France.Avec le déclenchement de la part variable (en fonction de l'affluence au stade), la mairie espère que le loyer versé par le club de Ligue 1, actuellement en phase de poules de la Ligue des champions, "pourrait atteindre en tout neuf millions d'euros", a écrit la municipalité à l'AFP, confirmant une information du quotidien la Provence."C'est l'un de mes tous premiers combats politiques qui se concrétise", a réagi le maire socialiste Benoît Payan, qui a longtemps dénoncé un loyer insuffisant, dans un communiqué."Le président du club (Pablo Longoria, ndlr), qui aime la ville, a compris que l'OM avait aussi un rôle à jouer face aux défis qui sont devant nous", a estimé Benoît Payan.L'OM n'a pas commenté cette annonce de la mairie de Marseille. Selon un rapport de la Chambre régionale des comptes de novembre 2020, ce loyer devrait être de huit millions d'euros par an.La convention d'un an renouvelable établie entre l'OM et la Ville de Marseille sera présentée au conseil municipal du 30 septembre.Interrogé également par la Provence sur la vente du stade, ce qu'il ambitionne depuis toujours, Benoît Payan répond jeudi qu'il y reste favorable "mais uniquement si c'est à l'OM", évoquant "un patrimoine commun".Cette opération qu'il évalue à un milliard d'euros n'est pas imminente selon lui : "L'OM ne les a pas. Si un jour il les a, on verra".Le maire a toujours dénoncé le partenariat public-privé noué avec le groupe de BTP Arema par son prédécesseur, le LR Jean-Claude Gaudin, comme "une gabegie financière".Ce PPP lie la ville et Arema, une filiale de Bouygues, depuis 2015 et jusqu'en 2045, à la suite des travaux de rénovation du stade pour l'Euro-2016.Selon la Provence, chaque année, et jusqu'en 2045, la Ville de Marseille verse 12 millions d'euros de redevance à Arema en vertu du partenariat public-privé signé il y a presque dix ans. Dans le quotidien régional, le maire de Marseille calcule qu'ainsi, "à neuf millions d'euros, il n'en manquerait +plus que+ trois pour effacer l'ardoise" annuelle.
Il y a 2 ans et 258 jours

Aux Assises du BTP, des annonces du gouvernement insuffisantes pour répondre à l’inquiétude du secteur

Face à l’augmentation des prix des matériaux, aux difficultés d’approvisionnement des entreprises et à la volonté d’accompagner le secteur dans sa transition écologique, Bruno Le Maire a annoncé en juillet dernier le lancement des Assises du bâtiment et des travaux publics (BTP), espace de concertation et d’élaboration de mesures concrètes, portées par le secteur et pouvant être rapidement mises en œuvre.Le premier objectif de ces Assises est de répondre dans les meilleurs délais aux besoins du secteur du BTP afin de surmonter les défis liés à l’inflation. Le deuxième objectif de ces Assises est de répondre aux attentes structurelles du secteur en matière de simplification et de transition écologique, mais aussi de formation et de numérique. Le troisième objectif, enfin, est d’initier un changement de méthode de dialogue entre l’Etat et le secteur. Les acteurs du secteur ont formulé leurs recommandations, qui ont ensuite été étudiées par l’Etat dans le cadre de groupes de travail associant l’ensemble des parties prenantes.Plus de 200 représentants du secteur ont été entendus lors de ces échanges qui se sont structurés en 6 sessions de travail. Plus de quinze fédérations représentant la production et la distribution de matériaux, la construction et la maîtrise d’œuvre ont participé. Plus d’une centaine de mesures portant sur l’équilibre économique des opérations, la simplification et la transition écologique ont fait l’objet d’un échange. Les collectivités territoriales ont également été associées à la validation des 13 premières mesures présentées.Le Gouvernement a donc présenté le jeudi 22 septembre les mesures qui pourront entrer en vigueur sans délai. Ces mesures sont issues des demandes du secteur, elles préservent l’équilibre des finances publiques tout en respectant les dates d’entrée en vigueur des textes en matière de transition écologique (zones à faible émission, responsabilité élargie du producteur notamment). Les autres mesures continuent d’être expertisées et pourront faire l’objet de nouvelles annonces d’ici la fin de l’année 2022.Les 13 mesures :Des mesures pour améliorer la trésorerie des entreprises1. Le relèvement des seuils planchers des avances dans tous les marchés publics, afin d’abonder la trésorerie des fournisseurs de l’Etat et notamment des acteurs du BTP. Ces seuils passeront de 20% à 30% pour l’ensemble des marchés publics passés avec des PME dans les plus brefs délais.2. L’amélioration de l’échelonnement du remboursement de ces avances par une réécriture des textes pour modifier la situation actuelle qui conduit les donneurs d’ordre à exiger trop rapidement le remboursement intégral.3. Un guide de bonnes pratiques en matière de pénalités de retard payées par les acteurs du BTP afin d’éviter que les situations de pénurie actuelles ne leur soient injustement reprochées.Des mesures pour améliorer la prévisibilité des prix sur les marchés publics et privés4. Le gouvernement a saisi le Conseil d’Etat, qui vient d’indiquer qu’il était possible de réviser les prix dans les marchés publics en cours, pour prendre en compte les surcoûts engendrés par les circonstances exceptionnelles. Une circulaire va préciser dans les tous prochains jours les démarches à entreprendre en la matière, et une fiche pratique est déjà mise en ligne sur le site du ministère.5. Une mission va être confiée au Médiateur des entreprises pour améliorer la prévisibilité des prix des matières premières.Des mesures pour simplifier les marchés publics 6. La pérennisation à 100.000 € du seuil de gré à gré qui exempte les marchés publics de travaux d’appels d’offres et qui a été élevé exceptionnellement durant la crise sanitaire. 7. L’abaissement de 6 à 4 mois du délai inscrit dans le cahier des clauses administratives générales des marchés publics, entre la notification d’un marché et l’ordre de service de démarrage effectif des travaux, afin d’éviter une inflation des coûts durant cette période. 8. Un ciblage et une meilleure articulation des contrôles sur les chantiers pour lutter contre le travail illégal.Des mesures pour simplifier et améliorer la mise en œuvre des obligations règlementaires et écologiques qui pèsent sur les entreprises 9. La publicité obligatoire et rapide du montant d’éco contributions payées pour les entreprises dans le cadre de la filière « Responsabilité élargie du Producteur » (REP). 10. La mise en place d’une période de tolérance de 4 mois pour la mise en conformité des entreprises à la Responsabilité élargie du Producteur (sensibilisation pédagogique plutôt que sanction). 11. La prolongation de l’expérimentation chantier par chantier du label « Responsable Garant de l’environnement » (RGE) au-delà du 31 décembre 2022.Des mesures pour accélérer la transition écologique dans ce secteur 12. Le renforcement de l’offre globale de rénovation performante par un appel d’offres spécifique France 203013. Le lancement d’une concertation sur la mise en place d’un carbone-score des matériauxLa FFB salue un travail rapideLa FFB que la possibilité d’obtenir des compensations pour « surcoûts anormaux » constitue une importante avancée. Elle permettra de trouver des solutions sécurisées juridiquement. De même, la pérennisation du plafond à 100.000 € pour signer des marchés de gré à gré va dans le bon sens pour l'organisation professionnelle, tout comme la majoration à 30 % des avances forfaitaires sur les marchés d’État.Quelques premières mesures concernent les marchés privés, comme le renforcement annoncé des contrôles, y compris chez les particuliers, ou l’ensemble des marchés, comme la poursuite des travaux pour créer un outil permettant de mieux comprendre l’évolution des prix des matériaux et de mieux anticiper leur évolution.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « cette rapide mobilisation en faveur des artisans et entrepreneurs de bâtiment doit s’amplifier, notamment sur les mesures relatives aux marchés privés. L’annonce par Bruno Le Maire que les Assises du BTP se poursuivent constitue donc une bonne nouvelle. Depuis l’origine, la FFB souhaite que cette approche par co-construction filière-gouvernement s’inscrive dans le temps, de façon à passer du traitement des problèmes immédiats à l’élaboration d’une stratégie de moyen-long terme pour le secteur de la construction. La transition écologique et la transformation numérique en cours imposent cela. »Pour la CAPEB, « un premier pas encourageant mais encore insuffisant pour répondre à l'inquiétude des entreprises artisanales du bâtiment »Avec ses 26 mesures et solutions concrètes, la CAPEB s’est montrée force de propositions et s’est pleinement impliquée dans tous les groupes de travail pour qu’il ressorte de ces Assises des mesures ambitieuses et engageantes. C’est en effet à cette seule condition que les entreprises artisanales du bâtiment, fortement éprouvées par le contexte actuel lié aux difficultés d’approvisionnement, de recrutement, et à la hausse des prix des matériaux et de l’énergie, pourront agir pleinement en faveur de la rénovation énergétique.Or, si certaines des mesures annoncées par les pouvoirs publics lors de ces Assises vont dans le bon sens (l’augmentation du niveau des avances en marché public, la pérennisation du seuil de 100.000€ en deçà duquel le gré à gré est autorisé, le renforcement des contrôles pour lutter contre le travail illégal, la mise en place d’une période de tolérance de 4 mois lors de la mise en œuvre au 1er janvier 2023 de la REP…), la CAPEB note, qu’à ce stade, ne figure aucune des dispositions visant à booster réellement la rénovation énergétique (indexation de toutes les aides sur l’inflation, diminution par deux du reste à charge des ménages modestes comme le proposait la CAPEB, les process RGE, MaPrimeRénov, CEE, les ZFE – m,...).En exclusivité, Bruno Le Maire a arbitré, à la demande de la CAPEB, en faveur du maintien de la TVA à taux réduit sur les chaudières à très haute performance énergétique. L’augmentation de ce taux aurait envoyé un signal incompréhensible pour le pouvoir d’achat et l’activité.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Pour la CAPEB, ces Assises étant un point de départ, il est compréhensible que les mesures annoncées ce jour ne soient pas de nature à libérer pleinement le potentiel des entreprises artisanales du bâtiment dans la transition énergétique. Nous attendons donc avec impatience la suite des travaux pour que des mesures plus ambitieuses puissent être prises. L’enjeu est de taille. Seules ces TPE, qui représentent 95 % des entreprises du bâtiment, ont la capacité de le faire. Nous nous félicitons d’ores et déjà de voir la durée de l’expérimentation relative à la qualification chantier par chantier prorogée jusqu’à fin 2023 et d’avoir été entendus sur la nécessaire poursuite de ces Assises. Le travail ne fait que commencer. La CAPEB, qui constitue la première organisation professionnelle de France en termes d’adhérents et l’organisation professionnelle majoritaire dans le champ des TPE du bâtiment, continuera à faire preuve d’un état d’esprit constructif et collaboratif. »
Il y a 2 ans et 258 jours

Aux Assises du BTP, des annonces du gouvernement insuffisantes pour répondre à l’inquiétude du secteur

Face à l’augmentation des prix des matériaux, aux difficultés d’approvisionnement des entreprises et à la volonté d’accompagner le secteur dans sa transition écologique, Bruno Le Maire a annoncé en juillet dernier le lancement des Assises du bâtiment et des travaux publics (BTP), espace de concertation et d’élaboration de mesures concrètes, portées par le secteur et pouvant être rapidement mises en œuvre.Le premier objectif de ces Assises est de répondre dans les meilleurs délais aux besoins du secteur du BTP afin de surmonter les défis liés à l’inflation. Le deuxième objectif de ces Assises est de répondre aux attentes structurelles du secteur en matière de simplification et de transition écologique, mais aussi de formation et de numérique. Le troisième objectif, enfin, est d’initier un changement de méthode de dialogue entre l’Etat et le secteur. Les acteurs du secteur ont formulé leurs recommandations, qui ont ensuite été étudiées par l’Etat dans le cadre de groupes de travail associant l’ensemble des parties prenantes.Plus de 200 représentants du secteur ont été entendus lors de ces échanges qui se sont structurés en 6 sessions de travail. Plus de quinze fédérations représentant la production et la distribution de matériaux, la construction et la maîtrise d’œuvre ont participé. Plus d’une centaine de mesures portant sur l’équilibre économique des opérations, la simplification et la transition écologique ont fait l’objet d’un échange. Les collectivités territoriales ont également été associées à la validation des 13 premières mesures présentées.Le Gouvernement a donc présenté le jeudi 22 septembre les mesures qui pourront entrer en vigueur sans délai. Ces mesures sont issues des demandes du secteur, elles préservent l’équilibre des finances publiques tout en respectant les dates d’entrée en vigueur des textes en matière de transition écologique (zones à faible émission, responsabilité élargie du producteur notamment). Les autres mesures continuent d’être expertisées et pourront faire l’objet de nouvelles annonces d’ici la fin de l’année 2022.Les 13 mesures :Des mesures pour améliorer la trésorerie des entreprises1. Le relèvement des seuils planchers des avances dans tous les marchés publics, afin d’abonder la trésorerie des fournisseurs de l’Etat et notamment des acteurs du BTP. Ces seuils passeront de 20% à 30% pour l’ensemble des marchés publics passés avec des PME dans les plus brefs délais.2. L’amélioration de l’échelonnement du remboursement de ces avances par une réécriture des textes pour modifier la situation actuelle qui conduit les donneurs d’ordre à exiger trop rapidement le remboursement intégral.3. Un guide de bonnes pratiques en matière de pénalités de retard payées par les acteurs du BTP afin d’éviter que les situations de pénurie actuelles ne leur soient injustement reprochées.Des mesures pour améliorer la prévisibilité des prix sur les marchés publics et privés4. Le gouvernement a saisi le Conseil d’Etat, qui vient d’indiquer qu’il était possible de réviser les prix dans les marchés publics en cours, pour prendre en compte les surcoûts engendrés par les circonstances exceptionnelles. Une circulaire va préciser dans les tous prochains jours les démarches à entreprendre en la matière, et une fiche pratique est déjà mise en ligne sur le site du ministère.5. Une mission va être confiée au Médiateur des entreprises pour améliorer la prévisibilité des prix des matières premières.Des mesures pour simplifier les marchés publics 6. La pérennisation à 100.000 € du seuil de gré à gré qui exempte les marchés publics de travaux d’appels d’offres et qui a été élevé exceptionnellement durant la crise sanitaire. 7. L’abaissement de 6 à 4 mois du délai inscrit dans le cahier des clauses administratives générales des marchés publics, entre la notification d’un marché et l’ordre de service de démarrage effectif des travaux, afin d’éviter une inflation des coûts durant cette période. 8. Un ciblage et une meilleure articulation des contrôles sur les chantiers pour lutter contre le travail illégal.Des mesures pour simplifier et améliorer la mise en œuvre des obligations règlementaires et écologiques qui pèsent sur les entreprises 9. La publicité obligatoire et rapide du montant d’éco contributions payées pour les entreprises dans le cadre de la filière « Responsabilité élargie du Producteur » (REP). 10. La mise en place d’une période de tolérance de 4 mois pour la mise en conformité des entreprises à la Responsabilité élargie du Producteur (sensibilisation pédagogique plutôt que sanction). 11. La prolongation de l’expérimentation chantier par chantier du label « Responsable Garant de l’environnement » (RGE) au-delà du 31 décembre 2022.Des mesures pour accélérer la transition écologique dans ce secteur 12. Le renforcement de l’offre globale de rénovation performante par un appel d’offres spécifique France 203013. Le lancement d’une concertation sur la mise en place d’un carbone-score des matériauxLa FFB salue un travail rapideLa FFB que la possibilité d’obtenir des compensations pour « surcoûts anormaux » constitue une importante avancée. Elle permettra de trouver des solutions sécurisées juridiquement. De même, la pérennisation du plafond à 100.000 € pour signer des marchés de gré à gré va dans le bon sens pour l'organisation professionnelle, tout comme la majoration à 30 % des avances forfaitaires sur les marchés d’État.Quelques premières mesures concernent les marchés privés, comme le renforcement annoncé des contrôles, y compris chez les particuliers, ou l’ensemble des marchés, comme la poursuite des travaux pour créer un outil permettant de mieux comprendre l’évolution des prix des matériaux et de mieux anticiper leur évolution.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « cette rapide mobilisation en faveur des artisans et entrepreneurs de bâtiment doit s’amplifier, notamment sur les mesures relatives aux marchés privés. L’annonce par Bruno Le Maire que les Assises du BTP se poursuivent constitue donc une bonne nouvelle. Depuis l’origine, la FFB souhaite que cette approche par co-construction filière-gouvernement s’inscrive dans le temps, de façon à passer du traitement des problèmes immédiats à l’élaboration d’une stratégie de moyen-long terme pour le secteur de la construction. La transition écologique et la transformation numérique en cours imposent cela. »Pour la CAPEB, « un premier pas encourageant mais encore insuffisant pour répondre à l'inquiétude des entreprises artisanales du bâtiment »Avec ses 26 mesures et solutions concrètes, la CAPEB s’est montrée force de propositions et s’est pleinement impliquée dans tous les groupes de travail pour qu’il ressorte de ces Assises des mesures ambitieuses et engageantes. C’est en effet à cette seule condition que les entreprises artisanales du bâtiment, fortement éprouvées par le contexte actuel lié aux difficultés d’approvisionnement, de recrutement, et à la hausse des prix des matériaux et de l’énergie, pourront agir pleinement en faveur de la rénovation énergétique.Or, si certaines des mesures annoncées par les pouvoirs publics lors de ces Assises vont dans le bon sens (l’augmentation du niveau des avances en marché public, la pérennisation du seuil de 100.000€ en deçà duquel le gré à gré est autorisé, le renforcement des contrôles pour lutter contre le travail illégal, la mise en place d’une période de tolérance de 4 mois lors de la mise en œuvre au 1er janvier 2023 de la REP…), la CAPEB note, qu’à ce stade, ne figure aucune des dispositions visant à booster réellement la rénovation énergétique (indexation de toutes les aides sur l’inflation, diminution par deux du reste à charge des ménages modestes comme le proposait la CAPEB, les process RGE, MaPrimeRénov, CEE, les ZFE – m,...).En exclusivité, Bruno Le Maire a arbitré, à la demande de la CAPEB, en faveur du maintien de la TVA à taux réduit sur les chaudières à très haute performance énergétique. L’augmentation de ce taux aurait envoyé un signal incompréhensible pour le pouvoir d’achat et l’activité.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Pour la CAPEB, ces Assises étant un point de départ, il est compréhensible que les mesures annoncées ce jour ne soient pas de nature à libérer pleinement le potentiel des entreprises artisanales du bâtiment dans la transition énergétique. Nous attendons donc avec impatience la suite des travaux pour que des mesures plus ambitieuses puissent être prises. L’enjeu est de taille. Seules ces TPE, qui représentent 95 % des entreprises du bâtiment, ont la capacité de le faire. Nous nous félicitons d’ores et déjà de voir la durée de l’expérimentation relative à la qualification chantier par chantier prorogée jusqu’à fin 2023 et d’avoir été entendus sur la nécessaire poursuite de ces Assises. Le travail ne fait que commencer. La CAPEB, qui constitue la première organisation professionnelle de France en termes d’adhérents et l’organisation professionnelle majoritaire dans le champ des TPE du bâtiment, continuera à faire preuve d’un état d’esprit constructif et collaboratif. »
Il y a 2 ans et 259 jours

Clermont-Ferrand : le lancement des travaux d’extension du stade Gabriel-Montpied est reporté

Le début du chantier de l’extension du stade Gabriel-Montpied à Clermont-Ferrand serait décalé de six mois. Le début des travaux d’extension...
Il y a 2 ans et 259 jours

Clermont-Ferrand : le lancement des travaux d’extension du stade Gabriel-Montpied est reporté

Le début du chantier de l’extension du stade Gabriel-Montpied à Clermont-Ferrand serait décalé de six mois. Le début des travaux d’extension...
Il y a 2 ans et 259 jours

Ille-et-Vilaine : inauguration d’un nouveau complexe sportif à Redon

Les travaux de rénovation du stade du Pâtis à Redon (Ille-et-Vilaine) ont pris fin. Afin de renforcer ses infrastructures sportives et de...
Il y a 2 ans et 259 jours

A Colmar, découverte d’une ancienne fortification

En cœur de ville de Colmar, une campagne de fouille d’archéologie préventive prescrite par la Drac Grand-Est sa été lancée suite au projet de réaménagement de la place de la Cathédrale par la ville. Un ancien mur d’enclos du cimetière a été découvert par les archéologues de l’Inrap en parties sud-est et sud-ouest de la collégiale Saint-Martin. Réalisé en gros galets de rivière liés au mortier de chaux, il atteint une épaisseur maximale de 0,85 m. Les deux tronçons observés sont chacun conservés sur une dizaine de mètres ; leur tracé est incurvé et forme un plan ovalaire, enserrant un espace plus restreint que celui de l’église actuelle. Il pourrait donc avoir ceint l’édifice ayant précédé la collégiale, retrouvé lors des fouilles réalisées dans les années 1970, qui était de taille moindre que l’église actuelle. L’hypothèse privilégiée à ce stade des investigations est que ce mur puisse correspondre à celui érigé par les bourgeois de la ville de Colmar à partir de 1212. À cette date en effet, les bourgeois (dont c’est la première mention dans les textes) vendent un terrain communal pour 60 marcs d’argent, somme destinée à la construction d’un mur autour de l’église et de son cimetière. L’importance de la somme déboursée pourrait indiquer qu’il s’agit d’un mur de fortification, ce que l’épaisseur et la solidité de la maçonnerie observée semblent confirmer. La fortification des cimetières était chose courante dans l’Alsace médiévale, région morcelée politiquement et en proie à d’incessants conflits : elle permettait aux populations de se mettre à l’abri au sein d’un périmètre consacré, disposant du droit d’immunité. Photo : le mur mis au jour en partie sud-est de la place © B. Dottori, Inrap  
Il y a 2 ans et 259 jours

A Colmar, découverte d’une ancienne fortification

En cœur de ville de Colmar, une campagne de fouille d’archéologie préventive prescrite par la Drac Grand-Est sa été lancée suite au projet de réaménagement de la place de la Cathédrale par la ville. Un ancien mur d’enclos du cimetière a été découvert par les archéologues de l’Inrap en parties sud-est et sud-ouest de la collégiale Saint-Martin. Réalisé en gros galets de rivière liés au mortier de chaux, il atteint une épaisseur maximale de 0,85 m. Les deux tronçons observés sont chacun conservés sur une dizaine de mètres ; leur tracé est incurvé et forme un plan ovalaire, enserrant un espace plus restreint que celui de l’église actuelle. Il pourrait donc avoir ceint l’édifice ayant précédé la collégiale, retrouvé lors des fouilles réalisées dans les années 1970, qui était de taille moindre que l’église actuelle. L’hypothèse privilégiée à ce stade des investigations est que ce mur puisse correspondre à celui érigé par les bourgeois de la ville de Colmar à partir de 1212. À cette date en effet, les bourgeois (dont c’est la première mention dans les textes) vendent un terrain communal pour 60 marcs d’argent, somme destinée à la construction d’un mur autour de l’église et de son cimetière. L’importance de la somme déboursée pourrait indiquer qu’il s’agit d’un mur de fortification, ce que l’épaisseur et la solidité de la maçonnerie observée semblent confirmer. La fortification des cimetières était chose courante dans l’Alsace médiévale, région morcelée politiquement et en proie à d’incessants conflits : elle permettait aux populations de se mettre à l’abri au sein d’un périmètre consacré, disposant du droit d’immunité. Photo : le mur mis au jour en partie sud-est de la place © B. Dottori, Inrap  
Il y a 2 ans et 260 jours

Bouches-du-Rhône : les travaux d’aménagement de la future marina olympique à Marseille avancent

Les travaux de construction de la marina olympique à Marseille (Bouches-du-Rhône) pour les Jeux olympiques de 2024 se poursuivent. Le stade...
Il y a 2 ans et 260 jours

Bouches-du-Rhône : les travaux d’aménagement de la future marina olympique à Marseille avancent

Les travaux de construction de la marina olympique à Marseille (Bouches-du-Rhône) pour les Jeux olympiques de 2024 se poursuivent. Le stade...
Il y a 2 ans et 267 jours

Le climat et "l'humain", priorités de Catherine Vautrin à la tête de l'Anru

Nommée le 1er septembre à la tête de l'agence chargée de piloter la mutation des quartiers populaires, elle a succédé à Olivier Klein, devenu ministre délégué à la Ville et au logement.La priorité de son mandat sera, promet-elle, l'intégration du défi climatique dans le renouvellement urbain, dans le prolongement de la démarche "Quartiers résilients" annoncée lundi par Olivier Klein."Comment peut-on imaginer sortir des projets qui dans cinq ans, dans dix ans, soient incapables de répondre aux défis qui s'offrent à nous ?""Ce qu'on propose, c'est qu'à l'occasion des revues de projet, on reprenne chacun des projets, qu'on regarde si on est bien résilients en matière écologique, de consommation énergétique: à chaque fois qu'on peut se raccorder à un réseau de chaleur, est-ce qu'on l'a fait ?""Il faut, à chaque fois qu'on peut le faire, essayer de lutter contre les îlots de chaleur. Ce sont ces fameuses dalles avec du béton partout, pas un arbre... on peut enlever de l'enrobé, remettre de la végétalisation. Vous avez aussi l'isolation thermique des bâtiments, et c'est aussi bien contre le chaud que contre le froid. Ce ne sont pas que des économies de chauffage, c'est aussi de la qualité de vie en été.""Il faut aussi qu'on tire les conséquences du post-Covid", poursuit Catherine Vautrin."Quand les gens ont été confinés chez eux, qu'est-ce qu'ils nous ont dit ? Évidemment, l'espace (...) Dans un projet Anru, en moyenne, un balcon c'est 7.000 euros. C'est un coût supplémentaire, et pourtant, est-ce que ça ne vaut pas le coup qu'on regarde ? Parce que c'est offrir tout de suite un prisme différent de son logement. Un été comme celui-là, si le soir, on peut être un peu sur son balcon, c'est un peu d'air."En revanche, pas de rallonge budgétaire à l'horizon pour l'Anru, malgré l'envolée des prix des matériaux de construction, qui rend les chantiers plus chers."Maintien des budgets""Il est pas question de faire des opérations au rabais, et c'est d'autant plus vrai que les matériaux ont une importance fondamentale dans notre approche de sobriété et de résilience. (...) Mais à ce stade, je vais déjà me battre pour obtenir le maintien des budgets, je ne vois pas comment je peux obtenir un budget inflation dans le contexte", reconnaît-elle.L'ancienne ministre déléguée à la Cohésion sociale sous la présidence de Jacques Chirac veut également une évaluation plus profonde des projets urbains terminés."Je souhaite qu'on ait un regard extrêmement précis de l'état dans lequel sont les opérations que nous avons livrées y a dix-huit ans, quinze ans, dix ans, parce que c'est important qu'on ait un plan de gestion qui nous permette de regarder comment, dans le temps, les choix qui ont été faits ont vieilli." "Quand vous avez un quartier qui fait l'objet d'une rénovation complète, c'est normal qu'au-delà de la simple rénovation du quartier, il y ait un suivi de façon à ce que ce quartier, qui n'est plus le même, ait des ambitions auxquelles il doit répondre et qu'on puisse accompagner, voir ce qui va, ce qui ne va pas, de façon pourquoi pas à voir que quelque chose ne marche pas, comment tout de suite on agit et on n'attend pas que les choses se dégradent." Également présidente de la communauté urbaine du Grand Reims, Catherine Vautrin n'envisage pas de quitter son mandat local. "Ce que j'ai appris à Reims, ce que je vis à Reims tous les jours, me permet précisément de connaître les quartiers, d'expérimenter, de comparer, et je pense qu'une présidente de l'Anru doit être au quotidien au cœur des problématiques des habitants des quartiers", justifie-t-elle."Il n'y aurait rien de pire pour l'Anru que d'avoir à sa tête quelqu'un qui ne sait pas ce que c'est qu'un quartier et qui n'ait pas cette expérience".
Il y a 2 ans et 269 jours

La croissance devrait atteindre 0,3% au troisième trimestre, selon les prévisions de la Banque de France

En dépit d'un niveau très élevé d'incertitude lié notamment à la crise énergétique, "l'activité continue globalement de résister", selon les résultats de la dernière enquête de conjoncture réalisée par la banque centrale.L'Insee a de son côté prévu mercredi une croissance légèrement inférieure, de 0,2%, au troisième trimestre."L'activité a été un peu meilleure qu'attendu au cours du mois d'août", a déclaré le directeur général de Banque de France, Olivier Garnier, lors d'une présentation à la presse.L'activité progresse dans les services marchands, les loisirs et la restauration, tout comme le conseil et la programmation. Mais la location de matériels et d'automobiles recule en raison de problèmes d'approvisionnement, détaille la note de conjoncture.Dans le bâtiment, l'activité est "quasi-stable" et elle progresse légèrement dans l'industrie, où elle connaît une évolution contrastée selon les secteurs.L'activité progresse ainsi dans les produits informatiques et électroniques, tout comme dans l'habillement, mais elle recule dans les industries chimique, pharmaceutique, le bois et le papier.L'agro-alimentaire progresse aussi légèrement. Les chefs d'entreprise interrogés par la Banque de France "ne mentionnent pas à ce stade d'impact significatif des mauvaises conditions climatiques", à savoir la sécheresse, "sur la production au cours du mois d'août" pour ce secteur.Pour le mois de septembre, "les chefs d'entreprise s'attendent à une progression de l'activité dans la plupart des secteurs", selon la note.La situation des carnets de commande est stable dans l'industrie et "se dégrade dans le bâtiment", en restant cependant supérieure à sa moyenne sur quinze ans.Les difficultés d'approvisionnement diminuent mais concernent encore une entreprise sur deux dans l'industrie (51%) et un peu moins dans le bâtiment (43%)."Ce repli correspond à ce qu'on voit au niveau mondial", commente Olivier Garnier.À l'inverse, au niveau des difficultés de recrutement, le directeur de la Banque de France n'observe "pas de baisse significative".Enfin, la pression inflationniste diminue mais "le tassement que l'on voit dans les prix à la production va mettre du temps à se voir dans les prix à la consommation", estime M. Garnier.La Banque de France révisera le 15 septembre sa projection de croissance pour l'ensemble de l'année 2022, ainsi que pour 2023 et 2024.
Il y a 2 ans et 269 jours

Réalités sécurise le projet de rénovation du mythique stade Bauer et démarre la construction de la Bauer Box

Le stade Bauer, qui reste ouvert tout au long du chantier, accueillera le premier match du Red Star FC lundi 12 septembre 2022. Le chiffre d’affaires prévisionnel du projet est supérieur à 250 M€, dont 45 M€ consacrés à la rénovation du stade Bauer. Un lieu mythique depuis 1924... et pour les années à venir Lieu emblématique du football francilien, le stade Bauer va permettre au Red Star FC, au fil de sa réhabilitation, de bénéficier d’un nouvel équipement sportif plus adapté à ses ambitions. Durant l’été 2022, une nouvelle pelouse hybridée a ainsi été posée et la rénovation des tribunes, qui débute en septembre 2022, permettra à terme d’accueillir 9.700 personnes. En 2024, 100 ans après les derniers Jeux Olympiques de Paris, le stade Bauer accueillera à nouveau les Jeux en tant que terrain d’entraînement officiel. Bauer Box : une nouvelle destination attractive pour Saint-Ouen En 2026, Bauer sera bien plus qu’un stade ! Le projet de REALITES prévoit en effet la construction de la Bauer Box, une nouvelle destination expérientielle, dont les travaux démarrent également en septembre 2022. Sur plus de 30.000 m2, ce nouveau lieu dont la programmation est toujours en cours entremêlera sport, éducation, cultures urbaines et de nombreux services de proximité pour toutes les Audoniennes et les Audoniens. La Bauer Box prévoit notamment d’accueillir une offre de coliving, des bureaux réversibles en établissement d’enseignement supérieur, un pôle médical ainsi que plusieurs restaurants et boutiques. La livraison de la Bauer Box est prévue pour début 2026.
Il y a 2 ans et 272 jours

Le campus connect et son parc paysagé se développent sur un site de plus de 2 hectares

Maîtrise d’ouvrage : Groupe GA Smart BuidingMaîtrise d’œuvre : Studio MontazamiLocalisation : Parc D’innovation d’Illkirch, Illkirch-Graffenstaden, FranceProgramme : Bureaux, Restaurant inter-entrepriseNature : Construction neuveLivraison : Novembre 2021Surfaces : Site 20.000 m2, Bureaux 6.750m2, Restaurant 550m2Durée de chantier : 13 moisEnvironnement : Produits béton GA hors site, Modules bois hors site, Label HQE, Centrale solaire SEE YOU SUNL’ensemble immobilier s’inscrit dans le plan directeur du parc d’innovation d’Illkirch qui comporte aujourd’hui plus de 15 bâtiments construits par GA Smart Building.Le projet architectural est pensé comme un ensemble paysager qui s’articule autour de deux bâtiments reliés par un lobby central. La disposition des bâtiments A et B donne des vus l’extérieur, et laisse traverser les perspectives sur les promenades autour desquelles sont aménagés des espaces de quiétudes, une prairie sauvage et des lieux d’échanges et de convivialités.L’architecture se compose de volumes sculptés, dont le rythme associé à des mouvements valsants, créée un dynamisme permanent.Les façades vibrent et créent des jeux d’ombres, discrètement ornementées de poinçonnements aléatoires faisant référence aux cartes perforées informatiques. Cette composition architecturale personnalisée permet ici d’identifier l’ADN du secteur technologie et informatique de l’utilisateur, mais aussi des entreprises du parc d’innovation d’Illkirch, tout en permettant les prises et rejets d’air des modules de traitements d’air intégrés en façades. Les larges baies s’ouvrent vers les espaces environnants.Les plateaux de bureaux bénéficient de grandes baies toute hauteur qui offrent des vues généreuses vers les espaces végétalisés extérieurs. Le forum d’accueil s’implante à l’intersection des 2 bâtiments, permettant l’articulation entre les deux ensembles. Les utilisateurs et visiteurs traversent ce lieu de vie.Le pavillon d’accueil aux façades de verres et d’inox brossé crée une transparence entre les parkings et le cœur de site végétalisé, tout en articulant au rez-de-chaussée et au premier étage les flux et usages des deux bâtiments de bureaux.Ce « forum Alcatel-Lucent Enterprise » s’implante entre les deux bâtiments : il accueille le public depuis les deux parvis d’entrée. C’est un espace hybride de convivialité et d’accueil où est également présenté l’histoire d’Alcatel-Lucent Enterprise. Au premier niveau de ce bâtiment d’accueil, une passerelle permet une liaison à l’air libre entre les deux bâtiments autour d’une vaste terrasse extérieure.Le site se compose également d’un restaurant de plain pied en cœur d’îlot et marquant l’entrée du campus Alcatel-Lucent Enterprise. Les façades vitrées et de bardage inox brossé s’intègrent à l’architecture du Campus et à l’environnent paysager avec harmonie, reflets et transparence.Architecte mandataire : Orash Montazami - Studio MontazamiBET Structure (GA) : OMEGABET Façade (GA) : Paquet FontaineCuisiniste : CETPEcologue : OGELandscape design : Studio MontazamiSpace planning et intérieurs : Studio Montazami / L'atelier Des DemoisellesEntreprise générale : GA Smart BuildingBureau de contrôle : SOCOTEC
Il y a 2 ans et 280 jours

AMI « Résilience énergétique » : financer et accompagner des projets à potentiel de développement économique

Visant à augmenter la résilience des systèmes énergétiques et à optimiser les procédés de production d’énergies renouvelables, les propositions seront examinées par des jurys territoriaux et sont à déposer avant le 15 octobre. Un webinaire de présentation sera également organisé le 8 septembre.Dans le contexte actuel de changement climatique et de crise en Ukraine, la sortie de la dépendance aux énergies fossiles est à la fois un impératif climatique et un enjeu de souveraineté énergétique. L’enjeu est double : sécuriser l’approvisionnement énergétique de la France et accélérer la sortie des énergies fossiles. Par son positionnement en aval de la recherche et son pilotage par les SATT, l’AMI « Résilience énergétique » vise à capter des innovations ayant passé le stade de la preuve de concept en laboratoire et à accélérer leur transfert vers le monde économique au travers de la création de startups ou un développement industriel. Co-élaborées par les deux partenaires, les thématiques portent sur trois axes prioritaires.Développement d’innovations ou d’évolutions technologiques visant à augmenter la résilience des systèmes énergétiques ainsi que la complémentarité des vecteurs énergétiques face aux aléas de fourniture. Sont concernés les différents vecteurs énergétiques – gaz, électricité, chaleur – ainsi que les différentes échelles de déploiement – régional / national, ville / campagne, quartier / ilôt. La production d’hydrogène par électrolyse, la production de froid ou de chaud par pompe à chaleur ou la production d’électricité à partir de biogaz, hydrogène ou par cogénération sont quelques-uns des couplages de vecteurs énergétiques identifiés.Développement ou l’optimisation de procédés de production d’énergies renouvelables : hydrogène décarboné, éolien, photovoltaïque, biogaz...Développement de solutions pour accompagner les évolutions de comportements vers plus de sobriété énergétique.Les chercheurs sont invités à proposer des approches systémiques et à imaginer des solutions favorisant une plus forte compétitivité de ces énergies d’avenir tout en veillant à réduire leurs impacts sanitaires ou environnementaux.Des soutiens complémentaires du réseau SATT et l’ADEMECette collaboration nouvelle entre le Réseau SATT et l’ADEME permettra notamment d’assurer un continuum de financement et d’accompagnement pour l’ensemble des projets sélectionnés.Également ouvert aux doctorants bénéficiant d’une thèse financée par l’ADEME, cet AMI établira notamment un pont entre les programmes de recherche initiés par l’ADEME et les programmes de maturation accompagnés par les SATT. Par ailleurs, il s’inscrit dans les objectifs du plan France 2030, dont l’ADEME est un des opérateurs.Les lauréats se verront ainsi proposer un accompagnement complet : analyse approfondie des dimensions marché, propriété intellectuelle, juridique et stratégie de transfert, possibilité d’un financement en pré-maturation et/ou en maturation technologique, sur fonds propre des SATT, renforcé potentiellement par le soutien financier issu de l’AAP Prématuration/Maturation, et soutien à la création d’entreprises. Suite à ces programmes de maturation l’ADEME pourrait assurer une suite de financement via les appels à projets qu’elle initie dans le cadre de France 2030, notamment pour accompagner l’industrialisation des technologies.Des jurys territoriauxLes équipes des 13 SATT ainsi que les experts de l’ADEME étudieront les dossiers soumis dans le cadre de jurys territoriaux dédiés. Parmi les critères de sélection : un projet visant une valorisation et de transfert vers le monde socio-économique, la possibilité de constituer une propriété intellectuelle solide ou encore une visée applicative à horizon 2030.Les SATT se coordonneront au niveau national afin d’identifier d’éventuelles synergies entre projets, ou avec une technologie en cours de maturation, ou préalablement transférée. L’objectif est de consolider des briques technologiques complémentaires et de développer des technologies à fort potentiel. Une première pour un dispositif de cette envergure !Date d’ouverture : 30 août 2022 Webinar de présentation : 8 septembre 2022 Date de clôture : 30 octobre 2022 Contact : ami.energie@satt.fr Pour en savoir plus et dépôt sur :www.satt.fr/ami-energiePour Fabrice LEEFEBVRE, Président de la SATT Nord : « Comment contribuer, en tant que Réseau SATT, à ces objectifs de transition et de souveraineté énergétique ? C’est l’ambition qui a motivé le lancement de cet AMI d’ampleur exceptionnelle puisqu’il mobilise l’ensemble de nos 13 SATT. Sa vocation : interpeller la communauté scientifique autour de ces enjeux citoyens. Dans cette optique, le partenariat avec l’ADEME était pour nous une évidence, du fait de son expertise sur le sujet et de son rayonnement auprès de la communauté des chercheurs. Pour donner aux propositions issues de cet AMI toutes les chances d’un impact fort sur notre société dans les prochaines années, nous allons faire appel aux experts de l’ADEME, et mutualiser les compétences des 13 SATT, qui ont déjà permis le transfert de nombreuses technologies dans le domaine énergétique, auprès d’entreprises ou via la création de start-ups. Citons en exemple la startup H2SYS, qui conçoit et réalise des systèmes hybrides qui génèrent électricité et chaleur à partir d’hydrogène, le projet METHAMAG®, nouveau procédé de méthanation basé sur l’utilisation de l’induction magnétique, ou encore la startup H2PULSE, qui favorise le déploiement de solutions industrielles pour la transition vers l’hydrogène énergie. »Pour Anne VARET, Directrice scientifique de l’ADEME : « Cet AMI offre aux SATT et à l’ADEME, présents dans chacune des régions de France, une formidable opportunité de travailler ensemble, et aux côtés de nombreux partenaires territoriaux, au cœur d’écosystèmes régionaux de recherche. Il marque, nous l’espérons, le début d’une collaboration durable et ancrée au cœur des territoires. Car ne l’oublions pas, la transition écologique et énergétique s’inscrit bien au sein des territoires. »
Il y a 2 ans et 280 jours

Matterport révolutionne les jumeaux numériques avec la caméra Pro3 et sa nouvelle plateforme cloud

Matterport, Inc. (Nasdaq : MTTR), a présenté le 30 août sa toute nouvelle caméra Matterport Pro3 ainsi que des mises à jour majeures de sa plateforme cloud de jumeaux numériques, leader du secteur. La Pro3 représente une avancée majeure dans la technologie de capture 3D, permettant de numériser chaque aspect du monde physique, à l'intérieur comme à l'extérieur. La plateforme de jumeaux numériques de nouvelle génération de Matterport s'appuie sur les expériences virtuelles immersives révolutionnaires de la société pour permettre une collaboration et une productivité avancées, se traduisant par des économies et une augmentation des revenus pour les organisations de toutes tailles, des petites entreprises aux multinationales.Ces nouvelles offres arrivent alors que la demande mondiale de jumeaux numériques - des modèles 3D interactifs et visuellement immersifs de bâtiments et d'espaces - continue d'augmenter. Selon Forrester Research, 55 % des décideurs mondiaux en matière de technologie logicielle ont déjà adopté les jumeaux numériques[1]. En tant que leader du secteur, Matterport a enregistré une croissance de 52 % de son nombre total d'abonnés au deuxième trimestre par rapport à la même période de l'année précédente, et sa plateforme de jumeaux numériques est utilisée par déjà 23 % des entreprises du classement Fortune 1000.Pour RJ Pittman, président-directeur général de Matterport : « Ce jour est un tournant pour la technologie 3D avec l'introduction des produits les plus puissants que Matterport ait jamais créés. Notre nouvelle caméra Pro3 et notre plateforme cloud créent des jumeaux numériques parmi les plus précis, immersifs et époustouflants au monde. L'opportunité n'a jamais été aussi grande pour les entreprises d'embrasser la puissance des jumeaux numériques de Matterport pour transformer leur activité. »Les solutions « Enterprise » de MatterportLes jumeaux numériques permettent aux chefs d'entreprise de naviguer en toute confiance dans un environnement économique incertain tout en accélérant la productivité d'une main-d'œuvre mobile et globale. 79% des chefs d'entreprise citent les économies de coûts et 71% les gains d'efficacité opérationnelle comme les principaux moteurs de leurs investissements dans les jumeaux numériques[2]. C'est la raison pour laquelle la nouvelle caméra Pro3 et la plateforme cloud ont été conçues pour répondre aux exigences des entreprises en matière de flexibilité, de fiabilité et de sécurité, faisant de la plateforme de jumeaux numériques de Matterport l'une des plus fiables du secteur.Les avancées de la nouvelle caméra Pro3 et de la plateforme cloud facilitent plus que jamais la création de jumeaux numériques immersifs pour les clients. Des clients de tous les secteurs - usines, détaillants, hôtels et compagnies aériennes - indiquent que les jumeaux numériques ont permis de réduire la durée des projets de 30% et de diminuer les frais de déplacement jusqu'à 50% grâce à une meilleure collaboration à distance. Un client du secteur de l'immobilier commercial a déclaré avoir conclu des ventes jusqu'à 85% plus rapidement. Les clients du secteur de l'hôtellerie constatent que les réservations et les taux d'occupation augmentent de 14% dans les établissements dotés d'un jumeau numérique.Et les avantages ne sont pas réservés aux grandes entreprises : les agents immobiliers qui utilisent des jumeaux numériques obtiennent jusqu'à 74% de biens en plus et 71% des acheteurs particuliers se déclarent aujourd’hui prêts à acheter une maison sans l'avoir vue si elle dispose d'une visite numérique en 3D.La plateforme pour jumeaux numérique de MatterportMatterport a imaginé une nouvelle plateforme logicielle cloud qui permet de créer, publier et gérer les jumeaux numériques de bâtiments et d’espaces de toute taille et forme, en intérieur comme en extérieur. Toutes ces nouvelles fonctionnalités s’intègrent de manière harmonieuse afin de permettre aux clients de créer en toute sécurité des environnements immersifs à explorer et où collaborer pour leurs employés, clients et partenaires.Parmi les fonctionnalités phares, il est possible :D’optimiser la productivité à partir d'un jumeau numérique unique grâce à un nouvel outil de travail collaboratif appelé Views, pour permettre aux groupes et aux grandes organisations de créer des flux de travail distincts, grâce à un système d’autorisations, pour gérer différentes tâches avec différentes équipes, telles que : les inspections virtuelles, la formation à distance, l'aménagement de l'espace, les visites virtuelles personnalisées, et bien plus encore.D’augmenter l'engagement des clients, la productivité et le taux de conversion avec les toutes nouvelles visites guidées et les étiquettes qui améliorent l'expérience des visiteurs. Désormais, les équipes de marketing et de vente peuvent créer des visites virtuelles de tout espace commercial ou résidentiel adaptées aux intérêts de leurs visiteurs, et les équipes d'exploitation peuvent créer des formations en ligne guidées pour les travailleurs à distance.D’aller plus loin en recourant aux services de capture « à la demande » de Matterport, disponible dans les grandes villes du monde et toujours plus performants avec la nouvelle caméra Pro3, et ainsi d’obtenir un jumeau numérique professionnel de la plus haute qualité, réalisé par un technicien de capture. Capture Services for Enterprise permet de numériser un seul espace ou un portefeuille de milliers de bâtiments, à l'intérieur comme à l'extérieur. Qu'il s'agisse de chaînes de magasins, de groupes hôteliers ou de campus d'entreprises, il n'a jamais été aussi facile d'obtenir un jumeau numérique Matterport photoréaliste et dimensionnellement précis pour gérer ses propriétés en ligne.D’accéder à l’ensemble des fonctionnalités de la plateforme, où que l’on soit, grâce à une solution mobile entièrement activée qui rassemble les capacités de capture, de personnalisation, de visualisation, de modification, de publication et de restauration des jumeaux numériques avec la nouvelle application Matterport pour les appareils iOS et Android.La caméra Matterport Pro3La caméra Matterport Pro3 est le dispositif de capture 3D Matterport le plus avancé, avec une puissante combinaison de capteurs travaillant en harmonie pour créer des images étonnantes, à l'intérieur comme à l'extérieur. Aucune autre caméra ne combine l'incroyable puissance de cet appareil à ce prix, rendant la capture 3D plus largement accessible.Grâce à un capteur personnalisé de 20 mégapixels et à un objectif à 12 éléments couvrant un angle ultra large, la caméra Pro3 produit des jumeaux numériques précis et détaillés aux couleurs vibrantes et réalistes. Les avancées du capteur LiDAR haute précision permettent de capturer des millions de mesures dans diverses conditions, de la lumière tamisée à la lumière directe du soleil, jusqu'à une portée de 100 mètres, en moins de 20 secondes par balayage.La caméra Pro3 révolutionne la capture 3D, établissant de nouvelles normes en matière de vitesse, de fidélité, de polyvalence et de précision. Alors que le maillage interactif était auparavant limité à 50.000 polygones, il est désormais illimité et le maillage des grands espaces peut facilement dépasser un million de polygones. De nouveaux jumeaux numériques sont désormais diffusés à la demande, au fur et à mesure que l'utilisateur se déplace dans un espace, disponibles sur les plateformes mobiles et web pour tous les utilisateurs avec des temps de chargement plus rapides, des fréquences d'images plus rapides et beaucoup plus de détails sans compromettre les performances.Le moteur Cortex AI de Matterport est mis à niveau pour capturer une portée 5 fois supérieure, permettant aux clients de transformer leurs espaces intérieurs et extérieurs, même lorsqu'ils rencontrent des zones denses comme des feuillages, des éclairages et des surfaces réfléchissantes difficiles. La puissance combinée de la nouvelle plateforme Matterport Digital Twin, de la caméra Pro3 et du moteur Cortex AI amélioré permet d'obtenir des jumeaux numériques parmi les plus précis, immersifs et étonnants jamais créés.Pour Lou Marzano, vice-président de la Recherche et du Développement et de la fabrication : « La caméra Pro3 est le fruit d'années de recherche avancée et d'une écoute attentive de nos clients. Le résultat est une véritable révolution dans la technologie de capture 3D. Les exigences de l'industrie du numérique poussent les normes de nos produits à de nouveaux niveaux, rendant la précision, la portée et la mobilité essentielles au succès de nos clients. Nous avons réuni tout cela dans un appareil portable qui atteint un nouveau palier en termes de rapport prix/performance pour la capture LiDAR commerciale. Certaines de nos plus grandes entreprises clientes ont déjà mis la Pro3 à l'épreuve en capturant de grands sites extérieurs, des stades aux campus, avec une vitesse et une précision jamais vue auparavant. Comme les Pro1 et Pro2 qui l'ont précédée, la caméra Pro3 est dans une classe à part et je suis très fier de l'équipe qui est à l'origine d'une autre première dans le secteur. »Dotée d'un nouveau design saisissant, propre à Matterport, la Pro3 regorge de fonctionnalités révolutionnaires, notamment :Un capteur de 20 mégapixels et un objectif à 12 éléments fabriqués sur mesure pour une capture ultra large de grands espaces ;Une capacité de capture de 100k points par seconde à des profondeurs allant de 0,5m à 100m ;Un capteur LiDAR haute précision pour une précision inégalée dans diverses conditions de lumière ;Un temps de démarrage de la caméra de moins de 40 secondes ;Des blocs de batteries amovibles pour un balayage continu, les batteries se rechargent complètement en 3,5 heures ;Un poids plume de moins de 2 kilos 5 - la Pro3 est 30 % plus petite et 35 % plus légère que la caméra Pro2 ;Une nouvelle fixation de trépied conçue pour la Pro3 et de nouveaux étuis pour une portabilité et une protection maximales.Prix et disponibilitéLa caméra Pro3 de Matterport est disponible sur matterport.com/pro3 ou chez les revendeurs partenaires de Matterport dont Amazon, B&H Photo et Video ou encore Adorama.La caméra Matterport Pro3 est vendue au prix de 5695 euros et comprend :Une caméra Pro3 dans une mallette de transport ;Un support de trépied ;Une batterie et un kit de chargement ;Un an de garantie.Le kit Matterport Pro3 Accélération, au prix de 7695 euros. Il comprend tout ce qui est nécessaire pour une journée complète de capture :Une caméra Pro3 dans une mallette de transport10 fichiers de nuages de points haute densité Matterport E57 pour réaliser rapidement de grands projets;10 MatterPaks pour extraire des plans d'étage, des fichiers de nuages de points et des fichiers OBJ à partir de jumeaux numériques ;Un support de trépied ;Deux piles avec un kit de chargement ;Un trépied, un chariot à roulettes, deux butées de porte, une valise rigide et un sac à dos ;Une garantie de 3 ans sur la caméra Pro3 et le support de trépiedLes accessoires sont disponibles séparément aux États-Unis, au Royaume-Uni et dans l'Union européenne via Amazon. Pour obtenir des informations sur les prix, rendez-vous sur le site Web de Matterport.Disponibilité de la caméra Pro3 en fonction des régions :Amérique du Nord : commandes ouvertes dès aujourd'hui, date d’expédition estimée à début septembre 2022.EMEA/Asie Pacifique : ouverture des commandes imminente (date à confirmer), date d’expédition estimée à début octobre 2022.
Il y a 2 ans et 282 jours

Hauts-de-Seine : Le chantier du stade d’Yves-du-Manoir pour les Jeux Olympique 2024 est en cours.

Les travaux de rénovation du stade départemental d’Yves-du-Manoir à Colombes (Hauts-de-Seine) se poursuivent.
Il y a 2 ans et 282 jours

Une passerelle pour relier la piscine olympique des JO-2024 au Stade de France

"Symbole des Jeux olympiques", une passerelle piétonne reliant le futur centre aquatique olympique (CAO) des JO-2024 au Stade de France a été installée le 9 août à Saint-Denis.
Il y a 2 ans et 295 jours

Le campus connect et son parc paysagé se développent sur un site de plus de 2 hectares.

GA Smart Building a lancé les travaux en mai 2020 d’un nouvel ensemble immobilier avec des bâtiments de bureaux et un bâtiment de services pour Alcatel-Lucent Enterprise, à Illkirch-Graffenstaden (67).  Maîtrise d’ouvrage – Groupe GA Smart Buiding  Maîtrise d’oeuvre – Studio Montazami  Localisation – Parc D’innovation d’Illkirch, Illkirch-Graffenstaden, France  Programme – Bureaux / Restaurant inter-entreprise  Nature – Construction neuve  Livraison – Novembre […]
Il y a 2 ans et 300 jours

Arkitelia, des conceptions 3D ultra-réalistes pour donner vie à tous les projets des pros du bâtiment

Dans ce contexte, les travaux d'aménagement des logements ont le vent en poupe. Ainsi, le secteur du bâtiment a recruté massivement en 2021 (+4,8%) et prévoit de créer 25.000 nouveaux postes en 2022, selon la Fédération Française du Bâtiment.Une embellie qui ne doit pas faire oublier l'essentiel : dans un contexte de pouvoir d'achat en baisse, les clients sont plus exigeants quant à la qualité des prestations réalisées. Ils s'attendent à un savoir-faire qui se manifeste bien avant que les travaux ne commencent.De ce fait, les artisans doivent notamment relever un double challenge :Permettre à leurs clients de se projeter dans leur futur aménagement, en intérieur comme en extérieur. Ils doivent s'adapter à ce qui se fait en termes de 3D et de prévisualisation ;Créer de la valeur en optimisant l'espace et en accordant les matériaux.Comme les artisans n'ont ni le temps, ni l'équipement, Arkitelia propose un nouveau service de bureau d'études digitalisé. Les artisans reçoivent des conceptions 3D ultra-réalistes en 3 étapes, directement à partir des photos de l'existant et de croquis cotés. Un must pour inspirer les clients, développer les ventes et faciliter les commandes.Une appli très simple et fluide pour obtenir des visuels bluffants en quelques clicsRéaliser un projet sur Arkitelia est un jeu d'enfant, puisqu'il suffit de :Sélectionner la pièce ou les extérieurs à réaliser, ainsi que les rendus souhaitésTout peut être fait directement via son smartphone ou depuis son bureau.Transmettre les documents utilesDirectement via l'app, il est possible de prendre des photos de la pièce et d'ajouter des plans et croquis cotés. À ce stade, il est aussi conseillé d'enregistrer tous les détails importants afin d'obtenir une conception la plus précise possible.Définir le style du clientLe client de l'artisan reçoit un quizz déco interactif pour exprimer ses envies (« bois épuré », « campagne chic »...) et définir son budget.Impressionner le client avec de superbes visuels 3DEn fonction de l’offre retenue, Arkitelia permet de sélectionner la pièce et de visualiser les vues du dessus en 3D, les photos virtuelles et les vues 360° quelques jours plus tard.Les (grands) petits plusUne solide expertiseTous les visuels sont créés par des architectes d'intérieurs et paysagistes, diplômés et expérimentés, qui connaissent les contraintes techniques du bâtiment. Un service inédit conçu sur mesure pour les artisansComprenant les enjeux liés à la réalité « du terrain », Arkitelia est un service adapté au quotidien des artisans (paysagistes, maçons, menuisiers, carreleurs, plombiers...), des distributeurs et des fabricants :Ils bénéficient d'un suivi personnaliséLes visuels hyper réalistes sont conçus en utilisant les produits des catalogues de l'artisanLes rendus sont envoyés en 72hLes tarifs sont très attractifs, puisqu'aucun déplacement n'est nécessaireLes projets peuvent être réalisés en vues 3D, vues 360°, voire plans et planches matériaux.3 offres pour répondre à tous les besoinsToutes les formules sont disponibles sans ou avec abonnement (15€ HT/mois – prix de lancement).De plus, des options peuvent être rajoutées à la demande : plans d'exécution, autre projet d'aménagement, 2 vues supplémentaires par pièce, un changement de texture, ou encore une vue à 360° supplémentaire par pièce.EssentielElle inclut 2 vues 3D de la pièce.Prix : à partir de 350€ HT ou bien 250€ HT avec l'abonnement.L'abonnement à 15€ HT par mois permet de bénéficier de réductions pouvant aller jusqu'à 30%. L'abonnement permet également d'avoir son logo en marque blanche sur tous les supports disponibles. Les architectes de Arkitelia utilisent les produits des catalogues de l'artisan, une présentation des visuels en format PDF leur est offerte.StandardElle inclut : la formule Essentiel, ainsi qu'un plan du dessus et une vue 360°.Prix : à partir de 300 € HT.PremiumElle inclut : la formule Standard, ainsi que des planches matériaux.Prix : à partir de 350 € HT.À propos de Noëlle Corlay, la fondatriceNoëlle Corlay est Architecte d'intérieurs depuis 10 ans.Elle a eu l'idée du concept Arkitelia durant le confinement. À cette époque, elle est contactée par Fabrice, un plombier qui cherchait à débloquer une situation : son client ne voyait pas du tout comment aménager sa future extension.À partir des photos et des croquis à la main réalisés par Fabrice, Noëlle et son équipe ont pu proposer deux implantations différentes. Cela a été un vrai soulagement pour Fabrice et son client !Aujourd'hui, Arkitelia ambitionne de se déployer à l'échelle nationale.
Il y a 2 ans et 300 jours

A Nantes, le stade de la Beaujoire se refait une beauté

Retenu pour accueillir des matchs de la Coupe du monde de rugby en 2023 et de football lors des JO de 2024, le stade de la Beaujoire de Nantes a entamé d’importants travaux de mise aux normes et de modernisation. A commencer par une nouvelle pelouse, inaugurée le 12 août par les Canaris contre Lille, qui intègre un système expérimental de récupération des eaux de drainage.
Il y a 2 ans et 301 jours

JO-2024 : une passerelle pour relier la piscine olympique au Stade de France

"C'est le symbole des Jeux olympiques et paralympiques qui approchent", se réjouit Mathieu Hanotin, maire PS de Saint-Denis, sur le parvis du Stade de France, à une cinquantaine de mètres du tronçon de la passerelle, en passe d'être déplacé."Au delà du symbole, cette passerelle va être un lien qui va permettre de recoudre un peu plus deux morceaux de Saint-Denis qui ne pouvaient pas cohabiter", ajoute le président de Plaine commune, évoquant le noeud routier séparant le quartier La Plaine et le futur quartier de la ZAC Plaine Saulnier dont le développement est prévu après les JO-2024. Assemblée à côté du futur centre aquatique, la passerelle a été déplacée et pivotée dans la matinée pour être placée dans l'axe de son emplacement final, perpendiculaire à l'A1, qu'elle surplombera.A midi, l'imposante structure reposait sur des remorques modulaires autopropulsées, engins adaptés au transport de structures massives, ont constaté des journalistes de l'AFP.Les ouvriers s'activaient pour s'assurer de la répartition de la charge de l'ouvrage avant le début de la translation."La structure fait 70 mètres de long, 20 mètres de large et 900 tonnes. Il faut que tout soit parfait", commente Bruno Menez, chargé de la communication chantiers chez Bouygues Bâtiment Ile-de-France, responsable de l'ouvrage. Le déplacement du tronçon sur 70 mètres s'effectuera sur plusieurs heures mardi après-midi."Ce n'est pas une course de vitesse mais de précision", note un des ingénieurs sur place.Après le déplacement, "il faut assurer les finitions de l'ouvrage", explique Jean-Michel Genestier, maire DVD du Raincy et conseiller métropolitain délégué à la logistique urbaine.La passerelle sera ouverte au public à l'été 2023, un an avant les JO-2024."On estime que 15% des spectateurs qui viennent sur le Stade de France ou le centre aquatique pendant les JO viendront par le Grand Paris Express (en construction, NDLR) et passeront par cette passerelle", détaille Mathieu Hanotin, évaluant le flux à 20.000 personnes par jour.Après les JO, la passerelle sera végétalisée et réduite à 12 mètres de large.L'ouvrage a engendré la fermeture exceptionnelle pendant 54 heures d'un tronçon de l'autoroute A1, qui rouvrira jeudi à 4H00 du matin.
Il y a 2 ans et 303 jours

A Paris, des feuilles mortes se ramassent déjà à la pelle

Depuis mi-juillet la capitale vit, comme d'autres territoires de France, un automne anticipé causé par les vagues de chaleur à répétition et la sécheresse.Avec un mois d'avance sur le calendrier, les platanes et les marronniers, sont les premiers feuillus a avoir perdu leurs feuilles.Au pied d'un marronnier du parc aux feuilles raréfiées et flétries, Tim Peiger, 28 ans, bûcheron de la Direction des espaces verts et de l'environnement (Deve) de Paris, grimace : "il a pris cher"."Le feuillage devrait être bien vert. Les branches retombent avec le poids des feuilles. Et quand les feuilles tombent, il n'y a plus de photosynthèse, le bois n'est plus nourri, il sèche et fait du bois mort", diagnostique M. Peiger.Pourtant, ce phénomène spectaculaire lié à la sécheresse reste sans gravité à ce stade, estiment les experts de la ville."Ces arbres sont loin d'être stupides, même s'ils affolent tout le monde, ils se mettent simplement en mode survie", se débarrassant de leurs verdure pour économiser leurs réserves, assure Béatrice Rizzo, chargée de la cellule expertise Arbres et bois à la Deve.Si les conditions météorologiques sont favorables, ces arbres séchés dès l'été "peuvent réenclencher une pousse" avant l'automne, assure Mme Rizzo, qui n'y voit rien d'anormal et célèbre leur "résilience".Mais d'autres pathologies liées aux chaleurs extrêmes, inquiète la patronne des arbres parisiens.Comme les "brûlures solaires", ces coups de soleil sur l'écorce, qui creusent une plaie au bois et va faciliter son parasitage, menaçant l'arbre à long terme."C'est nouveau et c'est lié au climat", souligne l'experte.Platanes de Napoléon IIILorsque le "grand jardinier" du Paris de Napoléon III, Adolphe Alphand s'attaque dans les années 1860 au chantier des parcs et jardins de Paris, créant quasi ex nihilo les Bois de Boulogne, Vincennes, les Buttes-Chaumont et les principaux "alignements" verts des avenues, les essences indigènes s'imposent, notamment le platane réputé à la fois robuste et ombrageant."C'est une essence très résistante, qui résiste bien à la sécheresse et puis c'est emblématique de la ville de Paris", affirme le jeune bûcheron des Buttes-Chaumont à propos de l'arbre fétiche de Napoléon, qui compose 38% des plantations de rue et borde par exemple les Champs-Elysées.Entre les périodes 1873-1902 et 2000-2019, la température moyenne de la capitale mesurée à la station du Parc Montsouris a augmenté de 2,3° contre 1° au niveau mondial, selon l'Agence parisienne du climat.Le climat de Paris change, mais les arbres d'Alphand, patrimoine iconique de la ville, resteront tant qu'ils tiennent.La municipalité s'est néanmoins dotée d'outils pour introduire de nouvelles essences plus adaptées à ce réchauffement parmi les 170.000 plantations planifiées dans les prochaines années.Les essences dites méditerranéennes, comme le micocoulier de Provence et même le pin commencent à être privilégiées à Paris.BrûluresDans ces nouvelles conditions climatiques, les jardiniers de Paris ont aussi adapté leur routine d'entretien.Malgré les restrictions d'eau "il n'y a plus un endroit qu'on n'arrose pas", explique Irène Henriques, la responsable des jardiniers municipaux aux Buttes-Chaumont. Son équipe finalise ainsi sur une application la programmation d'un arrosage automatique de nuit, recommandé par la Mairie.La pratique de la "taille" a aussi été modifiée. "On taille moins mais plus régulièrement pour garder plus de branches", renseigne la jardinière.Le "paillage", technique qui consiste à déposer aux pieds des arbres un tapis composé de branches broyées pour limiter l'évaporation est privilégiée.La surveillance, au pied comme en cime, pour repérer brûlures et branches prêtes à céder est renforcée.Et les habitués du parc s'y mettent aussi. En témoigne les mots plus ou moins doux reçus par les jardiniers de la part des vigies citoyennes du quartier."Aujourd'hui, on remarque pas encore de choses dramatique", reconnaît Daniel Ollivier, 78 ans, à la tête d'un groupe de randonneurs de marche nordique, peu affolé par l'automne anticipé."Mais ça ne veut pas dire que ça ne peut pas venir très prochainement", conclue-t-il en pointant son bâton de marche vers le ciel.