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Il y a 2 ans et 154 jours

Trois états du verre : des éclairages signés Castiglioni, Bouroullec et Poletti

Entretien avec l'architecte-urbaniste Antoine Viger-Kohler, cofondateur de l'agence TVK, à propos du boulevard périphérique de Paris, ses conditions contemporaines et ses perspectives d'avenir. AMC : A la fin des années 1990, avec le collectif Tomato, vous avez posé l'hypothèse qu'il existait une « ville du […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 157 jours

Le CSF IPC veut accélérer la décarbonation du bâtiment

Benoit Bazin, président du CSF IPC, a défini les priorités à réaliser en faveur de la décarbonation dans le secteur du bâtiment. [©Eric Garault] Dans le cadre de la Cop27, l’ambition de limiter la hausse des températures à 1,5°C a été réaffirmée. Afin d’y parvenir, le bureau exécutif du  Comité stratégique de filière “industries pour la construction” (CSF IPC) s’est réuni, le 23 novembre, à Strasbourg (67), pour définir ses priorités pour les années à venir. Ainsi, 3 dossiers sont au cœur de ses préoccupations. Le premier concerne la décarbonation des filières industrielles de la construction. Pour donner une impulsion à ce projet, un “club des engagés” regroupant les entreprises les plus en pointe va apparaître. De plus, le bureau suit la bonne avancée des travaux de chacune des filières. Ceux du ciment et de la métallurgie sont validés. Le verre, les tuiles et briques le seront très prochainement. Lire aussi : Jean-Christophe Barbant : Double fonction à l’AIMCC Des rénovations à amplifier Le second dossier porte sur la massification de la rénovation globale et performante des bâtiments. Le bureau a rappelé l’importance des restaurations de niveau BBC (Bâtiment Basse Consommation). Qu’elles soient réalisées en une ou plusieurs fois, elles ont un impact sur la lutte contre le changement climatique. Mais la dynamique actuelle n’est pas à la hauteur des objectifs fixés par le CSF. Par conséquent, ce dernier appelle les pouvoirs publics à changer d’échelle pour passer de 50 000 rénovations performantes par an à 500 000. Il demande aussi à l’Etat à jouer son rôle d’exemplarité pour la rénovation de leur patrimoine. Développer l’économie circulaire Quant au dernier dossier, le projet consiste à accélérer l’économie circulaire, avec la création en 2023 de la Rep Bâtiment. L’industrialisation des processus de recyclage doit s’intensifier et les entreprises doivent trouver des nouveaux débouchés pour leurs déchets. Un outil financier dédié va être installé au sein du plan d’investissement France 2030, en coopération avec les autres filières industrielles. « La filière de la construction est en mouvement pour porter de nombreuses solutions en faveur de la décarbonation, déclare Benoit Bazin, président du CSF IPC. Il est essentiel de s’intégrer dans une dynamique de l’économie circulaire. Nous avons initié plusieurs projets et nous attendons maintenant qu’ils soient soutenus par France 2030. Notre feuille de route permettra de tenir les engagements de l’Accord de Paris. » Le bureau a aussi fait le point sur les chantiers pour mener à bien tous ces projets. Porteurs d’espoir, ils permettront de créer de nombreux emplois dans la filière. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 157 jours

A Paris les alliés d'Anne Hidalgo contre la vente du Parc des Princes au PSG

La Ville doit "refuser catégoriquement la vente", a réclamé jeudi lors d'un point presse l'élu EELV Jérôme Gleizes, dont le groupe fera voter cette proposition au prochain Conseil de Paris qui s'ouvre mardi."Le Parc des Princes fait partie du patrimoine de la ville", soulignent les écologistes, l'élu PCF Nicolas Bonnet-Oulaldj rappelant de son côté que ce "monument historique a existé bien avant qu'il ne devienne le stade du PSG en 1974".Son prix, sujet de toutes les interrogations et pomme de discorde entre le club et la mairie, est "inestimable", estime l'élu communiste."S'il y a négociation, ça doit passer par le Conseil de Paris", a aussi dit M. Bonnet-Oulaldj.Les deux groupes, sans lesquels Mme Hidalgo n'a pas de majorité, ont dénoncé le "chantage" du club qui menace de quitter l'enceinte si la mairie ne le lui cède pas.Le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi mène depuis quelques jours une virulente offensive médiatique à ce sujet."Ils (la mairie) font pression pour que nous partions", a-t-il dit dans un entretien au journal sportif Marca, rappelant avoir investi 80 millions d'euros dans la rénovation du Parc."On n'envisage pas une seule minute que le PSG parte du Parc des Princes", lui a répondu le lendemain le premier adjoint Emmanuel Grégoire. "Nous n'avons pas fermé la porte mais (vendre) n'est pas notre option prioritaire", a-t-il dit pour résumer la position de la mairie.Quant au prix de l'enceinte, il est "difficile à évaluer mais il y a un acteur qui est là pour ça, les Domaines, les services de Bercy, pour ne pas faire n'importe quoi", a-t-il affirmé.Selon M. Grégoire, le club, propriété du fonds d'investissement qatarien QSI depuis en 2011, a fait une proposition de rachat de 40 millions d'euros. Soit "moins cher" que la somme déboursée pour le milieu argentin Leandro Paredes, a-t-il déploré au Parisien.Dans cette négociation se joue l'agrandissement du stade que souhaitent les deux parties, afin d'augmenter sa capacité d'accueil, actuellement de 48.000 places.
Il y a 2 ans et 157 jours

jo de paris 2024 l arena porte de la chapelle sera livree avec au moins trois mois de retard

L’Arena Porte de La Chapelle va être livrée avec environ trois mois de retard. Initialement prévue pour l’été 2023, la livraison devrait finalement avoir lieu en janvier 2024. La crise sanitaire, les difficultés d’approvisionnement et l’inflation expliquent le ralentissement des travaux de cette infrastructure sportive construite en vue des Jeux Olympiques de Paris 2024.
Il y a 2 ans et 157 jours

Les énergies renouvelables plaisent aux entreprises

La dernière annonce est venue jeudi de Renault, qui a signé avec le producteur français Voltalia un contrat sur 15 ans pour une puissance de 350 mégawatts (MW) d'électricité solaire.Des panneaux photovoltaïques installés sur les sites de Voltalia doivent lui permettre de couvrir d'ici 2027 jusqu'à 50% de la consommation électrique du constructeur."Il s'agit d'un engagement inédit en France en termes de puissance", a précisé Voltalia, très familier de ces contrats de fourniture d'électricité à long terme, souvent désignés par le terme anglais de "corporate PPA" (power purchase agreement) car venus des Etats-Unis.Jeudi encore, Engie a annoncé un contrat d'achat de 100 MW pendant 12 ans avec Google au Royaume-Uni, à partir du projet éolien offshore de Moray West au large de l'Ecosse.Si solaire et éolien dominent, on voit apparaître des contrats sur le biogaz, et la géothermie (contrat inédit - "Heat Purchase Agreement", HPA - entre Renault et Engie pour verdir la chaleur pour l'usine de Douai). On en parle aussi pour l'hydrogène.Ces contractualisations en direct ne constituent toujours qu'une mince partie du volume vendu. Mais elles sont une petite révolution car il s'agit de ne plus acheter aux fournisseurs habituels comme EDF.Dans la course actuelle à la neutralité carbone, basculer sur des énergies bas carbone est souvent l'étape la plus facile pour les entreprises. Les géants du numérique américains dans les années 2010 ont été pionniers de ces PPA, pour tenter de verdir la forte consommation de leurs centres de données."Tendance de fond"Depuis, l'Europe rattrape son retard, notamment le nord du continent mais aussi l'Espagne, profitant de la spectaculaire chute des coûts des technologies renouvelables."En France, le marché a démarré plus lentement qu'ailleurs, car le pays bénéficiait d'un approvisionnement électrique plutôt compétitif et décarboné" avec sa forte portion de centrales nucléaires amorties depuis longtemps, souligne Alexis Gazzo, associé chez EY."Mais depuis quelques mois il y a un fort regain d'intérêt", avec la flambée des prix de l'électricité, dit-il, évoquant "un changement culturel dans les divisions Achats d'énergie des entreprises et une réflexion nouvelle sur le risque".Le mouvement en France a commencé en 2018 avec des précurseurs comme Aéroports de Paris et la SNCF, qui cette année-là lançait un appel d'offres pour sécuriser sur 20 ans 20% de sa consommation renouvelable.Avec la crise actuelle, Voltalia, leader des PPA en France et plus actif encore au Royaume-Uni, constate un boom de la demande des entreprises, où le sujet énergie remonte désormais jusqu'aux conseils d'administration.Pour son directeur général, Sébastien Clerc, les producteurs de renouvelables eux-mêmes s'y retrouvent: "l'inconvénient de la plupart des appels d'offres publics en France est que l'essentiel du prix de vente n'est pas indexé sur l'inflation. Avec les corporate PPA on négocie librement la structure du tarif, de privé à privé, et intégrer l'inflation est protecteur pour les deux parties", dit-il à l'AFP.En France, une part de la gauche rejette ces contrats, qui reviennent pour elle à privatiser une part de la production. Mais des collectivités expriment leur intérêt, et l'Etat vient d'annoncer un "fonds de garantie" pour faciliter ces accords en couvrant le risque de défaut des industriels.Les PPA forment "une tendance de long terme", dit Nicolas Goldberg, chez Colombus Consulting, pour qui "cette crise laissera des traces: on voit que si on ne sécurise pas une part des approvisionnements, si on ne diversifie pas, avec une vision à long terme, on s'expose"."Les entreprises sont demandeuses car les énergies renouvelables tirent les prix de marché à la baisse", souligne l'analyste. Et pour lui, ces PPA sont "une bonne chose, car cela aide aussi la société à comprendre un peu mieux les énergies renouvelables".
Il y a 2 ans et 157 jours

Prix Moniteur de la construction 2022 : la famille et des Hommes

Les PME du BTP étaient à la fête jeudi 8 décembre, à Paris, pour la 21e édition des Prix Moniteur de la construction (PMC) qui...-Entreprises
Il y a 2 ans et 157 jours

Valode & Pistre lance la 2e édition de son concours Archi Jeunes !

Le concours Archi Jeunes a été imaginé en 2020, en pleine crise sanitaire. L'agence Valode & Pistre Architectes avait alors ressenti que cette pandémie, couplée avec une large prise de conscience des effets du réchauffement climatique et de la pollution de la planète dus aux activités humaines, devait nous inviter à repenser notre façon d'habiter, de vivre, de travailler…En organisant le prix Archi Jeunes, Valode & Pistre souhaite donner la parole aux étudiants en architecture en fin d'études ou tout récemment diplômés, qui entendent contribuer à cette évolution. Il s'agit aussi de leur faciliter l'accès au monde professionnel dans un contexte de plus en plus difficile.Lors de la première édition (2020/2021), la réflexion des candidats s'était portée sur l'habitat. Fort du succès de cette initiative, Valode & Pistre lance aujourd'hui une deuxième session pour une vision de l'hôtel de demain et de son rôle dans la ville.Le phénomène hôtelier est progressivement devenu un enjeu important de l'aménagement urbain. Il concerne des catégories de population très différentes – touristes, familles, voyageurs d'affaires, etc. – et d'une façon générale toutes les personnes qui sont impliquées dans le développement de la mobilité et du nomadisme qui caractérisent notre société.Du fait de leurs situations extrêmement diverses, de leurs programmes allant de l'établissement de luxe aux hébergements classiques, pour des bâtiments neufs ou la transformation d'immeubles existants, les hôtels font appel à des solutions architecturales très différenciées.La recherche d'expériences à vivre est l'occasion d'intégrer dans les projets des activités pour créer des espaces hybrides adaptés au monde d'aujourd'hui. Par ailleurs, le phénomène de l'hôtel n'est pas sans véhiculer tout un imaginaire littéraire, historique et cinématographique, qui a un impact sur son rôle sociétal. Enfin l'hôtel a, à de nombreuses reprises dans son histoire, joué un rôle de laboratoire technique et social, qu'il s'agisse du développement du confort sanitaire et autre, d'une forme d'industrialisation des modes constructifs ou plus récemment du développement des services et du numérique.Pour l'agence d'architectes Valode & Pistre, donner la parole aux étudiants en architecture, en fin d'études ou tout récemment diplômés, est déterminant pour apporter une vision créative et innovante sur ces thématiques.Les inscriptions à Archi Jeunes sont ouvertes, et les étudiants ont jusqu'au vendredi 06 janvier 2023 pour candidater.L'hôtel au cœur d'enjeux multiplesL'hôtel est aujourd'hui plus qu'auparavant confronté à des enjeux essentiels qui conditionnent son avenir, en particulier :L'enjeu environnemental. Cela concerne en premier lieu sa construction et son aménagement et en particulier le bilan carbone. Il s'agit de mettre en oeuvre des matériaux et des techniques de construction à faible émissivité présentant les garanties de résistance et d'isolation phonique propres au milieu hôtelier. Cela concerne également l'exploitation de l'hôtel en termes de dépenses énergétiques et d'utilisation de l'eau, l'hôtel étant un lieu peu favorable à la maîtrise de ces consommations.La difficulté de recrutement du personnel qui rend encore plus critique la simplification de son exploitation.Son insertion dans le contexte urbain et sociétal, son rôle et sa symbolique dans le monde d'aujourd'hui. Le renouvellement du concept d'hôtel et le développement de nouveaux usages apparaissent comme des axes essentiels.Fort de tous ces enjeux, l'architecture de l'hôtel est l'occasion de dessiner des lieux emblématiques, riches voire surprenants.C'est la raison pour laquelle il est l'objet de la seconde session du concours Archi Jeunes.Un jury d'exceptionDenis Valode & Jean Pistre ont réuni autour d'eux un jury exceptionnel, des personnalités dont les fonctions, les sensibilités, les enjeux professionnels ou médiatiques leur permettent de s'interroger sur le futur de l'hôtel urbain, ses rôles, ses nouveaux impératifs.David Abiker, journaliste chroniqueurAurélien Bellanger, romancier et chroniqueurElena Fernandez, architecte associée Valode & PistrePierre Hermé, chef pâtissier-chocolatier, fondateur de la Maison Pierre HerméÉlizabeth Lazaroo, journalisteMarylou Machecourt, lauréate ArchiJeunes I, architecte Valode & PistreRodolphe Parente, architecte d'intérieur, designerBrune Poirson, ancienne ministre, directrice du développement durable Groupe AccorSerge Trigano, co-fondateur de Mama Shelter et Mama Works, ancien Président du Club MedCes onze regards croisés devront choisir les 5 lauréats, en jugeant les propositions sur leur originalité et leur créativité, sur les qualités et la pertinence du projet présenté au regard des enjeux soulevés, sur la crédibilité du projet, sa capacité à devenir réalité, ou encore sur la qualité et la clarté des documents présentés.5 Lauréats à distinguerLes cinq lauréats se verront décerner un prix allant de 8 000€ à 3 000€. Les deux premières équipes auront l'opportunité d'intégrer Valode & Pistre. L'agence a en effet développé depuis plusieurs années de nombreux projets d'hôtels en France et à l'international, allant d'hôtels de grand luxe comme le Bulgari à Paris à des hôtels économiques avec Eklo. Cette expérience témoigne que l'hôtel est un lieu où l'architecture doit prendre une place très prégnante et qu'il doit trouver un rôle significatif dans la cité.Tous les lauréats bénéficieront d'une exposition médiatique et leurs projets seront exposés pendant une période de 2 mois au sein de l'agence Valode & Pistre et seront visibles sur le site Internet de l'agence et sur ses réseaux sociaux.Toutes les informations relatives au concours sont à retrouver sur le site : www.archijeunes.com
Il y a 2 ans et 157 jours

JO-2024 : trois mois de retard pour la livraison de l'Arena

Alors que le calendrier initial prévoyait une livraison de l'Arena à l'été 2023, la Ville mise désormais sur une livraison "à la fin de l'année, en décembre 2023, pour une ouverture en janvier 2024", a indiqué à l'AFP l'entourage de l'adjoint aux sports et aux JO Pierre Rabadan.Un nouveau calendrier confirmé par la Société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo), pour qui ce retard "n'a pas de conséquence sur le calendrier olympique", a indiqué un porte-parole à l'AFP.Située dans le nord de Paris, à la limite avec Saint-Denis, l'Adidas Arena, baptisée ainsi en vertu d'un contrat de naming, et ses 7.800 places doivent accueillir les épreuves de badminton et de gymnastique rythmique pendant les JO."Le Covid, les soucis d'approvisionnement liés à la guerre en Ukraine et l'inflation" expliquent ces "trois-quatre mois" de retard, selon la première source à la mairie, qui détient la maîtrise d'ouvrage.C'est le premier retard assumé sur les chantiers olympiques, de légers retards attribués à la pandémie de Covid-19 mis à part.Ce décalage aura toutefois des conséquences sur l'occupation du complexe durant la saison sportive pré-olympique, et notamment l'organisation de compétitions préparatoires, les "test events".Ainsi, l'édition 2023 des internationaux de France de badminton est-elle maintenue au stade Pierre-de-Coubertin (XVIe), les discussions sur l'édition 2024 étant "en cours", précise l'entourage de Pierre Rabadan.Quant au Paris Basketball, club d'élite qui devait élire domicile à l'Arena dès la rentrée 2023, "il reste à Carpentier", une halle sommaire du XIIIe arrondissement, jusqu'à la fin des travaux, précise la source à la mairie.Cette dernière est en train de voir avec l'exploitant de l'Arena, la société d'exploitation du Palais omnisports de Paris-Bercy (SAE POPB), et le comité d'organisation des Jeux olympiques (Cojo) "si le club commence (à occuper l'Arena) en milieu de saison" ou pas.Cet été, la Ville avait donné un budget actualisé pour la construction de l'Arena, confiée à un groupement mené par Bouygues, de 106 millions d'euros, plus 32 millions pour les projets annexes sur le site.Mais avec la crise énergétique, l'adjoint à la construction Jacques Baudrier constate "depuis trois-quatre mois, une vraie augmentation des coûts de 10 à 15%" ainsi que des "problèmes d'approvisionnement ponctuels" sur certains chantiers, qui occasionnent des retards.
Il y a 2 ans et 158 jours

projets urbains au dessus du peripherique la mairie de paris se pourvoit en cassation

La mairie de Paris a décidé de se pourvoir en cassation auprès du Conseil d’État. Une décision prise à la suite du refus par la justice d’octroyer un permis de construire pour deux projets immobiliers au-dessus du périphérique, dans le XVIIème arrondissement de Paris. Ces projets avaient été annulés, car jugés illégaux en raison du risque pour la salubrité publique, lié à la pollution atmosphérique.
Il y a 2 ans et 158 jours

JO : le chantier de l'Arena de la Porte de la Chapelle a pris du retard

PARIS 2024. La mairie de Paris et la Solideo ont confirmé une information du Parisien, évoquant une livraison du futur ouvrage olympique fin 2023.
Il y a 2 ans et 158 jours

Le directeur général de Legrand dénonce auprès de la SNCF la dégradation de son service

MOBILITÉ. Benoît Coquart, directeur général de Legrand, s'est fendu fin novembre d'un courrier à destination de la SNCF/ TGV-Intercités pointant du doigt la dégradation du service entre Paris et Limoges, ville où est historiquement basé le spécialiste des équipements électriques.
Il y a 2 ans et 158 jours

potager en toiture hotel de ville de paris

Réalisation d'un potager en toiture sur un bâtiment de l'Hôtel de Ville de Paris. Le potager est alimenté en eau par une nappe phréatique artificielle créée avec les blocs nid d'abeille Nidaroof.
Il y a 2 ans et 158 jours

Un projet de pipeline entre Barcelone et Marseille ambitieux mais risqué

En quoi consiste ce projet ?Baptisé "H2Med" ou "BarMar" (contraction de Barcelone-Marseille), ce pipeline sous-marin doit permettre d'acheminer du gaz, puis de l'hydrogène dit "vert" - car fabriqué à partir d'électricité renouvelable - depuis l'Espagne vers la France et le nord de l'UE.Ce projet, annoncé le 20 octobre lors d'un sommet européen, remplace le "MidCat", lancé en 2003 pour relier les réseaux gaziers français et espagnol via les Pyrénées, mais finalement abandonné en raison de son manque d'intérêt économique, de l'opposition des écologistes et de celle de Paris.Quels sont ses objectifs ?Le H2Med vise d'abord à réduire la dépendance de l'Europe au gaz russe, en améliorant les interconnexions gazières entre la péninsule ibérique et ses voisins. L'Espagne et le Portugal possèdent, en effet, 40% des capacités de regazéification de l'UE, mais sont mal reliées au reste des pays membres de l'Union.Ce pipeline permettra surtout, à terme, d'accélérer la décarbonation de l'industrie européenne, en lui donnant accès à une énergie propre produite à grande échelle, l'Espagne et le Portugal se préparant à devenir des références mondiales en matière d'hydrogène vert, grâce à leurs nombreux parcs éoliens et photovoltaïques.Pourquoi Marseille et Barcelone ?Selon les promoteurs du projet, cette connexion est "l'option la plus directe et la plus efficace pour relier la péninsule ibérique à l'Europe centrale".De fait, Barcelone accueille "l'un des plus gros terminaux méthaniers" de l'UE et occupe "une place de choix dans le réseau gazier espagnol", souligne auprès de l'AFP José Ignacio Linares, professeur à l'Université Pontificia Comillas de Madrid.Marseille, quant à elle, est bien connectée au réseau français. Elle constitue aussi une porte d'entrée intéressante pour desservir la vallée du Rhône, l'Allemagne, voire le nord de l'Italie, régions industrielles appelées à devenir de fortes consommatrices d'hydrogène vert.Quel tracé ?Le tracé exact du pipeline n'a pas encore été communiqué, mais "le plus logique" serait qu'il "suive la côte", afin d'éviter les zones sous-marines trop profondes, estime M. Linares.Dans ce cas de figure, le H2Med ferait environ 450 kilomètres. Mais un tracé légèrement différent n'est pas exclu, les responsables du projet devant trouver "les terrains les plus stables possibles", quitte à s'éloigner un peu de la côte, précise le chercheur.Quel coût et quel calendrier ?Dans un récent entretien au quotidien espagnol El País, la ministre française de l'Energie, Agnès Pannier-Runacher, a évoqué une mise en service en 2030. Son homologue espagnole, Teresa Ribera, a, quant à elle, parlé d'un délai de "cinq, six ou sept ans".Le coût du projet, en revanche, n'a pas été dévoilé. Mais selon l'European Hydrogen Backbone (EHB), réseau d'opérateurs du secteur, un kilomètre de pipeline d'hydrogène sous-marin coûte entre 3,7 et 4,8 millions d'euros, ce qui laisse entrevoir une enveloppe avoisinant les deux milliards d'euros.Paris, Madrid et Lisbonne espèrent financer en grande partie ce projet sur fonds européens.Quels obstacles ?Le H2Med se heurte à plusieurs difficultés techniques, liées en partie à son caractère inédit. "Un +hydrogénoduc+ sous-marin à cette profondeur, à cette distance, cela n'a jamais été fait", souligne Gonzalo Escribano, expert du centre d'études espagnol "Real Instituto Elcano".Pour José Ignacio Linares, l'un des principaux problèmes tient à la nature de l'hydrogène, un gaz constitué de petites molécules susceptibles de s'échapper par les jointures du pipeline et, par ailleurs, extrêmement agressives - donc susceptibles d'entraîner des problèmes de corrosion.Mais ces problèmes "ne sont pas insurmontables", souligne cet ingénieur de formation. "Il suffit d'installer une membrane à l'intérieur du tuyau, une sorte de plastique, pour éviter que l'hydrogène ne s'échappe ou n'attaque" le métal, ajoute-t-il.Quel avenir ?Le véritable risque, pour les experts, porte sur la viabilité économique du projet. S'agissant d'une technologie balbutiante, "on ignore quand le marché de l'hydrogène vert prendra son essor, quand on sera en mesure d'en produire suffisamment pour l'exporter", explique M. Escribano.De quoi transformer la construction du H2Med en pari industriel. "Le problème, c'est que les délais de construction d'un pipeline sont tellement longs qu'on ne peut pas se permettre d'attendre. Sinon, on se retrouvera avec une importante production d'hydrogène qu'on ne pourra pas exporter", rappelle M. Linares.
Il y a 2 ans et 158 jours

Portzamparc à l’Institut pour le Prix Charles Abella

Christian de Portzamparc est lauréat du Prix Charles Abella 2022, décerné par l’Académie des beaux-arts. A cette occasion, 27 dessins des projets de l’architectes sont présentés à l’Institut de France (Paris VIe). Jusqu’au 22 janvier 2023. L’exposition à l’Académie des beaux-arts à Paris offre la découverte de certains dessins et croquis originaux, de maquettes présentant […] L’article Portzamparc à l’Institut pour le Prix Charles Abella est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 159 jours

jeux olympiques de paris 2024 87 accidents du travail recenses en 2 ans

Dans un contexte où les conditions de travail sur les chantiers de la Coupe du Monde au Qatar ont fait beaucoup parler, l’inspection du travail dévoile un bilan des accidents sur les chantiers des Jeux Olympiques de Paris 2024 (JOP 2024). En près de deux ans, 87 accidents ont été recensés.
Il y a 2 ans et 159 jours

la rehabilitation de la maison de radio france s acheve enfin

Décembre 2022 signe la fin du chantier pharaonique de la réhabilitation du bâtiment de Radio France. Conçue par Architecturestudio et achevée par SRA Architectes, la rénovation de Maison de la Radio et de la Musique, figure emblématique du paysage parisien, s'est terminée avec un coût total de 493 millions d’euros hors taxe.
Il y a 2 ans et 159 jours

L'Observatoire national du cadre de vie dévoile les résultats de son Baromètre annuel

L’Ordre des géomètres-experts, le Conseil national des architectes, l’OPQU, l’UNAM, l’Association Française Interprofessionnelle des écologues, la Fédération des SCOT, l’OFB et le pôle habitat de la FFB ont présenté la nouvelle enquête réalisée par OpinionWay. Les résultats de ce Baromètre permettent de comprendre comment les Français perçoivent leur cadre et de vie et de livrer des indicateurs sur les principaux facteurs de satisfaction chez eux ou au travail.En 2021, OpinionWay avait déjà réalisé un premier Baromètre pour l’ONCV, particulièrement marqué par les effets de la pandémie. Réalisée auprès d’un échantillon de plus de 1.000 personnes représentatif de la population, cette enquête permet de suivre le rapport des Français à leur cadre de vie en fonction de leur région, leur lieu d’habitation (agglomérations, villes moyennes et communes rurales), leur âge et leur catégorie socio-professionnelle. Le Baromètre est segmenté en 3 parties : « les perceptions du cadre de vie actuel », « les critères les plus importants dans le choix de son cadre de vie » et « l’impact du changement climatique sur le choix du cadre de vie ».Des Français attachés au confort de leur logement et à la proximité des services de santé, mais qui souhaitent préserver leur pouvoir d’achat Sans surprise, « le confort et la qualité de leur logement » demeure le premier critère d’importance du cadre de vie pour les Français (61%), en progression par rapport à 2021 (+4 points). Viennent ensuite le calme (55%, +2 points) mais aussi la sécurité, en forte hausse (54%, +5 points). Ce dernier critère est plus important pour les personnes âgées de 65 ans et plus (63%), les habitants de villes moyennes (62%) et les personnes vivant dans un quartier proche du centre-ville (58%).En période de forte inflation, deux Français sur cinq mentionnent « l’argent et le pouvoir d’achat » comme un élément important lorsqu’on évoque leur cadre de vie, et ce critère est en forte hausse (41%, +11 points).Dans une période où les pouvoirs publics sont en recherche de solutions pour remédier à la désertification médicale, la proximité des services de santé est un autre critère qui prend de l’importance pour les Français (41%, +12 points). 23% d’entre eux considèrent même que cette proximité est indispensable pour leur cadre de vie. Sept Français sur 10 (69%) estiment d’ailleurs qu’il est tout à fait prioritaire de disposer d’un médecin généraliste à moins de 15 minutes de chez eux, et 65% d’une pharmacie. Les Français qui jugent prioritaire la présence d’un médecin généraliste sont plutôt des personnes âgées de 50 ans et plus (76% contre 61% des personnes âgées de moins de 50 ans, voire 52% des personnes âgées de 18 à 24 ans) ou des personnes vivant en province (71% contre 61% des Franciliens). Ces résultats confirment l’enjeu générationnel et territorial des déserts médicaux.Enfin, il convient de relever que les Français jugent leur cadre de vie moins satisfaisant en matière d’offre de services qu’en 2021 (72% de satisfaits et -4 points pour l’accès aux loisirs, idem pour la proximité avec les services de santé). En revanche, d’autres dimension comme la présence de nature (80%, +3 points) ou l’absence de pollution (65%, +2 points) gagnent en satisfaction.Les Français privilégient éloignement du centre-ville et tranquillité… tout en conservant l’accès aux services Alors que la crise sanitaire a suscité des désirs de changement de cadre de vie, plus d’un tiers des Français déclarent vouloir déménager pour gagner en confort (35%, +1 point). Cette aspiration est particulièrement forte chez les femmes (40% contre 30% des hommes), les jeunes (54% des personnes âgées de moins de 35 ans contre 29% des personnes âgées de 35 ans et plus), les actifs (40% contre 29% des inactifs) et les urbains (43% des habitants de l’agglomération parisienne contre 30% des ruraux).Partagés quant à l’idée de se rapprocher de leur travail (53%) ou de leurs proches (46%), les avis des Français sont plus tranchés concernant l’environnement de leur logement : ils penchent pour un logement fonctionnel mais éloigné du centre-ville (75% contre 23% qui, au contraire, mettent la dimension fonctionnelle au second plan par rapport à la localisation en centre-ville). En effet, le besoin de calme est un critère important pour une grande partie des Français. Ces derniers souhaitent voir le moins de personnes possible lorsqu’ils sortent de leur maison/appartement (72%).Enfin, la proximité avec les commerces et les services est un critère ambivalent selon les Français : si 52% d’entre eux préfèrent avoir un espace plus petit mais être proches des services commerciaux, médicaux, etc., l’autre moitié favorise l’espace quitte à s’éloigner des services (46%). Ce clivage s’explique en partie par l’habitude des modes de vie : 86% des ruraux privilégieront leur logement, quand les habitants de l’agglomération parisienne préfèreront l’accès aux services, commerces, soins, etc. (36%, soit +24 points par rapport aux ruraux). À l’avenir, le réchauffement climatique entrera en ligne de compte dans le choix de cadre de vie des Français Interrogés sur les projets de végétalisation dans les villes et territoires, les Français plébiscitent prioritairement la préservation de la biodiversité (59% tout à fait prioritaire), le développement d’espaces naturels près des centres-villes (57%) et la plantation d’arbres, de fleurs dans les espaces publics et chez les particuliers (55%). L’accès à la nature est, en effet, un enjeu important pour 85% des Français (dont 44% tout à fait prioritaire).À cette volonté de végétalisation, de verdure, s’ajoute la question du changement climatique et de ses effets, dont les Français ont pleinement conscience. Bien qu’il n’ait pas encore pesé sur leur choix du lieu de vie actuel (71% dont 39% de non, pas du tout), à l’avenir, le changement climatique va avoir un impact pour les Français dans le choix de leur cadre de vie (57% dont 18% de oui, tout à fait). Une tendance particulièrement marquée chez les plus jeunes, les habitants de l’agglomération parisienne et les personnes qui ont envie de déménager. Ils sont respectivement 69%, 64% et 69% à déclarer que les effets du réchauffement climatique pèseront sur le choix de leur futur lieu de vie.L’augmentation des températures et les canicules, ressenties notamment pendant l’été et l’automne 2022, sont la première crainte mentionnée par un quart des personnes interrogées (25%). Viennent ensuite le besoin d’adapter les équipements du logement (13%) et l’augmentation des catastrophes naturelles (12%).L’impact du changement climatique devient, dès lors, un autre motif pour souhaiter vivre ailleurs : près d’un Français sur cinq déclare qu’il pourrait reconsidérer son lieu d’habitation en fonction de l’évolution du réchauffement climatique (19%, dont 9% dans une autre région ou pays).« Ce rendez-vous annuel permet de capter l’évolution des attentes des Français et livre des indicateurs précieux qui permettent aux collectivités d’affiner leurs politiques publiques et aux acteurs du cadre de vie d’identifier les leviers à actionner pour renforcer l’attractivité des lieux de vie », estime Bruno Jeanbart, Vice-Président d’OpinionWay.Le baromètre annuel du cadre de vie réalisé par Opinionway est disponible ici : LIEN.
Il y a 2 ans et 159 jours

A Roland-Garros, le court Philippe Chatrier doté d’une couverture mobile signée DVVD

La couverture mobile du court Philippe Chatrier du stade Roland-Garros à Paris, un projet signé DVVD Architectes et Atelier Didier Girardet réalisé pour la Fédération française de Tennis, est le projet lauréat des Trophées Eiffel 2022 dans la Catégorie « Dynamique ». Le toit mobile du Court Central permet au tournoi de Roland-Garros la poursuite […] L’article A Roland-Garros, le court Philippe Chatrier doté d’une couverture mobile signée DVVD est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 159 jours

En deux ans, 87 accidents sur les chantiers des JO 2024

SANTÉ/SÉCURITÉ. La direction régionale de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités d'Ile-de-France (Drieets) a dressé un bilan des accidents du travail qui ont eu lieu depuis le début des chantiers liés aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024.
Il y a 2 ans et 159 jours

Christian Bouigeon, nouveau Président du FILMM

Ingénieur diplômé de l’école ESPCI Paris – Ecole Supérieure de Physique et de Chimie Industrielles de Paris – il débute sa carrière en tant qu’ingénieur de recherche au sein du Groupe Saint-Gobain. Il l’a poursuivie dans différentes entités du Groupe en France et en Pologne. Occupant des fonctions de Direction Générale depuis 2004, il a été nommé à la Direction Générale des marques Isover et Placo France depuis mai 2021.Christian Bouigeon et les membres du FILMM souhaitent rappeler le rôle fondamental de l’isolation pour une véritable sobriété énergétique des bâtiments. A l’heure du dérèglement climatique et des crises énergétiques, des décisions fortes doivent être prises sur la rénovation des bâtiments en France en utilisant tous les dispositifs incitatifs et financiers pour passer à l’action.Les adhérents du FILMM (Eurocoustic, Isover, Knauf Insulation, Rockwool, Ursa), produisant tous en France, proposent des laines minérales de verre et de roche permettant de répondre à cette urgence collective.« Je suis très heureux de prendre la présidence du FILMM et de pouvoir m’associer à l’ensemble de ses membres pour valoriser le rôle fondamental que joue l’isolation dans la sobriété énergétique des bâtiments et la réduction de leurs émissions de CO2. » - Christian Bouigeon
Il y a 2 ans et 160 jours

Mobilisation syndicale en janvier si le gouvernement maintient sa réforme des retraites

Les organisations syndicales CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, Solidaires et FSU ont réaffirmé leur opposition à "tout recul de l'âge légal de départ en retraite comme à toute augmentation de la durée de cotisation", dans un communiqué publié à l'issue d'une réunion au siège de la FSU aux Lilas, près de Paris."La jeunesse, déjà fortement touchée par la précarité, serait fortement impactée par ce projet", ajoute ce texte également signé par cinq mouvements étudiants (Unef, Fage) et lycéens (VL, Fidl, MNL).La réforme devrait être présentée autour du 15 décembre. La Première ministre Elisabeth Borne a redit la semaine dernière son intention de repousser l'âge de départ, au motif d'assurer l'équilibre du système.La proposition initiale d'Emmanuel Macron était de repousser progressivement l'âge de départ à 65 ans, mais il s'est dit depuis "ouvert" à un report à 64 ans avec un allongement de la durée de cotisation."Les organisations syndicales et de jeunesse ont d'ores et déjà décidé de se revoir le jour-même des annonces gouvernementales", préviennent les syndicats de salariés et mouvements de jeunesse, qui estiment que "le système par répartition n'est pas en danger" sur le plan financier.Ces organisations "réaffirment leur détermination à construire ensemble les mobilisations, passant en particulier par une première date de mobilisation unitaire avec grèves et manifestations en janvier, si le gouvernement demeurait arcbouté sur son projet"."On a pris date ce soir sur le fait de s'opposer ensemble aux 65 ans, si le gouvernement les confirme", a commenté devant la presse Yvan Ricordeau, secrétaire national de la CFDT."Il y aura forcément une première date au moment de l'annonce officielle de la réforme, courant janvier. Et après il y aura d'autres dates, qui seront construites pour faire en sorte que les salariés (...) s'opposent aux 65 ans" et "que ces dispositions soient retirées du projet de loi", a ajouté le "Monsieur retraites" du premier syndicat français.
Il y a 2 ans et 160 jours

Permis de construire au-dessus du périphérique : la mairie de Paris se pourvoit en cassation

Deux mois après l'annulation par la cour administrative d'appel de Paris des permis de construire des projets "La Ville multistrates" et "Mille arbres" délivrés par la mairie de Paris, cette dernière "a décidé de se pourvoir en cassation auprès du Conseil d'État", a-t-elle indiqué à l'AFP lundi soir.Ces deux projets d'immeubles de bureaux, de commerces, d'habitation, incluant même une crèche pour le second, étaient prévus sur des dalles recouvrant le boulevard périphérique dans le XVIIe arrondissement (nord-ouest), à proximité de la porte Maillot.Les deux permis avaient été annulés par deux jugements du tribunal administratif de Paris du 2 juillet 2021, à la suite de recours émanant notamment d'associations de protection de l'environnement. Le tribunal avait jugé ces permis illégaux, compte tenu du risque pour la salubrité publique lié à la pollution atmosphérique.Début octobre, la cour administrative d'appel avait rejeté l'appel de la Ville et des deux constructeurs, estimant que "le déplacement des polluants issus de la circulation automobile à l'entrée et à la sortie des tunnels créés par les projets entraînera, en particulier, une augmentation de la concentration de dioxyde d'azote aux alentours".Cette décision "ne prenait pas en compte les impacts positifs des politiques de réduction des pollutions à la source mises en oeuvre par la Ville", a expliqué l'entourage de l'adjoint à l'urbanisme Emmanuel Grégoire lundi soir à l'AFP.Parmi ces mesures anti-pollution, la même source cite "l'évolution du périphérique en boulevard urbain et végétal, l'interdiction des véhicules diesel à Paris et sur le territoire de la Métropole en 2024 via la Zone à faibles émissions (ZFE), ou encore la réduction de la place de la voiture en ville".Les élus écologistes, alliés de la maire PS Anne Hidalgo mais en désaccord avec elle sur ses grands projets urbains, notamment sur la manière de transformer le périphérique, ont réagi en demandant à l'exécutif de renoncer à ce pourvoi."Comment peut-on contester une décision de justice qui sauve des vies ?", s'est ému l'élu EELV Emile Meunier auprès de l'AFP."La ville insiste pour mettre en danger la santé de nouvelles populations en construisant des sites pollués", a aussi fustigé Christine Nedelec, présidente de France Nature Environnement (FNE) Paris, l'une des associations à l'origine des recours.
Il y a 2 ans et 160 jours

Les industriels et les distributeurs face au défi de la décarbonation

TABLE RONDE. A l'occasion des Inoha Days, manifestation qui s'est déroulée le jeudi 1er décembre à Paris, les acteurs du nouvel habitat ont échangé sur la stratégie de décarbonation du secteur abordant la planification, le scoring, ou encore le greenwashing. Autour de la table : Weber, Leroy Merlin, l'Ademe, HBF et France Invest.
Il y a 2 ans et 160 jours

Sous les ors des Récollets, le CNR logement ou l’enfumage habituel

Lundi 28 novembre 2022, les ministres de la transition écologique et du logement sont venus ouvrir le conseil national de la refondation (CNR) dédié au logement. Un nouveau débat alors que des propositions sont sur la table chaque mois avec de nouveaux rapports… Rien de neuf. Organisé à Paris au siège de l’Ordre des architectes […] L’article Sous les ors des Récollets, le CNR logement ou l’enfumage habituel est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 160 jours

Cybernétique urbaine, inspiration bionique

L’intérêt pour la gestion de la ville se fait par à-coups, provoqués occasionnellement par une sensibilisation médiatique extraordinaire liée à une péripétie de l’actualité ou à une échéance politique. On s’interrogera aujourd’hui sur les prémices de la science au service de la prospective urbaine à l’usage des futurs candidats aux futurs échéances électorales. Comme tout […] L’article Cybernétique urbaine, inspiration bionique est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 160 jours

Yvelines : de nouveaux logements et de nouveaux espaces publics à Limay

Le département des Yvelines et la communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise transforment le quartier de la gare à...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 160 jours

La ligne 18 du Grand Paris Express a pris son envol

EN IMAGES. Sur le plateau de Saclay, la ligne 18 du futur réseau de transport francilien circulera en aérien. Elle surplombera même le plateau de Saclay puisque les trains circuleront sur un viaduc, dont les travaux sont en cours.
Il y a 2 ans et 160 jours

Réouverture du Terminal 1 de Roissy, rénové et agrandi

Celle-ci "marque symboliquement la fin de la pandémie de Covid-19 pour les aéroports parisiens", a affirmé le PDG du Groupe ADP Augustin de Romanet. Ce bâtiment circulaire flanqué de sept satellites en étoile était fermé depuis mars 2020, au début de la crise sanitaire.Depuis, ADP et ses sous-traitants se sont employés à transformer ces installations pour les adapter aux clients et compagnies aériennes, dont les exigences sont très éloignées de celles de l'époque de l'entrée en service du T1, en 1974."Chaque satellite était devenu trop étroit" pour accueillir les fonctions de sûreté et d'embarquement, et en conséquence "l'expérience passager était fortement dégradée", a expliqué à l'AFP Edward Arkwright, numéro deux d'ADP, qui a porté ce projet depuis son lancement.La solution a consisté à intégrer les surfaces de trois satellites au sein d'un nouveau bâtiment de 36.000 m2, dont 5.600 m2 pour une salle d'embarquement, et 6.000 de surface commerciale.Les voyageurs en partance, après avoir quitté l'anneau central aux surfaces de béton brut caractéristiques, se rendront dans ce bâtiment par un tunnel ondulant sous une des pistes de l'aéroport, repris de l'un des anciens satellites.Ils accèderont à une grande salle d'inspection-filtrage aux équipements électroniques dernier cri, puis par un escalator à la salle d'embarquement proprement dite.Son décor de cuir, de laiton et de marbre, surplombé par de flamboyants lampadaires, s'inspire selon ADP des Années folles décrites par Ernest Hemingway dans "Paris est une fête".Cette transformation a fait l'objet de dialogues entre ADP et l'architecte du bâtiment original Paul Andreu, avant sa mort en 2018, a noté M. Arkwright, le but étant de rester dans sa continuité: "le Terminal 1, on y touche la main tremblante", a-t-il résumé.Hommage à la vision d'Andreu, la façade vitrée du nouveau bâtiment, baigné de lumière traversante, est décorée d'un imposant rappel en sérigraphie de la silhouette opaque du bâtiment originel, juste en face.ADP a investi 250 millions d'euros dans ce projet qui porte la capacité du T1 à 10,2 millions de passagers par an, contre 9 auparavant. Il accueillera des vols de 36 compagnies aériennes, dont Lufthansa, Emirates et United.
Il y a 2 ans et 161 jours

AAVP interroge la conception du logement rue de Tolbiac

Les 88 logements et commerces livrés par AAVP (Vincent Parreira) en 2021 pour Emerige résidentiel surplombent la rue du Chevaleret et la rue de Tolbiac à Paris (XIIIe). L’expressivité des matériaux pose simplement la question essentielle du projet : qu’est-ce que le logement ? Communiqué. Une question simple autant qu’essentielle guide la conception de Tolbiac par AAVP […] L’article AAVP interroge la conception du logement rue de Tolbiac est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 161 jours

Logement : le ministre envisage de "modifier la fiscalité du foncier"

CONSTRUCTION. Le ministre du Logement, Olivier Klein, a exprimé un "gros doute" sur la philosophie actuelle de la fiscalité du foncier. Il s'exprimait ce 5 décembre 2022 en clôture d'un colloque organisé par l'Établissement public foncier d'Île-de-France (Epfif), à Paris.
Il y a 2 ans et 161 jours

La colocation se réinvente pour séduire toutes les générations

Avec ses immeubles de nouvelle génération équipés de salle de coworking ou de restaurants, ses appartements ou maisons rénovés proposant des chambres spacieuses et pléthore de services - salle de sports, de cinéma ou cours de cuisine - l'habitat partagé s'est métamorphosé.Plébiscitée par les étudiants en raison du coût souvent exorbitant de l'immobilier dans certaines villes, il s'ouvre désormais aux actifs "en transition" professionnelle."Les jeunes repoussent leur décision d'acquisition" pour des questions "de budget et de liberté", explique Benoît Joubert, un des cofondateurs de The Babel Community, qui propose des immeubles mixant "coliving", avec de multiples espaces partagés, et coworking pour les entrepreneurs locaux.Il n'est donc plus rare de voir des trentenaires tenter de vivre dans le partage pendant quelques mois pour prendre la température d'une ville, constate Benoît Joubert.C'est ce qu'a fait Pauline, 28 ans. Saisonnière dans l'animation, elle s'est installée en colocation en banlieue de Nantes entre deux contrats à l'automne. "Ça m'a évité les démarches" d'internet, d'électricité et l'achat de meubles, explique-t-elle.Comme un studioLa France a pris le train de la colocation bien après les pays anglo-saxons ou asiatiques. En cause, un "manque de produits" adaptés et la frilosité des propriétaires, dit Sébastien Champion, directeur et fondateur associé du réseau d'agences Colocatère.Si la colocation est largement associée dans l'imaginaire commun au film "l'Auberge espagnole" (2002), ce n'est toutefois pas ce que recherchent les locataires, avertit M. Champion.Et notamment les plus aisés, qui souhaitent profiter, en plus de grandes salles communes, d'espaces privés ressemblant davantage à un studio qu'à une chambre chez l'habitant.Certains restent néanmoins contraints de partager une salle de bain, car le prix de ces nouvelles formes d'habitat partagé, dans des logements décorés et rénovés, avoisine voire égale ceux des studios classiques.Depuis moins de dix ans, les entreprises de colocation ou coliving se sont multipliées et redoublent d'initiatives pour attirer de nouveaux locataires, particulièrement des CSP+.La Casa a choisi de proposer des maisons thématiques pour ses locataires, en majorité des actifs de 30 ans de moyenne d'âge, selon son fondateur et PDG, Victor Augais. Casa "verte" agrémentée d'un grand jardin, Casa "des chefs" pour les gourmets ou Casa "des sportifs" avec salle de sport...Les demandes affluent, avec en moyenne "huit candidatures par chambre" disponible, selon M. Augais.Ouverture aux seniorsCorentin Durin, 26 ans, y a loué une chambre toute équipée quand il a obtenu son premier CDI. "Je suis quelqu'un de sociable, je n'avais pas envie de vivre seul" dans une chambre de bonne ou un petit studio parisien, explique-t-il.Les "services inclus évitaient les problèmes" entre colocataires, détaille-t-il encore, notamment le passage d'une femme de ménage deux fois par semaine dans les parties communes. Financièrement, ces nouveaux habitats peuvent être "plus chers" qu'une colocation classique, confirme-t-il, mais les prestations font qu'il "s'y retrouvait" quand même.Outre ce public de jeunes actifs, Casa doit s'ouvrir au printemps prochain aux seniors, via deux maisons en banlieue parisienne. Une réponse au "besoin" de trouver une alternative aux Ephad, assure Victor Augais.Les personnes âgées "encore autonomes" y partageront des espaces communs en profitant de chambres adaptées.Une idée déjà mise en place par l'entreprise CetteFamille qui offre, en périphérie des grandes métropoles, des colocations de huit seniors, assistés en permanence d'auxiliaires de vie.Cette formule permet de s'implanter "là où les grands opérateurs ne vont pas" et de "faire revenir des services d'aide à domicile" dans les zones rurales "qui sont souvent des zones blanches", relève Paul-Alexis Racine Jourdren, son président et cofondateur.A l'origine, CetteFamille réalisait de l'accueil familial, qui permettait d'orienter un senior dans une famille d'accueil."Mais nous avions beaucoup de demandes et pas assez de familles", détaille M. Racine Jourdren, alors que les personnes âgées réclamaient "de la proximité, de la sécurité et du lien social". C'est finalement la colocation qui s'est imposée.
Il y a 2 ans et 161 jours

Bâtir pour le climat : décarbonez, recyclez, rénovez !

Organisé le 1er décembre au Parc des Princes à Paris par le groupe Infopro Digital, l'événement Bâtir pour le Climat, a été l'occasion...-Bâtiment
Il y a 2 ans et 161 jours

Les seniors quittent les grandes villes à l'approche de la retraite

"Des gens habitant dans de grandes agglomérations quand ils travaillent encore tendent à aller vers des communes moins denses quand ils arrivent à la retraite", a expliqué Ronan Mahieu, auteur de l'étude, basée sur les données démographiques de l'Insee.Le phénomène est patent en région parisienne, où le solde migratoire des 55-74 ans est particulièrement négatif.Les départements abritant les plus grandes métropoles, comme le Rhône, les Bouches-du-Rhône, le Nord ou la Haute-Garonne, voient également beaucoup de seniors partir.Au contraire, ceux recevant le plus de seniors sont massivement situés "au sud-ouest d'une ligne Cherbourg-Chambéry", note l'étude.Le niveau de diplôme joue fortement dans les migrations de seniors. Ceux ayant au moins le bac sont plus nombreux à s'établir dans des communes rurales, alors qu'ils y sont nettement moins présents en général. Les seniors les plus diplômés sont significativement plus nombreux à déménager vers le Sud ou le littoral."Il se peut que ces écarts entre catégories de diplôme aient partiellement à voir avec les différences de prix du foncier, les peu ou pas diplômés étant probablement moins souvent en mesure économiquement de s'établir dans des départements où l'immobilier est cher", note l'étude.Passé 85 ans, en revanche, la mobilité change d'aspect et est bien plus corrélée à la présence de places en établissements médicalisés (Ehpad). L'étude montre que la disponibilité de l'offre de soins n'est en revanche pas un critère décisif d'installation avant l'âge de la dépendance."On n'a pas l'impression que la question de l'accessibilité des soins de santé soit importante dans la mobilité des personnes", a affirmé Ronan Mahieu.
Il y a 2 ans et 161 jours

Emmanuel Macron souhaite développer un réseau de RER "dans 10 métropoles françaises"

C'est sur une vidéo postée sur les réseaux sociaux dimanche 27 novembre que le chef de l’État a annoncé son ambition de créer un réseau de RER dans 10 métropoles françaises en dehors de Paris.
Il y a 2 ans et 161 jours

response de Roger Boltshauser à la galerie d’architecture

L’architecte suisse Roger Boltshauser s’empare de la galerie d’architecture à Paris (IVe) pour conter son approche du matériau terre. Les photographies de Luca Ferrario donnent une résonnance particulière aux bâtiments de l’Helvète. Jusqu’au 14 janvier 2023. La terre, matériau encore peu exploré où tout reste à repenser et à définir anime Roger Boltshauser depuis longtemps, […] L’article response de Roger Boltshauser à la galerie d’architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 161 jours

TotalEnergies se sépare d'un champ pétrolier au Kazakhstan et signe un projet éolien dans ce pays

La vente de la filiale Total E&P Dunga GmbH à une société kazakhe, Oriental Sunrise Corp Ltd, a été signée le 28 novembre, à la veille de la visite à Paris du président kazakh Kassym-Jomart Tokaïev, reçu à l'Elysée par le président français Emmanuel Macron.La participation à hauteur de 60% de TotalEnergies au champ pétrolier de Dunga, situé à terre dans la région de Mangystau, représente une quote-part de production d'environ 7.400 barils équivalent pétrole par jour en 2022, a indiqué TotalEnergies dans un communiqué.Le champ pétrolier était exploité par Total aux côtés d'autres partenaires et faisait l'objet d'un accord de partage de production signé en 1994 avec le gouvernement de cette ancienne république soviétique.Par ailleurs, TotalEnergies a annoncé avoir conclu un accord avec deux partenaires, Samruk-Kazyna et KazMunayGas, "en vue du développement du projet Mirny, le plus grand projet éolien jamais initié au Kazakhstan", selon le groupe français."Ses 200 éoliennes, totalisant 1GW de capacité installée, seront combinées à un système de stockage par batterie de 600 MWh. Le projet fournira à plus d'un million de personnes au Kazakhstan une électricité bas carbone", ajoute-t-il."Ces accords illustrent la stratégie de transition énergétique de TotalEnergies", a souligné le PDG de TotalEnergies Patrick Pouyanné, cité dans le communiqué.TotalEnergies dispose déjà de deux centrales solaires en opération au Kazakhstan représentant une capacité de 128 MW, rappelle le communiqué.Le Kazakhstan dont le président Toakïev, 69 ans, au pouvoir depuis 2019, vient d'être réélu dimanche sans véritable concurrence quelques mois après la brutale répression d'émeutes contre la vie chère en janvier 2022, est au carrefour d'importantes routes commerciales et riche en ressources naturelles.
Il y a 2 ans et 161 jours

Fin du chantier pharaonique de réhabilitation de la Maison de Radio France

"2022 marque la fin d'un chantier historique: la réhabilitation de la Maison de la Radio et de la Musique" dont "l'apparence et l'âme originelles" ont été conservées mais qui a été "modernisée sur les plans technique, avec une remise aux normes du bâtiment, mais aussi technologique", précise Radio France dans un communiqué.Inaugurée en grande pompe par le général de Gaulle en 1963, la Maison Ronde, au 116, avenue du Président-Kennedy à Paris, avait dû être mise en conformité avec les normes anti-incendie et désamiantée.Au total, 90.000 m2 ont été rénovés, dont l'auditorium de Radio France d'une superficie de 2.300 m³ et 1.461 places, 38.000 m2 de bureaux ou le fameux studio 104 qui peut accueillir 856 visiteurs.Les discussions concernant ces travaux avaient démarré en 2005. Il était alors prévu de les lancer début 2006 pour une durée de six ans et un coût d'environ 240 millions d'euros.Le chantier, initié finalement en 2008, avait été épinglé en 2015 par la Cour des comptes qui pointait "une dérive financière" contribuant au "déséquilibre des comptes de l'entreprise" publique.En février 2019, la Cour relevait encore des "allongements de calendrier" - fin des travaux repoussée à 2022 au lieu de 2018 - qui "dégradent le climat social" et "une augmentation continuelle des coûts, désormais portés à 583 millions d'euros".Radio France a souligné vendredi que la rénovation de son bâtiment s'achevait "dans le respect du calendrier établi en 2018 et sans dépassement de budget", soit un coût total de 493 millions d'euros hors taxes.En 2018, "le projet avait en effet fait l'objet d'une mise à jour pour assurer un pilotage efficace, intégrer les nouveaux enjeux numériques, ainsi que les modes de production de demain" et s'adapter "aux aléas inhérents" à un tel chantier, selon la direction.Le conseil d'administration avait alors fixé le coût total maximum de l'opération à 510 millions d'euros, selon un périmètre différent de celui de la Cour des comptes.Un montant que "l'équipe de réhabilitation est parvenue à faire diminuer au fur et à mesure de la modération des risques", a précisé à l'AFP Radio France.
Il y a 2 ans et 161 jours

À Morland, un restaurant vert signé Olk

Kam Bava a étudié l'architecture à l'université de Manchester et à la London Metropolitan University, obtenant son diplôme en 2012. Entre 2009 et 2013, Kam Bava a travaillé au sein des agences David Chipperfield Architects de Berlin, Londres et Shanghai. Puis il a été l'un des associés de Witherford Watson Mann […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 162 jours

Carte blanche à Wang Keping à Guimet

Au musée Guimet (Paris XVIe), l’artiste chinois Wang Keping offre au visiteur sa vision de l’harmonie avec la nature dans le respect de la philosophie taoïste, donnant à voir des œuvres au caractère universel : les femmes et les oiseaux expriment tour à tour la sensualité, l’érotisme, la fertilité, le masculin et le féminin. Jusqu’au […] L’article Carte blanche à Wang Keping à Guimet est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 162 jours

La Fondation Cartier accueille la Vallée de Fabrice Hyber

La Fondation Cartier pour l’art contemporain à Paris (XIVe) présente La Vallée, un accrochage réservé à l’œuvre du peintre vendéen Fabrice Hyber. Dans ses toiles peintes « du bout des doigts », l’artiste français donne à voir le déploiement d’une pensée libre et vivante. Jusqu’au 30 avril 2023. La Vallée est une grande monographie consacrée […] L’article La Fondation Cartier accueille la Vallée de Fabrice Hyber est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 162 jours

A Romainville, des logements en brique signés PietriArchitectes

PietriArchitectes a livré en octobre 2022, Villa Lumea, au cœur d’un projet urbain de requalification du quartier Youri Gagarine à Romainville (Seine-Saint-Denis) réalisé par Brenac&Gonzalez&Associés. Les 37 logements privés du projet (3 315 m²) ont l’ambition de s’inscrire pleinement dans ce quartier en mutation. Communiqué. Ancrée dans une zone géographique dynamique en périphérie de Paris, la […] L’article A Romainville, des logements en brique signés PietriArchitectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 163 jours

A Paris, la Maison Saint-Charles fait place à la mixité sociale

Au cœur du XVe arrondissement parisien, les architectes Marie-Odile Foucras, h2o architectes et Bruno Moal ont achevé en 2021 la Maison Saint-Charles pour Habitat et Humanisme, Seqens Solidarités et Vinci Immobilier. Une belle opération symbole d’une mixité sociale et intergénérationnelle dans un lieu chargé d’histoire. Communiqué. Au cœur de Paris, dans un quartier commerçant et […] L’article A Paris, la Maison Saint-Charles fait place à la mixité sociale est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 164 jours

"Plusieurs scénarios" évoqués pour repousser l'âge de départ à la retraite

Attendu au tournant, l'exécutif reste en retrait. Des onze organisations syndicales et patronales conviées en bilatérales depuis deux mois, seule l'U2P aura été reçue cette semaine par le cabinet d'Olivier Dussopt, pour aborder le très sensible sujet du "financement du système de retraite".Une réunion de deux heures durant laquelle "plusieurs scénarios d'âge et de durée de cotisation" ont été présentés, indique Jean-Christophe Repon, vice-président de la fédération des artisans, commerçants et travailleurs indépendants.Des "simulations sur des variables possibles", basées d'une part sur un report à 64 ou 65 ans de l'âge légal actuellement fixé à 62 ans, et d'autre part sur une durée de cotisation relevée à 43 ans (172 trimestres) d'ici 2035 - comme prévu à ce stade - ou plus tôt.Pas enthousiasmé par la "vision haute" des 65 ans qui lui "paraît difficilement acceptable", le responsable patronal ne cache pas sa préférence pour l'option intermédiaire des 64 ans avec une accélération du calendrier sur la durée de cotisation.A condition cependant de conserver le dispositif permettant déjà à ceux qui ont commencé leur carrière jeunes (avant 20 ans) de partir deux à quatre ans plus tôt. "S'il y a un maintien des +carrières longues+ qui protège nos artisans, on peut voir un recul à 64 ans", estime M. Repon.Quant au rythme du recul de l'âge légal, bien qu'Emmanuel Macron ait à plusieurs reprises évoqué une hausse de 4 mois par an - pour atteindre 64 ans en 2027 puis 65 ans en 2031 - le vice-président de l'U2P a trouvé "les arbitrages moins affinés" sur ce point. En revanche tous les scénarios partent d'une entrée en vigueur dès l'an prochain, pour les personnes nées en 1961, "la génération clé", dit-il."On peut discuter"Des pistes en partie confirmées par Elisabeth Borne dans un entretien au Parisien mis en ligne jeudi soir. La Première ministre y affirme en effet que "la réforme s'appliquera à partir de l'été 2023", en commençant par ceux nés "aux deuxième semestre 1961", et qu'un "report progressif" à "65 ans d'ici 2031" permettrait "de ramener le système à l'équilibre dans les dix ans".Mais "on peut discuter" d'un "autre chemin", assure-t-elle, tout en excluant d'emblée "de baisser le montant des retraites ou d'alourdir le coût du travail par des cotisations supplémentaires". La cheffe du gouvernement s'engage néanmoins à maintenir "l'âge d'annulation de la décote" à 67 ans comme aujourd'hui, ainsi que "le système des +carrières longues+" défendu aussi par les syndicats.Au-delà de ces annonces, aucun document de travail n'a pour l'heure été diffusé aux partenaires sociaux, contrairement aux deux premiers cycles de concertation. Un "support de discussion" a bien été "projeté, mais on ne nous l'a pas donné", précise M. Repon, observant que "c'est la première fois qu'on ne l'a pas".Contacté, le ministère du Travail assure qu'un document de ce type sera bien versé au débat, sans préciser quand. Un signe de la prudence de l'exécutif, alors que les dix autres bilatérales sont toutes regroupées les 7, 8 et 9 décembre, selon les négociateurs contactés par l'AFP.Ce calendrier permet d'enjamber deux écueils: l'intersyndicale du 5, au siège de la FSU, où la question d'une date de mobilisation en janvier sera sans doute évoquée, mais aussi les élections professionnelles dans la fonction publique, qui ont débuté jeudi et s'achèveront le 8.Une fois passés les rendez-vous avec les syndicats, la Première ministre Elisabeth Borne dévoilera ses arbitrages dans le courant de la deuxième semaine de décembre. Juste avant les vacances de Noël, période peu propice à la mobilisation des salariés.