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Il y a 3 ans et 350 jours

Pourquoi les produits en terre cuite permettent de réduire les ponts thermiques ?

Ces déperditions énergétiques engendrent au-delà de l’inconfort dans l’habitat, des factures de chauffage élevées et des émissions de CO2 supplémentaires. Plus un logement est bien isolé, plus ce dernier aura la capacité de limiter les ponts thermiques, et donc de garder la chaleur à l’intérieur du logement.Terre cuite bio’bric : un matériau 100% français naturellement isolant Les solutions constructives bio’bric sont fabriquées à base d’argile ; ressource locale renouvelable extraite à proximité des 9 sites de production répartis en France. La cuisson de l’argile permet de transformer le matériau en terre cuite et de lui conférer un fort pouvoir isolant. La haute performance thermique des briques est liée à leur géométrie, et notamment leurs alvéoles. Plus la géométrie des briques est complexe, plus elles sont isolantes.La performance thermique dans l’enveloppe du bâtiment Plus la résistance thermique de la brique est élevée et les ponts thermiques traités grâce à des accessoires, plus l’enveloppe du bâtiment sera isolée. Les déperditions d’énergie seront significativement réduites et cela permettra de limiter l’épaisseur d’isolant additionnel dans les murs. bio’bric propose ainsi une large gamme de briques allant d’une résistance thermique de 0,75 à 1,5 m².K/W. Elles sont ainsi au minimum 4 fois plus isolantes qu’une maçonnerie traditionnelle non isolante (Rth = 0,2 m².K/W).Des accessoires en terre cuite pour une façade homogèneLes ponts thermiques sont souvent observés au droit des ouvertures et à la jonction des planchers avec la façade. Ils entrainent des problèmes d’inconfort ainsi que des risques de dégradations éventuelles de la construction, comme l’apparition de condensation et de points froids. Le choix d’accessoires comme des planelles isolées ou linteaux / coffres de volet roulant en terre cuite permet d’obtenir une façade 100% terre cuite homogène et une performance pérenne. bio’bric propose des packs associant la brique de mur à ses accessoires en terre cuite pour réduire significativement ces ruptures d’isolation en maisons individuelles et logements collectifs. Début 2020, bio’bric ajoutait à sa gamme de produits la planelle supeRmax ; meilleure performance du marché avec une résistance thermique de 1,7 m².K/W. Associée à la brique spécial collectif, la bgv’costo th+ (R = 1,5 m².K/W), bio’bric propose le système d’excellence pour la construction de bâtiments à étages : Ψ L9 = 0,26 W/m².K en plancher béton.Pour en savoir plus : cliquez ici.* Source étude UVED
Il y a 3 ans et 351 jours

Le plan de relance continue de monter en puissance

A fin avril, en comptant la baisse des impôts de production, ce sont 30 milliards d'euros qui ont été engagés (c'est-à-dire fait l'objet d'une contractualisation avec un porteur de projet), et environ 20 milliards décaissés, a indiqué le ministère à l'AFP.Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire veut déployer d'ici à la fin de l'année 70 milliards d'euros sur les 100 milliards du plan, répartis à peu près équitablement entre des mesures favorisant la transition écologique, la reconquête industrielle, et la cohésion sociale et territoriale.Sur le volet écologique, 9 milliards d'euros ont été engagés, dont 4 pour la recapitalisation de la SNCF.Le dispositif MaPriveRénov, pour aider les ménages à faire des travaux dans leur logement, a suscité 252.000 demandes entre janvier et avril, après 200.000 en 2020, pour un montant total de 770 millions d'euros.180.000 primes à la conversion et plus de 150.000 bonus écologiques ont désormais été accordés depuis juillet 2020.Sur le volet consacré à la cohésion sociale et territoriale, 9,5 milliards d'euros ont été engagés, dont 2,7 pour le soutien aux collectivités. Le plan "1 jeune, 1 solution" de soutien à l'emploi a bénéficié à 1,5 million de moins de 26 ans à fin avril.Le volet dédié au développement industriel atteint lui des engagements d'environ 5 milliards d'euros (hors 10 milliards de baisse des impôts de production).1,3 milliard d'euros ont ainsi permis à 1.450 entreprises de réaliser plus de 5,9 milliards d'euros d'investissements productifs à fin avril. Près d'une entreprise industrielle sur trois, a déposé un dossier au guichet "industrie du futur", dédié à la numérisation et à la robotisation.Face à l'afflux de demandes, le gouvernement a réabondé de 1 milliard d'euros ce volet, en ponctionnant d'autres enveloppes au démarrage plus lent.Comme annoncé lundi par le Premier ministre, 350 millions d'euros viendront aussi compléter le "fonds friches", également victime de son succès.Ces réallocations se justifient car ces mesures "auront vraiment un impact soit sur la modernisation des entreprises (...), soit en terme d'attractivité des territoires, et ça participe aussi à la branche emploi du plan de relance", justifie-t-on à Bercy.Aucune autre mesure ne sera sacrifiée, assure toutefois le ministère, qui ne précise pas lesquelles ont été ponctionnées mais donne rendez-vous plus tard dans l'année pour faire le bilan des sous-consommations du plan.Un point devrait déjà être fait dès cet été, lors de la concertation voulue par le Président de la République pour "inventer un deuxième temps de la relance".Par ailleurs, alors que des critiques sont remontées sur le manque de lisibilité du plan et la complexité d'accès à certaines mesures, Bercy assure être "à l'écoute", et avoir corrigé le tir.Un guide dédié aux très petites entreprises a vu le jour, certaines procédures d'appels à projets ont été revues, par exemple pour réduire le nombre de guichets d'accès, défend-on au ministère.
Il y a 3 ans et 351 jours

McPhy envisage l'installation d'une méga-usine d'électrolyseurs à Belfort

"Cette future usine aura vocation à jouer un rôle majeur dans le passage à l'échelle industrielle de l'électrolyse", a avancé dans un communiqué Pascal Mauberger, le président de cette entreprise de la Drôme spécialisée dans la production et le stockage d'hydrogène.Belfort est le seul site présélectionné et la décision finale d'investissement devrait être prise d'ici fin 2021 en fonction de "la finalisation des études préliminaires", de "l'obtention des autorisations administratives" et des financements nécessaires, a expliqué McPhy.L'objectif est de démarrer la production dans cette usine de 20.000 m³ au premier semestre 2024.Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire s'est réjoui de cette "excellente nouvelle notamment pour les habitants du Territoire de Belfort", qui a souffert de réductions d'emplois et d'activités sur ses sites phare de General Electric et Alstom."L'hydrogène est source de croissance, d'emplois et de développement industriel pour nos territoires", a affirmé le ministre, rappelant que "la France avait fait le choix stratégique de l'hydrogène en investissant 7 milliards d'euros sur cette technologie d'ici 2030".Environ 400 emplois"A pleine charge", la "gigafactory" de McPhy représenterait "plus de 500 emplois, dont environ 400 en France, et une centaine en Allemagne et Italie", sans compter les emplois indirects qui pourraient en découler, a indiqué l'entreprise.Lors d'une conférence de presse, le maire LR de Belfort Damien Meslot a évoqué "320 postes industriels et 120 postes de bureaux parmi lesquels de nombreux ingénieur et techniciens, mais aussi des ouvriers qualifiés, manutentionnaires, personnel administratifs".Alors que le coût de construction de cette usine est de 30 à 40 millions d'euros, McPhy avait reçu l'engagement d'un soutien à hauteur de 10 millions d'euros du "fonds Maugis" si elle s'implantait à Belfort.Ce fonds destiné à financer la réindustrialisation et la diversification du nord-Franche-Comté, est alimenté par la pénalité de 50 millions d'euros versée par General Electric (GE) pour n'avoir pas créé 1.000 emplois comme promis lors du rachat de la branche énergie d'Alstom en 2015."C'est l'avantage concurrentiel qu'on avait par rapport aux autres régions, je pense que cela a dû peser dans la balance", a estimé Philippe Petitcolin, porte-parole de l'intersyndicale de GE Belfort et président d'Apsiis, une association créée pour susciter la création d'entreprises et le développement de projets dans l'ingénierie de l'énergie à Belfort.La région Bourgogne-Franche-Comté "va mettre presque 100 millions d'euros sur la filière hydrogène" au total et "McPhy bénéficiera aussi de différents dispositifs de la région", a promis le conseiller régional Arnaud Marthey (PS).Belfort a aussi tiré profit d'une "structuration préalable d'un écosystème industriel, de recherche et développement", d'un "bassin d'emplois industriels et d'un environnement attractif" au sein "d'un carrefour de l'Europe", a détaillé McPhy.Vitrine de l'hydrogèneSi le choix de Belfort n'en est encore qu'au stade "des annonces", c'est néanmoins "de très bon augure, car, avec le principal donneur d'ordre, General Electric, qui se désengage, la présence de nouveaux acteurs va permettre de reconstruire un écosystème autour de l'énergie décarbonée, dont l'hydrogène est partie prenante", s'est réjoui M. Petitcolin.Belfort souffre depuis plusieurs années des restructurations successives des deux piliers de l'industrie locale, General Electric et Alstom, avec plus d'un millier d'emplois détruits au gré des fusions d'activités et de projets de diversification mis à mal par la crise sanitaire.L'hydrogène est du coup présenté depuis quelques mois comme une planche de salut pour l'industrie locale, ce secteur jugé d'avenir par le gouvernement français pouvant être un dénominateur commun aux deux filières locales de la mobilité et de l'énergie."On pense que l'implantation de McPhy va attirer un certain nombre d'entreprises qui tournent autour de l'hydrogène" et "en faire une vitrine", espère Damien Meslot.
Il y a 3 ans et 351 jours

Une touche de magie : un emballage pour les produits cosmétiques sans pollution aux microplastiques

Sulapac launches a revolutionary innovation. Today, water-based products can be packaged with a new material, Sulapac barrier, which is bio-based and capable of biodegrading without leaving permanent microplastics in the environment.   The barrier is no longer an obstacle The beauty and personal care products industry represents more than 500 billion USD per year and an annual growth of 4.75% is forecast for this market. This explains the enthusiasm of certain precursors who are eagerly looking for packaging solutions that are more respectful of the environment. Even though water-based emulsions represent around 90% of the cosmetic product market, there is still no alternative packaging for these products that would be able to biodegrade without leaving permanent microplastics in the environment. Sulapac invented a new material for them (patent pending). Sulapac barrier is not only environmentally friendly, it also complies with industry standards. Let’s face it: the tests have given fantastic results. * “I am delighted that we have succeeded in creating a barrier that is both environmentally friendly and suitable for water-based products! Its development and extensive testing took longer than expected, but we are now in a position to formalize the news. We are pleased to offer a truly revolutionary product to our customers with industry leaders as our Partner of Choice for Quadpack cosmetics, ”says  Dr. Suvi Haimi, CEO and Co-Founder of Sulapac. Full range Sulapac also announces the launch of a new flexible material designed for thin-walled pots with excellent impact resistance. Its carbon footprint is low thanks to its ecological design with environmentally friendly components and the profitability of its high capacity production method.  With Sulapac barrier, the company’s trusted partners offer a whole range of jars of different sizes for oleic-based and water-based cosmetic products. They also offer a turnkey solution with support throughout the process. “The new barrier material developed by Sulapac allows us to continue to offer innovations that respect the environment and comply with, or even go beyond, market requirements. From new sizes to state-of-the-art technical solutions, Quadpack is pleased to offer all beauty brands an ever-evolving product line, which is made from the Sulapac ® material  ” ,  explains Pierre-Antoine Henry, Category Manager at Quadpack, Sulapac Partner of Choice for cosmetic products. Sulapac has ensured that the transition from conventional plastics to this new material is as smooth as possible. The material for this turnkey solution can be produced on a large scale with existing plastics machinery. It also benefits from a natural look and feel that sets it apart from the competition. Sulapac is beautiful, functional and respectful of the environment, like nature. Currently, industrial composting is the ideal way to recycle a product made from Sulapac material. It biodegrades without leaving permanent microplastics in the environment. Mechanical and chemical recycling are also possible options, and Sulapac is currently developing a closed circuit system. The Take Back Sulapac pilot will be launched very soon. Sulapac recherche actuellement des marques de produits cosmétiques précurseuses pour se joindre à sa mission qui vise à sauver le monde des déchets plastiques. *La perte pondérale tolérée pour un emballage de produit cosmétique est généralement inférieure à 3 %. La barrière Sulapac a mesuré une perte de 1,3 % dans un pot Sulapac en 4 parties rempli d’émulsion à 40°C, sur une période de douze semaines.   À propos de Sulapac Sulapac® est une innovation primée et brevetée en matériau biologique pour l’économie circulaire. Elle accélère la perspective d’un avenir sans déchets plastiques avec des matériaux respectueux de l’environnement à la fois beaux et fonctionnels. Comme la nature. La société Sulapac a été fondée en 2016 par les Dr. Suvi Haimi, Dr. Laura Tirkkonen-Rajasalo et Dr. Antti Pärssinen. WIRED UK a classé la société parmi les 100 startups les plus prometteuses en Europe. Rejoignez les précurseurs sur sulapac.com. Ensemble, nous pouvons sauver le monde des déchets plastiques.   À propos de Quadpack Quadpack est un producteur international et fournisseur de solutions d’emballages améliorés pour les propriétaires de marques de beauté et sous-traitants. Avec des bureaux et sites de production en Europe, aux États-Unis et dans la région Asie-Pacifique, ainsi qu’un réseau stratégique de partenaires de production, Quadpack développe des gammes sur mesure et personnalisées pour des clients prestigieux, masstige et de la grande consommation. Répertorié sur Euronext Growth à Paris depuis octobre 2019, Quadpack s’appuie sur une main d’œuvre forte de 600 personnes pour construire un monde plus respectueux de l’environnement. Pour des informations complémentaires, visitez www.quadpack.com   Informations complémentaires Suvi Haimi CEO and co-founder of Sulapac Sulapac suvi.haimi@sulapac.com +358 44 029 1203 Antti Valtonen Head of Communications Sulapac antti.valtonen@sulapac.com +358 40 729 4793 Mariam Khan Quadpack Press Service Quadpack mariam@summitmediaservices.com +34 93 265 4463   Multimedia database www.mynewsdesk.com/sulapac/latest_media   Find out more www.sulapac.com
Il y a 3 ans et 351 jours

Saint-Gobain en voie d’acquérir Duraziv en Roumanie

Saint-Gobain annonce son intention d’acquérir Duraziv, groupe roumain spécialisé dans la production d’adhésifs et autres solutions à valeur ajoutée de chimie du bâtiment.
Il y a 3 ans et 352 jours

France Elévateur, acteur de référence de la nacelle sur porteur, acquiert le leader espagnol Movex

Fondé en 1960, l’industriel catalan, réputé pour son savoir-faire, la qualité de ses produits et la compétitivité de son site de production, conçoit et fabrique chaque année plus de 200 élévateurs de 9 à 24m dans tout type de configuration. MovEX vient de doubler fin 2020 ses capacités de production pour les porter à 400 unités annuelles, en emménageant dans un nouveau site de 6.000 m2 à quelques kilomètres de Barcelone.Cette acquisition permet à France Elévateur d’élargir son offre et d’augmenter ses capacités de production dans un marché dont les tendances de moyen terme sont particulièrement soutenues.Dans un secteur qui entame sa consolidation sous l’effet de la croissance des volumes, du mouvement international de normalisation en matière de sécurité et de spécifications, les deux entreprises désormais réunies au sein de FE Group vont conjuguer leurs forces dans un ensemble unique dont le chiffre d’affaires, en croissance organique de +30% cette année, approche les 100 millions d’euros en 2020, et qui emploie 450 salariés exerçant sur des sites industriels ultra-modernes.Le nouvel ensemble dispose d’une capacité de production de plus de 1.600 nacelles par an, d’un savoir-faire technique d’exception, d’un réseau unique de 15 centres de maintenance déployé dans 4 pays de l’Union Européenne, d’une gamme complète de services associés, et de clients prestigieux dans le monde entier.France Elévateur et Movex connaissent un rythme de croissance élevé depuis plusieurs années sous l‘effet de mutations technologiques et sociétales de long terme qui entrainent des investissements importants dans de nombreuses infrastructures de réseaux : émergence des smart cities (éclairage, réseaux, sécurité), déploiements généralisés de la fibre optique en télécoms, plans de rénovation et de renforcement des réseaux de transport et distribution d’électricité, besoins croissants d’entretien des réseaux ferroviaires électrifiés, etc. Les deux sociétés, qui partagent une forte culture d’innovation portée par 40 ingénieurs et techniciens de leurs bureaux d’études, ont la capacité de concevoir à la fois des machines spéciales à exigences techniques exceptionnelles, comme des appareils de série répondant à des standards très élevés de performance et de sécurité, destinés à des usages fréquents dans tous les univers des infrastructures de réseaux aériens.Rappelons que FE Group est un partenaire historique d’EDF, ENEDIS et RTE, pour qui il conçoit et fabrique des nacelles permettant d’intervenir sans coupure de tension sur des lignes portant jusqu’à 730.000 volts ; ainsi que de la SNCF, leurs équipes techniques ayant conçu ensemble le 4’Axe, un combiné ferroviaire autoporté capable de se déplacer sur rail et sur le réseau routier pour optimiser les interventions de maintenance, assurer une sécurité maximum pour les techniciens tout en limitant à la fois les coûts et les interruptions de trafic.Sur un marché extrêmement dynamique, porté par son rythme soutenu d’innovations et doté de solides positions de marché dans quatre pays européens, FE Group a l’ambition d’être l’un des acteurs de la consolidation d’une industrie au cœur des mutations sociétales et techniques des décennies à venir.
Il y a 3 ans et 352 jours

Engie va investir massivement dans les énergies renouvelables

Le groupe veut passer d'une croissance annuelle moyenne dans les renouvelables de 3 gigawatts (GW) actuellement "à 4 GW entre 2022 et 2025, puis à 6 GW entre 2026 et 2030", a-t-il annoncé.Il devrait ainsi disposer d'une capacité totale installée de 50 GW en 2025 et 80 GW en 2030, contre 31 GW aujourd'hui."Aujourd'hui nous sommes vraiment à un moment charnière pour le monde de l'énergie, avec de formidables opportunités qu'Engie peut et surtout va saisir", a assuré lors d'une conférence de presse la directrice générale Catherine MacGregor, qui a pris ses fonctions en début d'année après l'éviction d'Isabelle Kocher."La concurrence est là, elle bouge, elle évolue. Et il faut que nous prenions des mesures importantes pour pouvoir saisir ces opportunités", a fait valoir la dirigeante.Le groupe dévoile en effet ces nouveaux objectifs à l'heure où d'importants concurrents issus de l'activité pétrolière, comme BP, Shell ou Total, se mettent aussi à investir massivement dans l'éolien ou le solaire.Engie veut aussi développer une capacité de production d'hydrogène vert, c'est-à-dire produit à partir d'énergies non fossiles, de 4 GW à l'horizon 2030.Le groupe a annoncé au passage s'engager sur un objectif "net zéro carbone" à l'horizon 2045 sur tous les "scopes", c'est-à-dire en prenant aussi en compte les effets indirects de son activité.L'ONG Reclaim Finance a toutefois jugé qu'"Engie n'entend pas s'aligner sur une trajectoire (de limitation du réchauffement climatique à) 1,5°C" et critique l'absence de détails.Elle critique notamment sa "dépendance" au gaz naturel liquéfié (GNL).Outre les renouvelables et les solutions énergétiques (réseaux urbains de chaud et de froid, production décentralisée d'énergies...), Engie va continuer de s'appuyer sur les infrastructures (comme les réseaux de transport de gaz) et la production thermique (centrales à gaz).En revanche, le groupe confirme son intention de se séparer à terme d'une bonne partie de ses activités de services, renommées "Bright"."La mise en place d'une gestion indépendante de +Bright+ au sein d'Engie au 1er juillet 2021 est une priorité", réaffirme-t-il.Sont concernées des activités d'installations électriques, chauffage, ventilation et climatisation ainsi que les services liés à l'information et la communication. Le périmètre représente 12 à 13 milliards d'euros et 74.000 salariés.A ce stade, les modalités d'une éventuelle cession ou d'une mise en Bourse n'ont pas été détaillées. "Les options de sortie de Bright restent ouvertes", a indiqué Mme MacGregor.InvestissementsSur la période 2021-2023, Engie indique viser au total 9 à 10 milliards d'euros de cessions, ainsi que des investissements de croissance de 15 à 16 milliards d'euros (dont 40-45% pour les renouvelables).L'ex GDF Suez s'est lancé depuis plusieurs années dans une profonde mutation et se veut un champion de la transition énergétique. Le groupe, qui avait accumulé de multiples métiers, cherche aussi à être plus simple et plus lisible.Il s'était engagé en février à sortir du charbon, très polluant et émetteur de carbone, en Europe d'ici 2025 et dans le monde d'ici 2027.Engie a précisé mardi ce qui est envisagé pour ses 10 centrales: 4 fermetures, 4 conversions au gaz ou à la biomasse et 2 cessions.Des solutions "loin d'être satisfaisantes", pour Reclaim Finance, qui réclame des fermetures.Le groupe a aussi déjà acté la sortie progressive du nucléaire en Belgique, où il exploite sept réacteurs. Il prévoit de commencer par la fermeture de Doel 3 en octobre 2022 puis celle de Tihange 2 en février 2023, a-t-il détaillé.Outre ces annonces stratégiques très attendues, Engie a aussi publié mardi des résultats en hausse pour le premier trimestre et confirmé ses objectifs annuels.Ces nouvelles étaient bien accueillies à la Bourse de Paris, où l'action Engie prenait 3% à 13,09 euros vers 16H10, dans un marché en recul de 0,25%.
Il y a 3 ans et 352 jours

Cupa Pizarras s’étoffe

Dans un contexte de pénurie internationale de matières premières et de flambée des prix, Cupa Pizarras, leader mondial de l’ardoise naturelle, vient d’acquérir la carrière Pizarras Lomba (Galice, Espagne). Ce rachat permettra d’alimenter le marché français, en redistribuant de 3 000 à 5 000 tonnes chaque année. Depuis décembre 2020, Cupa Pizarras a fait l’acquisition de deux autres carrières d’ardoise en Galice : Pizarras Gallegas et Proinor. Le groupe s’est également étoffé avec Rinus Roofing Supplies, réseau de distribution spécialiste au Royaume-Uni s’ajoutant à l’enseigne déjà présente dans le groupe Burton Roofing. L’ensemble de ces investissements permettent à Cupa Pizarras de maîtriser 45% de la production mondiale d’ardoise naturelle, avec 20 carrières à son actif.
Il y a 3 ans et 352 jours

L'architecture déconfinée: plongée dans les réserves du Frac Ile-de-France avec Freaks

Les candidatures pour participer à la 39e édition du palmarès de l'Equerre d'argent sont ouvertes ! Proposez vos réalisations avant le 10 septembre 2021. Décernée depuis 1983, le prix organisé par les rédaction du Moniteur et d'AMC a pour objectif de faire connaître le meilleur de la production […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 352 jours

Soprofen : près de 3,5 millions d'euros pour améliorer son outil industriel

INVESTISSEMENT. Le fabricant Soprofen va débloquer près de 3,5 millions d'euros pour améliorer son unité de production, basée à Froideconche en Haute Saône. Un investissement visant à répondre à la forte demande de volets roulants laqués.
Il y a 3 ans et 352 jours

Changement de culture industrielle au SIAAP : DuPont Sustainable Solutions guide le site de Seine Aval vers l’excellence

Paris, le 19 mai 2021 – DuPont Sustainable Solutions (DSS), cabinet de conseil international leader dans la sécurité et la performance opérationnelle accompagne le SIAAP dans un projet de transformation majeure de sa culture industrielle, de son pilotage et de sa performance sécurité sur 3 ans. Organisme créé en 1970, le SIAAP / Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne transporte et dépollue chaque jour les eaux pluviales et industrielles ainsi que les eaux usées de 9 millions de franciliens de 4 départements (Paris, Seine Saint-Denis, Val de Marne et Hauts de Seine). Le SIAAP emploie 1700 agents de la fonction publique dans les 6 usines de dépollution de la région parisienne dont la plus importante d’Europe, Seine Aval dans les Yvelines. Sur 800 hectares, ce site historique du SIAAP, inauguré en 1940, fonctionne sur le principe des boues activées et fabrique du biogaz par méthanisation des boues. Malgré une modernisation récente de l’usine, le site de Seine Aval a connu quelques incidents industriels. Le dernier en date, un incendie dans l’unité de clarifloculation en juillet 2019, a conduit M. Jacques Olivier, Directeur Général du SIAAP, sous l’impulsion de la Secrétaire d’Etat, à lancer un appel d’offres pour réaliser un audit de sécurité industrielle indépendant. Remporté par DuPont Sustainable Solutions, ce dernier vise à maîtriser les risques liés à l’activité de l’usine afin d’assurer la continuité et la qualité de service de Seine Aval.   Seine Aval, un site industriel sensible Compte-tenu de l’évolution de ses process de fabrication, le site de Seine Aval, basé à Achères (78), a été classé Seveso Seuil haut en 2010. Outre les dangers classiques de toute industrie, cette décision a été motivée par deux raisons essentielles : • la présence de biogaz susceptible de créer des atmosphères explosives, • et l’utilisation de réactifs chimiques qui, mélangés, génère parfois un nuage de chlore pouvant se disperser jusqu’à 2 kilomètres depuis son point de départ. « Disposant déjà d’une culture sécurité professionnelle, nous nous sommes efforcés d’améliorer notre sécurité industrielle suite à ce passage en Seveso seuil haut » souligne Jacques Olivier, Directeur Général du SIAAP. Le SIAAP a ainsi déployé à l’échelle du site une politique sécurité renforcée, encadrée par un plan particulier d’intervention protégeant les populations et l’environnement. Grâce à cette première démarche, des progrès ont été constatés mais ceux-ci n’étant pas suffisants, un audit de sécurité industrielle a été engagé.   Un audit de sécurité industrielle mené par DSS autour de 5 thèmes majeurs Afin de cibler les risques et dimensionner les actions correctives, l’audit de sécurité industrielle mené par DuPont Sustainable Solutions a été décomposé en cinq thèmes majeurs qui ont fait l’objet de diagnostics approfondis : 1. prévention des risques d’incendie et d’explosion (ATEX /atmosphère explosive), 2. canalisations et capacités de fluides dangereux, 3. sécurité des installations électriques, 4. sécurité fonctionnelle, 5. gestion des interventions. « Pour nous permettre de définir les causes mais surtout d’engager les actions nécessaires pour progresser et se mettre à un niveau qui garantisse la sécurité de nos agents et des riverains de l’installation, nous avons décidé de changer de braquet » explique Jacques Olivier, Directeur Général SIAAP. « Nous voulions nous comparer aux meilleures pratiques industrielles et existantes dans le monde et l’offre de DSS nous a paru la plus pertinente » ajoute également Pierre Hodot, Directeur de la Sécurité SIAAP. Fondée sur l’héritage industriel de DuPont, l’approche de DSS s’appuie sur plus de 200 ans d’activité qui ont été codifiées sous forme de bonnes pratiques. Indépendant depuis un an, DSS met ainsi son savoir-faire au service de ses clients pour les aider à améliorer la sécurité des personnes au travail et viser l’excellence opérationnelle tout en s’adaptant à leurs besoins. Son approche intègre l’audit, le diagnostic, la formation, l’accompagnement et le coaching. « Nous créons, avec nos clients, de la résilience industrielle : moins d’accidents, plus de sécurité, et amélioration des performances opérationnelles par un meilleur management des actifs et des unités. Nous les conduisons vers un changement et des résultats durables à l’image de notre mission auprès du SIAAP, engagé dans cette dynamique » détaille Mathieu Leduc, Directeur DSS Europe.   Un audit mené en toute transparence Malgré les conditions spécifiques dues à la crise sanitaire sur l’année 2020, l’audit s’est déroulé dans le planning initialement prévu en trois phases ; la première répondant aux objectifs du SIAAP à court terme et les suivantes présentant les actions à mener ultérieurement : • identifier les opportunités d’amélioration, s’aligner et s’engager sur la feuille de route sécurité développée par DSS, • la mettre en œuvre et renforcer le management de la sécurité industrielle pour un impact rapide, • maîtriser et ancrer les nouvelles pratiques pour garantir un changement durable. DSS a réalisé sur site plus de 150 interviews, sans compter l’analyse documentaire, la production des synthèses et des rapports. « L’audit s’est déroulé par une série d’interviews, de rencontres sur le terrain, d’observation de tâches, d’examens d’un certain nombre de documents au cours de comités de pilotage et de projets. Des ateliers de restitution par thématique étaient également organisés » précise Yann Bourbon, Directeur Seine Aval, SIAAP. De l’avis unanime de toutes les personnes impliquées à tous les niveaux de la hiérarchie de Seine Aval et de DSS, l’audit s’est déroulé dans un climat de confiance et de partage essentiel à sa réussite. « Choisir un partenaire bénéficiant d’une reconnaissance internationale a d’ailleurs facilité l’accueil des auditeurs par les agents de Seine Aval qui ont bien compris notre volonté d’obtenir, par tous les moyens, une lecture la plus objective possible de notre niveau de culture sécurité » estime Jacques Olivier, Directeur Général SIAAP. Grâce à un audit aussi approfondi, le SIAAP a pu prendre conscience de sa situation actuelle et des leviers sur lesquels il allait devoir travailler.   Une prise de conscience collective qui ouvre la voie à un programme de transformation tourné vers l’excellence Véritable révélation pour l’ensemble des équipes de Seine Aval, cet audit a permis une prise de conscience collective et d’inscrire la sécurité au cœur de toutes les instances de pilotage. Le SIAAP a ainsi décidé d’initier avec son partenaire DuPont Sustainable Solutions une transformation couvrant à la fois le renforcement de la sécurité industrielle et la mise en oeuvre des recommandations issues de l’audit, et conduisant à une évolution profonde de sa culture managériale industrielle. Ce projet de transformation se déroulera sur 3 ans, adressera principalement le site de Seine Aval et certaines fonctions support au siège, et couvrira les axes suivants : • le développement de l’excellence industrielle via la refonte du Système de Gestion Opérationnelle du Site et de toutes ses interfaces, • le renforcement du Plan de Continuité de Service du SIAAP, adressant les causes majeures d’arrêt d’activité et leurs scénarios d’anticipation, de prévention et de reprise d’activité, • La mise en œuvre de changements organisationnels visant à renforcer le pilotage industriel des activités de Seine Aval et de toutes ses interfaces, • l’amélioration de la conscience des risques industriels de l’ensemble du personnel de Seine Aval, en s’appuyant sur les dernières recherches en neuro sciences relatives notamment à la prise de décision, • le développement de la culture managériale industrielle de l’ensemble des encadrants du Site et de ses interfaces, • l’amélioration de la gestion des risques et de la performance sécurité du site, en renforçant notamment la conformité de certains équipements techniques, processus et procédures sécurité associées « Les conclusions de l’audit sont à la hauteur du travail effectué conjointement par le SIAAP et DuPont Sustainable Solutions. Nous avons désormais un socle solide pour parvenir à l’excellence en matière de gestion des risques et de sécurité. Nous comptons atteindre cet objectif rapidement pour pouvoir renforcer la sécurité des salariés et des riverains du site. Ainsi, nous affichons clairement notre engagement de ce que le SIAAP doit être en tant qu’industriel responsable vis-à-vis de toutes les parties prenantes, à commencer par les franciliens. Renforcer le pilotage industriel, développer la conscience des risques, décliner de façon opérationnelle le Plan de Continuité de Service, améliorer la gestion des risques, voilà autant de défis qui vont prendre forme notamment au travers d’un changement de culture sécurité ainsi que d’une évolution managériale industrielle significative au sein du site de Seine Aval » déclarent Jacques Olivier, Directeur Général du SIAAP et Philippe Leininger, Directeur DSS France. Pour lire le cas détaillé de l’audit industriel et écouter le témoignage des dirigeants du SIAAP, veuillez consulter le site www.consultdss.fr
Il y a 3 ans et 353 jours

Green Tech : Easybéton simplifie le BPE

L’Easybéton est développée et construite par le Vendéen Green Tech. [©Green Tech] C’est pour répondre au nouveau besoin de “BPE en petites quantités” que sont en train de se développer des réseaux de mini-centrales fonctionnant en libre-service. Green Tech est le dernier entrant en date dans ce microcosme naissant. En effet, cet industriel vendéen est en train de lancer sa première micro-unité de production de BPE. « Notre centrale Easybéton permet de délivrer des gâchées allant de 40 à 250 l en moins de 3 mn », résume Hugo Blet, président et co-associé de Green Tech.  L’équipement se décline en deux variantes. La plus compacte s’articule autour d’une petite trémie à ciment de 1 m3, à remplir à partir d’un big bag. Elle est destinée à être installée sur le parking d’une grande surface de bricolage. Dans ce cas, elle ne nécessite qu’une surface au sol de 3,50 m x 8,50 m, soit l’équivalent de 4 places de parking. Pour rendre la centrale fonctionnelle, il suffit d’y connecter une arrivée d’eau, de l’alimenter en électricité et de prévoir un accès à Internet.   Disponible 24 h/24 et 7 j/7 La version “haut de gamme” s’adresse plutôt aux négoces. La différence avec la “compacte” : la présence d’un silo à ciment, d’une capacité de 29 m3en standard. Côté granulats, l’équipement est identique, quelle que soit la configuration : deux trémies d’une contenance unitaire de 2,5 m3. « Nous proposons un système de rehausses pour augmenter le volume de stockage, si nécessaire », reprend Hugo Blet.   Lire aussi : BPE en libre-service L’Easybéton est construite en Vendée, à près de 80 %. Et le solde ? Un malaxeur “Made in China” de 250 l. « Nous avons testé cet équipement, qui est très fiable, et formé un technicien pour assurer le SAV. En plus, nous avons en stock l’ensemble des pièces d’usure nécessaires. » Pour commander son béton, rien de plus simple. Tout passe par un terminal développé en interne. Ce qui rend la centrale accessible en permanence. Le système est intuitif et accompagne le particulier dans son choix, en proposant la formule la mieux adaptée. Après paiement par carte bancaire, le béton est délivré à l’aide d’un petit tapis de distribution. Le professionnel, lui, profite d’une interface plus complète. Le paiement se fait par carte bancaire ou par facturation, si l’entreprise est enregistrée. 
Il y a 3 ans et 354 jours

AGC Glass Europe dévoile son nouveau site web produits : www.agc-yourglass.com

Au cœur d’un écosystème numérique, le visiteur est guidé jusqu’aux produits et services qui lui sont utiles sur base de ses besoins et de ses connaissances. De l’étude de cas aux témoignages d’utilisateurs en passant par des récits d’innovations, autant de contenus qui pourront constituer des sources d’inspiration pour tous les publics du spécialiste de la production verrière AGC : distributeurs et transformateurs, architectes, installateurs ou maîtres d’ouvrages.Navigation simplifiée grâce aux profils d’utilisateursLe nouveau site web YourGlass propose une navigation et des fonctionnalités améliorées pour garantir une expérience utilisateur aisée, précise et pertinente à quatre principaux groupes cibles, qui ont chacun leurs besoins spécifiques : 1) distributeurs et transformateurs, 2) architectes et prescripteurs, 3) installateurs et 4) maîtres d’ouvrages. Après avoir sélectionné leur profil et leur pays, les visiteurs sont guidés de manière conviviale et fluide jusqu’aux informations produits et aux documents qui les intéressent, tout en se voyant proposer des liens directs vers les outils numériques bien connus comme le Glass Configurator.« L’orientation client étant une de nos priorités de toujours, nous voulons sans cesse offrir une expérience utilisateur et client optimale », affirme Denis Ramboux, Directeur Sales & Marketing d’AGC Glass Europe, qui poursuit : « L’un de nos principes de base à cet égard est de proposer les meilleurs outils pour que nos clients soient plus autonomes et efficaces dans leur travail au quotidien – or, le site YourGlass constitue désormais une des pierres angulaires de cette approche. »« Fast, easy and fun » – Rapidité, facilité, convivialitéEn invitant chaque groupe cible à un trajet personnalisé, AGC souhaite mieux guider les visiteurs dans son vaste portefeuille de produits et d’outils. Les distributeurs et transformateurs trouveront sans difficulté les informations produits et les documents qui les intéressent, tout en ayant l’occasion d’explorer des innovations récentes. Les architectes et les prescripteurs trouveront des sources d’inspiration dans des études de cas parlantes et des témoignages d’utilisateurs précis ; ils ont également la possibilité d’explorer des concepts thématiques basés sur différents styles de vie, applications et propriétés du verre, de façon à trouver les meilleures solutions pour leurs projets. Les installateurs pourront en apprendre davantage sur le verre et ses nombreuses applications grâce à des tutoriels et des études de cas pratiques, tout en découvrant une série d’accessoires utiles. Quant aux propriétaires privés, ils pourront explorer les nombreuses applications et propriétés du verre pour un usage utile ou agréable dans leur habitation.« Pour notre transformation numérique, notre mot d’ordre est Rapidité, facilité et convivialité, ou Fast, easy and fun! puisque l’anglais nous permet de communiquer à l’échelle européenne », indique Denis Ramboux. « Notre nouveau site YourGlass adopte cette approche pour chacun des publics auxquels nous rendons service. Et nous n’en sommes qu’au début : à partir du socle que nous venons de construire, l’expérience YourGlass va déployer des trajets encore plus personnels, avec notamment des domaines réservés à connexions privées pour les clients et architectes désireux de disposer de fonctionnalités spécialisées. L’aventure ne fait que commencer ! », conclut-il.Principales fonctionnalitésLe nouveau site est le résultat d’une réflexion stratégique et d’un travail d’analyse mené en équipe avec de nombreuses parties prenantes internes et externes – le but étant de proposer à l’utilisateur la meilleure expérience possible. Parmi les principales fonctionnalités du site :Une expérience utilisateur personnalisée sur la base de quatre profils de navigation ;Recherche aisée de produits et de services par type de verre, principales caractéristiques, style de vie et applications ;Large choix de contenus sources d’inspiration : récits d’innovations, actualités, le Coin des experts AGC, témoignages d’utilisateurs, tutoriels et réalisations architecturales exemplaires, avec de nombreuses galeries d’images ;Actualités par pays régulièrement mises à jour ;Accès direct à des outils en ligne tels que Glass Configurator, catalogues produits et bien d’autres ;Une bibliothèque documentaire complète à la disposition de l’utilisateur et facile à consulter pour télécharger les documents dont il a besoin.Le site est disponible en neuf langues : allemand, anglais, espagnol, français, italien, néerlandais, polonais, russe et tchèque. L’utilisateur peut également choisir son pays ; en fonction du pays choisi, les informations proposées varieront selon la disponibilité des produits sur les différents marchés.Pour explorer le nouveau site d’AGC Glass Europe, rendez-vous sur www.agc-yourglass.com.
Il y a 3 ans et 354 jours

SOPROFEN investit pour monter en puissance sur la couleur

Pour répondre à la demande croissante de volets roulants laqués (+ 50% en 5 ans) et offrir davantage de réactivité et de qualité à ses clients, Soprofen investit près de 3,5 millions d’euros dans son unité de production Soprofen Industrie, basée à Froideconche en Haute Saône. UNE NOUVELLE UNITÉ DE THERMOLAQUAGE Soprofen vient d’investir dans une unité de thermolaquage destinée à laquer tous les profilés aluminium (coulisses, coffres, lame finale) de sa gamme de volets roulants (volets extérieurs, traditionnels et blocs-baies) et ce, afin d’offrir un meilleur rendu et une tenue de la couleur encore plus qualitative. Ce nouvel outil comprend un ensemble d’équipements novateur : un transfert de stockage des pièces à laquer, un système de convoyage suspendu pour l’accrochage des profilés, une station de traitement de surface et de séchage, une cabine de poudrage, et un four. Grâce à ce process, Soprofen entend également renforcer sa nouvelle activité de thermolaquage spécifique au bord de mer, une exclusivité du fabricant qui garantit ainsi une excellente résistance à la corrosion. Gage de qualité et de réactivité, l’intégration de ce savoir-faire s’appuie sur une équipe de 3 personnes qui devrait s’étoffer dans les mois à venir. MODERNISATION DE L’UNITÉ DE LAQUAGE LIQUIDE En parallèle, Soprofen a remplacé son unité de laquage liquide par un nouveau modèle de dernière génération afin de teinter encore plus rapidement sa gamme de volets roulants et avec une qualité de finition supérieure. « Les capacités de cette nouvelle ligne de production vont nous faire gagner plus de 20% de productivité » explique Jean-Michel Paucod, Directeur Général Adjoint Industrie de Soprofen. EXTENSION DU SITE DE PRODUCTION Cet investissement se traduit enfin par le développement de la surface du site. En effet, Soprofen Industrie a réaménagé les ilots de production pour disposer d’un espace total de 600 m2 uniquement destiné au laquage. De quoi répondre à la demande en différentes couleurs de volets avec plus de 700 teintes en stock ! Entreprise innovante et 2ème employeur industriel de sa région, SOPROFEN a bénéficié, dans le cadre du plan « France Relance », d’une aide de l’État à hauteur de 730.000 € pour soutenir ce projet stratégique. https://www.soprofen.fr/
Il y a 3 ans et 354 jours

Saint-Gobain ouvre une nouvelle usine de plâtre en Chine

Saint-Gobain a annoncé le démarrage de la production d’une nouvelle usine de plâtre d’une capacité annuelle de 350 000 tonnes à Yangzhou, dans la province de Jiangsu à destination du marché local de la construction.
Il y a 3 ans et 354 jours

INVESTISSEMENT : SOPROFEN MONTE EN PUISSANCE PAR LA COULEUR

Face à l'augmentation des commandes de volets roulants de couleurs, SOPROFEN investit près de 3,5 millions d'euros dans son usine de production de Froideconche (70).
Il y a 3 ans et 354 jours

Saint-Gobain se renforce dans la production d'adhésifs

ACQUISITION. Le groupe Saint-Gobain est sur le point de s'emparer de Duraziv, groupe roumain spécialisé dans la production d'adhésifs et autres solutions à valeur ajoutée de chimie du bâtiment.
Il y a 3 ans et 354 jours

Le marché des matériaux de construction enregistre un rebond au 1er trimestre qui rassure le BTP

Ce biais sera d'ailleurs amplifié le mois prochain, la comparaison avec avril 2020, quasiment à l'arrêt en raison du confinement, rehaussant artificiellement les tendances. Mais le rebond constaté sur janvier-mars n'apparaît pas seulement “mécanique” et semble traduire la poursuite d'un rattrapage de l'activité, les volumes de granulats et de BPE étant aussi en hausse au regard du quatrième trimestre.Côté construction, les signaux repassent au vert : les mises en chantier de logements se redressent, notamment pour la maison individuelle qui affiche une bonne tenue. L'optimisme des professionnels du bâtiment se confirme, leurs carnets de commandes étant au plus haut, et les promoteurs perçoivent une nette hausse de la demande de logements depuis janvier. Enfin, côté TP, un certain réveil de l'activité se dessine et les carnets de commandes se regarnissent tout doucement.Un mois de mars supérieur à la moyenneLes données provisoires sur le mois de mars montrent un fort rebond de l'activité des matériaux. Comparés au mois de mars 2020 en partie “confiné”, la production de granulats a bondi de +78,5% mais a également grimpé de +8,2% par rapport à février (données CVS-CJO). Au-delà de l’effet de base, l’activité de mars apparaît soutenue puisqu’elle est supérieure de 3,8% à un mois de mars moyen sur ces vingt dernières années. Ainsi, au premier trimestre, la production de granulats enregistre une hausse de 13,9% sur un an mais aussi de +2,4% par rapport au quatrième trimestre. En cumul sur les douze derniers mois,le glissement ressort désormais à -1%. Côté BPE, le sursaut est également marqué avec une progression des volumes livrés de +124,8% par rapport à mars 2020 et de +7% en un mois (CVS-CJO). Comparées à mars 2019, les livraisons sont 12% plus élevées, ce qui suggère aussi un mouvement de rattrapage. Au premier trimestre, les livraisons ont ainsi progressé de +19,4% sur un an et de +1,6% par rapport au trimestre précédent. En cumul sur douze mois, les volumes sont quasiment stabilisés à leur niveau des douze mois précédents (-0,1%). L’indicateur matériaux décrit les mêmes tendances avec une accélération de plus de 20% sur un an au cours du premier trimestre (données CVS-CJO, provisoires), le rebond se constatant également dans le secteur des produits en béton, notamment ceux à destination des TP.Bonne tenue de l'activité dans le bâtimentTout comme les mois précédents, les entrepreneurs du bâtiment, interrogés en avril par l'INSEE, témoignent de leur optimisme sur l'activité à venir. Qu'il s'agisse des perspectives générales comme de leur propre activité, les soldes d'opinion se situent à des niveaux très supérieurs à la moyenne de long terme et, corolaire de ce constat, leurs prévisions d'embauche continuent de se redresser.Le solde d'opinion sur les effectifs prévus a quasiment renoué avec ses niveaux très élevés d'avant crise sanitaire tandis que l'évolution des effectifs passés progresse. Il est vrai que les carnets de commandes atteignent des points hauts jusqu'ici inconnus dans le bâtiment (9,1 mois de travail, soit autant dans le gros œuvre que le second œuvre) et que les goulots de production continuent de se multiplier. Plus de la moitié des entrepreneurs (54,4%) ne peuvent accroître leur activité faute de personnel et 68,3% d'entre eux éprouvent des difficultés à recruter.L'activité récente reste donc très dynamique mais les pénuries de matériaux et autres difficultés d'approvisionnement des chantiers actuellement constatées risquent d'en ralentir le rythme et d'accroître un peu plus les tensions avec, à la clef, un allongement artificiel des carnets.Ces indicateurs seront à surveiller de près dans les enquêtes des mois à venir pour éviter toute surinterprétation des tendances. Du côté de l'activité constructive, il est vrai que les mises en chantier de logements, publiées par le SDES, se sont raffermies au cours du premier trimestre 2021 au regard du trimestre précédent (+3,2%, données CVS-CJO). Comparé au premier trimestre 2020 (avec un effet de base très favorable sur mars en raison du début du confinement), les logements commencés auraient grimpé de +11,9% (dont +19,8% dans le segment de l'individuel pur et +9,8% dans le collectif). On dénombre à fin mars, en cumul sur un an, 366 000 mises en chantier de logements, soit un repli de -3,7% en glissement annuel. Les chiffres de mars des constructeurs de maisons individuelles du secteur diffus confirment ce réveil du marché avec des ventes qui ont rebondi au premier trimestre et une tendance haussière du marché sur un an.Du reste, les permis logements de l'individuel pur et groupé ont bien progressé au premier trimestre (+14,8% et +5,7% respectivement) alors que, pour l'ensemble du résidentiel, il affiche encore un repli de -2,3% sur un an, ce qui laisse le cumul sur douze mois à -15,6% (soit 384 300 autorisations). Le marché de l'individuel bénéficie il est vrai de plusieurs facteurs de soutien : à commencer par l'attachement des ménages pour ce type de logements qui s'est sans doute encore renforcé avec les épisodes de confinement ; les conditions de crédit, ensuite, qui restent exceptionnelles avec des taux d'intérêt en repli (à 1,07% en avril, soit un plus bas historique) et des durées de prêts allongées (230 mois environ). Ainsi, le durcissement des conditions d'octroi des prêts, recommandé par le HCSF fin 2019 puis assoupli fin 2020, a pour le moment pu être amorti par la vigueur de l'offre bancaire… mais il deviendra juridiquement contraignant pour les banques à compter de juillet 2021.La demande de maison individuelle pourrait donc rester soutenue au moins jusqu'à l'été, profitant de conditions bancaires encore très favorables et de prix immobiliers qui risquent ensuite de grimper avec l'arrivée de nouvelles réglementations (RE2020, ZAN) et la pénurie de matériaux. Enquêtés en avril par l'INSEE, les promoteurs confirmaient cette tendance haussière de la demande de logements de la part des ménages, soulignant que l'apport personnel des candidats à l'acquisition avait par ailleurs augmenté au cours des derniers mois.TP : les perspectives s'améliorentInterrogés en avril par la FNTP, les entrepreneurs des travaux publics se montrent plus optimistes qu'en janvier dernier sur leur activité future : le solde d'opinion est ainsi repassé au-dessus de sa moyenne de longue période, notamment pour l'activité auprès de la clientèle privée même si le redressement continue aussi de s'opérer auprès des collectivités locales. Côté carnets de commandes, ils sont également jugés plus remplis qu'en janvier. Pour autant, le manque de demande demeure le principal obstacle qui limite l'activité des entreprises (pour 44% d'entre elles contre 46% en janvier) même si les contraintes de main-d'œuvre refont leur apparition (27% contre 20% en janvier) incitant les chefs d'entreprise à revoir à la hausse leurs effectifs futurs.
Il y a 3 ans et 354 jours

Saint-Gobain se renforce dans la chimie de la construction

L'acquisition de Duraziv, groupe roumain spécialisé dans la production d’adhésifs et autres solutions à valeur ajoutée de chimie du bâtiment permettra à Saint-Gobain d’élargir sa gamme de solutions d’aménagement intérieur et extérieur.
Il y a 3 ans et 355 jours

Vicat annonce une hausse de 15% de son chiffre d'affaires au premier trimestre

Sur les trois mois, l'activité ciment a progressé de 15,1%, celle de béton et granulats de 10,6%, et le reste des activités de services de 22,5%."Dans un contexte sanitaire toujours préoccupant, les mesures mises en place par le groupe dès le premier semestre 2020 lui ont permis de saisir les opportunités de croissance sur ses marchés et de tirer parti des mesures gouvernementales de relance de l'activité économique et du secteur de la construction en particulier", a déclaré son PDG Guy Sidos, cité dans un communiqué mercredi soir.Le groupe a aussi bénéficié d'une "base de comparaison favorable, notamment en France, en Inde et Italie", où le premier trimestre 2020 avait été marqué par l'arrêt brutal des activités au moment des confinements.Le groupe familial, qui emploie plus de 9.000 personnes dans 12 pays (France, Suisse, Italie, Etats-Unis, Turquie, Égypte, Sénégal, Mali, Mauritanie, Kazakhstan, Inde et Brésil), se félicite notamment d'une bonne reprise en France, ainsi qu'aux Etats-Unis et au Brésil.En Egypte, le chiffre d'affaires trimestriel s'est élevé à 15 millions d'euros, en hausse de 33,5% à périmètre et taux de change constants.En Afrique, il a progressé de 13%, à 80 millions d'euros, en raison du "dynamisme" du marché ouest-africain, notamment au Sénégal, ainsi que de la "montée en puissance" d'un nouveau broyeur au Mali.Au premier trimestre, la dette nette du groupe ressort à 1,27 milliard d'euros contre 1,39 milliard au 31 mars 2020.Pour 2021, Vicat note que ses 12 pays d'implantation restent touchés par l'épidémie de Covid-19 mais "à des degrés différents" avec une "volatilité forte" d'activité.Il prévient que les "évolutions défavorables des taux de changes observés en 2020 auront un impact négatif sur l'ensemble de l'exercice 2021", tout comme les coûts de l'énergie attendus en hausse, avec un effet "plus marqué" sur le second semestre.Cette année, le groupe poursuit ses efforts d'investissement, avec notamment la construction d'un nouveau four à Ragland (Etats-Unis) et la volonté d'accroître la capacité de ses outils de production en Inde.
Il y a 3 ans et 355 jours

Ensemble / Architectures Périphériques – Marin+Trottin Architectes

La Galerie d’architecture à Paris propose Ensemble / Architectures Périphériques, une exposition documentant la production de l’agence Marin+Trottin Architectes. Jusqu’au 17 juillet 2021 « Ensemble » c’est une collection de maquettes qui nourrissent et documentent notre production récente, des outils qui permettent d’explorer différentes échelles et des phases d’avancement, d’évolutions et de recherches, mais aussi […] L’article Ensemble / Architectures Périphériques – Marin+Trottin Architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 359 jours

MyProSizer, le logiciel de simulation énergétique pour les professionnels du solaire confirme son succès

Cet outil, qui allie données réelles, études statistiques et algorithmes, permet de simuler au plus près les performances et la rentabilité d’une installation.Depuis sa mise en service, MyProSizer ne cesse d’être amélioré par les équipes R&D de MyLight et connaît un réel succès auprès des installateurs : + 400 % d’utilisation entre janvier et mars 2021.La transition énergétique passera par les professionnelsMyLight Systems est profondément convaincue que la massification de l’autoconsommation solaire passera par les professionnels. Avec MyProSizer, MyLight Systems leur apporte un outil clé en main pour les aider à proposer à leur clientèle des kits solaires parfaitement adaptés à leurs besoins grâce à un calcul de performance énergétique et financière.MyProSizer facilite l’étude de l’installateur et lui permet en quelques clics de : Remettre une étude personnalisée du projet à son client- Étudier différents projets, en faisant varier la puissance des panneauxIntégrer les meilleures technologies, comme les panneaux biverres bi-faciaux ou la batterie virtuelleErgonomique et facile à prendre en main, MyProSizer permet à l’installateur de gagner en efficacité, fiabilité et productivité, tout en apportant de la visibilité et de la confiance à l’utilisateur.MyProSizer, des simulations construites sur des données réellesDepuis plus de 7 ans, MyLight Systems monitore, analyse et gère des milliers de capteurs sur ses sites en autoconsommation. Cette collecte de données en temps réel a permis à l’équipe de Data Science de programmer un logiciel simulant des profils de consommation et de production heure par heure en prenant en compte précisément les différents appareils possibles dans un foyer. Il tient également compte des facteurs météorologiques de chaque localisation sur les 15 dernières années pour être au plus près des conditions réelles. Parce qu’un jour d’été n’est pas un jour d’hiver et que toutes les journées ne se ressemblent pas ! Les algorithmes Green Play d’optimisation ont aussi été intégrés afin de prédire le plus finement possible l’impact de la gestion MyLight Systems sur une installation.Enfin, dernière nouveauté, MyProSizer intègre aussi MySmartBattery, la batterie virtuelle en temps réel.« Pour connaître exactement la rentabilité d’une batterie, il est important de prédire heure par heure lesurplus de production stocké. Sans cette précision, nous ne pouvons calculer le nombre de cycles fait parla batterie donc son taux d’utilisation. » explique Mathieu Bourque, CTO de MyLight SystemsUne croissance de 400% au 1er trimestre 2021Parce qu’une bonne installation commence par un dimensionnement au plus juste, les installateurs ont très vite adoptés l’outil qui représente un gage de fiabilité dans l’estimation énergétique d’une habitation et l’assurance d’une meilleure satisfaction client. MyProSizer connaît une très forte croissance depuis son lancement en 2019. En effet, en 2020, 1 000 simulations mensuelles ont été recensées, soit environ12 000 sur l’année. Sur le premier trimestre de 2021, les équipes de MyLight Systems totalisent déjà près de 12 500 simulations, soit une multiplication par 4 du nombre de simulations.Une tendance qui n’est pas prête de s’inverser puisque le logiciel évolue régulièrement pour suivre les évolutions du marché et les nouveaux cas d’usage des utilisateurs, tels que la recharge d’un véhicule électrique, les pompes à chaleur et autres systèmes de chauffage.« Nous avons commencé par mettre notre expertise en digital au service des auto consommateurs, nous la mettons maintenant au service des installateurs. Le numérique est vraiment au cœur de la transition énergétique ! » conclut Ondine Suavet, directrice générale et co-fondatrice de MyLight Systems.
Il y a 3 ans et 359 jours

Avec les énergies vertes, des besoins en minerais en plein essor

"Cette concentration géographique, les délais pour mettre en œuvre de nouvelles productions minières, la qualité déclinante des ressources dans certaines régions, et les impacts environnementaux et sociaux (des mines)... tout cela génère des préoccupations en terme d'approvisionnement", résume Fatih Birol, le directeur de l'AIE."Ces risques sont réels, mais surmontables", dit-il: tout dépendra de "la réponse des politiques et entreprises", qui "fera que ces minerais critiques permettent une transition vers des énergies propres, ou au contraire créent un goulot pour tout le processus".Voitures électriques, rotors d'éoliennes et autres unités de stockage sont très gourmands en certains métaux: une voiture électrique en demande six fois plus qu'un véhicule à moteur thermique, un site éolien terrestre neuf fois plus qu'une centrale à gaz de taille équivalente, pointe l'AIE.Lithium, nickel, cobalt, manganèse, graphite offrent longévité et efficacité aux batteries, les aimants de turbine font appel à des terres rares, les réseaux exigent du cuivre...Dans un rapport publié mercredi, l'Agence a évalué les besoins futurs, en fonction des évolutions technologiques et du rythme auquel le monde se tournera vers des énergies bas-carbone (charbon, pétrole et gaz générant aujourd'hui les trois quarts du réchauffement planétaire).Selon l'AIE, d'ici 2040 la demande globale du secteur énergétique pour ces minerais pourrait quadrupler si le monde se conforme aux engagements de l'accord de Paris. Ce sera un facteur six s'il tend vers la neutralité carbone pour le milieu de siècle.Pour le seul lithium, la demande sera multipliée par 40, voire 75 - l'électronique grand public n'en est déjà plus le premier consommateur, détrônée par les véhicules électriques et batteries.La production électrique exigera trois fois plus de minerais, tirée par l'éolien offshore et le secteur photovoltaïque. Et plus d'hydrogène, ce sera plus de platine.Anticiper et recyclerAlors que le prix des technologies recule, les minerais devraient prendre une part croissante de leur valeur totale, rendant la filière d'autant plus vulnérable aux variations du marché des métaux.Or, plus que pour le pétrole par exemple, la production est souvent concentrée sur quelques pays. En 2019, la République démocratique du Congo et la Chine ont produit 70% et 60% respectivement du cobalt et des terre rares. Et le raffinage est dominé par la Chine, sur son territoire ou ailleurs."Que se passera-t-il si nous ne prenons garde au sujet minerais? Les prix risquent de grimper de manière abrupte, synonyme de transition plus coûteuse et donc plus lente que nous le souhaitons", dit Fatih Birol."Les chiffres montrent un décalage imminent entre des ambitions climatiques mondiales accrues et la disponibilité de minerais critiques indispensables pour concrétiser ces ambitions", prévient-il, "appelant" les gouvernements à "élargir leur horizons", à ne "pas seulement subventionner voitures électriques ou panneaux solaires, mais penser aussi au revers de la médaille"."En agissant dès maintenant et de concert sur la question des minerais, les gouvernements peuvent significativement réduire les risques de volatilité des prix et de perturbation de l'offre", ajoute-t-il.L'AIE émet plusieurs recommandations: notamment que les États du monde publient leurs stratégies climatiques de long terme, et le détail de leurs actions, pour conforter les investisseurs miniers.La coopération internationale entre producteurs et utilisateurs devrait être renforcée, tout comme les normes environnementales et sociales entourant l'extraction, ajoute l'Agence.Le recyclage aussi doit être promu. "Le plus important ce sont les économies d'échelle, et des designs favorables. Les politiques peuvent l'encourager", a dit à des journalistes Tae-Yoon Kim, l'auteur principal du rapport.Certains États agissent déjà, note Tim Gould, qui a co-dirigé l'étude: "certains cherchent des fournisseurs responsables, d'autres s'intéressent aux investissements. Mais il y a de la place pour faire bien plus".
Il y a 3 ans et 359 jours

Inquiétude des couvreurs face aux difficultés de recrutement, aux prix, et aux disponibilités de certaines fournitures

Si les carnets de commandes sont là, les inquiétudes portent désormais sur des tensions liées au recrutement, aux prix, et aux disponibilités de certaines fournitures (bois de charpente, liteaux, écrans de sous-toiture...).La FFTB a lancé en 2019 un Observatoire de la rénovation en Couverture qui interroge deux fois par an en septembre et février par téléphone 800 artisans-entreprises représentatifs du secteur. Cette quatrième enquête réalisée en février 2021 porte sur un bilan d'activité pour 2020 et sur les perspectives pour le premier semestre 2021.-2,1% : une baisse « contenue » de l'activité 2019/2020Les entreprises interrogées estiment que leur activité Travaux Couverture Rénovation Tuile a subi une diminution de -2,1% au terme de l'année 2020 comparée à l'année 2019, un bilan plutôt meilleur que l'ensemble de l'activité rénovation (en baisse de 9% par exemple selon la note de conjoncture FFB).« La bonne tenue de l'activité rénovation tuile en 2020 peut s'expliquer par plusieurs facteurs» commente Olivier Lafore, en charge de cette étude pour le groupement des tuiliers de la Fédération Française des Tuiles et Briques qui précise «on pense évidemment à la nature des travaux en extérieur qui fait que l'activité est moins impactée par les contraintes réservées aux travaux en intérieur. La rénovation en toiture est aussi plutôt du ressort de l'artisanat, plus mobile et réactif que les grosses structures. La filière a évidemment été frappée par le confinement et l'arrêt brutal des chantiers et des activités des réseaux de négoce en mars 2020. Les fabricants ont procédé à l'arrêt progressif de la majorité des lignes de production à partir de cette date mais les stocks constitués avant le confinement ont cependant toujours permis de répondre à la demande des négoces et à la reprise progressive des chantiers. » Olivier LaforeDes entreprises sereines sur leur carnets de commandesLes couvreurs se considèrent donc peu impactés par la crise dans la perspective du 1er semestre 2021 et affichent un niveau de préoccupation faible quant à leurs volumes d'activité : 1,9 sur 5 sur une échelle numérique de 1 à 5.59% des artisans et entreprises déclarent ainsi avoir traversé la crise sanitaire sans conséquence majeure sur l'exploitation. 37% expriment certes une inquiétude mais poursuivent normalement leur activité. Seul 3% de l'ensemble des structures sondées déclarent une forte inquiétude qui serait susceptible de conduire à un redressement, voire un arrêt de l'exploitation.Des perspectives 2021 dynamiquesLes prévisions pour le premier semestre s'établissent en moyenne à +1,2% par rapport au second semestre 2020. On notera cependant que l'Ile de France (-0,1) et surtout le Nord-Est (-1,6) sont nettement en décalage avec les autres régions. Le contexte sanitaire de février 2021 et les annonces de reconfinement qui émergeaient à cette période peuvent expliquer ce décalage sur deux zones denses et durement touchées en 2020.Recrutement et tensions sur certains matériaux : points d'alerteEn effet, 58% des entreprises interrogées déclarent avoir des difficultés de recrutement (+6 pts / sept. 2020) et 72% l'identifient comme un frein à leur développement. « Les difficultés de recrutement sont récurrentes pour les couvreurs et s'y ajoutent actuellement des tensions sur certaines fournitures notamment bois de charpente, liteaux... Nous redoutons que ces difficultés bloquent la reprise dont nous avons tous besoin. »Olivier Lafore
Il y a 3 ans et 360 jours

L'économie française sur les rails pour atteindre 5% de croissance en 2021, selon la Banque de France

D'une manière générale, "les entreprises sont plutôt dans une dynamique de progression de leur activité par rapport aux mois précédents", a estimé le directeur général de la banque centrale française, Olivier Garnier, lors d'une présentation à la presse.Au vu des réponses fournies par 8.500 entreprises interrogées entre le 28 avril et le 5 mai, le niveau d'activité a été en avril inférieur de 6% à celui d'avant la crise du Covid-19, soit un point de mieux que dans le résultat de la précédente enquête réalisée il y a un mois.L'impact des dernières mesures de restriction sanitaires aura donc été légèrement moindre que celui des mesures effectives au mois de novembre (-7%), malgré la fermeture des écoles.En mai, avec la réouverture programmée de tous les commerces, des terrasses, musées, cinémas et théâtres à compter du 19 du mois, l'activité devrait revenir à -4% par rapport aux niveaux de janvier et février 2020.Ce qui fait qu'en l'absence de nouveau rebond épidémique, "notre scénario de croissance" à 5% pour 2021 "est plutôt confirmé", selon Olivier Garnier.D'ailleurs l'acquis de croissance à la fin mai, c'est-à-dire la progression du produit intérieur brut (PIB) sur l'année si l'activité stagnait sur les sept derniers mois, serait déjà de "près de 4,5%", a ajouté M. Garnier.Le gouvernement a lui aussi un objectif de croissance de 5% pour 2021 et table sur un retour au niveau d'activité de l'avant-crise au premier semestre 2022.L'enquête de la Banque de France montre que les services aux entreprises ont mieux résisté en avril que les services de proximité en général et que "dans le secteur du bâtiment, l'activité est quasi stable, très proche de son niveau d'avant-crise, selon les chefs d'entreprise interrogés", avec des carnets de commandes particulièrement bien remplis qui dépassent leurs niveaux déjà très élevés de 2019.Dans l'industrie, la situation est contrastée selon les secteurs.Le taux d'utilisation des capacités de production progresse légèrement, de 80% à 81% entre mars et avril, mais recule de 81% à 77% dans l'automobile en raison notamment de difficultés d'approvisionnement qui ont frappé ce secteur au niveau mondial.Problèmes de redémarrageEn effet la reprise de l'économie mondiale "se traduit par des tensions sur certains types de matières premières ou dans des secteurs type semi-conducteurs", tensions "doublées du fait que les entreprises avaient plutôt déstocké durant la crise", a expliqué M. Garnier.Mais cette difficulté qui affecte aussi d'autres secteurs industriels ainsi que le bâtiment, vient selon lui "plus d'un problème de redémarrage que d'un problème structurel durable".Coté positif, avec une reprise économique plus précoce en Asie et aux Etats-Unis qu'en Europe, "l'activité industrielle est sans doute pas mal tirée par l'activité mondiale", a encore relevé le directeur général de la Banque de France.Sur l'inflation, il a jugé que "les hausses de coûts des intrants, surtout si elles sont transitoires, vont plutôt affecter les marges des entreprises plutôt que les prix".En matière d'emploi enfin, Olivier Garnier a estimé qu'avec la reprise, un retour des difficultés de recrutement que les entreprises connaissaient avant la crise n'était pas exclu.
Il y a 3 ans et 360 jours

AC Environnement se met en ordre de bataille pour conquérir de nouveaux marchés

AC Environnement a engagé un important projet de transformation de son organisation et ses process qui se concrétise par la mise en place d'un nouveau comité de direction expérimenté, et par le déploiement d'une stratégie digitale à grande échelle de ses process et de ses outils. Malgré un chiffre d'affaires en baisse de 20% environ, le groupe mise sur l'innovation en 2021 et prépare de nouvelles offres pour conquérir de nouveaux marchés et atteindre un CA identique à 2019 à hauteur de 57 M€.Comme toutes les entreprises confrontées à une crise sanitaire inédite et sans précédent, le groupe AC Environnement s'est adapté. Au cours du premier confinement qui a marqué l'arrêt de ses activités, le groupe a choisi d'investir dans ses équipes en développant le e-learning pour les faire monter en compétence. Ce sont plus de 15 000 heures de formation cumulées qui ont été dispensées via son centre de formation. Passée cette période, l'entreprise habituée à travailler en milieux contraints s'est alors très vite remise en ordre de bataille sur ses marchés historiques que sont la mesure de l'amiante et les diagnostics immobiliers.« 2020 a été au final une année enrichissante pour nous. Elle a permis de replacer l'humain au cœur de tous nos enjeux. Nous avons su être à l'écoute de nos clients et pour ma part de nos collaborateurs qui se sont formidablement adaptés. Pour preuve nous avons maintenu 100% des effectifs et je m'en réjouis. » Denis Mora, président d'AC EnvironnementAutre défi relevé au cours de cette année, la refonte de son comité de direction. Désormais la taille du groupe et les ambitions de son dirigeant et de ses actionnaires impliquent de structurer, d'organiser et de dimensionner les équipes et les opérations pour répondre aux objectifs fixés. Le nouveau comité de direction est composé de Jean-Baptiste Sebag, directeur général délégué opérations et transformation, Gilles Simionesco, directeur général délégué administratif et financier, Bruno Afresne, directeur général délégué exploitation et commerce et Aurélie Adric, directrice ressources humaines, qui œuvrent aux côtés de Denis Mora, président, à transformer le groupe dans un plan d'actions stratégique à horizon 2024.Autre projet d'envergure entrepris au sein d'AC Environnement sur 2020 : une transformation digitale de son organisation et de ses systèmes à toutes les étapes de ses process, depuis la collecte de la donnée en passant par la production de rapports, l'analyse et la relation client. Elle revêt un enjeu capital pour le développement du groupe à l'avenir. Près d'1 M€ ont été investis dans un nouvel outil ERP tourné vers la collecte de données mais aussi dans l'accompagnement et la formation des équipes à ce nouveau système qui sera opérationnel au troisième trimestre 2021.Une diversification des offres pour répondre aux évolutions réglementaires et conquérir de nouveaux marchés S'adressant historiquement aux bailleurs sociaux, AC Environnement ambitionne d'élargir son portefeuille et vise des clients BtoB en leur proposant une offre diversifiée. En février 2021, le groupe a obtenu la certification MASE qui atteste de la qualité de ses process en termes de sécurité, santé et environnement et lui ouvrent de nouveaux marchés très exigeants (industrie, tertiaire...). A ce stade, seul le site de Riorges, siège du groupe et représentant l'ensemble de ses métiers, est certifié. Prochainement un déploiement dans les agences sera organisé. Par ailleurs, l'année 2020 a également été consacrée à la structuration de l'offre « polluants de l'air » pour compléter l'activité hygiène industrielle pour laquelle le groupe est accrédité COFRAC (Accréditation Cofrac Essai n°1-6001, portées disponibles sur www.cofrac.fr) depuis juillet 2019. Il offre désormais une expertise complète avec la mesure amiante dans l'air intérieur, ambiant et des lieux de travail, la qualité de l'air intérieur (QAI), le radon, et l'hygiène industrielle.2021 sera aussi marquée par le plan de rénovation énergétique des bâtiments lancé par l'État qui prévoit des évolutions règlementaires majeures. Dès juillet prochain, le DPE sera alors opposable et le DTG (Diagnostic Technique Global) deviendra obligatoire pour les copropriétés. Acteur référent sur le marché des diagnostics immobiliers, AC Environnement construit une offre énergie portée par les agences de son réseau pour intervenir sur tous les champs que sont les CEE (Certificats d'Economie d'Energie) pour lesquels une démarche d'accréditation a été entreprise, mais aussi sur l'audit énergétique et la délivrance de DTG. Avec cet élan autour de la rénovation des logements, AC Environnement prévoit d'augmenter son CA de 20% sur ce segment de marché.Cette diversification concerne aussi son réseau de franchises. Créé en 2018, il compte aujourd'hui 14 agences et le groupe ambitionne d'ouvrir 40 nouvelles franchises en milieu rural d'ici 3 ans pour accompagner le développement du marché de l'immobilier et être au plus près de ses clients BtoB.Le BIM : AC Environnement crée une filiale pour démocratiser la digitalisation du bâtiment Au cours du mois de mai, le groupe lancera une nouvelle filiale dédiée à la digitalisation du bâtiment, nommée DIGILIANCE et constituée d'une équipe de 12 personnes. Cette structure portera l'ambition du groupe, à savoir accompagner ses clients gestionnaires de patrimoine immobilier existant, dans l'optimisation de leurs budgets gestion-exploitation-maintenance et de travaux. Cela passe par une meilleure connaissance de leur bâti, notamment à travers l'exploitation des données techniques captées lors de la réalisation de diagnostics règlementaires et connectées puis valorisées à travers la représentation numérique du bâtiment. Via DIGILIANCE, AC Environnement propose une solution technique permettant d'intégrer l'ensemble des données disponibles quelle que soit leur provenance et libre d'accès pour ses clients afin qu'ils puissent gérer eux-mêmes le carnet numérique de leur bâtiment. « En tant que diagnostiqueur, nous collectons des milliers de données chaque jour. Nous souhaitons apporter de l'intelligence dans la gestion de ces données et dans leur exploitation au service de nos clients. Nous étions des pionniers à associer le diagnostic immobilier et le BIM lorsque nous nous sommes lancés il y a 3 ans. Aujourd'hui, nous repensons notre offre centrée désormais sur l'interopérabilité entre tous les systèmes BIM pour accélérer son développement et faciliter la prise en main par nos clients. » Denis Mora
Il y a 3 ans et 360 jours

Lancement de la 3e édition de l'appel à projets urbains innovants « Inventons la Métropole du Grand Paris »

« Inventons la Métropole du Grand Paris » (IMGP) s'est imposé comme le plus grand concours d'architecture et d'urbanisme d'Europe. Les deux premières éditions ont suscité une immense mobilisation, preuve de l'attractivité du territoire métropolitain. Forte de ce succès, la Métropole lance une 3e édition comprenant plusieurs nouveautés. IMGP 3 s'inscrit dans la continuité des deux précédents concours, mais aussi dans la dynamique du plan de relance métropolitain et du Contrat de Relance et de Transition Ecologique (CRTE), que la Métropole a signé avec l'Etat en mars dernier.3 thématiques phares pour cette 3e édition !Organisée en lien avec l'Etat, la Société du Grand Paris, la Banque des Territoires et la Foncière de Transformation Immobilière d'Action Logement, IMGP 3 s'articule autour de trois thèmes, visant le renouvellement de la ville, pour un territoire durable, équilibré et résilient.La reconversion de bureaux en logements et la mutation du bâti existantCe thème privilégiera l'identification de fonciers bâtis vacants : bâtiments tertiaires, d'activités, commerciaux et bâtiments publics. Le déploiement et la généralisation du télétravail induit par la crise sanitaire a considérablement modifié les manières de travailler et pose la question du devenir de ces immeubles de bureaux.La reconversion des friches urbainesIl s'agira de terrains nus, ou occupés en minorité par un bâti obsolète, déjà artificialisés, ayant perdu leur usage ou affectation (friches économiques, commerciales, industrielles, sites militaires délaissés, grands équipements ou infrastructures ferroviaires et routières, à l'exclusion des friches agricoles).L'aménagement des quartiers de gareCette thématique comprend tout type de fonciers situés autour de gares existantes ou futures, notamment les gares du Grand Paris Express. De grandes nouveautés et un objectif affirmé de rééquilibrage territorial, d'attractivité et de transition écologique Les projets retenus dans le cadre d'IMGP 3 devront viser prioritairement des objectifs d'accompagnement du renouvellement urbain et des mutations du territoire métropolitain par la requalification du bâti existant, la production de logements, la réduction de l'étalement urbain par une limitation de l'artificialisation des sols et la mixité programmatique et fonctionnelle.Par ailleurs, forte des retours d'expérience des deux premières éditions, la Métropole du Grand Paris tient à compléter l'appel à projets en y apportant des nouveautés portant sur la possibilité de proposer des fonciers appartenant aux propriétaires publics, parapublics ou privés, une sécurisation et une simplification de la procédure et un suivi renforcé durant toute la durée des opérations.« Inventons la Métropole du Grand Paris s'est imposé comme le plus grand concours d'architecture et d'urbanisme d'Europe. Cette 3e édition sera à nouveau organisée en lien avec l'Etat, la Société du Grand Paris et la Banque des Territoires, partenaires historiques d'IMGP. Dans la dynamique du plan métropolitain de relance, ce concours vise notamment à soutenir le secteur de l'immobilier et du bâtiment afin de créer de la richesse, de la valeur ajoutée et de l'emploi. Comme cela a été le cas pour les 77 sites des deux premières éditions, nous permettrons à des aménageurs de participer au rééquilibrage territorial, l'un des enjeux essentiels de la Métropole ». Patrick OLLIER, Président de la Métropole du Grand Paris « Les trois grandes thématiques d'Inventons la Métropole du Grand Paris 3 répondent à un besoin réel. Nous allons notamment créer des logements mais aussi repenser et innover pour instituer des espaces de télétravail, de coworking, ainsi que des lieux de vie autour des différentes gares. Pour cela, la Métropole va jouer un rôle d'accompagnateur auprès des maires chargés de ces aménagements » Jacques-Alain BENISTI, Conseiller délégué auprès du Président en charge du suivi « Inventons la Métropole du Grand Paris » et des grandes opérations métropolitaines« L'Etat est heureux d'accompagner Inventons la Métropole du Grand Paris 3 car ce concours est la mise en œuvre concrète d'un des engagements que nous avons pris dans le Contrat de Relance et de Transition Ecologique que nous avons signé le 18 mars dernier. Cette initiative innovante et utile permettra de mieux répondre à la demande de logements, mais aussi de penser la transition écologique et la mixité des espaces urbains. Les thèmes de cette 3e édition sont particulièrement en résonnance avec les politiques publiques de l'Etat ». Pierre-Antoine MOLINA, Préfet, Secrétaire Général aux Politiques Publiques de la Préfecture de la région d'Île-de-France « La Société du Grand Paris est partenaire de cet appel à projets depuis 2016 et le demeurera de manière accentuée pour cette 3e édition qui portera spécialement la thématique de l'aménagement des quartiers de gare du Grand Paris Express, une question majeure qui doit être abordée en partenariat avec toutes les parties prenantes et notamment avec les maires. » Jean-François MONTEILS, Président du Directoire de la Société du Grand Paris« La Banque des Territoires est un partenaire de la première heure d'IMGP car nous croyons beaucoup à cette formule, à ce processus souple et ouvert qui permet de fédérer plusieurs acteurs en même temps, au même moment, sur un même projet : des start-ups, des grandes entreprises, des promoteurs, des acteurs publics et privés. Capable de fertiliser l'innovation, cet appel à projets impulse une dynamique collective permettant de mettre en valeur et de rendre visible les projets sur l'ensemble des communes de la Métropole du Grand Paris ». Marianne LOURADOUR, Directrice régionale Ile-de-France de la Banque des Territoires « Ce qui caractérise Inventons la Métropole du Grand Paris est la démarche de partage et d'accompagnement portée par la Métropole. Il s'agit d'un facilitateur de projets qui ne remplace pas la volonté politique des maires mais reste un levier fort permettant de mettre en place des aménagements innovants et structurants pour les communes ». Éric CESARI, Vice-président délégué à la Stratégie et aux Partenariats Institutionnels« La Métropole regardera plus particulièrement dans les projets tout ce qui concerne les nouveaux usages et les méthodes innovantes. Nous inviterons les lauréats à la modularité et à la mutualisation des espaces afin de bâtir une Métropole agile favorisant l'innovation. » Geoffroy BOULARD, Vice-président délégué à la Communication et à l'Innovation NumériqueCalendrier prévisionnel de la 3e édition :6 mai 2021 : Lancement de la consultation auprès des communes et partenaires jusqu'au 30 juin 2021Septembre 2021 : Annonce des sites retenus et ouverture des candidaturesPrintemps 2022 : Désignation des lauréatsLes chiffres-clés des deux précédentes éditions :77 sites répartis dans 70 communesPlus de 2860 places de stationnement vélo développées26 projets inscrits dans une démarche d'économie circulaire6,5 hectares dédiés à l'agriculture urbaine15,6 hectares de surfaces végétalisées6,5 hectares d'espaces extérieurs à usage public13 000 logements programmés70% des projets sont situés dans un secteur de renouvellement urbain (secteur de Quartiers Prioritaires de la Ville)66% des projets participent à la mixité sociale10% des surfaces construites sont dédiées aux équipements et aux services46% des projets sont situés dans un rayon d'1 km autour d'une gare du Grand Paris Express
Il y a 3 ans et 360 jours

Équerre d'argent 2021: les candidatures sont ouvertes

Les candidatures pour participer à la 39e édition du palmarès de l'Equerre d'argent sont ouvertes ! Proposez vos réalisations avant le 10 septembre 2021. Décernée depuis 1983, le prix organisé par les rédaction du Moniteur et d'AMC a pour objectif de faire connaître le meilleur de la production […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 360 jours

Levée de fonds de 22,5 M€ pour Ecocem Materials

« Toutes les équipes d’Ecocem sont très enthousiastes à l’idée de tout ce que nous pouvons accomplir grâce au soutien de BEV et de BEV-E », se réjouit Donal O’Riain, fondateur et directeur général d’Ecocem. [©Ecocem] Ecocem, producteur de laitiers de hauts fourneaux et de ciments bas carbone, a annoncé la finalisation d’une levée de fonds de 22,5 M€ auprès de Breakthrough Energy Ventures (BEV) et de Breakthrough Energy Ventures-Europe (BEV-E). BEV désignera aussi un administrateur pour rejoindre le conseil d’administration de l’entreprise. Cette levée de fonds permettra à Ecocem de développer de nouveaux outils, afin de commercialiser de nouveaux produits cimentaires à très faible teneur en carbone dans les années à venir.  « Toutes les équipes d’Ecocem sont très enthousiastes à l’idée de tout ce qui pourra être accopli grâce au soutien de BEV et de BEV-E, se réjouit Donal O’Riain, fondateur et directeur général d’Ecocem. En effet, nous partageons la même conviction que la décarbonation rapide de la production cimentaire est une priorité absolue pour la planète. Cet objectif peut être atteint grâce à l’innovation et à la diffusion de nouvelles technologies. Aujourd’hui, nous pouvons relever ce défi ensemble, avec une ambition forte et une détermination renouvelée. »
Il y a 3 ans et 361 jours

Pureté des formes et humanité de la matière, une extension d'école par Ateliers O-S à Lugrin

Les candidatures pour participer à la 39e édition du palmarès de l'Equerre d'argent sont ouvertes ! Proposez vos réalisations avant le 10 septembre 2021. Décernée depuis 1983, le prix organisé par les rédaction du Moniteur et d'AMC a pour objectif de faire connaître le meilleur de la production […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 361 jours

Pompes à chaleur pour la production d’ECS en logements collectifs neufs : les solutions classiques

Voici des solutions pour produire de l’eau chaude sanitaire en collectif à partir de pompes à chaleur air/eau haute température, somme toute assez classiques.
Il y a 3 ans et 362 jours

Le purificateur d’air qui élimine tous les virus, aujourd’hui et demain

La Covid-19 a vidé les bureaux, mais après l’enthousiasme initial suscité par le télétravail, un sentiment de solitude s’est installé chez bon nombre de télétravailleurs. L’innovant purificateur d’air de Genano, seul appareil de purification du marché capable de réduire les particules ultra-fines à 0,003 µm, aurait pourtant pu permettre aux employés de continuer à travailler en présentiel en toute sécurité. Les décontaminateurs d’air de Genano utilisent une technologie brevetée de plasma froid basée sur une puissante purification électronique de l’air sans aucun filtre physique. Une récente étude scientifique réalisée par le Centre de recherche technique VTT, organisme de notoriété internationale implanté en Finlande, a révélé que les purificateurs éliminaient 99,999 % des bactéries et virus présents dans l’air des espaces intérieurs. « Lorsque l’épidémie de coronavirus a frappé le monde l’année dernière, nous avons continué de travailler dans nos bureaux, car nous savions que l’air de nos espaces intérieurs était protégé de tout virus grâce aux décontaminateurs d’air, explique Niklas Skogster, P-DG de Genano. On peut dire que c’est l’un des lieux de travail les plus sûrs au monde, en tout cas pour ce qui est de l’air que nous respirons. » Le virus électrocuté n’a aucune chance de survie Le principe au cœur de la technologie de Genano est simple : l’air contaminé est entraîné dans l’appareil, où les particules chargées négativement sont fixées à la surface de captage positif. Les particules sont alors détruites à l’aide de décharges coronales haute tension. Au cours de la dernière étape, un collecteur à charbon actif à trois épaisseurs élimine les odeurs et gaz COV. « Comme le montre l’étude conduite par le VTT, l’air sortant ne comporte plus de microbes, gaz nocifs, produits chimiques ou particules de quelque taille que ce soit, souligne Niklas Skogster. Les appareils ne comportent aucun filtre mécanique qui risquerait de se boucher, ce qui signifie que la circulation de l’air est continue et qu’il n’est pas pas nécessaire de recourir à des filtres coûteux. Il faut ajouter à cela que les dépenses de fonctionnement sont faibles. Par exemple, le Genano 350 de taille moyenne consomme autant d’électricité qu’une ampoule conventionnelle. » Les purificateurs d’air intégrant la technologie de Genano sont en production depuis 1999. Ils ont été initialement développés pour un usage hospitalier, mais leur utilisation s’est généralisée partout dans le monde et ils sont aujourd’hui présents dans une gamme étendue de secteurs d’activité comme dans les bureaux, établissements de santé, commerces, restaurants, zones de fabrication propres, établissements scolaires et maisons de retraite. « Évidemment, notre technologie a été améliorée au fil des années, et nos appareils sont bien plus compacts et légers aujourd’hui, explique Niklas Skogster. Le Genano 350 pèse seulement 17 kg, ce qui en fait un appareil véritablement mobile que l’on peut aisément accrocher au mur. » Retour à la normale Au cours des six premiers mois de la crise sanitaire liée à la Covid-19, nombreuses ont été les entreprises qui ont estimé que le télétravail deviendrait la nouvelle norme. Mais après plus d’un an, la lassitude et les difficultés de la situation ont changé la donne. Selon l’enquête CEO Outlook Pulse Survey réalisée par KPMG auprès de P-DG en 2021, seulement 17 % des P-DG interrogés envisagent encore de réduire définitivement l’empreinte carbone de leur entreprise. Dans un sondage semblable réalisé en août 2020, ce pourcentage était de 69 %. « La Covid-19 a entraîné une hausse considérable de nos ventes au cours des douze derniers mois, mais le monde est encore loin d’avoir retrouvé ce que l’on pourrait appeler un état ‘normal’, poursuit Niklas Skogster. Une utilisation plus généralisée de purificateurs d’air efficaces pourrait cependant accélérer la transition vers une situation de travail plus normale. » Niklas Skogster souligne que les appareils de décontamination de Genano résisteront à l’épreuve du temps et qu’ils ont le potentiel d’améliorer sensiblement la santé des employés et d’augmenter la rentabilité des entreprises lorsque la situation redeviendra plus normale. « Les virus vont et viennent, mais quelles que soient leurs caractéristiques, ils ne survivent pas aux 25 000 volts déchargés par nos purificateurs d’air, explique-t-il. Une étude réalisée par le Laboratoire national d’essai en France a montré que les microbes présents dans l’air étaient complètement détruits une demi-heure après la mise en marche de l’appareil. Ce qui importe, c’est que des gens en meilleure santé travaillent mieux. »   Légendes : Le tueur de virus mobile Le décontaminateur d’air en intérieur Genano 350 est vraiment mobile puisqu’il ne pèse que 17 kg et peut se targuer d’avoir une faible empreinte carbone. Pour commencer à l’utiliser, il vous suffit de le brancher à une prise électrique et de l’allumer, explique Niklas Skogster, P-DG de Genano. Sécurité au travail. Le personnel peut se déplacer librement dans les bureaux équipés des purificateurs d’air de Genano, puisque l’air est débarrassé des virus 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Niklas Skogster, P-DG de l’entreprise, discutant de façon informelle avec la responsable du marketing Marjo Paija. À l’arrière-plan, Antti Kinnunen, spécialiste de l’air dans les espaces intérieurs, s’entretient avec le directeur des ventes Tommi Mikkonen. Il est plus agréable de se parler démasqués que masqués. L’appareil jaune derrière la table est le modèle 350 de Genano, qui décontamine l’air en continu dans la salle de réunion, où le P-DG Niklas Skogster (de la droite) est en réunion avec le directeur des opérations Aleksi Ahti et le directeur des ventes Tommi Mikkonen.   Genano en résumé Fondé en 1999, Genano tire ses origines du monde scientifique. L’entreprise est actuellement présente dans une trentaine de pays à travers le monde. Elle est leader international de la décontamination de l’air dans les espaces intérieurs d’une gamme étendue de secteurs commerciaux. La technologie brevetée de plasma froid de l’entreprise est fondée sur une puissante purification électronique de l’air qui élimine tous les microbes vivants comme les virus et bactéries jusqu’au nanomètre près. Les décontaminateurs sont disponibles dans trois tailles : série 200, série 300 et série 500. L’entreprise a son siège social à Espoo, en Finlande, avec des succursales en Belgique, en Allemagne, en Suède, en Italie, en Chine, à Taïwan et au Canada, auxquelles s’ajoute un réseau mondial de distributeurs.   Contacts : Niklas Skogster, P-DG, groupe Genano Tél. : +358 400 167 332 Courriel : niklas.skogster@genano.com www.genano.com
Il y a 3 ans et 362 jours

In'li veut construire 80.000 logements dont la moitié via deux foncières

LOGEMENT INTERMEDIAIRE. In'li vise 80.000 nouveaux logements intermédiaires construits dans les prochaines années. Soit le double de son parc actuel. Elle a donc créé, avec des investisseurs institutionnels, deux foncières pour porter la moitié de cette production, dont elle assurera la gestion locative.
Il y a 3 ans et 362 jours

Bloomberg plaide sa bonne foi dans l'affaire du faux communiqué sur Vinci

En décembre 2019, Bloomberg s'était vue infliger une amende de cinq millions d'euros par l'AMF pour avoir manipulé les marchés en diffusant de fausses informations qui avaient fait chuter le cours de l'action du groupe de BTP, Vinci.Le cours avait plongé de 18,28% avant de se redresser pour clôturer en baisse de 3,78%. Un préjudice évalué par l'AMF à 6,5 millions d'euros pour les investisseurs.Devant la cour, les avocats de Bloomberg ont plaidé la "bonne foi" des deux journalistes de l'agence qui "n'ont pas tiré profit" de la diffusion des fausses informations. Ils ont jugé la sanction "exorbitante" et "sans précédent en France et en Europe" tandis que la défense de l'AMF souligne que le montant représente "5% du maximum encouru"."Au nom de quoi un journaliste qui se trompe de bonne foi devrait-il encourir une sanction presque 1.000 fois plus importante qu'un traître à la nation"?, clame Me Jean-Charles Jaïs, l'un des avocats de Bloomberg, évoquant la sanction prévue pour le cas où une fausse nouvelle diffusée de mauvaise foi ébranle le moral des armées.De son côté, la défense de l'AMF reproche aux journalistes d'avoir diffusé l'information "sans vérification ni lecture du communiqué dans son intégralité", et soutient que "la bonne foi implique d'agir dans le respect des règles de la profession".Les journalistes avaient diffusé en novembre 2016 plusieurs dépêches sur la base d'un communiqué frauduleux qui avait annoncé la révision des comptes consolidés du groupe en raison de prétendues irrégularités ayant entraîné une perte nette et le prétendu licenciement de son directeur financier.Ce communiqué était faux dans son contenu et dans sa provenance, mis en ligne sur un site miroir, imitant le vrai site (vinci.group et non vinci.com). Le document était signé du nom du véritable responsable des relations presse de Vinci, en renvoyant à un faux numéro de téléphone.Liberté de la presse"Comment reprocher à Bloomberg de ne pas s'être aperçue que le numéro en bas du communiqué n'était pas le bon?", interroge un autre avocat de Bloomberg, Me Arnaud de la Cotardière. "Je ne connais même pas le numéro de téléphone de mes enfants!"Pour lui, "le titre Vinci n'a pas chuté à cause d'une mauvaise foi mais à cause de cybercriminels hors norme" que même "la police n'a pas pu retrouver".Une enquête avait été ouverte par le Parquet national financier mais celle-ci a été "classée sans suite pour motif: auteur inconnu", avait rappelé plus tôt la rapporteure.Selon la défense de Bloomberg, le postulat d'un "faux grossier" retenu par la partie adverse ne tient pas: la source était "en apparence crédible" et le faux communiqué, "la reproduction à l'identique d'un vrai"."Les faussaires ont usurpé de véritables identités pour acheter des lignes téléphoniques payées en bitcoin", révèle Me de la Cotardière.Aussi, "Bloomberg n'a pas été la seule à être trompée mais a été la seule à découvrir la supercherie", fait-il valoir, indiquant que trois autres agences de presse dont l'allemande DPA, la britannique Reuters, l'américaine Dow Jones ainsi que le journal les Echos s'étaient également fait piéger. Mais l'AMF n'en fait "pas mention", déplore-t-il."Domaine erroné, fautes d'orthographes, formulations douteuses" auraient pourtant dû mettre la puce à l'oreille aux journalistes de Bloomberg, estime de son côté le Parquet, partageant l'avis de l'AMF qui insiste sur "l'intérêt public de protéger le marché et les investisseurs"."Des coquilles, il y en a aussi dans les rapports de l'AMF", ironise Me de la Cotardière.Les deux journalistes avaient été alertés par un collègue ex-spécialiste de Vinci que la société avait fait l'objet d'un faux communiqué en 2014. Dès qu'ils ont compris avoir été dupés, ils ont supprimé les annonces et diffusé rectificatifs et démentis avant même que Vinci ne publie son démenti officiel."Ce qui est en jeu, c'est le respect de la liberté de la presse", a martelé Me Jaïs. "L'AMF ne connaît pas la réalité de ce métier" mais veut, selon lui, "déterminer les règles applicables" à la profession.La décision sera rendue le 16 septembre.
Il y a 4 ans et 0 jours

Chargeurs réalise un premier trimestre record après s'être adapté aux besoins de la pandémie

De janvier à mars, Chargeurs a réalisé un chiffre d'affaires de 180,8 millions d'euros contre 157,5 millions un an avant, en progression de 14,8%, la performance "la plus élevée depuis plusieurs décennies", indique un communiqué du groupe diffusé mardi.L'augmentation des ventes est soutenue par deux divisions: Chargeurs protective films dont la croissance s'est élevée à 10,5% avec 76,5 millions d'euros de chiffre d'affaires, et la division "Museum solutions" rachetée il y a trois ans, dont la croissance s'est élevée à 55,6%, à 12,6 millions d'euros sur le trimestre.Pendant la pandémie, les musées ont fermé, "ce qui nous a permis d'accroître notre portefeuille de commandes", de nombreux musées décidant de lancer des programmes de rénovation pendant cette période, a expliqué le PDG du groupe Michaël Fribourg sur BFM Business.Chargeurs a en revanche subi les effets du ralentissement dans deux autres divisions: technologies de la mode dont les ventes ont reculé de 30% par rapport à 2021, à 31,6 millions d'euros, et matériaux de luxe, dont le chiffre d'affaires a baissé de 38,9% à 18,4 millions d'euros."Chargeurs assume complètement d'avoir un modèle diversifié" a indiqué M. Fribourg, "c'est son histoire". "C'est aussi un modèle de luxe industriel qui paie" a-t-il dit, en expliquant qu'il ambitionnait de "faire rayonner les savoir-faire français" dans des niches jusqu'à présent faiblement capitalistiques.Pendant la pandémie de Covid-19, Chargeurs a ouvert des lignes de masques textiles dans le nord et en Alsace en faisant pivoter ses outils industriels de production liés à la mode et au textile. Les dernières productions sont en 100% recyclé et 100% recyclables.Le groupe a aussi plusieurs lignes de masques chirurgicaux et FFP2, et sa division Healthcare solutions développe une solution de spray virucide avec action continue, dont le premier client est l'opérateur de transports Transdev pour la désinfection des bus.Michaël Fribourg a par ailleurs rappelé l'objectif du nouveau programme de développement lancé sur 5 ans, baptisé "Leap Forward 2025": atteindre un chiffre d'affaires de 1,5 milliard d'euros et un résultat opérationnel des activités de plus de 150 millions d'euros, d'ici à fin 2025.
Il y a 4 ans et 0 jours

Plus de 10 milliards d'euros du plan de relance pour les collectivités locales

Ces aides comprennent 2,5 milliards de financement exceptionnel pour l'investissement, dont 2 milliards déjà attribués pour 9.000 projets à l'initiative des collectivités locales et validés par les préfets, d'après Bercy.Par ailleurs, 3,7 milliards d'euros sont attribués aux collectivités sur des thématiques arrêtées au niveau national comme la réhabilitation de friches, la rénovation de ponts ou l'accélération de la transition numérique.Enfin, un mécanisme de compensation de pertes de recettes, notamment dans les transports en commun, a été mis en place pour 4,2 milliards d'euros, dont 2,8 milliards pour l'année 2020.Pour les transports en commun, ces compensations sont en majorité des avances remboursables avec des taux d'intérêt nul et dont la durée de remboursement est généralement comprise entre 6 et 10 ans."La priorité des prochaines semaines et des prochains mois", c'est de "déployer le plus vite possible le plan de relance pour que nos compatriotes en voient les résultats concrets dans les territoires, qu'ils voient qu'on commence à rénover tel bâtiment public, que telle piste cyclable va sortir de terre, que telle usine va pouvoir développer une nouvelle ligne de production", a détaillé le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, au cours d'une conférence de presse à Bercy.Il a souligné que la rapidité de la mise en oeuvre du plan avait permis de soutenir la croissance."Ce déploiement nous a permis d'obtenir au premier trimestre 2021, malgré les mesures de confinement, un bon chiffre de croissance" de 0,4%, a-t-il rappelé, "c'est un des meilleurs chiffres européens".Il a aussi confirmé "que nous visons pour 2021 un chiffre de croissance de 5% pour l'économie française et que nous continuons à viser de revenir à la situation d'avant-crise dès l'année 2022".Alors que des économistes plaident pour une rallonge du plan de relance français, Bruno Le Maire a souligné que la priorité était au déploiement des fonds déjà programmé, puis à l'évaluation des dispositifs déjà mis en place à partir du mois de juillet. "Nous verrons en septembre où en est notre économie et quels sont nos besoins: nous le ferons sur la base de cette évaluation qui aura été faite collectivement à l'été."Le ministre délégué aux Comptes publics Olivier Dussopt a pour sa part assuré que le gouvernement veillait à ce que les collectivités locales "conservent un maximum de leurs recettes de manière à préserver leur niveau d'épargne" et ainsi "leur propre capacité d'investissement et de co-financement".Fin 2020, ces collectivités ont vu leurs recettes de fonctionnement diminuer de 1,7% tandis que leurs dépenses de fonctionnement progressaient de 0,2%, soit l'augmentation la plus basse des 25 dernières années, a reconnu le ministre.Outre le maintien des dotations globales de fonctionnement promis par le président de la République, "nous avons mis en place au cours de l'année 2020 des mécanismes de protection en garantissant aux collectivités du bloc communal (communes et intercommunalités) le fait qu'elles disposeraient de recettes fiscales et domaniales au moins égales" à la moyenne de ces mêmes recettes "de 2017 à 2019", a-t-il fait valoir.Lundi, une enquête de l'Association des maires de France (AMF) révélait qu'un tiers des communes envisageaient d'augmenter cette année la taxe foncière pour faire face aux pertes de recettes provoquées par la crise sanitaire et la suppression progressive de la taxe d'habitation, qui, selon le secrétaire général de l'AMF Philippe Laurent, "n'est pas non plus compensée entièrement" par l'Etat.
Il y a 4 ans et 1 jours

Quelles sont les étapes à respecter pour produire de l'énergie solaire en copropriété ?

Que dit la règlementation ?Avis à tous les copropriétaires qui souhaitent produire de l'énergie solaire : bonne nouvelle ! Il est tout à fait possible d'aménager des panneaux solaires sur le toit d'un bâtiment en copropriété.L'installation de panneaux solaires en copropriété est un projet qui demande un investissement important et une forte motivation de l'ensemble des copropriétaires. Cependant, il bénéficie également d'un argument de poids : l'énergie solaire est renouvelable et peut être convertie en électricité (énergie photovoltaïque) ou en chaleur (énergie thermique). Elle peut être utilisée pour alimenter de petits appareils électriques, produire du chauffage et de l'eau chaude sanitaire, et les bénéfices de la production d'énergie sont reversés entièrement aux propriétaires investisseurs.Avant d'entamer un projet, il faut simplement se renseigner sur les règles à suivre, car l'installation de panneaux solaires est réglementée.C'est la commune qui décide si les bâtiments peuvent accueillir des panneaux solaires. Les propriétaires doivent donc se renseigner auprès de la mairie pour savoir si un plan local d'urbanisme (PLU) est applicable sur l'immeuble. Si le bâtiment a un caractère historique ou est situé à proximité d'un bâtiment historique, des conditions spécifiques peuvent s'appliquer et il faudra également l'accord d'un architecte des bâtiments de France.À noter également : il faudra patienter entre 10 et 17 ans pour amortir l' investissement, sachant que la longévité de l'équipement est d'environ 23 ans.Comment procéder pour passer à l'énergie solaire ?Tout d'abord, le Conseil syndical doit être notifié de la décision avant l'assemblée générale. Il aura pour rôle de consulter des professionnels pour obtenir un avis sur la faisabilité technique du projet. Pour l'installation sur un bâtiment existant, il faudra obtenir une autorisation de travaux auprès de la mairie.Ensuite, il faudra obtenir le consentement de la majorité des copropriétaires lors de l'assemblée générale. Si l'installation des panneaux solaires est une décision collective, tous les copropriétaires devront alors se mettre d'accord sur : le type d'installation, le budget d'aménagement, les prestataires à engager, la localisation des équipements, la finalité des panneaux solaires (autoconsommation ou vente), la répartition énergétique en cas d'autoconsommation.Une fois le projet voté en assemblée générale, le conseil syndical prend le relais pour étudier les détails techniques et la viabilité économique de l'installation.Enfin, il incombe au syndicat de copropriété d'engager les procédures administratives, à savoir :la souscription aux assurances, la souscription au contrat de raccordement, l'établissement du contrat d'achat, le rassemblement des autorisations.Important : il faut compter en moyenne 9 à 12 mois pour le montage d'un tel projet.Les aides pour financer le passage à l'énergie solaireL'installation de panneaux solaires en copropriété a un coût important. Cependant, ce geste écologique est éligible à plusieurs aides et subventions. Pour s'aider à financer leur projet d'installation de panneaux photovoltaïques, les propriétaires peuvent solliciter :MaprimeRénov' ;l'éco-prêt à taux zéro ;le taux de TVA intermédiaire de 10 % et le taux réduit de 5,5 % ;des aides au niveau régional, départemental ou municipal ;le CEE ; les aides de l'ANAH avec l'aide à la rénovation.Attention : certaines conditions sont requises pour prétendre à ces subventions, comme la certification NF des équipements choisis.
Il y a 4 ans et 1 jours

Le projet de loi Climat & Résilience adopté en première lecture à l'Assemblée nationale

Ce projet de loi, c’est d’abord l’incarnation d’une nouvelle manière de faire de la politique, de la démocratie participative en acte. Il est, en effet, la traduction fidèle d’une très large partie des propositions des 150 citoyens tirés au sort de la Convention citoyenne pour le climat. La plupart des autres mesures ont déjà été mises en place par le Gouvernement.L'écologie dans notre quotidienLes 110 heures de débats à l’Assemblée ont permis d’enrichir le projet de loi et de le rendre plus ambitieux encore. Ce texte fait rentrer l’écologie dans notre quotidien et agit en matière climatique sur tous ses aspects :diviser par deux le rythme de bétonisation des sols en interdisant la construction de centres commerciaux sur des zones rurales ;arrêt de tous les vols intérieurs pour lesquels il existe une alternative moins émettrice de CO2 en moins de 2h30 ;à partir de 2023, dans les cantines, dans les CROUS ou dans les restaurants des administrations, une option végétarienne quotidienne sera obligatoire ;en 2024, la circulation des véhicules les plus polluants sera limitée en ville, en quadruplant le nombre de zones à faibles émissions (ZFE) ;dès 2025, il ne sera plus possible de louer des logements très énergivores ;en 2040, il ne sera plus possible de commercialiser des poids lourds utilisant des énergies fossiles, diesel ou essence.Une loi pour faire basculer la société française dans l’ère écologiqueDe la même manière que des lois fondatrices sur la liberté de la presse ou la laïcité ont enraciné des principes essentiels dans la République à l'orée du 20e siècle, la loi issue des travaux de la Convention citoyenne pour le climat ancrera durablement l'écologie dans notre société contemporaine.Ce texte a d'ores et déjà innové dans la façon dont les lois peuvent être construites en s'appuyant sur une démocratie plus participative. Elle nous permettra aussi de transformer notre modèle de société et de croissance et à engager des mutations profondes.Avec cette loi, la cause écologique intègrera la vie quotidienne des Français et les accompagnera durablement dans leurs choix de déplacement, de logement, de consommation, de production.C'est une loi qui vise à franchir le « dernier kilomètre » de la transition, le plus crucial : celui qui conduit à changer réellement nos modes de vie. Ce texte vise précisément cela, en faisant pénétrer l'écologie au cœur du modèle français et en irrigant concrètement la société française dans ce qu'elle a de plus fondamental : l'école, les services publics, la vie en entreprise, la Justice, mais aussi le logement et l'urbanisme, la publicité, la mobilité pour se rendre au travail ou en vacances.Cette loi n'agira pas seulement sur les structures de l'économie pour en accélérer la décarbonation, elle innervera notre culture, en favorisant l'éducation à l'environnement, une publicité responsable, une consommation plus sobre.C'est tout à l'honneur de la France de mener ces transformations au moment où nous affrontons une crise sanitaire majeure doublée d'une crise économique et sociale. Au moment où, plus que jamais, nous avons collectivement pris conscience de notre vulnérabilité, nous avons ce devoir de nous préparer à la plus grande menace systémique du siècle à venir. Le devoir d'agir pour une société plus sobre et plus résiliente, dans laquelle nos concitoyens vivront mieux et pourront faire face aux chocs du dérèglement climatique.Ce projet de loi vient compléter et accélérer les grandes lois de ce quinquennat sur l'écologie comme la loi agriculture et alimentation, la loi énergie climat, la loi d'orientation des mobilités ou encore la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire ; ainsi que le plan de relance, qui intègre un montant inédit de 30 milliards d'euros d'investissements verts sur les deux prochaines années. Notre pays prépare désormais une loi de transformation autour de 6 grands thèmes, qui va occuper la vie parlementaire pendant plusieurs semaines et générer des débats de société structurants pour notre avenir.Toutes ces politiques nous mettent sur les rails pour tenir nos objectifs climatiques et poser les bases pour aller encore plus loin dans la transition écologique.Les dispositions présentées dans ce dossier de presse sont un zoom sur certaines mesures-phares des 69 articles qui composent le projet de loi portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets, dit « Climat et Résilience ». Après avoir été présenté en Conseil des ministres, le projet sera soumis au Parlement à qui il appartiendra, comme le prévoient nos règles constitutionnelles, d'en valider le contenu au terme d'un processus de plusieurs mois, jusqu'à un adoption probablement à la fin de l'été 2021.Tout cela, nous le devons à une expérience démocratique inédite, voulue par le président de la République : la Convention citoyenne pour le climat. Une expérience pour trouver les réponses à la question de l'urgence climatique, mais aussi pour assurer l'acceptabilité sociale des mesures proposées.Une expérience à laquelle peu croyaient à son lancement il y a 18 mois mais qui, grâce au sérieux et à l'investissement de 150 citoyens tirés au sort, ainsi qu'à l'engagement personnel d'Emmanuel Macron, a créé aujourd'hui les conditions d'un changement profond.Barbara Pompili - Ministre de la Transition écologique Le projet de loi Climat et résilience est attendu au Sénat dans le courant de juin.
Il y a 4 ans et 2 jours

Lixol, spécialiste français des résines alkydes, accélère sa croissance

Spécialiste des résines dites alkydes (réalisées à partir d'huiles végétales) destinées aux marchés de l'industrie, du bâtiment, du bois et des encres d'imprimerie, l'entreprise entend ainsi accélérer sa croissance (objectif CA 2021 : 6,8 M€ contre 6 M€ en 2020), et recruter 10 collaborateurs cette année.Laboratoire, production et logistique en Gironde Lixol dispose depuis son intégration dans le Groupe Berkem, spécialiste de la chimie du végétal, d'un laboratoire R&D à Blanquefort (siège du Groupe) près de Bordeaux, d'un espace de stockage et logistique, et d'un site de production à La Teste-de-Buch (6 200 m² dont 1 800 m² de bâtiments couverts sur le Bassin d'Arcachon). Une organisation rendue nécessaire par l'accélération des volumes produits (4 000 tonnes en 2020 contre 3 000 tonnes en 2017) et le développement de nouvelles références : 89 références de résines contre 60 au moment de l'acquisition. Les résines alkydes présentées sous diverses formes - résines sans solvant (gamme haut extrait sec), résines en solutions dans divers solvants (white spirit), résines en émulsions (diluées dans de l'eau) - sont commercialisées en France, en Europe et en Afrique du Nord (15% de la production à l'export). 1 M€ investi dans l'outil industriel C'est pour servir un marché en croissance que le Groupe Berkem a investi sur ce site et lui permet de démultiplier ses capacités de production. Lixol a entrepris une rénovation de son outil industriel (mise à neuf des bâtiments, automatisation des process), et une modernisation de ses équipements : automatisation de la ligne de conditionnement, acquisition de matériels complémentaires. Parmi eux, une chambre chaude pour mise à température (+/- 40°C) des résines afin d'en faciliter la manipulation. Le site dispose désormais de 2 réacteurs de fabrication (10 m3 et 2 m3 ; avec mise en service d'une boucle d'eau froide pour améliorer les performances de l'outil et réduire l'impact sur l'environnement) : un 3ème réacteur de 10 m3 est prévu en 2021. Mais aussi de : 5 dilueurs dont 3 de 5 m3 et 1 de 20 m3, une cuve de dilution/fabrication de 23 m3, 6 citernes de 36 m3 pour le stockage des matières premières liquides et 1 citerne compartimentée de 30 m3 pour les livraisons en vrac. 10 profils techniques devraient rejoindre l'équipe de 12 personnes du site de La-Teste-de-Buch d'ici fin 2021 pour accompagner cette croissance. Toutes les résines sont réalisées à partir d'huiles d'origines végétales, avec un large choix de matières premières : tournesol, soja, lin, ricin, bois de Chine.
Il y a 4 ans et 2 jours

La démarche RSE 2020/2021 d’Ideal Standard France récompensée par Ecovadis

La performance environnementale, sociale et éthique étant une composante essentielle des entreprises modernes, Ideal Standard France s’est engagée depuis 2011 dans une démarche volontaire en matière de RSE. En obtenant un score de 60/100 contre 43/100 en moyenne pour les entreprises de son secteur d’activité, Ideal Standard France s’est vue attribuer la médaille d’argent pour 2020/2021 par EcoVadis, organisme mondial de notation RSE. EcoVadis : une notation RSE reposant sur 4 piliers Dans le cadre de sa démarche volontaire en matière de RSE, Ideal Standard France s’est appuyée sur EcoVadis, première plateforme collaborative digitale permettant aux entreprises d’évaluer et améliorer leurs pratiques et celles de leurs fournisseurs selon 4 critères : . environnement, . achats responsables, . droits de l’homme et du travail, . éthique des affaires. Ideal Standard France : un engagement RSE fort, en constante évolution • Environnement Ideal Standard France propose des solutions garantissant des économies d’eau et d’énergie. En 2021, une large gamme de ses produits bénéficiera de fiches de déclaration environnementale et sanitaire vérifiées. . Gestion des déchets de fabrication : Ideal Standard recycle plus de 90% des déchets issus du processus de fabrication de la céramique et de la robinetterie. Plus de 80% des déchets d’argile sont réutilisés dans l’outil de production. Les emballages des produits sont 100% recyclables. . 70% des matières premières des robinets sont issues du recyclage . Plus de 75% des sites de fabrication sont certifiés ISO • Achats responsables Une large gamme des meubles proposés par Ideal Standard est certifié FSC et PEFC, garantissant que le bois utilisé provient de ressources contrôlées et prélevées de manière responsable. L’entreprise fait appel à des transporteurs écoresponsables, veillant à la réduction de leurs émissions de CO2. • Droits de l’homme et du travail Chez Ideal Standard France, la mixité et la diversité sont garanties avec 40% de femmes dans l’effectif et 50% dans le comité de direction en 2020. Tous les salariés bénéficient d’un environnement de travail sain et sécurisé. • Ethique des affaires En mettant à la disposition de ses collaborateurs un code de bonne conduite, l’entreprise respecte l’éthique des affaires. Depuis 2011, Ideal Standard France s’emploie à améliorer ses performances et a ainsi gagné 12 points depuis sa première évaluation. Cette démarche étant extrêmement appréciée de ses clients, Ideal Standard France ne compte pas s’arrêter là et va mettre tout en œuvre pour obtenir la médaille d’or pour l’année 2021 / 2022 ! http://www.idealstandard.fr
Il y a 4 ans et 3 jours

ZE Energy et la Banque des Territoires développent des centrales solaires hybrides photovoltaïque et stockage

Producteur indépendant d'énergie renouvelable, ZE Energy développe et opère des centrales photovoltaïques hybrides. Équipées d'une batterie permettant de stocker l'énergie solaire produite dans la journée, ces centrales solaires nouvelle génération combinent tous les avantages en matière de coûts de production, d'intégration dans l'environnement et dans le réseau, et de production d'une énergie Zéro Émissions de CO². Un modèle innovant qui séduit déjà les collectivités territoriales et entreprises.Les deux premiers projets hybrides « solaire + stockage » développés par ZE ENERGY, par le biais de sa holding HybridSol, dans le Loir-et-Cher, sur les communes de Mennetou-sur-Cher et Gièvres, représentent une puissance installée cumulée de 26,5 MWc pour les équipements photovoltaïques et 11,3 MW pour les batteries. Ils permettront de produire de l'électricité pour les besoins annuels d'environ 12 000 personnes.En investissant 3,8 M€ dans la holding HybridSol, la Banque des Territoires souhaite accompagner la croissance de ZE ENERGY pour lui permettre de renforcer sa contribution à l'intégration des énergies renouvelables dans le mix énergétique français, tout en garantissant la stabilité du réseau électrique.Ce nouveau partenariat de la Banque des Territoires s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre opérationnelle du plan Climat de la Banque des Territoires, au bénéfice de territoires plus durables.« Le soutien de la Banque des Territoires est un signal fort et témoigne d'une volonté d'accompagner les défis environnementaux d'aujourd'hui et de demain. Ces premiers projets hybrides, dont la construction a débuté, vont faire la démonstration que l'énergie renouvelable peut répondre aux besoins des consommateurs de jour comme de nuit, et en même temps être compétitive. Nos centrales intelligentes vont permettre de donner un coup d'accélérateur au développement du photovoltaïque, qui est la source d'électricité la plus porteuse des EnR », se réjouit Mathieu Lassagne, président de ZE ENERGY.Pour Charlotte Virally, responsable du pôle Énergies Renouvelables à la direction de l'investissement de la Banque des Territoires « cette intervention s'inscrit pleinement dans la mission de soutien à la transition énergétique de la Banque des Territoires, en contribuant à l'émergence de solutions de stockage nécessaires pour l'intégration à grande échelle des productions intermittentes d'électricité renouvelable. Cette mobilisation permet également de participer au développement d'une PME, ZE ENERGY, récemment créée, se donnant l'ambition d'être un acteur indépendant et compétitif sur le marché des énergies renouvelables. »
Il y a 4 ans et 3 jours

Le Look Book Kebony 2021 présente une collection de projets uniques, innovants et durables

Tandis que le monde opère une transition vers les énergies propres, les projets les plus ambitieux adoptent des matériaux durables et respectueux de l’environnement. C’est le cas du bois Kebony, qui permet de contribuer à l’effort mondial vers le « net zéro » et de créer des bâtiments innovants, qui seront à la fois beaux et porteurs d’un héritage vert durable.Le Look Book Kebony 2021 comprend des projets réalisés aux quatre coins du monde… allant de fascinantes cabanes dans l’Arctique à des maisons privées remarquablement conçues au Royaume-Uni, en passant par des hôtels de luxe écologiques dans le sud de l’Europe et au premier restaurant rapide « zéro émission nette » aux États-Unis.James Dodson, fondateur et associé de SPINN Arkitekter, décrit le bois Kebony en ces termes :« Chaque projet est l’occasion de nous rapprocher, nous et nos clients, d’un avenir plus propre, sans émission de carbone. Nous avons constaté que le bois Kebony constitue une alternative brillante et durable aux bois durs traditionnels, détournant ainsi la demande des forêts tropicales menacées et réduisant fortement l’empreinte carbone impliquée dans les constructions. »« Le bois Kebony est un matériau d’avenir qu’il est vital d’adopter dès maintenant, car nous aspirons à un environnement bâti de façon plus verte et plus durable. »Technologie KebonyLa technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.Site internet Kebony : https://kebony.com/fr?redirect=0
Il y a 4 ans et 3 jours

Trace Software pousse encore plus loin la conception photovoltaïque avec l'application PV archelios PRO

Une gamme complète pour les professionnels du PV Comme les professionnels du PV n’ont pas tous les mêmes besoins en matière de conception, Trace Software a choisi de lancer en juin 2020 une nouvelle offre archeliosTM PRO élargie et adaptée à la taille de leurs projets et à leur activité (bureaux d’études, installateurs, développeurs ...) :archeliosTM PRO Free : conception de projets jusqu’à 36 kWc sans 3DarcheliosTM PRO Silver : conception d’installations jusqu’à 100 kWcarcheliosTM PRO Gold : dimensionnement de projets d’une puissance maximale d’1 MWcarcheliosTM PRO Platinum : dimensionnement de projets complexes illimitésSelon la version choisie, conception rapide, puissance de calcul, précision dans la simulation de production, environnement 3D, optimisation des installations ou encore outils 3D pour la conception sont autant de fonctionnalités qui dotent les utilisateurs d’un outil puissant et unique sur le marché des logiciels PV.Plus de possibilités de calcul et de modélisation sur la version 2021Parmi toutes les évolutions apportées sur la version 2021, les utilisateurs pourront bénéficier de plus de possibilités pour la prise en compte de paramètres règlementaires, tels que la limitation de la puissance injectée ou encore les seuils de production, mais aussi pour l’optimisation de projets de centrales solaires de grande envergure.Optimisations pour les grandes centrales Pour les concepteurs de centrales solaires, la capacité et les performances de calcul ont été largement optimisées afin de permettre la gestion de projets plus importants (jusqu’à 100 MWc soit un gain d’un facteur 10 par rapport à la version précédente). De plus l’export et la synchronisation entre SketchUp et archeliosTM PRO sont plus rapides et la sauvegarde des projets est désormais non bloquante (possibilité de travailler pendant la sauvegarde).Limitation de la puissance injectée Les utilisateurs pourront dorénavant répondre simplement aux exigences imposées sur certains projets. La prise en compte de la limitation de la puissance injectée est intégrée et affichée sur les rapports. Les pertes de production qui en découlent pourront être aussi visualisées.Seuils de production - Adaptation à l’arrêté tarifaire 202Le logiciel intègre la prise en compte de l’évolution des tarifs par seuil de production (nouvel arrêté tarifaire français 2021 en attente de publication).Evolutions sur la fonctionnalité 3D MaLes utilisateurs de la version archeliosTM PRO Platinum bénéficient d’une utilisation illimitée* du module 3D Map. Ils disposent ainsi d’une plus grande flexibilité de modélisation 3D de l’environnement sur les projets, avec l’assurance d’un crédit 3D Map toujours disponible. Dans la version 2021 d’archeliosTM PRO, les terrains issus de 3D Map sont modélisés avec une texture pour un rendu au plus proche de la réalité, et pour une visualisation réaliste de l’environnement. Le concepteur peut prendre en compte les paramètres de terrain sans contraintes de déplacement pour les sites les plus éloignés. Cette fonctionnalité permet aussi aux donneurs d’ordre de se projeter avec un projet personnalisé qui peut faire la différence lors la prise de décision finale.* en illimité sur la version Platinum uniquement, sur la base d’une utilisation standard jusqu’à 100KM2Mise à jour des bases de données météoLes bases de données météo par défaut (MétéoNorm) ont été actualisées afin d’intégrer des données plus récentes et fiables. Lors de la création du projet, le logiciel propose automatiquement la station météo la plus récente.Export de donnéesDes modèles de rapport d'étude archeliosTM PRO au format XLSX (générés à partir du rapport CSV) sont disponibles afin de guider le concepteur dans la représentation des données de son installation.Grâce aux développements permanents réalisés sur le logiciel archeliosTM PRO, Trace Software et Cythelia Energy dotent les professionnels du photovoltaïque d’un outil qui va au delà de la conception PV standard. Le logiciel se positionne non seulement comme un réel outil de management de projet mais aussi comme un support marketing.
Il y a 4 ans et 4 jours

Foncière Logement promet 30% de logements supplémentaires d'ici 2023 pour plus de mixité sociale

Action Logement, géré de concert par le patronat et les syndicats, est l'un des principaux propriétaires de HLM avec un patrimoine d'un million de logements. Sa filiale Foncière Logement a pour mission de "diversifier l'habitat dans les secteurs en réhabilitation ainsi que dans les quartiers où l'offre est la plus tendue"."A l'horizon 2023, ce sont 9.150 logements qui seront financés, pour 1,8 milliard d'euros", a indiqué Foncière Logement lors d'un point presse.Quelque 4.000 de ces logements bénéficieront du programme "Digneo", qui vise particulièrement l'habitat indigne et insalubre en centre-ville.En février, un avenant a été signé avec l’État pour attribuer 250 millions d'euros supplémentaires à Foncière Logement, qui lui permettront d'avoir "une production de logements relevée de 30% à l'horizon 2023"."Un peu plus de 3.000 logements sont en cours de chantier, donc on a une activité de réception et d'augmentation de notre offre locative dans les années à venir qui est très clairement en place et structurée", a résumé Yanick Le Meur, directeur général de Foncière Logement."Nous sommes allés quasiment partout, nous avons +servi+ 325 quartiers dans 288 villes, la taille moyenne d'un programme en locatif libre c'est 32 logements, donc de taille humaine. Nos investissements sont un levier fort dans le renouveau des quartiers, et c'est aussi un moyen clair d'assumer une partie du retour des classes moyennes dans les quartiers, malgré le contexte d'aggravation de la ségrégation sociale et urbaine dans les zones tendues notamment", a-t-il mis en avant.Selon les données de Foncière Logement, "les classes moyennes libres du choix de la localisation de leur habitat reviennent dans les quartiers prioritaires, au rythme de la livraison des immeubles de l'association, convaincues par une offre locative de grande qualité".Pour Cécile Mazaud, présidente de Foncière Logement, "la mixité sociale est un mot qu'on entend souvent, mais cela ne se décrète pas. Il faut qu'il y ait des ingrédients qui fonctionnent, une qualité du bâti, de l'accompagnement des salariés. Malgré la crise sanitaire, 1.000 logements locatifs neufs ont été réceptionnés" et mis en location en 2020 dans des quartiers prioritaires "alors que l'objectif était de 500", a-t-elle souligné.