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Il y a 2 ans et 165 jours

ToughBuilt renforce sa présence sur le marché français

Dès début 2023, ce sont de multiples nouveautés que ToughBuilt prévoit de lancer. [©ToughBuilt] Fort du succès rencontré lors du Mondial du Bâtiment, début octobre dernier à Paris, ToughBuilt annonce accélérer son développement en France. Le fabricant américain d’outils et d’équipements à destination des professionnels du BTP affiche ses ambitions. Avec le renforcement de son équipe commerciale comme point de départ. « L’affluence sur notre stand sur le salon Batimat et l’engouement des professionnels du secteur vis-à-vis de nos produits a confirmé le fort potentiel de ToughBuilt en France. Ce fut une excellente occasion pour notre équipe commerciale, qui s’est vu renforcée en 2022, de se confronter davantage aux exigences du marché français. Je suis persuadé qu’elle saura y répondre avec brio », souligne Vahe Der Kureghian, directeur de ToughBuilt Europe. Ainsi, ToughBuilt entend compléter son équipe dans les mois à venir. Ceci, avec le recrutement d’au moins deux autres commerciaux en vue de mailler davantage le territoire. L’innovation au cœur de la stratégie de développement ToughBuilt est une entreprise guidée par l’innovation. Elle s’appuie sur sa propre équipe de recherche et développement, basée en Californie, pour concevoir des produits novateurs. La richesse des pochettes et ceintures, sacs à outils, tréteaux et tables de chantier, genouillères ou encore supports de scie à onglet permet de couvrir un large panel de métiers. La grande majorité de ses produits bénéficient d’une garantie étendue de 25 ans ! Avec d’ores et déjà près de 150 références au sein de son catalogue, ToughBuilt n’entend pas s’arrêter en si bon chemin. Dès début 2023, ce sont de multiples nouveautés que la marque prévoit de lancer. Dont sa gamme de niveaux et lasers récemment dévoilée et de nouvelles catégories d’outillage à main. Ainsi que de toutes nouvelles catégories de produits qui n’étaient jusqu’alors pas proposées. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 165 jours

Grand Prix d’architecture 2022 pour Christian de Portzamparc

Christian de Portzamparc vient de remporter le Grand prix d’architecture de l’Académie des beaux-arts (Prix Charles Abella) 2022, célébrant l’ensemble de son œuvre. [©2Portzamparc] L’écriture architecturale de Christian de Portzamparc rayonne depuis longtemps autour du monde. Des Etats Unis à la Chine, en passant l’Europe ou encore le Brésil, il a construit de nombreux bâtiments iconiques. Il vient de remporter le Grand prix d’architecture de l’Académie des beaux-arts (Prix Charles Abella) 2022. Célébrant l’ensemble de son œuvre. « Ce prix de consécration international est décerné à un architecte pour l’ensemble de son parcours et salue l’exemplarité d’une trajectoire dans le domaine architectural », indique l’Académie des beaux-arts Pour cette occasion, une exposition retraçant son travail se tiendra à Caen, du 8 décembre 2022 au 22 janvier 2023, au Pavillon Comtesse de l’Académie des beaux-arts. Lire aussi : Christian de Portzamparc “illumine” la galerie Kamel Mennour Retour sur le parcours de Christian de Portzamparc L’architecte français s’est fait connaître avec la conception de l’ensemble de logements des Hautes Formes à Paris, en 1979. En 1995, il imagine la Cité de la Musique, dans la capitale. De New York à Rio de Janeiro, il impose sa signature partout dans le monde. On retrouve le complexe résidentiel Nexus II à Fukuoka (1991), la tour LVMH ainsi que deux gratte-ciels à New York (1999 et 2015) ou le stade couvert Paris La Défense Arena (2017). Habitué à mener des projets dédiés à la musique, à la danse et à la culture, il a aussi conçu la Philharmonie Luxembourg (2005). Et la Cité des Arts, un complexe culturel à Rio de Janeiro (2013). Mais aussi, le Grand théâtre de Casablanca (2019) et l’Opera house de Shanghai (2020). L’année 2022 a été marquée par la livraison du nouveau campus de l’université parisienne de Sorbonne-Nouvelle. De plus, il est le premier architecte français à recevoir le Prix Pritzker en 1994. En 2004, le Grand Prix d’urbanisme lui est décerné. Et en 2018, la Japan Art Association lui remet le “Praemium Imperiale” dans la catégorie architecture, pour ses réalisations artistiques et son rayonnement international. Christian de Portzamparc devient alors le troisième architecte français à décrocher cette récompense, après Jean Nouvel et Dominique Perrault. Des qualités architecturales reconnues Le travail de Christian de Portzamparc est reconnu pour ses qualités distinctives. A savoir, des formes audacieuses, une démarche artistique et sa créativité de peintre aquarelliste. Il accorde une grande importance à l’interaction entre l’espace urbain et l’être humain. Sans pour autant rejeter la forme, il souligne que son but n’est pas uniquement la réussite esthétique. Toute forme créée doit se confronter à de bonnes raisons d’exister. A savoir, un meilleur usage et un plus grand confort, la capacité de rendre heureux. Mais aussi d’ouvrir à des sentiments poétiques, une connexion avec le site de construction existant. Christian de Portzamparc n’a jamais séparé architecture et urbanisme. Construire un quartier est pour lui une mission fondamentale. Il a renouvelé la vision de la structure urbaine à travers une méthode de conception qu’il a nommée “îlot ouvert”. Et qu’il a mise en pratique dans le quartier Masséna, à Paris. Le concept est aujourd’hui utilisé dans de nombreux projets de développement urbain. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 165 jours

Nouvelles dates pour le salon Renodays, dédié à la rénovation énergétique des logements

A vos agendas ! Le salon Renodays se tiendra les 12 et 13 septembre à Paris Expo Porte de Versailles dans le pavillon 6, et non début octobre comme initialement annoncé lors du dernier salon Batimat.
Il y a 2 ans et 166 jours

Nouvel épisode de la guerre de l'immobilier à Monaco

Le magnat de l'immobilier monégasque Patrice Pastor, par le biais de sa société Esperanza, a déposé une requête en récusation visant Didier Linotte, président du tribunal suprême de Monaco, en mettant en cause son "impartialité" dans le traitement d'un contentieux portant sur un important projet immobilier, "l'esplanade des pêcheurs".Les enjeux financiers sont considérables, le prix du m2 à Monaco étant parmi les plus élevés au monde. Et sur cette bande de terre de 2km2 déjà ultra urbanisée, qui s'étend le long de la mer, chaque surface libre est âprement disputée.Ce qui est le cas pour "l'esplanade des pêcheurs" d'une superficie d'environ 13.000 m2, enjeu d'une bataille féroce entre le groupe Caroli, qui entend y construire un complexe immobilier et culturel, et celui de M. Pastor.Cette requête en récusation dont l'AFP a eu connaissance, s'appuie sur des documents (vidéos, échanges de mails confidentiels, etc.) en lien avec des projets immobiliers diffusés à l'automne 2021 par un site internet intitulé "les dossiers du Rocher".Ces documents ciblent quatre proches du prince Albert II, baptisés "le G4" par le site : outre Didier Linotte, il s'agit de Thierry Lacoste, son avocat et ami d'enfance, de Claude Palmero, expert-comptable et administrateur de ses biens et de Laurent Anselmi, son chef de cabinet.Dans cette affaire des "Dossiers du Rocher", les quatre mis en cause ont déposé plainte ainsi que Patrice Pastor, accusé d'être le commanditaire de ce site. Fin octobre, deux hommes, soupçonnés d'avoir participé à cette campagne, ont été mis en examen à Paris.Pour argumenter sa requête qui a trait à un litige concernant "l'esplanade des pêcheurs", Patrice Pastor évoque des documents publiés par les "dossiers du Rocher" faisant état de liens entre le groupe Caroli et les membres du G4. Il souligne que "la teneur et l'authenticité" des documents diffusés n'ont "pas été démenties"."Juge et partie"En conséquence, le richissime homme d'affaires estime que "l'examen serein et impartial" de son recours contre un déclassement du site est "objectivement impossible" de la part de M. Linotte.Pour le groupe Pastor, "tant la définition du projet que les modalités de désignation du groupe Caroli n'ont jamais été totalement clarifiées, l'ensemble du processus échappant à la mise en concurrence, seule de nature à protéger les intérêts de l'Etat monégasque".Interrogé par l'AFP, Me Richard Malka, avocat de Patrice Pastor, a fait valoir que "l'impartialité" de M. Linotte avait été à "plusieurs reprises interrogées à raison" par Serge Telle, ancien ministre d'Etat de la Principauté, concernant "des conflits d'intérêts"."Je ne peux pas imaginer qu'un si haut magistrat n'ait pas à cœur de protéger l'institution judiciaire en se maintenant de force dans ce litige", a-t-il ajouté."Aucun haut magistrat, conscient de sa responsabilité, ne ferait cela et c'est donc très confiants que nous attendons que M. Linotte fasse preuve de responsabilité en se déportant. Cette décision s'impose pour écarter toute suspicion d'être juge et partie", a insisté Me Malka.Contacté par l'AFP, M. Linotte n'a pas souhaité faire de commentaire.Le tribunal suprême de Monaco, qui a compétence en matière constitutionnelle et administrative, est composé de cinq membres et de deux suppléants.Concrètement, le tribunal, réuni en formation de jugement, peut rejeter la requête ou alors l'instruire. En tout état de cause, s'il devait se réunir, ce serait sans son président, qui serait alors entendu au cours des débats.
Il y a 2 ans et 166 jours

Feu vert du gouvernement pour un encadrement des loyers à Marseille

"J'ai reçu jeudi dernier le dossier" et "je veux dire ici mon accord à ce qu'on puisse encadrer les loyers à Marseille", a déclaré le ministre en clôture des premiers états généraux du logement de la deuxième ville de France, assurant que cette demande sera "une priorité" de son administration.Les loyers sont déjà encadrés à Paris et dans 18 communes de Seine-Saint-Denis ainsi qu'à Lille, Montpellier, Bordeaux, Lyon et Villeurbanne.La métropole Aix-Marseille-Provence dirigée par Martine Vassal (droite, Les Républicains) a déposé un dossier qui prévoit un encadrement uniquement sur Marseille, et pas dans les 91 autres communes de la collectivité dont certaines comme Cassis sont des stations balnéaires prisées.Elle répond ici favorablement à une demande répétée du maire de Marseille, Benoît Payan. La métropole, elle, craint qu'une telle mesure "ne vienne gripper encore plus le système" et notamment la construction alors que Marseille compte 40.000 taudis et autant de demandes de logements sociaux en attente.Avec ces états généraux, la municipalité de gauche a montré qu'après les écoles, elle souhaitait porter le chantier du logement qui n'est pourtant pas sa compétence directe, après plusieurs drames mortels du logement insalubre.En 2018, deux immeubles vétustes s'étaient effondrés rue d'Aubagne, en plein centre-ville, faisant huit morts. En 2021, un incendie dans une cité dégradée et squattée, les Flamants, avait fait trois morts.C'est "un moment de bascule dans le mandat", a estimé l'adjoint au maire Patrick Amico. "Nous sommes prêts à une coopération renforcée et inédite entre nos deux institutions", a renchéri le vice-président de la métropole au Logement, David Ytier.Une trentaine de propositions sont ainsi ressorties de ces deux jours de concertation.Parmi elles, le "permis de louer" -un dispositif qui permet de vérifier que le logement soit aux normes- pour l'instant expérimenté autour de la Rue d'Aubagne, pourra être étendu sur d'autres quartiers centraux et pour un test dans certaines des 13 grandes copropriétés dégradées de la ville.Pour autant, il manque toujours la pierre angulaire de ce sujet, le Plan local d'habitat (PLH) 2023-2028 -un outil crucial pour établir la stratégie logement sur un territoire- que la métropole promet de détailler début 2023.A priori, les collectivités s'engageraient sur un rythme annuel de construction de 11.000 logements, dont environ 40% à Marseille. Un rééquilibrage territorial est par ailleurs nécessaire sur ce territoire notoirement connu pour ses carences en terme de logements sociaux.Rappelant "l'urgence" pour la Métropole de disposer d'un PLH, le préfet de région Christophe Mirmand avait indiqué à l'AFP que "l'Etat appelle de ses vœux son adoption d'ici le premier semestre de 2023"."Nous souhaitons inscrire dans la loi un contrôle technique de l'habitat", a aussi plaidé Benoît Payan qui réclame également un renforcement des peines encourues par les marchands de sommeil ou la possibilité d'exproprier dans les copropriétés très dégradées.Le ministre a promis sans plus de détail de déposer ces propositions au sein de la large consultation sur le logement lancée lundi au sein du Conseil national de la refondation (CNR) voulu par Emmanuel Macron.
Il y a 2 ans et 166 jours

Pour se chauffer, penser aux réseaux de chaleur

6.500 km aujourd'huiLe pays compte 898 réseaux de chaleur, soit 6.500 km de canalisations de chauffage urbain courant dans 850 villes, selon un état des lieux de la Fédération des Services énergie environnement (Fedene) publié mercredi.Les réseaux ont livré 29,8 térawattheures (TWh) de chaleur en 2021, à près de 45.000 bâtiments raccordés; c'était encore 22 TWh il y a dix ans. Les destinataires sont pour la moitié des bâtiments résidentiels.Ces réseaux ont en 2021 été alimentés en moyenne à 62,6% par des énergies locales renouvelables et de récupération (biomasse, géothermie, déchets non recyclables incinérés...), le gaz complétant.Avec des émissions de CO2 réduites pratiquement de moitié en dix ans, ils émettent désormais 45% de gaz à effet de serre en moins que ne le ferait un chauffage au gaz naturel, selon leurs gestionnaires, qui promettent d'accélérer (avec 73% de sources renouvelables d'ici 2030)."Nous sommes de plus en plus vertueux, et nous augmentons nos livraisons, mais pas assez vite", résume Yann Rolland, président du Syndicat national du chauffage urbain (SNCU)."Nous ne représentons que 4-5% des besoins de chaleur des Français. C'est d'autant plus dommage qu'on est plutôt moins cher", la stabilité des renouvelables ayant "un effet amortisseur sur les prix des énergies fossiles".AmbitionsDans l'immédiat, le secteur vise la création de 1.600 réseaux supplémentaires, ou leur extension, d'ici 2030.Et d'ici 15 ans, le réseau urbain pourrait assurer 20% du chauffage national, un objectif "à la fois ambitieux et raisonnable", dans la moyenne européenne."On est sûrs de notre coup", dit le président de la Fedene, Pierre de Montlivault. "On a la demande des villes, et l'offre de sources renouvelables".Pour lui, le retard est "le fruit de l'histoire: la politique énergétique française s'est focalisée depuis des décennies sur l'électricité et le chauffage a toujours été vu comme un sujet un peu moins important"."On a développé après-guerre les infrastructures électriques et gazières et on a considéré que c'était réglé. De ce fait, il n'y a pas eu de volonté de planification des réseaux de chaleur", contrairement à l'Europe du nord, précise-t-il.Un milliard annuelAujourd'hui ces projets sont soutenus en France par le Fonds chaleur, instrument principal de leur essor, dont le montant est de 520 millions d'euros pour 2022. Pour accélérer, il faudrait un milliard d'euros, estime la filière.Pour l'instant, l'Ademe, qui gère le Fonds, a enregistré 190 demandes de dossiers de création de réseaux.Sur fond de flambée des prix du gaz, "nous sommes dans une dynamique nouvelle", observe Yann Rolland qui dirige Engie Solutions: "on n'a jamais eu autant de demandes de raccordement".Ce développement bénéficie aussi de dispositifs réglementaires, dont le texte "raccordement express" permettant aux copropriétés près d'un réseau de profiter d'aides pour se raccorder.Et le froid !Le premier réseau de froid est arrivé dans les années 1990 à Paris où il rafraîchit, grâce à la Seine, hôpitaux et musées. A Annecy c'est grâce au lac, à Marseille grâce à la mer.La France compte 33 réseaux de froid, qui permettent d'éviter les climatiseurs, économisant fluides frigorigènes et énergie. Ils ont livré en 2021 quelque 0,8 TWh de froid. Avec le réchauffement climatique, selon l'Ademe, les besoins de froid dans le résidentiel et le tertiaire pourraient dépasser 28 TWh en 2050.Il est donc "essentiel de développer des solutions vertueuses et décarbonées", insiste la Fedene, relevant que le soutien au froid manque encore en France.
Il y a 2 ans et 166 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE PROSITE, PROJECTEUR LED POUR L’ÉCLAIRAGE EN ENVIRONNEMENT DIFFICILE ET DE GRANDE HAUTEUR

EAS SOLUTIONS, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, présente la gamme de projecteurs LED à haut rendement ProSite de Dialight. Robustes, étanches et très économes en énergie, les projecteurs LED ProSite délivrent un éclairage ultra puissant qui offre une excellente visibilité permettant la sécurité des opérations à l’intérieur comme à l’extérieur. Conçus pour fonctionner dans des environnements difficiles et de grande hauteur, ils sont adaptés à l’éclairage des plateformes offshore, des chantiers, des sites industriels et des sites classés SEVESO comme par exemple, des complexes miniers, pétroliers, gaziers, pétrochimiques … Les projecteurs LED ProSite sont disponibles en plusieurs versions, (modèle simple et double), puissances (81 W ; 124 W ; 234 W ; 484 W et 499 W), flux lumineux (12 000 lm ; 18 000 lm ; 30 000 lm ; 65 000 lm),  températures de couleur (ambre ; 2700 K ; 4000 K ; 5000 K), angles de faisceau (moyen – 55° ; extensif – 125° ; très large – 131°x108° ; asymétrique avec une distribution directe) et indices de rendu des couleurs (IRC 70, 80 en option). Ils possèdent une efficacité lumineuse allant jusqu’à 165 lm/W, une très longue durée de vie de L70>150 000 heures et de nombreuses options adaptées aux besoins spécifiques des professionnels. Résistants à l’humidité, à l’air et brume salins (certification DNV), aux vibrations ainsi qu’à la corrosion (boitier compact en aluminium moulé protégé d’une double couche d’enduit polyester et époxy), les projecteurs LED ProSite sont dotés d’optiques moulées (technologie TIR), recouvertes, en option, de verre ou de polycarbonate. Ils sont étanches (indice de protection IP66/67 ; IK10-polycarbonate, IK08-verre), disposent d’une protection contre les surtensions transitoires et fonctionnent à des températures extrêmes de -40°C à +65°C ; +55°C pour les modèles doubles. Les projecteurs LED ProSite sont gradables et compatibles avec le système de commande DALI 2.0/0-10 VDC. Ils sont garantis 10 ans (luminaire et driver). A propos d’EAS SOLUTIONS  EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe de plus de 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr EAS Solutions a obtenu le label AFE que l’Agence France Électricité délivre aux entreprises qui s’engagent pour le climat et qui prennent en compte les objectifs environnementaux de l’accord de Paris. www.agence-france-electricite.fr
Il y a 2 ans et 166 jours

A Saint-Paul-de-Vence, la fondation Maeght s'agrandit en respectant l'existant

Destiné à offrir de nouvelles surfaces d'exposition pour présenter un fonds permanent riche de quelque 13.000 œuvres, ce chantier va entraîner la fermeture des lieux jusqu'à l'été prochain et se terminera à l'été suivant, en 2024, pour les 60 ans de la célèbre fondation d'art moderne.Pour respecter le bâtiment d'origine, une construction de l'architecte Josep Lluis Sert considéré comme une icône de l'architecture moderniste, le maître d’œuvre italien a travaillé davantage par soustraction que par addition, en creusant une nouvelle galerie sous la cour centrale du bâtiment."L'idée m'est venue en voyant des photos d'Aimé Maeght (NDLR: le créateur de la fondation) en short, surveillant les travaux en 1964 depuis un remblai. Je me suis dit que l'extension était là, dans ce remblai", raconte Silvio d'Ascia, établi en France depuis trente ans et à qui l'on doit la gare TGV de Kenitra au Maroc ou le futur écoquartier Viotte à Besançon.Ce remblai pioché dans la cour centrale sera, dans un souci de recyclage, utilisé pour produire le béton de l'extension du bâtiment, qui accueille chaque année 130.000 visiteurs.Au passage, des éléments ajoutés au fil des années, murs ou occultations, vont être retirés, pour redonner le rythme initial de la déambulation, ponctuée par des meurtrières de lumière. Une promenade extérieure va également être aménagée autour du bâtiment.Au total, la fondation Maeght gagnera ainsi 60% de surface d'exposition, pour atteindre 1.350 mètres carrés."Nos visiteurs qui viennent pour voir Miró, Braque, Chagall ou Giacometti nous reprochaient souvent de ne pas montrer suffisamment nos collections. La nouvelle salle servira à cela, mais aussi à des concerts ou des spectacles de danse quand il pleut", a expliqué Isabelle Maeght, la fille d'André Maeght, 92 ans, et la petite-fille d'Aimé et Marguerite Maeght, ces galeristes parisiens qui avaient eu l'idée de cette "fondation pour les artistes" dans les années 60.Le coût total de ces travaux avoisinera les 4 millions d'euros, financés par les pouvoirs publics, la famille Maeght elle-même et des mécènes comme le groupe Dassault.La fondation ouvrira dans sa nouvelle configuration à l'été 2024 avec une exposition consacrée à Matisse et Bonnard. Un moment important selon Isabelle Maeght, car "ce sont eux qui ont mis le pied à l'étrier à mes parents", a-t-elle souligné.
Il y a 2 ans et 166 jours

Les voussoirs suspendus du Grand Paris Express

Le lanceur associe les voussoirs pour former les travées et ainsi le pont. [©ACPresse] Arrêt sur image 1757. C’est le nombre de voussoirs en béton, dont va avoir besoin Vinci Construction pour le chantier du viaduc du Métro 18. Assemblés grâce à un lanceur, ils sont posés en travées indépendantes, sur des piles, elles-aussi, en béton. Le viaduc s’étend de Palaiseau (91) à Saint-Quentin (78) et dessert 3 gares aériennes. Un article à découvrir en intégralité dans Béton[s] le Magazine, numéro 103. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 166 jours

Ecocem signe l’Act 1 de la décarbonation des ciments

Ecocem annonce la mise sur le marché d’une solution cimentaire très bas carbone baptisée Act. [©Ecocem] A travers sa solution Act – Acuna1 Cement Technologie -, l’industriel irlandais Ecocem dévoile le résultat d’une décennie de recherche & développement. « Act constitue une réponse au besoin urgent de décarboner l’industrie cimentière », résume Conor O’Riain, directeur général d’Ecocem Europe et France. Et de poursuivre : « Il s’agit d’un ciment ternaire comparable à un CEM VI “turbo-boosté” ! » Dans le détail, cet Act, premier d’une famille en devenir, est basé sur une formule mélangeant, dans des proportions précises, du clinker (apporté par un ciment du marché), du laitier moulu de hauts fourneaux et un filler minéral. Celui-ci peut être de type calcaire, argile calcinée, pouzzolane… « Ce ciment va permettre de réduire de près de 70 % l’empreinte carbone du secteur cimentier. » De quoi s’inscrire dans l’Accord de Paris sur les émissions de CO2 pour limiter le réchauffement climatique… « Il y a deux manières de réduire l’empreinte. Soit en capturant à la source le CO2, mais les technologies sont balbutiantes et très coûteuses pour le moment. Soit en évitant ces émissions. En diminuant fortement le taux de clinker dans le ciment Act, nous nous inscrivons dans ce second cas de figure. » Des bétons avec un rapport E/C de 0,25 L’avantage n° 1 de la technologie proposée par Ecocem est de permettre une massification de la production à l’échelle globale. En effet, clinker, laitier moulu de hauts fourneaux et fillers minéraux sont disponibles en quantité, partout sur la planète ! L’avantage n° 2 concerne l’outil industriel. Y intégrer la production du ciment Act ne nécessite, pour ainsi dire, aucune modification ou adaptation lourde. Lire aussi : Ecocem travaille déjà sur les liants bas carbone de demain Côté béton, les choses s’annoncent tout aussi simple. « Avec ce ciment, il est possible de formuler tous les types de bétons, structurels ou non. La mise en œuvre sur chantier ne change pas non plus les habitudes. La différence fondamentale est un besoin en eau très réduit. » En effet, le E/C annoncé est de l’ordre de 0,25… L’autre spécificité vient de l’adjuvantation, mise au point en interne par Ecocem en France, avec ses partenaires habituels (ENS Paris et Insa Toulouse). « Aujourd’hui, nous travaillons activement à mettre en place un partenariat avec un adjuvantier pour assurer la fabrication et la commercialisation de cet adjuvant particulier », indique Conor O’Riain. De la même manière, Ecocem a entamé des discussions avec tous les cimentiers pour licencier la solution Act. Autant d’Act que de cimentiers « C’est la seule manière d’accélérer la massification de la production d’une manière globale et ainsi de réduire le plus vite possible l’empreinte carbone du ciment. » En effet, à lui seul, Ecocem n’a pas cette capacité, ayant un outil industriel limité en comparaison aux majors du ciment. Ce qui ne lui interdira pas d’assurer une production d’Act sous sa propre marque. Dans la réalité, il y aura, potentiellement, autant de ciments bas carbone basés sur la technologie Act que d’industriels signataires d’une licence. Comme il y a autant de CEM II sur le marché que de cimentiers ou de cimenteries… « La réduction rapide des émissions carbone du ciment est un défi majeur de toute stratégie de décarbonation. La Cop 27 a rappelé l’urgence à trouver des solutions évolutives, indique Carmichael Roberts, co-dirigeant du comité d’investissement du Breakthrough Energy Ventures2. La solution Act arrive à un moment crucial et permettra d’accélérer nos efforts pour mettre au point un ciment zéro carbone. » Lire aussi : Le documentaire “Solving Zero” met à l’honneur Ecocem Il y aura des Act 2 et des Act 3 Avec Act, Ecocem propose aux cimentiers de prendre plusieurs années d’avance dans la réduction de leur empreinte CO2. « Nous avons consacré dix années de recherche pour atteindre ce résultat. Chaque industriel peut y avoir accès aujourd’hui. En plus d’une licence de fabrication, nous proposons un accompagnement technologique complet. » En parallèle, Ecocem poursuit les recherches. « Il y aura des ciments Act 2, Act 3… qui viendront enrichir l’offre dans les années qui viennent », insiste Conor O’Riain. En attendant, c’est le déploiement de l’Act 1 qui est en cours. Le calendrier prévoit une disponibilité de la solution dès le marquage CE obtenu. Ecocem l’attend pour 2023 pour lancer les premières applications commerciales. Le ciment Act n’entrant pas dans le champ d’application des normes EN 197-1 et EN 197-5, des demandes d’Atex, puis d’Avis techniques suivront, tout comme la réalisation de chantiers-tests. Mais, c’est bien la mise à jour majeure des normes ciments européennes qui marqueront le véritable acte de naissance de la solution Act d’Ecocem ! Frédéric Gluzicki 1Berceau en espagnol.2Fonds d’investissement fondé par Bill Gates, dont l’objectif est de favoriser le développement de solutions permettant d’atteindre zéro émission nette de CO2. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 166 jours

Coreal s'associe à TotaLinuX pour récupérer l'énergie des datacenters et chauffer ses futurs programmes immobiliers

Les premiers projets sont en cours d'élaboration, à l'instar d'ITrium 1, projet élaboré sur la commune de Jouy-en-Josas, qui développe près de 2 500 m2 de bureaux qui seront intégralement chauffés par la chaleur générée par les serveurs immergés.Rendre les datacenters acteurs de la transition énergétiqueSelon The Shift Project, « think tank » de la transition carbone, la part du numérique dans les émissions mondiales de gaz à effet de serre était de 3,5% en 2021 et pourrait doubler d'ici 2025. Les datacenters, qui nécessitent des systèmes de climatisation et de refroidissement, occupent une part importante de ces émissions. Mais il est possible de récupérer l'énergie dégagée par ces centres de données pour les reconvertir en d'autres usages comme le chauffage de locaux résidentiels ou tertiaires.Coreal et TotaLinuX ont décidé de relever ce nouveau défi de la transition énergétique. Le procédé développé par TotaLinuX va permettre de chauffer, refroidir et assurer la fourniture d'eau chaude sanitaire des programmes résidentiels de Coreal grâce à un datacenter immergé installé dans l'immeuble, en lieu et place de la traditionnelle chaufferie. Le datacenter pourra aussi, en accord avec les communes, être raccordé au réseau de chauffage urbain pour distribuer l'énergie aux logements environnants ainsi qu'aux équipements municipaux (piscines, centres sportifs…).« Nous allons pouvoir assurer les besoins en chauffage, refroidissement et eau chaude de bâtiments de 20 à 50 logements. Nous installons le centre de données au sein même des immeubles, car, plus il est loin, plus il perd en degrés. L'idée est d'implanter les nouveaux datacenters au coeur des villes, là où sont les clients. Ces serveurs sont, aujourd'hui, installés en périphérie, ce qui est une source supplémentaire de pollution, car il faut relancer le signal » explique Dominique Brisard, président du groupe Coreal.Une technologie révolutionnaire à empreinte carbone positivePour fournir l'énergie requise, les datacenters seront immergés selon le procédé d'Immersion Cooling (« refroidissement par immersion ») dont TotaLinuX, entreprise française basée dans la French Tech de Paris Saclay, détient la licence d'exploitation. Les serveurs qui dégagent une forte chaleur (effet Joule) seront refroidis par un fluide diélectrique (sans charges électriques propres), caloporteur, non toxique, inodore, biodégradable et ininflammable. L'installation de ce type de datacenters n'entraîne ni pollution sonore, ni consommation d'eau, ni émission de gaz à effet de serre.La technologie présente ainsi une empreinte carbone positive.« Cette nouvelle technologie de refroidissement des serveurs informatiques, présente les avantages suivants : aucune émission de CO2, aucune consommation d'eau, aucun risque d'incendie contrairement aux datacenters en air, aucune humidité, aucune poussière et aucun bruit » souligne Frédéric Delpeyroux, fondateur et CEO de TotaLinuX et d'ITrium Green & Cloud.Un chauffage gratuit et décarbonéL'installation d'un datacenter immergé est une opération gagnante pour les habitants qui n'assumeront ni les charges de chauffage ni les frais d'entretien d'une chaudière.En effet, le coût d'installation des datacenters est intégralement pris en charge par celui qui en est propriétaire : investisseur ou entreprise. Un opérateur spécialisé assure l'exploitation (Interconnexion, Equinix, DATA4, etc.) et, pour la maintenance et l'entretien classique, TotaLinuX s'appuie sur ses partenaires informatiques, principaux constructeurs mondiaux. Un contrat est signé avec le syndic de copropriété ou le propriétaire de l'immeuble.« Nous sommes à l'avant-garde du logement de demain », explique Dominique Brisard. « L'installation de ces datacenters permettra de délivrer gratuitement de l'énergie aux logements des communes tout en bénéficiant d'une empreinte carbone positive. Le monde de la construction doit montrer l'exemple. C'est un engagement fort vers la sobriété énergétique »Des programmes déjà à l'étudeSitué à Jouy-en-Josas, ITrium 1, première réalisation du programme ITrium®, sera aussi le premier bâtiment au monde à utiliser la technologie de l'Immersion Cooling. Ses 2 500 m² de bureaux et d'espaces de convivialité, de réunion et d'exposition seront chauffés grâce à un centre de données immergé. Le surplus de chaleur sera donné à la ville. En effet, le surplus d'eau chaude sera exporté et redistribué dans les bâtiments à proximité, y compris les logements sociaux. Une innovation originale à la fois écologique, économique et sociale.
Il y a 2 ans et 166 jours

Michel Virlogeux, docteur honoris causa de l’Ecole polytechnique de Wroclaw

« Je suis honoré, car je ne suis qu’un concepteur de ponts et un ingénieur qui enseigne la conception et la construction », a déclaré Michel Virlogeux, lors de la cérémonie de remise du titre de docteur honoris causa de l’Ecole polytechnique de Wroclaw, en Pologne. [©PWr] Le titre de docteur honoris causa a été décerné à Michel Virlogeux par l’Ecole polytechnique de Wroclaw (PWr). C’est une reconnaissance pour celui qui a conçu des ouvrages exceptionnels en France et à l’international. A l’image du viaduc de Millau ou du pont Yavuz Sultan Selim, sur le Bosphore, en Turquie. D’ailleurs en Pologne, il est intervenu sur de nombreux ponts, notamment le viaduc le long de l’A1, à Milówka ou le pont routier, actuellement en construction sur l’Oder, à Kostrzyn. Depuis des années, il coopère avec la Faculté de génie civil de l’Ecole polytechnique de Wroclaw. Il est déjà venu à l’université deux fois en 2010 et en 2013, publiant des articles clefs lors de séminaires scientifiques et techniques. Lire aussi : Michel Virlogeux, quid de l’entretien des ponts après Gênes ? « Je suis honoré, car je ne suis qu’un concepteur de ponts. Ainsi qu’un ingénieur qui enseigne la conception et la construction, a déclaré Michel Virlogeux lors de la cérémonie. Créer et ériger des ponts est une partie spécifique de l’architecture. Mais très importante pour la qualité de vie dans la région où ils sont construits, ainsi que pour la communication et le transport dans nos communautés. » Retour sur son parcours En 1967, Michel Virlogeux est diplômé de l’Ecole polytechnique de Palaiseau, près de Paris. Et en 1970, de l’Ecole nationale des ponts et chaussées. Il obtient son doctorat en ingénierie de l’université Pierre et Marie Curie, à Paris, en 1973. Et un doctorat honorifique de l’université de Loughborough (Royaume-Uni), en 2009. De 1970 à 1973, il se rend en Tunisie pour participer à la construction du réseau routier. En janvier 1974, il entre au département du Service technique d’études des routes et autoroutes (Setra). Ceci, dans la direction de la conception des ponts en béton. En 1980, il devient chef de division responsable des ponts et, en 1987, de la division des ponts en acier et béton. Pendant vingt ans, il concevra plus de 100 ponts, y compris le Pont de Normandie. En 1995, il quitte l’administration française et assure les fonctions d’ingénieur conseil indépendant. Dans ses réalisations principales, on doit noter sa participation à la construction de la seconde traversée du pont sur le Tage (pont Vasco de Gama), à Lisbonne. Avec Norman Foster, la conception du viaduc de Millau en France, et son travail sur le double viaduc TGV d’Avignon. De nombreux ouvrages auxquels il a collaboré ont reçu des récompenses françaises ou internationales. Les travaux de Michel Virlogeux ont contribué aux directives françaises de conception des ponts en béton précontraint et des ponts à haubans. Qui sont utilisées par les ingénieurs du monde entier. Actuellement, il travaille comme expert indépendant dans le domaine de l’ingénierie des ponts, à travers le monde.
Il y a 2 ans et 167 jours

La Nouvelle-Aquitaine mise sur la géothermie pour réduire les factures de ses lycées

"Notre facture de gaz de janvier dernier avait triplé par rapport à celle de janvier 2021. Celle de février était cette fois égale à zéro", se réjouit Laurence Colin, proviseure du Lycée des métiers Condorcet, à Arcachon. Depuis février, cet établissement girondin qui forme les élèves aux métiers du tourisme ou de la restauration est l'un des neuf lycées néo-aquitains (sur 296) chauffés par géothermie.Le système, auquel sont éligibles quasiment tous les établissements de la région, est alimenté par les quatre puits de la société française Vermilion qui produisent du pétrole... mais aussi de l'eau chaude de 65 à 80 degrés, à 300 mètres de là. Grâce à un échangeur à plaques, les calories de cette dernière sont récupérées pour chauffer à son tour l'eau de la chaudière du lycée.Selon Laurence Colin, "on a eu un peu plus chaud cet hiver, sans doute car on n'avait pas à brider autant pour faire des économies".245.000 euros d'économieDeuxième ressource géothermale de France métropolitaine derrière le Bassin parisien, la Nouvelle-Aquitaine a déboursé ces six dernières années 15 millions d'euros pour installer cette source d'énergie dans ses établissements.Cet investissement sera "au moins doublé" dans les années à venir selon le vice-président du conseil régional Jean-Louis Nembrini qui rappelle que la région a dû "voter une rallonge de 10 millions d'euros pour soutenir les lycées qui n'arrivaient plus à payer les factures de gaz".Au Lycée Victor Louis de Talence, près de Bordeaux, l'eau est puisée en sous-sol puis une pompe à chaleur permet d'augmenter la température selon les besoins de l'établissement.L'installation, qui a coûté 2,3 millions d'euros, a permis une division par 10 des émissions de CO2 et de diviser quasiment par trois le coût d'exploitation (150.000 euros contre près de 400.000), selon la région. La facture de gaz est remplacée par une d'électricité, nécessaire au fonctionnement de la pompe.Si la crise énergétique remet un coup de projecteur sur la géothermie, elle a longtemps été délaissée par les collectivités."Il y a quelques années, au prix où était encore le gaz, il fallait compter des temps de retour sur investissement qui étaient souvent de 10 à 14 ans", explique Xavier Pujos, chargé de mission à la région.Et "même si on dit depuis les premiers sommets mondiaux qu'il faut réduire les émissions de CO2, on n'allait pas sur ce terrain".SéismesAujourd'hui, le retour sur investissement a encore diminué. Si une projection dans les prochaines années est difficile, "on n'aura jamais un prix de kilowatt de l'électricité quatre fois supérieur à celui du gaz", assure Xavier Pujos. Une augmentation qui annulerait les bénéfices de l'installation de Talence.Quid de la sécurité ? En 2019 à Strasbourg, un projet de géothermie profonde (eau puisée à plus de 1.500 m de profondeur) avait été mis en cause après plusieurs séismes.Un risque balayé par Xavier Pujos: "En Alsace, ils opéraient beaucoup plus profondément, avec des risques sismiques. De plus, il s'agissait d'une extraction de matière" contrairement aux exemples néo-aquitains où l'eau est réinjectée dans les sols pour éviter un déséquilibre."Les secteurs sur lesquels on a des points de vigilance comme des risques d'effondrement, des mouvements de terrains, sont identifiés", appuie Jérôme Barrière, hydrogéologue du Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM) de la région. La géothermie peut être envisagée mais après l'aval d'experts.Du côté du BRGM, on assure que les demandes de renseignement ont dernièrement augmenté."La géothermie est revenue sur le tapis à chaque grande crise énergétique. Le premier boom est apparu après le choc pétrolier de 1979".
Il y a 2 ans et 167 jours

Béton[s] le Magazine n° 103 fait voyager autour de l’innovation

Innover pour préserver son droit à construire. La formule peut sembler un peu rude, mais reflète bien les réalités auxquelles sont confrontés les industriels du béton et les entreprises de BTP dans le contexte réglementaire et environnemental actuel. Les innovations peuvent donc prendre bien des formes, telles celles proposées par les start-up, à découvrir dans le dossier “En Couverture” du numéro. Ou encore concerner une nouvelle manière de construire avec l’impression 3D en chef de file, à lire dans la continuité. Feuilletez en ligne le numéro 103 sur la liseuse acpresse.fr Royan a su se réinventer L’innovation se fait aussi sur le chantier, à l’image d’un des taxiways de l’aéroport parisien de Roissy – Charles de Gaulle, qui voit la mise en œuvre d’un béton sur enrobé. Une première en aéroportuaire. Quant au viaduc de la ligne 18 du Grand Paris Express, il innove à sa manière, en faisant appel à des lanceurs de poutres. Des équipements que l’on n’avait pas vus sur des chantiers en France depuis des années… L’autre innovation du lot est l’emploi massif de laitier de hauts fourneaux, qui s’inscrit dans la volonté de réduire l’empreinte carbone de cet ouvrage. Enfin, ce voyage autour de l’innovation s’achève en quelque sorte à Royan, ville ravagée par les bombardements de la Seconde Guerre mondiale. Et qui a su se réinventer autour d’un urbanisme moderne, d’inspiration brésilienne. Retrouvez la lecture des articles en ligne du numéro 103 dans la boutique par le sommaire interactif Frédéric Gluzicki Directeur de la publication
Il y a 2 ans et 167 jours

La filière bois en quête de formation

Sous l’égide des Compagnons du Devoir, à l’Académie du Climat de Paris, les acteurs de la formation de la filière bois ont planché sur la question : quelles compétences pour la formation et les emplois de demain ?
Il y a 2 ans et 167 jours

Au cœur de l’architecture ! Avec Sacha Luisada

Les études d’architecture mènent à tout à condition d’en sortir ? Sacha Luisada a su très tôt lors de ses études qu’il ne serait pas architecte mais photographe. Les études d’architecture lui sont cependant apparues comme la meilleure façon de s’approcher de son art. La preuve, après ses photos ‘life style’, le voilà revenu le temps […] L’article Au cœur de l’architecture ! Avec Sacha Luisada est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 167 jours

Avec Bruno Gaudin, la BnF reprend possession de la rue de Richelieu

Le chantier de la seconde phase de la transformation du Quadrilatère Richelieu à Paris (IIe) s’est achevé en 2022 après 15 années pour l’atelier Bruno Gaudin architectes (Bruno Gaudin et Virginie Brégal) et les architectes en chef des Monuments historiques Jean-François Lagneau et Michel Trubert. La BnF a repris possession d’un nouveau, grand et lumineux […] L’article Avec Bruno Gaudin, la BnF reprend possession de la rue de Richelieu est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 168 jours

Ouverture des demandes pour le chèque bois énergie de 50 à 200 euros à partir du 22 décembre

Le Parlement a adopté définitivement vendredi, par un vote du Sénat, un dernier budget rectifié pour 2022, avec parmi les autres dispositions cette aide de 230 millions d'euros pour les ménages se chauffant au bois."Le guichet ouvrira le 22 décembre", a expliqué Gabriel Attal au Parisien."Il suffira de se connecter sur le site chequenergie.gouv.fr et de rentrer son numéro de télédéclarant et sa facture. Pourront y accéder les Français qui gagnent jusqu'à 2.260 euros pour une personne seule et jusqu'à 4.750 euros pour un couple avec deux enfants. L'aide ira de 50 à 200 euros", a-t-il précisé.Toute une série de dispositifs ont été prévus cette année pour le chauffage pour aider les ménages face à la flambée des prix de l'énergie.Mesure phare, un chèque énergie exceptionnel, allant de 100 à 200 euros, sera versé d'ici la fin de l'année à quelque 12 millions de ménages. Un guichet est aussi ouvert depuis novembre pour un chèque allant de 100 à 200 euros et qui devrait bénéficier à 1,6 million de foyers modestes se chauffant au fioul et n'ayant pu bénéficier du bouclier mis en place pour l'électricité et le gaz.
Il y a 2 ans et 168 jours

Le soleil du Gard en renfort de la décarbonation des aéroports parisiens

Des panneaux solaires dans la garrigue pour réduire l'empreinte carbone de Roissy, d'Orly et du Bourget: le gestionnaire aéroportuaire Groupe ADP a inauguré jeudi dans le Gard son premier parc photovoltaïque.
Il y a 2 ans et 168 jours

Avec Hiboo, NGE devient le 1er groupe de BTP   mesurer les émissions réelles de CO2 de son parc matériel

À l’occasion du Salon des Maires et des Collectivités Locales – Paris, le 22 novembre 2022 NGE va piloter la réduction de l’empreinte carbone de ses chantiers grâce à la fonctionnalité développée par Hiboo permettant de collecter et consulter la mesure du CO2e (équivalent CO2) liée à la consommation de carburant de ses engins. C’est […]
Il y a 2 ans et 168 jours

Le numéro de novembre d'AMC est paru

Au sommaire du numéro d'AMC qui vient de paraître (n°309-novembre 2022) et disponible en format numérique: une enquête sur le boulevard périphérique de Paris, un dossier sur la biodiversité urbaine, des détails "surélévations" et une matériauthèque "biodégradables". Mais […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 168 jours

Dans l'existant, des logements hors standard par François Brugel, à Paris

Au sommaire du numéro d'AMC qui vient de paraître (n°309-novembre 2022) et disponible en format numérique: une enquête sur le boulevard périphérique de Paris, un dossier sur la biodiversité urbaine, des détails "surélévations" et une matériauthèque "biodégradables". Mais […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 169 jours

HUMPTY \ DUMPTY : une exposition, deux lieux

Une exposition, deux lieux. HUMPTY \ DUMPTY est un projet inédit de l’artiste Cyprien Gaillard qui propose au Palais de Tokyo et à Lafayette Anticipations (Paris), au même moment, une installation en deux chapitres. Jusqu’au 8 janvier 2023. C’est autour d’une réflexion sur le temps, ses traces, ses effets, et les relations que l’humain noue […] L’article HUMPTY \ DUMPTY : une exposition, deux lieux est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 169 jours

10ème édition du Prix des femmes architectes de l’ARVHA

Le jury de l’ARVHA a annoncé le palmarès de la 10ème édition des prix des femmes architectes en novembre 2022 au Pavillon de l’Arsenal à Paris. L’ARVHA, association pour la recherche sur la ville et l’habitat, a lancé en 2022 la 10ème édition du « Prix des femmes architectes ». Ce prix a pour but […] L’article 10ème édition du Prix des femmes architectes de l’ARVHA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 170 jours

A la Société Générale, une rénovation lumineuse par ATELIER COS

En 2021, ATELIER COS (Didier Beautemps et Valeria Sanchez Rodriguez) a achevé la rénovation et le réaménagement du prestigieux siège historique de la Société Générale, située boulevard Haussmann à Paris (IXe). Modernité, lumière et flexibilité sont les mots clés de cette intervention. Communiqué. ATELIER COS, sous l’œil bienveillant des architectes du patrimoine, ont restauré l’immense […] L’article A la Société Générale, une rénovation lumineuse par ATELIER COS est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 171 jours

Les dates des RenoDays avancées aux 12 et 13 septembre 2023

Créés par le pôle Construction de RX France et construits avec toutes les parties prenantes engagées dans la sobriété énergétique, les RenoDays suscitent d’ores et déjà un intérêt certain.Face à cet engouement, les RenoDays réaffirment leurs ambitions : accélérer la mise en œuvre de travaux de rénovation efficaces en donnant les moyens aux professionnels de prendre ces chantiers à bras le corps.Afin de rassembler toute la chaîne de valeur de la rénovation énergétique des logements, l’évènement inédit accueillera tous les acteurs engagés dès le 12 et 13 septembre 2023, dans le Pavillon 6 de Paris Expo Porte de Versailles. Il était préalablement prévu début octobre.En s’appuyant sur une centaine d’exposants attendus, parmi lesquels des industriels, société de services et institutionnels, les RenoDays proposeront un format innovant, construit sur une grande diversité de sessions de rencontres pour :échanger des conseils, des expertises et des bonnes pratiques ;s’informer sur les évolutions de la réglementation ;apprendre et se former, présenter ou découvrir les solutions les plus innovantes, et communiquer.
Il y a 2 ans et 171 jours

Le maire PS de Saint-Ouen Karim Bouamrane élu à la tête de la Société du Grand Paris

"Je suis profondément attaché, comme l'ensemble des élus franciliens, à la réussite du Grand Paris Express. Ce projet permettra d'améliorer la vie quotidienne de millions d'habitants. Il est une réponse concrète à l'urgence environnementale et sociale", a déclaré Karim Bouamrane, cité dans le communiqué."Tous les habitants doivent bénéficier d'un accès égal à l'emploi, au développement économique, à la culture, au progrès", a-t-il ajouté. La Société du Grand Paris est un établissement public dédié à la construction de 200 kilomètres de lignes de métro automatique autour de la capitale, avec quatre nouvelles lignes et le prolongement de la ligne 14. La SGP réalise aussi bien les infrastructures de transport que les projets immobiliers inhérents, le plus souvent en collaboration avec un promoteur.Le budget 2023 de l'établissement public a également été adopté lors du conseil de surveillance qui s'est tenu à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).Il "s'établit à plus de 5,3 milliards d'euros de dépenses dont 3,6 milliards d'euros d'investissement pour les travaux du Grand Paris Express et 150 millions d'euros au titre de la modernisation du réseau de transport francilien", a précisé le communiqué.Karim Bouamrane a été élu en 2020 maire de Saint-Ouen, commune de quelque 50.000 habitants au nord de Paris sous les couleurs du Parti socialiste, dont il a été l'un des porte-parole.
Il y a 2 ans et 171 jours

La rénovation énergétique, source d'inégalités ?

Mercredi, lors d'un colloque à Paris dans le cadre de la Journée nationale contre la précarité énergétique, les intervenants ont longuement évoqué la nécessité de rénover massivement les logements, pour réduire leur consommation d'énergie et desserrer les contraintes pesant notamment sur les ménages modestes. Mais la nécessité, dans la plupart des cas, d'avancer les frais bloque encore beaucoup de familles.Le gouvernement l'a compris et a dégainé, au fil des années, des dispositifs pour en tenir compte.Ainsi, MaPrimeRénov', son aide-phare, est plus généreuse avec les ménages à faibles revenus, tandis que les plus riches en sont quasiment exclus.Mais il faut tout de même avancer les frais, et dans la plupart des chantiers, il subsiste un reste à charge, difficile à assumer pour les familles modestes."Quand on dit à des gens qui vivent avec 5 euros par jour et par personne qu'il y a un reste à charge de 5, 10 ou 20.000 euros parfois, c'est juste pas possible. Même s'il y a les trois quarts de trouvés en termes de financement", a détaillé Franck Billeau, directeur du réseau Eco-Habitat, association d'aide à la rénovation."Pour tous ceux qui sont dans les passoires thermiques, et notamment pour ceux qui sont dans une situation de pauvreté, donc ceux qui sont dans la situation la plus difficile et surtout aussi ceux qui émettent davantage de gaz à effet de serre, là, il faut tendre vers le zéro reste à charge", a plaidé sur France Inter Christophe Robert, délégué général de la Fondation Abbé Pierre.Prêt à taux zéroPour pallier cette difficulté, le ministre délégué au Logement Olivier Klein a annoncé mi-novembre le lancement d'un prêt à taux zéro accompagnant MaPrimeRénov'.Plafonné à 30.000 euros, il vise à mieux aider les plus modestes, et rejoint un précédent prêt, le "prêt avance rénovation", qui permettait de rembourser la somme empruntée au moment de la revente du bien ou de la succession.De quoi réduire le reste à charge, mais pas encore à zéro."Avant même de faire une rénovation lourde, il faut engager d'autres frais, par exemple pour un audit énergétique. C'est autant de frais qu'un ménage va avoir du mal à débourser", note Carine Sebi, professeure à Grenoble Ecole de Management et spécialiste de la rénovation énergétique."Faire une rénovation, c'est très compliqué, et on peut toujours remettre en cause l'investissement par rapport au rendement de celui-ci, parce que vous avez plein de paramètres qui vont rentrer en compte, et que l'amortissement se fait parfois sur 20, 30, 40 ans", ajoute-t-elle.Valeur vertePour les propriétaires les mieux lotis, qui ont les moyens d'engager une rénovation, le retour sur investissement peut être plus rapide que prévu: les logements aux meilleures performances énergétiques commencent en effet à se vendre plus cher sur le marché immobilier, tandis que les maisons les plus énergivores perdent de la valeur, selon une étude de 2021 des notaires de France. On parle de "valeur verte".Les propriétaires les plus modestes peuvent au contraire voir leur patrimoine perdre de sa valeur faute de pouvoir faire des travaux... trop onéreux pour eux.Du côté des locataires, en revanche, la valeur verte est de nature à inciter les propriétaires à rénover, estime Carine Sebi, du fait de l'interdiction progressive, à partir de 2023, de louer des logements trop énergivores.Les inégalités au sein des locataires sont néanmoins un peu lissées par le logement social.Avec 46% des logements sociaux de métropole classés A, B ou C pour leur consommation d'énergie (sur une échelle allant de A à G) en 2021, contre 25% pour la France entière, les bailleurs sociaux sont en effet les meilleurs élèves de la rénovation.
Il y a 2 ans et 171 jours

Vinci Construction France : Le Grand Paris Express fait le pont à Saclay

Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine. La viaduc du plateau de Saclay positionne les rames de métro à 10 m au-dessus du sol pour une moindre emprise au sol du projet. [©ACPresse] C’est pour ainsi dire une des rares sections aériennes du Grand Paris Express. La densité urbaine de l’Ile-de-France n’y est sans doute pas étrangère, imposant pour l’essentiel des cas des constructions en souterrain. Le lot 1 de la ligne 18* du métro ne déroge pas à cette règle, sachant qu’il passe sous les pistes de l’aéroport d’Orly sur la première partie de son tracé. Avant de poursuivre sa course sous les communes d’Anthony et de Massy-Palaiseau. Un parcours global de 11,8 km qui débouche enfin à la surface à la hauteur du Centre d’exploitation de Palaiseau, le long du CD 36. C’est aussi le point de départ du lot 2, qui doit relier Massy-Palaiseau à la gare “CEA Saint-Aubin”, sur le plateau de Saclay.Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 171 jours

Paris-Saclay Paysages fait escale à la MAIdF

Après plus d’un an d’itinérance dans la région, l’exposition « Paris-Saclay Paysages » fait une dernière escale à la Maison de l’architecture Ile-de-France à Paris (Xe). Sept artistes offrent aux visiteurs leur regard sur ce territoire. Jusqu’au 9 janvier 2023. A l’occasion de ses 10 ans, l’EPA Paris-Saclay, établissement public en charge de l’aménagement et du développement […] L’article Paris-Saclay Paysages fait escale à la MAIdF est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 171 jours

Val-de-Marne : une nouvelle unité de production et d’injection de biométhane à Valenton d’ici à 2023

Le Syndicat interdépartemental pour l'assainissement de l'agglomération parisienne (SIAAP) mobilise une somme de plus de 20 millions d’euros...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 171 jours

Atelier Tempo passe maître dans l’expertise de la réalisation des gares du Grand Paris

Coordination, synthèse de conception et d’exécution ! Atelier Tempo, chef d’orchestre des savoir-faire de l’immobilier et de la construction, a désormais une nouvelle corde à son arc. Depuis quelques mois, le bras armé des architectes et des maîtres d’oeuvre propose l’accompagnement d’un pôle d’expertise dédié à ses clients pour la conception et la réalisation des […]
Il y a 2 ans et 172 jours

Vendre le Parc des Princes au PSG "n'est pas notre option prioritaire" affirme la mairie de Paris

Dans un entretien à la presse mercredi, le président du club parisien Nasser Al-Khelaïfi a assuré que, faute de pouvoir devenir propriétaire du Parc des Princes (48.000 places), QSI, qui possède le PSG, pourrait chercher un autre stade, quelques jours après avoir annoncé envisager de vendre des parts du club."Ils sont titulaires d'un bail, un bail de 30 ans, ils souhaiteraient pouvoir engager une phase d'investissement, et ils disent : on injecte 500 ou 600 millions (d'euros) de travaux que si on est propriétaires. Nous, ce n'est pas notre inclination première de leur vendre le Parc des Princes. C'est le patrimoine de la ville, des Parisiens", a expliqué Emmanuel Grégoire. "Des discussions sont engagées autour de la vente et on leur a dit : avant même de savoir si on souhaite vendre, il faudrait s'entendre sur un prix. Aujourd'hui, on n'est pas encore arrivé au bout de ces discussions", a poursuivi l'élu parisien.Les dirigeants du club "ont dit qu'ils voulaient faire les travaux et acheter et on leur demandé de faire une proposition", a pour sa part précisé auprès de l'AFP Pierre Rabadan, adjoint chargé des sports à la mairie de Paris, qualifiant la proposition du PSG de "peu décente".Pour Emmanuel Grégoire, "la tactique de négociation (...) peut s'apparenter à un coup de pression" et "je ne crois pas que ce soit la bonne méthode"."Notre option prioritaire est plutôt de rester sur un modèle de bail, de location longue durée. Les options sont sur la table, (vendre) c'est clairement pas notre préférence et ils le savent", a-t-il insisté.
Il y a 2 ans et 172 jours

Le remplaçant d'Olivier Klein élu au conseil de surveillance de la Société du Grand Paris

CARNET/NOMINATION. Les membres du conseil de surveillance de la Société du Grand Paris ont élu un nouveau président et un vice-président lors de leur réunion du 24 novembre 2022.
Il y a 2 ans et 172 jours

Un nouveau président pour TK Elevator France (ex Thyssenkrupp Ascenseurs)

CARNET-NOMINATION. Hugues de Carpentier a succédé Emmanuel Paris à la tête de TK Elevator France (ex Thyssenkrupp Ascenseurs).
Il y a 2 ans et 172 jours

À Paris, un ancien garage automobile devient un espace de bureaux

EN IMAGES. L'agence d'architecture Pseudonyme s'est vue confier la réalisation de bureaux sur le site d'un ancien garage. Elle a souhaité apporter plus de lumière naturelle et de fluidité aux espaces.
Il y a 2 ans et 172 jours

L'immobilier ancien ralentit mais résiste à l'incertitude économique

Les prix, qui grimpent depuis le début de la pandémie, ont progressé de 6,4% au troisième quart de l'année par rapport à 2021. Un léger ralentissement par rapport aux 6,8% du deuxième trimestre et aux 7,3% du premier.Cette hausse suit la courbe des transactions qui, après avoir atteint un pic au 3e trimestre 2021 (plus de 1,2 million de ventes), reflue doucement mais reste à un niveau très élevé avec 1,13 million de ventes conclues en douze mois."On constate que ce marché immobilier est très, très résistant sur la France entière", a commenté Thierry Delesalle, président de la commission statistiques des Notaires du Grand Paris."Nous sommes étonnés de cette vigueur qui perdure alors que tous les feux ne sont plus au vert", a-t-il déclaré.L'inflation alimentée par les prix de l'énergie et le resserrement des conditions de crédit ne semblent ainsi pas encore avoir d'impact sur l'immobilier ancien.Les statistiques des notaires, basées sur les ventes définitivement conclues, reflètent l'état du marché avec retard par rapport à celles des réseaux d'agences, qui se fient plutôt aux promesses de vente. Mais elles sont plus exhaustives.L'impact du taux d'usure, qui interdit d'emprunter au-delà d'un certain taux d'intérêt et bloque l'accession à la propriété de certains ménages, n'est donc pas entièrement intégré, la préoccupation à ce sujet ayant commencé à grimper cet été.L'inquiétude vis-à-vis des retraites, avec une réforme annoncée dans les prochains mois, peut plutôt ramener des Français vers l'investissement locatif, vu comme un complément de revenus, a estimé Me Delesalle.La tendance observée depuis 2020, qui voit les maisons se renchérir beaucoup plus vite que les appartements, continue: elles ont augmenté deux fois plus vite, 8,2% contre 4,1%.Crise de l'énergieDeux explications à cela, commente pour l'AFP Thomas Lefebvre, directeur scientifique de Meilleurs Agents: "les fameuses tendances post-Covid, avec les gens qui ont cherché un jardin", et les prix de l'immobilier devenus inaccessibles dans les grandes villes, qui poussent des ménages vers le périurbain."Il y a des personnes qui n'ont pas le choix, des gens qui sont contraints d'acheter dans ces territoires et d'utiliser leur voiture, et c'est d'autres frais qui en pâtiront ensuite", dit-il."On peut dire que la crise Covid est derrière nous et que la crise de l'énergie (...) redistribue complètement les cartes", a jugé Christian Godard, des Notaires du Grand Paris.La future interdiction de louer des logements trop énergivores commence aussi à avoir des conséquences sur les prix, ont relevé les notaires."Forcément, sur les maisons, ça a plus d'influence, et les prix sont plus négociés que pour les appartements quand vous avez une mauvaise étiquette thermique", a détaillé Me Delesalle."Vu la difficulté aujourd'hui de trouver des entreprises qualifiées pour faire des travaux, vu l'augmentation du coût des travaux (...), ça peut, je pense, peser un peu dans la balance et faire hésiter les investisseurs et les acquéreurs", a également jugé Me Godard.Les prix des appartements suivent des tendances totalement différentes dans les trois plus grandes villes du pays: ils continuent de refluer à Paris (-1,2%), tandis qu'ils progressent doucement à Lyon (+1,9%) et flambent à Marseille (+10,8%)."Marseille est une ville qui rattrape son retard", avance Thomas Lefebvre. "Les prix restent bas par rapport à d'autres agglomérations, et c'est ça qui porte le marché.""Vous avez aussi un marché marseillais qui est en très forte pénurie d'offre", ajoute-t-il.Dans la capitale, la baisse des prix continue d'épargner les arrondissements les plus chics (VIe, VIIe, VIIIe, XVIe) ainsi que le XIe, sans doute du fait du retour des acheteurs étrangers après la fin des mesures sanitaires.
Il y a 2 ans et 172 jours

Ville de Royan : Une nouvelle architecture en béton

Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine. Claude Ferret a tout d’abord dessiné un plan d’urbanisme néo-classique, style “Art Déco” des années 1930. Avec une touche régionale saintongeaise… On le voit sur le boulevard Aristide Briand qui prolonge le marché central et le front de mer. [©Ville de Royan] Fin XIXe et début XXe siècle, Royan est une petite cité balnéaire de Charente-Maritime, qui doit son développement à la mode des bains de mer venue d’Angleterre. Mais aussi à l’essor de la navigation à vapeur. Une liaison s’établit d’ailleurs entre la ville et Bordeaux. Royan s’adapte au tourisme. Elle prospère jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, où elle devient une poche de résistance allemande. « Après deux vagues successives de bombardements, en janvier et avril 1945, plus de 85 % de la ville de Royan sont détruits. Seuls, les quartiers situés à l’Ouest, du côté Pontaillac, et à l’Est, le long de la Grande Conche, sont en partie épargnés », résume Charlotte de Charette, responsable du service patrimoine de Royan. Et de poursuivre : « Après sa libération en avril 1945, Royan est un champ de ruines. La question de la reconstruction à l’identique ne se pose pas ici, contrairement à Saint-Malo ou Gien. Claude Ferret est alors nommé à la fois architecte et urbaniste en chef de la reconstruction de la cité balnéaire. Il est assisté de Louis Simon, de Paris et André Morisseau, un local de Pons. Venant de Bordeaux où il est le directeur de l’Ecole d’architecture, Claude Ferret emmène avec lui ses étudiants. C’est toute une effervescence… » Raoul Dautry, alors ministre de la Reconstruction et de l’Urbanisme nommé par la Résistance, avait reçu Claude Ferret en juillet 1945 et lui avait dit : « Vous voyez, Ferret, vous avez 3 ans pour reconstruire cette ville. Si dans 3 ans, vous n’avez pas terminé, on vous fera fusiller… » Il lui faudra 20 ans pour achever la ville ! Venu du Brésil… L’église Notre-Dame-de-Royan, œuvre de l’architecte parisien Guillaume Gillet, nouveau Grand Prix de Rome, élève d’Auguste Perret, rompt avec les avant-projets jugés trop “brésiliens”. [©Ville de Royan] La “modernité” n’a pas été une volonté immédiate. Claude Ferret a tout d’abord dessiné un plan d’urbanisme néo-classique, style “Art Déco” des années 1930. Il voulait une station balnéaire contemporaine : des lignes droites, des bâtiments simples et bas (il ne fallait pas cacher la mer). Avec une touche régionale saintongeaise… On le voit sur le boulevard Aristide Briand qui prolonge le marché central et le front de mer. « Ferret s’est beaucoup promené dans la ville rasée. Avant de reconstruire, il y avait les gravats à déblayer, les routes à reformer, les plages à déminer… Cela lui a laissé un temps de réflexion assez long. Les travaux ne commencèrent qu’en 1947-1948. Ses premiers projets s’inspiraient de l’esthétique des années 1930-1940. Mais en 1950-1951, ils basculent soudainement vers une expression moderne “lyrique”, proche de celle des architectes brésiliens qui ont pour chefs de file Lucio Costa et Oscar Niemeyer, reprend Charlotte de Charette. En effet, c’est à l’occasion de la lecture de revues d’architecture que Claude Ferret retravaille ses projets vers une “tropicalisation” à la brésilienne. Le béton tout en courbes En 1950-1951, les projets de Claude Ferret basculent soudainement vers une expression moderne “lyrique”, proche de celle des architectes brésiliens qui ont pour chefs de file Lucio Costa et Oscar Niemeyer. Ici, le front de mer. [©Ville de Royan] Le béton est donc mis à l’honneur, avec des formes ludiques courbes, une relation poussée entre intérieur et extérieur, la multiplication de terrasses, de loggias, de claustras, d’auvents… Ainsi, le front de mer mélange trois styles : Art Déco, charentais et brésilien. En effet, à Royan, la rigueur “idéologique” et militante du Mouvement moderne est adoucie pour prendre des allures “festives” et conviviales. Parmi les réalisations emblématiques de la ville, le Palais des congrès, la poste centrale, l’église du parc, l’entrée de la ville. Mais aussi la galerie Botton et son auditorium sur le front de mer, le temple, le stade, la gare routière… Et, bien sûr, l’église Notre-Dame-de-Royan, œuvre de l’architecte parisien Guillaume Gillet, nouveau Grand Prix de Rome, élève d’Auguste Perret, qui rompt avec les avant-projets jugés trop “brésiliens”. L’église utilise surtout la technique “V-Lafaille”, qui consiste en une structure auto-portante en béton armé mince. La forme de l’édifice fait penser à une immense proue de navire. Mais il y a aussi un clin d’œil à l’architecture gothique, en particulier à la cathédrale d’Albi par la hauteur de sa nef allongée. Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 172 jours

Eiffage Construction installe une grue à tour au 26e étage de la Tour Hopen à Paris-La Défense

Celle-ci a été installée sur la terrasse du 26e étage de la Tour à l'aide d'une grue mobile de 750 tonnes équipée d'une flèche à volée variable de 84 mètres, elle-même mise en place grâce à trois autres grues mobiles. Cette opération vient d'être réalisée avec succès pour le chantier démarré cet été pour le compte de différents investisseurs représentés par Primonial REIM France.Imaginé par le cabinet d'architecture Ateliers 2/3/4, accompagné d'Orfeo Développement en tant que maître d'ouvrage délégué, le projet a pour ambition de contribuer à donner une dynamique nouvelle au plus important quartier d'affaires de France. L'immeuble tertiaire, construit en 2002 et classé IGH, a ainsi été repensé pour en faire une tour à usage mixte emblématique du quartier d'affaires.Les travaux, réalisés par Eiffage Construction et Goyer aux côtés des entreprises Phibor et Lefort-Francheteau, consistent en la restructuration et la surélévation de la Tour qui culmine à 218.00 NGF. Rehaussée de trois niveaux et dotée d'une extension latérale sur 26 niveaux en structure métallique, sa surface de plancher va passer de 61 000 m² à près de 66 000 m² et pourra accueillir 7 400 personnes.Afin de répondre aux meilleurs standards internationaux, ce projet qui aura recours au réemploi d'éléments issus du curage de la tour existante, vise plusieurs certifications et labels : HQE bâtiment durable et BREEAM niveau Excellent, Well Gold, Well HSR et Ready to Osmoz.D'une durée de 25 mois, les travaux s'achèveront au cours du troisième trimestre 2024.Ce marché a été remporté en groupement en mai 2022 à la suite d'une consultation lancée en 2021 et une phase de travail en exclusivité.Eiffage Construction est intervenu à plusieurs reprises ces dernières années dans le quartier d'affaires de Paris - La Défense tant en neuf avec la construction de la Tour Majunga qu'en rénovation avec l'ensemble Carré Michelet, l'immeuble Window, les Tours Pascal ou encore la Grande Arche de La Défense.
Il y a 2 ans et 172 jours

L'ancien Premier ministre Jean Castex confirmé à la tête de la RATP

CARNET/NOMINATION. Après avoir reçu l'approbation du Parlement, Jean Castex a officiellement été nommé président-directeur général de l'établissement public chargé des transports en commun parisiens.
Il y a 2 ans et 173 jours

Christian Bouigeon, nouveau Président du FILMM (Syndicat des Fabricants d’Isolants en Laine Minérale Manufacturée)

Christian Bouigeon a été élu à la Présidence du FILMM et succède à Pierre-Emmanuel Thiard, appelé à d’autres fonctions.Ingénieur diplômé de l’école ESPCI Paris – Ecole Supérieure de Physique et de Chimie Industrielles de Paris – il débute sa carrière en tant qu’ingénieur de recherche au sein du Groupe Saint-Gobain. Il l’a poursuivie dans différentes entités du Groupe en France et en Pologne. Occupant des fonctions de Direction Générale depuis 2004, il a été nommé à la Direction Générale des marques Isover et Placo France depuis mai 2021. Christian Bouigeon et les membres du FILMM souhaitent rappeler le rôle fondamental de l’isolation pour une véritable sobriété énergétique des bâtiments. A l’heure du dérèglement climatique et des crises énergétiques, des décisions fortes doivent être prises sur la rénovation des bâtiments en France en utilisant tous les dispositifs incitatifs et financiers pour passer à l’action.Les adhérents du FILMM (Eurocoustic, Isover, Knauf Insulation, Rockwool, Ursa), produisant tous en France, proposent des laines minérales de verre et de roche permettant de répondre à cette urgence collective. Je suis très heureux de prendre la présidence du FILMM et de pouvoir m’associer à l’ensemble de ses membres pour valoriser le rôle fondamental que joue l’isolation dans la sobriété énergétique des bâtiments et la réduction de leurs émissions de CO2.Christian Bouigeon
Il y a 2 ans et 174 jours

Sobriété énergétique : Engie à les solutions pour les collectivités, l'industrie et les entreprises

Dans un contexte de crise énergétique sans précédent, Engie Solutions a présenté lors d’une conférence à Paris le 21 novembre, sa palette de...-Industrie
Il y a 2 ans et 174 jours

L’architecte en garde à vue – Le fantôme de Gina

[Résumé des épisodes précédents. A Paris, l’inspecteur Nutello – dit Dr. Nut – entend enfin cerner, voire confondre, l’architecte Dubois, un tueur en série retors de blondes aux yeux bleus, en garde à vue depuis la veille. A la recherche du corps de ses victimes, grâce à Ethel Hazel, la psychanalyste de l’architecte qui assiste […] L’article L’architecte en garde à vue – Le fantôme de Gina est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.