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Résultats de recherche pour renovation

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Il y a 2 ans et 157 jours

Isover présente Isocoton, un nouvel isolant biosourcé en textiles recyclés

Au delà de son savoir-faire historique sur la laine de verre et la laine de roche, ISOVER est une marque pionnière sur le marché des isolants biosourcés. Depuis le lancement de ses premières gammes, il y a près de 20 ans, la marque œuvre à la professionnalisation de ce segment de marché en proposant à ses clients la garantie de produits et de systèmes performants, certifiés et au cycle de vie plus vertueux.L’urgence climatique encourage aujourd’hui l’économie circulaire et une meilleure isolation des bâtiments pour plus de confort et moins d’émissions de CO2. ISOVER, acteur français de l’Isolation, développe et commercialise depuis de longues années des isolants issus de matières premières recyclées ou de chutes de production d’autres industries. Ainsi, ses laines de verre contiennent jusqu’à 80% de verre recyclé et ses isolants en fibre de bois sont issus de chutes de scieries approvisionnées en local.Il est donc aujourd’hui naturel pour ISOVER de présenter Isocoton, un isolant biosourcé performant, issu de textiles recyclés en local, ultra doux au toucher, confortable à poser et 100% made in France.Un lancement qui complète la large gamme d’isolants ISOVER et apporte une nouvelle alternative responsable pour l’isolation intérieure des bâtiments.De nombreux bénéfices pour l’homme et pour l’environnementIsocoton est un matériau répondant aux enjeux de l'économie circulaire et aux grandes tendances de la consommation responsable. Il s’agit d’une nouvelle alternative aux autres matériaux isolants commercialisés par ISOVER (laine de verre, laine de roche, fibre de bois, XPS, PSE). Isocoton vient renforcer la stratégie de développement de solutions d’isolation multi-matériaux, chacun de ces matériaux répondant à des enjeux et problématiques spécifiques de ses clients et usagers.Isocoton, comme les textiles que nous portons, a pour but de protéger durablement la maison contre le froid et le chaud. Un choix de bon sens pour améliorer le confort des ménages français.Confort et bien-être toute l’année, été comme hiverIsocoton apporte, via ses propriétés thermiques, un grand confort aux occupants des bâtiments toute l'année. En été comme en hiver. En plus d’être une bonne isolation contre le froid, Isocoton permet de lutter contre la chaleur en été et de conserver la fraîcheur nocturne durant les canicules. Son étiquetage sanitaire (A+), contribue activement à conserver la qualité de l’air de l’habitat.Les performances thermiques d’Isocoton atteignent un pouvoir isolant (lambda λ) de 37 mW/m.K, qui le positionne parmi les isolants biosourcés les plus performants du marché.Hautes performances certifiéesIsocoton est sous certification ACERMI (Association pour la Certification des matériaux isolants, n° ACERMI 21/018/1558).Il est le seul à se décliner en 5 épaisseurs de 40 mm / 100 mm / 120 mm / 140 mm / 200 mm pour répondre efficacement à tous les besoins et toutes les applications en isolation intérieure : cloisons, murs, combles perdus ou aménagés, plafonds.Côté phonique, Isocoton réduit la propagation du bruit grâce à sa texture fibreuse qui en fait un excellent isolant acoustique. Ses performances sont équivalentes à celles de la laine de verre Par Phonic ou celles des isolants flexibles Isonat en fibres de bois, notamment pour les cloisons distributives (RA = 38 dB pour une cloison 72/48 avec une plaque BA 13 et de l’Isocoton 40 mm).Isocoton bénéficie d’une réaction au feu sous ACERMI ainsi que des extensions feu avec l’ensemble des systèmes de plaques de plâtre Placo®, en cloisons, contre-cloisons et plafonds, assurant pour les logements collectifs et les Établissements Recevant du Public, la sérénité et la sécurité des occupants.Un produit biosourcé et issu du recyclage pour une gestion optimisée des ressourcesIsocoton permet la revalorisation de vêtements destinés au rebut et de chutes de tissu de l’industrie textile. En transformant cette matière en isolant, ISOVER participe à valoriser une matière première disponible en très grande quantité, en un produit à haute valeur ajoutée pour l’efficacité thermique des bâtiments et le confort des occupants.Cette solution d’isolation biosourcée s’inscrit en droite ligne avec les exigences de la RE 2020.Parallèlement, cette transformation par voie sèche 100% réalisée en France réduit l’impact de sa production sur l’environnement en limitant fortement sa consommation en eau.Confort de pose inégaléUne douceur extrêmeBénéfice majeur pour le poseur, Isocoton est un produit doux et moelleux, agréable à poser.Un poids plumeIsocoton, par sa légèreté, offre plus de confort aux poseurs tant dans sa pose que lors de la manutention sur les chantiers.Une mise en œuvre aiséeLégers, souples et semi-rigides (à partir de 100 mm), les panneaux se glissent facilement dans les espaces difficiles d’accès, entre chevrons notamment ou derrière les fourrures, permettant un calfeutrage optimal. Ils reprennent également leur forme grâce à leur haute conformabilité et épousent ainsi parfaitement la structure y compris sur les supports irréguliers.Isocoton est compatible avec les systèmes Optima (en murs) et les membranes Vario® Confort d’ISOVER.Enfin, la mise en œuvre des panneaux Isocoton est sous avis techniques, pour une pose sereine et assurable :DTA n° 20/19-439_V2_E1 pour l’application murs et cloisonsDTA n° 20/19-440_V2_E1 pour l’application comblesIsocoton s’associe à Placo® pour proposer des systèmes de cloisons, contre-cloisons et plafondsA l’écoute des évolutions et des besoins, ISOVER propose également une solution Isocoton avec Placo®, leader français du confort intérieur, mutualisant ainsi leurs expertises.Disposant de plus de 30 PV et extensions feu et acoustique pour valider un très grand nombre de configurations, ces systèmes répondent à la demande croissante du biosourcé en cloisons et contre-cloisons en murs maçonnés dans les Établissements Recevant du Public tels que les lieux de santé, d’enseignement, ou encore dans les logements collectifs.Ces systèmes allient les performances et bénéfices d’Isocoton aux qualités techniques multiples de la large gamme de plaques de plâtre Placo®.Plus de 30 PV et extensions validésCes solutions permettent d’atteindre des exigences feu EI30 à EI120 en cloisons, et EI45 à EI120 en contre-cloisons.Côté confort acoustique, elles offrent les avantages de l’isolant cumulés à celui de la plaque, procurant ainsi un important confort phonique.Isocoton est compatible avec les aides financièresAfin d’améliorer l’isolation des logements, de diminuer les factures de chauffage et de permettre d’éviter des émissions de CO₂, des aides financières existent en rénovation.Isocoton est éligible aux aides à la rénovation selon les épaisseurs et les applications.Cela concerne entre autres MaPrimeRénov’, l’Éco-prêt à taux zéro (Éco-PTZ), les CEE ou encore la TVA à 5,5 % pour les travaux de rénovation énergétique.
Il y a 2 ans et 157 jours

Fin du chantier pharaonique de réhabilitation de la Maison de Radio France

"2022 marque la fin d'un chantier historique: la réhabilitation de la Maison de la Radio et de la Musique" dont "l'apparence et l'âme originelles" ont été conservées mais qui a été "modernisée sur les plans technique, avec une remise aux normes du bâtiment, mais aussi technologique", précise Radio France dans un communiqué.Inaugurée en grande pompe par le général de Gaulle en 1963, la Maison Ronde, au 116, avenue du Président-Kennedy à Paris, avait dû être mise en conformité avec les normes anti-incendie et désamiantée.Au total, 90.000 m2 ont été rénovés, dont l'auditorium de Radio France d'une superficie de 2.300 m³ et 1.461 places, 38.000 m2 de bureaux ou le fameux studio 104 qui peut accueillir 856 visiteurs.Les discussions concernant ces travaux avaient démarré en 2005. Il était alors prévu de les lancer début 2006 pour une durée de six ans et un coût d'environ 240 millions d'euros.Le chantier, initié finalement en 2008, avait été épinglé en 2015 par la Cour des comptes qui pointait "une dérive financière" contribuant au "déséquilibre des comptes de l'entreprise" publique.En février 2019, la Cour relevait encore des "allongements de calendrier" - fin des travaux repoussée à 2022 au lieu de 2018 - qui "dégradent le climat social" et "une augmentation continuelle des coûts, désormais portés à 583 millions d'euros".Radio France a souligné vendredi que la rénovation de son bâtiment s'achevait "dans le respect du calendrier établi en 2018 et sans dépassement de budget", soit un coût total de 493 millions d'euros hors taxes.En 2018, "le projet avait en effet fait l'objet d'une mise à jour pour assurer un pilotage efficace, intégrer les nouveaux enjeux numériques, ainsi que les modes de production de demain" et s'adapter "aux aléas inhérents" à un tel chantier, selon la direction.Le conseil d'administration avait alors fixé le coût total maximum de l'opération à 510 millions d'euros, selon un périmètre différent de celui de la Cour des comptes.Un montant que "l'équipe de réhabilitation est parvenue à faire diminuer au fur et à mesure de la modération des risques", a précisé à l'AFP Radio France.
Il y a 2 ans et 159 jours

La CAPEB adresse 26 propositions à Elisabeth Borne pour une contribution active des artisans à la rénovation énergétique des bâtiments

Hausse des prix des matériaux, difficultés d'approvisionnement, répercussions de la hausse des coûts de l'énergie : les entreprises artisanales du bâtiment subissent, depuis 2021, des conditions impactant leur trésorerie et leur marge. Pourtant, « elles ont su, jusqu’à présent, grâce à leur compétence et leur capacité d'adaptation, s’organiser pour répondre à la demande de leurs clients, maîtriser la gestion de leurs chantiers et embaucher sur tout le territoire » selon la lettre ouverte de la CAPEB.Cette situation pourrait néanmoins être améliorée et les entreprises artisanales pourraient optimiser leur capacité à rénover des bâtiments avec une levée de certains freins et des actions du gouvernement.La CAPEB demande notamment :Une simplification de la qualification RGE pour augmenter le nombre d'entreprises qualifiées.La sécurisation du mandataire commun des groupements momentanés d'entreprises (GME) pour développer le recours à la cotraitance des TPE. Cela aurait pour effet d'augmenter leurs moyens pour effectuer des rénovations de bâtiment.Une optimisation du pilotage du dispositif MaPrimeRénov’ couplée une plus grande implication de l'industrie bancaire dans financement des travaux de rénovation permettrait une démultiplication significative du marché de travaux et ainsi au renforcement de l'efficacité des mesures gouvernementales dès 2023, au bénéfice d’une majorité de ménages et d’entreprises du bâtiment.Veiller à ce que les dispositions en matière de CEE ou de qualification RGE ne pénalisent pas les TPE. Cette égalité de traitement, ce qui permettrait de libérer le potentiel de 500.000 entreprises de moins de 10 salariés.Vous pouvez retrouver l'intégralité de la lettre ouverte ainsi que les 26 propositions de la CAPEB en cliquant ici.
Il y a 2 ans et 159 jours

Les artisans demandent la simplification du RGE à la Première ministre

RÉNOVATION ÉNERGÉTIQUE. Le label Reconnu garant de l'environnement (RGE) doit être simplifié pour permettre à un maximum d'artisans d'entrer dans la démarche, assure la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb), dans une lettre ouverte à Élisabeth Borne.
Il y a 2 ans et 159 jours

Résultats du Baromètre Enedis CSA 2022 : "Les Français, les maires et la sobriété énergétique dans leur commune"

Une enquête menée par l’institut CSA Research pour Enedis révèle ainsi qu’une large majorité de citoyens et d’élus locaux sont aujourd’hui favorables à des mesures de sobriété énergétique sur leur commune pour faire face à la flambée des prix de l’énergie. La sobriété énergétique est la grande priorité des maires Premier enseignement de l’enquête « Les Français, les maires et la sobriété énergétique dans leur commune » : la sobriété énergétique est considérée comme LA grande préoccupation des élus pour leur commune (sauf en Ile-de-France où le sujet des transports publics continue à prévaloir), elle est vue comme la 4ème priorité pour les Français. 89% des maires interrogés considèrent que la mise en place de mesures de sobriété énergétique dans leur commune est un objectif important.88% des Français interrogés estiment que la sobriété énergétique devrait aujourd’hui constituer un objectif important pour leur maire. Les Français et les élus sont unanimes pour éteindre les lumières Pour baisser la consommation énergétique, la diminution de l’éclairage nocturne fait consensus. 72% des Français interrogés approuvent l’extinction de l’éclairage public après 22h.68% des maires interrogés déclarent avoir déjà mis en œuvre cette mesure.Les zones rurales et les petites villes sont à la pointe du mouvement. Dans les communes de moins de 10.000 habitants, l’extinction de l’éclairage public après 22h figure au premier rang des mesures mises en place par ces mairies pour réduire leur consommation d’énergie. Selon l’ADEME [1], 37% des dépenses d’électricité des collectivités locales reposent sur l’éclairage public. Les Français attendent néanmoins d’autres mesures complémentaires de leurs élus notamment concernant l’extinction des panneaux municipaux (86%) ou des vitrines des commerces (85%).A l’approche des fêtes de fin d’année, le Baromètre Enedis-CSA révèle que seuls 43% des Français sont prêts à renoncer aux illuminations de Noël dans leur commune. Agir sur le chauffage, une urgence pour les Français La question du chauffage est centrale à l’approche de l’hiver. Une large majorité de ménages (86%) souhaitent par ailleurs que leur mairie mette en place des mesures en faveur de la rénovation des logements énergivores. 33% des Français interrogés déclarent avoir le sentiment de vivre dans une passoire thermique. 28% des maires ont déjà lancé ce type d’initiatives. Dans les villes de plus de 30.000 habitants, la rénovation thermique des logements arrive au 2ème rang des priorités exprimées par les habitants, juste après la diminution du chauffage dans les bâtiments publics. La baisse du chauffage dans les bâtiments publics (gymnases, locaux administratifs…) fait quant à elle largement consensus. 72% des Français sont favorables à cette mesure pour soutenir la sobriété énergétique. 47% des maires ont déjà mis en place de telles actions. En revanche, moins d’un Français sur trois soutient la fermeture d’installations sportives ou de lieux culturels pour répondre aux enjeux de sobriété.L’enjeu des factures d’électricité et de gaz est surtout sensible dans les communes de 10.000 à 30.000 habitants où plus d’un maire sur deux (57%) y voit sa principale préoccupation, ainsi que dans les villes plus petites de 2.000 à 10.000 habitants (49%) et dans les communes du Nord-Ouest (56%) de la France. Pour les maires, un besoin d’accompagnement et d’outils pratiques Éteindre l’éclairage public dans une rue plutôt qu’une autre, réduire le chauffage dans la salle des fêtes ou le gymnase ? Comment s’assurer que les choix sont les bons ? Si 71% des maires ont mesuré les effets de l’extinction de l’éclairage public après 22 heures, 60% d’entre eux sont en demande d’outils pour mieux diagnostiquer et définir les actions de sobriété énergétique à mettre en place, cette proportion atteignant 76% dans les villes de 2000 à 10.000 habitants.Deux maires sur trois (67%) sont demandeurs d’outils de pilotage adaptés pour mesurer les impacts de leurs actions et optimiser leurs consommations d’électricité.La perception des Français des mesures déjà prises par les élus vs les mesures à prendre pour favoriser la sobriété énergétiqueA propos de la méthodologie du baromètre CSA pour Enedis :Ce baromètre qualitatif et quantitatif a été réalisé auprès de trois échantillons représentatifs :Par téléphone du 27 septembre au 19 octobre 2022 auprès de 500 maires ou adjoints au maire en charge de l’énergie, dont 263 maires de communes de moins de 2.000 habitants, 165 maires de communes de 2.000 à 10.000 habitants, 43 maires de communes de 10.000 à 30.000 habitants et 29 maires de communes de plus de 30.000 habitants.En ligne sur panel du 27 au 29 septembre 2022 auprès de 1.012 Français, âgés de 18 ans et plus (méthode représentative des quotas).10 entretiens individuels réalisés par téléphone auprès de maires de communes de France d’une durée de 45 minutes. Entretiens réalisés entre le 18 et le 26 octobre 2022.[1] Source : https://expertises.ademe.fr/collectivites-secteur-public/patrimoine-communes-comment-passer-a-laction/eclairage-public-gisement-deconomies-denergie
Il y a 2 ans et 159 jours

Le changement climatique incite des Français à rénover énergétiquement

ÉTUDE. Le changement climatique encourage visiblement de nombreux Français à envisager des travaux de rénovation énergétique.
Il y a 2 ans et 159 jours

Puy-de-Dôme : réhabilitation de l'îlot Grenier et réfection de la place Félix-Pérol à Riom

La commune de Riom (Puy-de-Dôme) poursuit la rénovation de son centre historique avec la réhabilitation de l’îlot Grenier et de la place...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 159 jours

Loire-Atlantique : de nouveaux aménagements en vue dans le quartier Preux à Saint-Herblain

À Saint-Herblain (Loire-Atlantique), l’opération de rénovation urbaine dans le quartier Preux se poursuit. Un nouveau collège et de...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 160 jours

Cedeo enrichit son outil de chiffrage Solu+

Solu+ : aider les professionnels à être plus performantSolu + est un outil de chiffrage qui permet de dimensionner et chiffrer précisément les produits et la main d’œuvre nécessaires à la réalisation de chantiers en neuf et en rénovation. Les professionnels l’utilisent pour faire leurs devis, chiffrer leurs chantiers et sélectionner les meilleures solutions. Solu + leur permet de soumettre à leur client une ou plusieurs solutions et devis si besoin.Facile à utiliser, seulement quelques étapes suffisent à réaliser le chiffrage du chantier :Sélection du ou des ouvrages concernés ;Saisie des caractéristiques du chantier ;Obtention rapide d’une solution technique de pro tenant compte des normes et DTU en vigueur ;Comparaison des prix, des mises en oeuvre et des performances ;Consultation des tarifs CEDEO personnalisés chiffré en prix net et finalisation de la commande en ligne ;Impression du rapport détaillé (avec ou sans prix) et export du chiffrage dans le devis Tolteck.Enfin tout au long de la saisie des éléments nécessaires au chiffrage, le professionnel bénéficie de points d’informations sur la configuration du chantier et des solutions et peut aussi vérifier la disponibilité et les délais de livraison des produits.10 parcours sont déjà disponibles pour les membres de CEDEO Boost : Chaudière murales gaz ; PAC air/eau ; Radiateurs/sèches-serviettes ; Planchers chauffants ; Cabine de douche Concerto ; Calcul de puissance chaud/froid…Accessible sur PC, tablette et smartphone, Solu + est gratuit et exclusivement réservé aux membres de CEDEO Boost.Solu+ : toujours plus de nouveautésSolu + permet de chiffrer rapidement des monosplit / multisplit pour le résidentiel ou le petit tertiaire ; les unités souhaitées (murale, console, cassette, plafonnier et gainable) ; les supports muraux ou supports au sol ; les pompes de relevage ; les liaisons frigorifiques ; les câbles électriques et disjoncteurs et la régulation associée.L’outil facilite le travail du professionnel en permettant de :combiner des monosplits et des multisplits dans le même parcours pour le chiffrage de l’installation ;dimensionner le groupe extérieur selon le la température de base extérieure de la commune saisie ;configurer les diamètres et les longueurs des liaisons frigorifiques et des câbles électriques selon les contraintes du chantier.CEDEO propose également un nouveau chiffrage sur la ventilation et, dans les prochains mois, des chiffrages sur la robinetterie encastrée, les pompes eau froide.
Il y a 2 ans et 160 jours

L’Ifpeb, un socle technique pour des bâtiments “compatibles neutralité carbone”

L’Institut français pour la performance du bâtiment a présenté un socle programmatique pour des bâtiments “compatibles neutralité carbone”. [©IFPEB] L’Institut français pour la performance du bâtiment (Ifpeb) a présenté un socle programmatique pour des bâtiments “compatibles neutralité carbone”. Pendant 8 mois, les membres de l’Ifpeb ont travaillé sur le sujet. Issu de ces recherches, le socle technique part du constat que les objectifs prévus ont du retard. Seulement la moitié du chemin a été parcouru, dans l’objectif neutralité carbone horizon 2030, en trois quarts du temps. Ces experts constatent aussi la différence de rythme entre les rénovations et les constructions neuves. La taille du parc tertiaire a augmenté de 50 % entre 1990 et 2019. Alors que seulement 41 000 rénovations de logements en BBC ont été réalisées, loin des 500 000 prévues à la Stratégie nationale bas carbone. Le rapport donne alors des axes programmatiques, afin de réduire de façon immédiate l’impact carbone du bâtiment. 5 axes fondamentaux pour un bâtiment compatible neutralité carbone Lire aussi : Ifpeb : Appel à innovations “béton bas carbone” Le socle technique de l’Ifpeb donne 5 axes fondamentaux pour atteindre les objectifs neutralité carbone du bâtiment. Tout d’abord, le texte insiste sur le progrès constant, ne pas viser le “zéro carbone” trop vite. Le rapport explique devoir s’appuyer sur 3 leviers programmatiques : intensifier l’usage du bâtiment, atteindre la sobriété énergétique. Le 3e levier est l’adaptation de la consommation pour consommer mieux. Le bâtiment compatible neutralité carbone doit aussi évaluer son potentiel de décarbonation maximum, ainsi que sa performance carbone énergie. Enfin, il faut calculer la performance carbone matériaux du bâtiment. La démarche proposée par l’Ifpeb n’est pas un label ou une certification. C’est une véritable démarche pour baliser une marche à suivre vers la neutralité carbone. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 160 jours

Lourds travaux de rénovation en vue pour le tunnel du Mont-Blanc

Construit il y a près de 60 ans, emprunté quotidiennement par des milliers de voitures et de poids-lourds, ce tunnel bidirectionnel d'une longueur de 11,6 km "arrive dans une phase où il faut faire des travaux importants de rénovation", notamment de réhabilitation de la voûte, a expliqué Grégory Schwarshaupt, directeur adjoint du Tunnel du Mont Blanc dans un entretien avec l'AFP. Un premier temps, qualifié de "phases-tests", entraînera une fermeture totale du tunnel pendant 3 mois et demi en 2023 et 2024, de septembre à décembre pour rénover 600 mètres de voûte à chaque intervention. Le calendrier précis des fermetures, rendues nécessaires par le démontage d'une grande partie des équipements de sécurité, devrait être communiqué début 2023, selon l'exploitant. "Sans ces phases tests, il est impossible pour nous, et même inconsidéré, d'annoncer aujourd'hui un quelconque programme de travaux d'ampleur" à mener, explique M. Schwarshaupt. Alors que, de l'autre coté des Alpes, des responsables italiens s'inquiètent de possibles fermetures "trois mois par an pendant 18 ans", "il n'y a aujourd'hui pas de scénario privilégié, c'est trop tôt", indique le responsable. Grâce aux tests, l'exploitant espère "minimiser l'impact sur la liaison franco-italienne" en optimisant les procédures. "Pour d'autres chantiers, on a réussi à trouver des solutions pour le faire en fermeture nocturne", explique ainsi Grégory Schwarshaupt. Le tunnel voit passer toute l'année environ 1.500-1.700 camions poids lourds par jour, tandis que le trafic de véhicules légers oscille entre quelque 4.000 voitures/jour en octobre-novembre et des pics de 8.000 l'été. D'où le choix de la saison automnale pour les fermetures prévues en 2023 et 2024. Côté italien, les milieux économiques s'inquiètent déjà du futur chantier alors que "92% des marchandises exportées vers la France le sont par voie routière", comme l'a récemment rappelé Ivan Russo, directeur de la société publique RAM chargée de la mobilité durable au ministère de l'Economie. "Les hypothétiques fermetures prévues du tunnel du Mont Blanc, trois mois par an pendant 18 ans, risquent de mettre à genoux l'économie italienne qui a en grande partie recours au transport par la route", a prévenu le président de l'association italienne des transporteurs routiers Conftrasporto-Confcommercio, Paolo Uggè. "Des fermetures de trois mois par an pendant les 18 prochaines années sont programmées.(...) Si le projet est confirmé, ce serait un coup très dur pour tout le Nord-Ouest" de l'Italie, a estimé de son côté le président du lobby patronal Confindustria, Carlo Bonomi. "Je crois nécessaire à ce stade de mettre immédiatement en chantier le second tube du tunnel. Mais la France s'y oppose et nous avons des doutes sur le futur", a-t-il dit.
Il y a 2 ans et 160 jours

logement les politiques de renovation energetique pas assez efficaces

Dans un rapport dévoilé ce mercredi, France Stratégie estime que les réductions d'émissions de CO2 dans le secteur du bâtiment restent insuffisantes au regard des objectifs fixés par la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC), et que la rénovation énergétique des logement occupés par des ménages en situation de précarité énergétique doit devenir « la première priorité ».
Il y a 2 ans et 160 jours

Une proposition de loi du groupe Renaissance ouvre le tiers financement à la rénovation énergétique des bâtiments publics

Déposée mardi 29 novembre à l’Assemblée nationale, une proposition de loi du groupe Renaissance "vise à ouvrir le tiers financement à...-Marchés publics
Il y a 2 ans et 160 jours

"Les CEE ne devraient pas être monopolisés par certains travaux", N.Moulin (VosTravauxEco)

ENTRETIEN. Le fondateur de Vos travaux éco constate, ces derniers temps, un ralentissement au niveau de l'intérêt des ménages pour les travaux de rénovation énergétique. Et appelle à redynamiser le marché.
Il y a 2 ans et 160 jours

knauf mise sur la renovation energetique et l isolation biosourcee pour 2023

Christine Muscat, directrice générale de Knauf, dévoilait ce mercredi le bilan du groupe. Après une année de tous les records en 2021, l’année 2022 s’est inscrite en demi-teinte avec l’inflation. Malgré ce contexte pesant, l’industriel continue de lancer des projets, en investissant notamment dans les isolants biosourcés et les nouveaux outils digitaux.
Il y a 2 ans et 160 jours

Les trois priorités des industriels de la construction face à la crise énergétique

INDUSTRIE. À la suite de la dernière réunion de son bureau exécutif, le Comité stratégique de la filière des industries de la construction exhorte les pouvoirs publics à passer la surmultipliée pour les chantiers de rénovation globale. La décarbonation des processus de production ainsi que le renforcement de l'économie circulaire font aussi partie de la feuille de route.
Il y a 2 ans et 160 jours

La rénovation de l'existant, un "marché d'avenir" pour les architectes

ACTIVITÉ. Les architectes sont déjà très actifs sur les chantiers de rénovation/extension, et comptent bien s'inscrire dans la dynamique en faveur des opérations sur l'existant, notamment en investissant le rôle d'accompagnateur rénov'.
Il y a 2 ans et 160 jours

Les politiques de rénovation énergétique des logements épinglées par un rapport de France Stratégie

"Depuis l'adoption de la première SNBC (Stratégie nationale bas-carbone, ndlr), la baisse des émissions dans le secteur du bâtiment demeure insuffisante au regard des objectifs", note l'organisme qui dépend de Matignon. En 2020, déjà, le Haut conseil pour le climat (HCC), cité dans le rapport, pointait l'insuffisance des dispositifs de subvention comme MaPrimeRénov' ou la TVA à 5,5% et des offres de prêt existant jusque-là "face au montant des travaux et à la faible capacité de financement des ménages". "L'obtention des aides n'est par ailleurs pas systématiquement conditionnée à une obligation de résultat en terme de gain de performance énergétique", note France Stratégie, relevant également un "déficit d'accès à l'information et d'accompagnement", "les délais de réalisation des travaux" ou encore la nécessité de "montée en compétences des artisans", qui constituent "autant de blocages à la rénovation énergétique". Si les dernières mesures mises en place, comme la réglementation environnementale 2020 (RE2020), désormais obligatoire pour les constructions neuves, ou l'interdiction de l'installation de chaudières fonctionnant au fioul "permettront de renforcer l'effort de décarbonation dans le secteur, il n'y a toutefois pas de garantie qu'elles soient pleinement suffisantes et adaptées", estime France Stratégie. "Les actions de rénovation entreprises dans les logements se résument aujourd'hui principalement à des gestes isolés ou combinés par couches successives", a ajouté l'organisme, rappelant que 86% des dossiers MaPrimRénov' validés "entre janvier 2020 et juin 2021 concernaient des travaux de rénovation mono-gestes", qui sont, pour 98% d'entre eux, des changements de systèmes de chauffage, "majoritairement des pompes à chaleur, qui, installées dans des logements peu isolés, soulèvent des questions en termes de pointe électrique lors des journées très froides". Or, le coût des travaux et le "faible calibrage des aides (...) expliquent en partie que les ménages" fassent ce choix de mono-gestes, quand "les opérations de rénovation complète en une seule étape (ou très peu d'étapes) sont souvent mises en avant comme condition nécessaire à l'atteinte d'un niveau équivalent BBC" (bâtiment basse consommation). La SNBC fixe comme objectif que le parc résidentiel "atteigne en moyenne un niveau de performance BBC en 2050", a encore précisé France Stratégie.
Il y a 2 ans et 161 jours

Saga vidéo Schöck : la saison 2 sensibilise aux impacts économiques d’une enveloppe de bâtiment non homogène

Tel est le pitch de la deuxième saison des vidéos lancées par Schöck en vue d’insuffler une prise de conscience collective pour un choix de logements économes, sains et durables. Avec trois nouveaux opus : « La grande évasion énergétique », « État des lieux, première partie : ça va chauffer ! », « État des lieux, seconde partie : un combat inégal ». Pouvoir d’achat des ménages accru et économies d’énergie Fervent défenseur de l’homogénéité de l’enveloppe des bâtiments, Schöck met son expertise au service du plus grand nombre à travers une série de vidéos, ludiques et didactiques, initiée en septembre 2022. Si la première saison scénarisait notamment la prédilection hexagonale pour l’ITI et non l’ITE (à l’inverse de la majorité des pays européens) et donnait le rôle principal aux passoires thermiques, le deuxième volet se consacre très concrètement aux impacts économiques d’une enveloppe non homogène. Il s’adresse toujours aux particuliers désireux d'acquérir un logement, tout en sensibilisant également associations de consommateurs, organismes en conseil immobilier, fédérations, institutionnels comme politiques... S’appuyant sur le Livre Blanc réalisé par le Groupe de Travail sur la Qualité de l’Enveloppe (GTQE) du Pôle Fibres-Énergivie, Schöck rappelle que les dépenses en chauffage représentent 14% du budget des Français. Or, augmenter le chauffage pour pallier la sensation de froid se révèle tout à fait inutile si le logement concerné est mal isolé. C’est autant d’argent évaporé que d’énergie s’échappant par les ponts thermiques non traités. Il suffit de comparer la durée de vie de l’enveloppe d’un bâtiment (10 à 20 ans) à celle des équipements (5 à 10 ans), ainsi que leur maintenance réciproque (décennale versus annuelle) pour comprendre l’intérêt évident d’agir en premier lieu sur la qualité de cette enveloppe, en particulier par le traitement systématique des ponts thermiques. A la clé : économies d'énergie, réduction de la facture de chauffage, augmentation du pouvoir d'achat des ménages, gain en confort et valorisation du bien immobilier. En d’autres termes, la garantie d'un choix gagnant pour toute la vie du logement, tant pour le propriétaire que pour l'occupant ! Il s’agit donc là-encore pour Schöck d’insuffler une véritable dynamique afin que les constructions d’aujourd’hui ne soient pas les rénovations de demain. Découvrez les épisodes de la saison 2 sur la chaîne YouTube Schöck France.
Il y a 2 ans et 161 jours

Nouvelles dates pour le salon Renodays, dédié à la rénovation énergétique des logements

A vos agendas ! Le salon Renodays se tiendra les 12 et 13 septembre à Paris Expo Porte de Versailles dans le pavillon 6, et non début octobre comme initialement annoncé lors du dernier salon Batimat.
Il y a 2 ans et 161 jours

comment sto veut embarquer les professionnels du btp vers la renovation globale

Être moteur de la création progressive d’une filière de rénovation globale pour rendre les bâtiments performants et multi-usages, tel est l'objectif du spécialiste de l'isolation thermique par l'extérieur Sto. Une ambition que le fabricant traduit dans le choix de ses projets et de ses services d'accompagnement.
Il y a 2 ans et 161 jours

"Il faut soutenir davantage les rénovations globales" (Ph. Boussemart, Sto)

ISOLATION. Le directeur général de Sto, spécialiste des systèmes de façades, Philippe Boussemart, appelle le gouvernement à injecter plus d'argent dans les rénovations globales. Il a pour cela plusieurs propositions.
Il y a 2 ans et 161 jours

Rénovation énergétique : deux réformes pour les copropriétés en 2023 ?

COPROPRIÉTÉS. Le gouvernement réfléchirait à deux réformes pour faire voter plus facilement les travaux de rénovation énergétique au sein des copropriétés. Il y a urgence, alors que de nombreux logements énergivores seront bientôt interdits à la location.
Il y a 2 ans et 162 jours

Expo : ”Conserver Adapter Transmettre”

L'exposition ” Conserver Adapter Transmettre” analyse une quarantaine de projets de rénovation, réhabilitation et reconversion. De nouveaux modes de fabrication qui conjuguent enjeux climatiques...
Il y a 2 ans et 162 jours

Lutte contre le mal-logement à Marseille : le début d'une nouvelle ère ?

"Le logement constitue à Marseille le plus grand défi pour les pouvoirs publics et sans doute pour de longues années encore", a prévenu le préfet de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur Christophe Mirmand.Dans cette cité de 860.000 habitants, "l'urgence est réelle" et "menace la cohésion sociale", a martelé le représentant de l'Etat.Derrière les chiffres accablants - 40.000 taudis, autant de demandes de logement sociaux en attente, 14.000 personnes sans solution de logement – se cachent des vies gâchées dans des appartements humides, aux fils d'électricité dénudés, pour des loyers exorbitants, des hommes et des femmes à la rue ou contraints d'occuper des logements murés ou indignes.Sitti Ahmed, une mère de famille de 50 ans, attend par exemple depuis onze ans un HLM en rez-de-chaussée adapté à son fils autiste qui "essaie de monter sur les fenêtres".Pour "relever Marseille", il faut s'y "mettre tous", a exhorté le maire Benoît Payan, dont l'union de gauche a conquis la municipalité deux ans après l'effondrement de deux immeubles rue d'Aubagne qui avait fait huit morts, révélant l'inertie de l'ancienne majorité de droite.C'est à son initiative, même si la mairie n'a pas de compétence sur la politique du logement, qu'ont lieu lundi et mardi des états généraux sur ce sujet brûlant réunissant propriétaires, bailleurs sociaux et collectivités dont la Métropole Aix-Marseille-Provence.Cette dernière, qui n'a toujours pas adopté de Plan local d'habitat, pourtant essentiel pour planifier l'organisation du logement sur ce territoire comprenant Marseille et 91 communes principalement dans les Bouches-du-Rhône, a toutefois affiché ses bonnes intentions."Il y a une "volonté d'établir une chaîne d'action publique", a assuré le LR David Ytier, son vice-président au logement.Le mouvement HLM "n'attend que ça, de construire plus fort et mieux à Marseille et dans la métropole", a embrayé la présidente de l'Union sociale pour l'habitat Emmanuelle Cosse, alors que le manque de logements sociaux est criant."On attend du concret""C'est trop tard pour se dire qu'enfin ça bouge à Marseille. Mais il y a une vraie impulsion", a estimé auprès de l'AFP Francis Vernede, directeur régional de la Fondation Abbé-Pierre."On ne peut qu'être ravi de voir l'Etat, la ville et la métropole assis côte à côte, avec une volonté a priori d'oeuvrer ensemble. Après, on attend du concret, de la rénovation, du bâti, du logement abordable pour tous et ça c'est une politique globale qui va pas se faire tout de suite", a-t-il poursuivi.Construire d'abord: la métropole prévoierait 11.000 logements par an dans son futur Plan local d'habitat (PLH) 2023-2028 qui n'a toujours pas été dévoilé.Rééquilibrer la répartition ensuite sachant qu'une trentaine des 92 communes de la métropole ne respectent pas leurs obligations en termes de nombre de logements sociaux. Et qu'à Marseille même, les quartiers déshérités du nord de la ville comptent 40% de logements sociaux quand il n'y a en a que 10% dans les quartiers cossus du sud.Lutter contre les logements indignes aussi: "Je veux que les marchands de sommeil ne dorment plus", a martelé Benoît Payan en réclamant un renforcement des peines à leur encontre et notamment une interdiction d'acheter des logements pendant 30 ans et non pas seulement 10 ans. Il veut aussi pouvoir exproprier dans les copropriétés très dégradées.La mairie rappelle que certains immeubles sont dans un tel état qu'elle doit prendre "20 arrêtés de mise en sécurité par mois" avec les relogements qui vont avec. "Et ça ne va pas s'arrêter immédiatement", a prévenu Patrick Amico, adjoint au maire de Marseille.La Métropole vante de son côté les mérites de son "permis de louer" lancé dans le quartier de la rue d'Aubagne et qui lui permet d'empêcher un propriétaire de louer s'il ne fait pas certains travaux.Le ministre délégué au Logement Olivier Klein est attendu mardi à Marseille.
Il y a 2 ans et 162 jours

Action Logement veut "embarquer le secteur" vers la décarbonation avec 70 Mds d'euros

STRATÉGIE CARBONE. En pleines discussions budgétaires avec l'Etat, l'organisme paritaire, fort de son 1,1 million de logements, lance un plan "massif" de décarbonation de son activité d'ici 2030. D'un budget de 70 milliards d'euros, il doit permettre de baisser de 70% les émissions actuelles, principalement en accélérant le rythme et l'intensité des rénovations énergétiques.
Il y a 2 ans et 162 jours

Reprise d’un point de vente et développement en multi-sites, le réseau Lorenove est toujours aussi attractif !

Avec 60 points de vente en activité, le réseau LORENOVE signera en 2023 ses 40 ans d’activité !Une longévité qui doit notamment sa prospérité à l’accompagnement des concessionnaires et aux outils et services qui leur sont proposés. En outre, l’activité du marché, qui a connu une croissance de près de 20% en 2021, ne se tarit pas en 2022 et offre l’opportunité à de jeunes entrepreneurs de lancer leur entreprise ou bien de reprendre les parcours actifs de leurspatrons. Ce sont les illustrations types des nouvelles concessions de Sainte-Geneviève-des-Bois et Cannes qui sont respectivement un rachat à la suite d’un départ en retraite ainsi qu’une création dans le cadre d’un projet de vie. Voici les portraits de ces entrepreneurs. KEVIN GUEUDIN, L’ÉVOLUTION D’UNE CARRIÈRE, D’AIDE POSEUR À GÉRANT. Entré en activité en 2011 en tant qu’aide poseur chez LORENOVE, c’est dans la concession d’Etampes que Kevin Gueudin a débuté sa carrière. A cette époque, la concession « Ecole de Fenêtres » est détenue par Monsieur Ecole ainsi que deux autres concessions à Sainte-Geneviève-des-Bois et Orléans. De 2012 à 2014, il prend un poste de commercial toujours au sein de la concession d’Etampes puis intègre l’équipe commerciale de Sainte-Geneviève-des-Bois. Une opportunité professionnelle – qu’il saisit sans hésitation – vient s’offrir à lui, lorsque M. Ecole souhaite prendre sa retraite en 2022 et lui propose de racheter la concession. Ainsi en juillet 2022 le rachat est officialisé et la concession est renommée Fenêtres et Fermetures de l’Essonne. Kevin Gueudin qui conserve ses fonctions commerciales, est entouré d’une équipe de 9 personnes dont 6 poseurs, une assistante commerciale, un commercial et un chef d’agence. À court terme, l’un des objectifs premiers est d’embaucher un second commercial pour le remplacer afin qu’il puisse se concentrer sur la gérance administrative. Concession Lorenove Sainte-Geneviève-des-Bois 91 En activité depuis 2000 la concession de Sainte-Geneviève-des-Bois bénéficie d’une renommée et d’une implantation locale profitable avec une belle visibilité, notamment avec son showroom de près de 100 m². L’équipe en place est performante et l’activité florissante avec un carnet de commande bien rempli. « Nous bénéficions également de lanotoriété nationale de l’enseigne Lorenove qui nous amène des contacts et dont la majorité sont issus du site Internet. En local, le bouche à oreille fonctionne également très bien, nos clients sont un peu nos ambassadeurs » témoigne Kevin Gueudin. Sagace, Kevin Gueudin se fixe des objectifs de développement stratégiques comme l’intégration de vérandas, produit complémentaire aux menuiseries et très demandé ; la prospection vers les copropriétés qui amènent des chantiers conséquents, l’embauche et la formation d’un maçon pour intégrer la gestion des chantiers (portails, clôtures, etc.) de A à Z, ainsi que l’achat d’un nouveau local afin d’être propriétaire des murs. Kevin Gueudin Gérant CAROLINE ET GEOFFREY KETTERER, DE DREUX À CANNES, ITINÉRAIRE D’UN PROJET DE VIE. Dirigeant de l’entreprise de bâtiment « Plein Jour Habitat » à Chartres, Geoffrey Ketterer évolue depuis ses 18 ans, sur le secteur de la rénovation de l’habitat. Approché par le Groupe Lorillard pour son activité en menuiserie, Geoffrey Ketterer est séduit par le concept du réseau LORENOVE qu’il rejoint en 2017 pour ouvrir sa concession sur le territoire de Dreux en Eure-et-Loir (28). Etoffée d’un chef d’agence, d’un commercial, d’une assistante et de 2 poseurs, la concession de Dreux évolue sur un marché favorable avec un secteur pavillonnaire abondant. Sa femme, Caroline, a rejoint les équipes en 2018 et s’occupe des taches relatives à la gestion et au contrôle de conformité pour l’ensemble des enseignes. Le savoir-faire des équipes, la notoriété de l’enseigne LORENOVE ainsi que leur travail sérieux ont porté leurs fruits et la concession bénéficie aujourd’hui d’une renommée qui se propage principalement par le bouche à oreille. Cette prospérité aurait pu être le symbole d’une évolution professionnelle paisible mais c’était sans compter sur le caractère entreprenant de Geoffrey Ketterer et le projet de vie du couple ; qui choisit de partir vivre dans le sud de la France, à Cannes. Justement, l’enseigne LORENOVE n’étant pas implantée à Cannes, l’opportunité leur tend les bras et l’enseigne voit le jour en février 2022. Installée en plein centre-ville de Cannes, la concession est dotée d’un showroom de 100 m². Une assistante a été recrutée ainsi qu’un métreur, avec qui le couple travaille de longue date, et qui a saisi également l’occasion de s’implanter dans le sud de la France. Concession LORENOVE Cannes 06 Le marché de l’habitat Cannois est particulièrement différent de celui de Dreux. « L’activité pavillonnaire concerne beaucoup de résidences secondaires et ce sont majoritairement des immeubles en copropriété pour lesquels le mode de commercialisation et d’exécution des travaux est totalement différent. Par ailleurs les projets de rénovation sont en grande partie axés sur les extérieurs (piscine, terrasse, etc.). Le climat étant différent, les ménages sont moins portés sur la facture énergétique de leur habitat » témoigne Caroline Ketterer.Des facteurs qui n’auront pas d’incidence majeure sur le développement de l’activité de la concession, dont l’objectif premier est de développer le marché des architectes afin de capter la rénovation ou la construction de maisons.Un schéma de prospection familier et déjà éprouvé sur le territoire Drouais. Showroom LORENOVE Cannes 06 Pour rappel, le réseau LORENOVE donne une exclusivité territoriale à chaque contrat de concession. Les concessionnaires bénéficient d’un accompagnement personnalisé, de l’élaboration de leur projet à l’exploitation de leur point de vente au quotidien.Au-delà de ces aides, il existe une réelle entraide entre tous les adhérents, qui partagent également leurs bonnes pratiques à l’occasion de rencontres réseau régulières.
Il y a 2 ans et 162 jours

Inquiets face à la hausse des prix de l'énergie, 55% des maires envisagent de jeter l'éponge aux prochaines élections

L'Ifop a mené pour Hellio, en partenariat avec Acteurs Publics, une étude à laquelle 609 maires représentatifs de l'ensemble des collectivités de France ont répondu entre le 20 octobre et le 10 novembre 2022 [1].[1] La représentativité de l'échantillon a été assurée par la méthode des quotas (taille de la commune, région). Les données ont été redressées lors du traitement sur la base des variables suivantes : le sexe, l'âge, la région et la taille de l'unité urbaine de la commune.Une vision morose de l'avenirPour l'Ifop, c'est un résultat jamais vu depuis 20 ans ! 55% des maires n'ont pas l'intention de briguer un nouveau mandat aux prochaines élections municipales de 2026.Dans le contexte actuel, leur moral est en berne. Hausse des prix de l'énergie, surmenage, responsabilités croissantes, indemnités trop faibles, projets à mener avec un budget de fonctionnement réduit, l'ensemble de ces facteurs concordants amplifient la morosité des maires.Une tendance exacerbée dans les communes de 2.000 à 9.999 habitants (59%), où les élus locaux se retrouvent en prise directe avec leurs administrés et doivent gérer des situations de plus en plus conflictuelles.Pour contenir l'hémorragie et éviter de payer le surcoût aux fournisseurs d'énergie, la mutualisation des approvisionnements énergétiques avec d'autres collectivités est l'une des solutions envisagées par un peu plus de la moitié des élus locaux (55%). Hellio précise que c'est déjà le cas pour certaines communes qui se sont associées par le biais des syndicats départementaux d'énergie. Cette majorité est davantage prononcée dans les communes de plus de 10.000 habitants.L'action du Gouvernement pour aider les communes jugée par les mairesLa satisfaction à l'égard de la politique du Gouvernement33% des maires se montrent satisfaits de l'accompagnement du Gouvernement pour lutter contre la hausse des prix. L'État doit intensifier ses efforts pour soutenir les collectivités territoriales, les élus en attendent plus ! Depuis cette étude, les annonces faites viennent apporter quelques réponses mais celles-ci restent insuffisantes au regard des moyens nécessaires pour accélérer la rénovation énergétique des bâtiments publics :Pour Pierre-Marie Perrin, directeur des affaires publiques et juridiques de Hellio : « Signal positif, le Gouvernement vient d'annoncer, depuis la réalisation de cette étude, un engagement de 1,5 milliard d'euros supplémentaires pour la rénovation énergétique au sein des collectivités. Cette mesure a été votée dans le cadre du projet de loi de finances 2023. »L'approbation des mesures et dispositifs financiers annoncésPour réduire les consommations d'énergie et éviter les coupures cet hiver, le Gouvernement a appelé les collectivités à prendre un certain nombre de mesures. Parmi elles, la réalisation de travaux de rénovation énergétique fait l'unanimité auprès de 89% des sondés. Viennent ensuite les actions de sobriété telles que la réduction ou la coupure de l'éclairage public la nuit (84%) et la baisse du chauffage dans les établissements publics (mairie, école, etc.), des décisions pourtant mal perçues par les administrés.Les communes rurales de moins de 2.000 habitants sont un peu moins enclines à baisser le chauffage, laissant apparaître un clivage entre petites (77%) et grandes collectivités (95%). Cet écart s'explique notamment par le fait que la proportion de passoires thermiques dans le patrimoine géré par les communes rurales est globalement plus élevée que sur la moyenne des collectivités. Réduire le chauffage ne fait qu'aggraver la sensation de froid. Pour limiter l'impact de la hausse des prix de l'énergie, plusieurs dispositifs ont été mis en place ou sont envisagés par l'État. Perçu comme indispensable par 29% des maires, le bouclier tarifaire mérite cependant d'être prolongé et intensifié pour une écrasante majorité, de manière uniforme quelle que soit la taille des collectivités. Du côté des financements d'aides à la transition énergétique des bâtiments publics, même son de cloche, avec encore plus d'insatisfaction : 73% des élus estiment qu'ils sont insuffisants. Ce résultat reste cependant à nuancer : l'annonce du budget supplémentaire de 1,5 milliard d'euros, faite après ce sondage, devrait contribuer à rassurer les élus. Seul bémol, cette enveloppe reste largement inférieure aux 100 milliards alloués lors du plan de relance.La mise en place d'un dispositif financier comparable à MaPrimeRénov' remporte une nette adhésion : 90% des maires souhaitent en bénéficier. Bien compris par le grand public depuis la transformation du crédit d'impôt en une prime forfaitaire, ce levier présente également un intérêt pour les collectivités.Les décrets pris pour l'amélioration de la performance énergétique des bâtiments peu connusPhénomène jugé inquiétant par Hellio, 60% des élus locaux interrogés ont indiqué ne pas connaître le décret tertiaire, aussi appelé dispositif Éco Énergie Tertiaire, alors que celui-ci existe pourtant depuis 2019, avec une proportion accentuée chez les élus des communes rurales (75%).Pour rappel, les échéances de réduction des consommations d'énergie sont les suivantes : – 40% d'ici 2030, – 50% d'ici 2040 et – 60% d'ici 2050.Les collectivités ont jusqu'au 31 décembre 2022 pour déclarer les consommations énergétiques de leur parc immobilier tertiaire concerné sur la plateforme OPERAT de l'Ademe. Ce décret arrivera-t-il à atteindre les objectifs définis ? Telle est la question qui peut se poser. Autre échéance réglementaire encore plus largement ignorée par une écrasante majorité (86%) : le décret BACS (pour « Building Automation & Control Systems ») impose de mettre en place un système d'automatisation et de contrôle dans certains bâtiments tertiaires d'ici le 1er janvier 2025.Pour Augustin Bouet, directeur Grands Comptes de Hellio : « Ces résultats laissent apparaître un besoin de formation et un travail de sensibilisation et d'information encore plus accru, notamment auprès des élus des communes de petites tailles. Les collectivités sont pourtant un des publics les plus concernés par ces décrets. »90% des maires inquiets vis-à-vis de la hausse des prix de l'énergieC'est unanime ! Une majorité écrasante des maires (90%) se montrent inquiets face à la hausse des prix de l'énergie (gaz, électricité et carburant) pour leur budget de fonctionnement. Ils sont même 55% à se dire très inquiets. Un sentiment partagé par tous les types de collectivités, qu'elles soient petites ou grandes.En moyenne, la part relative de l'énergie dans le budget de fonctionnement des maires a augmenté de 4 points en un an, passant de 10% en décembre 2021 à 14% en novembre 2022. Mais ce résultat est à pondérer selon Hellio.Pour Augustin Bouet : « Ce n'est que le début, cette hausse devrait s'aggraver dans les mois à venir puisque un grand nombre de collectivités bénéficient encore sans doute de tarifs négociés avant la hausse et font appel à des fournisseurs institutionnels, comme EDF ou des établissements locaux de distribution, ayant moins impacté leurs prix. »Les mesures envisagées pour faire face à la hausse des prix de l'énergie Pour contrer la hausse des coûts de l'énergie, les maires privilégient en premier lieu des actions de sobriété énergétique, comme chauffer moins les locaux et équipements (85%) ou couper l'éclairage la nuit (82%). Des mesures moins contraignantes et plus rapides à mettre en place, mais qui ne résoudront pas les problèmes à long terme.Plus difficiles à mettre en oeuvre, les travaux de rénovation énergétique n'arrivent qu'en 3e position, avec 11 points de moins (74%), alors qu'ils représentent une solution pour consommer moins et mieux, de manière plus durable, avec à la clé des économies d'énergie bien plus importantes.Pour Augustin Bouet : « Pour préserver l'environnement, les leviers de sobriété énergétique ne suffiront pas. »Le quatuor de tête des travaux de rénovation énergétique les plus plébiscités par les élus correspond à celui pour lequel Hellio est le plus sollicité par les collectivités: l'isolation thermique (56%), le remplacement des menuiseries (45%), la pose de panneaux solaires / photovoltaïques (44%) et le changement de chauffage (42%).Des résultats décevants pour le raccordement au réseau de chaleurHellio regrette que le raccordement à un réseau de chaleur arrive loin derrière, avec seulement 10% des intentions. Une solution pourtant intéressante en termes d'indépendance énergétique, de recours aux énergies renouvelables, d'efficacité énergétique et de réduction réelle sur le long terme des consommations.Ce résultat révèle qu'il y a un travail à faire de la part de l'État sur la formation et la sensibilisation auprès des collectivités sur le sujet des réseaux de chaleur. Beaucoup de collectivités pensent que ce système de chauffage est réservé aux grandes villes, alors qu'il y a beaucoup de réseaux de chaleur en milieu rural.Pour Augustin Bouet : « Il est primordial de développer de nouvelles unités de production de chaleur car la capacité de chauffer en amont fait défaut aujourd'hui, le seul raccordement ne suffit pas. Il y a beaucoup à faire auprès des acteurs de l'industrie et de l'agriculture sur la récupération de chaleur fatale, souvent non utilisée, qui pourrait servir à alimenter les réseaux de chaleur. C'est un sujet qu'il faut remettre au goût du jour et qu'il faut aider. Le raccordement bénéficie déjà d'une aide financière, via le Coup de pouce Chauffage des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE), mais on peut aller encore plus loin en mettant en place des leviers supplémentaires dédiés aux unités de production de chaleur. »Constat rassurant, la fermeture des services publics, comme les crèches ou les piscines, n'est pas envisagée par les collectivités, ils sont seulement 9% à y songer.Pour Pierre Maillard, PDG de Hellio : « Dans un contexte de crise énergétique jamais connu jusqu'alors, et une inquiétude grandissante des maires de France dans l'exercice de leurs fonctions, les acteurs privés comme Hellio doivent accentuer leur soutien auprès des élus dans la rénovation et l'efficacité énergétique de leurs bâtiments publics. Accélérer cette transition énergétique permettra d'apporter rapidement un confort pour les usagers du service public, mais également de redonner de nouvelles marges de manœuvre pour les élus. C'est ce à quoi nous nous attelons ! »
Il y a 2 ans et 162 jours

A Tanger, le Rif, ce n’est pas du cinéma

Le cinéma de Kaboul*, en Afghanistan, était encore en travaux quand a été lancé le projet de rénovation du cinéma Rif, à Tanger, au Maroc. Il s’agissait cette fois de travailler dans un large imaginaire urbain avec la formidable artiste Yto Barrada, très engagée par ses dimensions historico-poétiques d’une ville où, comme à New-York ou […] L’article A Tanger, le Rif, ce n’est pas du cinéma est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 162 jours

Les copropriétaires trop peu sensibilisés à la rénovation énergétique

C’est l’une des révélations de l’étude menée par Cotoit, syndic professionnel nouvelle génération, en partenariat avec BVA, auprès de 500 copropriétaires français [1]. Face à l’envolée des prix de l’énergie, ces charges risquent donc de s’alourdir de manière significative dans les prochains mois. Pour réduire la facture, une des options est d'accélérer la rénovation énergétique d’autant que près de 2 copropriétaires sur 3 n’ont pas encore été informés des nouvelles obligations leur incombant, dans le cadre de la loi Climat et Résilience. Un chantier essentiel qui concerne un grand nombre d'acteurs - copropriétaires, syndics, gestionnaires -, tous embarqués dans ces nouveaux défis à relever.Le montant des charges de copropriété est estimé aujourd’hui par les copropriétaires à 2.112 euros en moyenne, un budget en hausse ces dernières années pour 61% d’entre eux,Les dépenses d’énergie représentent le 1er poste cité au sein des charges de copropriété (32%) un poste voué à augmenter de manière significative au vu de la flambée actuelle des prix de l’énergie,74% des copropriétaires pratiquent d’ores et déjà des écogestes au quotidien au sein de leur logement,64% des copropriétaires interrogés n’ont pas été informés des nouvelles obligations réglementaires imposées par la loi Climat et Résilience.Les charges de copropriété, fortement impactées par la hausse des prix de l’énergieSelon 6 copropriétaires sur 10, les charges de copropriété ont augmenté ces dernières années. Leur montant s’élève aujourd’hui en moyenne à 2.112 euros selon les estimations des copropriétaires, avec de nettes disparités en fonction des régions et du type de syndic concernés. Ainsi, alors que les Franciliens évoquent un montant de 2.700 euros, celui-ci se situe aux alentours de 1.739 euros en régions.Dans ces charges, ce sont les dépenses d’énergie que les copropriétaires identifient comme pesant le plus lourdement. Elles sont ainsi citées par 32% des copropriétaires, devant l’entretien des parties communes (24%), les honoraires du syndic (15%) et la conciergerie (8%). Un poste énergétique significatif, de surcroît amené à augmenter fortement dans les prochains mois, face à la flambée des prix de l’énergie.Des copropriétaires qui ne semblent pas encore prêts à s’engager pleinement sur les questions énergétiquesDans ce contexte, les copropriétaires sont à la recherche de solutions pour soulager leur budget. La très grande majorité d’entre eux (74%) pratique d’ores et déjà des éco-gestes au quotidien au sein de leur logement. Dans le détail, plus de 9 sur 10 économisent l’eau en prenant des douches plutôt que des bains, tandis que 83% utilisent des LEDS pour réduire leur éclairage. Toutefois, cette prise de conscience semble se limiter essentiellement aux gestes de base. Lorsqu’il s’agit de baisser le chauffage, par exemple, ils ne sont plus que 62% à respecter les 19°C recommandés par le gouvernement.Quant à se lancer dans des actions plus engageantes, telles que le remplacement de ses appareils électroménagers par des équipements moins énergivores, une proportion plus faible encore (4 copropriétaires sur 10 seulement) s’y est attelée, tandis que près d’un tiers d’entre eux n’envisage tout simplement pas de le faire dans les prochains mois.Une méconnaissance des obligations réglementairesPar ailleurs, 64% des copropriétaires interrogés n’ont pas été informés par leur syndic des nouvelles obligations imposées par la loi Climat et Résilience. Celle-ci les contraint, notamment, à réaliser un Diagnostic de Performance Énergétique pour tout bâtiment d’habitation dont le permis a été déposé avant le 1er janvier 2013. Elle instaure aussi l’élaboration d’un plan pluriannuel, assorti de la mise en place d’un fonds de travaux, afin de permettre la réalisation de travaux énergétiques au sein des copropriétés. Des mesures essentielles, qui pourraient aussi s’avérer utiles pour les copropriétaires dans leur recherche d’économie d’énergie.Pour Luigi Del Moral, directeur général de Cotoit : « Non seulement ces obligations sont réglementaires et les copropriétaires devront progressivement y faire face, mais elles offrent aussi une formidable opportunité de s’embarquer ensemble dans la transition énergétique. Ensemble, car cette démarche doit être menée conjointement entre les syndics de copropriété et les copropriétaires, afin que ces derniers soient en mesure de prendre les meilleures décisions pour leur habitat. »Un rôle essentiel de conseil et d’accompagnement des syndicsEn fonction des régions, de la santé du bâtiment et de la trésorerie de la copropriété, les mesures instaurées par la loi Climat et Résilience ne pourront toutefois pas être déployées partout au même moment. D’où l’intérêt de s’appuyer sur l’expertise des gestionnaires de syndics. Mais c’est aussi un nouveau changement que ces derniers doivent absorber, en plus de leur métier premier : il leur faut, comme toujours, se montrer réactifs face aux sollicitations de copropriétaires parfois impatients, mais aussi faire preuve de pédagogie et de clarté pour rendre le fonctionnement de la copropriété plus accessible et ce, d’autant plus quand les charges augmentent. Dans le même temps, les gestionnaires voient aussi leurs missions se complexifier, dans le cadre des nouvelles obligations en matière de rénovation énergétique. Aussi, leur métier va évoluer de facto pour s’adapter à la fois aux besoins des copropriétaires, au contexte économique défavorable, et aux enjeux environnementaux.Cotoit s’efforce ainsi d’accompagner les gestionnaires dans cette transformation, à travers la maîtrise complète des outils digitaux, une connaissance augmentée de leur parc immobilier, qui leur permet de jouer pleinement leur rôle d’interlocuteurs de proximité, la montée en compétence progressive sur des pôles d’expertise, ainsi qu’une gestion des portefeuilles limitée.Pour Luigi Del Moral : « Les gestionnaires de syndics constituent la clé de voûte de la rénovation énergétique, qui ne pourra se faire sans eux. Ils jouent ainsi un rôle essentiel d’accompagnement des copropriétaires face à ces évolutions, dans un contexte particulièrement compliqué. »[1] Méthodologie : enquête menée du 12 au 15 septembre 2022 par l’Institut BVA auprès d’un échantillon représentatif de 505 copropriétaires français, âgés de 18 ans et plus. 88% d’entre eux ont recours à un syndic professionnel traditionnel ; 5% à un syndic bénévole non professionnel ; 4% à un syndic coopératif non professionnel ; 3% à un syndic professionnel en ligne. Étude disponible sur demande.
Il y a 2 ans et 162 jours

Recyclage : Ecominéro affiche son barème pour 2023

Le montant de l’éco-contribution pour les granulats, y compris de recyclage est de 0,22€ HT/t pour Ecominéro. [©Ecominéro] Le barème d’éco-contribution 2023 établi par Ecominéro1 vient de tomber ! Les tarifs proposés permettent de financer les besoins de collecte et de traitement des déchets au démarrage de la Rep PMCB2. Ainsi pour l’année prochaine, l’éco-organisme voit sa participation s’élever à 0,22€ HT/t pour les granulats. Et compte, de ce fait, assurer la collecte d’environ 22 Mt de déchets inertes du bâtiment. Une seconde vie leur sera proposée, grâce au réemploi, au recyclage ou à la valorisation. « Pour nous, l’important est de respecter la trajectoire financière que nous avons tracée pour remplir les obligations environnementales qui pèsent sur la filière du BTP, déclare François Demeure Dit Latte, directeur général d’Ecominéro. Ceci, tout en accompagnant les entreprises dans la mise en place opérationnelle de la Rep. » Lire aussi : Les barèmes d’éco-contribution changent du simple au double… Assurer la transparence des financements de la filière L’un de ses objectifs est de valoriser, à l’horizon 2028, plus de 90 % des déchets inertes issus des chantiers de construction, rénovation et démolition. Via son site Internet, la campagne d’adhésion a été lancée auprès des fabricants, distributeurs et importateurs de produits de construction. Plus d’une centaine de contrats ont été signés en une semaine ! Ecominéro fait partie des 4 éco-organismes qui ont été choisis par le coordinateur agréé de la Rep pour permettre une meilleure transparence sur le financement et les stratégies de collecte des déchets. 1Eco-organisme de la filière minérale. 2Responsabilité élargie des producteurs (Rep) pour les produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 163 jours

Bosch Thermotechnologie présente son nouvel outil de dimensionnement pour pompes à chaleur

Son nouvel outil de dimensionnement de pompes à chaleur illustre cette démarche. Il permet aux professionnels de dimensionner de manière simple et rapide, une pompe à chaleur pour tout projet de construction ou de rénovation résidentielle individuelle, en accord avec les RE 2012 et RE 2020. Sa conception intuitive collecte, étape par étape, les données nécessaires afin de préconiser la solution la plus adaptée aux besoins énergétiques du bâtiment. L'outil est disponible gratuitement sur la plateforme digitale elmLeCube (https://www.elmlecube.fr) et sur l'Espace Pro Bosch (https://www.pro.bosch-climate.fr/).Rapide, le formulaire se remplit en quelques minutes. Il se compose de quatre étapes : « Vue d'ensemble du projet », « Données du bâtiment », « Technologie », « Recommandation ».Astucieux, il offre une première approche précise grâce aux paramètres qui couvrent toutes les indications nécessaires : le lieu d'habitation influençant les conditions extérieures, le type de projet (neuf ou rénovation), les températures envisagées, les besoins énergétiques du bâtiment, le système de distribution utilisé avec la pompe à chaleur (chauffage au sol, radiateurs et chauffage au sol, radiateurs, ventilo-convecteurs), le besoin en eau chaude sanitaire ou non (possibilité de choisir une solution en chauffage seul), en définissant le nombre d'occupants et la consommation sanitaire, la technologie souhaitée (air-eau split, air-eau monobloc, eau glycolée-eau)… L'ensemble des paramètres sont également modifiables par l'utilisateur (températures, déperditions thermiques…).Pratique, le professionnel peut enregistrer son formulaire et, à tout moment, modifier les données renseignées. À la fin de la démarche, il peut visualiser en un coup d'oeil l'ensemble des chiffres clés, agrémentés de graphiques. En vue d'un rendez-vous avec son client, il peut également télécharger les éléments en PDF, en pré-sélectionnant les informations qu'il souhaite voir apparaître : complètes ou simplifiées. Le document lui fournit des informations complémentaires telles que les données de consommation d'énergie et les économies réalisées avec cette solution, les niveaux sonores ou encore les données de performances. La fiche technique du produit préconisé est accessible en un clic.
Il y a 2 ans et 163 jours

« Aujourd’hui, la réhabilitation ne peut se faire indépendamment de la décarbonation », Philippe Benquet, président du groupe Acorus

Alors que l'ETI française spécialisée dans la rénovation en sites occupés vient d'ouvrir son capital à ses salariés, le président...-Entreprises
Il y a 2 ans et 163 jours

Bilan des 24 h du Bâtiment

« Notre secteur innovant a toutes les compétences requises pour affronter la crise environnementale. Nous sommes prêts », précise Olivier Salleron, président de la FFB. [©FFB] Fierté et solidarité ont été les maître-mots des 24 h du Bâtiment organisée, le 18 novembre dernier, par la FFB. Des artisans et chefs d’entreprise de toute la France se sont retrouvés en nombre (entre 6 000 et 7 000) pour échanger autour des problématiques du secteur. Et partager leurs passions de construire. Le président de la République et des ministres sont intervenus lors des plénières pour apporter des réponses aux adhérents et faire des annonces importantes. Lors de cette journée, étaient aussi organisés des conférences, des ateliers thématiques et un job dating pour des jeunes ingénieurs. De plus, les participants ont pu échanger avec des personnalités et rencontrer leurs pairs. Lire aussi : FFB, alerte générale sur le logement neuf « Notre secteur innovant a toutes les compétences requises pour affronter la crise environnementale. Nous sommes prêts, précise Olivier Salleron, président de la FFB. Nous avons formé, nous avons investi dans l’innovation, le numérique et l’apprentissage. Et ce, même dans les périodes les plus difficiles. La transition écologique, nous la prenons à bras le corps. Au même titre que la transformation numérique de nos chantiers et de nos entreprises. Le bâtiment n’a jamais renoncé à s’inventer un avenir et il va continuer ! » Des annonces gouvernementales saluées par la FFB La FFB a ainsi salué l’annonce faite par le président de la République d’une prochaine initiative pour aider les communes à rénover leurs écoles. Dont beaucoup s’avèrent des passoires thermiques. Emmanuel Macron a confirmé que, face à l’instabilité des dispositifs fiscaux dérogatoires, le statut du bailleur privé proposé par la FFB « faisait partie des solutions » pour soutenir l’investissement locatif. Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, a d’ailleurs annoncé la mise à l’étude de cette proposition. « La FFB se félicite d’une telle avancée », insiste Olivier Salleron. Il en va de même pour la mise en place de l’Observatoire du prix des matériaux de construction, prévue par le ministre pour janvier 2023. Ceci, afin d’apporter plus de visibilité dans la filière. Le ministre a aussi annoncé que les travaux induits liés à la rénovation énergétique continueront à bénéficier du taux de TVA réduit de 5,5 %. Alors que le projet de loi de finances les excluait. En contrepartie, pour répondre au marché considérable de la rénovation énergétique des bâtiments, le ministre souhaite voir le nombre d’entreprises labellisées RGE quadrupler d’ici à 2028. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux ! Retrouvez une playlist de vidéos résumant l’évènement :
Il y a 2 ans et 163 jours

LCA réhabilite l’ancienne patinoire d’Angers

L’objectif : donner une seconde vie à cet ouvrage de plus de 40 ans, tout en limitant l’épuisement des ressources naturelles et la quantité de déchets produits sur le chantier.En adéquation avec ses convictions, LCA s’est donc attachée à favoriser le réemploi et la sauvegarde de certains éléments.Pour Edouard Bonnin, co-dirigeant LCA Construction Bois : « En cette période de pénurie et de hausse des prix de la matière première, il est important de questionner notre manière de consommer afin de l’améliorer pour réduire notre impact sur l’environnement. Dans ce contexte, il nous parait donc primordial, de continuer notre développement sur le marché de la réhabilitation et de la rénovation. Ce projet en est un bel exemple, puisqu’il prouve que l’économie circulaire est possible dans le secteur du bâtiment. En effet, certaines poutres que nous avons déposées ont été utilisées sur le chantier EMMAÜS à St Jean de linière (49). »Construction responsableAvec les travaux de réhabilitation, l’ex-patinoire se trouve scindée en plusieurs parties. D’un côté, la salle principale de 1.200m² dédiée au handball qui occupe les 3/4 de l’ancien espace de patinage et de l’autre, une salle de sport annexe de 415m² réservée à l’activité scolaire. Un espace pour les locaux servant au fonctionnement du complexe sportif a été également rénové.Pour réaliser cela, l’équipe de LCA a d’abord œuvrée sur la partie existante du bâtiment. En effet, la charpente a ainsi été renforcée grâce au remplacement des sous tension bois par des sous tension métal, puis des murs à ossature bois préalablement préfabriqués ont été posés. Les poses des porteuses, des muralières pour les planchers bois, des gradins, de la structure support pour l’espace jeu et des escaliers ont suivi. Le tout en bois, un matériau qui facilite la réhabilitation et l’extension du bâtiment sur un site enclavé et contraint dans l’espace comme celui-ci.L’extension quant à elle, a requis la pose de MOB et d’une charpente bois.Ce projet permet d’allonger la durée de vie du bâtiment trônant depuis 40 ans à deux pas du château d’Angers, de limiter l’épuisement des ressources naturelles et de réduire la quantité de déchets sur le chantier. Dans cet esprit, un maximum de matériaux a, par ailleurs, été conservés comme la charpente de la patinoire qui a été mise à nue dont une partie a été réutilisée pour un projet d’extension du site d’Emmaüs de Saint-Jean-de-Linières (49).Agilité…Conserver un tel patrimoine situé en plein centre historique et le réhabiliter, permet de continuer à rendre la pratique du sport accessible via des mobilités douces, mais également de lutter contre l’artificialisation des sols.En plus des initiatives d’économie circulaire mises en place, les arbres situés aux alentours ont été sauvegardés malgré la topographie complexe des lieux.Une réhabilitation qui, en termes de performances environnementales, permet d’atteindre le niveau label E3C1....et expertise technique éprouvéesAprès un travail complexe et rigoureux de 1.400h en bureau d’études interne pour justifier des éléments de renforcement de la structure, puis la gestion maitrisée d’un chantier à l’accès difficile, la nouvelle salle de handball professionnel d’Angers est donc livrée depuis juillet 2022.Une réalisation qui porte à 24 le nombre de réhabilitations menées par LCA.Quant à la rénovation énergétique, volet important de cette réhabilitation, l’entreprise en a l’expertise à Angers puisqu’elle a notamment signé celle de l’URSAFF en 2021 et œuvre actuellement sur l’ancien Foyer des Jeunes Travailleurs situé dans le quartier Monplaisir.
Il y a 2 ans et 163 jours

Action Logement propose à l'Etat une contribution réduite de moitié

"Les partenaires sociaux d'Action Logement Groupe réunis en Conseil d'administration, ont voté à l'unanimité, vendredi 25 novembre, leur budget pour 2023", indique dans un communiqué l'ex-1% Logement, co-géré par patronat et syndicats.Le groupe, qui pilote également des aides à la mobilité professionnelle et la garantie locative Visale, propose d'y intégrer une contribution de 150 millions d'euros au Fonds national des aides à la pierre (Fnap) qui finance la construction et rénovation de logements sociaux.C'est moitié moins que les 300 millions d'euros sur lesquels le gouvernement tablait dans son projet de budget 2023 dévoilé en septembre, une "ponction" qui avait suscité des réactions furibardes de l'organisme et des partenaires sociaux."Le Conseil d'administration a proposé d'inscrire au budget du groupe le versement d'une contribution volontaire de 150 MEUR au Fonds national des aides à la pierre, comme les partenaires sociaux s'y étaient engagés vis-à-vis des ministres de la Transition énergétique et du Logement", indique le groupe."Cette disposition devra être confirmée dans le cadre des discussions entre l'Etat et le groupe sur la convention quinquennale 2023-2027", ajoute Action Logement.Manière de mettre la pression sur le gouvernement, qui doit décider s'il réintègre au projet de loi de finances la contribution de 300 millions d'euros, supprimée jeudi par le Sénat."Cet effort, qui marque une évolution par rapport au refus initial de toute contribution en septembre, reste néanmoins insuffisant au regard des besoins des bailleurs sociaux", a réagi l'entourage du ministre délégué au Logement Olivier Klein."L'Etat s'est exprimé en défaveur de ce budget initial, dans le cadre juridique qui le lui permet", assure-t-on au ministère, ajoutant que "la somme de 300 MEUR est donc nécessaire et ce besoin sera exprimé de nouveau dans les discussions parlementaires"."Un accord sur un nouveau projet de budget initial (d'Action Logement, NDLR) à même de garantir les actions du groupe en 2023 sera recherché avec Action Logement très rapidement".Action Logement doit négocier d'ici à la fin de l'année une convention quinquennale avec l'Etat qui définira le montant de sa contribution à l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru) et au programme Action cœur de ville (ACV), deux piliers de l'aménagement du territoire.
Il y a 2 ans et 163 jours

Emmanuel Macron veut accélérer la rénovation thermique des écoles

Une initiative sera lancée dans les prochains mois pour aider les communes à rénover leurs écoles, dont beaucoup sont des passoires thermiques, a annoncé le Président à l'occasion des "24 heures du bâtiment".
Il y a 2 ans et 164 jours

Comment optimiser l’efficacité énergétique des bâtiments grâce au BIM ?

Ce mardi 15 novembre 2022, nous avons franchi la barre des huit milliards d’habitants sur Terre. D’après les estimations de L’ONU, cette courbe va continuer de grimper. Et ce jusqu’à atteindre un pic de 10,4 milliards de personnes à la fin des années 2080.  Avec de plus en plus de migrations dans de mêmes régions, et de plus en plus d’habitants dans de mêmes villes dans les prochaines décennies, le défi est donc de taille pour préserver la santé de notre planète.  Comment y remédier ? Le BIM, Building Information Modeling, permet déjà d’améliorer l’efficacité énergétique de nos bâtiments et villes sur l’environnement. Et cela continuera dans ce sens dans les prochaines années. Une solution pour des constructions durables. Découvrons comment cette méthodologie va permettre de réduire notre impact environnemental. Le BIM, solution pour réduire son impact environnemental Si le BIM se généralise alors dans le secteur de la construction, en quoi cette méthodologie permet-elle d’optimiser l’efficacité énergétique des bâtiments ?  En ayant recours au BIM, cela permet tout d’abord la collecte et le stockage des informations ainsi que le suivi des consommations en temps réel. En répertoriant les matériaux utilisés, les outils digitaux de gestion de projet sont très efficaces pour avoir plus de contrôle sur les impacts négatifs liés à un projet de construction.  L’industrie de la construction utilise des quantités importantes de ressources naturelles pour fabriquer des matériaux. Une grande partie est souvent perdue, gaspillée, dans le remaniement des projets, les imprécisions ou encore les surestimations.  Selon la Fédération Française du Bâtiment, le secteur génère environ 46 millions de tonnes de déchets par an ! 51% des déchets du bâtiment proviennent des chantiers de démolition, 36% de rénovation et 13% en construction neuve.  Un suivi minutieux de chaque opération, en temps réel et grâce au BIM, permettrait grandement de réduire ces déchets. En effet, une meilleure qualité dans les bâtiments signifierait moins d’erreurs. Et ainsi moins de démolitions et des bâtiments qui dureraient plus longtemps dans le temps.  Découvrez la suite dans l’article de blog complet !
Il y a 2 ans et 164 jours

Rénovation énergétique des bâtiments : VM forme ses premiers référents d’aide à la rénovation

En matière de rénovation énergétique, le constat établi par la Cour des Comptes démontre la complexité de la gestion administrative et règlementaire pour les artisans. Le gouvernement a lancé, en février 2022, le programme OSCAR* (Optimisation et Simplification des CEE pour les Artisans de la Rénovation) afin d’accompagner et former les professionnels aux aides qui […]
Il y a 2 ans et 164 jours

Ehpad connecté : la rénovation domotique

En pleine rénovation, une résidence senior s’est équipée de la solution domotique Nice Smart Home. Les parties prenantes se disent ravies : gain d’autonomie pour les résidents, gain de temps pour le personnel, et même optimisation de la consommation d’énergie.
Il y a 2 ans et 165 jours

Flex : Le pro à portée de main

Le pack RE 16-5 115 permet le traitement des sols en béton. [©Flex] Spécialiste de l’outillage électroportatif, la marque américaine Flex propose une large gamme d’outils pouvant intervenir dans le traitement des sols. En particulier, le pack RE 16-5 115, qui contient la ponceuse portative du même nom et les accessoires destinés à traiter le béton. La gamme Retecflex, dont est issue la ponceuse est destinée à la rénovation des surfaces, s’appuyant notamment sur sa vitesse réglable, qui s’adapte en fonction de la dureté des supports. En complément Flex propose la MS 1706, une rainureuse capable de travailler sur une profondeur allant jusqu’à 35 mm et sur une largeur comprise entre 10 et 30 mm. Tout comme la RE 16-5 115, la rainureuse MS 1706 est compatible avec la gamme d’aspirateurs de la marque et dispose d’une vitesse adaptative. Enfin, si ces deux machines sont filaires, la marque développe son propre programme de batterie, nommé Flexibility. Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 165 jours

Béton pratique : Comment rénover des bétons patrimoniaux ?

L’une des premières étapes est la purge des bétons à traiter, comme ici sur la maison Jaoul de Neuilly-sur-Seine. [©Novbéton] 1 – Quelles sont les différentes problématiques, dont peuvent souffrir les bétons esthétiques à travers le temps ? Comment les identifier ?  Les bétons esthétiques, ou bétons apparents, sur lesquels il est nécessaire d’intervenir sont le plus souvent des bétons d’extérieur. Ils souffrent donc de pollution et d’encrassement. La teinte s’altère et devient terne. C’est un problème assez classique qu’il convient de reprendre par des techniques de maçonnerie traditionnelle. La principale cause de dégradation des bétons reste la corrosion des armatures. Les fers se corrodent au contact de l’air et de l’eau. Ils augmentent de volume et font éclater le béton. Il peut y avoir plusieurs causes à ce phénomène : la carbonatation qui conduit à une variation de pH du béton, les chlorures, les sulfates… Enfin, la fabrication du béton en elle-même peut être la source du problème. Si les matériaux ne sont pas utilisés à bon escient, cela peut provoquer l’apparition d’ettringite, qui finit par dégrader la résistance et la tenue du béton. Le savoir-faire dans l’utilisation du béton reste aussi très spécifique. Des défauts de mise en œuvre conduiraient à un vieillissement prématuré des bétons. 2 – Quelles sont les étapes préparatoires avant une intervention sur un béton à restaurer ? Lors de la purge, les armatures doivent être mises entièrement à nue, comme ici au Raincy sur le projet de l’église Notre-Dame-de-la-Consolation. [©Novbéton] a – La première étape, c’est le diagnostic. Celui-ci doit être réalisé à l’initiative du maître d’ouvrage, sous la direction d’un maître d’œuvre et d’un laboratoire spécialisé. Il faut caractériser le béton, sur un plan physique et sur un plan chimique. Il faut chercher à identifier sa formulation, son paramétrage chimique et dans quel état global il se trouve. Une cartographie de l’ouvrage est aussi à prévoir, afin de comprendre la logique du bâtiment, l’ampleur des dégâts et son état sanitaire général. Bien entendu, il s’agit là d’une étape très importante. En général, le laboratoire en charge du diagnostic émet des préconisations, utiles pour l’entreprise qui va réaliser les réparations. b – Une phase de recherche historique dans les archives peut venir compléter le diagnostic sur le terrain. Il s’agit alors de déterminer l’époque de la construction et la technique de mise en œuvre des bétons. Mais aussi de déterminer si le bâtiment a pu changer de destination au cours de son histoire. Cela peut orienter les actions des restaurateurs et aider à la compréhension de l’ouvrage. c – Vient ensuite la phase de recherche faite par l’entreprise de restauration. Il s’agit de déterminer la quantité de ciment à incorporer, de déterminer la carrière d’origine des granulats, afin de reformuler le béton le plus proche possible de celui de l’époque de construction. En particulier, en termes de teinte et de caractéristiques mécaniques. Enfin, des tests sont effectués pour trouver le geste de finition ou l’éventuelle forme du coffrage. Environ deux mois de mise au point sont souvent nécessaires.  3 – Comment intervenir sur ces bétons ? Quelles sont les techniques utilisées ? Et l’outillage ? L’entreprise cherche à rendre son intervention la moins visible possible, comme sur ce projet des Pierres Levées, à Meudon. [©Hervé Abbadie] a – Pour le nettoyage des façades et des parements, une campagne de tests est mise en place pour déterminer la meilleure technique à adopter. Parfois, un nettoyeur haute pression est utilisé, mais il peut apporter de nouvelles dégradations avec l’utilisation de l’eau.  b – L’hydrogommage est souvent préconisé. Il s’agit de projeter du sable sous haute pression dans le but d’ôter par abrasion l’encrassement du support. Dans le même ordre d’idées, la cryogénie permet de propulser des pellets de gaz carbonique, qui éclatent au contact du parement et décollent l’encrassement, en produisant peu de poussières. Enfin, des produits nettoyants sous forme de cataplasmes ou de compresses peuvent dissoudre et absorber les encrassements de surface. c – Les réparations débutent par la phase de purge. Tous les éclats de béton doivent être éliminés. Toutes les zones fissurées doivent être purgées, jusqu’à retrouver des armatures saines. Ce qui peut correspondre à une large zone. L’armature malade doit être entièrement mise à nue. Ceci, à l’aide de moyens matériels appropriés… d – Pour traiter au mieux le problème de corrosion, il convient d’avoir une approche globale et générale sur l’ensemble de l’ouvrage. L’une des solutions que nous utilisons consiste à appliquer un inhibiteur de corrosion sur l’ensemble de la façade. Par capillarité, la molécule va migrer dans le béton jusqu’à atteindre les armatures et les protéger de la corrosion dans leur globalité. En fonction des pathologies diagnostiquées sur l’ouvrage, peuvent aussi intervenir la protection cathodique, la réalcalinisation ou la déchloruration. e – La zone purgée est ensuite reprise à l’aide d’un mortier traditionnel formulé par nos soins, afin qu’il ne laisse le moins de traces possible de l’intervention.  4 – Comment rendre l’intervention invisible ? Le maçon cherche à retrouver les mêmes traces de coffrage. [©Novbéton]  Outre le fait d’approcher la formulation des bétons de réparation au plus près des bétons originels à traiter, il faut trouver la bonne technique de mise en œuvre, en fonction du support existant. Celle-ci se fait parfois par coulage à l’aide d’un coffrage spécifique. Mais dans la majorité des cas, la mise en œuvre se fait à la main, à l’aide d’une truelle. Il s’agit là du savoir-faire traditionnel du maçon. Il est capable de retrouver les gestes de ceux qui l’ont précédé pour “fondre” la réparation dans le reste de la construction. Chaque chantier étant unique, là encore, une série de tests est souvent nécessaire.  5 – Quelles sont vos préconisations pour la protection des bétons ?  Une longue étude de formulation des bétons est nécessaire pour retrouver les mêmes teintes. [©Novbéton]  Parfois, une solution hydrofuge, réversible, peut-être appliquée. Mais sa durée est limitée dans le temps. L’idée est de protéger les bétons de l’accumulation d’eau, paramètre accélérant la corrosion. Dans les faits, il n’y a pas grand-chose à faire pour protéger des bétons qui ont déjà été restaurés. Pour en savoir plus sur la restauration des bétons, retrouvez le guide “Les bétons du patrimoine”, rédigé par le GMH, 30€. Novbéton en bref Novbéton est une marque du groupe Aurige, créée par Lefèvre Rénovation et Rénofors, deux acteurs majeurs de la restauration du patrimoine et des Monuments historiques, en France. En mettant en commun leurs domaines d’expertise, les entreprises ont donné naissance à cette marque spécialisée dans la restauration et la préservation du patrimoine architectural français du XXe siècle. Essentiellement issu de l’architecture et de la construction en béton. Sujet réalisé en collaboration avec Louis-Marie Sevez d’Alzon, ingénieur d’affaires pour Novbéton
Il y a 2 ans et 166 jours

A la Société Générale, une rénovation lumineuse par ATELIER COS

En 2021, ATELIER COS (Didier Beautemps et Valeria Sanchez Rodriguez) a achevé la rénovation et le réaménagement du prestigieux siège historique de la Société Générale, située boulevard Haussmann à Paris (IXe). Modernité, lumière et flexibilité sont les mots clés de cette intervention. Communiqué. ATELIER COS, sous l’œil bienveillant des architectes du patrimoine, ont restauré l’immense […] L’article A la Société Générale, une rénovation lumineuse par ATELIER COS est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 166 jours

Les dates des RenoDays avancées aux 12 et 13 septembre 2023

Créés par le pôle Construction de RX France et construits avec toutes les parties prenantes engagées dans la sobriété énergétique, les RenoDays suscitent d’ores et déjà un intérêt certain.Face à cet engouement, les RenoDays réaffirment leurs ambitions : accélérer la mise en œuvre de travaux de rénovation efficaces en donnant les moyens aux professionnels de prendre ces chantiers à bras le corps.Afin de rassembler toute la chaîne de valeur de la rénovation énergétique des logements, l’évènement inédit accueillera tous les acteurs engagés dès le 12 et 13 septembre 2023, dans le Pavillon 6 de Paris Expo Porte de Versailles. Il était préalablement prévu début octobre.En s’appuyant sur une centaine d’exposants attendus, parmi lesquels des industriels, société de services et institutionnels, les RenoDays proposeront un format innovant, construit sur une grande diversité de sessions de rencontres pour :échanger des conseils, des expertises et des bonnes pratiques ;s’informer sur les évolutions de la réglementation ;apprendre et se former, présenter ou découvrir les solutions les plus innovantes, et communiquer.