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Il y a 2 ans et 226 jours

Une filière de recyclage de terre excavée en terre végétale créée pour la première fois en Ile-de-France

Créée par un ancien cadre dirigeant de Suez, Terre Utile propose une solution d’économie circulaire au problème du décapage intensif de la terre végétale en région, qui vient alimenter chaque jour les projets paysagers en Ile-de-France.A partir de terre excavée de chantier, qui termine souvent transportée en décharge pour un bilan carbone élevé, Terre Utile s’est associée au bureau d’étude Microhumus pour recréer sur des plateformes à proximité des chantiers une terre végétale NFU 44-551, livrée avec une fiche technique de 15 points d’évaluation.Lauréate en juin de l’appel à projet de la Société du Grand Paris dans la catégorie « des nouvelles pistes d’économie circulaire », Terre Utile a terminé courant 2022 sa première production de terre recyclée en Seine Saint Denis, à partir de la terre excavée d’un chantier du bailleur Seine Saint Denis Habitat. Cette terre végétale recyclée a permis d’économiser en moyenne 5,5 kg de carbone par m3 de terre végétale.Depuis août 2022, la terre végétale recyclée Terre Utile a également été mise en place sur le chantier d’occupation transitoire de la ZAC Python Duvernois, dans le 20e arrondissement de Paris.Le procédé de recyclage avait déjà été testé sur plusieurs projets paysagers à Lyon et à Bordeaux notamment, mais la filière Terre Utile permet désormais aux professionnels de l’aménagement de se fournir en terre végétale recyclée quand ils le souhaitent au prix de la terre végétale classique, et ainsi de remplir certains de leurs objectifs RSE en utilisant un produit 100% recyclé et bas carbone.Pour Guillaume Mizon, créateur de la filière Terre Utile : « Nous sommes fiers de pouvoir offrir cette solution à ceux qui veulent s’engager pour préserver la terre naturelle, une ressource finie actuellement surexploitée. Aujourd’hui nous sommes présents au nord et au sud de l’Ile de France, mais plus nous serons présents à faire vivre cette filière, plus nous pourrons facilement développer cette nouvelle économie circulaire en France, qui permet également à la terre excavée de ne plus être transportée en décharge. J’invite tous les utilisateurs de terre végétale, petits ou gros, à franchir ce pas avec nous. »
Il y a 2 ans et 226 jours

Les Tours DUO d’AJN inaugurées à Paris

Ivanhoé Cambridge et le Groupe BPCE ont inauguré les Tours DUO conçues par Jean Nouvel. Nouveau siège social du groupe bancaire mutualiste, l’ouvrage abritent également le TOO Hôtel, son restaurant et son bar doté d’une vue panoramique, imaginés et conçus par le designer Philippe Starck, dont l’ouverture est prévue à l’automne 2022. Communiqué du promoteur. […] L’article Les Tours DUO d’AJN inaugurées à Paris est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 226 jours

Un hôtel bas carbone en modules de bois préfabriqués, signé VON M

Monographie consacrée à la Samaritaine, cet ouvrage remonte l'histoire du grand magasin parisien, mais il aborde surtout, avec une grande richesse de documents visuels, l'histoire de la renaissance de cet ensemble urbain après sa fermeture en 2005. Une renaissance, sous la houlette de LVMH propriétaire depuis 2001, qui a transformé les lieux en […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 227 jours

toutes les bonnes raisons de venir a batimat du 3 au 6 octobre 2022

Vous êtes artisan, prescripteur, négociant, le salon BATIMAT est l’événement à ne pas manquer. C’est le salon des professionnels du bâtiment et de l’architecture. Rendez-vous du 3 au 6 octobre 2022 à Paris porte de Versailles. Le salon est ouvert de 9H à 19H, 4 jours essentiels réservés aux pros !
Il y a 2 ans et 227 jours

toutes les bonnes raisons de venir a batimat du 3 au 6 octobre 2022

Vous êtes artisan, prescripteur, négociant, le salon BATIMAT est l’événement à ne pas manquer. C’est le salon des professionnels du bâtiment et de l’architecture. Rendez-vous du 3 au 6 octobre 2022 à Paris porte de Versailles. Le salon est ouvert de 9H à 19H, 4 jours essentiels réservés aux pros !
Il y a 2 ans et 227 jours

La gauche promet de continuer à "se battre" contre la réforme des retraites

"C'est moins pire qu'un amendement qui serait arrivé la semaine prochaine", a affirmé sur RTL le patron du PCF Fabien Roussel.Il était interrogé sur les déclarations de la Première ministre Elisabeth Borne à l'AFP, qui a exclu un passage en force cet automne et renvoyé l'adoption d'un projet de loi à "la fin de l'hiver"."Mais trois mois, c'est court, on va se battre, projet contre projet", a prévenu M. Roussel. "Il vaut mieux travailler moins et travailler tous et travailler mieux pour vivre le plus longtemps possible", a-t-il expliqué.Dans l'après-midi, en marge de la manifestation des syndicats sur les salaires et les retraites à Paris, Fabien Roussel a appelé à "un référendum", pour que "ce débat sur les retraites soit tranché par une grande consultation démocratique". "Nous avons à gauche un projet de réforme des retraites, progressiste, et on veut le mettre en débat dans le pays, et que soit sanctionné par un référendum, projet contre projet"."Alerte!", a écrit sur Twitter le député LFI Alexis Corbière. "Ce gouvernement, minoritaire à l'Assemblée et dans le pays, veut attaquer les travailleurs et faire reculer les droits sociaux de millions de salariés, les faire travailler plus longtemps", a-t-il assuré.Il a appelé à la mobilisation lors de "la grande marche contre la vie chère et l'inaction climatique" prévue à Paris le 16 octobre, soutenue par La France insoumise, le Parti socialiste, EELV et d'autres organisations politiques et associatives, mais pas le Parti communiste ni les syndicats.Egalement sur Twitter, la députée LFI Clémentine Autain a déploré qu'Emmanuel Macron "s'obstine à vouloir nous faire travailler jusqu'à 65 ans...", appelant elle aussi à la mobilisation le 16 octobre, mais aussi aujourd'hui lors des manifestations prévues partout en France, à l'appel des syndicats CGT, FSU, Solidaires et d'organisations de jeunesse.Sur BFMTV, la porte-parole de Lutte ouvrière Nathalie Arthaud a dénoncé "un scandale (...). Nous avons des chiffres de profits (des entreprises) qui tombent et qui sont incroyables. Cela veut dire qu'il y a énormément de richesse dans cette société. Qu'on prenne sur cet argent!", a-t-elle exigé. "On ne va rien demander à tous ceux qui accumulent des fortunes exceptionnelles ? On marche sur la tête", a-t-elle ajouté.
Il y a 2 ans et 227 jours

Plus de 5 000 visiteurs à ARCHITECT@WORK PARIS 2022

Les jeudi 22 et vendredi 23 septembre derniers, le Paris Event Center a ouvert à nouveau ses portes aux architectes, architectes d’intérieur, agenceurs et autres prescripteurs pour leur permettre de découvrir les innovations de 260 industriels de la construction. Avec 5 265 visiteurs reçus, cet événement a conservé le succès qu’on lui connaît. La qualité de sa présentation et de son accueil, les nombreuses nouveautés présentées et le programme des interventions et expositions en font un rendez-vous fétiche des architectes et autres prescripteurs de la construction. Les visiteurs ont apprécié la qualité et la diversité des 800 produits présentés (tous sélectionnés par un comité technique). Prochain rendez-vous, à Nantes, les 24 & 25 novembre prochains  
Il y a 2 ans et 227 jours

Panneau photovoltaïque ultra noir

A l’occasion du Mondial du Bâtiment (du 3 au 6 octobre 2022 à Paris), DualSun présente son nouveau panneau photovoltaïque de dernière génération : le FLASH® 425 Shingle. Plus puissant, plus résistant et générant un impact environnemental réduit. il est conçu pour des projets d’autoconsommation sans compromis sur l’esthétisme et le rendement afin de conserver toute l’élégance du bâtiment. Il bénéficie d’innovations le rendant encore plus performant et plus élégant que son prédécesseur : puissance de 425 Wc en ligne avec les dernières évolutions du marché, meilleur rendement par m² et apparence ultra black pour un rendu très esthétique.
Il y a 2 ans et 227 jours

Panneau photovoltaïque ultra noir

A l’occasion du Mondial du Bâtiment (du 3 au 6 octobre 2022 à Paris), DualSun présente son nouveau panneau photovoltaïque de dernière génération : le FLASH® 425 Shingle. Plus puissant, plus résistant et générant un impact environnemental réduit. il est conçu pour des projets d’autoconsommation sans compromis sur l’esthétisme et le rendement afin de conserver toute l’élégance du bâtiment. Il bénéficie d’innovations le rendant encore plus performant et plus élégant que son prédécesseur : puissance de 425 Wc en ligne avec les dernières évolutions du marché, meilleur rendement par m² et apparence ultra black pour un rendu très esthétique. Cet article Panneau photovoltaïque ultra noir est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 227 jours

Quel sera le "Meilleur Chantier de France" ?

CONCOURS. Passion BTP, association étudiante de l'ESTP Paris, lance un concours dans le but d'élire rien de moins que le Meilleur Chantier de France. Profitant de visites de chantier organisées dans le cadre de leur cursus, les étudiants de l'école devront interroger les intervenants afin de noter les opérations, selon plusieurs critères.
Il y a 2 ans et 227 jours

Les génies de la construction ! : Le concours des territoires intelligents, durables et connectés

Imaginer un futur des territoires intelligents, durables et connectésVéritable démarche interdisciplinaire, le concours Les Génies de la construction ! est une belle opportunité de valoriser auprès des jeunes et de leur faire connaître la diversité des métiers du bâtiment et des travaux publics, qui sont des métiers techniques et innovants, ainsi que leur transversalité et leur capacité à s’adapter pour accompagner les mutations environnementales, technologiques et numériques. Les jeunes compétiteurs sont invités à mener une réflexion collaborative et prospective, liée aux nouveaux défis de la construction et de l’aménagement des territoires, pour imaginer un futur des territoires intelligents, durables et connectés. En collège et en lycée, les élèves sont encadrés par les enseignants, qui inscrivent une ou plusieurs équipes au concours. Dans l’enseignement supérieur, ce sont les étudiants qui s’inscrivent eux-mêmes, soit à titre individuel, soit pour présenter un projet à plusieurs.S’inscrire dans les priorités du ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse et répondre aux enjeux des professionnels du secteur de la constructionDonner du sens et concrétiser les enseignements, par un travail transversal et collectif d’une équipe d’élèves ou d’étudiants, invitée à produire la réalisation ou la rénovation d’une construction ou d’un aménagement (maquette physique ou virtuelle, production numérique, etc.). Le projet présenté est jugé sur sa faisabilité et sa capacité à se transposer sous une forme concrète et réalisable.Inscrire la transition numérique dans les apprentissages, pour préparer pleinement les élèves à une société, à des études supérieures puis à un monde du travail toujours plus numériques.Contribuer au développement d’une meilleure orientation scolaire et professionnelle des jeunes, afin de mieux accompagner les élèves dans la définition de leur projet d’orientation, qui peut représenter pour eux et leur famille une source d’inquiétude.Favoriser la promotion de la voie de formation professionnelle comme voie de formation d’excellence et de réussite, pour répondre aux nouveaux besoins en compétences des entreprises du secteur de la construction, en lien avec les transitions environnementales, technologiques et numériques, et renforcer l’attractivité de la formation professionnelle pour se former à un métier du bâtiment et des travaux publics. Inscrire l’éducation à l’avant-poste de la transition écologique pour répondre à la volonté du ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse de faire des établissements scolaires un terrain d’engagement en faveur du développement durable, de la biodiversité et de la lutte contre le changement climatique. Réaliser des productions durables et citoyennes Les jeunes candidats doivent répondre en équipe aux problématiques posées par l’évolution d’un territoire intelligent, durable et connecté, sur l’une des thématiques suivantes :le logement ;la mobilité et les déplacements dans les territoires (pont, route, voie ferrée, etc.) ;les activités humaines (culture, industrie, éducation, santé, commerce, agriculture, loisirs) ;la préservation de l’environnement, y compris la gestion de l’eau et des déchets ;les énergies locales et renouvelables.Concevoir un éco-quartier, faciliter la vie quotidienne des personnes à mobilité réduite, produire de l’énergie avec une route, exploiter la géothermie, identifier les innovations dans les matériaux, robotiser une tâche sur un chantier, optimiser l’apport solaire sur un bâtiment, assurer la bonne gestion de l’eau potable, gérer les risques d’inondations, construire des logements modulables et réversibles, favoriser la biodiversité en ville, la mobilité douce, la gestion intelligente de l’espace, stocker et restituer des énergies renouvelables... sont autant de sujets sur lesquels les élèves et étudiants peuvent débattre et travailler.Les équipes se répartissent en quatre catégories :« Collège » pour les élèves du cycle 4 ;« Pro » pour les élèves de SEGPA, d’EREA et de 3e prépa métiers ;« Lycée » pour les élèves du cycle terminal ;« Sup » pour les élèves et étudiants de l’enseignement supérieur (STS, IUT, université, école d’ingénieurs, etc.).Afin de répondre et de s’adapter aux attentes des programmes d’enseignement et aux besoins des professionnels du secteur de la construction, les règlements de participation au concours ont été élaborés par des enseignants et des acteurs du secteur de la construction.Favoriser la créativité d’équipe, la mixité et l’interdisciplinarité Le concours Les Génies de la construction ! récompense le travail collectif et collaboratif d’une équipe d’élèves ou d’étudiants pour une production relative à la réalisation d’une construction ou d’un aménagement (maquette physique ou virtuelle, production numérique, concrétisation d’un projet…).La participation au concours est l’occasion de favoriser le décloisonnement de manière générale, au travers :de la mixité transversale, en faisant travailler ensemble des élèves de formations différentes ;de l’interdisciplinarité, en mobilisant des savoirs et savoir-faire de plusieurs disciplines (technologiques et générales) ; de la mixité verticale, en faisant participer des équipes intégrant des niveaux scolaires ou universitaires différents pour mener à bien un projet.Juger un projet sur sa faisabilité Le projet de construction présenté par les jeunes candidats est jugé sur sa faisabilité. Le projet peut être représenté par une maquette virtuelle ou autre production numérique et/ou matérialisée par une maquette physique.Les participants de la catégorie « Sup » devront réaliser une maquette virtuelle, afin que les solutions présentées prennent en compte la démarche BIM (Building information modeling), accompagnée d’une maquette physique de tout ou partie du projet présenté.Des open badges pour reconnaître les réalisations et les compétences des jeunesPour la quatrième année consécutive du concours Les Génies de la construction !, des open badges seront attribués aux lauréats et participants. Ces images numériques, qui fournissent un système d’accréditation, permettent de reconnaître des réalisations et des compétences, formelles ou informelles, acquises à l’occasion d’un projet. Ces open badges, qui promouvront et reconnaîtront l’engagement des jeunes dans les projets qu’ils ont conduits, leur permettront aussi de rejoindre la grande famille de la construction !Les Génies de la construction !, un concours organisé en deux étapesUne sélection académique (si le nombre d’équipes candidates le justifie) ou inter-académique sera organisée en distanciel, avec une présentation orale devant un jury composé de représentants du ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, de professeurs et d’acteurs de la construction.Une finale nationale organisée le 7 juin 2023 à Paris, pour permettre aux équipes d’élèves ou d’étudiants sélectionnées de présenter leurs travaux lors d’un « grand oral » devant un jury national. La date de clôture des inscriptions est fixée au 20 janvier 2023.
Il y a 2 ans et 227 jours

Le taux maximum pour un crédit immobilier sur 20 ans dépassera les 3% au 1er octobre

Destiné à protéger les particuliers de conditions d'emprunt abusives, ce taux plafonne l'ensemble des frais d'un prêt immobilier: taux de crédit pratiqué par la banque, éventuelle commission des courtiers, assurance emprunteur.L'application de la formule prévue par la loi" conduit à "une hausse bien proportionnée et plus marquée qu'en juin dernier", indique la Banque de France dans un communiqué.Le calcul du taux est réalisé chaque trimestre par la Banque de France, qui prend en compte les taux moyens pratiqués par les banques au cours des trois derniers mois augmentés d'un tiers. Il y a autant de taux d'usure que de types de crédits.Ces taux plafonds sont sous le feu des critiques, notamment des courtiers qui y voient un frein à l'accès au crédit immobilier.Un de leurs syndicats était même allé jusqu'à manifester le 20 septembre devant le siège de la Banque de France à Paris, pour demander à la banque centrale de faire un geste.La Banque de France juge "ni souhaitable ni nécessaire (...) un relèvement exceptionnel" des taux de l'usure, dont le rôle "est de protéger les emprunteurs", précise-t-elle mercredi.Cette hausse est "très attendue" par la profession, expliquait plus tôt dans la journée le président du réseau de courtiers Cafpi, Olivier Lendrevie, pour qui "un taux d'usure à 3% permettrait de régler la grande majorité des situations de blocage observées ces dernières semaines".Elle aura aussi pour conséquence de rendre les nouveaux crédits immobiliers plus chers pour les particuliers.La remontée des taux d'intérêt des nouveaux crédits immobiliers est sensible depuis le printemps, les banques répercutant le resserrement de la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE), via une hausse de son taux directeur, afin de combattre l'inflation.Le taux moyen mesuré par la Banque de France pour les nouveaux crédits immobiliers était par exemple de 1,45% en juillet, selon ses derniers chiffres, contre 1,12% en fin d'année dernière.Il s'agit là du taux nominal, auquel viennent s'ajouter l'ensemble des frais liés à l'obtention d'un crédit.Cette hausse ne ralentit cependant pas les encours de crédit. Dans un entretien au journal Sud-Ouest fin août, le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, indiquait que le marché de l'immobilier restait "dynamique".
Il y a 2 ans et 227 jours

L’abri de fortune de Baptiste César fait la part belle au béton de bois

L’artiste Baptiste César expose une installation en forme d’abri de fortune en béton de bois, située dans le square Renaudel, à Montrouge. [©Baptiste César] Sélectionné par les Montrougiens dans le cadre du concours “Art dans la ville”, l’artiste Baptiste César (né en 1983) expose une installation en forme d’abri de fortune située dans le square Renaudel. L’idée de ce concours : permettre aux jeunes créateurs de s’exposer dans les rues, les places, les jardins… de la ville de Montrouge (92). L’abri a été réalisé en béton de bois. Et à partir d’éléments de mobilier urbain collectés dans le cadre des travaux du Grand Paris. Il a une drôle d’allure, semblable à une cabane faite de bric et de broc. C’est intriguant… « J’aime bien le côté surréaliste d’une architecture, dont on ne sait pas très bien à quoi elle sert. » C’est tout à fait ça, une folie ou une chapelle moderne, dont un lampadaire sort du toit. Une étrange structure réalisée en béton de bois TimberRoc de CCB Greentech. Avec une charpente en palette de bois et un toit en tôle métallique provenant de conduits d’aération. Un vrai modèle d’upcycling. Sorti de l’imaginaire de l’artiste « J’aime bien le côté surréaliste d’une architecture, dont on ne sait pas très bien à quoi elle sert », explique Baptiste César. [©Baptiste César] L’abri se pare aussi de grilles d’arbres parisiennes en guise de vitraux. Les murs sont recouverts de briques à l’extérieur et de carreaux de métro parisien à l’intérieur. Des motifs en forme de queue de paon, réalisés à partir de pavés parisiens noyés dans la résine, agrémentent les murs. Enfin, un banc public prend place au sein de l’abri. « Je cherchais un matériau écolo. Le béton de bois de CCB Greentech m’est apparu évident. » Ce béton de bois est réalisé avec un mélange innovant composé de plaquettes de bois broyées certifiées PEFC et d’un ciment qui assure résistance et durabilité. Sensible aux paysages et aux habitants, Baptiste César a entrepris d’abord d’explorer la ville. Au gré de ses déambulations et de ses rencontres, il s’est nourri de pratiques pluridisciplinaires. Il y a découvert des matériaux, des équipements et des expertises à partir desquels il a imaginé un projet en relation avec le site qui l’accueillait. Les objets que l’artiste a glanés sont agencés de manière à détourner leur fonction première. Ceci, pour créer un module architectural à l’image de l’esthétique de la ville et accessible à tous. Chacun peut ainsi s’approprier l’abri de fortune de Baptiste César comme il le souhaite… M. C.
Il y a 2 ans et 227 jours

Béton[s] le Magazine s’installe à Batimat

Béton[s] le Magazine s’installe à Batimat. [©ACPresse] « Vous nous avez manqué ! », pourrait être le leitmotiv de chacun des exposants du Mondial du Bâtiment, qui se tient à partir du lundi 3 octobre, à Paris. Après deux années bien sombres, en termes de rendez-vous professionnels – on s’en rappellera du Covid -, voici enfin le retour de la vie en vrai. Sans écrans interposés, sans problèmes de connexion, sans poutres en faux chêne qui apparaissent en arrière-plan… C’est donc avec joie non dissimulée que nous nous apprêtons à vous accueillir sur notre stand numéroté P134, au sein du Hall 1, dans la zone dédiée au gros œuvre, comme il se doit. Toutefois, il y aura un petit jeu de piste pour nous trouver. En effet, l’organisateur de l’évènement a choisi de déplacer notre stand en toute dernière minute… Ainsi, il faudra chercher le P134, en toute logique, au fond de l’année T. Pour faciliter les choses, il suffit de se référer au plan ci-joint. Repartir avec “Les bétons de A à Z” Mais une fois notre stand atteint, pour chacun de vous, ce sera l’occasion d’échanger avec l’équipe du journal, au grand complet. Pourquoi pas, d’acquérir quelques numéros plus anciens, dont l’indispensable n° 100 spécial anniversaire. Ou encore de découvrir notre superbe dictionnaire “Les bétons de A à Z”, dans sa 3e édition. Dès que vous l’aurez vu, vous n’aurez qu’une seule envie : repartir avec ! Ça tombe bien, nous en avons encore un peu en stock, ainsi que des sacs pour faciliter son transport. Le rendez-vous est donc pris. Nous, on vous attend Hall 1 – Stand P134 (au bout de l’allée T…) ! Et pour patienter, rien de mieux que de découvrir en avant-première le dossier complet des nouveautés présentées sur Batimat… Rendez-vous Hall 1, sur le stand P134, au bout de l’allée T. Suivez le guide… [©ACPesse]
Il y a 2 ans et 227 jours

Seine-et-Marne : Inauguration de la première phase des travaux d’électrification de la ligne Paris-Troyes

Dans le cadre du projet d’électrification de la ligne Paris-Troyes (ligne P), la première phase des travaux effectués à Nogent-sur-Seine...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 227 jours

Seine-et-Marne : Inauguration de la première phase des travaux d’électrification de la ligne Paris-Troyes

Dans le cadre du projet d’électrification de la ligne Paris-Troyes (ligne P), la première phase des travaux effectués à Nogent-sur-Seine...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 227 jours

COSA - portrait

Arnaud Sachet et Benjamin Colboc fondent l'agence Cosa en 2016, à Paris. Arnaud Sachet, diplômé de l'ENSAIS en 2001, et Benjamin Colboc, diplômé de Paris Belleville en 2003, ont fondé Cosa en 2016, après avoir collaboré au sein de Colboc Franzen & associés. Recherchant des réponses simples à des questions […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 227 jours

Bienvenue à Wikivillage, un bâtiment à haute qualité sociale et environnementale

Dans le XXème arrondissement à Paris, se construit un bâtiment tertiaire en structure bois et planchers bois/béton, destiné aux associations défendant la décarbonation, la sobriété et la résilience.
Il y a 2 ans et 227 jours

Batimat 2022 : « Stratégie neutralité carbone dans l’immobilier et le bâtiment à travers le monde à horizon 2050

 2e volet du cycle de conférences internationales organisées par l’École des Ponts ParisTech avec 30 experts issus des 5 continents   Après le succès du premier volet en avril 2022, l’École des Ponts ParisTech organise le 2e volet de son cycle de conférences internationales sur la « Stratégie Neutralité Carbone dans l’Immobilier et le Bâtiment à travers […]
Il y a 2 ans et 227 jours

Un cadavre exquis par des logements, un parking et un centre de propreté à Bordeaux, par COSA

Monographie consacrée à la Samaritaine, cet ouvrage remonte l'histoire du grand magasin parisien, mais il aborde surtout, avec une grande richesse de documents visuels, l'histoire de la renaissance de cet ensemble urbain après sa fermeture en 2005. Une renaissance, sous la houlette de LVMH propriétaire depuis 2001, qui a transformé les lieux en […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 228 jours

Dual Sun

A l'occasion du Mondial du Bâtiment (du 3 au 6 octobre à Paris), DualSun présente son nouveau panneau photovoltaïque de dernière génération : le FLASH® 425 Shingle. Plus puissant, plus résistant, générant un impact environnemental réduit, et offrant un look "ultra full black".
Il y a 2 ans et 228 jours

Crise énergétique

PARIS, 27 septembre 2022 – A l'occasion d'une table ronde organisée sur la thématique de la rénovation énergétique, en présence de parlementaires et experts du secteur du bâtiment*, le Syndicat national des Fabricants d'Isolants en Laines Minérales Manufacturées (le FILMM) appelle le Gouvernement à renforcer les mesures pour massifier les travaux de rénovation et lutter plus efficacement contre les passoires thermiques.
Il y a 2 ans et 228 jours

Crise énergétique

PARIS, 27 septembre 2022 – A l'occasion d'une table ronde organisée sur la thématique de la rénovation énergétique, en présence de parlementaires et experts du secteur du bâtiment*, le Syndicat national des Fabricants d'Isolants en Laines Minérales Manufacturées (le FILMM) appelle le Gouvernement à renforcer les mesures pour massifier les travaux de rénovation et lutter plus efficacement contre les passoires thermiques.
Il y a 2 ans et 228 jours

Lancement mi-octobre de formations sur l'environnement pour les députés

La présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet (Renaissance) est à l'origine de ces formations qui ont aussi pour but d'"améliorer la prise en compte des enjeux environnementaux dans le travail parlementaire", selon un communiqué.Une conférence inaugurale, suivie d'ateliers thématiques, se tiendront le 19 octobre, avec la participation de la paléo-climatologue et membre du GIEC Valérie Masson-Delmotte, de l'écologue Philippe Grandcolas et de l'économiste du climat Céline Guivarch.Cette rencontre "ne sera qu'une première étape d'un cycle de formations", de sorte que "la formation des députés, mais aussi des personnels et collaborateurs travaillant dans l'institution, s'inscrive dans la durée", poursuit la présidence de l'Assemblée. Dans l'optique d'une "Assemblée verte et vertueuse", Mme Braun-Pivet a aussi mis sur pied un groupe de travail chargé de proposer "des pratiques environnementales exemplaires" au sein de l'institution.Composé de 14 députés de tous bords et présidé par Mme Braun-Pivet elle-même, il se réunira pour la première fois le 6 octobre. Le groupe de travail doit se pencher sur des "mesures immédiates" pour "éviter des coupures énergétiques cet hiver", ainsi que sur un "plan de transition énergétique à moyen et long terme" d'ici fin février 2023, afin de réduire les consommations de 60% d'ici 2042.Enfin, un "plan de transition écologique" devra être remis d'ici juin 2023, sur la réduction des déchets, le verdissement du transport des députés, personnels et collaborateurs, et encore sur la promotion d'une alimentation saine et durable."Il y a encore beaucoup à faire en termes de réduction de la consommation (énergétique), même si beaucoup a été fait avec une baisse de 30% ces dix dernières années", soulignait la titulaire du perchoir dans Le Parisien lundi, en relevant qu'"une partie des bâtiments (de l'Assemblée) est classée monument historique, ce qui ne facilite pas le travail".
Il y a 2 ans et 228 jours

Weldom expérimente le corner de bricolage au sein de MyAuchan

PROJET PILOTE. Filiale du groupe Adeo, l'enseigne de bricolage Weldom a lancé un projet pilote à Paris. Elle a installé un corner consacré au bricolage au sein d'un magasin franchisé MyAuchan dans le 15ème arrondissement.
Il y a 2 ans et 228 jours

L'industrie gazière insiste sur sa "résilience" à l'approche d'un hiver incertain

TRANSITION. Réunis ce 27 septembre en congrès à Paris, les gaziers ont insisté sur les notions de souveraineté, de sobriété et de décarbonation en présentant les atouts de leurs énergies renouvelables. Un discours qui s'est voulu rassurant alors que les craintes sur l'approvisionnement énergétique de la France pour l'hiver qui vient restent prégnantes.
Il y a 2 ans et 228 jours

Rencontre avec Dominique Rey, Directeur de Solarlux France

Batinfo : Pouvez-vous revenir sur l'histoire de Solarlux France ?Dominique Rey : SOLARLUX GmbH a été fondée il y a 39 ans en Allemagne. Cette entreprise a eu une stratégie de développement inédite en choisissant de se développer, dès sa création, autour d’un produit atypique : la baie accordéon. Elle en est devenue l’acteur incontournable en Europe. A ce produit iconique, est venu s’ajouter une gamme riche de systèmes en mouvement qui ont fait des termes de transparence, de technicité et d’ouverture, les maîtres mots de la vision de l’entreprise. J’ai créé la filiale française en 2017 afin de distribuer ces solutions innovantes sur le marché français. D’ailleurs, nous allons fêter les 5 ans de SOLARLUX France lors du salon Batimat avec les acteurs majeurs qui nous accompagnent dans notre croissance depuis cette date.Nous connaissons grâce au caractère unique et singulier des produits SOLARLUX, une dynamique constante de notre présence marquée par l’ouverture de notre second showroom sur Paris et le recrutement chaque année de nouveaux collaborateurs afin d’apporter un accompagnement toujours plus efficace à nos partenaires.Cette dynamique se caractérise également par un réseau de distributeurs toujours plus large sur le territoire français. Une des clés de cette réussite est notre positionnement, sur un marché déjà occupé par des acteurs connus, avec des produits innovants et différenciants.Nous sommes le spécialiste des menuiseries de grandes dimensions. La baie accordéon Solarlux en est l’illustration. Notre expertise technique nous permet de proposer une solution avec une ouverture totale vers l’extérieur, une hauteur allant jusqu’à 4.5m sans aucune contrainte de largeur. Une prouesse technique, validée par de nombreux brevets déposés, que nous sommes les seuls à pouvoir proposer avec les profils les plus fins du marché. La baie accordéon est disponible en différents matériaux, en aluminium (Ecoline, Highline et Megaline), en bois (Woodline) et en bois capotage-aluminium (Combiline). Cela est possible car nous maitrisons l’ensemble du process de fabrication grâce à nos ateliers d’aluminium et de bois intégrés. Nous disposons également de notre propre unité de thermolaquage pour l’aluminium avec 30 couleurs RAL standards et une unité de peinture pour le bois afin d’offrir une expérience client personnalisée sur-mesure.A contre-courant de ce qui se fait sur le marché, nous avons opté pour une pergola bioclimatique vitrée parfaitement étanche que nous pouvons doter d’un store pour la protection solaire. Nos utilisateurs peuvent ainsi profiter de la lumière du soleil tout en étant protégés de la pluie. Batinfo : Pourquoi avoir choisi cette différenciation et ce secteur de niche ?Dominique Rey : L’entreprise est née du concept de la baie accordéon, c’est l’ADN de SOLARLUX. L’idée même de différenciation est au cœur de la culture de notre société. Le choix a été fait dès le départ de proposer, sur un marché fortement compétitif, des solutions décalées avec une grande exigence de qualité et d’esthétique. L’axe de développement repose sur la synergie entre la parfaite maitrise technique et une envie de toujours dépasser les limites du conventionnel.Cette stratégie nous place dans un marché de niche en pleine croissance à l’abri de la concurrence que connait le marché de la menuiserie classique. SOLARLUX vient compléter la gamme de produits chez les distributeurs, et leur permet de proposer une offre différenciante atypique et audacieuse.C’est ce qui m’a motivé à développer la baie accordéon en France, où la solution n’est pas très connue du grand public. Il y’a tout à faire et à construire, le challenge est passionnant et les projet que nous réalisons sont tout aussi extraordinaires !SOLARLUX, c’est avant tout du prêt à poser sur mesure, chaque projet est unique. L’envergure de nos réalisations demande de l’exigence et nous accordons une grande importance à l’accompagnement, la formation et au savoir-faire de nos partenaires distributeurs-installateurs.C’est la compilation de ces expertises qui a permis, dernièrement, la réalisation d’une baie accordéon de 14 vantaux sur 3 mètres de hauteur, pour l’école Badinter à Asnière-sur-Seine. Notre offre compte également le coulissant minimaliste CERO, un profilé minimaliste allié à une technologie breveté qui permet de proposer des menuiseries jusqu’à 6 mètres de haut, avec un vantail pouvant atteindre une tonne. Pour ce type de projet, le directeur technique de SOLARLUX travaille en étroite collaboration avec tous les intervenants du projet, de l’architecte, en passant par le maçon et l’installateur. La combinaison de ces critères : innovation, produit atypique, exigence et accompagnement nous permet d’avancer sereinement dans ce marché de niche, avec un réel succès quant à la satisfaction de nos clients et des utilisateurs finaux.Batinfo : Quels sont vos projets à venir ?Dominique Rey : À l’occasion du prochain Salon Batimat, nous allons présenter notre nouvelle gamme de baie accordéon : « Megaline », avec une hauteur jusqu’à 4.5m , lancé au début de l’année 2022. C’est un nouveau produit, aux dimensions XXL tout en maintenant une exigence extrêmement élevée quant aux performances thermiques, qui n’a aucun équivalent sur le marché.SOLARLUX, c’est également des récompenses reçues par les professionnels du secteur qui reconnaissent à la fois nos innovations techniques avec le SL 23, un système de fermeture de balcon testé à 7.000 Pa, et notre travail sur le design avec le SDL Avalis. SDL Avalis pour lequel, nous avons reçu l’ « Award de l’Innovation » cette année. Il s’agit d’une toiture plate en lamellé collé croisé, respectant la RE2020, avec une parfaite intégration de puits de lumière ou encore de nos coulissants minimalistes grandes dimensions.Ces solutions incroyables seront présentées, parmi de nombreux autres systèmes de SOLARLUX, lors du salon Batimat 2022 . Nous allons par ailleurs continuer notre développement avec l’agrandissement de notre showroom d’Aix-en-Provence afin de présenter les nouvelles solutions SOLARLUX et en avant-première les innovations 2023. Et continuer à renforcer nos équipes afin d’accompagner nos partenaires dans leur développement à travers une présence encore plus complète et de nombreuses formations sur nos produits et les outils que nous mettons à disposition de nos clients dont l’application de réalité augmentée.
Il y a 2 ans et 228 jours

Crise énergétique : l’isolation des bâtiments doit rester une priorité sociale, énergétique et climatique

PARIS, 27 septembre 2022 – A l’occasion d’une table ronde organisée sur la thématique de la rénovation énergétique, en présence de parlementaires et experts du secteur du bâtiment*, le Syndicat national des Fabricants d’Isolants en Laines Minérales Manufacturées (le FILMM) appelle le Gouvernement à renforcer les mesures pour massifier les travaux de rénovation et lutter plus efficacement contre les passoires thermiques. L’amélioration de la performance énergétique des bâtiments est un levier majeur pour réduire nos consommations et accélérer la transition du secteur. Dans un contexte marqué par l’envolée des prix de l’énergie, l’amélioration de la qualité thermique des logements joue également un rôle social : c’est l’outil le plus efficace pour lutter contre la précarité énergétique qui touche encore 12 millions de personnes en France.Si l’ambition est consensuelle, des débats subsistent sur la nature et le calibrage des dispositifs à mettre en œuvre pour atteindre les objectifs climatiques et sociaux définis par la nouvelle mandature. Le constat : les 700 000 gestes de rénovation par an ne permettront pas d’éradiquer les passoires thermiques L’accélération de la rénovation énergétique des bâtiments est une priorité du Gouvernement, avec une ambition affichée de 500 000 rénovations globales par an jusqu’en 2030 puis 700 000 par an de 2030 à 2050 pour atteindre les objectifs de la SNBC.Malgré la réussite du dispositif MaPrimeRénov’ (MPR), les aides ont été majoritairement mobilisées pour changer le système de chauffage**. Or, pour mener une rénovation énergétique efficace, il est préférable de favoriser une rénovation globale de l’enveloppe comprenant des gestes d’isolation thermique. En effet, l’isolation de toute l’enveloppe d’une passoire thermique permet de réduire sa consommation et donc la facture énergétique de 70 à 80%. « L’isolation des bâtiments conduit non seulement à réduire les émissions de CO2, mais aussi les factures énergétiques des ménages, tout en contribuant directement à réduire la dépendance énergétique de la France », explique Pierre-Emmanuel Thiard, Président du FILMM. « En France, 7,2 millions de logements sont qualifiés de passoires thermiques. Sans travaux d’isolation, ces logements resteront des passoires, indépendamment du système de chauffage installé. L’isolation des bâtiments doit être confortée comme priorité de ce début de mandature », poursuit-il. L’urgence : corriger les dysfonctionnements des dispositifs de financement pour réussir le défi de la rénovation Le marché de la rénovation thermique est largement orienté par les dispositifs publics d’incitation, en particulier les Certificats d’Economie d’Energie (CEE) et MPR. Or, des dysfonctionnements majeurs déstabilisent l’ensemble de la filière depuis le début de l’année. L’effondrement des prix de valorisation des CEE a notamment causé une chute brutale des travaux d’isolation avec -83% sur l’isolation des combles entre le T1 2021 et le T1 2022. Le correctif de +25%*** du niveau de l’obligation annoncé par le Gouvernement pour la 5ème période est jugé insuffisant par la filière pour relancer rapidement et massivement le dispositif. La filière appelle le Gouvernement à prendre les mesures correctives nécessaires, notamment en renforçant les objectifs des CEE précarité. La filière propose de faire porter cette augmentation sur les fournisseurs d’énergie fossile carbonée, notamment ceux ayant réalisé des profits exceptionnels en 2022, et fléchée en priorité sur les ménages précaires.La filière alerte également le Gouvernement sur les limites actuelles du dispositif MPR et la nécessité de rétablir les aides pour l’isolation des combles et des planchers, afin de compenser l’arrêt du Coup de pouce isolation dans le cadre des CEE. En effet, les travaux d’isolation des combles perdus et des planchers sont les seuls gestes d’isolation à ne pas être intégrés aux aides financières, ce qui était initialement justifié par l’existence du Coup de pouce isolation. « Il est impératif que les dispositifs d’aides s’intègrent dans une stratégie cohérente et ambitieuse de rénovation énergétique, en mettant l’accent sur les travaux d’isolation en tant que principal levier de sobriété et de maitrise de consommation d’énergie, pour une indépendance énergétique renforcée. L’urgence est tant écologique que sociale, dans un contexte d’explosion de la précarité énergétique. », constate Pierre-Emmanuel Thiard. *Sont intervenus aux côtés du Président du FILMM à la table ronde du 27 septembre 2022 : Simon HUFFETEAU, coordinateur gouvernemental du plan de rénovation énergétique des bâtiments.Jean-François LONGEOT, sénateur du Doubs.Marjolaine MEYNIER-MILLEFERT, députée de l’Isère.Danyel DUBREUIL, coordinateur de l’Initiative Rénovons.**72% selon le rapport de la Cour des comptes de septembre 2021.*** Correction des objectifs de la 5ème période de 600 TWhc (passage de 2500 à 3100 TWhc d’objectifs sur les 4 ans).
Il y a 2 ans et 228 jours

La démarche de Dorte Mandrup, en conférence

Jeudi 13 octobre 2022, l'architecte Lars Johan Almgren, représentant de l'agence scandinave Dorte Mandrup, donnera une conférence à la maison du Danemark à Paris. L'occasion de découvrir autrement les projets présentés dans l'exposition "Place, Architecture et paysage en symbiose", consacrée aux projets de […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 228 jours

Grande restauration simultanée de 22 tableaux de Notre-Dame de Paris

22 des 25 tableaux de Notre-Dame de Paris, dont 13 Mays, sont entrés en restauration en octobre 2021 pour deux ans. En plus d’être des toiles de grands maîtres, ils sont pour la plupart des tableaux de grande taille allant jusqu’à 4,5 m de haut et 3,5 m de large. Dès le 15 avril 2019, deux tableaux ont été évacués vers le musée du Louvre, La Nativité de la Vierge des frères Le Nain et La Vierge de Pitié de Lubin Baugin. Le 16 avril 2019, trois petits tableaux accrochés dans le trésor ont été évacués vers le musée du Louvre qui représentent le Chanoine de La Porte, le Chanoine Guillot et le Cardinal de Noailles. Ces œuvre sont en bon état et ne nécessitent pas de restauration. Le 19 avril 2019, 15 autres tableaux ont été sortis, ceux de Baugin, Blanchard, Bourdon, Chéron, Élias, Francken, La Hyre, Le Brun, Loir, Poërson, Testelin, Vien et Vouet. 3 tableaux de Carrache, Jeaurat et Van Loo quittent la cathédrale le 24 avril. Enfin, les 2 dernières œuvres, de Reni et La Hyre, difficilement accessibles, sont évacuées en août 2020. Tous les tableaux ont été dépoussiérés face et revers et ont bénéficié chacun d’un constat d’état. Le Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF) est venu en appui de la DRAC pour organiser l’évacuation et la conservation des tableaux. Il a notamment mis en œuvre les opérations de dépoussiérage (face et revers) et de constats d’état détaillés effectués par des restaurateurs. Cette restauration exceptionnelle, minutieuse et scientifique est rendue nécessaire par le vieillissement naturel des matériaux et non en raison de l’incendie, qui n’a, heureusement, pas détérioré les tableaux. Les techniques de restauration anciennes ont permis une bonne conservation des œuvres dans le temps. La restauration des tableaux s’effectue en 4 étapes dans des ateliers conçus spécifiquement, celle-ci terminée, les tableaux sont remontés avec leur cadre et entreposés dans la réserve en attente d’être raccrochés dans la cathédrale de Notre-Dame de Paris, quand les conditions le permettront. À l’issue de cet examens, des tests de restauration sont réalisés sur les tableaux, et une commission scientifique se réunit pour valider les proposition d’intervention. Les œuvres entrent alors dans les étapes de restauration à proprement parler. De la dépose à la restauration, en cours, de l’ensemble exceptionnel de 22 tableaux de la cathédrale Notre-Dame de Paris, la CRMH de la DRAC Île-de-France, pilote des opérations, a pu s’appuyer sur l’expertise du Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF), service de référence du ministère de la Culture. Pour permettre la restauration simultanée des tableaux, la DRAC a décidé de réaliser l’opération dans un lieu unique permettant d’accueillir ces grands formats. Un site unique, mis à disposition par l’entreprise Bovis Fine Art, situé dans le sud de l’Île-de-France a été choisi. Des travaux d’aménagement de seulement 6 semaines ont été nécessaires pour concevoir des lieux conformes aux attentes de la DRAC et permettant des conditions de conservation et de sécurité. La campagne de restauration doit durer deux ans, afin que les toiles puissent retrouver la cathédrale pour sa réouverture, en 2024. Photo : Déplacement d’oeuvre par Bovis Fine Art © DRAC Île-de-France
Il y a 2 ans et 228 jours

Solutions techniques, acoustiques et décoratives pour murs et plafonds !

BATIMAT Du 3 au 6 octobre 2022 Paris – Porte de Versailles PAVILLON 1 – STAND F086 Après trois années d’absences contraintes, CLIPSO fait son retour à BATIMAT sur un stand revisité. De forme cubique et épurée, l’espace architecturé joue avec les ouvertures et fait la part belle à un florilège de gammes de produits […]
Il y a 2 ans et 228 jours

Projet de 19 folies architecturales pour 2025 à Neuilly-sur-Seine

Entreprises, marques et institutions publiques qui se porteront candidates pour occuper un ou plusieurs de ces pavillons de 35 m³ pourront choisir entre deux propositions architecturales : la folie en terre crue d'Edouard François et celle en verre de Manuelle Gautrand.La première, cube de terre crue présentant des voûtes et alvéoles stratifiées protégé par un écrin de verre, naîtra d'imprimantes 3D.La seconde est un savant agencement de briques de verre issues de verrières récupérées, polies ou mates, assemblées en continu ou en moucharabieh."Economiques en carbone", "esthétiques", construites "à partir de matériaux recyclés", les folies seront "ouvertes aux expérimentations technologiques", a expliqué le maire de Neuilly-Sur-Seine Jean-Christophe Fromantin.Leur vocation est de donner au public "une expérience différente du commerce traditionnel", a souligné l'élu.Ce projet "suscite un grand intérêt", s'est félicité M. Fromantin qui recevra des entreprises et acteurs publics intéressés, parmi lesquels des marques de luxe et des musées. "On jugera de l'intensité et de la diversité des expériences" que ces prétendants aux folies pourront apporter.Ces 19 "petites extravagances architecturales", inspirées du XVIIe siècle, animeront les 2 kilomètres de l'avenue Charles-de-Gaulle entre la Porte Maillot et La Défense, à l'ouest de Paris, "une zone de très forte activité avec 40.000 emplois salariés", selon le maire."L'idée est de redonner de l'attractivité à cette avenue qui était devenue une autoroute urbaine", en installant ces folies et en revégétalisant deux de ses dix hectares avec près de 600 arbres et en privilégiant les mobilités douces.Le coût de réhabilitation de cette avenue est estimé à plus de 58 millions d'euros, financés principalement par la Ville avec des subventions des collectivités territoriales et des partenaires institutionnels.Chaque entreprise ou institution publique qui occupera ces folies jouira d'une autorisation d'occupation temporaire (AOT) de 15 ans et devra financer son coût de construction, à savoir 600.000 euros.
Il y a 2 ans et 228 jours

Projet de 19 folies architecturales pour 2025 à Neuilly-sur-Seine

Entreprises, marques et institutions publiques qui se porteront candidates pour occuper un ou plusieurs de ces pavillons de 35 m³ pourront choisir entre deux propositions architecturales : la folie en terre crue d'Edouard François et celle en verre de Manuelle Gautrand.La première, cube de terre crue présentant des voûtes et alvéoles stratifiées protégé par un écrin de verre, naîtra d'imprimantes 3D.La seconde est un savant agencement de briques de verre issues de verrières récupérées, polies ou mates, assemblées en continu ou en moucharabieh."Economiques en carbone", "esthétiques", construites "à partir de matériaux recyclés", les folies seront "ouvertes aux expérimentations technologiques", a expliqué le maire de Neuilly-Sur-Seine Jean-Christophe Fromantin.Leur vocation est de donner au public "une expérience différente du commerce traditionnel", a souligné l'élu.Ce projet "suscite un grand intérêt", s'est félicité M. Fromantin qui recevra des entreprises et acteurs publics intéressés, parmi lesquels des marques de luxe et des musées. "On jugera de l'intensité et de la diversité des expériences" que ces prétendants aux folies pourront apporter.Ces 19 "petites extravagances architecturales", inspirées du XVIIe siècle, animeront les 2 kilomètres de l'avenue Charles-de-Gaulle entre la Porte Maillot et La Défense, à l'ouest de Paris, "une zone de très forte activité avec 40.000 emplois salariés", selon le maire."L'idée est de redonner de l'attractivité à cette avenue qui était devenue une autoroute urbaine", en installant ces folies et en revégétalisant deux de ses dix hectares avec près de 600 arbres et en privilégiant les mobilités douces.Le coût de réhabilitation de cette avenue est estimé à plus de 58 millions d'euros, financés principalement par la Ville avec des subventions des collectivités territoriales et des partenaires institutionnels.Chaque entreprise ou institution publique qui occupera ces folies jouira d'une autorisation d'occupation temporaire (AOT) de 15 ans et devra financer son coût de construction, à savoir 600.000 euros.
Il y a 2 ans et 228 jours

DORTE MANDRUP, UN ART DE L'ENRACINEMENT - Exposition

Arnaud Sachet et Benjamin Colboc fondent l'agence Cosa en 2016, à Paris. Arnaud Sachet, diplômé de l'ENSAIS en 2001, et Benjamin Colboc, diplômé de Paris Belleville en 2003, ont fondé Cosa en 2016, après avoir collaboré au sein de Colboc Franzen & associés. Recherchant des réponses simples à des questions […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 229 jours

baudet participe au salon equip hotel 2022 en novembre

L’événement dédié aux professionnels de l’hôtellerie se tiendra du 06 au 10 novembre 2022 à Paris, Porte de Versailles. Leader depuis 1992 avec 180 000 salles de bain fabriquées et plus de 400 hôtels équipés depuis la création de l’entreprise, la société BAUDET exposera trois de ses salles de bain appartenant à la gamme STANDING et adaptées au domaine hôtelier. Pendant 5 jours, une pléiade d’innovations en produits et services sera mise en lumière !
Il y a 2 ans et 229 jours

baudet participe au salon equip hotel 2022 en novembre

L’événement dédié aux professionnels de l’hôtellerie se tiendra du 06 au 10 novembre 2022 à Paris, Porte de Versailles. Leader depuis 1992 avec 180 000 salles de bain fabriquées et plus de 400 hôtels équipés depuis la création de l’entreprise, la société BAUDET exposera trois de ses salles de bain appartenant à la gamme STANDING et adaptées au domaine hôtelier. Pendant 5 jours, une pléiade d’innovations en produits et services sera mise en lumière !
Il y a 2 ans et 229 jours

Manuelle Gautrand et Edouard François, lauréats du concours des Folies de Neuilly

ARCHITECTURE. Dix-neuf folies vont fleurir sur l'avenue principale de cette banlieue parisienne. Conçus par deux grandes agences d'architecture françaises, ces projets, à la fois "écologique" et "technologique", ont séduit la Ville de Neuilly.
Il y a 2 ans et 229 jours

Manuelle Gautrand et Edouard François, lauréats du concours des Folies de Neuilly

ARCHITECTURE. Dix-neuf folies vont fleurir sur l'avenue principale de cette banlieue parisienne. Conçus par deux grandes agences d'architecture françaises, ces projets, à la fois "écologique" et "technologique", ont séduit la Ville de Neuilly.
Il y a 2 ans et 229 jours

L’alliance HQE-GBC fait le show à Batimat

Page d’accueil de l’outil numérique “HQE Pour Tous”. [©HQE] Présente dans le Hall 1 – Stand J73 à Batimat, l’Alliance HQE-GBC propose des démonstrations de son nouvel outil numérique baptisé HQE Pour Tous. Cet outil est destiné aux acteurs de la construction pour leur faire découvrir les 26 thématiques, les engagements et les objectifs que cette norme englobe. Il a pour objectif de faciliter la compréhension des cadres de références réunis autour de quatre engagements. A savoir, la qualité de vie, le respect de l’environnement, la performance économique et le management responsable. En partenariat avec l’école des Ponts Paris Tech, l’association participe aussi au 2e volet du cycle de conférences internationales. En relation avec le mastère spécialisé dans l’immobilier et le bâtiment durables, les transitions carbone et numérique. Ceci, aux côtés d’experts issus des 5 continents. Découvrez l’intégralité du dossier ici : “Batimat : Le plein d’innovations pour l’efficacité énergétique“
Il y a 2 ans et 229 jours

Val-de-Marne : La SFB ambitieuse et engagée

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. SFB est essentiellement présente dans le Val-de-Marne. [©SFB] Dans le paysage des BPE franciliens, Société francilienne de béton (SFB) tente de se faire une place depuis le Val-de-Marne. « Nous avons quatre unités de production de béton qui se situent à Bonneuil-sur-Marne, à Ivry-sur-Seine et à Valenton, explique Stéphane Troussard, directeur général de l’entreprise. Nous proposons aussi à nos clients quatre unités de production mobiles. Ce qui nous permet de nous adapter à chaque chantier et à ses particularités. Mais aussi aux différents besoins de nos clients en matière de production de BPE. » Reprise par les Carrières Nivet en 2019, SFB a pour ambition de promouvoir le béton décarbonné sur sa zone de chalandise. Pour cela, elle a signé un partenariat avec Hoffmann Green Cement. « Nous sommes deux producteurs de BPE à avoir l’exclusivité en Ile-de-France et nous sommes les seuls indépendants. Ce partenariat nous permet d’apporter une vraie solution avec de la valeur ajoutée à nos clients. Dans la même idée, début 2023, nous allons diversifier notre gamme de solutions produits et services. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France Outre ses produits, SFB s’appuie, depuis le rachat, sur la valeur de ses hommes et de ses savoir-faire. « Nous avons une structure d’une quarantaine de femmes et d’hommes engagés, avec peu de turn-over. L’ancienneté moyenne des collaborateurs se situe autour des 15 ans. Nous impliquons tout le monde dans nos projets, notamment en matière de RSE. En l’espèce, les employés ont majoritairement répondu présent pour apporter leur soutien à une association luttant contre le cancer du sein1. Nous sommes aussi membres du label “Global Compact” de l’Onu en matière de RSE. » Ce qui n’empêche pas SFB d’être active sur le marché francilien de la construction, comme sur les lots T2a et T2b de la ligne 15 du Grand Paris.  1Courses caritatives Odysséa. Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102.
Il y a 2 ans et 229 jours

La station de recharge pour les voitures électriques la plus rapide de France ouvre en Normandie

C'est la première station de recharge ouverte par Kallista Energy, qui exploite 36 parcs éoliens en Europe. Détenue par les fonds français Ardian et néerlandais APG, Kallista compte ouvrir à terme un réseau de 90 stations sous la marque "Yaway", alimentées principalement par le vent.La station de Vernon-Douains, non alimentée par le vent, propose deux bornes de recharge ultrarapide, atteignant jusqu'à 360 kW, une puissance bien supérieure à ce qu'acceptent même les véhicules les mieux équipés, comme la Porsche Taycan ou la Tesla Model 3.Cette borne encore en test permettra aux prochaines générations de voitures de récupérer jusqu'à 100 kilomètres d'autonomie en moins de trois minutes, selon son concepteur, le groupe helvético-suédois ABB.Des exemplaires de ce modèle fabriqué en Italie et appelé "Terra 360" fonctionnent déjà en Allemagne avec le pétrolier Shell et en Norvège avec l'énergéticien Eviny.La borne partage sa puissance entre les voitures qui s'y branchent, jusqu'à quatre en même temps. La charge coûte encore 0,55 euro la minute mais sera bientôt facturée au kWh.En route pour Paris depuis la côte, un SUV Audi s'y est rechargé mercredi, passant de 2 à 80% d'autonomie en 32 minutes, a expliqué son propriétaire Benoist Girard, 43 ans, repassant sur le chemin du retour.Sur un marché de la recharge en pleine explosion, avec la multiplication des voitures électriques sur les routes, Kallista utilise de l'électricité produite par des éoliennes pour "la majorité" de ses bornes.Cette première station de recharge de Kallista Energy n'est pas alimentée par une éolienne, car elle est trop proche d'une base aérienne. Mais il y a "beaucoup de synergies" entre ces métiers, et l'investissement dans les bornes est bien plus léger, a indiqué le directeur général de Kallista, Johann Tardy.En reliant la production et la distribution d'énergie renouvelable, Kallista compte à terme offrir des tarifs de recharge attractifs, a souligné M. Tardy.L'agglomération Seine Normandie a mis à disposition ce terrain au bord de l'autoroute et à deux pas de la future usine Hopium, qui mise sur les voitures à hydrogène.Chaque point de charge a aussi été financé à hauteur de 18.000 euros par le programme public Advenir, qui a mis l'accent depuis 2020 sur la recharge ultrarapide.
Il y a 2 ans et 229 jours

Cannes veut "réinventer" sa Croisette en rouge

"La Croisette réinvente sa légende, et s'attaquer à la Croisette, ce n'est pas rien, c'est un objectif d'intérêt général majeur parce que c'est la quintessence d'un certain esprit de la Côte d'Azur", a indiqué le maire LR David Lisnard, lors d'une conférence de presse vendredi 23 septembre."La baie est sublime mais elle n'était plus au niveau" tant pour le revêtement du sol, l'éclairage public, les bordures ou sous terre avec un réseau vieux de plus d'un siècle, a-t-il ajouté.L'équipe retenue est emmenée par l'Atelier d'urbanité Roland Castro, du nom de l'urbaniste et architecte français, mandataire de l'opération, et compte notamment en son sein le cabinet d'architecture norvégien Snohetta, auteur notamment de l'entrée du Mémorial du 11 septembre à New York ou du nouveau siège du groupe Le Monde à Paris.Ils devront rénover l'ensemble de la voirie et du mobilier urbain de ces 170.000 m2, avec le parti-pris fort d'une pierre rouge sur le sol, censée rappeler la couleur du tapis des marches du Palais des festivals et la roche du massif de l'Esterel voisin.Des touches de laiton viendront signaler les grands hôtels et les flux de circulation.La voirie, dont l'asphalte sera lui aussi rouge, réservera deux voies aux véhicules, avec une piste cyclable.Sur les trottoirs seront disposés des bancs en béton semblant sortir de terre avant d'y disparaître.Sur ces 2,6 km qui courent du Palais des festivals jusqu'au Palm Beach, sera aussi construit un "théâtre de la mer", face au soleil qui se couche derrière le massif de l'Esterel."C'est un projet sobre et élégant qui vise à sublimer la Croisette et à la rendre appropriable par tous", a résumé Gérald Heulluy, président de l'Atelier d'urbanité Roland Castro.La livraison de la première tranche est prévue pour 2025, selon la mairie.Le budget total, à la charge de la ville et de l'agglomération, est de 160 millions d'euros, comprenant une phase préliminaire sur les réseaux souterrains pour près de 40 millions d'euros."Il y a 150 ans, la Croisette n'existait pas, c'était des dunes et des marécages, ce n'est qu'au milieu du 19e siècle que les 27 copropriétaires des lieux ont tracé un chemin de cinq mètres de large avant que la Croisette elle-même n'apparaisse à la fin du 19e siècle", a rappelé M. Lisnard.Depuis 1960, elle n'avait bénéficié d'aucun aménagement majeur.Pour lui, il était "plus que temps" de rénover "la vitrine de Cannes, qui a le record d'enseignes de luxe devant l'avenue Montaigne à Paris et la 5e avenue à New-York", et dont il veut aussi garder le "côté populaire" avec les kiosques et les manèges pour enfants.
Il y a 2 ans et 229 jours

Cannes veut "réinventer" sa Croisette en rouge

"La Croisette réinvente sa légende, et s'attaquer à la Croisette, ce n'est pas rien, c'est un objectif d'intérêt général majeur parce que c'est la quintessence d'un certain esprit de la Côte d'Azur", a indiqué le maire LR David Lisnard, lors d'une conférence de presse vendredi 23 septembre."La baie est sublime mais elle n'était plus au niveau" tant pour le revêtement du sol, l'éclairage public, les bordures ou sous terre avec un réseau vieux de plus d'un siècle, a-t-il ajouté.L'équipe retenue est emmenée par l'Atelier d'urbanité Roland Castro, du nom de l'urbaniste et architecte français, mandataire de l'opération, et compte notamment en son sein le cabinet d'architecture norvégien Snohetta, auteur notamment de l'entrée du Mémorial du 11 septembre à New York ou du nouveau siège du groupe Le Monde à Paris.Ils devront rénover l'ensemble de la voirie et du mobilier urbain de ces 170.000 m2, avec le parti-pris fort d'une pierre rouge sur le sol, censée rappeler la couleur du tapis des marches du Palais des festivals et la roche du massif de l'Esterel voisin.Des touches de laiton viendront signaler les grands hôtels et les flux de circulation.La voirie, dont l'asphalte sera lui aussi rouge, réservera deux voies aux véhicules, avec une piste cyclable.Sur les trottoirs seront disposés des bancs en béton semblant sortir de terre avant d'y disparaître.Sur ces 2,6 km qui courent du Palais des festivals jusqu'au Palm Beach, sera aussi construit un "théâtre de la mer", face au soleil qui se couche derrière le massif de l'Esterel."C'est un projet sobre et élégant qui vise à sublimer la Croisette et à la rendre appropriable par tous", a résumé Gérald Heulluy, président de l'Atelier d'urbanité Roland Castro.La livraison de la première tranche est prévue pour 2025, selon la mairie.Le budget total, à la charge de la ville et de l'agglomération, est de 160 millions d'euros, comprenant une phase préliminaire sur les réseaux souterrains pour près de 40 millions d'euros."Il y a 150 ans, la Croisette n'existait pas, c'était des dunes et des marécages, ce n'est qu'au milieu du 19e siècle que les 27 copropriétaires des lieux ont tracé un chemin de cinq mètres de large avant que la Croisette elle-même n'apparaisse à la fin du 19e siècle", a rappelé M. Lisnard.Depuis 1960, elle n'avait bénéficié d'aucun aménagement majeur.Pour lui, il était "plus que temps" de rénover "la vitrine de Cannes, qui a le record d'enseignes de luxe devant l'avenue Montaigne à Paris et la 5e avenue à New-York", et dont il veut aussi garder le "côté populaire" avec les kiosques et les manèges pour enfants.
Il y a 2 ans et 229 jours

Mondial du Bâtiment : Un programme de conférences bien fourni

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. Côté conférences, le Mondial du Bâtiment voit les choses en grand. [©Mondial du Bâtiment] Côté conférences, le Mondial du Bâtiment voit les choses en grand. En effet, de nouveaux formats d’échanges font leur apparition, afin d’aborder les grandes thématiques qui portent cette édition : “Préserver le climat et l’environnement”, “Bien vivre dans la ville en 2050”, “Transformer les méthodes”, “Valoriser les métiers”. Un programme ambitieux qui se tiendra sur 14 scènes ouvertes sur les 3 salons, dont Batimat. Près de 1 000 intervenants sont attendus avec plus de 450 conférences et animations… « C’est en quelque sorte un “Davos” du bâtiment que nous préparons », souligne Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. Le programme sera exceptionnel par son ampleur, par la qualité et la diversité des intervenants et le nombre de thématiques abordées qui couvriront l’intégralité du spectre des problématiques du secteur… » Quatre grands thèmes Le programme des conférences est porté par 4 grands thèmes. Voici un aperçu non exhaustif de celles davantage axées sur les bétons : • Préserver l’environnement Lundi 3 octobre 11 h 00 – 12 h 30 : Est-il vraiment urgent d’industrialiser la construction ? 14 h 00 – 15 h 30 : Réhabiliter plutôt que de construire. Quels leviers pour atteindre la neutralité carbone ? 16 h 00 – 16 h 45 : Les territoires, acteurs de la décarbonation Mardi 4 octobre 9 h 00 – 10 h 30 : Economie circulaire, par et pour les acteurs du bâtiment 11 h 00 – 12 h 30 : Economiser les ressources et valoriser les matériaux 16 h 00 – 19 h 00 : Retrouver de la productivité et améliorer le bilan carbone Mercredi 5 octobre 9 h 30 – 10 h 30 : Nouvelles filières des matériaux bio- et géo-sourcés 11 h 00 – 12 h 30 : Accélérer l’efficacité et la sobriété énergétique des bâtiments Jeudi 6 octobre 9 h 30 – 10 h 30 : La formation et les compétences au centre de la transformation du secteur • Bien vivre dans la ville en 2050 Mercredi 5 octobre 9 h 30 – 10 h 30 : Panorama européen des architectes engagés dans la décarbonation 11 h 00 – 12 h 30 : Le futur en cours de construction 14 h 00 – 15 h 30 : Repenser notre habitat pour mieux vivre ensemble 16 h 00 – 17 h 30 : Retour sur l’opération Low Carbon Construction Tour. Décarbonation du secteur de la construction Jeudi 6 octobre 9 h 30 – 10 h 30 : Architecture durable, réhabiliter plus que construire 16 h 00 – 16 h 45 : Le bois et le biosourcé pour atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2030 • Valoriser les métiers Lundi 3 octobre 10 h 00 – 10 h 45 : RE 2020 et études ACV. Enjeux et défis pour engager le bâtiment et les acteurs de la construction dans la démarche bas carbone 11 h 00 – 11h 45 : Renouveau urbain pour la requalification architecturale des cœurs de ville Mardi 4 octobre 9 h 30 – 10 h 15 : Quel coût de construction en RE 2020 ? 11 h 30– 12 h 15 : Les spécificités de la RE 2020 en logements collectifs 14 h 00 – 14 h 45 : Anticiper le changement d’usage d’un bâtiment dans le temps 16 h 00 – 16 h 45 : La construction bas carbone : points cruciaux et recommandations Mercredi 5 octobre 11 h 00 – 12 h 15 : Décarbonation des matériaux de construction • Transformer les méthodes Les interventions seront portées et organisées par l’Ecole des ponts Paris Tech. Lundi 3 octobre A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech autour de l’architecture décarbonée et solidaire Mardi 4 et mercredi 5 octobre A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech, de Marjolaine Meynier-Millefert, présidente Alliance HQE – GBC France, et de Romain Duballet, co-fondateur d’XtreeE, autour de la politique environnementale Jeudi 6 octobre A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech et de Guy Sidos, Pdg de Vicat, autour de l’industrie de la construction. En savoir plus ici Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine.