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Il y a 4 ans et 99 jours

3D Hubs, votre service d’impression 3D à Paris

3D Hubs est une plateforme de service en ligne spécialisée dans les technologies de l’impression 3D, l’usinage, le moulage par injection ou encore les pièces de tôleries. Sur Paris, elle réalise divers types de projets pour la fabrication d’objets spécifiques. La plateforme se focalise autant sur des réalisations de pièces simples que celles plus complexes. Le but étant d’arriver à des productions de qualité sur le long terme. Des projets sur mesure 3D Hubs se focalise surtout sur des réalisations sur mesure. La plateforme appuie des ingénieurs mécaniques dans la réalisation de pièces uniques sur mesure via impression 3D. Elle intervient dans de nombreux secteurs techniques comme l’automobile, l’automatisation industrielle, l’automobile ou encore la robotique. Pour autant, aucune limite sur les collaborations n’est imposée. Ainsi, dans la mesure du possible, la plateforme propose des impressions uniques d’autres pièces utiles dans d’autres secteurs d’activité. Via le procédé par usinage, il est parfois compliqué de prototyper certaines pièces à cause des formes complexes et des techniques à appliquer. Une raison pour laquelle l’impression 3D est utilisée comme alternative. A moindre coût, la plateforme propose ainsi des solutions efficaces pour les réalisations les plus complexes. Une impression 3d en ligne Il est possible d’effectuer une impression 3D en ligne, aucun déplacement n’est nécessaire. Tout est retrouvé directement en ligne. Avec une interface simple, il vous sera facile de télécharger vos fichiers CAO directement en ligne. Vous pouvez aussi obtenir un devis gratuit directement sur la plateforme peu importe le projet avancé et les types de formes demandés. Les commandes passées, les livraisons s’effectuent à partir de 4 jours après la date de la commande. En option vérifiable, la plateforme effectue un retour DfM pour chaque devis. De cette façon le client obtient un feedback de ses pièces et peut réaliser des modifications si nécessaire. Une fois que le client est satisfait du rendu, la commande ed prototypes ou pièces de série peut être lancée. Sur le respect des normes La plateforme, avec des équipes qualifiées, produit des pièces de qualité selon les normes imposées. Pour une production répondant aux attentes des clients, la plateforme se base sur des normes spécifiques en ce qui concerne la fabrication via impression 3D. Des évaluations sont également effectuées pour rassurer les clients. Pour les suivis, des rapports sont effectués pour rester dans la marge d’une excellente qualité. Des partenaires soumis à des contrôles Étant une plateforme, 3D Hubs est en collaboration avec d’autres entreprises pour les fabrications. Les intervenants professionnels subissent des contrôles rigoureux pour assurer la qualité des produits fabriqués. Ainsi, les contrôles se concentrent surtout sur les machines et la capacité de fabrication. S’en suivent des commandes testées par des équipes techniques. Des coûts adaptés à vos produits Pour le service d’impression 3D, les couts ne sont jamais aléatoires. La plateforme se base sur des algorithmes d’apprentissage automatique afin de connaitre le cout exact d’une impression 3D depuis le fichier CAO. Avec les expériences et les commandes anciennement réalisées, les calculs sont automatiques. En quelques secondes seulement, la plateforme affiche les détails du coup du projet. Connaitre le prix en avance reste ainsi un des avantages notables de l’impression 3D. Avant même de commander, le client a accès au prix exact de son projet. Si vous voulez générer un devis, il suffit tout simplement de télécharger un fichier CAO en ligne en créant un compte sur la plateforme. Une alternative très conseillée surtout pour les ingénieurs mécaniques afin de moins dépenser du temps sur des réalisations manuelles fastidieuses. D’autant plus qu’avoir un devis gratuit réduit considérablement les frais liés à la réalisation du projet. Un service complet Pour l’impression 3D à devis instantané, la plateforme offre d’autres services en accompagnement : Dépôt de fil fondu: disponibilité de plusieurs matières standard, de types et caractéristiques variables. Stéréolithographie: permettant de produire des prototypes de haute précision Multijet fusion: permettant la production de pièces fonctionnelles en plastiques à propriétés mécaniques isotropes. Frittage sélectif par laser: un procédé permettant de fabriquer des pièces fonctionnelles en construisant ces dernières, couche par couche. Fusion sélective par laser: permettant la fabrication de pièce en métal : aluminium et acier inoxydable 316 Sous la direction d’experts, ces services en plus permettent aux clients de connaitre la caractéristique de fabrication pour chaque type de pièce en prenant en compte les matériaux et les supports indispensables pour une production de qualité.
Il y a 4 ans et 99 jours

Un nouveau président et deux vice-présidents pour le Cérib

Le 26 janvier 2021, Bertrand Bedel a été élu à la présidence du Cérib. [©Cérib] Le 26 janvier 2021, Bertrand Bedel a été élu à la présidence du Cérib. Ceci, pour une durée de trois ans. Il succède à Philippe Gruat, en poste depuis 2018. Engagé de longue date dans l’industrie du béton, Bertrand Bedel est membre du conseil d’administration du Cérib depuis 2012. Et président de la Fédération de l’industrie du béton (Fib) depuis juin 2019. Le mot de Bertrand Bedel  « […] Ma feuille de route pour les trois ans à venir s’inscrit en particulier dans la continuité du Contrat d’objectifs et de performance (COP) 2020-2023. Signé en février 2020 entre l’Etat, la Fib et le Cérib. Et ce, pour accompagner l’industrie du béton vers le futur. Et accélérer les grandes transitions du secteur de la construction. Ce Contrat repose sur des enjeux stratégiques forts. Déjà, accompagner les PME/TPE vers l’industrie du futur par le déploiement de la construction numérique et du BIM. Et des outils innovants de maîtrise de la production. Puis, répondre à l’intérêt général des parties prenantes pour la transition écologique et énergétique. Enfin, accélérer la transition vers une économie circulaire dans la construction […] », souligne Bertrand Bedel. Le parcours de Bertrand Bedel Deux vice-présidents ont été aussi nommés au conseil d’administration. A savoir, Philippe Gruat, président de la Filière Béton et président de l’Ecole supérieure des ingénieurs des travaux de la construction (Esitc) de Caen. Et Laure Hélard, déléguée générale du Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic) et de l’Association technique de l’industrie des liants hydrauliques (Atilh). Après une formation bâtiment et génie civil, Bertrand Bedel a commencé comme conducteur de travaux chez Cipec. Après deux années au sein du groupe Point.P, c’est en 1983 qu’il débute sa carrière dans l’industrie des produits en béton. Ceci, en rejoignant Premat Yonne, qui intégrera, en 1989, Alkern. Pendant 36 ans, il a occupé plusieurs postes au sein de ce groupe. Dont la présidence. Et ce, jusqu’en avril 2019, date à laquelle il a rejoint son conseil de surveillance. 
Il y a 4 ans et 99 jours

Legoupil Industrie double l’activité de sa gamme Intégral + en 2020

L’entreprise normande a spécialement développé une cellule dédiée aux chantiers tous corps d’état gérés de A à Z dans des délais records. Appelée Intégral +, elle a en 2 ans a vu son activité doubler : 2 fois plus de projets étudiés, un chiffre d’affaires multiplié par 2 et de nouveaux recrutements en cours !Le développement de la gamme Intégral + adresse tous les secteurs de l’industrie automobile ou pharmaceutique, à la grande distribution, en passant par le secteur des ambulances ou des pompes funèbres. Christophe Koeppel, DG de Legoupil Industrie, est disponible pour partager son expertise du Made In France et échanger sur les coulisses du succès de cette gamme.Une cellule développée pour assurer une gestion intégrale des chantiers tous corps d’étatAvec ses gammes traditionnelles de bâtiments industriels Extend et Master, le fabricant normand spécialiste des bâtiments industriels et modulaires peut installer plus de 1000 m² en seulement 2 semaines. Alliant les avantages du bâti traditionnel à la rapidité d’exécution, ce type de bâtiment est de plus en recherché. Legoupil Industrie observe depuis quelques années une tendance forte de globalisation des besoins de ses clients. La cellule Intégral + intervient en réponse à ce besoin croissant de gestion intégrale des projets tous corps d’état.De la conception à la livraison clé en main, Legoupil Industrie assure la gestion de ces chantiers de A à Z. Le bureau d’études conçoit sur-mesure un bâtiment adapté aux contraintes du client, garanti conforme à toutes les normes en vigueur, même les plus strictes.Avec XX chantiers Intégral + réalisés en 2020, Legoupil Industrie a donc doublé en 2 ans le nombre de projets étudiés, consacrant le succès de ce mode de gestion des chantiers.“Internaliser notre production est un gage d’efficacité et de flexibilité, mais aussi un engagement sociétal et de maîtrise de la chaîne de production”, souligne Christophe Koeppel, DG de Legoupil Industrie.Des références chantiers tous secteurs industriels confondusL’entreprise normande a équipé des industriels de tous les secteurs de ses bâtiments industriels et modulaires : industrie automobile ou pharmaceutique, grande distribution, transport et logistique, ambulances ou encore pompes funèbres.
Il y a 4 ans et 99 jours

(Re)connaître le bois

Dans cet ouvrage paru à l’automne dernier aux Éditions du patrimoine, 3 auteurs, experts du matériau bois livrent leurs secrets d’identification des diverses essences utilisées dans le mobilier français. La méthode d’observation développée dans ce livre est moins intrusive qu’un prélèvement. Elle présente des critères objectifs de reconnaissance macroscopique et associe un historique d’utilisation et du commerce de chaque bois, permettant de contextualiser la production du mobilier. 75 essences différentes sont ainsi décrites, puis examinées « en situation » à travers plus de 60 meubles emblématiques conservés dans de grandes collections publiques (musée du Louvre, des Arts décoratifs, École de Nancy, etc.). Un livre pour identifier, connaître et préserver le matériau bois. L’Essence du bois – Manuel d’identification macroscopique des bois du mobilier français, XVIe-XXe siècle Patrick George, Emmanuel Maurin, Marie-Christine Trouy-Jacquemet – Photographies de Dominique Bouchardon
Il y a 4 ans et 99 jours

A Paris, la densité urbaine fait de la résistance malgré le Covid

La semaine dernière, écologistes et élus de la droite, dans une alliance inédite, ont eu raison d'un projet de construction de 80 logements sociaux (dont 60 pour des familles, et 20 pour des personnes sans domicile) prévus dans le très chic XVIe arrondissement parisien, pourtant très peu doté en la matière."A Paris, les écologistes sont favorables à la production de logements sociaux", a assuré le groupe écologiste dans un communiqué. Mais, "qui dit production ne dit pas forcément construction de logements", plaide-t-il, préférant "la transformation du parc immobilier existant grâce, notamment, au recours au droit de préemption".Le tribunal administratif, pour invalider le permis, a argué de sa "non conformité à l'actuel PLU", et d'une "insertion urbaine insuffisante" dans le quartier, rapporte la mairie."C'est un jugement assez politique", s'agace auprès de l'AFP l'adjoint chargé du Logement, le communiste Ian Brossat."La densité est sur le banc des accusés. Encensée il y a encore cinq ans, et présentée alors comme une réponse à l'étalement urbain et à la fragmentation sociale, la densité serait désormais responsable de tous les maux contemporains", écrivait l'élu PCF dans une tribune publiée mi-décembre dans Le Monde. "Avec la crise sanitaire, elle serait même devenue l'ennemie public numéro un."La densité d'habitants au mètre carré favoriserait ainsi la propagation du virus, dans une ville où l'insuffisance d'espaces verts s'est fait sentir au cours des derniers mois.Mais, "c'est moins la densité urbaine que le mal-logement qui serait en cause", rappelle l'élu, avec à l'appui, une étude de l'Institut pour la recherche en santé publique (IRESP) publiée en octobre. Reste que la mairie a "un objectif à atteindre: 25% de logements sociaux d'ici 2025", rappelle Ian Brossat. Or, "nous n'atteindrons jamais cet objectif si nous ne construisons plus rien."Transformer bureaux en logementsAlors que le télétravail a quasi vidé les quartiers d'affaires, des chercheurs plaident pour que les collectivités partent de l'existant pour réinventer la ville de demain.Par exemple, "les immeubles de bureaux, qui sont fermés le week-end, pourraient accueillir les associations ? Au rez-de-chaussée des immeubles de logements, on pourrait mutualiser des imprimantes, mettre des machines à laver ... des choses pas nécessairement utiles dans les logements", suggère Charlotte Girerd, responsable propective et expérimentation SNCF Immobilier, dans le journal "Nouvelles urbanités" publié en octobre.En région parisienne, la quantité de bureaux loués a ainsi reculé de près de moitié (-45%) par rapport à un an plus tôt, selon des données récentes de professionnels du secteur.Mardi, le capital investisseur Novaxia et quatre assureurs-vie se sont même engagés à lever un milliard d'euros d'investissements sur trois ans pour transformer des bureaux vides, espérant ainsi créer 4.000 logements d'ici trois ans, affirmait Joachim Azan, le président fondateur de Novaxia.La Ville réfléchit ainsi au "principe de réversibilité" des locaux: "Construire dans des normes de construction qui permettent de changer un bureau en logement, un bureau en commerce, ou un commerce en logement", avance Emmanuel Grégoire, premier adjoint de la maire PS Anne Hidalgo.En parallèle, la mairie poursuit ses projets de végétalisation et compte planter dès cette année 17.000 arbres, en utilisant notamment "les talus du périphérique", explique l'ancien élu EELV, adjoint en charge de la Végétalisation, Christophe Najdovski.Quant à la première forêt urbaine, elle pourrait voir le jour d'ici 2023-2024, dans le XIVe arrondissement, au sud de la gare Montparnasse, avance l'élu, convaincu qu'"il ne faut pas opposer les priorités: le logement comme la végétalisation sont importants".
Il y a 4 ans et 100 jours

Alphi contribue au développement industriel savoyard

Plate-forme logistique de Saint-Genix-Les-Villages d’Alphi. [©Alphi] Spécialiste français du coffrage et de l’étaiement, Alphi est l’une des trois entreprises savoyardes. Lauréates du fonds d’accélération aux investissements industriels dans les territoires. Qui fait partie du Plan de relance – Territoires d’industrie. Alphi a donc proposé un projet concernant sa plate-forme logistique de Saint-Genix-Les-Villages (73). Programme retenu et financé. « Notre projet consiste en la création d’un atelier de production et de réparation, intégrant des technologies innovantes. Seize nouveaux collaborateurs devraient ainsi nous rejoindre d’ici fin 2022 », annonce Alexandre Souvignet, président d’Alphi. Cette réalisation revêt quatre objectifs : • relocalisation, intégration et développement de la production de l’entreprise. Via la création d’un atelier de fabrication au sein d’un nouveau bâtiment de 4 000 m2 ; • robotisation qui favorisera la montée en compétences des équipes. Ceci, par le biais d’une technologie innovante : Cobot, un robot collaboratif ; • création d’un atelier bois pour les coffrages sur mesure. Favorisant l’essor de l’entreprise en Suisse. Ainsi que le renforcement de sa position nationale ; • réaménagement des postes de travail. Afin de gagner en ergonomie et en sécurité. L’investissement global est évalué à 2,6 M€ d’ici fin 2022. En attendant, l’année 2021 marque l’anniversaire d’Alphi, qui fête ses 25 ans. Et verra l’achèvement de la construction de son nouveau siège social de 1 400 m2, à Chambéry, sur la zone d’activités de Savoie Hexapole.
Il y a 4 ans et 100 jours

Le bâtiment appelle à une RE2020 véritablement ambitieuse, humaine, abordable et durable

Faute de concertation suffisamment aboutie, de nombreuses analyses contradictoires circulent et de sérieuses zones d'ombre demeurent. Une véritable concertation technique doit s'ouvrir, afin de parvenir à une RE2020 qui concilie lutte plus intense contre l'effet de serre, innovation, emplois et lieux de vie performants, agréables, sobres et économiquement accessibles.L'urgence climatique doit être traitée avec responsabilité, en évitant dogmatismes et expédients satisfaisants à court terme, mais inefficaces à long terme, alors que la règlementation française (la RT 2012) s'avère déjà la plus ambitieuse d'Europe et, sans doute, du monde.Avec le projet proposé, il est certain que l'usager continuera à subir un inconfort d'été ; il est certain que de nombreuses opérations se trouveront condamnées par le poids carbone des infrastructures imposées par les PLU et qu'il en ira de même pour les opérations prévues sur des terrains présentant des contraintes de sol ou d'orientation ; il est aussi certain qu'il en sera fini du recours au gaz ou aux radiateurs électriques performants, fut-ce en appoint.Au surplus, le modèle et les seuils retenus risquent d'exclure à court terme des filières entières de production, qu'il s'agisse de la construction en maçonnerie ou acier.Enfin, un surcoût important est certain, à telle enseigne que l'étude d'impact présentée par l'administration confirme l'absence de retour sur investissement sur cinquante ans. Comment les ménages et autres donneurs d'ordres pourront-ils supporter un tel choc ? Peut-on véritablement croire que la Puissance publique mettra en place un système d'accompagnement financier à la hauteur ?Alors que le rythme de construction actuel ne suffit pas à satisfaire les besoins en logements, les huit organisations ne peuvent souscrire à l'idée que tomber durablement à 300.000 logements mis en chantier annuellement sous l'effet de ces contraintes constitue une réponse envisageable à l'urgence climatique.Les huit organisations appellent à une RE2020 véritablement ambitieuse, humaine, abordable et durable. Une RE2020 qui place l'occupant au cœur des enjeux et qui rencontre l'adhésion des acteurs parce qu'elle ne les contraint pas dans des modèles fermés. Une RE2020 qui ne freine pas la production neuve, n'exclut pas les ménages modestes, ne détruit pas les emplois, ne sacrifie pas les filières et ne décourage pas l'innovation du secteur de la construction.
Il y a 4 ans et 100 jours

Tarkett : iQ Natural

Engagé depuis de nombreuses année en faveur d'une économie circulaire, Tarkett crée en 2020 le premier revêtement de sol en vinyle bio-attribué selon le principe du mass balance : le nouvel iQ Natural. Zoom sur un revêtement de sol design, fonctionnel et éco-responsable. Un leader mondial des revêtements de sol, Tarkett prend au sérieux sa responsabilité sur son impact environnemental, et lance le nouvel iQ Natural. Ce produit est le premier revêtement de sol en vinyle bio-attribué : ses matières premières, traditionnellement d’origine fossile, sont remplacées par de la biomasse selon le principe du mass balance.Éco-conçu par Tarkett, sans phtalate et recyclable en fin d’usage, ce nouveau produit offre aux architectes, designers et maîtres d’ouvrage une solution de revêtement de sol respectueuse de l’environnement. Attestée par RSB*, cette collection innovante est une solution de revêtement de sol qui réduit de 50 % les émissions de gaz à effet de serre par rapport à la moyenne des revêtements de sol en vinyle homogène du marché.En plus de son impact environnemental faible, le nouvel iQ Natural se décline en 35 coloris proposant de subtiles combinaisons ton sur ton avec des teintes neutres pour créer des intérieurs tendance inspirés par la nature.Une collection aussi esthétique que durable.À propos de TarkettRiche de 140 années d’histoire, la société Tarkett est un leader mondial des solutions de revêtements de sol et de surfaces sportives. Elle promeut aujourd’hui un mode de production durable et écoresponsable, et offre une large gamme de solutions qui comprend des sols vinyles, linoléum, moquettes, parquets, gazons synthétiques et pistes d’athlétisme. Avec 12 500 collaborateurs et 33 sites industriels autour du globe, Tarkett met en place une stratégie d’écoinnovation et crée des revêtements techniques et design pour des hôpitaux, des écoles, des hôtels, des bureaux, des commerces, des terrains de sport ou encore des résidences privées.Le choix de la rédactioniQ Natural est un produit aussi design que responsable. C’est pourquoi il remporte un Muuuz International Award 2020 dans la catégorie « Agencement, matériaux, revêtements / Revêtement de sol en vinyle bio-attribué ».*RSB, Roundtable on Sustainable Biomaterials, est un organisme environnemental indépendant qui valide le statut bio-attribué.Pour en savoir plus, visitez le site de Tarkett.Visuels : © TarkettLa rédaction
Il y a 4 ans et 100 jours

Sepalumic : Carport photovoltaïque « SOLCAR SYSTEM »

Conçu par Sepalumic, le carport photovoltaïque « SOLCAR SYSTEM » répond aux nouveaux besoins des bâtiments à énergie positive de la Réglementation Environnementale 2020. Zoom sur ce concept durable et innovant. Dans le cadre de la RE2020 et la construction de bâtiments à énergie positive, Sepalumic a pensé, puis produit le carport Photovoltaique Sepalumic « SOLCAR SYSTEM », qui peut également se décliner en pergola Photovoltaïque. Imaginé par l’entreprise Sepalumic en collaboration avec le bureau d’études du concepteur installateur de panneaux photovoltaïques Terre Solaire, ce carport photovoltaïque prend la forme d’une pergola moderne en aluminium sur lequel sont placés des panneaux solaires photovoltaïques biverre. Une large palette de couleurs offre aux architectes et particuliers la possibilité d’accorder leur carport à leur pergola mais également aux autres menuiseries de la maison afin de créer une harmonie architecturale globaleLes panneaux absorbent l’énergie solaire et la transforment en courant électrique pour alimenter l’habitat ou recharger la voiture, permettant ainsi aux propriétaires de bénéficier à la fois d’un bel abri pour voiture et de la gratuité de l’énergie solaire !À propos de SepalumicSpécialisée dans la menuiserie aluminium, SEPALUMIC conçoit et distribue depuis plus de 50 ans des portes, des fenêtres, des baies vitrées, des murs-rideaux, des vérandas, des portails, des garde-corps, des pergolas, etc. Aujourd’hui, l’entreprise française compte plus de 300 collaborateurs, 3 sites de production et 7 sites de stockage en France métropolitaine, aux Antilles et au Maroc. Avec son carport photovoltaïque, elle met son expertise et sa longue expérience au service du respect de l’environnement.Le choix de la rédaction Cette année, nous avons tenu à saluer un produit aussi innovant que responsable : le carport photovoltaïque de Sepalumic. Il est ainsi lauréat du Muuuz International Award 2020 dans la catégorie « Outdoor / Carport solaire ».Pour en savoir plus, visitez le site de Sepalumic. Visuels : © SepalumicLa rédaction
Il y a 4 ans et 100 jours

Interface® : CQuest™Bio

Forte de sa longue expérience, Interface®, leader mondial de la production de revêtements de sol modulaires écoresponsables, vient de lancer sa toute dernière collection de dalles de moquette : NY+LON Streets™. Celle-ci s’associe à CQuest™Bio, une nouvelle sous-couche à base de matériaux à empreinte carbone négative. Zoom sur un produit à la grande technicité et au design remarquable ! Interface® investit dans l’innovation et s’appuie sur la science des matériaux pour transformer son processus de fabrication en un mode de production respectueux de l’environnement. Sans PVC et sans bitume, la sous-couche révolutionnaire CQuest™Bio est fabriquée à partir d’un biocomposite de matières végétales renouvelables et de matériaux de remplissage recyclés, illustrant bien la volonté de l’entreprise de réduire son empreinte carbone.Aujourd’hui, Interface® a pour objectifs d’innover sur ses produits textiles et de travailler à la réduction de l’empreinte carbone de ses dalles LVT et produits en caoutchouc. La création de la sous-couche CQuest™Bio s’inscrit dans cette logique et constitue une étape majeure de l’engagement « Climate Take Back » mené par l’entreprise : elle a nécessité l’incorporation de nouveaux éléments bio-sourcés et de davantage de matières premières recyclées. Ces nouveaux matériaux, évalués de façon indépendante, ont un bilan carbone négatif net, ce qui diminue l’empreinte carbone totale du produit.En imaginant la sous-couche CQuest™Bio, l’entreprise réalise une gamme aussi esthétique que durable.À propos d’Interface®Créée en 1973 par Ray Anderson, Interface® propose aujourd’hui des solutions innovantes de revêtements de sol modulaires écoresponsables. Outre son savoir-faire, la réputation de la société réside également dans son engagement écologique et sa qualité de prestation. Aujourd’hui implantée à l’international, Interface® aide sa clientèle à créer des intérieurs uniques qui favorisent le bien-être, la productivité et la créativité, ainsi que le respect de l’environnement.Le choix de la rédactionCQuest™Bio est un produit à la fois décoratif et durable, ce qui lui a valu de se faire remarquer par la rédaction de Muuuz et de recevoir un Muuuz International Award 2020 dans la catégorie « Agencement, matériaux, revêtements / Revêtements de sol écoresponsables ».Pour en savoir plus, visitez le site d’Interface®.Visuels : © Interface®La rédaction
Il y a 4 ans et 100 jours

Dickson Constant : Dickson Woven Flooring

La nouvelle collection de sol en vinyle tissé DICKSON® est née du savoir-faire et de la vision résolument novatrice de la marque. L’intégration de jacquards et de nouveaux coloris étoffent l’offre, déclenchant ainsi l’enthousiasme de sa clientèle, particulièrement ciblée pour les lieux recevant du public. Très contemporaine, la gamme « Woven Flooring by Dickson » offre un large panel de motifs, matières, textures et coloris. Pour tous les projets de décoration, Dickson® dévoile également une nouvelle collection de tapis en vinyle tissé qui s’inscrit dans la lignée de sa collection de revêtement de sol.Grâce à l’intégration de jacquards et de nouveaux coloris, cette nouvelle collection graphique et tendance s’affirme à travers les huit gammes qui la composent. La richesse des textures naturelles, la subtilité des couleurs et les qualités esthétiques du PVC font des sols en vinyles tissés Dickson, une collection audacieuse et créative. Tissés à partir de fibres révolutionnaires, les produits Dickson Woven Flooring allient les qualités d'usage et de résistance des sols vinyles tout en offrant l'esthétique et la texture unique des revêtements textiles. Véritable innovation technique, la collection a été pensée et développée pour apporter aux environnements les plus exigeants – hôtels, bureaux, magasins, restaurants, etc. – une touche de raffinement et de design.Une collection contemporaine conférant aux espaces du caractère.À propos de Dickson ConstantFleuron du textile technique, l’entreprise française Dickson Constant est reconnue à l’international et fait figure de référence dans la conception de textiles techniques pour l’amélioration et la protection de l’habitat. Aujourd’hui, la société produit plus de 25 millions de m² de tissus près de Lille, car elle dispose en interne de toute la chaîne de création et de production. Cela permet un accompagnement sur mesure des clients et des prescripteurs. Ses produits sont d’ailleurs utilisés par des grands noms du design et de l’architecture sur des chantiers prestigieux.Le choix de la rédactionUne collection audacieuse qui est récompensée du Muuuz International Award 2020 dans la catégorie « Agencement, matériaux, revêtements / Revêtements de sol en vinyle tissé ».Pour en savoir plus, visitez le site de Dickson Constant. Visuels : © Dickson ConstantLa rédaction
Il y a 4 ans et 100 jours

Nouvelle Gamme Rigitone® Design pour des plafonds acoustiques et esthétiques en ERP

Faisant du confort sa première promesse, PLACO® dévoile sa nouvelle gamme d'ilots acoustiques RIGITONE® DESIGN, imaginée pour des plafonds acoustiques et esthétiques.Liberté créative, design, facilité et rapidité de mise en œuvre, les caractérisent. Tels des nuages flottant au-dessus des espaces, les produits RIGITONE® DESIGN jouent les effets de style avec leurs formes concaves ou convexes, une hauteur de suspension ajustable jusqu'à 2 m et des motifs perforés carrés ou aléatoires.Source de confort, les ilots à base de plaques de plâtre RIGITONE® intègrent la technologie ACTIV'AIR®, qui permet d'éliminer jusqu'à 80% du formaldéhyde présent dans l'air intérieur. Ils offrent ainsi une atmosphère saine et chaleureuse, et optimisent l'intelligibilité des échanges. L'autre prouesse en matière de confort réside dans leur conception en kit qui permet une installation rapide !Une fabrication responsable made in savoieLa gamme RIGITONE® DESIGN est fabriquée dans l'usine PLACO® située au cœur de la Savoie, à Chambéry. Un parti pris économique et écologique cher à la marque, à l'heure où la relocalisation des productions est au cœur des débats en France et dans le monde. Le système est assemblé et conditionné en kit par l'ESAT SATREC de La Ravoire (Établissement et Service d'Aide par le Travail). Cette démarche favorise la réinsertion et l'inclusion professionnelle de personnes en situation de handicap.Des îlots tout en légèretéL'inspiration créative constitue l'un des piliers de RIGITONE® DESIGN. Aériennes et élégantes, les plaques de plâtre (L. 1980 mm x l. 1000 mm) ondoient en toute légèreté et révèlent une ambiance harmonieuse, douce et raffinée.Création de designs mixtes, en vague ou dispersés, large choix de motifs décoratifs pour un style épuré (8-18 perforé rond - 8 mm de diamètre et 18 mm d'entraxe - ou 8-15-20 Super avec perforations rondes aléatoires)…, le système s'adapte aux ambiances nouvelles ou existantes, et permet de façonner des espaces singuliers, empreints de modernité et d'élégance. Telle une sculpture, le plafond aux formes concaves et convexes offre une grande flexibilité de design.Un système, un kit, une installation facilitéeLa facilité d'installation de RIGITONE® DESIGN se retrouve dans sa conception en kit qui se compose de :1 plaque de plâtre RIGITONE® Activ'Air® 8/18 ou 8-15-20 Super,1 panneau de laine de verre ISOVER CLEANTEC®,6 entretoises F 530,2 profilés cintrés F 530 (rayon de cintrage de 2 870 mm),16 cavaliers DF STIL® F 530,1 kit de suspension de 4 câbles de 2 m avec accessoires,des accessoires de pose.Le tout est accompagné d'un « Guide de mise en œuvre » richement illustré. Des schémas expliquent les étapes de pose, pas-à-pas. Le kit étant déjà pré-préparé, il suffit de fixer les profilés cintrés à l'aide des cavaliers et d'accrocher l'ilot en ajustant la hauteur des câbles de suspension. Un véritable gain de temps et de confort pour les installateurs, et de praticité pour le référencement dans les négoces !
Il y a 4 ans et 100 jours

Bouygues Construction renforce sa stratégie climat

En tant qu’entreprise responsable et engagée, Bouygues Construction innove et déploie depuis de nombreuses années des solutions et des projets durables en faveur de la transition énergétique. Le groupe définit aujourd’hui une stratégie climat ambitieuse pour réduire son empreinte carbone sur l’ensemble de sa chaîne de valeur en ligne avec l’ambition des accords de Paris. Au-delà de réduire ses émissions directes et indirectes en propre, Bouygues Construction souhaite également accompagner le développement d’un usage responsable des ouvrages qu’il réalise. Pour cela, le groupe propose à ses clients une large gamme de solutions en faveur de la performance énergétique des bâtiments, des quartiers et des villes, de la production et de la distribution d’énergie décarbonée et du développement de la mobilité bas carbone. Bouygues Construction s’engage ainsi sur l’ensemble de la chaîne de valeur de ses activités : conception, achats de matériaux, réalisation des projets, exploitation. Cette stratégie s’appuie sur un engagement fort de l’ensemble de ses équipes, dans les 60 pays dans lesquels le groupe est présent, sur une importante capacité d’innovation et sur la force de son réseau d’entreprises partenaires (fournisseurs et sous-traitants). Pour agir sur le scope 1&2* (11% du bilan carbone), Bouygues Construction a décidé notamment de se doter d’un parc véhicule vert (90% de véhicules verts en 2030), de réduire les déplacements de ses collaborateurs (-50% de vols internationaux et -80% de vols nationaux) et de réduire la consommation énergétique de l’ensemble de ses sites et chantiers. Pour agir sur le scope 3A amont (89% du bilan carbone), le groupe a notamment choisi de réduire l’impact des matériaux achetés (béton, menuiseries, câbles, etc.), de travailler sur les circuits courts pour réduire le fret et de réduire de 15% l’empreinte carbone de son IT d’ici 2025. Afin de réduire l’intensité carbone des ciments utilisés, une feuille de route est définie pays par pays pour arriver à une baisse globale de 40% d’intensité carbone du ciment (kg CO2 e/m3). La construction bois est également une axe clé puisque Bouygues Construction s’engage à réaliser 30% de ses projets bâtimentaires en bois à l’horizon 2030 en Europe. Pour agir sur le scope 3B aval, Bouygues Construction propose à ses clients une large gamme de solutions décarbonées pour les accompagner dans la réduction de leur empreinte carbone : production et distribution d’énergie décarbonée, performance énergétique des bâtiments, des quartiers et des villes et développement de la mobilité bas carbone. *Scope 1&2 : électricité des chantiers, carburant des engins de chantiers, consommation énergétique des sièges et agences transports professionnels en train et en avion, flotte de véhicules Scope 3A (amont) : achats de produits et matériaux de construction, fret, immobilisations, déchets générés, parc informatique Scope 3B (aval) : émissions des produits et services vendus   Visuel : SCHOCK BIOTOPE LILLE Bouygues Construction    
Il y a 4 ans et 101 jours

Développement des ENR et approvisionnement électrique risquent de ne pas faire bon ménage

ÉLECTRICITÉ. Face à des objectifs relativement ambitieux de développement des énergies renouvelables, les outils de pilotage de la demande et de stockage des productions sont encore largement insuffisants. Les réseaux électriques européens étant de surcroît interconnectés, c'est à l'échelle communautaire qu'une réponse forte devra être rapidement trouvée.
Il y a 4 ans et 101 jours

La filière du fioul domestique rappelle l'utilité du fioul dans le mix énergétique de chauffage

Cette expression publique se trouve confortée par la publication le 15 janvier 2021 d'un rapport rédigé par France Stratégie (instance gouvernementale de prévision rattaché au Premier Ministre) qui alerte sur la fragilité croissante des systèmes électriques en France et en Europe pour répondre aux pics de demande hivernaux et qui stigmatise les mauvais choix de mix énergétique de notre pays.Au cœur de l'hiver et à l'heure d'une stigmatisation organisée par les autorités publiques à l'endroit des utilisateurs de fioul domestique, la filière a décidé de prendre la parole pour souligner et rappeler le rôle du fioul dans l'équilibre énergétique de notre pays par le biais d'une annonce publicitaire pleine page qui paraitra le JDD le dimanche 24 janvier 2021.Cette prise de parole vise à mettre en exergue et à rappeler la fonction d'équilibre et d'intérêt collectif du fioul domestique, non seulement dans la gestion de notre consommation nationale d'énergie, mais aussi pour chacun des 10 millions de français (12 % des résidences principales), répartis essentiellement dans les territoires, au cœur des zones péri-urbaines et rurales et qui ne disposent pas nécessairement du niveau de pouvoir d'achat suffisant pour payer les factures d'électricité.En effet, cette annonce s'inscrit dans un contexte très alarmant de tensions sur l'énergie. Les vendredi 8 janvier, samedi 9 janvier et dimanche 10 janvier 2021, après une alerte nationale, il a été demandé aux français de réduire leur consommation d'électricité pour pouvoir faire face au surplus de demande. Au cours de ces journées et pour éviter un black-out énergétique, RTE, opérateur du réseau électrique français a été conduit à procéder à des importations significatives d'électricité d'Allemagne et à faire fonctionner à plein les centrales à charbon françaises massivement émettrices de CO2.Dans le même temps, les finances publiques et les contributions invisibles pesant sur les consommateurs subventionnent les installations de pompes à chaleur pour plus d'1 milliard d'euros par an avec pour conséquence une aggravation de la demande électrique en périodes froides. Pour sa part, France Stratégie rappelle dans son étude publiée le 15 janvier 2021 que la France est en situation de grande vulnérabilité en matière d'approvisionnement électrique et que les risques de « black-out » sont appelés à se multiplier. Pour l'organisme, les risques sont considérables : «… si les tendances actuelles se maintiennent, les seuls moyens pilotables ne seront pas en mesure de satisfaire toutes les demandes de pointe moyennes ...» ; puis de conclure : «Sans développement de flexibilités supplémentaires, notre pays devrait alors compter sur les importations, sachant qu'au niveau européen les marges sont également négatives, qu'il ne sera pas toujours possible de compter sur les importations pour boucler l'équilibre offre-demande, … ».L'information rappelle également, contrairement aux messages diffusés récemment par des entreprises de démarchage, qu'il n'y a aucune interdiction d'utilisation du fioul de chauffage ni en 2022, ni au-delà ; que l'entretien et la réparation des chaudières actuellement installées continueront d'être réalisés autant que nécessaire. Les utilisateurs de chaudières au fioul n'ont aucune raison d'en changer si ce n'est pour opter pour des chaudières plus performantes utilisant un combustible stockable.La filière rappelle aussi que les professionnels proposeront en 2022 un nouveau biocombustible liquide – le Biofioul - pour alimenter les nouvelles chaudières installées à partir de 2022. Pour les chaudières installées avant 2022, ce nouveau combustible, compatible avec la trajectoire de réduction des gaz à effet de serre, sera optionnel et conditionné à l'adaptation du bruleur de la chaudière. Cette substitution du fioul fossile par le Biofioul dans les chaudières installées avant 2022 pourra être favorisée par une fiscalité propre et incitative.Le Biofioul, composé d'énergie renouvelable issue de l'agriculture française, est une énergie liquide nouvelle, composée d'une part d'énergie renouvelable issue du colza français, dont la culture contribue non seulement à la souveraineté énergétique de la France mais également à sa souveraineté alimentaire par la production à parts égales d'huile et de protéines végétales qu'elle permet. Le Biofioul remplit l'ensemble des critères techniques et environnementaux nécessaire à la transition écologique. Dès 2022, le Biofioul disponible sera composé de 30% d'énergie végétale renouvelable (ester de colza). La proportion d'incorporation d'énergie renouvelable est dynamique et le taux d'incorporation de 50 % est en perspective de 2028.Enfin et contrairement aux allégations diverses et souvent volontairement trompeuses, l'énergie fioul domestique est compétitive pour le chauffage ainsi que l'indique la source officielle SOES (Service de l'observation et des statistiques) :Base de comparaison pour une maison individuelle (prix TTC pour 100 kWh PCI) – derniers relevés officiels :Granulés vrac : 6,06 € (sept/2020)Fioul : 7,61 € (déc./2020)Gaz réseau : 7,92 € (juin/2020)Électricité : 16,78 € (juin/2020)
Il y a 4 ans et 101 jours

RE2020 : 17 organisations demandent une modification profonde du projet de texte

Le gouvernement s'apprête à adopter une nouvelle règlementation environnementale de la construction neuve (RE 2020) qui exclut un grand nombre d'énergies, au profit majoritairement des solutions de chauffage électrique. La conséquence de cet arbitrage, effectif dès 2021 pour le logement individuel et à partir de 2024 pour le logement collectif, sera que les solutions électriques les moins performantes, celles utilisant l'effet Joule, pourraient perdurer.En effet, l'exclusion d'un grand nombre d'énergie de cette version de la RE2020 au profit de l'électricité se base sur une évaluation contestable du contenu CO² de l'électricité pour le chauffage, artificiellement abaissé de 210 CO²/kWh à 79 g CO²/kWh.L'objectif de décarboner le chauffage et réduire la consommation d'énergie primaire est partagée unanimement par l'ensemble des acteurs mais cela doit se faire dans le cadre d'un mix de consommation entre toutes les énergies afin de permettre la résilience du système énergétique français.À l'heure actuelle, les ressources énergétiques issues de la biomasse (déchets et biogaz) sont exclues de la RE2020 car le texte ne fait pas la différence entre carbone fossile et carbone biogénique.Pourquoi exclure des énergies renouvelables produites localement et qui reposent sur un savoir-faire industriel français et européen ?Les décisions entérinées dans la RE2020 auront également d'autres conséquences comme :la hausse de la précarité énergétique (6,8 millions de ménages déjà touchés), car le prix de l'électricité augmentera pour couvrir les futurs coûts liés à l'augmentation des capacités de production mais aussi au renforcement du réseau de distribution ;l'accroissement des risques liés à la pointe thermosensible.Retrouvez la lettre à destination des parlementaires en suivant ce lien.
Il y a 4 ans et 101 jours

Kingspan Light & Air reprend le pôle Lanterneaux de Smac

CESSION. Kingspan Light & Air, division spécialisée dans le désenfumage naturel, l'éclairement naturel et l'aération, a décidé d'acquérir le pôle de production et de commercialisation de lanterneaux de Smac.
Il y a 4 ans et 101 jours

Usine verticale pour ciment vert

Hoffmann Green Cement Technologies, pionnier du ciment décarboné sans clinker, annonce avoir lancé la construction de son deuxième site de production, réalisé intégralement à partir de ciment Hoffmann Green, et confirme son développement industriel. Cet ouvrage exceptionnel implanté à côté du premier site de production « H1 », à Bournezeau en Vendée aura une capacité de production de 250 000 tonnes par an. La conception et le design de « H2 » ont été définis à partir des retours d’expérience de « H1 ». Ainsi, munie d’une tour de mélange de 70 mètres de haut, « H2 » est une usine verticale dont la fabrication de ciment suivra un processus gravitaire permettant d’optimiser la productivité de l’unité. La verticalité de ce site permet également d’avoir une emprise foncière réduite à 1,5 hectare : l’emprise foncière de « H2 » est ainsi divisée par deux comparée à celle de « H1 » pour une capacité de production multipliée par 5. « H2 » sera le modèle d’unité utilisé pour le développement en France et à l’international sous forme d’accords de licence. Le budget de ce deuxième site est estimé à 22 millions d’euros et sa mise en service est prévue au second semestre 2022, en ligne avec le plan industriel de la Société.
Il y a 4 ans et 104 jours

Hoffmann Green Cement Technologies va se doter d'une 2ème usine

DEVELOPPEMENT. Expert du ciment décarboné, Hoffmann Green Cement Technologies, va construire une deuxième usine de production, en Vendée.
Il y a 4 ans et 104 jours

Logement social : deux projets innovants en matière de performance énergétique de Plurial Novilia récompensés

Plurial Novilia, Entreprise Sociale pour l’Habitat (ESH) filiale du groupe Action Logement, annonce aujourd’hui être lauréat d’ALINOV 2020, le fonds d’innovation d’Action Logement Immobilier, pour deux projets : « 1, 2, 3 Soleil » et « NoviliaSun », dans les catégories Innovation technique et Innovation en matière de service clients. Désireux d’anticiper les évolutions de la législation européenne en faveur d’une construction à la fois neutre en carbone et autonome en électricité, Plurial Novilia a imaginé un nouveau mode de construction permettant de développer des « bâtiments autonomes en énergie ». Première concrétisation de ce concept, « NoviliaSun » proposera deux bâtiments autonomes (soit 14 logements au total), l’un réalisé avec une enveloppe en bois et en paille, l’autre avec une enveloppe en brique. Ce programme verra le jour au cœur des Promenades de Damoiselle, vaste projet d’aménagement de 14 hectares mené par Plurial Novilia sur la commune de Bétheny. À travers ce nouveau concept, le bailleur social entend bâtir un nouveau modèle économique, à la fois plus rentable et plus durable pour les gestionnaires comme pour les locataires, et parfaitement en phase avec les enjeux environnementaux des décennies à venir. Parmi les axes imaginés par Plurial Novilia, la possibilité de proposer un forfait « loyer + électricité + chauffage + mobilité », fixe pendant 5 années, représenterait une véritable révolution dans le secteur de l’habitat. Quant au projet « 1, 2, 3 Soleil », il propose une nouvelle expérimentation autour de la maîtrise des consommations, via la mise en place d’un système d’autoconsommation sur 123 pavillons individuels existants. L’objectif : réduire la facture d’électricité des usagers et accompagner la transition énergétique en combinant un stockage électrique, et le pilotage d’équipements, à du solaire photovoltaïque. Illustration issue d’une vidéo ©MélodiaProduction
Il y a 4 ans et 104 jours

Le CCCA-BTP lance l'Apprentissage Club BTP

Depuis la réforme de septembre 2018, l’environnement de l’apprentissage connaît une mutation sans précédent. Le champ de la formation professionnelle s’est profondément transformé et les organismes de formation qui propose des formations en alternance doivent adapter leur mode de fonctionnement et leur organisation, pour pérenniser leur activité et poursuivre leur développement. C’est pour les accompagner au plus près de leurs besoins, sur leur territoire, que le CCCA-BTP créé L’Apprentissage Club BTP, pour faire de l’intelligence collective un accélérateur de performance et de développement de l’activité des organismes de formation du BTP, en facilitant la déclinaison opérationnelle de leurs choix stratégiques. Faire de l’intelligence collective un accélérateur de développement et d’attractivité C’est dans le cadre de sa nouvelle offre de services que le CCCA-BTP créé l’Apprentissage Club BTP, accessible à titre gratuit à tous les organismes proposant majoritairement des formations aux métiers du BTP. En y adhérant, les organismes de formation aux métiers du BTP rejoignent un collectif d’acteurs réunis par une communauté d’intérêt, une communauté de métiers et d’expertises. Ils s’engagent ainsi dans une démarche commune de réflexion stratégique et prospective, de production de contenus, d’expérimentation de projets et d’innovations entre pairs.L’Apprentissage Club BTP a pour objectif de permettre à ses membres de travailler collectivement, en bénéficiant de l’expertise du CCCA-BTP, pour réfléchir et préciser les choix stratégiques, au regard de leur marché et de leur territoire, d’investir de nouveaux champs de développement en termes d’offres et d’actions de formation, de gagner en agilité dans leur organisation et la conduite de leur activité, mais aussi de pouvoir expérimenter grandeur nature de nouveaux projets et services, aux profit des entreprises du BTP et des jeunes en formation. Mutualiser et expérimenter des bonnes pratiques stratégiques, pédagogiques et novatricesL’Apprentissage Club BTP, en réunissant les décideurs et les manageurs des organismes de formation du BTP, leur offre, quels que soient leurs besoins ou leurs ambitions, l’opportunité inédite de réfléchir, concevoir, mutualiser et expérimenter de nouveaux projets et services sur des thématiques communes et choisies en termes de…Stratégie, développement et croissance, pour…Définir une vision stratégique partagée et faciliter la déclinaison opérationnelle de ses choix tactiques sur son territoire et au regard de son marché.Investir de nouveaux champs de développement, optimiser sa performance, développer et pérenniser la croissance de ses activités.Gagner en agilité dans l’organisation et la conduite de ses activités.Pédagogie, innovation et expérimentation, pour…Échanger, partager et créer ensemble des contenus. Expérimenter des projets, notamment pédagogiques, ou des services en grandeur nature.Diversifier l’offre et les actions de formation et renforcer ses modalités pédagogiques.Faciliter et encourager le « faire ensemble », à travers trois espaces de coopération renforcée L’Apprentissage Club BTP propose trois espaces de coopération renforcée, auxquels les organismes de formation du BTP peuvent participer, en fonction de leurs besoins et de leurs projets.Espace « Pilotage stratégique et performance opérationnelle », pour partager sa vision, ses orientation ou son positionnement stratégique, adapter à ses pratiques et aux nouveaux enjeux de son environnement, conduire les changements nécessaires, définir des indicateurs de réussite ou encore faciliter la dynamique créative de ses équipes.Espace « Qualité pédagogique », pour travailler sur la mise en place et l’évolution d’une nouvelle offre de formation (diplômes, titres professionnels, etc.), le développement de l’ingénierie pédagogique (numérique éducatif, techniques de face à face pédagogique, construction de parcours de formation, ingénierie de certification), mais aussi l’identification d’actions de montée en compétences des formateurs.Espace « Attractivité et innovation », pour anticiper les tendances et évolutions de son marché, capter les signaux faibles, agir sur son territoire, engager une démarche d’innovation ouverte et collaborative et expérimenter des projets.Faciliter et favoriser les coopérations : valeurs de partage et de performanceLes organismes de formation du BTP membres s’engagent à échanger mutuellement informations et expériences, en toute transparence, à participer activement à la collégialité des travaux menés lors des rencontres organisées, à élaborer conjointement des contenus sur les thématiques retenues et à partager les résultats obtenus avec les autres membres de l’Apprentissage Club BTP.Le CCCA-BTP, animateur et source d’expertise Afin de mener leurs travaux, les organismes de formation membres de l’Apprentissage Club BTP pourront s’appuyer sur le CCCA-BTP, qui apportera son expertise sur chaque thématique proposée et choisie par les membres. Il assurera également un appui technique pour l’animation des trois espaces de coopération renforcée, notamment en mettant à disposition une information dédiée et en proposant une veille spécifique aux thématiques de coopération. Le CCCA-BTP proposera aussi un accès privilégié à des événements dédiés (ateliers, rencontres thématiques, universités, etc.), en présentiel ou à distance, pour promouvoir les travaux menés et leurs résultats. Infos et inscriptions à cette adresse
Il y a 4 ans et 105 jours

Sunscape iNova PV : BMI Siplast s'associe à EPC Solaire pour offrir le meilleur du photovoltaïque sur toitures plates

Grâce aux nombreuses innovations développées par le groupe BMI, la cinquième façade devient ainsi le nouvel espace à conquérir : régulateur d'eaux pluviales, terrain de sport, parking ou encore centrale électrique, les possibilités sont multiples.Aujourd'hui BMI Siplast s'associe à EPC Solaire pour transformer les toits plats industriels en source d'énergie esthétique, propre et économiqueRéponse adaptée à la loi de reconquête de la biodiversité ainsi qu'à la loi énergie-climat, la solution Sunscape iNova PV aide à repenser les toitures plates des bâtiments industriels, commerciaux ou de bureaux.Sunscape iNova PV permet d'assurer une excellente étanchéité de la toiture plate tout en la transformant en source d'énergie. L'énergie produite peut être utilisée en auto-consommation (totale ou partielle) ou être revendue.Parfaitement intégrée à l'architecture du bâtiment, la solution Sunscape iNova PV ne génère aucune nuisance visuelle et ne nécessite aucune emprise au sol. Les mètres carrés utilisés sont ceux qui sont déjà disponibles !Le plan France Relance, présenté début septembre 2020, met au cœur de son projet la transition énergétique en priorisant la rénovation des bâtiments. De son côté, la loi de reconquête de la biodiversité de 2016 prévoit d'intégrer aux documents d'urbanisme des espaces de continuité écologique. Enfin, la loi énergie-climat de 2019 - qui a pour objectif de réduire de 40% la consommation d'énergies fossiles d'ici 2030 - est venue modifier le code de l'urbanisme. Il sera désormais obligatoire de végétaliser ou d'installer des « dispositifs de production d'énergie renouvelable sur les nouvelles constructions de plus de 1000 m² d'emprise au sol dédiées à une exploitation commerciale, à un usage industriel ou artisanal ou au stationnement public couvert, et ceci sur 30% de la surface de leur toiture ou des ombrières de parking créées. » (article L111-18-1).Deux expertises se rencontrent pour offrir une solution photovoltaïque d'excellenceAlliance de deux savoir-faire éprouvés, Sunscape iNova PV est un choix responsable pour la prescription :une étanchéité par membrane bitumineuse reconnue pour sa qualité : 2 complexes haute qualité Silver disponibles2 complexes d'étanchéité bicouche disponiblesune solution d'installation des panneaux solaires sur rails, thermo-soudés sur la membrane, sans percement de l'étanchéité : structure aluminium équipée de bandes bitumineuses Inova PV Literehausses Tilt pour permettre le réglage de l'inclinaison des panneaux solairesune solution légère sans lestage, facile à manipuler et qui ne crée pas de surcharge en toituredes membranes d'étanchéité et des systèmes d'installation made in FranceActeurs de référence dans leur domaine respectif, BMI Siplast et EPC Solaire offrent un accompagnement sur-mesure, de la conception à la maintenance, en passant par l'installation, pour contribuer à améliorer la performance énergétique d'un bâtiment tout au long de sa durée de vie.Chaque projet peut notamment faire l'objet d'une étude préalable sur la future rentabilité de sa centrale photovoltaïque, en fonction de la superficie et de la localisation géographique.BMI Siplast et EPC Solaire accompagnent également leurs clients dans la rédaction de leur cahier des charges (CCPT) afin de sécuriser l'accès au PV ready (selon le complexe d'étanchéité choisi, la toiture peut être préparée à recevoir une centrale photovoltaïque l'année suivante et phaser ainsi les travaux et l'investissement).Économie d'énergie, RSE et dépollutionLa solution Sunscape iNova PV s'inscrit parfaitement dans la démarche RSE des entreprises. Elle participe à la transition énergétique et fait baisser le bilan carbone du bâtiment.Une feuille d'étanchéité dépolluante NOx-Activ peut-être installée pour participer à la dépollution par la destruction des oxydes d'azote contenus dans l'air.
Il y a 4 ans et 105 jours

HGCT lance la construction de sa deuxième usine

La deuxième usine vendéenne de HGCT sera verticale, pour une capacité de production de 250 000 t de ciments décarbonés. [©HGCT] C’est à Bournezeau, en Vendée (85), que Hoffmann Green Cement Technologies (HGCT) vient de lancer la construction de sa deuxième usine, baptisée “H2” (voir la vidéo). Cette unité prend place juste à côté du premier site de production : l’outil pilote “H1”. D’une capacité de production de 250 000 t/an, elle a été conçue et designée à partir des retours d’expérience de H1. Ainsi, HGCT a fait le choix d’une usine verticale, dont la fabrication de ciment suivra un processus gravitaire. Celui-ci s’articulera donc autour d’une tour de mélange de 70 m de haut. De quoi optimiser la productivité. De plus, la verticalité de ce site permet aussi d’avoir une emprise foncière réduite à 1,5 h, divisée par deux par rapport à celle de H1. Ceci, pour une capacité de production multipliée par cinq ! Autre particularité, la tour principale sera bâtie en utilisant des bétons formulés sur la base de ciments Hoffmann Green ! L’industriel applique ici l’adage : “On n’est jamais mieux servi que par soi-même…” [©HGCT] Dédiée à la production de ciments décarbonés sans clinker H2 sera le modèle d’unité utilisé pour le développement en France et à l’international, sous forme d’accords de licence. Le budget de ce deuxième site est estimé à 22 M€. Et sa mise en service est prévue au second semestre 2022. Comme H1, l’usine H2 sera totalement dédiée à la production de ciments décarbonés sans clinker. « Cette deuxième unité est un jalon clef de notre plan de développement pour augmenter nos capacités de production. H2 va ainsi nous permettre de répondre à la demande grandissante pour notre ciment bas carbone sans clinker. En effet, nous avons récemment signé de nombreux partenariats avec des acteurs majeurs de la construction. A l’image de Capremib, de Cemex, d’Eiffage Génie Civil, de GCC ou encore de KP1 », soulignent Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de HGCT. Une économie de 22 000 t de CO2 Et Olivier Lefelle, responsable des travaux neufs de l’entreprise, de conclure : « Cette deuxième usine constitue une étape structurante et importante. Le choix d’un modèle vertical pour la tour de mélange est un concept innovant dans le domaine de la construction. Mais s’inscrit dans la vision responsable de HGCT. De plus, en utilisant les ciments Hoffmann pour sa construction, ce chantier permettra d’économiser environ 20 000 t de C02 ».
Il y a 4 ans et 106 jours

L'artisanat du bâtiment accélère sa croissance au 4e trimestre 2020 malgré une année chaotique

Elle a connu une hausse de +0,5% au 3e trimestre, puis s'est accélérée au 4e trimestre avec une croissance de 1,5% portée notamment par la hausse de l'activité dans le neuf (+2,5% contre +1% au 3e trimestre) et un accroissement plus mesuré dans l'entretien amélioration (+1% contre 0% au 3e trimestre). Cette fin d'année a bénéficié d'un effet de rattrapage par rapport au 1er confinement. Selon l'enquête menée par la CAPEB auprès de ses adhérents, 99% des entreprises déclarent ainsi avoir pu poursuivre leur activité durant le deuxième confinement.Cette fin d'année a bénéficié d'un effet rattrapage suite au premier confinement : 74% des entreprises déclarent une capacité de production supérieur à 90%. Cette dynamique permet ainsi de limiter la forte baisse de la croissance attendue sur l'année 2020 avec un résultat négatif de -9%, un chiffre relativement moins important que ne laissait présager la situation au 1er semestre.Cependant, la CAPEB reste prudente et alerte sur la baisse des autorisations et des permis de construire à prévoir dans les prochains mois qui va fortement peser sur cette dynamique de croissance. En effet, de décembre 2019 à novembre 2020, 389.000 logements ont été autorisés à la construction, soit 51.500 de moins qu'au cours des 12 mois précédents.« L'année 2020 a été complexe pour nos entreprises, tout particulièrement au premier semestre. Nos entreprises ont su s'organiser. Après une année 2020 chaotique et une activité soutenue par les mesures gouvernementales, l'environnement économique en 2021 reste à ce stade encore incertain, notamment en ce qui concerne le pouvoir d'achat et la confiance des ménages. Toutefois, l'épargne accumulée des ménages ces derniers mois et la mise en place du Plan France Relance sont autant d'éléments qui pourraient soutenir l'économie du bâtiment dans les trimestres à venir. L'année 2021 pourrait alors enregistrer une croissance entre 5 et 6% dans l'artisanat du bâtiment qui s'apparenterait plus à un rebond technique qu'à une véritable reprise de l'économie d'avant la crise du Covid. Si l'activité s'est accélérée au 2ème semestre, en revanche les marges des entreprises restent contraintes. Ainsi la situation financière des entreprises reste fragile. Il est important dans ce contexte exceptionnel que les organismes de cotation et de crédit adaptent leurs critères d'appréciation. ».Jean-Christophe Repon, Président de la Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB)Conjoncture au 4e trimestre 2020 : un rebond de croissance portée par la poursuite de l'activité des entreprises artisanales du BTP lors du 2e confinementLe volume d'activité des entreprises artisanales du bâtiment progresse de 1,5% au 4e trimestre 2020 (par rapport au même trimestre de l'année précédente) et ce, quelle que soit leur taille. L'activité d'entretien-rénovation enregistre quant à elle une croissance mesurée de 1% au 4e trimestre 2020. Dans le même temps, les travaux d'Amélioration de Performance Énergétique du Logement enregistrent une légère hausse de 0,5% égale au trimestre de l'année précédente. Une hausse de la croissance ce trimestre qui ne doit pas occulter un recul marqué de -9,3% pour les entreprises de moins de 10 salariés et de -7,7% pour les entreprises de 10 à 20 salariés sur l'année 2020.Un rebond particulièrement observable dans le neuf et l'entretien-rénovationLe neuf – L'activité de la construction neuve s'accélère avec une croissance de 2,5% (contre 1% au trimestre précédent) notamment soutenue par les très bonnes conditions météorologiques et la possibilité pour la grande majorité des entreprises artisanales du bâtiment de poursuivre leur activité lors du 2e confinement. A noter cependant, une baisse des autorisations et des permis de construire : au 4e trimestre, 51.500 logements en moins ont été autorisés par rapport au même trimestre de l'année 2019. Dans le même temps, 381.900 logements ont été mis en chantier, soit 24.200 de moins (-6,0%) que durant les 12 mois précédents.L'ancien – l'activité en entretien rénovation est également plus dynamique avec une croissance de 1% ce trimestre (contre 0% au trimestre précédent). Les travaux d'Amélioration de Performance Énergétique du Logement progressent eux de 0,5%, comme au trimestre précédent. L'évolution des travaux d'amélioration de la performance énergétique des logements devrait être renforcée avec la montée en puissance de Ma Prim' Rénov : l'ANAH avait reçu 170.000 demandes à la mi-décembre.Évolution dans les métiersSur les 3 derniers mois de l'année 2020, le volume d'activité progresse pour l'ensemble des corps de métiers. La maçonnerie enregistre la croissance la plus dynamique avec 2,5%, tandis que la hausse atteint 1,5% pour la couverture-plomberie-chauffage et la menuiserie-serrurerie. Avec des croissances de 1% et de 0,5%, l'électricité et l'aménagement-décoration-plâtrerie enregistrent une croissance plus modérée.Une situation de trésorerie fragile26% des professionnels font état d'une détérioration de leur trésorerie au 4e trimestre (contre 18% au même trimestre de l'année précédente) et seulement 4% une amélioration. Dans le même temps, 43% d'entre-elles déclarent un besoin supérieur à 10.000 euros. En janvier 2021, le montant moyen des besoins de trésorerie de ces entreprises diminuent pour atteindre 16.000€ (contre 23.000 € un an auparavant). Au 4e trimestre 2020, 20% des entreprises déclarent une baisse des marges, contre 2% une hausse, soit un solde d'opinions de -18 points, en baisse par rapport au trimestre précédent (-13 points).Les montants de crédits accordésPour l'achat d'un logement neuf, ils reculent de 10,5% au 2ème trimestre 2020 (par rapport au même trimestre de l'année précédente). Il en est de même pour les crédits destinés à l'acquisition de logements anciens qui enregistrent une baisse de 4,5% et les crédits destinés aux travaux d'entretien-amélioration avec une baisse de 0,8% par rapport au même trimestre de l'année précédente. Globalement, les montants de crédits accordés ont baissé de 5,6% par rapport au 2ème trimestre 2019. Le taux d'épargne s'infléchit et s'établit à 16,5% après 26,5% au deuxième trimestre 2020 en raison du rebond de la consommation des ménages. Il demeure toutefois au-dessus du niveau moyen de 2019 (14,9%).Emploi et Intentions d'embaucheL'emploi salarié du BTP s'établit à 1.446.800 au 3T2020, soit +2,1% sur un an (contre -0,8% dans l'ensemble de secteurs). Cela représente 30.200 emplois supplémentaires dans le BTP. L'emploi salarié progresse de 1,3% au 3ème trimestre 2020 après 0,2% au trimestre précédent. Au 3ème trimestre 2020, le secteur de la construction totalise plus de 133.600 emplois intérimaires (emplois équivalents temps plein) contre 150.000 au même trimestre de l'année précédente. L'intérim est donc en baisse (-11%) par rapport au même trimestre de l'année précédente. Le taux de recours à l'intérim (poids de l'emploi intérimaire dans l'emploi salarié total) s'établit à 8,5%.Dynamique territoriale (activité en régions) Au 4e trimestre, les évolutions régionales s'avèrent plus différenciées qu'au trimestre précédent. Ainsi, la reprise s'accélère sur la façade Atlantique de même que dans le Centre-Val de Loire, le Grand Est et les Hauts-de-France. Les régions PACA et Occitanie finissent également l'année en forte hausse (+4% chacune). En revanche, l'activité reste en baisse en Île-de-France (-0,5%) tandis qu'elle se dégrade en Auvergne-Rhône-Alpes (-1%) et en Bourgogne-Franche-Comté (-1,5%).Conjoncture pour l'Artisanat du Bâtiment – en complément :Les carnets de commande : représentent 72 jours de travail soit 3 jours de moins qu'un an auparavant, mais au même niveau qu'au trimestre précédent.La baisse des marges : Au 4e trimestre 2020, 20% des entreprises déclarent une baisse des marges, contre 2% une hausse, soit un solde d'opinions de -18 points et en baisse par rapport au trimestre précédent (-13 points).Baisse des investissements : 15% des entreprises artisanales ont investi au cours des 6 derniers mois (contre 24% il y a un an) et 7% des entreprises artisanales envisagent d'investir au cours des 6 prochains mois (contre 18% il y a un an)Part de l'activité pour les collectivités territoriales : 15% des entreprises ont réalisé des travaux pour le compte des collectivités locales au 4e trimestre 2020. A noter cependant que 23% des entreprises enregistrent une baisse de leur chiffre d'affaires réalisé pour le compte des collectivités locales tandis que 4% constatent une hausse (soit un solde de –19 points contre –7,8 en moyenne sur longue période).
Il y a 4 ans et 106 jours

Actualisation du logiciel de calcul Heco HCS 4.0

L’actualisation du logiciel de calcul Heco HCS 4.0 intègre désormais le dimensionnement de chevilles dans la maçonnerie. Fabricant spécialisé dans la production de vis, Heco propose le logiciel de calcul HCS (Heco Calculation Software) 4.0. Ce dernier fournit des justificatifs pour attester de la conformité des assemblages aux homologations en vigueur. Ainsi, l’actualisation du logiciel intègre désormais le dimensionnement de chevilles dans la maçonnerie. Grâce à cet outil, les bureaux d’études, les ingénieurs et les artisans de la construction peuvent se baser sur des calculs précis et rapides pour nombre d’applications. Ce module permet d’effectuer les calculs pour des ancrages soumis à des contraintes statiques. En quelques clics Le Heco HCS 4.0 offre aux utilisateurs la possibilité de calculer de manière simple et interactif. Aussi bien des chevilles ou des balustrades, que des isolations de chevrons de toitures et des assemblages bois. Après la saisie de toutes les données du projet, l’utilisateur reçoit une évaluation claire et compréhensible avec une proposition de vis. Au programme : type de vis, dimensions, quantité nécessaire pour la réalisation du projet… Ainsi que l’indication expliquant quel type de vis serait le plus économique. Les pages de résultats et impressions avec illustrations 3D servent de planification statique contrôlable et de base de calcul.  Le logiciel de calcul Heco HCS 4.0 est disponible en sept langues, dont le français, et peut être téléchargé gratuitement ou commandé sur CD-Rom. 
Il y a 4 ans et 106 jours

Signature d'une charte avec EDF pour encadrer les installations de panneaux solaires sur les terres agricoles

"Développement, oui, mais cadré" pour concilier production d'énergie, préservation du foncier et de l'activité agricole, a résumé la présidente de la FNSEA Christiane Lambert, à l'occasion de la signature de cette charte de bonnes pratiques.Pour "tout projet de production d'électricité photovoltaïque envisagé sur des terres agricoles", le document préconise "en amont de toute étude préalable" la mise en place d'un comité de suivi à l'échelon local entre opérateur, chambre d'agriculture et syndicats agricoles.La commission départementale de préservation des espaces natu rels, agricoles et forestiers (CDPENAF), qui associe Etat, collectivités, professions agricoles et forestières, etc., devra émettre un avis.La charte prône "la réversibilité totale de l'installation, avec utilisation d'ancrages sans béton ou l'engagement de l'opérateur de les enlever en fin d'exploitation", ainsi que la remise en état des terrains."On a vu dans quelques endroits se développer de très gros projets, très consommateurs de terres agricoles", a déploré le président des Chambres d'agriculture Sébastien Windsor, qui insiste pour que les panneaux solaires soient prioritairement installés sur les toits des bâtiments agricoles.Mais préserver le foncier "ne veut pas dire bloquer tous les projets" ayant une emprise au sol, a-t-il poursuivi. Il cite en exemples les technologies permettant de concilier production d'énergie et alimentaire, à l'instar de l'"agrivoltaïsme", panneaux permettant de protéger les cultures du soleil, des excès d'eau, de servir de support à des filets anti-grêle ou de faire de l'ombre aux poules élevées en plein air.Dans sa Programmation pluriannuelle de l'énergie, la France prévoit 40% d'électricité d'origine renouvelable d'ici 2030. Pour cela, elle vise 35 à 44 gigawatts (GW) de capacités photovoltaïques installées en 2028, contre 10 GW aujourd'hui."Le solaire en France (...) doit être multiplié par quatre en une dizaine d'années", a souligné mardi le PDG d'EDF Renouvelables, Bruno Bensasson.Confronté à un enjeu foncier, le secteur "cherche 15, 20.000 hectares de terres agricoles" parmi les 30 millions d'hectares aujourd'hui dédiés à cette activité. "Cela paraît possible mais si on veut le faire en bonne intelligence, il faut se parler", a fait valoir M. Bensasson.Selon un rapport parlementaire, le secteur agricole représente à ce jour 13% de la production solaire photovoltaïque.
Il y a 4 ans et 106 jours

L'agence Dragon Rouge éclaire la « Lighthouse » de Nanterre

C'est un immeuble de bureaux classique que l'agence DRAGON ROUGE vient de totalement transformer. Le chantier initié pendant l'été 2019 vient de s'achever. Exit le Magellan, siège depuis 2001 de l'équipementier automobile FAURECIA. Place à la «LIGHTHOUSE » -littéralement le Phare- que l'on ne devrait pas rater en effet. Et pour cause, puisque l'un de ses signes distinctifs est une gigantesque lampe surmontée d'un abat-jour éclairée la nuit qui traverse l'immeuble de 23 mètres de bas en haut. Les propriétaires ont confié à l'agence DRAGON ROUGE la tâche de reconfigurer et de repositionner cet immeuble de bureaux de six étages et 10600 mètres carrés de surface. L'objectif était de revitaliser l'immeuble, en bordure de Paris et de La Défense, d'y créer des services, de l'intérêt et de susciter l'envie de venir travailler à Nanterre. Il s'agissait de donner à l'immeuble une nouvelle personnalité forte et différenciante. Aux côtés du studio K de Karl Petit qui a signé l'architecture et l'agencement des espaces bureaux proprement dits, l'agence de design DRAGON ROUGE signe une grande partie des espaces de la LIGHTHOUSE, soit 2600 mètres carrés au total, du rez-de-chaussée au 6e étage, en passant par le toit terrasse et les extérieurs. La traduction d'une nouvelle façon de travaillerPour susciter l'envie de venir travailler dans cet immeuble, DRAGON ROUGE a travaillé selon deux axes créatifs : d'abord, la création d'un nom et d'une identité forte, innovante et provoquant un effet « waouh ». D'où l'idée d'un objet symbolique et iconique. C'est cette lampe colossale, véritable colonne vertébrale de l'immeuble qui traverse la tour de bas en haut, du pied au rez-de-chaussée au gigantesque abat-jour sur le toit terrasse du 5e étage. Si l'immeuble est investi par une seule société, elle fédérera les équipes. Dans le cas contraire, elle créera en tout état de cause des liens entre les différents plateaux. Par ailleurs, l'agence s'est fondée sur les nouvelles attentes des salariés en matière d'espaces de travail : disposer de lieux confortables, hybrides, polyvalents qui peuvent s'adapter au gré des besoins dans la journée. Des lieux de travail chaleureux, conviviaux, un peu comme un intérieur de maison. Espaces polyvalents, lieux hybrides et matériaux modernesDu bas en haut de l'immeuble, les espaces dessinés par DRAGON ROUGE sont la traduction créative de l'équation nécessaire aux nouveaux immeubles de bureaux : des plateaux confortables, modulables avec cloisons ou en open space, polyvalents. Quant aux matériaux, ils sont modernes et pratiques à l'usage, adaptés aux lieux de fort passage que sont des bureaux. Les sols sont souples et silencieux, faciles d'entretien, de même que le néo skaï des fauteuils. Le rez-de-chaussée. Le hall d'entrée majestueux est occupé en grande partie par le pied de la lampe géante, transformé en assise circulaire pour les visiteurs. Le rez-de-chaussée accueille aussi une conciergerie et des vestiaires. C'est à ce niveau que se trouve aussi le business center : quatre salles de réunion modulables pour accueillir de 8 à 24 personnes, un « work café » et un espace lounge, sans oublier un espace de coworking dans la mezzanine du hall. Au rez-de-chaussée toujours, se trouve le restaurant inter-entreprise. Ici, DRAGON ROUGE soucieuse de proposer de la diversité aux salariés, a imaginé plusieurs ambiances de restauration : Des espaces déjeuner comme à la cuisine avec des vitrages façon atelier, des assises hautes ou normales, des lampes à ampoules filaments apparents.Des espaces déjeuner au salon avec de grandes cloisons arrondies, des banquettes circulaires, des paravents claustras, et des luminaires rappelant les moulures haussmanniennes.Une ambiance salle à manger avec de grandes tables en bois façon tables d'hôtes, des chaises dépareillées de couleurs différentes. Des petits boxes pour des déjeuners plus intimistes pour manger seul ou à deux. Des matériaux différents spécifient chacun des espaces, l'effet général évoquant les pièces à vivre d'une maison.Le forum. C'est l'autre pièce maîtresse du rez-de-chaussée. Cet espace modulable, doté d'estrades escamotables, de placards intégrés dans les cloisons, de projecteurs, avec au centre un grand tapis mosaïque de couleurs rouges orangées et des poufs assortis, est polyvalent et se module en fonction des activités : salle de repos, de ping-pong, salle de sports, show room d'exposition en lumière naturelle ou auditorium de 100 places opaque…. Le toit terrasse et les espaces extérieurs : DRAGON ROUGE a investi les espaces extérieurs en cherchant un équilibre entre les parkings et les espaces végétalisés. Au 5e étage, le toit-terrasse d'où émerge l'abat-jour de la lampe géante a demandé un soin particulier pour que cet abat-jour colossal et ajouré soit source de lumière.Dragon Rouge a assuré les missions de conception et de suivi d'exécution de l'ensemble du programme en tant que mandataire du groupement de maîtrise d'œuvre.Avec la LIGHTHOUSE, c'est un nouvel éclairage sur les façons de travailler et sur l'immobilier de bureaux de demain que traduit DRAGON ROUGE. Parmi ses activités, Dragon Rouge crée des espaces commerciaux et tertiaires, portant une attention particulière sur les bureaux.L'accélération du travail à distance et la digitalisation des outils de travail font évoluer ce modèle des bureaux. D'un lieu de production, les bureaux deviennent des lieux de statut, d'innovation, et de célébration de la culture de l'entreprise. Ils contribuent à valoriser l'actif immatériel qu'est la marque de l'entreprise, et sont plus que jamais l'expression de sa culture et de sa raison d'être.
Il y a 4 ans et 106 jours

Engie se dit en bonne voie pour atteindre ses objectifs en production d'énergies renouvelables

"Il s'agit d'une performance au regard du contexte difficile pour le secteur en 2020", a souligné la toute nouvelle directrice générale du groupe Catherine MacGregor, citée dans un communiqué."Elle nous place en bonne voie pour atteindre notre objectif de 9 GW de capacités additionnelles entre 2019 et 2021 et, au-delà, pour accélérer encore notre rythme de croissance dans les énergies vertes", a-t-elle ajouté.Sur les 3 GW mis en service en 2020, 70% sont de l'éolien terrestre, 21% du solaire photovoltaïque et, pour la première fois, environ 9% de l'éolien en mer, avec la mise en service de la première tranche du parc éolien en mer fixe en Belgique ("Seamade Mermaid", 235 MW).Géographiquement, c'est en grande majorité en Amérique du Nord que les nouvelles capacités ont été implantées.A la fin de l'an dernier, Engie exploitait au total 31 GW d'actifs renouvelables, soit 5 GW de plus sur un an. Outre les 3 GW mis en service, le groupe a en effet racheté 2 GW d'actifs en opération, notamment avec une grosse acquisition au Portugal.Les renouvelables sont l'une des priorités stratégiques de l'ancien GDF Suez, qui veut recentrer son activité en renforçant leur développement et en donnant également la priorité aux infrastructures.
Il y a 4 ans et 106 jours

Nouvelle stratégie et nouvelle direction commerciale France pour WND

En peu de temps, elle est devenue l'un des fabricants de menuiserie à la croissance la plus dynamique d'Europe, et ses produits se trouvent, entre autres, en Allemagne, en Italie, en Belgique et en France. Aujourd'hui, en tant qu'entreprise possédant un certain bagage d'expérience, elle présente une approche totalement nouvelle à ses clients pour garantir une coopération à long terme.Qu'est-ce qui a changé pour la marque WnD et pourquoi cela vaut-il la peine de travailler avec elle ?Au cours des dernières années, WnD a mûri et changé. La nouvelle stratégie de communication et la nouvelle image de marque ont mis davantage l'accent sur la qualité des produits et les relations avec les partenaires. WnD s’est ouverte à différents marchés, allemand, français, italien. Quant au nouveau modèle de vente de WnD, il met principalement l'accent sur les valeurs de l'entreprise : qualité, économie et commodité - tant pour les partenaires commerciaux qui coopèrent avec l'entreprise que pour les clients finaux qui achètent des fenêtres et des portes. L'entreprise a basé sa nouvelle stratégie de marketing sur ces valeurs. Tout cela pour construire un réseau de partenaires commerciaux solide et efficace. De cette manière, l'entreprise renforcera progressivement sa position sur le marché et fournira aux clients non seulement des produits de haute qualité, mais aussi le meilleur service.Qu'est-ce qui va changer dans cette nouvelle approche ?Tout d'abord, les représentants de la marque WnD se concentrent sur les relations de partenariat avec les partenaires commerciaux et la mise en avant des produits de haute qualité de la gamme. L'entreprise souhaite instaurer un dialogue commercial et une coopération durable. Les processus de production, de commerce et de réclamation ont changé. Pour cela, l'entreprise a pris un virage à 360° en mettent en place un tout nouveau processus digital au sein de l'organisation. Les contacts avec les partenaires commerciaux se retrouvent ainsi facilités grâce à une toute nouvelle interface CRM dédiée avec le portail partenaire myWnD. Grâce à cet outil, ils peuvent suivre leurs commandes, transmettre leurs réclamations, télécharger les outils marketing et accéder aux documents indispensables (notices, certificats, catalogues techniques...).Dans un souci permanent de qualité, les normes de contrôle de la qualité logistique ont été revues à la hausse afin de garantir une protection maximale de la marchandise lors du transport. Permettant ainsi au partenaire commercial d’avoir une totale satisfaction lors de ses livraisons.Pourquoi cela vaut-il la peine de devenir un partenaire commercial WnD ?La coopération avec WnD est avant tout une relation de partenariat entre le revendeur et le fabricant. L'entreprise aide ses partenaires commerciaux à gagner de l'argent en leur fournissant des produits de haute qualité et en bénéficiant de conditions commerciales intéressantes. Le processus logistiquerestructuré assure une livraison rapide et de qualité des commandes. L'entreprise investit actuellement dans de nouveaux supports marketing, la refonte de son site internet et de nombreux autres outils qui contribueront à augmenter la visibilité et les ventes de la marque. Le revendeur WnD peut également compter sur le soutien des équipes commerciales et techniques France.Une équipe solide et nouvelle direction commerciale pour WnD FranceL’équipe WnD France s’est fortement agrandie et consolidée au cours de l’année 2020. Elle comprend aujourd’hui 6 commerciaux sur le territoire national, avec deux nouveaux arrivants : Monsieur Stéphane VANHELDER en tant que responsable régional sur le Nord et Monsieur Bruno MIGINIAC en tant que responsable régional sur le secteur Rhône Alpes. L’équipe technique compte également deux techniciens deviseurs, avec la nouvelle arrivée de Monsieur Florent STAUDER. Enfin, Monsieur Jean Luc SCHLOSSER a été nommé Directeur Commercial WnD en cette rentrée de janvier 2021. En poste au sein du groupe Oknoplast depuis 2009 en tant que responsable régional sur la région Est, Jean-Luc SCHLOSSER a fortement contribué à l’implantation de la marque Oknoplast et WnD en France depuis plus de 10 ans. C’est donc tout naturellement qu’il a repris la direction commerciale de la marque WnD en ce début d’année.À qui s'adressent les nouvelles activités de WnD ?L'entreprise souhaite atteindre des représentants commerciaux potentiels - des personnes servant d'intermédiaires dans la vente de fenêtres, de menuiserie et de matériaux de construction.Pour ceux qui souhaitent devenir revendeur WnD, il est possible de transmettre une demande directement en ligne via le site WnD : https://wnd.fr/devenir-revendeur/
Il y a 4 ans et 107 jours

Le coliving, le communautarisme du pauvre

Dans la série « Comment resolvabiliser les clients pour conserver nos marges », le coliving est en train de devenir la tête de gondole de la production des Majors de la construction. Le coliving, une bonne affaire ? Vraiment ? Le coliving nous est vendu aujourd’hui comme les promoteurs vendaient la maison individuelle il y a quarante ans ! Plus […] L’article Le coliving, le communautarisme du pauvre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 107 jours

Les professionnels réclament plus de clarté sur l'avenir des chaudières au fioul

Alors qu’un projet de décret paru le 14 janvier dernier confirme officiellement qu’ils pourront continuer à se chauffer au fioul après 2022, les campagnes de communication vantant le tout électrique sèment la confusion.Pour le président de la FF3C, Eric Layly : « Face à l’afflux massif de questions aux professionnels de la filière, il est urgent de clarifier l’information. Les utilisateurs de fioul domestique doivent être rassurés : ils peuvent conserver leur équipement de chauffage, le faire réparer si besoin, et continuer de bénéficier de l’énergie qui convient le mieux aux caractéristiques de leur habitation. »Dès 2022, les nouvelles chaudières fonctionneront à l’identique en utilisant un nouveau fioul, le Biofioul, comprenant jusqu’à 30% d’ester de colza.Le Ministère de la Transition Ecologique a soumis à consultation publique un projet de décret proposant d’interdire l’installation de systèmes de chauffage et de production d’eau chaude utilisant des combustibles « à haut niveau d’émissions de gaz à effet de serre dans les bâtiments à usage d’habitation ou à usage professionnel. »Pour permettre aux consommateurs de s’y retrouver, ce niveau d’émissions a été fixé à 250 g de CO²eq par kWh PCI. Ainsi, l’utilisation ou l’installation de tout matériel utilisant un combustible présentant un niveau d’émissions inférieur à ce seuil sera autorisée. Reste que certaines informations laissent abusivement entendre aux consommateurs qu’ils n’auraient pas d’autre choix que de renoncer à leur matériel et de le remplacer par une pompe à chaleur.« Cette solution peut pourtant s’avérer contre-productive pour certains foyers qui risquent de voir leur facture d’électricité exploser. Le tout-électrique sans nuance mènera inévitablement à une impasse, à contre-sens de l’enjeu d’équité territoriale dans la transition énergétique que nous défendons. »« Il n’y a pas d’interdiction du chauffage au fioul en 2022. Les chaudières au fioul ne vont donc pas disparaître, le gouvernement doit cesser d’entretenir la confusion et de fâcher les utilisateurs sur ce point. Ce qui va progressivement changer, c’est la nature du combustible qu’elles utilisent. Notre filière travaille depuis trois ans à la mise sur le marché d’un nouveau biocombustible issu du colza français : le Biofioul. Ce nouveau produit est prêt pour 2022 et le projet de décret en signe l’acte de naissance officiel. »Eric Layly, président de la FF3CCe décret ne pénalisera aucun consommateur et ouvre de nouvelles perspectives en permettant un libre choix pour les consommateurs, tout particulièrement « hors les villes ». Concrètement :Il permet le maintien des chaudières existantes fonctionnant au fioul domestique ;Il prévoit pour les nouvelles chaudières à installer à partir de 2022 le fonctionnement avec un nouveau fioul, le Biofioul ;Il permet l’utilisation du fioul domestique pour les périodes froides en association avec une pompe à chaleur.L’utilisation du Biofioul sera obligatoire pour les chaudières neuves et sera également possible pour les chaudières existantes si le brûleur est compatible.Le Biofioul est une énergie liquide nouvelle, composée d’une part d’énergie renouvelable issue du colza français, dont la culture contribue non seulement à la souveraineté énergétique de la France mais également à sa souveraineté alimentaire, par la production à parts égales d’huile et de protéines végétales qu’elle permet.Dès 2022, un Biofioul F30 contenant jusqu’à 30% de bioliquide issu du colza sera mis sur le marché.Du fioul au Biofioul, une énergie renouvelable issue des territoires, pour les territoires3ème énergie de chauffage en France, le fioul domestique équipe près de 4 millions de logements, dont 3,2 millions de résidences principales. Il concerne des foyers vivant principalement en maisons individuelles, dans des territoires non desservis par le gaz de ville.Son utilisation est particulièrement importante dans des zones où les températures hivernales sont basses (façade Est, régions Hauts-de-France et Auvergne-Rhône-Alpes, entre autres). Dans 28 départements métropolitains, l’utilisation du fioul domestique assure le chauffage de près d’un quart des logements, 12% en moyenne nationale.Consciente de cette réalité territoriale, la profession travaille depuis près de trois ans à la mise sur le marché d’un biocombustible liquide de chauffage, en collaboration avec la filière agricole du colza et les constructeurs de matériels.
Il y a 4 ans et 107 jours

Trois nominations chez Sateco

De gauche à droite : Frédéric Quillévéré, directeur technique, Patrick Micheneau, nouveau directeur du développement international, et Guillaume Duvillers, chargé d’affaires pour le Sud Ouest chez Sateco. [©Sateco] Afin d’accompagner au mieux les nouvelles ambitions commerciales et techniques de Sateco, la direction s’entoure de nouvelles compétences. Ainsi, Patrick Micheneau, déjà directeur général adjoint, prend en charge le développement international. Quant à Frédéric Quillévéré, il intègre Sateco en tant que directeur industriel. Enfin, Guillaume Duvillers est le nouveau chargé d’affaires pour la région Paca. Patrick Micheneau, mission à l’international aussi A 47 ans, Patrick Micheneau est l’actuel directeur général adjoint de Sateco. Il vient d’être nommé au développement international. Il est désormais missionné pour assurer le management des grands projets export. De plus, il assurera aussi le déploiement de la filiale HK Services, en Suisse. Et sera l’interlocuteur privilégié des majors du BTP à l’International. « Après avoir suivi des études d’ingénieur en génie des systèmes industriels, il débute sa carrière en 1999 chez Avo Industrie (groupe Carbone Lorraine) comme chef de projet. Puis, devient responsable des achats. En 2002, il intègre le groupe Heuliez comme responsable méthodes montage. Ensuite, il dirige le pôle “Unité de production montage”, puis celui “d’Ingénierie”. Poste qu’il occupe jusqu’à son départ en 2007. Et Patrick Micheneau, de conclure : « Au sein des services techniques de Sateco, j’ai occupé le poste de directeur technique depuis 2009, puis le poste de directeur général adjoint à fin 2018. Développement des nouveaux produits et mise en place de nouveaux outils de production, ce sont mes compétences tant au sein de Sateco que durant mon passé professionnel. A 47 ans, fort de mes expériences précédentes, créer et déployer un pôle international est un vrai challenge. Challenge motivant et plein de sens pour la promotion du savoir-faire Sateco au-delà de nos frontières ». Un nouveau directeur technique Nouvel entrant chez Sateco, Frédéric Quillévéré (53 ans) devient le nouveau directeur industriel. Il a pour mission d’optimiser le bureau d’études, le développement des produits, les devis techniques et la recherche & développement. Ceci, avec la supervision de la direction de production pour les deux usines du groupe (Mirebeau – 86 et Maillé – 86). Ainsi, il privilégiera l’innovation, en fiabilisant les flux opérationnels pour plus de qualité. «  Exigence, travail en équipe et bonne humeur sont les éléments essentiels pour participer à la poursuite du développement de Sateco », insiste Frédéric Quillévéré. Diplômé des Arts et Métiers, c’est chez PSA qu’il débute sa carrière. De 1989 à 2000, il y occupe un poste de responsable de production. Puis, de responsable méthodes, avant d’intégrer la société Heuliez. Ceci, en tant que directeur industriel jusqu’en 2006. Il a ensuite dirigé une société de chaudronnerie dans le domaine agro-alimentaire. Un nouvel ambassadeur de l’expertise Sateco en région Guillaume Duvillers, 45 ans, est le nouveau chargé d’affaires pour le secteur méditerranéen. Ainsi, il supervisera les départements 04/05/07/13/26/30/83/84. « Je vais assurer le suivi de la distribution des produits Sateco. A savoir les banches et les accessoires, le matériel de sécurité… dans l’ensemble de la région Paca »,indique Guillaume Duvillers. Diplômé du bâtiment (BTS), il a débuté sa carrière, en 1996, chez Eiffage comme chef de chantier. Puis, le même poste chez Nord France (groupe Fayat). En 2014, il  intègre Nord Coffrage comme chargé d’affaires.
Il y a 4 ans et 108 jours

L'Ademe lance la 5e édition de l'appel à projets Énergie Durable

Il cible notamment les questions de recherche identifiées dans les feuilles de route stratégiques de l'ADEME et certaines des thématiques considérées comme clés dans la SNRE.Cette 5ème édition de l'appel à projets Energie Durable se centre sur l'optimisation des systèmes énergétiques. Il est structuré en deux axes thématiques :L'axe thématique 1 vise l'optimisation des systèmes énergétiques et la réduction de leurs impacts par l'amélioration de briques technologiques. Il concerne :la production d'énergie à partir de sources renouvelables,la batterie électrochimiquel‘hydrogène et les piles à combustiblesla décarbonation de l'industrieL'axe thématique 2 favorise la conception intégrée des systèmes énergétiques et de leurs régulations. Il porte donc sur :l'accompagnement et l'évaluation de la transition des systèmes énergétiquesla conception et la gestion des réseaux d'énergie et l'optimisation de chaînes hydrogènel'approche systémique de la décarbonation dans le secteur industriell'évolution des mobilités et leur contribution à la transition énergétique.Qui peut déposer un projet ?L'appel à projets s'adresse aux acteurs publics et privés de recherche des domaines et secteurs suivants :Production d'énergie à partir de sources renouvelables avec réduction des impactsStockage électrochimiqueHydrogène et piles à combustibleDécarbonation de l'industrieÉvaluation et régulations innovantes de systèmes énergétiques:Évaluation et optimisation des performances énergétiques et bas carbone des opérations d'aménagement et l'analyse socio-économique des politiques publiques accompagnant les technologies de l'hydrogèneConception et gestion des réseaux d'énergieRéseaux de chaleur et de froid à l'échelle des territoires et réseaux électriques avec l'optimisation de l'intégration des ENR et l'optimisation de chaînes hydrogèneApproche systémique de la décarbonation de l'industrieIntégration des matières bas-carbone et des énergies renouvelables et de récupération, et la mise en place de nouveaux modèles de financement et de politiques publiques pour une industrie décarbonéeÉvolution des mobilités et leurs contributions à la transition énergétique
Il y a 4 ans et 108 jours

SITES, groupe d’ingénierie spécialisé dans la durabilité des actifs structurels acquiert la société technologique Cornis, leader dans l’inspection des éoliennes et des solutions d’intelligence artificielle.

Spécialisée dans le suivi du vieillissement des éoliennes via des méthodes et outils d’expertise utilisant l’Intelligence Artificielle, Cornis accompagne depuis 10 ans les principaux constructeurs et exploitants mondiaux d’éoliennes pour l’inspection et l’expertise des pales. L’entreprise intervient dans plus de 40 pays (+ de 20.000 éoliennes inspectées) et réalise un chiffre d’affaires de 2M€ dont 75% à l’export. Avec cette acquisition, SITES, acteur pionnier de la surveillance de santé structurelle depuis 1984, renforce sa position dans le secteur des énergies décarbonées. Leader indépendant de la surveillance des structures des installations nucléaires et hydrauliques, aux côtés des infrastructures de transport et des structures complexes en général, cette opération élargit ses activités dans le domaine de l’éolien et plus généralement celui des EnR (Énergies Renouvelables). Par ailleurs, cette union entre pépites françaises vise à accélérer la conquête de marchés internationaux (Royaume-Uni, Allemagne, Belgique, Danemark, les marchés éoliens qui se trouvent en Europe du Nord mais aussi la Chine et l’Afrique du Sud, pays où SITES est présent via ses filiales) et les développements technologiques pour la surveillance de structures. Un savoir-faire technologique complémentaire et « Made in France » Au delà d’un parfait alignement sur les enjeux de la surveillance préventive des structures et de l’asset integrity management, le rapprochement entre SITES et Cornis repose sur une approche commune combinant une connaissance fine des ouvrages et de leur dynamique de vieillissement, des expertises fortes d’inspection et la mise en oeuvre des meilleurs technologies disponibles en lien avec l’imagerie, le traitement du signal, la data science et l’Intelligence Artificielle. Les outils Cornis d’inspection de pales ainsi que la plateforme de reporting en ligne sont utilisés sur plus de 20.000 éoliennes dont 40% offshore. Ces outils créent des synergies avec les solutions déployées par SITES dans le domaine du HD Mapping et du Structural Health Monitoring. Depuis leur création, les deux entités partagent des valeurs communes, une déontologie basée sur l’indépendance, une fierté d’exporter le savoir-faire français et la volonté de participer au développement durable en prenant soin au quotidien des infrastructures d’énergie et de transport. « Avec Cornis, nous sommes très heureux de placer SITES en leader indépendant de la surveillance préventive des infrastructures de production d’énergies décarbonées, d’accélérer la digitalisation des métiers et de l’expertise du monitoring structurel et d’intégrer une équipe qui partagent nos valeurs. » commente Hervé LANÇON, co-Directeur Général de SITES. Thibaut GOUACHE, co-Fondateur de Cornis, ajoute : « Nous ancrons Cornis dans une histoire longue et durable, celle de SITES et ces 35 années d’expérience. Pour nos clients, grâce à SITES, nous élargissons les compétences de nos équipes, pour veiller non seulement sur les pales d’éoliennes, mais aussi les mâts et les fondations bétons. Pour les fondateurs et tous les salariés de Cornis, cette fusion est une excellente opportunité de continuer de croître et d’adresser de nouveaux défis dans et en dehors de l’éolien. C’est une belle réussite collective. » Cette opération consolide sur le sol français un acteur indépendant capable de proposer sur l’ensemble du cycle de surveillance structurelle en France et à l’international, des expertises de pointe et un savoir-faire complet en matière d’innovation métier et technologique. L’intégration des activités de Cornis dans celles de SITES sera réalisée au travers d’une business unit dédiée aux EnR qui assurera une continuité complète de service pour les clients de Cornis. À date, le Groupe SITES compte plus de 450 salariés. SITES | Ingénierie, Instrumentation, monitoring et inspection Cornis – Artificial Intelligence for Operations and Maintenance
Il y a 4 ans et 108 jours

L'alliance HQE-GBC édite les résultats du test HQE Performance Économie Circulaire

Inédit, ce test démontre notamment tout l'intérêt de la méthode multicritère d'analyse de cycle de vie (ACV) et du nouvel outil d'analyse des flux de matières (MFA).Un référentiel communEn janvier 2018, l'Alliance HQE-GBC publiait un cadre de définition de l'économie circulaire dans le bâtiment proposant 15 leviers (annexe), pour disposer d'un référentiel commun à tous les acteurs de la profession, des fabricants de produits aux concepteurs de bâtiments, maitres d'ouvrage et aménageurs.Pour en tester la pertinence et la robustesse scientifique, l'Alliance a lancé, en 2019, en partenariat avec Cerqual, Certivéa, le CSTB, EVEA, INIES et le soutien financier de l'ADEME, un test dans le cadre du programme d'innovation collaborative HQE Performance.Objectifs : identifier des indicateurs et tester de nouveaux outils favorisant l'intégration concrète de l'économie circulaire dans le bâtiment.Le Test HQE Performance Économie Circulaire a ainsi permis d'évaluer 23 projets : 7 bâtiments rénovés ou réhabilités et 16 bâtiments neufs. Il a été mené sur différentes typologies de bâtiments : 9 bureaux, 6 résidentiels collectifs, 5 tertiaires et 3 maisons individuelles.Des outils complémentairesLe test s'est articulé autour de différents outils complémentaires, dont certains couramment utilisés par les acteurs de la construction : les Profils économie circulaire des certificateurs, l'Analyse de Cycle de Vie (ACV) avec les Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) et Profils Environnementaux Produits (PEP) issus de la Base INIES.À ceux-là, sont venus s'ajouter une comparaison des scénarios de fin de vie et l'analyse des flux de matières (MFA), permettant d'intégrer de nouveaux indicateurs, plus spécifiques de la démarche d'économie circulaire appliquée au bâtiment.Principales conclusionsLe Test HQE Performance Économie Circulaire montre, d'une part, qu'il est possible de disposer de véritables indicateurs de circularité des produits de construction et équipements, tant en construction neuve qu'en rénovation, sans effort supplémentaire par rapport à l'expérimentation E+C-.D'autre part, le test a validé la complémentarité de deux méthodes :La méthode multicritère de l'ACV, exprimant des indicateurs autres que celui du seul carbone, tels que l'épuisement des ressources, la nature et les impacts des déchets dangereux et non dangereux.La méthode MFA bâtiment, prenant en compte des indicateurs de quantités de matières secondaires valorisées en entrée et de matières secondaires valorisables en sortie (par le réemploi ou la réutilisation et le recyclage).Enfin, le test a également permis de mettre en exergue quelques pistes pour que le bâtiment s'inscrive dans une logique d'économie circulaire :Éviter les produits de construction et équipements superflus : comme pour l'énergie, la meilleure valorisation de matière est celle que nous ne produisons pas ; écoconcevoir, et mutualiser le plus possible en créant des synergies avec son milieu ;Utiliser le moins possible de matières premières rares (indicateurs ACV épuisement des ressources abiotiques non fossiles) ;Réemployer et réutiliser tout en garantissant une performance technique des produits de construction et équipements déjà présents sur les opérations ou à proximité (ACV en rénovation) ;Avoir une production faible de déchets (indicateurs ACV déchets non dangereux, dangereux et radioactifs) ;Valoriser un maximum les déchets produits (scénario de fin de vie) ;Avoir un maximum de matières secondaires en entrée et en sortie tout en veillant à l'équilibre des flux entre les entrées et les sorties (indicateurs MFA) ; avoir une intensité de transport d'approvisionnement (entrée) et vers les exutoires (sortie) la plus faible possible (indicateurs MFA).Un guide et les 23 fiches projets sont disponibles à cette adresse.Focus sur la méthode d'analyse des flux de matières (MFA)L'analyse des flux de matières (MFA) est une méthode quantitative qui permet de déterminer le flux de matière et d'énergie. Elle a été élaborée par le bureau d'études EVEA, en partenariat avec Cerqual, INIES et l'Alliance HQE-GBC.Elle vise à représenter schématiquement les flux de matières en reposant sur le principe de conservation de la matière développé par Lavoisier : la somme des ressources entrantes est égale à la somme des ressources sortantes.Le MFA permet de calculer les indicateurs de circularité sur la vie d'un bâtiment, en s'appuyant sur des indicateurs existants dans les FDES (Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire) et PEP (Profil Environnemental Produit), facilement accessibles aux opérateurs.Outre l'analyse des flux entrants dans le bâtiment (produits de construction et équipements), ainsi que les flux sortants, il permet de définir les matières réemployées, réutilisées et recyclées en entrée et réemployables, réutilisables, recyclables en sortie (les matières secondaires). Le MFA propose également un garde-fou avec un indicateur d'intensité de transport pour définir s'il est pertinent de recycler la matière.Cadre de définition de l'économie circulaire dans le bâtiment : 15 leviers pour agirPour aider les acteurs du secteur du bâtiment et de l'immobilier à mieux appréhender l'économie circulaire et agir, l'Alliance HQE-GBC a publié « le cadre de définition de l'économie circulaire pour le bâtiment ». Ce document, fruit d'une co-construction interprofessionnelle forte et utilisable par tous, a été co-signé par le Ministère de la Transition écologique et solidaire, le Ministère de la cohésion des territoires, l'ADEME, le CSTB et l'Association OREE. Ce cadre de définition fait le lien avec celui de référence du bâtiment durable pour tous.
Il y a 4 ans et 111 jours

Le réseau d'architecture d'intérieur Notes de Styles prépare ses collaborateurs à la RE2020

Autrement dit, tous les nouveaux bâtiments devront être pensés et construits de manière à produire autant d'énergie qu'ils n'en consomment. Afin de limiter la pollution liée aux émissions de CO², la RE2020 s'appuiera sur 4 piliers : l'isolation, l'énergie, l'innovation et l'empreinte carbone.Directement impacté par cette nouvelle réglementation, le secteur de l'architecture va devoir repenser son mode de fonctionnement. Jérémy Hérard, gérant et fondateur du réseau Notes de Styles, s'intéresse de près à la RE2020 qui ouvre de nouvelles perspectives aux architectes.Une réglementation qui repose sur 4 piliersL'isolationUne bonne isolation et l'utilisation de matériaux de qualité vont permettre aux bâtiments de mieux conserver la chaleur et de réduire leur empreinte carbone. La résistance thermique devra aussi être plus importante : elle était de R≥8 (en m2.K/W) en neuf dans la RT2012 et passera à R≥10 avec la RE 2020.« L'isolation est le point clé de la RE2020. En effet, on nous demande de diviser par 6 les dimensions du total des fuites d'air : on passe désormais de la taille d'une feuille A4 à la taille d'une carte de crédit ! Pour cela, nous accordons notamment une attention toute particulière à l'isolation naturelle et biosourcée. Conçue à base de matière renouvelables fabriquées à partir de fibre végétale ou animale, elle offre un rendement efficace et durable en termes de confort thermique. Nous privilégions également certains matériaux comme les panneaux de fibre de bois, laine de bois, laine de chanvre, liège, paille, ouate de cellulose… »Guillaume Detollenaere, Gérant de l'agence Notes de Styles des Côtes d'ArmorL'énergieAfin de répondre aux nouveaux objectifs énergétiques fixés par la RE2020, les énergies renouvelables vont occuper une place croissante dans les constructions neuves et les rénovations. Panneaux solaires ou photovoltaïques, géothermie, éolien, pompe à chaleur etc, ces dispositifs couplés à un système de gestion intelligente de l'énergie permettront de produire l'électricité nécessaire à tous les équipements de la maison.« Pour atteindre le niveau Energie E3 ou E4, la production et la consommation domestique d'électricité renouvelable devient incontournable. En effet, il ne s'agira plus de revendre son électricité mais de l'auto-consommer pour couvrir partiellement (niveau E3) ou intégralement (niveau E4) les besoins annuels du foyer en matière d'éclairage, de chauffage, de bureautique, etc. ».Jérémy Hérard, Fondateur du réseau Notes de StylesLa RE 2020 imposera également 2 nouveaux usages pour le calcul de la consommation d'énergie : l'utilisation des appareils ménagers et des appareils électroniques (ordinateurs, télévision, réfrigérateur) ainsi que les effets du carbone de la construction. Cette notion de consommation d'usage du bâtiment s'inspire notamment des réglementations adoptées par d'autres pays européens, comme par exemple le label allemand Passivhaus.Enfin, la RE2020 va permettre de combler un défaut souvent pointé du doigt : la RT2012 se basait sur les consommations estimées. Désormais, les particuliers pourront suivre en temps réel leur consommation et leur production d'énergie.L'innovationL'isolation thermique des nouvelles constructions va demander l'intégration de nouveaux matériaux plus efficaces, capables d'accumuler la chaleur afin de réduire la consommation énergétique. Pour cela, la domotique s'avère être une solution particulièrement efficace : elle doit permettre de contrôler avec davantage de précision les équipements de chauffage et de climatisation, afin d'ajuster au mieux la consommation.« Je propose systématiquement aux clients qui se lancent dans une rénovation d'installer un thermostat intelligent. Ce thermostat permet de réaliser en moyenne 30% d'économies en réglant la température en fonction de la détection des personnes dans la maison. La domotique permet également d'éteindre automatiquement les lumières et de fermer les volets pour conserver l'énergie dans le bâtiment en hiver et le garder frais en été. J'invite d'ailleurs mes clients à voir l'installation de ces systèmes comme un investissement à long terme car les économies réalisées couvriront rapidement leurs coûts ».Jérémy Hérard, Fondateur du réseau Notes de StylesUne digitalisation des métiers de la construction reste néanmoins indispensable pour pouvoir traiter des données volumineuses, nécessaires à la valorisation et à l'optimisation des empreintes énergétiques et carbone. Pour cela, Jérémy Hérard recommande aux professionnels du secteur l'utilisation du BIM (Building Information Modeling), réponse logicielle et organisationnelle parfaitement adaptée à ces enjeux.Le réseau Notes de Styles s'intéresse à la digitalisation depuis plusieurs années. Jérémy Hérard a d'ailleurs développé l'application Vitruve en 2018. Celle-ci permet à l'ensemble des parties prenantes - clients, architectes, maîtres d'œuvre et professionnels du terrain - de suivre en temps réel l'évolution des chantiers.L'impact carboneSelon l'Ademe, les bâtiments représentent 45% de notre consommation énergétique et 27% des émissions de gaz à effet de serre en France. La RT2012 permettait déjà depuis presque 10 ans de construire des maisons qui ne produisent pas plus de 50 kWh/m²/an. La RE2020 va donc venir renforcer cette norme en obligeant les constructeurs à produire des maisons auto-suffisantes.« La consommation annuelle maximale d'énergie autorisée sera de 0 kWh/m² ! Nous avons bon espoir que la plupart des bâtiments ne se limitent pas à la neutralité. A terme, l'objectif est de construire des bâtiments à énergie positive (BEPOS) qui créent plus d'énergie qu'ils n'en consomment (jusqu'à 12 kWh/m²/an). Le coefficient d'énergie primaire (Cep) de l'électricité sera ramené de 2,58 à 2,3. Il faudra donc se limiter à 2.3 kWh d'énergie primaire pour produire 1 kWh d'énergie électrique finale »Adrien Maury, Gérant de l'agence Notes de Styles de MontpellierAinsi, les architectes et les constructeurs vont devoir évaluer très précisément leur propre impact environnemental lors des phases de construction et d'exploitation de leurs projets: prise en compte du carburant pour les trajets, calcul de la pollution sur les livraisons, choix des matériaux… Avec la RE2020, l'empreinte carbone devra se calculer sur une durée de vie de 50 ans.« Les stratégies de construction vont donc être entièrement repensées avec l'arrivée de cette nouvelle réglementation, ce qui va permettre une redistribution des filières courtes en France. Les constructeurs vont davantage se tourner vers des fournisseurs français pour s'assurer de la qualité des produits mais aussi pour diminuer l'empreinte carbone des livraisons ».Jérémy Hérard, Fondateur du réseau Notes de StylesLa formation à la RE2020 : un incontournable pour le réseau Notes de StylesJérémy Hérard met un point d'honneur à former régulièrement l'ensemble de ses collaborateurs à toutes les nouvelles réglementations. Les équipes ont d'ailleurs été sensibilisées à la RE2020 dès 2019. Afin d'assurer le respect de ces nouvelles normes, le réseau s'engage également à ne travailler qu'avec des partenaires et des fournisseurs qui maîtrisent cette nouvelle réglementation.« Ce changement de mentalité dans les constructions ne doit pas venir uniquement des particuliers. C'est aux entreprises d'être force de conseil et de proposition et de s'investir dans ces nouvelles réglementations respectueuses de l'environnement. C'est pourquoi il m'a semblé indispensable de sensibiliser et former l'ensemble de mes équipes afin qu'ils mettent en place ces nouvelles façon d'aborder l'architecture, avant même que la réglementation n'entre en vigueur ».Jérémy Hérard, Fondateur du réseau Notes de StylesL'application de la RE2020 fortement conseillée pour des travaux de rénovationSi les nouvelles habitations et les projets d'extension sont directement concernés, les projets de rénovation le sont finalement aussi tout autant.« Même si la RE2020 n'est pas obligatoire dans le cadre d'une rénovation, nous le conseillons fortement à l'ensemble de nos clients. Dans un premier temps cela leur permet d'être propriétaires d'une maison qui possède les mêmes avantages que le neuf, accompagné du charme de l'ancien. Et dans un second temps ils deviennent éligibles à des aides financières comme le crédit d'impôt. Les dépenses liées à la RE2020 peuvent rapidement être remboursées grâce à cela mais aussi avec les économies d'énergies qui en découlent ».Jérémy Hérard, Fondateur du réseau Notes de Styles
Il y a 4 ans et 112 jours

Malgré leur montée en puissance, les ENR électriques sont encore loin du compte

RENOUVELABLES. Les énergies renouvelables d'origine électrique ont continué à se développer dans l'Hexagone en 2020, d'après le baromètre qui leur est consacré. La production "verte" de quatre régions a également permis de couvrir 35% de leur consommation locale. Mais si elles veulent atteindre les objectifs de la Programmation pluriannuelle de l'énergie, les ENR ont encore du pain sur la planche.
Il y a 4 ans et 112 jours

Isover subventionné par l'Ademe dans le cadre de son engagement en faveur de la décarbonation

Des investissements nécessaires pour un constat sans appelDans son plan “France Relance”, le Gouvernement a prévu un soutien ambitieux et volontariste des entreprises, avec 1,2 milliard d'euros d'ici 2022 pour améliorer l'efficacité énergétique, faire évoluer les procédés de fabrication, notamment par le biais de l'électrification, et décarboner la production de chaleur.Objectif : soutenir la compétitivité économique et environnementale des industries et notamment favoriser la décarbonation.Le secteur du bâtiment représente 43% des consommations énergétiques annuelles françaises et génère 23% des émissions de gaz à effet de serre (GES) français.Pour l'ADEME comme pour ISOVER, décarboner l'industrie est indispensable à l'atteinte des objectifs climatiques que la France s'est fixé : près de 20% des émissions de gaz à effet de serre en France étant issus des activités industrielles. La décarbonation est également un levier de performance de l'industrie française à moyen-terme.ISOVER France et notamment son site industriel d'Orange, certifié ISO 50 001 (économie d'énergie) et ISO 14 001 (management environnemental) s'est engagé depuis plus de 20 ans dans une stratégie environnementale exigeante visant à réduire ses consommations d'énergie et ses émissions de gaz à effet de serre. Ces efforts répondent aux ambitions fortes du Groupe Saint-Gobain d'atteindre la neutralité carbone en 2050.Une subvention récompensant un projet ambitieux déjà bien entamé et concretConsécutivement au plan France Relance, ISOVER anticipe une augmentation des besoins du marché en produits isolants. La marque a engagé depuis plusieurs années une démarche volontaire d'introduction de calcins issus de matières secondaires dans ses produits, qu'il s'agisse de matières issues de verre bouteille, verre plat, pare-brise ou même de laine de verre via son service ISOVER Recycling. L'utilisation des calcins présente divers avantages dont une baisse de consommation d'énergie électrique et une réduction significative des émissions de CO? de sa production. C'est pourquoi le site d'Orange souhaite augmenter le taux de matières recyclées (calcin externe) dans sa composition verrière.La feuille de route environnementale pour l'usine d'Orange vise -33% d'émissions de CO² à l'horizon 2030.3 axes de développement sont prévus pour des travaux débutant en septembre prochain :La modification de la tour de composition verrière, qui permettra d'augmenter d'au moins 20% le taux de matières recyclées (calcin externe) passant de 40% à 60% a minima et engendrera des économies d'énergie et de CO² grâce à une baisse en température induite du four. Ce projet permettra d'augmenter le taux de matières recyclées dans son four de fusion verrière et de réduire les émissions de CO² de 2.800 tonnes/an, soit une baisse des émissions de CO² de 4.600 tonnes/an, calculé sur la base du cycle de vie complet du produit.L'agrandissement de la zone de stockage externe des calcins, avec la création de 4 stands d'environ 200 m² chacun, permettant une meilleure séparation des diverses sources et facilitant leur exploitation.Les équipements permettant de transporter les matières premières vers le four seront remplacés par des convoyeurs à bande plus adaptés.
Il y a 4 ans et 113 jours

Les logements "pires passoires thermiques" ne pourront plus être loués dès 2023

Ce texte introduit le critère de "performance énergétique dans la définition de logement décent", et stipule que pour être loué, tout logement doit avoir "une consommation d'énergie inférieure à 450 kilowattheures d'énergie finale par mètre carré de surface habitable et par an"."Nous assumons de démarrer doucement avec un seuil assez peu contraignant pour s'attaquer en priorité aux pires passoires thermiques et laisser un peu de visibilité aux autres propriétaires. Le but est de monter en puissance par la suite", explique la ministre déléguée au Logement Emmanuelle Wargon, dans un entretien mercredi dans le Figaro.Elle indique que des contrôles vont être menés concernant "les annonces d'agences immobilières, qui ne pourront pas proposer la location de telles passoires thermiques".Seuls 90.000 logements, soit 4% des "passoires thermiques", dont 70.000 logements privés, sont concernés par cette échéance, alors que le projet de loi issu de la Convention citoyenne sur le climat prévoit la fin de la location de 4,8 millions de logements énergivores d'ici à 2028.Par la suite, les seuils qui s'appliqueront pour exclure les logements trop énergivores du marché locatif "seront exprimés en s'appuyant sur les étiquettes du futur Diagnostic de Performance Energétique (DPE), actuellement en cours de redéfinition", précise un communiqué du ministère de la Transition écologique."Ainsi, au 1er janvier 2028, l'ensemble des passoires énergétiques désignées par les étiquettes F et G du futur DPE seront exclues du marché locatif".Avec 18% des émissions en 2017 (28% en ajoutant la production de la chaleur et de l'électricité) en France, le bâtiment est un des quatre grands secteurs émetteurs de gaz à effet de serre, avec les transports, l'agriculture et l'industrie.
Il y a 4 ans et 113 jours

L'Olympique Lyonnais va devenir producteur d'électricité "verte"

Ces installations, dont la surface cumulée équivaudra à celle de sept terrains de football, offriront une capacité de production de 10 mégawatts, correspondant à la consommation annuelle de 2.500 foyers, selon un communiqué publié vendredi par OL Groupe et ses partenaires Engie et Reservoir Sun."Dès la construction du stade, nous souhaitions privilégier les énergies propres et durables", a souligné le président d'OL Groupe Jean-Michel Aulas, en soulignant le "devoir d'exemplarité" en la matière de son entreprise.Le projet prévoit la couverture des parkings du Groupama Stadium par des ombrières solaires et l'installation de panneaux photovoltaïques sur le centre d'entraînement de l'OL, sur sa future "arena" ainsi que sur le prochain centre de formation de tennis poussé par Jo-Wilfried Tsonga et Thierry Ascione.
Il y a 4 ans et 113 jours

Hager Group crée son nouveau département Hager Energy

Hager Group ambitionne de jouer un rôle-clé dans le secteur de la gestion de l’énergie. En ce début d’année l’entreprise lance son nouveau département Hager Energy.                « Notre ambition est de jouer un rôle de premier plan dans le domaine de l’approvisionnement et la gestion des énergies renouvelables », déclare Daniel Hager, président du directoire Hager Group. « En nous appuyant sur notre vaste offre de gestion de l’énergie, telle que les stations de recharge pour véhicules électriques (EVCS), le stockage de l’énergie et la gestion de l’énergie des bâtiments (commande et contrôle), nous offrons à nos clients un système complet et fiable qui concilie consommation d’énergie et protection de l’environnement. Nous concrétisons ainsi notre vision pour façonner le monde électrique de demain ». Le nouveau département opère sous le nom de Hager Energy et s’adresse à des segments de marché spécifiques en Europe. Il repose sur la force et la complémentarité de deux marques : Hager et E3/DC – une filiale de Hager Group. Le nouveau département, Hager Energy, est dirigé par Andreas Piepenbrink, directeur général, et Rémy Becher, directeur des opérations. Hager Energy regroupe des collaborateurs qui travaillaient déjà sur des projets de gestion de l’énergie. « Nous favorisons l’agilité en réunissant les équipes d’E3/DC et de Hager Group autour d’objectifs et de priorités communs. C’est essentiel pour être leader sur ce marché très prometteur et dynamique », commente Andreas Piepenbrink. Les solutions E3/DC, à la pointe de l’innovation, complètent l’offre de gestion de l’énergie de Hager Group. Avec les systèmes de stockage d’énergie E3/DC, les utilisateurs deviennent autonomes par rapport au réseau électrique, ce qui augmente la fiabilité de leur approvisionnement et la visibilité sur les coûts. L’électricité autoproduite, via les installations photovoltaïques, par exemple, peut être stockée en fonction de l’offre et de la demande. Hager Group est leader européen dans le développement et la production de composants pour la gestion de l’énergie, tels que les tableaux de distribution, les stations de recharge pour véhicules électriques et les dispositifs de contrôle et logiciels associés. La mutualisation de compétences-clés au sein d’un département dédié permettra d’offrir aux clients existants et futurs des solutions et services intégrés très innovants.
Il y a 4 ans et 114 jours

Les énergies renouvelables en France : entre objectifs et réalité

"La crise sanitaire n'explique pas à elle seule ces ralentissements", souligne le baromètre 2020 produit par l'observatoire spécialisé indépendant Observ'ER avec la Fédération des collectivités concédantes et régies (FNCCR) et l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe).L'an passé (octobre 2019-septembre 2020), la production renouvelable a couvert plus de 27% de la consommation électrique, en phase avec les objectifs nationaux (grâce aussi à une moindre demande liée au ralentissement industriel et à des températures clémentes). Ce fut même plus de 35% en Auvergne Rhône-Alpes, Occitanie, Grand Est et Provence-Alpes-Côte d'Azur.A fin septembre, la puissance renouvelable raccordée était de 56,5 gigawatts (GW), dont une petite moitié issue de l'hydro-électricité (2,8 GW installés en un an, après 2,7 GW l'année précédente). Quelque 89% de cette puissance nouvellement installée vient de l'éolien terrestre et du photovoltaïque.Par rapport à la feuille de route énergétique de la France à horizon 2028, le baromètre relève toutefois "un risque de décrochage pour la filière éolienne" (avec une projection à 31 GW, au rythme actuel, au lieu de 33-34 prévus).Et c'est "un décrochage déjà réel pour la filière photovoltaïque" (18 GW anticipés au lieu d'une fourchette de 35-44 GW): il faudrait que le secteur multiplie par plus de trois sa dynamique et raccorde 3 GW par an, "une gageure au vu des performances passées"."Le rythme n'est pas suffisant pour atteindre les objectifs, et c'est un retard difficile à rattraper", souligne Frédéric Tuillé, responsable des études chez Observ'ER.Les projets portés par des acteurs locaux (professionnels, collectivités, syndicats d'énergie...) se développent, et les régions disposent pratiquement toutes d'orientations via leur schéma d'aménagement du territoire. "Mais se pose la question des moyens dont elles disposent pour l'atteindre", ajoute le rapport.Les auteurs soulignent l'enjeu de l'acceptation locale des projets. A cette fin, l'Ademe a annoncé le déploiement de conseillers territoriaux.Vincent Jacques Le Seigneur, président d'Observ'ER, a notamment déploré que "les pouvoirs publics soufflent en permanence le chaud et le froid, au niveau de l'Etat comme de collectivités", sur l'éolien, disant ses craintes de voir les contestations s'étendre au photovoltaïque "s'il n'y a pas plus de
Il y a 4 ans et 114 jours

Les baignoires Bette sont maintenant disponibles en noir mat

Dans les domaines de la mode, de la photographie et de l'architecture, le noir monochrome est souvent utilisé de manière ciblée comme une expression esthétique de style. Le noir accentue la structure et la silhouette, mais crée également une limpidité avec une touche dramatique. Ce même effet s'applique aussi à l'architecture de la salle de bains. Les tendances actuelles mettent en scène des éléments noir mat, comme des robinetteries, des vasques, des toilettes, ou encore des salles de bains entières. Bette propose désormais une variante de sa baignoire « Silhouette » avec ce coloris.La mention « Silhouette » regroupe différentes variantes de baignoires en îlot, encastrées ou en angle des gammes BetteLux et BetteStarlet. Avec leur corps sobre en acier titane vitrifié et les larges surfaces immaculées de leur tablier, ces baignoires renvoient un aspect graphique dans le concept global de la salle de bain. La surface noir mat, baptisée « Ebony », sublime davantage leur expressivité. Les baignoires revêtent ainsi un caractère monolithique, presque mystique.Mise en scène du noir mat dans la salle de bainsLe noir ne peut pas vraiment être qualifié de couleur. Le noir, c'est l'absence de lumière. L'œil perçoit seulement son reflet. En principe, il n'existe que deux possibilités pour mettre en scène une baignoire « Silhouette » en noir mat : soit au sein d'un ensemble ton sur ton, soit dans une ambiance scénographique noir et blanc. Dans une salle de bains aux tons noirs, les divers éléments s'effacent au profit de l'architecture intérieure et d'une structuration claire. La baignoire noir mat s'intègre alors dans le rendu général. En revanche, si elle est mise en scène dans une ambiance blanche, cette impression s'inverse : la salle de bains devient un théâtre, dont la baignoire en est l'acteur.Les multiples avantages de l'acier titane vitrifié s'expriment pleinement en noir mat. Ce matériau robuste pardonne les légères inattentions, comme une bougie qui coulerait accidentellement sur le rebord de la baignoire. Sa surface, dure comme du verre et exempte de porosité, ne laisse pas s'accrocher les bactéries et la saleté. Au quotidien, elle se révèle donc facile à nettoyer et à entretenir. Comme la vitrification résiste aux UV, Bette garantit l'élégance et la brillance de ce coloris noir mat au fil du temps.À propos de BetteBette est le spécialiste des éléments de salles de bains en acier titane vitrifié : baignoires, receveurs ultra-plats, receveurs de douche et vasques. L'entreprise familiale a été fondée en 1952 à Delbrück en Westphalie, et s'est spécialisée exclusivement dans les processus de transformation de l'acier et de l'émaillage. Le gérant est Thilo C. Pahl. Aujourd'hui, 385 collaborateurs sont employés au siège administratif et site de production à Delbrück. C'est exclusivement ici, et made in Germany, que plus de 600 modèles différents de baignoires, de receveurs et de vasques sont fabriqués, avec un choix de couleurs possibles pour les surfaces.La production Bette combine la haute technologie industrielle avec un travail artisanal sur mesure. Aujourd'hui, plus de la moitié des produits sont personnalisés selon les souhaits des clients. Les matières premières naturelles que sont le verre, l'eau et l'acier deviennent des produits haut de gamme que Bette propose dans une grande variété de formes, dimensions, sur mesure, avec des rebords relevés pour une pose sans silicone et dans des centaines de couleurs. La surface vitrifiée nommée BetteGlasur est synonyme d'une longue durée de vie et garantie 30 ans. L'ensemble de la gamme Bette est contrôlé conformément à la Déclaration Environnementale Produit (EPD) spécifique aux matériaux et à la gamme, selon la norme ISO14025. Les produits de salle de bains en acier titane vitrifié sont constitués des matières premières naturelles et intégralement recyclables.
Il y a 4 ans et 114 jours

Premier DCE Numérique BIM adapté et accessible à des TPE-PME locales

L’opération Olympi de 36 logements collectifs à Chartres, d’une surface habitable de 2 215 m2, est une promotion immobilière classique d’accession à la propriété de Pierres & Territoires Eure-et-Loir. Elle s’inscrit dans la volonté de construire plus et de produire mieux, notamment par la généralisation de l’usage du numérique et du BIM et par une progression plus rapide sur le terrain. L’appel d’offres en 20 lots séparés, lancé le 16 décembre 2020, a permis de proposer le premier DCE Numérique BIM Cible adapté et accessible aux TPE-PME locales, ainsi qu’un accompagnement de ces entreprises dans leur utilisation du numérique et du BIM pour leurs réponses. Cette première étape sera clôturée le 26 février 2021 pour un démarrage des travaux à la fin du 1er trimestre 2021 et une livraison de la résidence en 2022. La production par la maitrise d’œuvre en phase conception de ce DCE Numérique BIM cible qui répond aux besoins et attentes exprimées par les entreprises, permet d’assurer la continuité numérique et de favoriser son exploitation par les entreprises pour répondre à l’appel d’offres. Deux webinaires ont été organisés fin 2020 pour inciter le plus grand nombre d’entreprises TPE-PME locales à exploiter ce DCE Numérique BIM et pour répondre à l’appel d’offres en ligne. Un parcours d’accompagnement numérique et BIM a été élaboré pour qu’elles soient sereines et confiantes. Les outils déployés visent à les aider à exploiter d’une manière optimale le DCE Numérique BIM en utilisant les maquettes numériques mises à leur disposition, en lien avec le CCTP et le DPGF, d’en vérifier par échantillonnage la fiabilité et pertinence en toute transparence, afin de réaliser avec efficience leurs études de prix et de répondre en ligne à l’appel d’offres. Six tutoriels vidéo et PDF associés pour exploiter les maquettes numériques via un viewer BIM gratuit et une Hotline Olympi, avec une adresse email et une assistance en ligne dédiées au projet sur la durée de la réponse à l’appel d’offres et un manuel d’utilisation de la plateforme BIMoffice du téléchargement du DCE à la signature dématérialisée des marchés, et une assistance en ligne mise en place par ABVENT avec une adresse email dédiée au support des entreprises pour la réponse à l’appel d’offres Olympi. Le démonstrateur Olympi vise à évaluer si l’investissement en phase conception dans la production d’un « DCE numérique BIM » de qualité, contribue à générer des gains partagés en phase appel d’offres pour les entreprises, la MOE et la MOA, à identifier les éventuels freins et difficultés, et à déterminer les meilleures pratiques et les conditions de leur réplicabilité. Le projet Démonstrateur Olympi, est un projet du Plan BIM 2022 proposé par Pierres & Territoires, porté par l’USH, PROCIVIS et ADNc, soutenu par AGYRE, le CERIB et ABVENT et suivi par de nombreux de partenaires et observateurs, dont, entre autres, la FFB et la CAPEB.   Visuel : Démonstrateur Olympi – Vue axonométrique #4 – Archicad © Abvent 2021 – Architecte – Y.Mouton