Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour paris

(24675 résultats)
Il y a 2 ans et 235 jours

La Cour de cassation examine jeudi 22 septembre l'annulation rare du procès de la Chaufferie

Cet examen, très attendu du monde judiciaire, doit permettre de trancher plusieurs points. Une très longue enquête est-elle, en soi, une atteinte aux droits de la défense ? Ou bien, faut-il apprécier au cas par cas et identifier concrètement quelles atteintes ont été portées à la défense ?Et si ce délai déraisonnable est bien constaté, faut-il alors annuler toute la procédure ? Ou bien, juger l'affaire mais demander une réparation financière ?Jusqu'à maintenant, la réponse était la compensation financière. Mais le tribunal correctionnel de Nanterre, puis la cour d'appel de Versailles, se sont éloignés de la jurisprudence de la Cour de cassation et ont statué pour la sanction dans l'affaire de la Chaufferie, en invalidant près de vingt ans de procédure.Dans ce dossier, cinq chefs d'entreprise sont accusés d'avoir faussé, entre 1999 et 2003, l'attribution du juteux marché du chauffage et de climatisation du quartier d'affaires de La Défense, aux portes de Paris dans les Hauts-de-Seine, estimé à plusieurs centaines de millions d'euros.Ils devaient comparaître le 11 janvier 2021 à Nanterre, en l'absence d'un protagoniste phare, l'ancien sénateur et maire de Puteaux (UMP) Charles Ceccaldi-Raynaud, mis en examen en 2007 et décédé en 2019.Au premier jour du procès, le tribunal a décidé d'annuler l'intégralité des actes d'enquête, arguant que le droit des prévenus à être jugés dans un délai raisonnable, consacré par le droit européen, avait été bafoué."Un avant et un après"Dans sa décision de 29 pages, le tribunal a méticuleusement détaillé la chronologie.La complexité de l'affaire justifiait-elle cette durée ? Non, répond le tribunal : "la nature des infractions poursuivies et le nombre de personnes mises en cause" ne présentaient pas un "caractère exceptionnel".La défense a-t-elle sciemment ralenti l'enquête? Non, "cinq des six personnes mises en examen dans ce dossier ont participé pleinement" à l'instruction, écrit le président de la chambre, Olivier Protard.Les autorités judiciaires ont-elles été réactives? Non, malgré sept juges d'instruction et une durée "totalement inhabituelle" de l'enquête, il n'y a pas eu de confrontation entre les prévenus soupçonnés de corruption et le bénéficiaire présumé, Charles Ceccaldi-Raynaud.Des manquements qui n'auraient pu être palliés par un procès, selon le tribunal : l'ancien maire est décédé et deux des prévenus n'auraient pu "rendre compte de leurs actions" à l'audience, l'un étant presque centenaire et l'autre atteint de Parkinson.Trois jours plus tard, le parquet de Nanterre avait fait appel, arguant notamment qu'il n'y avait pas "d'excuse de vieillesse" à accorder.Devant la cour d'appel de Versailles, le parquet général avait demandé l'expertise médicale des deux prévenus les plus âgés, afin d'ouvrir la voie à un nouveau procès. Mais l'annulation du procès pour corruption avait été confirmée.La cour d'appel a toutefois ordonné la tenue d'un procès sur un autre volet de l'affaire, où se sont constituées des parties civiles et où doivent être jugés deux hommes, plus jeunes et encore en capacité de se défendre selon la cour, pour abus de biens sociaux.Le parquet général s'est pourvu en cassation. Et c'est ce pourvoi qui est examiné jeudi par la plus haute juridiction judiciaire."Il y a un avant et un après la Chaufferie de la Défense", commente auprès de l'AFP une magistrate en banlieue parisienne. Du fait des "personnalités impliquées", ce dossier a donné une visibilité à la question du délai raisonnable, estime-t-elle.Pour Olivier Baratelli, avocat de l'un des prévenus, Jean Bonnefont, ancien dirigeant des ex-Charbonnages de France âgé de 99 ans, cette annulation a contribué à "écrire l'histoire judiciaire". "Les grands principes européens rentrent enfin dans le droit français : un vent de fraîcheur", a-t-il déclaré à l'AFP.D'autres nuancent. L'avocat Olivier Morice, qui a récemment obtenu deux jugements d'annulation, "ne voit pas dans la Chaufferie l'origine d'un tournant, mais une marche en avant au caractère inéluctable".Depuis, au moins une demi-douzaine de décisions similaires ont été prononcées, presque toutes frappées d'appel. Des procès portant sur des faits très anciens ont aussi été renvoyés, dans l'attente de la décision de la Cour de cassation.
Il y a 2 ans et 236 jours

Un immeuble vendu sur les Champs-Elysées pour un montant "record"

Le montant précis de la transaction n'a pas été communiqué mais constitue un record sur l'artère, plus que les 613 millions d'euros de la vente du siège de Nike en 2019, selon Groupama Immobilier.Situé au 150 de l'avenue parisienne, tout près de l'Arc de triomphe, l'immeuble de 17.800 mètres carrés avait été acquis en 2009 par la filiale de l'assureur, qui l'a restructuré pour y mener notamment un projet hôtelier.Groupama Immobilier a réalisé une plus-value nette de plus de 400 millions d'euros, indique le groupe.L'acquéreur, le fonds d'investissement Cheval Paris, est contrôlé par le fonds Mimco Asset Management. Au total, l'investisseur devrait débourser environ 800 millions d'euros travaux compris, a précisé une source ayant connaissance du dossier."On a plusieurs moteurs sociaux, économiques, démographiques, qui plaident pour que les Champs-Elysées retrouvent leur pouvoir d'attractivité et leur caractère emblématique", a déclaré à l'AFP Eric Donnet, directeur général de Groupama Immobilier.La mairie de Paris a lancé un plan de rafraîchissement de l'emblématique avenue, aujourd'hui plus fréquentée par les touristes étrangers et clients des boutiques de luxe que par les Parisiens.D'ici aux Jeux olympiques de 2024, la place de l'Etoile autour de l'Arc de Triomphe doit voir la circulation automobile réduite, et il est prévu que les jardins autour de la place de la Concorde, à l'autre extrémité de l'avenue, soient rendus plus accueillants.Le mobilier urbain et les terrasses doivent également bénéficier d'un coup de jeune."Ce que prouve cette transaction, c'est que ça marche, et on est un certain nombre d'investisseurs et de développeurs à croire en cette transformation des Champs-Elysées", a ajouté Eric Donnet.
Il y a 2 ans et 236 jours

Un immeuble vendu sur les Champs-Elysées pour un montant "record"

Le montant précis de la transaction n'a pas été communiqué mais constitue un record sur l'artère, plus que les 613 millions d'euros de la vente du siège de Nike en 2019, selon Groupama Immobilier.Situé au 150 de l'avenue parisienne, tout près de l'Arc de triomphe, l'immeuble de 17.800 mètres carrés avait été acquis en 2009 par la filiale de l'assureur, qui l'a restructuré pour y mener notamment un projet hôtelier.Groupama Immobilier a réalisé une plus-value nette de plus de 400 millions d'euros, indique le groupe.L'acquéreur, le fonds d'investissement Cheval Paris, est contrôlé par le fonds Mimco Asset Management. Au total, l'investisseur devrait débourser environ 800 millions d'euros travaux compris, a précisé une source ayant connaissance du dossier."On a plusieurs moteurs sociaux, économiques, démographiques, qui plaident pour que les Champs-Elysées retrouvent leur pouvoir d'attractivité et leur caractère emblématique", a déclaré à l'AFP Eric Donnet, directeur général de Groupama Immobilier.La mairie de Paris a lancé un plan de rafraîchissement de l'emblématique avenue, aujourd'hui plus fréquentée par les touristes étrangers et clients des boutiques de luxe que par les Parisiens.D'ici aux Jeux olympiques de 2024, la place de l'Etoile autour de l'Arc de Triomphe doit voir la circulation automobile réduite, et il est prévu que les jardins autour de la place de la Concorde, à l'autre extrémité de l'avenue, soient rendus plus accueillants.Le mobilier urbain et les terrasses doivent également bénéficier d'un coup de jeune."Ce que prouve cette transaction, c'est que ça marche, et on est un certain nombre d'investisseurs et de développeurs à croire en cette transformation des Champs-Elysées", a ajouté Eric Donnet.
Il y a 2 ans et 236 jours

Une nouvelle folie pour le parvis de Notre-Dame de Paris

Appel à une prise de conscience. Après le projet de Kathryn Gustafson qui proposait en 2019 pour le Grand site de la tour Eiffel de transformer le pont d’Iéna en tapis vert, en suivant l’exemple mémorable de celui de Stourhead, c’est au tour du parvis de Notre-Dame de Paris de se parer de tous les […] L’article Une nouvelle folie pour le parvis de Notre-Dame de Paris est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 236 jours

Les 10 lauréats du « Prix d’architectures 2022 »

Le Grand prix d'architectures a été décerné aux architectes de l’agence DATA pour leur exemplaire transformation d’un immeuble de bureau de la RATP en 52 logements, l’immeuble Abel Hovelacque. Tout en gardant le poste de commandement de la ligne 5 du métro dans les sous-sols, ils sont notamment parvenus à ajouter 2 niveaux de logements sans alourdir le bâtiment par un travail subtil d’allègement des structures existantes. Le jury a aussi retenu la qualité et l’originalité des plans des appartements. 10 autres réalisations architecturales ont reçu le Prix d’architectures. Les enjeux actuels du logement, et notamment de son rôle dans la crise climatique, ont conduit le jury à sélectionner 5 opérations d’habitation dont 3 réhabilitations sur les 10 projets distingués. À l’heure du Plan climat et de la catastrophe écologique et esthétique qu’il entraine par la médiocrité des rénovations majoritairement mises en œuvre, le jury a souligné l’exemplarité de deux opérations de transformation d’immeubles sociaux des années soixante.Le jury a aussi voulu montrer que si l’excellence architecturale s’exprimait dans de prestigieuses opérations comme la restructuration de la Bibliothèque Nationale de France ou la médiathèque de Grasse, elle pouvait aussi advenir jusque dans les plus petites communes de France avec des budgets extrêmement modestes.DATA architectes pour l’immeuble Abel Hovelacque, réhabilitation-transformation de bureaux en logements sociaux et poste de commandement de la ligne 6 du métro à Paris. Maîtrise d’ouvrage : RATP et Logis-TransportsLes 10 lauréats du « Prix d'architectures 2022 »Bruno Gaudin & Virginie Brégal pour la rénovation et restructuration du Quadrilatère Richelieu, Bibliothèque nationale de France à Paris. Maîtrise d’ouvrage : ministère de la Culture, ministère de l’Éducation nationale, ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, OPPICIvry Serres et Beaudouin architectes pour la médiathèque Charles Nègre de Grasse.Maîtrise d’ouvrage : ville de GrasseCollet Muller Architectes pour 26 logements sociaux à Dammartin-en-Goële. Maîtrise d’ouvrage : I3FBarrault Pressacco pour les 18 logements sociaux rue Thiers au Raincy. Maîtrise d’ouvrage : I3FRégis Roudil pour 8 logements intermédiaires sociaux E en pierre massive à Gignac-la-Nerthe. Maîtrise d’ouvrage : 3F SudFrançois Brugel Architectes Associés et Marc Dujon pour la réhabilitation de 106 logements sociaux Montera-Gabon à Paris. Maîtrise d’ouvrage : Paris Habitat OPHRobain-Guieysse et bmc2 pour la réhabilitation des tours de logements Mounier dans le quartier Maurepas Gros-Chêne à Rennes. Maîtrise d’ouvrage : Archipel HabitatBRA pour la réhabilitation de l’ancienne école et extension pour une salle associative et citoyenne à Tréméven dans les Côtes d’Armor. Maîtrise d’ouvrage : Commune de TrémévenDebarge Bellaigue Ordynski architectes pour le réaménagement du site de la batterie à Longues-sur-Mer.Maîtrise d’ouvrage : Bayeux Intercom, le département du Calvados, le Conservatoire du Littoral et la commune de Longues-sur-MerEGR pour l’extension de la mairie de Biot. Maîtrise d’ouvrage : commune de Biot
Il y a 2 ans et 236 jours

La BNF Richelieu retrouve ses lettres de noblesse après 15 ans de rénovation

EN IMAGES. Une restauration d'ampleur a été menée dans ce site parisien de renom. Batiactu vous fait visiter ce bâtiment exceptionnel marqué par trois siècles d'histoire.
Il y a 2 ans et 236 jours

La BNF Richelieu retrouve ses lettres de noblesse après 15 ans de rénovation

EN IMAGES. Une restauration d'ampleur a été menée dans ce site parisien de renom. Batiactu vous fait visiter ce bâtiment exceptionnel marqué par trois siècles d'histoire.
Il y a 2 ans et 236 jours

L’architecte en garde à vue – La légitimité

[Résumé des épisodes précédents. L’architecte Dubois, un redoutable tueur en série de blondes aux yeux bleus, est en garde à vue depuis 7h du matin et fait face aux questions de l’inspecteur Nutello, dit Dr. Nut, du service des personnes disparues à Paris. Ethel Hazel, une autre blonde aux yeux bleus, qui suit ce patient […] L’article L’architecte en garde à vue – La légitimité est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 236 jours

Seine-Maritime : le château de Mirville est prêt à accueillir la flamme olympique

Le château de Mirville (Seine-Maritime) a été rénové afin de pouvoir être un point de passage de la flamme olympique des Jeux de Paris...
Il y a 2 ans et 236 jours

Seine-Maritime : le château de Mirville est prêt à accueillir la flamme olympique

Le château de Mirville (Seine-Maritime) a été rénové afin de pouvoir être un point de passage de la flamme olympique des Jeux de Paris...
Il y a 2 ans et 236 jours

Artisanat du Bâtiment – Conjoncture du 2e trimestre 2022

Hausse des prix des matériaux et de l’énergie au 2e trimestre 2022 : la CAPEB inquiète pour 2023 malgré une conjoncture encore favorable aujourd’hui  Paris, le 6 septembre 2022 – La Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB) présente les chiffres de l’activité du 2e trimestre 2022 pour les entreprises artisanales du […]
Il y a 2 ans et 236 jours

14 logements sociaux à Paris réhabilités par Atelier Téqui

Dans le quartier de Château-Rouge (Paris XVIIIe), l’Atelier Téqui (AAT) associé à A&B, a réhabilité un immeuble de rapport et en adjoint une extension pour concevoir 14 logements sociaux et un commerce pour Batigère Ile-de-France (Livraison 2022 ; coût de l’opération : 2,5 M€). Communiqué. Situé sur un terrain au relief complexe, le secteur Château Rouge […] L’article 14 logements sociaux à Paris réhabilités par Atelier Téqui est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 236 jours

solisysteme l inventeur de la pergola bioclimatique exposera a batimat 2022

Après plusieurs années d’absences liées à la crise sanitaire, SOLISYSTEME fera son grand retour à BATIMAT pour l’édition 2022. Historiquement présent pour ce moment emblématique du milieu du bâtiment, SOLISYSTEME a voulu ces retrouvailles aussi surprenantes que chaleureuses. Rendez-vous donc du 03 au 06 Octobre sur le stand SOLISYSTEME, Pavillon 5.2 – Stand E035 à Paris – Porte de Versailles.
Il y a 2 ans et 237 jours

Logements Poniatowski signés MARS architectes

MARS architectes a livré en 2022 une opération de 12 logements sociaux et un local commercial près de la Porte Dorée (Paris XIIe) pour la RIVP.  La façade matricée habille les 733 m² pour faire oublier la géométrie insolite de la parcelle. Communiqué. Fichées entre deux immeubles au début du XXe siècle, deux bâtisses laissaient […] L’article Logements Poniatowski signés MARS architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 239 jours

La mairie de Paris veut piétonniser le bas des Champs-Elysées le dimanche

La ville "souhaite piétonniser tous les dimanches" la partie est de la célèbre artère, "première étape pour magnifier les jardins" et participer à la "reconquête de la place de la Concorde et du bas des Champs-Elysées", a indiqué à l'AFP l'adjoint (PS et apparentés) aux espaces verts Christophe Najdovski.La mairie a déjà formulé sa demande auprès de la préfecture, a-t-il précisé. Les Champs-Elysées sont réservés aux piétons le premier dimanche de chaque mois.La revalorisation des jardins publics dessinés au XVIIe siècle par André Le Nôtre et bordant l'Elysée fait partie d'un premier plan de rénovation du quartier annoncé en mai par la maire PS Anne Hidalgo en vue des Jeux olympiques de 2024.Ce plan comprend également la réduction de la place de la voiture sur la place de l'Etoile.Ses adjoints ont donné jeudi matin le coup d'envoi des travaux en accueillant sur le port des Champs-Elysées une barge transportant une partie des 14.000 m2 de granit prévus pour refaire les trottoirs de l'avenue, aujourd'hui très dégradés.Quatre ans après les manifestations de "gilets jaunes" marquées par les scènes de vandalisme, les travaux doivent permettre "d'accueillir dignement les centaines de milliers de personnes qui l'arpentent chaque jour", a souligné la maire (LR) du VIIIe arrondissement Jeanne d'Hauteserre.Selon Marc-Antoine Jamet, président du Comité Champs-Elysées, qui regroupe les acteurs économiques du quartier, 250.000 personnes fréquentent chaque jour "la plus belle avenue du monde" dont la vacance des enseignes "diminue".Outre la réfection des trottoirs et du mobilier urbain, en souffrance depuis les "gilets jaunes", "on plante 107 arbres et on débitume et végétalise un hectare", avec trois axes mineurs du bas de l'avenue "transformés en allées paysagères" et, "sur la partie haute des Champs, 400 pieds d'arbres végétalisés", a rappelé M. Najdovski à l'AFP.Autour de l'Arc de Triomphe, l'agrandissement de l'anneau piéton se fera via des bornes en calcaire posées sur 10 m de largeur "pour neutraliser les trois files de voiture les plus proches", a précisé l'adjoint (PCF) à la construction publique Jacques Baudrier.Ces premiers travaux, pour lesquels la mairie engage une trentaine de millions d'euros, doivent se terminer fin 2023.
Il y a 2 ans et 240 jours

Le trafic de Paris-Orly pour la première fois supérieur à l'avant-crise

Orly, spécialisé dans les liaisons intérieures, européennes et ultramarines, a vu transiter le mois dernier 3,13 millions de passagers, soit 107,2% du niveau d'août 2019, a précisé Groupe ADP dans un communiqué.Davantage orienté vers les long-courriers, l'autre grand équipement géré par l'entreprise en France, Roissy-Charles-de-Gaulle, est resté en retrait à 80,5% du niveau d'août 2019 avec 6,02 millions de passagers.Ces 9,15 millions de passagers cumulés en août représentent 88% de ceux du même mois il y a trois ans.C'est la première fois qu'Orly dépasse son niveau de trafic mensuel d'avant la pandémie. Celle-ci a provoqué un effondrement de la fréquentation à partir de mars 2020, suivi d'une reprise graduelle et inégale, au rythme des vagues de contaminations et des restrictions de déplacements.Ce résultat est d'autant plus significatif qu'il a été obtenu lors du pic traditionnel de l'activité aérienne dans l'hémisphère Nord. En juillet, Orly avait accueilli 99% des passagers du même mois de 2019.Ce sont les liaisons vers l'Outre-mer (112,6% d'août 2019) et l'Afrique (101%) qui tirent la moyenne des aéroports parisiens à la hausse tandis que l'Asie-Pacifique reste encore anémique (37,9%).Depuis le début de l'année, le trafic de ces plateformes "est en hausse de 34,1 millions de passagers par rapport à 2021, à 55,7 millions de passagers, soit 76% du niveau de trafic sur la même période en 2019", a souligné ADP dans un communiqué.Le groupe contrôlé par l'État français gère, en direct ou via des filiales, 29 aéroports dans le monde, de Santiago du Chili à Almaty en passant par New Delhi et Amman.Sur ce périmètre, le trafic a représenté en août 83,3% du niveau du même mois de 2019, à 29,8 millions de passagers. Sur les huit premiers mois de l'année, le trafic total atteint 75,4% de la même période de 2019.Groupe ADP avait annoncé fin juillet être revenu dans le vert au premier semestre, avec un bénéfice net de 160 millions d'euros.L'entreprise avait perdu 248 millions d'euros en 2021 et 1,17 milliard d'euros en 2020. Elle a prévu un retour aux bénéfices sur l'ensemble de l'exercice en cours.
Il y a 2 ans et 240 jours

Les Journées du patrimoine se déclinent de plus en plus au féminin

"Les femmes ont été effacées de l'Histoire", affirme à l'AFP Marie Guérini, secrétaire générale en Ile-de-France de l'association HF, qui promeut l'égalité femmes-hommes dans les arts et la culture, pour expliquer cette initiative.Des Journées européennes du patrimoine... et du matrimoineL'idée a été lancée en 2015 par le collectif regroupant les associations HF en France. D'abord concentrée dans quelques villes comme Toulouse et Tours, elle a depuis fait tache d'huile à Lyon, Marseille ou Lille.En sept ans, ce sont 400 femmes qui ont ainsi été mises en avant, selon le collectif.Rouen et Rennes ont rebaptisé cette année leurs Journées du patrimoine en Journées du matrimoine et du patrimoine, un pas déjà franchi par Nantes en 2021.Même si la ville de Paris est partenaire de l'initiative en Ile-de-France, la mairie n'a en revanche pas modifié l'appellation qu'elle donne à la manifestation. "Paris est ancrée en Europe, ce sont les Journées européennes du patrimoine, donc ce n'est pas possible de rajouter matrimoine", souligne Marie Guérini.Des initiatives similaires fleurissent toutefois en Europe : Liège, Bruxelles ou encore Florence ont ainsi depuis quelques années leurs Journées du matrimoine.Faire revivre les artistes oubliéesBalades de quartier théâtralisées, poèmes déclamés ou encore musiques interprétées : "les rendez-vous des journées du matrimoine sont bien plus vivants que ceux du patrimoine", selon Marie Guérini."On essaye de redonner vie aux créatrices du passé invisibilisées depuis des siècles. Les poétesses, on va les lire; les compositrices, on va les jouer" et les peintres femmes, "on va les mettre en scène" explique-t-elle.Pour cette édition, HF Ile-de-France a par exemple décidé de mettre à l'honneur une peintre franco-espagnole du milieu du XXe siècle, Roberta Gonzalez, dans une visite scénarisée à l'espace Antoinette-Fouque à Paris.Les visiteurs pourront aussi profiter à Paris d'une promenade littéraire sur les traces de la poétesse Marceline Desbordes-Valmore, d'une projection sur la chorégraphe Janine Solale ou encore d'une visite contée sur les dernières tenancières de salons à Paris. Au total, plus de 40 événements gratuits ont lieu ce week-end en Ile-de-France.Les figures locales à l'honneurA Lyon, la compagnie de théâtre Cybèle propose de déambuler dans les rues à la rencontre des "lyonnaises inconnues": des femmes de la Révolution jusqu'au premier lycée pour jeunes filles de la ville.Dans le centre-ville de Strasbourg, une promenade est organisée pour découvrir des femmes alsaciennes peu connues. Au travers de cette visite guidée, les visiteurs marcheront sur les pas d'Adelaide Hautval, "Juste parmi les nations", de Louise Sheppler, inventrice de l'école maternelle, ou encore de la vulcanologue Katia Krafft, tuée par une nuée ardente en 1991.Rennes, de son côté, propose une balade à vélo pour admirer des bâtiments conçus par des femmes comme celui du Fonds régional d'art contemporain, dessiné par Odile Decq. Une première pour la ville bretonne, qui a déjà fait le plein puisque toutes les visites sont complètes.
Il y a 2 ans et 240 jours

Le matériau bois : une partie de la solution pour décarboner la construction

En France, la part du bois dans la construction (secteur résidentiel et non résidentiel) atteint près de 10 % et devrait fortement progresser dans les prochaines années*. Utilisé dans la construction depuis toujours, le bois s’impose dorénavant en tête des matériaux renouvelables et biosourcés et ses usages se diversifient. Il entre ainsi dans la construction, la réhabilitation, la rénovation et l’aménagement. Le bois représente des enjeux écologiques, sociétaux et environnementaux majeurs. Développement du Grand Paris, chantiers liés aux Jeux Olympiques, construction grande hauteur, maison individuelle... les débouchés ne manquent pas aussi bien dans la construction collective qu’individuelle, pour le tertiaire comme pour le résidentiel. La mise en application récente de la RE 2020 est également un facteur de développement du marché pour les prochaines années.BATIMAT met une nouvelle fois en lumière la construction bois et toute la filière en amont comme en aval. Un secteur de 1 521 m2, lui est entièrement dédié dans le Pavillon 1 avec près de 40 exposants inscrits à date. Il s’agit d’organismes tels que FNCB CFDT, FRANCE BOIS FORET, CODIFAB et d’industriels de renom : ADKALIS, AGIBOIS SAS, ALSAFIX, ARCLIN LLC, BEST WOOD SCHNEIDER, C.B.S.T./ SCIERIE JOSLET, CAMBRAI CHARPENTE, ESSETRE S.R.L. UNIPERSONALE, FELIX DISTRIBUTION, GOLBALUX SP. Z O.O., GRABO, GROUPE BERKEM, GROUPE SETIN, HANS HUNDEGGER AG, JUNGINGER NATURHOLZWERK GMBH, KAMEOKA CONSTRUCTION CO., LTD, KYOCERA UNIMERCO FASTENING A/S, LES FILS DE CYRILLE DUCRET, LIGNATEC, LIXOL, MACH DIFFUSION, MALAYSIAN TIMBER COUNCIL, MANUBOIS, MAX EUROPE BV, MONNET SEVE, PGB EUROPE NV, PIVETEAU BOIS, SCHILLIGER BOIS SAS, SCIERIE EYMARD, SELECTION VOSGES, SIMONIN SAS, SIMPSON STRONG TIE, STEICO SE, TECHNIWOOD.Cet espace, ainsi que les conférences dédiées permettent à la fois de saisir tous les enjeux fondamentaux de ce matériau et de valoriser la diversité des produits en bois français.* France Bois Forêt – Le Bois dans la Construction – sept 2020Les conférencesLe bois est au cœur des sujets de décarbonation et sera notamment la thématique de deux conférences Experts’Corner :Mercredi 5 octobre de 16h à 16h45. (Agora 1, Pavillon 1) :Bois & traçabilité dans le cadre des Jeux de Paris. En partenariat avec le CODIFAB et France Bois ForêtCette conférence sera animée par Marie Jorio, Coordinatrice du Projet France Bois 2024 (projet accompagnant le bois dans les Jeux de Paris soutenu par le CODIFAB et France Bois Forêt, accompagné par le CNDB) qui animera en présence de Georges-Henri Florentin, Président de France Bois 2024, une table ronde composée de Jérôme Martinez, Responsable du Label Bois de France ; Paul Emmanuel Huet, Directeur Exécutif PEFC France ; Aurélien Sautière, Directeur Exécutif FSC France, la Solidéo et Paris 2024.Animateur : Jean-Marc Pauget, Architecte Expert Construction Bois CNDBJeudi 6 octobre de 16h à 16h45 :Le bois et le biosourcé pour atteindre la neutralité carbone à horizon 2030. En partenariat avec le CODIFAB et France Bois ForêtCette conférence traitera en introduction de la RE2020, du positionnement des bâtiments actuels, des objectifs du futur. Une table ronde donneraensuite la parole à deux cabinets d’architectes qui viendront témoigner lors de cette session de leurs projets ou réalisations respectives, dont le cabinet A003 architecte.Animateur : Jean-Marc Pauget, Architecte Expert Construction Bois CNDB.Il sera aussi l’une des thématiques phares du plateau TV de Bati-Journal, organisé par Éditions des Halles et BATIMAT et situé au cœur du secteur bois, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt. Le bois sera abordé lors de quatre émissions :La préfabrication des bâtiments boisConstruction bois, préserver la ressourceLe bois, matériau biosourcé par essenceLe bois, matériau des circuits courtsDemandez votre invitation gratuite pour BATIMAT
Il y a 2 ans et 240 jours

Trains et bus pour INTERCLIMA 2022 : en route vers le succès !

Rendez-vous fédérateur des acteurs du génie climatique, INTERCLIMA 2022 (du 3 au 6 octobre à Paris-Porte de Versailles) confirme son dynamisme et son attractivité.  Pour l’édition 2022, RX et Uniclima mettent à nouveau des moyens exceptionnels pour contribuer au faire-venir d’environ 3 000 visiteurs en provenance de toute la France.   INTERCLIMA 2022 : un événement […]
Il y a 2 ans et 240 jours

Mondial du bâtiment 2022 : KAWNEER dévoile ses dernières innovations

Spécialiste des structures architecturales en aluminium, KAWNEER place ces tendances au coeur de sa stratégie d’innovation en proposant une offre de menuiseries et de services complète et pertinente, au plus près des attentes des professionnels. Au Mondial du Bâtiment, du 3 au 6 octobre 2022 à Paris Expo, l’entreprise présentera en exclusivité ses derniers développements, […]
Il y a 2 ans et 241 jours

Paris : vestige du XIIIe siècle, le cellier d'Ourscamp attend sa nouvelle vocation

SÉRIE PATRIMOINE (5/5). En plein centre de Paris, la maison médiévale d'Ourscamp fait l'objet d'un chantier de restauration de son cellier datant du XIIIe siècle. Au coeur du Marais, à deux pas de Notre-Dame, ces travaux discrets mais techniques mettent en valeur la diversité des opérations de réhabilitation patrimoniale mais aussi le rôle joué par les bénévoles et passionnés d'histoire. Reportage.
Il y a 2 ans et 241 jours

L’Inrap invite à voyager à travers le temps

Les 17 et 18 septembre 2022, à l’occasion des Journées Européennes du Patrimoine, l’Inrap organise partout en France de nombreuses manifestations autour du patrimoine archéologique. SNCF Gares & Connexions et l’Inrap se sont associés pour créer cinq expositions en gare afin de faire découvrir aux voyageurs une série d’objets archéologiques exceptionnels qui ont rejoint les collections de musées : la « Vénus » de Renancourt en gare d’Amiens, les statues gauloises de Trémuson en gare de Rennes, la mosaïque de Penthée en gare de Nîmes-Centre, le vase antique d’Autun en gare de Le Creusot TGV. Visiteurs et voyageurs sont invités à prolonger leur découverte en se rendant dans les musées pour découvrir les originaux de ces chefs d’œuvres. La cinquième exposition, à Paris Gare de Lyon, réunit ces quatre présentations. La RATP et l’Inrap proposent aux usagers du métro parisien une gigantesque fresque de 183 m de long dans le grand couloir de la station Montparnasse-Bienvenüe. La galerie souterraine se transforme en « Couloir à remonter le temps ». Les usagers du métro remontent ou descendent, selon le sens de leur voyage, le fil du temps et découvrent les objets majeurs extraits du sol depuis 20 ans, grâce aux plus belles fouilles de l’Inrap. Par ailleurs l’institut invite le public à venir sur ses chantiers de fouille, les expositions labellisées « 20 ans de l’Inrap ». Conférences, ateliers, démonstrations, archéo-balades, projections… plus d’une centaine d’animations. https://www.inrap.fr/agenda/recherche Photo : « Le couloir à remonter le temps » au métro Montparnasse Bienvenüe.© Antoine Huot
Il y a 2 ans et 241 jours

Le SNBPE fait découvrir le Palais d’Iéna aux lycéens franciliens

Dans le cadre de l’opération « Les Enfants du Patrimoine » qui se déroulera le 16 septembre 2022, veille des Journées du Patrimoine, le Syndicat National du Béton Prêt à l’Emploi (SNBPE) accueillera des lycéens franciliens pour la visite du Palais d’Iéna, bâtiment iconique du patrimoine français et siège du Conseil économique, social et environnemental (CESE). Cette opportunité unique pour ces élèves est rendue possible grâce au partenariat fructueux établi en 2014 entre le CESE et le SNBPE. Le Palais d’Iena, bâtiment de 82 ans, est l’illustration parfaite des atouts du béton : performance, durabilité, réversibilité des ouvrages… En effet, cet édifice iconique a été conçu à Paris en 1939, à l’origine, pour accueillir un musée des travaux publics. Devenu palais de la République en 1959 en accueillant le siège du Conseil économique, il est considéré comme le chef-d’œuvre de l’architecte Auguste Perret. Au cours de cette journée de découverte, les lycéens pourront visiter le Palais d’Iéna et assisteront à une présentation architecturale de l’édifice. Le SNBPE animera un atelier sur le thème « le Béton dans le patrimoine durable » et un membre du CESE présentera aux lycéens l’institution et son fonctionnement.
Il y a 2 ans et 241 jours

Une réforme des retraites via le budget, la "piste" qui crispe

La fin justifie les moyens, et "toutes les pistes sont à l'étude" pour faire passer la réforme des retraites, y compris "à travers le projet de loi de financement de la Sécurité sociale", a fait savoir Olivier Véran mercredi.Le porte-parole du gouvernement n'a au fond rien dit de plus que le chef de l'Etat, qui avait indiqué en début de semaine que seul comptera le résultat - "les choses importent peu" - tant que sa promesse de campagne entre en vigueur "dès 2023".Tenté d'agir vite, l'exécutif insiste non seulement sur les déficits à venir - pendant encore 25 ans au moins, selon le dernier rapport du Conseil d'orientation des retraites - mais aussi sur la manne potentielle pour investir dans l'école, la santé et l'écologie.Or, l'occasion se présente avec le budget de la Sécu, qui doit être présenté en conseil des ministres le 26 septembre. Le choix serait inédit : depuis 30 ans, les grandes réformes des retraites sont toutes passées par une loi ad hoc (Balladur, Fillon, Woerth, Touraine).Mais rien ne l'empêche a priori. Deux parlementaires spécialistes des affaires sociales assurent ainsi à l'AFP qu'une "réforme paramétrique" serait "tout à fait faisable" dans ce cadre, même si sa mise en oeuvre dépasse l'horizon du budget 2023.Un report de l'âge légal, ou un allongement de la durée de cotisation, ne serait donc pas considéré comme un "cavalier législatif", sous la menace d'une censure du Conseil constitutionnel.Libre dès lors au gouvernement d'abattre ses cartes dans le texte initial, avec une évaluation détaillée dans l'étude d'impact du projet de loi, ou dans un amendement introduit pendant les débats. Voire de solliciter une habilitation à légiférer par ordonnance pour se donner plus de temps."Passage en force"Autant d'hypothèses qui font frémir les syndicats. "Il faudra qu'on surveille ce budget au quart de millimètre", pressent Pascale Coton (CFTC), qui "ne s'attendait pas à ce que ça bouge aussi vite" sur ce dossier.Si ce scénario se confirme, "ce sera du passage en force", estime-t-elle, et "il ne faudra pas qu'ils s'étonnent que les gens descendent dans la rue"."Le risque de conflit social est majeur", affirme Catherine Perret (CGT), qui dénonce "une provocation de plus", alors que "toutes les organisations syndicales sont contre" le projet de l'exécutif.La réunion prévue lundi avec le ministre du Travail, Olivier Dussopt, promet déjà d'être animée. "Si les décisions sont déjà prises, les concertations vont s'arrêter assez vite, et pas que sur les retraites", prévient Michel Beaugas (FO), qui envisage déjà de "construire un rapport de force"."A force de petites provocations qui s'ajoutent, on pourrait très bien décider avec d'autres organisations que c'est le moment d'appeler les salariés à manifester leur mécontentement dans la rue", insiste-t-il."Puisque le gouvernement ne s'interdit rien, nous non plus", met en garde Dominique Corona (Unsa), jugeant qu'une "mesure brutale" sur les retraites "mettrait du plomb dans l'aile" du Conseil national de la refondation (CNR), lancé la semaine dernière par le président de la République."On ne peut pas passer en force dans le budget de la Sécu et vouloir une discussion approfondie dans le cadre du CNR", souligne Yvan Ricordeau (CFDT). Pour le nouveau négociateur retraites du premier syndicat français, "il ne peut pas y avoir les deux" et "clairement, on ne jouera pas les deux".
Il y a 2 ans et 241 jours

Nouvelle édition pour Les Rendez-Vous de la Matière

Le rendez-vous annuel dédié aux professionnels de l’architecture, du design et de l’aménagement intérieur. Grâce à un positionnement atypique croisant des matériaux d’exception et des solutions industrielles, les RENDEZ-VOUS DE LA MATIÈRE + FAIR(E), sont devenus un acteur immanquable de la prescription. Au fil des années le salon s’est démarqué en créant une synergie des différents réseaux – industriels, artisans, designers… promesse de forte valeur ajoutée pour les visiteurs prescripteurs. La collaboration de MVRDV à cette 8e édition souligne l’importance des RENDEZ-VOUS DE LA MATIÈRE + FAIR(E)  sur la scène architecturale. Cette 8e édition se tiendra à l’Atelier Richelieu à Paris, hôtel particulier et ancienne imprimerie du magazine “L’illustration” les 11 et 12 octobre prochain. Deux jours de rencontres autour d’un concept scénographique immersif © Sophia Goigoux-Becker Le format de l’événement permet d’associer un lieu hors du commun au dynamisme d’un salon professionnel grâce une scénographie immersive. MVRDV et Sophia Goigoux-Becker déclineront des modules aux formes géométriques et architecturales créant ainsi une géographie harmonieuse valorisant la découverte des matériaux et les rencontres. La scénographie immersive viendra stimuler l’imagination, révéler les potentialités des matières et mettre en valeur l’excellence des concepteurs exposants. À l’occasion des RENDEZ-VOUS DE LA MATIÈRE + FAIR(E), venez rencontrer et assister aux conférences et tables rondes en présence de grands noms de l’architecture, du design et de l’industrie. >> Découvrez le programme de toutes les conférences  
Il y a 2 ans et 241 jours

Foire foraine d’art contemporain au CENTQUATRE-PARIS

La foire foraine d’art contemporain transforme le CENTQUATRE-PARIS  (Paris XIXe) en parc d’attractions artistiques, cinq après que la fête foraine soit inscrite à l’inventaire immatériel français. Jusqu’au 29 janvier 2023. Pendant près de cinq mois, le CENTQUATRE-PARIS devient un véritable parc d’attractions artistiques au sens littéral du terme : nous attirer, créer du désir et […] L’article Foire foraine d’art contemporain au CENTQUATRE-PARIS est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 241 jours

Un plan de sobriété énergétique bientôt annoncé pour la ville de Paris

La maire de Paris Anne Hidalgo dévoilera "dans les prochains jours" son plan de sobriété énergétique pour la capitale, a indiqué mercredi son adjoint à la transition écologique.
Il y a 2 ans et 241 jours

SEMIN présent au salon ARCHITECT@WORK   à Paris le 22 et le 23 septembre prochain au Paris event center

Industriel français spécialisé dans la fabrication de matériaux de construction, SEMIN est une entreprise familiale créée en 1838 dirigée par la sixième génération. Devenue ETI, l’entreprise a su s’imposer comme l’un des spécialistes mondiaux des solutions pour l’aménagement intérieur de l’habitat. La société dont le coeur de métier est la fabrication d’enduits, propose de nombreuses […]
Il y a 2 ans et 241 jours

Interclima 2022 – Venez découvrir et tester nos nouveautés 2022

 Le spécialiste en matériels de ventilation, climatisation, et chauffages aérauliques  Axelair, le spécialiste en matériels de ventilation, climatisation, et chauffages aérauliques sera présent à Interclima du 3 au 6 octobre 2022, à Paris Expo Porte de Versailles – Pavillon 3, Stand M090.  Notre équipe vous accueillera sur notre stand afin de vous présenter les grands succès de […]
Il y a 2 ans et 241 jours

Dans les archives d'AMC : 1995, Christian de Portzamparc à l'épreuve du temps

Concevoir "une architecture qui ne soit pas datable". C'est ce que revendiquait Christian de Portzamparc dès ses débuts, dans les années 1970. En 1995, alors que s'achève enfin la Cité de la Musique à Paris -dix ans après sa conception par l'architecte, la rédaction d'AMC prend la mesure de cette profession de foi […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 242 jours

La santé des quartiers populaires, enjeu du renouvellement urbain

En présentant lundi 12 septembre la démarche "Quartiers résilients" qui vise à favoriser l'adaptation des quartiers populaires au réchauffement climatique, le ministre délégué à la Ville et au logement Olivier Klein a aussi évoqué la prise en compte de la santé."Un quartier résilient, c'est aussi un quartier qui aide ses habitants à rester en bonne santé, qui lutte contre la pollution, qui permet l'activité physique, qui promet la pratique des sports de chacun, des petites filles et des petits garçons jusqu'aux seniors", a-t-il déclaré.Aux Journées nationales de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru) à Paris, un atelier était consacré à "l'urbanisme favorable à la santé"."Le Covid a précipité (cette prise de conscience), avec un nombre de morts extraordinaire dans les quartiers prioritaires", a expliqué Luc Ginot, directeur santé publique à l'Agence régionale de santé d'Ile-de-France.Car les habitants des quartiers prioritaires sont en moyenne en plus mauvaise santé que les autres.Selon la dernière Enquête santé et protection sociale, qui remonte à 2014, ils étaient moins nombreux à déclarer un bon état de santé en général que le reste de la population (54% contre 69%).Ils étaient aussi plus fréquemment en surpoids ou obèses, et plus nombreux à avoir renoncé dans l'année à se soigner pour des raisons financières (40% contre 26% hors quartiers prioritaires).Et pourtant, le problème est encore peu pris en compte dans le renouvellement urbain, déplore Alain Gaulon, secrétaire confédéral de la Confédération nationale du logement (CNL), qui représente des locataires de logements sociaux. "A chaque fois que je vois passer un projet Anru, on parle toujours des commerces, éventuellement de services publics si on est dans une ville qui y est attachée, mais la santé n'est pas prise en compte."Bruit et pollution"Il y a des leviers qui vont être de l'ordre de l'aménagement des espaces publics, comment on travaille sur le confort acoustique, l'îlot de chaleur urbain", égrène Stéphanie Gaucher, architecte urbaniste au cabinet Inddigo, qui travaille avec l'Anru sur la transition écologique.Par exemple, à Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), le nœud du problème est la route nationale 1, très fréquentée, qui traverse le quartier Joncherolles-Fauvettes, dont les habitants subissent le bruit et la pollution."Il est montré que le bruit, notamment la nuit, génère des complications du sommeil, crée de la fatigue et des troubles psychiques à terme", explique Colin Debroise, chef de projet renouvellement urbain à l'intercommunalité Plaine Commune dont fait partie Pierrefitte.Le renouvellement urbain va donc consister à "aménager les espaces verts présents sur le quartier, repenser la question de l'isolation phonique des équipements et des logements qui seront le long de la RN1, améliorer la ventilation des logements qui sont exposés à des polluants", détaille-t-il.Et aussi à promouvoir les mobilités actives, avec des infrastructures cyclables, afin de diminuer la pollution et de lutter contre la sédentarité.A Dunkerque (Nord), ville industrielle, dans une opération de démolition-reconstruction, certains bâtiments vont être reconstruits avec une orientation légèrement différente, pour faire barrage aux vents chargés de particules polluantes et éviter qu'ils ne pénètrent dans le quartier.Reste le défi du curatif : attirer des médecins."On peut faire des locaux, mais les locaux ne sont pertinents qu'à partir du moment où il y a un projet santé, avec des professionnels", craint Gilles Leproust, président de l'association d'élus Ville et Banlieue et maire (PCF) d'Allonnes (Sarthe).Or, "il y a une pénurie de médecins généralistes". Et attirer dans les quartiers populaires des médecins qui manqueront ailleurs reviendrait, dit-il, à "déshabiller Jacques pour habiller Paul".
Il y a 2 ans et 242 jours

Pression de toutes parts sur les prix de l'immobilier neuf en France

En effet, malgré cette hausse générale des prix observée par le portail Trouver-un-logement-neuf.com, spécialiste de l’immobilier neuf, l’appétence pour les appartements neufs, pour investir notamment, ne se dément pas, avec un regain d’intérêt pour les grandes villes.L’offre continue de se réduire150 villes comptaient au moins cinq programmes neufs en commercialisation début 2021, elles étaient ensuite 141 en septembre 2021, elles ne sont plus que 127 précisément un an plus tard. Confirmation donc que l’offre de logements neufs continue de se tarir partout dans l’hexagone, d’après les données du site dédié à l’immobilier neuf, Trouver-un-logement-neuf.com.Ce recul continu de l’offre depuis 2018 est un des éléments qui joue sur la hausse des prix de l’immobilier neuf. Ce sont désormais 4 villes sur 5, contre 3 sur 4 il y a un an qui affichent des hausses de prix sur le trois pièces, typologie de référence de ce baromètre. Moins d’une trentaine de villes enregistrent un recul des prix en ce mois de septembre 2022. Des évolutions à la baisse d’ailleurs moins importantes que pour les hausses.Une hausse équivalente à l’inflation ?Le prix moyen d’un trois-pièces a ainsi augmenté de + 3,56% en six mois, pour une inflation sur un an de + 6,5% à fin août, selon l’Insee. En cette rentrée 2022, il faut donc compter en moyenne 315.560 € pour acheter un trois-pièces dans le neuf en France. Cela représente environ 10.000 € de plus qu’il y a six mois pour un T3, surface de référence dans la promotion immobilière.Pour Céline Coletto, porte-parole de Trouver-un-logement-neuf.com : « Le marché du logement neuf subit des pressions de toutes parts, ce qui se traduit indubitablement sur les prix. L’offre qui peine toujours à se rétablir et la crise de l’énergie, les pénuries de matériaux, le manque de main d’œuvre… ne peuvent que peser sur les coûts de construction et donc sur le prix final des appartements neufs. »Dans le détail, cela se traduit par des hausses de prix jusqu’à + 41 % à Anglet.Forte pression sur la BABAprès Bayonne à la rentrée 2021, c’est une autre ville de la célèbre conurbation des Pyrénées-Atlantiques, Bayonne/Anglet/Biarritz = BAB, de devenir la ville où les prix du neuf ont le plus augmenté au cours des six derniers mois. En effet, Anglet affiche la plus forte progression de ce baromètre : + 41% en six mois à 503.000 € le trois-pièces en moyenne. Un prix de mise en vente moyen d’un T3 qui fait entrer la localité dans le Top 3 des villes les plus chères de France. La cité basque compte pourtant une quinzaine de programmes neufs en commercialisation sur le portail mais seuls deux programmes immobiliers proposent des prix moyens sous les 400.000 € le T3.Paris, ville la plus recherchéeAprès de fortes hausses l’an dernier à la même période, certaines grandes villes font tout de même leur retour parmi les plus fortes baisses : Lille, mais aussi Nice, Lyon, Reims, La Rochelle... Même Paris affiche un prix moyen du trois-pièces en légère diminution ces derniers mois. Pour rappel, en septembre 2021, le prix moyen dans la capitale était à presque 856.000 € le trois-pièces. Cela représente une baisse d’environ - 2,7% en un an, soit 23.000 € de moins en douze mois.Est-ce cette baisse des prix qui explique le retour de la capitale en tête des villes les plus recherchées par les internautes sur le portail Trouver-un-logement-neuf.com ces derniers mois ? En tout cas, avec une hausse du T3 de presque + 12%, en six mois, Toulouse, berceau de l’investissement locatif, délaisse sa pole position. Elle est même devancée par Lille qui profite, elle, d’une forte baisse des prix : - 8% à 300.000 € le T3. Ces grandes villes bénéficient peut-être du regain des requêtes dédiées à l’investissement, qui a de nouveau grimpé de 2,5 points en un an sur le portail dédié au logement neuf.Inédit : une commune du 93 parmi les villes les plus chères de FranceParmi les villes les plus chères de l’hexagone, derrière Paris, on a l’habitude de retrouver uniquement des villes des Hauts-de-Seine. Pourtant, cette rentrée 2022 change la donne. Si Anglet se place donc en troisième position, il faut aussi noter l’arrivée, pour la première fois, d’une commune de Seine-Saint-Denis dans ce classement. En effet, avec les localités altoséquanaises de Boulogne-Billancourt et Rueil Malmaison, c’est Saint-Ouen-sur-Seine dans le 93 qui truste ce Top 5 avec un prix moyen à 478.200 € le trois-pièces, malgré une baisse de presque - 4% en six mois.Parmi le Top 5 des villes les plus accessibles pour acheter dans le neuf, il faut noter l’arrivée de La Roche-sur-Yon en Vendée sur le podium en raison de la plus forte baisse des prix enregistrée lors des six derniers mois : - 14% à 201.000 € le T3. Pau et Perpignan sont les deux seules communes à parvenir à proposer un trois-pièces à moins de 200.000€ en moyenne. A noter l’écart de prix entre Anglet et Pau, deux villes du même département des Pyrénées-Atlantiques à une centaine de kilomètres l’une de l’autre. On peut ainsi acheter 2,5 appartements neufs à Pau pour le prix d’un seul à Anglet.ConclusionLes implications du ZAN, Zéro Artificialisation Nette et le manque de foncier qui devrait en découler, les conséquences de l’entrée en vigueur de la nouvelle réglementation environnementale, RE 2020, qui va se traduire dans les prix des futurs programmes neufs prochainement en commercialisation sont des éléments qui vont encore peser sur les coûts pour devenir propriétaire dans le neuf. Le tout dans un contexte de remontée des taux d’intérêt. Alors quid de l’évolution des ventes ?Comme la loi Pinel va connaître un recadrage à compter du 1er janvier 2023, on pourrait imaginer une reprise des ventes aux investisseurs en cette fin d’année : mais pour l’heure, les ventes du deuxième trimestre sont toujours en recul de plus de 20% en comparaison de la période pré-Covid, d’après les chiffres du ministère.Consulter ici le prix de l’immobilier neuf ville par ville.Méthodologie : une méthode de calcul en temps réel Le prix moyen actuel de l’immobilier neuf en France a été calculé le lundi 12 septembre 2022 pour un appartement neuf de trois-pièces, selon les prix indiqués chaque jour par les annonceurs du site Trouver-un-logement-neuf.com : sur une base minimale de 5 programmes immobiliers neufs différents pour chaque localité, soit plusieurs dizaines de prix de logements neufs comparés.
Il y a 2 ans et 242 jours

Paris va éteindre ses bâtiments publics à 22h et baisser le chauffage de ses édifices

TRANSITION. Face à l'envolée des prix de l'énergie, la capitale annonce plusieurs mesures importantes pour baisser sa facture d'électricité. L'extinction de l'éclairage de la Dame de fer se fera notamment plus tôt.
Il y a 2 ans et 242 jours

A Paris, des bureaux transformés en logements avec façades en paille

EN IMAGES. L'agence d'architecture NZI a mené pour Paris Habitat une opération de réhabilitation lourde consistant en la transformation d'un immeuble de bureaux en résidence pour étudiants, avec remplacement de la façade par des murs à ossature bois isolés en paille.
Il y a 2 ans et 242 jours

La CAPEB, IRIS-ST et KNAUF renouvellent leur partenariat afin d’accélérer la rénovation énergétique et sensibiliser les professionnels du bâtiment aux risques sur les chantiers

#Bâtiment / #Partenariat / #Formation / #Isolation / #RénovationEnergétique Paris, le 8 septembre 2022 – La Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB), via sa filiale Béranger Développement, l’Institut de Recherche et d’Innovation sur la Santé et la sécurité au Travail (IRIS-ST), et KNAUF, leader des produits d’isolation thermique et acoustique et […]
Il y a 2 ans et 243 jours

Sobriété énergétique : la chasse au gaspi des communes pour limiter la facture

Éclairage publicEn réduisant dès l'automne l'éclairage nocturne de la Tour Eiffel et des bâtiments municipaux de la capitale, dont l'emblématique Hôtel de Ville, Paris veut "donner l'exemple", a justifié la maire Anne Hidalgo, qui entend investir 286 millions d'euros dans la rénovation de l'éclairage public pour le rendre 60% moins énergivore qu'un quart de siècle plus tôt.Lille, qui a cessé d'éclairer les bâtiments publics la nuit, sauf sur la Grand'Place et la place de l'Opéra, ce qui lui permettra selon elle d'économiser 170.000 kWh par an, l'avait devancée début septembre. Marseille a acté une mesure similaire avec l'extinction des feux à 23h30, et à 22h30 en hiver, pour ses 140 monuments, avec Notre-Dame-de-la-Garde pour seule exception. La mairie de Toulon veut atteindre le même objectif "le plus vite possible".Depuis juillet 2021, l'emblématique citadelle Vauban de Besançon n'est plus éclairée systématiquement la nuit "pour baisser la consommation d'énergie, préserver la biodiversité et limiter la pollution lumineuse", selon la maire Anne Vignot.Les mêmes raisons sont invoquées par la ville de Montpellier, qui a validé et accentué en avril une expérimentation d'extinction de l'éclairage public sur cinq axes routiers.Les grandes villes ne sont pas les seules à éteindre la lumière : ainsi en Nouvelle-Aquitaine, Libourne, Saint-Sever ou le Syndicat Énergies Vienne, qui gère le service public de l'énergie dans 220 communes rurales du département, ont décidé de s'en priver la nuit.Ces mesures de rationnement s'accompagnent généralement du remplacement annoncé des ampoules par du LED.Température des bâtimentsLille avait marqué les esprits en annonçant une baisse de température de 2 degrés - de 20 à 18 - dans deux musées, une baisse équivalente de la température de l'air et de l'eau dans les piscines municipales, ou encore deux heures de chauffage en moins en fin de journée dans les salles de sport.Là aussi, Paris a emboîté le pas en annonçant une baisse généralisée d'un degré de tous les bâtiments ne recevant pas un public vulnérable (Ehpad et crèches). Le début du chauffage, désormais fixé à 18°C, sera repoussé à la fois le matin, d'une demi-heure, et dans l'automne, d'un mois.À Lyon, la Métropole a arrêté à 19°C la consigne de chauffe cet hiver dans son patrimoine pour faire face au doublement anticipé (de 55 à 100 millions d'euros) des coûts de l'énergie en 2023.La même température vaudra pour les communes rurales de la Vienne, avec un système de bonus/malus pour récompenser les municipalités les plus économes, et à Marseille, qui a par ailleurs fixé à 26°C le palier pour la climatisation l'été dans ses locaux.À Libourne, le maire Philippe Buisson a carrément décidé "de ne quasiment plus chauffer les gymnases", maintenus à... 10 degrés, sauf pour les douches et les vestiaires.Fermeture des piscinesComme Lille, la mairie de Toulon a prévu de baisser la température de l'eau de ses piscines de deux degrés, de 28°C à 26°C, "sauf pour une piscine qui accueille des maternelles et des bébés", et réfléchit également à des fermetures "ponctuelles" de ces établissements énergivores, par exemple lors des vacances scolaires.Si Paris n'envisage cette option qu'en "dernier recours", sa voisine Issy-les-Moulineaux a franchi le pas cet été, en fermant la plus énergivore de ses deux piscines, pour lesquelles l'envolée des prix de l'énergie représente un surcoût de 400.000 euros par an.Lille a également annoncé que deux fontaines municipales ne seraient pas remises en fonctionnement pour économiser l'eau et l'énergie. Les annonces de ce type vont se poursuivre dans les prochains jours, avec des plans d'économies attendus par exemple à Toulouse et Grenoble.
Il y a 2 ans et 243 jours

Architecture, NFT et métaverse ou le cynisme ordinaire

Depuis avril 2022, la Cité internationale de Paris a mis en vente des dessins en NFT d’un projet d’architecture virtuelle de Jean-Michel Wilmotte, vendu comme le projet de la Maison de l’Ukraine. Un colon à suivre dans le métaverse ? Si les mondes virtuels existent depuis la naissance de la science-fiction, et que nous sommes habitués […] L’article Architecture, NFT et métaverse ou le cynisme ordinaire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 243 jours

Point.P poursuit le développement de ses agences éco-responsables

ENGAGEMENT. A l'instar des agences parisiennes de Javel et du Point du jour, l'agence Point.P du Plessis-Pâté (91) a été pensée en tenant compte des particularités territoriales afin de proposer un concept respectueux de l'environnement.
Il y a 2 ans et 243 jours

Le gouvernement veut verdir la politique de la ville

"Je veux une revue de projet, de tous les projets existants, en 2023, sous l'égide des préfets", a déclaré le ministre lors des journées de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru) à Paris."Ils devront réexaminer tous les projets, car parfois, il suffit de pas grand-chose, de se reposer les bonnes questions : est-ce que la cour de l'école que l'on rénove peut être moins bitumée? Est-ce que la couleur de l'immeuble que l'on réhabilite reflétera ou absorbera moins ou plus les rayons du soleil ?", a détaillé M. Klein qui présidait l'Anru avant d'entrer au gouvernement.Nommée "Quartiers résilients", la démarche s'accompagnera d'investissements dans une cinquantaine de "territoires-pilotes". "Je veux que l'on trouve dans ces quartiers les meilleures innovations en matière de végétalisation, en matière de récupération des eaux usées, de chauffage performant...", a égrené le ministre.Ces investissements, d'un montant de 100 millions d'euros, seront pris sur les 12 milliards déjà affectés par l'Anru au Nouveau programme national de rénovation urbaine (NPNRU) qui couvre la période 2014-2030. "Ils permettront d'orienter une partie des crédits restants (...) pour innover et expérimenter", précise-t-on dans l'entourage du ministre.L'été caniculaire, le deuxième plus chaud jamais enregistré selon Météo-France, a particulièrement affecté les habitants des quartiers prioritaires Politique de la ville, selon un sondage Harris Interactive commandé par l'Anru et publié lundi.Les habitants des quartiers prioritaires sont plus nombreux que le reste des Français à déclarer avoir souffert de la chaleur cet été (76% contre 70%), à avoir mal dormi à cause de la chaleur (74% contre 69%), et nettement plus nombreux à avoir eu des difficultés à trouver un endroit où se mettre au frais (62% contre 48%).L'urbanisme de ces quartiers laisse souvent peu de place à la nature et provoque des îlots de chaleur; et les logements y sont parfois moins bien protégés qu'ailleurs contre la chaleur."J'émets donc le voeu que cette démarche ne soit qu'une première étape d'un projet plus vaste et plus ambitieux, un projet plus large qu'on appellerait Quartiers 2030", a ajouté Olivier Klein, en écho au plan d'investissements promis par Emmanuel Macron dans l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle.
Il y a 2 ans et 243 jours

Crise énergétique : extinction des feux à 22h Paris

Anne Hidalgo a présenté ce mardi 13 septembre, le "plan d'urgence pour la sobriété" de Paris, destiné à abaisser encore la consommation...
Il y a 2 ans et 243 jours

Mewa pour la première fois au salon BATIMAT : Louer ses vêtements professionnels plutôt que les acheter

Déléguer les tâches d’organisation dès que c’est possible génère des ressources supplémentaires. Alors, pourquoi ne pas confier l’habillement de ses collaborateurs à un prestataire de services textiles ? Mewa présentera pour la première fois au salon BATIMAT 2022 à Paris (stand 4 — FO74) le concept de Textilsharing (textiles en partage) qui permet à la […]
Il y a 2 ans et 243 jours

Mars Architectes révèle un "Paris caché" en coeur d'îlot

EN IMAGES. 14 logements bois en coeur d'îlot dans le 12e arrondissement de Paris. C'est le projet dessiné par Mars Architectes pour Gecina et livré en 2020. Les concepteurs ont fait appel à la préfabrication bois pour faciliter l'intervention en coeur d'îlot.
Il y a 2 ans et 244 jours

Face à la crise énergétique, les piscines de Paris seront fermées "en dernier recours"

La fermeture partielle ou totale des piscines, équipements très énergivores, "sera le dernier recours si on n'a pas d'alternatives", a répondu Pierre Rabadan, interrogé par l'AFP sur cette éventualité après l'annonce lundi par la maire PS Anne Hidalgo, lors d'un séminaire de rentrée, de la nécessité d'économiser 250 millions d'euros pour boucler le budget. Le même jour, une trentaine de piscines publiques françaises gérées par l'exploitant privé Vert Marine fermaient brutalement, l'entreprise affirmant ne plus pouvoir faire face à l'augmentation des prix de l'énergie.Parmi celles-ci, l'espace Pailleron (XIXe), nouvellement exploité par Vert Marine, est resté fermé jeudi, jour de sa réouverture programmée.La mairie "a été mise devant le fait accompli, on est clairement sur une position de chantage", fustige Pierre Rabadan pour qui "d'autres solutions étaient possibles" et qui garde l'objectif de faire rouvrir "dans les meilleurs délais" l'équipement sportif.Pour les piscines qu'elle gère directement, la mairie n'envisage "pour l'instant" pas de réduction d'horaires voire de fermeture "parce qu'on tient aux équipements sportifs", affirme l'élu en rappelant que la Ville bénéficie d'un "coût de l'électricité encadré jusqu'à fin 2023"."Mais si la crise devait durer plusieurs mois, la question devrait se poser à un moment", prévient l'ancien rugbyman qui anticipe des "surcoûts massifs de plusieurs dizaines de millions d'euros" pour la ville.En attendant, la mairie cherche des solutions pour "diminuer la consommation énergétique des équipements sportifs, en particulier des piscines", explique-t-il.Outre les travaux lourds, des aménagements "à plus court terme" vont être entrepris pour améliorer la "régulation de la température en fonction de la température extérieure", la conservation de la chaleur ou encore la filtration de l'eau, détaille M. Rabadan.Paris compte 42 piscines publiques, la grande majorité en régie et trois, dont Pailleron, en délégation de service public (DSP).Les élus parisiens doivent par ailleurs débuter le 15 septembre les discussions avec les organisations syndicales des maîtres-nageurs, dont les grèves spontanées ont engendré des fermetures inopinées de piscines depuis plusieurs mois.Selon Pierre Rabadan, 3 à 4 piscines se sont retrouvées fermées en moyenne par jour en juillet, puis 1 à 2 en août. Mais avec 300.000 visiteurs en juillet, les piscines parisiennes ont retrouvé des niveaux de fréquentation pré-Covid, se réjouit la mairie.
Il y a 2 ans et 244 jours

Plusieurs manifestations pour l'accès au logement réclament le classement de la Bretagne en zone tendue

Entre 350, selon la préfecture, et 500 personnes, selon les organisateurs, ont défilé dans Douarnenez. Ils étaient une centaine à Concarneau et environ 400 à Vannes, selon les préfectures du Finistère et du Morbihan.Certains manifestants portaient des pancartes "Vue sur mer pour les précaires" ou encore "Que ferais-je sans toit ?", selon un photographe de l'AFP."Nous voulons l'application du dispositif de zone tendue aux villes qui le réclament (...) afin de débloquer plusieurs leviers publics pour produire des logements à prix abordables", a expliqué à l'AFP Maxime Sorin, membre du collectif "Droit à la ville Douarnenez".Le classement en "zone tendue", accordé par décret, permet notamment aux municipalités d'imposer une fiscalité complémentaire sur les logements vacants et les résidences secondaires, une régulation des locations touristiques de courte durée et un encadrement des loyers."Aucune commune de Bretagne n'est placée en zone tendue, ça cristallise le mécontentement. Les élus et les citoyens sont démunis face à folie spéculative immobilière. (...) Les acheteurs locaux ne peuvent plus suivre", a réagi Gaël Roblin, membre du collectif costarmoricain "Tregor Argoat Goelo Zone Tendue".Pour expliquer le phénomène, ce conseiller municipal d'opposition à Guingamp (Côtes-d'Armor) cite la multiplication des résidences secondaires, "qui s'est accélérée pendant le Covid", les déménagements de résidents venus de Rennes, Nantes et de la région parisienne, "avec un pouvoir d'achat important", ainsi que le développement de la location courte durée."Les salariés du littoral sont donc repoussés très loin à l'intérieur des terres, avec des temps de trajet démesurés", a estimé M. Roblin.