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Résultats de recherche pour auvergne

(726 résultats)
Il y a 3 ans et 146 jours

Elcia partenaire de Batigital pour accompagner les professionnels Menuiserie, Store, Fermeture dans leur digitalisation

Initié par l’Etat et France Relance, et financé par France Num en partenariat avec BPI France, ce programme de formations gratuites à la transformation digitale s’adresse aux petites et moyennes entreprises du bâtiment. Après le succès de la 1ère session dans les locaux d’ELCIA, trois nouvelles dates sont disponibles dans différentes régions pour tous les utilisateurs de ProDevis.« ELCIA est au coeur de la digitalisation des professionnels du secteur Menuiserie, Store, Fermeture depuis plus de 20 ans avec ProDevis. Cette initiative avec BATIGITAL permet à nos utilisateurs de mieux appréhender les outils digitaux indispensables à leur visibilité et leur développement, tout en redécouvrant les actions concrètes qu’ils peuvent mettre en place avec ProDevis comme l’envoi d’e-mails ou de sms » Clémence VERT, Chef de Projets Marketing BU RevendeursRéussite pour la 1ère session BATIGITAL dans les locaux d’ELCIACe sont 15 utilisateurs ProDevis de la région Rhône Alpes-Auvergne qu’ELCIA a réunis le 22 novembre pour la 1ère session BATIGITAL dans ses locaux près de Lyon.Chacun a ainsi pu passer une journée avec Stéphanie GERIFAUD, formatrice BATIGITAL, pour obtenir toutes les clés pour déployer des actions digitales concrètes et booster la visibilité de son entreprise. Parmi les thématiques abordées :Gérer son compte GoogleMyBusinessAnimer ses réseaux sociaux (Facebook, LinkedIn, Instagram)Gérer ses avis clientsÊtre présent localement sur le webIls sont menuisiers et ont suivi la formation BATIGITAL :David GESTIN – FERMETURE ECON’HOME« Notre secteur est concurrentiel avec des clients qui vont de plus en plus sur internet pour regarder les avis sur l’entreprise et son actualité. Les outils digitaux vont nous permettre de rassurer notre clientèle à ce niveau-là : nous avons notre site internet qui est la vitrine de l’entreprise et nous travaillons également sur les avis clients. Nous avions besoin d’en apprendre plus sur le digital pour continuer à nous développer. La formation BATIGITAL nous permet de voir les différents outils digitaux qui existent afin d’améliorer notre façon de communiquer auprès de nos clients. » Laurent CHEVALIER – FENETRES ET HABITAT« Le digital fait partie intégrante de la manière de consommer du particulier : avant d’acheter, il va avoir le réflexe de regarder les avis Google ou Facebook. En tant que PME, j’utilise le digital comme une vitrine. Un client est plus important qu’une vente et nous avons besoin du digital pour soigner nos clients et avoir de bonnes notes et de bons avis. Le COVID m’a permis d’investir dans mon site internet qui était devenu vétuste. La formation BATIGITAL me permet de découvrir des nouveautés que je ne connaissais pas. C’est très important d’être accompagné sur le digital parce qu’il est au coeur du développement des entreprises. Pour le développement personnel d’un chef d’entreprise, c’est hyper important d’être toujours à l’affût et de savoir si on est efficace dans les actions que l’on met en place. »Stéphanie GERIFAUD – Formatrice BATIGITAL« Le digital est un reflexe chez le particulier. Dans le milieu du bâtiment, même si le bouche-à-oreille fonctionne encore beaucoup, le particulier va quand même aller se renseigner sur Google ou les réseaux sociaux, voir si la société existe bien, son image, ce qu’elle inspire. Le particulier a besoin d’être rassuré. Le digital va aussi aider au recrutement, un axe primordial pour les entreprises du secteur. Elle se doivent de séduire et d’être attractives. Le secteur de la Menuiserie est déjà assez avancé en termes de communication. Les formations BATIGITAL s’adapte à chaque personne. L’idée est que chacune, quel que soit son degré d’avancement digital, reparte avec des clés pour évoluer dans sa communication, avec des parties opérationnelles, pendant lesquelles nous regardons ensemble leurs supports digitaux, on échange des bonnes pratiques, on donne des conseils pour s’améliorer. »Trois nouvelles sessions prévues dans différentes régionsLa réussite de la 1ère session dans les locaux d’ELCIA donne le coup d’envoi de trois nouvelles dates prévues dans différentes régions de France :Le 7 février à BordeauxLe 7 mars à NantesLe 4 avril à NiceTous les utilisateurs de ProDevis intéressés par une formation BATIGITAL peuvent s’inscrire dès maintenant en cliquant ici : www.elcia.com/batigital
Il y a 3 ans et 147 jours

Partenariat entre Vicat et Léon Grosse

De gauche à droite : Guy Sidos, président du groupe Vicat, et Lionel Christolomme, président du directoire de Léon Grosse. [©Vicat] Vicat et Léon Grosse ont signé un partenariat« pour répondre aux enjeux de la construction d’aujourd’hui et de demain ». Fortes d’une culture d’entreprise familiale et de valeurs communes, les deux sociétés misent sur la complémentarité de leurs expertises. Elles sont toutes deux originaires de la région Auvergne – Rhône-Alpes, avec une forte implication dans le tissu industriel local. Les deux entités s’engagent dans un partenariat qui se décline autour de 3 volets. A savoir l’innovation, l’environnemental et le sociétal.  Un ancrage régional fort « Nous sommes fiers de nous associer à l’entreprise Léon Grosse, une organisation familiale telle que la nôtre qui s’engage en faveur des territoires et de l’environnement, précise Guy Sidos, président du groupe Vicat. Ce partenariat vient consolider notre collaboration de long terme pour construire ensemble l’habitat d’aujourd’hui et de demain. » Et Lionel Christolomme, président du directoire de Léon Grosse, de conclure : « Notre passion pour la technique nous a toujours poussés à innover pour nos clients, notamment sur les matériaux et les structures béton. Ce partenariat entre deux entreprises qui partagent les mêmes valeurs, le même ancrage régional et la même culture d’entreprise familiale vient renforcer notre volonté d’agir chaque jour en bâtisseur responsable. Ceci, pour faire face aux enjeux environnementaux et sociétaux ».
Il y a 3 ans et 152 jours

Rhône : BML se met au vert

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Les bétons BML Green sont proposés à partir de la plupart des centrales du groupe de BPE lyonnais éponyme. [©BML] A la tête de 24 centrales, Bétons des Monts du Lyonnais (BML) est le premier acteur indépendant du BPE de la région Auvergne – Rhône-Alpes. Et, à ce titre, se doit de se montrer exemplaire. Ainsi, la terminologie “bas carbone” n’est pas qu’une simple expression… « Nous travaillons de longue date avec le laitier Ecocem pour formuler nos bétons »,explique Alexandre Bellier, responsable qualité de l’entreprise. Le matériau est utilisé en addition. La concentration à 30 % donne naissance au béton à empreinte carbone réduite BML Green. A 50 %, on passe au BML Green +, un béton d’ingénierie comme le définit la norme NF EN 206/CN. « Ces deux formulations constituent l’essentiel des demandes en matière de bétons bas carbone. » Enfin, le BML Green Premium est le haut de gamme de l’offre. Là, l’industriel propose une approche performantielle, donc une formulation sur mesure avec un dosage en laitier oscillant entre 55 et 60 %. Côté ciments, BML fait appel à quelque trois fournisseurs et utilise en majorité des CEM I et CEM II comme base de ses formulations.  Lire aussi les autres actualités en région « L’attente “bas carbone” émane des grandes villes, de Lyon pour ce qui nous concerne. A quoi s’ajoutent des demandes plus ponctuelles en Savoie », reprend Alexandre Bellier. De fait, l’offre BML Green n’est pas disponible partout, mais au niveau des unités plus urbaines. Toutefois, l’industriel saura proposer ces bétons sur chaque centrale, si la demande est là. « Nous allons vers des métiers de plus en plus techniques. Aussi, nous nous devons d’accompagner nos clients sur leurs chantiers. » Ceci, en suivant une évolution constante. « En termes de bétons et de formulations, ce qui est vrai aujourd’hui ne le sera plus dans 5 ans », conclut Alexandre Bellier.  Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 153 jours

Clermont-Ferrand : le learning center de l’Université Clermont Auvergne doit ouvrir en 2024

L’Université Clermont Auvergne souhaite créer un learning center à destination des étudiants.
Il y a 3 ans et 154 jours

86 jeunes apprentis du BTP participent à l'Exposition Universelle à Dubaï

Dans le cadre des actions mobilités européennes et internationales, 86 apprentis de BTP CFA Auvergne Rhône-Alpes sont partis pour Dubaï afin de participer à l'Exposition Universelle.
Il y a 3 ans et 162 jours

Pyrolave: Lave de Volvic émaillée La magie de la couleur

Poésie, délicatesse et craquelures Couleurs & formes à l’infini Extraite des entrailles de la Terre au cœur des Monts d’Auvergne,… Cet article Pyrolave: Lave de Volvic émaillée La magie de la couleur est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 194 jours

Sondages archéologiques sur les tracés des futures lignes de bus de Cournon-d’Auvergne

Le Département du Puy-de-Dôme se prépare à accueillir un vaste chantier routier. Des travaux de fouilles archéologiques y sont en cours.
Il y a 3 ans et 197 jours

Gerflor, un groupe éco-responsable

Depuis plus de 80 ans, le groupe Gerflor, entreprise française basée en région Auvergne-Rhône-Alpes spécialiste des ...More about Cet article Gerflor, un groupe éco-responsable est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 200 jours

L'héritage auvergnat - Livre

Associer l'architecture du XXe siècle à l'Auvergne est presque une incongruité tant le paysage de cette région semble valoir par la beauté de ses volcans endormis et celle de ses églises romanes. Pourtant, comme l'actualité récente l'a montré à Clermont-Ferrand avec la reconversion par Eduardo Souto de Moura de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 201 jours

Yabu Pushelberg - Portrait

Associer l'architecture du XXe siècle à l'Auvergne est presque une incongruité tant le paysage de cette région semble valoir par la beauté de ses volcans endormis et celle de ses églises romanes. Pourtant, comme l'actualité récente l'a montré à Clermont-Ferrand avec la reconversion par Eduardo Souto de Moura de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 201 jours

Recommandations sur le bâti ancien en Savoie et Haute-Savoie

Afin d’accompagner les porteurs de projets de travaux en Savoie et Haute-Savoie, l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP 73/74) a conçu une série de recommandations sur le bâti ancien, la qualité architecturale en espace protégé. Mises à disposition des particuliers et des professionnels, publics ou privés, ces fiches viennent répondre aux questions les plus couramment posées sur les thèmes : – couvertures sur le bâti ancien – baies et menuiseries – éléments de façade – maçonnerie : enduits, badigeons, usage du pisé – abords : clôture, mur, calades, terrasse et chemin – qualité architecturale et réhabilitation Accéder aux fiches
Il y a 3 ans et 203 jours

Équipbaie-Métalexpo 2021 : une édition qui a répondu aux attentes

Tous ont souligné le plaisir de se retrouver sur un événement physique pour échanger. De nombreux temps forts et de nouveaux rendez-vous ont émaillé ces quatre jours et sont venus illustrer la thématique fil rouge de l'édition 2021 d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO : « L'avenir des métiers et le digital ».Le pari de la convivialité réussiInaugurée par Olivier Salleron, Président de la FFB, et l'ensemble des partenaires du Pôle Fenêtre FFB de RX France, l'édition 2021 d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO s'est clôturée levendredi 24 septembre en enregistrant la présence de 10 606 visiteurs. Soit une baisse de 42% par rapport à la dernière édition qui s'était tenue en 2018. Mais la baisse de la fréquentation est largement compensée par la satisfaction des exposants et par la qualité des échanges que tous ont noté et mis en avant.En termes de répartition, les visiteurs français sont nettement majoritaires (93,5%) et ceux en provenance de l'Ile-de-France représentent 26% (37% en 2018). Les régions se sont largement mobilisées puisqu'elles comptent pour 74% du visitorat avec en top 5 des régions l'Auvergne-Rhône-Alpes, les Hauts de France, le Grand Est, les Pays de la Loire, la Nouvelle Aquitaine et l'Occitanie. En 2018, le visitorat régional avait chuté (-13%) essentiellement du fait des manifestations des gilets jaunes.Le profil des visiteurs évolue surtout du côté des metteurs en œuvre et installateurs avec 49% (55% en 2018) et des fabricants qui passent de 21% en 2018 à 26%. Le négoce demeure stable et représente 13% des visiteurs. Les prescripteurs sont 4% à s'être rendus sur le salon. « Nous sommes particulièrement fiers et heureux d'avoir pu tenir cette édition 2021 d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO et de la dynamique qui s'est créée autour de cet événement. Ces quatre jours ont apporté la preuve d'une profession soudée, engagée et active. Nos partenaires ont été un soutien précieux pour faire de ce rendez-vous une réussite. Les exposants ont parfaitement joué le jeu avec des stands et des animations de qualité. » se félicite Guillaume Loizeaud, directeur du salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO.
Il y a 3 ans et 214 jours

Unicem Campus : le nouveau nom du CFA Unicem

Unicem Campus lance 4 nouveaux CQP, dont celui de conducteur de centrale à béton. [©ACPresse] Evolution dans le petit monde de la formation continue. Le CFA Unicem change de nom pour adopter la marque Unicem Campus. Mais continue de dispenser des formations en alternance sur ses trois campus de Montalieu, en Auvergne-Rhône Alpes, de Louvigné-du-Désert, en Bretagne, et de Bessières, en Occitanie. Surtout, l’organisme renforce son offre avec la mise en place, dès cette rentrée 2021, de quatre nouveaux certificats de qualification professionnelle (CQP). A savoir, conducteur de centrale à béton, technicien de laboratoire, pilote d’installation granulats et chef de carrière. Des dates de formation pour ces CQP sont, d’ores et déjà, programmées dans les trois campus gérés par l’Unicem.Ces nouveaux certificats s’inscrivent dans le dispositif de formation général des salariés de la filière durant toute leur carrière professionnelle. Ainsi, quelque 9 000 collaborateurs “carrières et matériaux de construction” bénéficient, chaque année, d’actions de formation continue. 1 400 nouveaux collaborateurs chaque année De plus, afin de répondre aux besoins en formation continue des entreprises, l’Unicem va labelliser des organismes tiers qui pourront assurer des formations auprès des entreprises de la filière. Ceci, en complément des formations qu’elle assurera directement. L’objectif est de proposer une offre de formation continue de qualité, complète, et à coûts maîtrisés.« Notre industrie met un point d’honneur à former ses collaborateurs. Si une formation initiale est essentielle pour intégrer nos métiers, la formation continue permet de faire évoluer les salariés. C’est pourquoi Unicem Campus poursuit son développement, en proposant cette nouvelle offre aux entreprises de la filière », résume souligne Patrick Pittalis, secrétaire général de l’Unicem, en charge de la formation. La filière “carrières et matériaux de construction” se compose de métiers très divers : de la conduite d’engins à l’ingénierie, en passant par la géologie appliquée ou la taille de pierre. Chaque année, le secteur recrute 1 400 collaborateurs. Attirer des jeunes et des talents est donc l’une des priorités de l’Unicem. 
Il y a 3 ans et 217 jours

France Relance : un soutien inédit aux PME engagées pour la transition écologique

La ministre a également valorisé le bilan du guichet « tremplin pour la transition écologique des PME », créé dans le cadre de France Relance et qui a permis d'accompagner plus de 1650 entreprises dans la transformation de leur activité à hauteur de 23 millions d'euros.Enfin, le ministère de la Transition écologique publie aujourd'hui un dossier de presse de bilan sur le déploiement du plan France Relance, un peu plus d'un an après sa présentation.« 30 milliards de France Relance sont dédiés à la transition écologique. C'est la marque de la volonté du Gouvernement de préparer notre pays face au dérèglement climatique. Mais au-delà des milliards, toute la question est de savoir si ces dépenses sont efficaces, si elles aident véritablement nos entreprises à changer de modèle. C'est ce que nous voulons montrer aujourd'hui : oui, grâce à l'expertise de l'Ademe, opérateur de mon ministère, et grâce au dynamisme de dirigeants d'entreprises à travers le pays, nous transformons notre économie. Dans toutes les régions, tous les départements, des entrepreneurs se sont lancés grâce à France Relance. Et cela concerne aussi bien de jeunes entreprises qui se lancent d'emblée sur le marché de l'économie verte, par exemple dans le reconditionnement, l'écoconception, ou les énergies renouvelables, que des entreprises plus traditionnelles qui souhaitent évoluer. Certaines hésitaient à investir dans des machines moins polluantes, à mettre en place des procédures de recyclage de leurs déchets, à industrialiser une bonne idée écologique qui était encore à l'état de prototype : avec le soutien de l'Etat elles ont franchi le pas. Ce que je veux faire comprendre, c'est que la transition n'est pas réservée à des start-ups. Au contraire, la transition a besoin de toutes les entreprises pour réussir. Chacun à un rôle à jouer. » déclare Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique. Appel à projets « Entreprises engagées pour la transition écologique » : 9,6 millions d'euros pour accompagner 96 entreprisesCet appel à projets accompagne des petites et moyennes entreprises commercialisant des produits et solutions innovantes en lien avec la transition écologique. Il propose des aides de 100 000 euros par entreprise afin de soutenir les dépenses nécessaires à l'industrialisation et à la mise sur le marché de leur offre : conception et mise en place du processus de fabrication, investissements permettant l'industrialisation, préparation de la levée de fonds, commercialisation de la solution.Cette aide intervient à une étape déterminante où il est parfois délicat pour les entreprises de réunir les ressources nécessaires à un déploiement à grande échelle de leurs solutions, une fois la phase de développement terminée.Face au succès rencontré par la première vague de cet appel à projets, Barbara Pompili avait annoncé en mai une augmentation de 8 millions d'euros du budget dédié à ce dispositif, permettant le financement d'une deuxième vague. Au total, 96 entreprises ont été sélectionnées et recevront chacune 100 000 euros, pour un budget de 9,6 millions d'euros.Les entreprises lauréates sont basées sur l'ensemble du territoire et particulièrement en Auvergne-Rhône-Alpes et en Île-de-France. Deux projets en Outre-Mer (Guyane, Mayotte) ont également été sélectionnés. Les projets lauréats visent principalement les secteurs du Bâtiment, des Transports et de la mobilité ainsi que l'Économie circulaire, mais également les Énergies renouvelables, l'Agriculture et l'Industrie éco-efficientes. Cette deuxième vague de l'appel à projets est un véritable succès, à l'image de la première en mai dernier. Au total, près de 700 dossiers ont été reçus entre janvier et avril 2021 et 230 entreprises accompagnées dans l'industrialisation et la commercialisation de leurs solutions innovantes pour un total de 23 millions d'euros (15 millions d'euros d'enveloppe initiale, réabondée de 8 millions d'euros).Quelques exemples de projets sélectionnésProjet de l'entreprise Nenufar en Ile-de-France et Bretagne. L'entreprise bénéficiera de l'accompagnement financier de l'ADEME pour industrialiser et commercialiser sa couverture pneumatique de récupération du biogaz produit dans les fosses à lisiers, pour valorisation en autoconsommation dans les exploitations.Projet de l'entreprise Circouleur en Nouvelle-Aquitaine. L'entreprise bénéficiera de l'accompagnement financier de l'ADEME pour industrialiser son procédé innovant permettant de créer des peintures acryliques recyclées à partir de restes de peintures inutilisées. Projet de l'entreprise Insectosphère en Auvergne-Rhône-Alpes. L'entreprise bénéficiera de l'accompagnement financier de l'ADEME pour industrialiser sa production de coccinelles, vendues comme solution de biocontrôle dans le secteur agricole.Projet de l'entreprise Ciel & Terre International dans les Hauts-de-France. L'entreprise bénéficiera de l'accompagnement financier de l'ADEME pour industrialiser et commercialiser la nouvelle gamme de son système photovoltaïque flottant.La liste complète des lauréats est disponible en cliquant sur ce lien. Appel à projets « Perfecto » : 3,1 millions d'euros engagés pour accompagner 15 entreprises, une nouvelle session à l'automne 2021Les résultats de l'appel à projets « Perfecto : Mettre en œuvre une démarche d'écoconception dans un projet de R&D pour améliorer la performance environnementale » ont également été annoncés par la ministre de la Transition écologique. Les 15 entreprises lauréates bénéficient d'un accompagnement dans la mise en œuvre d'une démarche d'écoconception basée sur l'analyse de cycle de vie, lors de l'étape de R&D visant à mettre sur le marché un produit, un procédé ou un service à haute performance environnementale. Le montant d'aide par entreprise varie entre 50 000 et 480 000 €.Au total, 42 projets ont été déposés, et 15 retenus au terme du processus de sélection. Tous ces projets se fondent sur la même méthode : l'analyse du cycle de vie, qui permet de réduire les impacts environnementaux les plus significatifs du produit et les risques de transfert d'impact associés. Ces projets permettent aux entreprises de bénéficier d'un appui technique et financier de la part de l'ADEME, de conseils pour l'écoconception de leurs prochains produits ou services afin de réduire le risque lié à l'innovation et d'améliorer leur rentabilité.Le ministère de la Transition écologique se félicite de la réussite de cet appel à projets. Forte de ce succès, l'ADEME publiera dans le cadre de France Relance une nouvelle session de l'appel à projets Perfecto dès Novembre 2021, avec une clôture prévue en février 2022. Il sera également ouvert aux grandes entreprises.La liste complète des lauréats est disponible en cliquant sur ce lien.Guichet « Tremplin pour la transition écologique des PME » : 23 millions d'euros engagés pour accompagner plus de 1650 entreprisesCe guichet propose des aides de 5 000 à 200 000 € pour financer des études et des investissements environnementaux dans des domaines très variés : climat, bâtiment, mobilité, économie circulaire, éco-conception. Il s'agit d'un guichet de financement simplifié et en ligne, permettant à des PME de bénéficier de subventions forfaitaires sur une liste d'actions simples qu'elles peuvent choisir dans un catalogue dans différentes thématiques (climat, bâtiment, mobilité, économie circulaire, éco-conception).Avec plus de 1500 bénéficiaires en un semestre, il a fait preuve de son efficacité comme dispositif d'appel permettant de toucher une cible nouvelle, puisque 96% des entreprises bénéficiaires sont financées pour la première fois par l'ADEME. Parmi ces entreprises, 85% ont moins de 50 salariés. Elles sont réparties sur tout le territoire métropolitain et en Outre-Mer (40 entreprises ultramarines accompagnées). Pour moitié, ces entreprises appartiennent aux secteurs du commerce et de l'industrie (370 PME industrielles accompagnées), les autres se répartissant dans tous les secteurs d'activité.Ces 1650 projets correspondent à 3000 actions pour un investissement total de 80 M€. L'aide totale de l'ADEME s'établit à 24,5 M€, toutes les entreprises ayant déjà perçu une avance de 30%. Au final, pour 1€ de financement public, 3 € privés sont investis.Les actions tremplin plébiscitéesDes études structurantes pour que les PME puissent engager dans la durée des actions de transition écologique, qui pourront être aidées par d'autres dispositifs France Relance/ADEME. Plus de 200 entreprises ont initié un Bilan GES et plus de 30 ont initié une démarche stratégie carbone ACT beaucoup plus ambitieusePlus de 100 entreprises ont initié une démarche d'éco-conception et une dizaine se sont lancées dans la labellisation numérique responsableUne trentaine ont lancé un audit énergétique de leurs bâtiments et une quinzaine se font accompagner pour la mise en œuvre de leurs travaux d'économie d'énergieDes investissements quick-win pour s'engager concrètement dans la transition écologique :Près de 400 entreprises ont réalisé des actions de relamping LED et/ou d'éclairage naturelPlus de 300 entreprises ont amélioré ou changé leurs équipements de froid commercial, pour utiliser du liquide frigorique moins impactant sur le climat ;425 entreprises se sont dotées de matériel de gestion des déchets, dont une cinquantaine d'entreprises du BTP pour leurs déchets de chantier ;270 entreprises se sont dotées de vélos-cargo électriques pour leur logistique urbaine, correspondant à environ 800 vélos ;150 entreprises ont investi dans des véhicules électriques, majoritairement des fourgons et fourgonnettes Plus de 130 entreprises industrielles ou agricoles ont investi dans l'isolation thermique des murs et toits de leurs bâtiments, ainsi que dans leur ventilation
Il y a 3 ans et 222 jours

Promesse d'un nouveau plan de 100 millions d'euros pour la montagne

Le président d'Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez, promet un nouveau plan de 100 millions d'euros pour faire de la région "la première montagne durable d'Europe".
Il y a 3 ans et 222 jours

La modernisation du barrage du lac d’Aubusson d’Auvergne se terminera vers la fin de l’année 2021

Le barrage modernisé du lac d’Aubusson d’Auvergne devrait entrer en fonction en 2022.
Il y a 3 ans et 223 jours

Aubusson-d’Auvergne : l’église Notre-Dame d’Espinasse sera rénovée

L’église Notre-Dame d’Espinasse fera l’objet d’un chantier de rénovation. Une convention d’appel au soutien du projet de restauration de ce sanctuaire a été signée.
Il y a 3 ans et 244 jours

Fiches conseils architecture et bâti ancien pour la Savoie et la Haute-Savoie

Afin d’accompagner les porteurs de projets de travaux en Savoie et Haute-Savoie, l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP 73/74) a conçu une série de recommandations sur le bâti ancien, la qualité architecturale en espace protégé. Mises à disposition des particuliers et des professionnels, publics ou privés, ces fiches viennent répondre aux questions les plus couramment posées sur les thèmes : couvertures sur le bâti ancien, baies et menuiseries, éléments de façade, maçonnerie : enduits, badigeons, usage du pisé et abords : clôture, mur, calades, terrasse et chemin. Accès aux fiches    
Il y a 3 ans et 244 jours

Restauration de l’église Saint-Maurice à Vienne

L’église Saint-Maurice à Vienne en Isère a été classée en 1840, il s’agit d’un des premiers monuments historiques de France. L’état de l’édifice a entraîné de longue date la sollicitude de la commune propriétaire et de L’Etat principal cofinanceur. De 1993 à 2018, plus de 4, 5 M€ ont été consacrés à la restauration des bas-côté et du haut de la tour nord-ouest. Le nouveau chantier de restauration concernera la tour sud-ouest et la partie basse de la tour nord-ouest de la façade occidentale. Le plan de relance permet d’accélérer l’opération de restauration avec une fin de chantier prévue fin 2022. L’échafaudage a été monté dans le courant de l’été. L’essentiel des parements de la cathédrale sont en molasse, pierre particulièrement fragile, tendre et sujette aux dégradations induites par l’humidité, le vent, les cycles gel et dégel, la pollution. La pierre de molasse est une excellente pierre à bâtir, et suffisamment fine à sculpter. Cependant elle présente une très grande fragilité face à l’action de l’eau : sa constitution de grains de quartz liés par du calcaire fait que le ruissellement de l’eau dissout le calcaire et libère le sable. Il faut donc restaurer les parements et parfois changer des pierres en profondeurs lorsque celles-ci ont un rôle structurel. La première tranche de travaux (haut de la tour nord-ouest 2016-2018) a permis d’expérimenter une méthode adaptée à la situation par un changement très raisonné de pierres de structure ou sculptées, et par un système de plaquettes épaisses de pierre gougeonnées et coulinées de chaux à l’arrière. Ce principe sera reconduit sur les nouvelles tranches de travaux. La pierre de molasse n’existe plus ou est de mauvaise qualité, elle est remplacée par un grès des Vosges ou d’Espagne identique en couleur, grain et dureté. Le montant total des travaux s’élève à 1,824 776 € HT –  Dans le cadre du plan de relance, la participation financière de l’Etat – DRAC Auvergne-Rhône-Alpes s’élève à 500 000 € soit 27,40% du montant total. Opération mentionnée au titre de la 3ème convention patrimoine signée avec la Ville de Vienne. Maîtrise d’ouvrage : Ville de Vienne Maîtrise d’œuvre : ALEP architectes, Philippe Allart, architecte du patrimoine Entreprises : Comte et Demars maçonnerie taille de Pierre ; Lyon Echafaudage ; Tollis Sculpture ; Les Métiers du Bois Charpente couverture ; Thomas vitraux Contrôle scientifique et technique : Drac Auvergne-Rhône-Alpes, Conservation régionale des monuments historiques Photo : Drac Auvergne-Rhône-Alpes
Il y a 3 ans et 244 jours

L’artisanat 1er pourvoyeur d’apprentis en France avec des effectifs toujours en hausse depuis 3 ans

Pour la première fois, le baromètre dresse un palmarès des diplômes les plus choisis par les apprentis de l’artisanat parmi les 800 diplômes préparés en 2019-2020. Il analyse également le taux d’emploi des apprentis, largement supérieur à celui des jeunes diplômés issus de la voie scolaire traditionnelle.L’artisanat, 1er secteur pour la formation d’apprentis en FranceEn 2019-2020, 153.000 apprentis se sont formés aux métiers de l’artisanat en France. Un chiffre en hausse de 3% (+ 4 000 apprentis) par rapport à 2018-2019. Une tendance qui devrait se confirmer pour l’année scolaire 2020-2021 malgré l’impact de la crise sanitaire. Au total, les entreprises artisanales emploient et forment 32% du total des apprentis. Le secteur demeure ainsi le premier pourvoyeur d’apprentis en France.Marielle Vo-Van Liger, Directrice Marketing et Communication MAAF : « Pour la 3ème année consécutive, le nombre d’apprentis de l’artisanat augmente. Le secteur, de par sa grande variété de métiers, attire de nombreux jeunes désireux de développer un savoir-faire aux côtés de professionnels qualifiés mais également, et de plus en plus, les individus en reconversion. Une dynamique encourageante permise par les campagnes de promotion de l’apprentissage menée depuis plusieurs années pour redorer le blason d’une formation trop longtemps délaissée et dévalorisée. » Des effectifs en hausse dans la plupart des régions et secteursLa progression du nombre d’apprentis dans l’artisanat se poursuit dans toutes les régions, à l’exception de l’Ile-de-France et de la Corse, où les effectifs se stabilisent.C’est dans les régions Hauts-de-France et Nouvelle-Aquitaine que l’on observe la plus forte progression de l’apprentissage dans l’artisanat (+5%), suivies par la Bretagne, les Pays-de-la-Loire et l’Auvergne-Rhône-Alpes (+4%), l’Occitanie (+3 %), la Provence-Alpes-Côte d’Azur, le Grand-Est, la Bourgogne-Franche-Comté (+2%) et, enfin, le Centre-Val de Loire et la Normandie (+ 1%).La hausse des effectifs en apprentis concerne également la plupart des secteurs : le BTP (+5%), les services (+3%) et la fabrication (+2 %). Seul l’artisanat de l’alimentation, où l’apprentissage est déjà très développé, observe une légère baisse de ses effectifs (-1%).Le palmarès des diplômes les plus choisis par les apprentisLe panel des diplômes ouverts aux apprentis de l’artisanat est extrêmement large : plus de 800 diplômes ont ainsi été préparés en 2019-2020.En nombre d’apprentis, les cinq premiers diplômes préparés sont les CAP métiers de la coiffure, CAP pâtissier, CAP boulanger, BP coiffure et CAP maçon. Il s’agit de diplômes pouvant être préparés à la sortie du collège. Globalement, 62% des apprentis de l’artisanat préparent un diplôme de niveau CAP.Cependant, ils sont de plus en plus nombreux à suivre un diplôme de niveau BAC et supérieur. Au palmarès des diplômes les plus choisis par les bacheliers, on retrouve principalement des BTS : aménagements paysagers (1 140 apprentis), gestion de la PME (720), électrotechnique (590), négociation et digitalisation de la relation client (510).De nombreux jeunes choisissent également de se former à un métier de l’artisanat, à l’occasion d’une réorientation et d’un second parcours. C’est le cas de bacheliers qui reprennent la préparation d’un CAP, le CAP pâtissier étant le plus prisé par ces bacheliers en réorientation (470 apprentis).Chez les plus de 26 ans et les demandeurs d’emploi en reprise de formation, ce sont les secteurs des soins à la personne (coiffure, esthétique), le commerce de fleurs et les métiers du bâtiment qui ont la côte. Un taux d’emploi bien supérieur à celui des élèves formés par voie scolaire Quel que soit le secteur, pour la grande majorité des apprentis de l’artisanat, l’insertion professionnelle se fait dans les 6 mois suivants la formation : 64% des apprentis sont ainsi en emploi 6 mois après l’obtention de leur diplôme. C’est dans l’artisanat de fabrication que le taux d’emploi est le meilleur (69%) : les apprentis de ce secteur sortent en effet généralement avec un niveau de diplôme plus élevé.À titre de comparaison, seuls 40% des étudiants qui se forment aux mêmes diplômes par la voie scolaire classique ont trouvé un emploi 6 mois après la fin de leur formation. Au moment de l’embauche, l’entreprise donne bien souvent l’avantage à l’ex-apprenti qui possède déjà une expérience du métier et, plus généralement, du monde professionnel. Catherine Elie, Directrice des études et du développement économique de l’ISM : « Dans le contexte de la difficile insertion professionnelle des jeunes, que la crise sanitaire est venue aggraver, les ex-apprentis possèdent un avantage indéniable. Leurs profils sont très plébiscités par les employeurs, de plus en plus regardants sur les expériences professionnelles passées de leurs potentielles nouvelles recrues ainsi que sur leur connaissance du monde du travail. Avec un taux d’emploi à 77%, ce sont les ex-apprentis avec le niveau de diplôme le plus élevé – Brevet Professionnel, Brevet Technique des Métiers, BTS et supérieur – qui sont les plus avantagés. À noter que l’état du marché influe également significativement sur les débouchés : dans certaines spécialités très recherchées (ambulancier, couvreur ou bien encore boucher), le taux d’emploi est très élevé, pouvant atteindre 90% ! ».
Il y a 3 ans et 259 jours

4 nouveaux magasins pour le réseau Batiman

BATIMAN Multibois à Issoire« Conçu autour du digital avec de nombreux configurateurs, ce 3e magasin, qui sera bientôt suivi d’un 4e, assoie notre notoriété dans toute l’Auvergne. » Stéphane CHATEAUNEUFDepuis qu’il a racheté le magasin BATIMAN de Brioude en mars 2015 et créé celui de la Roche Blanche l’année suivante, l’ancien magasinier cariste a fait du chemin. Autodidacte, Stéphane Châteauneuf a su développer de façon spectaculaire l’entreprise Multibois, qui adhérait déjà au réseau depuis 2003. En 6 ans, il a recruté 40 personnes et a multiplié le chiffre d’affaires par 3,5, passant de 2 à plus de 7 millions. Afin de consolider son affaire, il vient d’ouvrir un nouveau magasin à mi-chemin des deux premiers, dans une zone commerciale très attractive d’Issoire. « L’approche de ce magasin est très différente, confie-t-il. Nous sommes situés aux côtés de grandes enseignes de l’univers de la maison et nous proposons de simuler nos produits sur de nombreux configurateurs grâce à plusieurs grands écrans. » En parallèle, l’entrepreneur a fait l’acquisition d’un terrain à Issoire sur lequel il prévoit de construire en 2022 une plateforme logistique de 1000 m² qui lui permettra d’acheter en gros. Attaché à la marque Batiman et à sa force commerciale, il revendique une année exceptionnelle avec une augmentation de près de 25% du chiffre d’affaires et espère bien rester sur sa lancée et ouvrir bientôt un 4e magasin...BATIMAN DDI Annecy« Je reprends une affaire bien structurée, avec une équipe compétente et une activité soutenue : tout se présente au mieux ! » Dogan YILMAZAprès plus de 15 ans passé à la tête d’une entreprise de décolletage, Dogan Yilmaz a vendu son affaire en 2017 pour rejoindre le secteur du bâtiment et de la menuiserie. À la recherche d’une affaire à reprendre, il a rencontré l’an passé Jean-Marc Boudin, qui partait à la retraite et cherchait un repreneur pour son magasin Batiman d’Annecy. « Tout s’est fait naturellement, explique le nouvel adhérent. J’ai trouvé une belle boutique, très bien située dans la zone artisanale, avec 8 salariés qui travaillent bien ensemble et un bon bouche-à-oreille. » Depuis le début de l’année, l’entrepreneur bénéficie de formations et d’une excellente assistance au siège. Mieux, il voit son carnet de commandes se remplir sur plusieurs mois, avec une clientèle composée pour moitié de professionnels et pour moitié de particuliers. « On sent que le dynamisme insufflé par Philippe Valette, le président du réseau, est une réalité, conclut-il. Son ambition pour l’avenir est très encourageante pour la suite. »BATIMAN Kitbati Habitat à Fleury-Les-Aubrais« En passant sous enseigne BATIMAN, je bénéficie désormais de meilleures conditions d’achat, de meilleures marges et d’une meilleure méthode de rémunération. » Mathieu HUCHETSi Mathieu Huchet a créé son entreprise de menuiserie sur-mesure il y a 16 ans, ce fils et petit-fils de menuisier avoue baigner dans le métier depuis qu’il est petit. Auparavant adhérent d’un réseau concurrent, il a décidé de rejoindre BATIMAN en début d’année, séduit à la fois par la dimension humaine du réseau et les conditions d’achats qui lui assurent une augmentation de bénéfices sans changer de fournisseurs. « Pour une société familiale comme la nôtre, il est important d’avoir une équipe à l’écoute et un soutien efficace pour les opérations marketing et internet, explique-t-il. J’ai trouvé avec Batiman est un vrai réseau de spécialistes, ce qui fait toute la différence avec les réseaux de négociants. » Après 3 jours de formation au siège, il a changé l’enseigne de son magasin de 300 m2, où il propose depuis tous les produits de la gamme aux particuliers comme aux professionnels. Après un lancement marketing réussi, Mathieu Huchet travaille aujourd’hui en collaboration avec le siège pour optimiser l’agencement intérieur. « Tous les indicateurs sont au vert, conclut l’entrepreneur. Nous pouvons viser plus haut, et c’est tant mieux ! »BATIMAN Briol à Montauban« Ce quatrième magasin vient renforcer un groupe qui emploie déjà 40 personnes et fait 8 millions de chiffres d’affaires sur tout le secteur de Toulouse. » Xavier BRIOLDepuis 7 ans, les Toulousains connaissent déjà bien les 4 magasins Batiman situés à Auterive, Fenouillet, Caraman et Montauban, au sud, à l’ouest et au nord de la ville rose. « Si nous avons adhéré en 2015, l’entreprise existe depuis 30 ans et nous bénéficions aujourd’hui d’une belle notoriété et d’une belle dynamique confie Xavier Briol. »Au début de l'année, cet adhérent qui gère une équipe de 40 personnes a fait le choix de déménager son magasin de Mautauban pour s’installer un kilomètre plus loin dans un espace qui bénéficie d’une meilleure visibilité et offre 300 m² de showroom et autant de stockage. Avec cette nouvelle adresse, il espère augmenter ses ventes dans le département de Tarn-et-Garonne et maintenir ses excellents résultats de l’an passé... avant de refaire son showroom de 600 m² à Fenouillet en septembre.
Il y a 3 ans et 263 jours

Les métiers du BTP et de la construction sont les plus recherchés en intérim au deuxième trimestre 2021

1 offre sur 4 en intérim concerne les métiers du BTP et de la constructionLes métiers du BTP et de la construction sont très demandés (26%) en intérim. Il en est de même pour la Production et la Maintenance industrielle (24%) et les métiers de la logistique et du transport (23%). Ces trois domaines représentent à eux seuls près de trois quarts (73%) des offres en intérim diffusées au 2e trimestre.« Nous constatons une reprise forte de l’emploi avec plus de 1 753 000 offres d’emploi mises en ligne au premier semestre 2021. L’Île-de-France n’a pas retrouvé son niveau d’avant crise, traduisant l’ampleur de l’impact de la pandémie sur les emplois en région francilienne ; les métiers du BTP, de la logistique et du transport ainsi que de la production industrielle recrutent toujours aussi fortement. Nous sommes confiants pour les prochains mois grâce aux perspectives de sortie de la crise sanitaire et aux diverses mesures de soutien à l’économie associés à un rebond de la consommation et de l’investissement des entreprises », observe David Beaurepaire, Directeur Délégué de Hellowork.Un marché de l’emploi très dynamique au 2e trimestreLe second trimestre a vu une progression de 23 % du volume d’offres d’emploi proposé par rapport au premier en lien avec les différentes étapes du déconfinement et de la reprise économique : (786 000 au T1 et 967 00 au T2).L’Auvergne-Rhône Alpes et l’Île-de-France en tête des régions qui recrutent le plusL’emploi conserve la dynamique du premier trimestre 2021. L’Auvergne-Rhône-Alpes reste ainsi à la 1ère place du classement des régions qui recrutent le plus en CDI et CDD au second trimestre et représente 18% des 317 436 offres publiées. Après un premier trimestre en décroissance, l’Île-de-France n’en demeure pas moins l’une des régions proposant le plus d’offres d’emploi CDI/CDD et se positionne à la seconde place, avec 17% du volume national.La Nouvelle Aquitaine et les Pays de la Loire occupent respectivement la 3ème et 4ème place avec 10% du volume national.Le Centre-Val de Loire, la Normandie et la Bourgogne-Franche-Comté, en revanche, ne représentent que 4% du volume d’offres d’emploi proposé au 2e trimestre 2021 chacune, comme c’était déjà le cas au premier trimestre.L’Auvergne-Rhône-Alpes, 1ère région du recrutement en intérimSur les 649.212 offres en intérim analysées, l’Auvergne-Rhône-Alpes occupe également la 1ère place du classement des régions qui recrutent le plus en intérim (15%). Les Pays de la Loire et la Nouvelle Aquitaine prennent respectivement la 2ème et 3ème place avec 11% du volume national. La Bourgogne-Franche-Comté et le Centre-Val de Loire sont celles qui proposent le moins d’offres de travail temporaire (5%). La 8e place de l’Île-de-France traduit quant à elle l’impact des contraintes sanitaires et des fermetures d’établissements qui ont fortement pesées sur la région francilienne notamment sur les secteurs du tourisme et de la culture.Le Grand Paris en tête des métropoles qui recrutent le plus La Métropole du Grand Paris et la Métropole de Lyon pèsent à elles deux près de la moitié des offres en CDI /CDD à pourvoir dans ce Top 10 des métropoles (46%) ; et leurs places dans le classement restent inchangées par rapport au 1er trimestre. Nantes Métropole complète ensuite le podium avec 10% du volume d’offres en CDI /CDD et ce, y compris en intérim.Les Métropoles d’Aix-Marseille et Bordeaux Métropole occupent ensuite respectivement la 4e et 5e place. Montpellier Méditerranée Métropole ne pèse que pour 3% des offres en CDI /CDD et intérim à pourvoir en France.Les villes moyennes poursuivent leur lancéeLes 10 plus grandes métropoles concentrent 34% des offres en CDI/CDD au 2e trimestre 2021, contre 36% en 2020. Depuis six mois, nous observons une baisse de l’influence des métropoles sur les emplois au profit des ville moyennes (Cholet, Angers, Vannes…). De la même façon, le top 10 des métropoles concentraient 24% des offres en intérim en 2020 et n’en concentrent plus que 19% au 2e trimestre 2021.Les fonctions commerciales toujours très demandéesLe classement des postes les plus dynamiques est composé des fonctions commerciales (16% du volume des offres mises en ligne en CDI/CDD et a pris une place par rapport au 1er trimestre 2021), suivies des métiers de la Production et de la Maintenance industrielle (15%) et des techniciens en ingénierie industrielle (13%). Ces trois métiers représentent à eux seuls près de la moitié (44%) des offres en CDI/CDD à pourvoir.A noter, les métiers de la logistique et du Transport et les postes en développement informatique montent de 2 places dans le classement au second trimestre. En revanche, ceux du BTP et de la construction en perdent 4.Méthodologie : Analyse basée sur 1.753.163 offres d’emploi diffusées du 01/01/2021 au 31/06/2021 (dont 595.367 en CDI/CDD/Alternance et 1.157.796 en intérim).*(Médiametrie//NetRatings - Mesure Internet Global)
Il y a 3 ans et 267 jours

Première rénovation thermique d’une maison en PSE Knauf NEXTherm® ITEX très bas carbone en France

Il s’agit là d’une pertinente réponse préconisée et mise en œuvre par la société Bonglet, pionnière dans les métiers du second-œuvre avec 65 ans d’expérience dans l’isolation, la rénovation et la décoration. Aujourd’hui forte de 500 salariés, certifiée QualiBat RGE, Iso 14001 et Ecovadis Bronze, Bonglet rayonne avec 16 agences en Franche-Comté, Bourgogne, Rhône-Alpes et Auvergne.Les travaux réalisés par la société Bonglet ont porté sur l’isolation de l’enveloppe du pavillon (combles, planchers et murs) avec le choix d’une isolation thermique par l’extérieur (ITE) des murs. Résultats visés : la consommation énergétique annuelle du bien, établie à 2.500 euros avant sa rénovation sera diminuée de moitié, à 1.121 euros. Une économie conséquente qui se double également d’une réelle valorisation esthétique et financière du bien immobilier. Facteur supplémentaire, l’ITE favorise également un air intérieur plus sain.Knauf NEXTherm®, un isolant PSE issu de la biomasseFabriqué à partir de bio-naphta et de bio-gaz issus de la valorisation de ressources renouvelables biomasse, Knauf NEXTherm® réduit encore l’impact environnemental des PSE Knauf, notamment en termes d’émission de carbone, et inscrit durablement cet isolant dans les modes constructifs actuels, notamment la rénovation et leurs évolutions prochaines, avec la RE2020.Knauf NEXTherm® ITEx, hautes performances techniques et très bas carbone pour les chantiers de façade les plus exigeantsAvec la gamme Knauf NEXTherm® ITEx, tous les atouts des isolants PSE Knauf pour l’isolation par l’extérieur sous enduits sont conservés : performances thermiques, mise en œuvre éprouvée, conformité justifiée, une empreinte carbone diminuée en plus.L’isolation thermique par l’extérieur avec Knauf NEXTherm® : un atout pour les projets de rénovationFace au vieillissement esthétique du parc immobilier et aux faibles performances thermiques de ces bâtiments, l’isolation thermique par l’extérieur constitue une solution à gains multiples : elle garantit le confort thermique de l’habitat, grâce à une isolation homogène et de qualité du bâti ; elle embellit le patrimoine, grâce à la reprise des façades ; elle améliore le confort de vie des occupants, grâce à la suppression des ponts thermiques et l’amélioration de la qualité de l’air intérieur.Avec Knauf NEXTherm® ITEx, elle améliore l’impact environnemental global de la rénovation en réduisant l’empreinte carbone de l’isolation, FDES à l’appui. Un choix responsable qui allie nouvelles performances environnementales et hautes technicités du PSE.Et pour un chantier de rénovation propre, les chutes des panneaux mis en œuvre sont collectées sur chantier par le service Knauf Circular® et recyclées en de nouveaux produits d’isolation.
Il y a 3 ans et 279 jours

Le bâtiment enregistre la plus forte hausse des défaillances d'entreprises au 2e trimestre 2021

Avec 6.587 procédures collectives ouvertes, en hausse de 14,2% par rapport au 2ème trimestre 2020, le volume des jugements reste deux fois inférieur au niveau d'avant Covid. Outre les liquidations directes qui restent très fréquentes, des signaux de fragilisation émergent notamment pour les TPE, le secteur du bâtiment et les régions Ile de France et PACA, bien plus durement impactés que la moyenne nationale par un rattrapage des défauts.Les ETI et PME, davantage épargnées qu'au printemps 2020, pourraient quant à elles voir leur reprise contrariée par l'envolée des prix des matières premières, épuisante pour les trésoreries.Thierry Millon, directeur des études Altares : « Comme attendu, les mois d'avril et mai 2021 se sont logiquement inscrits en très forte hausse (respectivement +54% et +35%) par rapport aux mêmes mois de 2020. Période alors marquée par le premier confinement et le déclenchement du « quoi qu'il en coûte » gouvernemental. Juin est quant à lui à la baisse (-17%) et les audiences sont encore loin d'avoir retrouvé leur rythme d'avant Covid. Mais des signaux sérieux de fragilisation émergent. Le taux des liquidations judiciaires directes (3 sur 4) reste très élevé. Les TPE (+18%) représentent près de 90% des défaillances. En Ile de France, où le nombre de procédures s'envole de 37%, le taux de liquidations directes dépasse 80%. Enfin, le secteur de la construction, paralysé pendant plusieurs mois en 2020, concentre plus du quart des jugements (+44%). »En hausse de 14,2% sur trois mois, le nombre de défaillances d'entreprises reste paradoxalement bas6.587 entreprises sont tombées en défaillance en France au cours du 2e trimestre 2021, soit 14,2% de plus que lors de la même période 2020, dont un mois et demi couvrait le premier confinement.A la fin juin 2021, en données lissées sur un an, la tendance reste favorable par rapport à juin 2020 (-28%). Mais la dynamique de baisse ralentit sérieusement par rapport à fin mars (-40%).Le taux de liquidations directes reste très haut mais le nombre d'emplois menacés passe sous le seuil des 20.000165 procédures de sauvegardes (+3,1%) ont été ouvertes au cours du 2e trimestre, pour 1.495 entreprises placées en redressement judiciaire (+14,7%) et 4.927 liquidations judiciaires directes (+14,5%).Le taux des liquidations directes (75%) reste très au-dessus de ses valeurs traditionnelles (68%), confirmant que les entreprises qui se présentent au tribunal sont dans une telle situation de fragilité qu'il n'est plus envisageable de leur proposer d'alternative. Signe également d'une sensibilisation insuffisante des dirigeants à l'existence de démarches de préventions. Le nombre d'emplois menacés recule très sensiblement et tombe sous le seuil des 20.000, alors qu'il était deux fois supérieur il y a un an.Rappelons qu'au 2e trimestre 2020, alors que le nombre de jugements était divisé par deux (5.766 vs. 12.347 au 2e trimestre 2019), le nombre d'emplois menacés passait de 41.000 à plus de 43.000. Phénomène qui s'expliquait par les défaillances de plusieurs grandes enseignes du retail, révélant l'ampleur de la crise à laquelle nos économies se retrouvaient confrontées. L'habillement concentrait plus d'un emploi menacé sur trois.Un an plus tard, une seule défaillance (hors conciliations) de plus de 1.000 salariés est enregistrée (groupe hôtelier Appart'City). Dans ces conditions, chaque entreprise défaillante menace directement en moyenne moins de 3 emplois contre 7,5 au 2e trimestre 2020 et 3,3 au 2e trimestre 2019. Les plus petites entreprises concentrent près de 9 défaillances sur 10Les TPE de moins de 6 salariés rassemblent près de neuf procédures sur dix (89%). Avec 5.850 procédures ouvertes au 2ème trimestre, les TPE enregistrent une hausse de 18% par rapport à la même période de 2020. Pour autant, nous sommes encore loin des niveaux de 2019 (10.800 au 2ème trimestre 2019).Les PME de 10 à 19 salariés sont elles aussi sous tension (+2,7%). En revanche, le nombre de procédures collectives recule pour toutes les autres tailles d'entreprises. La baisse est particulièrement marquée chez les PME de plus de 50 salariés. Aucune liquidation judiciaire directe n'a en effet été prononcée pour des sociétés de plus de 100 salariés.Les activités à destination du consommateur résistent encoreAu printemps 2020, l'économie était à l'arrêt et les défaillances d'entreprises affichaient des reculs historiques dans tous les secteurs. Un an plus tard, les restrictions sanitaires se sont desserrées mais les aides se réduisent. Dans toutes les activités, si les défaillances restent très en-dessous de leurs valeurs de 2019, elles repartent à la hausse.Les régions Nord Est restent préservées, l'Ile de France et la PACA enregistrent les plus lourdes haussesDeux régions enregistrent une hausse du nombre de défaillances de plus de 35%. En tête, l'Ile de France (+37,3%), tirée par les chiffres de Paris. A noter que les Yvelines et le Val de Marne résistent encore.Suit la Provence-Alpes-Côte-d'Azur (36,9%), dont l'évolution est alignée sur celle des Bouches-du-Rhône. Le Var contient la hausse mais les Alpes-Maritimes enregistrent une forte dégradation.Trois régions affichent une évolution comparable, avoisinant + 17% :L'Auvergne-Rhône-Alpes en dépit de dégradations plus fortes dans le Rhône et la Haute-Savoie ;Le Centre Val de Loire où l'Indre-et-Loire et le Loiret basculent dans le rouge ;Les Pays-de-la-Loire où seule la Sarthe reste dans le vert.Affichant des volumes moins importants, la Corse enregistre une hausse de 14%.La région Grand-Est (+11%) est sous la moyenne nationale, grâce notamment à des niveaux de défaillances stables dans le Bas-Rhin.Trois régions contiennent l'augmentation des niveaux de défaillances sous les 5% : Nouvelle Aquitaine, Occitanie et Bourgogne-Franche-Comté.Trois régions se distinguent par un recul encore très sensible du nombre de procédure sur le 2e trimestre. C'est le cas de la Normandie (-24%), la Bretagne (-21%) et les Hauts-de-France (-11%).La flambée des prix des matières premières gâchera-t-elle la reprise ?Thierry Millon conclut :« A l'entame du 3ème trimestre 2021, le front des défaillances d'entreprises reste donc encore très calme. Depuis le début de l'année moins de 15.000 jugements ont été prononcés par les tribunaux de commerce et judiciaires, contre 17.000 sur les six premiers mois de 2020 et 28.000 sur la même période en 2019. Le troisième trimestre, allégé par les vacations d'été dans les tribunaux, mais aussi favorisé par une conjoncture favorable, ne devrait pas porter le cumul à neuf mois très au-delà des 20.000 défauts.Sauf retour d'une épidémie persistante, les perfusions financières devraient être débranchées dans les prochaines semaines. Pour autant, cela ne devrait pas déclencher sur les trois derniers mois de l'année une forte poussée des défaillances et un retour au niveau de 2019. En effet, la médiation et le traitement à l'amiable des retards de paiement devraient être encore privilégiés, limitant d'autant le recouvrement forcé et les assignations.En revanche, la flambée des prix des matières premières crée une inquiétude nouvelle. Faute de pouvoir être aisément répercutées sur les prix de ventes, ces hausses risquent de mettre les trésoreries sous tension, nécessitant parfois de devoir puiser dans les PGE voire de jouer sur le crédit fournisseur et allonger les délais de paiement. Si elles devaient perdurer sévèrement au-delà de l'été, ces hausses pèseraient alors sur les marges et pourraient contrarier sérieusement la reprise voire compromettre la pérennité des PME et ETI fragiles. »L'étude complète « Défaillances et sauvegardes d'entreprises – 2e trimestre 2021 » est disponible en cliquant ici
Il y a 3 ans et 281 jours

Le crowdfunding immobilier retrouve au premier semestre 2021 un rythme d'avant crise

« Si on se réfère aux principaux chiffres et enseignements de ce nouveau baromètre, le secteur du crowdfunding immobilier a connu une belle dynamique durant ce premier semestre, retrouvant celle qui était la sienne avant la crise sanitaire. Au-delà de la forte croissance de la collecte, les principaux indicateurs financiers montrent une stabilité de la durée moyenne de placement et un rendement annuel moyen toujours au-dessus de 9%. Le projet moyen financé est en hausse et se rapproche peu à peu du million d'euros, une progression qui va dans le sens de l'histoire.Les plateformes ont démontré leur capacité à lever d'importantes sommes dans des délais très courts, en phase avec les attentes d'acteurs immobiliers de taille plus conséquente et portant des projets de plus grande ampleur. Autre signe positif, cette augmentation de la taille des projets s'accompagne également d'un nombre d'opérations financées plus important, témoignant de l'installation du crowdfunding immobilier dans le paysage des outils de financement de projets immobiliers pour les professionnels. Ce semestre a également été marqué par le rapprochement entre de grandes banques et des plateformes de financement participatif pour déployer des offres de financement communes. Un nouveau signal très encourageant sur la reconnaissance du crowdfunding immobilier comme une solution de financement complémentaire aux prêts bancaires traditionnels. Si les grands indicateurs du marché sont positifs, il convient toutefois de rester prudent dans l'analyse de l'ensemble des chiffres. Le second semestre apportera des réponses à quelques questions, et notamment la durabilité de cette reprise alors que la crise sanitaire n'est pas encore totalement derrière nous. Les promoteurs ont encore parfois certaines difficultés à lancer de nouvelles opérations, avec un foncier rare et cher dans certaines zones et des collectivités qui peinent parfois à accorder les autorisations nécessaires. Il sera également intéressant de surveiller dans les mois et années qui viennent les impacts de la crise sur la nature des opérations financées, que ce soit en termes de localisation ou de prise en compte des critères environnementaux toujours prégnants pour toutes les parties prenantes du marché » analyse Jérémie Benmoussa, Président du Directoire de Fundimmo.Les records de collecte et de remboursements à nouveau battus408,1 millions d'euros collectés sur les 6 premiers mois de l'année 2021, soit plus du double des sommes investies en crowdfunding immobilier par rapport à la même période l'an dernier (184 millions d'euros). Ce montant record illustre le dynamisme du secteur durant le premier semestre, tout comme la très forte croissance du nombre d'opérations immobilières financées (468 au total, en hausse de +104%).Les montants remboursés sont également en hausse : 115,2 millions d'euros au S1 2021 contre 76,6 millions d'euros au S1 2020, soit une hausse de 50%. Le nombre de projets remboursés est également en hausse, passant de 139 au S1 2020 à 188 en au S1 2021 (+35%).Un produit qui poursuit sa démocratisationLe montant moyen financé par projet au S1 2021 était de 872 074 euros, contre 803 570 euros au S1 2020. Cette augmentation de 8,5% s'explique par un recours grandissant au crowdfunding immobilier par des opérateurs de taille plus importante, avec des projets de plus grande ampleur. Les projets compris entre 5 et 8 millions d'euros représentent 17% de la collecte total au premier semestre 2021, contre 15% sur l'année 2020.La durée moyenne de placement reste quant à elle globalement stable, 20,5 mois au S1 2021 contre 21 mois au S1 2020.En se basant sur les données publiées par 40 plateformes*, on constate que les investisseurs sont en moyenne 302 par collecte, avec un placement moyen de 2.888 euros.Le taux de rendement moyen reste globalement stable (9,2% par an contre 9,4% au S1 2020).*sur les 40 plateformes étudiées, 11 d'entre elles n'ont pas collecté d'argent et ont uniquement procédé à des remboursementsIle-de-France, Région Sud, Auvergne-Rhône-Alpes : toujours orienté sur le résidentiel, la concentration du marché se confirme dans trois régionsSi l'Ile-de-France est toujours en tête des régions ayant enregistré les plus fortes collectes (179 millions d'euros, en hausse de +101% par rapport au S1 2020), c'est bien un trio qui se détache assez nettement dans ce classement. La Région Sud (77,9 millions d'euros) se retrouve en deuxième position du classement grâce à une croissance de +419%, doublant la région Auvergne-Rhône-Alpes (65,2 millions d'euros, +179%). La hausse importante enregistrée dans la région Sud s'explique notamment par le financement de plusieurs grosses opérations concernant des villas de luxe sur la côte méditerranéenne.Si elles sont plus loin dans le classement, d'autres régions ont enregistré des hausses de collecte assez spectaculaires par rapport au premier semestre 2020. C'est notamment le cas du Centre-Val-de-Loire (collecte multipliée par 15), de la Bretagne (+136%) ou encore de la Bourgogne-Franche-Comté qui passe de 0 au S1 2020 à 3,6 millions d'euros sur les 6 premiers mois de 2021. Parmi les 468 projets financés au S1 2021, 76,6% étaient des projets orientés sur le résidentiel, loin devant les bureaux (8,5%), les commerces (6,3%), les hôtels (3,9%), les projets d'aménagement (2,8%), et la logistique/activité (1,5%).Les opérations de marchands de biens (achat de biens qui sont ensuite valorisés puis revendus avec une plus-value) continuent leur montée en puissance : elles représentent 52,1% de la collecte totale sur le premier semestre 2021, contre 38,8% en 2020, et 23% en 2019.En 2020, le « projet moyen » financé par le crowdfunding immobilier était une opération résidentielle de 43 logements en Ile-de-France, représentant un chiffre d'affaires d'environ 11 millions d'euros.Une solution pour permettre aux professionnels de l'immobilier de continuer à développer leur activitéDans une période marquée par un allongement de la durée des opérations immobilières en lien avec la crise sanitaire, la capacité des plateformes de crowdfunding immobilier à lever des sommes importantes sur des durées très courtes séduit de plus en plus de professionnels de l'immobilier. Avantages perçus : la capacité à dégager de nouveaux fonds propres nécessaires au lancement de chaque nouvelle opération, et continuer à développer leur activité sans peser sur leur trésorerie. C'est ainsi que 961 opérateurs se sont laissé convaincre par ce mode de financement depuis la création du marché, dont 181 nouveaux sur ce premier semestre 2021.Le marché du financement participatif de l'immobilier reste à date concentré autour de 3 plateformes majeures (dont Fundimmo), qui représentent plus de la moitié de la collecte totale du marché. Suivent ensuite 5 plateformes de taille intermédiaire qui en représentent environ 1/3. 13 plateformes représentent 15% de part de marché, et 3 plateformes moins de 1%. Les plateformes restantes n'ont pas fait de collecte sur le semestre, uniquement des remboursements.Légère hausse des retards de remboursements, stabilité du taux de défaut moyenComme anticipé, à la suite des confinements et ralentissements du marché, le taux de retard augmente de façon significative pour les retards de moins de 6 mois passant de 4,4% pour l'année 2020 à 7,1% sur ce premier semestre et de façon plus maitrisée pour les retards de plus de 6 mois (de 5,7 à 6,2%). Il s'agit toutefois de moyennes qui recouvrent des disparités significatives, dans le détail quelques acteurs concentrent des retards conséquents. Rappelons que les investisseurs qui subissent ces retards bénéficient des intérêts additionnels correspondants.Le taux de défaut moyen, calculé sur la base de projets ayant subi une perte en capital et/ou une perte des intérêts depuis 2012, est évalué à 0,10%, est en baisse de 0,06 point par rapport à l'année 2020. Dans une démarche de transparence, l'agrégateur de projets HelloCrowdfunding actualise tous les mois les données sur le déroulement des différents projets, permettant ainsi d'identifier les projets en retard.*Plateformes ouvertes ou ayant financé des projets immobiliers, et immatriculées auprès de l'AMF ou de l'ACPR (données analysées sur la période de janvier à juin 2021) : Anaxago, Axymo, Baltis Capital, Beefordeal, Citesia, Clubfunding, Credit.fr, Crowdstone, Euroraiser, Feedelios, Find_and_Fund, Finple, Fundimmo, Gwenneg, Hexagone, Homunity, Immocratie, Immovesting, Inidev, Koregraf, La_première_brique, Lendopolis, Les entrepreteurs, Lita.co, Look_and_fin, Lymo, Monego, My_capital_immo, October, Pretup, Proximea, Raizers, Stoneraise, Tributile, Tylia, Upstone, Vatel_direct, Weeximmo, Wesharebonds, Wiseed.
Il y a 3 ans et 284 jours

Cinq banques régionales de BPCE rachètent la start-up Cozynergy spécialisée dans la rénovation énergétique

Ce rachat, à l'initiative de la Caisse d'Épargne de Midi-Pyrénées, de la Banque Populaire Auvergne Rhône Alpes, de la Caisse d'Épargne Provence Alpes Corse, de la Banque Populaire Grand Ouest et de la Caisse d'Épargne de Normandie, va passer par l'acquisition de 90% du capital de Cozynergy, selon un communiqué.Il intervient au moment où le marché de la rénovation énergétique est dynamisé par les subventions de l'État. Depuis cette année, les aides sont accessibles à tous, quel que soit le revenu fiscal du foyer, pour les propriétaires de résidence principale ou les propriétaires bailleurs, précise le communiqué.Cozynergy, dont l'activité consiste à simplifier l'accès aux subventions, revendique aujourd'hui neuf agences régionales, une équipe de téléconseillers et près de 250 entreprises du bâtiment agréées.Avec plus de 14 millions d'euros de chiffre d'affaires et 20 millions de commandes sur le dernier exercice, Cozynergy affiche une croissance de 100% et prévoitd'atteindre 150 millions d'euros de revenus en 2025.
Il y a 3 ans et 285 jours

Auvergne-Rhône-Alpes : l'activité de l'artisanat au beau fixe malgré des incertitudes

ÉCONOMIE. La reprise économique se confirme également pour les artisans du bâtiment de la région Auvergne-Rhône-Alpes, mais la prudence reste de mise au vu des difficultés d'approvisionnement en matériaux et de la flambée des prix qu'elles engendrent. Plus que requinquée, l'activité locale s'avère même en tension, avec en plus des problèmes de recrutement persistants.
Il y a 3 ans et 307 jours

Une enquête annuelle de Pôle emploi pointe les besoins de recrutement de la filière géomètre

Face à d'importants besoins en recrutement, les géomètres-experts ont multiplié, ces dernières années, les opérations au niveau national comme au local, visant à mieux valoriser la profession pour la faire connaître à un public plus large : campagne marque-employeur, Business Game, forum des métiers, journées portes ouvertes, etc. La filière porte, en 2021, 10 000 emplois – parmi lesquels 1 866 géomètres-experts. La dernière enquête « Besoins en Main-d'œuvre » de Pôle emploi relève, néanmoins, que 1 300 postes sont à pourvoir dans les cabinets de géomètres-experts avec, il faut le relever, certaines disparités territoriales : la région Auvergne-Rhône-Alpes devrait par exemple assister au lancement de 200 projets de recrutement cette année contre 20 pour la Bourgogne-Franche-Comté. Autre indicateur permettant d'apprécier cette « crise de l'emploi », les chiffres de l'enquête indiquent que plus de 80% de ces recrutements sont jugés difficiles par la filière… une estimation plus importante que pour les métiers du secteur sanitaire-social, pourtant connus pour être particulièrement en tension. Une tension confirmée par l'Ordre des géomètres-experts« Le métier de géomètre-expert offre cependant certaines souplesses que la crise sanitaire a significativement mises en exergue, comme par exemple la possibilité de choisir son cadre de travail (urbain, rural, littoral), de privilégier des activités au bureau ou plutôt sur le terrain et d'avoir toute latitude sur son organisation et ses horaires de travail en tant que chef d'entreprise », souligne Séverine Vernet, première Vice-Présidente du Conseil supérieur en charge de la formation. La profession embrasse par ailleurs pleinement les enjeux de développement durable et accorde une grande place au numérique et aux innovations digitales (GNSS, BIM, Drones, Scan 3D…) ; des sujets chers aux nouvelles générations qui investissent aujourd'hui le marché du travail. « Le plan ‘'géomètre-expert 2030'', que l'Ordre des géomètres-experts (OGE) a lancé en janvier 2020, doit justement permettre d'accompagner la transformation du métier de géomètre-expert, et d'augmenter les flux entrants, notamment par une refonte complète des parcours de formation et d'accès à la profession » reprend Séverine Vernet, « mais c'est un projet à moyen terme. Or les besoins sont significatifs dès à présent, puisqu'on estime à 3 000 les postes à pourvoir d'ici à 2023 ». Les 1 120 cabinets de géomètres-experts offrent une variété de métiers et de missions, recrutant à tous niveaux de qualification : du bac pro à bac + 5, opérateur chargé de l'acquisition des données par drone et de leur traitement, technicien SIG, urbaniste, juristes ou encore paysagiste … « A titre d'exemples de rémunération, un jeune opérateur débutera à 1 700 euros bruts, un technicien supérieur autour de 2 300 et un ingénieur – géomètre-expert ou non - autour de 3 300 euros bruts » poursuit Séverine Vernet. « Evidemment, ces estimations sont à affiner selon la région, mais notre filière est l'une des rares à ne connaître que peu d'impacts suite à la crise sanitaire… Les postes sont ouverts, libre aux candidats de choisir le cadre et les spécialités qui les intéressent, et les rémunérations sont attractives. N'attendez plus, rejoignez-nous ! ».Les chiffres clés de la filière : 18 Conseils Régionaux 1.866 géomètres-experts inscrits au tableau de l'Ordre1.125 cabinets répartis sur l'ensemble du territoireUne branche de 8.600 salariés structurée essentiellement en PME
Il y a 3 ans et 312 jours

Fioul domestique : la FF3C juge la position des sénateurs en faveur du biofioul « cohérente et juste »

Les sénateurs ont voté en faveur de son remplacement progressif par un biocombustible liquide – le biofioul –incorporé dès l’année prochaine, jusqu’à 30 % dans le fioul domestique: « L’État crée les conditions pour que la part renouvelable des combustibles liquides de chauffage soit au moins égale à 30 % de la consommation finale d’énergie des combustibles liquides de chauffage en 2030 » Claude Malhuret, sénateur de l’Allier, a souligné l’intérêt de « soutenir activement la mise en place d’un processus rapide de remplacement du fioul domestique fossile par un bioliquide renouvelable », lequel « permettrait de diminuer les émissions de gaz à effet de serre liées à l’utilisation du fioul domestique ». Le sénateur a également rappelé que « l’incorporation d’un bioliquide dans le fioul domestique entraînant une diminution de 50 à 70 % des émissions de gaz à effet de serre, le développement de l’incorporation de ce bioliquide permettrait également de préserver le mode de chauffage des territoires les plus éloignés des grandes métropoles ». Ce vote sénatorial intervient dans la foulée du rapport du député du Vaucluse Julien Aubert, présenté en commission des finances à l’Assemblée Nationale le 3 juin dernier, appelant le gouvernement à adapter la trajectoire « d’élimination des équipements au fioul » définie en 2018 à la situation des territoires. La session plénière des Rencontres Professionnelles 2021 de la distribution des combustibles et carburants a pris connaissance de cette avancée pour la trajectoire de remplacement du fioul domestique fossile. Pour Éric Layly, Président de la Fédération Française des Combustibles, Carburants et Chauffage (FF3C), organisation professionnelle représentant 1.500 professionnels indépendants de la distribution d’énergies hors réseaux, « le Sénat a adopté une position cohérente et juste à même de favoriser la transition énergétique dans les territoires tout en tenant compte des contraintes, des inquiétudes et de la situation non seulement énergétique mais également économique des usagers des zones périurbaines et rurales. » De son côté, le gouvernement a indiqué souhaiter s’assurer de la compatibilité des chaudières avec le biofioul avant de pouvoir en approuver le développement. Préparant depuis 3 ans la transition du fioul domestique vers le biofioul, la FF3C est aujourd’hui en mesure de garantir aux professionnels du secteur comme aux consommateurs la pleine compatibilité technologique des matériels. Des essais, en voie de finalisation, devraient confirmer dès la rentrée de septembre cette compatibilité technologique. Plusieurs constructeurs ont d’ores et déjà annoncé la compatibilité de leurs matériels avec un bioliquide contenant jusqu’à 30 % d’ester de colza, matérialisée par un marquage « Biofioul ready ». La FF3C souligne également la place des agriculteurs de la filière française des huiles et protéines végétales, représentés par la Fédération française des producteurs d’Oléagineux et de Protéagineux (FOP), dans la transition du fioul domestique vers le biofioul. En effet, le développement du biofioul offre un nouveau débouché aux productions de protéines végétales françaises pour l’alimentation animale grâce à la valorisation concomitante de l’huile et de la protéine contenues dans la graine de colza. Sa mise en œuvre contribuera ainsi à la souveraineté protéinique de la France dont les objectifs et moyens ont été formalisés dans le Plan Protéine présenté par le ministre de l’Agriculture le 1er décembre 2020. 3ème énergie de chauffage en France, le fioul domestique équipe 3,5 millions de résidences principales, principalement dans des territoires ruraux et périurbains non desservis par le gaz de ville. Son utilisation est particulièrement importante dans des zones où les températures hivernales sont basses (façade Est, régions Hauts-de-France et Auvergne-Rhône-Alpes, entre autres) et où la substitution par une pompe à chaleur (PAC) est complexe, onéreuse (15.000 euros en moyenne) et pas toujours adaptée.
Il y a 3 ans et 312 jours

Partenariat entre l’Unicem Aura et 17 bureaux d’études

L’Unicem Auvergne Rhône-Alpes et 17 bureaux d’études spécialisés en écologie viennent de signer une charte d’engagement. [©Unicem] L’Unicem Auvergne Rhône-Alpes (Aura) et 17 bureaux d’études spécialisés en écologie1 viennent de signer une charte d’engagement. Lors de l’élaboration des volets “faune/flore” des études d’impact des dossiers de carrières, cette charte a pour objectif de fournir un cadre aux deux parties. Conçue à l’origine par l’Unicem Sud Paca Corse, elle est un outil d’encadrement des relations entre le bureau d’études écologue et le carrier. Ceci, au niveau des dossiers de demande d’autorisation des sites de carrières qui sont soumis au régime des installations classées pour l’environnement (ICPE). Elle permet ainsi de mieux répondre aux enjeux des territoires. En signant cette charte, les partenaires s’engagent à disposer d’une capacité d’organisation. Et ce, en gestion de projet et en suivi de la qualité. Mais aussi à donner les moyens au bureau d’études pour accomplir ses missions, à garantir l’indépendance et respecter la confidentialité… Ces engagements sont ainsi déclinés en 60 points sur lesquels bureaux d’études et carriers peuvent s’appuyer. Ceci, pour assurer une collaboration en toute sérénité. D’autres Unicem régionales devraient décliner ce partenariat avec les bureaux d’études écologues.
Il y a 3 ans et 319 jours

Franck Dessemon, président de l'Untec

Franck Dessemon, économiste de la construction en Auvergne-Rhône-Alpes, est élu pour une mandature de trois ans à la tête de l'Union nationale des Économistes de la construction. Il succède à Pascal Asselin.
Il y a 3 ans et 329 jours

Portée par le bâtiment, la création d'emplois dans l'artisanat a bien résisté à la crise sanitaire en 2020

Si un effondrement de l'emploi était à craindre dans de nombreux secteurs, il semble que l'artisanat ait limité la casse. En 2020, les emplois salariés ont ainsi mieux résisté dans l'artisanat (+1,7% par rapport à 2019) que dans l'ensemble du secteur privé (-2%). Une tendance positive observée sur l'ensemble du territoire. Bonne surprise également du côté des indépendants : l'année a été marquée par une très légère augmentation des immatriculations (+1% par rapport à 2019) malgré la baisse d'activité des micro-entrepreneurs.Emploi salarié : il s'est maintenu sur l'ensemble du territoire malgré la criseEn 2020, malgré l'impact de la crise sanitaire et la crise économique qui en a découlé, l'emploi salarié a bien mieux résisté dans l'artisanat (+1,7% par rapport à 2019, soit 28.000 emplois créés) que dans l'ensemble du secteur privé où les effectifs ont diminué de 2% (-311.000).Évolution 2019-2020 des emplois salariés par région et par secteurToutes les régions enregistrent une légère croissance des emplois salariés mais la dynamique est moins forte dans les régions du centre-est de la France. C'est en Corse et en Provence-Alpes-Côte d'Azur que l'on observe les plus fortes augmentations (+3%). La création d'emplois a été moins forte dans le Grand-Est, en Bourgogne-Franche-Comté, en Auvergne-Rhône-Alpes, en Bretagne et en Centre-Val de Loire (+1%), mais le solde reste positif.Marielle Vo-Van Liger, Directrice Marketing et Communication MAAF : « Malgré la crise qui l'a touché de plein fouet, et qui pouvait faire craindre un effondrement de l'emploi, le secteur de l'artisanat a prouvé sa grande capacité de résistance et de résilience. Si certaines activités ont été plus pénalisées que d'autres à l'instar de la coiffure et des soins esthétiques, la faute aux multiples périodes de confinement qui n'ont pas eu les mêmes répercussions selon les secteurs, l'artisanat a réussi à maintenir ses emplois salariés dans toutes les régions, même les plus touchées par la crise. »La création d'emplois portée par le BTP et l'alimentationLa tendance positive observée à l'échelle nationale est menée par l'artisanat du BTP (+3% d'emplois par rapport à 2019, 24.100 emplois créés) et de l'alimentation (+3%, 5.100).Une croissance qui s'explique par la hausse de la demande en travaux de rénovation et de la consommation à domicile et par le retour vers les circuits de proximité. Les effectifs sont stables dans l'artisanat des services et de fabrication.Évolution 2018-2019-2020 des emplois salariés par secteurDans le détail, ce sont donc les secteurs du BTP qui sont les plus créateurs d'emplois et ce malgré l'arrêt des chantiers lors du premier confinement : maçonnerie générale/construction (+3%, soit 8.530 emplois créés en 2020), électricité / plomberie (+4%, 7.130 emplois) et travaux de finition du bâtiment (+2%, 6.760 emplois). Viennent ensuite la boulangerie-pâtisserie (+2%, 3.010 emplois), les services automobiles (+2%, 2.590 emplois) et la boucherie-charcuterie-poissonnerie (+3%, 1.610 emplois).Sans surprise, les secteurs qui ont connu les plus grandes pertes d'emplois sont les secteurs qui ont été les plus touchés par les confinements successifs : les transports (-4%, -540 emplois), la coiffure et les soins esthétiques (-2%, -2020 emplois).Une baisse des embauches à relativiser en dehors du crack du 1er confinementLes entreprises de l'artisanat ont réduit leurs embauches de 8% en 2020. Une baisse que l'on peut imputer aux mauvais résultats du 2ème trimestre 2020, période durant laquelle la France a été très strictement confinée. À cette époque, les entreprises de l'artisanat ont réduit leurs embauches de 32% par rapport à 2019. Un recul observé dans l'ensemble des secteurs : l'alimentation (-44%), les services (-35%), la fabrication (-34%) et le BTP (-23%).Toutefois, si l'on regarde les chiffres des trois autres trimestres, on observe que la dynamique de recrutement est relativement stable en 2020 par rapport à 2019 : -1% d'embauches au 1er trimestre, +2% au 3ème et –2% au 4ème.Évolution 2019-2020 des déclarations uniques d’embauche par secteurLa reprise des recrutements aux 3ème et 4ème trimestres est tirée par l'artisanat du BTP, avec des recrutements en hausse de 9% par rapport aux mêmes trimestres de l'année précédente.Dans les autres secteurs, on observe de légers reculs qui peuvent s'expliquer par une baisse d'activité, par la plus grande prudence des entreprises mais aussi par la moindre mobilité des salariés (ils ont été probablement moins nombreux à changer d'entreprise, il y a eu donc moins de remplacements à pourvoir). Seul le secteur de l'alimentation a subi une baisse importante des embauches au dernier trimestre 2020 (-18%, surtout des CDD courts).Catherine Élie, Directrice des études de l'ISM : « La baisse globale des embauches dans l'artisanat en 2020 a été fortement influencée par le coup de frein brutal porté aux recrutements dans la plupart des secteurs d'activité au 2ème trimestre, dans le contexte du premier confinement qui a mis le pays sous cloche et l'économie sur pause. Il faut donc relativiser cette baisse. Lorsqu'on regarde l'année dans son ensemble, on constate que la dynamique de recrutement s'est plutôt bien maintenue par rapport à 2019, attestant une nouvelle fois de la bonne résistance du secteur de l'artisanat face à la crise, grâce notamment aux dispositifs d'aide mis en place. »Création d'entreprises : très légère augmentation des immatriculationsÉvolution 2019-2020 des immatriculations en par trimestreBonne surprise : l'incertitude économique engendrée par la crise sanitaire n'a pas freiné la dynamique entrepreneuriale en 2020. Les immatriculations ont ainsi connu une légère augmentation d'1% sur l'ensemble de l'année.Encore une fois, c'est le 2ème trimestre 2020 qui fait exception : on enregistre à cette période un recul de 25% des immatriculations. Sur l'ensemble de l'année, la progression des immatriculations concerne surtout l'artisanat de fabrication (+4%) et le BTP (+2%). Le léger recul des immatriculations observé dans le secteur de l'alimentation (-2%) peut s'expliquer par une baisse des opérations de transmission-reprise, liée au contexte d'incertitude.Une baisse d'activité chez les micro-entrepreneursMoins couverts par les dispositifs d'aide, les micro-entrepreneurs de l'artisanat ont été sévèrement touchés par la crise. Cela d'autant plus que les chiffres d'affaires déclarés montrent une baisse moyenne de 12% de leur chiffre d'affaires, en particulier dans les activités de taxis-VTC (-57%) et de coiffure / esthétique (-32%).FOCUS : Revenus des travailleurs indépendants : ceux des micro-entrepreneurs sont deux à six fois moins élevésLes micro-entrepreneurs se distinguent des autres travailleurs indépendants par le niveau de leurs revenus, beaucoup plus faible.L'écart est le plus élevé dans les activités de l'artisanat de fabrication : en 2018, le revenu annuel moyen (charges payées) était de 3 871 € contre 33 949 € pour un indépendants du régime classique. * données 2019 non encore disponibles pour les travailleurs indépendantsTéléchargez l’étude complète en cliquant ici
Il y a 3 ans et 335 jours

Le gagnant de l’Innov Day TP est…

Les lauréats et le gagnant du concours Innov Day TP (2e en partant de la droite). [©Rodolphe Saveureux] Après une première édition en 2017, Innov Day TP, concours de l’innovation dans les travaux publics, est revenu en 2021 en version 100 % digitale. Ce concours est organisé par le cluster Indura, la FRTP Auvergne – Rhône-Alpes et Innov’Infra, hub de compétitivité pour l’aménagement et les infrastructures. Près de 46 500 votes en ligne ont été comptabilisés et c’est un concours de présentation qui a départagé les 9 lauréats dans les catégories “Transitions numériques et robotiques”. Et “Sobriété énergétique”, enfin “Green technologies”. Pour chacun de ces univers, un gagnant a été désigné, dont un lauréat pour l’ensemble de ce concours.  Ainsi, c’est Chab qui s’est distingué à ce niveau, remportant le trophée “Green technologies” et le concours. Basée à Saint-Romain-de-Popey (69), l’entreprise a conçu des chaussettes à béton répondant aux besoins de mise en place de pieux dans des zones meubles ou en présence de cavités karstiques. Chab est née de l’union de trois industriels : Balas Textile, CTMI et SMB Bord Côte, en collaboration avec l’Insa Lyon. « Chab change la donne pour les fondations profondes et participe à des techniques de construction beaucoup plus propres », souligne Olivier Balas, président de Balas Textile. Ainsi, ces chaussettes à béton remplacent les caissons en acier par une solution textile légère et facile à utiliser. Cette dernière offre le même niveau de qualité, réduit les coûts, les retards et les risques. Elle permet la réalisation de pieux en évitant toute pollution. Et ce, avec un niveau de manipulation simple et en toute sécurité. Cette solution offre une réduction importante de l’empreinte carbone et une productivité accrue quel que soit le terrain. Ceci, pour un coût très inférieur par rapport à celle employant des tubes acier. Olivier Balas sera récompensé par une visibilité nationale lors de la Rencontre annuelle des travaux publics de la FNTP en février 2022. Lire aussi :Innov Day TP, 50 innovations de travaux publics “Transitions numériques et robotiques”La start-up PaintUp propose son robot capable de nettoyer, décaper et peindre grâce à un bras robotisé porté par un chariot télescopique rotatif. L’entreprise est installée à Villefranche-sur-Saône (69). “Sobriété énergétique”NGE Fondations de Saint-Priest (69) a mis au point des écrans forestiers permettant d’éviter la réalisation d’ancrages forés. Ce qui réduit les travaux d’abattage et le préjudice à l’environnement associé. Les 3 gagnants participeront à la 6eédition du salon Espace BTP du 1erau 4 juillet, au Parc des Oiseaux de Villars-les-Dombes (01).
Il y a 3 ans et 336 jours

Les chaussettes à béton CHAB remportent l'InnovDay TP, concours de l'innovation dans les Travaux Publics

La finale s'est déroulée mardi 25 mai 2021 à Lyon dans les locaux de la profession, en présence de Pierre Berger, Président de la FRTP Auvergne-Rhône-Alpes, Paul Galonnier, Président du Cluster INDURA et de Pierre Rampa, Président du Hub Innov'Infra.Les autres innovations gagnantes d'InnovDay TP sont le robot de traitement de façade PaintUP présenté par Romaric Gomart, PDG fondateur de PaintUP, basée à Villefranche-sur-Saône (69) dans l'Univers Transitions numériques et robotiques, et les Ecrans forestiers NGE Fondation présentés par Clément Bois, Directeur développement de NGE Fondations, basée à Saint-Priest (69) dans l'Univers Sobriété énergétique. Les 3 gagnants récompensés par une visibilité régionale participeront à la 6e édition du Salon Espace BTP des 1, 2, 3 et 4 juillet au Parc des Oiseaux de Villars-les-Dombes (01). Olivier Balas sera quant à lui récompensé par une visibilité nationale lors de la Rencontre annuelle des travaux publics de la FNTP en février 2022 ainsi que l'a annoncé par visio Bruno Cavagné, Président de la FNTP.« Mariage du textile et des Travaux Publics, la solution CHAB Chaussette à Béton est née de l'union de trois industriels leader dans leur domaine, Balas Textile, CTMI et SMB Bord Côte, en collaboration avec l'INSA Lyon » Olivier Balas, Président de Balas Textile46.500 votes !Après quatre semaines d'une campagne 100% digitale et 46 500 votes du public, les 49 innovations en lice ont été sélectionnées par les internautes. Les 9 lauréats des 3 univers, Transitions numériques et robotiques, Sobriété énergétique et Green Technologies, ont ensuite été départagés par le jury d'Innov Day TP, composé d'experts économiques, universitaires et scientifiques, à l'issue d'un ultime concours de pitchs.De g à d : Pierre Berger, Président de la FRTP Auvergne-Rhône-Alpes, Romaric Gomart, PDG Fondateur de PaintUP, Clément Bois, Directeur développement de NGE Fondations, Olivier Balas, Président de Balas Textile et Paul Galonnier, Président du Cluster INDURAComposition du jury : Dominique Chevillard, Directeur Technique et de la Recherche FNTP, Thierry Michel, président de la Commission Développement Durable FRTP Auvergne-Rhône-Alpes, Emmanuel Bois, Secrétaire Général Coordonnateur des Ecoles des Travaux Publics d'Egletons, Jean-Louis Valentin Directeur de Centre d'Affaires BTP Banque, Virginie Willaert, Directrice stratégie et développement Egis Rail, Olivier Bedeau, Directeur général de l'Auxiliaire, Félix Darve, Président du Conseil scientifique d'INDURA, Béatrice Causse, Directrice déléguée PRO BTP.Les chaussettes à béton Chab : la solution textile qui change la donne pour les fondationsLa construction nécessite des fondations. Cela implique de forer dans le sol pour construire des pieux de béton armé, ancrés dans un sol solide en dessous. Avec la raréfaction du terrain facilement constructible, les constructeurs se tournent vers des sites où d'épaisses couches de sol instable recouvrent le sol.Pour que les pieux atteignent le substratum rocheux, profondément en dessous, jusqu'à 30 m, il faut utiliser des équipements lourds, coûteux et encombrants tels que des caissons en acier. Les pieux forés à caisson d'acier sont nécessaires lorsqu'ils sont confrontés à des couches creuses. Mais le béton peut se répandre et polluer le sol, lorsque l'eau pénètre ou que le sol grotte, ce qui entraîne des pieux défectueux qui doivent être reconstruits. Le caisson en acier présente trois inconvénients principaux :Coûteux : nécessite de la machinerie lourde spécialisée et une logistique complexe qui peut engendrer des retards ;Fort impact environnemental : empreinte carbone élevée de la production, du transport et de la manutention ;Dangereux à utiliser.« CHAB change la donne pour les fondations profondes et participe à des techniques de construction beaucoup plus propres ! » souligne Olivier BALASLes chaussettes à béton CHAB remplacent les caissons en acier par une solution textile légère et facile à utiliser, qui n'a pratiquement pas d'exigences logistiques.Cette solution offre le même niveau de qualité, réduit les coûts, les retards et les risques.Innovation : Mise en place de pieux dans des zones meubles ou en présence de cavités karstiques. Par sa capacité de déformation et sa résistance à la pression lors du coulage du béton frais, la solution Chab permet la réalisation de pieux en évitant toute pollution et ce, avec un niveau de manipulation simple et en toute sécurité. Elle permet, à coût très inférieur par rapport à la solution employant des tubes acier, une réduction importante de l'empreinte carbone et une productivité accrue quel que soit le terrain.Société basée à Saint Romain-de-Popey (69) : CHAB est née de l'union de 3 industriels leaders dans leur domaine, Balas Textile, CTMI et SMB Bord Côte, en collaboration avec l'INSA Lyon, lauréats R&D booster 2018. Leur volonté a été de créer une structure industrielle innovante régionale dans le domaine du TP à rayonnement national et international. Leur expertise et leur savoir-faire dans les techniques et l'assemblage de composite ont permis à CHAB de déposer un brevet en 2019 sur une solution « Chaussette à béton ». https://chab-solutions.com/ZOOM sur les 2 autres lauréats des Univers Sobriété Energétique & Transitions numériques et robotiquesEcrans forestiers, par NGE FondationsLes écrans forestiers permettent d'éviter la réalisation d'ancrages forés et scellés au coulis de ciment, et de réduire les travaux d'abattage et le préjudice à l'environnement associé.« L'utilisation du peuplement forestier devient l'élément structurel des ouvrages de protection pare-pierres » précise Clément Bois, Directeur développement de NGE Fondations, lauréat dans l'Univers Sobriété Energétique.Fondations porte son effort de recherche sur des solutions innovantes en lien avec ses objectifs de réduction d'émissions de gaz à effet de serre et du respect de la biodiversité.Les 780 collaborateurs de NGE FONDATIONS accompagnent depuis 30 ans leurs clients sur tous les projets de fondations, de confortements et de travaux spéciaux, pour 200 millions d'euros de chiffres d'affaires, sur l'ensemble du territoire français et à La Réunion. Leader français de l'activité de sécurisation contre les risques naturels, NGE FONDATIONS conçoit, teste et commercialise des produits : paroi AD/OC®, écrans pare-blocs et forestiers, paravalanches et solutions de protection spécifiques. https://www.ngefondations.fr/Robot PaintUP, par PaintupLe robot de traitement de façade PaintUP est capable de nettoyer, décaper et peindre grâce à un bras robotisé porté par un chariot télescopique rotatif. Au sol, un ordinateur et un laser permettent de positionner et piloter le robot avec une grande précision.« Au-delà d'une finition prémium et d'une plus grande productivité, ce système améliore la sécurité en diminuant le risque de chutes et réduit la pénibilité » souligne Romaric Gomart, PDG Fondateur de PaintUP, lauréat dans l'Univers Transitions Numériques et Robotiques.Le potentiel de la solution PaintUP va au-delà de son utilisation actuelle. Il est possible entre autres de réaliser des fresques monumentales à des prix très concurrentiels.Société basée à Villefranche-sur-Saône (69) : Après 3 ans de R&D associant une Université et des industriels, le premier prototype PaintUP est entré en production en août 2019 sur un nettoyage de façade de 1800m2. La réussite de ce premier grand chantier a montré que la technologie PaintUP était opérationnel. http://www.paintup.fr/
Il y a 3 ans et 339 jours

A Volvic, la raréfaction de l'eau source d'inquiétudes

"On avait de l'eau jusqu'à mi-jambes et le ruisseau faisait tourner deux roues de moulin", raconte, nostalgique, Pierre Grodecoeur, 69 ans, face au cours d'eau qui longe sa maison natale.Le moulin a disparu depuis longtemps et le ruisseau est désormais souvent à sec.Pas bien loin, la pisciculture de Saint-Genest-l'Enfant, classée monument historique, manque aussi d'eau. C'est pourtant là que jaillit l'eau de Volvic après son parcours dans les roches volcaniques.Le lieu est bucolique, avec ses bassins du XVIIe en pierre de Volvic, creusés à l'ombre des aulnes et des platanes.Mais depuis 2017, plusieurs mois par an, les sources se tarissent. Les parois des bassins s'affaissent et les lentilles d'eau prolifèrent, transformant les surfaces liquides en miroirs verts. L'exploitation a dû cesser."En 1927, le débit avait été mesuré à 470 litres par seconde contre 50 litres par seconde aujourd'hui" explique Robert Durand, expert-géologue interrogé par l'AFP."Danone détruit un monument historique pour envoyer des bouts de plastique à l'autre bout du monde", peste le propriétaire Edouard de Féligonde qui mène le combat devant les tribunaux, avec son avocate Corinne Lepage.Un rapport, dont une copie a été transmise à l'AFP, conclut à "une relation souterraine entre les forages exploités pour l'eau de Volvic et la source Gargouilloux". Mais Danone, qui a financé ces recherches, n'a pas souhaité les publier. "Début de désertification"En aval, le manque d'eau "agit sur la biodiversité des milieux humides", déplore Christian Amblard, chercheur honoraire au CNRS de Clermont-Ferrand."On peut parler d'un début de désertification" allant de pair avec "le dépérissement de la végétation et de la faune associée: l'aulne glutineux et le tarin des aulnes, le frêne et le loriot d'Europe", détaille le scientifique."Seuls la main de l'homme et Volvic en sont responsables", assène-t-il.Comme lui, associations et riverains s'interrogent sur la responsabilité de Danone et de sa Société des eaux de Volvic (SEV), dont l'usine d'embouteillage est située à quelques centaines de mètres à vol d'oiseau.Le 21 mars, plusieurs centaines de personnes ont manifesté pour la journée mondiale de l'eau, à l'appel du collectif Eau Bien commun 63."Aujourd'hui, les débits ne permettent plus d'irriguer les cultures. Depuis quelques années, il n'y a plus d'activité maraîchère ou horticole dans cette zone", constate Laurent Campos-Hugueney, membre du collectif et porte-parole de la Confédération paysanne.Les forages de la SEV atteignent 100 mètres de profondeur: "c'est comme si on vidait la baignoire par le bas", explique François-Dominique de Larouzière, géologue et membre de l'Association pour la protection des entrées sur les volcans d'Auvergne (Preva)."Danone se tire une balle dans le pied, mais quand il n'y aura plus d'eau au robinet, ça va faire mal" prédit-il.La multinationale a prélevé 2,33 millions de mètres cube en 2020, soit près d'un quart des usages de l'eau sur ce territoire, la moitié étant réservée à l'eau potable et le reste au milieu naturel.Danone assure avoir limité ses prélèvements, tout en menant différentes actions de protection de l'impluvium, la zone qui recueille l'eau de pluie."Nous avons économisé 380 millions de litres entre 2017 et 2020 pour des niveaux de vente stables", déclare à l'AFP Jérôme Gros, directeur des usines Volvic qui emploient 900 salariés.Pour embouteiller un litre d'eau, il fallait prélever quasiment le double en 2014 en raison des opérations de nettoyage. "Aujourd'hui nous sommes à 1,4 litre prélevé pour un litre embouteillé", se félicite-t-il."Insuffisant", pour les associations. Elles rappellent que le groupe a obtenu l'annualisation des prélèvements, ce qui lui permet de pomper plus l'été pour répondre à la demande."Comment expliquer au citoyen qu'il ne peut pas arroser trois pieds de tomates en plein été quand il voit sortir de l'usine camions et wagons chargés?", s'emporte François-Dominique de Larouzière.L'Etat en accusationPourtant "Danone n'enfreint pas la loi. C'est l'Etat qui lui accorde des droits de prélèvements supérieurs à la capacité de régénération de la ressource", reconnaît le géologue.De fait, un arrêté de 2014 prévoit un volume maximal de 2,79 millions de mètres cube par an, supérieur aux prélèvements de la SEV.Soit 88,6 litres par seconde, contre 15,6 litres par seconde en 1965, année des premiers embouteillages commerciaux.Malgré plusieurs sollicitations, le préfet Philippe Chopin a refusé de répondre l'AFP, renvoyant aux services de la DDT (Direction départementale du territoire)."Les autorisations annuelles fixées dans l'arrêté de 2014 sont suivies et contrôlées par l'État et respectées par l'embouteilleur", souligne la préfecture dans une réponse écrite."Les conditions environnementales, et notamment la sécheresse, ont conduit à une baisse de la recharge de l'aquifère sans qu'elle puisse être imputée à notre sens aux prélèvements réalisés en aval par la SEV", avait argumenté le préfet début avril, lors de son audition devant la commission parlementaire sur "la mainmise sur la ressource en eau par les intérêts privés", présidée par Mathilde Panot (LFI).Toutefois, selon les données de Météo-France, les cumuls annuels de précipitations sur la zone n'ont pas varié, même s'ils sont moins réguliers. Quant à la hausse des températures, "elle ne peut expliquer à elle seule ce déficit", assure M. de Larouzière.Des incertitudes pèsent aussi sur l'alimentation en eau potable.Les permis de construire ont été suspendus sur les hauteurs de Volvic depuis août 2020: "Nous avons préféré ne plus délivrer d'autorisation de construction afin de réduire le risque de déficit d'eau potable sur un captage", explique Laurence Dupont, première adjointe au maire chargée de l'urbanisme.La mairie reconnaît avoir reçu des courriers de citoyens mécontents de ne pouvoir bâtir alors que la multinationale poursuit ses prélèvements.Mais le maire Laurent Thévenot est catégorique: les captages en eau potable sont indépendants de ceux de la SEV et "les deux phénomènes ne sont pas liés"."En tant que maire, je n'ai pas vocation à aller dans le sens des gens qui accusent la SEV, alors que je n'ai aucun élément pour étayer cette hypothèse", balaye l'élu, dont une centaine d'administrés travaillent à l'usine.
Il y a 3 ans et 341 jours

Portée par la croissance, Portalp recrute

Grâce à l’obtention de nouveaux marchés, l’entreprise familiale Portalp, premier fabricant français de portes automatiques piétonnes, poursuit son développement. Pour faire face à cette activité soutenue, Portalp, qui a déjà intégré 170 nouveaux collaborateurs en 2020, recrute aujourd’hui de nouveaux collaborateurs pour son site de production de Saint-Égrève (Isère), son centre de développement de Fontaine (Isère) ainsi que des techniciens polyvalents pour ses 26 agences régionales qui assurent la pose et la maintenance de tous types d’automatismes. 50 postes à pourvoir : intégrer une entreprise en pleine croissance ! Portalp dispose d’une offre globale de produits et services pour l’ouverture et la mise en sécurité des bâtiments. Elle bénéficie également d’une expertise dans les portes palières de quai. Ayant récemment remporté de nouveaux marchés d’envergure, l’entreprise, qui intervient depuis l’étude de projet jusqu’à sa maintenance, recrute de nouveaux collaborateurs dont : – des techniciens polyvalents poseurs, – des technicien(ne)s de maintenance portes automatiques pour renforcer les équipes de ses agences régionales de : Saint-Laurent-du-Var (06), l’Union (31), Chateaugiron (35), Fontaine (38), Saint-Herblain (44), Wavrin (59), Cournon- d’Auvergne (63), Herlisheim (67), Saint-Bonnet- de-Mure (69), Plessis-Pâté (91) et Domont (95), – ainsi que de nombreux techniciens pour assurer la pose des portes palières de quai sur les nouvelles lignes de métro en Ile-de-France. En parallèle, le centre de développement de Grenoble assure un recrutement accru d’ingénieurs pour accompagner la conception de ses nouveaux produits.   Portalp, une ETI qui place l’humain au cœur de son développement Comptant 759 collaborateurs (techniciens, commerciaux, administratifs, ingénieurs, opérateurs…) répartis sur son site de production et ses agences régionales en France, Portalp est une entreprise familiale indépendante. Elle est portée par le dynamisme et les valeurs de son vice- président Maxime Duponchel, 31 ans, très attaché à la proximité, la parité, l’égalité salariale, la réinsertion et l’intégration de personnes en situation de handicap. Dans le secteur du bâtiment, les entreprises font face à 20 % de turn-over. Pour parer à cette problématique, Portalp favorise la fidélisation de ses salariés grâce à la taille humaine de la société, de bonnes conditions de travail, l’esprit d’équipe et l’implication de ses collaborateurs dans des projets d’entreprise. Elle privilégie également leur évolution de carrière à tous les niveaux, comme en témoigne Laurent Steen, directeur des Ressources Humaines : « la plupart des managers étant issus du terrain, cela favorise leur légitimité auprès des autres collaborateurs. Portalp regroupant différents métiers et étant en véritable croissance, un salarié peut se convertir dans un domaine ou aller dans une autre agence s’il le souhaite. À titre d’exemple, sur les 300 techniciens que nous comptons, 30 d’entre-eux sont devenus conducteurs de travaux et 30 autres responsables de secteur SAV». Portalp, un centre de formation intégré Portalp parie sur la montée en compétence de ses salariés pour les fidéliser. En effet, chaque nouveau collaborateur bénéficie de formations. Les cursus liés aux spécificités du métier de technicien poseur n’existant pas, Portalp pallie ce manque grâce à son propre centre de formation et consacre un budget conséquent pour former ses collaborateurs en interne (700 000 euros en 2020) et en externe si nécessaire. Basé à Niort, il est composé de cinq formateurs, dont un se déplaçant dans chacune des agences régionales, placés sous la responsabilité d’une directrice. Portalp a créé depuis deux ans « l’Essentiel », un cycle de formation ouvert à toute personne sans expertise particulière, souhaitant intégrer l’entreprise. Le candidat est engagé en CDI, avec une clause de formation et d’engagement pour la société. Celle-ci se déroule sur trois ans, à raison de : – un mois consacré à la découverte de la technicité des produits la première année, avec passage de l’habilitation électrique et formation technique à la pose et au SAV, – un mois dédié à l’approfondissement des connaissances sur les différentes portes (hospitalières, piétonnes, industrielles…) incluant une formation avec le fournisseur allemand EFAFLEX de Portalp sur les portes à relevage rapide l’année suivante, – et enfin un mois d’apprentissage approfondi sur tous les modules essentiels du métier de technicien polyvalent en portes automatiques la troisième année. À l’issue de ces trois ans alternant enseignement et expérience acquise sur le terrain, il obtient une certification reconnue pour la maintenance et le SAV des portes automatiques piétonnes. En capitalisant sur l’humain, la formation et la fidélisation, Portalp entend ainsi attirer et ouvrir ses portes à de nouveaux talents et les faire participer à son développement. http://www.portalp.com
Il y a 3 ans et 341 jours

Les prix des logements anciens augmentent portés par une envie de vert et la recherche d'espace

Selon l'indice établi en commun par les notaires et l'Insee, les prix des logements anciens ont continué d'augmenter au premier trimestre, en progrès de 5,9%, avec pour la première fois depuis 2016 une hausse plus marquée pour le prix des maisons (+6,5%) que pour les appartements (+5,1%)."La crise a alimenté l'envie de déménagement" et le télétravail généralisé durant cette période a créé "de nouveaux besoins" chez les acquéreurs, en rendant "la pièce de bureau quasiment indispensable", a expliqué jeudi le notaire parisien Thierry Delesalle, à l'occasion de la présentation des chiffres trimestriels du marché par la Chambre des notaires du Grand Paris.L'attrait général pour les maisons est notamment porté par le marché francilien, où les prix ont grimpé de 7,1% ce trimestre, après une hausse de 6,8% fin 2020. En Ile-de-France, la hausse des prix sur les appartements a en revanche observé un ralentissement au premier trimestre (+3,6% contre +6,1% au 4e trimestre 2020).Ces chiffres en région parisienne "traduisent une relative perte d'attractivité des centres urbains" et une "envie de vert" de la part des acheteurs, ont résumé les notaires du Grand Paris.Si les prix restent au-dessus des 10.600 euros le mètre carré à Paris au premier trimestre (+1,7%), la capitale n'est plus "la locomotive" de la hausse des prix dans la région et dans le pays, ajoute M. Delesalle."Après avoir connu, ces quatre dernières années, des hausses de prix de 5% à 9% par an, la dynamique s'est progressivement interrompue dans la capitale", selon les notaires parisiens.Ainsi, le nombre de ventes sur les 12 derniers mois dans la capitale a reculé de 14% fin mars, alors qu'il atteint des sommets au niveau national.Record de ventesEn France, avec près de 1,08 million de logements anciens vendus entre mars 2020 et mars 2021 en France, le nombre de transactions a franchi un niveau historique, dépassant légèrement le pic observé fin 2019, avant le début de la crise sanitaire, relève l'indice Notaires-Insee.Selon M. Delesalle, ce "record absolu des volumes" s'explique à la fois par un "effet de rattrapage" après la paralysie temporaire du marché lié au premier confinement du printemps dernier, et par les mesures gouvernementales de soutien à l'économie, qui ont relancé la "confiance pour investir dans l'avenir"."On n'est pas en face d'un tsunami mais d'une vague de fond, cette volonté de déménager devrait continuer pendant plusieurs années", a ajouté le notaire parisien.La recherche d'espace a également fait bondir le marché des maisons à la campagne, qui a atteint "un nombre record de transactions", avec près de 112.000 ventes en 2020, et des prix en hausse de 6,4%, selon le rapport annuel de la fédération nationale des organes de régulation du foncier (FNSafer), publié jeudi.Ce dynamisme du marché français se répercute aussi sur les prix. En province au premier trimestre, la hausse touche autant les maisons (+6,5%) que les appartements (+6,3%), avec une flambée particulière sur les appartements anciens à Lyon (+8,6%, après +9,2% et +11,5% les trimestres précédents), et sur les maisons en Auvergne-Rhône-Alpes (+7,1%), selon l'Insee.Cette hausse générale des prix devrait se poursuivre au moins jusqu'à l'été, soutenue notamment par "l'épargne accumulée" durant la crise sanitaire, estiment les notaires du Grand Paris.
Il y a 3 ans et 341 jours

Baromètre emploi Synergie : les métiers qui recrutent dans le BTP

« Après une annus horribilis en 2020, marquée par l'arrêt quasi-total des chantiers au printemps et une chute de 15 % du chiffre d'affaires de la construction, le secteur retrouve du dynamisme et des perspectives. La Fédération Française du Bâtiment prévoit ainsi un rebond d'activité atteignant 11 % en 2021(2). Et le premier trimestre est encourageant. L'artisanat du bâtiment enregistre, de janvier à mars 2021, une activité en hausse de 9,5 % contre une baisse de 12 % au premier trimestre 2020 portée aussi bien par la construction neuve (+ 10 %) que par l'entretien-rénovation (+ 9 %) », souligne Virginie Gonzalez, responsable de marchés BTP, Tertiaire et Médical chez Synergie.Ce regain de forme suffit à aiguiser les tensions de recrutement sur un marché déjà pénalisé, avant la crise sanitaire, par une pénurie structurelle de main d'œuvre qualifiée, avec pour effet plusieurs dizaines de milliers de postes non pourvus chaque année. Dans sa dernière enquête, Pôle Emploi a recensé, dans la construction, près de 220.000 projets de recrutement pour 2021, dont 63% rencontrent ou anticipent des difficultés à trouver un candidat.« Dans ce contexte, l'intérim joue un rôle essentiel pour sourcer, attirer, former, accompagner les profils que les entreprises ne parviennent pas à recruter en nombre suffisant. Nous disposons, pour les fidéliser, d'outils comme le CDI intérimaire, qui associe les garanties d'un CDI et la flexibilité de l'intérim», explique Virginie Gonzalez.Parmi les métiers les plus recherchés en intérim destinataires du plus grand nombre d'offres entre janvier et avril 2021 - figurent ainsi les incontournables de la profession, qui souffrent depuis longtemps d'un manque de vocations et d'une insuffisance des filières de formation. Les électriciens, les maçons et les charpentiers se hissent aux trois premières places des profils les plus convoités, suivis par les ouvriers du BTP, les conducteurs d'engins de chantier et les couvreurs. Le Top 10 est complété par les peintres en bâtiment, les plombiers, les plaquistes et les menuisiers poseurs.« La demande est tirée vers le haut par le redémarrage de la construction neuve, par l'accélération des travaux de rénovation énergétique - avec le soutien d'aides publiques et du plan France Relance enfin par la réalisation de méga-chantiers comme la construction du Grand Paris, la préparation des Jeux Olympique 2024 ou encore la mise en œuvre de la liaison européenne Lyon-Turin », rappelle Virginie Gonzalez.En Ile-de-France, par exemple, plus de 68.000 postes seront à pourvoir, d'ici 2024, dans les secteurs du Bâtiment et des Travaux Publics. De son côté Pôle Emploi recense, pour 2021, près de 44.000 projets de recrutement en Ile-de-France, plus de 26.000 en Auvergne Rhône-Alpes, 24.000 en Bretagne et en Pays de la Loire, 19.000 en Nouvelle-Aquitaine et le même volume en Provence-Alpes-Côte d'Azur.« Au-delà des maçons, électriciens, charpentiers et autres familles professionnelles très connues, l'offre d'emplois en intérim, CDD et CDI est également très soutenue pour des métiers qui ne viendraient peut-être pas spontanément à l'esprit d'un jeune en réflexion sur son avenir. Coffreur bancheur, étancheur, grutier, serrurier-métallier, tunnelier, solier moquettiste, chauffagiste...Autant de professions où les perspectives de recrutement et de rémunération sont très favorables », détaille Virginie Gonzalez.Les offres de CDI affluent pour les cadres et ingénieurs du BTPPour répondre aux besoins récurrents du secteur, Synergie multiplie les programmes de formation sur-mesure, développe massivement les contrats d'apprentissage et de professionnalisation, élargit les passerelles de reconversion depuis certains secteurs industriels durement frappés par la crise (aéronautique, automobile...). Le groupe, enfin, accélère la féminisation des métiers, en s'appuyant sur des partenariats avec des associations de référence (Force Femmes, Elles Bougent, Femmes d'ici et d'ailleurs...) et des outils pionniers comme le forum Mix&Métiers.« Nous avons également lancé des programmes très innovants en insertion, comme le Parcours Dynamique Emploi qui transforme les clauses sociales des marchés publics en un véritable tremplin professionnel pour les personnes en situation de précarité, ou encore le dispositif 1.000 jeunes en CDII, au soutien des 16-25 ans fragilisés par la crise. Par ailleurs nous sommes très fiers de contribuer au succès de HOPE, une offre complète de formation et d'accès aux métiers du BTP, dédiée aux réfugiés, qui fédère un grand nombre de partenaires publics et privés », indique Virginie Gonzalez.Sur un marché en phase de reprise, les offres d'emplois en CDI sont elles aussi orientées à la hausse. La multiplication des grands projets d'infrastructures et d'amélioration de l'habitat a notamment stimulé la demande en profils d'encadrement. Dans le Top 10 des offres en CDI, sur les 4 premiers mois de 2021, apparaissent ainsi 5 métiers à vocation managériale : coordinateur de travaux (en 1re position), conducteur de travaux (3e), chef de chantier bâtiment (6e), chef de projet génie climatique (8e) et chef d'équipe bâtiment (10e). Le palmarès des profils les plus recherchés, en CDI, est complété par les métiers opérationnels structurellement pénuriques - électricien, maçon, couvreur, menuisier.
Il y a 3 ans et 361 jours

Élection au Bureau confédéral de la CAPEB

La composition du nouveau Bureau confédéralDavid Morales a été élu au poste de Vice-Président, en charge des affaires économiques, en remplacement de Sabine Basili qui ne se représentait pas. A ce titre, il préside la Commission nationale des affaires économiques de la CAPEB.Cette élection ayant libéré le poste de Secrétaire adjoint, c'est Thierry Ravon qui fait son entrée au Bureau à cette fonction.Candidat sortant dans la fonction, Gilles Chatras a été réélu Vice-Président en charge de la formation et du Réseau.Toutes les élections au sein du Bureau se font à bulletin secret pour des mandats de trois ans. Le Bureau confédéral 2021 se compose donc des huit membres suivants :Les membres du nouveau Bureau confédéral(En rouge : nouvellement élu - En bleu : réélu)Bio express des nouveaux élus du BureauThierry Ravon fait son entrée en Bureau au poste laissé vacant de Secrétaire adjoint. Membre de la commission nationale des affaires économiques de la CAPEB, il a tout récemment développé le tout premier Contrat de Construction de Maison Individuelle (CCMI) 100% digital et intelligent, qui permet aux petites entreprises du bâtiment d'accéder au marché réglementé de la construction individuelle. Installée à Balzac en Charente en 2001, son entreprise de carrelage emploie aujourd'hui 9 salariés dont 2 apprentis. Administrateur de sa CAPEB départementale, il est élu président de la CAPEB régionale de la Nouvelle Aquitaine. Il est vice-président l'U2P de la même région. Il est élu administrateur du CCCA-BTP.David Morales, ancien secrétaire adjoint, est élu Vice-président en charge des affaires économiques. Ancien gendarme (et ancienne ceinture noire de judo), il passe un CAP Plâtrier et s'installe en 1982 en Haute Garonne à Encausse les Thermes. Président de l'entreprise SASU MORALES, cette entreprise familiale emploie aujourd'hui 10 salariés dont fils et belle fille. Administrateur de la CAPEB de son département (31), il devient administrateur de la CAPEB nationale à la faveur de son élection à la présidence de l'UNA des métiers et techniques du plâtre et de l'isolation 2010-2019. Au CSTB, il est expert et président du Groupe Spécialisé n°9, donnant les avis techniques pour les cloisons, doublages, plafonds.Gilles Chatras, vice-président sortant, il est réélu à ce poste qu'il occupe depuis 2020. Élu administrateur confédéral en 2009, il est élu président du FAF-CEA de 2017 à 2020. Il a également été conseiller professionnel de l'UNA des métiers de la Peinture-Vitrerie-Revêtement de 2005 à 2020. En 1991, il reprend l'entreprise familiale située à Clermont-Ferrand. Aujourd'hui associé au sein d'une SARL de peinture, décoration et plâtrerie, il emploie 2 salariés et un apprenti. Adhérent de la CAPEB en 1991, il est élu Président de la CAPEB du Puy-de-Dôme en 2013. Trois nouveaux élus au sein du Conseil d'administration :Jean-Michel MARTIN :Charpentier Menuisier en activité principale, et œuvrant en Isolation Cloisons constructeur pour les activités annexes, il crée son entreprise en 1985 à Montilliers dans le Maine et Loire, qu'il co-gère avec son frère. Ils représentent la 6ème génération, la 7ème génération étant déjà dans l'entreprise, qui emploie aujourd'hui 38 salariés, apprentis compris. Jean-Michel Martin adhère à la CAPEB de son département en 1992 où les responsabilités syndicales ou professionnelles le portent à la présidence de 2012 à 2015. Il est également élu administrateur de l'U2P du Maine et Loire. A l'Assemblée générale de la CAPEB nationale du 22 avril 2021, il est élu président de l'UNA Charpente Menuiserie Agencement et, à ce titre, intègre le conseil d'administration.Bruno HATTON :Métallier et menuisier aluminium, Bruno Hatton a repris l'entreprise familiale en 2008 à Pruillé-le-chétif (Le Mans Métropole) dans la Sarthe. Bruno Hatton représente la 3ème génération. Son entreprise emploie aujourd'hui 18 salariés, dont 3 apprentis issus des Compagnons du devoir et de CFA du bâtiment. Il adhère à la CAPEB de son département l'année de son installation. Rapidement engagé et militant, les responsabilités syndicales le conduisent à la présidence de la Section métallerie départementale, puis à la co-présidence de la CAPEB de la Sarthe et à la fonction de trésorier de la CAPEB régionale des Pays de la Loire. Au sein de l'interprofession artisanale, il est élu trésorier de l'U2P départementale. A l'Assemblée générale de la CAPEB nationale du 22 avril 2021, il est élu président de l'UNA Serrurerie Métallerie et à ce titre intègre le conseil d'administration.Benoit GAUTHIER :Maçon en Ardèche à Saint Désirat, il succède à son père à la gérance de l'entreprise familiale en 2006 et travaille actuellement seul. Son entreprise, qui œuvre en pierres sèches, est labellisée EPV, Entreprise du Patrimoine Vivant. Son entreprise adhère à la CAPEB de son département en 1966, il enchaine les responsabilités syndicales qui le conduisent à la présidence de la CAPEB de l'Ardèche, puis à la présidence de la commission économique de la CAPEB régionale de Auvergne-Rhône-Alpes. Au sein de la CAPEB nationale, Benoit Gauthier est désigné conseiller professionnel auprès du président de UNA Métiers de la Pierre, Eric Le Dévehat. A l'Assemblée générale de la CAPEB nationale du 22 avril 2021, il est élu administrateur au sein du conseil d'administration.
Il y a 3 ans et 363 jours

Kiloutou étend sa présence en Auvergne-Rhône-Alpes

ACQUISITION. Le groupe Kiloutou a racheté le groupe Centrale de location spécialisé dans la location de matériels pour le bâtiment et les travaux publics au nord de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Il y a 3 ans et 363 jours

Généalogie du bâti industriel - Livre

Depuis la fin du XVIIIe siècle, les industries métallurgiques et textiles ont laissé des traces profondes dans le paysage bâti de la région Auvergne-Rhône-Alpes. En témoignent les sites présentés dans cet ouvrage, en activité, en attente de réaffectation ou reconvertis, qui illustrent la richesse d’un patrimoine dont […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 364 jours

Référence: Gottfried Böhm, déconstructiviste avant l'heure

Depuis la fin du XVIIIe siècle, les industries métallurgiques et textiles ont laissé des traces profondes dans le paysage bâti de la région Auvergne-Rhône-Alpes. En témoignent les sites présentés dans cet ouvrage, en activité, en attente de réaffectation ou reconvertis, qui illustrent la richesse d’un patrimoine dont […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 3 jours

NATUR’IN : nouveau salon du tourisme durable et de l’hôtellerie de plein air

Effet du grand mouvement vers la transition énergétique, les modèles de consommation changent et les clients se tournent davantage vers de nouvelles offres de loisirs. Le tourisme durable est de plus en plus plébiscité pour sa défense d’un tourisme de proximité, convivial et ancré dans la politique du plan de relance. L’hôtellerie de plein air quant-à-elle est aux avant-postes pour répondre à ces attentes, développer son attrait, innover et renforcer son éco-responsabilité. NATUR’IN se veut être une véritable plateforme d’échange et d’information pour les professionnels du secteur. Véritable incubateur des loisirs de demain, cette première édition s’articulera autour de 3 thématiques majeures : les pratiques éco-responsables de l’HPA et de ses acteurs, de nouveaux services pour une gestion optimisée des établissements, et du Plan Tourisme durable et des appels à projet pour financer le développement et la transformation du secteur. Du 28 au 30 septembre 2021 à la Grande Halle d’Auvergne à Clermont-Ferrand
Il y a 4 ans et 3 jours

Onduline

L'ancienne couverture de 17 000 m2 en plaques en fibrociment amianté d'un bâtiment de Chassagny en Auvergne-Rhône-Alpes a été déposée pour être remplacée par des panneaux sandwich en acier. Des panneaux translucides en polycarbonate ONDUCLAIR THERMO d'ONDULINE s'inscrivent dans la nouvelle toiture pour laisser passer la lumière du jour tout en profitant d'une excellente isolation.