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Il y a 2 ans et 148 jours

L'Etat planche sur l'avenir du Stade de France au-delà de 2025

Les services de Bercy sont en effet en train de rédiger le cahier des charges d'un appel d'offres d'une nouvelle concession pour le premier trimestre 2023 avec une sélection en 2024, ont rapporté plusieurs sources proches du dossier à l'AFP.Signé à la va-vite entre les deux tours de l'élection présidentielle de 1995, le contrat de concession accordé à un consortium Vinci/Bouygues, constructeurs du stade, prend fin en juillet 2025. D'ici là, la plus grande enceinte de France aura déroulé sa pelouse à la Coupe du monde de rugby, offert une nouvelle piste aux athlètes des JO, et accueilli moult concerts comme bientôt Metallica.Les récents propos du président du PSG Nasser Al-Khelaïfi, en bisbilles avec la ville de Paris sur le Parc des Princes et se montrant intéressé par le SDF ont rappelé que l'avenir de l'enceinte était en suspens.Même si l'idée que le PSG joue à Saint-Denis peut sembler improbable. En réalité, l'Etat se creuse les méninges depuis déjà plusieurs années et empile les rapports pour savoir comment exploiter au mieux cette enceinte de 80.000 personnes qui va aussi avoir besoin d'un coup de neuf, 25 ans après y avoir sacré championne du monde de foot l'équipe de France de Zidane et Deschamps.Coûter moinsEn arrière plan : le modèle choisi doit coûter moins cher à l'Etat.Entre les contentieux, l'indemnité pour absence de club résident versée pendant des années, les compensations diverses comme récemment pour les travaux du RER B, le Stade a coûté cher.Quelque 778 millions de dépenses publiques pour le stade et les infrastructures associées, avait calculé la Cour des comptes en 2018, sollicitée par le Premier ministre de l'époque, Edouard Philippe. Celui-ci n'avait alors pas exclu l'hypothèse d'une vente et la Cour préconisait à l'époque que l'avenir du Stade "soit arrêté au plus tard au cours de l'année 2019".Dans un rapport dédié aux JO publié la semaine dernière, la Cour des comptes s'est ainsi ému que l'affaire traîne. Et, devant l'hypothèse d'un appel d'offres au printemps 2023, elle juge que "ce calendrier est le plus défavorable pour l'État qui, comme en 1995, va se retrouver sous la pression tant des candidats que des fédérations sportives"."Je ne sais pas s'il proposera un modèle de concession, un modèle de régie, un modèle de vente", expliquait il y a quelques mois la directrice générale du consortium Alexandra Boutelier sur Europe 1.Selon des sources proches de l'exécutif, l'hypothèse d'une vente reste "faible"."Repartir à zéro"De leur côté, que vont faire les Fédérations de football (FFF) et de rugby (FFR), qui se sont souvent plaintes de leur sort, jugeant un temps le coût trop élevé pour le foot ou projetant d'aller construire un stade ailleurs pour le rugby ?"L'occasion est donnée de repartir un peu à zéro", observe une source proche du dossier, "plutôt que de subir un concessionnaire, ils se disent +il faut s'y intéresser+, +qu'on aille les voir avant+, +qu'on intègre une concession+, etc", a-t-on ajouté de même source.Du côté des collectivités, l'idée est aussi d'être invité à la table. "J'ai dit à l'Etat que nous souhaitions que les collectivités locales soient dans la nouvelle concession et aient une place dans la gouvernance", a expliqué le maire PS de Saint-Denis, Mathieu Hanotin, interrogé par l'AFP, qui veut un stade "plus ouvert sur la ville".Il faudra aussi que le nouvel exploitant s'engage "sur un programme de travaux" pour que l'enceinte reste "attractive", explique une source gouvernementale.Pour l'instant, des travaux notamment d'éclairage (LED) ont été menés, pour un montant autour de 40 millions sur la facture des JO.Les relations entre le Stade de France et le comité d'organisation des Jeux (Cojo) sont d'ailleurs "tendues", a appris l'AFP de sources concordantes. Le consortium a finalement refusé de s'engager dans l'organisation des épreuves olympiques elle-mêmes, repassant la balle au Cojo.Autre sujet de discorde: le prix à payer pour dédommager le consortium en raison de la période d'immobilisation du fait des JO, plus longue que prévu (travaux, etc). Des négociations sont en cours, tant sur le montant que sur sa prise en charge -une partie pourrait l'être par l'Etat.
Il y a 2 ans et 155 jours

Rénovation de l’éclairage au siège social de SAIPEM France : des économies d’énergie qui dépassent l’objectif attendu !

Installée à Montigny le Bretonneux dans le département des Yvelines, SAIPEM en France est l’une des plus importantes sociétés d’ingénierie, d’exécution de projets et de développements technologiques offshore et onshore du Groupe SAIPEM. Dans le cadre du décret de la loi ELAN qui impose au parc tertiaire existant de réduire sa consommation énergétique de -40% en 2030 à -60% en 2050 par rapport à 2010, l’entreprise vient de remplacer son installation d’éclairage par des luminaires LED de Sylvania, associés à la solution de gestion d’éclairage intelligente SylSmart. D’une surface de 26.000 m2, le siège social de SAIPEM en France reçoit ses 2.000 salariés dans un immeuble R+6 divisé en 4 zones (A, B, C, D). Il est constitué d’un rez-de-chaussée où se trouve l’espace d’accueil et de 6 étages identiques où sont réunis les plateaux de bureaux, les salles de réunion et deux zones de confort. Construit en 2001, le bâtiment aux larges façades vitrées disposait, entre autres, d’un éclairage indirect par dalle équipée de deux tubes fluocompacts d’une puissance de 55W chacun, allumé en permanence de 6h00 à 21h00. Celui-ci devenu obsolète, l’entreprise décide fin 2021 de procéder à son remplacement afin de répondre aux objectifs de réduction de consommations énergétiques fixés par la loi ELAN. Sur recommandation de Bouygues Energies & Services, en charge des travaux et de la maintenance du bâtiment, David Halluin – Responsable des Services Généraux SAIPEM France – a choisi les luminaires LED éco-performants de Sylvania associés à la solution de gestion d’éclairage intelligent SylSmart Connected. Un objectif initial de 75% d’économie d’énergie en hiverAfin d’atteindre les économies d’énergie visées par SAIPEM France, Sylvania a commencé par effectuer un audit énergétique des systèmes d’éclairage en place, de leurs coûts et des réglementations à respecter (loi ELAN, arrêt des tubes fluorescents au 1er septembre 2023). Il a été suivi par une étude d’éclairage réalisée par le bureau d’études de Sylvania qui a ainsi préconisé de remplacer : – les dalles lumineuses en blanc chaud (3000 K) par le luminaire éco-responsable OPTICLIP à modules LED remplaçables, associé à la solution de gestion d’éclairage intelligent SylSmart Connected, – les spots fluocompacts d’une puissance de 26W situés dans les zones de circulation par le downlight décoratif ASCENT 100 II. Pour apprécier l’efficacité de la solution d’éclairage recommandée et s’assurer qu’elle répondait aux besoins de SAIPEM France, 8 luminaires OPTICLIP avec double détection (capteur de présence et prise en compte de l’apport de lumière naturelle) ont d’abord été installés pendant 6 mois dans un bureau. Le résultat étant concluant, le remplacement de l’ensemble des luminaires des ailes A et B au 4ème étage a débuté en avril 2022. Associant une haute efficacité lumineuse (122 lm/W) et un bon indice d’éblouissement (UGR80, SDCM
Il y a 2 ans et 162 jours

Bouygues Immobilier crée une filiale spécialisée dans les monuments et sites classés

STRATÉGIE. Bouygues Immobilier lance Nouveau Siècle, une filiale spécialisée dans la réhabilitation de sites et monuments historiques, et annonce son premier projet à Metz.
Il y a 2 ans et 170 jours

« La mesure de notre impact sur la biodiversité est une évolution nécessaire », Patrizia Gatti-Gregori et Carla Pfaff, Bouygues Construction

De retour de la COP 15 sur la diversité biologique qui s'est achevée le 19 décembre dernier à Montréal, Patrizia Gatti-Gregori, directrice...-Entreprises
Il y a 2 ans et 175 jours

Palmarès des secteurs du BTP et de l'immobilier qui emploient les ingénieurs des Arts et Métiers

Cet outil interne, édité semestriellement, permet d’apporter aux Alumni des Arts et Métiers, mais aussi aux élèves et à leurs enseignants, une information objective et prospective sur l’emploi dans 12 secteurs industriels où les ingénieurs Arts & Métiers sont présents et reconnus (Aéronautique, Agroalimentaire, BTP, Conseil, Défense, Énergies renouvelables, Logistique, Luxe, Nucléaire, Informatique, Santé, Transports.)Fruit du travail des Groupes Professionnels de la Soce, réalisé en partenariat avec la Junior-Entreprise AMJE Paris, cet observatoire réunit des données sur l’actualité économique et technologique, les perspectives de croissance et l'évolution des indicateurs généraux d’employabilité, accompagnés de points de vue d’ingénieurs des Arts et Métiers, experts dans leurs différents secteurs.Afin de rendre compte rapidement de l’attractivité des secteurs étudiés, les Groupes Professionnels ont créé un indice global d’attractivité se définissant comme suit :Secteur BTP - immobilier1. AttractivitéSi le secteur connaît des difficultés conjoncturelles liées au COVID ou à la guerre en Ukraine, l’impulsion donnée par le gouvernement pour verdir le bâtiment, développer de nouvelles infrastructures dans les énergies ou développer l’industrie permet d’être optimiste quant à son avenir.Les entreprises du BTP connaissent de profonds bouleversements organisationnels avec la transition numérique, qui sera source de nombreuses opportunités d’emplois. Le besoin d’ingénieurs étant croissant dans le secteur, les salaires et le nombre d’emplois suivront.Par ailleurs, la présence des groupes français Vinci, Bouygues et Eiffage dans le top 6 européen du BTP témoigne du rayonnement et du savoir-faire français dans le domaine de la construction.Au premier semestre de 2022, le secteur du BTP est classé à la 4e place sur le critère de l’attractivité parmi les 12 secteurs analysés.2. Le point de vue d’un acteur du secteurJean-Marie DOLO - Directeur technique et de l’innovation - Eiffage« De très belles perspectives se présentent pour les travaux publics en France et à l’international, notamment grâce aux projets comme le Grand Paris ou les nouveaux programmes nucléaires. Les industriels du BTP, comme la construction ou l’entretien des routes auront des difficultés de rentabilité à cause d’un volume d’affaires insuffisant. Le bâtiment est lui porté par la construction de logements et non plus par le tertiaire. La réglementation de la RE2020 incite à diminuer l’utilisation de béton et à s’orienter vers des matériaux plus chers et qui sont en difficulté d’approvisionnement, à cause d’une offre insuffisante.Le digital va révolutionner le secteur en faisant évoluer les manières de construire, vers un mode de fonctionnement plus coopératif et avec l’apparition de nouveaux métiers autour de la transition numérique. Le domaine est aujourd’hui à la pointe de la technologie et propose de beaux métiers d’avenir. Il n’y a plus aujourd’hui de parcours type pour réaliser une belle carrière dans le secteur.La hausse des prix à cause de la guerre en Ukraine ou les retards de dépôts de permis de construire n’auront qu’un effet passager. La nécessité de réindustrialiser la France, le rayonnement des majors français du BTP à l’international, ainsi que l’impossibilité de délocaliser les métiers du secteur permettent d’être confiant sur son avenir en France. »3. Le point de vue du Président du Groupe Professionnel BTP - ImmobilierJean-Yves GABON, Président du Groupes Professionnels 28 - Chef de service - Bouygues Construction« Le secteur du BTP est attractif et vaste, avec un fort besoin d’ingénieurs et de nombreuses possibilités.Le VIE (Volontariat International en Entreprise) est la voie royale pour démarrer une carrière dans le secteur, il permet d’évoluer rapidement et de découvrir de grands chantiers à l’étranger. Pour ceux qui souhaitent rester en France, le métier de la conduite de travaux est formateur et est une bonne école de management, spécialement sur les ouvrages importants. Le besoin d’ingénieurs dans ces métiers-là est stimulé par les grands projets nationaux comme les chantiers du Grand Paris, des Jeux Olympiques ou encore du canal Seine Nord Europe.Les grands groupes de BTP s’implantent de plus en plus sur le marché des énergies renouvelables, ce qui crée un besoin d’ingénieurs dans les domaines de l’éolien, du nucléaire ou encore de l’hydrogène. De même pour les ingénieurs matériaux qui travaillent dans la valorisation des déchets de chantiers.Le bilan carbone des chantiers étant un critère de plus en plus déterminant dans les appels d’offre, les entreprises du secteur recherchent des ingénieurs dans ce domaine qui est réellement un métier d’avenir. »
Il y a 2 ans et 175 jours

Le groupement mené par Bouygues Travaux Publics va pouvoir démarrer les travaux de la ligne 1 du métro d'Abidjan

La Société des Transports Abidjanais sur Rail (STAR), groupement d’entreprises composé de Bouygues Travaux Publics (mandataire), Colas...-Travaux publics
Il y a 2 ans et 180 jours

Christian Estrosi défend ses "grands projets" pour la ville de Nice

Rappelant que la plupart des projets avaient été validés dès son élection en 2008, M. Estrosi a souligné devant élus et médias qu'il s'agissait de "la poursuite d'une vision à long terme" pour la cinquième ville de France.Il a notamment défendu l'aménagement de la Promenade du Paillon, qui vise à prolonger la Coulée verte, une zone arborée d'1,3 km de long réservée aux piétons, mais qui nécessite la destruction quasiment achevée du TNN, un bâtiment construit en 1989, et celle à venir du Palais des congrès Acropolis."Lorsque j'ai été élu en 2008, nous avons planifié l'aménagement de la Promenade du Paillon, bien avant les indicateurs du GIEC", le groupe d'expert de l'ONU sur le climat, a-t-il indiqué.En février, le tribunal administratif de Nice a rejeté le recours en référé introduit par Martine Bayard, la fille de l'architecte du théâtre, Yves Bayard, qui espérait suspendre la destruction. Les activités du TNN ont été transférées dans deux sites.Pour remplacer l'Acropolis dont la "déconstruction" débutera en janvier, la ville construira un Parc des expositions et des congrès sur l'emplacement actuel du Marché d'intérêt national (MIN), appelé à déménager.L'absence jusqu'en 2025 d'une structure capable d'accueillir de grands congrès fait cependant craindre aux professionnels de l'hôtellerie notamment, des pertes irréversibles de clientèle, au profit de villes comme Barcelone, Milan ou Cannes.Mais M. Estrosi s'est voulu rassurant: "Pour les trois prochaines années, nous avons sécurisé 200.000 nuitées, sur les 300.000 que procurent les congrès".A terme, les retombées directes et indirectes du futur Parc des expositions "pourraient atteindre 500 millions d'euros par an", a-t-il encore promis.Le MIN devait lui déménager mais un autre recours devant le tribunal administratif de Nice déposé par l'association environnementale Capre 06 bloque son transfert.De ce fait, l'opérateur retenu pour construire le nouveau MIN, Bouygues, est "désireux de résilier ce contrat" et demande une indemnité de quinze millions d'euros "pour les frais engagés", explique l'ancien ministre."Je refuse d'entrer dans le chantage", a ajouté M. Estrosi, précisant que la métropole allait "convenir avec nos juristes un montant de résiliation beaucoup plus raisonnable".
Il y a 2 ans et 180 jours

En forêt ou dans la construction, les hauts fonctionnaires formés sur le terrain à la transition écologique

Gestion des forêts ou construction de bâtiments bas carbone: l'Etat s'efforce de conclure la formation de ses hauts fonctionnaires à la transition écologique par une illustration concrète des enjeux environnementaux et des solutions. Une démarche saluée par les participants, mais à l'impact encore incertain.La forêt de Montmorency "est la seule d'Île-de-France à être classée en état de crise sanitaire", explique Michel Béal, directeur de l'agence Île-de-France Ouest de l'ONF.Depuis quelques années, les nombreux châtaigniers qui la constituent sont touchés par la maladie de l'encre, un parasite qui serait "moins virulent" si les températures ne s'étaient pas autant réchauffées, explique-t-il.D'où les coupes sur la parcelle, pour limiter la propagation de ce parasite. L'ONF compte aussi diversifier les espèces d'arbres pour mieux adapter la forêt aux effets du changement climatique.Le chêne ne représentera plus que 50 à 55% des essences que l'ONF compte replanter. "Avant, on aurait dit 80% de chêne", détaille Philippe Belchi, référent territorial de l'office.Quelques minutes plus tard, le groupe s'arrête devant un amas de bois coupé. Le but est cette fois d'illustrer une autre priorité de l'ONF: la valorisation de la filière bois."En France, il y a plus de 400.000 emplois dans la filière forêt-bois, des emplois dans les territoires ruraux", insiste Olivier Rousset, directeur général adjoint de l'ONF.Au bout de deux heures en forêt, trois membres du groupe retrouvent les quais baignés de soleil de la gare de Saint-Leu-la-Forêt - les autres sont repartis en voiture.25.000 hauts fonctionnairesL'ambition de l'Etat est de former à la transition écologique l'ensemble de ses 25.000 hauts fonctionnaires d'ici à 2024, puis les 5,7 millions d'agents publics d'ici à 2027. Le gouvernement s'attend ensuite à ce que les cadres du secteur public élaborent des plans d'action en matière de transition écologique.Venus de Bercy, du ministère de la Culture ou encore de l'Académie de Poitiers, tous s'accordent à juger intéressantes la matinée en forêt et, plus généralement, la formation proposée.Grâce à ce module pratique, doublé d'ateliers de groupe et de conférences, "on sent que (les enjeux environnementaux) infusent" dans les sphères dirigeantes de l'Etat, avance une directrice d'administration du ministère de l'Economie.Une prise de conscience déjà opérée cet été au ministère de la Culture. Avec une température de "60 degrés" mesurée dans les bâtiments vitrés de la Bibliothèque nationale de France, la canicule a eu des effets physiquement palpables, relève un responsable de la Direction du Livre.Reste à voir comment les hauts fonctionnaires partageront à leurs équipes les connaissances acquises au cours de la formation et quel impact celle-ci aura sur l'action publique.Comme le confesse un haut fonctionnaire du ministère des Armées à la sortie d'un module de sensibilisation à la construction de bâtiments bas carbone, "c'est un peu éloigné" des thématiques qui l'occupent au quotidien.Le rôle des pouvoirs publics sera pourtant crucial pour répondre aux défis du changement climatique, rappelle Guillaume Carlier à une trentaine de hauts fonctionnaires réunis lundi pour ce module dans une tour du quartier Montparnasse à Paris."D'ici 2050, on doit diviser par cinq" l'empreinte carbone moyenne de chaque Français, souligne devant eux le directeur de la stratégie Climat Ressources de Bouygues Immobilier, une entreprise membre de l'Association pour le Développement du Bâtiment Bas Carbone (BBCA)."La part individuelle (de cet effort) est évaluée à 25% et la part de l'Etat et des entreprises à 75%", insiste-t-il.
Il y a 2 ans et 181 jours

Dassault Systèmes et Bouygues Construction renforcent leur engagement à réinventer le secteur de la construction

Bouygues Construction a choisi la plateforme 3DEXPERIENCE sur le cloud de Dassault Systèmes pour mener sa transformation métier et accroître la productivité de ses projets de construction. Cette deuxième phase succède aux phases initiales de numérisation et d'automatisation des processus de Bouygues Construction.Les citoyens attendent de nouvelles approches en matière d'urbanisation et une plus grande attention à la durabilité. Or, le secteur de la construction doit faire face à des problématiques de productivité, tant en raison de la complexité des projets que de la fragmentation des métiers. La transformation numérique permet de soutenir une économie à la fois plus durable et circulaire, en partageant les connaissances et savoir-faire dans toute la chaîne de valeur, et en donnant naissance à de nouveaux modèles économiques.Avec la plateforme 3DEXPERIENCE sur le cloud, Bouygues Construction peut adopter une approche systémique de la gestion des projets qui intègre des expériences de jumelage numérique d'un bout à l'autre de la chaîne de valeur. Cette approche permet de passer de documents où les différents métiers interviennent de façon indépendante, à une méthode basée sur des modèles intégrés et collaboratifs.Cet environnement intégré, inclusif et collaboratif qui utilise une source unique de données exploitables permettra de rationaliser le processus décisionnel entre les différents intervenants - de la direction générale à l'opérateur de terrain - à chaque étape d'un projet. Cela permettra à Bouygues Construction d'augmenter encore la sécurité de ses collaborateurs et partenaires. Cela permettra aussi au groupe de réduire son volume de déchets et d'améliorer la qualité produit de la conception à la construction, en définissant des composants d'assemblage modulaires intégrés dans des lignes de produits telles que les maisons de retraite ou des résidences étudiantes. Cette modularité permettra de faire face à la complexité des projets futurs, tout en répondant à des besoins croissants de personnalisation et de durabilité, et en s'adaptant aux évolutions du marché.« Bouygues Construction utilise les technologies digitales depuis des années et constate que les cas d'usage pourraient être plus nombreux et apporter plus de valeur. » déclare Philippe Bonnave, président directeur général de Bouygues Construction. « Nous sommes donc à la recherche d'une transformation plus forte qui impacte les process de nos opérations et qui prépare le futur de l'entreprise : une transformation amenant plus de transversalité en interne et avec nos parties prenantes pour apporter toujours plus de valeur à nos clients. »« L'utilisation du jumeau virtuel dans la construction est un processus inclusif et - grâce au cloud et à la mobilité - abordable. Contrairement aux méthodes traditionnelles existantes, elle permet à toutes les personnes impliquées de comprendre et de contribuer au processus. Tous les acteurs du secteur aspirent à des modes transformationnels de collaboration et d'innovation. Avez-vous déjà pensé que ce rêve pourrait se réaliser ? » déclare Bernard Charlès, Vice-Président du Conseil d'Administration et Directeur général de Dassault Systèmes. « Cette approche révolutionnaire, basée sur la plateforme 3DEXPERIENCE, constitue la base de notre partenariat de long terme avec Bouygues Construction. Il représente une formidable opportunité d'allier nos leaderships et nos expertises respectifs, ainsi que d'amorcer une nouvelle dynamique dans l'écosystème du bâtiment et des travaux publics pour tendre vers une durabilité accrue. »
Il y a 2 ans et 184 jours

MAF ATLANTIQUE met son expertise en portes et cloisons résistantes au feu, au service du chantier ISSY CŒUR DE VILLE

Issy cœur de ville, c’est un projet d’éco-quartier initié en 2016 par la ville d’Issy Les Moulineaux (92) dont la livraison a débuté en juin dernier. 17 270 m2 de commerces et services, 40 900 m2 de bureaux… un chantier gigantesque confié au promoteur Altaréa avec le cabinet d’architecture Valode & Pistre. En entreprise générale : Bouygues Construction. À l’ouvrage et mandatée par Bouygues Construction, pour les portes automatiques et les portes et parois vitrées anti incendie, dans les parties Bureaux et Infra/Mail/Commerces : l’entreprise RECORD. Celle-ci choisit d’emblée de s’associer à MAF ATLANTIQUE pour lui confier la conception et la fabrication des ouvrages résistants au feu dont il est spécialiste. Résultat : 450 m2 de surfaces vitrées fabriquées sur mesure pour ce projet d’envergure. Rdc IMC : menuiserie vitrée acier EI60 B1- Hall : cloison acier vitrée EI60 + Porte 1 vantail RdC B1 : Paroi monumentale bord à bord EI60 + partie ouvrante 2 vantaux vitrés acier E30. Lorsqu’il est contacté par Record en 2019 pour concevoir et fabriquer différents ouvrages feu de deux super-entités du projet Issy Cœur de Ville, MAF Atlantique accepte de relever le défi. Il s’agit certes d’un très grand chantier auquel la PME guérandaise peut répondre. Mais, c’est surtout l’occasion pour son DG Guillaume Leborgne, et ses équipes, de s’attaquer à un superbe défi technique d’ouvrages feu complexes et sur-mesure.   Record, n’étant pas spécialiste des normes anti incendie et ne possédant pas les PV et certifications feu, a spontanément choisi d’associer MAF Atlantique au projet. Il lui propose d’être son partenaire pour la conception et la fabrication des ouvrages feu, il se charge de l’installation. À la clé : 450 m2 de surfaces vitrées résistantes au feu incluant portes battantes et cloisons vitrées conçues et fabriquées sur mesure par MAF Atlantique, en partenariat avec Record.  » Nous ne pouvions répondre à cet appel d’offre sans s’appuyer sur un fabricant partenaire spécialisé dans les normes anti-incendie comme MAF Atlantique, avec qui nous avions déjà travaillé. Ce projet s’est d ’ailleurs mené en toute transparence et en bonne intelligence entre nos deux entreprises et Bouygues Construction, » déclare François-Xavier Vlin, directeur régional de Record. Au total MAF Atlantique a fourni 36 unités de portes battantes E et EI avec acoustique.Également, différentes tailles de menuiseries vitrées avec châssis fixe acier pour parois bord à bord, toutes installées en intérieur (rez-de-chaussée, niveaux et sous-sols) par Record. Elles équipent, pour la majorité, la super-entité BUREAUX du chantier qui regroupe 3 ensembles de bureaux (répartis dans 3 bâtiments B1, B2, B3). Elles équipent également, dans la super entité INFRA/MAIL/COMMERCES, au niveau des ERP, la salle polyvalente, les parkings, les sas, les paliers, les escaliers et les locaux techniques. Pour Guillaume Leborgne, directeur de MAF Atlantique,    » Ce partenariat avec Record prouve que la mutualisation des compétences et la complémentarité des savoir-faire deviennent une vraie force, le projet étant davantage motivant lorsqu’il est partagé et qui plus est lorsque le suivi de chantier se passe bien et en confiance avec les partenaires. Il démontre aussi que notre PME est reconnue pour sa spécificité dans la protection incendie, mais aussi pour sa capacité à être force de proposition et à concevoir des ouvrages sur mesure, pour des chantiers d’envergure. «  La construction vitrée architecturale résistante feu : la spécialité de MAF Atlantique Les ouvrages résistant au feu, exigés dans le cahier des charges, devaient s’adapter aux contraintes techniques des matériaux, des emplacements et des volumes à équiper, mais aussi aux souhaits d’esthétisme voulus par les architectes. Les bureaux d’étude de MAF Atlantique, Record et Bouygues ont travaillé de concert et en bonne entente, pour définir les spécificités techniques et les adaptations des ouvrages à concevoir. Afin d’être en harmonie avec les valeurs et l’esthétisme du projet souhaité par l’architecte, MAF Atlantique a proposé une menuiserie en acier JANISOL© C4 (pour sa pérennité), un remplissage en simple vitrage ou double pour le hall principal, avec finition thermolaquage teinte RAL, condition intérieur. Pour assurer la tenue des portes lors de la pose par Record, MAF Atlantique a adapté des impostes spécifiques. En fonction des exigences des lieux, les portes et cloisons intérieures sont toutes normées E (Pare flamme) ou EI (coupe-feu) associées à leur performance en minutes de 30 ou 60 pour l’étanchéité au feu (E) ou l’isolation thermique (I). Les châssis des cloisons sont fixes et montés, selon le besoin, en bord à bord. Les portes sont en 1 vantail ou 2 vantaux.  » MAF est allé au-delà du simple schéma technique en proposant différents échantillons pour la teinte des miroiteries, les poignées et paumelles, pour répondre aux exigences esthétiques des architectes notamment sur la couleur des vitres intérieures selon l’exposition au soleil. En plus de leur réactivité, nous avons aussi apprécié leur efficacité logistique dans des lieux fréquentés et peu accessibles, pour la livraison d’ouvrages complexes. » poursuit François-Xavier Vlin. B2 : Cloison vitrée 2 vantaux de 2,83 m x 3 m de hauteur. RdC B1 : Paroi monumentale EI60 de 34,58 m de long x 2,9 m de haut + partie ouvrante en 2 vantaux vitrés acier E30 – 1,8 m x 2,4 m. Trois exemples d’ouvrages techniques réalisés par MAF Atlantique : Au rez-de chaussée du bâtiment 1, l’installation d’une paroi monumentale de 34,58 m de long x 2,90 m de haut, composée de menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 en bord à bord. Adjointe, une partie ouvrante en 2 vantaux vitrés acier E30 – 1 800 x 2 400 mm. Dans le bâtiment 2, une cloison de 2,83 m x 3 m de haut, composé de menuiseries vitrées avec châssis fixe EI60 et une porte EI260 à 2 vantaux de 1 800 x 2 400mm. A l’étage du bâtiment 1, une paroi de 8,36 m x 2, 7 m en menuiserie vitrée avec châssis fixe acier EI60 + une partie ouvrante en vantail simple vitré acier E30 – 1 100 x 2 200 mm. Ouvrages MAF Atlantique / Issy Coeur DE VILLESUPER ENTITÉ BUREAUXINFRA/MAIL/COMMERCE (IMC)B1 – RDC – Menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 – 5 720 x 2 900 mm + partie ouvrante en 2 vantaux vitrés acier E3 –1 800 x 2 400 mm – Différentes tailles de menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 en bord à bord dont une paroi monumentale de 34 580 de long x 2 900 mm de haut + partie ouvrante en 2 vantaux vitrés acier E30 – 1 800 x 2 400 mmRDC : – Porte acier vitrée E30 2 vantaux  B1- Hall : – Menuiserie vitrée avec châssis fixe acier EI60 – 2 000 x 1 500 mm en double vitrageIMC : – Menuiserie vitrée avec châssis fixe acier EI60 – 3 400 x 1 200 mm  B1- R+1 : – Paroi menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 de8 360 x 2 700 mm + partie ouvrante en vantail simple vitré acier E30 – 1 100 x 2 200 mmParking sous-sol 2 : – 2 Portes acier vitrées E30 2 vantaux + 1 porte à 1 vantail – Menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 – 3 500 x 1400 mm  B2 – RDC : – Cloison de 2 830 x 3 000 mm de hauteur en menuiseries vitrées avec châssis fixe EI60 + Porte EI260 2 vantaux – 1800 x 2400mmEscalier Monumental accès Bâtiment 1 : – Menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 en bord à bord de 4 860 de long x 2 700 mm de haut.  B3 – 6 Portes acier vitrées E30, 1 vantail avec serrure électrique– 1 100 x 2 650 mmSalle Polyvalente : – Ensemble EI60 composé d’une porte 2 vantaux avec châssis fixes latéraux – 5 900 x 2 500 mm À PROPOS DE MAF ATLANTIQUE Implantée depuis 18 ans à Guérande, en Loire-Atlantique, MAF Atlantique fabrique tous types de menuiseries – acier, bois et aluminium – vitrées prêtes à poser, avec une forte expertise dans le domaine des menuiseries coupe-feu. Dirigée par Guillaume Leborgne, l’entreprise dispose d’un bureau d’études intégré qui réalise des plans et des solutions uniques à chaque projet. Dotée d’outils industriels performants, MAF Atlantique fabrique avec précision des ouvrages de haute qualité. Destinées à la protection des personnes et des biens, les menuiseries produites par MAF Atlantique sont particulièrement adaptées aux établissements recevant du public (ERP). Filiale depuis 2015 du Groupe ACIEO (400 collaborateurs, 7 sociétés, 90 M€ de CA), MAF Atlantique possède la force d’un groupe industriel et la souplesse d’une PME. MAF Atlantique en chiffres Créée en 2004 3 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2021 Outil de production de 1 500m2 Marquage NF disponible sur 18 références Membre de la French Fab Pour en savoir plus : MAF Atlantique – contact presse : Agence Com4 – scruz@com-4.fr – 02 40 73 50 51
Il y a 2 ans et 184 jours

A Lille, Valode & Pistre et CAAU en chantier

Le chantier de la nouvelle cité administrative de Lille (Nord) bat son plein pour les équipes menées par Valode & Pistres architectes, Coldefy & Associés (CAAU) et Bouygues Bâtiments Nord-Est (mandataire du MGP). Ce chantier est hors norme puisqu’il se revendique comme l’opération civile la plus importante de l’Etat en 2022. Il se déroule sur […] L’article A Lille, Valode & Pistre et CAAU en chantier est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 187 jours

JO-2024 : trois mois de retard pour la livraison de l'Arena

Alors que le calendrier initial prévoyait une livraison de l'Arena à l'été 2023, la Ville mise désormais sur une livraison "à la fin de l'année, en décembre 2023, pour une ouverture en janvier 2024", a indiqué à l'AFP l'entourage de l'adjoint aux sports et aux JO Pierre Rabadan.Un nouveau calendrier confirmé par la Société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo), pour qui ce retard "n'a pas de conséquence sur le calendrier olympique", a indiqué un porte-parole à l'AFP.Située dans le nord de Paris, à la limite avec Saint-Denis, l'Adidas Arena, baptisée ainsi en vertu d'un contrat de naming, et ses 7.800 places doivent accueillir les épreuves de badminton et de gymnastique rythmique pendant les JO."Le Covid, les soucis d'approvisionnement liés à la guerre en Ukraine et l'inflation" expliquent ces "trois-quatre mois" de retard, selon la première source à la mairie, qui détient la maîtrise d'ouvrage.C'est le premier retard assumé sur les chantiers olympiques, de légers retards attribués à la pandémie de Covid-19 mis à part.Ce décalage aura toutefois des conséquences sur l'occupation du complexe durant la saison sportive pré-olympique, et notamment l'organisation de compétitions préparatoires, les "test events".Ainsi, l'édition 2023 des internationaux de France de badminton est-elle maintenue au stade Pierre-de-Coubertin (XVIe), les discussions sur l'édition 2024 étant "en cours", précise l'entourage de Pierre Rabadan.Quant au Paris Basketball, club d'élite qui devait élire domicile à l'Arena dès la rentrée 2023, "il reste à Carpentier", une halle sommaire du XIIIe arrondissement, jusqu'à la fin des travaux, précise la source à la mairie.Cette dernière est en train de voir avec l'exploitant de l'Arena, la société d'exploitation du Palais omnisports de Paris-Bercy (SAE POPB), et le comité d'organisation des Jeux olympiques (Cojo) "si le club commence (à occuper l'Arena) en milieu de saison" ou pas.Cet été, la Ville avait donné un budget actualisé pour la construction de l'Arena, confiée à un groupement mené par Bouygues, de 106 millions d'euros, plus 32 millions pour les projets annexes sur le site.Mais avec la crise énergétique, l'adjoint à la construction Jacques Baudrier constate "depuis trois-quatre mois, une vraie augmentation des coûts de 10 à 15%" ainsi que des "problèmes d'approvisionnement ponctuels" sur certains chantiers, qui occasionnent des retards.
Il y a 2 ans et 190 jours

Peine réduite en appel pour un gérant de société qui extorquait des promoteurs à Marseille

Gérard Haddad, 56 ans, s'est vu infliger par la cour d'appel d'Aix-en-Provence une peine de 18 mois de prison, à purger sous le régime de la détention à domicile sous surveillance électronique, ainsi qu'une amende de 100.000 euros, contre 45.000 euros lors du jugement du tribunal correctionnel de Marseille en octobre 2021.La cour l'a en effet relaxé pour la très grande majorité des faits d'extorsion qui lui étaient reprochés, tout en requalifiant en escroquerie les faits dont a été victime un promoteur.Gérard Haddad était initialement poursuivi avec son frère Albert Haddad, un médecin généraliste décédé en juillet 2021. Les parties civiles, au nombre de 23, étaient aussi bien des grandes entreprises, telles que Bouygues ou Kaufman et Broad, que des petits promoteurs, contre qui les deux hommes déposaient des recours devant le tribunal administratif.Si certains avaient refusé toute négociation, le juge d'instruction avait recensé 19 protocoles passés avec les frères Haddad, leur ayant rapporté un total de 2,2 millions d'euros. Beaucoup de promoteurs préféraient en effet transiger plutôt que voir leur projet bloqué par une procédure administrative."Plus jamais Marseille !", avait témoigné un promoteur durant l'enquête, certains qualifiant ces recours de "crapuleux". Les projets se trouvaient en effet retardés, en raison du refus des banques d'accorder des garanties financières d'achèvement ou de remboursement à des projets dont les permis de construire n'étaient pas purgés de tout recours, ont expliqué les parties civiles.Gérard Haddad s'était toujours présenté comme un Robin des Bois en guerre contre la défiguration de Marseille par la multiplication d'opérations immobilières qu'il jugeait "moches".Son défenseur, Me Pierre Ceccaldi, s'est félicité de cette décision: "Il est rassurant de voir que la justice ne considère pas qu'un recours devant le tribunal administratif puisse constituer une forme de racket', a-t-il déclaré à l'AFP.
Il y a 2 ans et 201 jours

Bouygues Energies & Services complète son offre industrielle

ACQUISITION. Bouygues Energies & Services a finalisé le rachat d'une entreprise spécialisée dans les métiers de l'ingénierie de conception et de la maîtrise d'oeuvre des projets des industries de procédés.
Il y a 2 ans et 201 jours

Bouygues Energies & Services acquiert Ingenica Ingenierie Industrielle

Acteur spécialisé dans les métiers de l’ingénierie de conception et de la maîtrise d’oeuvre des projets des industries de...-Entreprises
Il y a 2 ans et 204 jours

Colas tisse ses réseaux pour la collecte et la valorisation des déchets du BTP

La filiale du groupe Bouygues annonce le lancement de deux réseaux, Valormat et Ecotri. Elle entend augmenter de 50 % sa production de...-Entreprises
Il y a 2 ans et 205 jours

Fusion et changement de dimension pour Com'in

CONSTRUTECH. Créée en 2019 dans le cadre du programme d'intrapreneuriat du groupe Bouygues, la start-up Com'in a fait bien du chemin. Devenue une SAS, elle s'est encore consolidée depuis, accueillant de nouvelles solutions afin de diversifier ses activités et en profitant pour changer également de nom.
Il y a 2 ans et 209 jours

Bouygues confirme ses objectifs de croissance et accueille Equans

Le géant français des BTP, des médias et des télécoms a vu ses revenus croître de 8% pour ces neuf premiers mois, à 29,677 milliards d'euros, selon ses résultats publiés mercredi.Son bénéfice net s'établit à 537 millions d'euros, soit -33% comparé à une base favorable en 2021 qui intégrait des plus-values de cessions de data centers et des cessions d'actions d'Alstom. En revanche son résultat opérationnel courant est en amélioration de 66 millions d'euros, à 1,207 milliard.La quasi totalité des métiers du groupe montrent une hausse de l'activité (toujours réalisée pour les trois quarts par la construction et les services, à 22,4 milliards d'euros sur neuf mois).En particulier Colas, la branche infrastructures de transport, est à +18%. Principaux facteurs, l'apport de Destia (leader du marché finlandais), le dynamisme des contrats routiers notamment en Amérique du nord et en Europe, un contrat ferroviaire important (le tramway de Birmingham, pour 192 millions d'euros), mais aussi l'impact des prix (énergie, bitume).Ce renchérissement des coûts pénalise aussi la rentabilité de Colas, mais le groupe se veut rassurant, et évoque des "mécanismes de protection" pour préserver sa marge.Pour Bouygues Immobilier, pas d'inquiétude outre mesure quant à l'inflation, "compensée" par la hausse des prix à la vente, a indiqué à des journalistes Pascal Grangé, le directeur financier. En revanche, le carnet de commandes est en repli de 16% par rapport à fin septembre 2021, le contexte inflationniste allongeant les délais de négociation des appels d'offres dans le résidentiel et le marché du tertiaire restant "attentiste".TF1 voit quant à lui son chiffre d'affaires croître de 5%, à 1,74 milliard d'euros, avec au troisième trimestre un repli du bénéfice net en raison d'une baisse des recettes publicitaires.Quant à Bouygues Telecom, le chiffre d'affaires facturé aux clients ressort à 4,2 milliards d'euros, en hausse de 6%, avec l'essor de la clientèle mobile et fixe. Le directeur financier du groupe d'électricité jusqu'en 2024.Plus gros rachat de son histoirePour la suite, le groupe Bouygues, présent dans plus de 80 pays et riche de 200.000 collaborateurs, observe une "dynamique commerciale solide dans les télécoms et un carnet de commande dans la construction et les services offrant une bonne visibilité sur l'activité". Il confirme ainsi ses objectifs pour 2022, en l'occurrence "une nouvelle augmentation de son chiffre d'affaires et de son résultat opérationnel courant".Pour autant, il "reste très vigilant quant aux évolutions macroéconomiques et à leurs répercussions sur les activités et les résultats". Qu'il s'agisse de crise sanitaire, d'inflation, de mouvements des taux d'intérêt... "tous ces sujets sont facteurs d'incertitude", souligne Pascal Grangé. Géographiquement, les régions les plus incertaines sont "peut-être les pays jouxtant l'Ukraine", où les taux d'inflation dépassent 20%, dit-il, ajoutant que Colas n'y réalise "que" 600 millions d'euros de revenus annuels.Mercredi à la Bourse de Paris, le titre reculait de 4,63% à 29,06 euros l'action peu après 11H00, dans un marché en baisse de 0,46%. Une note d'analystes d'Oddo évoque notamment "les perspectives dégradées des marges (chez Colas)".Pour le dernier trimestre 2022, Bouygues aura intégré dans ses comptes Equans, dont il a finalisé début octobre l'acquisition auprès d'Engie, plus grosse opération de rachat jamais réalisée par le groupe créé en 1952. Ce rachat à 6,5 milliards d'euros doit lui permettre d'accélérer sur les services de la transition énergétique et numérique.Equans "va participer à la résilience du groupe", souligne Pascal Grangé, grâce à "une tendance naturelle à la croissance de ces activités, à une très forte dispersion des contrats en nombre et en géographies, et avec des clients assez fidèles. C'est aussi un métier ne nécessitant pas de grands cycles d'investissement".Le nouvel ensemble, qui intègrera en janvier le pôle Energies & Services de Bouygues, représentera environ 17 milliards d'euros de chiffre d'affaires.
Il y a 2 ans et 209 jours

Les neuf premiers mois de 2022 offrent une bonne visibilité au groupe Bouygues

RÉSULTATS. Rendus publics le 17 novembre 2022, les résultats de Bouygues sur les trois premiers trimestres de l'année mettent en avant un niveau d'activité satisfaisant pour les différents métiers du groupe, et notamment dans la construction. Si les carnets de commandes se portent bien laissant envisager sereinement l'avenir proche, l'inflation a cependant un impact non négligeable.
Il y a 2 ans et 211 jours

Pourquoi l’architecture est-elle qualifiée de moche ?

Pourquoi aller chercher des architectes très loin pour faire la même chose partout ? « La laideur se vend mal », disait Raymond Loewy. Les temps ont changé ! Nous trouvons les mêmes enseignes d’un bout à l’autre du monde, tout s’uniformise alors que la biodiversité fait l’objet de toutes les attentions. L’architecture, avec la […] L’article Pourquoi l’architecture est-elle qualifiée de moche ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 218 jours

A Marseille, Les Fabriques, urbaine selon Kern + Associés

L’agence marseillaise Kern & Associés (François Kern, Anne Iacazio, Matthieu Mercinier-Salvaresi) a été désignée urbaniste coordinateur du méga-lot Les Fabriques au sein de la Zac d’Euroméditerranée à Marseille (Bouches-du-Rhône) en 2015 avec LinkCity et Bouygues Immobilier. Le futur quartier, conçu en BIM, doit mêler l’échelle humaine et les nécessités productives. Communiqué. C’est aux architectes de […] L’article A Marseille, Les Fabriques, urbaine selon Kern + Associés est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 219 jours

Dernière ligne droite pour la Nouvelle Route du Littoral de La Réunion

Grâce à un viaduc de 5,4 km, le premier tronçon de la Nouvelle Route du Littoral surplombe à une trentaine de m de haut, l’océan Indien, en offrant une vue incroyable sur la mer et les falaises de la côte. [©Région La Réunion] « La volonté de la Région est de répondre sans attendre davantage, sans prendre encore plus de retard, à l’impérative nécessité d’en finir avec ce chantier inachevé et de sécuriser définitivement l’axe Saint-Denis – La Possession », insiste Huguette Bello, présidente de la Région La Réunion. Les 12,5 km de la Nouvelle Route du Littoral (NRL) ne seront pas terminés avant 2028. Donc avec plus ou moins dix ans de retard, pour un budget final dépassant les 2,2 Md€. Une première inauguration Nombre d’automobilistes et de motards étaient venus emprunter pour la première fois, dimanche 28 août dernier, à midi (heure locale), la NRL, reliant le Nord et l’Ouest de l’île. Grâce à un viaduc de 5,4 km, un premier tronçon surplombe à 30 m de haut, l’océan Indien, en offrant une vue incroyable sur la mer et les falaises de la côte. Cette ouverture en août dernier ne s’est réalisée toutefois que sur deux voies, uniquement dans le sens Saint-Denis – La Possession et sur 8,7 km, alors que la NRL doit être longue dans sa totalité de 12,5 km, avec deux fois trois voies, dont deux couloirs de bus. La dernière portion du chantier entre la Grande Chaloupe et La Possession est à l’arrêt depuis 2019. Un second viaduc est désormais prévu pour terminer la route. Un second viaduc Initialement, la NRL se composait d’un grand viaduc et d’une longue digue en mer. Ce choix de la digue en mer, retenu en 2011 par l’ancien président du conseil régional, Didier Robert, devait être moins onéreux et avait l’avantage de faire travailler des entreprises locales. Mais, faute de ressources suffisantes dans l’île en roches massives et face à l’impossibilité d’ouvrir de nouvelles carrières pour des raisons environnementales, le groupement Vinci-Bouygues et ses filiales réunionnaises ont négocié la résiliation du marché de 298 M€. Le résultat est qu’à la place de cette digue en mer, il existe un trou de 2,5 km pour relier La Grande Chaloupe à La Possession, la partie Ouest de l’ouvrage. Devant l’impossibilité de finir la NRL avant des années, la solution a été de construire une bretelle de raccordement avec l’actuelle route du littoral pour mettre en circulation les 8 premiers km terminés. « Ce chantier comporte un nombre incalculable de problèmes. Les élus qui composent la nouvelle majorité régionale ont à cœur de le faire avancer. C’est un projet hors norme, dont la complexité est sans précédent. Les choix qui ont été faits dès le départ avec la portion en digue, montrent aujourd’hui leurs limites puisque cette partie du chantier est remise en question depuis 2019. Malgré les difficultés de chantier, la réalité est qu’aujourd’hui la partie viaduc est, elle livrée, alors que la partie en digue n’a jamais pu démarrer. Les difficultés d’approvisionnement en enrochements ne sont pas des faits nouveaux, ils sont connus depuis des années […] Alors qu’il manque encore 2,5 km de linéaire pour livrer la totalité de la route, près de 1,6 Md€ ont déjà été dépensés. Il nous faut mobiliser encore entre 560 et 760 M€ pour finir le chantier. Une facture finale qui dépasse les 2,2 Md€ ! C’est titanesque », conclut Huguette Bello. M. C. La NRL en quelques chiffres : 12,5 km : C’est la distance de la Nouvelle Route du Littoral entre Saint-Denis et La Possession.5 409 m : C’est la distance du viaduc entre Saint-Denis et La Grande Chaloupe. C’est le plus long viaduc en mer de France.90 km/h : C’est la vitesse à respecter sur la Nouvelle Route du Littoral.133 M€ : C’est le prix de la Nouvelle Route du Littoral au kilomètre.Entre 5 et 11 m : C’est la profondeur de la mer au niveau de la Nouvelle Route du Littoral.4 500 : C’est le nombre d’emplois créés par la Nouvelle Route du Littoral.6 : C’est le nombre de voies de la Nouvelle Route du Littoral dont 2 seront réservées aux bus.
Il y a 2 ans et 224 jours

A Lagord, Bouygues Immobilier livre Alma Terra, la première résidence du quartier bas carbone Atlantech

Un environnement unique en FranceAvec Alma Terra, Bouygues Immobilier livre la toute première résidence située au cœur du pôle ATLANTECH, le premier quartier bas carbone français, créé à l’initiative de la Communauté d’Agglomération de la Rochelle.Unique en Europe, ATLANTECH se veut précurseur dans les domaines du développement durable, de la mobilité douce et de l’écoconstruction. A la fois quartier d’habitation et espace d’activité dédié à la transition énergétique, ATLANTECH est conçu comme un territoire d’innovation en matière d’écologie, au service de l’habitat de demain.Insérée au cœur de cette environnement, Alma Terra comprend 1000 m2 de jardins potagers partagers, des composteurs collectifs, des récupérateurs d’eaux pluviales, et dispose également de panneaux photovoltaïques en toiture sur 135 m2, facilitant et incitant ainsi la mise en place de comportements vertueux au sein de la résidence.Une sobriété énergétique labelliséeNichés dans un îlot de végétation les appartements de la résidence viennent de se voir décerner la plus haute performance du label E+C-. Initié par le Ministère chargé de l’Environnement, ce label évalue la performance énergétique et environnementale des bâtiments sur l’ensemble de leur cycle de vie.La résidence Alma Terra a obtenu le niveau E3C2, soit la plus haute performance du label. Une labellisation qui garantit une limitation de l’empreinte carbone pour la construction et le fonctionnement, un confort thermique optimum été comme hiver et une diminution des coûts énergétiques du logement. Murs en ossature bois aux derniers étages, façades végétalisées au rez-de-chaussée, isolation thermique, chaufferie bois collective et panneaux photovoltaïques sont autant d’éléments garantissant de réelles performances énergétiques sans négliger pour autant la qualité de vie. Lors de la construction d’Alma Terra, Bouygues Immobilier a également collaboré avec le réseau Biotop en matière de gestion et de valorisation des déchets. Biotop a accompagné Bouygues Immobilier pendant toute la durée du chantier. L’objectif ? Identifier et mettre en œuvre des solutions de gestion des déchets en lien avec la stratégie de développement durable et d’économie circulaire de Bouygues Immobilier. Pendant ses 15 mois d’intervention, Biotop a collecté près de 6,5 tonnes de déchets recyclables. Ainsi, près de 5.000 tonnes d’équivalent CO2 ont pu être évitées.Présenté dans le cadre des prix décernés par la fédération des promoteurs immobiliers de France (FPI), le projet Alma Terra avait reçu en 2020 la Pyramide d’Argent du bâtiment bas carbone.
Il y a 2 ans et 231 jours

Un nouveau directeur général pour Linkcity France

CARNET-NOMINATION. La filiale de Bouygues Construction annonce la nomination de Laurent Mourey en tant que directeur général. Il préside par ailleurs Linkcity Ile-de-France.
Il y a 2 ans et 232 jours

Atelier du Pont livre 70 logements sociaux et commerces à Saint-Denis

Portée par Immobilière 3F, la transformation du Fort de l’Est à Saint-Denis en parc habité est répartie en 5 lots. Atelier du Pont a réalisé l’un de ces projets avec la construction de 70 logements sociaux et 4 commerces.Pour comprendre l’essence même du projet du nouveau quartier, il faut parcourir une partie de l’histoire de Paris et de son enceinte de Thiers. Créée en 1841 sous Louis-Philippe et son ministre Adolphe Thiers pour protéger la capitale des armées étrangères, le Fort de l’Est faisait partie d’une série de forts, judicieusement placés pour renforcés l’enceinte de Thiers, rendant ainsi la ville imprenable.Cette zone militaire a longtemps été mise de côté. Aujourd’hui, elle prend une nouvelle direction avec des logements et des commerces ayant pour objectif de développer cette partie de la ville.Anticipant la densification le long du chemin de Crèvecœur, le projet s’implante à l’alignement des rues et ouvre deux larges percées visuelles entre le futur Parc du Glacis et l’espace paysager côté rue.Le projet est organisé en trois petits bâtiments dont deux sont reliés au rez-de-chaussée par les halls d’entrée et les commerces. Au rez-de-chaussée, un passage planté chemine.D’abord privatif, il sera ensuite rétrocédé à la ville et permettra d’accéder au nouveau parc du Glacis à l’arrière du projet. Dans cette partie, une noue paysagère prend place.À l’entrée du quartier et face à la station de tramway, une émergence à R+8 marque l’angle et se distingue comme un signal.Le projet propose une architecture modeste, élégante et pérenne, et offre à chaque habitant des qualités d’usages qui font la force de l’opération : des vues, du soleil et un espace extérieur privatif ou partagé agréable.Sur rue, la façade en briques et plaquettes foncées forge l’identité du projet. Côté parc, la façade est sobre et rythmée par les balcons filants et le béton lasuré. Chaque logement est muni d’un balcon, d’une loggia ou d’un petit jardin. Sur les toitures, de grandes terrasses accessibles et partagées dotées d’espaces de détente et de potagers apportent des sas de respirations, contribuant notamment à créer du lien entre les habitants.La majorité des logements offre une double-orientation permettant d’apporter de la lumière à l’espace de vie. Au dernier niveau, des duplex offrent une vue sur tout Paris.Fiche Technique :Programme : 70 logements sociaux et 4 commerces, Saint-Denis Fort de l’Est (93)Maître d’ouvrage : Immobilière 3FMO déléguée : BatiplaineAdresse : chemin de CrèvecœurPerformances environnementales : Certification NF Habitat HQE Profil d’entréeSurface : 5.214 m2 SDPCoût travaux : 10.350.000 € HTBureaux d’études : EVP (Structure), WOR (Fluides & Environnement), AXIO (économie)Entreprise générale : Bouygues ConstructionLivraison : 2021
Il y a 2 ans et 233 jours

Le groupe Bouygues compte sur un nouveau secrétaire général

CARNET/NOMINATION. Un nouveau secrétaire général a pris ses fonctions, le 10 octobre 2022, au sein du groupe Bouygues, pour succéder à Arnaud Van Eeckhout.
Il y a 2 ans et 238 jours

Retour sur le succès du SIBCA 2022

Le SIBCA a été le lieu de rencontres d’affaires, de démonstrations de savoir-faire pour concevoir, construire et rénover bas carbone les bâtiments, les quartiers, les villes et les grands projets urbains de demain. C’est au Grand Palais Éphémère – Paris, sous le Haut Patronage d’Emmanuel Macron, Président de la République, que la toute première édition du SIBCA, 1er salon de l’Immobilier bas carbone a eu lieu. Co-organisée par l’association BBCA et France Conventions, le salon s’est déroulé du jeudi 22 au samedi 24 septembre 2022.                 SIBCA 2022 EN QUELQUES CHIFFRES: 6575 participants au lieu de 3500 participants attendus 120 exposants 112 speakers 60 grands débats et conférences 108 journalistes présents 600 étudiants présents pour la journée dédiée au recrutement 20 partenaires écoles et associations Férielle Deriche, Directrice du Sibca à déclaré « Nous sommes très fiers du succès de cette première édition qui a pleinement répondu aux attentes des professionnels de l’Immobilier. Sélectionnées sur dossier, les meilleures solutions en matière de bas carbone étaient au rendez-vous. Les visiteurs et exposants ont ainsi pu échanger autour de réalisations exemplaires et ont participé activement aux nombreuses annonces et appels à projets »   Les thématiques engagées durant cette éditions 2022 sont « Concevoir, construire, rénover bas carbone » Le défi de la nouvelle réglementation RE2020 et la neutralité carbone 2050, la maîtrise du bilan carbone devient la priorité et l’affaire de tous les intervenants du secteur immobilier urbanisme, aménagement des territoires, énergie Bas Carbone, stockage carbone… sont les nouvelles thématiques qui révolutionnent la ville et les bâtiments. DES ENGAGEMENTS POUR L’AVENIR – GA Smart Building a dévoilé en avant-première sa nouvelle marque de logements bas carbone construits hors-site : Rooj by GA. – La Métropole Aix-Marseille-Provence et l’EPA Euro méditerranée se sont engagés, avec la Caisse des Dépôts et Consignations, à bâtir une ville méditerranéenne durable via la signature de la Convention « France 2030 ».   – La signature du partenariat entre Bouygues Bâtiment France x Linkcity x l’Institut technologique FCBA (Forêt Cellulose Bois Ameublement), acteur incontournable de la filière forêt-bois pour accélérer le développement de la construction bois en France en s’appuyant sur un partage de connaissances techniques et de retours d’expériences, participer à des appels à projets innovants, et anticiper les évolutions normatives et réglementaires (ex : incendie). – La signature du Contrat cadre entre Bouygues Immobilier et Algo Paint pour poursuivre la mise en œuvre de solutions décarbonées comme leur peinture écologique à base d’algues (gamme Algo). – Quartus et l’IFPEB ont officialisé l’adhésion du groupe Quartus au Booster du Réemploi ! – Appel à candidature la Ville de Demain pour rejoindre l’écosystème Station F. – Lancement du mouvement Unisson(s) pour rassembler tous les métiers de l’architecture décarbonée revisitant le rapport à la Nature et aux besoins de chacun, dans la lignée du New European Bahaus. REMISE DES TROPHEES BBCA ET LANCEMENTS DE NOUVEAUX LABELS L’Association BBCA a dévoilé les Trophées BBCA 2022 qui mettent en lumière les maîtres d’ouvrage, territoires et opérations immobilières exemplaires en matière de bas carbone. 450 opérations pour 3 millions de m2 – 67 opérations immobilières labellisées – le palmarès BBCA 2022 des maîtres d’ouvrage et territoires récompensés pour leur performance bas carbone – deux nouveaux labels lancés BBCA Quartier et BBCA Exploitation – un label BBCA Commerces pour 2023. LA «JOURNEE TALENTS» CONSACREE AU RECRUTEMENT Le samedi 24 septembre a été dédié au recrutement et à la formation, cette journée a réuni plus de 600 étudiants et une vingtaine de grandes écoles de commerce, d’architecture, d’urbanisme et d’ingénieurs. Au cours des présentations métier, les exposants ont pu échanger de façon concrète avec les étudiants présents auxquels ils ont pu présenter les opportunités d’emploi dans leur structure. Pour plus d’informations n’hésitez pas à cliquer sur les liens de renvoie ci-dessous : – Retrouvez l’intégralité du programme des grands débats et conférences du Sibca – Revivez l’évènement en vidéo
Il y a 2 ans et 239 jours

"Si on ne remet pas en cause nos processus, on va péricliter", Fabrice Bonnifet (Bouygues)

ÉDITION SPÉCIALE. Face à l'urgence des enjeux climatiques, la construction doit rapidement négocier un virage important. Lors des Éditions Spéciales de Batiactu depuis le Mondial du Bâtiment, le directeur du développement durable de Bouygues, Fabrice Bonnifet, également lanceur d'alerte sur ces sujets, a appelé le BTP à se mobiliser pour préserver l'environnement et la biodiversité.
Il y a 2 ans et 247 jours

Philippe Jouy, directeur général adjoint de Bouygues Construction

Philippe Jouy est le nouveau DG adjoint de Bouygues Construction, en charge de Bouygues Bâtiment. [©Bouygues Construction] Nommé directeur général adjoint de Bouygues Construction, Philippe Jouy est en charge de Bouygues Bâtiment France. Il était précédemment à la tête de la zone Asie de Bouygues Bâtiment International, après avoir été président, de 2015 à 2021, de Bouygues Bâtiment Nord-Est. Il a rejoint le groupe Bouygues en 1993 dans des fonctions financières, après un début de carrière aux Etats-Unis en tant qu’ingénieur environnement. « La singularité de notre modèle associant entreprise générale et développement immobilier, l’engagement et les expertises des équipes, ainsi que l’ancrage local de Bouygues Bâtiment France sont nos meilleurs atouts. Ils nous donnent les moyens de renforcer notre position de partenaire de préférence des territoires, en les accompagnant sur des projets catalysant dynamique locale et transition environnementale » a déclaré Philippe Jouy. Ce dernier est diplômé de l’ESTP, d’un Master of Science de l’université de Birmingham et d’un MBA de la London Business.
Il y a 2 ans et 251 jours

L'acquisition géante d'Equans par Bouygues finalisée

Le géant du BTP aura payé 6,5 milliards d'euros pour cette acquisition, soit 6,1 milliards de titres d'Equans, plus la reprise de la dette de la société à Engie (800 millions d'euros), moins 400 milions d'euros de trésorerie positive, explique-t-il.Engie indique pour sa part que "cette opération (lui) permet de réduire sa dette nette d'environ 7,1 milliards d'euros".L'accord était intervenu entre les deux groupes en novembre 2021.Ce rachat, le plus important par son montant jamais réalisé par la société Bouygues depuis sa création en 1952 par Francis Bouygues, lui permet "de devenir un leader mondial sur le marché porteur des services multi-techniques dont les activités sont au coeur des transitions environnementale, industrielle et numérique", souligne-t-il mardi dans un communiqué.Le nouvel ensemble, qui garde le nom Equans et intègre aussi le pôle Energies & Services de Bouygues, représentera environ 17 milliards d'euros de chiffre d'affaires.Il regroupera environ la moitié des collaborateurs du groupe Bouygues, soit 97.000 personnes (dont 75.000 venus d'Equans) dans plus de 20 pays, sur des services incluant le génie électrique, climatique, mécanique, les systèmes d'information et de télécommunication, la gestion des installations ainsi que la "ville intelligente"."L'acquisition d'Equans constitue une étape majeure dans l'histoire de Bouygues. Nous devenons un leader mondial des services multitechniques, et renforçons la résilience du groupe", a commenté Martin Bouygues, le président du conseil d'administration, cité dans le communiqué.Le groupe Bouygues voit ainsi son chiffre d'affaires total porté de 38 milliards d'euros à près de 51 milliards d'euros. Ses effectifs atteindront environ 200.000 collaborateurs dans plus de 80 pays.Historiquement connu pour la construction, Bouygues s'était déjà diversifié dans les télécoms (avec Bouygues Telecom) et les médias (avec TF1). Mais son quatrième pôle "Energies & Services" restait relativement modeste avec un chiffre d'affaires de 4 milliards d'euros.Du côté du géant français de l'énergie Engie, "la finalisation de cette cession est une étape majeure dans le recentrage d'Engie, et permet au groupe d'investir dans la croissance de ses métiers clés pour continuer d'accélérer la transition énergétique", a commenté sa directrice générale, Catherine MacGregor, dans un communiqué distinct.Face à Bouygues, d'autres candidats au rachat s'étaient présentés, dont l'entreprise de BTP Eiffage et le fonds américain Bain Capital allié au financier Marc Ladreit de Lacharrière via sa holding Fimalac, ainsi que Spie."L'offre de Bouygues était la mieux-disante au regard de l'ensemble des critères retenus par Engie, y compris sur le plan financier", avait expliqué en novembre l'énergéticien, détenu à 23,64% par l'Etat français et qui souhaite se concentrer notamment sur les énergies renouvelables et les réseaux.
Il y a 2 ans et 252 jours

Philippe Jouy prend la tête de Bouygues Bâtiment France

CARNET-NOMINATION. Le nouveau directeur général adjoint de Bouygues Construction est chargé de Bouygues Bâtiment France, une filiales aux nombreuses entités.
Il y a 2 ans et 252 jours

Bouygues boucle l'acquisition d'Equans et change de dimension

CROISSANCE EXTERNE. Le groupe Bouygues a annoncé la finalisation de l'acquisition d'Equans auprès de l'énergéticien Engie. Une opération qui permet à la major du BTP de faire un bond considérable dans son développement, mais aussi en termes de chiffre d'affaires.
Il y a 2 ans et 253 jours

Bouygues finalise le rachat d’Equans

Le groupe de BTP vient d’achever le processus d’acquisition de l’ancienne filiale d’Engie. L’opération aura coûté 6,1 milliards...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 260 jours

Quel est le poids carbone d'un mètre carré résidentiel produit par Bouygues immobilier ?

STRATÉGIE. Dans le cadre de son engagement à réduire de 32% son empreinte carbone d'ici à 2030, Bouygues Immobilier a fait calculer le poids carbone du mètre carré de logement produit. Plusieurs partenariats sont annoncés pour réduire drastiquement ce bilan.
Il y a 2 ans et 260 jours

Londres lève ses objections au rachat d'Equans par Bouygues

L'autorité britannique de la Concurrence (CMA), qui s'inquiétait du rachat d'Equans par Bouygues, rivaux sur un projet ferroviaire clé au...-Entreprises
Il y a 2 ans et 260 jours

Londres lève ses objections au rachat d'Equans par Bouygues

L'autorité britannique de la Concurrence (CMA), qui s'inquiétait du rachat d'Equans par Bouygues, rivaux sur un projet ferroviaire clé au...-Entreprises
Il y a 2 ans et 261 jours

Bouygues Construction et Linkcity signent un partenariat avec FCBA

À l’occasion de la première édition du SIBCA, le salon de l’Immobilier Bas Carbone, la filiale bâtiment de Bouygues Construction en France et Linkcity, sa filiale de développement immobilier, ont signé un partenariat avec l’Institut technologique FCBA. Elles entendent ainsi renforcer leur engagement en faveur de la construction bois, en s’appuyant sur un partage de connaissances techniques et de retours d’expériences. Cet accord va en outre permettre aux partenaires de participer à des appels à projets innovants et d’anticiper les évolutions normatives et réglementaires. Ce contrat est signé pour 3 ans à compter du 22 septembre 2022. Bouygues Construction et Linkcity deviennent ainsi les premiers constructeur et promoteur partenaires de FCBA.
Il y a 2 ans et 261 jours

L'international fait les belles heures des majors

INFOGRAPHIE. Vinci, Bouygues et Eiffage ont connu un premier semestre 2022 très encourageant, en dépit du contexte mondial particulièrement chahuté durant cette même période. Leurs résultats démontrent une bonne dynamique de leurs différentes activités, bien qu'ils intègrent une part d'inflation non négligeable. Retour sur les principaux éléments à retenir des six premiers mois de l'année des trois majors, dans notre tableau de bord.
Il y a 2 ans et 261 jours

L'international fait les belles heures des majors

INFOGRAPHIE. Vinci, Bouygues et Eiffage ont connu un premier semestre 2022 très encourageant, en dépit du contexte mondial particulièrement chahuté durant cette même période. Leurs résultats démontrent une bonne dynamique de leurs différentes activités, bien qu'ils intègrent une part d'inflation non négligeable. Retour sur les principaux éléments à retenir des six premiers mois de l'année des trois majors, dans notre tableau de bord.
Il y a 2 ans et 264 jours

Le club de l'Olympique de Marseille voit son loyer augmenté d'1,5 million d'euros pour le stade Vélodrome

Il s'agit de "la plus forte augmentation de l'histoire" du stade, selon la mairie de la deuxième ville de France.Avec le déclenchement de la part variable (en fonction de l'affluence au stade), la mairie espère que le loyer versé par le club de Ligue 1, actuellement en phase de poules de la Ligue des champions, "pourrait atteindre en tout neuf millions d'euros", a écrit la municipalité à l'AFP, confirmant une information du quotidien la Provence."C'est l'un de mes tous premiers combats politiques qui se concrétise", a réagi le maire socialiste Benoît Payan, qui a longtemps dénoncé un loyer insuffisant, dans un communiqué."Le président du club (Pablo Longoria, ndlr), qui aime la ville, a compris que l'OM avait aussi un rôle à jouer face aux défis qui sont devant nous", a estimé Benoît Payan.L'OM n'a pas commenté cette annonce de la mairie de Marseille. Selon un rapport de la Chambre régionale des comptes de novembre 2020, ce loyer devrait être de huit millions d'euros par an.La convention d'un an renouvelable établie entre l'OM et la Ville de Marseille sera présentée au conseil municipal du 30 septembre.Interrogé également par la Provence sur la vente du stade, ce qu'il ambitionne depuis toujours, Benoît Payan répond jeudi qu'il y reste favorable "mais uniquement si c'est à l'OM", évoquant "un patrimoine commun".Cette opération qu'il évalue à un milliard d'euros n'est pas imminente selon lui : "L'OM ne les a pas. Si un jour il les a, on verra".Le maire a toujours dénoncé le partenariat public-privé noué avec le groupe de BTP Arema par son prédécesseur, le LR Jean-Claude Gaudin, comme "une gabegie financière".Ce PPP lie la ville et Arema, une filiale de Bouygues, depuis 2015 et jusqu'en 2045, à la suite des travaux de rénovation du stade pour l'Euro-2016.Selon la Provence, chaque année, et jusqu'en 2045, la Ville de Marseille verse 12 millions d'euros de redevance à Arema en vertu du partenariat public-privé signé il y a presque dix ans. Dans le quotidien régional, le maire de Marseille calcule qu'ainsi, "à neuf millions d'euros, il n'en manquerait +plus que+ trois pour effacer l'ardoise" annuelle.
Il y a 2 ans et 264 jours

Le club de l'Olympique de Marseille voit son loyer augmenté d'1,5 million d'euros pour le stade Vélodrome

Il s'agit de "la plus forte augmentation de l'histoire" du stade, selon la mairie de la deuxième ville de France.Avec le déclenchement de la part variable (en fonction de l'affluence au stade), la mairie espère que le loyer versé par le club de Ligue 1, actuellement en phase de poules de la Ligue des champions, "pourrait atteindre en tout neuf millions d'euros", a écrit la municipalité à l'AFP, confirmant une information du quotidien la Provence."C'est l'un de mes tous premiers combats politiques qui se concrétise", a réagi le maire socialiste Benoît Payan, qui a longtemps dénoncé un loyer insuffisant, dans un communiqué."Le président du club (Pablo Longoria, ndlr), qui aime la ville, a compris que l'OM avait aussi un rôle à jouer face aux défis qui sont devant nous", a estimé Benoît Payan.L'OM n'a pas commenté cette annonce de la mairie de Marseille. Selon un rapport de la Chambre régionale des comptes de novembre 2020, ce loyer devrait être de huit millions d'euros par an.La convention d'un an renouvelable établie entre l'OM et la Ville de Marseille sera présentée au conseil municipal du 30 septembre.Interrogé également par la Provence sur la vente du stade, ce qu'il ambitionne depuis toujours, Benoît Payan répond jeudi qu'il y reste favorable "mais uniquement si c'est à l'OM", évoquant "un patrimoine commun".Cette opération qu'il évalue à un milliard d'euros n'est pas imminente selon lui : "L'OM ne les a pas. Si un jour il les a, on verra".Le maire a toujours dénoncé le partenariat public-privé noué avec le groupe de BTP Arema par son prédécesseur, le LR Jean-Claude Gaudin, comme "une gabegie financière".Ce PPP lie la ville et Arema, une filiale de Bouygues, depuis 2015 et jusqu'en 2045, à la suite des travaux de rénovation du stade pour l'Euro-2016.Selon la Provence, chaque année, et jusqu'en 2045, la Ville de Marseille verse 12 millions d'euros de redevance à Arema en vertu du partenariat public-privé signé il y a presque dix ans. Dans le quotidien régional, le maire de Marseille calcule qu'ainsi, "à neuf millions d'euros, il n'en manquerait +plus que+ trois pour effacer l'ardoise" annuelle.
Il y a 2 ans et 264 jours

Bouygues Construction veut incuber les entreprises du réemploi

Bouygues Bâtiment France, filiale de Bouygues Construction, veut ouvrir des « centres techniques » destinés aux fournisseurs français de...-Immobilier
Il y a 2 ans et 264 jours

Bouygues Construction veut incuber les entreprises du réemploi

Bouygues Bâtiment France Europe, filiale de Bouygues Construction, veut ouvrir des « centres techniques » destinés aux fournisseurs français de...